lusion Révélation par les contes et fables, non de ce que sont les
noirs
, mais de ce qu’ils rêvent d’être, tant au point,
risqués. — Les hypothèses cosmogoniques, ethniques et zoologiques des
noirs
. — Conclusion. — But de l’auteur : planter des ja
présent recueil. Assurément on ne peut conclure de façon ferme que le
noir
présente les défauts ou possède les qualités qu’i
s ne se rencontre que dans le conte de Bérenger-Féraud déjà cité. Les
noirs
n’ont guère hérité de l’irrespect de leur ancêtre
dont le mélodrame a tant abusé — parle éloquemment au cœur des jeunes
noirs
, si l’on en croit le conte intitulé « L’épreuve d
rphelines et de marâtres témoignent aussi du profond amour filial des
noirs
. Voir encore le dévouement de la fille du massa s
pre mère. Dans ces derniers contes, la puissance de l’amitié chez les
noirs
est fortement mise en relief. On pourrait dire qu
elations avec leurs sœurs que l’inceste soit chose courante parmi les
noirs
. Ce serait généraliser hâtivement (V. Bénipo et s
thi Barma). Continuant cet examen rapide des sentiments familiaux des
noirs
, nous en venons à l’amour conjugal. Ici l’amour e
er. En revanche, les histoires de maris trompés sont innombrables. Le
noir
les prend gauloisement et considère que la jalous
a belle-sœur à céder à ses instances. En général la femme inspire aux
noirs
aussi peu d’estime qu’elle leur fait, par contre,
e qui précède on peut conclure — ce que confirment les faits — que le
noir
possède, fortement accentué, le sentiment de la f
règles précises. Au point de vue désir sexuel, on pourrait croire le
noir
plus proche de la bestialité que le civilisé mais
rnis. D’après les contes, ce désir se manifeste avec violence chez le
noir
. Bilâli inspire un appétit si violent aux filles
naise » : « Il m’est arrivé personnellement d’interroger souvent les
Noirs
. Chez nous ils préfèrent les hommes grands à nez
z nous ils préfèrent les hommes grands à nez droit, portant la barbe,
noire
de préférence. Ils admirent beaucoup nos cheveux
avons tendance à voir un ornement, ne présente pas d’attrait pour les
noirs
qui la considéreraient au contraire comme disgrac
anari, —Le prince qui ne veut pas d’une femme niassée). Amitié. — Le
noir
apporte à l’amitié une ardeur excessive et rendra
usulmane, on trouvera peu d’indications sur les idées religieuses des
noirs
. Le dieu des Gourmantié : Outênou est, comme son
é où la puissance fut initialement la plus respectée des qualités. Le
noir
se gausse, à l’occasion, des mômeries des hypocri
tations de patriotisme ou, plus exactement, de solidarité raciale. Le
noir
a, en premier lieu, la fierté de son village nata
ie pour son père plutôt que pour sa race. Esprit d’association. — Le
noir
a-t-il tendance à s’associer en vue d’un but à at
qui vous a fait boire jadis de son eau miellée. Reconnaissance. — Les
noirs
apprécient la beauté morale de la reconnaissance,
connaissan.127 — La protection des djihon, etc.). Magnanimité. — Les
noirs
comprennent la magnanimité et admirent l’effort a
ces parasites qu’on nomme griots. Respect pour les vieillards. — Le
noir
respecte les vieillards en général parce qu’il y
n et l’autre. Orgueil. — L’orgueil est le défaut le plus évident des
noirs
. C’est le premier dont on se rende compte d’abord
, etc., etc.). Sens de l’ordre et de la discipline. — La plupart des
noirs
, ceux du moins qui se sont constitués en société,
verons encore dans les contes des indications utiles à recueillir. Le
noir
— ceci résulte de sa littérature même — voit à l’
a conquête de la considération131. Pour atteindre ces buts divers, le
noir
sacrifiera tout, même sa vie qu’il considère comm
se familiarise avec l’idée d’une fin définitive. L’Européen comme les
noirs
. Dans le conte de Bilâli encore, deux des personn
on usera pour y parvenir constitueront les deux grandes vertus que le
noir
prise par dessus tout : le courage et la ruse. Le
eugle et incapable de tirer parti de ses ressources, l’admiration des
noirs
place la ruse encore bien au-dessus de lui. Aussi
riomphe constamment de la force brutale. Ceci ne veut pas dire que le
noir
refuse son admiration — toute platonique — aux qu
mais moins au point de vue moral qu’au point de vue pratique. Ici le
noir
raille plus qu’il ne morigène. On ne trouve pas c
. Ici le noir raille plus qu’il ne morigène. On ne trouve pas chez le
noir
: Ces haines vigoureus
palefreniers du fama Da Diâra. Il reste encore à signaler le goût des
noirs
pour des paris dont l’enjeu est souvent leur prop
apitre I) des conceptions ethniques, cosmogoniques et zoologiques des
noirs
telles qu’elles semblent ressortir des contes de
faite d’inquiétude, Un édifice ayant un bruit de multitude, Des trous
noirs
étoilés par de farouches yeux, Des évolutions de
s, Palpitaient sur ce mur, et l’être, et l’univers, Et le destin, fil
noir
que la tombe dévide. Parfois l’éclair faisait sur
superstition, la science, l’histoire, Comme à perte de vue une façade
noire
. Et ce mur, composé de tout ce qui croula, Se dr
or citoyens, vous ne l’êtes Que jusqu’ici. — Les monts se dressaient,
noirs
squelettes, Et sur ces monts erraient les nuages
e, Où Salomon avait pour reflet Charlemagne ; Tout le prodige humain,
noir
, vague, illimité ; La liberté brisant l’immuabili
Et dans l’obscur taillis des êtres et des choses Je regardais rôder,
noir
, riant, l’œil en feu, Satan, ce braconnier de la
issant par degrés sur l’horizon lointain, Cette vision sombre, abrégé
noir
du monde, Allait s’évanouir dans une aube profond
ie, avec un fauve bruit, Passait ; en même temps, du côté de la nuit,
Noir
génie effaré fuyant dans une éclipse, Formidable,
ever jamais. Seulement l’avenir continuait d’éclore Sur ces vestiges
noirs
qu’un pâle orient dore, Et se levait avec un air
ré de ces récits pour la compréhension de la psychologie indigène. Le
noir
, qui se déroberait à un interrogatoire précis, do
au moins, une valeur confirmative de ce que l’observation directe du
noir
nous aura déjà appris. D’autre part, à cette heur
itions sont les suprêmes vestiges des croyances primitives de la race
noire
et, à ce titre, méritent d’être sauvées de l’oubl
récits. C’est le soir, aux lueurs vacillantes du feu près duquel les
noirs
attardent leurs veillées, sinon dans le flou lait
it devenu indispensable pour le conteur. A l’exception, en effet, des
noirs
qui ont longuement vécu en contact avec nous et q
grenouille indiscrète. La femme enceinte. Chacun son tour ! Le cheval
noir
. La queue d’yboumbouni. Les deux faux dioulas. La
du lierre : comparaison avec le roman du Renard. V. Conclusion. — Le
noir
d’après ses contes et fables. Sa morale idéale. S
selon les Môssi. Enfin, la différence des races et l’infériorité des
noirs
sont expliqués par des contes divers de Laumann,
-Féraud 14. L’évolution de la civilisation, telle que l’entendent les
noirs
, se trouve exposée dans les contes ci-après : L’i
ir à ce sujet les contes de Fadôro — de La femme enceinte — du Cheval
noir
— du Lionceau et l’enfant. Elle est même délibéré
jouent leur rôle tous les êtres fabuleux créés par l’imagination des
noirs
: génies, hafritt, taloguina, nains, ogres, anima
fait le symbole de l’inquiétude toujours en éveil27 devient chez les
noirs
l’animal avisé, détenteur de ce sac à malices don
de nos ancêtres gaulois ou moyen-âgeux, la civilisation attardée des
noirs
ne s’effraie ni de l’anecdote scatologique, ni du
-ce immoralité chez l’indigène ? Non pas ; mais amoralité absolue. Le
noir
, non catéchisé, est naturellement et ingénuement
ommeil. C’est, d’ailleurs, en les exagérant que l’humeur gaillarde du
noir
parvient à rendre comiques ces actes-là. Aussi fe
4. Nombre de personnes, qui ne s’attendaient guère à trouver chez le
noir
une imagination aussi variée, m’ont demandé si j’
se de la morale outragée dans « Le châtiment de la diâto ». 27. Les
noirs
lui donnent aussi quelquefois ce rôle. V. « Chass
a forme dans la littérature indigène. 1° Fond : Thèmes favoris des
noirs
, 2° Forme : Leurs procédés de prédilection. Compa
e semblent pas avoir été traités dans la littérature merveilleuse des
noirs
. — Le chevaleresque dans les légendes indigènes.
s des conteurs indigènes. Il est certains thèmes pour lesquels les
noirs
ont une préférence marquée. Ces thèmes se retrouv
e. La faiblesse protégée. Un de ces thèmes, qui dénote de la part des
noirs
une sensibilité assez prompte à s’apitoyer, est c
— L’anguille et l’homme au canari — Une leçon de courage — Le cheval
noir
— Le roi et le lépreux. — Engagement d’honneur, e
fréquemment mis en œuvre38. Procédés de prédilection des conteurs
noirs
. Il y a lieu maintenant de voir de quelle faço
ent fréquents qu’ils pourront faire croire à plus d’un lecteur que le
noir
est surtout un imitateur et que sa littérature me
it la moins probable — celle des races européennes avec lesquelles le
noir
est en contact depuis beaucoup moins de temps qu’
t dû, semble-t-il, inspirer fortement la littérature merveilleuse des
noirs
, n’y laissent au contraire que de rares traces d’
ur du boa — La femme de l’ogre — La protection des djihon — Le cheval
noir
et Die Bienenkoenigin (Bechstein et Grimm) (Cf. a
ment doués que j’ai signalée comme un des thèmes favoris des conteurs
noirs
est aussi un procédé commun aux littératures germ
s français. Si maintenant nous comparons les procédés des conteurs
noirs
à ceux des conteurs français, nous trouverons, ou
urterelle, etc. Minuit, heure des apparitions et des crimes chez les
noirs
comme chez les blancs. Voir : Les jumeaux de la p
n rêve de cette nature semble plus conforme encore au tempérament des
noirs
qu’à celui de l’Indo-Européen65. Pas d’histoires
des 7 Dormants, de Rip van Winkle ou du moine extatique. Les conteurs
noirs
n’ont vu que le côté comique des sommeils indéfin
du cercle de Bandiagara. Le chevaleresque dans la littérature des
noirs
C’est principalement dans les récits des Torod
nt tentés d’étudier la question plus à fond. L’onomatopée chez les
noirs
. De même, je n’effleurerai ce sujet qu’en pass
s. De même, je n’effleurerai ce sujet qu’en passant. L’oreille des
noirs
ne perçoit pas, semble-t-il, les sons de la même
lancement d’un objet. A côté de cela, on trouve dans les chansons des
noirs
des mots sans signification spéciale qui forment
boulevard. Il était composé de deux pièces carrelées et d’un cabinet
noir
, où couchait Sidonie ; mais il y avait une autre
ffroyable chose qui suivit : on voulait me faire dévorer par une bête
noire
et visqueuse : une sangsue ! Je me vois, debout s
r l’autre à la hauteur de son estomac. C’était une dame âgée, tout en
noir
, avec un bonnet à coques et des mitaines. Lenteme
lé. On entrait dans une petite antichambre sans fenêtre où il faisait
noir
. Le salon était au fond, la salle à manger à gauc
ng du retour je lui faisais des reproches. Quelquefois une méchanceté
noire
, que j’imagine, souligne d’un trait plus vif le s
e, me retenait et que Marie se penchait, interrogeant les profondeurs
noires
. Après un long temps d’angoisse, Marie s’écria to
ntissage chez une couturière. Elle me montra un jour, dans la chambre
noire
où elle couchait et qu’une cloison vitrée séparai
s toujours la porte entr’ouverte, pour donner du jour dans la chambre
noire
, Sidonie accroupie, remuant ces choses, où il y a
; à l’entour tout est effacé, c’est un trait de foudre dans une nuit
noire
. Sans doute, après une visite rue de Rougemont, m
ne cessait jamais. Moi qui détestais l’obscurité, je restais dans le
noir
de l’antichambre, assise sur une banquette trop h
avait le nez court, les yeux ronds, et la bouche mince. Leurs cheveux
noirs
étaient ondulés et ramassés derrière la nuque en
ondulés et ramassés derrière la nuque en un simple chignon. Une robe
noire
et plate, avec un volant dans le bas, les habilla
de l’acajou le plus foncé, des rideaux de lampas, d’un rouge presque
noir
, des coussins à bandes de tapisserie, la précieus
lut bien se calmer un peu, vers la fin de l’automne, quand il faisait
noir
de si bonne heure, et rester, bon gré mal gré, à
l’épaisseur de la boîte. Enfin, M. le curé paraissait dans sa soutane
noire
, il ôtait son chapeau, et prenait un air solennel
vant la pendule. Cette pendule était simple autant que laide. En bois
noir
verni, avec un double rang de perles en cuivre, e
drap vert, on entrait tout de suite dans la salle à manger, dallée de
noir
et de blanc. Un paravent déployé protégeait la ta
tte, son large bonnet tuyauté, mettaient de la clarté dans l’escalier
noir
et me rassuraient un peu, car j’avais la terreur
tiède et brillante, pour regagner le lointain Montrouge, à travers le
noir
et le froid. La tante, qui n’était pas très rassu
maisons étaient si rares. Je jetais des regards rapides dans tout ce
noir
, où je croyais voir danser des nuages. Nous trébu
à une scène extraordinaire. Dans l’ombre, qui s’amassait encore plus
noire
sous cette pente de l’escalier et où tremblait l’
se mettre à plat ventre le bras complètement englouti dans l’orifice
noir
, tandis que tante Lili l’empoignait par sa chemis
Zoé me donnait l’exemple d’une fuite épouvantée au fond d’un cabinet
noir
. Ces façons d’agir, si elles m’impressionnaient,
, je regardais, avec stupéfaction, cette vieille figure, anguleuse et
noire
, comme cuite au soleil du Midi, éclairée par les
lle figure bistrée, dans le rose tendre du satin semblait tout à fait
noire
, et il y avait de quoi faire peur. Je n’hésitai p
rdait d’un air extrêmement surpris. Elle était pâlotte, avec des yeux
noirs
à longs cils et un petit toupet de cheveux noué p
nt. Je le connaissais d’ailleurs. Je n’avais pas oublié l’antichambre
noire
où j’avais tant pleuré, ni la salle à manger au p
ce bras, que l’on était en train de serrer dans une bande de taffetas
noir
. Le parrain de ma sœur était Louis de Cormenin. Q
perroquet, leurs mains peintes en rouge et leurs paupières teintes en
noir
, je doute qu’elles dansent aussi bien… Le pas du
ait fermé, de hauteur d’appui jusqu’au plafond par une grille de bois
noir
, formant de petits carrés, derrière laquelle s’ag
gênée et hostile, à la fois, elle restait droite, dans sa mince robe
noire
, les lèvres serrées, se tenant à distance, et ten
gnant et ricanant de ce drôle de système. La sœur tourière, voilée de
noir
, nous reçut dans une sorte de vaste loge, très cl
oche ; et bientôt un grand silence s’établit. Il faisait complètement
noir
et une pluie fine se mit à tomber, qui mouillait
pantalon en finette grise, terminé par des bouts de jambes, de serge
noire
, en forme de pantalon d’homme !… une robe de serg
es, de serge noire, en forme de pantalon d’homme !… une robe de serge
noire
, à gros plis, trop longue, et un tablier en lustr
e de serge noire, à gros plis, trop longue, et un tablier en lustrine
noire
à manches boutonnées. On me tira les cheveux et o
e qu’elle semblait agréable. Affalée dans un fauteuil, sous son voile
noir
et sa guimpe blanche, elle riait, d’un rire aux l
fectoire, où à de vilaines tables longues, couvertes de toiles cirées
noires
, une cinquantaine de fillettes, d’âges divers, ma
pieds des arbres, et des orties assez épaisses bordaient la muraille
noire
, plus haute que partout ailleurs, et qu’aucun tre
is l’impression que dans cette maison pleine de grilles et de rideaux
noirs
, il devait y avoir des oreilles partout, je lui e
is bien travailler, mais ailleurs. Un bruit léger de porte, le rideau
noir
glissant derrière le grillage, et la sœur Marie-J
es bancs, de chaque côté, tenaient aussi à la table, le tout peint en
noir
. Les murs, salis, étaient d’une vague teinte de b
en se croisant dans le dos et sur la poitrine. Cela égayait un peu le
noir
du costume. Mes cahiers et mes livres étaient déj
e, avec la peau très blanche, et des yeux veloutés, sous des sourcils
noirs
et épais ; au-dessus de sa bouche s’estompait une
isir ; essayant, par orgueil, de cacher ma rancune. Mon père était en
noir
et, pour la première fois, je remarquai le ruban,
de petits carrés, comme toutes les grilles du couvent ; deux rideaux
noirs
, courant sur des tringles la voilaient à mi-haute
dissait, était pleine d’angoisse et de dégoût. Il ne faisait pas très
noir
, et je voyais les grosses araignées, courir dans
était en face de moi, tout près, devant l’autre versant des pupitres
noirs
. J’avais établi, entre elle et moi, toute une tél
gnais de me racheter, celle surtout qui consistait à avoir le tablier
noir
relevé sur la figure. En général, toute la classe
e, sa bonne, une femme d’un certain âge, coiffée d’un tour de cheveux
noirs
comme de l’encre, qui lui donnait un air terrible
nantes. Une négresse cantatrice Maria Martinez, surnommée la Malibran
noire
. Elle embrassait, de ses grosses lèvres, ma mère,
eligieuse était jeune, comme une novice, bien qu’elle portât le voile
noir
. Elle était grande, — très grande — mince et soup
, nous dit-il un jour, il faut toujours lui laisser prendre les pions
noirs
, parce qu’ils font ressortir la blancheur de ses
formée à cette loi, c’est-à-dire que j’ai toujours accaparé les pions
noirs
. C’était ce même prêtre qui confessait toute la c
’imaginer tous les détails : la longue vieille figure, sans son voile
noir
, renversée sur l’oreiller, grimaçante et râlante
ehors. Les chevaux piaffent sur les pavés de notre cour et les bottes
noires
du cocher luisent. Je comprends alors la fonction
cristal, et posé sur un autel dans la sacristie, le cœur, desséché et
noir
, d’une religieuse d’autrefois, aimée entre toutes
s dents éclatantes, en repoussant, sous le bandeau, ses beaux cheveux
noirs
, qui débordaient toujours, malgré elle. Je la sup
s, placées haut, des barreaux de fer se croisent serrés, et par leurs
noirs
quadrilles ne laissent du dehors entrevoir que le
entendre l’office divin, le voile baissé et traînant leur longue robe
noire
sur laquelle se dessine une large bande d’étoffe
istie, pour la dépouiller de sa toilette mondaine, ses lourds cheveux
noirs
roulèrent jusqu’à ses reins et j’aperçus, dans le
ayant dit, elle renifla, de ses larges narines, une pincée de poudre
noire
. LI Une fois, en ouvrant le secrétaire, pou
la sœur Sainte-Barbe, rayonnante de santé et de joie, sous son voile
noir
, et qui ne manquait jamais de me crier, quand je
trouva complètement dépaysée et effarée, au milieu de tous ces voiles
noirs
, de cette foule d’enfants criant et jacassant ; e
nt une personne que je ne connaissais pas. C’était une femme vêtue de
noir
et coiffée d’un bonnet noir. — Mademoiselle, me d
nnaissais pas. C’était une femme vêtue de noir et coiffée d’un bonnet
noir
. — Mademoiselle, me dit-elle, je viens de Montrou
avec le dehors. Leurs longues pèlerines, leur bonnet bordé de ruches
noires
qui leur retombaient sur le nez, leur donnaient l
du Grillon Souffle, bise ! tombe à flots, pluie Dans mon palais tout
noir
de suie Je ris de la pluie et du vent : En attend
Elle avait une bonne figure fraîche, le nez retroussé, de jolis yeux
noirs
, et s’appelait Marianne. Craignant de manquer de
on portrait. « … Il avait les cheveux coupés très ras et du plus beau
noir
; ces cheveux faisant des pointes régulières sur
des et à carreaux. Son vêtement consistait en un paletot d’une étoffe
noire
lustrée et brillante, un pantalon noisette, des b
nsidéré les titres, je m’emparai d’un volume : c’était Le Rouge et le
Noir
, de Stendhal. Je n’avais pas choisi sans réflexio
devoir annoncer l’histoire de deux diablotins, l’un rouge et l’autre
noir
, et cela promettait d’être amusant. Je fus un peu
pas arrivé. Dès qu’il paraissait, chétif et maigre, dans sa redingote
noire
, son violon à la main, le silence s’établissait,
îté moqueuse, la torsion de ses sourcils, ses moustaches en crocs, si
noires
et si aiguës, et par la raideur de son cou, qui s
ille, ses larges épaules, ses beaux yeux bleus, frangés de longs cils
noirs
et sa moustache de chef gaulois. Il disait souven
, vers les Batignolles. Je trouvai la chère nounou triste et vêtue de
noir
. Le père Damon était mort, de la maladie qui le t
et je reconnais le cher petit châle vert à palmes, qui a été teint en
noir
et où les dessins ne sont plus visibles… Et, tout
e trouvai les tantes plus vives, et comme rajeunies, dans leurs robes
noires
. Cependant, elles semblaient ne savoir que faire
du beau Crugal s’enfle et palpite : le fils de Favi a déjà quitté le
noir
sommet de la colline : « C’est le bouclier de la
: tes flancs sont blancs comme l’écume de la mer agitée, lorsque les
noirs
ouragans l’épandent sur les rochers grondants de
chos du Cromla. Arrivée au sommet du Lena, la troupe s’arrête sur les
noires
bruyères, semblable à un brouillard d’automne, lo
rre, mon cœur est pour la paix. Chef des guerriers de Cormac, vois la
noire
étendue de la flotte de Swaran : ses mâts s’élève
d’où viens-tu, Ducomar, le plus sombre des hommes ? Tes sourcils sont
noirs
et terribles ; les yeux roulent une prunelle enfl
me point, guerrier farouche ; ton cœur a la dureté du roc, et ton œil
noir
m’inspire la terreur. Mais toi, Caïrbar, toi, fil
chissantes. Fils d’Arno, monte la colline et porte tes regards sur la
noire
surface des bruyères. » « Arno part et revient ép
-toi, fils de l’Océan, lève-toi ! Je vois descendre de la montagne le
noir
torrent des combats ; je vois s’avancer les files
é un coursier non moins fougueux : enfant impétueux des montagnes, sa
noire
crinière s’élève sur sa tête superbe ; ses pieds
e basanée a la couleur de mon arc. Ses yeux farouches roulent sous de
noirs
sourcils. Sa chevelure tombe de sa tête en ondes
es comme nos rochers, qui attendent l’orage avec joie et opposent les
noires
forêts qui les couvrent à la fureur des vents. «
té comme les forêts désertes de Cromla, lorsque l’ouragan, chargé des
noirs
Esprits de la nuit, ravage l’humble bruyère et dé
Le vieux Carril part, et sa voix pleine de douceur invite le roi des
noirs
boucliers. « Swaran, roi des forêts, lève-toi, et
r elle m’est trop chère, la fille de Sorglan, au sein d’albâtre, à la
noire
chevelure. « — Défie-toi des enfants de l’Océan,
milieu des autres femmes comme un astre éclatant : sa chevelure était
noire
comme l’aile du corbeau ; ses chiens étaient dres
ours, et bientôt je reviens vers toi. « — Je crains, lui dit-elle, le
noir
Grumal, mon ennemi ; il vient souvent à la grotte
isième jour se leva radieux sur les forêts des sangliers. Starno, aux
noirs
sourcils, part pour la chasse et Fingal avec lui.
de mon peuple. » « Elle parut les yeux baignés de larmes, ses cheveux
noirs
étaient épars ; son sein, éclatant de blancheur,
ut le premier de ma famille, il se jouait au milieu des tempêtes. Son
noir
esquif bondissait sur l’Océan et volait sur l’ail
l’épée nue. Lorsque le nuage abaissé passa près de lui, il saisit ses
noirs
flocons et plongea son épée dans ses flancs ténéb
ombat, les amis des morts ! » « Le beau Ryno vola comme l’éclair ; le
noir
Fillan, comme les ombres de l’automne. Déjà leur
e leur roi dans l’appareil effrayant de ses armes. La rage allume son
noir
visage, et ses yeux roulent étincelants des feux
, ou les nuages volant amoncelés à travers les cieux, ou les flots du
noir
Océan fondant sur les rivages du désert, leur bru
épée brille à son côté comme l’éclair du ciel ; mais son sourcil est
noir
et sombre, et les orages sont dans son cœur. C’es
abandon, lorsque la belle Evirallina m’aimait, Evirallina aux cheveux
noirs
, à la gorge éblouissante. Mille héros lui offrire
dédaignés. Ossian seul plaisait à ses yeux. « J’allai vers les ondes
noires
de Lego pour obtenir sa main : douze guerriers de
! vois, je l’arrache de mon sein et le jette aux vents. » « Son sang
noir
sort à gros bouillons de ses flancs. Il s’épuise,
t de brun. Le lit d’angle se décorait de rideaux fripés d’andrinople,
noirs
, semés de fleurs rouges. Le reste à l’avenant ; p
Sa parole brève, son geste sobre, son teint mat, ses cheveux drus et
noirs
relevés en brosse, n’indiquaient pas, tout d’abor
n va », soupirait le poète, « il s’en va… Tandis que, lueur vague au
noir
des peupliers, Très morne a lui la gare et, qu’au
des appels pressés de quelque Télégramme, Triangle soûl qui sonne au
noir
des impliés. Derrière, à l’horizon dérougi qui s
meugle, Immense de douleur se hausse sur les reins !… Il s’en va. Le
noir
vit et dans le gaulis erre, Si rempli de douleurs
te. C’était un homme de moyenne taille, avec un long collier de barbe
noire
, au complet de cheviotte bleue, qui hésita sitôt
. Je connaissais Le Cardonnel de réputation. Il publiait dans le Chat
Noir
des vers très remarqués. Je connaissais encore mi
es, autour de l’Arc de Triomphe, posé comme un gigantesque catafalque
noir
. La ville peut dire alors, comme l’Hérodiade de S
âtelaines, d’amazones, de ballerines en jupe de gaze, mêlées d’habits
noirs
. On eût dit qu’une rumeur de fête, une musique de
es (1886). — Les Soirs (1887). — Les Débâcles (1888). — Les Flambeaux
noirs
(1890). — Au bord de la route. — Les Apparus dans
ces trois cahiers antérieurs : Les Soirs, les Débâcles, les Flambeaux
noirs
. Les Soirs, en leur variété tumultueuse ou morne
s la nuit s’allument seuls, toutes autres clartés tues, les Flambeaux
noirs
. La première partie du livre porte le sous-titre
la forêt des Ombres » errant aux dédales de la ville toute de palais
noirs
, de tours d’effroi, errant par les brouillards, e
leurs de la douleur, il en a bien plus « les abois ». Elle est l’Isis
noire
de ses cryptes, gemmée des lourdes et précieuses
hysiquement maladive, il écrit les Soirs, les Débâcles, les Flambeaux
noirs
, « abrupte et puissante trilogie trahissant ce qu
a détresse de l’âme que le mal envahit et révolte. Avec les Flambeaux
noirs
, la crise paraît s’atténuer ; la convalescence su
an (1857). — Encore les femmes (1858). — Menus propos (1859). — Roses
noires
et blanches (1859). — Sous les orangers (1859). —
lle Tel que je l’ai vu à Nice, il y a peu d’années encore, sous le
noir
plafond des rosiers qui s’étendait devant sa mais
bosses vides ! bien découvert aux extrémités sous une chevelure drue,
noire
comme l’Érèbe et tondue de près, les yeux non dém
avate de soie blanche qui entoure son cou, et par la veste de velours
noir
qui habille son corps d’athlète. Plus vrai encore
spectacle de la Bêtise humaine, et ne portant alors qu’une légère et
noire
moustache de Scaramouche, qui semblait ponctuer l
souvent les têtes des toqués, rasé comme un acteur, une petite mouche
noire
d’ouvrier sous la lèvre, et vêtu d’habits de vill
ui se perd dans une clarté mourante de feu de Bengale, ponctué du vol
noir
de quatre ou cinq mouettes, cet homme ayant derri
en 1820, et dont je ne sais pas le nom, j’emporte une mélancolie plus
noire
que la mélancolie de ce grand passé, enterré dans
res, sous le soleil, tout suintants de bitume et de naphte ; d’autres
noirs
avec de petits morceaux carrés de feuilles d’or p
et poivrées d’aromates et de myrrhe funéraire : les odeurs de volupté
noire
du lit de la mort antique. Enfin, sous le débande
ile est à son dernier bout, et voilà un morceau de chair, il est tout
noir
, et fait presque un étonnement, tant on s’attenda
nerveuse au dépouillement du cou et de la tête. Tout à coup, dans le
noir
du bitume figé au bas du cou, reluit un peu d’or.
iz. Là-dedans des rides, que la lumière, dans ce blanc, fait paraître
noires
, et, de chaque côté de la bouche, un creux en for
derrière le grillage des changeurs ; le jeune homme, un brun à barbe
noire
et à lunettes, promenant éternellement, dans les
e de blancheur de sa collerette, l’engoncement solennel dans le satin
noir
de sa robe montante, sa carnation ressemblant à u
use, sous le costume de la chanteuse ambulante : un chapeau de paille
noir
avec un coquelicot, un canezou marron, une jupe v
n canezou marron, une jupe violette à carreaux, troussée sur un jupon
noir
, et la bretelle de sa guitare sur l’épaule. Elle
stes femelles qui semblent revenues de partout, et qui dans des robes
noires
, qui ressemblent à du papier brûlé, regardent ave
iens bâillent en passant. Une église, la cathédrale des charbonniers,
noire
au dehors, noire au dedans ; un tribunal, un temp
passant. Une église, la cathédrale des charbonniers, noire au dehors,
noire
au dedans ; un tribunal, un temple noir de la Jus
arbonniers, noire au dehors, noire au dedans ; un tribunal, un temple
noir
de la Justice, un Odéon de la loi, académiquement
moisie. Toujours et partout, ces fenêtres et ces portes encadrées de
noir
, ainsi que des lettres de faire-part mortuaires.
au lac, inondé de lumière argentine dans le rideau de ses arbres tout
noirs
. Et les uns sur les bateaux, les autres sur des p
qui lui laisse les épaules et les bras nus, une enveloppe de dentelle
noire
jette le filigrane noir de ses ramages sur le ros
s et les bras nus, une enveloppe de dentelle noire jette le filigrane
noir
de ses ramages sur le rose de la peau, et la sple
rles se détache, en leur luminosité nacrée, d’une cravate de dentelle
noire
qui s’y emmêle. 16 septembre Hébert travail
nt au fond de l’atelier, on voit la raie nette dans ses beaux cheveux
noirs
, et un bout de front penché sur un livre. La muet
du biceps, qui nous est restée, ainsi qu’une apparition du Chevalier
noir
, dans le chapitre d’un roman de Walter Scott. Cet
ui part comme un ressort et qui, en ses deux petites mains gantées de
noir
, pétrit un torse et des flancs, comme avec des ma
erte, la puissance de sa masse brisée sous cet homme, à tête de satin
noir
, couché presque doucement sur lui avec la pesée l
à la corde, et faisant un gros bruit bête de troun de l’air, en habit
noir
. Le soir, au fumoir, il s’est étendu, en se vautr
éborder, pour ainsi dire, d’un fumier de tissus. Puis l’escalier tout
noir
, et tout suintant d’eau, et la loge du concierge
auberge. En se retournant, un soleil tout blanc, qui fait aux ramures
noires
des arbres un fond d’argent ; et de distance en d
trame de verre circulaire où s’étiquette leur moi. La grosse chouette
noire
griffue sur les rails a ricané le départ d’Anna M
ose avec les hou-hou lointains du décor dans leur debout de servantes
noires
lessiveuses de meurtres futurs, plus souvent couc
De M. Jean Volane, les Fusains, qu’admireront tous ceux pour qui le
noir
, le pris et le blanc exigent, qui peignent un toi
our qui le noir, le pris et le blanc exigent, qui peignent un toit au
noir
d’ivoire, par insouvenance de la kaléidoscopique
iques, avec sa face de Christ longue comme une main de saint, haut et
noir
sur la scène vide sauf la floraison des pupitres
ne saille, et ceux-là par habitude on en parle moins) le Champ de Blé
Noir
, par un brûlant soir d’orage ; les cônes du blé c
eil désert, Judas vient d’embrasser le Christ de ses lèvres cuites et
noires
. La tête de Gérémie trop modelée en trop de point
ntus de grêles gens, wayang (poura ou gedod) javanais sous les arbres
noirs
contre l’air transparent La banalité forcée s’uni
ieurs choses, par Paul Fort, ourdies, comme l’une d’elles s’avoue, du
noir
, blanc, rouge et bleu des tapisseries, mais où ge
ne l’âme de faiblesse et de force tressées de Maître Solness, dont le
noir
et blanc effrité se damiette à la lueur céphaliqu
, momie de morgue, une autre enlisée, les doigts tâtants sucés par le
noir
, les cheveux de saule sur la face inquiétante. De
rgent (le temps hiérarchique n’existe pas), collectionnées au tableau
noir
de son étal, les quatre têtes phosphoreuses de je
e, Néron. Jésus ; il griffe les rides de Wagner et déroule l’escargot
noir
des volutes de Schumann. Le fruit germe, feuillu
de Verlaine. Et des mers d’un calme d’huile astrale ou lustrale, d’un
noir
de velours absolu où ondulent les scies serpentin
dans le prolongement effaré du cou sa tête de danseuse, les feuilles
noires
peuplent les nuages mauves et les décombres coure
verset sur la tête de mort en bois, sonnant à tous les champignons :
noirs
subitement germés des dalles : Levez-vous, morts,
raitée, où s’harmonise la brutalité des tons : — Sur un massif étalon
noir
un homme nu ; le plat de son épée sanglante pèse
ls ; la tête du Mauvais Larron, du haut de la croix, semble un soleil
noir
. Des cyprès sont calmes sur la colline. — M. Bœck
le mur doré illuminent de tout leur émail : rampe. L’ermite aux pieds
noirs
et fourchus a enfoncé sa double croix à travers l
hes du château de granit lourd, mais l’effroi ininterrompu des douves
noires
, pareilles au carcan dont on a serré la tête d’un
’après et pour Munthe — dans les Minutes de sable mémorial : le Poêle
noir
frémit et mord / Des dents de sa tête de mort / L
en même temps le meilleur et le pire ;
Noir
tableau ! Car la France mérite Austerlitz, et l’e
Trop petit ; Puisqu’on voit dans les cieux poindre l’aurore
noire
Du plus fort ; Pui
À genoux ! J’insulterai leurs chants, leurs aigles
noirs
, leurs serres, Leu
e Retentir, Ô Paris, je t’ai fui comme
noir
prophète Fuyait Ty
es paroissiens. Un cabinet de travail, entouré de planches peintes en
noir
, chargées de gradus de collège, de livres de théo
bonnet brun piqué, qui tire de temps en temps, d’un cabas, le raisin
noir
de la vigne de là-bas, qu’elle passe à ses petits
llées et venues des pas inconscients battant l’asphalte au hasard, le
noir
de la foule aux alentours des mairies, l’assaut d
e d’hommes, où les blouses font des taches blanches et bleues dans le
noir
du drap, d’hommes, dont la plupart ont des branch
a main, ou des bouquets de feuilles vertes, attachés à leurs chapeaux
noirs
. Soudain, une main se lève au-dessus de toutes le
u palais, je vois écrit, à la craie, sur les deux tablettes de marbre
noir
: À la garde des citoyens. D’un côté est grimpé u
on construit à Montretout. Au milieu de ceps, tout chargés de raisins
noirs
, j’aperçois la cravate blanche du vieux Blaisot,
r des gardes nationaux. À tout moment, le passage des blouses bleues,
noires
et blanches des mobiles, et dans l’espèce de cana
d’oripeaux patriotiques, tandis qu’au-dessous, des ronds de chapeaux
noirs
, s’abaissant devant la porte, toute verte de cour
murier Marquis, et de l’arquebusier, son voisin, il fait presque nuit
noire
. Dans cette obscurité, quelques promeneurs vaguen
le rouge sang de bœuf des bandelettes, entremêlées dans leurs cheveux
noirs
, tandis que plus loin, assis par terre, dans un g
a fois lumineux et gris. À gauche, un grand peuplier, faisant un cône
noir
de cyprès ; en face et à droite, des cheminées de
ent entrevoir des pantalons rouges, où le sang fait de grandes taches
noires
. Samedi 1er octobre La viande de cheval se
t faire de la copie pour Le Figaro… Nefftzer apporte toujours le même
noir
ironique, le même doute à l’endroit de ce qu’on p
t l’unique vie de l’avenue silencieuse… Tout à coup au loin une masse
noire
et un roulement sourd. Portée sur les épaules de
nette, sur cette terre parisienne, des hommes à colback et un drapeau
noir
et blanc, et de sentir enfin à 4 000 mètres, tapi
-Dame, sur la pâleur du ciel, que lignent en bas, comme, des épingles
noires
, les baïonnettes de la multitude armée, défilant
de la Correspondance. J’ai la sensation d’être entré dans le cabinet
noir
de l’inquisition de la Révolution, et ce décachet
ujourd’hui. L’orchestre aux musiciens est la tribune, qu’occupent, de
noir
habillés, les austères membres du bureau et les o
gris du pavé, n’ont pas de couleur : ils font presque les taches, au
noir
neutralisé d’une photographie de la high life ,
ement curieux. Ce soir, je vais au Luxembourg. Dans l’obscurité de sa
noire
grandeur, avec l’unique réverbère qui éclaire sa
et sans gaz, la Seine roule une eau sombre, une eau de Phlégéton. Le
noir
de cette ville, dont je retrouvais, à plus de dix
boutiques, de ses cafés, de ses cent milliers de becs de lumière : ce
noir
, ces ténèbres toutes nouvelles, changent Paris, i
emin de fer, un ciel de sang, une lueur cerise teignant jusqu’au bleu
noir
de la nuit, un spectacle étrange de la nature, un
aris, est surmonté d’un faisceau de drapeaux, que couronne un drapeau
noir
, où flottent dans ses plis funèbres, les noms de
appuyées sur des parapluies, font, sous l’ondoiement de leurs voiles
noirs
, des perspectives de doux profils, embéguinés de
marche, brandissant au bout de son bras, levé en l’air, un long chat
noir
fraîchement écorché. Une voiture trouvée par hasa
rs toutes ces choses, ruinées, abandonnées et reflétées, avec la nuit
noire
, dans les flaques d’eau, si bien qu’à la fin il m
la crosse en l’air, et criant : « Vive la Commune ! » L’édifice tout
noir
, avec l’heure, qui marche insouciante sur son cad
n 93, qu’on va se pendre les uns les autres ! » Le boulevard est tout
noir
. Les boutiques sont fermées. Le passant n’existe
bes, sans une couronne fraîche, et je me penche à regarder les formes
noires
et les mains pieuses, penchées sur les pierres fu
et aux murs recouverts de vieilles tapisseries. Il y a deux femmes en
noir
, au coin de la cheminée, dont on voit vaguement l
temps en temps, il y a des éveils, presque aussitôt éteints, d’un œil
noir
, noir, noir. Comme je lui demande s’il se retrouv
en temps, il y a des éveils, presque aussitôt éteints, d’un œil noir,
noir
, noir. Comme je lui demande s’il se retrouve, à P
ps, il y a des éveils, presque aussitôt éteints, d’un œil noir, noir,
noir
. Comme je lui demande s’il se retrouve, à Paris,
e, qui vous crie : « On ne passe pas ! » Je prends à droite un chemin
noir
de charbon de terre, et je flâne sous des arbres
broussailles. D’un côté, le pont du chemin de fer d’Asnières, un fil
noir
dans l’air, de l’autre le pont de Clichy, le tabl
moule de pâtisserie, au haut de la tête. Elle porte une robe de laine
noire
à longue queue, dont la taille est sous les seins
r les épaules. Elle a un foulard blanc au col, et un panier de paille
noire
à la main. C’est la toilette distinguée de la fil
nge de choses, comme de la blanquette de veau et de la raie au beurre
noir
… Eh bien, Hugo s’est jeté là-dessus. Nous le rega
t des pantalons gris-perle, remplis de taches, avec toujours un habit
noir
. » « Quand je l’ai revu en Belgique, c’était un a
et de sortants, déjà vagues dans la nuit qui commence. Et bientôt le
noir
des deux portes fermées, sur un morceau de ciel r
ère ; ceux-ci, les richards, avec leurs bonnets aux oreilles de laine
noire
frisée, leurs favoris carrés, leur foulard rouge
uges, et coulant sur la chaussée. Chez Brébant, on cause de la misère
noire
, dans laquelle sont tombés soudainement des gens
jourd’hui, le repassage de la Marne, par Ducrot, vous rejette dans le
noir
de l’insuccès et de la désespérance. À tout coin
promène la faction ankylosée des gardes nationaux, avec ses lointains
noirs
, saupoudrés de blanc, avec les glacis micacés de
ntant la rue d’Amsterdam, j’ai devant moi un corbillard, dont le drap
noir
est couvert d’une veste aux broderies d’or à la p
es files de corbillards dont les chevaux soufflent, dont les cochers,
noires
silhouettes sur la neige blanche, battent la seme
us à 9 heures et demie. Je suis obligé de revenir à pied, en une nuit
noire
, où ne s’élèvent dans le sommeil de mort de Paris
ique, blancs de neige, portent de petites foules, se détachant toutes
noires
sur le ciel. Je prends un sentier côtoyant des br
Arthur Rimbaud : Une Saison en Enfer. André Theuriet : Le Bleu et le
Noir
. Louis Tiercelin : Les Asphodèles. 1874 —
Nouvelle Rive Gauche. — La vie artistique (Émile Delarue). — Le Chat
Noir
(R. Salis). 1883 — Joséphin Soulary : Œuv
Haraucourt : La Légende des sexes. De Pimodan : Le Coffret de perles
noires
. Jean Lorrain : La Forêt bleue. Maurice Rollinat
. Adoré Floupette : Les Déliquescences. Stanislas de Guaita : La Muse
noire
. REVUES. — Le Carcan (Paul Adam). — La Revue Cont
Noël. Jules Laforgue : Derniers vers. Émile Verhaeren : Les Flambeaux
noirs
. Ernest Raynaud : Les Cornes du Faune. Pierre Qui
ns des petits livres à cinq sous, ces livres populaires, au tirage en
noir
, à la couverture jaune, d’où ils tirent leur nom
e poudre dentifrice en train de façonner un bout de bois de camphrier
noir
pour en faire une brosse à dents ; la fabricante
arrière et d’une main retenant sur sa gorge un fichu-fanchon de crêpe
noir
, un bôshi, tout envolé autour d’elle et, de l’aut
umida d’Outamaro et où, dans un personnage de profil, au petit bonnet
noir
, à la robe bleuâtre, on croit reconnaître Hokousa
d’un hiver rigoureux, l’artiste a vécu, toute sa vie, dans une misère
noire
, par suite des bas prix payés au Japon par les éd
’Est (Promenade de la capitale de l’Est, qui est Yédo), un volume en
noir
, republié en trois volumes en couleur, l’année 18
ule, et où le corps couleur de brique de l’enfant herculéen, entre le
noir
de l’aigle et le fauve de l’ours, fait de la colo
rme blagueuse dont voici un échantillon, à propos d’une planche toute
noire
de rats : « Il est établi qu’un ménage de rats me
ne neige de Koudan, où une Japonaise est si joliment encapuchonnée de
noir
; une vue d’Asouka, où un Japonais est en train d
, avec les imaginations de son art, les rêveuses imaginations dans le
noir
des lettrés de son pays, et c’est ce qui explique
d’un clair de lune : roman dont le dénouement montre, au milieu d’un
noir
ciel sillonné d’éclairs, le prince agenouillé dev
ue femme dans sa robe blanche, avec le flottement autour d’elle de sa
noire
chevelure, tantôt d’une originalité gracieuse, co
ec son cheval dans un précipice, le cheval cabré dans le vide du trou
noir
sans fond, un dessin où il y a la furia d’un croq
réface de Tanéhiko est gravée sur un éventail blanc jeté sur une page
noire
: l’imagination de Hokousaï trouvant à tout un in
ants yeux de gnome, un nez qui n’est plus qu’un trou nasal, des dents
noires
aux gencives rongées par les vers. En 1808 Hoko
, Nourégami et Hanarégoma, en une illustration très coloriste dans le
noir
. L’une des planches représente Hanarégoma déracin
omme, la tête en bas, une brosse dans une main, une écuelle pleine de
noir
dans l’autre, enduit de couleur la base d’un pila
avec l’inquiétude du regard. XV. Deux lapins, un lapin jaune à l’oeil
noir
, un lapin blanc à l’oeil rouge. Une étude amusant
èbres du xviie et du xviiie siècle, en cinquante-six impressions en
noir
, avec de très délicates demi-teintes, comme lavée
ï Gwashiki, Méthode de dessin par Hokousaï , un volume aux dessins en
noir
teintés d’une coloration rose et bleuâtre. À côté
ange en un gigantesque dragon ; c’est le malheureux prince Ohtô en sa
noire
prison, dans une anfractuosité de rocher ; c’est
très originale ; une femme apportant une tasse de thé, — le tirage en
noir
de l’impression primitive ; des teinturières ; de
essus de toits de chaume d’habitations de paysans, le Fouzi-yama tout
noir
, sauf l’extrémité du pic. 20. L’intérieur du flot
rosée tombante) dans la montagne kourokami-yama (montagne de cheveux
noirs
) de la province de Shimozouké. Trois Japonais en
dont une immense pieuvre, avec ses effrayantes prunelles, en forme de
noirs
quartiers de lune, aspire le bas du corps, tandis
boîte divisée en quatre compartiments contenant du sable rouge, bleu,
noir
, blanc, et qui, en le jetant sur le plancher comm
it d’une imagination ingénieusement macabre, se détachant sur le bleu
noir
de la nuit. Une autre estampe : une femme ogresse
heveux ressemblant à une crinière, aux yeux demi-fermés remplis d’une
noire
prunelle, au nez busqué d’un bouc, aux crocs bleu
e chevelue, à la bouche ouverte d’où un soupir se dessine sur le ciel
noir
comme le dessin d’un souffle sur de l’air glacé,
nt vert-de-grisée. Et nombre de natures mortes, comme un bol de laque
noire
et une boîte de baguettes à manger ; comme une gr
ncesse de la fleur épanouie), la divinité du Fouzi-yama : dessinée sa
noire
chevelure épandue dans le dos et tenant d’une mai
e bouddhique Yennoguiôja, tenant contre un bras le bâton à la poignée
noire
, ayant l’autre enlacé dans un chapelet, et représ
ruption de 1707 semblable à l’explosion d’une mine, et jetant dans le
noir
du ciel des poutres, des tonneaux, des cadavres b
z de l’automne. Dans le second volume, il est des compositions où des
noirs
rembranesques, admirablement rendus par le graveu
onnaît pas le troisième volume. Cette première édition était tirée en
noir
, mais peu de temps après paraissait une édition a
raissait une édition alors composée des trois volumes où le tirage en
noir
était teinté d’une teinte bleuâtre dont le léger
pier crème du Japon fait le passage le plus harmonique des blancs aux
noirs
des gravures. Les deux éditions sont signées : la
dessiner les yeux ainsi (et ce sont des dessins d’yeux avec un point
noir
au milieu), mais je n’aime pas plus ces yeux que
t des chevaux hirsutes et échevelés, aux yeux de feu, à la robe toute
noire
, pareils à des coursiers de l’Érèbe. À ces planch
e l’armature des arbres se détache, d’une manière remarquable, sur le
noir
de la feuillée. XLVI Tous les arts descenda
n, faite postérieurement et teintée de rose. A la fin de l’édition en
noir
l’éditeur annonçait la publication de trois volum
, et jamais avec le pinceau ; ne passer la couleur que sur les lignes
noires
de l’ombre, où seulement la couleur peut se super
aut employer pour colorier les animaux et les plantes, représentés en
noir
dans les planches qui se succèdent, — pour colori
pour colorier le hoho, le coq, l’aigle, les canards, les poissons. Le
noir
lui fait dire : Il y a le noir antique et le noi
’aigle, les canards, les poissons. Le noir lui fait dire : Il y a le
noir
antique et le noir frais, le noir brillant et le
, les poissons. Le noir lui fait dire : Il y a le noir antique et le
noir
frais, le noir brillant et le noir mat, le noir à
Le noir lui fait dire : Il y a le noir antique et le noir frais, le
noir
brillant et le noir mat, le noir à la lumière et
re : Il y a le noir antique et le noir frais, le noir brillant et le
noir
mat, le noir à la lumière et le noir dans l’ombre
le noir antique et le noir frais, le noir brillant et le noir mat, le
noir
à la lumière et le noir dans l’ombre. Pour le noi
ir frais, le noir brillant et le noir mat, le noir à la lumière et le
noir
dans l’ombre. Pour le noir antique, il faut y mêl
et le noir mat, le noir à la lumière et le noir dans l’ombre. Pour le
noir
antique, il faut y mêler du rouge ; pour le noir
ans l’ombre. Pour le noir antique, il faut y mêler du rouge ; pour le
noir
frais, c’est du bleu ; pour le noir mat, c’est du
l faut y mêler du rouge ; pour le noir frais, c’est du bleu ; pour le
noir
mat, c’est du blanc ; pour le noir brillant, c’es
oir frais, c’est du bleu ; pour le noir mat, c’est du blanc ; pour le
noir
brillant, c’est une adjonction de colle ; pour le
lanc ; pour le noir brillant, c’est une adjonction de colle ; pour le
noir
dans la lumière, il faut le refléter de gris. À
H. 120. — L. 52. Riki, un autre héros des 108, surnommé le Tourbillon
noir
, à cause de la rapidité avec laquelle il faisait
, avec des chairs couleur brique, et quelques touches de bleu dans le
noir
de l’encre de Chine des vêtements. Même signature
apier buvard sur lequel elles sont posées trempait dans l’eau ; et un
noir
assoupi des cheveux, et un incarnat du visage, po
eux creux, le nez décharné, les dents se détachant en blanc d’un trou
noir
, les chairs livides éclairées par la blafarde lue
e Chine sur un fond brunâtre, qui a quelque chose de farouche dans sa
noire
tonalité. Signé : Manji, vieillard de 88 ans. H.
ée à gauche, une lanterne derrière elle. Elle est habillée d’une robe
noire
ocellée de plumes de paon. Signé : Gwakiôjin Hoko
anji. H. 74. — L. 20. Collection Bing. Guésha, habillée d’une robe
noire
, aux transparences de la plus grande habileté, et
, baissée dans un penchement à gauche, et habillée d’une robe de soie
noire
brodée de fleurettes aux transparences rendues pa
de batailleuse ; un coq au rouge vineux de sa crête s’enlevant sur le
noir
de sa queue et de son poitrail : le coq le plus a
deux mouches au front des femmes de la noblesse et sa belle chevelure
noire
dépassant par derrière la traîne de sa robe, d’un
un profil de gorille. Appuyé sur un bâton, il est habillé d’une robe
noire
, sur laquelle est jetée comme une couverture à la
. Signé : Gwakiôjin. H. 125. — L. 52. Collection Vever. Sur la nuit
noire
d’un ciel dans lequel un éclair fait une éclairci
nté avec les trois balayeurs habillés en blanc et coiffés de chapeaux
noirs
. Mais ici Hokousaï supprime les personnages. Le
fondre sur une proie. Peinture au cruel dessin de la tête, au solide
noir
et au beau fauve de la plume hérissée, et comme s
s mythologiques, à des guerriers, aux lavages à grande eau, aux beaux
noirs
d’encre de Chine, dans lequel est un musicien qui
ppe semblent des bulles de cristal contenant l’eau bleuâtre du raisin
noir
, et des tortues qui ont cette couleur qui leur es
le. LVIII. Les grandes collections de sourimonos et d’estampes en
noir
et en couleur de Hokousaï Après les collection
nages. Livres et Albums sont illustrés de planches en couleur ou en
noir
, mais très souvent les tirages en noir sont harmo
s de planches en couleur ou en noir, mais très souvent les tirages en
noir
sont harmonisés à l’aide d’une teinte grise, d’un
’éveille dès l’aube, ou s’agite ivre de lumière, ou dort gavé de nuit
noire
et au clair de lune. Les cerisiers y dressent per
bes. — Mélange du génie africain et du démon sémite. — Répugnance des
noirs
à les désigner sans périphrase. — Leurs diverses
ilis est-il moins un démon qu’un guinné68 féroce et malfaisant69. Les
noirs
emploient souvent le mot français « diables » pou
ne les fées sont « les bonnes dames » (Die weise Frauen), de même les
noirs
convaincus ne s’aventurent-ils pas à appeler les
e l’eau (moutâné rouha), le maître de l’eau (diandiam en peuhl)70. Le
noir
qui navigue sur le Niger entre Mopti et Ségou dés
antié : « pora » signifie aussi jumeau. Il y a chez beaucoup de races
noires
un préjugé hostile aux jumeaux qui sont considéré
e Service de Nuit). — Enfin il est à noter que la présence d’un chien
noir
épouvante aussi les êtres de la nuit (v. à ce suj
Moussa Nyam.87 — La femme de l’ogre — Le mari de Nantêné — Le cheval
noir
— Goloksalah et Penda Balo.88). Les enfants nés d
meuniers, dans la littérature indo-européenne. 67. Le backchich des
noirs
(alias « dimanche »). 68. Mot ouolof qui bénéfic
Bambara, même fétichistes, symbolise l’esprit de discorde. Quand deux
noirs
se disputent, on dit « Bilissa est entre eux » ma
singerie de l’Islam, car l’Islam est surtout affaire de mode chez le
noir
. C’est une croyance bien portée et qui élève d’un
tableau qui enlevaient le repas de Phinée. Celles-ci sont sans ailes,
noires
et horribles ; elles ronflent avec un souffle far
ient à leurs chevelures, une ceinture écarlate serrait leurs tuniques
noires
à leurs flancs étroits. D’une main, elles brandis
ne jaillisse de cet arc d’or. Alors la douleur vous ferait rendre la
noire
écume prise aux hommes. Vous vomiriez les caillot
les deux causes, il les ajourne à son tribunal : et tandis que le vol
noir
des Érynnies se remet en chasse, le Dieu court re
hommes, s’élevât-elle jusqu’au ciel, tombe flétrie contre terre à ma
noire
approche, et je l’écrase sous mes trépignements.
tombe, celui que j’ai frappé, il l’ignore, aveuglé qu’il est par son
noir
délire, et les hommes l’entendent gémir dans sa m
de sa lance. — « Mais celle-ci saisit de sa main puissante un rocher
noir
, âpre, immense, qui gisait dans la plaine et dont
mère ? » — Ici l’instinct du sexe tressaille dans les Érynnies, leurs
noires
entrailles se révoltent, quoiqu’elles soient stér
oute rien ? » On passe au vote ; et tandis que les cailloux blancs ou
noirs
roulent dans l’urne de bronze, les deux parties i
versée, on compte les suffrages : six pierres blanches et six pierres
noires
. Mais le vote de Pallas, comptant double, départa
» — Les Érynnies ne veulent rien entendre, elles s’entêtent dans leur
noire
rancune. Aux exhortations répétées répond l’aboi
ras point sur cette terre le poison des imprécations. Calme les flots
noirs
de ton cœur. » — Mais la Vierge se radoucit aussi
eunes filles couronnées de narcisses, les prêtres traînant les brebis
noires
dont le sang consacrera le nouvel autel, défilent
r leurs figures ennoblies. Leurs traits agrandis s’harmonisent, leurs
noir
regards n’expriment plus qu’une fixité vigilante
ée d’or et de faux marbre, des lustres aveuglants de lumière, un café
noir
de chapeaux d’hommes, entremêlés de quelques bonn
épis d’enfants, et au fond un théâtre. Là-dessus un comique, en habit
noir
, a mimé quelque chose ressemblant à la danse de S
de mémoire. * * * — Les ballons, à force de monter, trouvent un ciel
noir
, où rien ne se voit plus… C’est à ce ciel que la
sur le papier d’une feuille d’étude, avec de la sanguine et du crayon
noir
. Mercredi 1er février Ce soir, chez la prin
u feuilleton et de la copie… Le perceur d’isthme, Lesseps, à l’œil si
noir
sous ses cheveux argentés, et qui dîne aujourd’hu
ses, avec des gaudissements, des jovialités qui font peur. Ces hommes
noirs
ont je ne sais quelle laideur d’horribles masques
t garçon de sept à huit ans. Il a une veste et une culotte en velours
noir
, un gilet blanc, des bas rouges. Il est tout fris
sentences d’argot. Sur leur figure au teint des gens mal nourris, et
noire
d’une barbe non faite, on lisait je ne sais quoi
de jeunes Gringoires, des clercs en deuil, dans des gilets de velours
noir
avec un crêpe à leur chapeau : pantins sinistres.
savez pas ce que c’est, reprend-il, en s’animant, et sur le ton d’une
noire
mélancolie, et avec des mots qui sortent d’un cœu
ibule, toutes les cinq minutes, la moitié du visage. Il a une calotte
noire
sur la tête, un ruban de la Légion d’honneur à la
ux filles se pose sur la joue, une mouche faite de je ne sais quoi de
noir
, en se servant, pour miroir, du manche de sa four
nous fait défiler devant les yeux des cartons de portraits en manière
noire
de Lawrence, il nous faut de la politesse pour ne
fait un petit curé, qui avait passé une chemise de nuit sur un jupon
noir
de la gouvernante, et qui, avec un morceau de taf
un jupon noir de la gouvernante, et qui, avec un morceau de taffetas
noir
pour rabat, sa mine rose, ses cheveux en bourre d
andé, ces jours-ci, et en fait voir la beauté, en le détachant sur le
noir
de son tablier. Giraud de prendre le menton de la
ns de la princesse Primoli, qui pose avec ses beaux et bons yeux, ses
noirs
cheveux luisants, ses dents blanches, toute la ro
ur laissent aux joues comme du fard mouillé, et où ça et là, un pépin
noir
fait une mouche. Les trois chiens ronflent dans l
tableaux de Bonvin et de Wattier, parmi lesquels se voit un grand et
noir
portrait de Bressant, où la jeunesse de l’acteur
nt faire une visite à Saint-Gratien. De gros traits, d’épais sourcils
noirs
, la forte encolure des hommes d’esprit de Louis-P
des gouaches criardes rappelant les éruptions du Vésuve encadrées de
noir
. 18 septembre Nous allons voir Camille Douc
mort, passe et repasse, active et glissante, une sœur de Bon-Secours,
noire
sous sa coiffe blanche. Il se meurt. Il a voulu r
ort, un calme où il y a presque un souffle et un sourire… Des ballots
noirs
sont dans la salle à manger, des ballots au milie
t. C’est la princesse en déshabillé, qui se sauve avec deux femmes en
noir
. Ces deux femmes en noir étaient la princesse Mur
déshabillé, qui se sauve avec deux femmes en noir. Ces deux femmes en
noir
étaient la princesse Murat et sa fille Anna, dont
enfant de dix ans, qui dans une figure pâle, a deux grands yeux tout
noirs
et tout doux. On l’assied auprès du souffleur, et
ge hostile de la salle, Bressant dans son rôle du « Monsieur en habit
noir
», le rôle le plus attrapé de la pièce, est admir
dans la raison, et il l’a bien prouvé en peignant sobrement le monde
noir
, ce monde que l’imagination conçoit seule, et qui
e d’Alaux nous fait toujours l’effet, en peignant le chef de ce monde
noir
qui le résume si bien dans tous les détails de sa
un livre qui touche par un bout ou par un autre à l’histoire du monde
noir
soulèvera toujours. Le christianisme, qui a déjà
gres vulgaires, comme tant d’autres chefs d’un instant de la barbarie
noire
, et qui n’a dû son élévation qu’à de chétives cir
marqué ce qui fait l’ascendant actuel de Soulouque sur la société de
noirs
, de mulâtres et de sang-mêlés qu’il gouverne, si
il pu écrire, même dans une préface, que le despotisme de la majorité
noire
était une transition nécessaire, et que si la cri
l’un : le Comique, et encore d’un duc remisant, le jour, dans le trou
noir
de la Glacière, où frissonne, sous le plâtre tout
blonde de Paris, devenant sous le soleil et le hâle des champs, plus
noire
, plus tannée que la peau paysanne du plus extrême
a pour la Wurtembergoise, qui en se sauvant s’est fait, au coccyx, un
noir
contre une porte. 22 février Depuis que not
ire des Incurables, chargée de 80 ans, dont on ne voit sous sa capuce
noire
et son abat-jour qu’un nez camard et un peu de pe
e la dépouille humaine et des entrailles d’un cimetière, une usine de
noir
animal, ça m’indigne. Ces pensées nous venaient d
rice du théâtre des Batignolles, toute maigriotte dans sa petite robe
noire
des répétitions, élevant pour le serment une main
et le résumé du président sort de sa bouche édentée, comme d’un trou
noir
. La cour se retire, le jury entre en délibération
comme fouettés par des vents de malheur, cravaté d’une corde de soie
noire
où ne passe jamais le blanc d’un chemise, et habi
ar le chemin de fer, nous l’avons vu tirer de sa poche un petit livre
noir
, un livre de prières à l’aspect anglican, puis re
d égaré au loin, laissant aller devant lui ses deux grands beaux yeux
noirs
, qui ont des cils longs d’un doigt, des yeux de l
t, en une complète immobilité, ainsi qu’un beau mort arabe à la barbe
noire
et blanche, il nous dit : « Je ne suis pas encore
ambes, un petit sac de voyage de toile cirée à côté d’elle. Son voile
noir
relevé sous son pauvre vieux chapeau laisse voir
honnement, le cruel présent, — et encore des journées enfoncées en un
noir
silence. 2 juillet Départ de ce triste pays
de la chance d’obtenir cela ici ! »… Chez lord Hertford la méchanceté
noire
de sa famille et la haine de l’humanité. C’est de
ssourdissement des bruits humains et animaux. * * * — Elles sont bien
noires
les pensées des nuits blanches ! * * * — Un curie
et sa turbulente et vivace et criarde petite fille, qui a l’œil tout
noir
d’un pochon reçu de son frère. * * * Qui n’a lu l
econde fois, ce que l’âme a souffert. * * * — Des jours vides et tout
noirs
, remplis par la douche et par des promenades doul
y a des couleurs amies ; Chardin jettera pêle-mêle des objets rouges,
noirs
, blancs ; mais ces tours de force-là, il faut que
point de plans, point de dégradation, point d’air entre les figures ;
noir
, sale et discordant pour être vigoureux. Voyez ce
vêtemens ; s’ils ont du caractère, il est ignoble. Ce vieux pharisien
noir
, à droite, a été peint avec du charbon pilé ; j’e
a puissance de Jupiter, qui ébranle l’olympe du seul mouvement de ses
noirs
sourcils ? Une action énorme de la figure entière
orie enragée à faire devenir fous les sphynxs et les Oedipes avec son
noir
et son jaunâtre. études de têtes. c’est Renou qui
uchées, et de beau caractère… et dans un autre endroit barbe d’ébène,
noire
, compacte, cheveux de même ; bout de vêtement sec
a Mode, chez Girardin. Il vit un petit homme rondelet, aux jolis yeux
noirs
, au nez retroussé, un peu cassé, parlant beaucoup
ochère. Je me jette à sa suite. Je vois sa robe grise et son mantelet
noir
tournant au coin de la rue Olivier. Je marche un
nc, Madame ? — Mais par les médecins, oui, Monsieur, j’ai une maladie
noire
. — Le spleen ? — Le spleen, si vous voulez… Je m’
* * * — Rue des Fossés-du-Temple (la rue derrière les théâtres), rue
noire
fermée d’un côté par un mur peu élevé, au-dessus
mêlés à de misérables filles qui raccrochent en bonnet et en pèlerine
noire
jetée sur une robe de coton. Puis, de temps en te
tite chienne, pleine comme elle. Passage où on loue 5 francs un habit
noir
de la plus grande fraîcheur pour soirée. À droite
que surveillent, assises sur les bancs, les grand’mères aux mitaines
noires
. Et par-dessus et au-delà du parapet, un paysage
tournure pétrifiée, ces mains pendues au bout des bras, ces tignasses
noires
et ballantes, ces cheveux d’ivrognes, dépeignés s
ne chaise un manteau doublé d’un tartan écossais à carreaux rouges et
noirs
: une grosse tête renflée aux tempes, un front ex
e, sans cils ni sourcils, et sur laquelle se détachent les deux ailes
noires
du nez, ainsi que les oiseaux passant à tire-d’ai
grosses boules de gui visibles, hachant le ciel de leurs branchettes
noires
. Là-dedans, l’aboiement éteint d’une meute lointa
portant une grosse tête ridicule ; la troisième, une statue de marbre
noir
. Ces trois statues posées sur des piédestaux dans
(1859). — Les Pattes de mouche (1860). — Piccolino (1861). — La Perle
noire
(1862). — Les Ganaches (1862). — Les Femmes forte
62). — La Papillonne (1862). — Bataille d’amour (1863). — Les Diables
noirs
(1863). — Le Dégel (1864) — Don Quichotte (1864).
qui consolent les gens chauves d’être chauves, car on voit que cette
noire
, lourde, charmante et fabuleuse chevelure le dévo
’exposer à bien des confusions. Voilà donc quatre degrés : 1° Il fait
noir
, dit l’ignorant. 2° L’éclipse a eu lieu à neuf he
urité que ressent le témoin d’une éclipse, et l’affirmation ; il fait
noir
, que cette impression lui arrache, il est nécessa
infini que mes impressions pourraient revêtir. Quand je dis : il fait
noir
, cela exprime bien les impressions que j’éprouve
, j’aurais cependant encore énoncé cet autre fait en disant : il fait
noir
. Seconde remarque : même au second échelon, l’éno
it par exemple du postulatum d’Euclide. Quand on me demande : fait-il
noir
? je sais toujours si je dois répondre oui ou non
té de faits possibles soient susceptibles de ce même énoncé : il fait
noir
, je saurai toujours si le fait réalisé rentre ou
ignage de mes sens. Si donc pendant une éclipse, on demande : fait-il
noir
? tout le monde répondra oui. Sans doute ceux-là
eux-là répondraient non qui parleraient une langue où clair se dirait
noir
et où noir se dirait clair. Mais quelle importanc
ndraient non qui parleraient une langue où clair se dirait noir et où
noir
se dirait clair. Mais quelle importance cela peut
st assuré qu’il va se livrer à d’extravagantes fanfaronnades. La robe
noire
du docteur apparaît-elle, on doit s’attendre à le
simplement une robe de chambre, comme on le voit. « Cette robe était
noire
. L’habit de dessous ou pourpoint était rouge dans
ssous ou pourpoint était rouge dans son institution. Cet habit devint
noir
, en signe de deuil, après la prise de Constantino
e de deuil, après la prise de Constantinople par les Turcs ; puis, le
noir
prévalut par habitude et fut le plus généralement
ent une robe qu’ils portaient dans l’École et par la ville. Le masque
noir
ne couvrait que le front et le nez de ce personna
, qui chantait l’amour et ses beautés visibles ; c’est, lui, un poète
noir
, qui chante ses épouvantes de l’invisible et qui
efuges, Les Spectres et Les Ténèbres. Comme on le voit, c’est le côté
noir
de la vie, réfléchi dans l’âme d’un poète qui l’a
irations. C’était aussi bête que de lui reprocher d’avoir des cheveux
noirs
… Si Shakespeare, que ces imbéciles admirent par l
ensible et même de la mort. D’ailleurs, dans la succession des génies
noirs
, on a plus noir maintenant et plus sépulcral que
e la mort. D’ailleurs, dans la succession des génies noirs, on a plus
noir
maintenant et plus sépulcral que Shakespeare. Nou
ous les trois, ils ont obéi à la fatalité du même génie, et ils l’ont
noir
, comme un autre pourrait l’avoir rose, sans que l
son auteur entre Edgar Poe et Baudelaire, mais qui est plus foncé en
noir
, plus lugubre, plus démoniaquement lugubre qu’eux
sible à l’élégance de son nouveau costume. Un habit écarlate à revers
noirs
, un gilet ventre de biche, des bas de soie blancs
il s’embarqua pour Madagascar, dans l’espérance d’y acheter quelques
noirs
et de revenir promptement ici former une habitati
u la seule dot d’une fille pauvre et honnête, la réputation. Un vieux
noir
, qu’elle avait acquis de quelques deniers emprunt
dus de leurs esclaves. Celui de Marguerite, appelé Domingue, était un
noir
iolof, encore robuste, quoique déjà sur l’âge. Il
n teint plus rembruni, son nez plus aquilin, et ses yeux, qui étaient
noirs
, auraient eu un peu de fierté, si les longs cils
tait un grand homme sec, olivâtre, aux yeux enfoncés, et aux sourcils
noirs
et joints. Virginie, tout émue, tenant Paul par l
s les plus misérables. Paul résolut d’allumer du feu à la manière des
noirs
. Avec l’angle d’une pierre, il fit un petit trou
e, ils aperçurent Domingue qui accourait à eux. À l’arrivée de ce bon
noir
, qui pleurait de joie, ils se mirent aussi à pleu
je suis vieux. » Comme il était dans cette perplexité, une troupe de
noirs
marrons se fit voir à vingt pas de là. Le chef de
rterons chez vous sur nos épaules. » Alors il fit un signe, et quatre
noirs
marrons des plus robustes firent aussitôt un bran
qui criaient: « Est-ce vous, mes enfants ? » Ils répondirent avec les
noirs
: « Oui, c’est nous » ; et bientôt ils aperçurent
jeuner de la maison, parce qu’elle mourait de faim ; et voilà que les
noirs
marrons nous ont ramenés. » Madame de la Tour emb
ans leurs cases avec leurs enfants, elles donnèrent bien à manger aux
noirs
marrons, qui s’en retournèrent dans leurs bois, e
né. Sur ses flancs bruns et humides, rayonnaient en étoiles vertes et
noires
de larges capillaires, et flottaient au gré des v
e la mer, le corbigeau et l’alouette marine ; et au haut des airs, la
noire
frégate, avec l’oiseau blanc du tropique, qui aba
nt de soldats armés de fusils, et d’un grand nombre d’habitants et de
noirs
. Il plaça les soldats sur le rivage, et leur ordo
eaux vides. On en vit arriver bientôt une foule, accompagnée de leurs
noirs
chargés de provisions et d’agrès, qui venaient de
an. Les nuages qu’on distinguait au zénith étaient à leur centre d’un
noir
affreux, et cuivrés sur leurs bords. L’air retent
mbre n’était qu’une vaste nappe d’écumes blanches, creusées de vagues
noires
et profondes. Ces écumes s’amassaient dans le fon
’avança en rugissant vers le vaisseau, qu’elle menaçait de ses flancs
noirs
et de ses sommets écumants. À cette terrible vue,
uand nous fûmes à l’entrée du vallon de la rivière des Lataniers, des
noirs
nous dirent que la mer jetait beaucoup de débris
grand soin de lui et de ces dames, nous dit que, pour le tirer de sa
noire
mélancolie, il fallait lui laisser faire tout ce
soit même l’hyène102 et, qui pis est, l’araignée (chez les Agni). Le
noir
qui a conçu les guinné comme semblables aux homme
, mange ou respire. Et ce n’est pas un mince titre à l’admiration des
noirs
. Qu’il figure dans les contes ou dans les fables,
t vainement une fable indigène analogue à La cigale et la fourmi. Les
noirs
y donneraient délibérément tort à la fourmi, tant
nture. Rien de plus naturel. Ces traditions ont été apportées par les
noirs
d’Afrique en Amérique. (Lapin est ici pour lièvre
tées debout et éclatantes, sans brisure et sans tache, sur les tentes
noires
et déchirées des Arabes, pour faire comprendre, a
oin du tombeau du poète-roi qui l’a si souvent chantée. Les hautes et
noires
terrasses qui portaient jadis le temple de Salomo
reille bouche ! À deux pas de cette femme, sous un morceau de toile
noire
soutenue par deux roseaux fichés en terre pour se
rvir de parasol, ses deux petits enfants jouaient avec trois esclaves
noirs
d’Abyssinie, accroupies comme leur maîtresse, sur
squ’aux enfans, ceux-ci se prenaient à pleurer, et les trois esclaves
noires
, après avoir répondu par un sanglot à celui de le
paisses et hautes de Jérusalem, j’entendais sortir par bouffées de la
noire
coupole du couvent grec les échos éloignés et aff
et les phases presque complètes de toute poésie : les trois esclaves
noires
berçant les enfants avec les chansons naïves et s
izon encore éloigné devant nous sur les derniers degrés des montagnes
noires
de l’Anti-Liban, un groupe immense de ruines jaun
rges carrières qui déchirent, comme des gorges de vallées, les flancs
noirs
de l’Anti-Liban, ouvraient déjà leurs abîmes sous
es et douces du pied des neiges et des cèdres qui formaient une tache
noire
sur ces neiges ; là elle se déroulait sur des pel
agne, et çà et là on apercevait ces maronites, vêtus de leur capuchon
noir
, qui rentraient du travail des champs, les uns av
le soleil tomba, les travaux du jour cessèrent, et toutes les figures
noires
répandues dans la vallée rentrèrent dans les grot
licat, si rebelle aux emprunts et si peu susceptible, au milieu de sa
noire
misère, d’un sentiment envieux, haineux pour les
ur deux rayons, un poêle en fonte, au pied duquel est aplati un chien
noir
dormant et ronflant. Et, à tout moment, les carre
a vie ne m’embêterait pas. 27 avril De l’ennui, de l’ennui plus
noir
, plus profond, plus intense, et nous nous y enfon
de la façon demoiselle, dont se colorient les figures dans la chambre
noire
, du contraste complet avec la manière de sentir e
corbeille de fleurs à celle que le Régent appelait mon petit corbeau
noir
, à la frêle jeune femme aux nerfs d’acier pour le
se, un pantalon noisette, une cravate blanche et un chapeau à cocarde
noire
. Il tombe d’Afrique, où il a mangé de la panthère
ay, plonge sur l’ingrat, en remuant à grand bruit un immense éventail
noir
, au milieu de rires ironiques. On marche l’un sur
urnier, qui se promène comme un fantôme, en cravate blanche, en habit
noir
, demandant nerveusement aux gens, si c’est un suc
gringolent sur le corps d’un petit escalier, et au bout d’un corridor
noir
, nous entrons dans une loge tout engorgée de mond
je ne sais quoi de militaire et, qu’on me passe le mot, de cravaté de
noir
, qui tranche bien sur le génie fastueux des litté
qu’un œil, à la façon des Péruviennes sous leur mantille, un seul œil
noir
, pénétrant, affilé, d’un rayon visuel qui, pour a
oge, il y est et il y reste imperturbablement le Stendhal du Rouge et
Noir
, de La Chartreuse de Parme, de l’Amour, de la Pei
ans le roman, mais bien dans la réalité) ce Julien Sorel (du Rouge et
Noir
) « au front bas et méchant » que les femmes, qui
et concise, M. P. Mérimée a gravé l’épitaphe de l’auteur de Rouge et
Noir
avec le couteau de Carmen. Mais, lorsque la creus
grands problèmes de la vie morale, pensé faux ! 7. Le Rouge et le
Noir
, La Chartreuse de Parme, Armance, etc.
s son pli rudement marqué entre les deux sourcils, yeux rentrés où le
noir
du crayon s’allume, joue rigide, regard attentif,
sprit plus grand que ses Sonnets, et son humour, à ce bizarre, ce vin
noir
comme le sang d’un cœur triste, finira peut-être
Métaux, — En train express, — L’Hydre aux sept têtes, — Les Papillons
noirs
, — et déjà, à ne considérer que ces grandes divis
e nous l’avons dit plus haut, le sombre à travers le brillant, le vin
noir
, l’absinthe glauque, le bitter plus amer encore e
u’il a toujours sur la pensée, et il n’y a pas que dans ses Papillons
noirs
que cette ombre terrible est projetée ! On la tro
mise en scène est bien faite. Rien de trop théâtral. L’homme en habit
noir
, et seulement, pour accessoires, deux grandes lou
re, tristesse, ennui, angoisse sourde, inquiétude, disposition à voir
noir
, supputation des mauvaises chances, travail d’écu
dentelle, vivant avec le lait, nécessaire pour nettoyer les dentelles
noires
. Une autre vieille femme se levant à quatre heure
femmes pris par une porte de salon, entre les épaules de deux habits
noirs
. L’une (la duchesse de M…), — une petite nymphe d
nt étroit, l’arc des sourcils remontant, le petit nez droit, les yeux
noirs
comme des diamants noirs, la bouche vaguement ent
cils remontant, le petit nez droit, les yeux noirs comme des diamants
noirs
, la bouche vaguement entrouverte dans un sourire
valescente, aux yeux demi-fermés, ne laissant voir que le petit point
noir
de sa pupille, à la bouche ouverte comme un cœur
ut, bas de race et de troisième catégorie. Elle est le matin, en jupe
noire
, en camisole blanche avec dessus un fichu jaune,
s têtes de femmes sont à demi masquées par un petit voile de dentelle
noire
, étroit comme un loup, et finissant au sourire qu
nte. Sur cette pâleur s’étale déchiquetée, une frise de petits nuages
noirs
, qui ressemblent à des découpures de chimères chi
rante de la poitrine, cette longue et maigre fille à l’éternelle robe
noire
: couple de moribonds s’appuyant l’un sur l’autre
re, faits par le pinceau de Watteau, et dans les petits taillis, tout
noirs
, un rayon sautillant en maigres zigzagures, coula
eux, sous le gaz qui leur frappe en plein le crâne, de grandes ombres
noires
emplissant le creux de leurs yeux, jouent automat
et un incessant croassement de corbeaux, enfermant le paysage dans le
noir
d’un deuil. On cause des sœurs qui soignent les m
du châtaignier. Hyeronimo me rappelait tant mon mari par ses boucles
noires
, sous son bonnet de laine brune ! Antonio ne pouv
rdée de mouches ? — Oui, lui répondais-je, avec des sourcils de duvet
noir
qui commencent à lui masquer un peu les yeux. — A
tête de la jeune fille, comme quoi ses cheveux moins bouclés étaient
noirs
comme les ailes de nos corneilles sur la première
dante sur une épaule ; son chapeau de feutre pointu, bordé d’un ruban
noir
, qui tombait sur son cou brun et qui s’y confonda
illes, avec des reliques, dansant sur son cou ; son corset de velours
noir
sur sa gorgère rouge et évasée, que son jeune sei
t sous la figure de ce capitaine des sbires et de ses amis, en habits
noirs
, derrière les arbres. LXXVII — Allons, mon
out bas. LXXX Un vieux petit pèlerin tout mince et tout vêtu de
noir
, d’un habit râpé avec un rabat mal blanchi autour
s et pour laver avec eux les toisons, un petit monsieur sec, mince et
noir
comme un homme de loi ou comme un huissier, entra
as voir ce qu’ils faisaient, tout cela nous fendait le cœur. L’avocat
noir
, mince et râpé, avec sa plume au chapeau, que mon
nt qui pourra lui plaire. Eh, eh, eh ! ajouta-t-il en passant sa main
noire
d’encre sous le menton de Fior d’Aliza tout en la
et nous restâmes tous les cinq sans nous dire un mot, jusqu’à la nuit
noire
, sur le seuil de notre porte. Chacun pensait, à p
ons. Ayant vécu depuis avec eux, j’ai reconnu qu’ils n’étaient pas si
noirs
qu’ils en avaient l’air, étaient assez bons diabl
son portefeuille se glisse dans les pages de la copie Ce beau chien
noir
et blanc que le héros tient en laisse est Freysch
, pour la première fois de sa vie fit un rôle bouffe, lui, le roi des
noires
terreurs et des épouvantements tragiques. Madame
quelque temps, un digne prêtre de ses amis. La présence de cette robe
noire
eût pu alarmer des tendresses inquiètes qui s’ach
marquée de petite vérole, sa cravate blanche empesée, son vaste habit
noir
et ses souliers à nœuds barbotants ; mais sa phra
ssus des arcades sourcilières ; les cheveux abondants, longs, durs et
noirs
, se rebroussaient en arrière comme une crinière l
comme celle d’un enfant ou d’une vierge, et enchâssait deux diamants
noirs
qu’éclairaient par instants de riches reflets d’o
des ciselures merveilleuses ; et derrière tout cela deux grands yeux
noirs
plus brillants que les pierreries. » Ces yeux ext
un enfant incapable. « Notre indépendance, nos occupations illicites,
noire
fainéantise apparente, l’engourdissement dans leq
ns si fertiles. La lampe brille comme une étoile au fond de la maison
noire
, la neige descend en silence sur les tuiles disjo
accoude aux tables grasses des gargotes infimes, les affuble d’habits
noirs
aux coutures grises, et ne craint pas de les envo
s de ces volumes un bouquin à physionomie sinistre, relié en maroquin
noir
, sans fers ni dorure, attira nos regards : « Pren
e pieds de tour en cachemire blanc, relevé par des bouffettes en soie
noire
et ponceau, disposées en losanges ; le dossier de
étoffe couleur ponceau, sur laquelle étaient dessinées des arabesques
noires
. Sous la mousseline, le ponceau devenait rose, co
Indes doublée de taffetas rose et ornés de franges ponceau mélangé de
noir
. Six bras en vermeil supportant chacun deux bougi
ubles étaient couverts en cachemire blanc, rehaussé par des agréments
noir
et ponceau. La pendule, les candélabres, tout éta
a vente des ananas encore en germe. La boutique devait être peinte en
noir
et rechampie de filets d’or, et porter sur son en
omparables, les fantasmagories bizarres qui dansaient dans la chambre
noire
de son cerveau. Nous ne saurions mieux comparer l
t pas de ruelle perdue, de passage infect, de rue étroite, boueuse et
noire
, qui ne devînt sous sa plume une eau-forte digne
la force. Balzac est plein de ces exagérations utiles, de ces traits
noirs
qui nourrissent et soutiennent le contour ; il im
cuivre représentant des têtes de renard, le pantalon à pied quadrillé
noir
et gris, enfoncé dans de gros souliers à oreilles
époque (1842) avec un léger arrangement. « Une tête superbe : cheveux
noirs
mélangés déjà de quelques cheveux blancs, des che
e, composé d’après des recettes économiques inventées par Balzac. Sur
noire
prière expresse, la fameuse purée d’oignons, doué
erçoit plus qu’un mince fragment de disque échancré par la silhouette
noire
des affûts brisés. Notre armée est, non pas vainc
mais d’une correction parfaite ; un nez légèrement aquilin, des yeux
noirs
à paupière souple et large, d’où s’échappaient de
flamboiements de lumière ; des cheveux fins, lustrés, brillants, d’un
noir
de jais et qui, comme ceux des Maltais, se tordai
isien a perdu une de ses vives étoiles qui scintillaient sur son azur
noir
d’un éclat infatigable, et que ce petit point bri
a moindre discussion ils s’illuminaient de vives étincelles. Un habit
noir
boutonné sur la poitrine, un pantalon de même cou
ant à lui personnellement, il était incapable de distinguer le brouet
noir
de Sparte du potage à la bisque. Il écoutait en e
néneuses. Ces plantes, aux feuillages bizarrement découpés, d’un vert
noir
ou minéralement glauque, comme si le sulfate de c
quelque chose d’inquiétant, de fatal et de morbide. Ses cheveux, d’un
noir
bleu, tranchent sinistrement sur sa peau, d’une p
ève vers un paradis artificiel que pour retomber bientôt dans un plus
noir
enfer. Baudelaire était un critique d’art d’une s
ns essayer de juger un grand poëte. C’est une témérité de notre part.
Noire
front n’atteint pas à ses pieds ; mais c’est d’en
et le vaisseau parti avec des voiles blanches revint avec des voiles
noires
, ramenant un cercueil. Irréparable deuil, éternel
bompoint délicat sur de petits os. Les visages olivâtres, les cheveux
noirs
étaient rares ; le Midi n’avait pas encore fait i
gneusement et en correcte tenue de gentleman. Mais des prunelles d’un
noir
énergique donnaient de l’accent à cette physionom
et variées des vitraux et des pierreries. Un jeune homme aux cheveux
noirs
frisés, aux joues pleines et vermeilles, aux lèvr
Nichol Anderson, le baleinier, nous ignorerions que Zeus, le dieu au
noir
sourcil et à la chevelure ambrosienne, est devenu
que fait la hache dans les bois sacrés, sur la moqueuse impiété et la
noire
ingratitude des mortels. — Hélas ! se disent-ils
tre ; il aime les femmes brunes aux sourcils arqués, aux cheveux d’un
noir
violet, au ferme profil syracusain ; l’héroïne de
nciens brocantés à vil prix, rue de Lappe, aux Auvergnats de la bande
noire
, avait quelque chose d’étrange et de fantastique
ir le talent et le caractère futur de chacun. Un jeune homme aux yeux
noirs
, aux cheveux ras, au teint cuivré, peignit sur un
ce, un peu courbé en bec d’oiseau de proie, s’unissait à des sourcils
noirs
extrêmement marqués. Les yeux, agrandis par la ma
uds de serpents boas, et ses touffes de feuilles métalliques dont les
noires
découpures font briller si vivement l’indigo du c
palmier dans l’implacable azur du ciel égyptien. Il n’aperçut pas le
noir
fourmillement des bourgeois dans nos rues crottée
s se détourner qu’un pèlerin musulman qui veut aller baiser la pierre
noire
à la Caaba. Nous allons tâcher de faire, avec ce
que carnation : l’un avait la peau rouge, puis à côté brune et encore
noire
. C’étaient les trois couches différentes, les res
e et qui ont sablé ces vastes contrées d’une teinte uniformément gris
noir
comme la peau raboteuse d’un crapaud ; toujours u
eu de cette désolation trois ou quatre mille chameaux blancs, roux et
noirs
mangeant gravement les herbes sèches et dispersés
tites taches ; un camp de Bédouins, composé de vingt ou trente tentes
noires
, toutes noires, en poil de chameau, agglomérées s
un camp de Bédouins, composé de vingt ou trente tentes noires, toutes
noires
, en poil de chameau, agglomérées sans ordre ; que
ant au sein de cette verdure ; des jardins couverts d’arbres épais et
noirs
, d’où s’élèvent comme autant d’aigrettes des mill
lant, jaillit de ce tas de maisons grisâtres, de ces rues étroites et
noires
où se remue un peuple sale quoique très-brillant
s de Marilhat et fus la cause indirecte de beaucoup de chefs-d’œuvre.
Noire
artiste, à qui M. Hugel avait proposé de faire le
aignent les dernières bandes de l’horizon, sur lequel se détachent en
noir
les colonnes sveltes et les élégants chapiteaux d
le d’or, c’est le simple ruban rouge qui se noue en rosette à l’habit
noir
, c’est le noble triomphe sur les rivaux et sur le
bey de Constantine étaient ses amis. Aussi, un Arabe en grand burnous
noir
, à la chachia retenue par des cordelettes en poil
ion athlétique, sa face puissamment modelée, ses cheveux abondants et
noirs
, où peu de fils argentés se montraient, ses dents
peu de fils argentés se montraient, ses dents superbes, ses yeux d’un
noir
brillant, pleins de vie et d’intelligence, faisai
rière sa servante au pas alourdi. Sous un ciel épais comme l’ivresse,
noir
comme la mort, et que zèbrent à sa portion inféri
s vingt-quatre ans sont très-fermement accentués ; les cheveux, d’un
noir
énergique, se séparent sur le front en boucles mo
si vivace, si âpre, si robuste, qui semble vous suivre de son regard
noir
, obstiné et profond. C’est un de ces portraits in
tout de suite, et les deux cadres reproduits en estampes à la manière
noire
forment pendants sur les murs de plus d’un salon
solue : le maître apparaît. Le Strafford afflige l’œil par l’abus des
noirs
, qui ont un fâcheux ton de cirage : les coloriste
que possible. Van Dyck a très-souvent peint des personnages vêtus de
noir
, sans tomber dans cet excès ; il évite cette nuan
e. La reine Marie-Antoinette à la Conciergerie pèche par cet abus de
noir
, dont nous parlions tout à l’heure. Le noir, comm
rie pèche par cet abus de noir, dont nous parlions tout à l’heure. Le
noir
, comme le rouge, comme le vert, comme le bleu, co
mi éclairée ; il a rejeté son capuchon en arrière : les boucles de sa
noire
chevelure retombent en désordre sur son front pâl
ésordre sur son front pâle qu’on dirait entouré des serpents les plus
noirs
dont la Gorgone ait jamais ceint sa tête, car il
r ne pouvait abdiquer son âme. Francesca et Paolo passant sur le fond
noir
de l’enfer comme deux colombes blessées, saisiren
ns, et on l’eût cru beaucoup plus jeune, à voir son épaisse chevelure
noire
où pas un fil d’argent ne s’était glissé encore,
poitrine, échancre ou boutonne un gilet, lustre ou hérisse la peluche
noire
d’un chapeau de soie, chausse les gants ou les bo
t des élégances modernes. Il ne travaillait qu’en jaquette de velours
noir
, pantalon à pied de la meilleure coupe, fine chem
arisiens de Gavarni. Personne mieux que Gavarni n’a su poser un habit
noir
sur un corps moderne, et ce n’est pas là chose fa
c son teint olivâtre, ses grands yeux nostalgiques, ses longs cheveux
noirs
, sa barbe épaisse et brune, son air profondément
rtout, c’étaient ces belles filles au teint hâlé, aux yeux de diamant
noir
, d’une grâce étrange et farouche, aux formes svel
de têtes italiennes d’une morbidesse délicieuse avec ces grands yeux
noirs
passionnément morts, et ces lèvres arquées par un
é avec une pureté et une finesse incomparables, s’étend sur deux yeux
noirs
pleins de flammes et d’éclairs tragiques ; le nez
le grec, couronne lumineusement cette délicieuse figure ; des cheveux
noirs
abondants, d’un reflet admirable, en font ressort
es belles danseuses ioniennes qui voltigent si légèrement sur le fond
noir
des vases étrusques et des fresques d’Herculanum
es d’Herculanum ; mademoiselle Georges est une Melpomène antique, œil
noir
faisant tache sur une face de marbre : mademoisel
oitant. …… On dirait, à les voir,Une jeune guerrière avec son casque
noir
. La lumière frissonne en reflets métalliques et
able ; une pénombre fauve sert de transition entre sa blancheur et le
noir
de ses cheveux. Elle nous a fait penser à un pass
nce du col ; cette nuque aux tons chauds et vivaces, ces cheveux d’un
noir
d’enfer, toute cette insolence et ce luxe de sant
qu’elle a un vrai pied d’Andalouse et de comtesse. Le domino de satin
noir
, le costume aragonais, et le voile d’abbesse lui
assion ; les yeux surtout sont parfaitement beaux ; des sourcils d’un
noir
velouté, d’une courbure orientale, se joignent pr
roitier à son voisin On m’a dit qu’elle avait une chambre en velours
noir
. Elle va à l’église, etc., etc. C’est ainsi que l
, de la tapisserie et des porcelaines. Nous n’y avons pas vu de voile
noir
, de poison Borgia, de lame de Tolède, ni de style
je viens de vous faire : il est impossible de rendre avec de l’encre
noire
ce blond, cette fraîcheur, ce rose des lèvres et
; elles sentent l’eau, qui ne garde aucun pli, monter silencieuse et
noire
autour du piédestal que l’amour des contemporains
et nous avons la chance que, dans cent ans, quelque jeune fille ouvre
noire
volume poudreux et sente tressaillir son cœur aux
mour et reproduisaient comme un type de perfection ce masque aux yeux
noirs
, détaché de la face même de Melpomène ! Quel beau
ent dans son pourpoint sombre, moelleux et velouté, comme la panthère
noire
de Java, se rasant ventre contre terre pour s’éla
à ces portraits de bouffons de la cour d’Espagne, livides et vêtus de
noir
, peints par Velasquez. Quelque mérite qu’il ait d
lemagne dans cette chaude et rayonnante atmosphère sous le feu de ces
noires
prunelles chargées d’amour et de lumière, dans ce
votre cravate ; — monsieur Bidault, allez me chercher votre pantalon
noir
des dimanches ! (Silence et stupéfaction.) Insens
rdot parle le langage de la raison. Je m’en vais chercher le pantalon
noir
. (Exit. Nichot et Cascaret dépouillent leur palet
oui… mais j’aurai mes trois robes ? Bidault rentre avec le pantalon
noir
, dont s’empare Saturet. Saturet. Dieu vous
IV Bidault, se levant tout à coup. Ah ! mon Dieu ! le pantalon
noir
! Moi qui ai cousu dans la ceinture mes trois obl
lare au congrès qu’aucun Américain du Nord ne voudrait reconnaître un
noir
pour son frère ou pour son parent, que lui-même p
ain il la méprise et la répudie avec tous ses compatriotes. Ainsi les
noirs
, qui seraient tenus hors la loi des marchés à New
n qui prétend faire la guerre au Sud pour la liberté et l’égalité des
noirs
! On connaît leur liberté et leur égalité à leurs
ort et l’indépendance ! N’est-ce pas vous dire assez que la cause des
noirs
n’est que le prétexte de la guerre au Sud, mais q
d, mais que le vrai motif est la ruine jalouse du Sud dont le capital
noir
, la culture du coton, la marine entière et le com
ière de ce peuple du nivellement ? Aussi, voyez ! les six millions de
noirs
du Sud ne s’y trompent pas : ils n’hésitent pas e
ore, un des zélés promoteurs de l’affranchissement avec indemnité des
noirs
dans nos colonies. J’ai eu le bonheur de signer e
e premier jour, en 1833, où je fus admis dans la Société des amis des
noirs
, société de vertueux et honnêtes citoyens, je dem
endra son revenu, et, le revenu supprimé, que deviendra le salaire du
noir
? Tout sera taxé à la fois, et il ne restera qu’à
ra taxé à la fois, et il ne restera qu’à livrer le blanc à la faim du
noir
! Le noir égorgera et dévorera le blanc ; c’est l
la fois, et il ne restera qu’à livrer le blanc à la faim du noir ! Le
noir
égorgera et dévorera le blanc ; c’est la révoluti
ares et pleins de justesse, de modération et de feu. De longs cheveux
noirs
et ondés se partageaient naturellement sur des te
de mousse, bizarres retraites des mouettes et des cormorans aux ailes
noires
. Je préférais ces abris solitaires aux plafonds d
s de la salle du trône de Darius, avec ces troublantes silhouettes de
noirs
guerriers de profil, aux yeux de face, à la barbe
t ouverte, je m’apercevais que le landau était attelé de huit cochons
noirs
, qu’avec de grandes guides, et un peu à la façon
. Le chanoine de Lyon qui lui a donné des renseignements sur la messe
noire
, dit-il, lui a écrit que ces choses devaient lui
. Lundi 23 mars Le raccrochage sur les quais l’hiver. Une femme
noire
, immobilisée par le froid, sous un ciel, où la lu
ce d’argent trouvée dans le papier, et son interrogation de la maison
noire
et silencieuse, et les coups de casquette saluant
lairée à giorno, la comtesse arrive bientôt décolletée, dans une robe
noire
, aux espèces d’ailes volantes derrière elle, et c
ilier d’un autre siècle, l’ovale délicat de son pâle visage, ses yeux
noirs
doux et profonds, la sveltesse de sa personne lon
au bossuage du front, à la linéature indécise des paupières autour du
noir
souriant de vives prunelles, aux petits trous d’o
de son dos pareilles à de l’écaille blonde, semée çà et là, de ronds
noirs
semblables à des armoiries de shoguns japonais, t
t jaillir le dardement de sa petite langue fourchue, au scintillement
noir
, du noir d’une sangsue. Puis, alors commence la r
le dardement de sa petite langue fourchue, au scintillement noir, du
noir
d’une sangsue. Puis, alors commence la recherche
ndormements, où il n’y a d’éveillé en lui, que le petit scintillement
noir
de sa langue fourchue : cela au milieu du resserr
rès l’idéal de beauté rêvé par ce peuple : la femme ayant les cheveux
noirs
, du noir de la laque dont ils sont faits, et le v
l de beauté rêvé par ce peuple : la femme ayant les cheveux noirs, du
noir
de la laque dont ils sont faits, et le visage cis
Whistler est en train de faire deux portraits de lui : l’un en habit
noir
avec une fourrure sous le bras, l’autre en grand
ues, à la chevelure pareille à celle de la fille de Seti II, dont le
noir
des cheveux était le noir de la nuit , vêtues d’u
le à celle de la fille de Seti II, dont le noir des cheveux était le
noir
de la nuit , vêtues d’une robe-chemise ouverte en
bre d’ennemis à quarante ans, et est presque assuré de plus de boules
noires
qu’il n’en faut pour être refusé. Jeudi 27 aoû
de l’impressionnisme, toutes les écoles de peinture de l’Europe sont
noires
, sauf la peinture française au xviiie siècle, et
et l’équilibre perdu que tes esprits s’agitent. On veut échapper à la
noire
incertitude, au cauchemar du présent. Mais, tandi
omme sorcier, et encore moins le névrosé Huysmans, chantre des messes
noires
, ou le vociférateur Léon Bloy. Ce n’est pas même
tanislas de Guaita publie chez Lemerre deux volumes de vers : La Muse
Noire
(1883), Rosa Mystica (1885), vers jeunes et inexp
encontrait aussi Paul Adam, le poète Albert Jhouney, l’auteur des Lys
noirs
, car tout est noir chez ces adeptes de la clarté,
l Adam, le poète Albert Jhouney, l’auteur des Lys noirs, car tout est
noir
chez ces adeptes de la clarté, Édouard Dubus, Vic
sorcellerie, qu’on l’accuse d’avoir pris part à l’affaire des messes
noires
, au temps de la Montespan, ce qui lui valut la di
rme, simple, et pourtant convenable. La mère portait une robe de soie
noire
, et les trois jeunes filles portaient de plus sur
rillaient comme une rosée de printemps au bout des mèches des cheveux
noirs
ou blonds des jeunes personnes, et quelques tache
fromage de gruyère tout ruisselant de pleurs et des grappes de raisin
noir
et blanc qui n’avaient pas encore perdu leur fleu
ur chante la messe. Un peu plus loin, vous voyez de grosses montagnes
noires
où il n’y a plus de passage pour les yeux, ce son
rie basses d’un côté, un long bâtiment à couvert en dalles de pierres
noires
vieilles comme le temps, très-basses et sur lesqu
me, occupées à déchiffrer et à copier des lambeaux de notes au crayon
noir
à moitié effacées sur le plâtre blanc des muraill
chêne ou d’un poirier sauvage, ou près d’une source entre des pierres
noires
, sous un large châtaignier. Nous buvions un peu d
e voyions toujours rien devant nous qu’une haute chaîne de montagnes,
noire
de forêts ; mais ni église, ni château, ni villag
poules nichaient aussi dans la chambre ; ils mangeaient un peu de blé
noir
que la pauvre fille semait autour de la cabane et
belle pièce d’eau réfléchit dans une onde qui, limitée, fait paraître
noirs
à force d’être limpide le ciel et les feuilles. N
mme pour chercher le soleil. On ne regarde pas sans terreur les flots
noirs
du ruisseau encaissé qui baigne les racines, leur
déjà connu est toujours le Narcisse éternel qui a chanté ses cheveux
noirs
, qui va chanter les blancs, qui palpite pour lui
urai pas mis sur sa bière un flambeau Et que je n’aurai pas devant ce
noir
tombeau Fait asseoir une strophe sombre.
ière ces blocs naquit la sombre nuit. Le mal, c’est la matière, Arbre
noir
, fatal fruit !!! L’arbre noir, c’est l’intellige
nuit. Le mal, c’est la matière, Arbre noir, fatal fruit !!! L’arbre
noir
, c’est l’intelligence qui a pensé, non ! mais exp
isseler le pressoir. Ténèbres ! l’univers est hagard ! Chaque soir Le
noir
horizon monte, et la nuit noire tombe. Tous deux
l’univers est hagard ! Chaque soir Le noir horizon monte, et la nuit
noire
tombe. Tous deux à l’Occident, d’un mouvement de
insondables Et se transfigurer, Des étoiles éclore aux trous
noirs
de leurs crânes, Dieu juste ! et, par degrés deve
vers ne sont pas de vains flocons d’écume, Si ta strophe n’est pas un
noir
tison qui fume Sur le tas de cendres Néan
L’homme devoir, Le souffle des douleurs, la bouche Du clairon
noir
! Le songeur ailé, l’âpre athlète Aux br
vide, Gouffres ouverts, Que garde la meute livide Des
noirs
éclairs ! Des éclairs noirs ! Il en a vu ! Jusq
s, Que garde la meute livide Des noirs éclairs ! Des éclairs
noirs
! Il en a vu ! Jusqu’aux portes visionnaires Du
mèrent très haut le sortilège bu Dans le flot sans honneur de quelque
noir
mélange Du sol et de la nue hostiles ô grief Si
n désastre obscur Que ce granit du moins montre à jamais sa borne Aux
noirs
vols du Blasphème épars dans le futur Qu’est-ce
les blasphèmes futurs des ennemis du poète viendront briser leur vol
noir
. » C’est fort mal traduit, et pourtant j’ai fait
la journée d’hier, moitié à l’église, moitié au cimetière, parmi les
noires
tentures et les tristesses des musiques de la mor
oème du blanc frileux et du blanc tiède, au premier plan, rien que la
noire
tache d’un plateau de laque, sur laquelle pose un
res, cherchant, parfois à s’en aller de là, mais revenant toujours au
noir
sujet. Daudet dit, que c’est une persécution chez
illent des femmes enceintes… des Callot, quoi… ce serait d’un comique
noir
… par là-dessus, si on trouvait une mère prise dan
met jamais de poudre de riz à ses épaules, et se frotte à votre habit
noir
, en travaillant à vous incendier doucement. Et co
e dit l’un d’eux, quand j’étais tout petit, une fois qu’on m’a mis en
noir
, ce noir, je l’ai porté toute mon enfance. » M
n d’eux, quand j’étais tout petit, une fois qu’on m’a mis en noir, ce
noir
, je l’ai porté toute mon enfance. » Mercredi 1
umerie d’autrefois. Et je reste des heures en contemplation devant le
noir
de l’eau-forte de Seymour Haden intitulée : (A su
Ireland) Coucher de soleil en Irlande ; — en contemplation devant le
noir
de ce bois, au bord de l’eau, sous le crépuscule,
t le noir de ce bois, au bord de l’eau, sous le crépuscule, devant ce
noir
de Rembrandt que lui seul de tous les aquafortist
que lui seul de tous les aquafortistes modernes a retrouvé, devant ce
noir
qui a quelque chose de la grasse nuit d’un dessin
, une physionomie tourmentée, et avec cela, la peau et les cheveux du
noir
d’un corbeau. Il vient faire une pointe sèche d’a
ués sur le front, et rejetés derrière les oreilles, et de petits yeux
noirs
, comme des pépins de poire, dans une figure pâlot
a faite à la porte, d’un neveu de Périer. L’église était complètement
noire
, mais à la lueur d’une allumette qu’il a allumée,
la mode des couleurs esthètes. Aujourd’hui toutes les femmes sont en
noir
, avec au dos des pèlerines ruchées, de petits col
la figure, quand elles sont brunes, comme de deux bandes de taffetas
noir
; mais qu’elles soient brunes ou blondes, leur do
d’un seul coup d’œil, si son nom y est. Dimanche 29 avril Cette
noire
envie produite par la détention de l’argent, chez
es tons, le bleu cru du fond, le jaune, le rouge franc des robes, les
noirs
d’ombre nocturne, en pleine figure. Dans les obje
Exposition des Champs-Élysées. Ah ! la pauvre peinture, ou durement
noire
ou fadement porcelainée… Oui, je n’ai remarqué qu
oment, de la perte de la mémoire, et, comme il le dit, d’un trou tout
noir
, se faisant dans le souvenir. Samedi 4 août
erfs, dans l’immobilité. Puis l’obscurité, et le cirque tout tendu de
noir
, et un cheval de l’Érèbe, sur lequel se tient deb
. Un ciel gros bleu, traversé de nuages, qui ressemblent à des fumées
noires
d’industries ; dans le haut du ciel, la lumière é
autour des portes, des fenêtres, des corps de bibliothèque peints en
noir
, et sur le parquet, un tapis ponceau, semé de des
n déboulement, ventre à terre, du haut d’une colline, pareil au nuage
noir
d’un orage, est traité avec une furia de travail,
ans un marbre rouge (appelé là-bas crête-de-coq), sur un pied de bois
noir
, aux stries des vagues de la mer, et au couvercle
marquables eaux-fortes modernes, et où Seymour Haden, qui retrouva le
noir
velouté de Rembrandt, a pour ainsi dire, imprimé,
cure-dent, où le trait avachi du dessin est rendu par des pâtés d’un
noir
sans éclatements. Dans la grande pièce, sur les d
de mon frère, précieusement dessiné par Popelin, dans l’or de l’émail
noir
. C’est une Histoire de Marie-Antoinette, dont la
ailles coloriées, où des fleurs et des poissons ressortent si bien du
noir
glacé de la laque ; — un bas-relief composé d’un
e lune, fait d’une plaque d’argent, brille au milieu des aiguilles du
noir
branchage verticillé d’un sapin. La cheminée port
la gouache par Jacques Blanche (1895), sur un exemplaire : Le Trèfle
noir
. Edmond de Goncourt, peint à l’huile par Carrière
s la gravure sera bien loin de compte. Le paralytique est sec, dur et
noir
. La jeune fille a perdu sa finesse et sa grâce ;
e charbonnée, caractères manqués, rien de l’effet du tableau ; ponsif
noir
, étalé sur un morceau de fer blanc.
e est un suaire. C’est une dame dont : … Les cheveux si longs, plus
noirs
que le remords, Retombaient mollement sur son viv
efuges, Les Spectres et Les Ténèbres. Comme on le voit, c’est le côté
noir
de la vie, réfléchi dans l’âme d’un poète qui l’a
irations. C’était aussi bête que de lui reprocher d’avoir les cheveux
noirs
… Le démoniaque dans le talent, voilà ce qu’est M.
u plus criard bariolage de couleur locale : ce ne sont souvent que de
noirs
ou extravagants mélodrames, mis en forme narrativ
pes, où sont rendues, avec de saisissantes oppositions de blanc et de
noir
, des scènes tour à tour amusantes, fantastiques o
es truands : plus vivante est la ville même, le Paris du xve siècle,
noir
, infect, fourmillant, curieusement ressuscité dan
rtaine, mais qui du moins est une évocation prestigieuse. Le Rouge et
Noir
(1831), la Chartreuse de Parme (1839) et diverses
s dettes et vivre, Balzac dut produire incessamment. « On met bien du
noir
sur du blanc en douze heures, petite sœur, écriva
usine Bette, une vieille fille de la campagne, sèche, brune, aux yeux
noirs
et durs. Tout le détail sensible du roman, descri
t qu’aucun Français. On est moins dérouté quand on lit le Rouge et le
Noir
. Cette fois nous sommes en France, et nous reconn
init parfois sur l’échafaud, comme Julien Sorel, le héros de Rouge et
Noir
, un caractère d’une autre envergure que tous les
peare ; en 1827, Armance, son premier roman ; en 1831, le Rouge et le
Noir
; en 1838, les Mémoires d’un touriste ; en 1839,
ns. Et encore les derniers mois de sa vie, étaient empoisonnés par de
noirs
soucis de famille, et de terribles affaires d’arg
rands cheveux filasse, — lui maintenant si brun ; — une petite blouse
noire
à pois blancs. Il se rappelle aussi quand tout pe
our la première fois. Chez Sandeau, chez le romancier aux petits yeux
noirs
, dans des carnations grises, délavées, comme pass
noirci par la lumière du gaz ; aux portes et aux plinthes peintes en
noir
, dans des encadrements dorés, aux murs tendus de
rose, avec des yeux bleus, des cheveux blonds frisés, des moustaches
noires
: un mannequin à cravate blanche et à gants jaune
e figure tiraillée, et le perpétuel secouement nerveux de ses cheveux
noirs
. Vendredi 15 juin Aujourd’hui, j’étais allé
t sa mort future, termine par cette phrase : « J’ai commandé une robe
noire
, que je porterai, si je ne suis pas en province…
si je ne suis pas en province… vous concevez, à Paris, n’être pas en
noir
… moi, ce serait ridicule. » Mardi 17 juillet
mans, que les enfants inventent, et jouent tout seuls, dans des coins
noirs
de chambre. Ces jours-ci, à propos de l’article m
61-1897) [Bibliographie] Ciseaux de passage (1881). — La Muse
noire
(1883). — Rosa mystica (1885). OPINION. R
— Rosa mystica (1885). OPINION. Rodolphe Darzens La Muse
noire
, recueil comprenant des poèmes d’un rythme sur qu
a que la patte — et ce qu’a représenté au milieu du tout petit disque
noir
le ciseleur, le savez-vous ? — c’est dans la dama
de deux morceaux de bambou représentait des jeux d’enfants gravés en
noir
sur le jaune fauve du bois, des jeux d’enfants n’
matin), dans une tourmente de neige, les conjurés, vêtus d’un surtout
noir
et blanc pour se reconnaître, et en dessous de to
, où est imprimé, en couleur, un guerrier au casque bleu, au vêtement
noir
et blanc doublé de bleu, la tête baissée, les deu
rs un clair-obscur sublime, et il ne doit pas s’en désoler. Les fonds
noirs
vont bien aux têtes de génie, et leur plus belle
é, entrevu, presque caché, — non pas seulement dans une petite maison
noire
d’une rue noire de Rouen mais dans la silencieuse
que caché, — non pas seulement dans une petite maison noire d’une rue
noire
de Rouen mais dans la silencieuse fierté de son c
se ferme plus que quand le cercueil se ferme sur nous. Cette calotte
noire
de Corneille qui couvre tout dans son siècle, a d
e ne sais quoi de militaire et, qu’on me passe le mot ! de cravaté de
noir
, qui tranche bien sur le génie fastueux des litté
qu’un œil, à la façon des Péruviennes sous leur mantille, un seul œil
noir
, pénétrant, affilé, d’un rayon visuel qui, pour a
oge, il y est et il y reste imperturbablement le Stendhal du Rouge et
Noir
, de la Chartreuse de Parme, de l’Amour, de la Pei
dans le roman mais bien dans la réalité) ce Julien Sorel (du Rouge et
Noir
) « au front bas et méchant », que les femmes, qui
t concise, Prosper Mérimée a gravé l’épitaphe de l’auteur du Rouge et
Noir
avec le couteau de Carmen. Mais lorsque la creuse
e, la tête raide et de côté ; un nez de vautour, trois grandes taches
noires
, par le nez et la face, comme des coups d’ongle d
r un enfant du géant de la troupe. 16 octobre Jours gris. Jours
noirs
. Refus, échecs à droite, à gauche, et du haut en
s vous introduit dans une salle à manger, où sont encadrées, sur fond
noir
, des mains découpées sur du papier blanc et ponct
s portraits de Frédéric Soulié ; il est en robe de chambre de velours
noir
, aux grandes manches pendantes d’astrologue. La c
ours noir, aux grandes manches pendantes d’astrologue. La chambre est
noire
ou à peu près, avec un jour venant du haut de la
es, mais bourgeoisement monstrueuses, et peinturlurées brutalement de
noir
et de vilain rouge, et mettant à ces images de la
ailleur auvergnat qui demeure rue de l’École-Polytechnique. Un antre
noir
, bondé de débris de voitures, de harnais pourris,
s, et perpétuellement souriant dans sa blouse bleue, sous son chapeau
noir
à haute forme. Eh bien ! ce misérable ferrailleur
s publiés dans divers journaux parisiens, principalement dans le Chat
Noir
. Tout le monde connaît le cabaret célèbre de ce n
e mes contemporains. C’est le principal mérite de mes travaux au Chat
Noir
, et le seul dont je croie pouvoir m’enorgueillir.
ns, mon brave Salis. Je me devais à moi-même, comme rédacteur du Chat
Noir
, de mettre beaucoup de folies sur un atome de vér
r ne s’en doute pas, ou s’il s’en doute, il n’y paraît guère. Le Chat
noir
a trop d’esprit dans sa robe lustrée et sa grâce
r ? Cet homme sinistre s’attarde-t-il à dévorer des cadavres sous les
noirs
cyprès du cimetière romantique ? Il faudrait en f
novembre 1883. Le Gentilhomme Cabaretier L’autre jour, au Chat
Noir
, un monsieur qui est dans les tunnels et les télé
ement Rodolphe Salis, le Gentilhomme Cabaretier, le fondateur du Chat
Noir
, journal et cabaret tout ensemble, cabaret où l’o
de carreau, traîtreusement assassiné. Qu’importe ! le cabaret du Chat
Noir
, fondé depuis deux ans à peine, endroit singulier
te spéculation industrielle d’un genre quelconque. Le journal le Chat
Noir
a été fondé en même temps que le cabaret, héroïqu
oble et très digne qu’on se passionne pour celui qui le fait. Le Chat
Noir
est actuellement le seul journal où la vérité cru
as père et fils ne se sont pas contentés de nous prouver l’égalité du
noir
et du blanc ; ils ont daigné nous démontrer la su
et du blanc ; ils ont daigné nous démontrer la supériorité absolue du
noir
sur le blanc. Désormais, on est tenu de se persua
scepticisme, qui s’appelle pour un vain peuple : « le Cabaret du Chat
Noir
». L’oncle Watteau a laissé à ce neveu, en même t
ces d’une synthèse psychologique dont les merveilleux dessins du Chat
Noir
attestent, depuis deux ans, l’ascendant effort.
mplètement à ce tourbillon des Stymphalides de la Chrétienté, à cette
noire
nuée d’oiseaux consumés et impudiques qui planaie
si c’est un régal ? Voici la fresque de Willette, au cabaret du Chat
Noir
. Une nuit claire et neigeuse. Un moulin aux ailes
u, mais, combien changé ! Il a troqué son sac à farine contre l’habit
noir
et, par-dessous cet infâme habit, il a mis la fla
rt de Déplaire, ou le scalp critique Le rédacteur en chef du Chat
Noir
, Émile Goudeau, l’irascible contempteur des fureu
ps et je ne me suis habillé d’une façon décente qu’en entrant au Chat
Noir
. On fera là-dessus toutes les plaisanteries qu’on
is Nicolardot, subsiste toujours, — par bonheur. La rédaction du Chat
Noir
avait donc prié son démolisseur de lui étaler cet
re et s’exaspérant au souvenir de divers actes d’ingratitude plus que
noire
, débordant d’une verve terrible, il lança sur lui
t rempli tout le ciel ou comme une avalanche de dômes d’or sur l’azur
noir
d’un firmament oriental. En bas, les notes claire
s’y baigne avec délices, il s’y plonge, il s’y vautre comme un cochon
noir
. Il fait avec les entrailles maternelles ce que R
etier-journaliste et il devint cet étonnant rédacteur en chef du Chat
Noir
, à la verve redoutée, qui offre, depuis deux ans,
oyable sans Règle et sans Christ, pour qui le vaste ciel est tendu de
noir
et qui remplace par une procession de spectres to
aujourd’hui, c’est bien impossible. Nous devenons très sales au Chat
Noir
, nous commençons à fermenter et il est tout à fai
uceur de moudre le genre humain. J’ai donc des amis, mes amis du Chat
Noir
, et ce sont de bien jolis garçons. Ils viennent d
a le triste cœur de le faire. L’un de mes plus longs articles au Chat
Noir
et l’un de ceux que j’ai faits avec le plus d’amo
e Nuremberg Le morceau qu’on va lire n’a jamais appartenu au Chat
Noir
, non plus que l’étude sur Louis Veuillot. Le Savo
Antigone, etc., mâles et femelles à faire blanchir d’horreur un bison
noir
, c’est la progéniture adorée de ses entrailles, s
écrépitude littéraire. Je le remercie chaleureusement, au nom du Chat
Noir
, de m’avoir donné la douche Coligny qui m’a fort
lle est une victime, qu’elle galvaude, dans le voisinage des « hommes
noirs
», sa belle jeunesse qui serait si saintement emp
. J’offre d’abandonner mes appointements annuels de rédacteur du Chat
Noir
à la personne qui m’en apportera un seul n’ayant
loire est Émile Goudeau, poète fameux des Fleurs du bitume et du Chat
noir
, conquérant ironique des trottoirs de la Pentapol
poésie contemplative du Moyen Âge et qui s’est abattue comme un cygne
noir
mélodieux sur le cœur de ce poète moderne qui cha
espoir d’en être dépossédés. On se souvient de Pascal, ce grand aigle
noir
à deux têtes de la poésie, l’une pour regarder l’
ais tout affaibli qu’il est par la perte de son sang, on sent dans le
noir
de son œil, la volonté de se rebattre un jour. *
cette année même. Oui, dans Henriette Maréchal, le Monsieur en habit
noir
dit à Mme Maréchal, pour la détourner d’aller dan
il m’annonce qu’on regarde le pauvre garçon, comme perdu. Empli d’une
noire
tristesse, je continue ma route, cherchant lâchem
nions d’une autorité presque égale, dont l’une dit blanc, l’autre dit
noir
, et les notions de tout, confuses, incertaines, e
t à mon ancienne adorée, c’est une bien portante bourgeoise, aux yeux
noirs
d’Espagnole encore pleins de jeunesse, aux dents
ilence comme maladif, se met au dessert, à manger du Bossuet, sa bête
noire
, Bossuet chez lequel il ne trouve que de la facon
crit l’effet que lui avait fait à lui, accoutumé aux arbres d’un vert
noir
, aux rivières de la Provence roulant de la poussi
ir à côté de Paulin Ménier. Il est là la figure tirée, trahissant une
noire
tristesse, sous la tenue correcte d’un vieux gent
eille dame toquée, où il y avait des mannequins de messieurs en habit
noir
, et en cravate blanche, qu’on devait épousseter e
ir illuminée de lumière, m’ont paru bien tristes, bien blafards, bien
noirs
, et d’un artifice d’art bien surfait. Cette human
ile, avec l’admirable torse du damné verdâtre, flottant sur les ondes
noires
. Un étonnant paysage de Rousseau : le Marais dans
n des paroles mélancoliques. Zola a commencé un des tableaux les plus
noirs
de sa jeunesse, des amertumes de sa vie de tous l
âssis d’un graveur, au milieu de ces tables recouvertes d’un maroquin
noir
, parmi ces messieurs décorés penchés sur des roul
e à vif, passant à tout moment l’envers de son petit doigt, chargé de
noir
, pour se rendre compte de son travail, cherchant
i doit une partie de sa notoriété à sa gnognonnerie, un homme tout en
noir
, avec des dents recourbées en défense, et un rogn
sur les deux grandes tribunes en espalier, sont étagés, dans du drap
noir
, les membres de toutes les académies. Le soleil,
se sont allongés, en les courbes tombantes d’un fer à cheval, et une
noire
tristesse s’est amoncelée sur tous les fronts. Ic
ur les pommettes. J’ai vu un autre académicien, en calotte de velours
noir
, enterré dans un cache-nez de cocher, et ganté de
enant plus intenses à mesure qu’elles s’éloignent… Là, des bonshommes
noirs
ou bleus… il est très rare de rencontrer une note
mélancoliques ateliers vitrés, et de petits jardins plantés d’arbres
noirs
, dont les racines poussent dans des conduits de g
tat de notre pauvre ami, qui, — il vient de l’avouer, — à la suite de
noires
mélancolies, se laisse aller à des accès de larme
et allait rendre visite à un ami qu’il avait quitté, les cheveux tout
noirs
. Au moment où il entrait, il voyait comme une per
, en manches de chemise, et en pantalon gris perle décoré d’une bande
noire
, devant une de ces anciennes toilettes, au grand
toyantes, riant dans le rouge de la pièce, sous ce plafond de velours
noir
, où des chiens de Fô s’attaquent dans un champ de
a fait, pour la première fois, son apparition. C’est un monsieur, au
noir
de la barbe rasée d’un prêtre du Midi, aux longs
me, toute charmante, d’une grâce séductrice. Une toilette entièrement
noire
, gants, robe, grand manteau à deux pèlerines, cap
ui resta intacte, mais dont le bleu de roi fut changé en le plus beau
noir
du monde : tasse qui fut offerte au Musée de Sèvr
de perles était aussi intact, mais les perles étaient devenues toutes
noires
, et chose curieuse, toutes noires qu’elles étaien
les perles étaient devenues toutes noires, et chose curieuse, toutes
noires
qu’elles étaient, avaient conservé leur orient. E
ville du monde. Et les petites portes basses, et les petits escaliers
noirs
, et les petites chambrettes, qui sont plutôt des
upés ras sur un crâne, qui a l’air d’une lande. Pas de gilet. Chemise
noire
aux bouquets de roses jaunes, serrée aux hanches
unes, serrée aux hanches par une large ceinture, et sur cette chemise
noire
, un veston et un pantalon de flanelle blanche à r
nam, interné à Alger, et en traitement ici. Il est coiffé d’un madras
noir
, coquettement tortillé sur sa tête, et habillé d’
nsant tout haut : « Me voilà sur mes pieds ! » L’on dîne, et un nuage
noir
qui fait craindre un orage, amène Mme Zola à repa
de la demeure, apparaissent et disparaissent, les dents blanches, les
noires
faces riantes, les madras de couleur de deux négr
nt le manche en est tout couvert. Sur la tête, un chiffon de dentelle
noire
, qui a l’air d’un papillon de nuit et sous lequel
es yeux à la prunelle d’un bleu transparent, dans la pénombre de cils
noirs
. En s’asseyant à table, elle se plaint d’être tou
rrures, et empêchant les femmes de ressortir du fond sourd des habits
noirs
. Mercredi 25 octobre « Eh bien, la pièce de
oudrait en marge de petites gravures, jouant les croquetons au crayon
noir
et à la plume, qu’on jette, à l’heure présente, s
icier scélérat de plume, comme il y en a tant parmi ces hommes à robe
noire
qui grignotent les vieux parchemins, comme des ra
gement à mort, comme je vous ai dit, le bourreau vint avec les hommes
noirs
au cachot. Ils portaient des outils, de grands ci
deux brasses d’épaisseur ; ils étaient construits de blocs de marbre
noir
aussi lourds que nos rochers, pour que les condam
pas songer seulement à s’évader. Un confessionnal et un banc de bois
noir
étaient les seuls meubles de l’oratoire. Un capuc
oître, et que le bargello en fut sorti avec le forgeron et les hommes
noirs
de la justice, j’y entrai sans bruit avec la prov
e ? Quand le bargello va venir te visiter ce matin avec les pénitents
noirs
et les frères de la Miséricorde, dis-leur ton dés
lorée qui s’avançait, malgré elle, pour nous entrevoir de derrière un
noir
pilier du cloître, où elle se cachait bien loin d
, continua la voix, tu revêtiras le froc et le capuchon des pénitents
noirs
qu’il aura laissés tomber de la fenêtre en s’enfu
capitaine ; tu marcheras en silence devant eux, suivie des pénitents
noirs
ou blancs de toute la ville qui prieront pour toi
ne comprenais pas chez un Belge : ces coups d’œil, par moments, tout
noirs
, et ces cheveux en escalade. Il est d’origine hon
qu’il ne dit pas. Une dureté implacable monte à sa figure, allume le
noir
de ses yeux, quand il parle de l’Assemblée, de l’
ais l’adresse, la grâce, avec laquelle ces hommes jonglaient, dans le
noir
de la nuit tombante, avec les méandres du fer, av
deux ans, retirés du monde, de notre famille, ayant donné nos habits
noirs
, pour ne pouvoir aller nulle part, nous payant se
près notre dîner, la distraction d’une promenade d’une heure, dans le
noir
des boulevards extérieurs… et en mon dédain silen
des cils d’animal, des cils durs et semblables à de petites épingles
noires
, n’adoucissent pas d’une pénombre le regard, donn
le coupable cousu dans un sac qui déferlait sous les ponts humides et
noirs
du Moyen Age, en criant qu’il fallait laisser pas
iolente, déchirante et meurtrière, dont rien n’approche dans les plus
noirs
ouvrages de ce temps qui se sent mourir. Cela est
a Géante, ou dans Don Juan aux Enfers, — un groupe de marbre blanc et
noir
, une poésie de pierre (di sasso) comme le Command
retombe, ennui plus creusé par sa chute, hélas ! plus profond et plus
noir
! D’un autre côté, L’Enfer du Dante, pour être pl
ui sera le prochain drame de Baudelaire, soit aussi gai, sous couleur
noire
, que ses Paradis artificiels. VIII Ils sont
’avez plus qu’un humouriste, hâve et déformé, du pays des humouristes
noirs
. Quincey, lui, n’a pas la force cachée et comique
enir ses père et mère. Ceux-ci accourent, amenant avec eux leur chien
noir
qui grimpa au fromager et en redescendit Baffo. L
uscouss, d’en donner la première et la dernière poignée au gros chien
noir
qui l’avait tirée de ce mauvais pas. Bogandé 1911
va toujours. A chaque instant, il a, sur son rosier, de ces bourgeons
noirs
qui s’entrouvrent parmi ses roses pâles. Il est
glots toujours prêts ; Comme il est des soucis, dont l’aile humide et
noire
Flotte et tourne en spirale en haut de la mémoire
e tuteur, L’arbre, allait manquer à la plante ! Plus de bourgeons au
noir
rameau, Triste impuissance de l’aînesse ; Tandis
ousses ! Et, comme ce bois mort couvrant De frais bouquets sa souche
noire
, Qu’on vous sauve en vous entourant Des lierres d
as que l’on ait alors même rien fait de mieux dans ce genre que l’Âme
noire
du Prieur blanc, de notre contemporain Saint-Pol-
-ci imaginée par M. Henri de Régnier : sa délicate nouvelle le Trèfle
Noir
porte simplement pour titre un trèfle imprimé en
velle le Trèfle Noir porte simplement pour titre un trèfle imprimé en
noir
sur couverture blanche. Si de tels amusements se
de livres, citons encore le chef-d’œuvre de Stendhal, le Rouge et le
Noir
. On a donné bien des explications différentes à c
ur ne prit pas la peine d’éclaircir lui-même. On peut admettre que le
Noir
, c’est la robe du séminariste de Julien Sorel et
nté cède parfois à de furtives mélancolies, mais résiste toujours aux
noires
atteintes du pessimisme pervers. L’admirable poèm
rt droit des ormes, Ni des chênes les hauts cimiers, Ils sont trapus,
noirs
et difformes… Pourtant, qu’ils sont beaux, mes po
nt que gaze, rubans, chair toute vive, et qui causent avec des habits
noirs
penchés sur elles, en des poses de galant marchan
rgot. Nous frappons à la porte, et nous trouvons, dans une loge toute
noire
, les deux femmes qui nous attendent, lumineusemen
tite fille qui a un serin jaune perché sur un bras, une vieille femme
noire
, austère, janséniste, la mère inconsolable du gar
oyez-vous cet homme contre la muraille, à droite, coiffé d’un chapeau
noir
? et des gens n’ont jamais trouvé de noblesse à R
de Chine. J’ai pensé à un homme qui graverait le soleil à la manière
noire
. * * * — Pour moi, le plus étonnant trompe-l’œil
mortes sur une eau morte, un ciel gris, un soleil jaune, des briques
noires
, des arbres noirs. C’est impie ces deux enfants d
morte, un ciel gris, un soleil jaune, des briques noires, des arbres
noirs
. C’est impie ces deux enfants du soleil, posés là
) de Seymour Haden, cette eau-forte, où existe peut-être le plus beau
noir
velouté, que depuis le commencement du monde, ait
onde, ait obtenu une pointe d’aquafortiste, à la regarder, dis-je, ce
noir
fait, au fond de moi, un bonheur intérieur, une p
ion, la beauté des épreuves ne se reconnaît pas surtout par ces beaux
noirs
veloutés des estampes européennes, et que n’a pas
es estampes européennes, et que n’a pas l’impression japonaise, où le
noir
est un noir de lithographie usée ; elle se témoig
européennes, et que n’a pas l’impression japonaise, où le noir est un
noir
de lithographie usée ; elle se témoigne à la vue,
menades de vieillards, d’évocations de paix éternelle, et de tentures
noires
, et de lumières brûlant dans le jour, et de parfu
fleurs, en le coloris de leurs nuances délavées autour de l’aigrette
noire
de leur calice, comme ayant la tendresse surnatur
s faisant l’effet de l’écoulement de grandes eaux ; — une foule toute
noire
, de ce noir un peu papier brûlé, un peu roux, qui
ffet de l’écoulement de grandes eaux ; — une foule toute noire, de ce
noir
un peu papier brûlé, un peu roux, qui est le cara
ttes d’une famille de la petite bourgeoisie, vêtues de robes en laine
noire
, et les mains dans des gants de soie, au bout des
ai talent de Millet est d’être un fusiniste, un dessinateur au crayon
noir
avec des rehauts de pastel, le dessinateur stylis
tz Jourdain, Gallimard, Toudouze, Monnet, un silencieux aux yeux d’un
noir
parlant. Octave Mirbeau, de retour de Menton, dîn
l’humanité française par l’Exposition, se rencontre avec nous dans le
noir
pressentiment de l’avenir. Lundi 17 juin S’
e propriété qu’il possède à Dijon, des fraises monstres et des melons
noirs
, parle d’une vigne possédée par un de ses voisins
es reçues, de tous les clichés acceptés, etc. Un petit homme aux yeux
noirs
, à la barbe grêle, au teint marbré de plaques rou
Drumont dit cela, en se donnant des coups de doigts révoltés, dans sa
noire
crinière, où une mèche se déroule, tortillée sur
ls. Il a une Via Appia, sous un nocturne de ciel argenté, derrière de
noirs
cyprès, du plus grand effet et du plus bel art.
tion stratifiée des terrains. Dans les dessins, des dessins au crayon
noir
de Macari, des dessins de la Rome antique, de la
heures du soir, se lever à trois heures, prendre deux tasses de café
noir
, et aller en travaillant jusqu’à onze heures. Ici
ècle, et se développent d’une manière assez mélancolique sous le drap
noir
étriqué. * * * — Chez les journalistes existent t
u comptoir, avec la grasse femme du café, roulant des yeux diablement
noirs
. * * * — Lu, dans le bain, un joli vers d’un poèt
vu à l’Hôtel Drouot la première vente de photographies. Tout devient
noir
en ce siècle, et la photographie, n’est-ce pas l’
t devient noir en ce siècle, et la photographie, n’est-ce pas l’habit
noir
des choses ? 7 juin Tombé au cabinet de lec
ions, Adèle Courtois, Juliette et sa sœur. Anna Deslions, des cheveux
noirs
opulents, magnifiques, des yeux de velours avec u
dents le collier d’Anna Deslions au bout duquel pend une grosse perle
noire
qu’elle mordille. Mais la perle est vraie, elle n
nous parlent de ceux qui ne sont plus. Puis les fermiers, en chapeaux
noirs
, venus de loin et tout poussiéreux, et les vieux
, comme en notre temps de familles d’une génération. Puis les groupes
noirs
de femmes en deuil suivant ici le mort jusqu’au b
ose nous apporte des lettres de couvent trouvées dans l’étui de serge
noire
du livre de messe de sa nièce. C’est la correspon
nt enroulées nombre d’amours de femmes de théâtre, et Murger en habit
noir
. Un dîner et une soirée, où la conversation, sort
lie, celle de Tempé et des fraîches vallées8. Hugo voit gros, il voit
noir
(dans Ruy Blas il voyait rouge). Mais cela a de l
in ne sont pas si grandioses, si foudroyés, la Thessalie n’est pas si
noire
qu’il la fait, de même que Notre-Dame n’est pas s
portière : des prés, des fleuves, des crêtes, des vallées, des trous
noirs
, des feux défilent. C’est le paquebot qui roule ;
s ruelles en escaliers, en voûtes, glissent et se tordent. Elles sont
noires
ou inondées de lumière, elles sentent la moisissu
ur seuil, les pieds nus dans des babouches. Leurs yeux sont peints de
noir
et leur visage mi-parti rose et pâle. Des pivoine
ans les petits cafés maures aux plafonds bas. Une belle femme pâle et
noire
, visiblement de sang sicilien, songeait à sa fenê
ès vite, en suivant d’autres ruelles de plus en plus à angle, et très
noires
, et qui, souvent, ne menaient à aucune issue. Alo
ntre dans les vieux appartements pleins de moisissure, dans les cours
noires
des maisons, où s’entasse le bois pour l’hiver. L
squ’aux socles des statues, ou les précipite dans les bassins à l’eau
noire
. Si j’étais feuille morte, je voudrais pourrir da
tre soir le plus beau crépuscule mélancolique du monde : en face, les
noires
verdures d’un jardin, et tout au fond les montagn
utre boutique le gaz clignote sur des harengs, sur des olives vertes,
noires
ou roussâtres, sur des saucisses entourées de lar
ies courbes piquées çà et là d’un peu de verdure. De l’autre côté, la
noire
Sicile se confond avec les nues. La mer est calme
s composent le principal de l’étalage, couchés sur un lit de fougères
noires
et vertes. Quelques lys aussi, hauts et frêles, é
s peinturlurées, leurs fines mâtures, leurs cordages, leurs cheminées
noires
, blanches ou mi-parties. Le jour cède peu à peu.
umidité. Une maison de paysans laisse béer sa porte : et, sur ce trou
noir
, je distingue frémir le réseau fin de la pluie. D
cinq vaches ; il y en a deux qui sont rousses et les autres blanc et
noir
. Devant, marche un bouc suivi de deux petites chè
mèrent très haut le sortilège bu Dans le flot sans honneur de quelque
noir
mélange. Du sol et de la nue hostiles, ô grief !
désastre obscur, Que ce granit du moins montre à jamais sa borne Aux
noirs
vols du Blasphème épars dans le futur. Je ne rou
abandonné mes pas. … Ce janvier est rude. Notre bourg, au bas d’un
noir
plateau des Cévennes, est sous les frimas. Dans l
feuilles ; un ancien moulin : ses fenêtres sans vitres font des trous
noirs
. Une salle rance d’auberge avec un vieux billard
songiez aux rayons couchants, Brebis laineuses, vol de pies, Blanc et
noir
sur le vert des champs ; Sombre causse plein de
magine qu’elles avaient pour la plupart un teint mat et une chevelure
noire
et drue, que leurs yeux brillaient, que leurs bou
, dont les os firent le bonheur de deux chiens, l’un roux, et l’autre
noir
. Le noir est un affreux caniche, mais jeune, vif
s os firent le bonheur de deux chiens, l’un roux, et l’autre noir. Le
noir
est un affreux caniche, mais jeune, vif et de bon
vers 1877. La Chartreuse de Parme grisait mon cœur, et Le Rouge et le
Noir
(l’élégant Jean de Mitty ne nous avait point enco
des caisses où des chats sommeillent dans l’humidité. Quatre acacias,
noirs
, dépouillés, supportent des tringles où grimpent
, de noix et d’amandes. Vous n’êtes point charmés par ce tas d’olives
noires
avec ces trois œufs blancs dessus ! Qu’allez-vous
n bureau de tabac, et j’achetai, par curiosité, des cigares italiens,
noirs
comme du sarment sec, acres et difficiles à fumer
dans une espèce de taverne où une jeune femme, avec de beaux cheveux
noirs
qui lui descendaient plus bas que la taille, me s
uillées, avec un va-et-vient de leurs bras. De petites filles, en bas
noirs
, des rubans dans leurs cheveux, disposent sur des
arlent toujours grec. Sur cette question, les savants disent blanc et
noir
… Ainsi fait un mien ami bien affectionné : il est
rue d’Hermès, un peu avant Kapnikaréa, la jolie église byzantine, est
noir
de monde. Tous les magasins, sauf les bureaux de
res brisés qui jonchent le sol devant le Parthénon. De belles ombres
noires
traînent sur l’Hymette. Là-bas souffre la cité de
pide ; la tempête nous avait surpris sur le causse morne où pousse le
noir
genévrier. Nous avions rêvé sous le vert lumineux
st midi. Et la portraiture ? Le flot Et le vent l’ont effacée. — La
noire
Lamie qui enferme Dans son cœur l’enfer, M’a comm
ne de treize à quatorze ans qui était vive, vive, toute maigre, toute
noire
, jaune comme un citron. Je lui trouvai d’emblée u
courroucée. Le jour même, elle prend la semblance d’un petit serpent
noir
et jaune ; elle se glisse sous la simarre déliée
i, ô porte hospitalière du Château de la Belle, de la belle reine aux
noirs
sourcils. La Dame l’entendit et lui cria : — Va-t
planterai des vignes, des vignes au raisin sucré. Les brunes aux yeux
noirs
(que le diable les emporte !) les brunes aux yeux
unes aux yeux noirs (que le diable les emporte !) les brunes aux yeux
noirs
viendront me dire : « Jardinier, donne-nous du ra
us du côté des Champs-Élysées, vous apercevez une multitude de taches
noires
ou diversement colorées qui se remuent sur la cha
cahier de musique, et, pendant que le regard suit les ronds blancs ou
noirs
dont la portée est semée, l’ouïe écoute intérieur
e forme en moi une image, celle du grand corps sec et solide, vêtu de
noir
, au sourire flegmatique, que j’ai vu au Parlement
ts ». Il s’est fait négrier. Un jour il emporte, outre sa marchandise
noire
, Tamango le marchand, qui a eu l’imprudence de ve
eu l’imprudence de venir réclamer à bord sa femme Ayché. Révolte des
noirs
soulevés par Tamango, et massacre de tout l’équip
elle de Tamango est plus âcre et plus recuite que celle même des plus
noirs
chapitres de Candide. Je n’y sais de comparable q
nir de la dureté de son fils pour sa maîtresse. « C’est le seul point
noir
entre ma mère et moi ! » s’écrie Flaubert. Il avo
, aux fruiteries, dont la porte est garnie de petits balais de plumes
noires
: une rue à la façon de ces rues de banlieue que
choix semble une ironie. Au milieu de la soie claire d’un panneau, un
noir
Bonvin, représentant un homme attablé dans un cab
enoncé, d’écrire un livre sur l’Orient moderne, sur l’Orient en habit
noir
. Il s’anime à toutes les antithèses que son talen
ne à la malade : un mystère qui passerait sur une flamme. La nuit est
noire
et pleine d’étoiles, l’heure semble homicide et s
gauche, le massif des marronniers de la Vieille-Halle se détachait en
noir
, avec les contours des dernières feuilles digitée
e grande porte jaunâtre, sur laquelle il y a écrit en grosses lettres
noires
: AMPHITHÉÂTRE. Le garçon frappe. La porte s’entr
îches : un bruit de volière ensoleillée… Des sœurs en blanc, à coiffe
noire
, passent et repassent ; une s’arrête devant ma ch
ls reproches, en de tels remords, en de telles tristesses, en de tels
noirs
de l’âme, que dans cet enfer, où elle roulait de
, svelte dans son habit d’Arlequin, et montrant sous son petit museau
noir
, de jolies moues d’enfant ; le fils de Gautier en
cier de province en partie fine, tire de sa poche une calotte de soie
noire
, une calotte à la fois d’Académie et de sacristie
s. Rue d’Argenteuil, presque en face du Gagne-Petit, ce vieux magasin
noir
où l’on vend du blanc, dans cette rue où l’imagin
d mur, et à travers le tortillage d’une vigne aux sarments maigres et
noirs
. Nous montons, par un petit escalier compliqué, à
de toujours le substantif. Il trouve conforme à sa règle de dire « un
noir
cheval » et non pas un cheval noir. La raison qu’
e conforme à sa règle de dire « un noir cheval » et non pas un cheval
noir
. La raison qu’il en donne est curieuse. Si je dis
eval noir. La raison qu’il en donne est curieuse. Si je dis un cheval
noir
, pendant que je prononce le mot cheval, vous vous
cheval bai brun ; or, pas du tout, l’adjectif vous apprend qu’il est
noir
; vous voilà donc obligé de corriger votre représ
avez ainsi dépensé de la peine inutile entre le mot cheval et le mot
noir
! Au contraire, dans cette infaillible langue ang
ible langue anglaise, on vous fait d’abord concevoir quelque chose de
noir
en général, puis ce noir prend la forme d’un chev
vous fait d’abord concevoir quelque chose de noir en général, puis ce
noir
prend la forme d’un cheval ; vous n’avez donc poi
représenter quelque chose derrière chaque mot, si vous lui parlez de
noir
, aura le temps de voir un nègre, un morceau de ch
il est excellent de pouvoir dire, comme en français, tantôt un cheval
noir
, tantôt un noir cheval, ou, pour prendre un autre
de pouvoir dire, comme en français, tantôt un cheval noir, tantôt un
noir
cheval, ou, pour prendre un autre exemple de Spen
antent les corneilles Tu la verras debout, blanche, aux longs cheveux
noirs
. Deux anneaux d’argent fin lui pendent aux oreill
s’enrôle et devient un bandit ? Quel poing cyclopéen, dites, ô roches
noires
, Pourra briser la Dent de Morcle en vos mâchoires
Les yeux brûlaient ; On voyait seulement les trous des bouches
noires
, Chantant la Marseillaise, Dont les strophes
olie de Dumény, qui a si merveilleusement joué le « Monsieur en habit
noir
». On me jouera encore mardi et mercredi : ce qui
e, et dont toute l’ornementation est faite, d’une mouche posée sur le
noir
métal, je regardais, sans en pouvoir détacher mes
ctionnaient, les parties naturelles, entourées d’une écharpe de crêpe
noir
. Samedi 6 juin Dîner chez l’aimable et arti
s de la vie courante, imposées à tout homme, tant qu’il existe. Ennui
noir
, tristesse profonde. Quand je sors : ces deux dîn
is chercher Geffroy à La Justice. Des tables en bois blanc peintes en
noir
, quelques chaises de paille, et sur la lèpre des
réoccupé le Japonais. J’ai acheté ces jours-ci un album de figures en
noir
, semblables à certaines silhouettes de Carmontell
long de ces hauts paravents contre le mistral, de cyprès à la verdure
noire
, avec çà et là, dans cette propriété non limitée
. Dimanche 4 octobre Arles. Les Arènes, un petit Colisée, où le
noir
des foules modernes, fait si bien, par place, sur
d’Arles, au teint de rose-thé, coiffées de cet enroulement d’un ruban
noir
, au fond de tulle grand comme une fleur, et cette
e blanche, qu’enserre dans quatre plis de chaque côté, un petit châle
noir
d’enfant, et avec leur jupe tombant droit devant,
en faisant le gros tuyautage d’un jupon de paysanne : un costume tout
noir
et blanc, et où le blanc tient du nuage, — enfin
, en criant dans son patois : Fan de brut ! qui, en dépit de son poil
noir
et de sa bruyance, est le meilleur bon enfant de
langueur des brunes, avec son teint pâlement rosé de vieux saxe, son
noir
grain de beauté sur une pommette, sa bouche aux r
et qui semble tout à fait se rapporter au théâtre. C’est une femme en
noir
qui monte dans un omnibus, et dont le deuil, la t
’en vais dîner, ce soir, chez la princesse, à pied, par un beau froid
noir
. Du haut du Trocadéro, quand il n’y a dans le cie
ation du bal, et une opposition assez satisfaisante des blancs et des
noirs
, des habits et des robes, — toutefois en déclaran
en déclarant que, dans ce temps, il n’avait pu encore arriver ni aux
noirs
ni aux gris veloutés. Dimanche 20 février A
e table d’hôte ; la petite fille du peuple, toute jeunette, au bonnet
noir
à rubans de feu, à laquelle le gros homme élastiq
crocher des buveurs, tandis que leurs dignes épouses se faisaient des
noirs
au visage, en buvant à la cave un coup du vin, et
plate et les yeux bordés de jambon, l’huissier avec son petit manteau
noir
qui pend à son habit, comme une aile cassée de ch
uateinte d’après Lawrence, ces grands chapeaux d’où pend une dentelle
noire
, dont les pois semblent faire danser sur la figur
rrière. On distingue les cordes du dessous du cou, une barbe forte et
noire
, le nez pincé, des yeux caves ; autour de sa figu
nauté ! La sœur, une novice sans doute, car elle n’avait pas le voile
noir
, était tout en blanc, d’un blanc molletonneux, av
avec un bandeau sur le front ; la bonne en bonnet de nuit, en foulard
noir
, en camisole et en jupon. Elles ont été à un lit,
otre insu, a reçu le coup de tout ce que nous avons vu. Une tristesse
noire
flotte autour de nous. Le soir nous avons les ner
une enfance de toute la vie, qui rend cette envie moins amère, moins
noire
que chez l’homme de lettres. À la fin une avalanc
ches, les branchettes, les brindilles des arbres, y mettant le dessin
noir
et persillé d’une agate arborisée. Là-dessus un t
ille de Chérie : ces deux satisfactions bêtes mettent du rose dans le
noir
de mes pensées. * * * — Ces jours-ci Daudet causa
drolatique, le souvenir que réveille chez moi, cette lettre bordée de
noir
. J’étais encore un enfant, mais un enfant à la pe
ré, l’attaque journalière creuse en l’homme de lettres, le petit trou
noir
que fait la goutte d’eau dans le rocher. Mais voi
nd je me réveille sur la place de la Concorde, sous un ciel d’un bleu
noir
, sans étoiles, et ou mortuairement brillent six o
le perron de Jean-d’Heurs, dix heures du soir. Un ciel tout zébré de
noir
, et au milieu duquel il éclaire, parmi les senteu
mais vous avez été en Angleterre, vous avez vu un certain brouillard
noir
, qu’il fait là… Eh bien, c’était ça dans mes yeux
e, les chantres, auxquels elle ressemble par derrière, avec son fichu
noir
, apparaissant comme un capuchon sur le dos d’un m
elle, et agitées de mouvements convulsifs, ses mains gantées de laine
noire
: des mains tragiques. Aux dernières paroles du p
elques cultivateurs de la Floride pourquoi tous leurs Cochons étaient
noirs
; ils lui répondirent que ces animaux mangeaient
rouge et qui fait tomber les sabots de toutes les variétés, sauf des
noirs
. L’un d’eux ajouta : « Nous choisissons, pour les
’eux ajouta : « Nous choisissons, pour les élever, tous les individus
noirs
d’une portée, parce qu’ils ont seuls quelque chan
media de Strickland, il est bleuâtre ; la queue a une barre terminale
noire
, avec les bases des plumes des côtés extérieureme
des côtés extérieurement bordées de blanc ; les ailes ont deux barres
noires
, et quelques races semi-domestiques, ainsi que qu
ages, ont, en outre des deux barres obscures, les ailes marquetées de
noir
. Ces divers signes ne se retrouvent jamais tous e
-Paons entièrement blancs, et de race très pure, avec quelques Barbes
noirs
, et je dois dire que les Barbes de variété bleue
n’en ai vu d’exemple en Angleterre : les oiseaux que j’obtins étaient
noirs
, bruns et bigarrés. Je croisai de même un Barbe a
ucun Pigeon de race sauvage, ayant le croupion blanc, la double barre
noire
des deux ailes, et les plumes externes de la queu
e noire des deux ailes, et les plumes externes de la queue barrées de
noir
et bordées de blanc. Si toutes les races de Pigeo
u ramage discordant des perroquets innombrables et variés, des aigles
noirs
, des éperviers, des hérons, des flamants roses, d
pures de Suburra. Elles avaient, comme alors, dans leurs cheveux d’un
noir
d’enfer, une fleur d’œillet ou de grenadier insol
illes femmes crient des boudins, des beignets frits à l’huile, du vin
noir
… Des hommes passent rapidement, embossés dans leu
, à la file entraînées, Lorsque le vent d’automne, au travers le ciel
noir
, Les chasse à grands coups d’aile, et qu’elles vo
ins et les barbares ont échangé leurs superstitions : Jadis l’Ibère
noir
et le Gall au poil fauve Et le Garumne brun, pein
français dont la mort, hélas ! laisse à notre beau firmament d’art le
noir
d’une étoile qui aurait cessé d’y briller, comme
-major, l’épée, le bien ajusté pantalon bleu foncé à bandes rouges et
noires
, à sous-pieds ! Si fier aussi de son port superbe
hauve, rasé, bedonnant, clignotant, rhumatisant, coiffé d’une calotte
noire
, vêtu d’un complet de flanelle blanche, « mi-volt
ux m’empêcher de penser aux personnages de Huysmans, Là-Bas. La messe
noire
, la souillure de l’hostie, et puis le chanoine Do
anthéon, il fut ressaisi par la hantise de son cauchemar : « La messe
noire
! Le chanoine Docre ! » Puis il revint à des pens
rivoles voyageurs. Dieu de terreur et Dieu de sainteté, Hélas ! Ce
noir
abîme de mon crime, Dieu de terreur et Dieu de sa
si jamais ils essayaient de rendre leurs impressions avec des signes
noirs
sur du papier blanc. M. Gustave Geffroy fut le se
s, de fabriques, hérissé de tuyaux, noirci de fumée, — un ciel bas et
noir
, prêt à crever en pluie, proche et pesant… Il y a
l’ordure, raccommodant sa hotte, — le voici qui rentre au matin tout
noir
sous le ciel clair. Puis ce sont les travailleurs
ent à des illusions qui s’en vont une à une et s’évanouissent dans le
noir
. D’autres fois, ils se laissent aller à des proje
sourire devient sombre, et ses « instantanés » les plus récents sont
noirs
. On dirait que l’état d’âme de la jeunesse contem
fred de Musset ou du général Changarnier. Sur leurs gilets de velours
noir
, ils laissent tomber de minces chaînes d’or. À la
ent, selon le témoignage de M. Pierre Veber, de grandes robes de soie
noire
, droites (avec plissés accordéon), des manches bo
ffantes plissées, rabattues, des toques d’alchimiste, brodées de soie
noire
… Si elles ont l’intention de flirter sérieusement
ands-pères. Ils sont touchants. Ils s’occupent d’occultisme, de magie
noire
, de magie blanche et de messes démoniaques. Ils s
dre, ni de « tubes » aux huit reflets, ni de monocles au large cordon
noir
. Le robuste romancier de l’Armature peut dédaigne
lui seyait à merveille. Avec sa carabine en bandoulière et son feutre
noir
, elle avait l’air moins sauvage qu’un franc-tireu
, qui faisait valoir par contraste sa figure sombre et brune ; et ses
noirs
cheveux là-dessus lui complétaient l’aspect d’un
d’innocentes colombes. C’est le comte Salomon, de Gyp, mais poussé au
noir
, un orang-outang d’apocalypse, démesurément griff
s et délicats chatouillements », à « l’ouragan qui se démène dans les
noires
forêts de sapins ou sur la houle blafarde parmi l
d’un feu de tourbe ». Vous reconnaissez, dans ces images poussées au
noir
, la théorie des « milieux ». C’est en effet dans
et c’était partout un mélange d’éclatantes transparences et de formes
noires
, comme découpées à l’emporte-pièce sur cette lumi
ones violettes… Assis tous deux sur la bruyère blanche, sous les pins
noirs
au tronc rougeâtre qui descendent vers une petite
très creusé, « se modelant en méplats vigoureusement marqués ». Yeux
noirs
, d’un noir humide et velouté, dents blanches et r
, « se modelant en méplats vigoureusement marqués ». Yeux noirs, d’un
noir
humide et velouté, dents blanches et régulières,
dans ses bottines jaunes, un chapeau de paille sur ses épais cheveux
noirs
, l’œil humide, la dent blanche, fleurant bon, por
en corsage de poult de soie violet recouvert d’une mousseline de soie
noire
plissée avec des manches pareilles », soit qu’ell
qu’elle prenne le thé, sous un abat-jour rose, « en robe de dentelle
noire
à nœuds de satin vert myrte », soit qu’elle arbor
e le vent fait flotter « les larges bouts de sa cravate en mousseline
noire
, assortis aux grands carrés noirs et blancs de sa
s bouts de sa cravate en mousseline noire, assortis aux grands carrés
noirs
et blancs de sa jupe ». Admirez-la, sur ce yacht,
apparaissait gracieuse et puissante, hors de l’échancrure d’une robe
noire
, d’un noir absorbant qui donnait un éclat plus ma
t gracieuse et puissante, hors de l’échancrure d’une robe noire, d’un
noir
absorbant qui donnait un éclat plus mat à la blan
l’imprudence. L’écriture de Mazarin, longue et élégante, court, toute
noire
et fraîche encore, sur ces pages à peine roussies
inertes, Lasses d’avoir passé et repassé les mers, Et vers les angles
noirs
et sur les pavés clairs Nos espoirs volèteront en
une consécration fictive mais unanime ». Eh ! parbleu, c’est un habit
noir
! La périphrase est ingénieuse. Puis (nous ne som
par M. de Goncourt. Arrêtons-nous un peu. Voici le buffet. Les habits
noirs
, « symboles de l’esclavage nubien qu’est pour un
s, dans le deuil du crépuscule, quelque allée blanche, bordée de buis
noirs
. Ailleurs, une fontaine d’argent rit parmi des fl
te singulièrement à peindre ce décor de brumes, de fumées, de maisons
noires
, d’omnibus bariolés, d’eau sale, de palais disgra
oi qu’on dise, une atteinte profonde, Et, comme Juliette, au fond des
noirs
arceaux, À demi réveillée, à demi moribonde, Tréb
tta et Ferry. Il est toujours prêt à suivre, dans les rues, un cheval
noir
, ou un cortège de Carnaval. Comment s’étonner, ap
Contes à soi-même, 1 vol. — Le Bosquet de Psyché, 1 vol. — Le Trèfle
noir
, 1 vol., orné par Alfonse Hérold. — Aréthuse, 1 v
it des dents d’une blancheur étincelante. Pour costume, une redingote
noire
, un pantalon gris, un petit col de chemise rabatt
ion. Joseph Bouchardy, alors inconnu, apprenait à graver à la manière
noire
sous l’Anglais Reynolds, auteur de la belle planc
ulevard. On pourrait dire que l’on retrouve dans son œuvre écrite les
noirs
profonds de la gravure anglaise. Petrus aussi che
taient par les formes séduisantes qu’ils nous offraient pour réaliser
noire
rêve de beauté, mais l’ascendant du maître nous e
au benjoin, soignée comme une barbe de sultan, encadrait de son ombre
noire
ce pâle et beau visage. Une barbe ! cela semble b
u à boutons dorés, son gilet et son pantalon quadrillés de gris et de
noir
comme ces princes dépossédés de l’Inde anglaise q
r le pavé de Londres d’un air mélancolique. Il avait des cheveux d’un
noir
bleu qui, en se mêlant vers les tempes au ton d’o
teintes verdâtres. Ses prunelles, étoiles de jais, brillaient de feux
noirs
sur une sclérotique jaune, et sa figure s’encadra
tait de petite taille, mince, souple, avec des mouvements de panthère
noire
de Java, et sa tête un peu petite tournait librem
y n’eut pas osé rêver de tels succès ; il gravait encore à la manière
noire
chez Reynolds. Aucun de nous, sauf Gérard de Nerv
t blanc satiné de lumière, sous lequel brillaient deux prunelles d’un
noir
velouté, nageant dans le fluide bleu de l’enfance
Jehan du Seigneur portait, au lieu de gilet, un pourpoint de velours
noir
taillé en pointe emboîtant exactement la poitrine
la rue de Longchamps un monsieur pâle, à cheveux tout blancs, vêtu de
noir
, ayant une dégaine de clergyman : c’était Jules V
re de la beauté ; à ce maître nez et à l’énorme collier de barbe plus
noire
que la lave de Torre del Greco qui encadrait ce p
rales accroupies au centre de leurs arcs-boutants comme des araignées
noires
au milieu de leurs pattes. Il excellait aussi à e
eux fixes et fatidiques. Mais il n’y avait pas alors le moindre nuage
noir
dans ce ciel d’aurore, il était impossible d’y dé
foule sans y être remarqué. Il portait, l’été des vêtements d’orléans
noire
, et l’hiver un paletot bleu foncé auquel on avait
tout être délicat favorisé par le ciel d’une jolie manie, a sa tulipe
noire
, son dahlia bleu, son desideratum ; il voudrait p
lon vert d’eau très pâle, bordé sur la couture d’une bande de velours
noir
, d’un habit noir à revers de velours largement re
ès pâle, bordé sur la couture d’une bande de velours noir, d’un habit
noir
à revers de velours largement renversés, et d’un
r-là sur un pantalon gris tendre, orné au côté d’une bande de velours
noir
, et dont les cheveux s’échappaient à flots d’un c
, les brandebourgs, les parements de fourrures, valaient bien l’habit
noir
à queue de morue, le gilet de drap de soie trop c
oriés d’énormes blasons sculptés au-dessus des portes et les fenêtres
noires
à serrureries compliquées, grilles et balcons tou
siècle, éclairée par une petite lampe, doña Josefa Duarte, vieille en
noir
, avec le corps de sa jupe cousu de jais à la mode
aux intempéries de l’air, mais qui cependant fait penser, dans cette
noire
maison du vieux Paris où s’enchevêtrent comme des
ourg démantelé, et sur un rayon livide de soleil couchant découper en
noir
la silhouette d’une ville lointaine avec sa série
t développée tout au long dans Stello ou les consultations du Docteur
noir
, dont Chatterton n’est qu’un épisode repris et re
de l’autre côté la pauvre madame Dorval. Seul, Geffroy, pâle, vêtu de
noir
, se tenait debout au milieu de la scène, vieilli,
e promène en gesticulant ou en déclamant, maigre sous son mince habit
noir
râpé. Aucune femme ne la comprend, et les jeunes
ne ; il n’avait pas cette fois un habit vert, mais bien une redingote
noire
qu’il a remportée intacte. L’enthousiasme étant m
é la banlieue dans ses plus lointains voyages. Ses cheveux étaient si
noirs
, qu’ils en prenaient des reflets bleus ; de grand
ouvant venir à bout, nous allâmes requérir Bouchardy, qui était alors
noire
voisin, pour qu’il nous guidât à travers ce labyr
’à ce moment-là ; Ribera nous l’eût montrée les yeux caves, la bouche
noire
, les pommettes saillantes, la poitrine décharnée,
n l’avait vu. Son teint, d’une pâleur olivâtre, ses abondants cheveux
noirs
, qu’il a gardés tels jusqu’à la fin de sa vie, se
t sur deux chevaux, et passent près d’un gibet. Faust monte un cheval
noir
, lancé à un galop effréné, et qui paraît, comme s
’artiste a pénétré si profondément ce drame mystérieux plein d’ombres
noires
et de clartés livides, il aurait reconnu sur les
pour vous seul qu’elle a mis cette rose dans ses cheveux, ce velours
noir
à son bras ; réalisant le rêve des poètes, elle d
onienne, comme on disait alors, qu’il était superbe avec ses sourcils
noirs
, ses yeux d’un bleu sombre, son teint pâle et ses
des belles créations de Bocage. Nous le voyons encore en son costume
noir
, austère, sérieux, plein de foi, livrant son cœur
repose sur la colline aux arbres verts, ayant pour linceul le manteau
noir
de Rodogune qu’elle portait à sa représentation d
bouquets de poésies. Elles ont les couleurs métalliques, le feuillage
noir
ou glauque, les calices bizarrement striés, et le
tiques qu’on ne respire pas sans danger. Elles ont poussé sur l’humus
noir
des civilisations corrompues, ces fleurs qui semb
n mares de sang, et où la lune roule sur les anfractuosités des toits
noirs
comme un vieux crâne d’ivoire jaune, qu’il s’arrê
nze d’Afrique, fauve, mais belle, nigra sed formosa, espèce de madone
noire
dont la niche est toujours ornée de soleils en cr
c’est un cauchemar splendide et sombre, digne des Babels à la manière
noire
de Martynn. Figurez-vous un paysage extranaturel
ts comme des glaces. Le style de cette pièce a le brillant et l’éclat
noir
de l’ébène. Nous sommes loin, dans ce court poème
néneuses : ces plantes aux feuillages bizarrement découpés, d’un vert
noir
ou minéralement glauque, comme si le sulfate de c
quelque chose d’inquiétant, de fatal et de morbide ; ses cheveux d’un
noir
bleu tranchent sinistrement sur sa peau d’une pâl
e, s’épanouissent bizarrement au milieu de ce bouquet comme des roses
noires
, et se distinguent au premier flair à leur parfum
ctuelle, nos mœurs, nos habitudes, nos fêtes, nos tristesses en habit
noir
, nos mélancolies en robe de bal, les beautés qui
ravers cette obscurité, les rayons éblouissent comme des éclairs. Des
noirs
plus intenses font valoir les lumières ménagées,
evaliers, la fleur de cet arbre héraldique et généalogique que le sol
noir
de l’Italie nourrit de sa sève empoisonnée. Chacu
le dans toute sa splendeur un souvenir poignant. — Oui, voilà bien la
noire
coupure entre les hautes maisons lépreuses, la gr
t adressé au suicide un appel qui fut entendu, hélas ! Qui sait si le
noir
plumage de l’oiseau, son cri funèbre, le nom pati
onze beau, élégant et bien peint ; autour de ce case, de gros raisins
noirs
et blancs, et d’autres fruits ; le sep auquel ces
e vase blanchâtre est admirable par la variété des tons gris, rouges,
noirs
, jaunes et autres accidens de la cuisson. Sur la
la bouche en ogive, le jargon béat d’un séraphin de parloir. L’homme
noir
parti, l’enfant de chœur jette par-dessus les mou
le salon de M. de Prévenquières, et raconte son odyssée dans le pays
Noir
. Tel que vous le voyez, il a combattu des peuplad
Paris pour en faire sortir quatre cent mille francs ? Mais le spectre
noir
a le don de troubler la vue, ordinairement nette
personnifiant, sous son froc râpé, une puissance redoutable. L’homme
noir
ne veut pas d’un duel qui ferait un éclat nuisibl
Rodin d’Eugène Sue, lorsque, mordant de sa dent jaune dans son radis
noir
, il piétinait la carte du monde aplatie sous ses
’ancien Constitutionnel. Encore l’accommodaient-ils à des sauces plus
noires
, sinon plus piquantes. Car, ce qui caractérise Sa
it par jeter sur toutes choses, moins pénétrant, moins mordant, moins
noir
et or (la pointe d’or dans un fond noir), qu’en c
nétrant, moins mordant, moins noir et or (la pointe d’or dans un fond
noir
), qu’en ces jeunes années où l’on est épris des r
se déchire le cœur dans un coin, et de ce petit coin sombre avec son
noir
chagrin, comme Alceste, allonge sur le monde exté
arais stagnant avait l’onde brûlante ? Que cet ombrage obscur et plus
noir
qu’un cyprès Donnait un lourd vertige à qui dorma
homme, objet de vos tardifs aveux, N’était pas un amant aux longs et
noirs
cheveux, Au noble front rêveur, à la marche assur
deux trouveurs, l’un, en nous rapportant son idéale amphore de marbre
noir
veiné de rose, l’autre son humble cruche de grès,
ne s’éblouissent pas des splendeurs païennes, décèlent le pessimisme
noir
de Leconte de Lisle. Mais déjà, avec Verlaine, Ma
la réclame et du brait. Nous aurons le cabotinage de lettres, le Chat
Noir
, les cabarets artistiques de Montmartre, la poési
u des poètes infâmes Dire des vers sur des tréteaux Dans un bouge aux
noirs
escabeaux Parmi la puanteur des femmes. Figés en
ches et réduire leurs sensations particulières de rouge, de blanc, de
noir
, de bleu, de vert, à une sensation unique et simu
us elle est forte et vive, plus les ombres sont limitées, décidées et
noires
. Éloignez successivement la lumière d’un corps, e
’ombre d’un corps blanc, et vous y discernerez une infinité de points
noirs
et blancs interposés. L’ombre d’un corps rouge se
e suis frappé par la vue, au fond d’une de ces voitures, du rigide et
noir
costume d’une Sœur, c’est un rappel de la mort da
t du plaisir, à ce qu’on disait, et comme à tout jamais échappé à son
noir
lui-même… Nous l’écoutions, nous le regardions, t
paroles qu’on ne comprend pas… Par la fenêtre ouverte, par-dessus le
noir
des grands arbres, entre et s’allonge, sur le par
de ce jeune homme, qui se trouve, dans je ne sais quel vieux et quel
noir
tableau d’un musée d’Italie. * * * À cette heure
profil de Pélagie penché sur un petit livre de prières, dont l’ombre
noire
se reflète sur le blanc entassement des oreillers
travers la porte de la salle à manger, les chapeaux de quatre hommes
noirs
… Nous sommes montés dans la petite chambre… Ils o
je me cogne contre deux croque-morts, assis sur des morceaux de bois
noir
, au milieu de grands chandeliers d’église, incend
liénistes peuvent classer. Les meurtriers du Cœur révélateur, du Chat
noir
, du Démon de la perversité, Roderick Usher sont d
es et d’aventures est apparent. L’on no devine pas, en lisant le Chat
noir
, que l’auteur se voyait perdu par l’alcool, et l’
ne prunelle humaine n’a vus, la succion tournoyante du Maelstrom, les
noires
eaux striées sur lesquelles fuit le vaisseau-fant
les infortunes qui mènent au dénouement du Cœur révélateur et du Chat
noir
. Enfin dans les contes mystiques et les poèmes, r
n charnelle de brutaux effets de terreur. Aux dernières pages du Chat
noir
, est dressé le cadavre gâté de l’assassinée, que
lent les images de la Folie, de la Mort, du Jugement dernier, sous la
noire
dentelle de leur style. Dans Lénore, dans Ulalume
la tempête et le rivage plutonien de la nuit. Ne laisse pas une plume
noire
ici comme gage du mensonge qu’a proféré ton âme.
érique ; que cette cervelle remplissait le crâne d’un homme à cheveux
noirs
, lustrés et bouclés, à yeux gris, au large front,
87
Albalat, Antoine.
(1905)
Les ennemis de l’art d’écrire. Réponse aux objections de MM. F. Brunetière, Emile Faguet, Adolphe Brisson, Rémy de Gourmont, Ernest Charles, G. Lanson, G. Pélissier, Octave Uzanne, Léon Blum, A. Mazel, C. Vergniol, etc…
« IX »
esque toutes les pages des trois énormes manuscrits des Sermons étant
noires
de ratures, la difficulté de les déchiffrer m’a s
presque toutes les pages des trois énormes manuscrits de Bossuet sont
noires
de ratures, et, remarquons-le bien, quel que soit
t pas les nôtres, pour se donner le plaisir de les réfuter. « La bête
noire
de M. Albalat, dit-il, ce n’est pas Gautier, c’es
: « Qu’on ne nous accuse pas de méconnaître Stendhal. Le Rouge et le
Noir
est une œuvre impérissable. Peu de livres sont pl
ais déjà les chèvres et les moutons, impatients qu’on leur rouvre les
noires
étables où on les enferme pendant la neige, bêlen
mage du sable que le vent y jette ; elle étend sur la tranche de pain
noir
le blanc laitage à moitié durci, entouré de la fe
les deux tempes. Il tenait d’une main son chapeau entouré d’une ganse
noire
à boucle d’argent ; son habit gris, à boutons d’a
Bientôt je voyais se dessiner en sombre sur le ciel bleu la redingote
noire
d’un beau jeune homme qui, sous l’habit d’un eccl
main, un chapeau rond découvrait à demi son front haut et ses cheveux
noirs
; ses bottes fortes, armées aux talons d’éperons
ssée et plus pastorale, le village de Bussières, groupé autour de son
noir
clocher, s’étend dans le fond du paysage. J’y des
hien blanc et une chèvre familière, suivie de deux ou trois chevreaux
noirs
, étaient toujours couchés ensemble sur les marche
sarments touffus, qui semblaient pleurer la main de l’homme. L’ombre
noire
du clocher s’étendait de bonne heure le soir sur
mêlés de quelques brins blancs, retenus autour du front par un ruban
noir
; des yeux doux comme le regret qui se résigne et
aces en s’appuyant sur sa lance. Dermid laisse flotter son épaisse et
noire
chevelure. Le jeune chasseur du Moruth, Fillan, b
es de ses cheveux qui tombent en longues boucles sur ses épaules. Ses
noirs
sourcils sont à moitié cachés sous l’acier de son
ur peut-être tu tomberas aussi ; un jour, malgré tes efforts, la robe
noire
t’enveloppera pour toujours au milieu du firmamen
i fort ! Mais tu te promènes sur les vents du désert, et tu tiens les
noires
tempêtes dans ta main. Dans ta colère, tu saisis
e reste seule. Non, je ne resterai pas seule, ô vents qui soulevez ma
noire
chevelure, je ne mêlerai pas longtemps mes soupir
ler les combats de ma jeunesse ? L’âge a mêlé des cheveux blancs à ma
noire
chevelure. Ma main oublie à bander l’arc, et je n
; ses yeux comme les étoiles de la nuit : l’aile du corbeau est moins
noire
que ses cheveux ; son âme était généreuse et tend
t à demi enfoncées dans la terre. Non loin d’elles, un if déploie son
noir
feuillage ; une source murmurante jaillit au-dess
t cruelle !… Levez-vous, vents d’automne, levez-vous, soufflez sur la
noire
bruyère : torrents des montagnes, rugissez ; et v
s retentissaient à son côté, son arc était dans sa main ; cinq dogues
noirs
suivaient ses pas. Il voit le perfide Erath sur l
t votre misère à de vils héritiers, Vous goûtez à jamais, hôtes d’un
noir
mystère, L’irrévocable paix inconnue à la terre,
ts que l’une à l’autre épanche, De leurs taches de feu semer le gazon
noir
. Parfois hors des fourrés, les oreilles ouvertes
diniers n’ont pu encore trouver jusqu’ici ni la rose bleue ni la rose
noire
; mais le poëte a ses licences et ses prévisions,
a nom la rose de l’oubli. Pour nos cœurs dépouillés il est des roses
noires
. Sur les restes fanés de nos douces histoires, Su
sonnés par les heures fatales, Un jour on voit grandir les fleurs aux
noirs
pétales, Les roses sans parfums, les roses de l’o
directeur du journal avait utilisé la tenture, les rideaux de velours
noir
à crépines d’argent de son salon de la rue de Tou
insi que je le crois. Enfin, c’était une tirade contre Janin, la bête
noire
du ministère de la police. Car j’ai oublié de dir
esques. Sa femme, fine, délicate, nerveuse, avec de beaux grands yeux
noirs
, semble une sorte de réduction de Mme Roland dont
eroy, Jacques qui vient passer une journée avec nous. Il est en habit
noir
et en chapeau tuyau de poêle qu’il ne quitte jama
rapeaux. Dans la Cité une allée se perdant dans les profondeurs d’une
noire
bâtisse. À droite de l’allée, tout en entrant, la
« la nature oppose sur la mer l’écume blanche des flots à la couleur
noire
des rochers, pour annoncer de loin aux matelots l
es fonds où ils vivent ! » Louange au Seigneur qui fait vivre la puce
noire
sur la peau blanche, pour être plus aisément attr
’épithète pittoresque qui montre : il nous fait voir l’ouara rouge et
noir
au milieu du « feuillage glauque des palétuviers
r. — Je ne dis pas que mon esprit ne me porte pas à voir la nature en
noir
, mais je vous affirme qu’à part quelques exagérat
e dépeins la vie comme je la vois, mais je ne croyais pas la faire si
noire
. Je croyais avoir fait autre chose !… Comment arr
la nature ; mais les oppositions sont également dans la nature, et le
noir
n’existerait pas si le blanc n’était pas inventé.
ureusement et sincèrement écrit : La mort du cheval. Il faisait tout
noir
dans la chambrée. Miserey chercha son lit à tâton
orte grande ouverte de l’infirmerie des chevaux. Il vit la silhouette
noire
de Dallas flageolant sur ses hautes jambes. Le ch
yait les toits de la place des Chartreux, et un bouquet d’arbres tout
noirs
, sans feuilles derrière lesquels une lune énorme
tre humain le brusque arrêt de la vie. — Monsieur le curé, il devient
noir
! s’écria Vincinet reculant épouvanté. — « Les om
s, sans tendresse. Cela m’hallucinait comme la vision d’un grand trou
noir
vers lequel vous poussent d’invisibles poings. En
découvrir des idées en chambre, comme un géomètre devant son tableau
noir
, pour les énoncer, là, posément, tranquillement,
devenait un lac d’ombre, entre les grands arbres voisins et la masse
noire
de la cathédrale. Et il n’y avait, au ras des tén
alles luisantes, sa vieille grille dont les rosaces se découpaient en
noir
. Et l’envolée de la nef s’accusait encore, en bas
e, pure, élancée, emportée dans la réalisation de son rêve, ravie des
noires
chapelles romanes aux flamboyantes voûtes gothiqu
c les deux mourantes. Mon chien Paf s’était couché devant la cheminée
noire
, et il me fit songer qu’un peu de feu serait util
ux misérables qui avaient toujours dormi sur la paille, mangé du pain
noir
, travaillé comme des bêtes, souffert toutes les m
erre. Et, dans la lumière éclatante, les urubus et le corbillard très
noirs
se glacent et reluisent. Tout sommeille, les murs
Ache, Willette, Mac-Nab, Oscar Méténier, et tant d’autres que le Chat
noir
revendique justement comme ses nourrissons. M. Ju
e perpétuel serait l’unique distraction de Paris. Pour midi, la messe
noire
; et, bien avant l’heure, un monde énorme affluai
roupant et causant devant l’église. C’est là, sous le porche drapé de
noir
, qu’il fallait entendre l’oraison funèbre de Lois
proches parentes. Tout à coup une voiture s’arrête, dépose des voiles
noirs
, agités, éperdus, une douleur qui fait mal à voir
sous des regards extasiés de femmes les brûlant à travers les voiles
noirs
, l’entassement de la foule, les shakos et les sac
sièges très écartés supprimant l’intimité du coude à coude. Un froid
noir
, profond, un froid de puits, passe entre les couv
re société ! Le grand-duc, large face blafarde entre des favoris trop
noirs
taillés en boulingrin, tête de souverain pour jou
nonce, grand nez, lèvres minces, spirituelle figure romaine aux yeux
noirs
dans un teint de bile, écoute aussi, penché de cô
a tête aux plates adulations de Freydet debout derrière lui, ganté de
noir
, un grand crêpe au chapeau, dans le deuil tout ré
uï, tomba, non, mais crut peut-être tomber dans l’éternel néant ou le
noir
absolu ! » « Mais comment, repris-je quand, réfré
égratignèrent les genoux et dans lequel une myriade de petites croix
noires
sillonnées de lettres blanches se culbutaient, tr
t inertes Lasses d’avoir passé et repassé les mers Et vers les angles
noirs
et sur les pavés clairs Nos espoirs volèteront en
st-il, ce monsieur ? — Il a la tournure d’un homme d’Église : vêtu de
noir
, les cheveux plats, le visage rasé, des bas noirs
e d’Église : vêtu de noir, les cheveux plats, le visage rasé, des bas
noirs
, des souliers lacés. — Faites entrer. Et presque
ns un journal où se sont produits tant de véritables poètes : le Chat
noir
(pourquoi ne pas appeler par son nom ce journal q
re de la grande brasserie artistique de la rue Victor-Massé), le Chat
noir
, qui nous a donné les premières belles œuvres de
Vos carnages, vos chocs et vos cavaleries, Aigles de ces
noirs
ouragans ; Vos régiments pareils à l’hydre qui s
moire de Théophile Gautier : Ami, poète, esprit, tu fuis notre nuit
noire
, Tu sors de nos rumeurs pour entrer dans la gloir
ouver le beau. Monte l’âpre escalier. Du haut des sombres marches, Du
noir
pont de l’abîme on entrevoit les arches ; Va ! me
d’aile des victoires D’être une cime où luit l’éclair dans les nuits
noires
, De vivre et d’attester que vos pères ont mis Leu
ysage. En parcourant des yeux l’horizon, que voit-il ? Sous un ciel
noir
à peine éclairé par la neige Tout est blanc. Des
mèrent très haut le sortilège bu Dans le flot sans honneur de quelque
noir
mélange. Du sol et de la nue hostiles, ô grief,
n désastre obscur Que ce granit du moins montre à jamais sa borne Aux
noirs
vols du Blasphème épars dans le futur. Si j’ai
empruntés au canapé de la chambre. Il avait la face violette, presque
noire
, inclinée à droite, la barbe non faite, les cheve
taine d’ouvriers travaillaient avec je ne sais quels morceaux de bois
noirs
entre les mains. J’avais aperçu dans un coin de l
s. J’avais aperçu dans un coin de l’atelier une sorte de grande boite
noire
en ébène longue d’environ huit pieds, large de tr
m’avait dit le maître, ce que je voulais vous montrer. — Cette boîte
noire
, c’était le cercueil de l’Empereur. Je l’avais vu
de la frontière, les formidables bataillons et les redoutables canons
noirs
. Les Régiments, les Brigades, les Divisions, les
à travers la porte de la salle à manger les chapeaux de quatre hommes
noirs
… Nous sommes montés dans la petite chambre… Ils o
, quoiqu’elle semblât préoccupée et fatiguée. Elle avait une perruque
noire
, en tête de mouton, relevée par derrière, et entr
se maille de fer. Les visières baissées ne laissent voir que des yeux
noirs
; une cuirasse couvre leur dos et leur poitrine ;
te la jambe des mules, s’assure que les caissons sont pleins. Il fait
noir
. De gros nuages masquent, comme des paravents, le
leil ses grands yeux ronds, couleur jaune d’œuf, avec une mince ligne
noire
cernée de vert sale, ses grands yeux ronds de hib
jeunes dont les prénoms suivent : Léo, petit, l’influent du meeting,
noir
de barbe et long de cheveux, très fin d’esprit ma
s ont une tendance à battre de l’aile, oiseaux gris aux bouts d’ailes
noirs
… « Bonsoir ! » « À lundi ! » « On y sera ! » «
ut, que ce témoin comme on en voit trop). Quant aux marques jaunes et
noires
que Pierre portait sur les deux yeux et aux régio
les de chauve-souris larges étendues, qui formaient comme un paravent
noir
aux trois conseillers de noir vêtus, fourrés et l
endues, qui formaient comme un paravent noir aux trois conseillers de
noir
vêtus, fourrés et long cravatés de blanc. La main
! Et je suis sûr que la Présence Réelle se fout de toutes les Messes
Noires
ou Nègres, puisqu’il a été créé et mis au monde p
e reflets l’étang, le bois endure Que le ciel transparaisse entre les
noirs
piliers. C’est une solitude amène qu’a choisie,
tendre, piquées, trouées, déchirées de blessures rouges et de plaies
noires
. Et ce m’est une indicible joie, prince charmant,
, de sa voix rude et chaude (rejetant d’un geste de tête sa chevelure
noire
en arrière), me riposta, d’un air comme en colère
on pansement que je me figurais surtout composé d’une culotte de gaze
noir
garni d’étoiles d’argent, au cri terriblement acc
ète. Des vues de Seine et dans la Seine ses aspects verts et roses et
noirs
d’eau, des barres rouges de soleil et des ombres
e ceci : FLEUR VOTIVE Comme un beau lys d’argent aux yeux de pistils
noirs
Ainsi vous fleurissez profonde et liliale Et tout
culotte » à la longue, sans compter qu’elle sable, en le veloutant de
noir
discret le papier blanc plein d’encre contournée,
ssus de cette cheminée, manteau Louis XV qu’un plâtre peint en marbre
noir
non veiné simule assez, soutient tout un monde :
plus légèrement meublées encore que les nôtres et tirent sur la note
noire
; sombre les rideaux énormes aux amples verrières
simplement quatorze des plus beaux vers d’aucune langue. VOYELLES À
noir
, E blanc, I rouge, U vert, O bleu, voyelles, Je d
, O bleu, voyelles, Je dirai quelque jour vos naissances latentes. A,
noir
corset velu des mouches éclatantes Qui bombillent
ndonienne : Je vous ai vue, Ô reine, un soir, Toute vêtue De velours
noir
. Je vous ai vue, Ô reine, un jour, Toute vêtue De
tue De velours noir. Je vous ai vue, Ô reine, un jour, Toute vêtue De
noir
velours… comme faisait si bien chanter au Buckin
e dis que je suis une femme, ricana la pierreuse. Et l’homme au jupon
noir
continue à ne pas saisir la poésie du geste et du
Même il se l’exagéra au point d’écrire (Sagesse) : Un grand sommeil
noir
Tombe sur ma vie : Dormez, tout Espoir, Dormez, t
fait de planches, et en plein air, de Lady Pig, une gigantesque truie
noire
, avec son étable pour dormir et l’abriter du mauv
prendre une face nouvelle ! Il y avait encore un amusant petit chat
noir
qui m’avait pris en grande affection. Mais tout p
ants. La plupart avaient la tenue historique de l’université, la robe
noire
, courte ou longue selon le « degré », et complété
« old dog ». Cette dernière ville, proverbialement ville d’affaires,
noire
et splendide, un Lyon en plus grand, me frappa pa
s qui se sont traduites en des pièces telles que les Yeux. Bleus ou
noirs
, tous aimés, tous beaux, Des yeux sans nombre ont
leurs couchants. Mais il n’est pas vrai qu’elles meurent : Bleus ou
noirs
, tous aimés, tous beaux, Ouverts à quelque immens
uettant la neige, monte où le vent n’atteint pas : Et, loin du globe
noir
, loin de l’astre vivant, Il dort dans l’air glacé
le paille-en-queue ; nous voyons les bœufs de Tamatave, gardés par un
noir
qui fredonne un « air saklave », les lézards au d
vâna ; le « vol des paille-en-queue » étincelant au-dessus du gouffre
noir
, appelait quelque idée symétrique ; le poète, pou
n couple de lourdauds, Paysans, ouvriers, au cuir épais, que gerce Le
noir
travail ; ou bien des gens dans le commerce, Le m
oix dure, Mêlant son dogme trouble à la morale pure Et, dans son rêve
noir
et respirant l’effroi, Jetant les mots d’amour, d
Qui, lorsqu’un voyageur à sa bouche les porte, Sont pleins de cendre
noire
et n’ont qu’un goût amer. L’esprit est un vaissea
montrer leur sein nu. J’ouvrirai toutes les alcôves ; Je mêlerai mes
noirs
cheveux Aux crins d’or des comètes fauves En disa
cressarde, maison déserte au haut d’une falaise qui ouvre sur la nuit
noire
deux croisées vides. Cette insistance verbale, ce
Avec l’éclair qui frappe et fuit comme un larron, Avec les souffles
noirs
qui sonnent du clairon, Une sorte de vie effrayan
ne dites : c’est assez. Vous mêlerez la pluie amère de l’abime A ses
noirs
cheveux hérissés. Vous le fortifierez de vos rude
Montrant ses poings de bronze aux souffles furieux Tordant ses coudes
noirs
, il soit le sombre athlète D’un pugilat mystérieu
nt d’une horreur sacrée. M. Hugo est par excellence le grand poète du
Noir
, et comme son satyre, connaît Le revers ténébreu
ux, mort et régulier où « l’ombre des façades retombait comme un drap
noir
». Que l’on rapproche de ces grands nocturnes, la
oquillages roses, que frôle le gonflement des vagues, venant polir un
noir
piédestal où s’évoque « quelque nudité céleste, é
de suie, S’égoutter le ciel pluvieux, Traçant sur la vide demeure Ces
noirs
sillons par où l’on pleure Que les veuves ont sou
les ont apprivoisées. Je dis au vieux jardinier de rappeler ma jument
noire
, qui paissait en liberté dans un verger voisin, e
ée qui sépare les bords de la Saône de la chaîne des hautes montagnes
noires
derrière lesquelles se creuse la vallée de Saint-
ma cour sans y entrer ; je suivis, sans lever la tête, le pied du mur
noir
et bossué de pierres sèches qui borde le chemin e
’immense plaine du Mâconnais, de la Bresse et de la Saône, ou sur les
noires
et profondes vallées de Saint-Point, sur les cime
evant les yeux d’autre horizon que des croupes de montagnes confuses,
noires
de sapins, ici ébréchées, là amoindries et comme
ts de mon père au bord du grand bois, au-dessus de votre champ de blé
noir
. » Il renversa sa tête en arrière, ôta son bonne
imaux farouches, des mâles et des femelles, répandus par la campagne,
noirs
, livides et tout brûlés du soleil, attachés à la
mmes. Ils se retirent la nuit dans des tanières où ils vivent de pain
noir
, d’eau et de racines. Ils épargnent aux autres ho
r payer leurs rentes et leurs impositions ; ils ne mangent qu’un pain
noir
fait de seigle et d’orge, et n’ont pour boisson q
ins. Les paysans y vivent de seigle dont on n’ôte pas le son, qui est
noir
et lourd comme du plomb Dans le Poitou et ici, o
t pour semer des denrées de vil prix, propres à sa nourriture, le blé
noir
, les raves, etc. Il n’a de jouissance que sa pare
uisition des commis. En guenilles, pieds nus, ne mangeant que du pain
noir
, mais couvant dans son cœur le petit trésor sur l
. S’il ne s’agissait que de jouir, mieux vaudrait pour tous le brouet
noir
que pour les uns les délices, pour les autres la
istent pas pour eux, si ce n’est en puissance. L’affranchissement des
noirs
n’a été ni conquis ni mérité par les noirs, mais
ce. L’affranchissement des noirs n’a été ni conquis ni mérité par les
noirs
, mais par les progrès de la civilisation de leurs
Nous raisonnons de la même manière relativement à l’émancipation des
noirs
. Certes, s’il y a une réforme urgente et mûre, c’
e-là. Mais nous en concluons qu’il faut sans transition appliquer aux
noirs
le régime de liberté individuelle qui nous convie
n état analogue aux théocraties anciennes. L’esclavage n’élève pas le
noir
, ni la liberté non plus. Libre, il dormira tout l
de cette réticence de l’esclave. Ce n’est qu’un souffle, qu’un point
noir
, et le palais d’Argos en devient tout sombre ; on
u départ de l’armée marchant contre Troie, un aigle blanc et un aigle
noir
s’abattirent sur une hase pleine, dans la cour du
pénètre, l’air qu’il respire est chargé de larmes. Pour dissiper les
noirs
souvenirs qui l’obsèdent, il ne trouve qu’une pen
t en Apulie, les jeunes filles qui répugnaient au mariage, drapées de
noir
comme les Furies, le visage teint en rouge par de
loignez le taureau de la vache ! Elle enveloppe d’un voile ses cornes
noires
; elle le frappe ! il tombe dans la baignoire de
enivre. — « En rendant l’âme, il m’a arrosée d’un jet de sa blessure,
noire
rosée aussi douce pour moi que l’est la pluie de
▲