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1 (1856) Leçons de physiologie expérimentale appliquée à la médecine. Tome I
l qui ne mange ni sucre ni fécule n’en a pas dans le sang de la veine porte venant des intestins, tandis qu’on en trouve des
aires entre le foie et le duodénum. Dans ce paquet se trouve la veine porte , que je pourrais isoler d’avec le conduit cholédo
ure. Le sang qui va au foie se trouve donc ainsi arrêté dans la veine porte et ses ramifications, en même temps qu’il ne peut
surtout la poitrine, circonstance qui pourrait ramener dans la veine porte , par reflux, une certaine quantité de sang conten
ins noirs par la stase du sang qui résulte de la ligature de la veine porte  ; les vaisseaux chylifères gorgés de chyle, puisq
ci fait, je recueille, par une première incision, le sang de la veine porte , et vous voyez aussitôt les intestins blanchir à
ues précipite fortement notre réactif, tandis que le sang de la veine porte n’y fait apparaître aucune précipitation. Il n’e
Il n’existe donc aucune trace de réduction dans le sang de la veine porte avant son entrée dans le foie, et par conséquent
ons facilement dès lors qu’il n’y en ait pas dans le sang de la veine porte , et cependant, je le répète encore, il y en a de
d’empêcher le mélange des divers liquides sanguins, en liant la veine porte avant d’ouvrir largement le thorax et l’abdomen.
e ; F, lobe du foie échancré pour montrer la distribution de la veine porte qui porte le sang dans le foie, et de la veine hé
e du foie échancré pour montrer la distribution de la veine porte qui porte le sang dans le foie, et de la veine hépatique qu
sang dans le foie, et de la veine hépatique qui le ramène ; VP, veine porte contenant du sang non sucré ; Vh, veine hépatique
e le sang pris dans les rameaux V′, P′, et le tronc V, P, de la veine porte , venant des organes digestifs, ne renferme pas de
ace de sucre. Mais il n’en est plus de même quand le sang de la veine porte , après s’être répandu dans tout le foie à l’aide
me circulatoire digestif et le système circulatoire général. La veine porte charrie dans le foie une quantité considérable de
les voies biliaires. Le système afférent est donc formé par la veine porte , et le système efférent par les veines sus-hépati
onduit cholédoque qui est contenu dans un paquet commun avec la veine porte , l’artère et les nerfs hépatiques. Nous apercevon
atique ; à sa périphérie se distribuent les ramifications de la veine porte ainsi que les conduits biliaires. Ces derniers, p
ement chimique, de matières contenues dans le sang amené par la veine porte , parce que les formations biliaire et sucrée n’on
outes les matières solubles absorbées par les capillaires de la veine porte , c’est-à-dire, en définitive, une quantité de san
et graduée. Dès le début de l’absorption digestive, lorsque la veine porte commence à charrier une plus grande proportion de
res, ou dans les veines du système général, ni dans celui de la veine porte . C’est pour cette raison que, dans les expérience
uvé du sucre dans les veines superficielles du corps et dans la veine porte . Vous comprenez donc maintenant pourquoi le sang
it répandu dans tout le sang, et alors on en trouverait dans la veine porte  ; ce sucre ne viendrait pas des intestins, mais b
onsidérer que le foie est traversé sans cesse par le sang de la veine porte , et que ses éléments sont nécessairement variable
ces de nature si diverse, introduites dans l’alimentation et la veine porte , peuvent avoir sur la formation du sucre ? Ceci,
rétée dans l’estomac, et qui, sans doute, est réabsorbée par la veine porte pour servir à la formation du sucre. Pendant l’hi
isse à travers un système de vaisseaux différents de ceux de la veine porte est non seulement un fait physiologique, mais il
épatique ; car, si l’on pousse une injection de graisse dans la veine porte , elle ne passe que très difficilement dans les ve
e le sang qui en sort en présente beaucoup moins. Le sang de la veine porte renferme en moyenne, sur des chevaux, 0,04 gr. de
es données physiologiques. Lehmann a constaté que le sang de la veine porte , en traversant le foie, perd une certaine quantit
yen de ces substances albumineuses, l’intestin et le sang de la veine porte ne renferment jamais de matière sucrée d’aucune e
s’est produit dans l’intestin, et qui passe dans le sang de la veine porte , où l’on peut le rencontrer dans ces circonstance
directement absorbable, il aurait pu passer dans le sang de la veine porte , et arriver au foie sans aucune modification : c’
J’ai retrouvé ce sucre en partie à cet état dans le sang de la veine porte . J’ai également observé qu’au contact du suc panc
bé, c’est incontestable, car on en rencontre dans le sang de la veine porte . Mais cependant on n’en trouve pas plus au-delà d
e premier. Les matières féculentes, entrées comme sucre dans la veine porte et arrivées à cet état dans le foie, sont donc dé
our 100 d’eau), ingéré dans le canal digestif et absorbé par la veine porte , n’entre pas dans la circulation générale, n’appa
ètres cubes de cette même dissolution dans un des rameaux de la veine porte  ; et en découvrant sur un autre lapin la veine ju
e très grande rapidité, tandis que chez le lapin injecté par la veine porte le prussiate de potasse seul aurait passé dans le
s de doute sur ce fait que les matières sucrées arrivant par la veine porte ne traversent pas le foie, mais qu’elles occasion
amas de cellules environné par la capsule de Glisson arrive la veine porte VP, qui circonscrit en quelque sorte le lobule. O
sorte le lobule. On voit ainsi que le sang qui est amené par la veine porte à la périphérie du lobule doit, pour parvenir dan
au milieu du lobule hépatique. — VP, VP, YP, terminaison de la veine porte autour du lobule hépatique qui se trouve circonsc
rconscrit par ces divisions vasculaires. De ces divisions de la veine porte part un système de vaisseaux capillaires interméd
part un système de vaisseaux capillaires intermédiaire entre la veine porte et la veine hépatique. C’est dans les mailles de
rouvent immédiatement en contact avec le sang qui circule de la veine porte à la veine hépatique, c’est-à-dire de la périphér
hépatiques ; ils accompagnent les divisions périphériques de la veine porte .   C’est là que se passent les phénomènes chimi
tribués à la périphérie du lobule hépatique, en accompagnant la veine porte , sans qu’on ait pu encore déterminer exactement q
matière émulsive est déterminé durant le passage du sang de la veine porte à travers les cellules glandulaires du foie.   F
très lente, il s’en fait une autre : on voit des rameaux de la veine porte , qui, au lieu de s’enfoncer dans le lobule du foi
là une voie collatérale, par laquelle une partie du sang de la veine porte s’écoule sans avoir traversé les cellules du foie
ce de communications vasculaires directes qui existent entre la veine porte hépatique et la veine cave inférieure, au moment
re, au moment de sa pénétration dans le foie. — YP, tronc de la veine porte hépatique. — VC, tronc de la veine cave inférieur
s prononcée dans toute sa portion hépatique. — A, branche de la veine porte hépatique se détachant de son tronc et allant se
cation entre le sang de la veine cave inférieure et celui de la veine porte hépatique.   Or, ce système accessoire, qui est
s animaux coureurs où les communications à plein canal entre la veine porte et les veines hépatiques deviennent excessivement
chez le cheval (Fig. 10), des vaisseaux qui se détachent de la veine porte VP, à son entrée dans le foie, pour se porter ver
chose que les orifices de ces communications directes entre la veine porte et la veine cave. Il n’y a pas de valvules dans c
communications directes dans le foie, entre les vaisseaux de la veine porte et les veines hépatiques. On peut vérifier la réa
val ou sur un chien, passent avec la plus grande facilité de la veine porte dans la veine cave ; ce qui offre beaucoup plus d
nçoit, en effet, l’importance de telles communications entre la veine porte et la veine cave, de même qu’avec les veines hépa
’avec les veines hépatiques qui ne sont qu’une dépendance de la veine porte . Chacun sait que, sous l’influence d’un mouvement
mps donné, le système vasculaire. S’il n’y avait pas entre le système porte et le système veineux général ces larges communic
rche rapide, le sang, s’accumulant dans le foie, reflue dans la veine porte et dans la rate ; ce qui produirait, suivant cert
r les orifices d’abouchement des vaisseaux anastomotiques de la veine porte . — a, a, a, a, ouverture de section des vaisseaux
verture de section des vaisseaux anastomotiques provenant de la veine porte , et se ramifiant à la surface externe de la veine
ions variables, par lesquels les vaisseaux anastomotiques de la veine porte hépatique s’abouchent dans la veine cave inférieu
et que, quant à la matière sucrée qui arrive avec le sang de la veine porte , il y en a toujours également une certaine portio
orisent la circulation dans le foie. — Structure comparée de la veine porte et des veines hépatiques. — Mécanisme de la circu
vertu de sa constitution anatomique. Le sang qui arrive par la veine porte est soumis d’abord à la pression à peu près const
reflux du sang de cet organe, qui se mélange avec le sang de la veine porte , à cause de l’absence de valvules dans ce système
ait passé par les communications directes qui existent entre la veine porte et les veines hépatiques.   Fig. 12. Foie d’homm
sseaux pour montrer la disposition respective des rameaux de la veine porte et de ceux des veines hépatiques, ainsi que leur
ainsi que leur rapport avec le tissu du foie. — VP, tronc de la veine porte coupée au moment de son entrée dans le foie ; on
qui se distribue dans le lobe gauche. — VP′, VP′, rameaux de la veine porte qui sont entourés de la capsule de Glisson et n’a
s branches de l’artère hépatique pénètrent dans le foie avec la veine porte et la suivent dans sa distribution. — VH, YH, vei
Le foie, comme vous le savez, possède deux ordres de veines, la veine porte , formant le système afférent, et les veines hépat
ces vasculaires qui s’offrent aux yeux. Les ramifications de la veine porte , entourées par la capsule de Glisson, n’adhèrent
près la section, elles restent béantes. En outre, tandis que la veine porte VP arrive à peu près au centre du foie pour envoy
’un supérieur, l’autre inférieur, entre lesquels se trouve le système porte . Or à cette disposition spéciale des veines hépat
vaisseaux susceptibles de se contracter. Le sang conduit par la veine porte se répand autour d’un lobule hépatique, et après
23 janvier 1855. SOMMAIRE : Examen comparatif du sang de la veine porte et du sang des veines hépatiques. — Globules. — S
sont dus à Lehmann qui a étudié comparativement le sang dans la veine porte avant son entrée dans le foie, et le sang après s
rouve que les globules sont notablement plus petits que dans la veine porte . Dans cette veine, ils ont environ de 0,0058 à 0,
at général de ce tableau, vous voyez que toujours le sang de la veine porte contient plus de sérum que le sang des veines hép
s hépatiques est plus considérable que le caillot du sang de la veine porte  ; mais vous voyez aussi que dans la veine porte l
t du sang de la veine porte ; mais vous voyez aussi que dans la veine porte les quantités de sérum varient du simple au doubl
-ci. On devait s’attendre, en conséquence, à voir le sang de la veine porte , que nous avons déjà trouvé plus riche en sérum,
une plus grande proportion d’éléments solides que le sang de la veine porte . Mais les matières qui nous intéressent le plus s
graisse est déjà en très faibles proportions dans le sang de la veine porte , et qu’elle diminue encore dans le sang des veine
de Lehmann montrent que l’albumine se trouve dans le sang de la veine porte aussi bien que dans celui des veines sus-hépatiqu
ces, il y a le sucre, qu’on ne trouve jamais dans le sang de la veine porte , quand on prend un animal à jeun depuis un certai
ême plaie faite à l’abdomen, on saisit le tronc principal de la veine porte avant son entrée dans le foie, en ayant soin préa
terne l’observation de façon à agir tantôt en commençant par la veine porte et finissant par la veine cave, et vice versa. On
rt du foie est de 0,40° plus chaud que le sang qui entre par la veine porte , et de 0,60° plus chaud que le sang de l’aorte. L
-delà du poumon. Cependant, Messieurs, notre première expérience nous porte à nous demander si ce passage du sucre dans le sa
s circonstances et particulièrement dans le sérum du sang de la veine porte  ; ce n’est qu’après cette formation de ces cellul
sont pas aptes à donner lieu à cette production glycogénique ; ce qui porte à penser qu’il y en a dont le développement n’a p
en rapport avec celle qu’il avait rencontrée dans le sang de la veine porte , et il fut amené, comme nous, à conclure que le s
chez un chien à jeun depuis deux ou trois jours, le sang de la veine porte ne contient pas de traces de sucre, tandis que le
t en masse pour empêcher le reflux du sang venu du foie dans la veine porte , puis nous prenons alors du sang de cette même ve
us allez voir tout à l’heure que le liquide sorti du sang de la veine porte , ainsi traité, ne réduira pas le tartrate cupro-p
tiers ne contiennent pas de traces de sucre ; que le sang de la veine porte de ces mêmes animaux carnassiers, soit à jeun, so
nous avons commencées. Voici le liquide provenant du sang de la veine porte , nous y ajoutons du tartrate cupro-potassique, no
e chez un animal nourri de matières albuminoïdes, le sang de la veine porte ne contient pas de sucre, tandis que celui des ve
s, le sucre pourrait bien se trouver en grande quantité dans la veine porte , mais qu’il y serait masqué par sa combinaison av
par le tartrate cupro-potassique le glucose dans le sang de la veine porte , nous avons constamment constaté sa présence, mai
utement établie, a trouvé également du sucre dans le sang de la veine porte , chez des chevaux qui mangeaient de l’avoine, mai
existe dans la viande, l’autre que la présence du sucre dans la veine porte est dissimulée par les matières albuminoïdes digé
avec les aliments ; et comme ce sucre n’est pas décelé dans la veine porte par le tartrate cupro-potassique, il en résulte q
la dissimulation du sucre par la peptone ou albuminose dans la veine porte , cette objection n’a aucune valeur, parce que, en
leur, parce que, en supposant que cette matière existât dans la veine porte , ce qui n’est pas exact, ainsi que nous le dirons
isolé dans le foie, était bien celui qui avait circulé dans la veine porte avec la peptone, au lieu d’être un sucre de nouve
ord confondues et masquées l’une par l’autre dans le sang de la veine porte . Enfin notons, en terminant, un fait curieux, au
e rachidien, nous prenons sur l’un et sur l’autre du sang de la veine porte , en ayant soin, comme nous le faisons toujours, d
inerons dans un instant cette décoction, ainsi que le sang des veines porte et hépatique. Remarquez, en passant, que l’estoma
oici d’abord le liquide provenant de la décoction du sang de la veine porte de l’animal qui était simplement à jeun et auquel
plus, les nerfs pneumogastriques coupés. Dans le liquide de la veine porte , pas de traces de réduction. Dans le liquide des
s sucrées et albuminoïdes passent dans le système veineux de la veine porte , et, quoique à l’état de dissolution, elles ne se
paire. — 1, cœur. — 2, aorte. — 3, veine cave inférieure. — 4, veine porte . — 5, veine cave inférieure au-dessous des veines
au foie descende le long des pneumogastriques. Ce nerf, au contraire, porte au centre cérébro-spinal les sensations internes
ien, et l’on trouva le sucre répandu partout dans le sang de la veine porte , dans le sang des veines hépatiques, dans le sang
expériences qui consistent à injecter par un des rameaux de la veine porte une substance irritante, telle que de l’ammoniaqu
ie des matières albuminoïdes qui se trouvent dans le sang de la veine porte disparaît en traversant le foie de façon qu’on n’
t, à l’entrée du foie, des nerfs qui se trouvent entourés de la veine porte , des artères hépatiques, des vaisseaux lymphatiqu
ra que les aliments absorbés dans l’intestin et charriés par la veine porte , réagissent d’une manière plus énergique sur l’or
tre le sucre dans l’urine des animaux en leur injectant dans la veine porte de l’ammoniaque ou de l’éther. On comprend qu’un
enir d’un autre organe et être transmise par action réflexe. Quand on porte , par exemple, une irritation sur le poumon, dont
sucre. Or, ce dernier cas n’arrive que lorsque la lésion traumatique porte plus haut et produit des désordres plus graves, d
, parce que, d’une part, nous ne trouvions pas de sucre dans la veine porte au moment où le sang entre dans le foie, et que n
re dans le foie, parce qu’on trouve du sucre aussi bien dans la veine porte que dans la veine jugulaire. Cette assertion est
iences qui soient relatives à l’examen comparatif du sang de la veine porte avec le sang des autres veines. Il eût suffi à l’
ns l’organisme. C’est ainsi que, si l’on prend une artère ou la veine porte sur un animal à l’état physiologique, et si l’on
suppose que le sucre, ainsi dissimulé, peut être absorbé par la veine porte et se trouver transporté par cette voie de circul
bilité de constater avec certitude la présence du sucre dans la veine porte au moyen du réactif cupro-potassique. Après le fo
ème de sucre, il est évident que la peptone, dans le sang de la veine porte , doit se trouver singulièrement diluée et ne doit
tombe d’elle-même. D’ailleurs, on ne trouve dans le sang de la veine porte pas plus d’albuminose ou de peptone que dans le s
On nous a dit, par exemple : « Vous avez examiné le sang de la veine porte , et vous n’y avez pas trouvé de sucre ; mais avez
bronchiques ; qu’elle se distribue aux conduits biliaires, à la veine porte , sans participer d’une manière directe aux sécrét
de vaisseaux afférents qui amènent le sang au foie, ce sont la veine porte et l’artère hépatique ; ni l’un ni l’autre ne con
s de la fonction glycogénique du foie. — Analyses du sang de la veine porte et des veines hépatiques, par Lehmann, communiqué
e résumé de ce beau travail : Analyses comparées du sang de la veine porte et du sang des veines hépatiques, etc., pour serv
i également certains détails sur la composition des sangs de la veine porte et des veines hépatiques, qui sont consignés d’ai
r la formation du sucre dans le foie. 1° Sucre. — Le sang de la veine porte ne renferme jamais les moindres traces de sucre c
rre cuites) présentent évidemment du sucre dans le sang de leur veine porte , mais en quantité si faible, que le dosage n’est
du son de seigle, de la paille hachée et du foin, le sang de la veine porte contient des proportions très faibles de matière
rties du sang. Dans un autre cas, sur un cheval, le sérum de la veine porte renfermait 0,0052 gr. pour 100 de sucre. Le sang
s quantités comparatives de sucre que contiennent le sang de la veine porte qui entre dans le foie et le sang des veines hépa
, est mise hors de doute. 2° Fibrine, albumine. — Le sang de la veine porte chez les chevaux et chez les chiens renferme de l
nes. Quelle que soit la nature de l’alimentation, le sang de la veine porte des chiens renferme en moyenne plus de fibrine qu
ndance dans le sang des veines hépatiques comparé au sang de la veine porte . Le sang des veines hépatiques chez les chiens se
Des analyses très soignées et comparatives entre le sang de la veine porte et celui des veines hépatiques m’ont prouvé qu’un
de la fibrine. 3° Graisse et globules sanguins. — Le sang de la veine porte renferme toujours beaucoup plus de graisse que le
aisse que le sang des veines hépatiques. Le sérum du sang de la veine porte chez les chiens nourris avec de la viande est gén
chez les chevaux. Chez les chevaux, les globules du sang de la veine porte sont plus riches en eau et particulièrement en fe
en globules du sang et en matières extractives que celui de la veine porte . J’ai remarqué, sur les chiens comme sur les chev
la moindre trace de matière sucrée, je recueillis le sang de la veine porte avant son entrée dans le foie, et je n’y constata
lyses de M. Lehmann sur la composition comparée des sangs de la veine porte et des veines hépatiques confirment pleinement, a
ndamentale qui a pour objet l’examen comparatif des sangs de la veine porte et des veines hépatiques ; et, tant qu’il restera
pand ensuite dans tout l’organisme au moyen de la circulation, qui le porte par la veine cave dans le cœur droit, puis dans l
rs n’ayant pas tenu compte de l’examen comparatif du sang de la veine porte et du sang des veines hépatiques, leurs analyses
t les matériaux de cette sécrétion par le sang qui entre par la veine porte VP, et qui ne renferme pas de sucre chez les carn
entériques qui passe par les capillaires dans les rameaux de la veine porte b, et, d’autre part, des matériaux absorbés en a,
rbés en a, directement dans l’intestin. Le sang non sucré de la veine porte VP entre dans le foie, s’y répand, y subit des mé
ez un carnivore, on ne trouve point de sucre dans le sang de la veine porte . On en trouve toujours, au contraire, des quantit
nn, et d’avancer qu’il y avait plus de sucre dans le sang de la veine porte que dans celui des veines hépatiques. L’auteur de
n repas de viande crue, il y a plus de sucre dans le sang de la veine porte que dans celui des veines hépatiques, tandis que
crue est digérée, et que le sucre des aliments a passé dans la veine porte . Si l’on y eût regardé de près, on aurait vu que
opération, qui consistait à recueillir séparément le sang de la veine porte et celui des vaisseaux situés au-dessus du foie.
t des nerfs et des vaisseaux qui pénètrent dans cet organe ; la veine porte étant saisie, on l’a liée. Après cette ligature,
flés par la stase du sang, suite de la ligature. En incisant la veine porte , on a recueilli le sang de ce vaisseau. On s’étai
ts auxquels a conduit l’analyse chimique comparée du sang de la veine porte et du sang pris au-dessus du foie. Sang de la ve
e la veine porte et du sang pris au-dessus du foie. Sang de la veine porte . Ce sang pesait 102 grammes. Il a été coagulé par
ueur cupro-potassique qui avait servi à l’analyse du sang de la veine porte , je n’ai pu y parvenir, car la coloration bleue d
iande crue et tué deux heures après le repas, on trouve dans la veine porte une quantité notable de glucose, et qu’il n’exist
comme le précédent. On a recueilli, par incision, le sang de la veine porte . La poitrine étant ouverte, on a pris le sang du
deux sangs, j’ai obtenu les résultats qui suivent : Sang de la veine porte . Le sang recueilli pesait 76 grammes. A la second
heures après le repas, on trouve du glucose dans le sang de la veine porte , et le sang qui sort du foie renferme alors une q
re que l’on trouve et que l’on dose du sucre dans le sang de la veine porte , quand il n’y en a pas, et que l’on n’en voie pas
at énoncé, à savoir, qu’il y a plus de sucre dans le sang de la veine porte que dans celui des veines hépatiques, est telleme
ns anatomiques. On parle, d’une part, du sang recueilli dans la veine porte et du sang recueilli dans les veines mésentérique
ntériques, distinction qui n’a pas sa raison d’être, puisque la veine porte n’est que la réunion de toutes les veines mésenté
ut prendre le sang sus-hépatique pour le comparer au sang de la veine porte qui entre dans l’organe. Du reste, dans ses concl
radicteur a pris du sang des veines hépatiques et du sang de la veine porte  ; mais ce que je n’admettrai jamais, pas plus que
ment, il faudrait prouver qu’il y a du sucre dans le sang de la veine porte qui entre dans l’organe ; et enfin, pour établir
ur prouver ce qu’il a avancé, qu’il y eût plus de sucre dans la veine porte que dans le sang des veines hépatiques : immédiat
qu’il n’y a pas, comme il le croit, du sucre dans le sang de la veine porte en plus grande quantité que dans le sang des vein
que chez un carnivore il n’y a pas de sucre dans le sang de la veine porte , et qu’il y en a dans le sang des veines hépatiqu
les conditions indiquées, il n’y a de sucre dans le sang de la veine porte . C’est à cause de cette foi scientifique que j’ai
igestion de viande, il n’existe pas de sucre dans le sang de la veine porte qui circule des intestins vers le foie, tandis qu
es périodes de la digestion, il y a du sucre dans le sang de la veine porte aussi bien que dans celui des veines hépatiques,
bœuf crue une plus forte proportion de sucre dans le sang de la veine porte que dans le sang pris au-dessus du foie. L’assura
digestion de viande cuite ou crue il n’y a pas de sucre dans la veine porte , ni une heure, ni deux heures, ni trois heures, e
ement cinq ou six heures, tandis que jamais le sang frais de la veine porte , mélangé de même à de la levure de bière, ne ferm
fermentation. Mais, soit qu’on prenne directement le sang des veines portes et des veines hépatiques, soit qu’on le traite pa
vec le sang des veines hépatiques, et jamais avec le sang de la veine porte . Nous n’avons pas besoin de répéter ici que, pour
avoir le sang qui circule dans des conditions normales dans la veine porte , ou dans les veines hépatiques, qu’en opérant par
achidien, et à recueillir immédiatement le sang contenu dans la veine porte et celui contenu dans les veines hépatiques, aprè
De cette manière, on est bien sûr que le sang recueilli dans la veine porte est celui qui allait entrer dans le foie au momen
ns. On réunit tous les sangs des veines hépatiques et ceux des veines portes qu’on traite comparativement à quantités égales.
avons souvent pratiquée, que l’on veuille obtenir le sang de la veine porte ou le sang des veines sus-hépatiques. Pour obteni
u le sang des veines sus-hépatiques. Pour obtenir le sang de la veine porte , il suffit de faire la ligature du tronc de cette
de la ligature. On fait jaillir ainsi du sang circulant dans la veine porte chez l’animal vivant. Mais on comprendra, que, po
 ; car, si l’on fait mourir l’animal d’hémorragie en ouvrant la veine porte , par exemple le sang de toutes les parties du cor
, et absence complète ou traces très faibles dans le sang de la veine porte .   Fig. 22.   Par ces raisons, nous ne saurion
ntredit a pu arriver à trouver plus de sucre dans le sang de la veine porte que dans celui des veines hépatiques. Nous ferons
qui sort du foie, tandis qu’il n’y en a pas dans le sang de la veine porte , qui entre dans l’organe. Voici ce travail : La
sucre dans tous ces produits, et j’ai trouvé dans le sang de la veine porte 0,322 gr. de sucre pour 100 de sang ; dans le san
jour d’une abstinence absolue, et l’on recueillit du sang de la veine porte , du sang des veines sus-hépatiques, du sang de la
ts suivants : 0,025 gr. de sucre dans 100 parties de sang de la veine porte  ; 0,049 gr. dans le sang des veines hépatiques ;
s traces seulement dans la veine cave inférieure. Le sang de la veine porte ne contenait pas de sucre. Chez un autre chien à
uis quatre jours, on n’a pas trouvé de sucre dans le sang de la veine porte , tandis qu’on en a rencontré dans le sang des vei
de cuite, fut sacrifié au moment de la digestion. Le sang de la veine porte ne renfermait pas de sucre. Le sang des veines hé
les animaux nourris avec des matières amylacées, le sang de la veine porte contient une proportion considérable de sucre ; 5
avec de la viande, il n’existe pas de sucre dans le sang de la veine porte  ; qu’on en trouve, au contraire, une quantité not
nférieure, et même dans le sang artériel ; 6° Que le sang de la veine porte des animaux soumis à l’abstinence complète ne con
s qui démontrent qu’il n’existe pas de sucre dans le sang de la veine porte d’animaux nourris de viande, tandis qu’il en exis
En introduisant de même un tube de verre dans la portion de la veine porte comprise entre la ligature et les intestins, on r
amme de viande de bœuf crue. L’extrait alcoolique du sang de la veine porte ne donna rien par la fermentation ni par le cupro
repas composé de viande de bœuf crue. 33 grammes de sang de la veine porte donnèrent un extrait alcoolique qui donna une réd
1 kilogramme de viande crue de bœuf. On recueillit : sang de la veine porte , 73 grammes, qui donnèrent : extrait alcoolique r
heures et demie après son dernier repas. On obtint, sang de la veine porte , 149 grammes, qui donnèrent : extrait alcoolique,
lique, 2,050, on obtint 35, 055 ; ce qui donne, pour sang de la veine porte , 1000 parties : eau, 766,26 ; substances sèches,
1250 grammes de viande crue ; on prit 61 grammes de sang de la veine porte et 51 grammes de sang des veines hépatiques. L’ex
ure des vaisseaux, on ne trouve pas de sucre dans le sang de la veine porte d’animaux nourris de viande crue ou cuite ; 2° Qu
it plus d’extrait alcoolique que la même quantité de sang de la veine porte . Enfin, dans la séance du 30 avril, M. Moleschot
les mêmes conditions, qu’après un jeûne de quarante heures, la veine porte ne contenait pas de sucre. À cet effet, le chien
dien. L’abdomen étant ouvert, on a appliqué une ligature sur la veine porte , et l’on a recueilli le sang de ce vaisseau. Ce s
2 (1866) Cours familier de littérature. XXII « CXXXe entretien. Fior d’Aliza (suite) » pp. 193-236
oyant que mes mouvements hâteraient le jour, et m’avançant jusqu’à la porte de la rue pour écouter si je n’entendais pas les
e père Hilario allait sonner, quand je prévins le bruit en ouvrant la porte du guichet devant lui, comme si j’avais été l’ang
n voit peint sur la muraille de la cathédrale de Pise et qui ouvre la porte du cachot à Pierre, en tenant un flambeau en avan
ussi tremblant que moi ; il ne me dit rien. Le père Hilario ouvrit la porte du corridor qui menait du cachot, par un couloir
de la cathédrale ; ils étaient entrés en même temps que nous, par la porte extérieure de la chapelle donnant sur la cour. Je
cour avant que personne fût debout dans la prison ; je lui ouvris la porte de la rue. Je remontai doucement dans ma tourelle
agonisants pour lui dans la cour ; la dernière fois, ils ouvrirent la porte et lui dirent que la religion avait des pardons p
as, les braves gens, mais ils se relayèrent toute la nuit derrière la porte du préau, pour dire en pleurant les psaumes de la
ié enfin de quelque chose, était rentré dans Lucques, avait volé à la porte de la prison, et, apprenant là par le piccinino q
iza, sans rabaisser son tablier, se leva de table et alla derrière la porte donner le sein à son enfant. CCLXIV — Et ma
Il était nuit quand j’arrivai à la ville, je me glissai à travers la porte à la faveur d’un groupe de familles connues des g
de familles connues des gardes de la douane qui rentraient, avant les portes fermées, dans la ville, sans être vue au visage,
grâce à la Madone dont la statue dans une niche, sous la voûte de la porte , était éclairée par une petite lampe. Je demandai
e garnira d’un lit et d’une paille propre et fraîche, on y mettra une porte , et vous pourrez vous y retirer tous les soirs, p
après l’Ave Maria du matin ; j’aurai soin que la sœur portière vous y porte tous les jours la soupe des galériens malades, et
e commence à m’inspirer. Vous pourrez même entendre notre messe de la porte de la chapelle, ici à gauche, par la lucarne des
e le prit dans son sein, l’embrassa, et, s’échappant avec lui vers la porte , courut avec la rapidité de la pierre lancée de h
3 (1864) Cours familier de littérature. XVIII « CVIIe entretien. Balzac et ses œuvres (2e partie) » pp. 353-431
œillets ou les rosiers d’une pauvre ouvrière. Plus loin, ce sont des portes garnies de clous énormes, où le génie de nos ancê
rabot, s’élève l’hôtel d’un gentilhomme, où sur le plein-cintre de la porte en pierre se voient encore quelques vestiges de s
profondes, obscures et sans ornements extérieurs ou intérieurs. Leur porte est ouverte en deux parties pleines, grossièremen
le jour arrivent à cette espèce d’antre humide, ou par le haut de la porte , ou par l’espace qui se trouve entre la voûte, le
francs de marchandise. Vous verrez un marchand de merrain assis à sa porte , et qui tourne ses pouces en causant avec un vois
nd-rue de Saumur, ces mots : “Voilà un temps d’or ! ” se chiffrent de porte en porte. Aussi chacun répond-il au voisin : “Il
Saumur, ces mots : “Voilà un temps d’or ! ” se chiffrent de porte en porte . Aussi chacun répond-il au voisin : “Il pleut des
a vie est presque toujours en plein air : chaque ménage s’assied à sa porte , y déjeune, y dîne, s’y dispute. Il ne passe pers
d un étranger arrivait dans une ville de province, était-il gaussé de porte en porte. De là les bons contes, de là le surnom
nger arrivait dans une ville de province, était-il gaussé de porte en porte . De là les bons contes, de là le surnom de copieu
percevez un renfoncement assez sombre, au centre duquel est cachée la porte de la maison à M. Grandet. Il est impossible de c
ines des remparts. Les deux piliers et la voûte formant la baie de la porte avaient été, comme la maison, construits en tuffe
des convolvulus, du plantain et un petit cerisier assez haut déjà. La porte , en chêne massif, brune, desséchée, fendue de tou
mais à barreaux serrés et rouges de rouille, occupait le milieu de la porte bâtarde et servait, pour ainsi dire, de motif à u
encoignures en bois de rose. Dans la croisée la plus rapprochée de la porte , se trouvait une chaise de paille dont les pieds
r, et voulait déjà monter son ménage. Il avisa cette fille rebutée de porte en porte. Juge de la force corporelle en sa quali
lait déjà monter son ménage. Il avisa cette fille rebutée de porte en porte . Juge de la force corporelle en sa qualité de ton
andidats à la main de sa fille. » VI À ce moment on sonne à la porte , c’est un de ses neveux, beau jeune homme de Pari
in les huit marches qui régnaient au fond de la cour et menaient à la porte du jardin étaient disjointes et ensevelies sous d
se mariaient à leur gré des plantes grimpantes. De chaque côté de la porte à claire-voie s’avançaient les rameaux tortus de
is trop laide, il ne fera pas attention à moi.” « Puis elle ouvrit la porte de sa chambre qui donnait sur l’escalier, et tend
vez pas vu dans sa chambrelouque de soie et d’or. Je l’ai vu, moi. Il porte du linge fin comme celui du surplis de M. le curé
afé ; et les deux femmes vont par pitié et les pieds nus écouter à la porte du cousin les gémissements de sa douleur. Eugénie
et il en reçut le premier baiser furtif, dans le couloir, entre deux portes  : « Chère Eugénie, lui murmura-t-il, un cousin e
uit.” « Eugénie se leva ; mais, après avoir fait quelques pas vers la porte , elle se retourna brusquement, regarda son père e
e fit beaucoup de tort à l’avare. Son notaire et ami Cruchot força la porte et lui révéla que ses sévices pouvaient contraind
nt et sa bouche ! ” disait Eugénie au moment où le vigneron ouvrit la porte . Au regard que jeta son mari sur l’or, Mme Grande
pour vous, dit-il en maniant les louis. Allons, égaye-toi, ma femme ; porte -toi bien ; tu ne manqueras de rien, ni Eugénie no
e 1 200 francs. Cela dura cinq ans. En 1827, le vieillard mourut à la porte de son cabinet plein d’or. Eugénie fut reconnue p
4 (1860) Ceci n’est pas un livre « Une conspiration sous Abdul-Théo. Vaudeville turc en trois journées, mêlé d’orientales — Deuxième journée. Les conspirateurs » pp. 225-233
à l’enseigne du Pèlerin de la Mecque. — Salle longue. — En face de la porte est suspendue une charge signée Carjat-Bey, qui r
me. (Il boit.) Omer-Dinochau, inquiet. N’a-t-on pas frappé à la porte de la rue ? Monselet-Pacha. Une Circassienne
Omer-Dinochau. Il n’aura jamais fini. (On frappe trois coups à la porte de la rue.) Ce sont eux ! Monselet-Pacha, l’œ
t étonnant. Cette ressemblance… (Trois nouveaux coups de marteau à la porte de la rue.) Omer-Dinochau, à la fenêtre. Eh
je le dis, mais on ne veut pas m’écouter… (Trois nouveaux coups à la porte de la rue.) Omer-Dinochau, à la fenêtre. Eh
il ? y êtes-vous ?… (Bruit de voix, cliquetis d’armes dans la rue. La porte est enfoncée, et une troupe de janissaires, à la
ait irruption dans la salle.) Tous, excepté Monselet. Tout nous porte à croire que nous sommes découverts. Feydeau-
5 (1860) Ceci n’est pas un livre « Les arrière-petits-fils. Sotie parisienne — Deuxième tableau » pp. 196-209
lle souriant est assis au bureau. Feu de manuscrits dans la cheminée. Porte au fond. Scène première Derville, seul.
1 820 francs de recette ! Oui, c’est dix-huit cent vingt francs que porte le livret du caissier. 1 820 ! ce zéro n’est poin
soirs une arrière-petite-fille de Gluck en pleine caisse (bruit à la porte )… que c’est ? Scène II Francisque. Un
malfaiteur. (À part.) Gredine de Finette, va ! (Il se dirige vers la porte , poussé par Francisque.) Je sors. Je vais chez le
Francisque.) Je sors. Je vais chez le ministre ! (Francisque ouvre la porte … apparaît Finette en statue du commandeur, avec l
ieu !… Ah ! (Il s’affaisse avec un cri de douleur. — Grand bruit à la porte .) Scène V De Martray, en dehors. C’es
Martray, en dehors. C’est moi, ce n’est pas un auteur… (Il pousse la porte et entre.) C’est donc une maison abandonnée que c
6 (1880) Les deux masques. Première série. I, Les antiques. Eschyle : tragédie-comédie. « Chapitre XII, les sept chefs devant Thèbes. »
t l’assaut pour la nuit prochaine. — « Donc, tous aux créneaux et aux portes , debout sur les tours, serrés sur les parapets !
masque même de sa Muse. L’homme a laissé les Sept tirant au sort les portes où chacun d’eux conduira sa troupe : — « Choisis
ros s’interpellent de la muraille à la plaine ; Hélène, du haut de la porte Scée, désigne à Priam, par leur nom et par leur v
moi septième, avec six guerriers intrépides, j’irai défendre les sept portes de nos murailles. » Mais, Etéocle parti, les lame
es portraits de ces guerriers fastueux et furieux, dressés contre les portes de Thèbes dont leur front semble heurter le faite
e fanfare d’emphase et d’effroi : — C’est Tydée qui doit assaillir la porte Proétide ; mais les entrailles des victimes sont
« Œil de la nuit », s’arrondit au centre de son champ d’étoiles. — La porte d’Électre est échue par le sort à Capanée, géant
u’il se soucie de la foudre comme d’un éclair de chaleur. Son écusson porte pour emblème un Homme nu qui tient une torche enf
crie, en lettres d’or : « Je brûlerai la ville ! » — C’est contre la porte Néitide qu’Étéocles poussera ses chevaux dont le
d’airain : « Ares lui-même ne me renverserait pas de ces murs » — La porte Oncée soutiendra l’assaut d’Hippomédon, un coloss
, « comme une Ménade de vin noir », vocifère d’horribles menaces : la porte en tremble sur ses gonds de bronze. — La cinquièm
n râlant sous ses griffes. — Amphiaraos a été désigné pour la sixième porte  ; mais le devin, qui maudit cette guerre, ne mena
Contre l’homme au Typhon, il envoie « l’irréprochable Hyperbios » qui porte religieusement sur son bouclier « Zeus debout, te
champ de mort. — « Le septième enfin, celui qui marche à la septième porte , je dois le dire, c’est ton frère. Quelles exécra
es persévère avec une tendre pitié. — « C’est un affreux désir qui te porte à ce meurtre fécond en fruits amers, à répandre s
prières ne m’émousseront pas. » Et il court d’un pas de vertige à la porte fatale où la mort l’attend. Le Destin a vite fait
de deuil et de joie. Thèbes est sauvée, la victoire triomphe sur six portes  ; mais à la septième, les deux fils d’Œdipe se so
mortellement blessé par le Thébain Mélanippos, gisait au seuil de la porte Proétide, lorsqu’on lui apporta la tête de son me
7 (1890) Journal des Goncourt. Tome IV (1870-1871) « Année 1870 » pp. 3-176
sonnette était agitée par les retours hâtés de Jules, jetant, dès la porte , à la domestique : « Où est Edmond ? » Jeudi 3
carton-pierre colorié, avec une chandelle fichée dans la tête. Sur la porte un morceau de papier porte, écrit à la main : Pou
une chandelle fichée dans la tête. Sur la porte un morceau de papier porte , écrit à la main : Pour les petits voyageurs Mada
ion. Et remontant au bout, tout au bout de ces années, c’est de cette porte que je nous vois sortir, en blouse blanche, le sa
entrevoit un troupeau de cent mille bêtes éperdues, se ruer vers une porte , une sortie, une ouverture, semblable à l’avalanc
les à parte anxieux des concierges et des boutiquiers, sur le pas des portes — et dessus les chaises des arrière-boutiques, le
nes d’immortelles pendent à la place des aigles absentes. À la grande porte du palais, je vois écrit, à la craie, sur les deu
rs. Jusqu’au pont, des deux côtés, les effets militaires séchant aux portes , aux fenêtres, font comme un immense Temple du ha
atteries de fusil, que les soldats nettoient. 8 septembre De la porte de Point-du-Jour jusqu’à mi-chemin de Saint-Cloud
dis qu’au-dessous, des ronds de chapeaux noirs, s’abaissant devant la porte , toute verte de couronnes d’immortelles, piquées
és contre les murs ; sous les voûtes moisies et rustiques des grandes portes cochères, ce ne sont encore que des fusils. Tout
e ne sont encore que des fusils. Tout le monde qui mange ou boit à la porte des cabarets, a un fusil entre les jambes. Des ou
leurs femmes la batterie d’une tabatière, pendant que, par la petite porte de la mairie, jaillit un flot de populaire en blo
es, et dans tout le quartier haillonneux, marmiteux, marmailleux, aux portes des allées, des conciliabules de femmes coléreuse
disant que demain ils ne travailleront plus. Le palais du Sénat, les portes grandes ouvertes, montre aux yeux de qui y pénètr
r, et çà et là, quelques vieilles femmes assises au soleil, devant la porte d’une allée obscure s’obstinent à rester, à voulo
tembre Le canon tonne toute la matinée. Je suis à onze heures à la porte du Point-du-Jour. Sous le pont du chemin de fer,
que. ……………………………………………………………………………………………………… Un joli tableautin, à la porte de Neuilly. Dans l’encombrement des voitures et d
izarres, mon œil s’arrête sur une boutique aux volets fermés, et à la porte ouverte, sur laquelle il y a écrit, en grosses le
ndustrie, un cercle de femmes et d’hommes, rangés autour de la petite porte de gauche, attendant, dans l’attente d’un cœur se
tout d’un coup la rédaction sèche du rapport officiel. Et toujours la porte des cafés que l’on pousse, et toujours le tapage
tout emporté, et Paris, en gaieté et en joie, se presse à toutes ses portes , dans un Longchamps étourdi. Les toilettes d’été,
é de pierre, de plis semblables aux dalles tumulaires de Bruges. Elle porte en elle une si grande douleur stupéfiée, que je m
urs cuillers dans la gamelle, posée sur une table improvisée avec une porte arrachée à une clôture. Avec la soupe et le ventr
de la première jeunesse court, de table en table. Sous une arcade qui porte écrit sur un morceau de bois : État-Major, des of
e Vincennes avec ses arbres coupés, ses chalets, dont on a enlevé les portes et les fenêtres, un peuple de pauvresses le rempl
. Il y a des coupons jusqu’au 14 novembre. Mardi 11 octobre Aux portes des maisons neuves, où sont installées les mairie
le creux de leurs mains grassouillettes, le riz des sacs placés à la porte des épiciers. Des marchands de bric-à-brac, accou
é, qu’éclaire un soleil de gaz, s’ouvre à la foule qui s’y glisse, la porte de la salle de la Reine-Blanche. Une salle de dan
. Jeudi 20 octobre À Batignolles, des queues interminables à la porte des bouchers, des queues composées de vieux bonsh
limentation morale. Lundi 24 octobre Je sors aujourd’hui par la porte Maillot, dont le pont-levis et la partie garnie d
assez chinois. Le restaurateur Gillet est devenu un état-major, à la porte duquel on a improvisé deux guérites avec des plan
ements pour les young ladies, ont des mobiles roux en faction à leurs portes . Un passage incessant, une allée, une venue, un c
draperies rouges des escaliers de marchands de vin. Une grande bande porte  : Citoyens, la Patrie est en danger. Enrôlements
iture trouvée par hasard, me ramène le long de chemins inconnus, à la porte du rempart de la Chapelle. Je passe entre des coi
grands arbres, des amoncellements de pierres, entre des maisons sans portes ni fenêtres, où s’accroche encore le squelette d’
gaz des kiosques, des cafés, dont les maîtres vont et viennent sur la porte , incertains s’ils doivent fermer. Le rappel bat,
ant : « Les canailles ! » un officier de garde nationale appelle à la porte du Café Riche les hommes de son bataillon. Il cir
hui au cimetière, pour entrer, pour sortir, la queue qui se fait à la porte d’un endroit de plaisir. Je ne sais, pour moi, je
de l’avenue de Clichy, depuis la statue du maréchal Moncey jusqu’à la porte du rempart, avec tout son petit monde de mioches
e lentement une vieille femme, accablée sous le poids du bois qu’elle porte , comme une fourmi sous un fétu. À la recherche de
ve enfin à une amidonnerie, dont je vois, par le battant de la grande porte , des hommes abattre des grands arbres, et j’ai de
n couronne ou plutôt en moule de pâtisserie, au haut de la tête. Elle porte une robe de laine noire à longue queue, dont la t
ts rideaux, tout grippés par la pluie. Ici, pendent sur le trou d’une porte absente, les brindilles d’une plante grimpante ;
e philosophe champêtre, un chapeau d’inventeur. Une moitié de vieille porte Louis XV m’introduit dans l’unique pièce du rez-d
un regard, où je ne voyais pas d’yeux, et il ressortait par une autre porte . Alors je songeais à m’adresser à la princesse Ma
ièce marine de mon rempart, parce que, le jour, elle remue toutes les portes , comme si un coup de vent s’engouffrait dans la m
agments de planches, de morceaux de zinc, de terre battue, avec leurs portes de branches tournant sur des gonds de lianes, et
s, déjà vagues dans la nuit qui commence. Et bientôt le noir des deux portes fermées, sur un morceau de ciel roux, zébré de nu
ttes. Samedi 26 novembre Aujourd’hui, c’est le dernier jour des portes ouvertes. Demain, Paris finit aux remparts, et le
il faut sauter des grands fossés, des remblais garnis de fascines… La porte du Pré Catelan est ouverte, des canons sont rangé
l’heure de la rentrée. La pelouse, qui va de la butte Mortemart à la porte de Boulogne, est toute couverte de mobiles, qui v
x yeux à la fois vifs et doux, qui me dit que depuis la fermeture des portes , le moral de l’armée et de la mobile est complète
rface de l’eau clapotante, des carpes et de monstrueux cyprins, qu’on porte dans les tonneaux de la voiture attelée. En face
ée. En face du bal Bullier, et masquant la décoration orientale de sa porte , sur laquelle est écrit : Ambulance, succursale d
est donné de la grande émotion de la capitale, se tenant près de ses portes , raccourcissant la distance, rapprochant d’elle l
al, encapuchonné, à défaut de capot, dans le tartan de sa femme. À la porte de Vincennes, étagée sur les traverses de bois, u
d’une prison pénitentiaire. Pour la première fois, je remarque, à la porte des épiciers, des queues, des queues inquiétantes
se chiffonne à son cou. Après toutes sortes d’allées et de venues, de portes qui s’ouvrent et se ferment, de gens qui entrent
s. Autour de moi, on dit que c’est la bière d’un officier saxon. À la porte des chantiers de bois, des queues menaçantes. Mal
neige blanche, battent la semelle. Je m’arrête quelques instants à la porte de la Chapelle, et m’amuse à regarder à la lumièr
r. Ici Nefftzer interrompt, pour déclarer que c’est le jugement qu’en porte Rochefort, qui l’a beaucoup pratiqué et l’admire
ières qu’aux fenêtres des maisons, qui ont inscrit au-dessus de leurs portes  : Ambulance. Vendredi 30 décembre Aujourd’h
ompte de ce qu’il était devenu, il arrivait qu’au moment de passer la porte , — son adieu, le malheureux enfant se mettait à l
8 (1867) Cours familier de littérature. XXIII « cxxxve entretien. Histoire d’un conscrit de 1813. Par Erckmann Chatrian »
e de la grande maison qui fait le coin en face du Bœuf-Rouge, près la porte de France. C’est là qu’il fallait voir arriver de
ntes, le roulement des voitures, arrivant ou partant, sous les hautes portes cochères. Ah ! l’hôtel du Bœuf-Rouge n’aura jamai
et presque aussitôt M. Goulden, avec la chandelle allumée, ouvrit ma porte en me disant : « Lève-toi… le voilà ! » Nous ouvr
fenêtre. Au milieu de la nuit je vis s’avancer au grand trot, sous la porte de France, une centaine de dragons dont plusieurs
nouvelle levée, pour remplacer ceux qui sont morts ! » Il poussait ma porte , et je le voyais tout gris, tout chauve, en manch
qu’on se recoquillait malgré soi jusqu’à la plante des pieds. Sous la porte d’Allemagne, j’aperçus le soldat de garde, dans s
d’un point rouge, à cause du grand feu de l’intérieur. Devant chaque porte se trouvait une botte de paille, pour empêcher le
e de paille, pour empêcher le froid de passer dessous. À la cinquième porte à droite je m’arrêtai pour ôter mes moufles, puis
, ensuite Catherine, qui ne disait plus rien. Après cela, j’ouvris la porte , et le froid terrible entrant tout à coup, m’aver
e vais avoir l’air d’un garçon qui n’a pas de défauts, et même qui se porte très-bien ; c’est le vinaigre qui me monte à la t
e révision s’ouvrit et que l’autre gendarme, Werner, se penchant à la porte , cria d’une voix rude : « Joseph Bertha ! » J’ent
ha ! » J’entrai, boitant le plus que je pouvais, et Werner referma la porte . Les maires du canton étaient assis sur des chais
a ville. Comme j’étais ainsi dans le plus grand trouble, voilà que la porte s’ouvre, et que Catherine se jette dans mes bras
mais aimer que toi. » Cela durait depuis un quart d’heure, lorsque la porte s’ouvrit, et que le capitaine Vidal entra, le man
main de M. Goulden. Il sortit ; on entendait son cheval piaffer à la porte . Le temps était gris, la tristesse m’accablait ;
apitaine commanda : « Marche ! » et nous partîmes deux à deux vers la porte de France. Au coin du boulanger Spitz, une vieill
Les voilà qui partent… Tiens… Voilà Klipfel… Voilà Joseph ! » Sous la porte de France, les hommes de garde rangés en ligne no
Les gens venaient à leurs petites fenêtres, ou s’avançaient sur leur porte en disant : « Ce sont des conscrits ! » Le soir,
premier sa maison, mais elle était fermée, et, comme il frappait à la porte , je trouvai aussi la mienne, dont les deux fenêtr
la mienne, dont les deux fenêtres brillaient à gauche. Je poussai la porte , elle s’ouvrit, et j’entrai dans une allée sombre
« Venez ! » Je montai donc l’escalier. En passant, j’aperçus, par une porte ouverte, deux hommes en culotte, nus jusqu’à la c
me trouvais trop misérable ! Tandis que je songeais à ces choses, la porte s’ouvrit, et un homme grand, fort, la tête déjà g
Quatre-Vents, avec sa blouse et son petit sac de cuir ; il ouvrait la porte de la salle, et tendait un grand papier à la tant
romets !… Tu lui diras que je suis mort en l’embrassant et que tu lui portes ce baiser d’adieu ! — Oui !… fit-il en sanglotant
du fond de l’Alsace en Lorraine. La tante Grédel et Catherine, à leur porte , regardaient s’écouler ce convoi funèbre ; leurs
9 (1867) Cours familier de littérature. XXIV « CXLIIIe entretien. Littérature cosmopolite. Les voyageurs »
c’est une impudence punissable de tourner seulement les yeux vers la porte . Le chirachi-bachi19, qui est le chef de la somme
ait engagé. Il va sur le soir au palais, s’adresse au capitaine de la porte du sérail, lui conte la conjuration avec les part
dont la cheminée est au fond ou à côté. Les chambres ont toutes leurs portes , quoique assez faibles, mais elles n’ont point de
faibles, mais elles n’ont point de fenêtres, recevant le jour par la porte et non autrement, ce qui rend le logement incommo
t ce qu’il faut de charpenterie et de menuiserie pour une maison, des portes , des fenêtres, des gouttières, des serrures de bo
de carreaux d’émail, et une frise plate autour, de même matière, qui porte des passages du Coran, en lettres proportionnées
é d’une galerie comme celle des côtés. Les linteaux sont de jaspe. La porte est de quelque douze pieds de large, fermée de de
la place Royale. On l’appelle Aly capi (A’âly qâpi), c’est-à-dire la porte Haute, ou la porte Sacrée, et non pas la porte d’
n l’appelle Aly capi (A’âly qâpi), c’est-à-dire la porte Haute, ou la porte Sacrée, et non pas la porte d’Aly, comme quelques
qâpi), c’est-à-dire la porte Haute, ou la porte Sacrée, et non pas la porte d’Aly, comme quelques-uns pensent, trompés par la
révèrent comme sacré, et qui marcherait dessus serait puni. Toute la porte même est sacrée. Les gens qui ont reçu quelque gr
grand maître d’hôtel, qu’on appelle, en Perse, chef des maîtres de la porte , tient son bureau public. À côté, il y a deux aut
n n’y connaît d’autre asile que les tombeaux des grands saints, cette porte impériale, les cuisines et les écuries du roi ; e
ce qui le réduit enfin à en sortir. Les sofis, qui ont la garde de la porte impériale, ont l’intendance de l’asile, et ils sa
petit arsenal ; la troisième, qui est la principale, qu’on appelle la porte des Cuisines, et il y en a une autre, à demi-lieu
incipales: la première et la plus éminente est celle qu’on appelle la porte haute ou glorieuse, qui est ce grand portail au-d
ne l’idée ; la seconde entrée du palais royal est celle qui mène à la porte du sérail ; la troisième est au nord, appelée la
qui mène à la porte du sérail ; la troisième est au nord, appelée la porte des Quatre-Bassins ; la quatrième est à l’occiden
la porte des Quatre-Bassins ; la quatrième est à l’occident, vers la porte de la ville, qu’on appelle Impériale ; la cinquiè
riale ; la cinquième est vis-à-vis du petit arsenal, qu’on appelle la porte de la Cuisine, parce que les cuisines du roi en s
’est pas si épais que le petit doigt. Il y a encore, du côté de cette porte de la Cuisine, divers magasins du roi: celui des
e, vous l’auriez trouvé bien plus charmant qu’il ne vous paraît. » La porte du logis était couverte de grosses lames de fer,
en pouvant venir à bout, ils firent apporter un tas de bois devant la porte et y mirent le feu, ce qui obligea la maîtresse d
te et y mirent le feu, ce qui obligea la maîtresse de faire faire une porte de fer. On disait que c’était aussi pour servir d
trois, avec une haute impériale en arc, couverte de drap. Un chameau porte deux de ces grands berceaux, un de chaque côté. L
y a un bassin d’eau carré, de quinze pieds de face, et au coin est la porte Impériale, qui est une des portes de la ville, et
nze pieds de face, et au coin est la porte Impériale, qui est une des portes de la ville, et une des entrées principales de ce
s côtés, qui sont au nombre de quatorze, sept de chaque côté ; chacun porte le nom du seigneur qui l’a fait construire. Il fa
ire Hamzeh-Mirza n’est pas raisonnable. Le véritable sujet qui vous y porte , si vous voulez que je vous le dise, encore que v
aghi goùch khauneh toùqdjy, jardin et volière des faucons (hors de la porte ) de Toqdjy, mentionnée tome VII, p. 9 et suiv. Am
10 (1867) Cours familier de littérature. XXIII « cxxxviie entretien. Un intérieur ou les pèlerines de Renève »
tera rien à leur possesseur et vous viendrez vainement me mettre à la porte , moi et ceux et celles que je suis obligé de nour
chez la femme d’un scieur de long dont un fagot de buis indiquait la porte . Elle jouait sous un gros arbre à moitié descié p
t la porte. Elle jouait sous un gros arbre à moitié descié près de la porte  ; trois jolies petites filles et un tout petit ga
s et un tout petit garçon jouaient avec de la sciure de bois sur leur porte . La mère nous regarda d’abord avec une certaine s
aux chambres. Nous la suivîmes. Au moment où elle allait en ouvrir la porte , le scieur de long, beau et fort jeune homme d’en
e mange, puis-je les en empêcher ? » En parlant ainsi, elle ouvrit la porte et nous fûmes étonnées de la bonne odeur de raisi
ent à ces mots, regardant juste ici, monsieur, comme si c’eût été une porte d’or. Elles chuchotaient je ne sais quoi tout bas
re où M. de Lamartine, descendant de Milly, attachait son cheval à la porte auprès de la plate-bande de tulipes de son ami l’
ceau de fil de fer caché dans une fente de la muraille intérieure, la porte s’ouvrit et nous nous trouvâmes dans le jardin de
ta toutes ces métamorphoses. — Vous êtes entrées, nous dit-il, par la porte de M. Alphonse quand il était jeune. C’est moi qu
les mousses le recouvrent déjà, dit le vieillard, en nous ouvrant la porte à deux battants de bois vermoulu qui séparait la
ied des murailles, deux femmes tricotaient assises sur le seuil de la porte . — Qu’est-ce que cela, dis-je à Besson. — C’est c
enez, là, en bas du chemin où nous sommes, vous voyez bien une grande porte à deux battants réparée par morceaux et peinte en
tants réparée par morceaux et peinte en vert-jaune, eh bien, c’est la porte de Milly. Nous précipitâmes nos pas et nous fûmes
ent pris racine. Ce bâtiment, qui était un pressoir, s’étendait de la porte de la cour jusqu’à l’angle de la maison de maître
ez plus peur les nuits d’hiver des loups qui viennent gratter à votre porte . Remerciez bien ce monsieur d’avoir été si bon, v
s’agissait ; nous nous approchâmes à pas discrets de la chaumière, la porte était ouverte et nous entrâmes. Jamais, monsieur,
t autour de la cabane et qu’ils disputaient aux grives en automne. La porte était solide, mais elle laissait passer le museau
ous sortîmes sans pouvoir parler tout haut. Une religieuse était à la porte , elle nous conduisit au bout du jardin, à la chap
11 (1767) Salon de 1767 « Peintures — Robert » pp. 222-249
u plus vers la gauche et sur le devant, un obélisque entier ; puis la porte d’un temple. Au-delà de cette porte une partie sy
nt, un obélisque entier ; puis la porte d’un temple. Au-delà de cette porte une partie symmétrique à la première. Au-devant d
escalier qui règne sur toute sa longueur, et d’où l’on descend de la porte du temple au bas de la composition. Faible, faibl
rs la gauche d’où s’avancent à lui un autre soldat avec une femme qui porte entre ses bras un petit enfant. On voit au-delà,
Est-ce celui du remords ? C’est l’un et l’autre, selon l’âme qu’on y porte . Le méchant fuit la solitude ; l’homme juste la c
la galerie, groupe de paysans et de paysanes entre lesquelles une qui porte une cruche sur sa tête. Au-devant de ce groupe, d
pot de fleurs. Attenant à cette fabrique, une ouverture ou espèce de porte dont la fermeture faite de poutrelles assemblées
nt avec le côté de la fabrique qui lui sert d’appui. Au-delà de cette porte , une autre fabrique de pierre, en ruine. Par derr
sur lesquelles il a mis des draps à sécher. Tout à fait à gauche, la porte d’une maison ; au dedans de la maison, les bras a
ne maison ; au dedans de la maison, les bras appuyés sur le bas de la porte , une femme qui regarde ce qui se passe dans la ru
ière réfléchie par les eaux qui couvrent la cour. Mais c’est comme on porte sa main sur les vases sacrés que j’aventure cette
ns, moitié sortant de la paille et du foin. Une autre échelle dressée porte par son pied sur le devant du grenier et par son
caprice à son premier style qu’il a pris en dédain, et tout cela à la porte d’une cuisine. Entrons dans cette cuisine ; mais
s qui sert de rampe et qui l’empêchera de se blesser. Du bas de cette porte je vois que cet endroit est quarré, et que pour e
camoter. Ce mur latéral gauche est ouvert proche du fond d’une grande porte ou fenêtre très-éclairée ; c’est de là que la cui
st de là que la cuisine tire son jour. On a pratiqué au haut de cette porte une espèce de petite fenêtre vitrée. L’effet géné
s la demi-teinte ; il n’y a d’éclairé que l’espace étroit exposé à la porte percée vers le fond, à l’angle intérieur du mur l
te, un des côtés de cette fabrique, où l’on voit un suisse près d’une porte grillée ; sur le devant une chaise de paille ; pl
ifice. Ce sont des tronçons de colonnes, des débris de fenêtres et de portes , des fragmens de chapiteaux, des bouts d’entablem
eau. à droite, grande fabrique s’enfonçant bien dans la composition ; porte pratiquée à cette fabrique, elle est entr’ouverte
au lait sur la tête, qui passe et qui regarde. En dedans, près cette porte , chien couché à terre. On peut diviser la hauteur
12 (1888) Préfaces et manifestes littéraires « Romans et nouvelles » pp. 3-80
nous rêvions d’éditions, d’éditions sans nombre… quand, claquant les portes , entrait bruyamment dans ma chambre le cousin Bla
aissent vouloir emporter le souvenir des lieux qu’ils quittent, et la porte de l’appartement, en se fermant sur elle, fait un
garde vaguement défiler les maisons, elle ne parle plus… Arrivée à la porte de l’hôpital, elle veut descendre sans qu’on la p
s… Arrivée à la porte de l’hôpital, elle veut descendre sans qu’on la porte  : « Pouvez-vous aller jusque-là ? » dit le concie
août. — Ce matin, à dix heures, on sonne. J’entends un colloque à la porte entre la femme de ménage et le portier. La porte
nds un colloque à la porte entre la femme de ménage et le portier. La porte s’ouvre. Le portier entre tenant une lettre. Je p
ouvre. Le portier entre tenant une lettre. Je prends la lettre ; elle porte le timbre de Lariboisière. Rose est morte ce mati
s promenades. Elle attendait Edmond jusqu’au matin pour lui ouvrir la porte de l’appartement, quand il allait, en cachette de
ix dure le garçon. Nous allons au fin fond de l’hôpital, à une grande porte jaunâtre sur laquelle il y a écrit en grosses let
écrit en grosses lettres noires : Amphithéâtre. Le garçon frappe. La porte s’entrouvre au bout de quelque temps, et il en so
té. On nous a fait, un long moment attendre, avant d’ouvrir une autre porte , et pendant ces minutes d’attente, tout notre cou
de force, à bout de volonté, à bout de tension nerveuse, et quand la porte s’est ouverte, nous avons dit : « Nous enverrons
eur de convalescentes souriantes… Dans un coin reculé, je sonne à une porte aux petits rideaux blancs. On ouvre et je me trou
s, qui semblent, là toutes frissonnantes et toutes dépaysées. Par une porte ouverte derrière moi, d’une petite pièce où le so
rire tout ce qu’il est permis aux autres de mettre dans un volume qui porte sur sa couverture : Étude ou tout autre intitulé
t et un peu plus tard chez Mme Desoye… et la découverte en 1860, à la Porte Chinoise, du premier album japonais connu à Paris
13 (1767) Salon de 1767 « Peintures — Doyen » pp. 178-191
face latérale d’une coupe verticale qui passe par le pied droit de la porte de cet édifice, laisse la porte entière, divise l
ale qui passe par le pied droit de la porte de cet édifice, laisse la porte entière, divise le parvis qui est au devant et l’
’escalier, traverserait le parvis et entrerait dans l’hôpital dont la porte a son seuil de niveau avec ce parvis. On conçoit
cident dont on est frappé c’est un frénétique qui s’élance hors de la porte de l’hôpital, sa tête ceinte d’un lambeau et ses
t et les deux bouts d’un brancard. Sur le milieu du parvis, devant la porte de l’hôpital, une mère agenouillée, les bras et l
ou par une composition mieux digérée, plus ensemble, plus une. Cette porte n’a point l’air d’une porte, c’est, en dépit de l
x digérée, plus ensemble, plus une. Cette porte n’a point l’air d’une porte , c’est, en dépit de l’inscription, une fenêtre pa
nce. Et puis, encore une fois, pourquoi la scène se passe-t-elle à la porte d’un hôpital ? Est-ce la place d’une femme import
al et le massif et l’égout ; mais quand vous m’exposerez ensuite à la porte de cet hôpital, sur ce parvis, dans le voisinage
èvre, qui s’élance par la fenêtre, ou, puisque vous le voulez, par la porte de l’hôpital, sont on ne peut pas mieux. Ce malad
us le répète, ils semblent moins empêcher un malade de sortir par une porte que de se jetter par une fenêtre. C’est l’effet d
la bordure. Ajoutez que tandis que le défaut d’air et de perspective porte les figures du devant vers le fond et du fond ver
14 (1858) Cours familier de littérature. VI « XXXIIIe entretien. Poésie lyrique. David (2e partie) » pp. 157-220
e voix immortelle l’entrée triomphale de Dieu dans ses mondes par les portes immenses des éternités. « Écartez-vous ! ouvrez-
par les portes immenses des éternités. « Écartez-vous ! ouvrez-vous, portes de l’éternité ! Écartez-vous ! que le Roi de gloi
entre dans ses empires ! « Qui est donc le Roi de gloire ? disent les portes . C’est Jéhovah ! c’est le Tout-Puissant ! c’est l
Tout-Puissant ! c’est le Fort ! Jéhovah, le Fort dans la bataille ! «  Portes , écartez-vous ! portes de l’éternité, ouvrez-vous
e Fort ! Jéhovah, le Fort dans la bataille ! « Portes, écartez-vous ! portes de l’éternité, ouvrez-vous, que le Roi de gloire
pour eux un sujet de confabulation ! « Ceux qui sont assis sur leurs portes parlent contre moi, et les chansons de ceux qui b
poussière. Ranime-la, selon ta promesse ! « Constamment, Seigneur, je porte ma vie dans ma main, et je te l’offre ! « Je lève
de l’Océan. Le cœur de l’homme, quand il est ému par l’idée de Dieu, porte ses émotions aussi loin que l’Océan porte les ond
est ému par l’idée de Dieu, porte ses émotions aussi loin que l’Océan porte les ondulations de ses rives. Telle est la voix d
vissait dans Jérusalem ; nous restâmes assis tout le jour en face des portes principales de la cité sainte ; nous fîmes le tou
nte ; nous fîmes le tour des murs en passant devant toutes les autres portes de la ville. Personne n’entrait, personne ne sort
ndant les douze heures du jour, que si nous eussions passé devant les portes mortes de Pompéi ou d’Herculanum ! Nous ne vîmes
m ! Nous ne vîmes que quatre convois funèbres sortir en silence de la porte de Damas et s’acheminer le long des murs vers les
’acheminer le long des murs vers les cimetières turcs ; et près de la porte de Sion, lorsque nous y passâmes, qu’un pauvre ch
e de la plate-forme du temple et des murs de la ville, la colline qui porte Jérusalem s’affaisse tout à coup, s’élargit, se d
s çà et là par quelques terrasses de pierres roulantes. Cette colline porte à son sommet, à quelque cent pas de Jérusalem, un
vane, que j’avais planté de l’autre côté de la ville, en dehors de la porte de Bethléem, un air de flûte lointain et mélancol
15 (1867) Cours familier de littérature. XXIII « cxxxvie entretien. L’ami Fritz »
ens sur le seuil de la chambre, et la vieille Katel derrière, sous la porte . Il vit Iôsef, grand, maigre, jaune, déguenillé c
ient un bel effet sur le fond brun de la haute salle. Au-dessus de la porte , on voyait une sorte de moulure représentant l’Am
té sur un char par trois colombes. Enfin tous les meubles, les hautes portes d’armoires, la vieille chiffonnière en bois de ro
é, et moi de celui-ci ; ce sera bien… c’est bien comme cela. Quand la porte s’ouvrira, je verrai tout d’avance, je saurai ce
té de son verre. V Mais Katel venait à peine de sortir, et la porte restait encore ouverte, qu’une petite voix fraîch
a ! — Katel… Katel ! » s’écria Kobus en se retournant tout étonné. La porte de la cuisine se rouvrit. « Est-ce qu’on a oublié
on grand carton sous le bras, et qu’il te voyait de loin jouer sur la porte , comme sa figure changeait, comme il se mettait à
oreille de veau à la vinaigrette, il sort et va, sans y penser, à la porte de Phalsbourg qui mène à sa ferme de Meisenthâl,
et voit passer dans l’air bleu un couple de tourterelles que l’amour porte et qui se becquètent sur les rochers. Cette vue l
eux ; mais les bourgeons se montraient à peine. À droite de la petite porte ronde se trouvait un banc de pierre. Plus loin, s
hache-paille, les scies et les échelles. On y voyait aussi, contre la porte de la grange, une grande trouble à pêcher, et au-
de hêtre, les jambes en X, avec un banc de chaque côté ; derrière la porte , à gauche, se dressait le fourneau de fonte en py
ait. Dans la cuisine, les casseroles tintaient, le feu pétillait, les portes s’ouvraient et se refermaient. Une lanterne passa
calier en trottant comme une perdrix, déposer ses souliers cirés à la porte , et faire doucement, pour ne pas l’éveiller. Il s
r avec eux, mais je m’en passe très-bien, il me semble même que je me porte mieux, que j’ai les jambes plus dégourdies et mei
quand ses yeux tombèrent sur le vieux clavecin entre le buffet et la porte . C’était un petit meuble en bois de rose, à pieds
rait bien depuis vingt minutes, lorsqu’un petit bruit s’entendit à la porte  ; quelqu’un frappait. Voici David, se dit-il en r
c, son fichu bleu de ciel et son panier, qui se tenait là derrière la porte . « Hé ! c’est toi, Sûzel ! fit-il comme émerveill
ublés de plaisir. « Ainsi, père Christel, reprit-il, tout le monde se porte bien chez vous…, la mère Orchel ? — Très-bien, mo
la berline fût pour eux, et seulement lorsqu’elle s’arrêta devant la porte , Hâan partit d’un immense éclat de rire et se mit
e, Schoûltz au milieu. Plus de cent personnes les regardaient sur les portes et le long des fenêtres, car les voitures de post
a Zimmer. — Oui, en route, et doucement, dit-il, doucement jusqu’à la porte de Hildebrandt. » Zimmer, alors, claquant du foue
u pavé succéda le bruit moins fort de la route. Ils passèrent sous la porte de Hildebrandt, et Zimmer, remettant son cor en s
chée derrière une guirlande de chêne tombant du pilier à droite de la porte . Sûzel, à demi effacée derrière cette guirlande,
ce vin de France qui tourne la tête à ces hommes batailleurs, et les porte à faire la guerre contre tout le monde ! Est-ce q
ix semaines à la ferme pour voir Sûzel à son aise. Mais on sonne à sa porte  : c’est la mère de Sûzel, qui vient lui apprendre
… Attends donc… écoute ! » Fritz ne l’écoutait plus : il courait à la porte , et le rebbe le suivait tout réjoui de son ardeur
 ; la mère Orchel, avec sa grosse face rouge, se tenait debout sur la porte de la cuisine, la bouche béante : et la petite Sû
16 (1890) Journal des Goncourt. Tome IV (1870-1871) « Année 1871 » pp. 180-366
s commencent à tomber, rue Boileau, rue La Fontaine. Sur le seuil des portes , les femmes regardent passer, moitié atterrées, m
aux blanches anglaises, appuyée sur le bras d’un homme en blouse, qui porte son sac de nuit à la main. On stationne devant la
pâtisse héroïquement aujourd’hui. Tout le monde est sur le pas de ses portes , en même temps que sur le qui-vive d’un obus : le
comme autrefois, leur promenade d’avant-dîner, sur l’asphalte. À la porte d’un café du boulevard, sept ou huit jeunes offic
trou, ni écorniflure à mon immeuble, — dont, toutefois, on laisse la porte entrebâillée, pour que je n’aie pas trop longtemp
Mardi 17 janvier L’on parle d’une batterie prussienne élevée à la Porte Jaune, près Saint-Cloud, qui, sous peu de jours,
eudon, un éclat me frôle presque, et fait rejaillir la boue contre la porte de ma maison. Je passais, à trois heures, à la ba
oi, se promène dans l’attente des nouvelles. Des rangées de gens à la porte garnie de paille des ambulances. Devant la mairie
e nommé Hirsch, ce peintre de malheur, qui m’avait déjà annoncé, à la porte de La Chapelle, le désastre du Bourget. Il me cri
place pour les absurdités de l’espérance. Des queues s’allongent à la porte des marchands, de la seule chose qui reste à mang
à la porte des marchands, de la seule chose qui reste à manger, à la porte des chocolatiers. Et l’on voit des soldats, tout
ous faits par la commission des barricades, au Point-du-Jour. Près la porte Michel-Ange, je monte sur le viaduc. Cent maisons
’est comparable, comme destruction, à ce coin du chemin de ronde, qui porte le nom de boulevard Murat. Là ce ne sont plus des
, occupé seulement et uniquement de destitutions, de ce cabinet où la porte , à tout moment violemment poussée, livrait passag
é, vous pouvez être tranquille. » Sur cette assurance, M. P… gagne la porte . Crémieux le rappelle : — « Vous dites que votre
ntain des tambours prussiens, qui se rapprochent. Je ne sais, mais ma porte s’ouvrant et donnant passage à ces Allemands, les
iaisement des manches sculptés de parapluie. Sur le pas de toutes les portes , un béret bavarois. En dépit d’une affiche jaune,
s de l’occupation que les inscriptions à la craie, indiquant, sur les portes cochères et les volets de boutiques, le nombre de
aux à marquer, plus loin encore, dans un placard, dont le vent bat la porte , un bidet égueulé. Partout des maisons, aux fenêt
e ces restes croulants, et qui sentent encore le feu, en ces trous de portes et de fenêtres, étayés par de grands madriers, un
ante. À tout moment, on les voit, le képi de travers, ressortir de la porte entrebâillée des boutiques de marchands de vin, l
on dominant le boulevard. Il demande qu’on laisse ouvertes toutes les portes de l’appartement, pour qu’à la première apparitio
praticable du vieux cirque de Franconi, au-delà des bras levés de la porte du rempart, c’est un chaud brouillard sillonné d’
mond, rentrant quelques minutes après, — il était dans le poste de la porte Maillot, quand un obus a éclaté, et tout effondré
basculer les pièces sur les remparts. En même temps débouchait, à la porte d’Auteuil, un renfort de trois cents hommes. La c
nimation seulement autour du passage Jouffroy. Je reviens, voyant aux portes et aux fenêtres, tous les habitants des quais, le
militaire. Le café est vide. Deux étrangères seules sont assises à la porte . Vraiment, la cervelle humaine est dans ce moment
e chute, une dégringolade de pierres. Rien. J’aventure le nez par une porte entrebâillée… Rien… Et cela reprend, et continue
s proportions, qu’aujourd’hui le pâtissier Guerre, le pâtissier de la porte des Tuileries, est fermé. La vie se vit, ces jour
ent aujourd’hui, les lilas aux herbages. Sur le mur de Saint-Roch aux portes closes, une lettre de faire part d’un décès est a
d Montmorency. Les obus pleuvent autour de ma maison. La grille de la porte de la villa vient d’être défoncée. J’accompagne B
ment son officier. Sur tous les escaliers battent, entr’ouvertes, les portes des lieux, et cela sent très mauvais partout. Apr
sentons au Comité. Quatre ou cinq matelas sont jetés en travers de la porte , et dans la grande salle vide, errent quelques sa
erveau d’ancien Saint-Simonien, légèrement malade, dont le possesseur porte son chapeau à la main, dans les rues. Peut-être f
re chez les marchands de tabac que le drapeau tricolore flotte sur la porte Maillot. Je regarde, à la lueur du gaz, de magnif
es boutiques se ferment, l’une après l’autre, et par les vitres de la porte sans volets de celles qui ne sont pas fermées, vo
. Le choc a été si violent qu’il y a des devantures de boutiques, des portes cochères jetées tout de travers, et je n’ai vu ri
t confus tas de plâtre et de débris calcinés. Dans les détritus, à la porte des baraquements, les femmes cherchent, avec le b
r, de savoir. À ma sortie, je trouve tout le monde rassemblé sous les portes cochères : un monde agité, grondant, espérant, et
oulevard. Des ébauches de barricades devant l’ancien Opéra, devant la porte Saint-Martin, où une femme, en ceinture rouge, re
ras et les jambes, à la façon d’un paquet de linge sale, le menant de porte en porte, qui ne s’ouvrent pas. Malgré cette retr
s jambes, à la façon d’un paquet de linge sale, le menant de porte en porte , qui ne s’ouvrent pas. Malgré cette retraite, ces
inte déchirante d’un soldat de ligne blessé, qui s’est traîné à notre porte , et que la portière, par une lâche peur de se com
Il y a dans les moellons, des encoches comme la tête d’un enfant. La porte est percée de vingt petits ronds de balles, du gr
t une persienne, un matelas, une cloison, une portière flottante, une porte couverte d’une natte de Chine. Mais le vrai dégât
’angle de la maison, passé par le pied du lit de Pélagie, traversé la porte de sa chambre, éclaté dans le parquet du palier,
e, éclaté dans le parquet du palier, en mettant en charpie toutes les portes du second. Enfin, on pouvait être plus malheureux
Elle me conte ses chamaillades avec les fédérés, voulant enfoncer la porte , voulant s’introduire, sous le prétexte de recher
marcher ces hommes au pas de course, jusqu’à la caserne Lobau, où la porte se renferme sur tous, avec une violence, une préc
quand éclate un coup fracassant qui remue, sur ses gonds ébranlés, la porte disjointe de la caserne, puis un autre, puis enfi
as morts. À ce moment, ainsi qu’une troupe d’hommes ivres, sort de la porte le peloton d’exécution, avec du sang au bout de q
outes les fenêtres ; une guérite noire et blanche se dresse contre la porte , et dans la grande allée qui mène au château, son
ndant lequel elle avait pris le parti de se coucher, et de laisser sa porte ouverte, conversant avec ses amis, du fond d’un l
u Pinchinat. C’est une ruelle bordée de grands murs, où s’ouvrent des portes de granges ; au milieu, un bâtiment a l’aspect d’
nges ; au milieu, un bâtiment a l’aspect d’une vieille geôle, avec sa porte couverte de gros clous, avec sa baie fermée d’épa
où il n’y a pas de cheminée allumée, et d’où nous parviennent, par la porte ouverte, ses doléances furibondes. Enfin elle par
aptivité, pendant qu’on l’interrogeait, l’intriguait un peu, quand la porte s’ouvrit pour donner passage au commissaire de po
17 (1837) Lettres sur les écrivains français pp. -167
harpenne ; c’est à le voir une des accusations les plus graves que je porte contre les exclusions ignorantes de la contrefaço
e broderies d’or. Ses cheveux sont ras comme du velours d’Utrecht, il porte des moustaches et une mazarine. Un des titres lit
nne quelque chose, et qu’il avait obtenu un privilège de théâtre à la porte Saint-Antoine. Aujourd’hui il signe comme gérant
r moyen de prouver leur bon goût et leur distinction, que de jeter la porte de la loge avec bruit, ou d’en renverser les sièg
également due à M. Véron. M. Véron a 40 à 45 ans, il est fort laid et porte jusque par-delà les oreilles un col de chemise qu
les couloirs. M. Sue est un gros garçon d’enveloppe assez épaisse. Il porte des talons de bottes de deux ou trois pouces d’él
ort abondant en cheveux et en barbe ; son nez est tourné de côté ; il porte une petite canne couverte de pierreries. M. Sue e
À mon aspect chacun s’envelopperait dans son manteau, me fermerait sa porte , et traînerait un meuble derrière elle. Les foyer
e j’ai appris sur M. Jules Lecomte. C’est un grand mince et pâle, qui porte moustaches et mazarine. On lui donne l’air hautai
u’il rédige. M. Jules Lecomte a vingt-quatre ou vingt-cinq ans, et il porte à l’année, un petit lorgnon d’écaille incrusté da
(et aussi le pêcheur de baleines) pour son roman. Il en aura fait une porte par laquelle il a chassé tout le fatras qui lui e
ue de peinture du journal le Siècle et de la Revue de Paris. M. Thoré porte une longue barbe et les cheveux ras. Cette barbe
it en venir. Alors il amène doucement le marchand jusque vis-à-vis la porte , ouverte sur le boulevard couvert de promeneurs,
tiré un drame joué depuis quelques jours avec succès au théâtre de la Porte Saint-Martin. Mon compatriote, qui connaît une fo
mme de 35 ans, fort simple, et qui n’a nullement l’air d’être lui. Il porte le ruban de la Légion-d’Honneur. Son frère Jules,
s Français. Son principal mérite, c’est d’avoir ouvert le premier les portes du moyen-âge, où la foule s’est précipitée depuis
m’avaient manqué au foyer de l’Opéra. À un tapage de tabourets et de portes qui se fit dans une avant-scène du rez-de-chaussé
rivain dramatique que possédât la France moderne, et le théâtre de la Porte Saint-Martin lui doit d’immenses succès. Les arti
ossais par-dessus tout ; rien de plus arbitraire que sa toilette. Il porte constamment à la main une énorme lorgnette-jumell
ors d’un ancien militaire. C’est à ce dernier titre sans doute, qu’il porte le ruban rouge à sa boutonnière. On rencontre rar
ue d’un personnage surnaturel) — tout à coup, on frappa rudement à la porte  ! — Et en disant ces mots, le narrateur cognait v
ncore plus de tête que de jambes, frappa à coups redoublés contre une porte au-dessus de laquelle il avait lu, tant bien que
uvés un matin dans le même omnibus. M. Jal est un grand bel homme qui porte moustache de raffiné en crocs, des lunettes d’or,
ous parle. M. Jal a encore une petite bosse, une contre-bosse, qui le porte vers l’appréciation de la peinture. Il rendait co
ouvrage, dans lequel il avait mêlé son art et sa marine : Cet ouvrage porte en titre : De Paris à Naples ; c’est aussi fort i
peu de choses touchant M. Auguste Luchet. Je l’ai vu au théâtre de la Porte Saint-Martin ; il occupait une loge avec M. Léon
collaboration avec M. Félix Pyat un drame fort bien écrit, joué à la Porte Saint-Martin, sous le titre de : Le Brigand et le
ureux. M. Pyat a 27 ou 28 ans, il est brun, assez grand, sérieux ; il porte sa barbe et ses moustaches comme on traduit les f
dans un quartier très retiré. L’appartement s’était trouvé avoir deux portes sur l’escalier, de façon que chacun avait la sien
ion qui rendait précédemment toutes les chambres solidaires. Mais les portes ainsi condamnées étaient doubles et séparées l’un
alle pouvait servir d’armoire à un des deux locataires, en ouvrant la porte de son côté et en prenant l’autre pour fond. C’es
composition destinée au salon de 1837, on frappe vigoureusement à sa porte . Il s’était fait celeraa et ne répondit pas. Mais
chez lui dès le commencement de cette scène, avait entendu la double porte s’ouvrir, se refermer brusquement, et une sorte d
. De son côté, M. Muret n’avait qu’un verrou à pousser pour ouvrir la porte et voir ce que contenait l’armoire improvisée. La
. Or voici le dénouement de cette affaire. Le commissaire ayant vu la porte verrouilléeab du placard, et les embarras du pein
enti grandir ses soupçons et avait fait ouvrir. Mais comme la seconde porte était restée entrebâillée, chez M. Muret, le comm
à Paris, et soit en Belgique, soit à l’étranger, il est fort sale. Il porte de longs cheveux d’un blond indécis, qui auraient
ue j’ai cités. M. Planche est un homme sans souci de sa personne, qui porte , jusqu’à ce qu’il n’en puisse plus, l’habit noir
bêtes que méchants, etc. » Cette lettre, si curieuse, me fournit une porte par laquelle je rentrerai dans quelques détails q
tre lettre très curieuse encore, et que le directeur du théâtre de la Porte Saint-Martin écrivait au même M. Alexandre Dumas
uit, M. Dumas se ravisa. Tout Paris serait passé par le théâtre de la Porte Saint-Martin. M. Dumas eût été sublime ou exécrab
ou mieux, le manque d’argent peut faire des hommes ! Voilà un duc qui porte un des plus beaux noms de l’Empire, qui a eu pour
18 (1866) Cours familier de littérature. XXI « CXXVIe entretien. Fior d’Aliza (suite) » pp. 385-448
moi occupé à tresser des nattes de sparteria avec des joncs devant la porte , assis au soleil ; Hyeronimo à retourner les figu
dérangeât son appareil de terre et de chanvre ; moi, assis contre la porte avec le chevreau mort entre mes pieds, pensant à
mmes irrités est matinale. En parlant ainsi je tenais le loquet de la porte de la cabane pour le pousser dehors, tout en pleu
sions. À peine avais-je posé le doigt sur le loquet et entrebâillé la porte , sans rien entendre, excepté le vent de l’aurore
t de l’aurore pleurant doucement dans les branches des sapins, que la porte , cédant violemment aux épaules de douze ou quinze
t des pas de l’escorte. Magdalena, étendue à terre sur le seuil de la porte , mordait l’herbe et les pierres en appelant éperd
achai de ma tante elle-même pour m’habiller, toute seule, derrière la porte de la maison, les dimanches, et où je me regardai
pris ma figure. CXXX Ma tante et mon père étaient dehors de la porte à écouter les pas des sbires qui entraînaient Hye
j’eus peur, et je me dis : « Que vas-tu faire ? On te ramassera à la porte de la ville ou dans la boue des rues comme une ba
ants, sur leurs instruments. Ainsi travestie, je poussai doucement la porte au crépuscule du matin, espérant que mon père et
n silence, à la claire lueur des étoiles, sur le banc qui touche à la porte . Le bruit du loquet fit tourner la tête à ma tant
ls habits ! Ils se jetèrent tous les deux, les bras étendus, entre la porte et le chemin pour me retenir ; je tombai évanouie
donc sur le corps ! s’écria mon père en se couchant sur le pas de la porte . À la vue de mon pauvre père aveugle étendu ainsi
espoir dans nos cœurs. Il dit enfin que, caché en silence derrière la porte , la main sur le loquet, il avait tout entendu de
out que je n’aurais jamais le courage de passer devant les gardes des portes , et d’entrer dans la terrible ville. Et quand tu
t quand on te le dirait, à qui t’adresseras-tu pour qu’on t’ouvre les portes de fer de sa cage ? Et alors même que tu parviend
19 (1859) Cours familier de littérature. VII « XXXIXe entretien. Littérature dramatique de l’Allemagne. Le drame de Faust par Goethe (2e partie) » pp. 161-232
ta faute a mise au cercueil ? Et quel est ce sang sur le seuil de ta porte  ? Et là, là, plus bas que ton cœur, Ne sens-tu pa
 ! Faust, avec un trousseau de clefs et une lampe, devant une petite porte de fer. Je suis pénétré d’une épouvante désaccout
ns de la revoir ! Avance ! ton irrésolution hâte sa mort. (Ouvrant la porte .) Elle ne se doute pas que son amant épie, qu’il
se jetant à ses pieds. Un amant est à tes genoux ; il vient ouvrir la porte à ta captivité lamentable. Marguerite, faisant de
er sur son sein. Il a appelé Gretchen ; il se tenait sur le pas de la porte . Au milieu des hurlements horribles et du fracas
pouvais t’accompagner ! Faust. Tu peux ; ah ! veuille seulement ! La porte est ouverte. Marguerite. Je n’ose sortir. Pour mo
be. Faust. Oh ! pourquoi suis-je né ? Méphistophélès, paraissant à la porte . Alerte ! ou vous êtes perdus ! Désespoir inutile
de ce reproche, se lève, pose doucement le doigt sur le loquet de la porte et sort. La mère, après une douce réprimande à s
asseoit sur le siége et conduit la voiture sous la voûte de la grande porte  ; les deux amis, le pasteur et le pharmacien, pre
emise entoure son doux visage et son gracieux menton. Sa figure ovale porte l’empreinte de la paix, de son âme et de la franc
en voiture, et tous les jours le char conduit par moi passait sous la porte sonore, et courait au loin dans la plaine, sous l
hamps de blé… Mais, ce n’est pas une illusion, c’est elle-même ! Elle porte une grande cruche et une plus petite à anse, et s
et la Bible fondus dans la familière sagesse des vieux jours. Mais la porte s’ouvre : « Les parents d’Herman et leurs deux a
lle d’Herman ; et, quand ils se présentent tous deux sur le seuil, la porte semble trop petite pour eux ! « Des exclamations
e n’avoir pas assez de pitié envers celle qui franchit le seuil de la porte d’une maison étrangère pour y servir. Le pasteur
ien ne m’arrêtera ici.” « À ces mots elle s’avance résolument vers la porte , portant sous son bras le petit paquet avec leque
at littéraire de sa cour. C’est ainsi que la colonne corinthienne qui porte le fronton de l’édifice en est en même temps l’or
20 (1887) Journal des Goncourt. Tome II (1862-1865) « Année 1862 » pp. 3-73
et rustiques, aux cours emplies de volailles, aux fruiteries, dont la porte est garnie de petits balais de plumes noires : un
ue peint Hervier de son pinceau artistiquement sale. Nous poussons la porte d’une maison de plâtre, et nous sommes chez le su
nous ouvre, dit en souriant : « Messieurs de Goncourt ! » pousse une porte , et nous sommes dans une très grande pièce, une s
aissent vouloir emporter le souvenir des lieux qu’ils quittent, et la porte de l’appartement, en se fermant sur elle, fait un
garde vaguement défiler les maisons… elle ne parle plus. Arrivée à la porte de l’hôpital, elle veut descendre sans qu’on la p
s. Arrivée à la porte de l’hôpital, elle veut descendre sans qu’on la porte  : « Pouvez-vous aller jusque-là ? » dit le concie
août Ce matin, à dix heures, on sonne. J’entends un colloque à la porte entre la femme de ménage et le portier. La porte
nds un colloque à la porte entre la femme de ménage et le portier. La porte s’ouvre. Le portier entre tenant une lettre. Je p
ouvre. Le portier entre tenant une lettre. Je prends la lettre ; elle porte le timbre de Lariboisière. Rose est morte ce mati
promenades. Elle attendait Edmond jusqu’au matin, pour lui ouvrir la porte de l’appartement, quand il allait, en cachette de
x dure, le garçon. Nous allons au fin fond de l’hôpital, à une grande porte jaunâtre, sur laquelle il y a écrit en grosses le
écrit en grosses lettres noires : AMPHITHÉÂTRE. Le garçon frappe. La porte s’entrouvre au bout de quelque temps, et il en so
ne. On nous a fait, un long moment, attendre avant d’ouvrir une autre porte , et pendant ces minutes d’attente, tout notre cou
de force, à bout de volonté, à bout de tension nerveuse, et quand la porte s’est ouverte, nous avons dit : « Nous enverrons
eur de convalescentes souriantes… Dans un coin reculé, je sonne à une porte aux petits rideaux blancs. On ouvre, et je me tro
es qui semblent là, toutes frissonnantes et toutes dépaysées. Par une porte ouverte derrière moi, d’une petite pièce où le so
tte de la cheminée sur laquelle on s’assied, simule le balcon. Sur la porte , au-dessus de laquelle se détire, en une pose ana
s yeux lentement se soulever, et l’on se sent dans le dos, jusqu’à la porte , les regards de toutes ces femmes dardés sur vous
faire les courses de son volume, devenir le laquais de son succès. Je porte donc mes livres, ici et là, à quelques-uns qui le
, rue Jacob, on monte cinq étages, on suit un corridor où donnent des portes de chambres de domestiques, une sorte de labyrint
tiques, une sorte de labyrinthe dans des communs. Une clef est sur la porte  ; après avoir frappé en vain, on se décide à tour
res peints, des tapis comme de la mousse, des reliures surdorées, des portes , couvertes, de bas en haut, de dessins, de lithog
la Femme au xviiie  siècle. Sainte-Beuve demeure rue Montparnasse. La porte , une toute petite porte, nous est ouverte par la
le. Sainte-Beuve demeure rue Montparnasse. La porte, une toute petite porte , nous est ouverte par la gouvernante, une femme d
21 (1866) Cours familier de littérature. XXII « CXXVIIIe entretien. Fior d’Aliza (suite) » pp. 65-128
pour lui, et pour lui encore plus que pour elle. On la voyait sur sa porte tous les matins et tous les soirs, quand la bande
in blanc rompu du bon côté, malgré le surveillant, sur le seuil de sa porte  ; un rendez-vous nocturne, indiqué à demi-voix po
entrer dans sa loge, sans avoir la gueule des fusils des sbires de la porte derrière toi. CLXXXVI À ces mots, le barge
rs et la cour, à nourrir les deux gros dogues qui grondaient aux deux portes , à jeter du grain aux colombes, à faire les parts
je ferai bien seul l’ouvrage pénible ; contente-toi de surveiller la porte extérieure et de m’avertir si le bargello ou sa f
recommandai bien de ne pas se déranger de son ouvrage entre les deux portes , jusqu’au moment où il aurait fini tout son trava
is par terre, occupé à tresser sa première natte, j’ouvris la seconde porte donnant sur la cour du cloître, une corbeille de
pour qu’il sciât sa chaîne, de lui ouvrir moi-même du dehors les deux portes grillées du cachot et de le faire évader vers la
re pour ce que j’étais. Toutes les fois qu’on frappait du dehors à la porte de fer de la prison, je laissais le piccinino all
s sbires extasiés de sa beauté, quand ils l’avaient aperçue sur notre porte , échapperait-elle aux poursuites du chef des sbir
u de joie autour de nous en gambadant sur ses trois pattes, devant la porte , comme pour me dire : Maître, sortons donc et all
utez-moi bien. Alors, il nous raconta qu’il avait frappé à toutes les portes de Lucques pour savoir si l’on avait entendu parl
es montagnes ; c’est en vain que j’ai demandé aux marchands sur leurs portes , aux vendeuses de légumes sur leur marché, si ell
et qui voudrait bien y pénétrer, sans oser toutefois s’approcher des portes . Puis, en réfléchissant mieux et en me demandant
savoir moi-même, je n’ai fait que saluer la femme du bargello sur sa porte , et j’ai passé ; mais quand la nuit a été venue,
22 (1866) Cours familier de littérature. XXII « CXXVIIe entretien. Fior d’Aliza (suite) » pp. 5-64
e bénédiction du bon Dieu que de trouver une occasion de charité à la porte de la ville, un jour de noce et de joie, comme es
nt de bonnes gens. CLV La foule de leurs amis se pressait à la porte de la ville ; on sortait de toutes les maisons et
e pour me témoigner le contentement. Quand nous arrivâmes à la sombre porte à clous de fer du bargello, tout à côté de l’énor
à la sombre porte à clous de fer du bargello, tout à côté de l’énorme porte de la prison, et que les bœufs s’arrêtèrent, je r
sibles sous les corniches ou sur les tourelles, il y avait une petite porte tellement basse, qu’il fallait se courber en deux
ce sépulcre au milieu des airs, et que les gonds et les verrous de la porte avaient retenu le bruit de ses hurlements. Le ven
us prenaient leur jour. CLXI Je tirai le verrou, je poussai la porte , j’entrai, toute tremblante, dans la petite chamb
rillage séparait du ciel ; le vent qui sortit de la chambre, quand la porte s’ouvrit, et des chauves-souris, qui battaient le
ait à glisser du haut de la tour dans la cour obscure ; des bruits de portes de fer et de sourds verrous qui s’ouvraient intim
de larmes, enfoui dans les poils de bête du manteau de mon oncle, la porte de la chambre s’ouvrit sans bruit, comme si une m
ortent le trousseau de clefs à la ceinture, pour ouvrir ou fermer les portes des malfaiteurs ou des innocents ? — Oh ! que non
ais pas moins mes chèvres et mes brebis, parce que je leur ouvrais la porte de l’étable le matin et que je la refermais sur e
sortit de la cuisine et marcha, derrière le bargello et moi, vers la porte ferrée de la cour des prisonniers. On y arrivait
, en me montrant comment il fallait m’y prendre pour ouvrir la petite porte basse encastrée dans la grande, et comment il fal
23 (1889) Le théâtre contemporain. Émile Augier, Alexandre Dumas fils « Émile Augier — Chapitre Premier »
ntre que des haines et des embûches. On ne sort pas de la vie par une porte heureuse quand on y reste trop longtemps ». Plus
t un digne et sérieux vieillard. Il ne cache pas ses cheveux gris, il porte fièrement le sévère costume qui sied à son âge. S
des vieillards est halluciné. L’un a un bandeau sur les yeux, l’autre porte des lunettes taillées dans un prisme. Ce qui semb
naissance, elle est une grande dame par le nom qu’elle a conquis, les portes du monde se sont ouvertes à deux battants devant
le invite un aigre fin de sa connaissance, Annibal en habit noir. Les portes closes et les domestiques renvoyés, la voilà qui
re, et elle l’exprime par des vers d’une sincérité pénétrante : … Je porte envie au monde régulier, Que mon orgueil encor n
Il n’est pas de poète qui soit entré au théâtre par une plus large porte de bienvenue et de faveur que M. Emile Augier. To
ille pour la fille comme il maniait l’épée pour le père. Cependant la porte s’ouvre avec fracas. Une jeune fille voilée, pour
 : c’est celle de M. de Laffemas, lieutenant criminel, qui enfonce la porte , au nom du roi ; à peine Paul a-t-il le temps de
ains vides. Il va faire démolir les murs à coup de pioche, lorsqu’une porte secrète s’entr’ouvre et livre passage à madame de
sence chez M. de Pienne ; il déconcerte Laffemas, qui regagne déjà la porte , l’oreille basse et la moue aux lèvres. Mais Paul
it l’ouvrage de la conspiration avortée, cette clameur terrible, elle porte le coup, elle vise au cœur, elle frappe, elle tue
24 (1889) Le théâtre contemporain. Émile Augier, Alexandre Dumas fils « Alexandre Dumas fils — Chapitre XV »
elle y casserait l’écuelle d’une pestiférée. « Qu’on ouvre toutes les portes  ! — s’écrie-t-elle — et que tout le monde entre c
st la complaisance de l’entourage de la duchesse pour l’amour qu’elle porte à Gérard. Son père sait qu’elle l’a aimé et qu’el
tel de mistress Clarkson. Les musulmans laissent leurs babouches à la porte de la mosquée ; il faudrait ici déposer son bon s
les idées que le chien du jardinier de la fable a sur le dîner qu’il porte à son cou, n’y goûtant pas, mais ne voulant point
dans la grande réputation de M. Dumas, une force acquise qui lance et porte ses moins bons ouvrages ; mais l’immense crédit q
igne y entrer, — Sésame ! ouvre-toi ! — la petite clé lui ouvrira une porte gravée à son chiffre, qui la mènera à un salon en
ler si longtemps sans courir à sa sonnette, pour lui faire montrer la porte par un de ses gens. Elle se contente de jeter par
voix officielle somme d’ouvrir, au nom de la loi. Nourvady refuse, la porte s’ébranle : c’est un commissaire de police, accom
aire de police rédige son procès-verbal, fait sortir Nourvady par une porte , le mari par l’autre, et Lionnette reste seule av
Et il laisserait impuni ce marché infâme ! et il se morfondrait à la porte , en attendant, qu’il fût consommé ! Entrer de for
nt. Nourvady dira tout à l’heure à Lionnette : « Cet homme a forcé ma porte , il l’a brisée même ; il vous a insultée devant m
… A moins pourtant qu’il n’abatte à coups de revolver, au seuil de la porte , l’odieux ravisseur qui lui inflige cette suprême
25 (1866) Cours familier de littérature. XXI « CXXVe entretien. Fior d’Aliza (suite) » pp. 321-384
onnes de marbre couronnées par des têtes d’ange, en chapiteau, sur la porte de la cathédrale de Pise. — Et sa taille ? — Gran
en ne put l’en faire sortir, bien qu’elle se fût habillée derrière la porte . LXXIII Les étrangers se parlèrent longtem
re ; les autres remplissaient et vidaient leurs verres avec moi. À la porte de Lucques, je leur ai souhaité felicis sima not
i laissés regagner, tout trébuchant de fatigue et de vin, chacun leur porte . LXXXI Nous ne fîmes pas beaucoup d’attent
rdait les moutons, nous n’avions qu’à sonner un air de musette sur la porte . Nous avions de plus le droit de faire pâturer le
q sans nous dire un mot, jusqu’à la nuit noire, sur le seuil de notre porte . Chacun pensait, à part soi : « Qu’allons-nous fa
avaient des cœurs humains, qui montaient de si loin pour embrasser la porte , la fenêtre, le toit, de leurs pampres les plus l
était réservé, nous attachâmes les bêtes dans la cour herbeuse, à la porte de l’étable. Fior d’Aliza alla ramasser des herbe
l’aveugle. L’automne approchait, les grappes de la treille devant la porte et celles des pampres qui enlaçaient la maison et
crocher à nos tuiles sur le toit et à nos piliers de pierre devant la porte , et jusqu’aux lucarnes de la chambre haute de Fio
ront nus contre le soleil et la pluie, il n’y aura pas d’ombre sur la porte , les oiseaux et les lézards s’en iront chercher l
côté, elle à Lorette, lui à San Stefano de Lucques, se présenter à la porte de deux couvents. XCVIII Saint François, c
es attendait, elle comme sœur converse, lui comme frère servant, à la porte des Carmélites de Lorette et des Camaldules de Lu
écume et resséchées par le rayon de soleil. Elle chantait déjà sur la porte qu’elle avait encore une goutte de pleurs sur les
26 (1866) Cours familier de littérature. XXII « CXXIXe entretien. Fior d’Aliza (suite) » pp. 129-192
ît depuis quarante ans pour avoir été quêter toutes les semaines à sa porte , et pour m’avoir toujours donné autant de bonnes
i rétrécissait de la moitié son cachot ; il ouvrit de même une petite porte basse toute en plaque de tôle qui donnait accès p
la messe pour tous les prisonniers ; ils l’entendaient, à travers la porte ouverte, chacun, de sa lucarne ouvrant sous le cl
l’eau des burettes dans le calice. Quand il avait fini, on fermait la porte de l’oratoire en dehors avec de gros verrous et u
hée entre ma veste et ma chemise ; je lui indiquai du doigt la petite porte basse encore fermée, qui menait du fond de son ca
es. CCXXVII Le lendemain, avant le soleil levé, on frappa à la porte de la prison, c’était le frère Hilario ; le barge
er quand il voit entrer dans l’étable la bergère qui va lui ouvrir la porte des champs ; il voulut m’embrasser sur le front c
oulu que toutes les heures de notre vie fussent les mêmes, et que les portes de ce paradis de prison ne se rouvrissent jamais
t il avait cessé d’aboyer, comme il avait l’habitude de faire à notre porte , au passage des pèlerins. CCXL — Prenez bie
lui faire le dernier adieu au pied d’un échafaud ou tout au plus à la porte d’un bagne perpétuel, la plus grande grâce qu’il
ancelant avec sa besace et son bâton, demandant pour eux l’aumône aux portes . C’est pourtant comme cela que nous entrâmes à Lu
, déshonorés à jamais dans la montagne par un homicide commis à notre porte , comme dans un repaire de brigands, bien que nous
étions sa seule famille ; le bargello avait l’ordre de nous ouvrir la porte à toute heure du jour, pourvu que le confesseur d
femme avaient eu l’égard de ne pas entrer avec nous et de refermer la porte derrière nous pour ne pas assister indiscrètement
27 (1857) Cours familier de littérature. III « XVe entretien. Épisode » pp. 161-239
irs sillons par où l’on pleure Que les veuves ont sous les yeux ; La porte où file l’araignée Qui n’entend plus le doux accu
a sur la pente rapide         Où le temps entasse les jours ; Puis la porte à jamais se ferma sur le vide,         Et l’ortie
nce Dans la chaleur du sang nous sentons les chaleurs ; * Où, sous la porte bien close, La jeune nichée éclose Des saintetés
s, et toutes, âmes mortes ! Ô chers essaims groupés aux fenêtres, aux portes  ! Les bras tendus vers vous, je crois vous ressai
hysiologistes. Quel muscle ! leur dirai-je à mon tour : c’est lui qui porte la destinée ! Ce matin, je me sentais mieux ; j’
us tous, les enfants de ce nid maintenant désert. Je passai devant la porte de ma cour sans y entrer ; je suivis, sans lever
t trop chargée, mon fardeau dans le sein de Dieu ; il reçoit tout, il porte tout, et il rend tout. Je me mis à genoux dans l’
aniers de ses ânes, et qui va les revendre avec un petit bénéfice aux portes des églises, après vêpres, dans les villages vois
er sous la paille, et qui sortent une à une, en s’éveillant, par leur porte , pour savoir si le vent est doux et si le trèfle
fille de douze ans, qui garde les vaches dans l’enclos, entrouvrit la porte au bruit des pas de mon cheval. Elle courut dire
us les branches jaunies et sur les sables humides, jusqu’à une petite porte percée dans un vieux mur tapissé de lierre et de
n ombre sur cette partie du jardin, et que l’on communique, par cette porte dérobée, de l’enclos dans le cimetière du village
enoux pour faire le tour de l’édifice, et pour y entrer par la petite porte qui ouvre au midi sur la côte opposée. Je fus arr
28 (1858) Cours familier de littérature. V « XXXe entretien. La musique de Mozart (2e partie) » pp. 361-440
cteur l’injurie grossièrement de parole et de geste ; il est mis à la porte par les épaules et pourchassé jusqu’au bas de l’e
nterrompue par l’arrivée de trois masques que nous avons laissés à la porte du château, et dont la présence est annoncée par
musiciens s’enfuient épouvantés, et les convives irrités enfoncent la porte d’où s’échappent les cris de la victime. Don Juan
d une bougie et va lui-même au-devant de son convive, qui frappe à la porte à coups redoublés. L’entrée de la statue est anno
de Cénéda, ma chère patrie. « En moins d’une heure je me trouvai à la porte de la maison paternelle ; au moment où mes pieds
par les fenêtres ; et quand, après avoir enfin frappé timidement à la porte , j’entendis répondre du haut du balcon : Qui est
t ! Les verres n’étaient pas encore vidés qu’on entendit frapper à la porte , et que les cris de Lorenzo ! Lorenzo ! avaient t
cessèrent, reprirent jusqu’aux douze heures de nuit, j’entendis à la porte de la maison des hurlements de joie, des voix con
la clarté de la lune, une foule de personnes demandant à entrer ; la porte leur fut ouverte, et voilà tout à coup la chambre
ères, Henri et Paul, étaient tous réunis en silence et attendant à la porte de la chambre, prêts à s’y précipiter au premier
s la ville, que toute la jeunesse de l’endroit se pressa autour de la porte pour attendre que je sortisse de la maison. Je pe
ellence ne sait peut-être pas que cet hôtel touche au théâtre ? Cette porte tapissée conduit à un petit corridor d’où l’on en
ons sur le compte. « Il prononça ces derniers mots en ouvrant déjà la porte de la loge, tant au seul nom de Don Juan, je m’ét
on Juan, je m’étais empressé de me précipiter dans le corridor par la porte tapissée. La salle était vaste, décorée avec goût
e chambre d’auberge. Vers minuit je crus entendre du bruit près de la porte tapissée. Qui m’empêche de visiter encore une foi
rter le punch que j’ai demandé ; il trouve ma chambre vide, la petite porte ouverte ; il me suit dans ma loge et me lance un
izarrement en reflets merveilleux. Le vent, qui pénètre à travers les portes entrouvertes, agite le rideau. « S’il se levait !
29 (1761) Salon de 1761 « Peinture —  De Machy  » p. 151
lle conduit aux deux pavillons qui sont à ses extrémités ; et que les portes de l’appartement du monarque s’ouvrent dans cette
que s’ouvrent dans cette galerie. J’avoue que si au lieu d’ouvrir une porte de dessous, on eût construit un grand et vaste es
sous, on eût construit un grand et vaste escalier à la place de cette porte  ; qu’on eût décoré cet escalier comme il convenai
30 (1863) Cours familier de littérature. XVI « XCIe entretien. Vie du Tasse (1re partie) » pp. 5-63
sser respirer les pieux solitaires sur le seuil, avant de sonner à la porte , ou pour laisser contempler à loisir aux visiteur
pendant architectural, de la chapelle des moines ; de l’autre, par la porte basse et sans décoration du couvent ; à côté de c
e, par la porte basse et sans décoration du couvent ; à côté de cette porte pendait une chaînette de fer pour sonner le porti
de fer pour sonner le portier ; en face de la rampe et entre les deux portes de l’église et du monastère, un petit portique ou
et horizon qui portait la pensée au-delà des siècles, ce silence, ces portes fermées, ce mystère, cet arbre isolé, ce seuil d’
imidement, la petite chaînette de fer qui pendait contre le mur de la porte  : la cloche intérieure tinta avec mille échos dan
es rares cheveux blancs ramenés en couronne sur ses tempes, ouvrit la porte et me demanda en italien si je désirais visiter l
me dit négligemment le frère, et il m’ouvrit sans autre entretien la porte extérieure de la chapelle, et, me montrant du ges
s de niveau avec la cour de l’hospice. Une fenêtre ouvre à côté de la porte sur la même cour d’hospice et éclaire la loge. Le
loge. Le lit du malade ou du prisonnier était au fond, en face de la porte . La muraille grattée par les visiteurs curieux de
e poétique, et je les fis enchâsser depuis dans un anneau d’or que je porte toujours à mon doigt. À quelques pas de là, je vi
r, le jeune Torquato, âgé de treize ans, une lanterne à la main, à la porte du collège ; les progrès de l’enfant répondaient
to à Rome et en achevant son éducation, ne put jamais obtenir que les portes du couvent s’ouvrissent, à Naples, pour sa chère
31 (1904) Le collier des jours. Souvenirs de ma vie
stres. Il était placé dans la seconde pièce, tout de suite près de la porte et en face du lit de ma nourrice. Je devais être
ble. V Un matin, ma mère vint l’improviste. La clé était sur la porte  ; elle entra et fut tout de suite dans la seconde
ait être une remise, car je me souviens qu’il n’y avait qu’une grande porte , toujours entr’ouverte, et pas de fenêtre. Je con
le remontait les deux marches, s’enfonçait dans la baie obscure et la porte se refermait. Toujours je l’observais, du coin de
’était beau, et j’en ai gardé un éblouissement. Je revois toujours la porte entr’ouverte, pour donner du jour dans la chambre
ebout, elle me tenant par la main, pour que je sois sage. Bientôt une porte s’ouvrait, donnant passage au petit garçon. — Je
le voir. XIII J’ai une vision confuse du mariage de Marie : la porte grande ouverte, des gens inconnus, avec des ruban
oir de l’antichambre, assise sur une banquette trop haute, près de la porte de sortie, la porte fermée à clé et verrouillée,
, assise sur une banquette trop haute, près de la porte de sortie, la porte fermée à clé et verrouillée, mais qui peut-être s
dans une petite cour, séparée du jardin par une grille de bois et une porte , entre deux piliers. Le plus bel ornement de ce j
oleil ! Ce qui me donnait le fou rire. Mon ambition était d’ouvrir la porte du jardin, pour filer plus loin, là-bas, dans la
nouvelle amie, m’apporta un concours précieux : elle savait ouvrir la porte  !… Alors, nous nous échappions à travers les peti
mbes, par un grand détour, la route de Châtillon, pour rentrer par la porte de la maison ouvrant de ce côté. Quand le grand-p
comme une trombe, comme un orage. Les papiers volaient en l’air, les portes battaient, les chats disparaissaient sous le lit,
ée, le tout un peu gauchi et déjeté. Au premier étage il y avait deux portes , une en face, l’autre à droite. Celle en face, pr
u pied de l’escalier : — Je suis arrivée, tu peux t’en aller ! Par la porte de droite, protégée par deux battants de drap ver
r et de blanc. Un paravent déployé protégeait la table, à cause de la porte , qu’on ouvrait à chaque instant, sur l’escalier,
Je traversais le salon, en courant, et j’allais poliment frapper à la porte de la Tatitata. — Ah ! voilà Ouragan ! disait-ell
us être précipitées dans le vestibule, nous repoussions violemment la porte , qui, avec un bruit sourd, se refermait derrière
lles ne trouvaient pas, les tantes disparaissaient dans le vent de la porte . J’avais bientôt fait, moi aussi, de sauter à bas
ne savait pas, lui… En effet, il s’arrêta net, et quand, arrivé à la porte , je me retournai, je vis qu’il avait traversé la
sortir, même dans le jardin, et je tenais toujours mes promesses. La porte de la rue était ouverte. Quelqu’un monta l’escali
intimidée, je le regardais fixement en me tenant bien au milieu de la porte , pour l’empêcher d’entrer. — Avez-vous une lettre
il déguerpit, tandis que je criais bien fort, à Florine, de fermer la porte à double tour. Naturellement, on n’avait envoyé a
e la Montagne-Sainte-Geneviève. De vieux bâtiments gris et laids, une porte cintrée, d’un vert sombre, percée d’un judas : c’
, sans qu’il fût possible de voir qui nous regardait, puis une petite porte , après des grincements de verrous et de clés, s’e
endarmes ?… dit-elle. On ne fait pas ce que l’on veut dans la vie. La porte s’était refermée sur nous, sans bruit, et il me s
troit, pavé, mais surplombé par un plafond et aboutissant à une autre porte massive, jalousement fermée et qui ne devait pas
oussière amassée en calfeutrait les rainures. À droite, près de cette porte , s’arrondissait une sorte de tourelle en chêne, d
nous guida. Ce couloir desservait une suite de cellules, dont chaque porte était marquée d’un numéro. L’une d’elles, entr’ou
, une sortie furtive, qui éviterait les adieux. Je le vis repasser la porte du jardin, qu’une des sœurs ferma à clé. Vite, je
tre, complètement enfouie, je ne bougeais plus. J’entendis bientôt la porte se rouvrir et les sandales claquer. On me chercha
geai, sans avoir l’air d’y penser, vers le jardin des religieuses. La porte était fermée à clé et, à travers la grille, je vi
décidé ; je voulais bien travailler, mais ailleurs. Un bruit léger de porte , le rideau noir glissant derrière le grillage, et
lais contre elle, espérant pouvoir m’échapper quand elle passerait la porte de la rue. On se méfiait de moi, car on n’ouvrit
quelle on avait disposé des compartiments, pour différents usages. La porte de la petite classe ouverte, il fallait descendre
e à l’œil ; l’air mal à l’aise et mécontent. — Quel costume !… de qui porte-t -elle le deuil ?… s’écria-t-il en me voyant. — C’e
e… oui, mais, dès que l’officiant était reparti, on fermait la petite porte et on l’assujettissait par un cadenas. Tout de mê
nts de la supérieure et des dames assistantes, et nous frappions à la porte de la vieille mère Sainte-Trinité, dont l’enfance
Jésus, qui était sacristine, prenait sur elle d’ouvrir brusquement la porte du confessionnal et de m’en faire sortir, en murm
tes noires du cocher luisent. Je comprends alors la fonction de cette porte , toujours close et voilée d’un crêpe de poussière
jour d’hiver la pâleur des longs couloirs, aux parois coupées par les portes symétriques des cellules, et glace d’une lumière
e t’ai montré cela ; il ne veut pas qu’on en parle, pas plus qu’il ne porte le nom de d’Avençon. Peut-être trouve-t-il que da
entra, très impatient de me voir. — Elle est là ? demanda-t-il dès la porte . Il vint s’asseoir dans le salon et me prit entre
Meyerbeer, à Banville, à Flaubert ou à Baudelaire qu’elle ouvrait la porte , elle avait un sourire extasié et, en les annonça
ébuté à la Scala de Milan ; ce nom illustre nous ouvrirait toutes les portes … Comment résister à tant de bonnes raisons ?… Mon
lement saluer mon père, qui, à cause de cela n’osait pas consigner sa porte , craignant de voir un ami éconduit par la maladre
us, sans bruit, je gagnai la salle a manger, séparée du salon par une porte à deux battants, qui était poussée sans être ferm
eigner mieux… Tu comprends que nous ne pouvons pas aller demander, de porte en porte le tuteur de Catherine… Nous nous ferion
eux… Tu comprends que nous ne pouvons pas aller demander, de porte en porte le tuteur de Catherine… Nous nous ferions rire au
vieille mère, qui en négligé tournait à la sorcière, nous ouvrait la porte , et dès le seuil, une odeur d’huile frite et d’ai
32 (1862) Cours familier de littérature. XIV « LXXXIIIe entretien. Considérations sur un chef-d’œuvre, ou Le danger du génie. Les Misérables, par Victor Hugo (1re partie) » pp. 305-364
du quai, fendaient les flots de la multitude, se dirigeaient vers les portes comme un second débordement, et montaient à l’ass
vail, ce rêve-cauchemar d’un autre dormeur éveillé. « Ouvrez-leur les portes toutes larges, et laissez-les entrer, eux et leur
et j’irai lui demander asile contre cet assaut de l’enthousiasme. La porte , il m’en souvient, est ferrée, épaisse et forte c
me. La porte, il m’en souvient, est ferrée, épaisse et forte comme la porte d’une citadelle : nous la refermerons sur moi, et
cours conduisant à la place Royale ; mais bientôt les fenêtres et les portes s’ouvrirent au bruit du tumulte qui s’élevait à m
arrivés, qui me précédaient, y frappaient à grands coups pour que la porte s’ouvrît à ma fuite ; mais le concierge, entendan
e claquait plus. Voilà comment, poussé par la foule enthousiaste à la porte et dans l’escalier d’un pair de France destitué l
critique excessive, radicale et quelquefois injuste d’une société qui porte l’homme à haïr ce qui le sauve, l’ordre social, e
amitié, vent d’équinoxe du printemps, qui prend une feuille et qui la porte aussi haut qu’un astre ? Ces vers, les voici : qu
c ! — Malheur même au mendiant qui frappe, « Hypocrite et jaloux, aux portes du satrape ! « À l’esclave en ses fers ! au maîtr
heurtant dans la nuit ; « Jésus appellera sa mère virginale ; « Et la porte céleste, et la porte infernale,         « S’ouvri
 ; « Jésus appellera sa mère virginale ; « Et la porte céleste, et la porte infernale,         « S’ouvriront ensemble avec br
33 (1883) Souvenirs d’enfance et de jeunesse « Chapitre I. Le broyeur de lin  (1876) »
nt expliquer tous les cas de ce genre, est quelque chose de fade, qui porte à sourire ceux qui connaissent les choses comme e
ous revenions par l’Hôpital général. Il y avait de ce côté de grandes portes cochères, toujours fermées, sur lesquelles nous t
s avec de la craie ; les traces s’en voient peut-être encore, car ces portes appartenaient à de grands couvents, et, dans ces
s constructions, beaucoup d’espace pour loger peu de monde. Devant la porte était un petit auvent, où se réunissaient, quand
lles demoiselles nobles les mieux élevées. On les voyait rangées à la porte sur de pauvres chaises. Jamais on ne surprit chez
ut mur, de belle teinte grise. On entrait dans la cour par une grande porte cintrée, surmontée d’un abri d’ardoises, à côté d
e, surmontée d’un abri d’ardoises, à côté de laquelle se trouvait une porte plus petite pour l’usage de tous les jours. Au fo
e vol singulier. Il n’y avait nulle trace d’effraction. La principale porte du presbytère et celle du jardin étaient intactes
le idée eût semblé extravagante ; elle ne vint à personne. Restait la porte de la sacristie ; il parut évident que le vol n’a
? On ne sortait pas de ce raisonnement : « Le voleur est entré par la porte de la sacristie ; or la sacristine seule a pu pas
porte de la sacristie ; or la sacristine seule a pu passer par cette porte , et il est prouvé qu’elle y a passé en réalité ;
Dimanche, la sacristine sera à son banc, au dernier rang, près de la porte de l’église ; au Credo, vous irez la prendre, et
34 (1860) Cours familier de littérature. IX « LIe entretien. Les salons littéraires. Souvenirs de madame Récamier. — Correspondance de Chateaubriand (3e partie) » pp. 161-240
t à Rome au jour tombant, percèrent la foule pieuse qui obstruait les portes du palais Farnèse, pénétrèrent dans la salle du c
oir son visage ou pour entendre sa voix à travers les fenêtres ou les portes . Il en paraissait à la fois avide et importuné. T
près de vous ! — Quand vous n’auriez que le temps de m’écrire : Je me porte bien et je vous aime, cela me suffirait. « Parlo
affaires pour toujours est devenue dans ma tête une idée fixe ; je la porte dans le monde et à la promenade. Je m’amuse à par
r au ministère des affaires étrangères, parce qu’elle m’ouvrirait une porte pour sortir d’ici. J’ai déclaré mille fois que je
algré moi : ma santé est fort altérée, et il est possible que cela me porte à des prévoyances d’avenir prochain qui sont trop
e poulie et suspendu dans les ombres, pour le déposer au-dessus d’une porte dans le sarcophage de Pie VII, dont les cendres f
de Santa-Croce, appuyé sur les murailles en ruine de Rome, près de la porte de Naples ; j’entendais le chant monotone et lugu
saluait en lui le génie dans l’opposition, il fut conduit jusqu’à sa porte par des acclamations qui n’étaient qu’une bouffée
t, successivement à l’Académie ; ce n’était pas qu’elle en ouvrît les portes , mais c’est que l’élite des bons et grands esprit
t simple et vrai. Lisez ce mot à madame Récamier, dont il a trouvé la porte fermée. Ce mot frémit d’un frisson de mortelle an
frisson de mortelle angoisse : « J’apporte encore ce billet à votre porte pour me rassurer de me dire que tout est malade a
éon et Chateaubriand. Trouvez bon que je dépose quelques vers à votre porte  ; depuis longtemps vous avez fait une paix génére
s traces. « On me visite, on me donne des sérénades, mais je ferme ma porte . Votre heure ne sera jamais employée que pour vou
semble et passaient une heure à causer en tête à tête. À ce moment la porte s’ouvrait aux visites : le bon Ballanche venait l
ette grande rue suburbaine et tumultuaire de Sèvres, devant la petite porte de la maison où vécut et mourut Ballanche, je m’a
35 (1858) Cours familier de littérature. V « XXVIe entretien. Épopée. Homère. — L’Iliade » pp. 65-160
arc d’argent retentit d’un son sinistre, etc. » Chacun de ces traits porte la mort aux animaux et aux hommes. Apollon, repré
emande à combattre en présence des deux armées contre Ménélas. Hector porte cette proposition aux Grecs ; ils y consentent. L
ette suspension d’armes, reporte l’esprit dans la ville de Priam, aux portes Scées. « Là », dit-il dans son inépuisable fertil
cet intérêt renaît à la rentrée d’Hector dans Ilion. Il traverse aux portes Scées, auprès d’un grand hêtre, les vieillards, l
it le petit enfant ! » Hector, sans en entendre davantage, court aux portes Scées, par où l’on sort dans la plaine où les enn
ù paissent les jeunes cavales ! » Pâris et Hector se rencontrent aux portes Scées et descendent ensemble vers la plaine où il
rs chastes dans le palais d’Andromaque ; ces adieux sur la tour de la porte Scées ; ce cœur d’épouse qui fléchit sous ses ala
de d’Homère, et demandez-vous à vous-même lequel de ces deux plateaux porte le plus de génie humain dans ces deux chefs-d’œuv
tre de ses facultés également divines. Cependant l’un de ces plateaux porte une machine et l’autre porte une âme. Mais la mac
divines. Cependant l’un de ces plateaux porte une machine et l’autre porte une âme. Mais la machine aussi contient une âme,
Nous avons laissé, à la fin du sixième chant, les Troyens réunis aux portes Scées, discourant sur le sort de leur ville penda
, tels ces deux guerriers, quoique seuls, ne veulent pas déserter les portes , etc., etc. » La victoire est indécise, quand un
rtiles, et les riches semences du laboureur, elle s’amoncelle sur les portes et sur les plages de la mer écumeuse, où les vagu
e !) « Hector la balance facilement à lui tout seul ; ainsi le berger porte légèrement et d’une seule main la toison d’un bél
r porte légèrement et d’une seule main la toison d’un bélier !… » La porte est enfoncée, les Troyens pénètrent dans l’encein
redoutable. Il descend de la tour et ordonne aux gardes de fermer les portes aussitôt que les Troyens fugitifs les auront fran
anchies. » Au vingt-deuxième chant, Hector seul, resté en dehors des portes près du hêtre, attend Achille pour le combattre.
mb suspendu à la corne d’un bœuf sauvage s’enfonce sous les vagues et porte l’appât meurtrier aux poissons dévorants. » Cette
e du jour, le vieillard et son écuyer attellent les mules au char qui porte le cadavre d’Hector, et reviennent, sans avoir ét
36 (1868) Cours familier de littérature. XXVI « CLIe entretien. Molière et Shakespeare »
à l’amour pour aller entrer dans une troupe de comédiens aussi par la porte des plus ignobles emplois ; ni dans l’un ni dans
pauvre et inconnu. Il débute comme un vendeur de contre-marques à la porte d’un de nos théâtres de boulevard. Il garde et pr
e. Ces deux génies, Homère et Shakespeare, ferment les deux premières portes de la barbarie, la porte antique et la porte goth
et Shakespeare, ferment les deux premières portes de la barbarie, la porte antique et la porte gothique. C’était là leur mis
ment les deux premières portes de la barbarie, la porte antique et la porte gothique. C’était là leur mission, ils l’ont acco
s contre cette action ; ensuite je suis son hôte et devrais fermer la porte à son meurtrier, loin de saisir moi-même le coute
nneur qui donne le plus funeste bonsoir. — Il est à son ouvrage ; les portes sont ouvertes, et les serviteurs, pleins de vin,
ai honte d’avoir conservé mon cœur si blanc. — J’entends frapper à la porte du sud. — Retirons-nous dans notre chambre : un p
dent-ils nos ordres ? UN DOMESTIQUE. Oui, mon seigneur, ils sont à la porte du palais. MACBETH. Amenez-les devant nous. — Êtr
Qui va là ? (Rentre le domestique avec deux assassins.) Retourne à la porte , et restes-y jusqu’à ce que nous t’appelions. (Le
NE III Toujours à Fores. — Un parc ou une prairie donnant sur une des portes du palais. Entrent trois ASSASSINS. PREMIER ASSAS
ont tous les bienvenus. (Entre le premier assassin ; il se tient à la porte .) MACBETH. Vois, ils te rendent tous des remercie
main.) Quel est celui qui s’élève semblable au fils d’un roi, et qui porte sur le front d’un petit enfant la couronne fermée
le raconte : chaque minute en enfante un nouveau. MACDUFF. Comment se porte ma femme ? ROSSE. Mais, bien. MACDUFF. Et tous me
37 (1867) Cours familier de littérature. XXIV « CXXXIXe entretien. Littérature germanique. Les Nibelungen »
t, quel est le chef que le sire Dietrîch a reçu là si amicalement. Il porte le cœur haut: quel que soit son père, il est cert
t de laisser là cette courtoisie. Pourquoi ferais-je honneur à qui me porte de la haine ? Jamais je ne le ferai, tant que la
XIV Hagene, le brave ménestrel, Volkêr son ami passent la nuit aux portes extérieures de la salle à veiller pour les Burgon
e à veiller pour les Burgondes. Volkêr s’assit sur une pierre sous la porte du palais ; jamais il n’exista un plus généreux j
r le bruit des cloches, vont se ranger avec leurs guerriers devant la porte de la cathédrale. Kriemhilt dévorant du regard Ha
compli de grands prodiges. Quand l’audacieux Dancwart pénétra sous la porte , il ordonna à la suite d’Etzel de reculer. Tout s
n une épée très-acérée. Au moment même où Dancwart se présentait à la porte , on portait çà et là, de table en table, Ortlieb,
je faire mon serment. » Hagene parla: « Frère Dancwart, garde-nous la porte et ne laisse pas sortir un seul de ces Hiunen. Je
eux. Je pense qu’ils se passeraient volontiers de celui qui garde la porte et qui a apporté ici aux Burgondes la fatale nouv
ù étaient leurs amis. Mais ils gagnaient peu de terrain du côté de la porte . Ceux qui étaient dans la salle en auraient voulu
nter ni descendre les degrés. Il en résulta une grande presse vers la porte , et les épées retentissaient en tombant sur les c
en dedans de la salle. » Dancwart le rapide se plaça en dehors de la porte , et il repoussait des degrés quiconque se présent
ami sire Hagene. Oui, les mains de deux héros ont mis le verrou à la porte d’Etzel ; elles valent bien mille barreaux. » Qua
 ; elles valent bien mille barreaux. » Quand Hagene de Troneje vit la porte si bien gardée, il jeta son bouclier sur l’épaule
: « Pourquoi si vite supplier ? Ce ménestrel n’a pas si bien fermé la porte , que nous ne l’ouvrions assez large pour pouvoir
palais avant que par la force de leurs bras ils pussent atteindre la porte . Maints heaumes et maints boucliers furent hachés
Hagene, cet homme très-rapide, quitta ses maîtres et bondit devant la porte , en face des ennemis. On crut qu’il était tué ; m
38 (1857) Cours familier de littérature. IV « XXIVe entretien. Épopée. Homère. — L’Odyssée » pp. 445-524
ient une à une puiser l’eau fraîche dans un seau suspendu derrière la porte . Une poche de cuivre étamé, au long manche de fer
chargée, paraissait, suivie de ses filles et un livre à la main, à la porte de la cuisine. Aussitôt le bruit des services, le
ligieuses qui poétisent tout en rattachant tout au premier anneau qui porte le monde, une allusion inattendue à une de ses le
t la toile de l’entrée de la tente dans le désert, ils entrouvrent la porte de la maison dans la cité antique ; ils y surpren
mme de charge qui tient les clefs de l’office ? la jeune servante qui porte l’eau et la cuvette dans les chambres des étrange
servantes, s’arrête, modeste et voilée, appuyée sur le montant de la porte et les yeux humides de larmes, en pensant à Ulyss
ne chaste épouse et ne partagea jamais sa couche. — En ce moment elle porte les flambeaux éclatants devant Télémaque. De tout
’elle l’avait élevé pendant qu’il était encore enfant. Elle ouvre les portes de sa chambre solidement bâtie. Télémaque s’assie
ille du lit et se hâte de sortir de la chambre. Elle retire à elle la porte par l’anneau d’argent, puis elle abaisse le pêne
e votre père si je venais à mourir avant elle ? N’est-ce pas elle qui porte la lampe dans vos chambres quand vous allez vous
après tant de revers. À l’entrée de la cave s’élevaient deux grandes portes à deux battants, étroitement jointes l’une à l’au
retiennent ici les étrangers que l’adversité jette si souvent à leur porte  ? » Puis elle nous lut ces vers du troisième chan
eurs fauteuils dans la chambre, ne me jetai-je pas sur le seuil de la porte , entourée des servantes, jeunes et vieilles, qui
e Clemencey, qui vient tous les samedis appuyer son bâton derrière la porte de la cuisine et déposer sa besace à deux poches
mbon et de la bouteille du vin qui soutiennent sa pauvre vie et qu’il porte à sa femme plus infirme que lui ? » « Minerve,
us les jours cette scène de respect pour l’âge et pour la misère à la porte de la cour de votre oncle ? » ajouta-t-elle. Nous
rêt à se trahir. — Ne me trompez pas, dit Eumée, je hais à l’égal des portes de l’enfer l’homme qui pense d’une façon et qui p
39 (1866) Cours familier de littérature. XXII « CXXXIe entretien. Littérature russe. Ivan Tourgueneff » pp. 237-315
la flexibilité du second. Tel est exactement Tourgueneff. IV Il porte sa noblesse dans tout son extérieur. Il est né, e
, s’asseyait près de la fenêtre avec un livre et une tasse de thé. La porte s’ouvrait, et Pierre Vasilitch entrait dans son n
Quelle est donc cette jeune fille que j’ai vue tout à l’heure à votre porte  ? » Boris aspirait une bouffée de son cigare, hum
En descendant de voiture, les deux amis trouvèrent sur le seuil de la porte un domestique vêtu d’un pantalon gris et d’une re
ami. Le domestique répondit qu’elle les attendait, et leur ouvrit la porte de la salle à manger, où un serin sautillait dans
s, et, à en juger par leurs regards constamment dirigés du côté de la porte , il y avait lieu de supposer qu’ils songeaient à
de calembours. — Braou ! braou ! » répéta Barçoukof. En ce moment la porte s’ouvrit, et Viéra s’avança d’un pas léger, porta
uva lui-même. Que de rêves ne fit-il pas jusqu’à ce qu’il arriva à la porte de sa maison ? mais à tous ces rêves s’associait
Et de nouveau il ferma les yeux. La jeune fille se dirigeait vers la porte . Boris l’arrêta. « Me permettez-vous, au moins, l
te table une chaise à trois pieds dont lui seul pouvait se servir. La porte de sa cellule se fermait avec un colossal cadenas
bres pareils ? Il est sourd, et n’entend pas résonner les coups qu’il porte . Il frappe comme un homme qui agite ses poings da
iana. La blanchisseuse apparut et resta timidement sur le seuil de la porte . « Que désirez-vous », demanda-t-elle d’une voix
it une horreur profonde pour les ivrognes. Lorsqu’il était assis à la porte de l’hôtel, il détournait la tête avec une vive r
Le postillon raconta qu’il avait été le regarder par une fente de la porte . Il l’avait vu chanter. Il l’avait vu, assis sur
hât de sa petite chambre. Il lui avait pratiqué une ouverture dans la porte de son réduit. Dès que Moumou y était entrée, ell
 ; Moumou n’élevait la voix que lorsqu’un étranger s’approchait de la porte de l’hôtel, ou lorsqu’elle entendait quelque brui
me allait porter du bois dans les appartements, elle l’attendait à la porte , dressant l’oreille, penchant la tête, tantôt à d
compagnes voulaient la suivre. Mais, d’un geste, elle les arrêta à la porte .   « Que voulez-vous ? dit-elle ; je ne vous ai p
revêtit son caftan, chaussa ses bottes et s’avança sur le seuil de la porte . Cinq minutes après, Guérassime apparut portant u
accompagné de sa chère Moumou, et comme de coutume il la laissa à la porte de l’appartement où il allait déposer son fardeau
ferma avec un de ses vêtements l’ouverture qu’il avait pratiquée à sa porte pour Moumou, et à peine l’aurore commençait-elle
e et s’y enferma. Quelques minutes après, cinq hommes arrivaient à sa porte et la trouvaient si bien close qu’ils ne pouvaien
e Guérassime, un homme se tenait en faction, deux autres étaient à la porte , armés de bâtons. Tout l’escalier fut envahi par
’escalier fut envahi par les nouveaux venus. Gabriel s’approcha de la porte , la frappa du poing et cria : « Ouvre. » Un aboie
nt à rire.   « Comment faire ? demanda Gabriel. — Il y a un trou à la porte , reprit Étienne, mettez-y votre bâton. » Gabriel
rs donc ! sors donc ! » Il continuait son mouvement, quand soudain la porte s’ouvrit, et toute la valetaille effrayée se reti
e frappa de nouveau la poitrine, rentra dans sa chambre et referma sa porte . Tous les gens réunis autour de lui restèrent imm
uttes soporifiques, elle se rendormit. Une heure environ s’écoula. La porte devant laquelle il y avait eu tant de mouvement s
40 (1889) Le théâtre contemporain. Émile Augier, Alexandre Dumas fils « Alexandre Dumas fils — CHAPITRE IX »
r où le dégoût veille au seuil de l’orgie, comme le nègre hideux à la porte du harem. Le plus grand éloge qu’on puisse faire
assise au coin du feu, compte les heures, en attendant son retour. La porte s’ouvre ; un vieillard entre, le visage sévère, l
on écoute cette plainte déchirante ! Chaque trait frappe, chaque mot porte coup. Vous diriez le chant d’un cygne plumé par u
on entend le murmure d’une robe, le craquement d’un pied furtif ; la porte de l’atelier désert s’entrouvre, et la comtesse D
it duc qui, au fort de cette conversation nocturne, vient sonner à la porte de madame de Lys. Il s’agit de bien prouver à l’a
ur ! avec quelle impertinence de déesse mettant un dévot attardé à la porte de son temple ! Tout cet acte, si scabreux et si
e Paris ne l’ignore, elle envoie son équipage armorié stationner à la porte de sa maison. Ce n’est pas elle qui dirait, comme
comte qui revient. A peine l’artiste a-t-il le temps de fuir par une porte secrète, que le mari apparaît, grave, sérieux, gl
flamme ; elle va pousser, l’un après l’autre, tous les verrous de ces portes banales, et les transports recommencent, et les p
fs malades, une vie déroutée, une fatigue immense. Tout d’un coup, la porte s’ouvre et la comtesse envahit la chambre, avec l
t qui remplit la chambre ; la serrure grince, éclate et se brise ; la porte s’ouvre. Paul se jette sur deux épées pendues au
temps d’entrevoir le mari, immobile et debout dans l’embrasure de la porte , et baissant d’un geste tranquille son pistolet q
41 (1868) Les philosophes classiques du XIXe siècle en France « Chapitre X : M. Jouffroy psychologue »
ître son instrument, à mesurer sa certitude. Il restait toujours à la porte , et semblait ne pas vouloir entrer. Il souffrait
st leur démonstrateur qui l’a fondée. Ce n’est pas assez d’ouvrir une porte  ; il faut franchir le seuil et marcher. M. Jouffr
ent se détermine davantage, et prend une direction. La sensibilité se porte hors d’elle, et se répand vers la cause qui l’aff
est comme la suite et le complément ; non-seulement la sensibilité se porte vers l’objet, mais elle tend à le ramener à elle,
s. « Le moi sensible s’épanouit, se dilate, se met au large, puis se porte hors de soi et se répand vers l’objet qui l’affec
tomac. Deuxième inexactitude. Dire que la sensibilité se répand et se porte vers la pêche, c’est faire une métaphore fausse.
usse. C’est la connaissance qui, appliquée d’abord à la sensation, se porte ensuite vers la pêche, et la connaissance est une
ez traversé une seconde apparence ; vous venez de franchir la seconde porte , laissant le vulgaire à l’entrée ; définissez ce
42 (1827) Génie du christianisme. Seconde et troisième parties « Seconde partie. Poétique du Christianisme. — Livre cinquième. La Bible et Homère. — Chapitre IV. Suite du parallèle de la Bible et d’Homère. — Exemples. »
e vivant ne se promène dans ses rues solitaires, ou ne passe sous ses portes désertes. Venons aux exemples de narrations, où n
manda : Votre père, ce vieillard dont vous parliez, vit-il encore, se porte-t -il bien ? » Ils lui répondirent : Notre père, vot
épondirent : Notre père, votre serviteur, est encore en vie, et il se porte bien ; et, en se baissant profondément, ils l’ado
avons réussi à leur faire admirer cette grande et sublime pierre qui porte l’Église de Jésus-Christ ! « Si l’Écriture, dit
és simples, propres à nourrir les humbles et les moins savants : elle porte à l’extérieur de quoi allaiter les enfants, et da
ès, les versions de Sanctes Pagnin, d’Arius Montanus, etc. La Vulgate porte , la mort aînée, primogenia mors . 103. Id., ch
43 (1862) Les œuvres et les hommes. Les poètes (première série). III « M. Auguste de Chatillon. À la Grand’Pinte ! »
t Ivanhoë de la poésie, ce chevalier de la race des premiers Croisés, porte une autre croix que ses ancêtres. Il porte la cro
race des premiers Croisés, porte une autre croix que ses ancêtres. Il porte la croix de la vie moderne sans la rejeter et san
st quelque chose ! Se croire heureux est plus encor. Adieu ! maison à porte close Ouverte sur mon rêve d’or. Et vous avez là
e, La cause de ma douleur J’ai frappé chez le bonheur, Et j’ai trouvé porte close. Nous refrapperons, qu’importe ! Le bonheu
nheur nous ouvrira ! S’il résiste, on lui fera Sauter les gonds de sa porte  ! Oh ! ma peine est trop profonde, Plus de gaiet
44 (1827) Génie du christianisme. Seconde et troisième parties « Seconde partie. Poétique du Christianisme. — Livre quatrième. Du Merveilleux, ou de la Poésie dans ses rapports avec les êtres surnaturels. — Chapitre X. Machines poétiques. — Vénus dans les bois de Carthage, Raphaël au berceau d’Éden. »
nos premiers pères. « Pour ombrager ses formes divines, le Séraphin porte six ailes. Deux, attachées à ses épaules, sont ra
ure, dans sa jeunesse, se livre à tous ses caprices… Adam, assis à la porte de son berceau, aperçut le divin Messager. Aussit
d’un enchanteur et d’un héros au travers du camp des chrétiens, cette porte secrète d’Hérode, ces souvenirs des temps antique
45 (1887) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (deuxième série). IX « Ch. de Rémusat. Abélard, drame philosophique » pp. 237-250
retrouvent dans l’Abélard du drame comme dans l’Abélard du traité qui porte ce nom. Car, tout le monde l’a su, si tout le mon
tituée de Dieu sur la terre et qu’elle a le privilège divin « que les portes de l’enfer ne prévaudront jamais contre Elle », d
r ne prévaudront jamais contre Elle », de Rémusat, qui est une de ces portes -là, — non pas une porte cochère, aux cuivres inso
lemment luisants et aux gonds tournant à grand bruit, mais une petite porte , discrète et presque cachée à l’angle et sous les
attendant ce jour-là, de Rémusat a toujours fait son métier de petite porte plus ou moins secrète, s’ouvrant, s’entrebâillant
46 (1865) Cours familier de littérature. XX « CXVIe entretien. Le Lépreux de la cité d’Aoste, par M. Xavier de Maistre » pp. 5-79
s ensemble le premier jour de promenade au mont Colombier ; on nous y porte à dîner à cause de la distance, et nous aurons le
ns dans les prés, les villageois aux fenêtres ou sur le seuil de leur porte , la gaieté tranquille de cette élite de jeunes ge
ement solitaire peut cependant intéresser les voyageurs. Auprès de la porte de la ville, on voit les ruines d’un château, dan
oste, passa un jour, par hasard, auprès du jardin du lépreux, dont la porte était entrouverte, et il eut la curiosité d’y ent
ouquets. Quelquefois aussi les enfants de la ville se présentent à la porte de mon jardin. Je monte aussitôt dans la tour, de
de. Quand je revenais à l’aube du jour prier Dieu sous ces arbres, la porte de la tour s’ouvrait doucement, et la voix de ma
nement ! c’était ma sœur qui priait Dieu en dehors sur le seuil de ma porte . Elle avait entendu mes plaintes. Sa tendresse lu
qui récitait à voix basse le Miserere. Je me mis à genoux près de la porte , et, sans l’interrompre, je suivis mentalement se
ne corde au cou en ma présence, et l’entraînèrent. Lorsqu’il fut à la porte du jardin, je ne pus m’empêcher de le regarder en
distinctement : Malheur à toi ! Je m’arrêtai, saisi d’horreur, sur la porte de la tour, et l’écho faible de la montagne répét
je l’emporterai avec moi dans la tombe ; c’est elle qui m’ouvrira les portes du ciel, que mon crime devait me fermer à jamais.
rez pas fait une visite inutile. Ils s’acheminèrent ensemble vers la porte du jardin. Lorsque le militaire fut au moment de
heureux… Adieu pour jamais ! Le voyageur sortit. Le Lépreux ferma la porte et en poussa les verrous. XIII Vignet, qui
47 (1896) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Sixième série « Guy de Maupassant »
is. Il est extraordinaire qu’on ne soit pas plus gai sur un yacht qui porte le joyeux nom de Bel-Ami ; et M. de Maupassant, s
ommes illustres après qu’ils sont morts. Que tel assemblage de drames porte le nom de Shakspeare et que tel entassement de ve
es porte le nom de Shakspeare et que tel entassement de vers lyriques porte celui de Victor Hugo, qu’importe ? Que leurs œuvr
et qu’on pût ne jamais songer à la mort. Mais on souffre ; et, par la porte de la souffrance, entrent la réflexion, la curios
48 (1887) Journal des Goncourt. Tome I (1851-1861) « Année 1851 » pp. 1-9
re, nous rêvions d’éditions, d’éditions à la Dumas père, claquant les portes , entrait bruyamment le cousin Blamont, un ci-deva
té… on l’a arrêté à la mairie du Xe arrondissement. » Nous voilà à la porte de la caserne d’Orsay, où avaient été enfermés le
ais, Messieurs, nous dit assez brutalement la femme qui nous ouvre la porte , vous savez bien qu’on ne dérange pas M. Lireux,
ants et tressaillants au moindre bruit, nous entendons, à travers une porte qui se referme sur elle, Mme Allan jeter de sa vi
49 (1827) Génie du christianisme. Seconde et troisième parties « Seconde partie. Poétique du Christianisme. — Livre cinquième. La Bible et Homère. — Chapitre III. Parallèle de la Bible et d’Homère. — Termes de comparaison. »
deux monuments qui, comme deux colonnes solitaires, sont placés à la porte du temple du Génie, et en forment le simple péris
seconde rappelle la prolixe éloquence du Pélasge qui se présente à la porte de son hôte. Si vous prenez au hasard quelque sub
ur dans la Bible. Quelles différentes vues de l’humanité ! Le grec ne porte qu’une idée politique et locale, où l’hébreu atta
e noce a des flambeaux, des épithalames, des couronnes suspendues aux portes  : une armée, un peuple entier, assistent aux funé
50 (1834) Des destinées de la poésie pp. 4-75
d’une armée de jeunes écrivains ; que les drames se heurteraient à la porte de tous les théâtres ; que l’âme lyrique et relig
enceinte muette et morne comme la couche d’un agonisant ; ses larges portes étaient ouvertes et l’on apercevait de temps en t
ban blanc et le manteau rouge du soldat arabe, gardien inutile de ces portes abandonnées ; rien ne venait, rien ne sortait ; l
quart d’heure en quart d’heure les deux battants ferrés de toutes les portes de Jérusalem s’ouvraient, et nous voyions passer
nt quelques beaux noyers. L’acropolis, ou la colline artificielle qui porte tous les grands monuments d’Héliopolis, nous appa
s foulions allaient s’entr’ouvrir sous leurs pas. Nous arrivâmes à la porte d’une cabane basse et à demi cachée par des pans
ne basse et à demi cachée par des pans de marbre dégradés, et dont la porte et les étroites fenêtres sans vitres et sans vole
ar le bruit de notre caravane, arriva bientôt, et, s’inclinant sur sa porte , m’offrit l’hospitalité. C’était un beau vieillar
aison, c’est-à-dire deux petites chambres basses sans meubles et sans portes , il se retira et nous laissa, suivant la coutume
s grottes de bêtes fauves dans le rocher même. On n’apercevait que la porte surmontée d’une ogive vide où pendait la cloche,
le peuple, il y retourne ; il n’y a plus que la classe populaire qui porte son cœur au théâtre. Or, le drame populaire, dest
foyer J’assemblais tous les biens que le ciel nous prodigue, Qu’à ma porte un figuier laissait tomber sa figue Aux mains de
51 (1880) Les deux masques. Première série. I, Les antiques. Eschyle : tragédie-comédie. « Chapitre II, grandeur et décadence de Bacchus. »
e Soma. — Orné par le sacrifice, je viens prendre l’holocauste que je porte aux dieux. Je suis enivré de Soma. On perd longt
ès le temps qui aurait été celui de la grossesse naturelle. Hermès le porte , emmaillotté de lierre, aux nymphes de Nysa, qui
at botté, de se changer en toute sorte d’animaux. Le taureau, dont il porte déjà les cornes, est une de ses métamorphoses hab
Gange ou côtoyant les villages de l’Himalaya, aurait pu voir, par la porte entrouverte de quelque case au toit de bambous, u
th n’est que Sabasius, un des surnoms de Bacchus. — Leur grand prêtre porte la tiare du dieu, il est vêtu de sa tunique de pe
s. — Qu’on s’imagine des rabbins de Rome ou d’Alexandrie écoutant aux portes du banquet de Plutarque ces naïfs blasphèmes. Ils
ais Pallas a recueilli le cœur encore chaud du petit martyr ; elle le porte à Zeus, qui en tire un nouveau Bacchus. Celui-ci
tique des vieilles religions orientales. C’est par lui, connue par la porte d’ivoire des mauvais songes, que les sombres dieu
cs feront Adonis, le fils incestueux de Myrrha changée en l’arbre qui porte son nom, né de son écorce entr’ouverte humide de
s’embarque sur elles, des chants funèbres gémissent par les rues, les portes ouvertes se couvrent de reposoirs portant l’effig
uleux, de rites et d’orviétans expiatoires, ils le menaient quêter de porte en porte, comme un vagabond. Platon les montre, d
rites et d’orviétans expiatoires, ils le menaient quêter de porte en porte , comme un vagabond. Platon les montre, déjà de so
52 (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — M — Madeleine, Jacques (1859-1941) »
e Sourire d’Hellas (1899). — Un jour tout de rêve (1900). — La Petite Porte feuillue (1900). OPINIONS. Maurice Boucho
tre est là l’un des secrets motifs de la grosse tendresse que je vous porte . Je vous trouvais charmante, moi, et votre père v
Aphrodite : « … Sur son désirable visage toujours elle sourit et elle porte la désirable fleur ». M. Jacques Madeleine a pu,
53 (1857) Cours familier de littérature. IV « XXIe Entretien. Le 16 juillet 1857, ou œuvres et caractère de Béranger » pp. 161-252
be, le travail cesse dans les ateliers. L’ouvrier, sur le seuil de sa porte , accoste le passant, et lui demande avec des larm
ples, ses pompes. Une armée entière prend position ou poste depuis la porte de la maison jusqu’à la porte de l’éternité, dans
tière prend position ou poste depuis la porte de la maison jusqu’à la porte de l’éternité, dans le champ des morts. Le convoi
rs une haie de troupes et une muraille de peuple ; pas un pavé qui ne porte un homme attendri, pas une fenêtre qui ne regarde
les et le ciel. Un large et long corridor, sur lequel s’ouvraient des portes nombreuses et uniformes, semblables à des portes
quel s’ouvraient des portes nombreuses et uniformes, semblables à des portes de cellules dans les cloîtres d’un monastère ou à
es à des portes de cellules dans les cloîtres d’un monastère ou à des portes d’infirmeries séparées dans un vestibule d’hospic
sse et de beauté pâlies par la souffrance, vous indiquait du geste la porte de la chambre adjacente, d’où l’on communiquait p
corridor la lumière répercutée d’une pièce éclairée par le soleil. La porte en restait toujours ouverte. Cette pièce était va
yons de sapin. À l’extrémité de cette chambre, près des fenêtres, une porte basse, que vous ouvriez vous-même, vous introduis
n véhicule nécessaire pour porter la poésie narquoise ou politique de porte en porte, comme le facteur quotidien y porte une
e nécessaire pour porter la poésie narquoise ou politique de porte en porte , comme le facteur quotidien y porte une lettre, à
arquoise ou politique de porte en porte, comme le facteur quotidien y porte une lettre, à cent mille adresses. L’air musical
s pauvres archives domestiques ; elle s’en est toujours entretenue, à portes fermées, avec une certaine vanité pieuse de grand
t de vue de l’homme et l’aspect des choses ? Quand le navire qui vous porte vogue sur le fleuve, voyez-vous donc toujours le
54 (1860) Cours familier de littérature. X « LVIIe entretien. Trois heureuses journées littéraires » pp. 161-221
es, l’homme rallume en lui cette lampe nocturne de la mémoire ; il la porte d’une main tremblante tout autour des années aujo
te pour annoncer leur passage aux survivants s’arrêtaient le matin de porte en porte, pour emporter comme des balayeuses, san
nnoncer leur passage aux survivants s’arrêtaient le matin de porte en porte , pour emporter comme des balayeuses, sans honneur
e clocher, en flèche aiguë de granit bruni et moussu par les siècles, porte sa date de 1300 dans ses ogives. Les grosses tour
et le foin débordent çà et là des lucarnes pleines de fourrages ; les portes des étables, des fenils, des basses-cours, s’ouvr
s basses-cours, s’ouvrent sur le gazon autour du puits ; à côté de la porte des maîtres, les chars de récoltes se chargent et
. Le seul charme de ce séjour, c’est son site : de quelque côté qu’on porte ses regards, aux quatre horizons de ce monticule,
aix rêvant, Je vis avec lenteur, triste et calme, et, comme elles, Je porte haut ma tête et chante au moindre vent. Il faudr
on regard luit pourtant comme après un doux rêve. La terre avec amour porte la blonde enfant ; Des rameaux par la brise agité
ds triomphants ; Les faibles sont les siens, sa force les relève ; Il porte dans ses mains la grâce et non le glaive. Une ea
55 (1863) Cours familier de littérature. XV « LXXXVe entretien. Considérations sur un chef-d’œuvre, ou le danger du génie. Les Misérables, par Victor Hugo (3e partie) » pp. 5-79
la Pologne ; n’en rougissez pas plus que moi ! Chaque année du siècle porte ses nécessités avec sa date : Louis XVIII et la c
anneaux de fer placés sous une charrette ; l’aubergiste, assis sur sa porte , les berce avec une ficelle attachée à sa main, e
nt elle n’avait d’autre famille que les noms du pays, les rues et les portes des maisons. « Elle emportait son enfant, sa fill
e, ne renvoie pas à l’arracheur de dents une jeune et jolie fille qui porte son enfant au seuil d’un hospice, et qui, en acce
e la misère par le vol ; que c’était, dans tous les cas, une mauvaise porte pour sortir de la misère que celle par où l’on en
avernes qu’il aurait entrevues dans cette âme ; et, comme Dante de la porte de l’enfer, il eût effacé de cette existence le m
jean. Il hésite à entrer dans le prétoire, il regarde le loquet et la porte derrière laquelle est son éternelle infamie ; il
je vais, il me fera arrêter quand il voudra. « Il se dirigea vers la porte de sortie. Pas une voix ne s’éleva, pas un bras n
mme. Il traversa la foule à pas lents. On n’a jamais su qui ouvrit la porte , mais il est certain que la porte se trouva ouver
nts. On n’a jamais su qui ouvrit la porte, mais il est certain que la porte se trouva ouverte lorsqu’il y parvint. Arrivé là,
t j’aurais mieux aimé que tout ceci n’arrivât pas. « Il sortit, et la porte se referma comme elle avait été ouverte, car ceux
eter une pensée fausse, surtout en matière sociale, et que tout homme porte en lui le goût qui fait discerner le propre et le
56 (1908) Esquisses et souvenirs pp. 7-341
une abondante faculté d’amour sans caprice, une âme de lumière qui ne porte en elle aucun secret et honteux intérêt à trouble
s les passions. Il ne lui a manqué que d’avoir gardé les chevaux à la porte d’un théâtre, comme Shakespeare. Fénelon est flui
les rêveries des littérateurs, ne sont qu’une belle forme souple. Des portes laissent voir le fond d’une cour à colonnade, bla
lient, qui avait son menton dans l’échancrure d’un plat à barbe. À la porte même de la ville, dans un renfoncement qui était
maison mal famée et nous ne tardions point à passer devant une de ces portes qui laissent voir des femmes outrageusement peint
échancrure que forment deux belles montagnes, un rocher apparaît qui porte quelques colonnes et le triangle d’un fronton. Le
est pas moins attique. Barrès se défend de pénétrer Platon ! lui qui porte sur ses lèvres tout le miel et peut-être le poiso
 : elle émigre en Amérique avec sa sœur ainée et son petit frère, qui porte l’antique nom de Brasidas, ce général vainqueur d
maison de Beethoven. Je montai un escalier tortueux, je sonnai à une porte au fond d’un couloir plein de moisissure ; un hom
mes pieds un faubourg de Vérone ; les rayons du couchant doraient une porte ou arc de triomphe ; des gens qui passaient en vo
pirer avec joie sous l’humidité. Une maison de paysans laisse béer sa porte  : et, sur ce trou noir, je distingue frémir le ré
foin entassé dans les cours sentait l’humidité, et, sur le seuil des portes , des paysans silencieux regardaient dans le vide.
z, que je griffonnai sur un feuillet arraché, contre le battant d’une porte . Plus d’un couplet tendre chanta à mes oreilles d
s. Je montai quatre à quatre ses six étages et sonnai violemment à la porte . L’homme docte vint m’ouvrir tout ensommeillé. Sa
ruel. Et puis, sur la terre, un jugement ne vaut que par celui qui le porte , et notre ami vaut beaucoup. Il a la science avec
résonnait goutte à goutte sur le toit de tuiles ! Ô jeune homme, qui portes sur tes épaules un veau, en te voyant je t’avais
Non, toi, je ne t’aime point ; tu t’appuies trop sur ce mur. Sur une porte en treillis de bois, une sorte de caisse toute co
vaste mer ! quelles sont mes pensées, lorsque, au déclin du jour, je porte , solitaire, mon pas trébuchant, là-bas, là-bas, s
aire étire ses bras sur le ciel morne. Il y a de la paille devant les portes . Il y a un bon feu de branches dans la cuisine. U
Giovanni Boccaccio. Savez-vous que si l’on me trouve cette nuit, à sa porte , percé de coups, je ne l’aurai pas volé ?   … Je
r les plates-bandes de mon voisin l’horticulteur. Avril me plaît à la porte d’Orléans ; il est plein d’entrain. Pendant l’été
lait passer en Suisse. Quelques heures après, j’entendis frapper à la porte de ma chambre. J’ouvre ; j’aperçois mon garçon co
petits chiens font sentinelle et jappent.   … Le tramway franchit la porte de la cité et m’emporte sous un ciel de février q
élancolique Au bord de l’Aveyron m’asseoir ; Matin levant, pas de la porte Où s’assied un vieillard rasé, Libre fumée agile
je rencontre les premières maisons du village de X… Je dîne devant la porte d’une auberge. Sur la route, des enfants courent,
chand de peaux de lapin ! Le plat du barbier brille et tremble sur la porte . Allons ! une savonnette, un tour de rasoir, la b
age d’Avignon m’a donné une brève satisfaction esthétique. Mais je me porte mieux, l’air est ici pur et balsamique, à cause d
our la mépriser. » Stendhal traverse la ville d’Aix et remarque à la porte de plusieurs maisons, deux immenses éteignoirs .
figures glabres et vives. Un troisième, de quarante-cinq ans environ, porte sa courte barbe sous un nez camus. Un vieux avec
rs suintants, aux escaliers extérieurs qui se rongent. Au seuil d’une porte , une antique vigne, noueuse et tordue de la façon
flaques d’eau… Une autre rue : Le silence et la solitude. Devant les portes closes, des ustensiles de ménage, des caisses où
 ; les murs se dressent blafards et grenus, des toits s’avancent, des portes l’ouvrent sur des couloirs ténébreux, avec une éc
ue Longue, heurtant des roues de leurs affûts les seuils à degrés des portes . Et longtemps auparavant le noble génois Guillaum
C’étaient sans doute les cuirassés du concert, c’était le blocus. La porte s’ouvre encore, entre un autre personnage ; il co
e rare sur les joues, fournie au menton et bien taillée en pointe. Il porte sa canne sous le bras, et son chapeau n’a point p
des bouquets, elles folâtrent. Pourtant à les bien observer, leur âme porte si lourdement la gravité des circonstances qu’à c
 et qui, c’est évident, — à cette heure est parmi — les passagers que porte — ce paquebot. Ô lune, — tu ressembles vraiment —
ute. Et voici celle qu’il attend     C’est la Stryge homicide ; Elle porte des boyaux d’enfants     Et suce leur sang humide
onne. Le chevalier indomptable Et la belle princesse Ont frappé à ma porte Et je les ai reçus. Je leur appris à dire (Que d
t, elle la mord au flanc gauche, elle la mord au doigt de sa main qui porte l’anneau des fiançailles. On fait venir douze méd
nt à tire-d’aile. Le voici qui chemine vers la maison ; il trouve les portes verrouillées ; il trouve sa femme dans les bras d
vêtir d’un froc, et, à la tombée de la nuit, seul, il va frapper à la porte du Château, tandis que deux mille fantassins et s
. Le vilain s’agenouille. D’une voix lamentable, il se met à dire : —  Porte , ouvre-toi, ô porte hospitalière du Château de la
ille. D’une voix lamentable, il se met à dire : — Porte, ouvre-toi, ô porte hospitalière du Château de la Belle, de la belle
je m’évanouirai avant d’être arrivé. À la fin, la Dame fit ouvrir la porte . Toute la troupe s’élança. La garde du Château fu
nièce du curé qui revenait, — rose du rosier, — de la métairie. Elle porte les pommes d’api dans son tablier, les cédrats, —
é le cou, ma mère. » La Nonnain gaillarde C’est une nonnain qui porte croix et chapelet. Mais elle ne se signe, ni ne p
57 (1887) Journal des Goncourt. Tome I (1851-1861) « Année 1856 » pp. 121-159
distrait par des scènes continuelles, des consignations de gens à la porte , des sacrifices de toutes sortes, et la boude, la
ente, Barthet est le grand homme de l’endroit, un poète du Danube qui porte des souliers ferrés, et brandit un gourdin en l’h
e, avec de l’air, des coins de verdure, un grand morceau de ciel. Une porte derrière laquelle on entend, pendant plusieurs se
dans cinq mois et huit jours. Je devais m’introduire chez elle par la porte du potager. Au bout de cinq mois et huit jours, m
e, il sort triomphalement à la lumière une bouteille d’eau-de-vie qui porte , oui, qui porte la date de 1789. Dans sa poche, i
phalement à la lumière une bouteille d’eau-de-vie qui porte, oui, qui porte la date de 1789. Dans sa poche, il remue les clef
elle du pied par exemple qu’elle a le plus petit du monde, et qu’elle porte toujours chaussé d’un soulier découvert à talon…
emander : Talismans, thèmes généthliaques, horoscopes, etc., etc. Une porte s’ouvre, et un homme paraît, à la grosse tête car
née finie, nous allons, tous les quatre, dîner dans un bistingo, à la porte d’Auteuil. Gavarni vit plus seul avec lui-même q
58 (1863) Cours familier de littérature. XV « LXXXVIIIe entretien. De la littérature de l’âme. Journal intime d’une jeune personne. Mlle de Guérin » pp. 225-319
des chevaux, des vaches et des moutons, entassés immémorialement aux portes , tapissaient les murailles de ces bâtiments, et s
t pas le sol des bergeries, croissaient dans les angles des murs. Les portes , ou les barrières à claire-voie, étaient sans ces
morceau de pain, le coup d’eau à puiser au seau suspendu derrière la porte , et aux paysans du hameau d’Andillac de vivre pou
détachées du grand escalier, qui formaient un angle rentrant sous une porte en rosace, donnant entrée à quelques séries de pe
ai l’habitude de l’entendre respirer à mon oreille. Ce petit bruit me porte sommeil. Ne pas l’entendre me fait penser tristem
u milieu de ces agonies, et ne sent que plus vivement tout ce qui lui porte vie. « Ta lettre donc m’a donné une lueur de joie
n d’assemblées on n’en dit pas autant ! « Le vent souffle, toutes nos portes et fenêtres gémissent ; c’est quasi triste à l’he
nuit. Un coup de marteau se fait entendre, tout le monde accourt à la porte . Qui est là ? C’était Jean de Persac, notre ancie
u’elles n’aillent retentir au dedans comme le marteau qui frappe à la porte . Alors on en parle, toute petite que soit la chos
écembre. « Voilà Noël, belle fête, celle que j’aime le plus, qui me porte autant de joie qu’aux bergers de Bethléhem. Vraim
e ici, ailleurs, là-bas ou là-haut ? Dieu le sait, et je suis là à la porte de l’avenir, me résignant à tout ce qui peut en s
s délices dans une assiette de soupe chaude qu’on lui a servie sur la porte , se passant fort bien de soleil. Je puis donc bie
de Dieu, l’ange et la Vierge. Voilà de quoi me plaire ici et murer ma porte à tout ce qui se voit ailleurs. » XLVIII A
59 (1894) Journal des Goncourt. Tome VII (1885-1888) « Année 1886 » pp. 101-162
avaient hier, à la soirée où elles iront demain, ou même derrière la porte du salon, qu’elles espèrent voir pousser par un m
re une aristocratie. Jeudi 18 mars Je trouve aujourd’hui sur la porte de Robert Caze : Porte fermée par ordre de médeci
Jeudi 18 mars Je trouve aujourd’hui sur la porte de Robert Caze : Porte fermée par ordre de médecin. Le frère de Robert m
l, où sont Huysmans, Vidal, un peintre impressionniste. De là, par la porte ouverte, j’entends les glouglous de toutes sortes
uemond. Quand on descend l’escalier, d’une pièce silencieuse, dont la porte est ouverte, tout à coup s’élève une plainte sang
in nous mène à son atelier près de l’École-Militaire, voir sa fameuse porte , destinée au palais futur des Arts décoratifs. C’
s répandus à terre, Rodin nous fait voir de tout près un détail de sa porte . Ce sont d’admirables torses de petites femmes, d
plein de juifs, et, à toute minute des coupés, comme on en voit à la porte de l’église Saint-Augustin, jetaient un israélite
le concierge faisait signe d’entrer à ceux qui se présentaient sur la porte , et dont la figure lui plaisait. Le voilà comme l
ar les rues, comme une troupe d’Anglais, demandant aux gens sur leurs portes , le fameux « chemin de Henri IV » qui était tout
est venu aujourd’hui à Auteuil, tout simplement pour me jeter par la porte , cette phrase : « Vous savez L’Embarquement pour
ascenseur ? me jette le concierge. Grande antichambre, où donnent les portes d’un tas de pièces entrebâillées, dans lesquelles
60 (1888) Les œuvres et les hommes. Les Historiens. X. « M. Gaston Boissier » pp. 33-50
, d’éclectisme et de paganisme. Comment donc ! il en a pour forcer la porte de toutes les classes de l’Institut. Car toutes l
il y rapporte et qu’il y groupe. S’arrêterait-il aux bagatelles de la porte  ? — Et c’est le mot, ici, puisque le Christianism
va faire son entrée (veut-il nous faire croire) dans le monde, par la porte du paganisme. Le philosophe serait-il, en lui, co
is, et on jeûnait le jour du Sabbat. On introduisait chez soi, par la porte dérobée, — (la porte dérobée, c’est vous, qui vou
jour du Sabbat. On introduisait chez soi, par la porte dérobée, — (la porte dérobée, c’est vous, qui voulez faire entrer par
61 (1856) Cours familier de littérature. I « Ier entretien » pp. 5-78
rt d’un caveau souterrain muré depuis longtemps et dont on enfonce la porte . Une image champêtre ou un sentiment pastoral de
eux. On voit les femmes et les jeunes filles sortir à demi vêtues des portes des chaumières, et peigner leurs longs cheveux av
si vers les cimes, on voit briller dans les chaumières, à travers les portes ouvertes, la flamme des fagots allumés par les fe
les derniers de la maison en glissant la clef par la chatière sous la porte  ; l’homme tient à la main ses lourds outils de tr
avail, le pic, la pioche ; sa hache brille sur ses épaules ; la femme porte un long berceau de bois blanc dans lequel dort so
je passais dans le sentier qui bordait le mur de la maison fermée, la porte du jardin se trouva par hasard entrouverte ; mon
vait troublé le mystère. Elles fermèrent à grand bruit l’une des deux portes de la maison qui ouvrait sur le péristyle ; les c
essus de la portée du regard des hommes, et que ces fenêtres et cette porte se sont fermées ; c’est contre les hommes curieux
l’une d’elles, au bruit de nos pas, entrouvrit presque furtivement la porte qui s’était refermée sur elles ; elle la referma
venu avec moi sur la galerie, M. de Valmont, au lieu d’ouvrir une des portes de la maison, monta devant moi une échelle de boi
reux. Les années ne me pèsent pas encore, mais elles me comptent ; je porte plus péniblement le poids de mon cœur que celui d
62 (1827) Génie du christianisme. Seconde et troisième parties « Seconde partie. Poétique du Christianisme. — Livre quatrième. Du Merveilleux, ou de la Poésie dans ses rapports avec les êtres surnaturels. — Chapitre XIV. Parallèle de l’Enfer et du Tartare. — Entrée de l’Averne. Porte de l’Enfer du Dante. Didon. Françoise de Rimini. Tourments des coupables. »
apitre XIV. Parallèle de l’Enfer et du Tartare. — Entrée de l’Averne. Porte de l’Enfer du Dante. Didon. Françoise de Rimini.
rien n’est plus effrayant que cette solitude. Bientôt il arrive à la porte , où se lit la fameuse inscription : Per me si va
peler de ce nom ce qui n’avait point de formes, se tenait debout à la porte . Elle était sombre comme la nuit, hagarde comme d
63 (1800) De la littérature considérée dans ses rapports avec les institutions sociales (2e éd.) « Première partie. De la littérature chez les anciens et chez les modernes — Chapitre XI. De la littérature du Nord » pp. 256-269
mer, au bruit des vents, dans les bruyères sauvages ; celle enfin qui porte vers l’avenir, vers un autre monde, l’âme fatigué
e la vie peuvent varier cette disposition à la mélancolie ; mais elle porte seule l’empreinte de l’esprit national. Il ne fau
une rêverie céleste qui fait aimer la campagne et la solitude : elle porte souvent le cœur vers les idées religieuses, et do
fait disparaître ce cortège d’imagination qui environnait l’homme aux portes du tombeau. La nature, que les anciens avaient pe
64 (1888) Préfaces et manifestes littéraires « Japonisme » pp. 261-283
nt, qu’un homme de Satzuma, le trouvant étendu dans un ruisseau, à la porte d’une maison de thé, et le croyant ivre-mort, lui
l se mit à jouer. Puis brusquement : Je sors. » Il se dirigea vers la porte . Aussitôt sa femme ramassa son chapeau de ronin,
eur. Ils escaladent la palissade. Ils enfoncent à coups de marteau la porte intérieure. Ils égorgent les samouraïs de Kotsuké
que. Et je me mis à fouiller mes albums, et je trouvai le recueil qui porte pour titre : Sei tû Guishi deu (Les Chevaliers du
65 (1860) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (première série). I « VI. Jules Simon »
’est pas perdu ! Il y a le Dieu de la conscience naturelle que chacun porte avec soi et en soi, comme le sauvage porte son ma
ience naturelle que chacun porte avec soi et en soi, comme le sauvage porte son manitou à sa ceinture. C’est à ce Dieu excess
en leur témoignant tous les respects ! Platon mettait les poëtes à la porte de sa république avec des couronnes ; le Platon d
le Platon de la maison Hachette veut mettre toutes les religions à la porte de tous les cœurs en se prosternant devant tous l
66 (1911) Études pp. 9-261
umain : Ô Roi ! ô Roi ! Tu t’élevais vers la fixité comme l’Ange qui porte le sceau de la vie134 ! Et voici que dans ton tr
mplement la fadeur galante du xviiie  siècle. Mais les sentiments que porte cette musique, ont l’élan pur et direct des larme
puiser en lui-même un don qui toujours se dissipe. La volonté qui le porte ne cesse de faiblir et toujours retombe à l’océan
asse au bord d’une certaine mer. Nous nous y évadions, connaissant la porte secrète, et le monde ne nous était plus rien. Com
calculée. On ne peut manquer de sentir, en lisant l’Immoraliste ou la Porte Étroite, combien le style en est volontaire ; il
7. Il est pareil à un oiseau ouvrant ses belles ailes pâles. Dans la Porte Étroite et dans Isabelle les mots deviennent de p
e immuable ; elle n’est pas la même dans le Voyage d’Urien et dans la Porte Étroite. Les livres de la première période, au li
e composition distincte. — Le drame que racontent l’Immoraliste ou La Porte Étroite, est contenu à l’avance dans l’âme des hé
us à manifester la terrible résurrection de Michel ? entre ceux de La Porte Étroite, sinon qu’ils s’entendent tous pour rendr
, il devient d’un coup ce qu’il attendait d’être. Le dénouement de La Porte Étroite, c’est un accomplissement silencieux, une
là-bas encore262. Et vers toutes les nourritures terrestres l’âme se porte à la fois ; des groupes d’amours germent en elle,
es ne se lâchent pas les mains, elles ne peuvent passer par l’étroite porte de l’affirmation qu’on ne franchit que par un ren
e que fut pour moi le désert — de diverse monotonie322. * *    * La Porte Étroite est de toutes ses œuvres celle que Gide a
ire les heures merveilleuses et vaines. Dès la première lecture de La Porte Étroite, même si l’on ne veut pas encore écouter
nous éprouvons ici cette détresse ravissante, ce plaisir frustré. La Porte Étroite est l’histoire de deux âmes timides qui f
ions qui le divertissaient.   Mais il est plus aimable de comparer la Porte Étroite tout entière à cette matinée radieuse et
e Retour de l’Enfant Prodigue, Amyntas (Le Renoncement au Voyage), la Porte Étroite ajoutent à l’Immoraliste, indiquent le to
Est-ce à dire qu’il faille considérer Gide comme déjà chrétien et la Porte Étroite comme un livre religieux ? Seuls peuvent
e, Tome IX, 1907 Bethsabé, dans Vers et Prose, Tome XVI, 1908-09 * La Porte Étroite, récit, Librairie du Mercure de France, E
Étroite, récit, Librairie du Mercure de France, Edit. in-18, 1909 La Porte Étroite, récit, Librairie du Mercure de France, E
ritures Terrestres, p. 83. 221. « … Une vie au monotone cours… » La Porte Étroite, p. 54. 222. Dans les Cahiers d’André Wa
tion de la lumière ? » (Les Nourritures Terrestres, p. 61.) 233. La Porte Étroite, p. 56. 234. Les Nourritures Terrestres
Les Nourritures Terrestres, p. 180. 235. Amyntas, p. 9. 236. La Porte Étroite, p. 37. 237. L’Immoraliste, p. 253. 23
36. La Porte Étroite, p. 37. 237. L’Immoraliste, p. 253. 238. La Porte Étroite, p. 246. 239. Le Voyage d’Urien, p. 63.
ves, le discernement défini qui sont ses meilleures vertus. 249. La Porte Étroite, p. 37. 250. 3 Cf. Nouveaux Prétextes
148.) 258. Cependant il refuse encore ce titre à l’Immoraliste, à la Porte Étroite, à Isabelle, qu’il ne veut considérer que
150. 322. Amyntas, p. 255-256. 323. « On trouve à l’origine de La Porte Étroite, si étonnant que cela paraisse, une inten
end Henri Ghéon à la fin d’un très intéressant article, intitulé : La Porte Étroite et sa fortune, qui parut dans le Tome XXI
oite et sa fortune, qui parut dans le Tome XXI de Vers et Prose. — La Porte Étroite reprend, en le précisant, le sujet du vag
et du vague roman esquissé dans Les Cahiers d’André Walter. 324. La Porte Étroite, p. 57. 325. La Porte Étroite, p. 59. C
Les Cahiers d’André Walter. 324. La Porte Étroite, p. 57. 325. La Porte Étroite, p. 59. Cf. p. 190 : « C’était par un cla
contraction de l’âme qu’elle craignait en moi. » (p. 169.) 327. La Porte Étroite, p. 170. Cf. p. 63 : « La vie avec elle m
que cet immense bonheur, que j’entrevois, ne l’effraie ! » 328. La Porte Étroite, p. 204. 329. Ibid. p. 228. 330. La
! » 328. La Porte Étroite, p. 204. 329. Ibid. p. 228. 330. La Porte Étroite, p. 241. Jérôme, lui aussi, connaît « ce
rant et sanglotant dans la nuit ». “ Mais la retenir, mais forcer la porte , mais pénétrer n’importe comment dans la maison,
alors celui qui ne me comprend pas à présent. » (p. 206.) 331. La Porte Étroite, p. 219. Cf. Les Nourritures Terrestres,
ienheureux qu’il soit je ne puis souhaiter un état sans progrès. » La Porte Étroite, p. 221 « J’aimais l’étude du piano parce
0. 333. Nouveaux Prétextes, p. 172 : « À propos d’un article sur la Porte Étroite. » 334. « C’est par noblesse naturelle,
sume est ardu, plus il éduque l’âme et l’élève. » (p. 121.) 336. La Porte Étroite, p. 166. 337. Ibid. p. 205. 338. Avec
rent de ses yeux, tandis qu’elle répétait encore : le meilleur ! » La Porte Étroite, p. 205. 346. Prétextes, p. 114. 347
67 (1888) Revue wagnérienne. Tome III « V »
aisse. La foule, d’ailleurs, hurlait dans les couloirs, écrasée à des portes closes, et deux pauvres petites danseuses brûlaie
mais, comme c’est un mot, c’est-à-dire un être, même ainsi usurpé, il porte , en sa profanation suprême, le simple mensonge de
t, à l’Hôtel Continental, au prix de 12 francs 50 par tête. M. Schuré porte un toast et lit une adresse ; un second toast est
.   Les affiches : La première affiche posée sur les colonnes Morris, porte « très prochainement première représentation… » e
hainement première représentation… » elle est du 21 avril. La seconde porte « mardi prochain 26 avril première… », du 23. La
hengrin (esquisse très complète), donnée par Wagner à madame Laussot, porte la date d’achèvement du 5 mars 1847. Mois wagn
intéressant de voir que Wagner n’a jamais condamné l’homosexualité et porte même l’amour grec des athéniens au plus haut étan
68 (1889) Le théâtre contemporain. Émile Augier, Alexandre Dumas fils « Émile Augier — CHAPITRE VII »
e père, resté seul, retouche un grand tableau de son Fils, une petite porte s’ouvre furtivement : il se fait une rumeur parei
es yeux éclatants de larmes et de larmes. Elle mit son vainqueur à la porte . Il en sortit comme par un arc de triomphe, fou d
our, mais que les maîtresses ne font pas tort à l’épouse : L’auberge porte-t -elle ombrage à la maison ? Cette fois, c’en est
uet un moujik sur qui son caprice serait descendu. Elle lui montre la porte , elle va lui montrer la fenêtre, lorsque ce bon j
rs. « Reconduisez monsieur ! » dit-elle au valet qui se présente à la porte . La chute est mesquine pour une situation de cett
ythère. Si Catherine avait un père ou un frère, ce n’est point par la porte que le baron ferait sa sortie. Elle ne peut que l
inutiles, pour s’emparer d’une fortune qui mettra son assaillant à la porte aussitôt qu’il y aura installé le prétendant pour
69 (1862) Cours familier de littérature. XIV « LXXXe entretien. Œuvres diverses de M. de Marcellus (3e partie) et Adolphe Dumas » pp. 65-144
lez-vous pas me préparer un char élevé, aux fortes roues, afin que je porte vers le fleuve, pour les laver, les précieux vête
sublime définition de Dieu. « Je parle pour les initiés ; fermez les portes sur les profanes, tous ensemble ; mais toi, ô Mus
s. Huit jours après avoir publié ce volume, qui devait lui ouvrir les portes de l’Académie française, but mondain de sa vie d’
t, de l’infortune et du désespoir. XIII Au milieu de la rue qui porte aujourd’hui le nom de rue Lamartine, nom qui s’in
s sur des devantures aux vitres cassées. De distance en distance des portes d’allées, souvent solitaires et silencieuses, sur
sur des cours tortueuses au fond desquelles on entrevoit de vieilles portes grillées comme des restes d’anciens couvents, de
i, et, ne voyant plus personne, regagne seul son domicile, referme la porte de la cour et remonte, un livre à la main, dans s
rs, coupés de sentiers qui s’entrecroisent pour aller chercher chaque porte , sont pleins d’ombre et resplendissants de soleil
belle quoique pâle et maigre sous ses haillons, regarde, adossée à la porte , le jeu des enfants, et suit de l’œil avec curios
ue de ce cloître, qu’une jolie petite fille de douze ans m’indiqua la porte du poète. On voyait, à l’empressement et à la com
aux souffles du printemps, que vous allez respirer sur le seuil de sa porte avec ses petits enfants. Il avait une grosse larm
ombe adorée. Un chien de boucherie, un chien l’a dévorée         À la porte de ma maison. Comment ? je n’en sais rien, Dieu
70 (1891) Journal des Goncourt. Tome V (1872-1877) « Année 1874 » pp. 106-168
sa nomination à la direction des Beaux-Arts, craignant un peu qu’à sa porte , on ne m’apprenne qu’il habite maintenant des lam
leur service, se hâter avec des gestes hagards, les yeux fixés sur la porte de sortie. Dans les escaliers, dégringole silenci
i, à Mlle *** rentrant du dehors, au moment, où je poussais la petite porte battante du parc : « Je viens de faire des acquis
de la pièce faite, les cloisons soudées, l’ouvrier, sur le pas de sa porte , a devant lui un plat de feu, une espèce de four
hinois le possède, pour en jouir, et s’en délecter, lui tout seul, la porte fermée, dans une heure de repos, de tranquillité,
nnes, tant de fleurs. En sortant du cimetière, je me suis croisé à la porte , avec Dubois de l’Estang qui, en me donnant la ma
la princesse, de la retrouver, de la voir, comme s’ils poussaient la porte de cet atelier, gardé dans la cendre d’une Pompéi
s ; un petit chronomètre disant l’heure du jour. La galerie du bureau porte , entre deux bouquets de violettes artificielles,
les, un minuscule bronze du grand Empereur en César romain. Devant la porte qui mène au lac d’Enghien, un vrai capharnaüm. Au
ge, dont la princesse use pour une inflammation de gencives. Après la porte recommence le panneau, et c’est un bahut hollanda
dans l’atelier. Ces deux grands tableaux, placés aux deux côtés de la porte de sortie, représentent tous deux des paons : l’u
ne dit pas un mot, mais m’indique, d’un bras théâtralement tendu, la porte … Je ramasse mon carton, tout en me disant à moi-m
71 (1857) Cours familier de littérature. IV « XXe entretien. Dante. Deuxième partie » pp. 81-160
êt. » Ézéchias avait dit avant lui : « Au milieu de ma vie j’irai aux portes des enfers ! » « Comment j’y pénétrai », continu
ans son empire. » Dante le remercie de vouloir bien le conduire à la porte de saint Pierre (allusion au paradis ouvert ou fe
z à jamais toute espérance ! » Dante la lit en lettres noires sur la porte . Le bruit confus et strident des sanglots, des im
« Telles que deux colombes, attirées par le désir, fendent l’air qui porte leur vol, et viennent, les ailes ouvertes et sans
s avions déjà quitté l’ombre de ce traître qui ouvrit aux ennemis les portes de Faënza pendant le sommeil de la ville, quand j
rmer et sceller pour jamais, à l’étage inférieur de la tour, la seule porte par laquelle on y pénétrait, d’où je regardai au
aisit le père jusqu’à le pétrifier au bruit inusité des verrous de la porte basse qu’on scelle et qu’on rive pour jamais. Ils
s, où les cinq victimes se taisent de peur que le son de leur voix ne porte un coup de plus au cœur les uns des autres. Ils s
nocence, beaux dans leur ignorance de la signification du bruit de la porte qu’on mure sur eux, beaux dans leur songe quand i
pour expliquer en ce sens l’éternité des peines et pour effacer de la porte de l’enfer ce vers infernal du Dante : Abandonne
oète, « pâlirent du prodige. « Et, de même qu’un messager de paix qui porte la branche d’olivier à la main entraîne sur ses p
ntrant la race perdue des damnés. — C’est pour cela que je visitai la porte des morts, et que mes prières et mes larmes furen
72 (1913) Essai sur la littérature merveilleuse des noirs ; suivi de Contes indigènes de l’Ouest-Africain français « Contes — XVIII. La bague aux souhaits »
le fleuve et rendez-vous à la case de votre maître. Vous y trouverez porte close, mais cela ne fait rien ! vous entrerez qua
. Le chat est parti avec le chien qui reste à faire le guet devant la porte . Il vole la bague et tous deux reprennent leur ch
femme et le kélé. Le chat se place près du lit et le chien devant la porte à l’intérieur de la case. Après avoir regardé la
73 (1862) Cours familier de littérature. XIV « LXXXIVe entretien. Considérations sur un chef-d’œuvre, ou Le danger du génie. Les Misérables, par Victor Hugo (2e partie) » pp. 365-432
oute humanité, pour qu’en frappant dans cette extrémité à la première porte venue où il y avait du pain noir ou blanc dans la
r à l’innocence des enfants ou à la pénurie des vieillards, à quelque porte que Dieu vînt y frapper par la main de ces privil
rappez et on vous ouvrira ? N’y a-t-il pas une Providence derrière la porte  ? Moi. C’est vrai, mon ami ! J’habite depuis soix
rtions, souvent par des mains indirectes. On peut mourir de faim à la porte des palais, jamais à la porte des chaumières. Or
indirectes. On peut mourir de faim à la porte des palais, jamais à la porte des chaumières. Or le village de Faverolles n’éta
Sa mauvaise mine et son air de loup parqué lui font fermer toutes les portes  : c’est naturel ; à qui s’en prendrait-il ? C’est
e son sac, pouvant servir au triple usage, dit l’auteur, de forcer la porte de l’armoire où l’on a eu l’imprudence héroïque d
mahométan du sépulcre, eût rebroussé chemin, et eût cru se tromper de porte ….. « Il semblait mourir parce qu’il le voulait ;
d il l’a louée. Si la maison ne payait pas, il faudrait en forcer les portes pour loger les dix millions de prolétaires qui n’
famille, car c’est l’impôt payé par le propriétaire de murailles, de portes et de fenêtres, qui sert à salarier le travail du
74 (1863) Cours familier de littérature. XVI « XCIIe entretien. Vie du Tasse (2e partie) » pp. 65-128
rative. Peu de jours après, Alphonse vint en effet ouvrir lui-même la porte au poète, et, pour hâter sa convalescence, il l’e
enne amitié qui exista entre nous, par la grande affection qu’elle me porte et par sa charité chrétienne, d’agir envers moi,
rveillance de deux serviteurs de la cour. La fuite était facile. Tout porte à croire qu’elle fut favorisée par la tendre piti
les chemins fréquentés, s’enfonça dans les gorges des Apennins. Tout porte à croire aussi qu’il ne fut point poursuivi dans
t et plus vraisemblable, qu’il arriva enfin quelques jours après à la porte de sa sœur. Ici, nous le laisserons, pour ainsi d
devant s’étendait une pelouse plantée d’arbres ; de chaque côté de la porte il y avait un escalier de vingt-cinq belles march
arches. À l’entrée était un salon assez grand et presque carré ; deux portes à droite et deux portes à gauche conduisaient à d
un salon assez grand et presque carré ; deux portes à droite et deux portes à gauche conduisaient à différents appartements ;
ême disposition était répétée dans les autres étages. Vis-à-vis de la porte par laquelle nous étions entrés, il se trouvait u
de la porte par laquelle nous étions entrés, il se trouvait une autre porte qui donnait sur un escalier par lequel on descend
75 (1766) Le bonheur des gens de lettres : discours [graphies originales] « Le Bonheur des gens de lettres. — Seconde partie. » pp. 35-56
ouvoir. Or, l’homme de Lettres amoureux dès l’enfance, de tout ce qui porte l’empreinte de la pensée & du sentiment, s’éc
sentes les esprits de révolte étendus sur le lac enflammé ; leur Chef porte sur son front cicatrisé l’empreinte de la foudre 
vois tomber dans le gouffre immense de la désolation ; j’entends les portes de l’effroyable abîme se refermer pour jamais, &a
heureux destin au-dessus de ses revers, & même il les oublie ; il porte en lui un trésor que ne peut lui arracher la Fort
s Muse ; la mort s’avance & tu ne l’apperçois pas ; ton œil ne se porte que vers l’immortalité. Je vois Tompson monté sur
76 (1880) Les deux masques. Première série. I, Les antiques. Eschyle : tragédie-comédie. « Chapitre XV, l’Orestie. — les Choéphores. »
cessent de converser avec lui, comme on parle du dehors, à travers la porte , à un homme enfermé dans sa maison close. Le mort
ants sauvent la renommée du père qui n’est plus, pareils au liège qui porte le rets et l’empêche de s’enfoncer dans l’abîme. 
ve de garde — Παι ! Παι ! — résonne comme un marteau d’airain sur une porte d’où des condamnés vont sortir. C’est avec l’acce
ser Égisthe dans le piège ouvert. La mort l’attend debout derrière la porte où il l’a embusquée dix années avant : Égisthe en
ment des Choéphores fait à celui d’Agamemnon un pendant sinistre. Les portes rouvertes, deux cadavres étalés sous les yeux du
77 (1889) Le théâtre contemporain. Émile Augier, Alexandre Dumas fils « Alexandre Dumas fils — Chapitre XI »
eu s’est rendu coupable envers le fils de ses œuvres. Sternay, qui se porte à la députation, voit dans ce fils arrivé un prot
une rapidité fantastique, la plus brillante des carrières. Toutes les portes du succès et de la faveur s’ouvrent, à deux batta
léchir et de désarmer. Quand on entre dans le paradis, on laisse à la porte les ressentiments et les haines. Tout au contrair
it ses cinq cent mille francs, et la terre de Boisceny, dont son fils porte le nom, à ce personnage élégiaque. Elle a veillé
entilhomme que le comte de la Rivonnière. Il a cinquante ans, mais il porte haut sa tête grisonnante, que l’âge semble poudre
78 (1887) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (deuxième série). IX « Μ. Ε. Renan » pp. 109-147
des derniers tableaux de Gérôme au Salon, en voici un tas, comme à la porte d’une mosquée. Il y a celles de Goethe, celles de
lui par avance, en lui donnant sa figure », mais, comme les pages, il porte les queues… Cette fois, c’est celle de Platon, da
de Platon, dans la forme extérieure de son livre, en attendant qu’il porte celle de bien d’autres dans le courant de ce même
ouper la queue à son chien ? Mais M. Renan tire tant sur celles qu’il porte , qu’il les fait grimacer et les rend ridicules et
son Institut lui trouvaient du goût littéraire assez pour entrer à la porte à côté, dans l’autre Académie. Ils ont dû être un
es de l’avenir. C’est, au reste, le mot du diable ; car M. Renan, qui porte toutes les queues humaines, porte celle du diable
e mot du diable ; car M. Renan, qui porte toutes les queues humaines, porte celle du diable par-dessus toutes les autres. « Q
n’y avait dans ce volume que la personnalité de Marc-Aurèle, dont il porte le nom, l’examen serait bientôt fait d’un livre q
79 (1902) Les œuvres et les hommes. Le roman contemporain. XVIII « Ferdinand Fabre »
re a l’insouciance de toutes ces fatigantes puérilités. Son talent se porte bien ; seulement, je lui trouve un peu de séchere
ent à la main le glaive de feu rouge que tenait l’autre Archange à la porte du Paradis, quand Dieu en chassa Adam et Ève. Il
Paradis, quand Dieu en chassa Adam et Ève. Il a gardé l’Église et ses portes comme l’autre les portes du Paradis. Sixte, énorm
assa Adam et Ève. Il a gardé l’Église et ses portes comme l’autre les portes du Paradis. Sixte, énorme quand on le compare aux
80 (1763) Salon de 1763 « Peintures — Hallé » p. 199
d’une table. Abraham est debout devant eux. Sara écoute derrière une porte . L’Abraham est très mal drapé. On ne sent nulle p
et les petites cornes. Et cette figure mesquine de femme derrière la porte , c’est une servante que vous ne me ferez jamais p
81 (1867) Cours familier de littérature. XXIII « cxxxiiie entretien. Littérature russe. Ivan Tourgueneff »
che avec des hurlements, se couchaient à plat ventre sur le seuil des portes , baissaient la tête, levaient les pieds en l’air
e qui était alors en pleine croissance. La calèche s’arrêta devant la porte . M. Pénotchkine se leva, fit tomber, par un mouve
l’hiver avec des doigts glacés par la gelée. Il se tenait près de la porte et tournait continuellement la tête comme s’il s’
ntes du valet de chambre. Quoiqu’il me masquât presque entièrement la porte , j’aperçus derrière lui, dans la première pièce,
’on refuse d’abord de les recevoir. À la fin le meunier entr’ouvre sa porte , il les engage à aller passer la nuit dans un han
ée. Le forestier conduisit mon cheval jusqu’au perron, et frappa à la porte . — Voilà ! voilà ! cria une petite voix ; puis un
le par une lisière, parut, une lanterne à la main, sur le seuil de la porte . — Éclaire au maître, lui dit mon hôte, et moi je
— Tu es la fille du forestier ? — Oui, me dit-elle en balbutiant. La porte s’ouvrit en criant, et le forestier ayant baissé
a-t-il à demi-voix en me montrant l’enfant. Puis, il s’approcha de la porte  : mais il s’arrêta et se retourna de mon côté. —
ller voir ce que fait votre cheval. Il sortit en tirant avec force la porte après lui. Je me mis de nouveau à examiner l’inté
ui-ci par la nuque, il lui enfonça son bonnet sur les yeux, ouvrit la porte , et le poussa dehors. — Va-t’en au diable, avec t
s… Cela dit, le forestier rentra tranquillement dans l’isba, ferma la porte , et se mit à remuer je ne sais quoi dans un coin.
rt de votre ami a naturellement dérangé ses nerfs ; quant à moi je me porte fort bien grâce à Dieu, et j’ai l’honneur d’être,
es auberges sous les auvents desquels fument des samovar, et dont les portes cochères, grandes ouvertes, laissent plonger vos
ieu d’antichambre dans les maisons des paysans russes. Le seuil de la porte est ordinairement très-haut. 12. Logement d’été,
82 (1867) Nouveaux lundis. Tome VIII « Marie-Antoinette (suite et fin.) »
ue, ou du moins dans une intention évidente de le rassurer : « Je me porte bien, soyez tranquille. En oubliant où nous somme
avez reçu ma lettre de mercredi, qui vous aura un peu rassuré. Je me porte bien, et malgré toutes les méchancetés qu’on ne c
s ; on s’y fait, monsieur le comte. Le roi a une grâce d’état ; il se porte aussi bien que si rien n’était arrivé… » Tout à
ont commencé et n’ont pas discontinué jusqu’à l’Hôtel de Ville. À la porte de Paris, M. Bailly avait présenté au roi les cle
des 5 et 6 octobre, on peut s’attendre à tout. L’assassinat est à nos portes . Je ne puis paraître à une fenêtre, même avec mes
, d’ailleurs, dans aucun des deux recueils, chaque lettre imprimée ne porte -elle pas avec elle l’indication précise de la pro
83 (1868) Les philosophes classiques du XIXe siècle en France « Chapitre III : M. Maine de Biran »
est pas sûr qu’ils lisent un de ses volumes jusqu’au bout. J’habitais porte à porte avec un jeune médecin rue Mazarine, et de
sûr qu’ils lisent un de ses volumes jusqu’au bout. J’habitais porte à porte avec un jeune médecin rue Mazarine, et depuis six
ni que M. de Biran. Je vois d’ici la scène ; les gens frappaient à la porte de M. Cousin : « Daignez, monsieur, nous explique
des acquises. Ils n’ont qu’une philosophie personnelle. Leur doctrine porte  l’empreinte de leurs facultés ; leur méthode mani
vous ne commandez qu’à des intermédiaires. L’action de la volonté ne porte point sur le muscle, mais sur le cerveau ; l’obje
la science, ramenée dans le lit où elle coule depuis deux siècles, se porte entière et d’un élan vers son terme unique et mag
84 (1870) Portraits contemporains. Tome II (4e éd.) « Mme DESBORDES-VALMORE. (Pauvres Fleurs, poésies.) » pp. 115-123
ur égarer l’essor de vos mélancolies ; ……………. Si votre livre au temps porte une confidence, Vous n’en redoutez pas l’amère pé
n seul droit au ciel, et j’y frappe pour eux Elle frappa à d’autres portes encore ; et son humble voix, enhardie dès qu’il l
es de l’entendre quand elle parla d’amnistie. Qu’on lise la pièce qui porte ce titre, et celle encore qu’elle a adressée, apr
85 (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Première partie — Section 18, que nos voisins disent que nos poëtes mettent trop d’amour dans leurs tragedies » pp. 132-142
d’autres sont allez de vie à trepas pour avoir voulu rompre dans les portes d’une ville ennemie leur lance enrichie des livré
chelle de corde dans l’appartement de sa femme, que d’y entrer par la porte . Un troisiéme est descendu dans une fosse aux lio
its dont la morsure les desespere. Telle est l’églogue de Virgile qui porte le nom de Gallus.
86 (1894) Journal des Goncourt. Tome VII (1885-1888) « Année 1885 » pp. 3-97
eval, le chien. Nos artistes n’ont pas cette espèce de tendresse, qui porte les artistes de l’Orient, à dessiner, à sculpter,
nd on l’a manqué, on revient tout lentement. » Et encore à propos des portes , qu’ils ne ferment jamais : « Ils sont toujours d
èves de la tragédie, des gens qui ont grandi dans des maisons, où les portes se ferment par procuration. Ils ne se doutent pas
de la vie moderne, que ça donne à une scène, le monsieur qui ferme la porte , par laquelle il entre. » « Ne croyez-vous pas, q
 mal entendues dans la préoccupation du ver rongeur qui l’attend à la porte , et de son déjeuner en retard, au moins d’une heu
se la perpétuité de ces haines littéraires ! Elles nous ont jeté à la porte du théâtre, où certainement nous aurions fait que
ueulée, dans ces bouffées de bruit qui jaillissent, par instants, des portes et des fenêtres fermées du théâtre. Enfin je n’y
n’y peux tenir, après dix tours de l’Odéon, je me décide à pousser la porte battante de l’entrée des artistes, je monte l’esc
et de l’espérance de tous que mon succès va ouvrir à deux battants la porte au théâtre réaliste. En rentrant à quatre heures
à jupe, qui lui fait des hanches, comme s’il avait une crinoline, et porte un pantalon de laine blanche, qui semble un caleç
Jeudi 18 juin Pélagie revenant de chez Malhéné, me jette de la porte  : « Il faut demain que Blanche entre à l’hôpital…
. » Ce soir, avant dîner, en descendant au jardin, j’aperçois, par la porte entrebâillée, la pauvre enfant frottant quelque c
s d’une balle dans la hanche. La barricade prise, il la relève, et la porte lui-même à l’ambulance, et s’intéressant à la ble
haut d’un escalier, où il ne reste plus une seule marche, une petite porte presque bouchée par deux arbres, poussés d’une se
anes, ses auvents d’habitations tapissées d’une plante grimpante, ses portes aux portières de toile. Et dans ces rues abritées
le avec quelques gouttes de laudanum tirées d’une petite fiole, qu’il porte toujours sur lui, et qui vient de jeter l’effroi
87 (1895) Impressions de théâtre. Huitième série
mande justice contre un certain Thalès qui est venu de nuit forcer la porte de sa maison, et a voulu lui enlever une de ses p
s lumières… « Bref, citoyens, reprend-il, j’ai été roué de coups ; la porte de ma maison a été défoncée (et je paye le tiers
est en soi que misère et qu’ennui, En quelque lieu qu’il aille, il se porte lui-même Et rencontre la croix qu’il y porte avec
lieu qu’il aille, il se porte lui-même Et rencontre la croix qu’il y porte avec lui… Cela, pour « traduire » trois lignes d
avec lui… Cela, pour « traduire » trois lignes du texte, sans plus. Porte -la de bon cœur, cette croix salutaire Que tu vois
série d’attitudes, à des moments divers, de la femme qui puise ou qui porte ou qui verse de l’eau, et, parallèlement, ces sér
et protesterait de toutes ses forces ; et l’on craindrait qu’il ne se porte à quelque extrémité fâcheuse. Mais il adviendrait
d ! Puis, quand elle a reçu le coup, le beau cri ! Toute sa colère se porte — naturellement — sur le mauvais messager. Elle l
iblement l’escalier du palais, en traînant le cadavre de son fils. La porte s’ouvre, et il aperçoit, au fond du vestibule, le
, je les réunis trois à trois avec de l’osier tendre… Celui du milieu porte un homme ; les deux autres, marchant à ses côtés,
sion de fidèles. Dans le même moment, Clara, la paralytique, ouvre la porte de sa chambre et marche vers son mari, eu disant 
ulement s’ils s’entendaient parler. Mais ils se parlent à travers les portes fermées. Ils se redisent leur amour, si tristemen
s fenêtres. Ils croient que rien n’arrivera parce qu’ils ont fermé la porte et ils ne savent pas qu’il arrive toujours quelqu
toujours quelque chose dans les âmes et que le monde ne finit pas aux portes des maisons… Ils sont si sûrs de leur petite vie,
avantage ; et que moi, pauvre vieux, je tiens ici, à deux pas de leur porte , tout leur petit bonheur, comme un oiseau malade,
rrive dans le jardin sombre. Le vieillard s’est décidé à frapper à la porte de la maison. On le voit, du dehors, entrer dans
s poèmes de M. Maeterlinck ; et, quand ce n’est pas un mur, c’est une porte  ; et, quand ce n’est pas une porte, c’est une fen
and ce n’est pas un mur, c’est une porte ; et, quand ce n’est pas une porte , c’est une fenêtre voilée de rideaux… Dans la Mor
ne fenêtre voilée de rideaux… Dans la Mort de Tintagiles, il y a deux portes . Et, la première fois, le petit prince est de ce
portes. Et, la première fois, le petit prince est de ce côté-ci de la porte  ; et, la seconde fois, il est de l’autre côté. La
Bellengère, égarée dans les corridors de la tour, a surprises par une porte entr’ouverte… Mais, d’abord, tout ce vague agrand
empoisonnés, ou étouffés entre deux matelas, ou poignardés entre deux portes . Et qu’avons-nous besoin d’être informés par le m
 car les deux sœurs et le vieil écuyer veillaient sur l’enfant, et la porte , entr’ouverte par des mains invisibles, s’est ref
tites mains. Au tableau suivant, c’est bien simple. Il y a une grande porte de fer sous des voûtes très sombres. Ygraine a mo
etit-Poucet), et cela lui indiquait son chemin. Elle arrive devant la porte de fer. Elle la tâte : « Oh ! elle est froide !….
es !… » Alors, on entend frapper à petits coups de l’autre côté de la porte  ; c’est l’enfant. « Sœur Ygraine, ouvre vite !… E
i petite !… On ne peut pas y passer une aiguille… » Ygraine frappe la porte à grands coups, à l’aide de sa lampe d’argile, qu
ds-toi, déchire-la !… Je vais t’aider… embrasse-moi… au travers de la porte … ici… ici… — Ici… ici ? dit l’enfant d’une voix t
raine !… Oh !… » Et l’on entend la chute d’un petit corps derrière la porte  ; et cela est terrible, parce qu’on n’a rien vu,
bien en faire autant. La vieille juive, indignée, mec l’ivrogne à la porte . Piotr arrive alors, c’est un petit hébreu grêle,
chien, le comte de Neipperg, blessé et poursuivi, entre par la petite porte de la boutique et supplie la belle blanchisseuse
e poudre : il s’étonne de la trouver fermée, a des soupçons, force la porte …, puis reparaît en disant : « C’est vrai, il n’y
joug des Césars, et je foulerai avec bonheur cette terre gauloise qui porte dam ses flancs les germes de l’avenir… » Elle y e
comment il passait son temps à Rome : « J’allais tous les jours à la porte Capène, ce rendez-vous élégant de l’opulence et d
re dit à la vierge : « Va, ma fille, auprès de l’empereur mourant, et porte -lui la bonne nouvelle. Qui sait s’il ne t’entendr
x pieds de Valentine, qui n’en peut mais, et les jette tous deux à la porte . L’abandonnée se réfugie alors, naïvement, chez s
ce qu’il nous présente ; et c’est de cela que je me plains. La pièce porte presque partout, je ne sais comment, un air d’ins
ouvant Dès lors Rémoussin sait ce qui lui reste à faire. Il sort ; il porte à un journal une lettre où il avoue sa faute, et
er ; elle met la lampe dans la main de Boubouroche, le pousse vers la porte de la chambre : « Je veux, entends-tu ? que tu vi
Dalila. Mais, tout à coup, Boubouroche bondit et se précipite vers la porte . « Que vas-tu faire ? dit Adèle. — Un compte à ré
èle. — Un compte à régler ; ne t’inquiète pas. » Il sort, laissant la porte ouverte. A cet instant passe sur le palier, regag
e réalise sans doute je ne sais quel idéal, ignoré de lui-même, qu’il porte en lui. Ah ! oui, les bourgeois sont bons. La pre
un morceau de craie, et il y a derrière lui un tableau noir ; l’autre porte une mandoline ; la jeune fille ne porte rien. Le
lui un tableau noir ; l’autre porte une mandoline ; la jeune fille ne porte rien. Le sorcier, un monsieur assez replet, en cu
Ma belle-mère », et que l’on s’offre entre gens du monde. Un écriteau porte cet avis : « On fait les noms à la minute. » Cela
ètres de façade, la plus minable, la plus lépreuse de toute l’avenue, porte ce mot en lettres énormes : « Attractions !! » Ri
elle se donne librement à lui, il ouvrira aux mélancoliques élus les portes de l’Enfer, et les laissera émigrer dans les îles
                   L’immuable dessein, Que depuis très longtemps Zeus porte dans son sein, D’attirer jusqu’à lui les moindres
mme tu l’as appris, Et le vouloir obscur d’innombrables esprits : Les portes de l’Eufer s’ouvriront pour les justes… Les adie
88 (1880) Goethe et Diderot « Introduction »
, et, chose lamentable ! c’était nous-mêmes qui lui avions ouvert nos portes . Elle était chez nous, non pas, comme à présent,
sin, ce grand indigent philosophique, qui avait demandé l’aumône à la porte de la philosophie écossaise, la demanda à la port
andé l’aumône à la porte de la philosophie écossaise, la demanda à la porte de la philosophie allemande, et Hégel lui donna ;
eur ministériel tombait bien ! Immédiatement justice fut faite, et la porte du journal où il écrivait fut fermée à l’auteur d
89 (1906) Les œuvres et les hommes. Poésie et poètes. XXIII « José-Maria de Heredia »
tain que l’ensemble des poésies de ce poète, qui a cette noble veine, porte la trace ou le souvenir d’une admiration que je n
vamment grillées. Mais il n’est point, d’après le commun proverbe, de porte de fer que ne brise un marteau d’argent. Les Sévi
lus loin, des éclats de voix, des rires, des battements de mains. Une porte s’ouvre. C’est une cour moresque tapissée d’arbus
 » Voilà la manière de José-Maria de Heredia, — de ce peintre qui ne porte pas pour rien, comme vous voyez, un nom espagnol.
90 (1865) Les œuvres et les hommes. Les romanciers. IV « M. Malot et M. Erckmann-Chatrian » pp. 253-266
sang que nous avons gâté, et que de son temps tout romancier, qui en porte le joug comme un autre homme, peut jeter ce cri à
mon Dieu ! peut-être : les imitateurs, qui cherchent leur vie à toute porte finissent bien toujours par trouver quelqu’un ou
fait vivre qui le fait mourir ! Le livre qu’il publie aujourd’hui ne porte pas ce nom de L’Illustre Docteur Mathéus pour mar
re de ces deux puissants génies malades une petite créature qui ne se porte pas trop mal, et qui nous trempe l’esprit comme u
91 (1903) Légendes du Moyen Âge pp. -291
petite chapelle très ancienne4 ; nous y entrâmes, car il n’y avait ni porte ni fenêtre pour la fermer, et nous y chantâmes un
pensions en être très éloignés quand nous nous trouvâmes en face des portes . Nous y descendîmes donc et nous entrâmes sous un
a environ vingt pieds de long, avec une belle coupole à pyramide qui porte en haut une belle croix ; dedans est le sépulcre,
ussi la trahison ; le tout est peint en clair-obscur14. Au pied de la porte de cette sépulture est la pierre que Roland tranc
eptionnel en cette saison. On sort de Saint-Jean-Pied-de-Port par une porte gothique, reste des anciennes fortifications ; le
e gros dés dont les fenêtres carrées seraient les points, par la même porte qui sert aux habitants. Le soir, à l’auberge, nou
tte basilique est carrée de tous côtés, mais le sommet est arrondi et porte une croix. On l’appelle charnier parce qu’elle se
ècle et affectée dès l’origine à la sépulture des pèlerins. Devant la porte de la chapelle du Saint-Esprit, on voyait, du tem
le croix de pierre, qu’on appelait jadis la Croix des Pèlerins ; elle porte des bas-reliefs grossiers, représentant le Christ
s a passés, on arrive sur « une petite placette carrée », devant deux portes de métal qui « jour et nuit battent sans cesse »,
aient pas revenus, en sorte que « de nulle chose qui soit au-delà des portes de métal ne se trouve nul qui le sache, fors par
solut de les voir. Il entra donc avec son écuyer. — Ayant franchi les portes de métal, ils se trouvèrent devant une grande por
yant franchi les portes de métal, ils se trouvèrent devant une grande porte de cristal. Ils appelèrent, et on leur demanda qu
réponse, on alla prévenir « la reine », et bientôt on leur ouvrit la porte  ; on leur fit d’abord changer leurs vêtements pou
enfonce, une chandelle à la main49, et suit le souterrain jusqu’à une porte de métal, portant sur chacun de ses battants un d
qui tient une tablette avec cette inscription : « Qui entre par cette porte et ne sort pas au bout d’un an vivra jusqu’au jug
toute l’élégance florentine : au-dessus d’un sarcophage un médaillon porte l’image délicatement modelée de Filippo, et sur l
tique, aux dragons, aux portes de métal qui battent toujours, et à la porte de cristal derrière laquelle est le paradis plein
ins on croyait que la Sibylle habitait l’intérieur de la montagne qui porte son nom, et qu’elle y régnait sur un « paradis »
en route après son crime, « vagabond et fugitif sur la terre », et il porte sur le front un signe qui le préserve au moins de
Pilate. Quand Jésus, condamné et entraîné par les Juifs, franchit la porte du prétoire, Cartaphilus le frappa du poing dans
de Jésus, le mot : « Tu m’attendras », et c’est sur cette attente que porte tout le récit. Au reste, Cartaphilus (que Mousket
L’édition qu’il place en tête est de Leipzig, 1602, in-4°, mais elle porte sur le titre : Neulich gedruckt zu Leyden. Graess
et, prenant son petit enfant dans ses bras, vint se placer devant sa porte . Quand Christ, portant sa lourde croix, arriva là
avec du fer très gros et si serré qu’un rat n’y passerait pas, et une porte basse de grosses planches toutes bardées de gros
à son plaisir, bien qu’il aille dégarni, sans bourse et sans sac ; il porte seulement la tunique avec un chaperon, il est cei
nde masse, qu’on montre encore, est attribuée à Olivier. 9. Le texte porte  : Fuori di detta Tema ad Occidenli quattro passi
y monter, bien que ce soit à très grand péril. » 47. C’est ainsi que porte l’imprimé ; le manuscrit a Wanbanbourg. Si wan es
Très jolie variante dans la version suisse : « Quand il sortit par la porte de la ville, il rencontra Notre Dame : — « Adieu,
is dans plusieurs chansons suisses et dans la chanson néerlandaise il porte des fleurs. 76. Purg., c. III, t. 45. 77. Grae
ipzig, 1884). Au reste, bien que la prétendue lettre de l’espion turc porte la date de 1644 (du quatrième jour de la première
neste, figurait sans doute dans le mystère sous le nom de Jean, qu’il porte toujours ailleurs. 117. L’Ebreo errante in Ital
oyage de Ser Mariano de Sienne, fait en 1431. Après avoir parlé de la porte par où Jésus sortit pour aller au Calvaire, il aj
’aspecterai tanto che io torni. Non ci è perdonanza. » 121. Le texte porte 341, mais Guillaume de Nangis, qui reproduit ce p
e. Dans l’un d’eux il s’écrie : « La haine cruelle et violente que je porte avec juste raison à mon père le fera, j’en ai peu
ans doute τοξευτἠς, qu’il a rendu par « sagittarius ». 145. Le texte porte μὴ μεταμελοῢ ἐπἱ πράγματι παρελθόντι, mais la tra
nz und Derwisch, ubersetzt von W.-A. Meisel (2e éd., Pest, 1860), 21e porte . Je n’ai pas eu le livre sous les yeux ; je dois
tion donnée à Paris en 1824 par la Société des Bibliophiles, ce conte porte le n° XX. 164. La traduction de Garcin de Tassy
iles, ce conte porte le n° XX. 164. La traduction de Garcin de Tassy porte « quelques » ; mais la suite, aussi bien que la c
92 (1867) Nouveaux lundis. Tome IX « Journal et Mémoires, de Mathieu Marais, publiés, par M. De Lescure »
en ; un laquais vient lui dire qu’on le demande ; il descend, va à la porte et trouve trois messieurs garnis de cannes qui lu
n ne vienne en nous lisant ! Mathieu Marais, dans les jugements qu’il porte de lui-même ou qu’il répète sur les ouvrages de l
Conseil, avec un autre papier cacheté, et la suscription du testament porte qu’il sera ouvert en présence de ses créanciers.
fois que je ne mérite ? Du reste, je ne sais point encore comment les portes fermées se sont rouvertes… » Les portes s’étaien
ais point encore comment les portes fermées se sont rouvertes… » Les portes s’étaient, en effet, rouvertes à Montesquieu. La
sident de Montesquieu est rentré à l’Académie ; je ne sais par quelle porte … Aurait-il désavoué ses enfants ?… » Montesquieu
… » Montesquieu n’avait rien désavoué ; il était rentré par la grande porte du mérite, et du droit du génie, déjà visible à t
93 (1859) Cours familier de littérature. VII « XXXVIIIe entretien. Littérature dramatique de l’Allemagne. Le drame de Faust par Goethe » pp. 81-160
ent avec les bras et laissent s’élancer entre elles un cou svelte qui porte légèrement sa tête sans paraître en sentir le poi
e cadre ; c’est le drame du bon et du mauvais principe dont la nature porte malgré elle l’empreinte sur toutes ses surfaces.
e la consacre comme une libation solennelle à l’aurore du jour. » Il porte la coupe à ses lèvres. À ce moment un chant de vo
rds, ouvriers, femmes, soldats, jeunes filles, sortent en foule de la porte de la ville pour se répandre en repos, en liberté
du haut de ces sommets, les regards vers la ville ; hors de la sombre porte , toute une foule variée se penche ; chacun veut s
de ce charmant animal. Il entre, suivi de Wagner et du chien, par la porte sombre de la ville. XXVII La scène change d
ou vers la puissance ! » XXIX Un disciple de Faust frappe à la porte . Méphistophélès revêt la robe et la figure du doc
rt de nouveau.) Méphistophélès et Faust paraissent sur le pas de la porte  ; c’est là une des plus charmantes scènes inventé
uerite. Je ne voudrais pas vivre avec son pareil. S’il se montre à la porte , il a toujours l’air si ricaneur et presque fâché
aneur et presque fâché. On voit qu’il ne prend aucune part à rien. Il porte écrit sur son front qu’il ne peut aimer personne.
l secret de la séduction accomplie de Marguerite : la pauvre coupable porte dans son sein une accusation cachée de sa faute.
94 (1888) Journal des Goncourt. Tome III (1866-1870) « Année 1868 » pp. 185-249
taquine, un arrêt bête du cerveau. 23 février Accroché à notre porte le plan de Rome, pour continuer à y être, à nous
s la charrette de la guillotine : « On y va, canaille ! » On ouvre la porte du cabinet de Thierry, fermé à double tour, et sa
de voix en notre faveur, nous entendons les boules tomber, et par une porte entr’ouverte sur le corridor, nous voyons tout le
disparaître avec un bruit de pas qui se sauvent. Presque aussitôt, la porte se rouvre, Thierry entre muet, plus pénétré de co
ieu a été grande de leur dresser procès-verbal, et de les mettre à la porte de son jardin, par ce garde champêtre au sabre de
s, des rats, des rats qui entrent encore, chaque fois, qu’on ouvre la porte , et les rats des pauvres, des rats effrontés, mon
objets de Dunkerque, le moulage d’une délicate main de femme. Par une porte on entrevoit la bibliothèque, les rayons de bois
ur aux boiseries blanches, aux rideaux verts derrière le grillage des portes d’armoires, et avec ses bustes de plâtre bronzé d
juin Vichy. J’étais dans mon bain d’eau minérale. Edmond ouvre la porte , me tend une dépêche : « Accepté 48 000. J’écris.
ous de l’écriteau portant : Sept mille mètres de terrain à vendre. La porte de la grille était entr’ouverte. Nous entrons, no
la littérature. 2 novembre Un roulement, deux voitures à notre porte . C’est la princesse qui tombe chez nous avec sa s
95 (1864) Cours familier de littérature. XVII « Ce entretien. Benvenuto Cellini (2e partie) » pp. 233-311
fous doivent donner quelque relâche à leur folie. « Arrivés devant la porte , je reconnus mon homme, parce qu’on m’avait dit q
assez haut, partit d’elle-même, et la balle, ayant frappé l’arc de la porte , rebondit sur sa tête, et l’étendit par terre. «
brave Italien, et ce n’est pas celui que nous cherchions ; car il ne porte rien avec lui.” Enfin, comme ils crurent qu’il n’
ière moi, et je courus au logis de ce misérable Miceri. Je trouvai la porte entr’ouverte ; je le vis avec une épée et un poig
sa mère, et j’entendis qu’ils parlaient de moi. Soudain je pousse la porte , je lui mets la pointe de mon épée sur la poitrin
talent à faire pour d’autres des vases, des salières, des têtes, des portes , et de négliger les grands ouvrages qu’il lui ava
nt contribué à sa décoration. Il choisit Benvenuto pour fortifier les portes principales de Florence. Son bouillant caractère
llant caractère faillit encore lui coûter la vie. « À la garde de la porte de Prato était un capitaine lombard, qui avait le
e, lui répartis-je en colère, de vous en tirer que de fortifier cette porte  ; et, en même temps, nous mîmes l’épée à la main 
et depuis il me laissa en repos. Quand j’eus achevé mon bastion à la porte de Prato, j’allai à celle de l’Arno, où commandai
us accordâmes si bien que mon travail fut beaucoup mieux fait à cette porte qu’à l’autre. Bientôt après, les gens de Pierre S
se touchaient toutes. Voyant ce désordre, j’avertis les gardes de la porte d’avoir soin qu’il n’arrivât pas comme à Turin, o
96 (1894) Propos de littérature « Chapitre II » pp. 23-49
tuaires cierges. Ma douleur regarde la mort, Car l’espoir a fermé sa porte Et tristement, le vent du Nord Souffle sur ma cha
vois-tu venir ? Ce sont tes frères les Espoirs, Qui heurtaient à la porte au travers de la haie, Les doux-venants de l’aube
les coins des vieux jardins et les ombres, Et les clefs de toutes les portes Et l’âtre doux en reflet aux dalles, Et la maison
liale d’aïeules graves, Et d’autres qui teillaient le chanvre sur les portes Auprès de celles qui sont mortes. Pauvre Âme, le
en détacher à peine, et s’y mouvoir selon une tranquille noblesse qui porte en soi toute l’harmonie. Il rappelle ainsi Puvis
u Gloire, qu’importe À toi dont voici le tour ? Chante de ta voix qui porte Le message de tout amour Car tu diras le chant de
97 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXI » pp. 338-354
 1674100 : « Madame, notre voyage a été fort heureux, et le prince se porte aussi bien que la marquise de Suger, tous deux ég
chose, a son bon et son mauvais côté : je suis assez contente. Je me porte bien101. » C’est dans le même temps qu’eut lieu
de M. Viette pour en aller visiter une104… »« M. le comte de Vexin se porte un peu mieux, le duc du Maine fait pitié. Je part
et, qu’on ne vous refusera point ce qu’on pourra vous accorder. Je me porte fort bien. Les princes sont toujours malades. Le
98 (1887) Journal des Goncourt. Tome I (1851-1861) « Année 1852 » pp. 13-28
irs. Ce vieillard à la tête où il y a du cabotin et du conventionnel, porte un col large, rabattu à l’enfant, une cravate cha
voir tout Paris à mon enterrement ! » Et nous reconduisant jusqu’à la porte de son cabinet, il nous dit : « Voyez-vous, jeune
plâtre tout écaillée : La Frileuse d’Houdon. Dans ce mur fruste, une porte à la sonnette de tirage cassée, dont le tintement
décorées de peintures sur les murs représentant des vues locales : la porte d’Auteuil en 1802. Nous parcourons avec lui toute
99 (1899) Esthétique de la langue française « Le vers populaire  »
anse La belle est tombée morte. Le marié la prend, Dessus son lit la porte , Ô beau rossignolet, Le marié la prend, Dessus so
it la porte, Ô beau rossignolet, Le marié la prend, Dessus son lit la porte . Apportez de l’eau de rose Aussi de l’eau-de-vie
orps y reposent. Celui de ma mie, le mien, Celui de l’enfant qu’elle porte , Ô beau rossignolet, Celui de ma mie, le mien, Ce
beau rossignolet, Celui de ma mie, le mien, Celui de l’enfant qu’elle porte . Il rentra dans sa chambre Et se coupa la gorge,
100 (1860) Ceci n’est pas un livre « Le maître au lapin » pp. 5-30
s un magnifique bouquet de salade. Il avait déjà levé le loquet de la porte , il allait emménager, lorsque le propriétaire, qu
les diables guillerets jusqu’à cette chauve-souris qui se noie, tout porte l’empreinte d’une merveilleuse habileté de main a
s emmènent avec eux leurs femmes et leurs enfants. Un chariot immense porte entassés pêle-mêle les blessés, les mères et les
emier qu’un hasard amène sur le seuil désert de l’artiste d’ouvrir sa porte toute grande aux admirations publiques ? Et, si l
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