S’il est plus aisé de faire une belle action qu’une belle
page
. (fragment inédit.) Page 468, ci-dessus, Dide
é de faire une belle action qu’une belle page. (fragment inédit.)
Page
468, ci-dessus, Diderot a ajouté en note à son ma
sus, Diderot a ajouté en note à son manuscrit : « Voyez les dernières
pages
de cet ouvrage où j’expose les raisons d’une opin
raisons d’une opinion qui peut être contredite. » Voici ces dernières
pages
, qui nous paraissent n’être autre chose qu’un fra
ù j’avance qu’il est plus aisé de faire une belle action qu’une belle
page
. J’y ai pensé, et voici mes raisons. Il y a des â
ns, et il s’écoulera des siècles avant qu’on y sache écrire une belle
page
. Vixere fortes ante Agamemnona multi, sed omnes u
ro113… Multi, longa nocte, entendez-vous ? On n’écrit point une belle
page
sans goût et sans un goût pur et grand, et le goû
mme sauvage ; en aucun lieu du monde, il ne s’écrit peut-être pas une
page
sublime, sans en excepter nos capitales, le centr
s hommes ; une grande action diffère moins d’une grande action qu’une
page
sublime d’une autre page sublime. Qu’on me nomme
ion diffère moins d’une grande action qu’une page sublime d’une autre
page
sublime. Qu’on me nomme une grande action, et vin
pendant ; il est presque impossible qu’il en soit de même d’une belle
page
. La fermeté, la constance, le mépris des honneurs
, combien il faut de grands modèles antérieurs au faiseur de la belle
page
! Il n’en faut point à celui qui fait la grande a
d’actions fortes que toute la durée des siècles n’a produit de belles
pages
; voilà Lisbonne renversée, et la nation entière
ère est restée stupide et muette sur ses décombres. Toutes les belles
pages
sont connues ; combien de grandes actions sont ig
es. Si toutes les grandes actions avaient été célébrées par de belles
pages
, il y aurait autant de belles pages que de grande
aient été célébrées par de belles pages, il y aurait autant de belles
pages
que de grandes actions. Que le genre humain serai
Val ; mais vous aimerez mieux écrire un billet doux ou même une belle
page
que de faire une bonne œuvre. Nous avons peut-êtr
que je visitai le Théologal de Notre-Dame115 : je fis alors une belle
page
comme tous les hommes peuvent faire une belle act
résence des événements. J’aurais pu marquer, par des notes au bas des
pages
, ces changements divers et mutuels, pour explique
otes qui auraient pu être faites, et dont j’ai cru devoir m’abstenir.
Page
87. Notre littérature doit subir le même sort que
M. Lémontey était effarouché de l’expression archéologie, appliquée (
page
100) à notre littérature du siècle de Louis XIV.
ntraîné par le mouvement de la pensée, et que j’ai dépassé la vérité.
Page
95. L’émancipation de la Grèce est prévue, mais s
fomentée par les esprits inquiets de l’Europe ! Lorsque j’écrivais la
page
108, M. de Maistre n’avait point encore accompli
re la Déclaration de 1682. Que de progrès ont été faits depuis que la
page
117 a été écrite ! J’ai prévenu que je n’avais fa
que je n’avais fait aucun changement. J’ai donc laissé subsister les
pages
127 et 128, si mal consonantes avec l’ensemble mê
être complètes que sous la loi chrétienne. Le passage de l’Évangile (
page
128) est indûment cité, parce qu’il est isolé de
ans les diverses parties de la Palingénésie sociale. J’avais eu soin (
page
131) de disculper l’ancien ordre de choses : il n
ens du Vieillard et du jeune Homme sont plus explicites sur ce sujet.
Page
140. La légitimité est mieux expliquée dans les m
se sur l’utilité ; pour moi, son sanctuaire est placé bien plus haut.
Page
185. La liberté nécessaire au gouvernement est ex
ans l’Orphée, dans l’Homme sans nom, et à la fin du volume précédent.
Page
247. Vico, que je ne connaissais point alors, n’a
ilosophe napolitain, bien avant les rêveries du philosophe de Genève.
Page
291. La véritable épopée se fait elle-même ; c’es
e se fait elle-même ; c’est la limite idéale de l’horizon historique.
Page
320. La grande figure de l’exilé de Sainte-Hélène
’il reste quelques expressions de toutes ces terreurs contemporaines.
Page
353. Cette première idée sur l’abolition de la pe
Joseph Delorme, par exemple ; mais on m’a assuré que l’auteur de ces
pages
désespérées avait existé, et qu’il n’y avait ici
rsion littéraire. De donnée, l’histoire en question, attestée par ces
pages
, est la plus plate et la plus vulgaire des réalit
ette intensité ! Rien, en effet, ne peut, que la lecture seule de ces
pages
, donner une idée de cette intensité de passion, d
ncertain de la mort, est, esthétiquement, d’un effet terrible. Et ces
pages
affreuses, qui tomberont de bien des mains trembl
la beauté littéraire. Je ne crois pas que l’homme de ces effroyables
pages
eût, s’il eût vécu, fait, je ne dis pas mieux, ma
semble jeter ses entrailles, — ce cri qui dure deux cent quarante-six
pages
, toujours du même perçant, du même infatigablemen
t dans mes souvenirs de littérature quelque chose de comparable à ces
pages
enragées, écrites jour par jour d’agonie. Ce n’es
les prix d’honneur, pour lui des espérances ! n’a condensé, dans les
pages
laissées derrière lui, que ce que le collège lui
’est là le côté très inférieur, le côté appris et déjà dégoisé de ces
pages
; mais son âme a aiguisé toutes ces choses épaiss
regard d’un fou, et n’est-ce pas cette beauté-là, qu’on trouve en ces
pages
, écrites contre Dieu par un homme qui ne peut se
n éternelle ? III Oui ! c’est cette beauté qu’ont les quelques
pages
de Georges Caumont ; c’est la beauté de cet enfan
ur elle-même et même indépendamment de ce qu’elle exprime, liront ces
pages
où il y a tant à condamner, mais tant à plaindre
toutes les douleurs, un jour ressenties ? Tout ce que je vois en ces
pages
de touchant aux idées, aux grandes lignes et aux
i cherché — mais sans le trouver — dans la deux cent quarante-sixième
page
de ce volume, que je ne puis m’empêcher de citer
au pur état contemplatif, — voilà ce qui paraît ressortir d’une belle
page
que nous allons citer presque en entier : « Cassi
laire son commentaire souvent répété de la phrase de Rousseau par une
page
où il décrit la première éducation de l’enfant ci
ouvrage n’est jamais sorti d’une quasi-obscurité d’où les deux cents
pages
consacrées à la théorie du langage auraient dû su
ieuse est comme montrée à la conscience de chacun de nous en quelques
pages
limpides et persuasives123. Dans ce court chapitr
voix ; la compétence particulière de l’auteur donne un grand prix aux
pages
qu’il consacre à la psychologie du sourd-muet ; i
Thomas. La parole intérieure ne paraît pas non plus dégagée dans les
pages
de la Somme sur l’oraison ; voir, par exemple, II
s Œuvres inédites, Paris : Dezobry, E. Magdeleine et Cie, 1859.] 63.
Pages
257 et suiv., 275. Cf. le Mémoire sur l’habitude
rce qu’il rattache les faits à une série de problèmes mal posés. 70.
Pages
312 à 314, 317, 321, 354. 71. Pages 311-312, 354
rie de problèmes mal posés. 70. Pages 312 à 314, 317, 321, 354. 71.
Pages
311-312, 354. 72. Pages 308, 310-311, 355-356. I
s. 70. Pages 312 à 314, 317, 321, 354. 71. Pages 311-312, 354. 72.
Pages
308, 310-311, 355-356. Il ajoute à tort : l’écrit
x yeux » ; parler aux yeux, c’est éveiller des images visuelles. 73.
Page
305. 74. Pages 305, 307, 354. 75. Page 283. 76
er aux yeux, c’est éveiller des images visuelles. 73. Page 305. 74.
Pages
305, 307, 354. 75. Page 283. 76. Pages 288, 303
r des images visuelles. 73. Page 305. 74. Pages 305, 307, 354. 75.
Page
283. 76. Pages 288, 303. 77. Pages 285, 298-299
suelles. 73. Page 305. 74. Pages 305, 307, 354. 75. Page 283. 76.
Pages
288, 303. 77. Pages 285, 298-299, 309-310, 333-3
5. 74. Pages 305, 307, 354. 75. Page 283. 76. Pages 288, 303. 77.
Pages
285, 298-299, 309-310, 333-334, 341, 346-347, 361
ssim. 78. Celle-ci implicitement, p. 297 ; la rêverie, p. 315. 79.
Pages
304, 305, 306. 80. Pages 280-281, 334. 81. Page
citement, p. 297 ; la rêverie, p. 315. 79. Pages 304, 305, 306. 80.
Pages
280-281, 334. 81. Page 306. De là, page 359, ces
erie, p. 315. 79. Pages 304, 305, 306. 80. Pages 280-281, 334. 81.
Page
306. De là, page 359, ces équations inexactes : p
. Pages 304, 305, 306. 80. Pages 280-281, 334. 81. Page 306. De là,
page
359, ces équations inexactes : parler est penser,
st penser, et, comme écrire est parler, écrire est aussi penser. 82.
Pages
206 à 218, où il cite Bonald ; il le cite encore,
Pages 206 à 218, où il cite Bonald ; il le cite encore, et le réfute,
pages
351-352, sur l’invention de l’écriture, mais jama
s seules autorités sont (p. 360) les mots logos, grammaire, etc. 83.
Pages
389 et suiv., etc. 84. Page 285. 85. Pages 332,
0) les mots logos, grammaire, etc. 83. Pages 389 et suiv., etc. 84.
Page
285. 85. Pages 332, 341 ; cf. p. 270 et suiv. 8
os, grammaire, etc. 83. Pages 389 et suiv., etc. 84. Page 285. 85.
Pages
332, 341 ; cf. p. 270 et suiv. 86. Page 280. 87
., etc. 84. Page 285. 85. Pages 332, 341 ; cf. p. 270 et suiv. 86.
Page
280. 87. Pages 307, 311-312, 356. 88. Page 306.
ge 285. 85. Pages 332, 341 ; cf. p. 270 et suiv. 86. Page 280. 87.
Pages
307, 311-312, 356. 88. Page 306. 89. Page 357.
cf. p. 270 et suiv. 86. Page 280. 87. Pages 307, 311-312, 356. 88.
Page
306. 89. Page 357. 90. Pages 307 à 310, 315. 9
uiv. 86. Page 280. 87. Pages 307, 311-312, 356. 88. Page 306. 89.
Page
357. 90. Pages 307 à 310, 315. 91. Page 307. 9
280. 87. Pages 307, 311-312, 356. 88. Page 306. 89. Page 357. 90.
Pages
307 à 310, 315. 91. Page 307. 92. Pages 291 et
2, 356. 88. Page 306. 89. Page 357. 90. Pages 307 à 310, 315. 91.
Page
307. 92. Pages 291 et suiv. 93. Cardaillac, p.
ge 306. 89. Page 357. 90. Pages 307 à 310, 315. 91. Page 307. 92.
Pages
291 et suiv. 93. Cardaillac, p. 292. 94. Pages
91. Page 307. 92. Pages 291 et suiv. 93. Cardaillac, p. 292. 94.
Pages
291 et suiv., 296-297, 308 et suiv., etc 95. Pag
lac, p. 292. 94. Pages 291 et suiv., 296-297, 308 et suiv., etc 95.
Pages
289-290, 298-299, 304-305. 96. Pages 316 à 320 —
296-297, 308 et suiv., etc 95. Pages 289-290, 298-299, 304-305. 96.
Pages
316 à 320 — Dans plusieurs passages (p. 305, etc.
os souvenirs n’est pas la même chose que vouloir émettre un son. 98.
Page
320, note ; p. 276 ; p. 386 : « l’habitude dissim
76 ; p. 386 : « l’habitude dissimule ce qu’elle établit » ; etc. 99.
Pages
309 et suiv., etc. ; cf. p. 315. 100. Par exempl
Par exemple, il dit, p. 293 : « Les habitudes de la mémoire. » 101.
Page
321. 102. Page 314. 103. Pages 313-314, 316. 1
dit, p. 293 : « Les habitudes de la mémoire. » 101. Page 321. 102.
Page
314. 103. Pages 313-314, 316. 104. Pages 231, 2
Les habitudes de la mémoire. » 101. Page 321. 102. Page 314. 103.
Pages
313-314, 316. 104. Pages 231, 280, 336, 357, 359
re. » 101. Page 321. 102. Page 314. 103. Pages 313-314, 316. 104.
Pages
231, 280, 336, 357, 359, 386, etc. 105. Nous tro
, le rôle de la parole intérieure dans l’audition ; p. 538-539. 118.
Page
313. 119. Pages 297-298. 120. Dans la première
parole intérieure dans l’audition ; p. 538-539. 118. Page 313. 119.
Pages
297-298. 120. Dans la première partie de L’intel
V de la deuxième partie, p. 293 à 361, est consacré au langage. 125.
Page
438. La parole intérieure est encore signalée, p.
l et non un mouvement musculaire ou l’image d’un tel mouvement. 126.
Pages
92 à 95, 311-312, 345, 353, 432, 438 à 440. 127.
er Baillière en 1875 (2 vol.), Logique déductive et inductive.] 128.
Pages
337 à 361. 129. Ces chapitres sont loin d’épuis
mant désespéré qui s’est tué aux pieds de sa maitresse. Les dernières
pages
sont lugubres : l’enterrement de Claude, un jour
e la souffrance imméritée : le petit Jacques. Vous trouverez même des
pages
apaisées et presque gracieuses : Christine recuei
des amitiés de jeunesse… Mais plutôt vous trouverez, presque à chaque
page
, une tristesse affreuse, une violence de vision h
ics louches ». Je sais que ce n’est rien, que cela ne tient que trois
pages
, et qu’on peut les retrancher du livre sans qu’il
sa chambre. Ce qui la tourmente, ce sont « les désirs insconcients… (
page
93), la fièvre anxieuse de sa puberté ». Elle « d
e à la vie ». Elle « ôte ses bas, devant Félicien, d’une main vive » (
page
124). Et elle s’enfuit, « dans sa peur de l’amant
a peur du mâle » ; c’est tout ce qu’il y a de changé ici.) Et encore (
page
164) : « Elle se donnait, dans un don de toute sa
l et sa passion, toute à l’inconnu violent de son origine ». Ou bien (
page
261): « Elle triomphait, dans une flambée de tous
se lamentent de n’avoir pas d’enfant, et, toutes les vingt ou trente
pages
, l’auteur nous fait entendre délicatement que ça
sortait du silence de leur chambre, se dégageait de leur personne » (
page
143). Ou bien (page 167) : « Et Hubertine était t
de leur chambre, se dégageait de leur personne » (page 143). Ou bien (
page
167) : « Et Hubertine était très belle encore, vê
orturait après vingt ans de pénitence avait cette jeunesse odorante… (
page
227). » Et plus loin (page 278) : « Sans qu’il se
pénitence avait cette jeunesse odorante… (page 227). » Et plus loin (
page
278) : « Sans qu’il se l’avouât, elle l’avait tou
s d’outils qui témoignent à la fois d’une érudition et d’un scrupule (
pages
54 et 55) !… Et que dites-vous de ce petit morcea
de l’Âne et du Pape sont menaçants. Il y a dans tous ces ouvrages des
pages
très hautes. Mais leur grandeur elle-même les ren
rnières années de sa vie, il les consacra au peuple. Il a composé les
pages
de Geneviève ; les récits du Tailleur de Pierres
contemporains plus éclatants, serait pour moi ceci : laisser quelques
pages
de mes sentiments ou de mes pensées en un petit v
ourquoi ces intrépides esprits n’ont-ils pu réussir à nous donner les
pages
dont nous sommes désireux ? Pourquoi leurs tentat
u livre, c’est sa morale. Cérès et Vénus la bénissent. Cette première
page
d’un évangile que tous nous attendons constamment
nnel amour de la vie harmonieuse, la pitié et la charité à toutes les
pages
. C’est pourquoi j’aime Fécondité. Là un homme a v
ternelles lois. Il n’a point seulement cherché à écrire de splendides
pages
, il s’est préoccupé de leurs vertus. Il a voulu y
écit. L’œuvre est d’un homme simple, héroïque et primitif. Il y a des
pages
arrachées d’Hésiode. Les chapitres sur Chantebled
té de jouir en silence des beautés de sentiments qui débordent de ces
pages
, de pleurer avec le père, de remonter avec l’épou
, le volume de poésies de son mari, d’insérer dans ce volume quelques
pages
blanches, de couvrir ces pages blanches de leurs
ari, d’insérer dans ce volume quelques pages blanches, de couvrir ces
pages
blanches de leurs noms, et de quelques lignes de
our cette illustre et vertueuse femme. L’un d’eux m’a apporté hier ma
page
à remplir ; cette page et sa destination m’ont in
ertueuse femme. L’un d’eux m’a apporté hier ma page à remplir ; cette
page
et sa destination m’ont inspiré ce matin les vers
énies des lettres, Omnes cœlieolas, omnes supera alla tenentes, des
pages
élevées, presque éloquentes, qui indiquent chez l
ivre renfrogné, l’idéal du bouquin, n’a été mieux exprimé qu’en cette
page
heureuse ; mais M. Joubert y parle surtout au nom
t. La bonne édition du Mascurat, la seconde, est un gros in-4° de 718
pages
. Le livre fait encore aujourd’hui les délices de
atalogue en branle, ici sur tous les novateurs et faiseurs d’utopies (
pages
92 et 697), là sur les femmes savantes (p. 81) ;
commencement du Mascurat il n’est pas huit heures et demie du matin (
page
13) : les deux compagnons entrent au cabaret et s
s’attablent pour discourir à l’aise a mane ad vesperam (p. 38). A la
page
322, on les voit qui dînent. Page 349, Saint-Ange
se a mane ad vesperam (p. 38). A la page 322, on les voit qui dînent.
Page
349, Saint-Ange frappe pour demander à boire. Pag
s voit qui dînent. Page 349, Saint-Ange frappe pour demander à boire.
Page
379, il continue de mâcher et de boire. Page 385,
e pour demander à boire. Page 379, il continue de mâcher et de boire.
Page
385, il est question de plat qui se refroidit. Pa
cher et de boire. Page 385, il est question de plat qui se refroidit.
Page
386, Mascurat s’absente un bon quart d’heure, ou
s honnêtes gens et bons esprits. » Naudé, en écrivant cette charmante
page
, ne comprenait-il donc pas que le nombre de ces h
veille. Ainsi, à propos de l’Alcoran, dont les paroles, dit Mascurat (
page
345), sont très-belles et bonnes, quoique la doct
icité dans ledit livre. » On a le venin. J’aime mieux citer une belle
page
philosophique, et même religieuse à la bien prend
ensée souvent exprimée par lui. Il s’agit de je ne sais quel conseil (
page
229) dont Saint-Ange croit que les politiques d’a
tte. 224. Nouveau Recueil de Lettres choisies de Guy Patin, tome V,
page
283. 225. S’il l’eut sur un point, ce fut en arc
Bas ou en Westphalie. 228. Voir de Maistre, Examen de Bacon, tome I,
page
94. 229. La rose, dans l’antiquité, était l’emb
roix, l’a remise depuis dans son Mascurat, et en a fait la plus jolie
page
de ce gros in-4° : « La fable ancienne ou moderne
vision, ni miracles. » Guy Patin (Nouvelles Lettres à Spon, tome II,
page
183). 233. Voir le Mascurat, page 246. Cette por
Nouvelles Lettres à Spon, tome II, page 183). 233. Voir le Mascurat,
page
246. Cette porte particulière n’eut pas temps de
e trop longue suite de grandeurs et prospérités. » C’est là une belle
page
et digne de Montaigne. (Voir aussi le début du ch
sur cette version le Mercure galant de novembre 1683. 242. Dans une
page
du Mascurat (190), on voit trop bien en quel sens
r poussaient Naudé en terre étrangère : il subit l’air du pays. 244.
Page
254. 245. Une sorte de publicité existait dès le
elquefois de quatre-vingts à cent qui y étudiaient ensemble (Mscurat,
page
244). — Voir aussi, dans les Lettres latines de R
enir de quelque séance. 246. Lettres choisies de Guy Palin, tome I,
page
35. 247. Autre témoignage : « Naudé étoit d’une
que la lettre de Guy Patin jour pour jour, 27 août. 249. Et encore (
page
370) il enfile toutes sortes d’historiettes sur d
e fureteur historique et de défenseur du Mazarin, lorsqu’il se donne (
page
266) le malin plaisir d’énumérer tous les profits
vait lâché en passant contre cette renommée populaire de Sully. 250.
Page
152. 251. M. Artaud, dans son ouvrage sur Machia
. Page 152. 251. M. Artaud, dans son ouvrage sur Machiavel (tome II,
pages
336-350), cite un ouvrage manuscrit français qui
I des Portraits Contemporains, — nous n’avons pas hésité à glaner les
pages
qu’il avait laissées après lui. Il faut prévoir l
on nous est venue, à mesure que nous retrouvions quelques-unes de ces
pages
oubliées, en les signalant à des savants pour les
igner ses œuvres il en est en quelque sorte le synonyme. a. Tome II,
page
495, en note (Éditions Michel Lévy.) b. Afin de
ude de 1833 sur Jouffroy (Portraits littéraires, tome I, à partir des
pages
297 et 314) ; et dans son article de 1868, sur J.
ier jalon dans l’étude à laquelle nous venons de renvoyer le lecteur (
pages
200 et 201). Mérimée aussi y « donna quelque chos
a Rochelle (20 septembre 1830). (En note, Nouveaux Lundis, tome XIII,
page
10, et Souvenirs et Indiscrétions, page 40.) f.
, Nouveaux Lundis, tome XIII, page 10, et Souvenirs et Indiscrétions,
page
40.) f. La publication, que nous préparons après
e et de dévoiler ses motifs à lui-même inconnus. Il a écrit de belles
pages
sur ce Lohengrin ; à plusieurs reprises, et toujo
Parsifal, on considère d’abord avec étonnement, avec effroi même, ces
pages
noires de notes, ces portées où grimace la silhou
e a, si l’on peut dire, son côté matériel, sa physionomie propre. Une
page
de Mozart avec ses contours fins et délicats, son
ion de l’air et de la lumière, ressemble aussi peu que possible à une
page
de Wagner, où la rencontre des lignes, la singula
ères du calendrier de 1886 sont : Une préface de Hans von Wolzogen (3
pages
) ; Puis, 1° un article sur le centenaire de Weber
; Puis, 1° un article sur le centenaire de Weber, par L. Schemann (3
pages
) ; 2° calendrier, éphémérides, agenda pour 1886,
calendrier, éphémérides, agenda pour 1886, avec un éclaircissement (4
pages
) sur les noms germaniques par W. G. ; 3° étude de
par W. G. ; 3° étude de C. Glasenapp : Richard Wagner, — l’homme (24
pages
) ; 4° les Représentations de Fête de 1886 à Bayre
Fête de 1886 à Bayreuth : — histoire du Théâtre de Fête à Bayreuth (3
pages
) ; étude sur le théâtre national allemand, par Ha
) ; étude sur le théâtre national allemand, par Hans von Wolzogen (21
pages
) ; sur Tristan et Isolde, par Wolfgang Golther (3
Wolzogen (21 pages) ; sur Tristan et Isolde, par Wolfgang Golther (32
pages
) ; sur Parsifal, par Arthur Seidl (36 pages) ; es
par Wolfgang Golther (32 pages) ; sur Parsifal, par Arthur Seidl (36
pages
) ; essai de programme au prélude de Parsifal, par
(36 pages) ; essai de programme au prélude de Parsifal, par A. G. (4
pages
) ; 5° les bourses de voyage aux Représentations d
5° les bourses de voyage aux Représentations de Fête, par F. Sch. (1
page
) ; 6° l’Association Wagnérienne Universelle : com
era celle de Tristan. Nous avons en cette revue (numéro du 8 octobre,
page
257) expliqué le système de traduction suivi par
! L’idéalisation du théâtre, par Hans de Wolzogen(I volume de 113
pages
, en allemand). Œuvre publiée par les Bayreuther B
re représenté pour la première fois. À nos lecteursch Avec ces
pages
se termine la première série annuelle de la Revue
uin est valet du capitaine Spavente. Une jeune Milanaise, déguisée en
page
, vient sous le nom de Lesbino offrir ses services
. scène III. Survient Lesbino que le capitaine consent à prendre pour
page
, après lui avoir fait quelques questions bouffonn
e récompense à Piombino. scène XV. Le capitaine s’entretient avec son
page
Lesbino de la passion que lui inspire la comédien
le dessein d’assassiner son maître. Arlequin injurie et maltraite le
page
. Flaminia et Isabelle interviennent. scène XVII.
promesse. Arlequin dit à Oratio qu’Isabelle et Flaminia ont enlevé un
page
de son maître, et qu’elles retiennent ce page che
Flaminia ont enlevé un page de son maître, et qu’elles retiennent ce
page
chez elles. Isabelle, saisissant l’occasion de ca
cause de tout ce bruit. Isabelle dit qu’Oratio a voulu lui enlever ce
page
. « Et que voulez-vous faire de ce page ? » repren
’Oratio a voulu lui enlever ce page. « Et que voulez-vous faire de ce
page
? » reprend Pantalon en colère. Isabelle raconte
uteurs des Ingannati : Regardez, messer Spavente, reconnaissez votre
page
, celui qui s’est fait votre serviteur si fidèle,
, sous le joli titre de : L’Imagier du soir et de l’ombre, de courtes
pages
qui éveillent singulièrement l’intérêt. « J’ai la
curité par mes doigts habiles à reconnaître les objets familiers. Et,
page
par page, j’ai échenillé mon livre jusqu’à le réd
r mes doigts habiles à reconnaître les objets familiers. Et, page par
page
, j’ai échenillé mon livre jusqu’à le réduire à ce
Et certes, il n’est pas besoin de bienveillance spéciale pour que ces
pages
répondent « beaucoup » à celui qui les lit ; M. D
nous croie : « La première femme, — dit dogmatiquement Bellegarrigue,
page
88 de son volume, — la première femme qui échange
plénitude d’une définition : « Les Américaines — dit Bellegarrigue,
page
8, — sont des femmes vivant en contemplation d’el
t de sa découverte psychologique, le foudroyant moraliste ajoute à la
page
9, après avoir froncé son terrible front de pense
souvent on se demande, en le lisant, si l’homme qui a écrit de telles
pages
, qui brûle un encens de ce fumet pour la plus gra
elant des lorettes : « Ce type, chez nous (la lorette), — dit-il, aux
pages
8 et 9, — n’est que le modèle d’une catégorie fém
: « Apprendre la vie ! Dans de pareils établissements, — ajoute-t-il,
page
19, avec une délicatesse bien touchante, — les je
la valeur est nulle, s’il ne s’agit pas de la mettre en portefeuille (
page
65). » Il est vrai que, pour le penseur vigoureux
croient que le nombre fait la loi morale : « La vertu, — dit-il à la
page
16, — la vertu se compose de tous les vices autor
Textes et documents I. —
Page
60. Les Gelosi ne sont pas sans doute, ainsi
. La Fortuna di Foresta, prencipessa di Moscou, opera regia. II. —
Page
75. La dernière scène du Vecchio geloso revien
ua moglie, cosi si fanno le nozze d’Oratio con Isabella. » III. —
Page
104. L’Emilia de Luigi Groto est une imitatio
ts de la morale qu’on a tant accusé Plaute d’avoir méconnus. IV. —
Page
141. Voici la traduction que M. Ch. Magnin a f
e jeu de mots qui termine ce second sonnet est intraduisible. V. —
Page
170. Nous pouvons donner une idée du talent po
è poësia ch’è muta : Merta fede chi parla, e non chi tace. VI. —
Page
268. EXTRAIT DES COMPTES DE LA COUR, POUR L’AN
jesté, les jour et an de l’autre part. Signé : Boileau. VII. —
Page
283. Liste des canevas de Dominique analysés
unes de celles que nous venons d’énumérer en dernier lieu. VIII. —
Page
337. Ce qu’on a dit relativement à La Fausse P
à Saint-Germain. Voyez notre édition des Œuvres de Molière, tome VI,
page
112. 65. Brécourt, alors acteur à l’Hôtel de Bou
avant de lire les volumes de M. Gautier. L’auteur, dès les premières
pages
, m’a rappelé tout d’abord combien, au sein d’un m
Du Verdier et autres pédants, comme il les appelle tout net (tome I,
page
7). J’avoue humblement que je ne me fais pas de l
s charmant endroit et comme le plus adorable morceau de Théophile une
page
de prose qui devient parfaitement inintelligible
nscrit, et dans laquelle des lignes indispensables au sens (ligne 16,
page
157) ont été omises. Dans l’histoire abrégée du s
vérentes qui font sa joie ; je le renverrai seulement à la très-belle
page
des Soirées de Saint-Pétersbourg (3e Entretien),
e les ailes impitoyablement, » etc., etc. ; comme il vient à quelques
pages
de là de s’exprimer de ce ton absolu, que va-t-il
es preuves en ces volumes mêmes, si sujets à contradiction. Nombre de
pages
qu’il y a semées et qui me reviennent à la fois,
es ne sont que rarement musiciens et réciproquement, etc., toutes ces
pages
se lisent avec plaisir et se retiennent ; elles s
dition in-8° des Critiques et Portraits (1839) on trouverait quelques
pages
que nous ne reproduirons pas ici, non pas que nou
rrigerions guère qu’une honteuse inadvertance qui nous a fait placer (
page
535) l’exil d’Andromaque en Thrace au lieu de l’É
qui, dans son commentaire, ne surfait certainement pas Malherbe (voir
page
43 du Malherbe commenté), mais qui l’apprécie.
es obstacles, la force humaine a pour but de s’exercer. Ces premières
pages
de M. Thiers sont d’un heureux augure ; elles att
arrivé à Paris en septembre 1821. Nous avons la date précise dans une
page
d’album écrite de sa main sous ce titre : Arrivée
a mettre ordre à cela. Il serait piquant d’écrire, en regard de cette
page
de jeunesse, le résumé de son budget de ces année
ans sa nuance. Tandis que l’un burinait déjà jusque dans ses moindres
pages
les traits d’une pensée grave, élevée et un peu p
. de Montlosier, ou, comme il l’appelle, sur ce long cauchemar de 300
pages
, intitulé De la Monarchie française au 1er mars 1
ent profond de ce que j’appellerai la vérité sociale, éclate dans ces
pages
où le jeune écrivain, si prononcé pour les choses
arts et sur les divers mérites propres à ceux du dessin, restent des
pages
très-agréables et très-justes, des gages d’un ins
Salon de 1822 renferme de généreux conseils à Horace Vernet22 et une
page
commémorative pour le jeune Drouais ; Drouais, ce
amais couronnées : historien, il leur dressera un autel, et, dans des
pages
dont on se souvient, il s’inspirera éloquemment d
petit écrit se recommande encore, après bien des années, par quelques
pages
plus durables : des descriptions lumineuses et fa
ement, ne doit par cela même durer qu’un instant. » Certes de telles
pages
, négligemment jetées et venues comme d’elles-même
certains moments, de tout comprendre et de tout sentir. Il y a telle
page
de Jouffroy où il nous représente aussi le pâtre
inanes. N’oublions pas toutefois que, dans les simples et admirables
pages
où il raconte, après le 9 thermidor, la condamnat
’Italie. On ne nous saura pas mauvais gré de représenter ici la noble
page
tout entière : « Jours à jamais célèbres et à ja
et né dans les rangs nouveaux, n’a pas senti un jour, en lisant cette
page
, un battement de cœur et une larme ! Notez bien c
tème : c’est la même précision et la même netteté que dans les belles
pages
de son Histoire de la Révolution sur les assignat
mas, si l’on s’en souvient, en son Éloge de Duguay-Trouin et dans une
page
qu’on dit éloquente, a décrit les difficultés et
l’idée d’un grand ensemble. P. S.35 Au moment où nous terminons ces
pages
qui, dans l’attente actuelle du public, ne peuven
olu à mettre en valeur chaque portion de son sujet. Dès les premières
pages
, on sent un esprit de modération élevé, supérieur
23. Voir, dans l’article de M. de Rémusat sur M. Jouffroy, les belles
pages
sur les jeunes générations en marche vers 1823. (
nérations en marche vers 1823. (Revue des Deux Mondes, 1er août 1844,
pages
435-438). 24. N du 17 janvier 1824. 25. Ce pass
du Globe précédemment indiqués. 29. Chronique des cinquante jours,
pages
1 et 2. 30. Il n’en fit pas moins ce même Salon
et 29 mars. 33. 3 avril et 21 juin. 34. Jacqueline Pascal (1845),
page
29. 35. On reproduit ici ce Post-Scriptum qui pa
Notes et éclaircissements. [Œuvres complètes, tome XII] Note A,
page
38. [IIe partie, liv. I, chap. 5] « Les vérit
on que d’économie dans la nature. » (Tom. IV, pag. 463.) Note B,
page
42. [IIe partie, liv. II, chap. 1] Comme la ph
dernes doivent avoir un frein puissant dans leur religion. Note C,
page
142. [IIe partie, liv. III, chap. 6] Voici que
sont morts de misère, le troisième a péri sur l’échafaud. Note D,
page
166. [IIe partie, liv. IV, chap. 1] Nous ne vo
et des passions, telle qu’elle existait pour les anciens. Note E,
page
176. [IIe partie, liv. IV, chap. 2] Poésies
broad ! my friends, receive me from the night. (Ossian.) Note F,
page
208. [IIe partie, liv. IV, chap. 9] IMITATION
t mieux Régner dans les enfers qu’obéir dans les cieux. » Note G,
page
236. [IIe partie, liv. IV, chap. 15] Le Dante
te et maggior fatto. Purgatorio di Danto, canto i et ii. Note H,
page
251. [IIe partie, liv. V, chap. 2] Fragment d
perdre. (Sermons de Bossuet, tom. III.) (Note de l’édit.) Note I,
page
262. [IIe partie, liv. V, chap. 2] On sera bie
ns l’école de Jésus-Christ, sous la discipline de Paul… » Note K,
page
310. [IIIe partie, liv. 1, chap. 4] Voici le c
le avec des sujets chrétiens que les sujets mythologiques. Note L,
page
312. [IIIe partie, liv. I, chap. 4] Le catalog
bien loin de tout cela aux paysages de Claude le Lorrain. Note M,
page
331. [IIIe partie, liv. II, chap. 1] L’abbé Ba
cier, par ses lettres, par le témoignage de ses contemporains, qu’une
page
de ses épreuves d’imprimerie suffirait à le démon
lle de Revue, payée en moyenne à l’auteur deux cents francs les seize
pages
, furent souvent dépassés par les frais de correct
prise au pied de la lettre et appliquée aux deux ou trois cent mille
pages
de l’œuvre du peintre de la Comédie humaine. Éton
e bouillonnement de la pensée. Il ne m’est possible que de donner une
page
des moins chargées de ces épreuves. D’autres feui
anuscrit complet de l’auteur de la Tour de Nesle comparé à une simple
page
semblable à celle ci-dessus, se rendrait compte q
vol. in-8°). 2. La notice qui suivra contiendra le fac-simile d’une
page
de l’exemplaire de Louis Lambert corrigé, dont M.
Swetchine. Les premières étaient épuisées. Le succès de ces quelques
pages
avait été complet, car, au fond, ce n’est pas plu
pages avait été complet, car, au fond, ce n’est pas plus que quelques
pages
. Légères malgré leur sérieux, gracieuses comme le
petit, — quoiqu’ils aient tous les deux à peu près le même nombre de
pages
. Et ce n’est pas un mirage, cela, c’est une réali
quelques gouttes tremblent d’une manière si charmante, dans ce peu de
pages
qu’elle nous a laissées. Mais l’amitié a ses aveu
ne pour faire cette antithèse de rhétorique si peu imprévue… Dans les
pages
que l’on a réunies et qui se sont détachées de sa
la femme que la vieille femme qu’on doit adorer, eh ! bien, dans ces
pages
que le pédantisme peut appeler des œuvres, mais q
iment du voisinage de Dieu qui a inspiré à Mme Swetchine d’admirables
pages
consolatrices sur la vieillesse, qui mettent mieu
un livre (dont il désigna la place), apportez-le et lisez-le-moi à la
page
marquée. » — L’ami, en allant chercher le livre,
il réclamait enfin. Il trouva le livre, l’apporta, et, l’ouvrant à la
page
marquée, il lut à haute voix. C’était Horace et l
ye de rendre se reproduira plus d’une fois en lisant de lui certaines
pages
politiques et philosophiques ; on aura à s’étonne
’inusité et le monstrueux des circonstances. Rappelons une bien belle
page
: « Que l’enthousiasme soit quelquefois accusate
urs politique, il rédigeait le tout comme un rapport, il couvrait des
pages
entières d’une écriture serrée, minutieuse, disti
des pages entières d’une écriture serrée, minutieuse, distincte, des
pages
écrites jusqu’au bord, sans marge, et pleines com
fertiliser. En un mot, une barrière assez marquée sépare à certaines
pages
le classique Daunou des grands et parfaits écriva
a manière d’apprendre à lire aux enfants. Je ne saurais abréger cette
page
curieuse. « Cet enseignement, dit-il, quoiqu’il a
s de l’humanité… » Je suis forcé, à mon grand regret, d’abréger cette
page
pour laquelle j’ai presque à demander pardon aux
ieu de beaucoup d’inepties, certains traits, peut-être même certaines
pages
qui ne sont pas très-loin du talent. Courtois a c
bespierre avait fini pourtant par le fléchir un peu108. On a d’autres
pages
de lui sur les souvenirs de ces temps, les deux p
é d’éloges au dominateur tout-puissant, et ils portent à une certaine
page
le contreseing impérial pour ainsi dire. Je ne lu
ire à rester un grand citoyen : « Malgré l’assertion, dit-il (tome 5,
page
231), qu’un citoyen distingué, M. Daunou, a paru
ompte aux lecteurs ; le plan, les divisions, quelquefois le nombre de
pages
, y sont relatés ; peu s’en faut que la table des
, des traits charmants, des médaillons bien frappés, ornent en mainte
page
ce narré complexe et précis. Les grands hommes, j
parties dans la suite de son enseignement, M. Daunou conclut par une
page
qui est la plus éclatante manifestation en l’honn
e la maturité. » M. Daunou, sans doute, étudiait, lisait toujours des
pages
nouvelles, des détails nouveaux, mais il les fais
x points, où il a cru pouvoir me réfuter : 1° M. Taillandier suppose (
page
224 de son Écrit)que j’ai fait une confusion entr
r, c’est une confusion que je n’ai nullement faite (voir précédemment
page
44, à la note), et je m’étonne qu’un homme exact
rêtée. 2° M. Taillandier, contrarié d’une anecdote que j’ai racontée (
page
40), a trouvé plus court de la nier (Documents bi
e (page 40), a trouvé plus court de la nier (Documents biographiques,
pages
196). Sans épiloguer sur le jour précis où la scè
rature, son article Boileau. — L’Année littéraire de 1787 (tome VIII,
page
97) contient, au point de vue classique, un artic
ratoire et qui probablement en était ; M. Daunou répondit en quelques
pages
non signées avec une singulière vivacité : « Les
icle sur La Fayette (Portraits littéraires, édition de 1852, tome II,
page
180) ; je garantis la fidélité parfaite des détai
artificielle, dans la profonde ignominie de ses propres vices. Cette
page
des Garanties est fâcheuse ; elle le serait encor
e le serait encore, même sans qu’on la rapprochât de certaines autres
pages
de 1807-1812. 114. Pages vi et vii : il ne fait
ans qu’on la rapprochât de certaines autres pages de 1807-1812. 114.
Pages
vi et vii : il ne fait qu’énoncer en cet endroit
s, qu’un attentat punissable, quoique impuissant. » (Édition de 1810,
page
333). 116. Dira-t-on que les éloges ne sont pas
n’allait jamais jusqu’à être dur. 124. Voir sur Alexandre, tome VI,
page
57 ; sur Mahomet, même volume, page 160, et encor
124. Voir sur Alexandre, tome VI, page 57 ; sur Mahomet, même volume,
page
160, et encore tome III, page 505. Mahomet est fl
VI, page 57 ; sur Mahomet, même volume, page 160, et encore tome III,
page
505. Mahomet est flétri au delà de toute mesure :
n a pas trace dans une seule des deux mille cinq cents ou trois mille
pages
que vous avez consacrées aux ouvrages contemporai
eine d’une réelle beauté, et ce n’est pas sans émotion qu’on lira ces
pages
où l’on voit le médecin épiant la mort sur lui-mê
la femme ne veulent rouvrir le livre où il a été fermé, à la première
page
où commençait l’amour. Un peu comme Titus, un peu
bibliothèque littéraire », je n’ai pu m’empêcher de relire ces belles
pages
, dans lesquelles j’ai revu le Colysée, le Campo V
inventé d’hier, sinon d’aujourd’hui. Il suffit de lire les dernières
pages
du livre pour en restituer l’initiative à MM. de
le talent de l’auteur a su faire jaillir l’angoisse et la pitié ; les
pages
où se trouvent les aveux de la femme, celles où l
Véron, déjà avance en âge, affirmait qu’il lui suffisait de lire dix
pages
d’un roman de Crébillon fils, pour se sentir subi
des gourmettes, du déchirement de l’air par les bombes, que dans ces
pages
d’impérieux intérêt. C’est un véritable poème épi
ancier, poète et psychologue ; ces qualités éclatent à chacune de ces
pages
, pleines d’une telle intensité de vie, d’une péné
se contente de dire : — Voilà comme je serai dimanche ! Néanmoins ces
pages
contribuent à faire de l’Intrus un livre d’une in
e provenance suédoise, norvégienne ou. danoise. L’esprit est à chaque
page
de ce livre. Deux jeunes filles causent ; l’une d
iaux, pour une histoire qui ne sera jamais écrite. Dans ces curieuses
pages
je trouve ce croquis léger et certainement ressem
reste sympathique en dépit de sa chute. C’est là que se trouvent des
pages
vraiment éloquentes, rien que par l’énoncé des fa
ntiques dans la collection qui en abonde présentement ; il est telles
pages
qu’on jurerait écrites par une gaillarde du temps
oin », et s’écrie entraînant à sa suite la maréchale retenue par deux
pages
qui portent la queue de son manteau : « … Mais où
ésire, c’est tout ce que souhaite aussi son auteur. XIX. Séverine.
Pages
rouges Bien que plaidant avec une énergie et
fforts pour ne le pas laisser confondre avec la populace. Son livre :
Pages
rouges, est une preuve de ce que j’avance. Compos
t contre l’article qui avait précédé et causé cette scène sanglante.
Pages
rouges est, je le répète, un livre de grand intér
u’elle est. Pourquoi, elle qui a l’horreur du sang, a-t-elle intitulé
Pages
rouges ces pages où se trouvent, en même temps qu
uoi, elle qui a l’horreur du sang, a-t-elle intitulé Pages rouges ces
pages
où se trouvent, en même temps que l’amour de l’hu
ur acte de naissance ? Dès le commencement du volume, je trouve une
page
exquise : La Bossue, que je regrette de ne pouvoi
ntemplais, dans l’ombre où j’étais seul, Comme on verrait tourner des
pages
de registres, Ces apparitions de montagnes sinist
sont chargés de réunir les œuvres de Victor Hugo ont trouvé dans les
pages
qui constituent la corde d’airain un morceau dest
le tiers) composent ce livre, qui contient peut-être les plus belles
pages
du maître. Il n’est pas permis de disserter de sa
r individuelle. Je n’ai pas pu résister au besoin de copier ces deux
pages
du beau livre de Barbey d’Aurevilly, un livre ple
hie, les appréciations de la pauvre œuvre humaine qui remplissent ces
pages
faites de bon sens et de fantaisie. La justice, l
ues, les vigoureuses peintures du moyen âge, enrichissent de superbes
pages
l’œuvre de M. de Heredia, c’est dans l’antiquité
tions, de ces richesses de verbe et de forme qui étincellent à chaque
page
des Trophées, je voudrais trouver un peu plus l’h
s fidèles du vers classique, ne sont point des vers, et que, quelques
pages
plus loin, je trouve cet autre quatrain, le premi
e le trompe, qu’il ne viendrait seulement pas ! dit, en une charmante
page
, la jeune femme ; faites-en l’essai et écrivez-lu
s raison qu’en le feuilletant on croit percevoir dans le bruit de ses
pages
comme le murmure de lointaines conversations, ave
e serait toute une étude à faire, mais je signalerai, en tournant les
pages
, les faits, les appréciations qui sortent comme s
il y a progrès. C’est avec un serrement de cœur qu’on lit dans ces
pages
tous les préparatifs faits pour combattre l’émeut
m’étais promis de marquer d’un pli, au courant de ma lecture, chaque
page
qui me paraîtrait contenir un passage à relire ;
chevelure d’enfant ébouriffé de papillotes de papier ; presque chaque
page
a sa marque. M. Maxime Du Camp qui ne considère p
nesse qui renaît pour lui, c’est l’histoire qui ouvre son livre à une
page
inattendue : Pour juger Napoléon, il ne faut poi
st demain qui captive surtout son attention curieuse ; je coupe cette
page
d’excellents conseils à nos « jeunes », à qui il
entiment d’une indiscutable grandeur. Aussi, pour moi, les maîtresses
pages
du livre de M. Lavisse sont-elles celles de sa ré
r de celui qui y descendait. Le livre de M. Lavisse renferme bien des
pages
excellentes, et notamment celles où il dépeint le
e critiques en ont rendu compte évidemment avant d’en avoir coupé les
pages
, c’est un procédé bien digne de toute ma sympathi
ppellerai même pas les grands travaux dont la description remplit les
pages
; mais je signalerai l’hommage rendu par Haussman
Wyzewa. Les Disciples d’Emmaüs Enfin voici un petit livre de cent
pages
; béni soit-il, lui qui vient nous reposer de ces
d’autres jouissances que celles des sens. Je passe bien des curieuses
pages
dont la conclusion est invariablement l’influence
798 à 1800, à Naples en 1799, à Cadix et à Cabrera en 1808. Parmi les
pages
les plus curieuses citées par le directeur de la
siècle. Au commencement d’une excellente introduction je trouve cette
page
qui peut donner un avant-goût du livre : Voici à
ontemporaine » ; « les origines du romantisme », rappelant les belles
pages
, déjà signalées, écrites sur le prince Napoléon ;
, au lendemain de la mort de sa fille, que Jean Rousseau a rempli ces
pages
qu’on peut dire écrites de larmes : Je ne sais ri
rire de petit enfant. Pensant bien que sa famille désirerait lire ces
pages
intimes, il n’a pas voulu, par une exquise pudeur
comédies qui se jouent, mais de l’autre coté de la toile. Toutes ces
pages
fourmillent de notes curieuses, presque des canca
es martyres qu’ils faisaient subir aux enfants. Je copie encore cette
page
navrante : Le 23 mars dernier, écrivait le docte
ils sont bien plus heureux dans la terre des âmes ! » Les cinq cents
pages
qui composent le livre de l’abbé Émile Petitot so
fille, Mlle Claire Thiébault. En effet, on est frappé, aux premières
pages
de ces Mémoires, par la suite de petits faits, de
res qu’il a suivies étant enfant. Les anecdotes se succèdent à chaque
page
, les amateurs de spiritisme y trouveront même des
, ce qui me scandalisa, me révolta même, ce furent les propos que des
pages
, des gardes du corps et quelques jeunes seigneurs
al Thiébault, mais on peut juger de l’intérêt et de la variété de ces
pages
pleines de sincérité, qui renferment un peu de to
i au seuil de la politique, mais je ne puis m’empêcher de citer cette
page
brûlante où parle, non pas l’homme d’un parti, ma
élément nouveau apporté en histoire par M. Henry Houssaye. Deux cents
pages
sur sept cents sont consacrées au rôle joué par l
her ni rien atténuer. Peut-être a-t-il eu tort ? Il y a dans 1814 des
pages
qu’on ne peut lire sans que le rouge monte au fro
ustes consacrés aux domestiques de théâtre, aux ficelles dramatiques,
pages
écrites avec autant d’expérience que de finesse d
ssants, parmi ceux-ci : un Cours complet de lecture en une leçon, dix
pages
que devraient apprendre par cœur ceux qui veulent
voir pleuré, s’être consolé, avoir pardonné, pour réunir en une seule
page
tant de trésors d’indulgence, de grâce, de gravit
olume au souverain, et Napoléon III lut avec stupéfaction au haut des
pages
en titre courant, ces mots triomphants : Conquête
ent quelqu’un, mais je l’ai porté comme un paratonnerre ! » Vient une
page
intéressante pour la Société protectrice des anim
r que ce soit impossible. Je livre aux admirateurs de Victor Hugo des
pages
incroyables écrites sur Hernani ; il « rit aux éc
garde impériale russe. » Nul ne saurait douter de la sincérité de ces
pages
, d’où ressort, sans vantardise, rien que par l’ex
tout le volume qui, comme on le voit, est de grand intérêt. Quelques
pages
plus loin que l’endroit où je m’arrête, on touche
sœur : — « Pardon, ma pauvre Jenni, si j’ai écrit une mortelle petite
page
avant de parler de toi et de ton bras ; ce n’est
he, l’implacable justicier, l’homme qui a laissé les plus effroyables
pages
que l’intolérance ait jamais dictées, ce prophète
x surprenants récits de la vie de l’Astre noir, dont il n’est pas une
page
qui ne renferme une pensée, une observation. Mais
t tout. Mais il est temps de lui laisser la parole, et je copie cette
page
de ses remarques sur la genèse et la diffusion de
arion traite les sujets qu’il aborde. Rien n’est plus curieux que les
pages
où il explique que le nivellement général de la t
de l’Étape, Balzac nous hante, et ses richesses. Balzac a souvent des
pages
enchevêtrées et qui sont tout entières en parenth
les mains vides et, sans nommer saint Augustin, il paraphrase en une
page
, qu’il réussit à rendre inepte, l’admirable « ama
e. Mais il est de ceux, déjà bien extraordinaires, qui laisseront des
pages
et je ne sais guère de contemporains capables de
eibnitz et Spencer d’être de grandes et fécondes intelligences. Et la
page
de La Femme Pauvre qui méprise toute la philosoph
lire ce bavardage monstrueux, infini, ce déluge de mots, pendant des
pages
, pour ne jamais aboutir, pour ressasser indéfinim
raint de s’éveiller enfin à la douleur de penser. Mais pour certaines
pages
anciennes, pour tels mouvements de foule, par exe
pensée à laquelle l’auteur doit tenir puisque, après l’avoir exprimée
page
46, il la répète page 116 : Dreyfus est innocent
teur doit tenir puisque, après l’avoir exprimée page 46, il la répète
page
116 : Dreyfus est innocent du crime pour lequel o
uysmans ou Léon Daudet soient chrétiens dans les deux cents premières
pages
de leur prochain roman. » Je me trompais. Après
hilosophies hindoues, c’est à condition qu’il fera ressortir à chaque
page
leur infériorité en face de la doctrine de Jésus
VI Une
page
inédite de Taine sur l’association La Ligue de
t en tartines de trente lignes, tantôt en casse-museau de trois cents
pages
. Toutes les perceptions un peu rémunératrices de
moderne. Probablement, les exécuteurs testamentaires ont écarté ces
pages
parce qu’ils en ont jugé la rédaction provisoire,
e intéressant de mettre, dans ce moment, sous les yeux du public, une
page
puissante et inédite, où le grand écrivain examin
toire (hélas !) (Le Journal, 18 avril 1899.) 4. On trouvera cette
page
publiée au complet au tome IV de H. Taine, sa vie
assis ?… Quel bûcheron mettra le fer dans cette forêt de douze cents
pages
?… Quelle critique se donnera la peine d’éventrer
citations, aux idées strictes de Taine, tout se réduirait à quelques
pages
dont l’idée même ne lui appartiendrait pas : « Se
n’est encore arrivé qu’au seuil de la métaphysique après douze cents
pages
, car après tout il pourrait bien se faire qu’il y
tardif qui renferme une contradiction, le matérialisme saute à chaque
page
en propositions s’élançant comme des jets d’une s
ntrer comment nous sommes possibles, il ajoute cet exemple ineffable,
page
448, t. I. : « Concevons un cordon de sonnette ;
le sans inconvénient de cela, c’est l’ennui, l’ennui qui sort de ces
pages
sèches, où il n’y a que des mots sans vie et des
», il jette toujours, en des romans mal faits et exsangues, quelques
pages
d’autobiographie ou d’histoire où ne frémit plus,
ènes pathologiques. Vous saurez trouver vous-même dans chacune de vos
pages
quelques-uns de ces réflexes de style qui grincen
s du livre ne se rejoindront. On sent l’impuissance dès les premières
pages
; il n’y a plus qu’à se résigner, à s’intéresser
-là qu’elle est lâche, on n’aura rien à ajouter. Cependant, certaines
pages
du roman valent par le mouvement ému du style, ce
vent incertain, mérite cependant quelques éloges — même en dehors des
pages
idylliques, — par sa gravité triste et vaillante.
utiennent ce grand effort littéraire qu’aux trois ou quatre premières
pages
. Ensuite l’écriture, grise, quelconque, ne se fai
pénible, avance lentement, écœurante, en un tangage perpétuel. Et ces
pages
sont d’une philosophie insuffisante. L’auteur est
le : « Tout livre et tout homme, répétait-il, peut se résumer en cinq
pages
et ces cinq pages en cinq lignes. » Tout livre et
et tout homme, répétait-il, peut se résumer en cinq pages et ces cinq
pages
en cinq lignes. » Tout livre et tout homme, ce n’
s de la politique, la droiture de l’homme a inspiré à l’historien des
pages
de sincérité superbe. Ce libre penseur a écrit su
et violente, je ne vois guère d’égal à Taine que M. Zola, et quelques
pages
de Germinal me semblent seules comparables à cert
inée ? Mais la vérité abonde dans ce chapitre, qui restera une solide
page
d’histoire. Où nous surprendrons mieux sur le f
ands du Sud ; Burns et Carlyle, Écossais. M. Hennequin remplit quatre
pages
de noms mis en regard qui représentent, comme ceu
el vertige il se penche sur ce « gouffre » de Shakespeare, et quelles
pages
il consacre à la bestialité de son Caliban et à l
ège. Taine pousse à bout ses métaphores, à travers les alinéas et les
pages
. La chimère clopinante et dévorante chevauchée pa
té à l’auteur des Sensations d’Italie et de Cosmopolis ses meilleures
pages
, besoin d’une « transcription mystique et surnatu
Et c’est merveille, en vérité, que des articles au jour le jour, des
pages
de verve et de brio, toutes de pétillement et de
ses mépris. Tel il fut, tel nous l’allons voir dans la moindre de ces
pages
colligées. Les gens de son tempérament se livrent
par son éclat d’imagination, avait de quoi le séduire, et, en maintes
pages
, il le loue. Quelques quartiers manquèrent seulem
er en ces types accomplis la perfection de l’animal humain. Lisez ses
pages
si colorées sur « cette espèce de torse à la Mich
Camille Desmoulins son Vieux Cordelier, en considération de certaines
pages
d’âpre invective, de quelques coups de plume qui
e debout comme elle s’y mit quand il ressuscita. » Je copie à la même
page
, à quelques lignes de distance : « Il lui avait t
une prodigalité magnifique par un poète qui resta poète à toutes les
pages
de sa prose. Grand enfant, ainsi que tous les poè
dans les joncs et partent aux premières pâleurs du ciel », — à cette
page
je reconnais un Maupassant que je ne puis qu’indi
de couleurs, la riche diversité des lieux et des êtres décrite en des
pages
capiteuses comme le parfum de ces fruits trop mur
nd la mort, en face de la mort. C’est de la psychologie, ces soixante
pages
, et je ne sais vraiment pourquoi quelques personn
que ce journal d’un incrédule en quête d’impressions religieuses, ces
pages
d’un chrétien fervent et naïf. De comparaison lit
dû tout de même songer un peu ? Chateaubriand écrivait à la première
page
de son récit : « Je serai peut-être le dernier Fr
ser pour dupe. J’ai cru aussi reconnaître un accent d’âme dans telles
pages
d’évocation et de « vision » religieuse ; par exe
, dans la certitude absolue des éternels revoirs… » Encore une de ces
pages
dont certains ont voulu sourire. Aucune pourtant,
« y faisant d’heure en heure son esprit plus subtil ». Il fallait une
page
vive pour raconter ses états divers et les mondes
, s’avouait fort embarrassé d’indiquer dans l’un ou l’autre livre une
page
saillante. Tout y plaît uniformément, ajoutait-il
mots qui font proprement l’esprit. Mais de la première à la dernière
page
de son récit, il nous divertit à l’exhibition naï
rtuit lui a mis la plume à la main. Un jour, à Saint-Genix, entre les
pages
d’un censier, des notes lui tombèrent sous les ye
ulièrement d’avoir transcrit ou à peu près certain cahier de dix-sept
pages
qui contient l’appréciation détaillée et motivée
ans une harangue, y pensez-vous ? » — Scrutateur, rencontré à la même
page
, n’est pas de mise non plus. C’est un terme de l’
texte, mais non point méprisable, curieux même et instructif par les
pages
descriptives qu’il contient, surtout par les révé
comme dans Charles Demailly et Manette Salomon, des demi-pages et des
pages
textuelles du Journal, il y paraîtrait à la factu
s. Cette multiplicité de tons juxtaposés brouille l’œil. Après telles
pages
chargées de MM. de Goncourt, on se prend à relire
ou puérils. J’en aurais pu relever des douzaines dans ces deux cents
pages
de texte. Elle est significative cette publicatio
onnels et enfin trop artistes pour n’y point mettre du leur. Les «
Pages
rouges » de Madame Séverine Pages rouges… Pou
point mettre du leur. Les « Pages rouges » de Madame Séverine
Pages
rouges… Pourquoi ? La dédicace à Jules Vallès vou
hommes sans excepter Louise Michel, la pauvre fille « désexuée ». La
page
sur Joffrin a l’air d’une planche durement rayée
ut pas cela dans le livre, tant s’en faut. Par exemple, les premières
pages
du Petit Jahn sont d’une déclamation quasi banale
ffons ! Ah ! ce n’est pas l’émotion qui manque à Séverine. Toutes ces
pages
vibrent, et peut-être ce frémissement continu par
re qu’il est resté trop longtemps sans feu ! » Quelques mois avant
Pages
rouges, a paru un livre d’aussi âpre éloquence, m
ffe dans les limons de la Seine ». Et, au bas de quelques-unes de ses
pages
, la menace se formule toute seule contre une civi
de Dieu clôt le livre avec le Pater. J’ai peur que le De profundis de
Pages
rouges, malgré sa protestation finale contre le m
cher Vincent ; je l’ai lu avec lenteur, reprenant des phrases et des
pages
, et crayonnant. Si vous voyiez les marges de mon
ions l’éloquence de ses colères, et ce serait tant pis. J’ai noté des
pages
superbes de dégorgement douloureux, à la Swift. P
que le volume. J’ai pris les Mémoires de Tolstoï, et j’ai comparé les
pages
où il raconte, lui aussi, la mort de sa mère. Les
e : Le prix de la vie. Ce qu’il conclut, il l’annonce dès la première
page
: « La vie est singulièrement précieuse, si l’on
e la reproduire, avec des variantes de forme, en quelques-unes de ses
pages
sur « le bien et le bonheur », dans le Prix de la
faire Grec avec Aristote, et il y paraît au tour de plusieurs de ses
pages
, qui se peuvent classer, je pense, parmi les plus
aire connaître, en ses délicatesses, cet art accompli. Je renvoie aux
pages
sur le dilettantisme, sur l’idée, aux chapitres s
squisser des portraits, dont quelques-uns d’une touche maîtresse. Les
pages
sur le révolté de la Chesnaie sont d’une belle vi
tient au P. Ollivier orateur, et que j’eusse voulu retrouver dans ses
pages
imprimées. Or, j’ai été déçu. Ce n’est pas que je
son « lieu de relégation », on goûtera, après sept ans écoulés, cette
page
hautaine. Une remarque : Où est la péroraison ?
iant s’y condense. Un mot sur Michelet. À propos d’un recueil de «
Pages
choisies » par M. Seignobos Michelet est-il un
uisse sans inconvénient proposer à la jeunesse ? Son œuvre, même « en
pages
choisies », a-t-elle une place indiquée dans une
omme Jules de Goncourt le lui écrivait, « des phrases de lumière, des
pages
de soleil », d’un soleil qui brûle. C’est un magi
l’être spirituel et physique. Rien n’est naïvement éloquent comme la
page
extraite de ce livre par M. Seignobos sur « l’édu
fois le souhait du grand sommeil, ne s’encadrent-elles pas, à chaque
page
, comme d’une bordure de deuil ? On eût pris parfo
rythme des classiques ? Je ne sais si je m’abuse. Mais telles de ses
pages
me semblent de celles qui ne périssent pas. Je le
hardies, même l’honnête marquise qui écrivait à sa fille de si fines
pages
, et si justes, et si fortes, sur vous, Montalte.
r, il se trouve que des paysages et des portraits illustrent à chaque
page
ses récits. De sorte qu’Au pays des pardons est u
reille étude sous la plume d’un Michelet. Un souvenir me revient, une
page
de la Mer sur ce sol et cette race, « race rude,
Ernest » écrit, elle se penche sur son épaule, elle suit des yeux les
pages
qui s’ébauchent, elle les prend toutes fraîches,
toujours des arrêts, des impuissances : voilà ce qui s’y lit à chaque
page
. Et en même temps se poursuit sans s’achever l’ét
18. Voir dans le Correspondant du 25 janvier 1892, p. 253, la belle
page
d’un critique anonyme sur Maupassant peintre de l
hilosophie. 36. Le comte Joseph de Maistre et sa famille. 37. Voir
Pages
retrouvées. 38. M. Céard. — Préface des Lettres
tique, même plus notoire et mieux armée que celle qui s’essaya en ces
pages
, est très faible sur les écrivains. Si Mallarmé e
édition La méfiance avec laquelle plus d’un lecteur commence cette
page
est justifiée. Mallarmé est un auteur obscur, et,
mentalement, adresse ce discours à quelque travailleur manuel : « La
page
, écrite tantôt, va s’évanouir, selon — n’envie pa
stérilité de son cerveau se tourne en dégoût de l’existence. L’Azur,
page
bleue du missel céleste, idéalement remplie par l
lui pris, ainsi que son Cygne, dans la blancheur à peine tachée de la
page
stérile. Qu’importe même si des brouillards, des
». Une attitude délicate et complexe, qui s’est exprimée non par une
page
toute blanche, mais par des pages nombreuses de D
lexe, qui s’est exprimée non par une page toute blanche, mais par des
pages
nombreuses de Divagations, par la Prose, d’admira
, il lutta d’un courage inflexible et doux, mal récompensé, contre la
page
blanche, son tourment et son dieu. De ses victoir
e à la nature, et la fleur légère qu’il en veut cueillir, ou mieux la
page
blanche dont il lui plaît de disposer. Et c’est l
éplacement du corps qui lui plût. Là le suivait l’hallucination de la
page
blanche, par l’élément docile, la page blanche, p
suivait l’hallucination de la page blanche, par l’élément docile, la
page
blanche, pour le poète, dans quelque ciel platoni
de leur éternité26 » —, image dont il faut d’ailleurs suivre, dans la
page
entière, les radicelles. « Apart mon chemin de l
, n’aurait pas été suggéré à Villiers par Mallarmé. De même certaines
pages
d’une intéressante Psychologie de la nature morte
lité. Et ce scrupule est double, contradictoire aussi. Il faut que la
page
restitue une fraîcheur vive, un ordre naturel de
irecte de sa densité. La Dernière Mode, ses conférences, alignent des
pages
de causerie où des balances en toile d’araignée p
é de son inspiration, comme cela se passe dans n’importe laquelle des
pages
de prose et de vers qui furent jamais écrites. Le
soit depuis dissipé. Et voilà une obscurité toute factice, puisque la
page
de Mallarmé, description très technique d’une hal
iste, digne d’être saisi. La meilleure glose à donner ici serait deux
pages
de Villiers dans la Machine à Gloire des Contes c
aussi de désigner une simple écorce en la netteté superficielle. Les
pages
les plus parfaites de Mallarmé, l’Après-midi d’un
les patères d’analogies auxquelles elles sont souvent accrochées. Une
page
de Mallarmé donne parfois, dans l’ordre du minuti
e, la conséquence poétique à son origine religieuse, je citerai cette
page
où Mallarmé essaye de discerner dans la cérémonie
un destin dont Mallarmé évoqua l’ombre par ses causeries et quelques
pages
. Je préfère telles chroniques de la Dernière Mode
de cet idéalisme, la même racine que nous font aussi discerner telles
pages
du Banquet et du Phèdre. Une sensualité très arde
, tout frais, sous ses rosées, d’un matin que nul pas n’effleura, les
pages
du Nénuphar Blanc. Un tel idéalisme, combinaison
jolie nous aurions de sa poésie même, par ce voile blanc, ce voile de
page
blanche, qui enveloppe de « généralité », d’étern
écrivit sur la Révolte, qu’un lion pût braire avec les ânes — en une
page
assez aigre, « mais intelligente et clairvoyante,
, un tercet — celui que je viens de citer — isolés sur le blanc d’une
page
peuvent, par des mots mystérieusement choisis, fa
s’étalent chez Gautier, et Sully Prudhomme même en emplit les froides
pages
du Bonheur. Mallarmé pousse à sa limite extrême e
oit avoir qu’une valeur allusive, comme sur une vitre ne poser sur la
page
blanche qu’une buée d’émotion. De là l’emploi pré
rimée, le minimum grammatical aboli, un rosaire de mots égrené sur la
page
blanche (Un coup de Dés jamais n’abolira le Hasar
(Un coup de Dés jamais n’abolira le Hasard) — et plus loin encore la
page
blanche toute nue, suggestion et réceptivité infi
ure du palais, le seul habitable ; hors de toute pierre, sur quoi les
pages
se refermeraient mal80 ». Ne rien décrire du deh
u rationnel, une synthèse du hasard et de l’Idée. Je dois citer cette
page
intense et pleine, de la Musique et les Lettres.
Mallarmé couler ici sur des pentes contraires. Villiers accumule des
pages
fortes, un peu pénibles, des concaténations forgé
cile et souriant, aux flancs d’un verre haleine fraîche de l’eau : la
page
blanche, non plus blanche dans son vide, mais bla
eurer sans se dire, mais qui, pour notre émerveillement, éclot sur la
page
d’un livre dans le miracle de ces phrases : « Rés
entièrement. « Autre chose… ce semble que l’épars frémissement d’une
page
ne veuille sinon surseoir ou palpite d’impatience
onna, sous son regard et sous sa plume de poète, à la blancheur de la
page
, son degré le plus haut, sa plus grande saturatio
aire très aiguë chez Mallarmé. Ses puissances de rêve, ses espaces de
page
sous le mot, d’eau sous la rame, forment autant d
ale : Mallarmé l’exprime, au sujet de Villiers de l’Isle Adam, en une
page
haute comme un drapeau : « Minuits avec indiffér
i conscient et résigné, à la sentir qui refleurissait fraîche sur des
pages
blanches d’ambitions belles et d’espérances fragi
larmé, sont-elles celles-là seules, celles-là surtout qui avec telles
pages
de théâtre, de roman et de lyrisme, de Racine, de
qui éclosent à la lumière sacrée du livre, rien, même la plus ardente
page
de tendresse, prend une vie aussi intense, aussi
tendresse, prend une vie aussi intense, aussi purifiée que certaines
pages
d’altitude mystérieuse. Une, deux, trois générati
ité, une clarté future dont la conquête est pour elle une action, une
page
de vie. Et ce culte elle ne le rend — c’est sa pi
e saurait, je crois, donner une plus juste idée qu’en rappelant telle
page
de Kant où se respire aussi l’air d’un sommet, et
analogues. Taine en cite de Balzac, de Gautier130. J’ai tenu à cette
page
, sur le seuil de cette étude, parce qu’elle nous
aussi, des fleurs, surtout du lys. Le vers, droit sur le blanc de la
page
, l’évoque. « Voici les rimes dardées sur de brève
d’un ami sien, il aperçoit le même Pierrot « fantôme blanc comme une
page
non écrite138 ». Je l’imagine, enfant, pareil à s
re, se groupent pour former ce paysage, peut-être suggéré par quelque
page
analogue de Gautier dans la Préface des Fleurs du
Balzac de Rodin. Il est curieux de retrouver la même figure dans une
page
de Schopenhauer que sans doute Mallarmé ne connai
un espace, la rareté rendue plus précieuse par l’absence du reste. La
Page
ainsi se précisait et s’idéalisait à la fois dans
éalisait à la fois dans sa vive imagination. A cette esthétique de la
Page
, que réalisera paradoxalement Un coup de Dés, on
y penser, exclusion de tout le dehors157. » Remplacez le salon par la
page
, les plafonds ailiers par l’ampleur de blancs, le
mystère. (Valéry a publié là-dessus, dans une lettre aux Marges, une
page
admirable.) Figure encore du salon ou de la page
ttre aux Marges, une page admirable.) Figure encore du salon ou de la
page
que, dans la glace de sa chambre, ce reflet d’éto
rrègne de l’imagination liée. Il s’expliquerait, si l’on veut, sur la
page
que révèle l’aurore, comme une offrande de gloire
, ou besoin de l’écraser et le moudre166. » Il y en a ainsi bien des
pages
. Le philologue sourira de ces puérilités qui ne s
sphère à son hallucination du mot. Les remarques auxquelles, dans une
page
de voyage, Victor Hugo s’amuse sur la forme des l
cher vieux W ». Un livre était pour Taine un « palais d’idées ». Une
page
est pour Mallarmé une chambre de mots, mieux une
éconçue, mais comme le creux plus grossier d’un relief métallique. La
page
même que je viens de citer en est un exemple. Sa
au chargé. Un ciel de porcelaine nue. Du blanc, le blanc vivant de la
page
intacte, — le blanc où par un effort d’ingéniosit
llarmé le scandale poétique. Son Art poétique, celui qu’expriment les
pages
de prose citées plus haut, Las de l’amer repos, l
? Et l’on pose un pied nu sur un tesson de bouteille sale quand, aux
pages
91 et 155 de Divagations, on rencontre le mot, or
ns intérieurs, lui suggérer ainsi que le Livre une « superposition de
pages
comme un coffret, défendant contre le brutal espa
étudier isolément. Dans le vers brisé, et chez Mallarmé surtout, une
page
à un dessin d’ensemble formé par la série des cou
rphe, de MM. Kahn et Vielé Griffin (je cite toujours, en résumant, la
page
de Mallarmé). Mallarmé estime que « les occasions
cet alexandrin fulminant, comme des trompettes qui l’annoncent et des
pages
qui portent sa traîne. Mallarmé retrouvait en eux
oigne. Voyez ce qu’à l’occasion de Banville il exhume des « premières
pages
qu’écolier » il traça dans la solitude : « Instit
Pas une phrase, mais une constellation de quinze mots, et, autour, la
page
blanche. Qu’un écrivain avide d’encre trace pénib
r une nature spontanée. Dans ce billet à Yvonne de K…, comme dans une
page
quelconque de la Dernière Mode, apparaissent déjà
uer d’alliances imprévues. « Ce semble que l’épars frémissement d’une
page
ne veuille sinon surseoir ou palpite d’impatience
tacte la seule et pure ponctuation propre aux vers : les blancs de la
page
. Les vers se passent de ponctuation « par le priv
vers, paraissent comme la ponctuation occasionnelle de la prose. Les
pages
d’Un coup de Dés mènent vers un étrange absolu lo
comme antérieure aux mots. « Tant, que je préfère selon mon goût, sur
page
blanche, un dessin espacé de virgules ou de point
allarmé sur la constitution du Livre, les analogies qu’il cherche des
pages
de musique aux feuilles d’imprimerie, tout ce qui
, réduit la durée à une division spirituelle propre au sujet302 ». La
page
, le livre, réalisent, comme le vers, un ordre idé
t un signe du langage, de même l’esthétique d’Un Coup de Dés prend la
page
, l’appareil du Livre comme un élément de signific
qu’au Livre il ne trouve à s’appuyer. Aimez, dans son Villiers, cette
page
: « Grottes de notre intimité ! par exemple l’am
pour que vraisemblablement le tapis où ce coffret spirituel aux cent
pages
, entr’ouvert, avec intention fut posé, en fasse c
breront, balancés, à distance, ni le sublime incohérent de la mise en
page
romantique, ni cette unité artificielle, jadis, m
oi, considérable, phrase poursuivie, en gros caractère, une ligne par
page
à emplacement gradué, ne maintiendrait-il le lect
ces groupes secondairement » les danseuses qui animent le thème ? La
page
blanche faisant la scène, les lignes ménagent un
secret309 ». Le tassement du livre, le reploiement qui en ferme les
pages
, appelle aux doigts du lecteur le geste de décele
tel motif en vue d’un endroitspécial310 » selon telle disposition de
page
, telles ampleurs environnantes de blanc. Alors po
oré à l’essence pure du Livre. Ce pliage vrai scellerait ensemble les
pages
qui en tel moment ou pour tel lecteur, ne doivent
ses recoins, dans toutes les chapelles qui s’ouvrent aux murs de ses
pages
titulaires. Et des moyens matériels, ingénieux et
uggestion, construisant un palais de pierre visible, ferait que les «
pages
se refermeraient mal312 ». Revendiquant pour les
Mode, l’une de placer le couteau d’ivoire dans l’ombre que font deux
pages
jointes d’un volume ; l’autre luxueuse, fière et
extérieur, l’a même réalisé d’abord sous cette forme, et que dans les
Pages
de 1891 il annonce une « édition nouvelle définit
e parfait écrit récuse jusqu’à la moindre aventure (superposition des
pages
, comme un coffret, défendant contre le brutal esp
lecture des yeux. La scène où il se meut ouvre devant nous, comme des
pages
, son tournoiement de ballerines. Non comme les vr
comme des pages, son tournoiement de ballerines. Non comme les vraies
pages
, passives encore à nos doigts, inertes, et qui me
ne et où notre pensée y flotte, la table raide de l’espace fixe. Mais
pages
qu’entières sous nos yeux notre rêve imbibe, tran
Mais pages qu’entières sous nos yeux notre rêve imbibe, transfigure,
pages
et livre devenus corps vivant. « La ballerine ill
comme le lieu du spectacle aujourd’hui parfait, Mallarmé a écrit une
page
admirable, une page qui prend sous nos yeux (reli
ectacle aujourd’hui parfait, Mallarmé a écrit une page admirable, une
page
qui prend sous nos yeux (relisez-la, je l’ai cité
et lui rêva toujours une suite. L’édition complète est, à la première
page
de Divagations, annoncée « sous presse ». Les not
té. » La prose est postérieure au poème. Mais un peu avant, dans une
page
de jeunesse sur Théodore de Banville (quelque inf
s fui. Et la Prose, le poème des stances frêles qui s’allonge sur la
page
nue, n’est-il pas ce trop grand glaïeul resté viv
logique intérieure, une durée de vie, la chair dont j’ai projeté, en
pages
sèches, l’ombre. La danse, dit Mallarmé, « est se
pleur des blancs, la dimension des lignes, toute l’architecture de la
page
. On ne saurait reproduire ici cette partition de
hute d’un Ange, emploie, avec un but analogue, des lignes et même des
pages
de points. Comme dans Un coup de Dés, elles sont
titre introduite et continuée377 ». L’esthétique typographique de la
page
s’applique naturellement à la prose, non au vers,
construction visuelle, du silence et de la réflexion incorporés à une
page
vivante. Ce matérialisme étrange est, je l’ai dit
es ». La signification des mots s’adapte à une certaine place dans la
page
. C’est en des places variables, près ou loin du f
ement, le scandant, l’intimant même selon une vision simultanée de la
Page
: celle-ci prise pour unité, comme l’est antre pa
re de la poésie, — unique source ». L’esthétique, ainsi conçue, de la
page
, n’est aussi que la conclusion logique de l’idée
se mêle-t-elle pas, à voir que par ces vers menus, les voiles, sur la
page
, glissent, comme sur la mer, au soir… Quant au mo
rait penser que l’inspiration première n’en vint pas à Mallarmé d’une
page
de Nietzsche. Il ne lisait pas l’allemand et de s
h et A. Wagnon, petite anthologie en français qui parut en 1893, à la
page
49 de laquelle je lis cet extrait de Zarathoustra
ue dès 1869, Mallarmé était familier avec ces idées et ces images. La
Page
formant, dans cette œuvre de Mallarmé, l’unité co
re de Mallarmé, l’unité comme ailleurs le Vers, j’analyserai les neuf
pages
successives. Il serait bien nécessaire au lecteur
polis. J’en reproduirai au moins, avec la disposition de ses mots, la
Page
I. UN COUP DE DÉS JAMAIS Quand bien même lancé d
même lancé dans des circonstances éternelles Du fond d’un naufrage
Page
I. — Introduction du motif : la tentative humaine
vanité de l’effort et l’échec nécessaire, quelque sublimité du but.
Page
II. — Ce naufrage : la mer déchaînée. L’abîme fur
’homme, son œuvre, n’existent que dans l’acte même de leur naufrage.
Page
III. — Sur le navire un homme, un vieillard, le M
le rêve, et comme son fruit le hasard retire à soi ce rêve évanoui.
Page
IV. — Le retire, non sans qu’un témoignage en res
mais si faible, si frêle encore, indistincte du flot et de l’écume.
Page
V. — Les images, dans ces pages et surtout dans c
e, indistincte du flot et de l’écume. Page V. — Les images, dans ces
pages
et surtout dans celles qui suivent, émanent selon
me maintenant se ramasse (plume) sur une tête pensante, — laquelle ?
Page
VI. — Je dois ici ouvrir une parenthèse et relier
ci ouvrir une parenthèse et relier, de ce point, Un coup de Dés à des
pages
, antérieures de dix ans, qui m’en paraissent curi
-être à son insu, s’enchaînent les mêmes associations. Le thème de la
Page
IV, l’« ombre puérile, caressée et polie et rendu
t de son gland sur le bateau qui mène Tartarin à Alger. Ainsi dans la
page
VI se poursuit le crescendo qui peu à peu précise
dans quelque rire de grâce et de défi affrontera le problème dont la
page
pose le premier mot : SI. La plume, aigrette de v
ait libre à la pensée comme un tableau noir l’espace et le ciel nus.
Page
VII. — La page VII correspond sans doute à la pag
pensée comme un tableau noir l’espace et le ciel nus. Page VII. — La
page
VII correspond sans doute à la page II. A nouveau
e et le ciel nus. Page VII. — La page VII correspond sans doute à la
page
II. A nouveau la lutte contre l’énigme ; mais au
raire. De l’échec conscient, compris, nécessaire, « choit la plume »
Page
VIII. — Elle choit, elle retombe, vaine. Le grand
be, vaine. Le grand naufrage, le vaisseau et le vieillard qui dans la
Page
II coulèrent à pic, c’était l’ensemble de la tent
t retombe, « clapotis quelconque comme pour disperser l’acte vide ».
Page
IX. — « Excepté peut-être une Constellation… ». Q
dés. La dernière ligne, authentique, comme une signature. Ces neuf
pages
aussi forment un coup de dés hardi que le poète a
de ce que dans sa forme d’art il y avait de logique et (lui-même à la
page
III introduit le mot) de maniaque. Logique d’un a
if majeur en caractères forts figurant la danseuse principale, chaque
page
résumant pour la fête intérieure un tableau d’un
u’hyperbolique, celle dont témoigne, dans Un Coup de Dés, la dernière
page
. Logique d’une pensée idéaliste : selon une route
tes du platonisme, trouve une traduction, littérale je crois, dans la
page
III d’Un Coup de Dés « le nombre unique qui ne pe
t pas, qui laisse son angoisse au poète. On ne peut rien préjuger des
pages
analogues qui devaient à la suite de celles-là fo
se, Il réduit le monde à la simplicité du Poète devant l’énigme d’une
page
blanche. De rares signes s’y écrivent, points d’u
e hasard, et qui ne valent que comme allusion ironique à l’impossible
page
éternelle, à la constellation fixée hors du temps
s, quelles mines à découvrir eût dirigé son influence ? Une seule, la
page
blanche… Ecris… L’écriture se suffit, incommensur
ne absence de mélange des usages multiples du discours », dit-il. Des
pages
éparses de prose, d’une densité saisissante, nous
atif, résumé de toute l’âme, la communiquant au passant ; il vole des
pages
grandes ouvertes du livre désormais vain : car, e
, de développement, et la littérature de clichés. Dans les cinq cents
pages
de son œuvre complète, tient un labeur immense :
ique, il s’est mesuré avec elle toute sa vie ». J’ai voulu citer ces
pages
concentrées, parce qu’elles nous donnent de l’eff
cision et allusion, musique et silence, ponctuation et blancs, ligne,
page
, volume, tout cela forme précisément l’antithèse
dont il ne serait que le signe, le Précurseur. Et certes beaucoup des
pages
qui précèdent, et celles aussi de M. Paul Valéry,
vers que j’ai cités, l’Idée du vers, par Un Coup de Dés l’Idée de la
page
. Mais nous ne sortons pas, dans le premier cas, d
ce qui leur vient ainsi des écrivains. Le Démon de l’Analogie est une
page
littéraire, et Gautier brode peut-être un peu. De
Notes et éclaircissements. [Œuvres complètes, tome XIII] Note A,
page
9. [IIIe partie, liv. II, chap. 6] On se refus
eureusement détruit tout le fruit qu’on s’en était promis. Note B,
page
14. [IIIe partie, liv. II, chap. 6] Outre les
llait bien qu’il laissât quelque chose à faire à l’avenir. Note C,
page
37. [IIIe partie, liv. III, chap. 4] Je répond
sécution, qui quelquefois était son seul titre à célébrité. Note D
page
50. [IIIe partie, liv. III, chap. 8] L’auteur
Et la poudre du genre humain ! (Note de l’Éditeur.) Note E,
page
67. [IIIe partie, liv. IV, chap. 2] On jugera
son fils, qu’elle ne songeait qu’à gagner et à attendrir. Note F,
page
76. [IIIe partie, liv. IV, chap. 3] « C’est a
ts : Chrétiens, Dieu seul est grand. (Note de l’Éditeur.) Note G,
page
89. [IIIe partie, liv. IV, chap. 5] LICHTENSTE
résent est celui des philosophes. (Œuvres de Frédéric II.) Note H,
page
92. [IIIe partie, liv. IV, chap. 5] PORTRAITS
du scrupule, Et mit au premier rang le titre d’incrédule. Note I,
page
93. [IIIe partie, liv. IV, chap. 5] Voici ce q
ans étude. » (Œuvres de Montesquieu, tom. vii, pag. 233.) Note K,
page
96. [IIIe partie, liv. IV, chap. 5] Voltaire,
de dire la vérité. » (Corresp. gén., tom. III, pag. 53.) Note L,
page
101. [IIIe partie, liv. V, chap. 2] M. l’abbé
ère tout le reste, comme il était aux maisons antiques. » Note M,
page
115. [IIIe partie, liv. V, chap. 4] On trouve
e remords, au malheur l’espérance. » (Note de l’Éditeur.) Note N,
page
119. [IIIe partie, liv. V, chap. 4] Voici enco
saint autel Pour la moisson naissante implorer l’Éternel. Note O,
page
123. AUTRE FRAGMENT DES CLOÎTRES EN RUINES. …
avec un amant, il n’en avait pu rien tirer à l’interrogatoire que des
pages
de Balzac qu’elle lui récitait tout entières. Au
foucauld développé et senti, c’est du Machiavel domestique ; bien des
pages
du chapitre intitulé le Deuil ont même de certain
doute il a pu, comme nous tous, choquer plus d’une fois dans bien des
pages
écrites, il l’a eu (mérite plus rare) dans l’ense
les Mystères de Paris se peut lire dans la Revue suisse, année 1843,
pages
550, 618, 666 ; et année 1844, page 68.) 50. C
ans la Revue suisse, année 1843, pages 550, 618, 666 ; et année 1844,
page
68.) 50. Cette appréciation de M. Eugène Sue e
I, 1836). 52. La conversation entre Arthur et M. de Cernay, tome II,
page
I ; la jolie causerie de Prima sera, II, 65 ; les
comme il avait traité Catherine, Marguerite et Hélène. 54. Tome II,
pages
36 et 88. 55. Deleytar, recueil de contes, du m
k, a porté plus galamment que personne cette cocarde-là. 56. Tome I,
page
246. 57. Tome I, page 122. 58. Tome I, page 249
nt que personne cette cocarde-là. 56. Tome I, page 246. 57. Tome I,
page
122. 58. Tome I, page 249. 59. Tome II, page 47
ocarde-là. 56. Tome I, page 246. 57. Tome I, page 122. 58. Tome I,
page
249. 59. Tome II, page 470, épigraphe. 60. Pour
page 246. 57. Tome I, page 122. 58. Tome I, page 249. 59. Tome II,
page
470, épigraphe. 60. Pour avoir une juste idée de
cieuses, et le néologisme, auquel il ne pardonnait pas. 63. Tome II,
page
237. 64. Histoire des troubles des Cévennes, 3
uridiquement, au FIGARO du 17 août, en l’article ci-après. Citations,
page
11 à page 13 ; et — * * * Passer de cette rêver
nt, au FIGARO du 17 août, en l’article ci-après. Citations, page 11 à
page
13 ; et — * * * Passer de cette rêverie tout à
ford le 1er mars, le 2 à Cambridge, j’eus occasion de prononcer cette
page
, différemment. La Taylorian Association ina
t satisfaire. Autre chose.. ce semble que l’épars frémissement d’une
page
ne veuille sinon surseoir ou palpite d’impatience
issions, conséquences, ou les regards inexprimés. Ce sera ces Notes.
Page
32 § 1 .. Comme partout ailleurs, d’espaces vagu
même accepte des intervalles entre ses éclats. Je maintiens le dire.
Page
34 § 2 .. La séparation. Le vers par flèches
, selon moi, dans les salles de rédaction, d’y voir un genre à part.
Page
36 § 1 .. À l’entour d’un instrument surmené, es
pour en illuminer le rythme fondamental et rejette, vain, le résidu.
Page
36 § 1 .. Serait d’emploi intermittent. Je ne
tructif, a ceci que l’usure divulgue les pieuses manies de sa trame.
Page
43 § 4 .. En vue qu’une attirance supérieure..
auteur et à l’exemple de la pensée, épanouit la réjouissance idéale.
Page
52 § 2 .. Requiert la lucidité, du livre explica
primer comme l’arcane léger, dont le vêt, en public, son habit noir.
Page
63 § 2 .. Un humble, mon semblable. Mythe, l’é
Mythe, l’éternel : la communion, par le livre. À chacun part totale.
Page
67 § 2 .. Exigent du sol un simulacre. Un gouv
rd ce qu’il retrouverait dans le livre de génie. Il y a cependant des
pages
littéraires durables dans l’Encyclopédie. Plusieu
ssé de mon admiration première. Chaque fois que je l’ai lu, aux mêmes
pages
, aux mêmes paroles, mes yeux se sont mouillés de
ste, il aurait pu abuser de la description. Il lui suffit de quelques
pages
pour peindre le lieu de la scène, ce petit coin d
utant du plus petit des ouvrages de Chateaubriand, René. Ces quelques
pages
auraient suffi pour tirer Chateaubriand du second
me la nature qu’elle décrit. Notre littérature descriptive n’a pas de
pages
plus splendides. Pour le roman, les seules partie
ne fût-il que cela, ce ne serait déjà pas si peu. Mais ces admirables
pages
vont plus loin, et je ne sache ni un temps qui n’
fois avant d’en parler ici. Comme dans Paul et Virginie, à certaines
pages
irrésistibles, les larmes me sont venues ; j’ai p
e toujours attendue, mais de l’émotion du beau qui poétise toutes ces
pages
. Le grand ouvrage dont René ne devait être d’abor
re. Dans ce qu’il écrivit pour les lettres en ce temps-là, les belles
pages
sont plus rares que les belles phrases. Mais la p
iand, il me montra, tout humide encore des dernières corrections, une
page
qu’il venait d’achever, voulant, disait-il, me re
ard à laquelle manquait la gravité. L’ouvrage auquel appartient cette
page
, les Mémoires d’outre-tombe, écrits à différâtes
nul n’est brillant s’il n’a de la flamme. Sans doute, beaucoup de ces
pages
qui ont ébloui nos pères sont aujourd’hui ternies
tive de la postérité28. 22. Dans l’étude sur La Tour, in-4° ; 1867,
page
24. 23. Et pourquoi donc ne les répéterais-je po
à de pareilles licences ? (Voir Louis XV et Louis XVI, par Michelet,
page
154 et aux environs.) 24. En ce qui est de la ba
ge (lettre du 14 octobre 1746, dans le Recueil de Grimoard, tome III,
page
242). — Les officiers qui ne voient qu’un point d
on peuvent trouver à dire (ainsi Rochambeau, en ses Mémoires, tome I,
page
48) ; mais le général en chef qui embrasse l’ense
as raisonnable. (Voir aussi les Mémoires du duc de Luynes, tome VIII,
page
298.) 26. Osons rétablir ici (n’en déplaise à M
lire le Manuscrit trouvé à la Bastille, et dans ce Manuscrit certaine
page
28, en ayant soin d’y rectifier une coquille typo
t peu curieux, aux lettres de M. de Lauraguais à Mme **(Paris, 1802,
page
121). Un de nos contemporains au contraire, M. Ar
Archives historiques et littéraires du Nord de la France (année 1855,
page
95) ; il s’est constitué le champion en titre de
et avec ceux qui seraient tentés de les renouveler, je mettrai ici la
page
de M. de Lauraguais, que peu de gens iraient cher
villages aux environs de Chambord. 28. J’ai rapproché précédemment (
page
85) le nom du maréchal de Saxe de celui de Kléber
s, dans la Vie politique et militaire de Napoléon par Jomini (tome I,
page
302), une confirmation de cette vue. C’est Napolé
la pudeur ou la décence. Il en est un entre autres, de quatre grandes
pages
, qui est rétabli dans l’édition de M. Dauban (pag
de quatre grandes pages, qui est rétabli dans l’édition de M. Dauban (
pages
21-26) ; c’est l’histoire d’une tentative de sédu
land n’est pas originale. Il y a, je le maintiens, dans cette vilaine
page
, de la mauvaise imitation de Rousseau, et de la p
n’aime pas à prédire, et je désire me tromper ; mais soyez sûr que la
page
déshonnête, inutile, et qu’un coup de ciseau fili
rase en sus et dont la grâce vive est, après tout, sans inconvénient (
page
66). Une autre phrase plus que risquée, à propos
ne même accusation d’hypocrisie, dans un seul et même anathème. Cette
page
inique et faite pour offenser indistinctement ceu
e l’étaient pas, et les Grégoire, et les Sieyès, et les Daunou, cette
page
outrageuse pour des morts et des victimes de la v
x, réintroduits dans le texte, donnent un sens particulier à bien des
pages
et achèvent de nous révéler cette âme généreuse e
e qu’à l’héroïsme et sort tout à fait de la gamme naturelle. Dans les
pages
d’adieux intitulées Mes dernières Pensées, et qu’
permets pourtant de lui signaler une faute évidente de transcription,
page
377 ; il faut lire : « Rabaut, que l’on croit à N
e Retté et de la Forêt bruissante. Il paraît qu’il a défendu dans ces
pages
, comme dans d’autres d’ailleurs, des idées qui tr
omme ces strophes s’allient étroitement ! Des leitmotivs se jouent de
page
en page. Des chœurs répètent les bonnes paroles.
strophes s’allient étroitement ! Des leitmotivs se jouent de page en
page
. Des chœurs répètent les bonnes paroles. Aux cris
it dans ces ténèbres ; il y avait déjà, je ne veux pas l’oublier, des
pages
délicieuses ou ravagées de sauvages passions et q
sortir ayant pris une voix. M. Adolphe Retté nous a livré, dans des
pages
que je ne me lasserai jamais de lire, le simple s
de Chateaubriand, ce sera après tout et pour tout résultat une belle
page
nouvelle des Mémoires. C'est encore de la littéra
s, est une exception ; lui, il est, comme on le dit des rois, hors de
page
, il a ses licences, comme un enfant gâté de la Fr
oulager, et que le grand air va irriter. Il y a dans sa brochure deux
pages
de personnalités injustes et amères contre Villem
rsqu’il était embarrassé de transitions, il mettait des blancs et des
pages
de points. — Eh bien, il fait de même dans ses ex
ré si bien, d’avoir échoué si peu ! Il a eu, il a encore de certaines
pages
évocatrices et divinatrices du passé. Sur Louis X
, lui, un homme d’antiquité ; il nous l’a raconté quelque part en des
pages
touchantes et poignantes : enfant, il s’est formé
ne, l’action efféminée du directeur. Si M. Michelet a eu d’admirables
pages
dans ses autres livres, dans celui du Peuple, dan
u tome premier, par exemple, la terreur des campagnes), s’il a eu des
pages
qu’une fois lues on retient à jamais, il en a de
bres et à l’essai de ce nouveau régime de discussion, M. Thiers a ses
pages
les plus heureuses. Il n’insiste pas trop sur les
Chambre le résultat du travail de la Commission l’historien a là une
page
que je mettrais volontiers à côté de telle de ses
orien a là une page que je mettrais volontiers à côté de telle de ses
pages
de jeunesse sur la mort des Girondins, sur les vi
ceux du roi de Prusse Frédéric-Guillaume et de l’empereur Alexandre (
pages
424-457), et encore il les fait alors, beaucoup p
et-spirituels que saillants et colorés. Je veux pourtant donner cette
page
où respire l’esprit nouveau à sa naissance, où s’
soir on n’avait pas dans Paris d’autre sujet de conversation. Quelle
page
vive et neuve ! Comme tout y est, et sans effort
vent à caractériser ces personnages fugitifs qui ne traversent qu’une
page
, à décrire un lieu, à spécifier une sensation par
portraits, l’aspect, la physionomie des gens dont l’auteur peuple ses
pages
, ce qu’il évoque c’est non une énumération de tra
es frissonnants sous l’épiderme, toute cette vie qui s’agite dans les
pages
descriptives de M. de Goncourt, secoue et précipi
les plus excitants et les plus suggestifs de cette fin de siècle.
Pages
retrouvées Par Edmond et Jules de Goncourt R
’ils a faits avec son frère. Il suffit de dire que presque toutes ces
Pages
retrouvées, sont des morceaux de bonne ou de haut
entaires qui rendront précieuses aux historiens futurs les quatrièmes
pages
de nos journaux, sont encore amusantes à lire. Un
dans la Maison d’un vieux juge les romanciers de Germinie Lacerteur.
Pages
retrouvées se terminent par plusieurs articles de
a sympathie des souvenirs exacts. Ce portrait est une des plus belles
pages
de ce siècle. Il mérite de compter entre Charles
rtyrs de Chateaubriand, l’Orphée et l’Antigone de Ballanche, quelques
pages
de Quinet (Voyage en Grèce et Prométhée), on en c
arme : c’est comme une brise de ces belles contrées qui court sur ses
pages
. Massillon aussi, né à Hyères, a reçu un souffle
tier en partie de Fénelon, il a, dans Paul et Virginie, dans bien des
pages
de ses Études, dans cette page (par exemple) où i
dans Paul et Virginie, dans bien des pages de ses Études, dans cette
page
(par exemple) où il fait gémir Ariane abandonnée
il a sous les yeux, et improvise cette belle comparaison : Sur cette
page
blanche où mes vers vont éclore, Qu’un souvenir p
lore, Qu’un souvenir parfois ramène votre cœur. De votre vie aussi la
page
est blanche encore, Je voudrais la remplir d’un s
passage attachant ne s’y lit qu’une fois : On voudrait s’arrêter à la
page
où l’on aime, Et la page où l’on meurt est déjà s
lit qu’une fois : On voudrait s’arrêter à la page où l’on aime, Et la
page
où l’on meurt est déjà sous les doigts. Quand on
i rebute ; or ce quelque chose, on le ressent inévitablement à chaque
page
des lettres du réformateur de la Trappe. Rien de
à la Relation imprimée de l’abbé Nicaise, on y trouvera aux dernières
pages
les renseignements mêmes de cette lettre mis en œ
lu que les notes fussent plus fréquentes et plus courantes au bas des
pages
. Quand on a du goût comme M. Gonod, on se méfie d
bre 1846. 249. Dans le Journal des Débuts. Voir aussi au tome III,
page
239, des Portraits contemporains et divers. 250.
e pour nous ! (Voir Madame Swetchine, sa Vie et ses OEuvres, tome II,
page
207.) 251. J’avais déjà parlé de Rancé à propos
e Rancé à propos de sa Vie par M. de Chateaubriand (Voir au tome Ier,
page
36, des Portraits contemporains) ; depuis j’ai re
j’ai reparlé de Rancé tout à fait à fond, au tome III de Port-Royal,
pages
532 et suiv.
eur. J’ai pensé que quelques personnes liraient, non sans profit, ces
pages
ressuscitées, et surtout que la jeunesse, un peu
cesse ma pensée, à surveiller mes défauts, ils aimeront peut-être ces
pages
, pour lesquelles on ne réclame qu’un mérite, celu
la raison, c’est-à-dire de la science. Mais souvent, en relisant ces
pages
juvéniles, j’ai trouvé une confusion qui fausse u
idée d’une civilisation égalitaire, telle qu’elle résulte de quelques
pages
de cet écrit, est donc un rêve. Une école où les
’humanité, un état de profond abaissement. L’erreur dont ces vieilles
pages
sont imprégnées, c’est un optimisme exagéré, qui
n maint endroit ; peu m’importe, si l’on veut bien reconnaître en ces
pages
l’expression d’une grande honnêteté intellectuell
essemblances qui ne pouvaient manquer de se remarquer entre certaines
pages
du présent volume et plusieurs endroits de mes éc
Guyau étudie à ce sujet l’esthétique du souvenir, qui lui inspire des
pages
d’une poésie charmante. Il analyse aussi les effe
r l’Education et l’hérédité. 3. L’Art au point de vue sociologique,
page
16. 4. Page 27. 5. Page 28. 6. Page 66. 7. Pa
et l’hérédité. 3. L’Art au point de vue sociologique, page 16. 4.
Page
27. 5. Page 28. 6. Page 66. 7. Pages 66. 8. P
é. 3. L’Art au point de vue sociologique, page 16. 4. Page 27. 5.
Page
28. 6. Page 66. 7. Pages 66. 8. Page 68. 9. P
au point de vue sociologique, page 16. 4. Page 27. 5. Page 28. 6.
Page
66. 7. Pages 66. 8. Page 68. 9. Page 167. 10.
vue sociologique, page 16. 4. Page 27. 5. Page 28. 6. Page 66. 7.
Pages
66. 8. Page 68. 9. Page 167. 10. Voy. la Mora
ue, page 16. 4. Page 27. 5. Page 28. 6. Page 66. 7. Pages 66. 8.
Page
68. 9. Page 167. 10. Voy. la Morale, l’Art et
4. Page 27. 5. Page 28. 6. Page 66. 7. Pages 66. 8. Page 68. 9.
Page
167. 10. Voy. la Morale, l’Art et la Religion s
ge 167. 10. Voy. la Morale, l’Art et la Religion selon Guyau. 11.
Pages
14, 15. 12. Pages 64, 65.
la Morale, l’Art et la Religion selon Guyau. 11. Pages 14, 15. 12.
Pages
64, 65.
es qui concernent Güttinger, Souvestre, Georges Sand. En revanche les
pages
consacrées à Drouineau paraissent ici pour la pre
s sûr et très fin, un moraliste et un écrivain. Nous donnons dans les
pages
qui suivent tous les renseignements, tous les doc
i-même, par bien des métamorphoses. Au surplus, relisez les premières
pages
de Volupté : elles sont d’un sermonnaire ; c’est
e sur Vinet est toujours le même. Cependant, Frédéric Chavannes, à la
page
191 de son Vinet considéré comme apologiste et mo
ien compris Vinet et lui a rendu pleine justice. (Voir Post-Scriptum,
page
LXVIII.) Je n’en ai pas fini avec l’article du 15
D’où vient cependant que M. Léon Séché, dans une note que je lis à la
page
359 de son édition de la Correspondance de Sainte
n pastiche qui a trompé de bons juges. » La note est au bas d’une des
pages
de l’article sur Mme de Charrière (1839). On lit
er des hommes qui savent le mieux le siècle de Louis XIV à toutes ses
pages
, et qui feraient les pastiches de ces styles les
thèse qui fait suite à une note, laquelle note se trouve au bas de la
page
122 du tome Ier de la Correspondance de Sainte-Be
vous dirais que je n’en sais rien. Après cela, je n’ai voulu dans les
pages
qui précèdent que montrer combien le sage et prud
Ce que vous trouverez, d’une autre main que la mienne, à la troisième
page
de cette lettre, est une nouvelle édition des lig
peu mieux, que je viens de communiquer à M. Sainte-Beuve la troisième
page
de cette lettre. Je voudrais pouvoir vous communi
lettre. Vraiment, vous avez été bien bon de me transcrire ces quatre
pages
de M. Quinet ; ce n’est point une peine perdue, p
r ; mais j’y ajoute un postscriptum que vous trouverez à la troisième
page
de cette lettre-ci. Je voudrais bien que mon mauv
lume de M. Michelet. 27 mars 47 (de Mme V.) : Errata pour le Semeur :
page
93 lre colonne, ligne 24 d’en bas, ses malheurs,
colonne, ligne 24 d’en bas, ses malheurs, lisez : le malheur public ;
page
94, lre colonne, ligne 2 : ce trait, lisez : le t
rès sobre, j’ai passé une demi-journée des plus pénibles.… Écrit deux
pages
de l’article sur Arthur. 12 juin : Achevé le 1er
alpiter encore sous la main sévère du repentir, fallait-il que chaque
page
de ces confessions pénitentes en répétât les batt
oi le pénitent. Il ne se reproche pas, sans doute, le petit nombre de
pages
délicieuses qu’il a consacrées au souvenir d’un p
on cœur dans ma chair. » N’est-il pas remarquable que les plus belles
pages
du livre, les plus tendres, les plus sensibles, s
une syllabe à ajouter. Je finis par recommander au lecteur quelques
pages
admirables (II, 166-171) sur cette vérité : que t
s bois dans le torrent d’exil84. Mais il faut les voir à leur place (
pages
18 et 36) pour les sentir et pour savoir ce qu’il
seizième et du dix-huitième se trouvera traitée incidemment dans les
pages
de M. Sainte-Beuve. Pour les y faire entrer, l’in
ns de Port-Royal, un directeur de conscience, il faut lire seulement (
page
360) toute l’allocution à la mère Angélique. La d
ir, les contours d’abord peu arrêtés se dessinant jour à jour — comme
page
à page dans le livre de M. Sainte-Beuve ; si bien
contours d’abord peu arrêtés se dessinant jour à jour — comme page à
page
dans le livre de M. Sainte-Beuve ; si bien qu’à l
que pour le nôtre, aime à résumer et à conclure, a consacré quelques
pages
remarquables à caractériser l’abbé de Saint-Cyran
bable), sachez que vous n’avez rien lu. Dans cet épilogue de quelques
pages
, il y a un nouveau drame, auprès duquel celui qui
; elle enterre le Néant, et reste seule dans son désert. Au bas de la
page
, vous lisez ces mots en lettres gothiques : Icy
uelle, tout pantelant, on arrive au bout de cinq cent quarante-quatre
pages
in-octavo. « Belle conclusion et digne de l’exord
mystères de votre Créateur ! Et avec quel frisson vous parcourrez ces
pages
brillantes où vous vous êtes, sans y penser, rail
se probablement qu’une maladie dont la description occupe près de 600
pages
demande pour sa guérison un volume de même épaiss
dans son second article du Semeur, à la place que nous avons indiquée
page
122, les lignes suivantes, qu’il n’a pas reprodui
ecteurs ; et nous aurions même plus volontiers consacré ces premières
pages
à l’expression de notre sympathie qu’à une discus
se révèle. C’est son système, ce n’est pas lui, qui manque de poésie.
Page
à page, nous l’avons dit, il est vraiment poète,
le. C’est son système, ce n’est pas lui, qui manque de poésie. Page à
page
, nous l’avons dit, il est vraiment poète, quoiqu’
intenzione, de désinvolture, porte le lecteur de phrase en phrase, de
page
en page, sans effort ni fatigue ; et il n’y a pas
ne, de désinvolture, porte le lecteur de phrase en phrase, de page en
page
, sans effort ni fatigue ; et il n’y a pas d’ouvra
s. À peine plus d’un siècle est raconté dans ces cinq cents nouvelles
pages
; encore la narration est-elle sommaire partout o
tribune passionnée, moi, dans le fond de ma province, je relisais les
pages
éloquentes où vous racontez les longs débats de l
ranchante du plus récusable des juges : « Il a mis la royauté hors de
page
. » Ce fait, d’avoir préparé le despotisme de Loui
plusieurs éclairent le passé d’une lumière nouvelle, et il est peu de
pages
qui ne dénoncent quelque tribut levé par l’histor
gnet n’a rien écrit de plus savant à la fois et de plus brillant. Ces
pages
, à elles seules, justifieraient la réputation de
nisme se retrouve. Les sucs les plus purs de l’Evangile abreuvent ces
pages
admirables ; hérésie pour hérésie, on doit regret
housiasme. On dirait de ces arabesques qui servent d’encadrements aux
pages
de certains Évangiles illustrés. Chaque personnag
second vers avant le premier. Un artifice adroit, dont presque chaque
page
du poème offre des exemples, facilite à l’écrivai
rien ; il a beau s’écrier sur le titre : Mensonge !! Dans toutes les
pages
qui suivent, que fait-il que dire : Aimez ce mens
l vous reste le tempérament. Bien différent est le sentiment dont les
pages
du livre d’Arthur sont remplies et comme embaumée
d’une réalité morale, et qu’un cœur, un cœur vivant palpite sous ces
pages
! Pour aujourd’hui, je me sépare d’Arthur, mais c
aconte ; ce livre ne se connaît pas d’avance ; l’auteur des dernières
pages
n’est plus l’auteur des premières ; tout y est su
e songeait pas à faire un poème. Autrement nous aurions eu de longues
pages
de cette prose fatiguée, haletante, encombrée de
le pressentiment lointain, dont l’exquise émanation lui a inspiré des
pages
si éloquentes ! Avec quelle douce surprise n’avio
eillies ? Ces livres dont les titres inconnus se lisent au bas de ses
pages
, ont-ils donc été ses seuls espions ? N’a-t-il po
ition, il figure dans le volume Ier de Philosophie morale et sociale,
pages
216-233 ; c’est un article où il n’est point parl
317.) 38. Paris, Calmann-Lévy, 1892. 39. Cet article se trouve à la
page
4 du numéro du Courrier suisse du 29 mai 1840. 4
oductions antérieures de l’auteur. Voyez le Semeur du 4 janvier 1832,
page
140. 74. Semeur, 3 janvier 1838. 75. A M. Ach
Semeur, 2 décembre 1840. 91. Evangile selon saint Marc, IV, 27. 92.
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mbre 1840. 91. Evangile selon saint Marc, IV, 27. 92. Page 96. 93.
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. Evangile selon saint Marc, IV, 27. 92. Page 96. 93. Page 88. 94.
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189. 95. Port Royal, 3e édition, p. 883, écrit
: « en nous obligeant par là-même à beaucoup rabattre. » (P. S.) 96.
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igeant par là-même à beaucoup rabattre. » (P. S.) 96. Page 395. 97.
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ême à beaucoup rabattre. » (P. S.) 96. Page 395. 97. Page 105. 98.
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rabattre. » (P. S.) 96. Page 395. 97. Page 105. 98. Page 190. 99.
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420. 105. Semeur, 30 décembre 1840. 106. La ph
ître à Port-Royal-des-Champs. 108. Livre I, chapitres V et VI. 109.
Pages
354-356. 110. Geschichte von Port-Royal, von Dr.
te von Port-Royal, von Dr. HERMANN REUCHLIN. Erster Band. 1839. 111.
Pages
142-143. 112. Semeur, 30 juillet 1834. 113. Pa
and. 1839. 111. Pages 142-143. 112. Semeur, 30 juillet 1834. 113.
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es 254-6. 123. Page 265. 124. Pages 337-340. 125. Pages 345. 126.
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515. 139. Pages 516-517. 140. Page 521 141. Pa
135. Page 463. 136. Page 496. 137. Page 509. 138. Page 515. 139.
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516-517. 140. Page 521 141. Page 528. 142. Pag
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. Page 515. 139. Pages 516-517. 140. Page 521 141. Page 528. 142.
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. Pages 516-517. 140. Page 521 141. Page 528. 142. Page 528. 143.
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542. 145. page 544. 146. Semeur, 6 août 1834.
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544. 146. Semeur, 6 août 1834. [Publié dans les
r, 1er août 1838. 150. IIIe Partie, II. 151. IIIe Partie, VI. 152.
Page
XLV. 153. Pages LI-LIV. 154. Semeur, 8 août 18
. 150. IIIe Partie, II. 151. IIIe Partie, VI. 152. Page XLV. 153.
Pages
LI-LIV. 154. Semeur, 8 août 1838. 155. Evangil
ître de saint Paul à Tite, II, 12. 159. Semeur, 15 août 1838. 160.
Pages
XXXIV-XXXVI. 161. Pages XXXIX-XLI. 162. Epître
, II, 12. 159. Semeur, 15 août 1838. 160. Pages XXXIV-XXXVI. 161.
Pages
XXXIX-XLI. 162. Epître de saint Jacques, 1, 17.
70. Semeur, 22 août 1838. 171. Semeur, 4 juin 1834. 172. Tome II,
page
622. 173. Semeur, 11 juin 1834. 174. Tome I, p
. 172. Tome II, page 622. 173. Semeur, 11 juin 1834. 174. Tome I,
page
103. 175. Tome I, page 111. 176. Tome I, page 1
2. 173. Semeur, 11 juin 1834. 174. Tome I, page 103. 175. Tome I,
page
111. 176. Tome I, page 112. 177. Tome I, page 1
n 1834. 174. Tome I, page 103. 175. Tome I, page 111. 176. Tome I,
page
112. 177. Tome I, page 191. 178. Tome I, page 2
ge 103. 175. Tome I, page 111. 176. Tome I, page 112. 177. Tome I,
page
191. 178. Tome I, page 201. 179. Table du tome
ge 111. 176. Tome I, page 112. 177. Tome I, page 191. 178. Tome I,
page
201. 179. Table du tome I. — Voir aussi pages 30
page 191. 178. Tome I, page 201. 179. Table du tome I. — Voir aussi
pages
308-311. 180. Tome I, page 352. 181. Tome I, pa
201. 179. Table du tome I. — Voir aussi pages 308-311. 180. Tome I,
page
352. 181. Tome I, page 365. 182. Tome I, page 3
I. — Voir aussi pages 308-311. 180. Tome I, page 352. 181. Tome I,
page
365. 182. Tome I, page 383. 183. Tome I, page 4
08-311. 180. Tome I, page 352. 181. Tome I, page 365. 182. Tome I,
page
383. 183. Tome I, page 413. 184. Aug. Thierry,
ge 352. 181. Tome I, page 365. 182. Tome I, page 383. 183. Tome I,
page
413. 184. Aug. Thierry, Lettres sur l’Histoire
Thierry, Lettres sur l’Histoire de France, Lettre XII. 185. Tome I,
page
430. 186. Tome I, page 434. 187. Semeur, 25 ju
Histoire de France, Lettre XII. 185. Tome I, page 430. 186. Tome I,
page
434. 187. Semeur, 25 juillet 1838. 188. Tome I
86. Tome I, page 434. 187. Semeur, 25 juillet 1838. 188. Tome III,
page
113. 189. Tome III, page 108. 190. Tome III, pa
. Semeur, 25 juillet 1838. 188. Tome III, page 113. 189. Tome III,
page
108. 190. Tome III, page 417. 191. Tome III, pa
. 188. Tome III, page 113. 189. Tome III, page 108. 190. Tome III,
page
417. 191. Tome III, page 335. 192. CHATEAUBRIAN
. 189. Tome III, page 108. 190. Tome III, page 417. 191. Tome III,
page
335. 192. CHATEAUBRIAND. Œuvres complètes. Tome
ome III, page 335. 192. CHATEAUBRIAND. Œuvres complètes. Tome V ter,
page
108. 193. Tome III, page 422. 194. Semeur, 24
HATEAUBRIAND. Œuvres complètes. Tome V ter, page 108. 193. Tome III,
page
422. 194. Semeur, 24 mars 1847. 195. HORACE, E
à Praeneste l’historien de la guerre de Troie. (P. S.) 196. Tome IV,
pages
53, 93, etc. 197. Tome IV, pages 57, 187, etc.
re de Troie. (P. S.) 196. Tome IV, pages 53, 93, etc. 197. Tome IV,
pages
57, 187, etc. 198. Le quatrième et le cinquième
Semeur, 31 mars 1847. 202. Histoire des Ducs de Bourgogne, tome IX,
pages
96-97. 203. Tome VI, pages 286, 290. 204. Bibl
Histoire des Ducs de Bourgogne, tome IX, pages 96-97. 203. Tome VI,
pages
286, 290. 204. Bibliothèque universelle de Genè
ges 286, 290. 204. Bibliothèque universelle de Genève. Année 1846 ;
pages
535 et 537. De l’éloquence naturelle. 205. Tome
ée 1846 ; pages 535 et 537. De l’éloquence naturelle. 205. Tome VI,
page
490. 206. « Il avait de bonnes et vertueuses pa
és de son premier maître. (Livre V, chapitre IX.) 207. Voir tome VI,
pages
38 et 418. 208. Mémoires de Comines, livre XI,
es théories littéraires. Voyez, sur cette religion nouvelle, quelques
pages
aussi énergiquement écrites que nettement conçues
éraires de M. Sainte-Beuve. 210. Semeur, 29 mai 1843. 211. Tome I,
page
358. 212. Tome I, page 108. 213. Tome I, page 1
ve. 210. Semeur, 29 mai 1843. 211. Tome I, page 358. 212. Tome I,
page
108. 213. Tome I, page 115. 214. Tome I, page 1
i 1843. 211. Tome I, page 358. 212. Tome I, page 108. 213. Tome I,
page
115. 214. Tome I, page 160. 215. Tome I. page 2
ge 358. 212. Tome I, page 108. 213. Tome I, page 115. 214. Tome I,
page
160. 215. Tome I. page 26. 216. Tome I, page 12
ge 108. 213. Tome I, page 115. 214. Tome I, page 160. 215. Tome I.
page
26. 216. Tome I, page 126. 217. Tome I, page 34
age 115. 214. Tome I, page 160. 215. Tome I. page 26. 216. Tome I,
page
126. 217. Tome I, page 346. 218. Semeur, 27 dé
age 160. 215. Tome I. page 26. 216. Tome I, page 126. 217. Tome I,
page
346. 218. Semeur, 27 décembre 1843. 219. Tome
17. Tome I, page 346. 218. Semeur, 27 décembre 1843. 219. Tome II,
page
59 220. Tome II, page 111. 221. Tome II, page 1
218. Semeur, 27 décembre 1843. 219. Tome II, page 59 220. Tome II,
page
111. 221. Tome II, page 10. 222. Tome II, page
1843. 219. Tome II, page 59 220. Tome II, page 111. 221. Tome II,
page
10. 222. Tome II, page 23. 223. Tome II, page 6
ge 59 220. Tome II, page 111. 221. Tome II, page 10. 222. Tome II,
page
23. 223. Tome II, page 61. 224. Tome II, page 6
e 111. 221. Tome II, page 10. 222. Tome II, page 23. 223. Tome II,
page
61. 224. Tome II, page 63. 225. Tome II, page 1
ge 10. 222. Tome II, page 23. 223. Tome II, page 61. 224. Tome II,
page
63. 225. Tome II, page 126. 226. Tome II, page
ge 23. 223. Tome II, page 61. 224. Tome II, page 63. 225. Tome II,
page
126. 226. Tome II, page 127. 227. Si l’on veut,
e 61. 224. Tome II, page 63. 225. Tome II, page 126. 226. Tome II,
page
127. 227. Si l’on veut, avec l’œuvre de civilisa
ssement du christianisme, par Bost, d’après Blumhardt. 228. Tome II,
page
163. 229. Le second mémoire est parfaitement rés
ge 163. 229. Le second mémoire est parfaitement résumé dans quelques
pages
du quatrième. (Tome II, pages 440-446.) 230. Tom
e est parfaitement résumé dans quelques pages du quatrième. (Tome II,
pages
440-446.) 230. Tome II, page 236. 231. Tome II,
quelques pages du quatrième. (Tome II, pages 440-446.) 230. Tome II,
page
236. 231. Tome II, page 238. 232. Tome II, page
me. (Tome II, pages 440-446.) 230. Tome II, page 236. 231. Tome II,
page
238. 232. Tome II, page 321. 233. Tome II, page
46.) 230. Tome II, page 236. 231. Tome II, page 238. 232. Tome II,
page
321. 233. Tome II, page 322. 234. Tome II, page
236. 231. Tome II, page 238. 232. Tome II, page 321. 233. Tome II,
page
322. 234. Tome II, page 452. 235. Tome II, page
238. 232. Tome II, page 321. 233. Tome II, page 322. 234. Tome II,
page
452. 235. Tome II, page 453. 236. Tome, II page
321. 233. Tome II, page 322. 234. Tome II, page 452. 235. Tome II,
page
453. 236. Tome, II page 170-171. 237. Semeur,
322. 234. Tome II, page 452. 235. Tome II, page 453. 236. Tome, II
page
170-171. 237. Semeur, 10 mars 1841 238. Chant
nt pas été reproduites dans les éditions antérieures. Voir note de la
page
précédente. [P. S.] 307. Semeur, 19 mai 1841.
yé à toutes les principales bibliothèques du royaume. (Voir notes des
pages
345 et 346.) 344. Semeur, 24 juin 1835. 345.
Courrier suisse, 29 mai 1840. Voir Préface p. XLIV. 374. Tome Ier,
page
83.
r, se replie en pays ami. L'article de M. de Rémusat a de très-belles
pages
sur les jeunes chefs de file d’opinions sous la R
s chefs de file d’opinions sous la Restauration (ainsi à la fin de la
page
435 : Élevés loin de Paris, etc. Esprits étendus,
. Esprits étendus, mais positifs, etc., c’est Thiers. De même qu’à la
page
suivante 436 : déjà les mécomptes, etc., c’est Jo
vante 436 : déjà les mécomptes, etc., c’est Jouffroy. De même qu’à la
page
437, dans une région sociale différente, etc., c’
e rêverie du grand Schopenhauer ! » et elle cite seize lignes. En une
page
d’un livre précédent, cette pauvre Laurenty résum
ant. » Je m’arrête. Dans le seul livre de Laurenty, j’ai copié quatre
pages
de citations aussi précieuses. Sauf de rares exce
ains tableaux moitié de réalité, moitié de cauchemar et telles de ses
pages
sont des puissances frissonnantes, quoique l’arti
histoire qu’elle nous conte, les Hors Nature, a près de quatre cents
pages
de texte compact, et quelques morceaux joliment p
re, mais je lui garde rancune d’une déception. Les quarante premières
pages
de sa Marylka m’ont charmé. Les Slaves que j’y re
uter un errata à son dernier recueil. J’y trouve cette indication : «
Page
25, 7e vers, au lieu de : Sa rumeur murmure eff
ffrénée Lisez : Sa rumeur mugit effrénée Je cherche le 7e vers de la
page
25 avec la ferme volonté de faire mugir cette rum
es féminines. Le plus souvent, je m’abandonne au charme de relire des
pages
exquises. Parfois je m’inquiète d’un problème. D’
n ; Relire tout entier mon livre, Sans me bâter et sans frémir, De la
page
où l’on se sent vivre A celle où l’on se voit mou
endre, gris perle, mauve pâle, reposent le regard tout le long de ces
pages
délicates. Il serait agréable de cueillir quelque
e imagination riche et facile et une raison solide donne à toutes ces
pages
le charme piquant d’une « ironie spirituelle et t
veté simple et il attribue souvent au passé les idées du présent. Les
pages
où le peintre Jules Breton conte son enfance sont
a plus fraîche et la plus délicieusement enfantine des idylles et les
pages
centrales, douloureuses et souriantes, mettent au
raissent que trop faciles à pénétrer. Je m’énerve à regarder à chaque
page
le titre courant pour être certain ou presque de
nous faisons sûrement fausse route. Et recommence pendant trois cents
pages
et plus le jeu fuyant et énervant qui nous entraî
intéressant, puisque pour leur sottise c’est un crime, ont, quelques
pages
durant, de délicieux frissons le long de la moell
e ne me vengerai pas plus longtemps sur mes lecteurs des quatre cents
pages
durant lesquelles Invincible Charme m’a agacé… L’
appé à sa sévérité ; rien n’a échappé à son influence. Les meilleures
pages
manquent de lyrisme et de spontanéité, sont trop
yse du dernier roman de Jean Bertheroy, Sur la pente. Les trois cents
pages
contiennent d’ailleurs autre chose que les cinqua
les est décuplée par l’écriture d’une élégance riche. Ces trois cents
pages
constituent la plus étonnante anthologie de gongo
à ces mesquines habiletés et à de souriantes anecdotes. Aux dernières
pages
seulement, le problème est, non point résolu, cer
vre exquis. Par malheur, le volume, qui paraît court à qui compte les
pages
, devient bien long quand on essaie de lire. Les a
u’elle aime un exercice de style. Le livre, agaçant dès les premières
pages
et inquiétant de fausseté, devient peu à peu mono
traître du même livre, — car, lorsque Camille Pert a ses trois cents
pages
de psychologie, un traître vient toujours dénouer
smes lourds : on sent qu’elle vient de s’entraîner en lisant quelques
pages
de Zola. Un de ses personnages revient-il sur son
nt des reproches et des prières : je me suis contenté d’en couper les
pages
et de parcourir trois lignes çà et là, pour me re
si heureux de cette plaisanterie qu’il essaie de la renouveler vingt
pages
plus loin. Dans Mme O. Gevin-Cassal, un employé d
s, ni l’émotion larmoyante. Elle sait l’art de délayer en trois cents
pages
les aventures et les mésaventures de la petite fi
à la petite fille d’amis peu patients que j’aime à taquiner. A chaque
page
, elle leur demande l’explication de phrases comme
erthe Flammarion écrit avec une banalité prétentieuse. Chacune de ses
pages
est un refuge pour vieilles métaphores. Elle rapp
hode homéopathique, dans un tonneau d’encre. Mais les vingt premières
pages
sont d’un mouvement aisé et gentil, les vingt der
evant cette peine, abandonnent ce soin au typographe et au metteur en
pages
. » *** Judith Cladel essaye les tours de force de
ier soleil de mars troue le plafond de nuages gris ». Ça continue des
pages
et des pages. « Parfois aussi, me pelotonnant con
mars troue le plafond de nuages gris ». Ça continue des pages et des
pages
. « Parfois aussi, me pelotonnant contre la terre,
ie en deuil, se déclare « vieillotte ». On trouve avec joie, dans ces
pages
, de la vie saisie en son mouvement, de la réalité
rivain. Et nous lui devons quelque reconnaissance pour les nombreuses
pages
posthumes qu’elle a recueillies et éditées. Comme
st. Incapable de s’orienter, elle va n’importe où et, les trois cents
pages
parcourues au petit bonheur, s’arrête où elle se
çus de qui les commet, même causerie aimable et bébête. Je relis deux
pages
et je trouve « certains propos amers qui indiquen
t ce qu’elle doit, puisqu’elle fait ce qu’elle peut. En soixante-onze
pages
in-8, je n’ai relevé qu’une tournure franchement
Celles qu’on ignore, la fatigue se laisse un peu sentir et, à côté de
pages
charmantes, on rencontre des banalités et d’indif
nt « en tendresses étouffées et mourantes ». Hélas ! dès la quinzième
page
, des notes fausses m’irritèrent. Elles m’irritaie
la bouche des enfants, comme la brise des lèvres du printemps ». Ces
pages
ressemblent à je ne sais plus quelle fraîche joie
à citer les plus belles des images qui font sourire et briller chaque
page
. Je ne résiste pas cependant au plaisir d’écrire,
es de la Vie se contredisent comme de vulgaires proverbes. Je trouve,
page
12, cette définition souriante « L’oubli est le p
définition souriante « L’oubli est le pardon involontaire. » Mais la
page
5 affirme : « Qui oublie a pardonné, qui pardonne
ne erreur qui s’est transmise de génération en génération ». Et, deux
pages
plus loin, la démonstration faite, l’auteur triom
aurait tromper sa femme sans être « un misérable. » *** Les premières
pages
que j’ai lues de J. de Tallenay me furent une joi
nche, la grâce simple d’une idyllette ou rit comme une cascatelle une
page
de comédie un peu trop longuement bavarde. *** L
s traîtres ! — en gentillesses d’idylles et qui, pendant quatre cents
pages
, nous égarent dans les aventures les plus extrava
it qu’hébètement. Pas très poétique. Je suis mal tombé. Tournons des
pages
… Je rencontre ce final : Viens chaque soir, Ô be
ne m’occupe pas des réclames. Il y a pourtant dans celle-ci une jolie
page
: le portrait en phototypie de l’auteur-marchandi
lémence Badère, d’Eulalie-Hortense Jousselin, de quelques autres. Les
pages
que je leur ai consacrées ne sont point des pages
uelques autres. Les pages que je leur ai consacrées ne sont point des
pages
perdues : elles montrent que la femme essayant de
n qu’il y ait dans ce qu’elle a écrit et ce qu’on a sous les yeux des
pages
qui, à distance et avec un peu de mauvaise volont
vivement et fidèlement rendue par M. Beugnot, et plus encore dans les
pages
qui suivent, et auxquelles je ne puis que renvoye
’aurais plus de confiance dans les Mémoires de Dumouriez si, à chaque
page
, je n’y lisais l’éloge de ses démarches, de ses a
aurai par cœur ; je ne puis me coucher sans en avoir savouré quelques
pages
. » Et elle redit la même chose dans ses Mémoires
ation. » Mais pourquoi imiter Tacite ? On y parvient pendant quelques
pages
; il y a un tour, un procédé, une entorse vigoure
viens de relire les Mémoires de Buzot ou ce qu’on appelle ainsi, les
pages
d’apologie écrites par lui au milieu de sa proscr
du représentant (2 volumes in-8°, chez Didier, 1861). 40. Voir à la
page
CCXXXVI de l’Étude de M. Dauban. Mais le mieux es
son petit-fils, 2 vol., 1866.) 41. Histoire des Girondins, tome II,
page
14, première édition. 42. Histoire de la Révolu
première édition. 42. Histoire de la Révolution française, tome VI,
page
150. 43. Cette tragédie de Salles a été publiée
z ceux qui l’ont jugé. Je ne sache guères en toutes ses œuvres qu’une
page
de colère enflammée, et c’est le célèbre portrait
ent, comme sa pensée elle-même, au temps où il écrivait ses premières
pages
, et c’est sur ce point que la Critique qui étudie
n de cet ordre que vous causera ce gros volume de cinq cent cinquante
pages
, où il y a de la sciure de ces idées qui, depuis,
simplement à reconnaître la supériorité de l’écrivain qui a écrit ces
pages
… ou à s’en taire. Eh bien ! on s’en taira. Mais c
. La Correspondance diplomatique n’était pas un conte. Elle avait des
pages
frappantes et charmantes, signées de leur talent
isément sur la question traitée par Joseph de Maistre en ces quelques
pages
qu’on pourra juger de l’esprit absolu de cet abso
s chirurgicalement le plus doux. IX En effet, dans ces quelques
pages
qui n’omettent rien en leur brièveté pleine, Jose
On avait découvert, au sein du caillou, des entrailles. Les quelques
pages
sur la Russie, rapprochées de plusieurs autres pa
es. Les quelques pages sur la Russie, rapprochées de plusieurs autres
pages
de la Correspondance diplomatique, vont faire de
poésie française dans une de ses directions de logique et de vie. La
page
sur laquelle il avait pensé et travaillé, espéré
é et désespéré, triomphé et souffert, elle me paraissait bien une des
pages
utiles et normales d’une littérature. La valeur d
es pages utiles et normales d’une littérature. La valeur d’une de ces
pages
, d’un de ces écrivains, se prouve par son context
ces pages, d’un de ces écrivains, se prouve par son contexte, par la
page
suivante qu’elle comporte, par la phrase qui répo
original, par une autre voix et sur un autre registre spirituel. A la
page
que Mallarmé avait écrite sur ces frontières de l
ature, sur ces feuilles extrêmes venues de l’arbre dodonéen, d’autres
pages
s’ajoutent, qui forment avec elles une tradition
, dans la musique. Mais en poésie ? N’oublions pas cette vision de la
page
blanche qui hallucina positivement Mallarmé, si s
de ciel étoilé, le refus même et la disponibilité indéfinie de cette
page
blanche. Chez Valéry comme chez Mallarmé, trois é
cette fraîcheur glaciale de neige et d’espace vierge incorporée à la
page
blanche. D’abord une idée vraiment religieuse et
s encore ce propos tout mallarméen de Valéry, et voyons l’image de la
page
blanche coïncider avec celle de l’étendue marine.
ennent. Seulement, il faut avoir confiance en la mer, confiance en la
page
blanche. Regard sur la totalité, choix du parti,
ofondir l’autre. Valéry écrit, dans l’Introduction, contre Pascal une
page
qui tombe un peu à faux, car Pascal, en discernan
rts, des abîmes de ce genre, les abîmes du hasard, du possible, de la
page
blanche, pour que l’ingénieur spirituel, le « gén
qu’y peuvent mêler dangereusement les arts de la parole. Plus que la
page
mystérieusement blanche à piquer de mots, l’œuvre
tres ; Valéry songerait à une rivalité technique du monument et de la
page
. Mais Mallarmé surtout a appliqué ici la « logiqu
p de Dés jamais n’abolira le hasard. Il montre Mallarmé étudiant « la
page
, unité visuelle..., l’efficace des distributions
lvins avec Mallarmé, sous un firmament dont l’aspect lui évoquait les
pages
du poème, et il écrit : « Il me semblait maintena
. Je me plais (un peu subtilement) à trouver, devant le ciel, dans la
page
intérieure, un peu de l’élément visuel qu’il y a
dans la page intérieure, un peu de l’élément visuel qu’il y a dans la
page
mallarméenne. Tout le poème tourne d’ailleurs sur
au héros, du firmament à l’âme, de l’un qui se déploie, ainsi qu’une
page
écrite, comme la suite, l’équivalent, la consonna
fait avec des quatrains d’hexasyllabes, qui donnent en effet, sur la
page
, une disposition typographique de colonne. Le poè
ntérieure d’images, déclenchée en lui, et projetée sur l’écran de ces
pages
, nous donne spontanément ce dialogue. « Plus je r
le nénuphar blanc, les vers anciens de l’Album nous évoquent à chaque
page
le décor mallarméen et symboliste. Ils vivent pro
même de l’élan vital, et d’une conscience qu’on peut, au hasard de la
page
, dilater en cosmique ou resserrer en pathétique.
ées, et celle du sommeil peut être la plus vraie. M.Bergson, dans les
pages
de l’Energie Spirituelle sur le Rêve, dit qu’il c
nd il l’appelle un « désintéressement » (je songe aussi aux dernières
pages
du Journal d’Amiel). Ce fut l’heure, peut-être,
able, la lumière massive et totale reparaît-elle. Les trois dernières
pages
de la Jeune Parque ramènent les thèmes de la Soir
rore t’appelle à la belle architecture, aux chantiers de l’art, de la
page
ou de l’homme, quand tu te nommes Sémiramis, évei
che d’un Serpent. Palme, sur lequel se terminent Charmes, fait sur la
page
, comme en son ordre l’architecture du Cantique de
oduisent les images mêmes et tout l’être poétique des trois dernières
pages
de la Jeune Parque, sonnent une vraie « marche »
de son point de vue tout professionnel, doit être fondée à écrire des
pages
et même des livres sur eux. J’en reviens dès lors
issement d’un de ses vœux. Nous lui aurions dû peut-être une dernière
page
, un dernier portrait définitif de son ami. Public
go et la Restauration (1869), M. Edmond Biré s’est attaché à réfuter (
pages
251-255) un mot entre autres échappé à l’illustre
. Edmond Biré, qui a fait tout un volume pour réfuter les cinq ou six
pages
de Victor Hugo, et qui les considère comme outrag
ie parut pour la première fois dans les Lettres Normandes (tome VIII,
page
238) sous ce titre : Êpigramme-quatrain sur un je
qu’on en soit venu à faire un volume tout entier, là où deux ou trois
pages
eussent amplement suffi. C’est d’ailleurs se mépr
ux que vers 1828. Je me figure que c’est cette idée qui a inspiré les
pages
de M. Hugo. » Il y aurait lieu certainement, en c
e la littérature anglaise, et je trouve dans le tome I du Spectateur,
page
153, un article de lui sur l’auteur des Lettres d
re du Gouvernement parlementaire de M. Duvergier de Hauranne (tome V,
pages
83, 122, 123). Il était chargé par M. de Serre de
de style, de fantaisie et de couleur. Toutes les fois que j’ai lu une
page
, un chapitre ou un livre de M. Janin, je me dis :
rs du jour qu’il reconnaissait supérieurs. Si, en louant de lui cette
page
d’alors, on semble retirer beaucoup au romancier,
dans leur gueule fraîche et rosée… » On découperait çà et là dans ces
pages
de Janin de ces coins de vignettes à la Johannot.
rs. À cent pas de là s’élevait la croix de bois… Isolée ainsi, cette
page
du roman de M. Janin ne perd rien ; par son ton j
x du second volume. Il y a des traits sentis et bien frappés dans ces
pages
, où est étalée la hideuse vieillesse de ce roi. J
e homme, ainsi qualifié indulgemment par Frédéric, à un Tibère. Comme
page
à citer, j’aime mieux celle que M. Janin a consac
dans laquelle il suppose Henri IV apostrophant son petit-fils. Cette
page
est vraiment juste, elle est simple et belle, et,
ressouvient à la fois et qui devine, lit, parcourt, choisit dans ces
pages
nombreuses celles qu’il faut élaguer, celles qui
y a du mystère et un orgueil d’initiation. C’est qu’enfin de ces 480
pages
, souvent insignifiantes et souvent ennuyeuses, on
ui me dépassent infiniment. Car et c’est la première clarté que ces
pages
nous donnent sur leur auteur le journal de Stend
printemps que je passerai à Grenoble. « … D’abord tout cela, et vingt
pages
de détails tous horriblement aggravants ; mon pèr
journal : « mon bâtard de père » ; puis, relisant vingt ans après la
page
que j’ai citée, il ajoute en marge : « Ne rougis-
lui faire répéter ses rôles. » Une phrase qui revient toutes les dix
pages
, c’est celle-ci : « A tel moment, si j’avais osé,
quand il n’y songe presque plus. Et, tandis qu’il consacre deux cents
pages
au récit détaillé de ses manœuvres et de ses stra
le enchâsseur qui sait faire reluire les moindres pierres, a orné les
pages
de sa chronique ressuscitée. Le vrai sujet de ce
car il n’a pas bougé, et qui est resté sur Mathilde. Dès la première
page
, que dis-je ? dès la première ligne de son ouvrag
derrière lui aux portes de l’Église épouvantée, il s’adresse, dès la
page
4, la question brûlante : « D’où venait cet homme
té ! L’histoire de l’Église, à cette époque, qu’il a su écrire, a des
pages
qui feraient pleurer ceux qui l’aiment. Alors, le
ible d’aller plus loin, de notre côté ! Et tel est, du reste, à toute
page
, le caractère de cette histoire, où l’historien,
r le pinceau, je ne crois pas que Grégoire VII ait inspiré jamais une
page
de plus de simplicité dans la grandeur et de plus
cle dans sa jeunesse. On pourrait citer celle de Cateau-la-Borgnesse (
page
178), et la plaisanterie un peu forte de l’accouc
e, le cardinal Mazarin voulut persuader qu’elle avait fait un enfant (
page
372). Renée, qui cite souvent madame de Sévigné,
cette immense fortune dont sa conscience était accablée. » Une telle
page
, que nous n’avons pas voulu mutiler et qui n’est
(il y en a plus de sept dans ces sept nièces de Mazarin !), une telle
page
est un modèle de tenue dans la gaîté railleuse, e
ans la goutte de lumière qu’elle vient de verser, vous avez aussi des
pages
graves et fortes dans lesquelles l’historien remo
lait peut-être avec orgueil le règne de Louis XIV. Elle n’a eu qu’une
page
, il est vrai ; mais cette page couvre toute sa vi
règne de Louis XIV. Elle n’a eu qu’une page, il est vrai ; mais cette
page
couvre toute sa vie, et l’histoire n’oubliera pas
ique de saint Jean de la Croix, et il en reproduit l’esprit en mainte
page
. Je citerai celle-ci, par exemple, qu’il intitule
e française adoptive, à des accents du premier terroir. La note de la
page
124 contient une vraie faute. Montesquieu a dit q
que je croyais qu’elles m’aimaient. 36. Voir la note sur Turquety,
page
260, dans l’article sur Achille du Clésieux. 37.
placé la Table analytique à la fin du tome XI des Causeries du Lundi,
page
517. — On peut lire aussi une note sur ce poète d
e note sur ce poète dans le tome XIII et dernier des Nouveaux Lundis,
page
398 (article Malherbe).
erselle. I. Ainsi, je passerai vite sur les cent vingt premières
pages
de Mademoiselle Jaufre 4, où nous sont contés (av
le péché… Une autre partie tout à fait digne d’attention, ce sont les
pages
qui nous montrent Louiset réfugié à Paris et essa
Prévost ose encore écrire sérieusement : « Le front las des penseurs (
page
32) » ; il nous dit que la clientèle était peu lu
avenir politique naissant de la notoriété du génie de Paul Delcombe (
page
91) », etc., etc… Beaucoup d’écrivains d’un réel
e un peu approchante. Je voudrais abréger les quatre-vingts premières
pages
, celles où l’auteur nous fait connaître son héros
idées, dans les mots qu’excelle l’auteur de tant de belles et solides
pages
. Ce n’est ni dans les dictionnaires du passé, ni
noré de celle qui l’avait inspiré. Mon intention n’est pas d’analyser
page
à page ce livre qui, pour moi, renferme comme un
celle qui l’avait inspiré. Mon intention n’est pas d’analyser page à
page
ce livre qui, pour moi, renferme comme un spécime
ont jamais et de ceux qui s’ennuient dans la leur. Je passe bien des
pages
et j’arrive à celles-ci qui me semblent parmi les
ue j’ai éprouvé quand, dans ma jeunesse, je lisais et je relisais les
pages
du grand maître. II. Abel Hermant. La Surinten
odes du roman qui est absolument intéressant. Je prends, entre autres
pages
, celles dans lesquelles se trouve peint le combat
ssé pour n’être point accompli. Je ne puis insister davantage sur ces
pages
si intéressantes, sur ces tableaux peints avec un
imement aux hommes passés et aux hommes à venir. Suivent trois cents
pages
qui sont une véritable galerie de paysages peints
r le changement des points de vue ? Je détache bien vite ces quelques
pages
qui sont un poème en prose, et qui en disent plus
nu pour que je puisse penser faire une surprise à mes lecteurs de ces
pages
empreintes de l’amour de la simplicité littéraire
le sous conditions cependant. La thèse philosophique se résume en ces
pages
indignées contre la nature : L’être normal fait
écu par tout le monde, que l’auteur de Pêcheurs d’Islande a rapporté,
page
par page, avec cette sincérité, ce scrupule de vé
out le monde, que l’auteur de Pêcheurs d’Islande a rapporté, page par
page
, avec cette sincérité, ce scrupule de vérité dans
mêmes, de se reposer du présent par le ressouvenir. En parcourant ces
pages
de la vie de l’auteur, chacun pensera à la sienne
oir chez l’enfant plutôt patient et doux que j’étais. Après bien des
pages
un peu semblables, car l’enfance est heureuse et
où j’ai presque celle d’une cocotte… sans amants. Je saute bien des
pages
exquises, entre autres celles qui renferment la d
caractère ? Lequel n’eût pas haussé les épaules en lisant les quatre
pages
de lettres que, chaque samedi, Cantabeille écriva
es que, chaque samedi, Cantabeille écrivait à son Étiennette ? Quatre
pages
bourrées de conseils, de détails affectueux, de q
m’est impossible de rendre compte par le détail de près de six cents
pages
d’une action escortée d’épisodes charmants, gais,
ossession immédiate du lecteur, et cela, de la première à la dernière
page
. Tout l’enthousiasme, toutes les férocités de la
l’action en la résumant, je ne puis résister au plaisir de citer une
page
charmante qui nous montre de braves bourgeois de
ter. Balzac, dans son étude sur la Chartreuse de Parme, dit que cette
page
est une des plus belles qui soient dans aucun rom
ouvelle est dans sa sincérité, dans l’émotion réelle que dégagent ces
pages
si vivantes, toutes faites des souvenirs du cœur
ecteurs tourneront, sans s’y arrêter autant qu’elles le méritent, les
pages
de protestation, et qu’entrant de plain-pied dans
spèce, je dirais Dæmone ou Œlohite, si je ne voulais épargner à cette
page
que Vous illustrez le ridicule que Paris jette né
le plus terrible, le plus effroyable de sa vie. Je lis à sa dernière
page
: Le soir de mon arrivée à Oléron, j’étais accab
et que cette lune en était le flambeau. Dans une note qui suit cette
page
et qui a été écrite par ceux qui donnent leurs so
eux qui donnent leurs soins pieux à cette édition, on lit cette autre
page
qui en est l’explication : Le 8 septembre, Victo
ntes et les effaçait, comme une vieille écriture qui reparaît sur une
page
mal blanchie au milieu d’un texte nouveau ; je cr
e vallée de la terre et illuminée par des esprits. Je passe bien des
pages
, tout un chapitre qui est une délicieuse nouvelle
promènent leurs patients pendant cinquante-cinq lieues. Des superbes
pages
consacrées au charnier de Saint-Michel, je prends
avaient donné d’expérience, et, chose extraordinaire, écrit aussi des
pages
pleines de poésie et de jeunesse. Je ne racontera
cultivateurs étaient à l’église. Et que de réflexions juste à chaque
page
; celle-ci entre cent : L’argent est une telle p
ffira, j’espère, à préciser ce que j’écris plus haut. En ces quelques
pages
des caractères sont bien tracés, des choses dites
velles russes intitulé : Âmes slaves. La poésie et l’éloquence de ces
pages
savoureuses n’étonnent plus quand on sait qu’elle
de la Providence. Je n’ai pas à insister sur le charme de ces trois
pages
. Quant au récit qu’elles encadrent, il est des pl
eux tableaux, lisez une de ses poésies : Les Champs et la mer, ou une
page
de la Vie d’un artiste, vous aurez toujours devan
ri. Il se nommait Paul Baudry. Je passe et je passe encore bien des
pages
où se déroulent en détails adorables toute la vie
sible, m’envahit dès que j’ai ouvert un livre épais de ces nombreuses
pages
sans alinéas, qui recèlent au dire des initiés, d
araître chez Ollendorff. Ici, par exemple, pas de temps perdu, pas de
pages
à sauter, tout mot porte, joue son rôle, a son av
andeurs bibliques que M. de Guerne et j’ai plaisir à transcrire cette
page
, en même temps que regret de n’aller pas au-delà
ui inflige, ses résistances héroïques contre le démon, sont autant de
pages
éloquentes et colorées qui établiraient la réputa
postes, le bombardement, l’incendie de Paris, on revoit tout dans ces
pages
écrites sur des calepins, des carnets de poche. L
J’ai dit qu’il écrivait tout, je n’en veux pour preuve que ces deux
pages
que je prends au hasard vers la fin du volume :
ent de nous donner, sous ce titre : les Bêtes à bon Dieu, trois cents
pages
de cette souveraine raison qui étonne tellement e
r les hommes dignes de conduire un peuple. Il faut lire une à une ces
pages
pleines de jeunesse et en même temps de maturité,
ffamation et ignorance, voilà ce qu’il faut écrire au bas de bien des
pages
de ce livre qui eut son instant de célébrité. Voi
n’est pas le moindre attrait de ce grand volume de plus de cinq cents
pages
. La gravure renseigne les yeux, la description fa
Calmann-Lévy, une brochure sur Émile Augier. Cette œuvre de quelques
pages
seulement est non seulement un excellent morceau
ette dernière série de lettres où le duc d’Orléans se révèle à chaque
page
tantôt comme un général expérimenté, tantôt comme
des principaux faits d’armes… …………………………………………………………………………………………… Ces
pages
, qui n’ont jamais été écrites pour être publiées
lança de nouveau au travers des coups de fusil. Voici une maîtresse
page
, l’entrée des troupes françaises dans Mascara inc
mencement du livre au détriment de la suite, mais j’ai voulu, par ces
pages
éloquentes, montrer en même temps que le soldat e
se en scène, est le but constant qu’il veut atteindre ; plus de vingt
pages
sont consacrées par le prince à cette question, e
homme, entrer dans l’armée ? » — « Je veux, d’abord, entrer dans les
pages
de l’Empereur ! » répondis-je, sans me douter de
etc., etc. Comme exemple de l’intérêt de ces études, je cite ces deux
pages
qui nous donnent un double régal, un peu de la cr
est en effet pendant les Cent-Jours qu’ils furent écrits et certaines
pages
témoignent assez des préoccupations du moment. Vo
os volumes, mais, les ouvrant au hasard, je trouve dans le second une
page
curieuse écrite pendant les journées de Septembre
notes par M. le comte H. de L’Épinois éclaircissent et complètent ces
pages
si intéressantes écrites par le colonel du régime
mais pourtant effective de celui-ci. Sans vouloir suivre ces mémoires
page
à page, je crois devoir les commencer à l’excelle
urtant effective de celui-ci. Sans vouloir suivre ces mémoires page à
page
, je crois devoir les commencer à l’excellent avan
étant morte, rien ne gênait plus ma liberté, etc. » Je passe bien des
pages
où je le trouve causant avec Bézout, La Pérousef,
t déjà cachetée : Je veux vous la ire me dit-il. Elle était de quatre
pages
de sa main, et il me la lut, la commentant à chaq
ecours qu’il ne montrait de sensibilité. On voit, rien que par cette
page
, l’indifférence des puissances étrangères pour la
t un des livres les plus intéressants de notre histoire. Je coupe une
page
, plus qu’une véritable photographie, un tableau p
pectacle. Tout le livre, il faut le dire, apporte dans chacune de ses
pages
cette puissance d’intérêt, cette conscience, cett
oire vivante et rajeunie de tout un régime disparu. Dès les premières
pages
, ce que M. Haussmann demande à ses lecteurs, « c’
res idées que celles de sa jeunesse, sont, pour moi, résumés en cette
page
: Sa croyance à l’autorité scripturaire s’était
rages de la vallée en attendant le jour de la résurrection. » Cette
page
, remplie d’un charme cruel, ne prouve-t-elle pas
a pris place à l’Académie française, je répondrai par deux premières
pages
de sa préface ; comme on le verra, l’auteur voula
s, célèbre la gloire de Pascal, l’autre menace celle de Napoléon. Les
pages
brillantes écrites sur Pascal formeraient un livr
it. C’est encore vivre. III Vous souvient-il de ces délicieuses
pages
de Boccace, un des esprits les plus optimistes, l
s, les plus souriants, les plus causeurs, de toutes les littératures,
pages
dans lesquelles il raconte comment d’un désastre
condamné à n’être jamais populaire. Mais on en extraira à foison des
pages
aussi achevées de pensée et de style que des page
raira à foison des pages aussi achevées de pensée et de style que des
pages
de Virgile dans ses Églogues. Ces pages de Psyché
de pensée et de style que des pages de Virgile dans ses Églogues. Ces
pages
de Psyché seront comme ces statues de marbre de P
rtait pas un Ovide. Il y a dans ce volume des poèmes évangéliques des
pages
raciniennes qui semblent détachées d’Esther ou d’
ennes qui semblent détachées d’Esther ou d’Athalie. Nous retînmes des
pages
entières, qui résonnent dans notre mémoire comme
ces poèmes, nous rencontrons à chaque parabole ou à chaque récit des
pages
de cette perfection de langue et de cette onction
, j’ai besoin d’amour et de sérénité... Aussi, après quelques fortes
pages
contre la bassesse et l’hypocrisie de certains po
e foyer j’apprends le cœur humain ; Et je lis mieux que vous dans ses
pages
suprêmes. Écrivez vos romans, je reste à mes poèm
XXX On est déjà bien loin des mâles imprécations des premières
pages
. Le poète essaye d’y revenir en finissant : on le
r, de religion, et il a raison. Cependant lisez encore cette dernière
page
: Gardons, ainsi, gardons nos chastes solitudes
onnel. Ce qui est plus grave que la disproportion matérielle des cinq
pages
de Heredia aux onze pages de Grandmougin, des hui
ve que la disproportion matérielle des cinq pages de Heredia aux onze
pages
de Grandmougin, des huit pages de Musset aux douz
lle des cinq pages de Heredia aux onze pages de Grandmougin, des huit
pages
de Musset aux douze de Manuel, c’est la dispropor
des pédants. On peut ouvrir son livre au hasard ; on ne lira pas une
page
sans rencontrer une ou deux gentillesses de phras
niflez maintenant. Vous ne sentez rien ? Pourtant, au détour de cette
page
, vient de passer Madeleine, « l’adorante et odora
que, plaît à Faguet comme un Faguet supérieur. Le pion prend à chaque
page
Voltaire et Rousseau en flagrant délit de contrad
gros. Il écrase le frêle poète sous un in-octavo de près de six cents
pages
. Certes, le pavé est lancé à bonne intention. M.
, depuis le succès d’Anatole France, le pédantisme souriant. Quelques
pages
semblent plus intéressantes à une lecture rapide.
es de Mauclair, intéresse d’espérance et conduit, à travers de belles
pages
pâles, à une déception. Il comprend deux parties,
saut de Delhi, Mauclair ajoute la couleur à ses dons ordinaires et la
page
est d’une poésie rouge et noire vraiment émouvant
aston Deschamps. À propos de Verlaine lui-même, il délaie en quelques
pages
un mot de Charles Maurras que je répète de mémoir
Je lui demanderai toutefois de se rappeler, quand il écrit la seconde
page
, ce qu’il a dit dans la première. Il est des inco
ène Rougon et Aristide Saccard. L’Assommoir et Nana présentent en des
pages
connues tout le monde des ouvriers, tout le monde
, Germinal débitent chacun une énorme tranche de la société, dont une
Page
d’Amour et la Joie de vivre détaillent un point.
t de la femme M. Zola connaît les senteurs comme les incarnats. Toute
page
atteste de même le colorisme du romancier. De l’é
comme l’insolent bien-être de Louise Méhudin et de sa mère. Dans Une
Page
, la noble stature et le port junonien de Mme Gran
les bien pubères ne sont point dissimulés. Rien de plus noble que les
pages
où est montré l’enfantement de la femme. Celui de
t douloureux et misérable d’Adèle dans sa mansarde, aboutissent à ces
pages
magistrales de la Joie où Pauline, sainement inst
s des grosses luxures et des coups, défaillante et amoureuse dans Une
page
, séduisant dans Pot-Bouille un cacochyme délabré
ébraillée, passe par la puanteur du linge que l’on recompte. Dans Une
Page
, le ciel au-dessus de Paris reflète patiemment l’
les gredins triomphent des bons. La Fortune des Rougon, la Faute, Une
page
, Germinal, sont souillés du sang des justes. Si l
tion des idées, qui font de Loti un écrivain de premier ordre. Que de
pages
seraient à citer comme des chefs-d’œuvre de langu
t du talent avec lequel il a été mis en œuvre. Voici d’abord quelques
pages
extraites d’une partie consacrée à la mer. C’est
r faire dire ce qu’ils ne doivent pas dire. Plus loin, après bien des
pages
, loin des tourmentes de la mer, un tableau intime
vie, et déjà dans des costumes et des modes du vieux temps. Quarante
pages
plus loin, je trouve ces deux alinéas si simpleme
tout ce qu’il y a de plus risqué), la mort de la jeune fille, toutes
pages
écrites de main de maître. Ce que je regrette et
a » ! Le programme de M. Richepin tient dans une préface de quelques
pages
; sa conclusion est que le livre pourrait justeme
c’est son nom) emmène la belle fille le soir même, chez lui ; ici une
page
vraiment charmante : On s’arrêta rue Jacob, deva
de deux petites sœurs ?… Il ne s’en soucie guère ; ici je détache une
page
charmante d’une lettre de sa tante Divonne, une d
, ne l’empêche pas de réaliser son projet. À ces belles et émouvantes
pages
succède une lettre, un chef-d’œuvre comme la lett
ce mode de procéder, le lecteur gagnera de comparer, juxtaposées, des
pages
qui, chacune dans leur genre, renferment des qual
t réservé à cette revue ne m’a pas permis de donner quelques-unes des
pages
qui précèdent et de celles qui suivent ; elles re
nt d’âpres et terribles beautés qui, si elles ne font pas oublier des
pages
véritablement trop crues, doivent faire reconnaît
être jetés également à la tête, que je ne connais pas dans l’Enfer de
pages
plus effroyablement dramatiques que celles que je
lieux communs ; on ne juge d’ailleurs pas le journalisme en quelques
pages
écrites tout simplement pour indiquer le lieu dan
u jour n’eussent pas manqué de provoquer. Je coupe une ou deux belles
pages
de ce livre qui vient de paraître chez Victor Hav
ntérêt du reste du livre, mais quelle belle scène dramatique ces deux
pages
fourniraient pour le théâtre ! XIII. Dubut de
tudes de quoi, de qui ? On ne peut plus aujourd’hui écrire deux cents
pages
de lieux communs sans les escorter de ces sous-ti
isienne, ou : étude moderne (ô la modernité !) ; on n’a pas écrit une
page
remplie de gros mots et d’obscénités qu’il ne fai
bunaux n’oserait reproduire ? À côté de ces horreurs, quelques jolies
pages
, presque de l’idylle. Je les signale aux braves q
tenir sur le succès du livre. Je ne puis cependant ne pas citer cette
page
qui donnera une idée en même temps que de la supé
née, ou du moins sa seconde partie ; mais j’ai hâte de citer quelques
pages
de ce livre plein de charme, d’émotion et de gran
extraordinaires qu’il rapporte, a le don d’intéresser dès la première
page
. La librairie Plon vient de publier une traductio
d’un galérien, car Dostoïevsky passa quatre ans au bagne. Toutes les
pages
de ce récit sont navrantes, et je ne saurais mieu
rde, les propos un peu crus. Je trouve cependant, dans son roman, une
page
exquise, entre bien d’autres, que je ne puis m’em
our, par pitié, s’abandonne, et là où les plus habiles écriraient dix
pages
inlisables, je trouve : Ils s’adoraient, leur ca
en train, le jugeant inférieur aux aînés, me forgeant des tortures de
pages
, de phrases, de mots, si bien que les virgules el
ire ces quatre mots aujourd’hui) de ne pas se reconnaître à certaines
pages
, comme on se retrouve dans le livre de l’abbé Pré
mais, quelque talent qu’il ait, M. Mirbeau n’eût inventé de pareilles
pages
, elles lui ont été dictées par la vie et ses doul
ntenant un récit qui, pour moi, est non seulement une des plus belles
pages
du livre, mais de toutes celles que j’ai lues. La
a netteté de la mise en scène, par la simplicité du récit ; de telles
pages
suffisent pour juger de la valeur d’une œuvre. Ce
ouillé de la passion de parti, reconnaissons qu’il renferme de belles
pages
(Pendant les haltes) qui suffiraient à en assurer
rd parmi les charmants chapitres qui composent le livre, ces quelques
pages
qui brillent comme d’un reflet du charme des Conf
e demeurai dans une sombre mélancolie pendant six semaines. Quelques
pages
plus loin, je rencontre cette note charmante : J
’a retenue d’embrasser ce gamin-là sur les deux joues. Bien d’autres
pages
délicates et sincères seraient à citer de ce volu
le prétexte d’un récit des plus émouvants et des plus dramatiques, de
pages
doucement poignantes ou poétiques qui toucheront
opérette… vulgaire. Quelle charmante scène de comédie dans ces deux
pages
. XI. Adoré Floupette. Déliquescences. — 1885.
s pieux soins de MM. Vacquerie et Paul Meurice viennent de former des
pages
éparses du grand poète, n’a pas à être jugé plus
auldenay, qui ne peut donner d’état civil à son enfant. De charmantes
pages
décrivent les angoisses de ces trois personnages,
ésolution de ne rien citer, je ne puis m’empêcher de reproduire cette
page
si délicatement écrite : Cette causerie d’une h
je le répète, au hasard, mais le livre contient, dans ses trois cents
pages
, de quoi faire la réputation d’un poète. XVIII
git donc de la question présentement à l’ordre du jour. En lisant ces
pages
intéressantes, à la façon des romans historiques
e me suis retiré. Je n’ai pu résister au plaisir de citer ces belles
pages
qui résument pour moi l’idée mère du livre. Je co
laisse mourir, croyant son mari complice du crime. Je passe bien des
pages
émouvantes. C’est par une servante que Bernard ap
vérité !… Mais je ne peux pas ! je ne peux pas ! Dans les dernières
pages
qu’il a écrites, on lit : Je sais ce qu’on dit d
ien n’était resté debout, sauf les institutions… Mais, dans ces vingt
pages
enflammées, qu’il estimait, non sans orgueil, dev
ter nous-même en voyant le manuscrit original qui porte à la première
page
, de la main du maître, cette date : 12 avril 1854
devons rapporter l’impression désagréable qu’on éprouve à voir chaque
page
marquée d’un maladroit cachet imprimé, portant le
crit. Dans la partie descriptive du déluge, je trouve ces magnifiques
pages
: Tout avait disparu. L’onde montait sur l’onde
ciel, par moments, on entendait le bruit Que font en se tournant les
pages
d’un registre. L’abîme seul savait, dans sa brume
e de l’abîme ; Tout leur livre ressemble au rayon d’une cime ; Chaque
page
y frémit sous le frisson sacré ; Et c’est pourquo
été célébré hier, au Théâtre-Français, par la lecture des plus belles
pages
de ce livre, faite par les artistes de la Comédie
M. Renan, et ce n’est pas là le moindre éloge qu’on puisse faire des
pages
qu’il vient d’écrire. C’est absolument « un livre
re, j’hésite, je réfléchis, je fais un plan pour un chiffon de quatre
pages
, souvent je m’endors. Il n’y a qu’à regarder ces
. À côté d’un chapitre d’une libre pensée très nette, je trouve cette
page
de hautain bon sens. De ce qu’un gamin de Paris
ment, c’est-à-dire par la préface dont voici la première et charmante
page
. Une des légendes les plus répandues en Bretagne
voir, de son tombeau, m’adressant des reproches, si j’avais livré ces
pages
au public. Quelquefois, j’ai eu l’idée de les joi
acquiert sur un livre en l’achetant. Il m’a semblé qu’en insérant ces
pages
sur ma sœur dans un volume livré au commerce, je
la vérité des impressions et des récits de l’auteur. Il n’est pas de
page
qui ne contienne quelque photographie intéressant
ue chaque jour. Je ne puis cependant résister au désir de citer cette
page
charmante de la vie intime d’Émile Littré. C’est
valait pas les larmes qu’elle aurait fait couler ». Voilà une belle
page
dans la vie de Littré et qui contraste singulière
ours cette pensée devant les yeux. Elle lui a inspiré ses plus belles
pages
, celle-ci entre autres, que je regrette d’abréger
ie inattendu découvrira l’âme et Dieu. Voilà de belles et éloquentes
pages
qu’il faut admirer en dépit de ceux qui veulent v
avec un Mormon ; de son plaidoyer, nous extrayons les deux curieuses
pages
suivantes : Vous croyez que nous sommes des homm
mpus par l’arrivée du chapelain et de notre jeune ami. Bien d’autres
pages
seraient encore à citer, mais nous voulons laisse
en un volume intitulé : Ma jeunesse (chez Calmann-Lévy) une suite de
pages
volantes qui étaient, pour ainsi dire, des prépar
lume je trouve, à la suite du récit d’une réception officielle, cette
page
consacrée à cette danse charmante, le csàrdàs, qu
ien de plus effroyable que le récit de cette exécution ; je copie une
page
: Le soir même (21 floréal), à six heures du soi
trop tard et alors qu’il lui était utile de la montrer. Bien d’autres
pages
intéressantes dans ce livre élégamment écrit, et
plus bas, sur les événements politiques qui déchirent la patrie, des
pages
d’une élévation qui ne le cèdent à aucun de nos m
’y aura plus un seul poète. Ta préface est belle et bonne. Il y a des
pages
qui sont des modèles, et il est bien vrai que le
s : de l’eau et du soleil. Voilà tout ce qu’il me faut. Ces quelques
pages
prises au hasard ne sont-elles pas étonnantes de
nçaise. C’est M. d’Haussonville, son fils, qui a pieusement réuni ces
pages
, qui feront suite ; aux Souvenirs et mélanges, pa
de 1830, l’ambassade de France à Rome de M. de Chateaubriand. Chaque
page
renferme une anecdote, une appréciation juste, et
st la cause des pauvres chiens et des pauvres chevaux que, dans cette
page
émue, défend Louise Michel, et elle a raison ; ma
t de nos gloires françaises. En soumettant au jugement du public des
pages
qui déjà peut-être sont jaunies par le temps et q
assion à Mazarin et tant d’autres ajoutent à ces récits héroïques des
pages
intimes qui permettront de connaître « par le men
d’aventures, et quel roman ! J’ai hâte de citer quelques-unes de ces
pages
respectueusement écrites par un homme de guerre q
tre un des rares auteurs de ce temps-ci qui réciteraient par cœur des
pages
de Rabelais. Je n’en veux pour exemple que cette
discrète — de sympathie pour les déshérités. Mais il faut tourner la
page
et arriver à cette longue plaisanterie des pièces
nombre de pièces de choix. Mais que ce choix serait exquis et quelles
pages
achevées, impérissables même, que celles qu’on vo
qui vont sur mer en reviennent salés. À côté des chansons, bien des
pages
vraiment épiques. Oui, en dépit du terme familier
es épreuves des Blasphèmes, en regard de celles de La Mer. La mise en
page
des Blasphèmes exigea un travail de disposition d
e « étoile » mal placée et faisant tache ou trou au haut ou bas de la
page
le mettait hors de lui. Les feuilles d’épreuves r
utait à sa pièce, ici, deux strophes, là, seize vers, plus loin, deux
pages
, qui repartaient par retour du courrier. Mais la
de force inverse. Elle a été écrite en vue de l’impression, et chaque
page
du manuscrit a fourni, sans y rien changer, une p
ssion, et chaque page du manuscrit a fourni, sans y rien changer, une
page
du livre. La table des matières du livre est la t
eil de chants à l’usage des écoles primaires de France. Dans quelques
pages
d’une grande noblesse, Félix Pécaut, le maître in
itulé Vers la Pensée et vers l’Action, que l’écrivain a composé « des
pages
de son œuvre où il y a le plus de sa pensée, de s
nsibilité délicate, mais élégiaque, s’enivrait de mélancolie dans les
pages
passionnées et troublantes des onfessions. Sa ver
ologie grecque, Hégésippe Moreau, pour avoir seulement écrit quelques
pages
de prose d’une exquise délicatesse et quelques pi
iginaux ; l’expression en est grave et charmante. Ce qui manque à ces
pages
, si dignes d’être recueillies, c’est l’accent qui
ou d’intérieurs dans l’Extrême-Orient et il les rassembla, comme des
pages
d’album pleines d’inattendu ou même d’inédit, dan
en quelque sorte, localisées, qu’est faite cette vue d’ensemble. Les
pages
que je vais citer diront aux lecteurs la qualité
Je ne recueille pas tous les exemples : chaque chapitre, sinon chaque
page
du livre, apporterait le sien. Maintenant suppose
s fin. » III. Le peuple en Suède. L’image que nous offre cette
page
étudiée, dont l’intérêt n’a pas échappé aux lecte
a contemplé sa « petite bague » de fiançailles. Et il nous a cité la
page
la plus exquise qu’ait fait naître un roman royal
robuste et pure vierge suédoise un portrait magistral. Il y a là dix
pages
de roman vécu, dont je ne citerai rien, car rien
nirs. En 1908, l’auteur de l’Essai sur Taine constitue un recueil des
Pages
choisies de l’écrivain : les avant-propos critiqu
rment le complément le plus utile de l’Essai, Sous prétexte encore de
Pages
choisies, M. Giraud relit, en 1910, tous les écri
est-à-dire des explications et, sur un point quelque peu délicat, une
page
d’apologie. Entre le travail d’école de 1890 et l
ces à ce qu’on peut nommer le préjugé d’admiration, marque toutes les
pages
de l’Essai sur Taine. * * * Après avoir relu ce t
untées aux sciences exactes, c’est-à-dire que devant un bon tiers des
pages
il en était réduit, comme au moyen âge tel copist
sur Taine évite d’exprimer formellement, des notes placées au bas des
pages
dans les dernières éditions nous le laissent ente
un moraliste : le moraliste religieux. Je m’imagine que pour lui une
page
de livre est comparable à un épi de blé. Il rejet
r lui une page de livre est comparable à un épi de blé. Il rejette la
page
vaine et aussi vide, trop souvent, qu’une tige de
a question religieuse, qu’il a fallu faire jaillir tout l’intérêt des
pages
consacrées à nous expliquer ce qu’ils pensent. Le
ci puissant, avant de les revoir, très émouvantes de beauté, dans les
pages
de Pêcheur d’Islande ? Ne serait-ce pas dans la b
endrai la plus développée et la dernière du volume, les quatre-vingts
pages
si denses qui sont précédées de ce titre : M. Pa
te formule à effet : « l’émigré intellectuel », M. Giraud a écrit des
pages
qui sont non seulement parmi les plus nettes et l
ogicien-poète », soit exact, se complairont sans doute à savourer les
pages
où M. Giraud a su exprimer tout ce qu’il y eut, d
rès grand poète, ni profond penseur, ni véritable croyant. » Toute la
page
est parfaitement belle, et de cette beauté, si ra
trouvailles d’un jour et n’ont pas l’air inquiet de la moisson. » La
page
méritait d’être citée, non seulement pour sa subt
e, le livre contient trois études, chacune d’au moins une centaine de
pages
, sur Madame de Beaumont, sur Mme Récamier et sur
récit d’agonie plus émouvant, plus inoubliable encore que la fameuse
page
funéraire d’Atala ou même de Manon Lescaut ! Ce t
é par une épigraphe en langue espagnole placée en tête de la première
page
du recueil et dont voici le sens : « J’ai été dan
re, l’une, Réversibilités, l’autre, Images d’un sou, une moitié de la
page
18, la page 19 tout entière, et les deux tiers de
éversibilités, l’autre, Images d’un sou, une moitié de la page 18, la
page
19 tout entière, et les deux tiers de la page 20
oitié de la page 18, la page 19 tout entière, et les deux tiers de la
page
20 ont été coupés et supprimés par l’auteur ; un
itulées l’Art poétique et Via dolorosa : il manque ici un tiers de la
page
31, et les pages 32, 33, 34 tout entières. Ces su
étique et Via dolorosa : il manque ici un tiers de la page 31, et les
pages
32, 33, 34 tout entières. Ces suppressions ont ré
nt défaut dans les Poèmes saturniens, et toutefois, en relisant cette
page
verlainienne, on pense presque autant à d’autres
velle. Plus d’intermédiaire, cette fois, au moins dans les meilleures
pages
du recueil, entre le poète et les sensations qu’i
s mains », deux ou trois autres pièces encore. Par contre, combien de
pages
du recueil imprimé trahissent la profane inspirat
et sa fin. Mais, en même temps, il est, pour ainsi dire, la première
page
d’un autre livre. Un commencement peut-il être un
ons diverses. Pour citer des exemples, la décadence romaine (tome Ier
page
49) n’a pas un détail qui ne soit rigoureusement
e l’historiographe turc, telle qu’elle est exposée dans les premières
pages
de Zim-Zizimi et de Sultan Mourad. Du reste, les
’en faire une idée en lisant les quelques lignes placées en note à la
page
126 du tome II, lignes d’où est sortie la pièce i
françois, par un nommé Juigné en un vol. in-4°. de plus de douze cens
pages
, imprimé à Paris en 1644. Ce livre est peu connu,
e les développer ensuite dans d’abondantes remarques mises au bas des
pages
. Un tel commentaire demandoit de vastes compilati
rofesseur à Cologne, & au lieu de Scipion, vous aurez six grandes
pages
sur Gerard Sciopius. Un défaut plus essentiel, c’
re le Christianisme dans tout son livre ; mais il n’y a pas une seule
page
, dans les articles des anciens philosophes &
cette vérité quand je suis arrivé pour la seconde fois à la dernière
page
de L’Argent, le nouveau roman de M. Émile Zola. À
s. » En présence des faits qui se multiplient sous vos yeux à chaque
page
, d’un défilé d’événements dans lesquels figurent
prouve autant que dix qui sont arrivés. De ce luxe de détails, de ces
pages
substantielles résulte parfois le malaise qu’on é
; j’y trouve une rare finesse de sentiment et le résumé, en quelques
pages
, de bien des heures, bien des jours de tourments
jamais les yeux, quitte à rentrer chez eux sans avoir rien vu que les
pages
illustrées de leur livre. L’érudition de M. Bourg
secoue impitoyablement. Je signale, avant de terminer, de très belles
pages
sur Leopardi, car l’écrivain garde ses droits, le
ongtemps. Un roman psychologique, captivant, intéressant à toutes ses
pages
, voilà qui n’est certes pas banal. Cette original
mari qu’il aime et de cette femme qu’il adorait. Je copie la dernière
page
du livre qui dira mieux que je ne saurais faire l
dit-elle, je t’aime de tout mon cœur. Le sentiment qui a dicté cette
page
est exquis et j’ai rarement trouvé, même chez M.
le ton général de ce livre qui renferme d’autres belles scènes et des
pages
éloquentes comme celle-ci, par exemple, qui pourr
’intérêt du roman et je m’arrête à regret, ne pouvant citer une belle
page
contenant le récit de la mort d’un soldat qui, à
le Zola, et c’est avec une sorte d’appréhension que je feuillette ces
pages
qui vont faire revivre tant de journées sanglante
s, M. Zola a su les maintenir dans leur proportion à côté des grandes
pages
du livre, telles que la bataille de Sedan, qui re
cesserait de croître et le monde de vivre. » Je passe d’effroyables
pages
remplies de la description des travaux d’une ambu
mme sert aujourd’hui à l’abêtir. Je voudrais pouvoir citer toutes ces
pages
qui ne relatent que des faits réels, et qui sembl
la mère coupable, de la jeune fille et de l’enfant aussi. Il est des
pages
exquises dans bien des parties de ce livre, mais
e Banville vantait devant Labiche l’orage dépeint par M. Zola dans la
Page
d’amour, l’auteur de Monsieur Perrichon laissa to
t indigné ! Quelques jours plus tard, je vis Labiche ; il avait lu la
Page
d’amour. — Vous savez, me dit-il, qu’il est très
ui nous fait faire le tour du monde des idées humaines en trois cents
pages
. L’auteur est à l’âge où à la force d’une imagina
jusqu’à ce qui s’agite dans les brasseries littéraires, témoin cette
page
qui renferme une critique si juste : À cela se t
ndre compte des ressources variés du royaume. » Je trouve encore une
page
charmante où il s’agit d’une grand-mère qui recon
ain de n’y rencontrer rien de banal. Et, en effet, dans ces six cents
pages
lues d’un trait, j’ai trouvé les éléments de succ
ensif qui achève un chef-d’œuvre. Ceci n’est qu’en détail. Voici une
page
toute à la louange de la conscience des gens de t
les croyances de l’humanité ; chemin faisant, entre bien d’éloquentes
pages
, je trouve ces beaux vers : Oh ! vous l’avez che
sent tout ce qu’a pu supposer l’imagination humaine. Dans de superbes
pages
il explique, par la bouche du matérialisme, comme
ro et je coupe dans Amende honorable, (un des contes salés), ces deux
pages
qui donneront la juste note d’une littérature que
de sinon un accès de mariage ? J’ai voulu seulement en citant cette
page
, arrêtée court, indiquer le ton dans lequel était
ience, faire la critique qui précède, mais j’avoue qu’en relisant ces
pages
et en les étudiant j’y ai trouvé les qualités qui
onservé vives les impressions de son enfance. Voici par exemple cette
page
extraite du chapitre intitulé Triclinium : Sur
ur n’en plus parler qu’avec le charme du souvenir. Lisez plutôt cette
page
: Évidemment, nous sortirons tôt ou tard, plus
soupçonne la moindre faute. « Le cas de l’enfant » donne lieu à cette
page
exquise qui plaide, on le verra, en faveur des te
barricade sanglante, en tournant un coin de rue, qu’on feuillette ces
pages
qui évoquent jusqu’à cette horrible odeur d’incen
ailée, n’en contient pas moins des réalités terrestres, témoin cette
page
prise à la description d’une sortie d’atelier dan
de purifier tout ce qu’il touche. Je coupe au hasard dans une de ces
pages
, regrettant de ne pouvoir donner un plus long ext
ec une telle foi, une telle fidélité, qu’il semblerait qu’on lise une
page
de Jacques de Voragine ou de quelque Père de l’Ég
able. Au premier abord, cet amas de notes de trois lignes, d’une demi
page
, plus ou moins, n’a guère plus d’importance que l
en d’autres y sont silhouettés tour à tour. Je signalerai surtout les
pages
relatives à la réception d’Alexandre Dumas à l’Ac
sa plume toute l’énergie de son épée et qui croit en remplissant une
page
, parcourir encore un champ de bataille ? Tout le
t, et il faudra que le lecteur ait un fier tempérament pour subir 400
pages
(au moins) d’une pareille architecture. Au milieu
lumière une des plus grandes gloires de l’épopée impériale. Bien des
pages
seraient à citer de ce livre éloquent, aussi inté
, qui assista à l’amputation, à l’agonie et à la mort d’un héros, les
pages
suivantes qu’il adressait au docteur Corvisart. L
t : « Au surplus, tout finit comme ça ! » Il partit aussitôt. Quelle
page
d’histoire dans le récit de ce simple chirurgien
le étude de M. Edmond Rousse, j’en citerai la première et la dernière
page
. Voici l’introduction : Une phrase et un geste ;
prendre son parti, tout comme on le prend quand on a tourné quelques
pages
de ce livre qui n’est pas une étude lourde et pré
et quelques pommes de terre bouillies. Tel est le résumé d’une de ces
pages
bourrées de notes prises sur toutes choses. Je re
eût suffi d’ouvrir au hasard les livres qu’il a écrits et que chaque
page
eût laisser échapper comme d’elle-même ces pensée
isseleff, les notes que nous avons sous les yeux, confirment à chaque
page
cette vérité. On y trouve à tout propos des marqu
antipathie n’aveugle pas M. de Morny et il écrit à M. Walewski cette
page
significative : Les révolutionnaires ne sont jam
i, il restera toujours à dire. Je voudrais citer quelques-unes de ces
pages
remplies d’une admiration de bon sens, qui, bien
nt le respect des austères sentences. On peut juger rien qu’à cette
page
de la façon dont chaque personnage est étudié et,
les effleurer seulement. Pour donner idée du livre, je prendrai cette
page
du chapitre consacré aux comédiens et à leurs mœu
idée de la légèreté d’esprit qu’on rencontre dans ce livre à côté de
pages
d’une rare élévation de pensée et de critique.
description de la chapelle Sixtine que M. Émilie Ollivier a écrit les
pages
les plus éloquentes de son livre. J’y copie ce be
x choses et aux êtres que tu y as répandus ! » Bien d’autres belles
pages
composent ce livre fait non seulement des impress
nous laisse cela, à nous autres pauvres diables. » Je passe bien des
pages
et je trouve un épisode de la vie bretonne racont
fance avec les serpents ; il n’en est pas atteint. Une très curieuse
page
est celle qui est consacrée aux souvenirs du pass
flète l’homme, et que tous auront le plaisir de le retrouver dans ces
pages
écrites avec autant d’entrain que d’érudition. Da
ivre fait de renseignements authentiques et suivi près de trois cents
pages
de pièces et de documents inédits, richesses hist
lle d’aujourd’hui et arrêté devant Valenciennes, il écrit cette belle
page
: « C’est là que Louis XIV à cheval, à la tête d
aux marques de sa personnalité, de ses goûts que je retrouve à chaque
page
; malgré lui, le grand amateur, le connaisseur de
et l’art. Le tableau de Chantilly a raison, il faudrait déchirer ces
pages
de l’histoire du héros, crier à la Renommée : Sil
pareille créature ! » Voilà du Victor Hugo inattendu. À côté de ces
pages
fantaisistes il en est de superbes où se révèlent
vaincu, cette plaine qui devait lui inspirer plus tard de si grandes
pages
: « À Bruxelles, je n’ai pas voulu voir Waterloo
toutes ses impressions, petites ou grandes, et où se révèle à chaque
page
, à propos d’un fait, d’un aspect, d’un coin du ci
et qui, certes, n’était écrite que pour elle ; j’en copie la première
page
: Tu trouveras dans le monde ma chère petite, be
e revue comme autrefois un vaisseau-corsaire, dit M. Reinach dans une
page
très éloquente et très sensée dont je copie ici u
véritables chefs-d’œuvre de critique du grand écrivain. Bien que ces
pages
ne soient pas inédites, assez peu de lecteurs les
re. De récents événements donnent un intérêt d’actualité à toutes les
pages
et particulièrement à celle-ci qui est la fin d’u
d’abrutissement parce qu’elle dispense de penser. » Je passe bien des
pages
enfilées et je trouve cette phrase si touchante o
urchard ; c’est un feuillet des historiens de l’Histoire Auguste, une
page
de Procope ou de Lampride, page précieuse, bien q
historiens de l’Histoire Auguste, une page de Procope ou de Lampride,
page
précieuse, bien qu’elle soit incomplète et à moit
alistes et des hommes. Qu’on relise les surprenantes et incomparables
pages
de Saint-Simon où revivent les scènes si contrast
s, étaient inévitables dans l’ordre habituel. L’homme qui a écrit les
pages
qu’on va lire n’est pas difficile à deviner et à
avec toute sa gravité. C’est dans cette conviction qu’en livrant ces
pages
au public, nous sommes assuré de ne manquer en ri
s. Même aujourd’hui, et en ces Morceaux choisis, intitulé scolaire de
pages
classiques, Mallarmé méprise se montrer le poète
s sur le théâtre (1886-1887), l’étude sur Richard Wagner, et quatorze
pages
çà et là parues depuis 1865 : le Phénomène futur,
énuphar blanc, l’Ecclésiastique, etc. M. Stéphane Mallarmé entend par
page
un morceau de prose rendant une impression. Chaqu
mé entend par page un morceau de prose rendant une impression. Chaque
page
est une œuvre d’art distincte, pourrait être (a m
complets déjà, phrases et paragraphes au lieu de vers et strophes. La
page
, comme l’entend M. Mallarmé, ne comporte pas ces
ssède qu’une unité d’ensemble, elle est à unité simple. Le charme des
Pages
est inexprimable. C’est l’exquis. J’entends M. Me
l’homme d’esprit vers quelque fabrique, où c’est l’heure de mettre en
pages
, afin que reparaisse, de dernières minutes, voix
Raphaël,
pages
de la vingtième année, par M. de Lamartine. Lun
on, est transparent ; il y a pourtant un voile. Ce récit s’intitule :
Pages
de la vingtième année. En réalité, l’homme qui ai
timents vifs et réels. On ne saurait donc s’étonner si, en lisant ces
pages
, à côté de touches charmantes et de pensées toute
à plusieurs de nos jeunes lecteurs et surtout de nos lectrices3. Ces
pages
de Raphaël renferment, en effet, plus de jolies c
moderne de nos sentiments, de notre situation ou de notre désir. Ces
pages
, qui n’ont servi encore à aucune autre génération
onclus que la véritable Elvire aurait peine à se reconnaître dans les
pages
alambiquées du roman panthéiste de M. de Lamartin
n suis pas là encore. Pour ne parler que littérature, dans toutes ces
pages
et dans cent autres, l’auteur abuse démesurément
respect, n’est pas moins déraisonnable et inintelligible, à certaines
pages
de son Épopée, que Sterne à certaines pages décou
intelligible, à certaines pages de son Épopée, que Sterne à certaines
pages
décousues de son roman de Tristram Shandy ; mais
la valeur ni le vrai génie de Sterne et de Rabelais ne sont dans ces
pages
. Sterne n’a certainement pas les qualités épiques
le moins que Tristram Shandy, et sans l’encadrure de plomb, sans ces
pages
de Tristram Shandy qui semblent des partis pris d
pouvoir citer dans son intégralité, car c’est ainsi qu’elle vaut, la
page
222 sur le style et le talent de Sterne, et le pa
e, en France, — n’est-il pas le plus facile à reconnaître ? Lisez une
page
… que disons-nous ? lisez seulement dix lignes de
où « la rose bleu de ciel dans l’ordre des intelligences », quelques
pages
de critique humaine et profonde. Notre espoir a é
el philosophe. Je voudrais penser que vous trouverez à feuilleter ces
Pages
de Critique et de Doctrine, rédigées de même, un
de vos portraitistes, M. Victor Giraud, après avoir cité de vous une
page
de 1885, concluait : « C’est là un réquisitoire c
efroidie avec la vie. Je souhaite que vous en ayez la preuve dans ces
Pages
dont l’envoi vous rappellera les sentiments de tr
ipline du silence, éprouvait des besoins d’ouverture, de détente. Les
pages
vibrantes du Voyage en Italie sur la Niobé de Flo
és. Il les apprend par cœur, et, avec cet aide-mémoire, déchiffre une
page
d’un livre. Peu à peu, dans son souvenir, la page
oire, déchiffre une page d’un livre. Peu à peu, dans son souvenir, la
page
se substitue au tableau mnémotechnique, « Elle re
un dialogue de Platon. L’adolescent devine confusément qu’en effet la
page
imprimée n’est qu’un signe. Derrière le texte ari
ers moments. Un peu avant de mourir, il pria que sa fille lui lût une
page
d’un Lundi de Sainte-Beuve. Il voulut avoir, dans
proverbe : Fit fabricando faber ? Le romancier grandissait en lui, de
page
en page. Ce huitième chapitre atteste un étonnant
: Fit fabricando faber ? Le romancier grandissait en lui, de page en
page
. Ce huitième chapitre atteste un étonnant progrès
ct. Je le vois dans sa chambre de jeune homme, relisant ces premières
pages
, allant et venant, entre son piano et sa biblioth
e sont faits en lui au rebours de ses théories d’art. En relisant ces
pages
, il a dû les condamner, non point seulement parce
travers les doigts de la main de l’homme, également partout… » Cette
page
est de 1863. Son accent prouve à quel degré les i
ges en Normandie ; c’est au début de ce fragment qu’il a intitulé Une
page
d’histoire. « De toutes les impressions que je va
u, moi qui ai vu Brummel devenir fou et d’Orsay mourir », comme cette
page
où il décrit l’ancien favori du prince de Galles,
ts auxquels il avait appliqué son génie. Écoutez-le : « Il y a telle
page
qui a été tracée dans une ivresse de pensée que j
e étonné de l’immense labeur que cette œuvre critique représente. Les
pages
fortes y abondent. Mais ce ne sont que des fragme
t une nuance tranchée, une variété extrême, la plus désespérée. » Les
pages
d’analyse consacrées dans Mademoiselle de Maupin
i, pure personnification de la pensée de Dieu ? » Vous feuilletez les
pages
qui précèdent et qui suivent cette profession de
et il s’en rend bien compte, ce feuilleton de visionnaire, c’est une
page
jetée au vent. Comme on comprend qu’il ait aimé l
lequel je veux conclure. Il rappelle par l’interprétation du mythe la
page
célèbre du Voyage en Italie, où Taine nous montre
ondes, y a poussé en plein sol de craie et en plein air… » Excellente
page
de critique divinatoire et qui fait comprendre co
quel sujet pour un poète ! Quel frisson à faire courir sur toutes les
pages
d’un beau livre ! Victor Hugo, dans un admirable
ux amant de Ligeia. À peine l’auteur de la Morte consacre t-il quatre
pages
à l’évocation de cette ténébreuse contrée de song
re romancier que M. Feuillet n’était capable de tracer les charmantes
pages
du Journal de Bernard, sur lesquelles s’ouvre le
Par contraste, quelle âcre fumée de guerre civile se respire dès les
pages
de début des Primaires ! Il ne s’agit pourtant qu
s de médecine, est doué supérieurement de l’un et de l’autre don. Les
pages
de son livre consacrées au suicide d’un de ses ho
querai une épigraphe que vous devriez d’ailleurs écrire à la première
page
de vos Œuvres complètes. C’est la phrase de Béatr
préparatoires, la préface en témoigne, rien que par ses allusions aux
pages
éloquentes et trop peu connues de James Darmestet
’après lui. Peut-être aussi avait-il jugé son temps. Platon, dans une
page
magnifique et que l’on croirait écrite d’hier, ta
u’il croyait à sa patrie. Il songeait à lui-même quand, à la dernière
page
de son long ouvrage, avant de tracer fièrement le
nt de paraître sous le titre de Lettres à l’Étrangère. Ces cinq cents
pages
, très serrées, d’un fort in-octavo représentent l
dienne, inaugurant ainsi la « Petite Correspondance » de la quatrième
page
des journaux : « M. de B. a reçu l’envoi qui lui
rrespondance. M. de Lovenjoul a eu raison de dire que ces trois mille
pages
constituent les « vrais mémoires de Balzac ». C’e
achant ce que nous savons, cette incertitude grandit à mesure que les
pages
de protestation succèdent aux pages. La complicat
ertitude grandit à mesure que les pages de protestation succèdent aux
pages
. La complication secrète d’un cœur qui se donne c
s la première enfance, ou que la lecture, à ce même âge tendre, d’une
page
sur laquelle ils se sont accoudés indéfiniment. M
poète fourvoyé dans l’histoire. Ce génie, nous en démêlons, dans ces
pages
éparses, les éléments premiers et les causes prof
et cela est-il à souhaiter ? Du moins les jeunes gens qui liront ces
pages
y apprendront de quel prix se paye un talent de g
de ces jours lointains lui revenait. C’est pour cette raison que ses
pages
sur les malheurs publics après les grandes guerre
aiguë. L’invincible passion qui court comme une flamme sur toutes les
pages
tombées de sa main s’alluma dès lors pour ne plus
beaux rêves une belle toile, un monument. — Vous souvenez-vous de sa
page
sur le portrait de Watteau peint par lui-même ? —
es » au sens où nous prenons ce terme, que ces quelque cent cinquante
pages
dont M. J. Bourdeau vient de nous donner une trad
ante pages dont M. J. Bourdeau vient de nous donner une traduction, —
pages
dictées par Henri Heine durant les derniers jours
incorporelle d’une de ces mortes le jour où il commença de dicter les
pages
des Mémoires que M. Bourdeau a traduites pour nou
émoires relatifs au temps de l’Empire et de la Restauration. Dans ces
pages
écrites par ceux qui entraient alors dans le vast
e route, tombés avant moi, une fois de plus en lisant et relisant les
Pages
d’histoire et de guerre de mon regretté confrère
rare personnalité sont marqués avec une netteté saisissante dans ces
Pages
d’histoire et de guerre. Les six études réunies s
s d’encre qu’elle crachait, sous couleur de souvenirs. » IV Les
Pages
d’histoire et de guerre vont ainsi, orientées san
quences de l’excitation à la révolte, soit enfin qu’en d’innombrables
pages
, il ravive en nous le souvenir de la légende impé
i aura du moins cette valeur d’être direct. Vous excuserez ce que ces
pages
auront nécessairement de hâtif et de heurté, de t
oésie sévère et poignante, celle dont Balzac, justement, empreint les
pages
de la Peau de chagrin où il raconte la tragédie d
r de la Revue des Deux Mondes. J’avais écrit dans ce recueil quelques
pages
peu remarquées auxquelles Buloz avait bien voulu
né le rôle de celui « qui sauve de l’oubli, ou de la destruction, des
pages
et parfois des œuvres très supérieures à celles q
oduire lui-même ». Les morceaux qu’il a réunis dans ces Lundis, — ses
pages
sur Balzac et Mme Hanska dans un Roman d’amour ;
son art et la dialectique intérieure qu’il semble avoir suivie. Cette
page
est de 1885. Ouvrez maintenant un livre composé v
s jours. Qui a pu lire le Panégyrique de saint Bernard, et oublier la
page
sublime : « Bernard, Bernard », se disait-il, « c
st allé jusqu’au bord du catholicisme. Le Sens de la vie contient des
pages
émues sur l’Église qui ont pu le faire ranger un
lu… » Celui qui a écrit ces lignes va croire. Il croit. Tournez trois
pages
et écoutez-le : « Je me mis à murmurer des lèvres
e, vingt passages de ses œuvres en témoignent. Vous vous rappelez les
pages
sur Hugo exilé, sur Lamartine vieilli, dans la pr
igeait le scénario, il en retouchait le dialogue, il en récrivait des
pages
, des scènes, des actes. Les deux volumes qu’il a
t Camées. 7. Édition Havet. 8. On tiendra compte de la date de ces
pages
écrites en 1893, à l’occasion d’un livre de M. Ém
volution. C’est la conclusion qui s’exprime dans le titre donné à ces
pages
qui s’adressent, suivant la coutume académique, a
si quelque chose de moi — te fut doux un jour, aie pitié !… 18. Cf.
page
200 du même volume et suiv. 19. Voir dans le sec
même volume et suiv. 19. Voir dans le second volume de cet ouvrage,
page
13 et suivantes, un commentaire plus développé de
vante extraite du Figaro (18 novembre 1911) expliquera la date de ces
pages
, et comment elles ont été retrouvées. On la donne
e qui présente en effet une analogie singulière avec les remarquables
pages
sur Spinoza, dans le roman d’André Beaunier, l’Ho
cet essai, composé en 1884. 35. À l’occasion de son livre posthume,
Pages
d’histoire et de guerre, 1909. 36. À l’occasion
esnaie On a lu plus haut, en tête de l’Étude sur Joachim Du Bellay (
page
268), ce qu’a écrit M. Sainte-Beuve sur la valeur
it loin, sans doute, de se croire aussi bon prophète, quand, quelques
pages
plus loin, dans l’étude ci-dessus (page 272), à p
on prophète, quand, quelques pages plus loin, dans l’étude ci-dessus (
page
272), à propos de l’édition moderne de l’Art poét
et poussé jusqu’à quatre gros volumes, un bien long discours de 2,186
pages
et bien invraisemblable assurément. Qu’importe ?
fin il suffisait de quelques petites notes jetées çà et là au bas des
pages
pour remettre les choses au vrai point. Mais surt
i a glissé ce trait essentiel de caractère dans une note au bas d’une
page
. Le plus grand éloge qu’on puisse faire de ce liv
édition de son Esquisse biographique, à laquelle il a ajouté quelques
pages
qui complètent le tableau des dernières années de
Voir sur la Marseillaise et le Chant du Départ ce qu’il dit tome II,
page
146, — et aussi tome VI, page 214, un beau résumé
e Chant du Départ ce qu’il dit tome II, page 146, — et aussi tome VI,
page
214, un beau résumé de la campagne patriotique de
un beau résumé de la campagne patriotique de 1794. 61. Au tome XII,
page
287, au sujet du décret qui renversa en 1800 le d
problème ? 69. Au tome Ier, p. 77. — Je recommande aussi au tome II,
page
169, le passage où il est dit que Napoléon était
itulé La Guerre de 1866, par le major belge Vandevelde (1 vol. de 211
pages
, 1869). On pourra s’y faire une idée très-approxi
enthousiaste, ou que le libelliste, ou même que le simple metteur en
pages
de documents, c’est, nous semble-t-il, comprendre
la sensualité, il a écrit sur Paul Adam, Pierre Louÿs et Mirbeau des
pages
injustes. Et d’autre part, influencé par ses symp
s juste. Et remarquez qu’il y a dans ses Samedis littéraires quelques
pages
louangeuses. Mais, lorsque M. Ernest-Charles loua
amitiés. Il est regrettable qu’il ne continue point à écrire d’autres
pages
rapides, intelligentes, brillantes, simples comme
peu affectée — du style, la démocratie des idées ; ils ont oublié les
pages
amères des Goncourt et de Leconte de Lisle contre
L’Art en silence, contient sur l’Esthétique de Stéphane Mallarmé, des
pages
d’une intelligence singulière, sa dernière « Étud
nac de Meilhan, le Prince de Ligne et Choderlos de Laclos écrivit des
pages
sérieuses. M. Pierre de Bouchaud, maintenant, au
hode ou son érudition puissent être mises en défaut. Citons aussi Les
Pages
Libres de MM. Maurice Kahu et Guieysse, Les Cahie
sa marche chancelante. 15. Barbey d’Aurevilly, Goethe et Diderot,
page
209. 16. On comprend d’autant moins une pareille
74
Albalat, Antoine.
(1905)
Les ennemis de l’art d’écrire. Réponse aux objections de MM. F. Brunetière, Emile Faguet, Adolphe Brisson, Rémy de Gourmont, Ernest Charles, G. Lanson, G. Pélissier, Octave Uzanne, Léon Blum, A. Mazel, C. Vergniol, etc…
« V »
nt naturel ». Qu’en savez-vous ? Cela est bien osé. Voilà une belle
page
; elle paraît écrite sans peine ; tout y est coul
netteté, limpidité, tour, nuance, saillie, rien n’y manque. C’est une
page
de La Fontaine, de Fénelon, de Renan ; vous concl
« Voilà le vrai style. Voilà l’art spontané. » Qui vous l’a dit ? La
page
a peut-être été écrite avec beaucoup de peine, à
La déprécierez-vous, si vous apprenez, ce qu’elle a coûté ? et, si la
page
est de Montesquieu ou de Flaubert, direz-vous que
oublier le néant artificiel de nos entrepreneurs de musique. Motif 1 (
pages
94, 95, 97, 117, 118, 119, 120, 128, 143, 144, 14
tenir. Il semble que Beckmesser n’ait pas été jugé digne de ce motif.
Page
158, Sachs, sentant qu’Eva ne sera jamais à lui,
ante poésie que Wagner a dû sentir en lui-même lorsqu’il écrivait ces
pages
. Motif 14 (p. 24). — Ne vient qu’une seule fois q
commun, se retrouve dans le trio d’Eva, de Walther et de Magdeleine,
page
31. Motif 20 (p. 45, 315). — Ce motif a plusieurs
un nouveau mode », et c’est ce mode que chante Eva dans le quintette,
page
315, sixième mesure. Motif 21 (p. 238, 239). — Da
e le peut à son tour. Tous ces passages sont d’une finesse admirable.
Page
10, une forme agitée et enthousiaste bien que con
donne à Eva et à Walther, et dans la douce mélancolie de sa plainte,
pages
304, 305. Il appartient à Luther, et peut être le
Beckmesser, pour se retrouver dans toute sa simplicité et son charme,
page
235. Motif 36 (p. 42, 98, 99, 100, 101, 102, 103,
. Il est intéressant de suivre les modifications rapides de se motif,
pages
159 et 160. Pendant qu’Eva s’indigne contre les m
ts que Sachs établit entre Mark et lui, il serait curieux de comparer
page
138 les mesures 3-4-5-6 et 13-14-15-16 à des moti
rs : « Wohl traf ich Wunderblumen… » Et enfin ne trouve-t-on pas, aux
pages
272, où Sachs recommande à Walther de briller au
e premier principe, une majestueuse simplicité ». H. S. C. 60. Ces
pages
que nous avons traduites en collaboration avec M.
piquant et de leste et un air d’agrément, de même dans ses meilleures
pages
, il y a presque toujours une pointe de licence, d
ammes, comme on l’eût fait au xiie siècle ; et tout à côté (tome ii,
page
558), dans la lettre suivante, adressée à M. Taba
ment. Quant aux notes, je ferai observer que le curé Meslier (tome i,
page
349) était curé d’Étrépigni et de But, et qu’il n
’agit point là de lord Bute ; que, si le Pollion de Thieriot (tome i,
page
65) est en effet M. de la Popelinière, ce Pollion
ome i, page 65) est en effet M. de la Popelinière, ce Pollion, à deux
pages
de là (p. 63), n’est probablement pas le duc de R
, ce ne fut point purement et simplement, comme on l’affirme (tome i,
page
263), parce qu’il avait des sentiments généreux e
eux que l’ami qui servait de lien entre Diderot et Voltaire (tome ii,
page
519) fût Thieriot, et qu’il est bien plus vraisem
ilaville ; que, si l’on prodigue le contre-seing Belle-lsle (tome ii,
page
370) pour faire arriver les lettres franc de port
arablement moins bien les gens de lettres que les peintres. Voici une
page
que je trouve d’une grande dureté et d’une vérita
ui ont pris cette libre misanthropie de l’art. » Je le répète, cette
page
n’est pas juste. Ces Suard, ces Morellet, tout ac
s caprices qu’ils ont mené avec une pompe folâtre dans cette suite de
pages
qu’il appartient au seul Théophile Gautier de bie
pliquer là où il porte à propos et où il atteint son effet. Voici une
page
que je trouve parfaite en son genre : lisez haut,
relevant son mufle blanc bavant de fils d’eau, regarde. » Une telle
page
, assurément, est ce qu’on attend le moins d’un li
me ce qu’ont fait Virgile et Lucrèce parlant de ces mêmes animaux. La
page
de MM. de Goncourt vient précisément de me faire
ans nos générations de 1830 et environ. Mais je préfère à toute autre
page
du recueil le morceau final où MM. de Goncourt se
e se fait ? » Qui n’aimerait des amis qui savent payer par une telle
page
une quinzaine d’hospitalité dans un château de No
nt les exemples manquent à l’auteur pour illustrer ou pour animer ses
pages
; le conseil est d’ordinaire juste et bien donné,
ution ». Voilà l’exacte impression, telle qu’elle s’annonce tome ii, (
page
233). Dans son effroi de la centralisation, l’aut
la colonisation, à travers une forêt vierge. On y rencontre à chaque
page
un esprit ferme, exact, sensé, fin, moral, ami de
y sentira la ténacité, et ce mot non plus ne lui déplaît pas (tome i,
page
433). Ces formes de la langue indiquent bien et a
ose pour ses lectures dans un sujet si ouvert et si exploité (tome i,
page
403) ? Entre tout lire et ne rien lire dans cette
une postérité survivante et vivace, que de questions encore (tome i,
page
404) ! « D’où vient cette race nouvelle ? qui l’
uente d’Octave à quelques mois de là, et, au second volume, certaines
pages
sur la curiosité furieuse, dépravée, de certains
théisme de l’antique et monstrueux Orient y a seul osé associer. A la
page
152 du premier volume, pourquoi cette phrase qui
he, qui est aussi tout en exclamations passionnées, et à d’enivrantes
pages
d’Oberman. Cette fin replonge et retrempe l’âme d
antasque et d’un amour épuisé, j’ai été frappé d’un inconvénient. Ces
pages
sont vraies en ce sens qu’elles rendent des scène
ture, parce que les trois quarts des gens jugent un livre d’après une
page
, sur une beauté ou un défaut, sur une impression
manquaient pas, il a osé être simple. J’ai noté, dans ce chapitre II,
page
8, une phrase sur Napoléon, sur son arc, sur la f
nts. Il n’est donné qu’à un petit nombre de peintres d’écrire sur ces
pages
blanches de la vie. Rousseau, Bernardin de Saint-
iette ; il s’assoit à leur table. Laissons dire le romancier dans une
page
heureuse : « Après dîner, Simiane essaya de fai
ses égaux d’esprit et d’âme, et obscurs ; on peut relire l’éloquente
page
qu’il consacre à la mémoire de l’un d’eux : « Ign
es répétitions négligentes (délicieuse deux fois dans la même phrase,
page
228), parfois de ces inadvertances triviales qu’i
l faut laisser à nos romanciers sans délicatesse (ainsi cette phrase,
page
155, comme le plus grand imbécile qui eût jamais
saurait être entièrement racheté, dans un roman sans action, par des
pages
élevées et éloquentes, fussent-elles nombreuses.
81
Albalat, Antoine.
(1905)
Les ennemis de l’art d’écrire. Réponse aux objections de MM. F. Brunetière, Emile Faguet, Adolphe Brisson, Rémy de Gourmont, Ernest Charles, G. Lanson, G. Pélissier, Octave Uzanne, Léon Blum, A. Mazel, C. Vergniol, etc…
« IX »
e d’avoir « arbitrairement choisi, dans des séries de manuscrits, les
pages
les plus chargées de corrections, le plus souvent
herche de nombreux exemples, est-il surprenant que l’on choisisse les
pages
ou ils abondent ? Eût-on voulu que j’en trouve là
où j’ai pu lire, ce qui n’est pas toujours facile. Presque toutes les
pages
des trois énormes manuscrits des Sermons étant no
ucune de mes citations n’est probante. Mais, comme presque toutes les
pages
des trois énormes manuscrits de Bossuet sont noir
doigt. Voilà l’irrévérence inexpiable. Nous avions cité au hasard des
pages
de Stendhal, criblées de répétitions insipides, é
é aux yeux, si notre contradicteur eût pris la peine de reproduire la
page
qu’il critique. Il a mieux aimé ne donner que les
on ne dira pas que celui-ci n’est point un livre de professeur ! Aux
pages
précédentes, nous félicitions M. Demogeot d’avoir
a période du Moyen Âge, — est de n’avoir que quatre cents et quelques
pages
pour nous donner le train des faits intellectuels
nd Dieu !) qu’il fallait la commencer ? Oui, c’était par cette grande
page
vierge à écrire, qu’il fallait ouvrir l’introduct
, personne ne s’est encore douté qu’il y avait là à faire flamber une
page
… illuminante ! Malheureusement, M. Lenient n’a ri
et voilà pourquoi il pousse tout droit devant lui, dès les premières
pages
, ce petit trot historique qui fait son bonheur sa
hie depuis qu’elle existe dans un petit volume, assez propret, de 292
pages
, ah ! certainement ce n’est pas à nous ! Nous sav
ps à rêver l’infini ! Pour montrer cela, il ne suffit que de quelques
pages
. Il fut des artistes en Italie qui ont su faire t
t de finesse beaucoup plus embarrassant que de concentrer en quelques
pages
les progrès de la philosophie, — politique ou aut
cruellement traitée par les faits. L’Histoire l’atteste à toutes ses
pages
; les faits ont toujours plus ou moins foulé aux
s du dix-huitième siècle, et qu’il définit aujourd’hui, à la dernière
page
de son livre « la liberté par les institutions ».
de Balzac, je ne veux opposer, comme vérité, tact et dignité, qu’une
page
d’un écrivain bien compétent : « En vous rappelan
r le préparateur anatomique habile et amoureux du cadavre. Il y a une
page
(450, 460) sur la passion du poète, amant de la c
nt de la courtisane, sur son amour qui vole, bondit, rampe ; et cette
page
me résume et me figure tout ce style même, qui re
la fin du tome II des Portraits contemporains (Pensées et Fragments,
pages
524 et 530). Ces deux fragments, auxquels nous re
et la transformation ; la recherche d’un absolu documentaire », etc… (
page
35). Ou bien : «…. Par là, les termites de son œu
ne désespérance glaciale comme une bise, coupante comme un grésil… » (
page
11). Enfin et quel que soit le ver qui ronge Se
faction et de mystère, et qui ne se peut traduire à moins de soixante
pages
ténébreuses et convulsionnées. Certes, nos père
omme un firmament lourd et sans nuances, comme une lande stérile, les
pages
lui pleurèrent sur l’âme et la racornirent. Il la
Sur les Jeune France. (Se rapporte à l’article Théophile Gautier,
page
280.) Le hasard me fait retrouver une preuve ce
erai jamais à faire un ami de l’homme qui a écrit ces trois ou quatre
pages
, parce que je le trouve trop grand pour pouvoir c
y assistèrent, et il faut, pour les y ramener avec précision, qu’une
page
d’une lettre toute jaunie, retrouvée entre deux f
e flageolet ou de cornemuse le souvenir des belles châtelaines et des
pages
qui hantent toujours les tours, croulantes encore
iens, frôlez les harpes d’argent ; La reine Izel est couchée avec son
page
; Doux musiciens, frôlez les harpes d’argent. C’
jolie cueille Des roses ? Au jardin d’amour Il y a des lèvres, Beau
page
ou pastour… Au jardin d’amour. Est-il un fol qui
. Mais, qu’on veuille bien lire ce que Wagner dit plus bas, à la même
page
. « Il résulta cependant de cet incident, que je m
ouva qu’elle n’avait point été si ridicule (voir la note au bas de la
page
, VI, 380). — Or, c’est là un point très important
sous ces conditions que Tristan fut écrit. On relira avec intérêt les
pages
(IX, 92 et 93) dans lesquelles Wagner nous parle
te, je m’arrête. En ouvrant la partition, nous trouvons à la première
page
un mot qui a rendu plus d’un critique perplexe :
èrement, cette dénomination n’a au fond aucun sens (voir au bas de la
page
360), et secondement, que la signification qu’ell
dée essentielle et première de l’œuvre wagnérienne (voir au bas de la
page
362)81. Certes, si on connaissait mieux les idées
s dans leur obstination. Qu’on veuille bien lire les vers de Tristan,
page
67, depuis les mots « Tristan’s Ehre » jusqu’à «
lecteur se rende compte de la chose, il faudrait qu’il lise plusieurs
pages
à la suite, soigneusement. Et à cet effet je lui
sur un mot le rendent purement un instrument pour la voix (exemples :
page
151). Plus souvent, une note d’une longueur exces
que des fragments de phrases. Des phrases entières telles que celle (
page
132) que M. Challemel-Lacour a traduite par ; « l
ans le texte allemand ; saintes et éteint. Ou bien encore, comme à la
page
134, ils chantent les vers alternativement ; mais
ent douloureux et d’absolu découragement où il se trouvait en exil » (
page
148) ! [NdA] 73. Je ne parle pas d’après des on
de jouissance et de souffrance.[NdA] 78. On trouvera ce passage à la
page
66 du poème, édition 1859, et page 69 du vol. VII
] 78. On trouvera ce passage à la page 66 du poème, édition 1859, et
page
69 du vol. VII des Écrits. — Il y a deux passages
i les deux versions sous les yeux.[NdA] 83. La traduction française (
page
xlv) : « on peut apprécier cet ouvrage d’après le
e veut découvrir La Fontaine tout entier de la première à la dernière
page
. Pour lui, La Fontaine a peint la cour de Louis X
ouleur à son style ; surtout il répète continuellement ses idées. Des
pages
ne sont que l’expression différente, retournée, t
naux décousus, qu’on ne sait par quel bout commencer, eurent assez de
pages
spirituelles, fines, exquises même, pour faire pa
, que ces trois personnages sont de grands hommes, pouvaient lire ces
pages
et avoir l’envie de douter un peu de ces prétendu
on dirait un exercice de volonté, une gageure. M. Bourget a écrit des
pages
sensationnelles sur le romantisme et le féminisme
neuve ni unique du monde, qu’il ne se soucie pas de se contredire de
page
en page. L’âme de Nietzsche si vibrante, si clair
i unique du monde, qu’il ne se soucie pas de se contredire de page en
page
. L’âme de Nietzsche si vibrante, si clairvoyante
nteurs, dans Siegfried, même dans Tristan et Tannhäuser, que dans les
pages
les plus riantes de Nietzsche ! À qui donc doit a
sque tous les soirs le Prince et le Discours sur Tite-Live. Certaines
pages
de Humain, trop humain l’eussent réconforté, s’il
manœuvre qui certainement ne lisent pas son œuvre, bien que certaines
pages
puissent leur être utiles, mais cette foule de fa
sans doute pour ces mauvais lecteurs que Nietzsche avait écrit cette
page
: « Une culture supérieure ne peut vraiment naît
dans cette pensée. Respirons, respirons sans mélange la poésie de ces
pages
où l’intimité s’exhale à travers l’éclat. Embrass
hilosophes ou des personnages révolutionnaires ; il m’arrive à chaque
page
, en lisant l’Essai, d’être de l’avis du jeune hom
: « Là, j’ai des frères. » Voilà ce qu’on trouve, après tant d’autres
pages
révélatrices, dans l’Essai. Mais jusqu’ici cette
s qui le portent à n’en vouloir la publication qu’après lui. Dans les
pages
datées de 1811, comme dans celles de 1833, l’aute
ie même de l’écrivain se retrouve dans cette diversité. Il y a telle
page
de 1833 qui ressemble plus à telle page de l’Essa
ette diversité. Il y a telle page de 1833 qui ressemble plus à telle
page
de l’Essai que tout ce qui a été écrit dans l’int
pressent, se retourne un matin vers le passé et commence la première
page
de ses Mémoires. Il est né à Saint-Malo, d’une fa
ue deux des sœurs du poëte, et l’une particulièrement, ont laissé des
pages
touchantes ; qu’un de ses oncles paternels, prêtr
lle part aussi excellemment livré. On a pu remarquer parfois dans les
pages
graves de M. de Chateaubriand quelques mots aigus
nt, pour ainsi dire, un style de plus profonde couleur. Mais dans les
pages
dont nous parlons, cette veine heureuse circule e
i soit bien connu. Tout le rayon du siècle est tombé juste sur chaque
page
du livre, et le visage de l’homme qui le tenait o
e édition in-12, d’un seul volume, année 1688, de trois cent soixante
pages
, en fort gros caractères, desquelles Théophraste,
ui s’étonnera de tant de choses, s’avance. Je ne fais que rappeler la
page
sublime sur les paysans : « Certains animaux faro
plus grands talents, dans les plus beaux poèmes, dans les plus belles
pages
en prose, — oh ! beaucoup de savoir-faire, de fac
iginaux à nu. 140. Au tome second des Œuvres choisies de La Monnoye (
page
296), on lit un récit détaillé de cette mort de S
uyère, père et fils (car ils étaient deux), notamment au tome second,
pages
67 et 339. Je me trompe fort, ou de tels souvenir
e pièces détachées… Rien n’est plus aisé que de faire trois ou quatre
pages
d’un portrait qui ne demande point d’ordre… Il n’
is de conjectures, lorsque Trublet, dans ses Mémoires sur Fontenelle,
page
225, m’est venu donner la clef de l’énigme et le
» (Jugements historiques et littéraires sur quelques Écrivains… 1840,
page
250.) 153. M. de Barante, dans quelques pages él
elques Écrivains… 1840, page 250.) 153. M. de Barante, dans quelques
pages
élevées où il juge l’Éloge de La Bruyère par Fabr
Cette lettre, avec la pièce de vers qui l’accompagne, se trouve aux
pages
42 et 43 de la présente édition ; mais, en la lis
eux épîtres de François Ier précisément la même distance qu’entre une
page
de Villehardouin et n’importe quelle chronique ri
eaulté de ceste vous empire. Je retourne le feuillet, et je lis à la
page
suivante cet autre dizain, non moins égayé, mais
la pièce en tercets : Doulce, plaisante, heureuse et agréable nuict (
page
150), est trop compliquée pour être du monarque.
st pleine de ces vestiges d’une versification antérieure. On lit à la
page
12 du présent Recueil : Ne nul plaisir que natur
alerai un très-bel et très-vif élan de prière à Dieu, père de Christ (
page
181) ; le jet de l’oraison s’y soutient d’un bout
uxelles). 9. Ainsi l’éditeur a soin d’indiquer que les pièces de la
page
96 sont de Saint-Gelais : mais, en y regardant bi
nt bien, il se trouve que le huitain : Cessez, mes yeulx, etc., de la
page
94, est également de l’aumônier-poëte. 10. Voir
notte, etc 11. Le manuscrit de M. Cigongne contient aux dernières
pages
une pièce qui rappelle un peu, pour le motif, la
e des Periers (Revue des Deux Mondes, 1er novembre 1839). 15. 16.
Page
183. 17. M. Génin. Il faut ajouter qu’il porta d
é d’une introduction et de quatre chapitres (en tout un volume de 326
pages
), dans lesquels, je le reconnais, toutes les ques
historien !) « qui estime que le culte du passé est une superstition (
pages
19 et suivantes), — qui le méprise, ce passé, et
e sévère et de sévérité reviennent je ne sais combien de fois à toute
page
de son livre et que jusqu’à l’œil, l’œil physique
il ne conçoit l’histoire — dit M. Girard — que comme un témoignage » (
page
161). Par simplification, il laisse l’idée du dro
en philosophie, Thucydide, en politique, fut juste-milieu et modéré (
page
283). Certes, la Critique d’Athènes, si elle croy
dialogue. Et tandis que j’écoutais, dans le murmure qui s’élevait des
pages
feuilletées, le son de deux âmes, il m’a semblé q
a vie. Mais que penser de cette archiduchesse qui, durant trois cents
pages
, n’exprime pas une idée dont ne soit capable unie
pas de marquer d’un signet blanc, dans les annales du journalisme, la
page
où M. Alfred Capus donna son premier « Courrier d
t Barrès, sur qui il devait écrire, quelques mois plus tard, quelques
pages
de la plus cuisante ironie — l’ironie que l’on n’
u’il publia dans la Phalange ou dans la Nouvelle Revue Française (ses
pages
sur Barrès sont extraordinaires). Henri Franck, c
l’exemple. Rien de plus comique, en effet, que de rencontrer à chaque
page
, sous la plume de la jeune fille folle de son cor
nt des devoirs, lui inspire de sages réflexions. Voici les meilleures
pages
du livre. Julie y paraît assez naturelle dans l’e
docile aux enseignements de la philosophie. Durant cinq ou six cents
pages
, mari, maîtresse, amant, amie, tout ce monde-là d
u’aucune pensée de l’un ne restera étrangère à l’autre, sont nées des
pages
au parfum unique, où l’esprit se confie dans un m
s la réalité apporte un peu plus que nous n’attendions. Les premières
pages
, je dois le dire, m’avaient induit en défiance. N
c grâce, avec bonheur ; cette part de l’œuvre fait songer à certaines
pages
du Lys rouge, ce roman dont M. Anatole France vou
intelligence que de ses sens. Il n’y a pas de mots abstraits dans ses
pages
; il y a souvent des pensées, ou plutôt des mots
sée est ici tellement strict que l’on reconnaît, rien qu’à l’œil, une
page
de cet écrivain, comme sur une cimaise le tableau
s, qu’il l’a trouvée belle. Le sentiment de la nature lui inspire des
pages
comme celle-ci : UNE FAMILLE D’ARBRES C’est aprè
rossier d’un Zola, pour bien apprécier dans Ragotte, par exemple, des
pages
pleines d’une pitié à laquelle on peut s’abandonn
u terme de son dernier volume, se retourne vers son printemps, et ces
pages
m’ont ému d’autant plus, que le souvenir des lect
, de panthéisme, d’invincible nostalgie… Il y a un sortilège dans les
pages
de Loti, et peut-être un poison. Je n’en sais pas
e volume, qui contient certainement quelques-unes des plus émouvantes
pages
de Loti : La Pitié suprême vers laquelle se tend
voir de suggestion. Le même sentiment nous accompagne à parcourir les
pages
d’un de ces livres, ou à traverser les salles d’u
pas du tout du talent littéraire de M. André Hallays. Je citerai une
page
de lui ; cela suffira. « Sur un immense horizon,
l’écrivain (La Nostalgie de la Beauté). C’est lamentable. En soixante
pages
, il n’y a pas une idée. Une tête si vide offrait
ble, les deux tiers de son œuvre sont détestables. Mais dans quelques
pages
de poésie, les tares de son esprit pouvaient ne p
rai pas faire à M. René Boylesve grand compliment des trois ou quatre
pages
de préface qu’il a mises à son nouveau volume, ca
e. Ah ! que je serais content si ce lecteur-là se lasse des premières
pages
du roman de Boylesve ! Et quelle chance y a-t-il
ui n’aboutit pas, de Madeleine et de M. Juillet est peint en quelques
pages
que l’on peut égaler aux chefs-d’œuvre du roman p
hiti, où les êtres cueillent leur vie comme un fruit mûr. Combien ces
pages
sont émouvantes ! C’est que vraiment, dans l’île
ile. C’est elle qu’il a toujours appelée, comme Antoine à la dernière
page
de la Tentation. C’est vers elle qu’il criait au
re croie au bienfait d’une religion pour la foule ? Non pas. À chaque
page
des Dieux ont soif, le dédain et l’ironie, pareil
livre qu’il a rapporté de ce voyage passe en cruauté les plus sombres
pages
d’un Nietzsche. Appel à la destruction, il appara
scrit. On est un peu surpris de le voir traité en trois cents courtes
pages
. Regardons de plus près : l’ouvrage réalise un éq
bien de beauté la Fête arabe ne nous offre-t-elle pas ! Il y a là des
pages
qui ne le cèdent point, pour la nostalgie qu’elle
r professent envers les maîtres. Je dois à la vérité de dire que cent
pages
au moins du livre ont trait au sujet, qui est l’a
M. Vaudoyer a écrit là, il me semble, quelques-unes de ses meilleures
pages
. J’en aime la poésie tout ensemble intime et sole
us peindrait une Cécile moins désolée lorsque, comme cela arrive à la
page
236, elle « gagne la pièce voisine et se contrain
chant d’allégresse. Sa fureur ne se répand que sur un petit nombre de
pages
, mais ce sont des pages bien remplies. Henri IV n
ureur ne se répand que sur un petit nombre de pages, mais ce sont des
pages
bien remplies. Henri IV n’était qu’une canaille,
ristesse de Napoléon et de sa grande solitude. Ce sont les meilleures
pages
, trop courtes, de ce livre, dont la pensée est pu
li tour de langage, de la variété de la syntaxe. Prenez au hasard une
page
de lui, vous y ferez des découvertes. Soyez recon
e avertissement qu’échangent les moines montait, à peine modifié, des
pages
du livre à mon oreille : « Frère, disait-il, frèr
énération. Des centaines de jeunes gens font leur confession dans ces
pages
frémissantes et desséchées. Nous tâcherons d’y dé
souvent une faiblesse rudement martelée. À cette influence près, ses
pages
sur la pitié que l’on prend de l’être que l’on fa
s intéresse autant et plus que ce qu’il dit, c’est le reflet, sur les
pages
, de son âme travaillée, amoureuse tout ensemble d
paysagiste littéraire, parfait et accompli du premier coup, dont les
pages
, publiées d’abord dans la Revue de Paris 25, puis
il rend les premières sur ses toiles, réservant les secondes pour ses
pages
écrites, attentif à se servir en chaque chose de
i bistré, mais exactement couleur de peau de lion. » Après de telles
pages
, on n’a plus rien à demander au peintre pour le t
Pierre, discrètement entendue. Le paysagiste pur reparaît dans mainte
page
, — dans la halte si bien décrite autour du pistac
ernent ou plutôt s’unissent et ne font qu’un le plus souvent dans ses
pages
. Au moment d’entrer dans le vrai désert, dans le
n’étonnerai donc plus personne en disant que M. Fromentin, malgré ses
pages
si neuves de description et si ardentes, malgré s
omposé de soleil, d’étendue et de solitude ». Voici quelques-unes des
pages
qui font centre dans le récit de M. Fromentin, et
Jeune. 29. Voir dans la Gazette des Beaux-Arts (année 1859, tome II,
page
293) une belle gravure de ce tableau par Piaud, d
é également accordé. Je commencerai par citer tout d’abord de lui une
page
célèbre, et qui rassemble, dans un exemple sensib
naïve ! Un esprit tout critique et chagrin pourrait relever dans ces
pages
mêmes des redondances, et cette disposition d’Amy
lopper et de la déplier pour nous l’offrir plus légère. À côté de ces
pages
de la Vie de Numa, il faudrait en rappeler d’autr
rtiates avant et pendant le combat (chap. xliv-xlix). Quand de telles
pages
s’écrivent dans une langue et que cela dure penda
e l’auditeur avec soi ». En ce qui est sobre, simple et grand, nulles
pages
ne sont plus belles que celles de la mort de Pomp
raducteur. » Dans les traités moraux de Plutarque, que de charmantes
pages
aussi, riches de sens, pleines d’aisance et de na
dieux. Dans ses préfaces, dans ses dédicaces, dans le petit nombre de
pages
de son cru, sauf de rares endroits, Amyot est fai
enir. On trouverait pourtant chez Amyot, parlant en son nom, quelques
pages
d’une éloquence douce et de vieillard ; mais sa f
Les légendes des pays à demi ouverts à la culture rationnelle, dit-il
page
63 du volume, ont été formées bien plus souvent p
uer de ses colères comme il a blâmé M. Fuerbach, revient à toutes les
pages
de son livre d’aujourd’hui sur cette idée fixe de
s réchauffer, on sent comme un froid vipérin s’exhalant de toutes ces
pages
mortes et déjà fétides, de toutes ces vésanies al
ur-propre ou sa personne, car dans ce Mémoire d’académie, long de 247
pages
, M. Renan tient tout entier tel que nous le conna
par le premier jour. « Cette expression de premier jour (dit-il à la
page
19 de sa préface) n’est-elle qu’une métaphore pou
prétende que le sourd-muet se crée tout seul des moyens d’expression (
page
97) supérieurs à ceux qu’on lui enseigne ; ce qui
système, c’est que le langage s’est formé d’un coup, et voilà qu’à la
page
175 de son Essai il dit qu’aux époques primitives
nt. La réputation qu’on a faite un peu vite à M. Renan, pour quelques
pages
agréablement tournées sur les matières où les écr
éveloppement limpide et continu qui fait le livre. Mais il a jeté des
pages
autour de lui, et souvent elles étincellent de gé
sommet du Liban. Seulement, au milieu de tout cela, au milieu de ces
pages
isolées, de ces percées, de ces pointes, de ces b
ochefoucauld, La Bruyère, qui, eux aussi, comme Hello, écrivirent des
pages
, — de simples articles, comme nous dirions mainte
s Hello est un moraliste de par dedans. Une âme souffre à travers ses
pages
, une âme chrétienne, baptisée, pleine de Dieu, un
étienne, baptisée, pleine de Dieu, une vraie âme, tandis que dans les
pages
de La Rochefoucauld, de Vauvenargues et même de L
s ce livre de l’Homme, que voici, il se tire très bien d’une foule de
pages
que je trouve fort belles. Je ne chicane pas sur
t de vue qu’on se mette. Si on a la foi de l’écrivain qui a tracé ces
pages
, il n’est pas étonnant que ce soit beau, mais si,
ssion d’éclairs. Seulement, comme ici le sujet change en tournant les
pages
et que toutes ces physionomies de Saints s’entres
’ils faisaient en 1886. M. Emile Zola publiera un roman de sept cents
pages
intitulé la Terre. Il y aura dans ce roman, comme
s, un paysage d’été et un paysage d’automne, chacun de vingt à trente
pages
. Tous les travaux des champs y seront décrits, et
ci, trouvant qu’il dure trop, le pousseront dans le feu à la dernière
page
. Je pense qu’il y aura aussi une fille-mère qui j
rra bien être retardée parce qu’il y aura tant de citations, à chaque
page
, à chaque ligne, que l’imprimeur, à court, sera o
l’auteur, on entre dans sa pensée ou on la contredit ; à la vingtième
page
, que de réflexions le livre a déjà fait naître !
e lisait lentement ; son esprit fécond et réfléchi, dès les premières
pages
d’un livre, allait volontiers à ses propres pensé
ur de l’auteur. Mlle de Meulan, s’étant mise à traduire les premières
pages
d’un roman anglais, Emma Courtney, se laissa bien
es, intitulés Conseils de Morale, ont été presque en entier formés de
pages
extraites çà et là dans ses articles, de débuts p
enu à Mlle de Meulan), émeuvent cette lente analyse, circulent en ces
pages
abstraites, y mêlent en maint endroit la sensibil
ire. Mlle de Meulan avait eu fréquemment l’occasion d’écrire quelques
pages
sur l’éducation et d’essayer ses idées à ce sujet
e, ce livre renferme encore, en manière d’exposition, les plus belles
pages
morales, les plus sincères et les plus convaincue
les, les plus sincères et les plus convaincues, qu’à côté de quelques
pages
de M. Jouffroy les doctrines du rationalisme spir
loire 15 mai 1836. 91. Voir le Journal de Collé, août 1751, tome I,
page
417. 92. Nous évitons de reproduire diverses par
de Béranger lui soit venu de ce côté. (On peut voir cette idylle à la
page
96, t. I, de l’édition de mes Portraits contempor
us en différions. Dans un article des Archives littéraires (tome III,
page
395) : « Les anciens, écrivait-elle, ont dit souv
t particulier elle se trompait, comme Boissonade (édit. d’Aristænète,
page
318) et Dugas-Montbel (Observations sur l’Iliade,
▲