I. Takisé, Le taureau de la
vieille
(Haoussa) Une des vaches du troupeau d’un Peu
d’un Peuhl s’échappa au moment de vêler et alla mettre bas dans un «
vieux
» lougan (champ). Elle regagna ensuite le parc à
disant que le veau avait sans doute été dévoré par quelque fauve. Une
vieille
, qui cherchait des feuilles d’oseille pour la sau
devint un taureau gros et gras. Un jour un boucher vint demander à la
vieille
de lui vendre son taureau mais elle s’y refusa fo
ent du refus, alla trouver le sartyi134 et lui dit : « Il y a chez la
vieille
Zeynêbou un « gros taureau qui ne doit être mangé
ous le commandement d’un de ses dansama135, chercher le taureau de la
vieille
. Quand la petite troupe arriva chez Zeynêbou le m
oint du jour, le dansama et les sept bouchers se présentèrent chez la
vieille
et se dirigèrent vers le piquet auquel était atta
Les huit hommes, peu rassurés, reculèrent et le dansama, appelant la
vieille
, lui dit : « La vieille ! dis donc à ton taureau
ssurés, reculèrent et le dansama, appelant la vieille, lui dit : « La
vieille
! dis donc à ton taureau « de se laisser passer l
! dis donc à ton taureau « de se laisser passer la corde au cou. » La
vieille
s’approcha du taureau : « Takisé ! mon Takisé, lu
tamer sa chair. Le chef des bouchers pria le sartyi de faire venir la
vieille
. Il déclara que, sans elle, il serait impossible
r Takisé qui devait avoir un grigri contre le fer. Le sartyi manda la
vieille
et lui dit : « Si on n’arrive pas à égorger ton t
er ton taureau sans plus tarder, je vais te faire couper le cou. » La
vieille
s’approcha de Takisé qui était toujours lié et co
e la viande devant le sartyi. Celui-ci leur commanda de remettre à la
vieille
pour sa part la graisse et les boyaux. La vieille
da de remettre à la vieille pour sa part la graisse et les boyaux. La
vieille
mit le tout dans un vieux panier et l’emporta che
pour sa part la graisse et les boyaux. La vieille mit le tout dans un
vieux
panier et l’emporta chez elle. Arrivée là, elle d
ger de l’animal qu’elle avait élevé et à qui elle avait tant tenu. La
vieille
n’avait ni enfant ni captive et devait faire son
es jeunes filles s’arrêtèrent dans leur fuite et vinrent auprès de la
vieille
. Celle-ci donna à la plus jolie le nom de Takisé
de Takisé et appela l’autre Aïssa. Elles restèrent longtemps avec la
vieille
sans que personne s’aperçut de leur présence car
rendit visite au roi, le gambari lui raconta qu’il avait vu chez une
vieille
femme du village une jeune fille d’une beauté san
ie du dioula, chercher la jeune fille. Elle se présenta, suivie de la
vieille
. « Ta fille est merveilleusement jolie dit le sar
cette dernière, je vais la prendre pour femme. — Sartyi, répondit la
vieille
, je veux bien te la donner comme épouse mais que
elle fondrait « aussitôt comme de la graisse. » Le sartyi promit à la
vieille
que jamais Takisé ne sortirait aux heures de sole
t encore : « Tu te lèveras le matin, entre sept et huit heures, et la
vieille
Katel t’apportera ton déjeuner, que tu choisiras
et de te marier. Avec cela, Kobus, j’ose te prédire que tu deviendras
vieux
comme Mathusalem ; ceux qui te suivront diront :
z Kobus suivit exactement la règle qu’il s’était tracée d’avance ; sa
vieille
servante Katel, la meilleure cuisinière de Hunebo
choses encore, plus profondes ; de ces choses qui vous rappellent les
vieux
souvenirs de la jeunesse, et qui sont pour nous…
ante, et il vit les trois bohémiens sur le seuil de la chambre, et la
vieille
Katel derrière, sous la porte. Il vit Iôsef, gran
retroussée. III Kobus a concentré toutes ses affections sur sa
vieille
cuisinière Katel, qui a servi son père. Il l’envo
oisir la revue de sa cave. Il s’extasie sur chaque échantillon de vin
vieux
. L’eau vient à la bouche à chaque dégustation. Il
is colombes. Enfin tous les meubles, les hautes portes d’armoires, la
vieille
chiffonnière en bois de rose, le buffet à larges
ayons ; dans l’autre, la vaisselle, de cette magnifique porcelaine de
vieux
saxe fleuronnée, moulée et dorée : les piles d’as
ouge, avertie d’avance, entrait alors pour veiller au service, car la
vieille
Katel ne pouvait être à la fois dans la cuisine e
plus agréable en ce bas monde que de s’asseoir, avec trois ou quatre
vieux
camarades, devant une table bien servie, dans l’a
heure ? » Ah ! je vous le dis, c’est un grand plaisir de traiter ses
vieux
amis, et de penser : « Cela recommencera de la so
comble de ses bénédictions, et les autres de célébrer la gloire de la
vieille
Allemagne, ses jambons, ses pâtes et ses nobles v
des choses chez Fritz Kobus, vers une heure de l’après-midi : le vin
vieux
avait produit son effet. Le grand Frédéric Schoûl
avez donc un grand dîner ! toute la ville en parle. — Chut ! » fit la
vieille
servante. Toutes les oreilles s’étaient dressées
je n’oserai jamais ! — Bah ! bah !… Katel, dépêche-toi. » Lorsque la
vieille
servante revint avec une tasse, Sûzel, rouge jusq
tait assise, toute droite sur le bord de sa chaise, entre Kobus et le
vieux
rebbe. « Eh bien, qu’est-ce qu’on fait à la ferme
eux un verre de vin ? — Oh non ! j’aime le café, monsieur Kobus. » Le
vieux
rebbe regardait la petite d’un air tendre et pate
ge. — Merci, monsieur David », répondit la petite à voix basse. Et le
vieux
rebbe se redressa content, la regardant d’un air
; en la regardant, il vous semblait être en pleine campagne, dans la
vieille
ferme, après la fonte des neiges. « Alors, tout r
nt de t’avoir vue ; mais puisque tu es si gênée avec nous, va voir la
vieille
Katel qui t’attend ; elle te mettra un bon morcea
era bien content. » Elle s’échappa comme un oiseau de sa cage ; et le
vieux
David, les yeux pétillants de joie, s’écria : « V
me de ménage, j’en étais sûr ! s’écria Kobus en riant aux éclats ; le
vieux
posché-isroel ne peut voir une fille ou un garçon
sans songer à les marier… Ah ! ah ! ah ! — Eh bien, oui ! s’écria le
vieux
rebbe, la barbiche hérissée ; oui, j’ai dit et je
ut même avoir un petit poupon rose dans les bras. — Allons, tais-toi,
vieux
, tu radotes. — Je radote… c’est toi qui radotes,
et David Sichel, l’homme raisonnable. Quelle diable d’idée possède le
vieux
rebbe, de vouloir marier tout le monde ! — N’est-
de vouloir vivre… » Mais alors Fritz se mit tellement à rire, que le
vieux
rebbe en devint tout pâle d’indignation : « Tu ri
pas cela, Kobus, ce n’est pas ainsi qu’on raisonne. » En parlant, le
vieux
rebbe faisait des gestes si comiques, il imitait
ssi par trop innocent. Voilà quinze ans que je vis tranquille avec ma
vieille
Katel, que j’ai tout arrangé chez moi pour être à
temps. Alors, tu voudras bien avoir une femme ! — J’aurai Katel. — Ta
vieille
Katel a fait son temps comme moi. Tu seras forcé
penser. Tu vois que je raisonne mes petites affaires aussi bien qu’un
vieux
rebbe qui prêche à la synagogue. Avant tout, tâch
vie qui nous a été confié. — Il a de drôles d’idées tout de même, ce
vieux
rebbe, dit alors Frédéric Schoûltz, en remplissan
able, à vous goberger aux dépens de leur travail. Vous pouvez rire du
vieux
rebbe, mais il a la satisfaction de vous dire au
aient mieux en bonheur que vous. Te rappelles-tu, Kobus, ton père, le
vieux
Zacharias, si grave à son tribunal ; te rappelles
rlons d’autre chose ! — Non ; tous vos plaisirs de garçon, tout votre
vieux
vin que vous buvez entre vous, tout votre égoïsme
rai, de plus juste, et vous ne m’écoutez pas ! » En parlant ainsi, le
vieux
rebbe semblait tout ému ; le gros percepteur Hâan
ute. » Fritz était devenu rêveur. « Oui, il ne parle pas mal, pour un
vieux
posché-isroel, fit-il en riant ; mais je m’en tie
h ! David, tu ne me connais pas encore. — Tu te marieras ! s’écria le
vieux
rebbe, en nasillant d’un air ironique ; tu te mar
Frédéric Schoûltz marchaient en avant, Kobus et Iôsef ensuite, et le
vieux
David Sichel tout joyeux derrière. Ils remontèren
l tout joyeux derrière. Ils remontèrent bras dessus, bras dessous, la
vieille
rue des Capucins, et entrèrent à la brasserie du
des Capucins, et entrèrent à la brasserie du Grand-Cerf, en face des
vieilles
Halles. VI Kobus, le lendemain, se lève la
e où la Lauter serpente au milieu des prairies, vit, à la pointe d’un
vieux
chêne, un busard qui observait les pigeons tourbi
atteignait à peine le chemin des voitures, au pied de la côte, que le
vieux
fermier anabaptiste, avec son large collier de ba
nn ; bonjour Kasper », dit-il tout joyeux. Il s’était rapproché de la
vieille
ferme, dont la façade était couverte d’un lattis
cinq ou six petits gobelets et la cruche de grès à fleurs bleues ; de
vieilles
images de saintes, enluminées de vermillon et enc
t une bonne petite femme de ménage ; elle fera la satisfaction de vos
vieux
jours, père Christel. — Dieu le veuille, monsieur
erme, et Kobus s’étonnait de regretter si peu sa cave, sa cuisine, sa
vieille
Katel et la bière du Grand-Cerf, dont il s’était
si ces choses n’avaient jamais existé. J’aurais du plaisir à voir le
vieux
rebbe David, le grand Frédéric Schoûltz, le perce
ant de choses ? Cela doit être naturel. — Oui, monsieur Kobus, dit le
vieux
fermier, c’est naturel : les uns naissent avec de
isir. « Quand on est forcé de porter son chien à la chasse, disait le
vieux
garde Frœlig, cela va mal ; les vrais chiens de c
est prise pour les faire. — Eh ! nous n’avons qu’à l’appeler, dit le
vieux
fermier ; elle nous expliquera cela. — Sûzel ! Sû
de la ferme, revient après quelques jours à la ville ; il va voir le
vieux
rebbe, qui le chicane toujours sur l’article du m
David Sichel prit un air grave : « Kobus, dit-il, je me rappelle une
vieille
histoire, dont chacun peut faire son profit. Avan
ier jeune, que de prendre sa servante pour femme, comme font tous les
vieux
garçons. Crois-moi… — Va-t’en au diable ! s’écria
lé dans la cuisine, le dîner est prêt, mets donc la table ! » Mais le
vieux
rebbe, ses yeux fins plissés d’un air ironique, s
à la petite Sûzel… tu sais, la fille de l’anabaptiste ? — Ah ! dit le
vieux
rebbe en attachant sur Kobus son œil gris ; tiens
ligente. Dans trois ou quatre ans, elle connaîtra la cuisine comme ta
vieille
Katel ; elle conduira son mari par le bout du nez
ent, je ne sais quelle idée passa par la tête de Fritz, il observa le
vieux
rebbe du coin de l’œil et dit : « Elle fait très-
. Le lendemain, il n’y songeait plus, quand ses yeux tombèrent sur le
vieux
clavecin entre le buffet et la porte. C’était un
les yeux, et bien d’autres choses encore. Il s’assit, essaya quelques
vieux
airs et joua le Troubadour et l’antique romance d
cru me rappeler d’une seule note, se dit-il ; c’est étonnant comme ce
vieux
clavecin a gardé l’accord ; il me semble l’avoir
semble l’avoir entendu hier. » Et se baissant, il se mit à tirer les
vieux
cahiers de leur caisse : le Siége de Prague, la C
iége de Prague, la Cenerentola, l’ouverture de la Vestale, et puis de
vieilles
romances d’amour, de petits airs gais, mais toujo
oi ton cœur, ou je vas mourir ! » Il ne se lassait pas de répéter la
vieille
romance, et cela durait bien depuis vingt minutes
s à jouer le Siége de Prague avec un enthousiasme extraordinaire ; le
vieux
clavecin bourdonnait et frissonnait jusque dans s
ûle, qui doit le prêter aujourd’hui, à dix heures, entre les mains du
vieux
rebbe David Sichel, car les juifs ont leur manièr
virent la berline que Fritz avait louée, s’approchant au trot, et le
vieux
postillon Zimmer, avec sa grosse perruque de chan
nd ! Ah ! ah ! ah ! la bonne farce ! » Ils descendirent, suivis de la
vieille
servante qui souriait, et Zimmer, les voyant appr
a les rênes, et les chevaux repartirent au petit trot, pendant que le
vieux
postillon embouchait son cornet et faisait retent
âan, voilà comment je comprends les voyages ! Ne me parlez pas de ces
vieilles
pataches, de ces vieux paniers à salade qui vous
rends les voyages ! Ne me parlez pas de ces vieilles pataches, de ces
vieux
paniers à salade qui vous éreintent, j’en ai par-
ur. » Alors il pensait : « Pourvu qu’elle soit là-bas ! pourvu que le
vieux
Christel ne se soit pas ravisé ! » Cette crainte
Oh ! oui, monsieur Kobus ! » fit-elle en regardant la grand’mère. La
vieille
inclina la tête au bout d’une seconde, et dit : «
posait sur le bras de Fritz avec une grâce naïve ; mais deux ou trois
vieilles
, les yeux plissés, souriaient dans leurs rides et
l contre-coup de ce renversement de sa pensée. Les amis accourent, le
vieux
rebbe le premier. On lui arrache son secret. Kobu
’agitait rien, et Fritz, le regardant, sentit ses genoux trembler. Le
vieux
rebbe, au bout d’un instant, fourra la main dans
entra dans l’allée comme effaré, puis dans la grande salle, suivi du
vieux
David, qui se frottait les mains et riait dans sa
de la cuisine, la bouche béante : et la petite Sûzel, assise dans le
vieux
fauteuil de cuir, entre le grand fourneau de font
ans le vieux fauteuil de cuir, entre le grand fourneau de fonte et la
vieille
horloge, qui battait sa cadence éternelle, Sûzel,
ous tenez ma vie entre vos mains…. — Mais, monsieur Kobus, s’écria le
vieux
fermier d’une voix forte et les bras étendus, c’e
donc pour nous tous ensemble ! — Voilà un honnête homme ! » pensa le
vieux
rebbe. Et Fritz dit avec attendrissement : « Si S
es yeux écarquillés, se penchant pour voir et pour entendre. Enfin le
vieux
rebbe se moucha et dit : « C’est bon… c’est bon…
res se dégarnirent, et comme l’anabaptiste remplissait les verres, le
vieux
rebbe, tout joyeux, lui dit : « Eh bien, Christel
tel, Moi, je pense qu’après la rentrée des foins…. » Fritz regarda le
vieux
rebbe, qui dit : « Écoutez, Christel, les foins s
viendrez demain à Hunebourg dresser le contrat. » Alors on but, et le
vieux
rebbe, souriant, ajouta : « J’ai fait bien des ma
milieu d’eux trois mois auparavant, et qu’il déclara hautement que le
vieux
rebbe avait eu raison de dire autrefois : « qu’en
livre hébraïque et qu’il trouvait sublime, quoiqu’elle ne fût pas du
Vieux
Testament : « Mes bien-aimés, aimons-nous les uns
es parents se désolaient, ne pouvant rien comprendre à tout cela. Une
vieille
leur dit un jour : « Mais ce n’est pas un être hu
dait le caporal-laptot. — Jette-le dans la brousse ! lui conseilla la
vieille
. Il disparaîtra et vous en serez débarrassés ! «
end !… Je n’ose pas. « — Tu n’as pas besoin d’avoir peur, répliqua la
vieille
. Expose-le sous un arbre de la plage. S’il est de
’emporteront avec eux. Il n’y a pas de danger que tu te trompes ». La
vieille
a demandé 7 œufs, du riz pilé délayé dans un peu
le de tafia sur une troisième. Elle, le caporal, Nâna et trois autres
vieilles
ayant passé l’âge d’avoir des enfants sont partis
t partis vers 6 heures du soir au moment où la nuit tombe. Les quatre
vieilles
portaient l’enfant. Ils se sont rendus à la plage
is assiettes avec leur contenu ont été rangées devant l’enfant. Et la
vieille
a dit à celui-ci : « Quand tu ne vas plus nous vo
race, va-t’en tout de suite. Nous renonçons à toi ». Déjà les autres
vieilles
étaient allées avec Nâna se cacher derrière l’éno
t éloigné de dix pas, attendant pour voir ce qui allait se passer… La
vieille
se dirigea vers le fromager pour s’y cacher avec
ses livres même nous l’apprennent. Il est né, je pense, dans quelque
vieille
maison de la rue de Seine ou du quai Malaquais, d
voir leurs formes, leurs couleurs et en jouir ; et il a su goûter les
vieilles
choses et s’intéresser au passé. Ce petit enfant
a virginité de sa fille, non par égoïsme, mais parce que la vie de la
vieille
femme est encore utile aux siens, aux pauvres et
é jeune, il sait aimer. Et puis c’est l’homme d’un siècle où l’on est
vieux
de bonne heure. Sylvestre Bonnard résume en lui t
si on ne veut retenir que les plus éminentes de ses qualités, est un
vieux
savant célibataire, très intelligent, très réfléc
la montrer très vivante et très particulière. M. Bonnard est bien un
vieux
garçon, et qui a des manies de vieux garçon. Il e
iculière. M. Bonnard est bien un vieux garçon, et qui a des manies de
vieux
garçon. Il est opprimé par sa vieille servante, q
ux garçon, et qui a des manies de vieux garçon. Il est opprimé par sa
vieille
servante, qu’il respecte et qu’il craint. Il a un
s extraordinaires d’événements. Même ce don paraît de peu de prix aux
vieux
méditatifs (à moins qu’il ne soit porté à un degr
a poursuite et l’épouse à la dernière page : voilà le Chat maigre Un
vieux
savant envoie du bois, pendant l’hiver, à sa vois
s. La petite femme, devenue princesse russe, reconnaît le bienfait du
vieux
savant en lui offrant un livre précieux dont il a
rant un livre précieux dont il avait envie : et voilà la Bûche Notre
vieux
savant s’intéresse à une orpheline dont il a aimé
sonnages ? Quels sont les masques humains que rendra de préférence un
vieux
savant comme Sylvestre Bonnard ? Ceux dont il dif
la vie intérieure. Voici le marquis Tudesco, le proscrit italien, le
vieux
pitre emphatique et lettré, qui a traduit le Tass
es et vivantes, mais réverbérées, si je puis dire, dans l’esprit d’un
vieux
sage qui sait beaucoup et qui a beaucoup songé.
sances. Cette vision de petites portions de la comédie humaine par un
vieux
membre de l’Institut très savant et très bon, c’e
es fait jusqu’ici bien venir de ma gouvernante, qui, comme toutes les
vieilles
gens, est assez morose de son naturel. Ménagez-la
n grand désir de pleurer ? Pauvre Jeanne, pauvre mère ! Je suis trop
vieux
pour rester bien sensible ; mais, en vérité, c’es
it tous les sentiments et toutes les impressions, est la science d’un
vieux
savant, d’un membre de l’Institut. De là, en main
rondeur de sa taille ne laissaient aucun doute à cet égard, même à un
vieux
savant comme moi. J’ajouterai, sans crainte de me
lisez et goûtez longuement, je vous prie, cette exquise harangue d’un
vieux
savant à un vieux chat : Hamilcar, lui dis-je en
nguement, je vous prie, cette exquise harangue d’un vieux savant à un
vieux
chat : Hamilcar, lui dis-je en allongeant les ja
du grand combat, tu défends contre de vils rongeurs les livres que le
vieux
savant acquit au prix d’un modique pécule et d’un
n la plus déliée des mouvements d’une âme enfantine. Il satisfera les
vieux
humanistes, car il respire l’amour des bonnes let
naturel. Dans l’une et l’autre de ces nouvelles, il y a une étude de
vieille
fille, de ce type toujours très-fécond quand il s
nneur à l’observation de M. Deltuf, laquelle ne s’est pas répétée. La
vieille
fille de La Famille Percier, qui perd un mari qu’
dévouements mêlés de faiblesse à une famille qui la tyrannise, est la
vieille
fille, pur et vieux sang, sublime et ridicule tou
aiblesse à une famille qui la tyrannise, est la vieille fille, pur et
vieux
sang, sublime et ridicule tour à tour. Dans Le M
blime et ridicule tour à tour. Dans Le Mariage de Caroline, c’est la
vieille
fille encore, mais qui s’est donné la passion mat
ièce, et c’est la jalousie maternelle exaspérée dans le cœur de cette
vieille
fille, restée vieille fille pourtant par tous les
usie maternelle exaspérée dans le cœur de cette vieille fille, restée
vieille
fille pourtant par tous les autres cotés de son c
es hommes qui ont vécu et qui savent comme la vie est faite. Les deux
vieilles
filles de M. Deltuf ne ressemblent pas à La Vieil
faite. Les deux vieilles filles de M. Deltuf ne ressemblent pas à La
Vieille
fille de Balzac, qui est purement et profondément
ment comique, éclairant de son comique un drame sombre. Chez les deux
vieilles
filles de M. Deltuf, le pathétique et le comique
le pathétique et le comique se combattent, mais il reste toujours la
vieille
fille idéale à nous donner, l’être fier et pur qu
dicule a tant d’empire : or, celui qu’on a jeté sur la position de la
vieille
fille est si grand et si officiel, qu’ils croirai
-être le voir rejaillir jusqu’à eux, s’ils considéraient seulement la
vieille
fille par les côtés touchants, élevés, héroïques,
la neige », car dans Mme Swetchine c’est encore moins la femme que la
vieille
femme qu’on doit adorer, eh ! bien, dans ces page
re grimacer. Oui, c’est le type de la femme et particulièrement de la
vieille
femme, mais sur un double fond idéal, rarement un
n double fond idéal, rarement uni, de monde et de sainteté ! C’est la
vieille
femme dans sa magnifique et délicieuse acception
cception d’autrefois, car nous n’avons plus maintenant que des femmes
vieilles
, qui veulent paraître jeunes toujours … Avant d’ê
femmes vieilles, qui veulent paraître jeunes toujours … Avant d’être
vieille
tout à fait, elle avait pu être une femme aimable
is sa supériorité n’a daté nettement que de sa vieillesse. Seulement,
vieille
même, et avec les acquisitions et les grâces tard
lque chose ne fut pas non plus la dévotion, la dévotion ordinaire aux
vieilles
femmes dévotes, dont je n’ai pas, du reste, à dir
u, sous ses cheveux blancs et dans ses rides, comme il convient à une
vieille
femme, heureuse d’être, par la vieillesse, devenu
ent mieux que de la charpie, mais un dictame, sur le mal cruel d’être
vieux
. Chirurgienne d’abord, elle a un courage d’analys
jeunesse autrefois, et qui sait même la leur faire préférer ! Ah ! le
vieux
moralisme païen est vaincu ! Cicéron et Sénèque e
mots, écrits au crayon, sur son papier à papillotes, par une main de
vieille
femme, qui, ce soir-là, peut-être encore avait la
t par un miracle. On y croit, à ce miracle étrange, — consoler d’être
vieux
, — plus étonnant que la résurrection des morts, p
; mais moi, non ! Peut-être est-ce parce que je suis plus près d’être
vieux
que d’être résigné… J’avoue cependant que c’est l
ile, plus sur le fond, un russe et sa femme debout. à côté d’eux, une
vieille
accroupie qui leur dit la bonne aventure. Derrièr
ux, une vieille accroupie qui leur dit la bonne aventure. Derrière la
vieille
et plus sur le devant un enfant nu, étendu sur se
à la maison trouva qu’on lui avait coupé ses poches. Montrez-moi une
vieille
rusée qui attache l’attention d’une jeune innocen
ache l’attention d’une jeune innocente enchantée, tandis qu’une autre
vieille
lui vide ou lui coupe ses poches ; et si chacune
bassin. Au-devant du massif, jeune homme s’avançant bêtement vers une
vieille
qui le regarde et semble lui dire : " c’est l’ois
à un certain tour de tête qu’on n’a qu’une fois. une fille charge une
vieille
de remettre une lettre. petit ovale. Du même. La
ise tout à fait de goût, mais froide de visage. J’en dis autant de la
vieille
. Quant à l’action, elle est tout à fait équivoque
vieille. Quant à l’action, elle est tout à fait équivoque : est-ce la
vieille
qui apporte une lettre ou à qui l’on donne une le
er celle qui la lâchera. L’action, le mouvement, l’air empressé de la
vieille
, me l’auraient peut-être appris, mais cela n’y es
ant sa lettre cachetée d’une main, et de l’autre fesant sa leçon à la
vieille
, mais cela n’y était pas. Vous avez pris le momen
. Et puis une tête de jeune fille est si belle à peindre, une tête de
vieille
prête tant à l’art ! Pourquoi ne s’en être pas oc
on les passerait avec dédain. un jeune homme récompense le zèle de la
vieille
. pendant du précédent. Du même. à droite et de fa
oux la lettre déployée et donnant de l’autre main une pièce d’or à la
vieille
. Même richesse d’ajustement, même platitude de tê
it la lettre, où il s’attendrit, où le cœur lui bat, où il retient la
vieille
par le bras, où le trouble et la joie se confonde
le bras, où le trouble et la joie se confondent sur son visage, où la
vieille
qui s’y connaît l’observe malignement valait beau
on des deux cuisses, et la main posée où la couverture se plisse. Son
vieux
père et sa vieille mère sont debout au pied du li
es, et la main posée où la couverture se plisse. Son vieux père et sa
vieille
mère sont debout au pied du lit tout à fait dans
is elle n’a point le caractère faux et rusé de son métier ; c’est une
vieille
comme une autre. Sur le fond, entre ces deux femm
pas. Même mérite et même défaut à la fille qui remet une lettre à la
vieille
, et à son pendant. Si cet artiste n’eût pas pris
ent que ce sont des oreilles, on les lui tire pour le lui prouver. Ce
vieux
burgrave, cette vieille fée, ce varlet de fabliau
eilles, on les lui tire pour le lui prouver. Ce vieux burgrave, cette
vieille
fée, ce varlet de fabliau, ce gentillâtre de pige
t là, un bout de… l’oreille de George Dandin. Aujourd’hui, toutes ces
vieilles
querelles de caste et de classe n’existent plus q
circuler en faisant le gros dos autour de son gendre, à la façon d’un
vieux
matou casanier ; il se confond devant lui en poli
ntre une tonne de harengs et une barrique de fromages, rêve, pour ses
vieux
jours, quelque maison de campagne fabuleuse, avec
i pousse droit aux monstres d’or massif de la fortune ; et, à voir le
vieux
Poirier, vous diriez qu’il les a péchés à la lign
pendant que le jeune couple savourait en paix la première ivresse, le
vieux
Poirier, qui vient d’apprendre la nouvelle proues
ille francs arrachés aux griffes des oiseaux de proie, ce bon tour de
vieux
renard jouant les corbeaux, ce chef-d’œuvre d’adr
t, gaspillé par un caprice d’enfant oisif et prodigue ! Il enrage, le
vieux
marchand, mais il se contient, car il voit encore
e laisse ironiquement s’avancer à petits pas dans ses confidences. Le
vieux
boutiquier met une aimable pudeur à dévoiler l’am
il et le plus honteux ? A partir de ce moment, il devient sauvage, ce
vieux
Poirier, et je sais gré à la comédie de l’énergie
e Renommée vaut mieux que Ceinture dorée. C’est sous l’enseigne de ce
vieux
proverbe que M. Augier a placé sa pièce. Son héro
M. Roussel, où nous attend un tableau pathétique. Nous retrouvons le
vieux
spéculateur penché sur ses dossiers, à la clarté
ps, une ferme, une basse-cour et un troupeau !… Je voudrais t’y voir,
vieux
millionnaire que tu es, à cette ration congrue qu
est à qui des deux amants chantera plus haut ses louanges, et même le
vieux
Roussel prend son pipeau d’argent et finit par ve
de Mademoiselle Geneviève, la cousine de son mari, la petite nièce du
vieux
marquis. Sur quoi, la courtisane lui promettait d
arquis. Elle se fait surprendre, en tête-à-tête avec son mari, par ce
vieux
gentilhomme qui a fait, en 1833, la dernière camp
s’ennuie, fait la morte. Cette vie de calme et de vertu lui pèse ; ce
vieux
marquis et cette vieille marquise, blanchis dans
. Cette vie de calme et de vertu lui pèse ; ce vieux marquis et cette
vieille
marquise, blanchis dans l’honneur et la loyauté,
ête d’une comtesse, et que le Montrigaud lui envoie, en sa qualité de
vieux
diable que cela amuse de tenter les femmes. Elle
elle est horrible ; le faux sourire de l’entremetteuse grimace sur ce
vieux
et vicieux visage : si le sabbat avait une portiè
avec délices ces odeurs de corruption parisienne que lui rapporte la
vieille
, et sa tête s’exalte au ressouvenir de ces joies
, le nom scandaleux de la femme à laquelle il a livré son honneur. Le
vieux
marquis demande à rester seul avec elle, et là, e
monde, pourquoi, — puisque votre marquis est un gentilhomme breton de
vieille
roche, — ne l’avoir pas reléguée dans quelque don
me un lion héraldique, une grand’tante qui tint de l’abbesse et de la
vieille
fée, et toute sorte de grands parents immémoriaux
n haine de son servage féodal et de ces mœurs antédiluviennes, et des
vieux
portraits à perruque, et des vertus en vertu-gadi
e ; il n’y a ni l’étoffe ni le nerf d’un justicier de famille dans ce
vieux
marquis, si tolérant et si bonhomme pendant les d
s le mardi gras, ce soir ? — Oui, oui, répondait-il, maman — il a une
vieille
mère infirme — m’a dit ce matin en s’éveillant :
on. J’étais monté prendre une pièce de cinq francs, pour que la bonne
vieille
femme fit un joyeux mardi-gras, puis j’ai réfléch
historiens… » * * * — Voltaire n’a que l’esprit, tout l’esprit d’une
vieille
femme du xviiie siècle ; mais jamais de son espr
nt à Flaubert, je vais dîner avec Tourguéneff et Maupassant, chez une
vieille
amie de Flaubert, la belle Mme Brainne. Après dîn
re, qu’on l’avait fait monter dans l’unique voiture de deuil, avec un
vieux
parent, et que ce vieux parent l’avait dévirginis
onter dans l’unique voiture de deuil, avec un vieux parent, et que ce
vieux
parent l’avait dévirginisée, dans le trajet au ci
dans une toute petite chambre, presque remplie par un immense lit, un
vieux
et un jeune prêtre. Dans la nuit qui précéda sa m
it cela, de la porte derrière laquelle elle écoutait, apparaissait la
vieille
servante, la figure cachée dans ses mains, et qui
iva que lorsqu’il était mort. Dimanche 26 juin Quand on devient
vieux
, il se glisse dans vos yeux quelque chose, qui en
* * — Un joli détail parisien. Une pauvre rue se cotisant pour qu’un
vieux
de cette rue, un vieux que tout le monde aime, ai
arisien. Une pauvre rue se cotisant pour qu’un vieux de cette rue, un
vieux
que tout le monde aime, ait une consultation de C
on petit, je suis encore là… et à nous deux, nous aurons miné tant de
vieilles
choses, et à l’heure, où c’était brave… qu’il vie
s et de jeunes filles, habillés des couleurs passées et déteintes des
vieux
vêtements, remises à la mode par les peintres pré
olée du bouquin. Jeudi 15 septembre Je tombe chez Burty, sur le
vieux
graveur Pollet, un japonisant frénétique, et qui
diable. » * * * — Visite de noces d’une jeune femme rieuse, chez une
vieille
tante de son mari, affligée d’une tympanite (mala
jetait : « Ne troublez pas mes hypothèses, monsieur ! » * * * — X… le
vieux
beau orléaniste n’a plus aujourd’hui pour figure,
cher Ravaud, c’est le nom du cocher de mes cousines de Villedeuil, du
vieux
cocher entrevu à l’enterrement de mon frère, qui
hier, blaguait si spirituellement et si gaiement. La veille garde des
vieux
mercredis de la princesse s’en va, et je reste le
Mme Malapert avait des doigts de fée pour rapetasser et rallonger les
vieux
vêtements, et, bien que son amour-propre en souff
Mme de Grandclos, et il ne s’en attristait plus… « Maintenant il est
vieux
, il a pris sa retraite, et, encore que rien ne le
vergers, des fermes, des villages et les ruelles montantes de quelque
vieille
petite ville… Et je me dis : « Qu’il y fait bon !
avec une grande netteté, tel verger dans le Mariage de Gérard, telle
vieille
maison bourgeoise dans Tante Aurélie, tel sentier
ces deux excellents récits. Nul n’a mieux peint les solitaires, les «
vieux
originaux », vivant aux champs ou dans les bois,
berté, où s’enracinent les idées fixes. Rappelez-vous ses veuves, ses
vieux
gentilshommes, ses vieilles filles et ses vieux g
s idées fixes. Rappelez-vous ses veuves, ses vieux gentilshommes, ses
vieilles
filles et ses vieux garçons, Mme Heurteloup, tant
-vous ses veuves, ses vieux gentilshommes, ses vieilles filles et ses
vieux
garçons, Mme Heurteloup, tante Aurélie, M. Noël,
èvres, et que j’en écrivis les strophes au crayon sur les marges d’un
vieux
Pétrarque in-folio, où je les reprends pour les d
on âme et moi. Moi. Quel fardeau te pèse, ô mon âme ! Sur ce
vieux
lit des jours par l’ennui retourné ? Comme un fru
son frileux asile Nos cheveux blancs pareils à la toison que file La
vieille
femme assise au seuil de sa maison ! Dans un loi
! Depuis qu’en ces lieux le temps m’oublia seule, La terre m’apparaît
vieille
comme une aïeule Qui pleure ses enfants sous ses
pas pour toi le délice Du brasier tiède et réchauffant Qu’allume une
vieille
nourrice Au foyer qui nous vit enfant ? Ou l’imp
uit et jour le granit ; Les vitraux brisés par les grêles Livrent aux
vieilles
hirondelles Un libre passage à leur nid ! Leur
le nom ou le chiffre des enfants qui les ont apprivoisées. Je dis au
vieux
jardinier de rappeler ma jument noire, qui paissa
u d’admiration. À la droite, on compte neuf ou dix châtaigniers aussi
vieux
et aussi vénérés que ceux de Sicile ; ils rampent
ousse enclos de pierres sèches où j’étais venu chercher le dossier du
vieux
châtaignier. Je m’élançai, je franchis le mur, et
us le bras. Dans ce pauvre homme je venais de reconnaître un des plus
vieux
coquetiers de ces montagnes, qui louait à notre m
res, dans les villages voisins. Ce coquetier des montagnes était déjà
vieux
et cassé dans mon enfance. Je le croyais couché d
ngé, comme mon visage ; car vous l’avez entendue bien souvent sous le
vieux
sorbier de votre cour, quand nous ramassions au p
plus large qu’aux autres hommes ? car je crois que vous êtes le plus
vieux
de la vallée. » — « J’ai quatre-vingts ans », me
ou plutôt l’âne me garde quand les enfants n’y sont pas ; car il est
vieux
pour un animal presque autant que je suis vieux p
sont pas ; car il est vieux pour un animal presque autant que je suis
vieux
pour un homme ; il sait que je n’y vois pas, il n
de ceux qui me rencontrent sur le chemin, et que j’ai connus dans les
vieux
temps. Par exemple, dites-moi donc, Monsieur », p
x ! Ce chant intérieur tombait peu à peu en approchant davantage. Ma
vieille
jument pressait le pas ; elle gravissait le chemi
la barrière entrouverte par laquelle on entre dans l’enclos. Un seul
vieux
chien invalide se traîna péniblement à ma rencont
ouvrit la porte au bruit des pas de mon cheval. Elle courut dire à la
vieille
servante, qui filait sa quenouille dans une chamb
es et sur les sables humides, jusqu’à une petite porte percée dans un
vieux
mur tapissé de lierre et de buis. Vous savez que
ière du village. Vous savez que j’ai ajouté à ce cimetière ombragé de
vieux
noyers, un petit coin de terre retranché au jardi
ssi, que portaient quatre jeunes filles d’un hameau des montagnes. Le
vieux
curé les suivait en récitant quelques versets de
rocurer une monture qui te portera jusqu’au sommet du mont ! » Et le
vieux
frappa dans ses mains. Aussitôt une gigantesque t
le apparut, toute sellée et bridée : « Enfourche ce cheval ! » dit le
vieux
à Sakaye. Celui-ci obéit à l’invitation et l’oise
l reconnut quantité de crânes humains épars sur le sol. Il demanda au
vieux
à qui appartenait la case d’or et qui avait tué l
us ces crânes. Il lui demanda aussi pour quelle raison un homme aussi
vieux
que lui se trouvait seul dans cet affreux endroit
ences, il était le seul à y habiter. « Sakaye Macina, lui répondit le
vieux
, c’est moi le gardien de cette maison. Ceux qui l
si un mangeur d’hommes ? lui demanda Sakaye ». — « Moi ? répondit le
vieux
, non pas ! « Je suis un yébem, mais pas un anthr
vir de gardien et il m’est impossible de me relever ». — « Eh bien,
vieux
! reprit Sakaye, où sont-ils en ce moment ces yéb
Auguste Vitu Ombres et
vieux
murs. Le Pays, 3 janvier 1860. I Ombres e
Ombres et vieux murs. Le Pays, 3 janvier 1860. I Ombres et
vieux
murs ! — Au premier coup d’œil, un joli titre, qu
ait rêver, mais qui n’indique rien de précis. Pourquoi, en effet, ces
vieux
murs et ces ombres ?… Les ombres seraient-elles l
t l’auteur, contrairement à son titre, a fait de la lumière ?… Et les
vieux
murs, seraient-ce ces monuments d’un autre âge do
l en fut jamais, et non pas de cette comédie que l’auteur d’Ombres et
vieux
murs a su y trouver, et qu’il y a mise dans les t
ement de ce chapitre, que le vrai génie spécial de l’auteur Ombres et
vieux
murs, que son originalité la plus vive, serait, s
r l’histoire et de la regarder, dans les ombres et sous la portée des
vieux
murs, pour saisir ce qui s’y cache d’inepties, de
faux républicain, ce faux bonhomme et ce faux écrivain, qui fit de la
vieille
prose française comme Vanderburgh fit de vieux ve
ivain, qui fit de la vieille prose française comme Vanderburgh fit de
vieux
vers, Auguste Vitu n’a pas, vous le voyez, en dép
des citations, pour mêler à la trame du dialogue les propres vers du
vieux
poète. Mais on y sent une émotion, un respect sin
irades de ce glorieux Cid, où ils ont joué Rodrigue et Chimène. Et le
vieux
poète a aussi son Antigone : une jeune nièce, Mar
illeure de ’ouvrage. L’auteur nous y entr’ouvre le cœur douloureux du
vieux
poète. Pierre Corneille achève la traduction d’un
auvreté de Corneille, faire la richesse de deux feuilletons) dans les
vieilles
notes prises par moi il y a vingt ans au cours de
pires, à peindre des orgueils absurdes et inhumains… L’autre plaie du
vieux
poète (la première étant la pauvreté), c’est la d
e, de l’autre chez nos dramaturges et romanciers naturalistes… Pauvre
vieux
Corneille ! Désempanachée, la littérature lui par
. Ma veine, dit-il dans une épître au Roi, de 1667. N’est plus qu’un
vieux
torrent, qu’ont tari douze lustres ; Et ce serait
iment du devoir. Eh bien ! je vous jure que, si Corneille n’était pas
vieux
de deux siècles, et si on lisait tout son théâtre
us largement qu’il put ; et enfin ce fut lui qui, en 1671, demanda au
vieux
maître de l’aider à écrire Psyché. ) Donc, pour e
troublé (l’atmosphère du théâtre a d’ailleurs fait son œuvre, et Le
vieux
coursier a senti l’aiguillon), finirait par prom
et 1 avant-dernier. Marquise, si mon visage A quelques traits un peu
vieux
, Souvenez-vous qu’à mon âge Vous ne vaudrez guère
vers, de Scarron. 20 février 1893. Comme on s’amuse parfois aux
vieilles
estampes de Callot, on peut trouver plaisir à ce
rit des amateurs de curiosités et de bric-à-brac, vous goûterez cette
vieille
chose, vous vous appliquerez même à vous la surfa
it souvent écrite à la diable, cette bouffonnerie du cul-de-jatte. Ce
vieux
type du matamore, du tranche-montagne, contempora
vissement qui est dans la nature humaine, une confirmation indirecte,
vieille
comme l’humanité, de ce mot solennel du poète, qu
ge particulier du monument qu’elle décore ; enfin le symbolisme de ce
vieux
mythe, par où se trouvent si vivement exprimés la
ela. C’est une farce, à peu près improvisée, cela est visible, sur un
vieux
sujet de fabliau ; une farce assez brutale, très
one. Or, tout à coup, sans aucune espèce de transition, — parce qu’un
vieux
bonhomme de prêtre, faisant en cela son métier, l
ont que vieilleries. « Enfin, va pour cette conversion foudroyante de
vieux
tyran. Mais puisqu’il veut réparer ses fautes, il
n instant abolit comme un instant la fonde, Mais l’éternelle loi plus
vieille
que le monde ! Je n’y veux point manquer pour un
soudainement une meilleure vengeance et, jetant son poignard, dit au
vieux
monstre épouvanté : « Je me trompais ; ce qu’il m
ins héroïques (il y en a bien une centaine) qui descend des lèvres du
vieux
Campéador. Ce par quoi Hugo couronne l’héroïsme d
s choses toutes seules, en dépit de la générosité et de la loyauté du
vieux
mari et de sa trop jeune femme, qui punissent la
n de cette union disproportionnée. Et cette comédie a des larmes : le
vieux
Danville souffre pour de bon ; il souffre tout au
de bon ; il souffre tout autant que souffrira, six ans plus tard, le
vieux
Gomez de Silva. Et toutefois nous sentons que la
e des Vieillards et qu’ils font partie d’un dialogue familier où deux
vieux
bourgeois échangent leurs souvenirs. Dès lors, ce
: Car des emplois de feu demandent toute une âme. Ceci est un très
vieux
lieu commun et qui prête aux effets de rhétorique
-dire à lui-même, son foyer, sa femme et ses enfants. Il habitait une
vieille
maison, que Mme Solness aimait à cause des souven
spérant vaguement l’incendie. Et l’incendie, un soir, a éclaté, et la
vieille
maison a été détruite, — telles les vieilles croy
un soir, a éclaté, et la vieille maison a été détruite, — telles les
vieilles
croyances de Solness. Il l’a, dis-je, laissée brû
de faim) ; nous faisons, dis-je, la connaissance du père Baumert, un
vieux
pauvre tordu comme un cep, et de sa vieille femme
issance du père Baumert, un vieux pauvre tordu comme un cep, et de sa
vieille
femme impotente ; et nous entrevoyons, derrière l
ange la ratatouille de chien, et l’on continue à boire. Jœger lit aux
vieux
la « Chanson du Linceul », — une rude chanson et
aîtres : C’est leur linceul que nous tissons ! Et, enfin, pour la «
vieille
Allemagne » : C’est son linceul que nous tissons
ue nous tissons ! La chanson lue et commentée, ou la chante… Mais le
vieux
Baumert, les mains sur son ventre, sort un instan
(M. Hauptmann ne les flatte point), ils sont épouvantables à voir. Le
vieux
Baumert, en haillons, monte sur une table et gueu
illage commence.. Le dernier tableau me paraît d’une grande beauté Le
vieux
tisserand Hilse semble un échappé des romans de T
vriers comme les patrons, eussent seulement une parcelle de la foi du
vieux
Hilse, pour que la vie devînt tolérable à tous ;
illage ; et la troupe arrive, et tire sur les insurgés ; et, comme le
vieux
Hilse s’est remis à son métier près de la fenêtre
rappé au front par une balle perdue, et meurt sans pousser un cri… Sa
vieille
femme, assise dans un coin, ne sait pas ce qui se
petite esclave grecque venue du fond de l’Arcadie », était fiancée au
vieux
roi Ablamore, et le jeune chevalier Palomides dev
t rencontrés, ils s’aiment silencieusement et désespérément. Alors le
vieux
roi les fait porter tous deux, les mains liées et
s traits d’une grâce bizarre ou d’un pittoresque inattendu. Ainsi, le
vieux
roi se penchant vers Alladine endormie : « Je vai
le ne lui adresse pas la parole ; mais elle se met à bavarder avec le
vieux
roi. Et le vieux roi lui dit : « Toi qui ne parla
pas la parole ; mais elle se met à bavarder avec le vieux roi. Et le
vieux
roi lui dit : « Toi qui ne parlais pas, comme tu
ous décrivent la bonté de cette petite princesse. « Hier soir, dit le
vieux
roi à la faible Alladine, j’ai surpris le baiser
mir comme des petits enfants ; je ne t’ai pas fait mal ? » lui dit le
vieux
roi, après lui avoir serré les bras un peu fort.
grandissante, en sort toute seule. C’est bien simple. La scène est un
vieux
jardin planté de saules. Au fond, une maison, don
outent pas que tant d’autres en savent davantage ; et que moi, pauvre
vieux
, je tiens ici, à deux pas de leur porte, tout leu
eur porte, tout leur petit bonheur, comme un oiseau malade, entre mes
vieilles
mains que je n’ose pas ouvrir… » L’angoisse devie
e dans une île sans nom ; et nous ne savons pas non plus le nom de la
vieille
reine qui a ordonné le meurtre de son petit-fils
nseignements que nous donne Ygraine, la sœur de Tintagiles, sur cette
vieille
femme mystérieuse : « Elle ne se montre pas… Elle
se montre pas… Elle vit là, toute seule, dans sa tour… Elle est très
vieille
; elle est la mère de notre mère et elle veut rég
iles ; un navire est allé le chercher là où il était, par ordre de la
vieille
reine. Et, des deux sœurs de l’enfant, nous savon
oin d’être informés par le menu de la politique et du caractère de la
vieille
reine qui tue l’enfant Tintagiles ? Nous le conna
onnant de peur, ni elle, celle qui n’est même pas nommée, la méchante
vieille
dont la main centenaire est si lente à étrangler
bat : toutes les chandelles sont allumées sur la table de famille. Le
vieux
Karalyk, un bonhomme à lèvre rasée et à barbe de
s’est converti, et il ajoute qu’elle devrait bien en faire autant. La
vieille
juive, indignée, mec l’ivrogne à la porte. Piotr
Mais, avant tout, il faut cacher cette infamie au père… Il rentre, le
vieux
Karalyk, et serre tendrement dans ses bras le fil
cosaques envoyés pour rétablir l’ordre dans le pays vient demander au
vieux
juif ses papiers et son permis de séjour. Le malh
ant dans l’esprit de la folle, elle allait peut-être étrangler de ses
vieilles
mains sèches son petit-fils renégat… Mais point :
la religion universelle, la pure flamme de justice et de charité des
vieux
Prophètes. Ainsi se rencontrerait ce qu’Israël eu
océen qui ne veut pas avouer, — M. Henry Fouquier nous a fait, sur le
vieux
vaudeville, sur Bouffé et sur Déjazet, une confér
emier acte de Boquillon à la recherche d’un père. Ce Boquillon est un
vieux
garçon égoïste, douillet, ami de ses aises et qui
ui adresse le colonel Fougas, condamné à mort par les Autrichiens. Le
vieux
savant lui offre une hospitalité de quelques heur
ciselures et de dorures, et c’était une maison où l’on comptait. Ces
vieux
meubles n’ont pas changé. Tout cela est neuf et b
. Jusseaume, Morand, Carré et Charles Gounod, pour endormir en moi de
vieux
scrupules très mystérieux, mais d’autant plus ten
i ont le plus retenu de la poésie du livre. Il y a là une placette de
vieille
ville bretonne ! Et une apparition de village tas
n petit Silvestre, qui doit bientôt partir pour son service, et de la
vieille
Maon, fille, femme, sœur, mère et grand’mère de m
i ?… Pourtant, il faut aller voir l’étonnante tête de M. Calmettes en
vieux
loup de mer. On rencontre un autre bateau de pêch
aud, ruinée, est venue demeurer, dans une humble maisonnette, avec la
vieille
Maon, qui est la grand’mère de Yann. Pour nourrir
ants du village « jouent » à injurier la folle après lui avoir tué un
vieux
chat qu’elle aimait, le grand Yann survient, disp
ns Mme Cardinal, et alors j’ai imaginé ceci : Mlle Anglochère est une
vieille
fille, — je dis une vieille vierge, — absolument
ai imaginé ceci : Mlle Anglochère est une vieille fille, — je dis une
vieille
vierge, — absolument honnête et respectable, mais
sé, elle fera comme les autres et aura nécessairement des amants), la
vieille
demoiselle veut du moins que sa nièce « ne tourne
homme, l’excellent baron des Œillettes, qui appartient à l’espèce des
vieux
messieurs sensibles, le dépôt qu’elle avait elle-
eut-être qu’elle n’a pas été mariée, qu’elle est, comme j’ai dit, une
vieille
vierge, et qu’elle ne se fait guère, de cet amour
vanité, j’ai voulu que personne n’y échappât, ni le directeur, ni le
vieux
monsieur, ni la petite fille prodige, — ni l’aute
isant cette petite description à son beau-père. Voyez-vous la tête du
vieux
Labosse ! Eh bien, c’est ça, la « couleur locale
n. Ah ! qu’il s’ennuie dans sa Caprée délicieuse aux douze palais, le
vieux
César ! M. Rzéwuski a fait de lui un nihiliste hy
tu es lâche… et tu mourras… à trente ans… oui… à trente ans… » Et le
vieux
César expire dans un spasme, en désespéré narquoi
tôt, à la froideur de l’accueil que lui fait la mère Cardevent, — une
vieille
paysanne arlésienne d’Alphonse Daudet, — elle com
arçon dans les bras de Valentine. Et je ne vous ai rien dit encore du
vieux
bohème Grigneux. C’est peut-être que son histoire
intre Hugon, officier de la Légion d’honneur et membre de l’Institut,
vieux
roublard, caressant avec la jeunesse. « Je suis l
ce les réminiscences qui abondent dans Cabotins. — Eh ! oui, les plus
vieilles
histoires et les types les plus connus peuvent êt
s réellement et naïvement vivantes, et non plus de simples pupazzi du
vieux
guignol tragique ou farce. « Passer la rampe », l
ncolie, et pour la gaieté, et même pour la poésie. C’est un bien beau
vieux
mur que le vieux mur qui sépare les jardins du bo
a gaieté, et même pour la poésie. C’est un bien beau vieux mur que le
vieux
mur qui sépare les jardins du bonhomme Bergamin e
t et le fleurissent ; il est plein de trous qui sont des nids ; et de
vieux
arbres se penchent au-dessus. Et sur sa crête vie
droite et l’autre à gauche, dégringolent de la crête hospitalière du
vieux
mur. Chacun des papas, avec de grandes imprécatio
ots désagréables. Les voilà donc brouillés tous les quatre, jeunes et
vieux
, et tout est à recommencer. Percinet s’en est all
rouvaient l’impérieux besoin de se revoir… Straforel sera payé, et le
vieux
mur ne sera pas rebâti. Je ne vous dis pas que l’
is, l’envoûté d’une ville. Il est le poète de Bruges la Morte, de ses
vieilles
maisons aux pignons dentelés, de ses canaux plats
le poète des cloches, des cierges et des voiles de lin ; le poète des
vieilles
chambres, des vieux meubles et des vieux miroirs,
es cierges et des voiles de lin ; le poète des vieilles chambres, des
vieux
meubles et des vieux miroirs, le poète de la plui
les de lin ; le poète des vieilles chambres, des vieux meubles et des
vieux
miroirs, le poète de la pluie, de l’ennui doux, d
t de pas feutrés dans une chambre de malade… C’est d’abord la vie des
vieilles
chambres tout imprégnées de passé : Rien n’a cha
mbre », ne sont-ce pas celles de Rembrandt ? — Puis, c’est la vie des
vieux
canaux : Oh ! les vieux quais dormant dans le so
lles de Rembrandt ? — Puis, c’est la vie des vieux canaux : Oh ! les
vieux
quais dormant dans le soir solennel, Sentant pass
ère, Qui s’en va tout là-bas vers les ponts en tunnel. Et la vie des
vieux
réverbères : Et ces fanaux semblaient remplis de
t celles de la vue et à prêter aux choses, surtout aux humbles et aux
vieilles
choses, la vie la plus minutieusement humaine (ce
le méditatif Jean, qui, ayant fait venir une béguine pour soigner sa
vieille
tante malade, et vivant depuis des semaines auprè
l aimait, c’était le mystère de ses cheveux. Il ne songe plus qu’à sa
vieille
tante morte, et laisse partir la sœur Gudule sur
res, ou à peu près, et, de dépit, elle consent à épouser le financier
vieux
et laid, mais riche, que lui proposait sa mère. —
songe. Oui, la société où nous vivons est telle qu’un homme comme ce
vieux
corsaire paisible et gouailleur de sénateur Morin
te au moment où je les exprime ? C’est le cas, ou jamais, de citer la
vieille
sentence de La Bruyère : « Quand une lecture vous
planchettes par des tringles dont un bout s’échappe. Un seul garçon,
vieux
, à favoris blancs, feuillette dans un coin l’Univ
e soir dans la bière de Mars… Mais, tandis qu’il ouvrait son cœur, un
vieux
monsieur, tapi derrière le paravent du journal le
ps, écoutait sa confession avec une vive curiosité. Potasse parti, le
vieux
monsieur s’avance vers Boubouroche et lui dit : x
x distingués, Amédée… Expliquez-vous, Monsieur, je vous prie. » Et le
vieux
monsieur s’explique. Il habite sur le même palier
cte de Boubouroche n’est autre those qu’une variation sur un des plus
vieux
thèmes comiques. C’est l’éternelle histoire de la
ain, de très humain, et dont la cocasserie extravagante repose sur un
vieux
fond solide, à chaux et à sable, de bonne grosse
repose sur un vieux fond solide, à chaux et à sable, de bonne grosse
vieille
vérité traditionnelle. Donc, nous sommes chez Adè
uverte. A cet instant passe sur le palier, regagnant son domicile, le
vieux
monsieur du premier acte. Boubouroche se jette su
mystères de cette suprême et très « artistique » transformation de la
vieille
gaieté française. Et je ne veux pas donner de ran
âges héroïques, fourvoyé et mal à l’aise dans les cadres étroits des
vieilles
cités. Ma brutalité, ma férocité, mon obscénité,
ui, du bagne, on a trouvé la scène piquante ; et, quand elle grise le
vieux
et lui vole ses économies de Nouméa, le public a
et une contrebasse que râcle une femme en camisole de coton bleu. Un
vieux
chapeau de paille est accroché au manche de l’ins
fiancée et leur annonce la « bonne nouvelle » : « Père, dit Tellis au
vieux
paysan, l’homme juste peut maintenant espérer ; l
physique des mots. — Origines des mots français. — Les doublets. — Le
vieux
français et la langue scolastique. — Le latin rés
mais la demi-instruction, si malheureusement répandue, oppose à cette
vieille
force l’inertie de plusieurs sophismes. Cependant
l’opuscule de Brachet, quoiqu’ils s’y trouvent certainement : Latin
Vieux
Français Français moderne Latin Monasterium M
ment, la vaincre. Nous ne comprenons plus, sans études préalables, le
vieux
français ; la tradition a été rompue le jour où l
astiques. Cet apport, continué par les siècles, a presque submergé le
vieux
français. On en était arrivé à croire, avant la c
gâté la langue française. Il n’est pas bien certain, en effet, que le
vieux
français fût aussi dénué qu’on l’a cru : si les i
l’autre union. Ce n’est donc pas là un doublet véritable ; mais si le
vieux
français avait tiré un mot de unionem (unir), nou
ut d’aujourd’hui, et aussi beaucoup plus philosophes. C’est un peu le
vieux
rêve naïf de Rousseau et de beaucoup d’autres son
qui fait tant de bonnes actions, qui nourrit son grand-père, puis une
vieille
pauvresse, qui sauve son ennemi d’un incendie et
it gardé sa ferme, son fils serait riche et n’irait pas en prison. La
vieille
demoiselle Geneviève Bourgeois, propriétaire d’un
ttre au lycée et au Sacré-Cœur. Adèle, ambitieuse et sèche, épouse un
vieux
pour sa fortune, la dévore en quelques années et,
e, et linguiste ou philologue à l’occasion. M. de Glouvet a étudié le
vieux
français et a sans doute collectionné les archaïs
ela, que M. de Glouvet n’ait point résisté à la tentation d’écrire en
vieux
style des contes moyenâgeux. Je sais que cet exer
et d’aventure à ceux qui les lisent, et c’est le cas des Histoires du
vieux
temps de M. Jules de Glouvet. On a l’illusion, lo
que nous aimons dans nos mobiliers, où nous préférons parfois du faux
vieux
aux si jolis meubles soyeux et capitonnés qu’on n
ère qui veut faire un notaire de son fils, et Geneviève Bourgeois, la
vieille
fille héroïque, gardienne jalouse de la terre fam
ation l’autre exaspérée jusqu’au meurtre. Le fermier Buré a chassé le
vieux
Robine, son beau-père, à qui il doit le gîte et l
t qui vénère son grand-oncle le berger. Fleuse, silencieux, ramène le
vieux
Robine chez Buré : « Vous devez quatre mois ; fai
joute : « T’as son bien ; soigne-le. » — Mais quelques jours après le
vieux
Robine est trouvé pendu chez son gendre. Fleuse v
s l’a pendu à l’une des solives du plafond (car sous un des ongles du
vieux
il découvre un cheveu rouge, rouge comme les chev
Forestier, le Marinier, le Berger, la Famille Bourgeois, Histoire du
vieux
temps, chez Calmann Lévy l’Idéal, l’Étude Chando
hez Plon. 54. Sauf erreur, se guémenter est plutôt une corruption du
vieux
verbe se guermenter (qu’on trouve, par exemple, d
it de Molière qu’un jugement imparfait et hasardé si on l’isolait des
vieux
écrivains français auxquels il reprenait son bien
e il a dû trouver en des temps plus voisins quelque descendant de ces
vieux
et respectables maîtres, qui l’aura introduit dan
s écrivains grecs et latins, bien plus qu’à exhumer les œuvres de nos
vieux
rimeurs. Personnne parmi les doctes ne songeait à
rapporte pas à l’éditeur) eut communication, pendant deux jours, d’un
vieux
roman-manuscrit in-folio, intitulé le Renart cont
olletet avait une connaissance particulière et un amour ardent de nos
vieux
poëtes197, La Fontaine ne dut pas moins retirer d
jours assez de la première pour qu’on reconnût en lui le commensal du
vieux
Colletet, le disciple de Voiture, et l’ami de Sai
es tracées, se contentait d’être le dernier et le plus parfait de nos
vieux
poëtes. C’était, il est vrai, un vieux poëte uniq
nier et le plus parfait de nos vieux poëtes. C’était, il est vrai, un
vieux
poëte unique en son genre, et par mille endroits
, ni à maître Vincent, ni à maître Clément, ni à maître François ; un
vieux
poëte, adorateur de Platon, fou de Machiavel, ent
é sur Ronsard l’opinion courante, et un peu oublié ce qu’autrefois le
vieux
Colletet lui avait dû en raconter. 199. La Fonta
r notre journal la série du Manteau d’Arlequin. * * * — Portrait d’un
vieux
monsieur en omnibus. Face massive et mafflue. Des
. Petit nez très relevé au bout couleur de nèfle. Oreilles couleur de
vieille
cire, avec dessus un duvet blanc comme sur les or
vieille cire, avec dessus un duvet blanc comme sur les orties. Autre
vieux
monsieur. Cheveux blancs très courts, sourcils re
sin de Corinthe. * * * — « Les tragédies… oh ! que c’est embêtant ces
vieilles
tragédies !… Rachel… une femme plate !… — c’est J
it rien. Qu’est-ce qu’on peut me dire : que je suis bête, que je suis
vieux
, que je suis laid ! Ça m’est parfaitement égal… C
gne : À la renaissance du Perroquet savant, un mur qui avance avec de
vieilles
grilles rouillées qu’on ne dirait jamais s’ouvrir
tée comme l’ombre du chapeau de la duchesse d’Angoulême. Il avait une
vieille
livrée, une vieille voiture, et un vieux nègre qu
chapeau de la duchesse d’Angoulême. Il avait une vieille livrée, une
vieille
voiture, et un vieux nègre qu’il avait rapporté d
d’Angoulême. Il avait une vieille livrée, une vieille voiture, et un
vieux
nègre qu’il avait rapporté des colonies, où il me
r de la feuillée des dos de peintres chenus, ressemblant à des dos de
vieux
druides. On essaye des parties de billard sur un
es lois. On prévoit aujourd’hui le moment où la connaissance de cette
vieille
langue, et de la littérature qu’elle porte avec e
e qu’il est, une vaillante phalange, composée et des praticiens de la
vieille
langue, qui y ont été rompus de bonne heure, sans
pas déserteurs de l’antiquité, maisralliés, bien qu’un peu tard, à la
vieille
étude nationale, et organisateurs d’emblée (grâce
ient devenir surannées ; mais elle ne s’adressa point aux œuvres déjà
vieilles
de deux ou trois siècles, et depuis cent ans déjà
, Claude Fauchet dans ses Origines, s’avisèrent de s’inquiéter de ces
vieux
poètes, de ces vieilles rimes et de ces vieux rom
ses Origines, s’avisèrent de s’inquiéter de ces vieux poètes, de ces
vieilles
rimes et de ces vieux romans oubliés. Fauchet, no
t de s’inquiéter de ces vieux poètes, de ces vieilles rimes et de ces
vieux
romans oubliés. Fauchet, notamment, dressa un cat
t le titre que lui donnait en 1594 l’avocat Loisel, en lui dédiant un
vieux
poème de la Mort attribué à Hélinand, qu’il publi
publiait sans le bien comprendre. Mais ce mouvement de retour vers la
vieille
poésie ne se suivit point alors. Le xviie siècle
: il eût craint de se gâter l’élocution et le goût en retournant à de
vieux
jargons. Il eût fait beau voir qu’un de ces jargo
Sainte-Palaye, initié par la lecture de Froissart à l’amour de notre
vieille
poésie fut possédé d’une véritable passion du moy
atori, le savant bibliothécaire de Modène, je ne sais quel recueil de
vieux
jongleurs provençaux. « L’heure de notre dîner fa
Jacob Grimm et de Franz Bopp, mais qui pratiquaient et maniaient les
vieux
textes et qu’animait le zèle louable de les produ
grammaire. « Après avoir posé cette règle générale, Fallot divise le
vieux
langage français en trois dialectes principaux, q
aient le plus occupés, dans les dernières années, de ces questions de
vieille
langue ; il y portait du savoir, de l’esprit, de
de reconnaître et d’établir des règles de syntaxe qui eussent tiré la
vieille
langue de cette condition irrégulière propre aux
liquid obscuritatis, etsi gratiam augent34. » Les langues romanes, le
vieux
français en particulier, tout en défigurant à tan
ou deux, un Dictionnaire complet de la langue française, y compris la
vieille
langue : le Glossaire de Roquefort n’est qu’une é
ines, a exprimé des doutes, et soutenu que tenter d’appliquer à notre
vieux
français cette rigueur grammaticale, cette précis
es, c’était faire une création rétroactive, supposer aux monuments du
vieux
français une pureté systématique qui lui est le p
est un travailleur zélé et qui a su trouver pour les monuments de nos
vieux
âges une flamme égale à celle qu’il eut jadis pou
ches ni comparaisons de toutes sortes, pour discerner les éléments du
vieux
français, élément latin, celtique, germanique, po
s de notre langue que ce dédaigneux a entrepris. » (De la Lecture des
vieux
romans, par Chapelain, dans la Continuatum des Mé
toutes les voies), M. Bekker a publié, à Berlin, quelques-uns de nos
vieux
romans de chevalerie. — M. Michelant est allé pub
alerie. — M. Michelant est allé publier l’un des plus célèbres de ces
vieux
poëmes à Stuttgart. — En Angleterre, il faut cite
ir, le premier, appliqué la critique littéraire proprement dite à nos
vieux
monuments, étant compromis chez Génin par trop de
nscience et pour en tirer vite la moralité. Le même apologue, chez le
vieux
trouvère inconnu, est au contraire traité avec co
n y aperçoit un millier de fromages qu’on avait fait assoleiller ; la
vieille
qui devait les garder était rentrée au logis. Tiè
gis. Tiècelin saisit l’occasion et en prend un pour se restaurer ; la
vieille
sort et lui jette des pierres. Le corbeau la rail
des pierres. Le corbeau la raille et emporte le fromage, faisant à la
vieille
ce que tout à l’heure Renart lui fera à lui-même.
de Renart. — Vous croyez la fable finie ; pas le moins du monde. Nos
vieux
trouvères ne sont pas pressés : ils chantent et r
pas les os si durs qu’il ose se mucher ici ; notre palis n’est pas si
vieux
qu’il l’ait pu déjà mettre en pièces. Ce n’est qu
d’école, l’Armorique un peu arriérée et cantonnée restait fidèle à la
vieille
forme poétique comme aux vieilles mœurs ; elle re
rée et cantonnée restait fidèle à la vieille forme poétique comme aux
vieilles
mœurs ; elle restait surtout fidèle à ce courage
u’on ne nous parle plus des Romances du Cid pour en faire honte à nos
vieux
trouvères : ici, il y a des accents tout pareils,
à nos vieux trouvères : ici, il y a des accents tout pareils, que le
vieux
chantre patriotique a pris sur le vif et tirés de
qu’elles soient, se répondent par certains accents et par le cœur. Le
vieux
trouvère, dans sa simple rudesse, a peut-être mêm
de Beaumanoir. Quant à l’idée que j’ai eue dans ce petit chapitre de
vieille
littérature, elle pourrait se résumer en ces mots
onquête 59 en est une sur l’imagination… Cette antique chronique d’un
vieux
chroniqueur oublié et à peu près inconnu en Franc
d’un homme heureux, pourrait cependant s’étonner. Il est vrai que ce
vieux
Bernai Diaz del Castillo n’est pas tout seul dans
e. Heredia a donné là un très beau support d’écusson aux armoiries du
vieux
chroniqueur Diaz, avec ces deux resplendissants m
nt de fois imprimé à Séville. Les Andalouses, s’il faut en croire les
vieux
moralistes, ont toujours été singulièrement douée
coucher du soleil, d’une vie étrange. L’alguazil s’y hasarde peu. Des
vieilles
femmes crient des boudins, des beignets frits à l
de génie, a mieux aimé emboîter le pas, en le traduisant, derrière un
vieux
soldat oublié, et bravement chausser les vieilles
raduisant, derrière un vieux soldat oublié, et bravement chausser les
vieilles
bottes et la casaque de guerre de cet héroïque ro
uerre de cet héroïque roquentin ! Charme des qualités contraires ! Le
vieux
Conquistador en a eu un pour ce fils des Conquist
t-ce d’une main gourde de vieillesse ou endolorie de blessures que le
vieux
soldat chroniqueur, Don Quichotte anticipé, avait
ille est tout ébranchée. Une visite à un oncle, et une visite à notre
vieille
cousine de Courmont, habitant un logement d’ouvri
it épousée pour sa fortune, — morte dans un grenier en compagnie d’un
vieux
chien, — a été enterrée dans la fosse commune, et
oin, ces larmes dévorées, ces misères, aussi loin que votre jeunesse.
Vieilles
plaies dont vous ne vous souvenez, que lorsqu’ell
faire cuire une nouvelle. J’en faisais la descente, et je trouvais un
vieux
savant qui savait tout, et surtout prométhifier l
une chambre inondée de soleil, des meubles tout mangés de lumière, de
vieilles
tapisseries, dont toutes les couleurs seraient ét
symptôme que le monde, tel qu’on le voit aujourd’hui, s’est fait bien
vieux
et bien triste, et que beaucoup d’aimables choses
se rassied, et, toute la soirée, reste au cœur de la conversation des
vieux
, n’ouvrant pas la bouche, raide sur sa chaise, sé
tes, tout entiers à se carotter les uns aux autres un écu neuf ou une
vieille
idée… À propos d’un duel né là, le commissaire de
it cabinet pouvant contenir, les coudes serrés, six personnes. Là, le
vieux
père Maire, servait lui-même en personne, et dans
oloration dorée de Rembrandt en ses têtes juives. Adèle Courtois, une
vieille
célébrité de la galanterie. Juliette une blondine
sous une rochée de trois immenses tilleuls, réunis et joints au pied,
vieux
tilleuls sur lesquels s’étend par plaques une mou
ntant sur le cercueil. Autour du cercueil, des compagnons d’armes, de
vieux
soldats, de vieux bonshommes encore verts, au rub
eil. Autour du cercueil, des compagnons d’armes, de vieux soldats, de
vieux
bonshommes encore verts, au ruban de la Légion d’
ermiers, en chapeaux noirs, venus de loin et tout poussiéreux, et les
vieux
serviteurs retraités, les domestiques septuagénai
dans un contrat de vente, je l’ai oublié, mais le personnage était un
vieux
marchand de sabots, — oui, un marchand de sabots
une domesticité, qu’il avait trouvé le moyen de s’attacher ainsi. La
vieille
Marie-Jeanne remémore encore avec un ressouvenir
dix jours, une lettre de son père, avant d’oser l’ouvrir. Ah ! cette
vieille
Marie-Jeanne, il faut l’entendre, dans le fond de
mettions en broche et nous repartions ! » Et dans les souvenirs de la
vieille
cuisinière associée à l’orgueil de la famille, co
gnorer l’auberge et de descendre chez un ami. Vieil ami, ce Colardez,
vieux
complice de mon père dans les luttes électorales,
à la campagne, de l’argent dans ma poche, avec une femme bon garçon,
vieille
amie qui me raconte ses amants ; libres tous les
es types consacrés qui traînent dans les mémoires idiotes, toutes ces
vieilles
connaissances du préjugé populaire, tous ces pers
J’aimerais autant avoir perdu 20 000 francs. » La vérité est que le
vieux
Buloz versa de vraies larmes sur son ami, qui a p
s, la très sérieuse intention d’épouser, et qui nous rappelle du bien
vieux
passé… Il y a des années qu’on ne s’est vu. On s’
Fleury, causant avec Banville, quand tombe dans notre conversation le
vieux
dieu du drame, le vieux Frédérick Lemaître… Dans
ville, quand tombe dans notre conversation le vieux dieu du drame, le
vieux
Frédérick Lemaître… Dans tout cela, par tous ces
sa voie tortueuse, par la paix de ses maisons, qui appartiennent à la
vieille
ville et que dominent les remparts. Des habitatio
, qui excellaient à ces railleries urbaines. Les anciens hôtels de la
vieille
ville sont situés en haut de cette rue jadis habi
sinon légitimement, les plus beaux vignobles de l’arrondissement, une
vieille
abbaye et quelques métairies. Les habitants de Sa
e La Gaudinière, née de La Bertellière, mère de Mme Grandet ; puis du
vieux
M. La Bertellière, père de la défunte ; et encore
ls entassaient leur argent pour pouvoir le contempler secrètement. Le
vieux
M. La Bertellière appelait un placement une prodi
sept à huit cents poinçons de vin. Il possédait treize métairies, une
vieille
abbaye, où, par économie, il avait muré les crois
el le vigneron participait à sa convenance et secrètement. Quoique le
vieux
Cruchot et M. des Grassins possédassent cette pro
uelle avait droit un homme qui ne devait jamais rien à personne, qui,
vieux
tonnelier, vieux vigneron, devinait avec la préci
un homme qui ne devait jamais rien à personne, qui, vieux tonnelier,
vieux
vigneron, devinait avec la précision d’un astrono
les conversations de la ville. Pour quelques personnes, la fortune du
vieux
vigneron était l’objet d’un orgueil patriotique.
hé. Son bois de chauffage était coupé dans ses haies ou pris dans les
vieilles
truisses à moitié pourries qu’il enlevait au bord
les entre-deux étaient remplis de blanc en bourre qui avait jauni. Un
vieux
cartel de cuivre, incrusté d’arabesques en écaill
aîtresse branche s’adaptait au piédestal de marbre bleuâtre agencé de
vieux
cuivre, ce piédestal formait un chandelier pour l
oignures, espèces de buffets terminés par de crasseuses étagères. Une
vieille
table à jouer en marqueterie, dont le dessus fais
raits au pastel étaient censés représenter l’aïeul de Mme Grandet, le
vieux
M. de La Bertellière, en lieutenant des gardes fr
que. Chaque servante, voyant à la pauvre sexagénaire du pain pour ses
vieux
jours, était jalouse d’elle, sans penser au dur s
nes inouïes, après vingt ans de service, Grandet résolut de donner sa
vieille
montre à Nanon, seul présent qu’elle reçut jamais
eul présent qu’elle reçut jamais de lui. Quoiqu’il lui abandonnât ses
vieux
souliers (elle pouvait les mettre), il est imposs
on était toujours suivie d’un regard indéfinissable que lui jetait la
vieille
servante. Ce mot, dit de temps à autre, formait d
. Cette pitié, placée au cœur de Grandet et prise tout en gré pour la
vieille
fille, avait je ne sais quoi d’horrible. Cette at
Cette atroce pitié d’avare, qui réveillait mille plaisirs au cœur du
vieux
tonnelier, était pour Nanon sa somme de bonheur.
vue inattendue de ce beau jeune homme, son cousin, contraste avec la
vieille
et vulgaire société de son père ; elle inspire à
quarante mille livres de rente ? — Et leurs économies, reprenait une
vieille
Cruchotine, Mlle de Gribeaucourt. Un monsieur de
xcite l’intérêt : le souvenir de son dernier acte, de ces feuilles du
Vieux
Cordelier où il osa, le premier sous la Terreur e
le impression ils reçurent de l’apparition de ces premiers numéros du
Vieux
Cordelier : ce fut, six mois avant Thermidor, com
bien lui encore qui, même revenu à une sorte de résipiscence dans son
Vieux
Cordelier, dira : « Je mourrai avec cette opinion
La guillotine de Louis XVI apparemment. Camille, le futur écrivain du
Vieux
Cordelier, est déjà tout entier dans cette brochu
Il faut mettre ces tristes paroles en regard du troisième numéro du
Vieux
Cordelier, qui les expie. André Chénier avait pub
ume de journaliste pour publier (décembre 93) les premiers numéros du
Vieux
Cordelier. Quand on ne connaît que de réputation
des chiens 12. Marat est beaucoup mieux traité en apparence dans le
Vieux
Cordelier ; mais on comprend pourquoi, et ce n’es
on oratoire et de tactique. Quoi qu’il en soit, dans tout ce début du
Vieux
Cordelier on sent bien l’homme qui s’est fourvoyé
erve qui, en trois ou quatre passages, est excellente, il est dans Le
Vieux
Cordelier ce qu’il était dans ses précédents écri
gne mascarade de l’évêque apostat Gobel ; en un mot, il parle dans Le
Vieux
Cordelier l’argot du temps ; il a le style débrai
elles peuvent être jetées. J’ai dit que Camille, dans un endroit du
Vieux
Cordelier, a un mouvement d’élévation véritable ;
Évangile. Je pourrais citer encore la page suivante de ce numéro 5 du
Vieux
Cordelier, laquelle est plus irréprochable pourta
tre vie comme des malades… » C’est même la seule vraiment belle de ce
Vieux
Cordelier, qui, dans la plus désastreuse des cris
, il ne lui restait plus, en décembre 93 (au moment où il commença Le
Vieux
Cordelier), que deux amis, Danton et Robespierre
terrompait sa lecture pour plonger une main osseuse et jaune comme un
vieux
cierge, — où les veines n’étaient plus indiquées
j’arrive de bonne heure au café, je me place à la table de mon petit
vieux
, — j’accapare sa Gazette et son Charivari. Il vie
du coin de l’œil l’entrée de mon problème. Le premier regard du petit
vieux
fut pour sa place ; en la voyant occupée, une viv
yages, si bien qu’elle finit par rester au fond. Évidemment, le petit
vieux
se défiait de moi, je le gênais. Pourquoi ? Ma c
personne qui je suis… » ……………………………………………………………………… Depuis, le petit
vieux
et moi nous avons passé bien des soirées ensemble
trottiner devant moi. Il s’arrêtait, à trente pas de là, auprès d’une
vieille
femme sordide et repoussante. Je les regardai de
ant près d’un quart d’heure, avec une singulière volubilité ; puis la
vieille
disparut à l’angle d’une rue mal famée, — et mon
ement les nerfs. « Le flacon ! toujours le flacon ! » reprit le petit
vieux
. Après une pause : « Vous ne savez pas ce qu’elle
ensai-je… et Philarète Chasles sera bien content. » Le soir, le petit
vieux
ne vint pas au café, — le lendemain non plus. Je
Dubarry avait escamoté, tout en causant, le flacon d’élixir du petit
vieux
. Il était tout naturel qu’elle eût songé à son fu
ancival et de M. de La Harpe. Disons-le pourtant : il existe aussi un
vieux
Capitole, un Capitule authentiquement vieux, héri
tant : il existe aussi un vieux Capitole, un Capitule authentiquement
vieux
, hérissé de fort curieuses sculptures ; mais il e
ergistes de grand chemin qui amassent de quoi se meubler, — sur leurs
vieux
jours, — des appartements en bois-de rose, en nou
irait Henry Murger. « C’est étrange, mais il me semble que vous, — le
vieux
, — vous m’avez offert des couteaux à Châtelleraul
, Saint-Santin, une masure qui l’a séduit par la date de 1555 sur une
vieille
pierre, et il a enfin trouvé un logis et un asile
cause de la décadence de l’art ; — enfin, lâchant la polychromie, le
vieux
Delécluze s’étend longuement sur les difficultés
la nature. Les générations de notre temps sont trop civilisées, trop
vieilles
, trop amoureuses du factice et de l’artificiel po
taches. — Le maître de l’établissement est appelé par les filles : le
vieux
marquis. Au premier, un interminable corridor ave
idées en enfance, les marmottages et radotages du passé, hantant ces
vieilles
cervelles comme un revenant, des paroles édentées
pprochant tout près, entre ces jambes qui ne courront plus. Il y a de
vieilles
petites créatures séchées et ratatinées, empaquet
aricatures lentes, appuyant leur pas qui tremble sur la béquille d’un
vieux
parapluie. D’autres, avec un grand abat-jour sur
re ; elle paraît rouler en elle une de ces consciences césariennes de
vieille
femme, qui repasse muettement, dans une mémoire d
egardant, et pour essayer de guérir, nous achetons deux pots à thé de
vieux
Saint-Cloud, montés en vermeil, dans leur boîte à
dénoircir l’âme en nous enchantant le regard avec l’éclair gai d’une
vieille
et belle chose, d’une claire porcelaine à la doru
du passé ait tenu la pointe du graveur, et que mieux que la pierre du
vieux
Paris soit venu sur ces feuilles de papier. Oui,
er. Oui, dans ces images, on dirait ressuscitée un peu de l’âme de la
vieille
cité : c’est comme une magique réminiscence d’anc
des chouettes de pierres dans les niches des dessus de fenêtres. Une
vieille
femme à cheveux blancs vous introduit dans une sa
tant de temps en temps au milieu de la phraséologie dramatique et des
vieux
clichés de la bonne aventure, de crapuleux éclats
gue), sur la polissonnerie de laquelle M. Thiers a tant débagoulé, le
vieux
Delécluze, contait à Vignères, que lui et sa sœur
le rapin tout à la fois du dessinateur, choumaquant et recarrelant de
vieux
souliers. Gavarni rit beaucoup avec nous d’un art
ment, les autres pour rire et par allusion à, un « cliché » déjà très
vieux
. Aristophane est resté un grand nom ; et c’est ju
. Deux faits me paraissent hors de doute. Si assurément la pudeur est
vieille
comme les sexes, et si elle fut connue et pratiqu
Salabacca. Nous y voyons quelques viveurs athéniens, entre autres le
vieux
philosophe Eironès, par lequel M. Donnay a cru re
ut son principal instrument d’action. Encore enfant, elle se donne au
vieux
Lépide parce qu’il était riche. Cette orgueilleus
r-ville, dont Sophie disait : « C’est un ennuyeux qui ressemble à ces
vieux
laquais qu’on appelle La Jeunesse. » Millin nous
n, et de je ne sais quoi encore : le bavardage libre et pimenté d’une
vieille
Lisette qui aurait l’esprit de Chamfort. Notez qu
te, abondaient les gardes municipaux et que, autour du catafalque, de
vieux
généraux devisaient avec ennui. Assurément, du fo
aux devisaient avec ennui. Assurément, du fond de son immortalité, le
vieux
maître a dû approuver ces obsèques, car il a touj
érent du nôtre, sérieux, naïf et grand, qui a le don de rafraîchir de
vieilles
choses, en les ressentant avec une extraordinaire
nsabilité reconquise, se met tout de suite à aimer les enfants de son
vieux
mari) ; et la sœur de Hilda, la charmante et rais
’ailleurs son invention pouvait se donner carrière sans scandale, ces
vieilles
œuvres consacrées par les âges étant devenues une
des idées que l’on a trouvées soi-même, ces idées fussent-elles aussi
vieilles
que le monde. Une idée personnelle n’est pas une
l ne faut jamais réciter une conférence apprise par cœur. Oh ! que le
vieux
maître a raison ! Oh ! la peur de ne pas retrouve
e l’Eden-Théâtre : c’est le « Palais Indien ». Enfin, dans un coin de
vieille
rue fantastique, une madone espagnole éclairée pa
es traits essentiels. Le titre indique assez la donnée. C’est un très
vieux
sujet, complètement « retourné ». Il s’agit des e
e leur en reste que quatre-vingt mille. Ou plutôt il ne reste rien au
vieux
fêtard : mais André, en fils délicat, partage ave
s plus saines et les plus touchantes du monde. Cela ouvre les yeux du
vieux
piaffeur : le mari qu’il faut à Hélène, c’est And
e, n’étant plus protégé, il est repris de ses habitudes vicieuses, le
vieux
La Rivonnière installe dans l’hôtel une maîtresse
de l’unique chance qu’il avait d’être sauvé. Nous le voulons bien. Ce
vieux
« marcheur », — que M. Dumas, à mon gré, considèr
e badine pas sur l’article, vient demander raison à La Rivonnière. Le
vieux
beau se conduit galamment : il prend la querelle
iets sur l’issue du duel ? Non, n’est-ce pas ? Et c’est, en effet, le
vieux
monsieur qui sert un bon coup d’épée au jeune mar
e, et qu’il finira par se laisser marier à la bonne Mme Godefroy, une
vieille
amie, une veuve excellente, et qui le guette depu
ur la vérité du bonhomme. Sauf erreur, ce n’est qu’au théâtre que les
vieux
mauvais sujets, les débauchés approchant de la so
d’autre part, ils se connaissent si bien eux-mêmes. Je trouve que le
vieux
viveur n’a pas toute l’inconscience qui conviendr
ait pu vivre comme il a vécu ? Mais c’est peut-être que cette vie du
vieux
La Rivonnière, l’auteur ne la voit pas du même œi
orale du monde et même de la morale de Scribe. Et il me paraît que le
vieux
La Rivonnière a par trop bénéficié de cette inadv
bonté) et fortement brouillé la conscience. Et alors je me méfie… Ce
vieux
monsieur s’est mis un jour en tête d’épouser une
! C’est bon chez M. Scribe, cette candeur subite et ces scrupules du
vieux
fêtard. Mais chez Dumas le clairvoyant, le véridi
… » Eh ! oui, cela était logique ; oui, cela devait arriver ; oui, le
vieux
monsieur trop jeune devait faire la cour à sa bru
-huitième siècle aux légères boiseries blanches ; un cabinet tendu de
vieilles
tapisseries allemandes ; un jardin de principicul
chent sur le ciel du couchant ; au dernier plan, les pignons aigus de
vieilles
maisons ouvragées, piquées, à chacune de leurs pe
elle désespérance… Fantasio a beau dire à un moment : « Regarde cette
vieille
ville enfumée ; il n’y a pas de places, de rues,
ond mariage de leur amie Mme Claire. Cela les dérange dans leurs plus
vieilles
et plus chères habitudes. Oh ! la cave de Durosie
M. Meilhac ait un faible de plus en plus marqué pour la grâce, de ces
vieux
artifices traditionnels. Déjà, dans l’Ingénue, il
s et des femmes, une tendance à jouer plus franc jeu, à se passer des
vieux
mensonges convenus, trucs débinés et qui ne tromp
fauteuil, prise tout à coup de paralysie générale. Toute la vie de la
vieille
paralytique s’est réfugiée dans ses yeux. Les ass
lement. Exaspéré par cette jubilation muette, Laurent se jette sur la
vieille
femme pour l’étrangler : mais il recule devant so
ce, comme vous savez, avait des ennemis, même avant d’être connue. Un
vieux
monsieur, dont la badauderie des Cercleux et des
sformation, éminemment falote, des marquis de Molière. C’est aussi le
vieux
marquis de Chambersac qui n’ayant plus le sou, s’
enfin de « bazarder » l’épée du connétable, l’épée historique dont ce
vieux
marchand à la toilette de Chambersac lui a offert
l’auteur du Prince d’Aurec a été scrupuleusement équitable. Ouvrez un
vieux
livre, les Caractères de La Bruyère, aux chapitre
la voir. Elle lui parle doucement et gentiment ; elle l’appelle « son
vieux
papa ». Ledoux est remué, et la tendresse paterne
pour les soins, as-tu jamais eu rien à redire ?… » Elle a raison, la
vieille
Mme Ledoux. C’est sur toute notre vie que nous de
d’insister là-dessus. Paul Anthelm Théâtre-Libre : La Fin du
vieux
temps, pièce en trois actes, de M. Paul Anthelm.
l, et je fais le méritoire effort de souhaiter la pluie. ) La Fin du
vieux
temps avait aussi contre elle le décor de son deu
trer une grange, avait entassé sur la scène une quantité de bottes de
vieux
foin avarié et moisi, qui sentait à plein nez « l
rie. Ces loques grouillaient ; on se grattait rien qu’à les voir. Les
vieux
tricots des femmes n’étaient pas mal non plus. So
s. Sous la poussière de brique dont elle s’était enduit la figure, la
vieille
servante Françoise était souverainement hideuse,
usqu’au crime, des gars qui se flanqueront des coups de faux, quelque
vieux
paysan que ses enfants aideront à crever, probabl
tefois, c’est qu’il ne justifie pas entièrement son titre : la Fin du
vieux
temps. Si j’en crois, d’une part, le père Muselle
la Fin du vieux temps. Si j’en crois, d’une part, le père Muselle, le
vieux
paysan ignorant et têtu, — et, de l’autre, Jean F
ien sous-officier et muni de son « certificat d’études », l’esprit du
vieux
temps se réduit à vivre dans la saleté, à cultive
temps se réduit à vivre dans la saleté, à cultiver la terre selon les
vieilles
coutumes, et, si vous avez une fille, à ne la mar
battre. J’aurais cru qu’il y avait autre chose. Ce que représente le
vieux
Muselle, c’est tout au plus la routine, ce n’est
uré l’Avarice rustique et la Routine toute pure, il eût placé quelque
vieille
paysanne au grand cœur, comme il s’en rencontre e
’il eût un peu plus conscience de ce qui le sépare si profondément du
vieux
Muselle ; que, dans sa langue de paysan intellige
n cherchons pas plus long que M. Paul Anthelm. Il reste que la Fin du
vieux
temps est l’histoire du mariage d’un brave garçon
du régiment. Mais, quoique Jean ait du bien et « de la conduite », le
vieux
ne veut pas entendre parler de lui parce que, com
dit, Jean mange du pain blanc et qu’il a ses idées sur la culture. Le
vieux
entend marier sa petite-fille à un benêt, Balthaz
l’aïeul terrible, comme un petit garçon. Et Thermette, épouvantée (le
vieux
l’a menacée du bâton), est obligée de renoncer à
il vivra seul dans son trou, puisque les enfants n’obéissent plus aux
vieux
et puisque c’est autant dire la fin du monde ! Vo
terre. Et un beau dimanche, en l’absence de Thermette et de Jean, le
vieux
Muselle entre furtivement dans leur maison, avec
Muselle entre furtivement dans leur maison, avec la complicité de la
vieille
servante. La scène est fort jolie. Le vieux prend
vec la complicité de la vieille servante. La scène est fort jolie. Le
vieux
prend le petit dans son berceau ; il le tripote,
in ! » Il lui fait risette ; il lui dit des bêtises attendries de bon
vieux
grand-père… Thermette et Jean le surprennent dans
rennent dans ces occupations… Ils le supplient de rester avec eux. Le
vieux
se laisse faire, tout en grognant. Tel est ce dra
érent. Les physionomies des personnages ont de la vérité, et celle du
vieux
Muselle a de la grandeur dans sa rudesse. Athali
r un enfant. La grande scène de Joas et d’Athalie, la rencontre de la
vieille
reine toute-puissante et du frêle enfant de chœur
dats qui vont deux par deux. Le Dôme central a des tons rougeâtres de
vieux
paillons dédorés, tandis que les deux dômes bleus
ylle tragique, et, j’ose dire, majestueuse. Le fond, c’est une de ces
vieilles
idées immuables dont je parlais tout à l’heure. L
t une fille parfaitement sage, modeste, douce et travailleuse ; et la
vieille
Martril, la mère d’Antibel, est tout à fait injus
», il l’aimerait tout comme. Elle voit clair encore sur ce point, la
vieille
Martril, quand, après le charivari qui s’est term
s cessé de m’occuper de toi. J’ai trimé, j’ai peiné, je me suis faite
vieille
avant l’âge pour toi, pour te voir content. Et vo
tions de paysanne avaricieuse, et des préventions et des violences de
vieille
femme impérieuse et têtue. Bref, ces deux-là sont
— cueillent des haricots au jardin. Mette, très câline, interroge la
vieille
sur son petit-fils Jan qui est à l’armée, — là-ba
c’est elle qu’il aime, et qu’il est seulement un peu timide. Mais la
vieille
Martril a une autre idée. Antibel a remarqué des
excité par Martril, il prend son fusil et se met en embuscade avec la
vieille
femme… Et cependant Jan, dans son lit, se retourn
une. Et c’est pourquoi Mette, qui n’est point philosophe, consulte la
vieille
Gate, la « devine », et son bouc Barrabas… Admire
à la façon des voleurs ou des ivrognes. Son bouc Barrabas la suit, un
vieux
bouc noir, haut encorné, solide encore sur ses qu
r la cuisse, mettent en l’air, pour tout un Carême, les jeunes et les
vieilles
dévotes des deux faubourgs. » C’est bien cela. Ne
on plein de rondeur, canaille cordiale ; le régisseur, fané comme une
vieille
pomme, le teint blêmi d’avoir trop vécu à l’ombre
res gommeux, et jusqu’à un Peau-Rouge en veston avec une chevelure de
vieille
femme maigrement éparse sur le dos, encombrent la
ecteur » qui l’a suivie, charge Gaston de la débarrasser, un soir, du
vieux
monsieur, lui promet ses faveurs en récompense et
es, des jeunes demoiselles hystériques, des « petits féroces » et des
vieux
garçons libidineux opprimés par leur servante. Et
édie italienne. Il faut bien admettre que, dans une littérature aussi
vieille
et aussi copieuse que la nôtre, beaucoup de chose
t ainsi le couple Privat est ramené à ses fréquentations d’autrefois,
vieux
garçons noceurs avec leurs amies. D’un geste déco
s élémentaires de la morale bourgeoise, pour assurer la survivance du
vieux
nom des Chantemelle, — survivance dont je ne puis
écemment renvoyée parce qu’elle la soupçonnait d’être la maîtresse du
vieux
duc. La duchesse, quoique dévote, accueille avec
se, délivrée d’un gros poids. Et, un instant après, elle fait part au
vieux
duc des confidences de Robert. Or, le duc aussi a
en !… S’il n’était pas à moitié crevé, je le… » Cela, c’est le cri du
vieux
paillard trompé. Mais tout à coup le duc se tait.
t qu’Hélène lui a donné un fils ; mais elle a découvert la liaison du
vieux
duc et de Mlle Vatrin et, dès lors, le mariage de
sion honteuse, et par dire à son père quelques dures vérités. Mais le
vieux
duc l’arrête d’un mot : « Robert a un tils. » Ce
n’est pas une mauvaise fille. Elle a eu la faiblesse de se donner au
vieux
duc, parce qu’il l’a voulu et qu’il était le maît
ceptant pour mari, je lui ferais une mortelle injure. » Vainement, le
vieux
duc lui parle du « nom » qu’il faut sauver. « Eh
de la mettre à la porte. Or, cette femme est au courant des amours du
vieux
duc et d’Hélène. Et Claire et Hélène, et le vieux
urant des amours du vieux duc et d’Hélène. Et Claire et Hélène, et le
vieux
duc, savent qu’elle sait… Evidemment, cette femme
le ramènerez à Chantemelle quand l’hiver y sera moins dur. » Alors le
vieux
duc, sans s’approcher, très « chic » toujours : «
sans avoir pu épouser Hélène ni donner son nom au petit Henri, si le
vieux
duc constatait alors que la duchesse est le seul
nt ce que ses filles ont souffert par lui, mais ne pouvant rompre son
vieux
lien, s’humilie devant son enfant : « … Tu ne sai
nt son enfant : « … Tu ne sais pas ce qu’il y a de faiblesse dans les
vieilles
âmes qui se cramponnent à la vie, au lieu de se p
algré qu’elle en ait, la façon dont ses filles viennent de trailer la
vieille
maîtresse de son mari a fait à Mme de Grécourt un
Mme Boisset fait son devoir de mère de drame populaire et rembarre le
vieux
polisson. A quoi il réplique qu’il aura le regret
yeux que Louise soit si supérieure que cela à son mari. Il n’est pas
vieux
, il n’est pas laid. Il a eu, à l’école primaire,
femmes chuchotent derrière elle, et elle ne comprend pas pourquoi le
vieux
marquis de Rosay qu’elle avait consenti à épouser
et Nohan apprend, pendant la courte absence de la jeune fille, que le
vieux
marquis de Rosay, son ancien fiancé, lui a laissé
donner une preuve sans réplique : elle a renoncé aux deux millions du
vieux
marquis… Ils tombent dans les bras l’un de l’autr
onfusion serait vite dissipée, ou elle ne se prolongerait que par les
vieux
artifices auxquels le théâtre nous a accoutumés.
’elle parle, l’évêque Simplice sent une flamme inconnue parcourir ses
vieilles
veines. Il va jusqu’à louer les attraits terrestr
is tour, — de le sauver avant la faute. Il entre sous les habits d’un
vieux
pauvre et demande à manger. Alors, la fausse Luce
e et il la tue. Tel est le sujet, l’argument, comme on disait dans la
vieille
rhétorique. On sait qu’il est traité avec une hab
ous nos actes ? Nous naissons incorrigibles, hélas ! Nous naissons si
vieux
! Si Clémenceau avait songé que tous les éléments
stache incolore et pendante, il réalisait tout ce que nous lisons des
vieux
chefs scandinaves, dont le sang coulait dans ses
non point sans mélange. Issu d’un Champenois et d’une Bas-Normande de
vieille
souche, Gustave Flaubert était bien un fils de la
ne disant ni oui ni vere ; mais bien Normand des mers, roi du combat,
vieux
Danois venu par la route des cygnes, n’ayant jama
billée par des vierges. Avez-vous vu au Louvre un petit bas-relief de
vieux
style grec, tout asiatique, qui a été trouvé dans
connu en ce monde que deux hommes heureux de leur œuvre : l’un est un
vieux
colonel, auteur d’un catalogue de médailles ; l’a
der dans la glace sans éclater de rire. Est-ce que la vue seule d’une
vieille
paire de bottes n’a pas quelque chose de profondé
ion. Le legs trop expressif de l’amant ne suggère aucune réflexion au
vieux
mari, qui est fort simple. Le bonhomme Roland n’a
juger sa mère, il devrait au moins l’excuser. Il sait ce que vaut le
vieux
Roland, et que c’est un imbécile. » — Oui, mais s
dans un temps où la poésie, qui semble avoir renié définitivement les
vieilles
formes héroïques et didactiques, se complaît, dep
pas dépouillé le vieil homme ; il reste, par l’esprit, citoyen de la
vieille
petite planète où quelque scoliaste latin écrivit
fille, à élever. Il écrivait en 1855 à madame Senior : Je suis trop
vieux
pour me marier, mais je voudrais trouver une peti
emblants sur les grains délicieux du maroquin. Il me souvient de deux
vieux
prêtres qui aimaient les livres et qui n’aimaient
rages modestement reliés. Ils recueillaient volontiers les écrits des
vieux
théologiens dont personne ne veut plus. Ils metta
que ce livre est janséniste. Quant au vicaire, il reçut un jour d’une
vieille
demoiselle un exemplaire de l’Imitation elzévir,
rêtre, les yeux encore humides, la bouche déjà souriante, achetait un
vieux
Lactance au père Malorey, et se réjouissait de li
pas d’amour sans fétichisme, et rendons cette justice aux amoureux du
vieux
papier noirci, qu’ils sont tout aussi fous que le
il est sublime cet effort victorieux de l’homme pour s’affranchir des
vieux
liens du crime ! Qu’elle est auguste cette lente
vore : il est désormais un vice radical, un germe morbide. C’était le
vieux
nourricier des hommes des cavernes ; maintenant i
portaient à manger et à boire à leurs amis morts. En souvenir de ces
vieux
rites, les Myriniens déposaient parfois dans les
aint-Sulpice. Ce devait être la joie des bonnes petites filles et des
vieilles
femmes d’alors. Il y a une frappante analogie ent
Saint-Cyr de Rayssac naquit à Castres en 1837. Son père, cadet d’une
vieille
famille albigeoise, fier comme Artaban et pauvre
ntir l’amour et la beauté sous la poussière des livres amassés par le
vieux
Dugas-Montbel, l’union féconde du sensualisme et
ler. Dans ce temps, j’épelais pour mieux savoir te lire, Et tous les
vieux
amours qu’il te plaît de maudire Enseignaient à m
lata, se fondent dans des conditions si nouvelles, mais même pour les
vieilles
sociétés d’Europe qui aspirent, à se régler aussi
er, d’une manière approximative l’âge de la terre. La terre n’est pas
vieille
. Elle existe à l’état solide depuis 25 millions d
l renferme des vérités que votre statistique ne contiendra jamais. La
vieille
histoire est un art ; c’est pourquoi elle a, dans
te entre les arbustes pour me demander du pain. Et je songeais que ce
vieux
jardin, peuplé d’animaux, ressemblait assez au pa
e. Le geôlier donna pour compagnon de chambre à la jeune Écossaise un
vieux
médecin de Ville-d’Avray, fort entêté de matérial
us ne savez pas ce que vous perdez. Pour moi, je suis pauvre, je suis
vieux
, je suis malade ; et m’ôter la vie, c’est m’ôter
Voilà, madame, d’où vient que je suis triste quand vous êtes gaie. Ce
vieux
médecin de Ville-d’Avray était bien moins sage qu
t barbare dominait la petite cité et pesait sur les formes trapues du
vieux
Parthénon que les guerres médiques devaient détru
omme Socrate, Euripide avait sur les dieux des pensées contraires aux
vieilles
maximes de la cité. Cet esprit scientifique et mo
historiens. Oui, les marionnettes sont sorties du sanctuaire. Dans la
vieille
Espagne, dans l’ardente patrie des Madones habill
te, et toujours la même, et surtout toujours la même pour ce : pauvre
vieux
mari qui t’aime si bien, qui t’aimera aussi longt
: « Quand je ne t’ai pas auprès de moi, ma pauvre tête est comme un
vieux
château dont le concierge est absent et où tout e
ne pouvaient être produites que par une longue et savante culture. Le
vieux
catholicisme et la jeune philosophie, la féodalit
n-Jacques. La bergerie à la veille de la Terreur. Trois ans après, le
vieux
général de Custine était traduit devant le tribun
ns la terre de Fervacques, qu’elle avait récemment achetée et dont le
vieux
château, égayé par le souvenir de la belle Gabrie
s être seule lorsqu’on n’est plus jeune » ! Au moins faudrait-il être
vieille
! mais on est si longtemps à n’être plus jeune sa
être vieille ! mais on est si longtemps à n’être plus jeune sans être
vieille
, que c’est là ce qu’il y a de plus pénible ; ce q
oise tombées sous la mitraille en criant : « Vive l’empereur ! » La
vieille
garde fut admirable de constance et de fermeté. C
l dit d’une voix haute : « Officiers, sous-officiers et soldats de ma
vieille
garde, l’ennemi nous a dérobé trois marches. Il e
achetait tous les libelles qui se criaient sous ses fenêtres, dans la
vieille
rue de Saint-André-des-Arcs. J’ai lu cette notice
produire. C’est pourquoi elle ne se montre que dans les sociétés déjà
vieilles
, à l’heure exquise des premiers déclins. Elle sur
i, il est permis aujourd’hui d’admirer toutes les formes du beau. Les
vieux
préjugés d’école n’existent plus. On peut aimer e
elles formes de l’art. « Un peuple n’est jamais coupable », disait le
vieux
roi Louis-Philippe à Claremont. Voilà une sage pa
est là une nouveauté. Et, comme toutes les nouveautés, elle est aussi
vieille
que le monde. De tout temps, l’art a voulu représ
à plus naturelle. Les savants prétendent que le Petit Poucet est plus
vieux
que l’Iliade ; ce n’est pas impossible. Eh bien,
t est plus vieux que l’Iliade ; ce n’est pas impossible. Eh bien, les
vieilles
femmes qui contaient le Petit Poucet aux enfants
ent, n’en doutez point, ce que se proposait le poète villageois de la
vieille
France qui fit cette chanson, bien connue de La F
les pensées. Ne nous imaginons pas que les temps sont venus, que les
vieilles
littératures vont tomber en poudre au son des tro
ontemporaines par rapport à nous. Il a fait sagement, à l’exemple des
vieux
maîtres, car de la sorte le bon ermite nous intér
it hellénique. L’église où, sous le nom de Jésus, ils retrouvaient le
vieux
, dieu de leurs pères, satisfaisait complètement à
t morts, lui laissèrent leurs champs fécondés par les larmes de cette
vieille
Isis que la sainte Vierge avait chassée. Mais Ant
e feuilles de palmier. Ses austérités étaient tempérées. Quand il fut
vieux
, ses disciples obtinrent qu’il leur permît de lui
a rêverie — à la vie simple et remplie de quelque homme de bien, d’un
vieux
prêtre, par exemple, occupé d’études et se réveil
elle est sans pitié pour leurs peines et leurs misères. Elle tient la
vieille
habileté de M. d’Oronge pour aussi ridicule que l
Est-ce à dire qu’il faille regretter les anciennes disciplines et les
vieilles
maisons, l’institut des demoiselles de Saint-Cyr,
antiques animées, vivifiées par une âme moderne, souvenirs émus de la
vieille
France, dont bientôt la poésie allait pieusement
que toujours symétrique et régulier comme les jardins sans arbres des
vieilles
miniatures ! Le malheur est que je dévorai en que
e sorte de trouble et comme une hallucination. Il me semble que cette
vieille
France que je viens de traverser si vite, cette t
nde du moyen âge ; il pourrait être représenté, à la rigueur, par une
vieille
horloge un peu compliquée, comme celle de Strasbo
t. Il unit au goût littéraire le sens philosophique, et son Manuel de
vieux
français, dont je vous parle ici, n’a tant d’inté
es leur chanter. Aussi la Chanson de Roland, et généralement tous les
vieux
gestes étaient-ils chantés par des jongleurs. De
direction intellectuelle, littéraire et sociale. » (Page 32.) Et le
vieux
chêne sous lequel je suis assis parle à son tour,
ement de mon feuillage. L’âme de tes aïeux est dans ces chansons plus
vieilles
que moi-même. Connais ces aïeux obscurs, partage
ne poignée dans ta main sans penser qu’elle est sacrée. Aime tous ces
vieux
parents dont la poussière mêlée à cette terre m’a
ccompagne souvent une irrémédiable caducité. Tant d’ouvrages naissent
vieux
! Il y a beaucoup de compilateurs dans l’Universi
l’œuvre de chair, de sang et d’âme de la patrie et de l’humanité. Une
vieille
chanson de geste raconte que la comtesse de Rouss
ppelle, non sans quelque rancune, qu’ayant surpris dans mes mains une
vieille
édition du Jardin des racines grecques, dont l’ex
rale par des chasubliers qui vivent avec une pieuse modestie dans une
vieille
maison héréditaire adossée à l’église. L’enfant s
Agnès. Elle devient une brodeuse mystique et retrouve les secrets des
vieux
maîtres brodeurs. Un jeune ouvrier verrier lui ap
n héroïne a découvert elle-même toute cette féerie chrétienne dans un
vieux
livre du xvie siècle. Mais cela même est bien in
Un grand manteau d’or couvre ses épaules, Et moi dont la veste est de
vieux
coutil ! Partons, joli cœur, pour le Bois-Gentil.
gestes réglés par les Muses. Mon amitié pour les marionnettes est une
vieille
amitié. Je l’ai déjà exprimée ici l’an passé. J’a
us montrer l’ombre. Mais ce qu’il disait revenait en somme à ceci. Le
vieux
Dumas faisait des contes, et il avait raison. Pou
ons de ces hauts remparts de Saint-Valéry dont l’embrun a couvert les
vieux
grès d’une rouille dorée. Mais ce n’avait pas été
és qu’il portait en sautoir. Son visage était bronzé comme celui d’un
vieux
pilote. Il me tendit une main large, mais trop do
s n’avions rien et nous attendions tout. Si, je le reconnaissais, mon
vieux
compagnon d’armes ! Oui, compagnon d’armes, car,
e avec l’amour de ce terrible Océan qui lui a pris son père. Comme le
vieux
pilote que M. Jean Richepin fait si bien parler d
pêche, suspendus partout, aux murs, aux poutres du plafond. Tous ces
vieux
compagnons de sa vie d’autrefois, elle les tenait
oujours agitées, mes petites Psychés anxieuses ? Elles me montrent ma
vieille
Bible en estampes, la bible que ma mère m’avait d
ant je dévorais des yeux avant même de savoir lire. C’était une bonne
vieille
Bible. Elle datait du commencement du xviie sièc
nce, l’artiste n’ayant pas imaginé qu’on pût rien représenter de plus
vieux
en ce genre. Il y avait des nymphes de Jean Goujo
, eût pu connaître la tour de Babel et les bains de Bethsabé. Oh ! ma
vieille
Bible en figures, quelles délices j’éprouvais à l
ait conduite sérieusement. C’est une sagesse que j’ai laissée avec ma
vieille
Bible. Quels regrets n’en ai-je pas ! Songez donc
s une bonne promenade ! Croire qu’on a le secret de l’univers dans un
vieux
livre, sous la lampe, le soir, quand la chambre e
et pourtant rêver ! car je rêvais alors et tous les personnages de ma
vieille
bible venaient, dès que j’étais couché, défiler d
l’avons eue plus ou moins ; tous nous avons feuilleté, autrefois, une
vieille
Bible en estampes. Tous nous nous sommes fait de
u désert, des ombres des Elohim, il était le fils d’une humanité déjà
vieille
et, pour ainsi dire, aussi éloignée que la nôtre
mmun berceau. C’en est fait. L’homme moderne, lui aussi, a déchiré sa
vieille
Bible en estampes. Lui aussi, il a laissé au fond
, que l’exégèse a trouvé le sens véritable de la Bible hébraïque. Les
vieux
textes sur lesquels reposait une croyance tant de
s historiques. À tel endroit, pour mieux faire comprendre l’esprit du
vieux
chef nomade, il parlera d’Abd-el-Kader ; à tel au
’affreux massacres en l’honneur de ce dieu cruel. » Où donc est mon
vieux
recueil d’images saintes, dans lesquelles ce même
n, et en commençant par M. Challemel-Lacour lui-même ? À l’exemple du
vieux
Cormenin, nous pourrions essayer d’esquisser un p
chêne. Sa personne anguleuse et voûtée exprime la dignité propre à un
vieux
parlementaire blanchi dans les débats publics. Il
e qui s’y rencontre et que j’ai copiée. Je la trouve à point dans mes
vieux
papiers, ce qui est une espèce de miracle, car je
, comme je me trouvais sur la montagne Sainte-Geneviève, au centre du
vieux
pays des études, j’entrai dans l’église Saint-Éti
moriam precibus potius quam elogiis prosequere . » Au sortir de cette
vieille
maison de pierre où les noms de Pascal et de Raci
t paisible, heureux sur son petit rocher de Saint-Lô, à l’ombre de sa
vieille
église aux dentelles de pierres noires, dans ces
onthieu. C’est une puissante douceur que de sentir revivre en soi les
vieux
âges. Je suis sûr que M. Ernest Prarond l’a éprou
e du noir donjon carré de la maison de ville. Ces murs, me disais-je,
vieux
témoins des combats et des désirs des hommes, ces
; ce que M. Philippe de Chennevières appelle « la leste bonhomie des
vieux
conteurs du nord de la France ». Il s’est fait de
rs littéraires, des tonneaux de pétrole, ils trouvaient devant eux un
vieux
monsieur très poli et très entêté qui les détermi
s qui se sont écoulés comme un jour — M. Prarond, retiré sous quelque
vieux
toit d’Abbeville, a poursuivi paisiblement ses so
ille, il s’est voué, dans ces dernières années, à l’illustration d’un
vieux
poème latin que publia en 1516, un autre fils d’A
Il y prit garde à temps, et, détachant ces enluminures des marges, du
vieux
texte, il en fit un petit recueil à part, qu’il a
Au moins je veux répéter vos paroles tout empreintes de l’esprit des
vieux
âges » : LA BANNIÈRE Tours — Orléans Jeanne, en
de quelle étrange et gracieuse façon M. Ernest Prarond commentait le
vieux
poème de Valerand de la Varanne. Mais, comme je l
ois jours de marche, conduire son armée devant Paris. Christine était
vieille
alors ; elle vivait, depuis onze ans, cloîtrée da
lle souffrit à Rouen, sous le régent d’Angleterre. Ce sont encore les
vieux
poètes du xve siècle qui nous fournissent ce pré
uirait à celle des choses. Pour le ton général on s’inspirerait de la
vieille
et vénérable pièce dont je viens de parler. Le ve
que les deux saintes fussent des dames et représentassent l’âme de la
vieille
France. Il faudrait que toute la fleur de la poés
souffre pas les archaïsmes du discours. On est choqué d’entendre des
vieux
mots sur de jeunes lèvres. Pour qu’une telle œuvr
gny, ils consentent à « raccourcir leur vue ». Mais nous parlions des
vieux
poètes. Neuf ans après la mort de Jeanne, le prév
’à rappeler la ballade de Villon, pour compléter notre anthologie des
vieux
chantres de la bonne Jeanne, parmi lesquels on re
s hommes si beaux, si tristes et si prompts aux actes héroïques ; ces
vieilles
châtelaines et ces vieux gentilshommes si dignes,
s et si prompts aux actes héroïques ; ces vieilles châtelaines et ces
vieux
gentilshommes si dignes, si polis et si fiers ; t
ois il se trouve enfermé avec elle, par un accident imprévu, dans une
vieille
tour en ruines et manque de se casser le cou pour
ous leurs biens à une congrégation religieuse ; mais heureusement une
vieille
demoiselle fort riche meurt en léguant sa fortune
ucher un cygne pour aller sur l’eau, apprivoise un fou, catéchise son
vieux
curé et l’amène à un sentiment plus élevé de sa p
t là-dessus des doutes vous viennent sur la justesse des propos de la
vieille
douairière prêchant le romanesque aux jeunes gens
ifiants comme M. de Bévallans et d’autres dont le nom m’échappe ; les
vieux
gentilshommes un peu maniaques comme M. des Rameu
mes un peu maniaques comme M. des Rameures ou M. de Courteheuse ; les
vieilles
femmes aimables et charitables comme Mme de Féria
aimables et charitables comme Mme de Férias ou Mme de Louvercy ; les
vieilles
femmes évaporées comme Mme de Combaleu ou venimeu
beau cousin, l’oblige à se marier pour détourner les soupçons de son
vieux
mari, continue d’être à lui, est surprise une nui
était venu. « Adieu, imbécile ! » lui crie-t-elle par la fenêtre La
vieille
Mme de Lerne voudrait que son fils, pour se range
parce qu’elle n’a pas appris le catéchisme, parce qu’elle a reçu d’un
vieux
médecin une éducation purement scientifique et la
tout entières du Feuillet des meilleurs jours. Le comte-évêque et le
vieux
gentilhomme qui vit dans le XVIIe siècle, tant le
nt, les unes après les autres, anéanties par l’orphelin. Un jour, une
vieille
vint le trouver et lui dit : « Tu gaspilles tes g
déclara le kuohi et ton fils aura pour femme une de mes filles ». La
vieille
salua le roi et s’en revint chez elle, où elle fi
arine de mil. De cette pâte légère elle fabriqua des « mâssa »162. La
vieille
prit alors le sentier qui menait au lougan des or
avait pas goûté de ces galettes depuis son départ du village, héla la
vieille
, lui en acheta deux et les mangea à belles dents.
cher la dernière bouchée qu’il tomba à terre profondément endormi. La
vieille
ne perdit pas de temps. Elle courut prévenir le k
me ses nourrissons. M. Jules Jouy a beau dire dans un refrain : Les
vieux
, les vieux, Sont très ennuyeux, Qu’ils s’aiment e
rissons. M. Jules Jouy a beau dire dans un refrain : Les vieux, les
vieux
, Sont très ennuyeux, Qu’ils s’aiment entre eux !
les vieux, Sont très ennuyeux, Qu’ils s’aiment entre eux ! À bas les
vieux
! il est de leur race, car ces vieux s’appellent
s’aiment entre eux ! À bas les vieux ! il est de leur race, car ces
vieux
s’appellent Désaugiers, Béranger, Charles Gille,
auvre servante, à qui je lisais des contes. J’aspirais à revenir à ma
vieille
ville sombre, écrasée par sa cathédrale, mais où
e tournant vers la Vierge neuve, on eût cru faire une infidélité à la
vieille
. Saint Yves était l’objet d’un culte encore plus
e séducteur suprême dans nos plus saintes illusions, j’ai gardé de ce
vieux
temps de précieuses expériences. Au fond je sens
ent rendez-vous, était un bâtiment énorme, couvrant, comme toutes les
vieilles
constructions, beaucoup d’espace pour loger peu d
it, à chaque rayon de soleil, à l’ombre de l’auvent, s’asseoir sur de
vieilles
chaises de paille. C’était l’endroit le plus viva
laquelle nous ne passions jamais sans quelque étonnement. C’était une
vieille
fille de quarante-cinq ans, coiffée d’une large c
adie cruelle, qui la mina lentement. Ma, mère était tout à fait de ce
vieux
monde par ses sentiments et ses souvenirs. Elle p
. Sous le premier Empire, avant les indemnités, il servit d’asile aux
vieilles
demoiselles nobles les mieux élevées. On les voya
prêtres n’aimaient pas, quoique ce fût un homme de bien, et Gode, la
vieille
sorcière, qui, le lendemain de ta naissance, alla
es trouve bornés au fond… Non, on ne peut plus comprendre combien ces
vieux
nobles de campagne étaient respectés, quoiqu’ils
comme des fenêtres d’église, indiquaient une demeure noble, un de ces
vieux
castels qui étaient habités avant la Révolution p
it, et il partit avec les autres. Il revint de bonne heure, trouva sa
vieille
maison, que personne n’avait voulu occuper, dans
ite ville, qui ne sont bons à rien et qui ne valaient pas le quart du
vieux
noble de campagne, n’auraient pas voulu d’elle po
ns cette organisation forte et qui ne souffrait pas d’être déviée. Le
vieux
père attribuait à une certaine faiblesse d’esprit
uré. Dans un quart d’heure, notre linge va être porté chez vous. » Le
vieux
Kermelle se joignit à elle, et le vicaire laissa
ée. Le vicaire prononça sur sa tombe des paroles d’édification. » Le
vieux
vécut encore quelques années, mourant peu à peu,
mme en ces mœurs et en ces âges barbares. Il s’agit bien vite pour le
vieux
Tarass, tout fier des jeunes recrues qui lui arri
perdu pour sa religion, pour sa race, pour son père. Le moment où le
vieux
Tarass apprend d’un Juif qu’Andry est dans la pla
vement de Tarass rappelle celui-là. Toute la tendresse et l’espoir du
vieux
Cosaque se concentrent dès ce moment sur son nobl
ordres de Tarass Boulba lui-même, élu ataman pour la circonstance. Le
vieux
Tarass, resté avec une troupe affaiblie, se dispo
ue vérité. Enfin il prend un parti ; il va trouver, lui si altier, un
vieux
Juif auquel il a eu affaire plus d’une fois. Les
luaient le peuple. Le premier de tous marchait Ostap. « Que sentit le
vieux
Tarass, lorsqu’il vit son Ostap ? Que se passa-t-
station, le massacre, l’incendie, ne cessent plus, jusqu’à la mort du
vieux
Tarass qui s’obstine, à la tête de son polk, à ne
arent, depuis des siècles, certaines branches de la famille slave. Le
vieux
Tarass se croit un bon chrétien à sa manière ; il
er les idées nouvelles ; elle trouverait les mots nécessaires dans le
vieux
français, dans les termes inusités, quoique purs,
ns n’ont pas gardé en français leur sens originaire, bien des mots du
vieux
français n’ont plus exactement en français modern
pas possible qu’une langue littérairement aussi vivante ait perdu sa
vieille
puissance verbale ; il suffira sans doute que l’o
er sur des analogies multiples, le second d’après muet et fluet. — Le
vieux
français avait asoleillé. NdA 115. Il y a aussi
e veut pas dire autre chose que viscéral. NdA 116. Scopa a donné en
vieux
français escouve, écouve, dont il est resté écouv
i des prétendus néo-catholiques, pleins de naïves illusions, ces bons
vieux
prêtres se défiaient de lui. Un Tertullien égayan
plus frivole, si on ne la conçoit comme un grand et continuel devoir.
Vieux
et chers maîtres, maintenant presque tous morts,
ents. Je n’en ai pas vu une trace dans ma jeunesse ecclésiastique. Le
vieux
livre où je faisais mes examens de conscience éta
lisme ne se séparait pas de la religion. Dernièrement, en classant de
vieux
papiers, je trouvai une lettre d’elle qui m’a fra
’a frappé. Elle est adressée à une excellente demoiselle Guyon, bonne
vieille
fille, qui me gâtait beaucoup quand j’étais enfan
éducation qu’autrefois. Ma sœur eut ainsi pour première maîtresse une
vieille
ursuline qui l’aimait beaucoup et lui faisait app
r les psaumes qu’on chante à l’église. Après un ou deux ans, la bonne
vieille
fut au bout de son latin et vint consciencieuseme
représente Dieu. » Faire un prêtre était l’œuvre par excellence : les
vieilles
filles qui avaient quelque bien n’imaginaient pas
rme d’une mouette blanche, autour de l’église ruinée de Saint-Michel,
vieille
masure frappée par la foudre qui domine Tréguier.
l fallait, pour cette délicate opération, non un prêtre sérieux de la
vieille
école gallicane qui aurait pu avoir l’idée de rét
enversé l’œuvre si savamment concertée. Le 17 mai, jour de la mort du
vieux
pécheur, au matin, rien n’était signé encore. L’a
ences était à peu près exclue ; il n’en avait pas la moindre idée. La
vieille
maison de la rue Saint-Victor fut ainsi, pendant
en tombant subitement dans un milieu aussi différent de celui de mes
vieux
prêtres de Bretagne, têtes vénérables, totalement
e Bretagne ne ressemblait pas plus à celui que je trouvais ici qu’une
vieille
toile, dure comme une planche, ne ressemble à de
e, ne ressemble à de la percale. Ce n’était pas la même religion. Mes
vieux
prêtres, dans leur lourde chape romane, m’apparai
élève de Saint-Nicolas se hasardait à rappeler cette maison, quelque
vieux
directeur se trouvait là pour dire : « Oh ! oui,
nes. Or, parmi ces volumes modernes, qui détonnaient souvent avec les
vieilles
routines des cahiers, j’en remarquai un qui produ
ses chiffons, sa force révolutionnaire et ses mollesses flasques. Mes
vieux
prêtres de Bretagne savaient bien mieux les mathé
j’ai nommés se levèrent semblables à des prêtres de régénération, les
vieilles
murailles du monument littéraire s’ébranlèrent à
ation a remplacé la richesse et la pureté des lignes. Semblable à une
vieille
femme qui teint ses cheveux, frotte de rouge ses
le et s’avancer résolûment vers l’avenir, elle a repris facilement la
vieille
voie tracée on elle flaire les pistes des anciens
ns : « Cet homme est un fou ; mais il ne sait donc pas que toutes ces
vieilles
armures dont il est risiblement accoutré sont bon
as encore été tuée par cette gérontocratie qui la dévore. Le culte du
vieux
est chez nous une manie, une maladie, une épidémi
ons — il est partout, chez tous les peuples. Qu’est-ce donc que cette
vieille
histoire d’un péché originel, d’un paradis perdu,
ère d’Enfer, le 29 juillet 1830 ; ils demandent l’absolution de leurs
vieux
péchés et font pénitence aux genoux de deux ou tr
par un large traité de civilisation à tout prix, descendront dans la
vieille
Asie sous la conduite de leurs généraux ; leurs a
en toutes choses : il ne doit pas y avoir de forces perdues ! Que le
vieux
monde s’écroule, nul n’en peut douter ! Voyez où
des pièces du théâtre de Guignole. Il est temps d’en finir avec ces
vieux
débris des religions physiques de l’antiquité, av
la force de l’association à la faiblesse individuelle, qui brise les
vieux
liens qui nouaient l’essor de la société, qui dét
dans ses historiens et dans ses poètes, j’ai été la chercher dans ses
vieilles
patries. Elle n’y est plus, car elle est partout.
n’en suis pas encore arrivé là ; mais je crois qu’il faut laisser les
vieilles
allégories, les vieilles histoires, les vieilles
vé là ; mais je crois qu’il faut laisser les vieilles allégories, les
vieilles
histoires, les vieilles images dans la demeure vi
’il faut laisser les vieilles allégories, les vieilles histoires, les
vieilles
images dans la demeure vide des dieux détrônés. N
; les nouvelles religions paraissent et se formulent peu à peu ; les
vieilles
se défendent et argumentent à outrance. Les philo
ve ! J’ai rêvé l’union des gens de lettres ; j’ai rêvé qu’oubliant de
vieilles
dissidences, de sots malentendus et de puériles d
ouvrent la tranchée. Ah ! si cela était, quel siège on ferait à cette
vieille
et trop solide citadelle des erreurs invaincues e
mais un but, l’art littéraire a fait fausse route ; il est revenu aux
vieux
errements du passé. Rien n’est encore perdu, rien
Moyen Age, est resté Faust dans le poème de Bouchor. Il est resté le
vieux
Faust intraitable, immaniable, impossible à déchr
on ne joue pas avec la légende du Diable sans bientôt y croire. Cette
vieille
légende dont on se moque, à son tour se moque des
se supprime ni ne se laisse déguiser… C’est toujours le Diable et sa
vieille
légende ! C’est toujours le vieux marché de l’hom
r… C’est toujours le Diable et sa vieille légende ! C’est toujours le
vieux
marché de l’homme pécheur qui voudrait épuiser, d
chor, au risque d’y casser les beaux onyx de ses ongles de poète ! La
vieille
colonne de la crypte noire du Moyen Age ne l’a po
pre originalité… Maurice Bouchor qui, aujourd’hui, a voulu ranimer le
vieux
Faust et le rajeunir, a fini par le tuer dans un
tre moderne, qu’ils nous donnent quelque chose de plus moderne que ce
vieux
Faust modernisé ! Maurice Bouchor a pu mettre le
s de pierre, qui précéda de peu chez nous l’étude et la recherche des
vieilles
Chansons de geste, avait déjà pris du développeme
comme témoin et assistant, parfois comme pèlerin aussi de ces bons et
vieux
arts. C’était en effet une sorte de pèlerinage où
les larges quais, les grandes rues, on cherchait tout exprès les plus
vieux
quartiers, les plus étroites ruelles ; on s’arrêt
s vieux quartiers, les plus étroites ruelles ; on s’arrêtait à chaque
vieille
pierre ornée et ciselée, à chaque petit hôtel aya
fidèle et une histoire du monument. N’importe ! toute cette façade du
vieux
parvis en était désormais illuminée. La fondation
esque de famille. Fils d’un père qui avait goûté l’un des premiers la
vieille
poésie française, ou ce que l’on appelait alors d
un autre ordre, à sa manière, du mérite des œuvres et des maîtres du
vieux
temps. Entendant son respectable et très aimé onc
n ne garde que des souvenirs très vagues. On me confiait souvent à un
vieux
domestique qui me menait promener où sa fantaisie
r moi, c’était la rose que j’avais devant les yeux, qui chantait. Mon
vieux
guide voulut en vain me détromper ; sous cette im
lus de rapport véritable entre les grands artistes de la Grèce et nos
vieux
maîtres laïques bâtisseurs de cathédrales, qu’ent
de Balzac, que ne connaîtront peut-être pas ses biographes futurs. Le
vieux
Giraud racontait, ce soir, qu’il était voisin du
une nuée qui semblait la fumée rougeoyante d’un incendie, la masse de
vieille
pierre de Notre-Dame apparaissait violette, avec
. Il y a, dans ces premières pages, un portrait très saisissant de la
vieille
Lætitia, de la mère inconsolée du César disparu,
lire, ce délire particulier aux maladies du cerveau, et qui fait, aux
vieux
comme aux jeunes, repasser, dans les dernières he
est pas de créer des personnages, que le public ne salue pas comme de
vieilles
connaissances, le tout n’est pas de découvrir une
ise du ciel. Ces jours-là, j’aime à lire de l’histoire, surtout de la
vieille
histoire : il me semble que je ne la lis pas, mai
spirituelle de Knaus. Une montagne de malles et de sacs de nuit, une
vieille
calèche au velours rouge passé, des chaises à por
morte, dans un paysage de l’autre monde. Mardi 29 septembre La
vieille
Marguerite, la cuisinière épiscopale de mon oncle
a cuisinière épiscopale de mon oncle de Neufchâteau, est ici, et, ses
vieux
doigts de soixante-dix ans, font réapparaître, po
ce, et quels sauvages sont nos vainqueurs. Il y a vraiment dans cette
vieille
cuisine provinciale de la France, comme l’exquisi
ravaille appliquée, absorbée. De temps en temps, la tête de diable du
vieux
Giraud apparaît derrière l’épaule ou le gant de S
soutache un corsage de jais, Mme de Galbois tricote un bonnet pour le
vieux
Giraud. Les hommes se sont rassemblés autour de l
’abbé Coquereau, de Benedetti, de Mme Benedetti, de Victor Giraud, du
vieux
Giraud, du docteur Puysaye. Sur un coin de la tab
ntrevoit d’élégiaques têtes d’études d’Amaury Duval ; on entrevoit de
vieilles
gravures représentant Napoléon Ier en costume tro
Marché avait reçu, dans un envoi de tapis d’Orient modernes, quelques
vieux
tapis de Perse. On me les montre et devant ce ras
in dernièrement, pour mon cours, je n’ai pu m’en procurer… Et sans un
vieux
médecin, vous savez Pasteur ?… celui qui suit mon
e causent d’une actrice de la Comédie-Française, quand tout à coup le
vieux
Giraud dit : « C’est drôle, moi, j’ai manqué d’êt
, dans un dîner chez Bressant. C’était alors, en termes d’atelier, un
vieux
plumeau, mais sa fille marchait derrière elle, et
mmer le comte de Paris, la comtesse de Paris, Mme de Saint-Didier, le
vieux
duc d’Hérouville, bonhomme étrange, qui déjeune a
e duc d’Aumale, il n’y a qu’un mot pour le peindre : c’est le type du
vieux
colonel de cavalerie légère. Il en a l’élégance s
science, une érudition que n’ont pas d’ordinaire les princes. Sauf le
vieux
duc d’Hérouville, la table ne compte pas de perso
e soi-même et qu’on sort de soi tant que l’on veut, à l’exemple de ce
vieux
professeur de Nuremberg dont M. Joséphin Péladan,
é notre part au trésor universel du mal moral. J’ai déjà parlé4 de ma
vieille
bible en estampes et du paradis terrestre que j’a
le sais maintenant, et je suis bien près de croire que le Dieu de ma
vieille
bible avait raison. Ce bon vieillard, amateur de
rien dire, mais nous avons pâli. Le plus grand mal (et sans doute le
vieux
jardinier à la barbe blanche de ma vieille bible
grand mal (et sans doute le vieux jardinier à la barbe blanche de ma
vieille
bible l’avait prévu), c’est qu’avec la bonne igno
se blanche, ou plutôt la Voix claire, car les savants hésitent, et le
vieux
saxon ne se lit pas très facilement, ce dont vous
s quand ils s’efforcent de représenter des hommes et des animaux. Les
vieux
tailleurs de pierre du temps de l’empereur Othon
e Syrie dont la vie a été écrite en syriaque par saint Ephrem. Étant
vieux
, il vivait seul dans une petite cabane, lorsque s
, des manies odieuses ; dans ses mauvais moments, il grimace comme un
vieux
macaque. Il affectait dans sa personne une sorte
up de celle des théologiens. Ses meilleurs vers semblent inspirés des
vieilles
proses de l’Église et des hymnes du bréviaire. Co
te assez pervers et je reconnais qu’ils distinguent Baudelaire de ces
vieux
moines qui redoutaient avec sincérité les fantôme
le jour, où tu veux, tu mènes tes pieds nus Et fredonnes tout bas de
vieux
airs inconnus ; Et, quand descend le soir au mant
erbère Dont le vent bat la flamme et tourmente le verre, Au cœur d’un
vieux
faubourg, labyrinthe fangeux Où l’humanité grouil
pagnons, blanchis dans les batailles, Dont la moustache pend comme de
vieux
drapeaux, — Les bannières, les fleurs et les arcs
il est divin. Rabelais6 Vous est-il arrivé de visiter quelque
vieux
et magnifique monument en compagnie d’un savant q
x bâtons, et qui me disait bonjour, le nez barbouillé de tabac ; à un
vieux
professeur de mathématiques, manchot, qui, la fac
ieuse : une jeune admiration. Le parfum des fleurs qui descendait des
vieux
murs, la jeunesse, la poésie, l’art ! Ô charmante
ns… Vous l’avez vu, terrible, la bouche ébréchée comme la gueule d’un
vieux
canon… Il est heureux pour Notre Seigneur Jésus-C
d’effroyablement satanique et d’adorablement enfantin. Et c’était un
vieux
monsieur du meilleur ton, d’une belle politesse,
é sur la convention. Un soir, voilà une quinzaine d’années, je vis un
vieux
tragédien de l’Odéon qui, le front ceint du bande
assaient les chevaux sarrasins. Il a des tendresses infinies pour les
vieux
pavés de la place de l’Odéon, et si on lui en fai
côte de Provence le souvenir des Sarrasins qui l’ont bâti, fouille un
vieux
grenier encombré de parchemins illisibles et devi
ille de nouveau dans le grenier aux parchemins et qu’il y cherche des
vieux
noms et des vieilles dates ! Qu’il compose l’hist
ns le grenier aux parchemins et qu’il y cherche des vieux noms et des
vieilles
dates ! Qu’il compose l’histoire du Puget-Maure s
C’est un beau sujet et propre à remplir la longue paix des soirs. Un
vieux
scoliaste a dit, je ne sais où, cette grave parol
visites généreuses que, notre Darwin sous le bras, nous faisions à ce
vieux
Jardin des Plantes où M. Paul Bourget promène ave
ruit l’humanité depuis longtemps. Car il est, dans son essence, aussi
vieux
que l’homme même, et les mythes primitifs, l’anti
on de la science à la morale est d’une application fâcheuse. Elle est
vieille
comme le monde et elle a produit, durant son long
n’oubliez point que c’est un très grand psycho-physiologiste : « Le
vieux
Sixte, dont M. Paul Bourget nous a fort bien expo
te de Pang et du vampire parce qu’il me semble très populaire et très
vieux
. Je signale notamment aux amateurs du folklore un
ttait l’air comme l’aile d’un grand papillon, quand, tout à coup, une
vieille
femme qu’il n’avait point aperçue d’abord lui fit
a ma vie. Tchouang-Tsen tira de sa bourse une pièce de monnaie, et la
vieille
parla en ces termes : « Cette dame que vous avez
à sécher la terre de la tombe au souffle de son éventail. » Quand la
vieille
eut terminé son récit, le sage Tchouang-Tsen song
là leurs plus douces reliques. Avouons-le humblement : le peuple, le
vieux
peuple des campagnes est l’artisan de notre langu
vont par les campagnes recueillant sur les lèvres des bergers et des
vieilles
filandières les secrets de la muse rustique, ont
hansons expirantes qu’on recueille aujourd’hui dans nos villages sont
vieilles
sans doute, plus vieilles que nos grand’mères ; m
ecueille aujourd’hui dans nos villages sont vieilles sans doute, plus
vieilles
que nos grand’mères ; mais dans leur forme actuel
t quelque objet délicat : « Traitez-le comme une jeune fille. » Leurs
vieilles
chansons touchent les jeunes filles avec cette di
ces surnoms qui plaisaient à La Fontaine, car le bonhomme, étant très
vieux
, a dit dans une ballade : J’aime les sobriquets
der sur ma table une petite boîte d’humble apparence dans laquelle un
vieux
brave prit longtemps son tabac à priser. Il s’en
ez un bric-à-brac, pêle-mêle avec des médailles de Sainte-Hélène, des
vieux
galons et des vieux parchemins. C’est une boîte r
êle-mêle avec des médailles de Sainte-Hélène, des vieux galons et des
vieux
parchemins. C’est une boîte ronde, en noyer, qui
lque invalide et que la scène qui en orne le couvercle rappelait à ce
vieux
brave le temps des amours. Peut-être la portait-i
un pauvre soldat conte son affaire en marchant au supplice, comme le
vieux
sergent de Béranger. Ce soldat s’était engagé « p
nir, ce qui m’a le plus frappé en parcourant dans divers recueils nos
vieilles
chansons de soldats. On n’y trouve pas trace de h
ne clairement que nous ne savons point haïr. Quand il ne resterait du
vieux
génie français que les couplets sans rimes que no
ormandie. Il y a une quinzaine d’années, j’ai vu vendre à Clermont de
vieilles
robes de paysannes auvergnates. La reine Marie Le
J’avais aujourd’hui l’esprit vagabond et rétif. Que voulez-vous ? le
vieux
Silène lui-même ne conduisait pas tous les jours
chez les frères hospitaliers de Saint-Jean de Dieu, à l’ombre de ces
vieux
arbres qui virent mourir madame de la Sablière et
Le méchant taudis dans lequel je rêvais en jouant le Parcifal sur un
vieux
piano était en réalité plus somptueux que le Louv
d’autre, c’est la même naïveté dans l’idéalisme et le même culte des
vieilles
traditions. M. Amélineau a recueilli les monument
coutume séculaire et qui dure encore. À neuf ans, il accompagnait le
vieux
berger qui paissait les moutons de son père. Déjà
lam y éclate par avance. Il y a déjà du marabout et du mahdi dans les
vieux
moines chrétiens de la vallée du Nil. Léon He
Mais chacun en comprit le danger si on le laissait aux mains de cette
vieille
enragée. On l’y laissa. M. Jacolliot, qui représe
charmantes. Il aime tout ce qui caresse le regard et parle du passé :
vieux
meubles magnifiques, riches tapisseries, étoffes
a pour ses fils la beauté d’une mère. M. Gabriel Vicaire, issu d’une
vieille
famille bressane, a chanté avec amour son pays d’
nciens rois, quelque château ciselé comme un bijou qui me rappelle la
vieille
France, ce qu’elle a été dans le monde, alors je
igine des feux de la Saint-Jean. La Bresse a semblablement oublié ses
vieilles
chansons ; et c’est sur les lèvres des mendiants
eilles chansons ; et c’est sur les lèvres des mendiants chenus et des
vieilles
édentées que M. Julien Tiersot ou M. Gabriel Vica
Mais si la Reyssouse et les coteaux de Revermont n’entendent plus ces
vieilles
mélodies populaires, le cœur des bons Bressans n’
illants combats, d’obscur labeur, Elles ont grand besoin, ces pauvres
vieilles
âmes, D’un instant de repos dans la paix du Seign
. Il a mis bien joliment en vers ce conte pieux, si populaire dans la
vieille
France, de saint Nicolas et des trois enfants dan
s dont le saint évêque a miraculeusement conservé l’existence dans le
vieux
saloir qui devait être leur cercueil : La mort n
où Voltaire apparaît si vivant et si étrange sous sa coiffe de nuit,
vieux
squelette agile, aux yeux de feu, en robe de cham
e, il ne nous arrive de blesser involontairement les admirateurs d’un
vieux
maître. Et puis, il y a tant de manières de dire
nous fait par mégarde et par indifférence. Ainsi, dit-on, faisait le
vieux
M. Fagon, parce qu’il était physicien. Il pardonn
ondante simplicité la vie de son frère Jean. Celui-ci avait, dans ses
vieux
jours, commencé la biographie de Barthélémy, laqu
irs l’accablait. Un jour il prit le bateau, ce bateau de Saint-Cloud,
vieux
complice des folies du printemps. Il y vit une je
che Chrysé, ni les troupeaux qu’engraisse Dans ses riches sillons, la
vieille
Argos, ni rien Que la mesure en tout de l’aimable
de la vie future. Il y a quelques années, je fus appelé auprès d’une
vieille
parente qui se mourait dans une petite ville norm
s de la Couronne boréale est en train de mourir. Et toutes, jeunes ou
vieilles
ou mortes, courent éperdument dans l’espace. C’es
elle révolution dans l’idéal des hommes, qu’il est impossible que les
vieilles
croyances subsistent plus longtemps sans transfor
es conséquences. J’ai connu, étant enfant, le dernier défenseur de la
vieille
cosmogonie sacrée. C’était un prêtre nommé Mathal
supérieurs. Il résista et finalement fut interdit. Je l’ai connu très
vieux
et très pauvre, plein de foi, de douleur et de su
ont demandé à M. Maurice Bouchor de mettre pour elles sur la scène la
vieille
histoire de Tobie. Les poupées poètes furent bien
longtemps. Ils croient en Dieu, qui protège la tribu de Nephtali. Le
vieux
Tobie, captif à Ninive, ensevelit les morts et mé
a femme, à Ninive. Ce qui restait du foie du poisson rendit la vue au
vieux
Tobie. Le bon juif qui écrivit cette histoire sui
les fontaines des Nymphes, suspendait des tableaux aux branches d’un
vieux
chêne et gardait à son foyer des petites figures
sthétique moderne. M. Joséphin Péladan nous parle avec admiration des
vieux
Florentins. Ils aimaient Florence. Auguste Barbie
tout son clergé le cercueil de l’auteur des Diaboliques. Il érige ce
vieux
Barbey en père de l’Église et le tient pour le de
encore pour ceux qu’il défend. Peut-être blasphème-t-il moins que le
vieux
docteur des Diaboliques, car le blasphème était p
aurais voulu un pinceau plus fin, trempé dans l’or et l’outremer des
vieux
enlumineurs. Je rêvais, sur un dessin un peu grêl
aimaient mieux porter des chapeaux de fleurs. Or, ce hêtre était très
vieux
, très beau et très vénérable. On l’appelait aussi
di. Mais elles se montraient peu. Une bonne chrétienne de Domrémy, la
vieille
Béatrix, disait innocemment : — J’ai ouï conter
ats, va-t’en, je te chasse ! » Que s’était-il passé ? Juste ce que le
vieux
savant reprochait à sa servante. Et que lui repro
éon 19 janvier. I Je passais sous les galeries de l’Odéon. Un
vieux
poète, un maître d’études et deux étudiants y feu
ie, à ceux mêmes qui liront sans couper les pages. Je me figurais mon
vieux
poète, mon maître d’étude et mes deux étudiants p
cène sous le nom de Myron. Disputeur âpre, posé d’aplomb en face des
vieux
maîtres, il apparaissait présomptueux autant qu’e
logie de Lemerre, qu’on verra si j’ai toujours rendu témoignage à mes
vieux
compagnons d’armes, aux Léon Dierx, aux Louis de
d Copperfield, à lui, exprime un goût si profond et si délicat de nos
vieux
faubourgs paisibles, qu’on y ressent, pour peu qu
ement mes souvenirs aux vôtres. J’ai été nourri sur les quais, où les
vieux
livres se mêlent au paysage. La Seine qui coulait
est bien instructif à cet égard. On voit que l’abîme nous sépare des
vieux
maîtres, nous qui avons appris à lire dans les li
t mélancolique des états d’âmes et des modes de penser, les œuvres du
vieux
Flaubert restent debout, respectées. C’est assez
erlaine. Ce n’est point un jeune homme pâle et mélancolique, c’est un
vieux
vagabond, fatigué d’avoir erré trente ans sur tou
ui n’est soumise à aucune loi connue. Oh ! oui, c’est un vagabond, un
vieux
vagabond des routes et des faubourgs. Il fut des
VILLY, à Ménippe. Monsieur, de votre vivant, vous étiez habillé d’un
vieux
sac de meunier et vous dormiez dans une grande ja
Fuster. Elle refusait la porte de sa chambre à son mari, qui était un
vieux
guerrier las de courir le monde et désireux de co
out cela me confirme dans l’idée que j’ai bien fait de vivre dans une
vieille
amphore, en compagnie des grenouilles de la fonta
de notre vie moderne aux larges horizons et de cette vie exquise des
vieux
humanistes courbés sur les parchemins délicieux !
— Allons ! me dit M. de Nolhac en quittant sa table, laissons là les
vieux
humanistes et ce Tomaso Inghirami qui vous amuse
haitons qu’il soit conservé comme un morceau d’art et d’histoire. Nos
vieux
humanistes de la Renaissance, qui, d’un cœur zélé
Paris, qui n’est pas conservateur en politique, le soit du moins des
vieilles
pierres et des vieux souvenirs. Il respecte les r
nservateur en politique, le soit du moins des vieilles pierres et des
vieux
souvenirs. Il respecte les ruines et pose avec un
un jour dans un parc, à l’ombre d’une charmille, sous les traits d’un
vieux
Faune qui, souriant dans sa gaine de pierre mouss
ux d’encre et les presses qui font trembler, en roulant, les murs des
vieilles
maisons. Car il croit fermement avec Rabelais que
. Vacquerie est ergoteur et chicanier, c’est comme son compatriote le
vieux
Corneille, avec noblesse et fierté, par l’entêtem
au fond, que de la polémique. C’est pourquoi elle plut infiniment au
vieux
Granier de Cassagnac et à M. Auguste Vacquerie qu
te Vacquerie qui, chacun dans son camp, avaient l’amour du combat. Le
vieux
Granier, qui était jeune alors, appelait Racine «
du combat. Le vieux Granier, qui était jeune alors, appelait Racine «
vieille
savate ». M. Vacquerie l’appela « un pieu », ce q
Auguste Vacquerie de l’avoir appelé un pieu ; j’ai envie de dire aux
vieux
critiques de la vieille place Royale : « Vous ave
l’avoir appelé un pieu ; j’ai envie de dire aux vieux critiques de la
vieille
place Royale : « Vous avez bien fait. Vous vous b
en était un. Je le veux. Embrassons-nous. » Et si vous me répondez,
vieux
maître blanchi sous le harnois de l’écrivain, si
ier du moins dans mon âme. Il n’est pas si difficile que vous croyez,
vieux
lion, de faire ses délices à la fois des Plaideur
jamais cet ouvrage en volume, l’apprit par cœur dans je ne sais quel
vieux
journal introuvable qu’on lui avait prêté pour qu
ans l’Agonie d’un saint, de M. Leconte de Lisle, et dans le Pilori du
vieux
Glaize. Et nous avons songé que Futura ne venait
heur délicieuse, et que le sage de Kapilavastu soit encore pour notre
vieille
humanité souffrante le meilleur des conseillers e
hat-Noir chez elle, pour l’amusement d’un très grand philosophe, d’un
vieux
maître vénérable et bien-aimé, d’un sage que rien
ude de majesté familière qu’Ingres, sur une toile fameuse, a donné au
vieux
Bertin, notre maître, le grand savant, le grand s
table don. Si on recherche avec curiosité les traditions locales, les
vieux
noëls en patois, les vestiges d’une culture ou d’
Jacques Jasmin (Jaquou Jansemin) est né en 97 ou 98 ; l’autre siècle,
vieux
et cassé, n’avait plus, dit-il, qu’une couple d’a
l, qu’une couple d’années à passer sur la terre, quand, au coin d’une
vieille
rue, dans une masure peuplée de plus d’un rat, le
nçait à s’y distinguer : il avait eu un prix, et ce prix, c’était une
vieille
soutane usée qu’on allait lui rajuster et qu’il é
’il était prêt d’endosser, bien qu’avec un peu de honte de la voir si
vieille
. Mais le diable, le lorgnant du coin de l’œil, di
trouvères du Nord, quelque novelle peu mystique et assez contraire au
vieux
poëme de la vie de sainte Fides d’Agen. Chassé in
est un poëme burlesque, qui a pour héros le sensible Oduber, veuf et
vieux
, qui songe à se remarier : les souvenirs du Lutri
ent fleurir, devraient grener, Tant belle épousée va passer ! Et le
vieux
Te Deum des humbles mariages semblait descendre d
épouse Angèle ; il l’épouse, pensant toujours à Marguerite. La bonne
vieille
Jeanne, diseuse de bonne aventure, que la noce re
son malheur, dissimule ; elle a l’air d’attendre encore Baptiste. La
vieille
lui dit : « Ma fille, tu l’aimes trop, je te blâm
cher, sous ce titre d’homme du peuple, un bon grain d’érudition et de
vieille
langue, comme Béranger et Paul-Louis de ce côté-c
rrecommençable, l’élaboration de l’histoire propre, l’élaboration, la
vieille
, l’antique élaboration de l’histoire que l’on ne
, vous appartenez à une des plus hautes, des plus anciennes, des plus
vieilles
, des plus grandes, et puisqu’aussi bien nous nous
du que nous ne nous flattons plus, une des plus nobles familles de la
vieille
tradition bourgeoise libérale républicaine orléan
vieille tradition bourgeoise libérale républicaine orléaniste. De la
vieille
tradition bourgeoise française, libérale français
Moi vous le savez bien. Les tenaces aïeux, paysans, vignerons, les
vieux
hommes de Vennecy et de Saint-Jean-de-Braye, et d
ire conquirent tant d’arpents de bonne vigne n’ont pas été longs, les
vieux
, ils n’ont pas tardé ; ils n’en ont pas eu pour l
bout, debout jusqu’au bout, et même un peu plus droits quand ils sont
vieux
que quand ils sont jeunes. Je finirai comme le gé
sse ; tout cassé, tout bancal, tout bossu, tout malfichu. Je serai un
vieux
cassé, un vieux courbé, un vieux noueux. Je serai
, tout bancal, tout bossu, tout malfichu. Je serai un vieux cassé, un
vieux
courbé, un vieux noueux. Je serai un vieux retors
ut bossu, tout malfichu. Je serai un vieux cassé, un vieux courbé, un
vieux
noueux. Je serai un vieux retors. Je serai peut-ê
e serai un vieux cassé, un vieux courbé, un vieux noueux. Je serai un
vieux
retors. Je serai peut-être un vieux battu (des év
rbé, un vieux noueux. Je serai un vieux retors. Je serai peut-être un
vieux
battu (des événements de cette gueuse d’existence
vieux battu (des événements de cette gueuse d’existence). Je serai un
vieux
rompu, un vieux tordu, un vieux moulu, un vieux t
événements de cette gueuse d’existence). Je serai un vieux rompu, un
vieux
tordu, un vieux moulu, un vieux tortu, toutes les
ette gueuse d’existence). Je serai un vieux rompu, un vieux tordu, un
vieux
moulu, un vieux tortu, toutes les rimes (populair
istence). Je serai un vieux rompu, un vieux tordu, un vieux moulu, un
vieux
tortu, toutes les rimes (populaires) en u, sauf d
uf deux (ou trois) dont l’une est que je ne serai certainement pas un
vieux
cossu. En quoi je me distinguerai de quelques fer
le chambre, la chambre à coucher, la chambre des maîtres. Je serai un
vieux
tassé, un vieux chenu. On dira : c’est le père Pé
hambre à coucher, la chambre des maîtres. Je serai un vieux tassé, un
vieux
chenu. On dira : c’est le père Péguy qui s’en va.
vité, cette courtoisie bien française. À peine allemande. Je serai un
vieux
rabougri, ma peau sera ridée, ma peau sera une éc
ux rabougri, ma peau sera ridée, ma peau sera une écorce, je serai un
vieux
fourbu, un raccourci de vieux pésan. Exactement p
e, ma peau sera une écorce, je serai un vieux fourbu, un raccourci de
vieux
pésan. Exactement paisan, en appuyant sur paî, en
ur paî, en traînant paî, mais en le nourrissant au contraire. Trop de
vieux
derrière moi se sont courbés, se sont baissés tou
onnes années. Puissé-je écrire seulement comme ils causaient. Trop de
vieux
, (et de vieilles), ont vécu sur la vigne, sur la
Puissé-je écrire seulement comme ils causaient. Trop de vieux, (et de
vieilles
), ont vécu sur la vigne, sur la délicate vigne, p
os typographes nomment si savamment, si opportunément des mastics. La
vieille
distinction des genres avait du bon dans la socié
r les routes de France vous faites de grands voyages à pied. Comme le
vieux
Quinet, rentrant d’exil, reprenait possession du
ouvelle. Et nous sommes bien en effet, en tant de sens, les élèves du
vieux
Quinet, des jeunes Quinet renaissants, si je puis
unes Quinet renaissants, si je puis dire, renés, comme lui, comme ces
vieux
républicains des républicains nationalistes, (ces
paysans, vignerons, où je suis reçu comme un vieil ami, comme un déjà
vieux
camarade, où les vieux et les femmes me reçoivent
je suis reçu comme un vieil ami, comme un déjà vieux camarade, où les
vieux
et les femmes me reçoivent, m’accueillent, me tra
cueillent, me traitent, me causent comme un fils, où les enfants déjà
vieux
m’accueillent comme un frère. C’est à moi qu’on d
p de vaillance pour être ironiques. Ils sont trop bons Français, trop
vieux
Français pour être ironiques. Ils vous parlent do
era (le même qui vous disait, qui vous dit en même temps : J’suis ben
vieux
à présent. J’suis pus guère bon à rien. J’la fera
familières, dans l’abri, dans l’atmosphère familière, abritante, d’un
vieux
familier cabaret. Alors là on peut se lancer. Là
rre lavés comme neufs, (on nous parle des Hollandais), et pourtant si
vieux
, si usés, si poreux, comme des éponges rouges, si
e par terre, si délavés, spongieux, usés par les pas des aïeux, cette
vieille
horloge séculaire en noyer ciré, cette vieille (b
s pas des aïeux, cette vieille horloge séculaire en noyer ciré, cette
vieille
(bonne) femme d’horloge, inflexible mais vieille,
en noyer ciré, cette vieille (bonne) femme d’horloge, inflexible mais
vieille
, vigilante mais vieille, soigneuse et peut-être s
ille (bonne) femme d’horloge, inflexible mais vieille, vigilante mais
vieille
, soigneuse et peut-être soupçonneuse mais vieille
lle, vigilante mais vieille, soigneuse et peut-être soupçonneuse mais
vieille
, tout ce ménage bien fait est en lui-même pour lu
efois au coin d’un mur, montant, grimpant à la grille d’une porte, ce
vieux
puits, si feuillu, si moussu ; mais qui dans la r
. De ce bourdonnement, de ce ronronnement d’énorme insecte. Où est le
vieux
cheval aux yeux bandés qui du matin au soir tourn
ou qui s’allume, La nuit, comme un flambeau. C’est votre
vieille
garde au loin jonchant la plaine, Demain, c’est W
ets aussi ! Or il attribue gaillardement ces deux strophes comme une
Vieille
chanson. C’est à n’y pas croire. Vous verrez vous
connaît, que depuis nos premières enfances nous saluons tous comme un
vieux
souvenir, comme un des plus admirables jeux de no
est, qui fait l’épigraphe de tout le livre : Renouvelons aussi Toute
vieille
pensée. Joachim du Be
lui est bien égal, premièrement et d’ensemble il appelle, il attribue
Vieille
chanson le texte, ou l’un des textes les plus con
dans sa pensée, lui avoir fait tort ; peut-être au contraire) ; (car
Vieille
chanson dans sa pensée était certainement quelque
ut presque toujours un goût, un respect superstitieux de l’ancien, du
vieux
, en ce sens, ainsi entendu ; il en avait une cons
dans le moderne), une certaine superstition, une sorte de mystique du
vieux
.) (Une mystique de brocanteur.) Deuxièmement i
u’est-ce que je vois. Je vois qu’il a fait aussi une variante dans sa
Vieille
chanson. Vive la liberté. Mais il en abuse peut-ê
st même si mauvaise que cette espèce de protection qu’il fait à cette
vieille
chanson en se l’épinglant comme épigraphe, en l’a
s lui, bon prince, généreux, (il est jeune), en plus il sauvera cette
vieille
chanson, qu’il aime, il nous la gardera pour la m
z. Quatrièmement, et tout Hugo est encore là-dedans, pour faire du
vieux
, pour authentiquer comme vieille sa vieille chans
go est encore là-dedans, pour faire du vieux, pour authentiquer comme
vieille
sa vieille chanson il lui a mis une vieille graph
re là-dedans, pour faire du vieux, pour authentiquer comme vieille sa
vieille
chanson il lui a mis une vieille graphie de fanta
, pour authentiquer comme vieille sa vieille chanson il lui a mis une
vieille
graphie de fantaisie qui est bien la plus amusant
amusante qui soit : esbranlez, fraischement escloses. Or en face d’un
vieux
texte il n’y a que deux attitudes à prendre : (ra
ne collationnait même pas. Même pas à l’imprimerie. J’ai trouvé cette
vieille
chanson, à qui enfin il veut faire un sort, (dign
ion de la fin. D’où un fâcheux affaiblissement de la pensée, de toute
vieille
pensée. Dans le ceinturon on a supprimé les deux
ophes, des plus beaux vers de ce plus beau poème. Saluons d’abord nos
vieilles
connaissances les rimes en ombre, qui intervenant
t infiniment plus qu’un poème, (et Hugo le sentait bien, le gueux, le
vieux
, le savait bien), c’est que c’est peut-être la se
curieux aboutissement, par un curieux retour. Un homme comme Hugo, un
vieux
politicien, poète, politicien, s’aperçoit très bi
aube de la vie, Vos jeunes étendards, troués à faire envie À de
vieux
drapeaux d’Austerlitz ! Mais on ne peut pas dire
es poèmes. L’épigraphe nous apprend, une épigraphe qui n’est plus une
vieille
chanson et qui n’est plus de Du Bellay, une épigr
ordinaires, plus noirs que le noir de fumée, sans jamais parvenir, le
vieux
et le maître, avec tout ce labeur, malgré tout ce
qu’ils sortaient de lui, qu’ils lui venaient naturellement ainsi. Les
vieux
criminels censément les plus endurcis de Corneill
’il faut bien voir qu’il y a déjà dans Horace. Dans le jeune. Dans le
vieux
. Ainsi tout le romain de Polyeucte est déjà en g
d. Déjà nous n’étions plus l’un et l’autre des jeunes hommes dans des
vieux
régiments, nous étions des vieux hommes dans des
t l’autre des jeunes hommes dans des vieux régiments, nous étions des
vieux
hommes dans des jeunes régiments. Pourtant. Avec
ées), à ceux qui montent la journée devant soleil levé. Cela c’est le
vieux
jeu, toujours bon, le premier jeu, l’ancien jeu,
a c’est le vieux jeu, toujours bon, le premier jeu, l’ancien jeu, le (
vieux
) Balzac. (Toujours jeune). Voici le perfectionnem
fondez des villes ; artilleur ; colonial ; vous qui réveillant votre
vieux
sang breton, et votre vieux sang méditerranéen, e
ur ; colonial ; vous qui réveillant votre vieux sang breton, et votre
vieux
sang méditerranéen, et votre vieux sang de patien
votre vieux sang breton, et votre vieux sang méditerranéen, et votre
vieux
sang de patience hollandaise nous restituez la va
ueule des canons monstrueux ; nos gringalets, nos freluquets ; et ces
vieux
anciens les canons monstrueux à ta porte accroupi
avaient l’air de commander le défilé. Ils passaient l’inspection. Ces
vieux
canons invalides, non blessés toutefois généralem
oi, le maître de l’artillerie, bellum enim regum ultima ratio ; les
vieux
canons de bronze, beaux comme des cloches, pansus
rés comme des cuivres et des airains qu’ils étaient ; dorés comme des
vieux
soleils un peu ombrés ; bronzes à la voix puissan
monte des rives de Seine, gagne la vallée, occupe l’Esplanade. Et la
vieille
artillerie regardait passer la jeune, l’artilleri
vivement dans la classe des hommes de quarante ans. J’en profite. Le
vieux
politicien profite de tout. Je fonde le parti des
ographie de l’Assomption de Murillo, des vases à fleurs, tout cassés,
vieux
rebuts de l’autel, une cafetière en plaqué, don d
refuge après la mort de notre mère, notre refuge après la mort de la
vieille
Rose, ç’a été le lieu de nos vacances de chaque é
emin de fer de l’Est. Au milieu de caisses, de paniers, de paquets de
vieux
linge, de corbillons, de bouteilles, de matelas,
ien de chasse sur ses pieds, et une béquille posée à côté d’elle, une
vieille
lorraine, en bonnet brun piqué, qui tire de temps
soldat français prêt à partir pour la mort, quand la voix cassée d’un
vieux
petit bonhomme bancroche et hoffmannesque jette c
Tuileries, près du grand bassin, les N dorés, sont dissimulés sous de
vieux
journaux, et des couronnes d’immortelles pendent
sque exclusivement de tous les médiocrates et de toutes les ganaches,
vieilles
et jeunes, de l’extrême gauche. ……………………………………………
alatinat, et dont la colère expression survivait dans la bouche de la
vieille
femme, me montrant, il y a quelques années, le ch
nlieue de Paris, en haut desquels sont juchées, toutes branlantes, de
vieilles
femmes tenant sur leurs genoux des cages, où volè
ceps, tout chargés de raisins noirs, j’aperçois la cravate blanche du
vieux
Blaisot, du doyen des marchands d’estampes, du de
e le feu d’une cheminée de forge. Pendant que je regarde au loin, une
vieille
femme qui a conservé un accent de province, me di
me dit : « Est-il possible qu’on brûle tout ça ! » On sent chez cette
vieille
femme un sentiment manquant absolument à la popul
rochée par une ficelle à une épaule, et portant, de sa main libre, un
vieux
baromètre doré. Le soir, je retourne à Montmartre
et des objets de literie jetés sur le trottoir, et çà et là, quelques
vieilles
femmes assises au soleil, devant la porte d’une a
ec un air de décision. En ce moment défile, avec la tenue martiale de
vieilles
troupes, un bataillon de garde municipale, dont u
nniversaire de la proclamation de la République, une manifestation de
vieux
voyous et de jeunes titis, portant devant eux une
’on fusillera demain. Dans les vivats de la foule, j’y vois entrer un
vieux
curé, gaillardement en selle sur un cheval, qu’on
rien, n’entendant rien, inattentive aux voitures qui la frôlent, une
vieille
femme de la campagne, sous son bonnet de linge en
ercher l’inconnu tragique, qu’enferme silencieusement, en elle, cette
vieille
exilée des champs. Nous sommes seulement cinq che
la viande. Il me semble revoir, telle que me les dépeignait ma pauvre
vieille
cousine Cornélie de Courmont, une de ces queues d
ces queues de la grande Révolution, en cette attente de gens mêlés de
vieilles
haillonneuses, de bizets à képis, de petits bourg
une minute silencieux. Je vais prendre Burty aux Tuileries… Sous ces
vieux
plafonds noircis par les fêtes et les soupers de
lanc. La population civile de Boulogne semble réduite à deux ou trois
vieilles
femmes boitaillant sur la chaussée, et presque se
queues interminables à la porte des bouchers, des queues composées de
vieux
bonshommes tout cassés ; de rubiconds gardes nati
de vieux bonshommes tout cassés ; de rubiconds gardes nationaux ; de
vieilles
femmes ayant des petits bancs sous le bras pour s
endrait pour des aérostats. Le plein air sent la poudre, ainsi que la
vieille
salle du théâtre du Cirque Franconi, les lointain
de Rouher : il semble le domicile non de choses d’hier, mais de très
vieilles
choses mortes. Il n’y a pas jusqu’aux rangées de
rs museaux bleuâtres. Et à la lueur d’une chandelle mourante, dans un
vieux
chandelier de cuivre, se voit le fauve du cou d’u
, incertains s’ils doivent fermer. Le rappel bat, la générale bat, un
vieux
garde national apoplectique passe son képi à la m
stupide entêtement. Et puis, qu’est-ce que ce décret qui rappelle les
vieux
retraités, quand on a besoin de jeunes, de capaci
s introduit dans un petit salon, au plafond et aux murs recouverts de
vieilles
tapisseries. Il y a deux femmes en noir, au coin
moi, quant à mon goût personnel, je suis comme vous, j’aime mieux nos
vieilles
rues… » Quelqu’un ayant prononcé le mot de « gran
s reçoivent, à la première entrevue, avec un : « Tiens, c’est toi, ma
vieille
! » La curieuse transformation des commerces du m
glissent, coulent, se répandent les étalages d’autres commerces : de
vieux
pantalons, des morceaux de tuyaux de poêle, des a
rencontres de figures de misère qui donnent froid ; des rencontres de
vieilles
haillonneuses, dont la clef rouillée de leur taud
ntre des pans de murailles, glissées à terre, se traîne lentement une
vieille
femme, accablée sous le poids du bois qu’elle por
nd je l’ai revu en Belgique, c’était un autre homme, on aurait dit un
vieux
capitaine de cavalerie… Mais, il faut le reconnaî
hapeau de philosophe champêtre, un chapeau d’inventeur. Une moitié de
vieille
porte Louis XV m’introduit dans l’unique pièce du
une chaise, la seule restée intacte, est posé à plat, entr’ouvert, un
vieux
livre à tranche rouge, le livre tel qu’il a été l
omme des coins de cimetière… Sur la route abandonnée, les semelles de
vieux
souliers se mêlent, dans la boue, aux branchages
es sur des bancs, frileusement encapuchonnées. Au milieu d’elles, une
vieille
édentée, dont le menton est plus saillant que le
t se marient tous les types des vendeurs et courtiers de chevaux : le
vieux
Normand avec son bonnet de coton à raies bleues e
e une population de jeunes voyous retors et madrés, à la frimousse de
vieux
diplomates. Une grande fillette, à l’œil impudiqu
canapé de femmes, dont l’une qui fait les honneurs du salon, est une
vieille
femme, aux cheveux d’argent, dans une robe feuill
morte, et qui montre, par un cœur très évasé, un grand morceau de sa
vieille
peau : une femme qui a de la marquise d’autrefois
autrefois et de la cabotine d’aujourd’hui. Lui, le dieu, je le trouve
vieux
: ce soir, il a les paupières rouges, le teint br
des arbustes, passer des heures, un sécateur à la main, à nettoyer de
vieux
lierres de leurs brindilles, à sarcler des plans
! C’est trop imbécile ! Le chagrin m’a abêti, m’a donné la manie d’un
vieux
boutiquier, retiré des affaires. Je crains qu’il
des sucres d’orge de toutes couleurs. On me contait ceci. Une pauvre
vieille
femme avait toute sa vie et toute son âme concent
sienne, divise le pain en deux morceaux. Et, le repas vite achevé, la
vieille
femme court donner à un pauvre la portion de son
ce, je tombe dans une foule menaçante, au milieu d’affreuses têtes de
vieilles
femmes, embéguinées de madras, et qui ont l’air d
Mémoires relatifs à la Révolution française Le
Vieux
Cordelier, par Camille Desmoulins ; Les Causes se
e son parti se rattache surtout à son souvenir, c’est le rédacteur du
Vieux
Cordelier, Camille Desmoulins. Né avec des affect
uver son pays ; ceux qui s’y opposent n’auront pas mon chocolat. » Le
Vieux
Cordelier fut donc un acte de courage et d’expiat
hommes avec l’esprit de Voltaire. Disons pourtant que pour qui lit le
Vieux
Cordelier sans préparation, sans se reporter en i
thermidor, que plus tard consomma la lâcheté enhardie par la peur. Au
Vieux
Cordelier les éditeurs ont joint dans le même vol
u’il n’en faut à une femme pour continuer un ancien tricot ou quelque
vieux
morceau de tapisserie… Et d’autant que Le Capitai
man du Capitaine Fracasse, sur l’impression si connue que causent les
vieilles
tapisseries que le vent remue, que la lune éclair
de pauvreté. Ce dernier des Sigognac vit, au fond des Landes, dans un
vieux
château délabré que l’auteur appelle le Château d
ue nous connaissons, vivait dans sa tour en Écosse, en compagnie d’un
vieux
domestique que M. Gautier appelle tout bêtement P
théâtre espagnol, italien et français ; dans toutes les Nouvelles des
vieux
romanciers du commencement du dix-septième siècle
ptième siècle, et que seul un romantisme impuissant, qui travaille en
vieux
, quand il croit faire du neuf, peut nous donner,
une pâle et gothique tapisserie des galeries défuntes, faite avec de
vieilles
laines passées, et que l’avenir, — et un avenir p
! » Il y a là un tableau à faire, il y a un tableau tout fait, et le
vieux
trouvère, cette fois, a été peintre. Mais le poèt
is, a été peintre. Mais le poète n’est que passager. Le propre de ces
vieux
récits, en général, est de se dessiner comme de s
s’y reconnaît de cette verte sève qui tenait aux racines mêmes de la
vieille
France. J’ai entendu regretter que lorsque cette
la Renaissance ou du moyen âge, nos poètes modernes aient négligé ces
vieux
monuments, et ne s’y soient pas directement inspi
si on les avait alors connues, il y aurait eu mieux à faire avec ces
vieilles
épopées. Il en sort un souffle parfois puissant,
es temps : c’est un vers d’or. La matière épique y est donc, dans ces
vieux
poèmes, et très-abondante, à moitié brute, à moit
tard. Il est à jamais à regretter que la connaissance précise de nos
vieux
textes n’ait pas coïncidé avec le premier essor d
ois, sur le terrain d’une épopée limitée, l’avantage reste du côté du
vieux
trouvère sans renom, Bertrand de Bar-le-Duc, à qu
e de terre, n’a cessé de verdoyer, de bourgeonner et de fleurir ; ces
vieux
récits n’ont cessé de vivre, de se réciter, de se
ce que Boccace, qui était fils d’une Parisienne, avait emprunté à nos
vieux
conteurs. Le conte, après avoir fait le voyage d’
sentiment bien vif et bien net qu’on est sorti des amphigouris de la
vieille
langue, si mal employée par les derniers rimeurs,
continue de lui adresser et qu’il ne mérita qu’à ses débuts. Et même
vieux
et cassé avant l’âge, il ne cessa d’avoir, jusqu’
sions et même de pensées pour quiconque aime à se renouveler dans les
vieilles
lectures ! Pellisson, qui s’était mis un jour à r
d : il était surtout de la famille de Rabelais, de Villon et des bons
vieux
Gaulois, — de cette famille modifiée toutefois et
n opposition déclarée avec Malherbe, et s’étant fait le défenseur des
vieux
poètes, il est devenu le premier nom auquel s’est
aché volontiers le mouvement moderne quand on est allé rechercher ces
vieux
chefs par-dessus la tête de Malherbe. Il ne faut
nnaître en passant Voisenon, Fontenelle, Carlin, et être l’écolier du
vieux
Crébillon ; ce coureur, échappé des Plombs, mort
Crébillon ; ce coureur, échappé des Plombs, mort bibliothécaire en un
vieux
château de Bohême, y a écrit, vers 1797, à l’âge
dans la grotte des Nymphes, faciles nymphæ risere ; à ceux que notre
vieille
littérature grivoise et conteuse ne rebute pas, q
re ordres mineurs. Le voilà petit abbé à poil follet, l’orgueil de sa
vieille
grand-mère. L’illustre poète lubrique Baffo donna
rique Baffo donna l’œil à l’achèvement de son éducation poétique ; un
vieux
sénateur retiré des affaires, mais non du monde,
, bien qu’il prétende en un endroit, épicurien qu’il est, que l’homme
vieux
a pour ennemi la nature entière, il n’a pas l’air
d’abord à Césene ou à Mantoue (je ne sais lequel), voyageant avec un
vieux
capitaine hongrois, lui-même il avait éprouvé dep
us le suivrons à Paris où il se perfectionne dans le français sous le
vieux
Crébillon le tragique, singulier maître de langue
de loi dans une Assemblée française, on s’apercevra peut-être que les
vieilles
humanités ne méritaient pas le dédain sous lequel
ne soit de son domaine. Et il développa amplement sa pensée. C’est un
vieux
critique qui parlait ainsi. Pourtant je ne fus pa
’étais loué moi-même et si je n’avais loué mes compagnons, s’écria le
vieux
conquistador, qui l’eût fait à ma place ? Serait-
aturité, chez les moralistes et les politiques, et parmi les anciens.
Vieux
et près de mourir, il visitait des champs de bata
douard Drumont et la question juive. — Les souvenirs et les haines du
vieux
Jacob. — Les tribus reconstituées et le nouveau r
e qui n’est pas juif. Sans doute la foi juive est une foi jalouse. Le
vieux
Jacob est vindicatif ; il attend le châtiment de
ausse nouvelle fit célébrer un an trop tôt la prise de Sébastopol, un
vieux
juif de Pologne, qui passait ses journées à la Bi
stoire tout à fait chrétienne ? La ténacité du juif nous effraye ; le
vieux
Jacob, après qu’il est vengé, ne pardonne pas enc
qu’elle était allée en Italie, et qu’il y avait là des pierres assez
vieilles
pour attendrir le cœur d’un savant. C’est pourquo
tique. M. Drumont propose une solution. Il conseille d’en revenir aux
vieux
moyens, à l’exil et à la confiscation. Il le cons
grandi dans la persécution ? Ah ! chrétiens, comme vous avez rendu le
vieux
Jacob ingénieux ! C’est en lui interdisant de pos
res du Brabant, se cachaient au fond des sources et sous l’écorce des
vieux
chênes. Un jour qu’elle s’en était allée dans la
e forêt un château, près d’un étang. Là vivait la fille de Radbod, le
vieux
duc païen des Frisons ; elle se nommait Ortrude e
dit encore : « Je sais lire dans le livre de la destinée. Écoute : La
vieille
souche royale de Radbod va reverdir. » C’est pour
mps après, le roi Henri vint tenir son ban avec sa chevalerie sous un
vieux
chêne, dans une prairie qu’arrose l’Escaut. Quand
omme au cœur. Richard Wagner ne l’a point inventée. Il l’a prise à un
vieux
minnesinger allemand qui lui-même l’avait emprunt
cette hauteur poétique et morale. Wagner a bien fait en refaisant la
vieille
légende de Lohengrin. C’est le propre des légende
y mangent aux rats, et je sens parfois des piles d’infolio, reliés en
vieille
basane, s’ébouler dans mon cerveau. J’y voudrais
raitent comme des chiens. « Quelle joie ! Il y avait dans la file une
vieille
à qui je criai : Prussienne ! en jetant de la bou
la bêtise et la violence ne sont pas des figures nouvelles sur cette
vieille
planète. Le sage veut les combattre sans penser l
roclamation est bien bête ; pourquoi des injures contre moi, toi, mon
vieux
compagnon ? Il fallait simplement dire : “Le vœu
qu’on n’entrera pas volontiers dans ma pensée. Mais qu’on songe à nos
vieux
hagiographes, aux pieux légendaires qui travailla
es luttes d’idées, dans ces « combats d’esprits », comme les nomme le
vieux
Corneille, qui les conduisait si majestueusement.
orien Sardou naquit, dit son biographe, le 5 septembre 1831, dans une
vieille
maison de la rue Beautreillis. Son père, un Prove
livres à l’École de commerce de Charonne. Il comptait parmi les plus
vieux
auteurs de la maison Hachette, et il lui fut donn
en cinq actes. Il a raconté lui-même sa visite à la comédienne, déjà
vieille
et encore charmante. La page est exquise, on me s
remparts devenus des promenades, son château fort, ses couvents, son
vieux
pont sur l’Orge, la ville haute aux ruelles tortu
ir, devant le grand feu que parfumaient des branches de genévrier. Le
vieux
seigneur y racontait ses aventures et les récits
rédacteur spécial décrivait les armoiries frappées sur les plats des
vieilles
reliures. Celui-là, très galant homme d’ailleurs,
ropre à cet homme qui avait en lui du myste. Cet article traitait des
vieilles
enseignes. Champfleury, amoureux du bric-à-brac,
ux du bric-à-brac, avait joint à son article — je le vois encore — un
vieux
bois vermoulu sur lequel étaient grossièrement gr
ec l’agilité silencieuse et prudente d’un chat à travers les piles de
vieille
vaisselle, il notait, notait, notait. C’était le
ire, triste jusqu’à la mort, l’âme flottante, éparse dans les choses,
vieux
comme elles et renaissant avec elles, à demi cons
ue j’ai aimé… En attendant, M. Pierre Loti livre quelques-uns de ses
vieux
états d’âme. Il en est un que nous avions déjà pl
du désert ait inventé l’amour exotique et fourni au sensualisme de la
vieille
Europe des formes, des couleurs et des odeurs nou
ange incessamment. La matière demeure et la forme se perd, a dit le
vieux
Ronsard. J’ai cru et je crois encore que les form
ale de n’avoir point assez marqué à M. Huret qu’en me séparant de mes
vieux
amis du Parnasse sur une question de prosodie, je
cet esthète nourri de Rossetti et de Mary Robinson, a gardé pour les
vieux
peintres de l’Ombrie les caresses les plus douces
ération d’hommes cherche une émotion nouvelle devant les ouvrages des
vieux
maîtres. Le spectateur le mieux doué est celui qu
de consomption. Il est plein de force, de génie et de vices. C’est un
vieux
vagabond étrangement robuste. Quand il erre, la n
x et prévoyants, il trouve et prend tout naturellement, au lieu d’une
vieille
amphore, jetée sur le chemin de Corinthe où passa
oit dit sans le calomnier, Ont fait à ce monstre d’orgueil Une âme de
vieux
prisonnier. C’est à l’hôpital qu’il composait se
à ces longues, tristes et fades heures d’hôpital, se demande, lui le
vieux
, l’infatigable, le terrible vagabond, s’il ne se
roublés, telle scène fait songer, par sa simplicité pieuse, à quelque
vieille
légende. Et cela n’est nullement affecté chez lui
ne pas s’y fier. Ce petit discours est tout à fait dans le ton de la
vieille
et bonne hagiographie. Pour en faire une légende
int vos vérités d’archives, vos vérités d’autographes, vos vérités de
vieilles
lettres d’amour et de vieux papier timbré, dont v
vérités d’autographes, vos vérités de vieilles lettres d’amour et de
vieux
papier timbré, dont vous nous bouchez la poésie e
sentez-vous point la tristesse profonde et douce de respirer dans de
vieilles
lettres les âmes disparues et d’évoquer parmi les
er de la Grande Armée, fut élevée à Saint-Denis et qu’elle épousa son
vieux
professeur de physique, M. Charles, membre de l’I
elle rentrait à l’Institut, je vois d’ici le sourire mince et fin du
vieux
savant coiffé en ailes de pigeon. Ces histoires m
en la fille d’un militaire, l’élève de Saint-Denis, la jeune femme du
vieux
savant qui gonflait des ballons. C’est madame Cha
alais symbolique des travailleurs. Et tout aussitôt il nous montre la
vieille
église de Notre-Dame dans une gloire de lumière,
voulu voir dans le roman de M. Georges Renard, et je n’y trouve qu’un
vieux
communard très brave homme, plus remarquable par
fois, on est perdu pour la toucher. C’était à n’y rien comprendre. Le
vieux
sermonnaire breton et son jeune auditeur me rappe
nécessaires, mais vous n’étiez pas invincibles. À dire vrai, dans ces
vieux
âges et pour longtemps encore, il vous manquait l
ous laissent debout sur la plate-forme. Votre culte se meurt avec les
vieux
cultes. Il est temps que M. Renan, qui vous aime
ne convenait, on sera peut-être curieux de connaître quelqu’un de ces
vieux
prêcheurs du quinzième siècle, qui laissèrent si
trouvera un moine humaniste, produira le Pantagruel. Maillard a lu le
vieux
Roman de la rose et garde le goût des allégories.
ndit aussitôt chez une dame de Lyon, qui s’écria : — Hélas ! ma bonne
vieille
, mon mari est un jaloux qui me couperait le nez p
r encore à ce jeu de bagues. Cette Lyonnaise ne vaut rien du tout. La
vieille
courut chez une Parisienne. C’était une coquine,
don, qui suspendait son lorgnon à un ruban d’azur, fut de flairer les
vieux
livres sur les parapets. Catherine Théot 29
ivins. Robespierre, au lieu d’oiseaux, avoit une nuée de femmes ; une
vieille
baronne, espèce de coriphée, continuellement chez
e d’adorantes. Vilate avait raison : Robespierre eut ses saintes. Une
vieille
prophétesse, Catherine Théot, l’annonça comme un
t peuple comptait quelques dévotes, des mesmériens, des illuminés, un
vieux
soldat ; sans doute aussi, des contre-révolutionn
à remplacer, par un miracle concerté, la Mère de Dieu au moment où la
vieille
prophétesse rajeunirait pleine de grâce. On ajout
ême du peuple des faubourgs et des campagnes qui demeurait attaché au
vieux
culte. Dans beaucoup de villes et de villages, il
de joie que de foi. C’est à une sorte d’allégresse intérieure que les
vieux
prêtres reconnaissent l’élection divine chez les
rs un socialisme chrétien, elle entre dans les voies indiquées par le
vieux
prêtre qu’elle a jadis foudroyé. [Un nouvel Év
rbes de ce temps, reprenant ainsi, avec étude, la tradition naïve des
vieux
maîtres flamands qui représentaient Notre Seigneu
néo-catholicisme. Je ne crois pas, pour ma part, au renouvellement du
vieux
dogme et du vieux culte par une société de profes
Je ne crois pas, pour ma part, au renouvellement du vieux dogme et du
vieux
culte par une société de professeurs et de gens d
rai, n’est pour moi entièrement nouveau. Avez-vous entendu parler des
vieilles
religions de l’Inde ? Elles sont pleines de vues
es cieux. Je soupçonne que c’est un néant auprès duquel le scheol des
vieux
juifs ou le nirvana des bouddhistes est un séjour
is au contraire cultivée et fleurie comme ces vergers décrits par les
vieux
poètes. L’amour et la pitié 4 décembre 1892
t ni à boire ni à manger. Du matin au soir il étudiait. Il était très
vieux
, mais il étudiait toujours. Ses voisins, le voyan
’attaque avec sa raideur coutumière. Dans le fait, il poursuivait une
vieille
querelle. Ayant, voilà cinq ou six ans, voulu, et
du poète : il voyait bien que Baudelaire avait peint, à l’exemple des
vieux
casuistes, le monde de la Chute. Une croyance int
t, en morale, indifférents comme la nature dont ils sont les voix. Un
vieux
janséniste, plein de sens et de doctrine, M. Barb
rfidie, ni une malice, si l’on garde à ce dernier mot la force de son
vieux
sens. Il ne parlait jamais des méchants ni des so
l aime les dictons, les proverbes et les maximes : que deviennent les
vieilles
lunes ? Où va tout ce qui a brillé, puis disparu
eilles lunes ? Où va tout ce qui a brillé, puis disparu ? Où vont les
vieilles
lunes de Trianon, de la Malmaison et des Tuilerie
? Dans sa pitié charmante, le poète leur donne un refuge à Venise, la
vieille
lune des villes. Puis, enfin, à l’aube du jour et
ivre étrange et magnifique sont toutes dédiées à ces deux puissances,
vieilles
comme le monde et qui dureront autant que lui, la
généralement attribué. Pourtant, cet hymne ne se trouve pas dans une
vieille
édition que j’ai sous les yeux. Et je fais réflex
c les hymnes, les antiennes du dixième siècle et du onzième, avec ces
vieilles
séquences, ou proses, qui expriment dans un langa
que cet essai soit tout à fait heureux. Mais La Fontaine et aussi mon
vieux
maître Antony Deschamps firent chacun de cette pr
sont ivres D’être parmi l’écume inconnue et les cieux ! Rien, ni les
vieux
jardins reflétés par les yeux Ne retiendra ce cœu
près-midi d’un faune me semble profondément philosophique. Si j’étais
vieux
et si j’habitais la province, j’en ferais une glo
et l’on est M. Labosse, tel que nous le montre Henri Lavedan dans Le
Vieux
jeu. Aux Champs-Élysées, M. le comte, qui a toute
ieux jeu. Aux Champs-Élysées, M. le comte, qui a toute l’apparence du
vieux
Labosse, fait mine, tremblant et chancelant, de s
x, c’est monsieur Cardinal, madame Cardinal et leurs filles, c’est le
vieux
Labosse, c’est le monde de l’argent et du plaisir
sens où l’emploient Thibault de Champagne et Guillaume de Lorris. Les
vieux
trouvères appelaient de ce nom toute espèce de ch
une main filiale aux monuments des aïeux. Ils aimaient les restes des
vieux
âges, même quand ils ne les comprenaient pas très
omain, il voit Andromède, Hercule, avec la même netteté qu’il voit un
vieux
berger breton debout à la pointe du Raz. Contours
m’a fallu d’efforts ! Je voudrais être pur : la honte originelle, Le
vieux
sang de la bête est resté dans mon corps. Et je
publié par Louis Ratisbonne, page 61.) C’est une vieille dame de la
vieille
société, madame de Béthune, qui se rappelait cett
ous dirai point comment elle se tire d’affaire, sur les conseils d’un
vieux
médecin, qui sait la vie et connaît le monde. Tou
ses. Grâce à une ruse audacieuse de M. Le Hinglé, qui fait chanter le
vieux
maître chanteur, Françoise recouvre sa lettre san
ire, M. Jules Soury ne sort guère de chez lui que pour se rendre à la
vieille
Sorbonne, où, depuis dix ans, il enseigne, dans u
es poètes. L’autre jour un de mes amis rencontra sous une voûte de la
vieille
Sorbonne condamnée l’auteur de ce livre ingénieux
pprit seul un peu de latin et fit quelques thèmes et versions avec un
vieux
maître d’humanités. Durant les longues heures du
epuis lors, vous avez vu beaucoup des contradictions amusantes de vos
vieux
maîtres tomber devant les investigations nouvelle
favorable à Goltz et à l’école de Strasbourg, en qui revit encore le
vieux
Flourens. Il va dans le sens des localisations, e
siez que tout est mêlé dans le génie humain, comme dans le cerveau du
vieux
Flourens, et que l’expérience agit sur le sentime
équi, vient à Ferney et écrit avec supériorité : J’ai vu Voltaire, ce
vieux
enfant. Que l’injustice ait un contre-coup sur l’
ces choses ? Qui raconte ces histoires ? Cette bonne personne, votre
vieille
complaisante, ô tyrans, votre vieille camarade, ô
s ? Cette bonne personne, votre vieille complaisante, ô tyrans, votre
vieille
camarade, ô traîtres, votre vieille auxiliaire, ô
lle complaisante, ô tyrans, votre vieille camarade, ô traîtres, votre
vieille
auxiliaire, ô dévots, votre vieille consolatrice,
eille camarade, ô traîtres, votre vieille auxiliaire, ô dévots, votre
vieille
consolatrice, ô imbéciles ! la calomnie. II
cachot où était mort Bernard Palissy. Jeune, il goûta de la prison ;
vieux
, de l’exil. Il fut vingt-sept ans éloigné de Pari
pour en faire jaillir la flamme ! ah ! il y a de la vestale en vous,
vieux
mécontent ! ah ! vous avez un autel, la patrie !
la colonne vertébrale. Ceci les regarde. Tant pis pour ces gens de la
vieille
mode et de la vieille Rome. Ils sont de l’antiqui
Ceci les regarde. Tant pis pour ces gens de la vieille mode et de la
vieille
Rome. Ils sont de l’antiquité, et de l’antiquaill
plus exquis. Tels sont les poëtes ; telles sont les Alpes. Ces grands
vieux
monts horribles sont de merveilleux faiseurs de r
spécieuse que l’on détériore. Les ratures de Chateaubriand Le
vieux
Balzac et ses contemporains, Vaugelas, Ablancourt
a Bruyère était un marqueteur avec des lubies. Il s’extasiait sur les
vieux
rondeaux du père de maître Clément. Boileau-Despr
urieusement ; puis, chez Mme Récamier, il lisait ces nouveautés à ses
vieux
admirateurs. Ceux-ci, fort anxieux, écoutaient le
s entendrez soupirer la mer nourrice de fameux corsaires. Là-haut, le
vieux
conteur arabe fait merveille ; et vous avez, le m
es femmes sont assises par terre ou couchées sur des gradins bas. Une
vieille
accroupie prépare le café. Une paix tombe avec le
essé d’enterrer depuis longtemps sur les hauteurs du cimetière et les
vieilles
tombes, cachées sous l’herbe légère et les fleure
is plusieurs années. Ce fut pendant la nuit, heure qui convient à ces
vieux
quartiers, car, alors, avec les ombres du ciel et
orce et la bise aiguë. On descendit le cercueil, de cette maison d’un
vieux
quartier, morne et chancelante, où le poète s’éta
arlent sans doute fort bien, mais avec cet accent rauque, parfois, du
vieux
spectre romantique avertissant Hamlet. Elles ne s
it un fervent de l’arrière-saison. Avec lui, l’Automne entre dans les
vieux
appartements pleins de moisissure, dans les cours
ons de la seizième année que la chose m’arriva ; et je ne suis pas si
vieux
! J’étais alors fort avide de lectures : les bibl
joli ». Il la mena voir la grande église d’Avignon, où il y avait un
vieux
Christ en bois peint, de grandeur naturelle. Là,
périt victime de son noctambulisme, pendu par des malandrins dans une
vieille
ruelle de Paris, peut-être au moment où il cherch
sont des fleurs de Smyrne qu’une main amie offrit, au départ, à cette
vieille
Anglaise en corsage rouge qui somnole là-bas. Le
s mâts immobiles des navires amarrés, rajeunir les parois rongées des
vieilles
maisons, et, descendant sur les quais, rythmer le
e suspendue dans le ciel… Quelques-unes des ruelles escarpées de la
vieille
ville portent des noms gracieux de Heurs ou de fr
fruits. D’autres s’appellent de la Lune blanche, des Marquises, de la
Vieille
Monnaie, des Quatre Pâtissiers… Dans ce quartier
brunette lève les plus beaux yeux du monde, en plumant un poulet. Des
vieilles
ratatinées qui trottinent vendent des pommes d’am
harrette. Au fond de ce dédale, par-dessus un fouillis de pignons, un
vieux
clocher poreux dresse sa croix de fer. Des femmes
sorte de bassin qu’alimente une fontaine couverte de mousse. De très
vieux
platanes, fort beaux, entourent la place ; ils on
ur du rebord supérieur des kiosques. * … Le crépuscule descend sur le
Vieux
Port : ciel vaporeux, mer grise dont la surface b
ar jeu, car il est malplaisant de porter le joug des émotions avec un
vieux
cœur dans la poitrine… Vérone On mande de
contempler l’épinette de l’illustre musicien. … Nous possédons deux
vieux
récits italiens sur les aventures de Roméo et Jul
d’argent. Lorsque nous arrivâmes à F… midi sonnait à l’horloge de la
vieille
église juchée sur un tertre, derrière un bouquet
arne. Trois ou quatre vaches vinrent devant la grille, menées par une
vieille
à chapeau de paille. Les bêtes allaient, roulant
de billard dont les coups étaient marqués par l’horloge enrouée de la
vieille
église. Ensuite, en longeant un sentier, nous gag
traverse. Nous partîmes sur la voiture de mon ami, traînée par un bon
vieux
cheval. Nous repassâmes le pont sur le Tarn, qui
onument, — que l’on venait d’inaugurer, — de Leconte de Lisle. Pauvre
vieux
maître, c’était bien la peine de vivre inconnu, b
s propos sans suite le long d’une grille de jardin, pour connaître un
vieux
poète ? N’est-ce pas que pour l’ensemble il n’y
tion de mes Cantilènes et mes juvéniles luttes d’alors. Plus tard, le
vieux
poète parla du Pèlerin passionné sans indulgence.
x vernis du Japon bien groupés, une margelle de puits. Il y a un très
vieux
tombeau que l’épais lierre qui le couvre a rendu
itait avec un art plein de nuances. Un soir, Verlaine me parla de son
vieux
camarade Mallarmé et me récita le Tombeau d’Edgar
sa seconde manière presque : SAINTE À la fenêtre recélant Le santal
vieux
qui se dédore De sa viole étincelant Jadis avec f
nt Jadis avec flûte ou mandore, Est la Sainte pâle, étalant Le livre
vieux
qui se déplie Du Magnificat ruisselant Jadis selo
vec son vol du soir Pour la délicate phalange Du doigt, que, sans le
vieux
santal Ni le vieux livre, elle balance Sur le plu
Pour la délicate phalange Du doigt, que, sans le vieux santal Ni le
vieux
livre, elle balance Sur le plumage instrumental,
etit vin blanc qui sent la résine. Il y a autour de moi des pêcheurs,
vieux
et pauvres, pareils à ceux de Théocrite, couchant
nt… J’ai connu l’horreur sacrée de la forêt profonde ; j’ai suivi ces
vieilles
femmes dont la peau semble une écorce, glissant e
rimas. Dans l’unique rue les passants sont rares ; au bout, devant la
vieille
église accroupie, le calvaire étire ses bras sur
t catalogué. Mon Diable n’est pas une divinité dans la manière de ces
vieilles
Euménides qui faisaient : hon ! hon ! hon ! hon !
re de vert, sinon un peu de mousse. Allée, platanes De belle écorce,
Vieux
bancs de pierre, Je vous revois Dans la lumière D
vous ? votre vie est fixée avec une épingle… J’ai aimé les ormes d’un
vieux
quinconce, des platanes au bord d’un gave, des pe
s sans vitres font des trous noirs. Une salle rance d’auberge avec un
vieux
billard au milieu. Tout à coup, en face, sonne l’
assez le naufrage de Camoens, la disgrâce de Racine et les savates du
vieux
Corneille. Je n’eusse point vu d’inconvénient à l
lée-aux-Loups : Je me tenais à la fenêtre d’une salle basse devant un
vieux
mur de clôture, crevassé, couronné de lierre. Que
nds un bon petit train omnibus. Comme je me retrouve à l’aise dans ce
vieux
compartiment, clair et capitonné. Il est vrai que
ur de la bouteille de derrière les fagots : du vin pourpré, issu d’un
vieux
plant français d’avant le phylloxéra. M. Tobie no
uarante-cinq ans environ, porte sa courte barbe sous un nez camus. Un
vieux
avec des traits immobiles et coupés de rides prof
moment est mêlé de rayons et de nuages, teint fort délicatement cette
vieille
maçonnerie. Je me retourne et j’ai sous les yeux
, et la rade avec l’écueil écumeux de la Fournigue au milieu. Dans le
vieux
Bormes, de l’eau court avec un doux murmure entre
asures, un dattier s’élance, haut et fructifère. Dans le silence, une
vieille
va, portant sur sa tête une charge de fagots… Je
uis j’aperçois sur le rivage, dans un recoin au bas d’un talus, trois
vieux
pêcheurs qui apprêtent des palangres ou lignes de
et. On l’entasse dans des paniers jonchés de varech. … Je remarque un
vieux
pêcheur à face de moine, glabre, mafflu, aux yeux
ouette l’eau où elles se posent par instant. … J’ai pénétré dans le
vieux
Menton par la rue consacrée à la gloire du généra
ue l’on peut commencer à s’étonner sans scrupule. Maîtresse artère du
vieux
Menton, elle traverse de part en part le pittores
raccommode des bas, assise sous une tête d’agneau pendue au croc, une
vieille
ratatinée qui fend le bois d’une caisse pour fair
ont quelques-uns font penser à Callot ou à Goya. Quant à la partie du
vieux
Menton qui regarde la baie de Gara van, elle se c
de la petite ville de Saint Antonin au bord de l’Aveyron. Là aussi de
vieilles
rues étroites serpentent enchevêtrées, riches en
ndes se tiennent sous de larges parasols de toile. Il y en a qui sont
vieilles
, avec des figures sèches et tannées ; il y en a q
y a des gens qui traitent ce dos de démagogue et cette boutonnière de
vieille
folle. — Oh ! les méchantes langues ! Rallis s’es
de l’âme. Je ne ris point. Mais ce sont des hommes politiques. Ah, ce
vieux
sanglier de Delyannis ! il fallait le voir avec s
ir en regardant ce politicien de quatorze lustres, je me rappelai les
vieux
maîtres d’armes que j’eus l’occasion de rencontre
andonner, briser mon avenir… Des malheurs de famille, vous savez… une
vieille
mère à nourrir… un jeune frère à élever. Il sour
nouveau Phalère, ce n’est qu’une charmante station de bains, mais au
vieux
, et bien loin, là-bas sur les rochers où la mer m
amais produire enfant si vertueux ? chante d’elle Robert Garnier, le
vieux
tragique, miracle de mauvais goût et de verve sub
ute semée de fleurs ; devant le huis, une table grossière supporte un
vieux
plateau plein de minces cierges fuselés, les uns
ité la ruine des demi-dieux et héros de l’ancienne religion ?… Toi,
vieux
marinier de la côte de Phalère, consacre au Saint
ns à passer — devant une fontaine — ombragée d’un figuier. — Alors un
vieux
farceur — dont la famille était — chez mon oncle
ussi — de choses plus réelles ; — je veux parler des cailles — qu’une
vieille
servante — rôtissait en plein air — sur un doux f
moins rouge, enfin très pâle ; — et nous nous regardons — comme deux
vieux
amis. — Ô surprise ! ô surprise ! — Que je suis d
nt et truculent Gautier, obligé à vanter des tragédies jetées dans le
vieux
moule classique et écrites comme si le moule étai
Y vîtes-vous jamais en femmes quelque chose comme le vieil Homère, le
vieux
Dante, le vieux Milton, le vieux Corneille, le vi
ais en femmes quelque chose comme le vieil Homère, le vieux Dante, le
vieux
Milton, le vieux Corneille, le vieux Gœthe ? Saph
lque chose comme le vieil Homère, le vieux Dante, le vieux Milton, le
vieux
Corneille, le vieux Gœthe ? Sapho, qui ne lance q
vieil Homère, le vieux Dante, le vieux Milton, le vieux Corneille, le
vieux
Gœthe ? Sapho, qui ne lance qu’un cri avant de se
er à la mer, était jeune. La plume se refuserait à écrire jamais : la
vieille
Sapho. C’est que pour l’homme et pour la femme, e
t affermie et étendue. L’émotion vraie éclate, casse les cordes de la
vieille
harpe, et les bras veufs survivent dans le nature
Introduction. De la nécessité d’étudier les plus
vieilles
croyances des anciens pour connaître leurs instit
es, ses règles, ses usages, ses magistratures. Mais avec le temps ces
vieilles
croyances se sont modifiées ou effacées ; le droi
l faut donc étudier avant tout les croyances de ces peuples. Les plus
vieilles
sont celles qu’il nous importe le plus de connaît
le passé. Les populations grecques et italiennes sont infiniment plus
vieilles
que Romulus et Homère. C’est dans une époque plus
s Hellènes ? Ils avaient, comme les Italiens, des chants antiques, de
vieux
livres sacrés ; mais de tout cela il n’est rien p
sont infiniment anciens ; cette langue, en exprimant les pensées des
vieux
âges, s’est modelée sur elles, et elle en a gardé
s les funérailles, dans la cérémonie du mariage ; ces rites sont plus
vieux
que lui, et ce qui le prouve, c’est qu’ils ne rép
ues grands hommes et des bienfaiteurs de l’humanité. D’après les plus
vieilles
croyances des Italiens et des Grecs, ce n’était p
ne l’en séparait pas ; elle s’enfermait avec lui dans le tombeau. Si
vieilles
que soient ces croyances, il nous en est resté de
leurs morts. Mais la foule qui, même à Athènes, restait attachée aux
vieilles
croyances, accusa ses généraux d’impiété et les f
nt touchât à cette petite provision destinée aux besoins du mort. Ces
vieilles
croyances ont persisté longtemps, et l’expression
n, est condamné à une faim perpétuelle26. » Voilà des croyances bien
vieilles
et qui nous paraissent bien fausses et ridicules.
dans ce livre que l’idée de la métempsycose a passé par-dessus cette
vieille
croyance ; déjà même auparavant, la religion de B
res leurs offrandes. Ces idées et ces rites sont ce qu’il y a de plus
vieux
dans la race indo-européenne, et sont aussi ce qu
uprès de lui. Quand le palais de Priam est envahi, Hécube entraîne le
vieux
roi près du foyer : « Tes armes ne sauraient te d
cérémonie sainte, par laquelle ils entraient en communion ensemble66.
Vieilles
croyances, qui à la longue disparurent des esprit
es et de donner à chacun d’eux un nom propre et une forme humaine, le
vieux
culte du foyer subit la loi commune que l’intelli
it pas sans cela la relation très étroite qui s’est établie entre ces
vieilles
croyances et la constitution de la famille grecqu
de la religion. Il nous est presque aussi difficile de comprendre les
vieilles
croyances de ces hommes qu’il l’eût été à eux d’i
de l’être et transmettait l’étincelle de vie. Il est résulté de cette
vieille
opinion qu’il fut de règle que le culte domestiqu
es rites, les mêmesprières, les mêmes fêtes que son mari. De là cette
vieille
définition du mariage que les jurisconsultes nous
e droit de succession. L’institution du mariage sacré doit être aussi
vieille
dans la race indo-européenne que la religion dome
n de leurs croyances aussi nette que celle que nous trouvons dans les
vieux
livres de l’Orient, du moins leurs lois sont enco
mauvaise et punissable. Denys d’Halicarnasse, qui avait compulsé les
vieilles
annales de Rome, dit avoir vu une ancienne loi qu
famille, les ancêtres, le foyer, réclamaient. « Par lui, disaient les
vieilles
lois des Hindous, un père acquitte sa dette enver
un, pour que les cérémonies funèbres ne cessent pas. » Ainsi parle le
vieux
législateur des Hindous148. Nous avons un curieux
t au culte de l’ancienne155. Nous avons vu, en effet, que d’après ces
vieilles
croyances le même homme ne pouvait pas sacrifier
par le culte n’a plus été la seule qui fût admise. À mesure que cette
vieille
religion s’affaiblit, la voix du sang parla plus
pace est consacré au « dieu de l’enceinte170 ». Il est résulté de ces
vieilles
règles religieuses que la vie en communauté n’a j
morts au champ qui entourait ce tertre. On peut lire dans le livre du
vieux
Caton une formule par laquelle le laboureur itali
our y avoir un temple, n’avait pas pu déposséder le dieu Terme. Cette
vieille
tradition montre combien la propriété était sacré
tait un dieu. Le sacrilège était horrible et le châtiment sévère ; la
vieille
loi romaine disait : « S’il a touché leTerme du s
au propriétaire de vendre son champ : il ne faisait que rappeler une
vieille
loi. Tout porte à croire que dans les anciens tem
t inaliénable comme en Grèce. S’il ne reste aucun témoignage de cette
vieille
loi, on distingue du moins les adoucissements qui
remarque qu’on doit faire. Les Institutes de Justinien rappellent le
vieux
principe, alors tombé en désuétude, mais non oubl
par les contemporains des Scipions, si elle ne s’était appuyée sur de
vieux
principes qu’on respectait encore. Elle visait à
t eu rien à dire de l’hérédité ab intestat parce que sur ce point les
vieilles
règles s’étaient mieux maintenues. Ainsi, sans qu
s aux mâles et aux descendants des mâles227 ». On citait encore cette
vieille
loi au temps de Démosthène, bien qu’elle eût été
s proche. Au temps de Justinien, le législateur necomprenait plus ces
vieilles
lois ; elles lui paraissaient iniques, et il accu
ille, ils ne sont pas parents. On voit bien quelle était la pensée du
vieux
législateur quand il établissait ces règles si mi
pouvait pas l’être tant que cette société restait sous l’empire de la
vieille
religion. Dans les croyances de ces âges anciens,
’est l’indivision du patrimoine avec une sorte de droit d’aînesse. La
vieille
religion établissait une différence entre le fils
e règle de droit : l’aîné seul héritait des biens. Ainsi le disait un
vieux
texte que le dernier rédacteur des Lois de Manou
ion240. Chez les Athéniens, il ne faut pas s’attendre à trouver cette
vieille
institution encore en vigueur au temps de Démosth
e l’eût accrue de siècle en siècle en l’empêchant de se morceler ? Ce
vieux
droit d’aînesse se prouve par ses conséquences et
t mineurs. On conçoit que cette règle n’ait pu durer qu’autant que la
vieille
religion domestique était en pleine vigueur. Cett
ans fin du fils au père disparut de bonne heure à Athènes. À Rome, la
vieille
règle fut scrupuleusement conservée : le fils ne
mariage255. L’idée de paternité ne s’attachait donc pas à ce mot. La
vieille
langue en avait un autre qui désignait proprement
t, la famille seule avait le droit de les juger. Le Sénat respecta ce
vieux
principe et laissa aux maris et aux pères la char
sur la morale dans les sociétés primitives. Sans prétendre que cette
vieille
religion ait créé les sentiments moraux dans le c
se qui, à la vue de Troie en flammes, ne veut pourtant pas quitter sa
vieille
demeure. Voyez Ulysse à qui l’on offre tous les t
t le dessus, il ne manqua pas de combattre de toutes ses forces cette
vieille
institution. S’il avait pu l’anéantir complètemen
religion. Une telle fiction fut possible au temps de César, quand la
vieille
religion des familles ne touchait plus personne.
sente la gens comme une association factice a donc contre lui : 1° la
vieille
législation qui donne aux gentiles un droit d’hér
a formation de lagens antique et de sa nature, si l’on se reporte aux
vieilles
croyances et aux vieilles institutions que nous a
que et de sa nature, si l’on se reporte aux vieilles croyances et aux
vieilles
institutions que nous avons observées plus haut.
nt groupées en un seul faisceau. Que dit encore le droit privé de ces
vieux
âges ? En observant ce qu’était l’autorité dans l
ques date de cette haute antiquité et se rattache visiblement à cette
vieille
religion. L’unité de naissance et de culte se mar
e, si l’on y prend garde, à la différence des deux religions. Pour la
vieille
religion domestique, la famille était le vrai cor
s en font foi pour la branche qui a donné naissance aux Hindous ; les
vieilles
croyances et le vieux droit privé l’attestent pou
nche qui a donné naissance aux Hindous ; les vieilles croyances et le
vieux
droit privé l’attestent pour ceux qui sont devenu
e cette nature pouvait être l’œuvre d’un homme. La clientèle est plus
vieille
que Romulus. Elle a d’ailleurs existé partout, en
t une réciprocité de devoirs entre le patron et le client. Écoutez la
vieille
loi romaine : « Si le patron a fait tort à son cl
anctuaire de mon foyer. » Lorsque Virgile décrit ce qu’il y a de plus
vieux
dans la religion de Rome, il montre Hercule assoc
tes d’Ovide, dans Tacite, dans Caton l’Ancien, qui avait compulsé les
vieilles
annales, et dans deux autres écrivains qui doiven
mes, à travers leurs incessantes transformations, restent fidèles aux
vieux
usages ! On ne peut pas raisonnablement supposer
tions et de souvenirs que l’on trouve déjà consignés dans les vers du
vieux
Nævius et dans les histoires de Caton l’Ancien. V
e d’un culte purement moral, d’une adoration d’esprit, n’est pas très
vieille
dans l’humanité. Aux âges anciens, le culte consi
2. L’antique usage des repas en commun est signalé aussi par les plus
vieilles
traditions athéniennes ; on racontait qu’Oreste,
La forme même des pains était immuablement fixée444. Ces règles de la
vieille
religion ne cessèrent jamais d’être observées, et
Virgile en a consigné le souvenir, par deux fois, dans sonEnéide ; le
vieux
Latinus reçoit les envoyés d’Énée, non pas dans s
élégua ce soin à des prêtres spéciaux que l’on appelaepulones449. Ces
vieilles
coutumes nous donnent une idée du lien étroit qui
gitamenta.Il n’y avait pas de ville qui n’eût aussi une collection de
vieux
hymnes en l’honneur de ses dieux487 ; en vain la
e, au temps d’Adrien, les prêtres de chaque ville lui racontèrent les
vieilles
histoires locales ; ils ne les inventaient pas ;
ent, ces beaux et brillants écrits nous laissent encore regretter les
vieilles
archives des villes et tout ce qu’elles nous appr
de l’imagination des hommes. Mais ce souvenir qui nous est resté des
vieilles
annales, nous montre au moins le respect pieux qu
annales et altéré la religion. Nous pouvons donc croire que dans ces
vieux
livres, si tout n’était pas vrai, du moins il n’y
i. Or c’est, pour l’historien qui cherche à percer l’obscurité de ces
vieux
temps, un puissant motif de confiance, que de sav
Ces erreurs mêmes, ayant encore l’avantage d’être contemporaines des
vieux
âges qu’il étudie, peuvent lui révéler, sinon le
lisaient celles-ci étaient les mêmes qui présidaient aux fêtes où les
vieux
récits étaient chantés. Il vint d’ailleurs un tem
cérémonie religieuse était alors accomplie502. On reconnaît même à de
vieux
usages qui ont duré jusqu’à la fin de l’histoire
ui signifie littéralement ceux qui sont à accomplir le sacrifice521 :
vieille
expression qui indique l’idée qu’on se faisait pr
est dû. » Assurément le philosophe romain se préoccupait peu de cette
vieille
religion des Lares et des Mânes ; mais il traçait
entent comme quelque chose d’antique, d’immuable, de vénérable. Aussi
vieilles
que la cité, c’est le fondateur qui les a posées,
loiscarmina549, des vers, lesGrecs disaient νόμοι, des chants550. Ces
vieux
vers étaient des textes invariables. Y changer un
e de véto, attaquer le décret devant lestribunaux comme contraire aux
vieilles
lois et le faire annuler. Il n’y avait certes pas
prières de quiconque n’était pas leur concitoyen. Il est vrai que ces
vieilles
croyances se sont à la longue modifiées et adouci
’habitude, par l’intérêt, par la haine invétérée, par le souvenir des
vieilles
luttes. Il n’y avait plus à revenir sur le passé.
découvrissent d’autres principes et un autre lien social que ceux des
vieux
âges. Chapitre XV. Relations entre les cités ;
lles. C’est ce qu’on peut voir en observant comment les hommes de ces
vieux
âges se faisaient la guerre, comment ils concluai
eux, si libre penseur, a, au contraire, un singulier respect pour les
vieilles
traditionset les vieux rites. Sa principale relig
au contraire, un singulier respect pour les vieilles traditionset les
vieux
rites. Sa principale religion, celle qui obtient
Tout ce qui touche à l’antiquité est sacré pour un Athénien. Il a de
vieux
recueils où sont consignés ses rites et jamais il
e l’état de famille, il existait déjà une distinction de classes ; la
vieille
religion domestique avait établi des rangs. Lorsq
les premiers siècles, de ce qu’on appelait le peupleromain. Dans une
vieille
formule de prière, qui se répétait encore au temp
us sommes pourtant frappé de voir dans Tite-Live, qui connaissait les
vieilles
traditions, que les patriciens reprochaient aux p
iers temps de la cité. On aperçoit, en effet, dans la nature même des
vieilles
idées religieuses, plusieurs causes qui entraînai
es familles ; il crée des patriciens ; il altère autant qu’il peut la
vieille
constitution religieuse de la cité. Tarquin est a
lue. Elle lui donnait des droits qui paraissaient sacrés. D’après les
vieilles
croyances, celui-là seul pouvait être propriétair
é l’œuvre des classes inférieures, qui avaient intérêt à détruire les
vieilles
institutions, mais de l’aristocratie, qui voulait
pour le plaisir de dominer que pour défendre contre des attaques ses
vieilles
institutions, ses antiques principes, son culte d
dépit de ses efforts et de sa victoire même, le danger subsista. Les
vieilles
institutions commençaient à chanceler et de grave
ts allaient s’introduire dans la constitution intime des familles. Le
vieux
régime de la gens, fondé par la religion de la fa
ipiunt habere, dit le jurisconsulte. Il y a dans la langue latine une
vieille
expression qui paraît dater de cette époque : fam
uverodieuse. Cette clientèle, cette sorte de servage, qui était aussi
vieille
que la constitution de la famille, on la faisait
es qui incombent à son ancien maître. Les dispositions si dures de la
vieille
loi qui l’obligent à payer la rançon du patron, l
se trouva plus dans le même cadre que son patron. Il est vrai que la
vieille
loi lui commanda encore de voter comme lui, mais
estât dans les mains des familles sacrées. L’autre voulait briser les
vieilles
barrières qui la plaçaient en dehors du droit, de
avons dit plus haut que Solon commença par affranchir la terre de la
vieille
domination que la religion des familles eupatride
changeant la constitution politique, avait laissé subsister toute la
vieille
organisation religieuse de la société athénienne.
vain la loi de Solon disait que tous les Athéniens étaient libres. La
vieille
religion saisissait l’homme au sortir de l’Assemb
té athénienne était entièrement transformée794. Or la suppression des
vieilles
tribus, remplacées par des tribus nouvelles, où t
vaient les mêmes ennemis. L’ambition des rois était de se dégager des
vieux
principes de gouvernement qui entravaient l’exerc
’exercice de leur pouvoir. L’ambition de la plèbe était de briser les
vieilles
barrières qui l’excluaient de l’association relig
u’ils étaient plébéiens803. Le patriciat remettait donc en vigueur le
vieux
principe qui voulait que la religion héréditaire
vait la laisser faire et se réjouir. Mais d’autres, moins fidèles aux
vieux
principes ou plus soucieux de la grandeur romaine
C’étaient vraiment les comices de la plèbe, et ils n’avaient rien des
vieilles
règles ni de la religion du patriciat. Il est vra
plèbe paraissait donc monstrueuse et impie aux patriciens. Aussi les
vieilles
annales, que Tite-Live et Denys consultaient en c
emblait pas qu’on pût les enlever aux patriciens. Car c’était dans la
vieille
religion un dogme inébranlable que le droit de ré
itaires. La plèbe affranchissait la religion et le sacerdoce de cette
vieille
règle de l’hérédité ; elle prétendait que tout ho
atriciens eux-mêmes. Quelques-uns d’entre eut invoquèrent en vain les
vieilles
règles et dirent : « Le culte va être altéré, sou
de la plèbe ; le patriciat n’était plus qu’un nom ou un souvenir. Les
vieux
principes sur lesquels la cité romaine, comme tou
it. Car autant les eupatrides et les patriciens étaient attachés à la
vieille
religion des familles et par conséquent au vieux
ient attachés à la vieille religion des familles et par conséquent au
vieux
droit, autant la classe inférieure avait de haine
apportait dans la cité d’autres principes, ne comprenait rien ni aux
vieilles
règles du droit de propriété, ni à l’ancien droit
». Il ne paraît pas avoir fait autre chose que de mettre en écrit les
vieilles
coutumes, sans y rien changer. Sa première loi es
reproduire le droit ancien. Elle avait la dureté et la raideur de la
vieille
loi non écrite. On peut croire qu’elle établissai
tier à l’épouser843. La parenté par les femmes était inconnue dans le
vieux
droit ; Solon l’admet dans le droit nouveau, mais
aine que le droit naturel commence à parler presque aussi haut que la
vieille
religion. Solon introduisit encore dans la législ
sons une loi d’Athènes qui enjoint au fils de nourrir son père devenu
vieux
ou infirme ; une telle loi implique nécessairemen
de la victime, Solon l’accorda à tout citoyen850. Encore une règle du
vieux
droit patriarcal qui disparaissait. Ainsi à Athèn
se d’hommes qui remplaçait une autre classe au pouvoir. C’étaient les
vieux
principes qui étaient mis de côté, et des règles
fut conservé. Il est assez ordinaire à l’homme, lorsqu’il rejette de
vieilles
institutions, de vouloir en garder au moins les d
appellent res publica, les Grecs τὸ κοινόν, voilà ce qui remplace la
vieille
religion. C’est là ce qui décide désormais des in
ient être joint au sacerdoce. Lorsque la cité athénienne repoussa les
vieux
procédés religieux du gouvernement, elle ne suppr
uvoir politique. Les archontes conservaient l’autorité, telle que les
vieux
âges l’avaient conçue ; les stratèges avaient cel
rie des révolutions, une fois commencée, ne devait pas s’arrêter. Les
vieux
principes étaient renversés, et l’on n’avait plus
evé de détruire ce respect superstitieux. Nul n’osait rompre avec les
vieilles
formes de la religion nationale ; la démocratie c
son champ. Mais à l’époque où les révolutions nous ont conduits, ces
vieilles
croyances sont abandonnées et la religion de la p
aisaient une révolution, et que tous les deux, s’autorisant du nom du
vieux
législateur Lycurgue, prétendaient ramener Sparte
tinuait à entretenir ce feu, à faire les repas publics, à chanter les
vieux
hymnes : vaines cérémonies, dont on n’osait pas s
es allaient de ville en ville et enseignaient aux hommes, au lieu des
vieux
hymnes de la cité, des chants nouveaux où il n’ét
grands dieux de la terre et du ciel ; et le peuple grec oubliait ses
vieux
hymnes domestiques ou nationaux pour cette poésie
. Puis la philosophie parut, et elle renversa toutes les règles de la
vieille
politique. Il était impossible de toucher aux opi
, dédaigna les cultes locaux et c’en fut assez pour qu’il rejetât les
vieux
modes de gouvernement et essayât de fonder une so
ces deux grands esprits. C’étaient des hommes ardents à combattre les
vieilles
erreurs. Dans la lutte qu’ils engagèrent contre t
Grecs que pour gouverner un État, il ne suffisait plus d’invoquer les
vieux
usages et les lois sacrées, mais qu’il fallait pe
uverner sans discuter ses institutions. Il douta de la justice de ses
vieilles
lois sociales, et d’autres principes lui apparure
ociété grecque s’affranchit de jour en jour davantage de l’empire des
vieilles
croyances et des vieilles institutions. Après lui
t de jour en jour davantage de l’empire des vieilles croyances et des
vieilles
institutions. Après lui, les philosophes discutèr
its l’habitude. Platon subit encore, en certains points, l’empire des
vieilles
idées. L’État qu’il imagine, c’est encore la cité
une existence heureuse et facile. » Ainsi la philosophie rejette les
vieux
principes des sociétés, et cherche un fondement n
vernement des États. Mais leurs principes étaient fort éloignés de la
vieille
politique municipale. Voici en quels termes un an
l’association humaine. Il dédaigne les divisions que la religion des
vieux
âges a établies. Comme il conçoit le Dieu del’uni
e même sens que les idées, qu’ils tendaient comme elles à la ruine du
vieux
régime municipal, et qu’ils préparaient de nouvea
ns, sa légende de Tarpeia et de Tatius ; elle alléguait aux Grecs les
vieux
hymnes qu’elle possédait en l’honneur de la mère
aste sacerdotale, cette sorte de patriotisme disparut avec toutes les
vieilles
croyances. L’amour de la cité ne périt pas encore
triotisme nouveau n’eut pas exactement les mêmes effets que celui des
vieux
âges. Comme le cœur ne s’attachait plus au prytan
rent monstrueuse et criminelle ; elle était, en effet, contraire à la
vieille
religion et au vieux droit des cités. Le consul M
minelle ; elle était, en effet, contraire à la vieille religion et au
vieux
droit des cités. Le consul Manlius répondit que,
le sacré, comme sénateur, comme consul ? » Manlius exprimait ainsi le
vieux
sentiment de répulsion qui séparait le citoyen de
supportait plus les charges pécuniaires953. C’était la conséquence du
vieux
principe qui ne permettait pas qu’un même homme a
les sujets ; il faisait même disparaître la distinction beaucoup plus
vieille
que la religion et le droit avaient marquée entre
ue funeste aux populations. Nous devons nous arrêter au moment où les
vieilles
formes sociales que l’antiquité avait établies fu
it de se rappeler que l’ancienne société avait été constituée par une
vieille
religion, dont le principal dogme était que chaqu
travail des philosophes, le progrès de la pensée avaient ébranlé les
vieux
principes de l’association humaine. On avait fait
vait fait d’incessants efforts pour s’affranchir de l’empire de cette
vieille
religion, à laquelle l’homme ne pouvait plus croi
son essence, précisément parce qu’il ne s’en est pas occupé. Dans les
vieux
âges, la religion et l’État ne faisaient qu’un ;
ature même lui confère pour les besoins de l’enfant. La femme, que le
vieux
culte plaçait dans une position inférieure au mar
avail ; l’acquisition en fut rendue plus facile, et les formalités du
vieux
droit furent définitivement écartées. Ainsi, par
éd. Welcker, v. 513, et Pausanias, VI, 6, 9. Les Thébains avaient une
vieille
expression pour signifier mourir, ἣρωα γένεσθαι ;
nus, biographe de Thucydide, et par Plutarque, Cimon, 4. — Il y a une
vieille
anecdote qui prouve combien on jugeait nécessaire
rlons ici du droit le plus ancien. Nous verrons dans la suite que ces
vieilles
lois ont été modifiées. 103. Hérodote, V, 73, po
olitique, II, 4, 4. 195. Aristote, Politique, II, 3, 7. Cette loi du
vieux
législateur ne visait pas à l’égalité des fortune
ère. 216. Isée, De Pyrrhi hereditate, 68. 217. Cette disposition du
vieux
droit attique n’était plus en pleine vigueur au q
pas le plaidoyer de l’adversaire qui soutenait évidemment, au nom des
vieux
principes, que la fille n’avait aucun droit ; mai
IX, 105-101, 126. Cette ancienne règle a été modifiée à mesure que la
vieille
religion s’est affaiblie. Déjà dans le code de Ma
es entre les frères. 242. Démosthène, In Bœotum, de nomine. 243. La
vieille
langue latine a conservé un vestige de cette indi
entre eux qu’un lot de terre et vivaient sur le même domaine ; or la
vieille
langue désignait par ce mot des frères et même de
en l’honneur du fondateur ; nous serions tenté de voir un écho de ces
vieux
chants dans quelques vers d’Ennius que cite Cicér
érémonie de la lustration a été instituée par Servius. Elle est aussi
vieille
que Rome. Ce qui le prouve, c’est que la lustrati
αὶ πραΰνοντες οὕς ἀλάστορας καὶ παλαμναίους ὀνομάζουσι. 483. Sur les
vieux
hymnes que les Grecs continuaient chanter dans le
archaïque (De ling. lat., y, 97). — Sur le respect des Grecs pour les
vieux
rites, voyez quelques exemples curieux dans Pluta
rvius, VII, 678 ; VIII, 398. Lettres de Marc-Aurèle, IV, 4. 490. Les
vieilles
annales de Sparte, ὦροι, παλαιόταται ἀναγραφαί, s
de la cité. De là vient que nous trouvons dans les tragiques tant de
vieilles
traditions et même de vieilles formes de langage.
us trouvons dans les tragiques tant de vieilles traditions et même de
vieilles
formes de langage. 495. Euripide, Oreste, 1594-1
Pomponius, au Digeste, De origine juris. 539. De là est venue cette
vieille
définition que les jurisconsultes ont conservée j
n, 21. 665. Voyez ce qu’Isocrate dit de la fidélité des ancêtres aux
vieux
rites, Aréopagitique, 29-30. Cf. Lysias, Adv. Nic
comach., 19 : Τὰ ἐκ τῶν κύρβεων θύοντες. Démosthène rappelle aussi le
vieux
principe qui exige que les sacrifices soient fait
il y avait longtemps que la plebs faisait partie du populus. Mais les
vieilles
formules restaient comme des vestiges du temps où
I, p. 915. Il est assez visible, toutefois, qu’au temps de Platon ces
vieilles
lois n’étaient plus observées. 767. Festus, v° P
céron, De rep., II. 14 ; Pomponiu, au Digeste, t, 2. Plusieurs de ces
vieilles
lois sont citées par Pline, XIV, 12 ; XXXII, 2 ;
d’Isée et de Démosthène. Il y a pourtant cette remarque à faire : le
vieux
principe qui voulait que le mari fût propriétaire
on reçue avant même que Rome fût en rapports suivis avec l’Orient. Un
vieux
devin, dans une prédiction qui se rapportait à la
de ajoutait que l’auteur d’une proposition si impie, si contraire aux
vieux
principes des religions poliades, avait été frapp
une chambre entouré de petites filles ; et de la cheminée sortait une
vieille
femme, une vieille fée, qui avait un piment, tout
de petites filles ; et de la cheminée sortait une vieille femme, une
vieille
fée, qui avait un piment, tout rouge dans sa bouc
bouche, sans doute pour faire croire à du feu, à de la flamme, et la
vieille
qui était une fillette, travestie, se faisait ame
etits détails. Mercredi 18 avril Ce soir, chez la princesse, le
vieux
Franck se plaint que tout soit à la philologie, q
que des noms, qu’il y ait une convention pour rejeter les idées, ces
vieilles
aristocrates, selon son expression. Vendredi 2
le, était Swinburne. * * * — Un véritable homme de lettres, que notre
vieux
Tourguéneff. On vient de lui enlever un kyste dan
gacer… je lui demande une rétractation, en lui adressant des amis, de
vieux
amis, qui, je crois, peuvent témoigner que je ne
rse la nature. Mardi 26 juin Transfusion de nouveaux dans notre
vieux
dîner de Magny, en train de mourir. Tous hommes p
le mal de mer. Lundi 27 août Je monte hier, en voiture, avec un
vieux
monsieur à favoris blancs, le chapeau posé en arr
s cachés, en des fonds de mer, n’existerait-il pas des animaux, aussi
vieux
que le monde ? Oui, c’est aujourd’hui la question
ndant à X… pourquoi il était si triste : « Eh bien ! vous qui êtes un
vieux
cochon, je puis vous le dire, répondait-il. Je su
Affaires étrangères, empreintes d’une ironie gandine, ou des têtes de
vieux
journalistes conservateurs ; affectant une triste
anches, chez sa mère. C’est curieux cette figure de la tata, de cette
vieille
dévouée, qui avait douze cents francs de rente, e
ement, et déchirant et mettant en pièces tout ce qui tombait sous ses
vieilles
mains. * * * — Dans un dîner chez Girardin, Glads
trement. Ça devait être, dans le même milieu et la même tonalité, une
vieille
fille dévote et chaste… Et puis j’ai compris que
écès, Mariages, Abjurations. L’œil accroche au passage quelque nom de
vieille
paroisse qui fait songer : Saint-Séverin, Saint-J
ette, avec l’air du génie du lieu, flairant les actes, découvrant les
vieilles
naissances et les vieilles morts, comme on trouve
u lieu, flairant les actes, découvrant les vieilles naissances et les
vieilles
morts, comme on trouve les sources avec une espèc
les morts, comme on trouve les sources avec une espèce divination, un
vieux
bonhomme au teint gris sale, de la couleur de ces
ivination, un vieux bonhomme au teint gris sale, de la couleur de ces
vieux
livres, grand, fort, cassé et voûté : il ressembl
descriptions. Puis une trop belle syntaxe, une syntaxe à l’usage des
vieux
universitaires flegmatiques, une syntaxe d’oraiso
ice de Guérin dans Le Centaure. * * * — A-t-on remarqué que jamais un
vieux
juif n’est beau ? Il n’y a pas de nobles vieillar
désespérément dans l’amour la reconnaissance qu’elle n’est pas encore
vieille
. Un amant lui semble une protestation contre son
t pâle, une petite fille qui a un serin jaune perché sur un bras, une
vieille
femme noire, austère, janséniste, la mère inconso
sons qui ont l’air de vaisseaux, des toits qui ont l’air de poupes de
vieilles
galères, des escaliers qui sont des échelles, des
plus belle que la nôtre. De Sœur Philomène, il passe aux femmes, aux
vieilles
femmes, comme Mme de Boigne, auprès desquelles il
tout à l’heure le banquier serrera sans gant la main du banquiste. Ce
vieux
marquis, le meilleur personnage de la pièce, est
Il a M. Charrier pour associé, et pour valet de ses hautes œuvres un
vieux
bohème cynique et sceptique qu’il a déterré d’un
e procès qui le déshonore ; sur quoi, Vernouilhet tire de sa poche un
vieux
numéro de la Gazette des Tribunaux qu’il met sous
vingt ans par son père… Tout s’arrange cependant. Charrier payera ses
vieilles
dettes ; M. de Sergines épousera sa fille ; mais
e il y a des bourreaux d’argent. Au premier acte, nous sommes chez le
vieux
marquis d’Auberive, ce gentilhomme, quinteux et s
rochainement son manifeste à la Chambre, et le comité, soufflé par le
vieux
marquis, a décidé que Maréchal serait le porte-vo
eut être un fumier pour y faire pousser un lis. » Cette confession du
vieux
bohème est d’un effet poignant : elle arrache la
s vous souvenez de la charmante scène où madame de Blossac apprend au
vieux
Maréchal qu’il n’y a jamais eu de M. de Blossac.
on petit plomb y fait un fracas de bombe fulminante. Aux arguments du
vieux
libéral, le légitimiste frais éclos oppose le dis
eproche, avec l’âpreté généreuse de la jeunesse, son métier vénal. Le
vieux
bohème convient de son déshonneur, mais ce n’est
ulaire dans sa patrie. Si jamais vous allez en Perse, dans ce pays de
vieille
civilisation, qui a subi bien des conquêtes, bien
iétaires ruraux, qui, dans tout pays, sont naturellement attachés aux
vieilles
mœurs. Or, pour se concilier cette classe composé
ouvèrent rien de mieux que de réchauffer et de favoriser le culte des
vieilles
traditions historiques et nationales, les souveni
ma tête. Je reconnus que le moment de parler était arrivé, et que les
vieux
temps allaient revenir. » Il se rendit donc à la
employer avec eux d’autres armes que la persuasion, et, regardant son
vieux
père avec tendresse, il lui dit ces belles parole
suives. » Sohrab engage le combat ; tout plie devant lui. Jamais nos
vieux
romans de chevalerie n’ont retenti de pareils cou
e son fils, et le duel va s’entamer. La pitié, tout à coup, saisit le
vieux
chef, en voyant ce jeune guerrier si fier et si b
it-il, la terre est sèche et froide, l’air est doux et chaud. Je suis
vieux
; j’ai vu maint champ de bataille, j’ai détruit m
t pas celui qu’il cherche, s’il n’est pas l’illustre Roustem. Mais le
vieux
chef, qui ne veut pas donner à ce jouvenceau trop
rès de succomber, fait en lui comme un suprême effort. En abordant le
vieux
chef, il s’adresse à lui le sourire sur les lèvre
her ; mais cela lui avait passé : il s’était rassis ; il était devenu
vieux
; vers l’âge de trente-cinq à quarante ans, il ét
ingénieux confrère M. Flourens, Sénèque s’y est surpassé : « Je suis
vieux
, écrivait-il à son jeune ami Lucilius, je suis pl
Je suis vieux, écrivait-il à son jeune ami Lucilius, je suis plus que
vieux
, ce mot de vieillesse est lui-même trop jeune pou
t : Quand j’étais jeune… lui, il disait naturellement : Quand j’étais
vieux
. M. Rossi, qui savait si bien son Bonstetten, et
peine d’entreprendre telle étude, tel travail, parce que je suis trop
vieux
pour l’achever. Comme si l’on achevait jamais que
e de cette ville. Les Bonstetten devinrent ainsi un des six grands et
vieux
lignages du patriciat bernois. Braves chevaliers,
faisaient de lui un patricien bernois par trop infidèle à l’esprit du
vieux
sénat cantonal. En France, vers le même temps, co
al Horace en parcourant la campagne ou perché entre les branches d’un
vieux
cognassier, lui laissèrent dans l’imagination un
x déjeuner de muffins et de thé. Alors apparaissent Shakespeare et le
vieux
Linné (Gray s’occupait beaucoup de botanique et d
deux littératures roulent sur le même fond de sable : l’homme et ses
vieux
malheurs ; très souvent, ils s’en vont, parallèle
Allez en France, allez en Flandre, en Allemagne ou en Suède, priez la
vieille
qui tricote ou la jeune fille qui bêche de vous c
ur et dans la tour un flambeau » : si elle daigne ou si elle ose, la
vieille
ou la jeune vous chantera, version flamande214 :
ns et nage vers moi ! Ainsi fit le fils du roi, il était jeune. « Une
vieille
femme le vit, bien mauvaise mégère. Elle alla sou
le de Schiller, qu’apprennent les écoliers, à celles que chantent les
vieilles
« le soir à la chandelle » ! Une poésie non écrit
rs un euphémisme pour un mot trop clair et devenu trop brutal, que le
vieux
français traitait avec moins de réserve. Ce systè
émentaires surgissent violentes et cyniques, comme dans la chanson du
Vieux
Mari, dont sa femme attend la mort pour en porter
quarante, comme à l’Académie… M. Paul Bourget avait trop d’âme à la
vieille
manière, qui est l’immortelle ! — pour s’enrégime
celle qui lui a succédé, on comparait ses poèmes, pour l’effet, à de
vieux
sujets de pendule, et le Sélim de La Fiancée d’Ab
st un peu tombé… mais pour se relever, comme son Mazeppa ! Homère est
vieux
. Ossian est vieux. Milton est vieux. Sophocle est
ais pour se relever, comme son Mazeppa ! Homère est vieux. Ossian est
vieux
. Milton est vieux. Sophocle est vieux. Il faut to
r, comme son Mazeppa ! Homère est vieux. Ossian est vieux. Milton est
vieux
. Sophocle est vieux. Il faut toujours, pour faire
! Homère est vieux. Ossian est vieux. Milton est vieux. Sophocle est
vieux
. Il faut toujours, pour faire un grand poète, du
vail intérieur. J’eus tort peut-être ; il en est résulté que, sur mes
vieux
jours, au lieu d’être, selon l’usage, un conserva
avantageusement remplis par un autre travail. Il y a un beau mot d’un
vieux
rabbin du premier siècle. On lui reprochait de fa
opinion est que la règle morale et légale du mariage sera changée. La
vieille
loi romaine et chrétienne paraîtra un jour trop e
rité incontestée. Les révolutions m’ont rendu la tâche difficile. Mon
vieux
principe de fidélité bretonne fait que je ne m’at
Soyez contents de vivre, comme nous sommes contents d’avoir vécu. La
vieille
gaieté gauloise est peut-être la plus profonde de
pense alors aux faciles compagnes du jeune temps, qui maintenant sont
vieilles
comme lui et voudraient mourir : « De même aussi
draient mourir : « De même aussi les pauvres petites femmes, qui sont
vieilles
et qui n’ont pas de quoi, quand elles voient de j
ste-t-il ? Honte et péché. Il est mort, voilà trente ans, et je reste
vieille
et chenue… » Et la ballade de la belle haulmière
et qui s’appelle Ume-no-haru-tate-shi-no-go-sho-zome. Simplement. La
vieille
Yuri-Nokata veut venger sa fille Nadeshiko que so
s, gracieusement arqué et réfléchi dans une jolie petite rivière). La
vieille
l’aperçoit, la rejoint, l’empoigne par ses cheveu
gances de leur civilisation stationnaire, ils restent des enfants, de
vieux
enfants, c’est pour cela qu’ils sont tour à tour
, sur une place publique, grâce au hasard d’une chanson que chante la
vieille
Tika, Ivashita reconnaît la bonne nourrice et son
ums et des musiques, auprès d’un beau palais. Les personnages sont le
vieux
Leonato, gouverneur de Messine ; le roi don Pèdre
e aussi se met à aimer Claudio. Et le bon roi don Pèdre en avertit le
vieux
Leonato ; et les deux jeunes gens sont fiancés (o
u lieu de répondre au prêtre le « oui » qu’on attend, Claudio crie au
vieux
Leonato : « Reprends ta fille ! » raconte ce qu’i
r en tes yeux ! Il sort comme un fou. Héro s’est évanouie. Alors, le
vieux
Leonato, penché sur elle : Ne rouvre pas les yeu
, puisqu’elle est morte ! Or, tandis qu’il la pleure, il rencontre le
vieux
Leonato, qui ne doute plus de l’innocence de sa f
M. Legendre ne nous révèle qu’au dernier acte le pieux stratagème du
vieux
Leonato. — Enfin, il nous a débarrassés du person
particulier, est bien surprenant. La première fois qu’il rencontre le
vieux
Leonato et son frère, après la scène de l’église,
avons été, dit-il, sur le point d’avoir nos deux nez cassés par deux
vieux
édendés », et il continue sur ce ton. Un peu aprè
vie, et cette vie, elle la communiquait à flots aux figures pâlies du
vieux
drame. Il est impossible, je crois, d’expliquer,
r moi les Fâcheux sentent un peu trop le développement de l’école, la
vieille
satire classique. Ce n’est que la mise en scène d
ïre, tandis qu’on laisse dans l’oubli tant de petits chefs-d’œuvre du
vieux
répertoire que je pourrais nommer ici, depuis la
ouges ? dans quels cabarets borgnes ? dans quelle ruelle tortueuse du
vieux
Paris ? Très digne dans ses loques, il doit entre
condition sociale. (Comparez, s’il vous plaît, cette pudeur de notre
vieux
théâtre à la pudeur, toute contraire dans ses eff
de Piron, de Sedaine et de Favart. Cela m’a fait feuilleter quelques
vieux
volumes dépareillés du Répertoire général du théâ
ls goûtaient délicatement la vie, — et ils sont morts. Comme cela est
vieux
! comme cela est loin de nous ! Mais, dans cent a
e chose. Nous apparaîtrons nous aussi, à nos arrière-neveux, comme de
vieilles
petites ombres effacées par la distance, avec des
voudrions qu’on fit pour nous dans cent ans. Regardons pieusement les
vieux
tableaux, et feuilletons les vieilles estampes av
cent ans. Regardons pieusement les vieux tableaux, et feuilletons les
vieilles
estampes avec un sentiment d’amitié. Et, si l’on
de ce délicieux grotesque d’il y a cent ans suffirait à sauver le bon
vieux
petit acte de Patrat. Mais il est, en outre, tout
bien naïfs, — mais naïfs à un tel point qu’ils vous désarment… C’est
vieux
, c’est gentil, c’est bon, bébête, inoffensif et d
f et doux. On voudrait avoir ça accroché au mur de sa chambre dans un
vieux
cadre. Beaumarchais Odéon : Conférence de M
vraiment, la bonne grâce et la gentillesse des victimes, et ce que ce
vieux
monde apporta de bonne volonté, de générosité spi
tirer le diamant, etc… ; Un marquis toujours ivre et qui exploite les
vieilles
femmes ; Un valet, Frontin, dont les rapports com
tin ; Finet, faussaire, autre complice de Frontin ; Mme Turcaret, une
vieille
folle qui, venue à Paris, se donne pour comtesse,
le comte, sur la comtesse, sur Chérubin, sur ceux qui vont mourir. Le
vieux
monde y paraît tout à fait aimable ; et il semble
eau… », dit Bazile. — Ah ! dit Figaro, voilà notre imbécile, avec ses
vieux
proverbes ! Eh bien ! pédant ! que dit la sagesse
ai démêlé. Nous sommes « au temps de Luther », naturellement, chez la
vieille
Thécla, qui vit avec son fils Luigi, sa petite-fi
ille Thécla, qui vit avec son fils Luigi, sa petite-fille Elsi, et le
vieux
serviteur Marco. Thécla s’est faite luthérienne ;
ienne ; Luigi hésite encore ; la gentille Elsi n’a pas d’opinion ; le
vieux
Marco ne se prononce pas. Il m’a semblé que Thécl
droit au ciel… Paolo veille, pendant que l’orage gronde au dehors… La
vieille
Thécla descend de sa chambre et, sans le voir, ou
as de Paolo est unique. Vous n’y trouverez rien d’analogue dans notre
vieux
théâtre. Ne me parlez pas du fanatisme de Polyeuc
niquent leur grandeur d’âme. Elle s’écrie au quatrième acte : « Ô mon
vieux
Corneille ! viens à mon aide ! viens soutenir mon
ur, écrase virilement une larme au coin de son œil avec le geste d’un
vieux
colonel du Gymnase. Enfin (et c’est ce qui achève
que le développement, est racontée au second acte par tante Mian, la
vieille
servante. Je ne puis mieux faire que de vous mett
r a mêlé son poison, Il mourra dans l’année. Or, la méchante femme Du
vieux
seigneur des Baux avait livré son âme Et son corp
sens, avec une part d’absurde et d’inexpliqué, comme il arrive à ces
vieux
symboles quand, à force de se transmettre de géné
de ces choses belles et obscures, pour inventer un symbole qui semble
vieux
de plusieurs centaines d’années et qui a l’air d’
ue ce qu’il croit leur faire manger ainsi, c’est la mort. En vain son
vieux
domestique Ramon essaye de lui faire entendre que
toi. » Et, là-dessus, l’aimable Malandran jure qu’il va étrangler le
vieux
Ramon. Il n’en fait d’ailleurs absolument rien (s
croyez que ce sauvage a fini d’être un sauvage, vous vous trompez. La
vieille
servante Mian fait remarquer que le sang de Eanet
on franche et directe, et de douter ainsi de la sincérité de mes plus
vieilles
et de mes plus orthodoxes admirations : car je ne
s deux cousines mariées, c’est le maléfice du fruit défendu. Alors le
vieux
malin fait croire à Léon qu’un obstacle éternel,
ucet nous a tant plu. Elle a la jeunesse lointaine et persistante des
vieux
pastels. Cette œuvre d’un goût mesuré, d’un agrém
son plaisir où il le trouve. Sans doute ce petit animal vit dans une
vieille
société toute garrottée de lois, d’usages, de con
ur, deux petites femmes, parlant de lui, ont déclaré qu’il devenait «
vieux
jeu ». Et c’est pourquoi Max, très affecté, s’est
lui que j’en ai le cœur déchiré… Et ne lui dites pas que je suis trop
vieux
, n’est-ce pas ? C’est inutile. — Oui, mon ami. »
Pepa, vingt-six ans, non mariée (car je n’ose dire ni jeune fille ni
vieille
fille), Pepa, fille d’artiste, Espagnole par sa m
’autrefois, la « femme brisée » d’aujourd’hui, est, au fond, une bien
vieille
connaissance ; on peut se demander, en revanche,
vers les millions de Bettina et que son parrain, le curé, n’est qu’un
vieux
malin… Jean lui dit : « Tu es un lâche ! » Paul l
ut à coup, à propos de rien, tu lui fais des phrases sur ton père, le
vieux
médecin de campagne, tué pendant la guerre, sur s
ait, dans aucun cas, se manifester de cette façon. Elles examinent le
vieux
prêtre d’un air de supériorité étrangement déplac
l’un de ses anciens tours, avec le plus connu et le plus suranné. Le
vieux
Scapin se méfiera d’abord un peu ; mais son espri
Pâque-Dieu ! C’est donc là ce qu’on nomme Vertu bourgeoise ! Et moi,
vieux
fou, pauvre bonhomme Qui parfois me jugeais, à vo
sentiment religieux chez Raoul Ponchon. » Depuis quinze ans, dans sa
vieille
maison de Saint-Malo, d’où l’on voit la mer par t
ison de Saint-Malo, d’où l’on voit la mer par toutes les fenêtres, le
vieux
François Legoëz attend son petit-fils Pierre. Voi
fils Pierre. Voilà huit ans qu’on est sans nouvelle du gars ; mais le
vieux
espère toujours. Et Janik, la cousine de Pierre,
enne », jusqu’à maudire la mer qui lui a pris son mari, qui a pris au
vieux
Legoëz ses quatre fils et à Janik son fiancé. Maî
u ni de la mer. C’est une brave femme que cette Marie-Anne ; mais le
vieux
matelot et sa petite sont exquis : ils ont, avec
e ménager, pour ne pas me faire mourir de joie ? » Et tout à coup, le
vieux
aperçoit le sac, les hardes, le chapelet : « Ah !
raît pas bon, dites-vous alors que celui de la pièce est meilleur. Le
vieux
Legoëz interroge son petit-fils. Ainsi, Pierre n’
rs et le surprend. Il a réfléchi : il est prêt à tendre la main à son
vieux
compagnon qui, au bout du compte, n’a rien à se r
ik aime Jacquemin, croyant aimer Pierre ; c’est à cause d’elle que le
vieux
Legoëz s’attendrit en faveur du flibustier ; c’es
sentation de la Sortie de Saint-Cyr. Mon Dieu ! comme il est bon, le
vieux
Claude, le brosseur du brave colonel Montlouis !
t arriver la nuit, par le train de deux heures. Mais il a écrit à son
vieux
Claude qu’il voulait, en arrivant, lui parler dan
r s’être opposé à la brimade » d’un nouveau, d’un « melon ». Voilà le
vieux
Claude dans tous ses états ! Il réveille la petit
se contre son cœur, et écrase virilement une petite larme. Emotion de
vieux
brave : s’il est colonel, il est père ; mais s’il
nner une leçon d’escrime. Cela, c’est la jolie scène, le « clou ». Le
vieux
Claude, tout en enseignant à la petite sœur des b
es mouvements d’épaules, par sa brusquerie cordiale, est une adorable
vieille
brisque. Quant à Mlle Reichenberg, ce n’est pas s
tachée par les toits rouges d’une usine et que surmontent, là-bas, un
vieux
château à tourelles et une terrasse bordée de hau
is trente-cinq ans, d’une haine implacable le marquis de Clerfont, un
vieux
rêveur qui a la manie des inventions, et qu’il l’
audis, c’est presque celui du père sonore de la Trouille. Au fond, de
vieux
rideaux de calicot bleu cachent un lit ; à un mom
e de sauver Robert et le marquis. Pascal le lui promet. Il déclare au
vieux
Carvajan qu’il payera les dettes du marquis, car
rne et romantique, que nous offre le septième tableau ! A droite, une
vieille
église romane, une église des Odes et Ballades, e
r Souvarof indigné : « Misérables ! vibre-t-il, vous abandonnez votre
vieux
général ? » Et il commence un petit discours. Les
n carton et se met à sangloter comme on sanglote au théâtre. Alors la
vieille
cantinière Atwine s’avance au milieu de la scène,
appareil naïf nous ont fort amusés. Nous avons beaucoup aimé aussi la
vieille
cantinière russe, et les grognards, et le loustic
lle cantinière russe, et les grognards, et le loustic de la pièce, un
vieux
juif à barba de bouc, astucieux et jovial, qui va
nt-Leu refuse même à Jacques Bonhomme le droit de remplacer un pauvre
vieux
qui tremble de fièvre. Le reste est à l’avenant.
dont la femme vient d’accoucher, et son dernier morceau de pain à un
vieux
mendiant ; il protège une vieille femme qui passe
, et son dernier morceau de pain à un vieux mendiant ; il protège une
vieille
femme qui passe pour sorcière et accueille un hom
et « l’amour m’enfièvre de rude sorte ». Le baron de Saint-Leu est un
vieux
seigneur, digne, rigide, à cheval sur ses droits
aineux commande le pillage du château. Il rencontre dans une salle le
vieux
baron et le frappe en l’accablant d’injures. Le v
avec majesté : « Vassal, dit-il, j’écoute tes plaintes ! » Bravo, le
vieux
! La foule l’acclame et se soulève toute contre l
voir ce qu’elle disait et prononçait « Skopenhauer ». Qu’importe ? La
vieille
duchesse, surtout, était sympathique à ces lecteu
tragique de M. Paul Margueritte. Au moins les personnages étaient de
vieilles
connaissances ; et il y avait, dans le plaisir qu
ent, à appeler Monsieur Scribe. Nous avons revu pareillement ces deux
vieilles
connaissances : Mlle Forgue et M. Damoye. Hélas !
Leloir, qui a joué avec assez d’ampleur la scène des Burgraves où le
vieux
Job se donne tant de mal pour se faire occire par
, qui a montré du naturel, — un naturel de théâtre, — dans le rôle du
vieux
Noël de la Joie fait peur ; enfin Mlle Avocat, to
ux ! (Deuxième accessit. ) Mlle Marthe Bertrand (Antoinette, dans les
Vieux
Garçons). C’est la troisième des petites Bertrand
tez les plaisanteries), et de l’entendre entonner avec componction le
vieux
et vénérable cantique de pénitence :
donner le signal d’une révolution au sein de la docte compagnie : le
vieux
parti, dit académique, des rédacteurs du Constitu
une petite révolution dans le journal même (le Constitutionnel) ; le
vieux
parti des Jay, des Étienne, battu à l’Académie, a
noms ; mais ces promesses magnifiques tiennent peu d’ordinaire, et le
vieux
Constitutionnel, en voulant se rajeunir comme Éso
son, pourrait bien avoir le destin de Pélias. On revient aisément aux
vieilles
images classiques en parlant du Constitutionnel.
e j’ai nommés plus haut. Laissons à Villemain la peine de répéter les
vieilles
sottises de La Harpe, cet homme de goût ! Laisson
Saliat, qui, ramenant tout à la préoccupation de son temps comme les
vieux
peintres au costume du leur, quels que soient les
dit-il en son style d’une senteur antique et exquise, — c’est que les
vieux
historiens (comme aussi les poètes)sont dignes vé
Malgré l’enfantillage de l’anecdote et le fabuleux des récits que ce
vieux
rapsode d’Hérodote, qui voyageait, — vagabond moi
era une originalité et un contraste qui auront leur ragoût, que cette
vieille
et toujours jeune histoire d’Hérodote contrastant
ent Dieu sous la remise et qui sont, elles, si jeunes et cependant si
vieilles
déjà !
. Si, par exemple, il accordait tant à la constitution municipale des
vieilles
cités, s’il croyait à la perpétuité de cette cons
lui, le centre de son érudition et de sa conquête ; il voudra que la
vieille
langue du Midi ait été primitivement la dominante
lle natale. Il avait dans la liberté du tête-à-tête un grain de cette
vieille
gaieté gauloise, relevée ici d’une pointe d’ail à
onfondre, dans son érudition un peu particulière, avec l’héritage des
vieilles
libertés municipales léguées par les Romains. S’i
s Provençaux, celle de Brignoles, aurait commencé par être la mère du
vieux
français tout entier, la mère aussi du catalan, d
e dire, ou du moins en ne le disant qu’incidemment, des grammaires en
vieux
langage où étaient indiquées avec précision les r
endait jusqu’à nous autres Picards et Normands ; il faisait sur notre
vieille
langue française l’application et la vérification
it reconnues dans l’ancienne langue du Midi, et montrait que nos bons
vieux
auteurs du xiie siècle n’écrivaient pas au hasar
e sorte que tous ceux qui s’occupent maintenant de la publication des
vieux
textes rencontrent à l’origine M. Raynouard comme
ur à un ami dont les yeux s’étaient un peu machinalement fixés sur un
vieux
tapis qui était dans l’appartement. Il mourut le
ont fait du grec avec le père et qu’ils ne sont pas tout à fait aussi
vieux
que lui, ils croient que c’est une raison pour êt
culte, et en se conduisant, dès le lendemain de leurs noces, comme de
vieux
maris. Qu’on me pardonne cette seule observation
s dans le pays une bande noire qui achetait les grandes terres et les
vieux
châteaux, qui démolissait les uns et morcelait le
te en vue comme plus à sa portée et à son usage ; il n’aime point les
vieux
châteaux, soit gothiques, soit de Renaissance ; e
urieux n’abandonne jamais. « Toujours le style te démange », a dit le
vieux
Joachim Du Bellay. Avant de se constituer prisonn
, par Montaigne et par d’autres encore ; il a lu particulièrement les
vieux
conteurs. Son style est un combiné de tous ces st
geois, qui est une pièce des plus achevées, il se pose tout à fait en
vieux
soldat laboureur, devenu bûcheron et vigneron, am
ait en vieux soldat laboureur, devenu bûcheron et vigneron, ami de la
vieille
gloire nationale ; et, quand ce jeune curé d’Azay
s aux gens d’en haut, il y avait en France un autre vrai laboureur et
vieux
soldat, que je ne donne pas comme un modèle d’att
de cela qu’on flatte les rois. » On croit entendre l’éclat de voix du
vieux
Quatremère tonnant contre ces fausses et flagorne
. Pour moi, j’aime mieux la superstition que le fanatisme. Toutes nos
vieilles
races de l’Occident et du Nord ont été ou sont en
à notre esprit, nous pouvons rendre au monde de réels services. Notre
vieux
fonds d’honnêteté, du train dont vont les choses,
de recommencer ; je ne me plains que d’une seule chose, c’est d’être
vieux
dix ans trop tôt. Je ne suis pas un homme de lett
que je me disais, ces jours-ci à Perros, en retrouvant toute sorte de
vieilles
petites connaissances, des oiseaux, des fleurs po
illes petites connaissances, des oiseaux, des fleurs poussant sur les
vieux
murs, dont j’avais oublié le nom, et, en particul
près de la place Monceau… Il était sec comme son nom, froid comme un
vieux
mur, jaune, blême, exsangue, une mine d’inquisite
à coup, ainsi que du feu d’un caillou, jaillir de l’indignation de ce
vieux
bourgeois habitué par sa longue vie à ne s’indign
es atténuantes, plus atténuantes, que de déclarer que nous avions une
vieille
bonne qui était depuis vingt ans chez nous. À cet
? — Non. — Alors je… (Mettez ici l’expression la plus énergique de la
vieille
France.) En sortant de la salle du tribunal, nous
que jour la science mange du Dieu… N’a-t-on déjà pas mis la foudre du
vieux
Jupiter en bouteille de Leyde ?… Oui, oui, je cro
e un établi hors de service, sur lequel, les coudes posés à plat, une
vieille
dormichonne, brinqueballant de la tête comme les
un antique banc de chêne scellé à la muraille, et sur l’autre côté un
vieux
comptoir. Sur le banc, dans des poses ratatinées,
’y a pas de prostituées au-dessous de 60 ans, et où ces femmes ont de
vieux
béguins de linge maternels, — on débite de l’amou
e maternels, — on débite de l’amour depuis 50 jusqu’à 10 centimes aux
vieux
pervertis et aux tout petits jeunes gens timides
ique finissaient par me précipiter plus que jamais au pôle opposé. Un
vieux
papier que je retrouve parmi mes notes de voyage
isme. J’avais reçu, avant de naître, le coup de quelque fée. Gode, la
vieille
sorcière, me le disait souvent. Je naquis avant t
Morlaix, n’en présentent qu’une faible partie. Loin d’encourager ces
vieilles
dévotions populaires, le clergé ne fait que les t
bizarres ; il feint de l’ignorer. Où donc est caché le trésor de ces
vieilles
histoires ? Dans la mémoire du peuple. Allez de c
ne (mon grand-père du côté maternel était de Bordeaux), racontait ces
vieilles
histoires avec esprit et finesse, glissant avec a
vent fort transparente. À cela se mêlaient des traits d’un monde plus
vieux
encore, que j’ai retrouvés chez les Lapons. En vi
mbécillité ; mais ce que l’anthropologie traite de stupidité chez les
vieilles
races incomplètes n’est souvent qu’une force extr
antisme de l’âme et de l’imagination, à l’idéal pur. Je sortais de la
vieille
race idéaliste en ce qu’elle avait de plus authen
primitif. On ne comprendra jamais ce qu’il y avait de bonté dans ces
vieux
Celtes, et même de politesse et de douceur de mœu
n et Renaud de Montauban avaient eu la vogue. On connaissait tous ces
vieux
personnages, on savait leur vie par cœur ; chacun
ien. Mon père était plutôt doux et mélancolique. Il me donna le jour,
vieux
, au retour d’un long voyage. Dans les premières l
ordre établi, me sont restés comme une des meilleures images de cette
vieille
société fondée sur Dieu et le roi, deux étais qu’
constance particulière augmentait cette animosité et créait autour du
vieux
solitaire une sorte d’atmosphère de diaboliques t
respect instinctif pour Système, elle me disait toujours : « C’est un
vieux
terroriste. je me figure par moments l’avoir vu e
i de ce qu’il écrase que le char de l’idole de Jugurnath. Toute cette
vieille
société dont je viens d’essayer un crayon a maint
plus. Les chemins de fer et les bateaux à vapeur l’ont rainée. Et les
vieux
bardes, ô ciel ! en quel état je les ai vus rédui
délicats, la Partie de dames, qui n’est aussi qu’une conversion. Deux
vieilles
gens (M. O. Feuillet ne se fait pas faute de nous
et il ne craint pas, tant il y met de soin et de coquetterie, que ces
vieilles
amours nous paraissent sentir le rance), deux vie
terie, que ces vieilles amours nous paraissent sentir le rance), deux
vieilles
gens donc, Mme d’Ermel, femme de soixante-deux an
i en a soixante-dix, jouent tous les soirs une partie de dames que le
vieux
médecin vient faire chez sa voisine à la campagne
ute ; mais cette année il retarde de cinq minutes sur l’an passé : sa
vieille
amie s’en aperçoit et tout bas s’en alarme ; elle
le docteur a tout l’air d’être un peu jaloux : il le laisse voir à sa
vieille
amie dès qu’elle reparaît, et aussi, par haine du
s délicates et fort curieusement observées et démêlées entre ces deux
vieux
cœurs amoureux de Mme d’Ermel et du docteur Jacob
a une mission ; il s’est chargé de décrire un monument historique, un
vieux
cloître ruiné en Normandie, et, pour mieux faire,
in, où, selon la plaisanterie d’Horace159, les Muses avaient dicté de
vieilles
prédictions dont il trouvait le style fort barbar
e. On vit à côté de la vie. » On croirait entendre une réprimande du
vieux
Caton à des oisifs, un de ces axiomes martelés pe
donnée par ses défenseurs et ses alliés. Ainsi, cette rude poésie des
vieux
âges de Rome, quoique imitée en partie de la Grèc
Accius. Nous en avons surtout pour témoin un amateur passionné de ces
vieux
poëtes, Cicéron, qui leur devait bien quelque cho
yriques. Quant à ses successeurs, Horace même, si dédaigneux pour ces
vieux
temps, a cité l’art savant de Pacuvius et l’éléva
ris, ulceris æstus168. Enfin un curieux témoignage à la gloire de ce
vieux
poëte de la république, c’est le brillant abrévia
é de la mémoire et de la vue des spectateurs romains les drames de la
vieille
école. Cela devrait dater déjà de près d’un demi-
evers de la tyrannie ? quels acteurs auraient pu jouer les scènes des
vieux
drames interprétées par la terreur ou la haine pr
onne race gauloise », qu’elles ont servi à distinguer tour à tour nos
vieux
« fableors » anonymes du moyen âge et leurs hérit
, c’est alors d’un plaisir moins franc. Les uns ont choisi dans notre
vieux
fonds populaire les attitudes douloureuses, les e
e aussi ; mais il recherche le ton bonhomme, le ton bonne femme de la
vieille
poésie (et c’est une note personnelle). Cette vie
nne femme de la vieille poésie (et c’est une note personnelle). Cette
vieille
poésie est pour lui pédestre et légère, à cotillo
s de philosophie bourgeoise, accaparé par les chansonniers et par les
vieux
messieurs des académies provinciales de jadis. Gr
enfin pris lui-même tantôt pour un membre du Caveau et tantôt pour un
vieux
monsieur dans le genre du regretté Camille Doucet
inue de porter en soi quelque chose de stable et de traditionnel : la
vieille
France, simplement. Avant de toucher ce vrai fond
ssent. Il y a même ajouté de nouveaux tics. Cela va, parfois, dans le
Vieux
Marcheur, jusqu’à la convention la plus extravaga
ans ce vide, et comment ce nihilisme, d’ordinaire avachi et doux, des
vieux
viveurs peut tourner au farouche et au macabre. V
ays de Loire (vera et mera Gallia), et peut-être d’historien pour les
vieilles
choses jolies et fanées — croyances et meubles, m
passé. Il aime, il peint avec une émotion vraie et un charme rare les
vieux
prêtres, les « bonnes dames », les vieilles demoi
vraie et un charme rare les vieux prêtres, les « bonnes dames », les
vieilles
demoiselles pieuses, les jeunes filles innocentes
e… Sur quoi, je me pose cette question : — Tandis qu’il absolvait son
vieux
marcheur, qui sait s’il n’y avait pas, chez Laved
ète : ce qui fait bien des affaires. Nous avions eu la phrase de « la
vieille
chanson » : nous eûmes, ce jour-là, celle de « la
cherche, travaille, progresse, apprend, ose de plus en plus. Né d’un
vieux
sang républicain et très pur ; muni des meilleure
euple, bonne fille quand elle veut, pas imposante, Marianne a de plus
vieux
meubles, de plus vieux châteaux et de plus vieux
d elle veut, pas imposante, Marianne a de plus vieux meubles, de plus
vieux
châteaux et de plus vieux parchemins que tous les
, Marianne a de plus vieux meubles, de plus vieux châteaux et de plus
vieux
parchemins que tous les rois et tous les empereur
e homme, qu’on me dit être Massenet ; je regarde la tête chevaline du
vieux
Bapst ; je regarde la tête étonnamment simiesque
ce de l’enfant, comme lui parle une histoire bêtement merveilleuse de
vieille
femme, de nourrice. Mercredi 23 janvier Fla
u à une exposition, le matin, et qu’il a l’air de convoiter, comme un
vieux
a envie d’une pucelle. On s’est levé de table. Ma
u xviie siècle, une vraie romance des chansons de La Borde, puis une
vieille
chanson d’amour arabe, finissant par une plainte,
itation. Oui, quoique les jeunes semblent jusqu’ici enracinés dans le
vieux
passé et les vieilles méthodes, j’ai la convictio
ue les jeunes semblent jusqu’ici enracinés dans le vieux passé et les
vieilles
méthodes, j’ai la conviction, que d’ici à peu d’a
entre un cul-de-jatte, une jeune fille marchant avec des crosses, une
vieille
femme aux œillères à verres bleus lui couvrant le
vieille femme aux œillères à verres bleus lui couvrant les tempes. La
vieille
femme a d’abord parlé de son mari malade, disant
de maladrerie de banlieue, où demeurent tous ces estropiés, et où, un
vieux
père Romain vient faire, pour un sou, les lits de
es photographes, et la Taverne anglaise, qui semble le réfectoire des
vieux
romantiques. On me disait que Georges, l’ancien g
oit sur une habitation aux murs de six pieds d’épaisseur. Là, dans ce
vieux
bois geignant par le vent qui s’élève, j’ai la se
être en tiers entre elles deux. Samedi 28 septembre Ce soir, le
vieux
Giraud contait ceci. Encore enfant, au temps des
ent attristé…, cette attention m’a averti que je commençais à être un
vieux
. » Mardi 3 décembre Aujourd’hui, au dîner d
rte bonheur à mon travail ! Lundi 30 décembre Un joli mot d’une
vieille
femme de mes amies, à qui sa bru disait qu’elle a
comme dira un jour Horace, si l’on joue une pièce à femmes, fût-ce la
vieille
Alceste de Thespis, tout est plein, il y a foule.
cheveux noirs ; on discute, on dispute ; les vieillards sont pour les
vieux
; les jeunes sont pour Eschyle. Les jeunes défend
le contre Thespis, comme ils défendront Corneille contre Garnier. Les
vieux
sont indignés. Écoutez bougonner les nestors. Qu’
trop haut, et le tétracorde chante trop bas, et qu’a-t-on fait de la
vieille
division sacrée des tragédies en monodies, stasim
pensée. Au feu toutes ces pièces, et qu’on se contente de réciter les
vieux
paeans de Tynnichus ! Au reste, c’est Chœrilus qu
able. Eschyle devrait être cité en justice et boire la ciguë comme ce
vieux
misérable de Socrate. Vous verrez qu’on se conten
éclatent de rire. Ils critiquent, eux aussi, mais autre chose. Quelle
vieille
brute que ce Solon ! c’est lui qui a institué l’a
s haines. Jeunes, on lui préféra les anciens, Thespis et Phrynichus ;
vieux
, on lui préféra les nouveaux, Sophocle et Euripid
un rêve, les vivants aveugles. » Sa tragédie n’est autre chose que le
vieux
dithyrambe orphique se mettant tout à coup à crie
ait l’opération. Sorte de filtrage, épurant et amoindrissant, d’où la
vieille
doctrine divine tombait goutte à goutte, humaine.
ssable, et il disait à Euripide que, pour comprendre Heraclite et les
vieux
philosophes, « il faudrait être un nageur de Délo
it aux canonisations. C’était lui qui disait : Il n’est chasse que de
vieux
chiens et châsse que de vieux saints ; et quoiqu’
lui qui disait : Il n’est chasse que de vieux chiens et châsse que de
vieux
saints ; et quoiqu’il n’aimât pas les nouveaux ve
t de Corwey, en Allemagne, et les Institutions de Quintilien dans une
vieille
tour de l’abbaye de Saint-Gall. Une tradition, co
c. M. de Sacy, peu de temps après, m’encouragea dans la même voie. Le
vieux
janséniste s’apercevait bien de mes hérésies ; qu
ans, ne me permirent pas de penser à autre chose. Je me disais que le
vieux
manuscrit serait publié après ma mort, qu’alors u
is tout dire, et souvent je le disais mal. La nuance fugitive, que le
vieux
français regardait comme une quantité négligeable
ites de l’humanité, un état de profond abaissement. L’erreur dont ces
vieilles
pages sont imprégnées, c’est un optimisme exagéré
oir qui nous protège contre le mal. On y trouve également enraciné un
vieux
reste de catholicisme, l’idée qu’on reverra des â
. Un gros embarras résultait du parti que j’avais pris d’imprimer mon
vieux
pourana tel qu’il est ; c’étaient les ressemblanc
politiques et sociales, on peut dire que le progrès y est faible. La
vieille
économie politique, dont les prétentions étaient
lvers. Et dans ce garni, d’étranges déclassés de tous les sexes : une
vieille
femme de la société, une absintheuse, se mettant
moi-même, je m’en vais au Musée du Louvre, remiser mon esprit dans du
vieux
passé. Ah ! cette vieille Grèce vert-de-grisée !
u Musée du Louvre, remiser mon esprit dans du vieux passé. Ah ! cette
vieille
Grèce vert-de-grisée ! Ah ! ces miroirs de Corint
Vendredi 13 mars Je lis ce soir, dans un journal, la mort de ce
vieux
camarade de lettres, de Banville. Diable, diable,
is demandé, au moment où je posais le pied sur la dernière marche, un
vieux
landau s’engageait à reculons devant moi, dans l’
e n’y être pas. Mardi 7 avril Oui, elle persiste même chez les
vieux
, l’allégresse intérieure, éprouvée en se couchant
e l’état de délaissement, où était tombée la pauvre Joséphine, en ses
vieux
jours, et me contait que son père, déjeunant avec
de l’imitation, n’emprunte point comme ses innocents devanciers à ses
vieux
concitoyens, mais maintenant détrousse sournoisem
ndi 15 juin J’ai eu aujourd’hui en pleine rue, le compliment qu’un
vieux
, comme moi, peut avoir d’une femme. Je passais en
sur la tête, comme il en vient aux serpents empaillés au plafond des
vieux
musées de province. Et l’on jette dans la cage de
ct ancien. Un logis tout plein d’un méli-mélo d’objets disparates, de
vieux
portraits de famille, de meubles Empire, de kakem
esquiou en parle avec le tact et la grâce d’un descendant d’une vraie
vieille
famille, rappelant les bandeaux de cheveux bravem
bre remplie de fleurs : une vraie chapelle ayant pour desservants, un
vieux
ménage soigné dans sa vieillesse, comme la comtes
n’en a jamais vu. Des rapports s’établissent entre la comtesse et le
vieux
ménage. La vieille femme meurt. La comtesse écrit
. Des rapports s’établissent entre la comtesse et le vieux ménage. La
vieille
femme meurt. La comtesse écrit une lettre de cond
la nuit à se promener, sa lettre à la main. Des années se passent. Le
vieux
bonhomme meurt ces temps-ci. Et la comtesse appre
à la couleur de l’eau de mer, donne à ce Parisien la physionomie d’un
vieux
loup de mer. On s’est assis sur la petite terrass
ienne, Ni rien ne sais… Puis la mélancolique pièce de Ronsard sur la
vieille
maîtresse : Quand vous serez bien vieille, au so
ue pièce de Ronsard sur la vieille maîtresse : Quand vous serez bien
vieille
, au soir, à la chandelle… Assise au coin du feu,
du rez-de-chaussée du Louvre, en face de moi, à ces catacombes de la
vieille
Égypte pharaonique. Et me voilà devant le colossa
s modernes de la vie vivante traversaient légèrement mon rêve dans le
vieux
passé, sans interrompre mon ensommeillement. S
sommeillement. Samedi 15 août Aujourd’hui, chez les Zeller, le
vieux
docteur Blanche parlait curieusement du culte de
e du cœur, très avancée, et autour du lit, où elle était couchée, une
vieille
folle, qui était sa mère, dansait. La misérable c
ntait, que Morny ne voulait jamais recevoir, un malheureux, une femme
vieille
ou laide, faisant tout, dans sa fuite de la réali
de Daudet, quand il faisait jouer L’Idole, pièce se passant entre des
vieux
: « C’est bien triste ! » Rosny disait aujourd’hu
ucien Bonaparte. Lucien Bonaparte avait quelque chose de romain de la
vieille
république dans le caractère et dans l’attitude.
us le Consulat, Lucien conservait contre la monarchie je ne sais quel
vieux
levain de républicain déchu qui le faisait chef d
ront à notre peine, Et, l’orage enfin dissipé, Ils reviendront sur le
vieux
chêne Que tant de fois il a frappé. Pour prédire
c’est comme la foudre, Qui se relève et gronde au haut des airs… Le
Vieux
Drapeau tricolore est la complainte héroïque du s
éditieux, c’est une invective sanglante, disons-le, injuste contre le
vieux
roi libéral, Louis XVIII, à qui sa vieillesse et
es sont imputées à crime. Ce sont des villageois qui parlent : Notre
vieux
roi, caché dans ces tourelles, Louis, dont no
e est là comme le phare immense D’un nouveau monde et d’un monde trop
vieux
. Pauvre soldat, je reverrai la France ! La main d
peuples et les rois. La Paix, qui fuit, m’abandonne tes guides ; La
vieille
Europe a perdu ses remparts. Viens de trésors co
ursier fidèle ! Et foule aux pieds les peuples et les rois. Dans le
vieux
Sergent, le républicain et le bonapartiste se con
’autre histoire. Là viendront les villageois Dire alors à quelque
vieille
: Par des récits d’autrefois, Mère, abrégez n
en est trop pour si petit théâtre ; Finissons-en : le monde est assez
vieux
, Le monde est assez vieux. Les jeunes
Finissons-en : le monde est assez vieux, Le monde est assez
vieux
. Les jeunes gens me disent : Tout chemine : À pe
ns, amis, j’ai cru le voir éclore ; Finissons-en : le monde est assez
vieux
, Le monde est assez vieux. Dans la tou
Finissons-en : le monde est assez vieux, Le monde est assez
vieux
. Dans la touchante ballade de Jeanne la Rousse,
ez sur Jeanne la Rousse ! On a surpris le braconnier. XXIV Le
Vieux
Vagabond va plus loin encore ; il y a des grincem
démagogue ; je suis peuple et je ne suis point bourgeoisie ; je suis
vieux
et je n’ai plus la main assez ferme pour résister
i-même je ne pus le vaincre. — « Vous êtes de ceux qui ne sont jamais
vieux
, lui dis-je, parce qu’ils vivent après leur mort
ue leur temps à eux est la postérité ; mais, d’ailleurs, fussiez-vous
vieux
et n’eussiez-vous plus de sang dans les veines, d
ssert, d’une voix chevrotante, la chanson du Dieu des bonnes gens, du
Vieux
Sergent, de la Bonne Vieille, tandis que la table
te, la chanson du Dieu des bonnes gens, du Vieux Sergent, de la Bonne
Vieille
, tandis que la table tout entière répétait en chœ
ire pour le pieux devoir, l’enveloppait dans une page déchirée de ses
vieilles
éditions pour la glisser dans les doigts du pauvr
; elle entrait en rougissant et demandait à parler en particulier au
vieux
poète. Il l’emmenait dans une embrasure de croisé
s les larmes de la belle enfant mouillaient déjà ses mains. Puis deux
vieux
concierges infirmes, l’un soutenant l’autre, sonn
hez la princesse avec les deux fils du prince Napoléon, Benedetti, le
vieux
Giraud, les deux Popelin, Anastasi, la baronne de
r ses amis et les amis de Zola. Il y a là des gens de toute sorte, le
vieux
Janvier, l’oculiste Magne, la phalange de Médan.
it point de chemise. Je causais de cette toilette, ce soir, quand une
vieille
femme s’est mise à dire : « Que l’hydrothérapie a
leur peau ou de leurs formes. Il y a du vrai dans ce que disait cette
vieille
femme. * * * — Un banquier, un banquier supérieur
es programmes des professeurs d’esthétique de l’Institut, toute cette
vieille
foi artistique, plus entêtée, plus dépourvue de c
, singulier, bizarre. Samedi 7 juin Je suis à l’enterrement du
vieux
Maherault, l’avant-dernier collectionneur sincère
nc : c’est une vision qui a un rien de fantastique. * * * — Un mot du
vieux
Giraud, sur une femme galante de la société, ayan
uquel il apportait une consommation sur son siège : « Maintenant, mon
vieux
, tout est permis, tu peux faire tout ce qui te fa
s détaillées… Puis mon grand roman sur l’Empire… Mais avant tout, mon
vieux
, j’ai besoin de me débarrasser d’une chose qui m’
s une maison, qu’habitait un descendant de Louis XV, possesseur d’une
vieille
Encyclopédie. Bracquemond cherchait là dedans le
t sous les pieds de leurs martyres, et puis qui, tirant un orgue d’un
vieux
bahut, servait aux gens appréciant sa cuisine, de
a de brins de mousse sur les lattes de pierre brute qui tapissent les
vieux
toits. Mon père, ma mère, mes sœurs ont laissé pl
herchée ; cela sent la grande décadence, les magnifiques débris d’une
vieille
langue. Ni Cicéron ni Bossuet n’auraient trouvé c
les écueils de la Bretagne, au milieu des forêts et des lacs, dans un
vieux
château, demeure d’une vieille race. Son père éta
u milieu des forêts et des lacs, dans un vieux château, demeure d’une
vieille
race. Son père était sévère comme le temps ; sa m
c’était la plus haute adulation qu’il pût adresser au restaurateur du
vieux
monde, qui pétrissait dans ses mains un monde nou
au futur souverain de l’empire. Chateaubriand, que je n’ai connu que
vieux
, était alors dans le modeste éclat de sa jeunesse
Bernardin de Saint-Pierre ! Chactas commence son récit : Il est bien
vieux
, il a soixante-treize ans : « À la prochaine lun
e même ne peut ravir aux Sachems cette simplicité joyeuse : comme les
vieux
oiseaux de nos bois, ils mêlent encore leurs viei
oyeuse : comme les vieux oiseaux de nos bois, ils mêlent encore leurs
vieilles
chansons aux airs nouveaux de leur jeune postérit
es fleurs, est portée dans la grotte qui va lui servir de tombeau. Le
vieux
prêtre, le père Aubry, marche comme un vieillard
arathon, Eschyle avait déjà lutté sur la scène ; il y avait vaincu le
vieux
Pratinas. Entre les deux guerres et jusqu’à sa mo
vulsions », — Une autre fois, Eschyle eut un théâtre tué sous lui. Le
vieux
cirque de bois qui servait encore de scène à Athè
ces mélodies » : Hiéron combla Eschyle de dons et d’honneurs, mais le
vieux
poète n’habita pas son palais, trouvant sans dout
amine, la franchit d’un bond. Toute rudesse primitive tombe comme une
vieille
écorce de cette nouvelle souche ; ses mœurs, ses
religion plus profonde et plus mystérieuse que celle de son temps. Le
vieux
poète allait évidemment la puiser à des sources c
rmi ses contemporains, il paraît avoir retenu le sens naturaliste des
vieux
mythes : l’Aryen reparaît en lui sous l’Hellène.
gé dans sa splendide armure, sur l’enclume de l’épopée, n’était qu’un
vieux
glaive rongé par la rouille, auquel on donnait à
A peine venue au monde de l’histoire, elle transforma et rajeunit les
vieux
dieux ; elle les refit à son image et les doua de
culte des Cabires et des Curètes, des Dactyles et des Telchines, ces
vieux
Génies métallurgiques, mineurs et forgerons soute
temple abattu. — Il y a des espaces laissés en blanc, aux angles des
vieilles
mappemondes du quinzième siècle, qui portent cett
eu de son talent, renferme Le Dieu des bonnes gens, Mon âme, La Bonne
Vieille
, où l’inspiration sensible donne le ton ; Le Vieu
on âme, La Bonne Vieille, où l’inspiration sensible donne le ton ; Le
Vieux
Sergent, Le Vieux Drapeau, La Sainte-Alliance des
ieille, où l’inspiration sensible donne le ton ; Le Vieux Sergent, Le
Vieux
Drapeau, La Sainte-Alliance des peuples, etc., où
nt déjà une légère teinte de socialisme, comme Les Contrebandiers, Le
Vieux
Vagabond. Voilà bien des genres, et il semble que
désordre de l’égarement ni à la flamme. Je passe les atours, reste de
vieux
style : …… Pourquoi ces atours Entre tes baise
et les coutures. Les coutures, en effet, et en voulez-vous ? Dans Le
Vieux
Célibataire, par exemple, qu’est-ce que ces vers
plus difficilement un vers moins facile. Ce qu’il y a de joli dans Le
Vieux
Célibataire, et de tout à fait engageant, c’est l
plupart des pièces, et je ne fais qu’indiquer la voie. Dans La Bonne
Vieille
, le troisième couplet est d’un geste bien déclama
en d’un trait malin, il aurait fallu répondre : Toujours. Cette Bonne
Vieille
rappelle, sans du tout l’effacer, certain sonnet
hants très élevés du recueil de 1833, tels que Les Contrebandiers, Le
Vieux
Vagabond, Jacques, Jeanne la Rousse, ont une fort
vec une intensité prodigieuse et persuasive. Toute la démonologie des
vieux
contes germaniques a peuplé d’ombres ses poèmes.
e sait nous faire voir et tâter des mains des ombres de divinités, si
vieilles
que tous leurs adorateurs sont morts, des allégor
ayant le relief, les ombres profondes et la lumière blondissante des
vieilles
eaux-fortes : Il pleut, il vente et il neige. As
s du rossignol. Ailleurs, dans une promenade aux environs de quelque
vieille
ville allemande, il décrit longuement tout le pay
poussière qui s’irise ; J’entends son vague bruissement. Devant une
vieille
tour, un soldat fait l’exercice : Il manie son f
Maria la morte », dont il croit entendre la « voix soyeuse » dans un
vieux
palais de Vérone, dont il retrouve le vague visag
x lèvres silencieuses et pâles… — Et quel regard singulier me jeta la
vieille
femme chargée de garder le cadavre, quand elle m’
lle, les galants baisemains d’autrefois ; il a transposé en mineur de
vieux
motifs badins ; il en a fait des nocturnes, des v
ou perverses, aimantes ou aimées. De la tragédie qu’elles jouent, la
vieille
tragédie de l’amour, nous ne connaissons ni le hé
amour éclos dans « le beau mois de mai », une fille froide comme une
vieille
rouée, vide d’âme comme une morte, des ironies ci
ncore, quand ils étaient dignes d’être aimés, par le souvenir, par la
vieille
affection du pays et par la déférence volontaire,
t du château avec les chaumières ; les nombreux serviteurs, jeunes ou
vieux
, attachés héréditairement à la famille par honneu
que le battage des gerbes sur l’aire. La table était gouvernée par le
vieux
Joseph, semblable à Patrocle dépeçant les viandes
s en temps par quelques remarques profondes, fines ou malicieuses, du
vieux
berger, aussi sage que Nestor, ou par quelques ri
a couleur de la couverture en bois noir, nous pensions que c’était un
vieux
bréviaire de notre oncle ou un missel de sacristi
ier et qui la jette en nuage poudreux aux poules ; si je le lisais au
vieux
Jacques, le berger qui trait ses chèvres descendu
ambres des étrangers ? le domestique qui va déterrer le flacon de vin
vieux
, dans le sable du caveau, et qui le verse dans le
Le lendemain, à la même heure et au même lieu, notre mère rouvrit le
vieux
livre. Notre attention devançait le mouvement de
uses jarres. Là étaient rangés contre la muraille des tonneaux de vin
vieux
et délectable, contenant une boisson pure et divi
age par terre que Nestor conseille à son hôte. « “Mes enfants, dit le
vieux
roi, hâtez-vous d’amener pour Télémaque les cheva
’elle sanglotent toutes ses servantes, les plus jeunes comme les plus
vieilles
! « Ne fut-ce pas exactement ainsi, mes enfants,
ai-je pas sur le seuil de la porte, entourée des servantes, jeunes et
vieilles
, qui pleuraient comme moi, autour de moi ? Ne dir
e statues de bronze, de vases d’or ciselés ? Les arts sont donc aussi
vieux
que le monde ! Et les jardins ! ajoutions-nous. C
rétendants. — « Peindriez-vous autrement aujourd’hui, mes enfants, le
vieux
bûcheron du village de Clemencey, qui vient tous
ière. » — « Que vous semble de la fidélité de cette description d’un
vieux
mendiant ? nous demanda notre mère ; vous frappe-
’Ulysse, et qui, sans l’assistance ni de sa maîtresse Pénélope, ni du
vieux
Laërte, père d’Ulysse, lui fit une enceinte de gr
s et d’épines. » — « C’est ce que vous voyez faire tous les jours au
vieux
Jacques quand il veut parquer ses moutons sur les
nduit à la ville son roi, qui s’appuyait sur un bâton comme un pauvre
vieux
mendiant, ses membres couverts de livides haillon
ption de son petit domaine champêtre les vergers de votre grand-père,
vieux
et féconds en fruits comme l’âge avancé. » Elle l
nt le pauvre et la fille légère, trinquant avec le curé joufflu et le
vieux
sergent, présidant aux danses de la guinguette, d
e l’humanité en beau. Je suis celui qui console encore ; car tous mes
vieux
amis sont bien découragés : seul, j’entrevois un
ns, un bel âge assurément : « J’ai à dîner, ce triste jour, quelques
vieux
amis, les seuls qui vous pardonnent de vieillir,
sur son rassasiement des hommes ; il sentait le besoin du monde, des
vieux
amis ou même des jeunes visages nouveaux, et il s
vous méritez un pareil sort : tous vos amis s’en féliciteront, et les
vieux
garçons comme moi, en voyant votre bonheur, regre
est un mélange de sages conseils et d’admiration sincère, un reste de
vieux
respect, égayé de beaucoup de sans-gêne et joint
ire, celui qui, dans son fauteuil, reprenait pour la centième fois de
vieux
écrits et se mettait à penser tout haut en referm
oit lui savoir gré de la manière dont il remet au pas une de ses plus
vieilles
connaissances, un classique maussade et saugrenu,
aire un amusement de la poésie pourtant. C’est un joujou qui sied aux
vieux
enfants, mais que le public brise dans leurs main
incipale correspondance et tout ce qui la fait mieux connaître. Cette
vieille
aveugle s’éprit à l’instant de l’esprit vif, hard
r. Chaque femme, ici, en a un ou deux qui ne bougent de chez elle… Le
vieux
président Hénault est la pagode de chez Mme Du De
Le vieux président Hénault est la pagode de chez Mme Du Deffand, une
vieille
aveugle, une débauchée d’esprit, chez qui j’ai so
ueur d’alors, d’encourir un ridicule par cette passion affichée de la
vieille
aveugle : et quant à Mme Du Deffand, nous la juge
lpole, malgré ses rigueurs plus apparentes que réelles, appréciait sa
vieille
amie à tout son prix et l’admirait extrêmement. I
a été un moment maîtresse du Régent ; elle est maintenant tout à fait
vieille
et aveugle ; mais elle a gardé toute sa vivacité,
ainte de Walpole revient sans cesse ; il modère le plus qu’il peut sa
vieille
amie ; il la raille d’être romanesque, sentimenta
es qu’elle. Il ne rougit point, je vous assure, de parler de sa chère
vieille
amie. À chaque voyage, il la trouve comme rajeuni
qui j’aime à vivre, je me coucherai à minuit s’il le faut. » Comme le
vieux
Venceslas, elle ne voulait s’endormir que le plus
lerait commode… » Gœthe disait cela en 1831203, au moment même où les
vieilles
lois du vers français n’allongeaient leurs bras q
e, une vie individuelle. Ce vers, en son mode type, l’alexandrin, est
vieux
comme le monde français et comme le monde latin e
sentiellement » l’alexandrin, il s’agit de briser une tradition aussi
vieille
que la civilisation occidentale204, et nous voilà
assonances qui, par leur nouveauté, sonnent parfois plus haut que les
vieilles
rimes usées au duo imprévu. C’est un retour très
te de cet art antique et « intégral », un soir, dans une rue calme du
vieux
Paris. Des petites filles tournent enchaînées par
oute aurore est dans ta chair. | (La Clarté de Vie.) Ainsi Douze, le
vieux
nombre traditionnel et donc sacré s’impose à ceux
lui de neuf syllabes, çà et là ; de même chez Verlaine : 9. Telle la
vieille
mer sous le jeune soleil. 10. Sagesse d’un Louis
tes vagues son front couronné d’algues. Qu’elle devient discrète, la
vieille
rime tyrannique qui faisait sonner son bâton sur
elques mots en ot, auxquels ne correspondent nulles finales en oe (le
vieux
français en avait beaucoup), en oc, os, en at, ac
œurs, la comédie qui avait fait la joie antique. L’arrêt qui brisa le
vieux
théâtre en faveur du théâtre nouveau est à coup s
oin de s’enfuir en emportant ses marionnettes, comme Énée emporta son
vieux
père, Godard fit un appel énergique à tous les ga
eux père, Godard fit un appel énergique à tous les galants, jeunes ou
vieux
, qui avaient mis à profit l’ombre discrète de sa
natiques avec la race aimable disparue, ou peu s’en faut, de quelques
vieux
spectateurs, grands écouteurs aux portes du théât
voir passer ces broderies et ces sourires ; demander le nom de cette
vieille
toute courbée, et savoir, horreur ! que c’est la
le qui se pût faire : autant valait ramasser dans la rue infecte, les
vieux
pots de fard où rien ne reste du vermillon détein
, les caprices ; les intrigues, les orages, les succès, les chutes du
vieux
théâtre, avaient un charme sans égal, pour l’amat
voix était rude et fausse ; Saint-Phal était charmant à voir dans Le
Vieux
Célibataire. Il se rappelle Damas, intelligent et
; à celui-là rien ne coûtait ; il était tout à fait le Pasquin de la
vieille
comédie. — Il était plein de verve, de mouvement
bien vêtu, disant bien la comédie, et c’était tout. Il est mort très
vieux
; il est mort deux fois : c’est-à-dire que le bru
ec quatre chandelles, un morceau de tapisserie, un brin de farine, un
vieux
paravent et un peu d’esprit comptant, on produisa
n disparaît de l’affiche des vivants. Dites-moi ce que deviennent les
vieux
comédiens, et je vous dirai ce que deviennent les
eviennent les vieux comédiens, et je vous dirai ce que deviennent les
vieilles
lunes. Ils passent sur la terre en déclamant, pui
, à ses transes, à ses délires ? où est le comédien, qui tôt ou tard,
vieux
, malade, infirme, délaissé, abandonné, privé de s
beaux vers, son cœur plein de nobles passions ; elle rajeunissait le
vieux
velours à force de beauté, elle rendait son éclat
nissait le vieux velours à force de beauté, elle rendait son éclat au
vieux
satin à force de jeunesse. Qu’importe que le vase
ne à pomme d’or, et elle va frapper à toutes les portes, la charmante
vieille
, et aux jeunes qu’elle rencontre, elle sourit en
s d’Homère. Allons, allons, laissez-vous attendrir, parce que je suis
vieille
et rieuse, parce que je suis pauvre et seule. Une
va dire à Lacédémone que nous avons vécu ! Heureuse encore, la pauvre
vieille
qui peut sonner ainsi le glas funèbre de la repré
comédiennes dans la soie et dans l’or qui donnent à peine à la bonne
vieille
un regard de pitié. — Luxe menteur ! vice impitoy
ment indigne ! Ainsi ils déchiraient ces beaux vers, comme autant de
vieux
linge ; ainsi ils se disaient des gueulées en réc
éon ; sur sa tête se sont accumulés, à plaisir, les honneurs des plus
vieilles
royautés et la toute-puissance de la royauté la p
ement, en ce temps-là, une espèce à part. Le théâtre, comme disait la
vieille
Cottitis, est favorable surtout aux femmes. « Le
r montrait son pourpoint doublé d’affiches et sa garde-robe comique :
vieilles
plumes, vieux haut-de-chausses, bas de soie tout
urpoint doublé d’affiches et sa garde-robe comique : vieilles plumes,
vieux
haut-de-chausses, bas de soie tout pleins de trou
poux. Ce duc d’Ascalio est horrible ; on dirait Robert Macaire devenu
vieux
et duc. On n’a jamais vu un plus grand misérable
omédiens ordinaires de cette imagination puissante ! Voilà comment ce
vieux
comédien a échappé à ce théâtre dont il était le
ne femme, giovane femmina, en peut-elle savoir plus long que les plus
vieux
médecins ? — Monseigneur ! répond Gillette, songe
mémoire lui fournisse. — Lady Capulet, c’est le nom de la dame. Toute
vieille
et toute pauvre que peut être cette dame, elle es
re, le docteur Blanche a vu venir à lui, à demi fous d’épouvante, les
vieux
poètes de l’Empire épouvantés des premiers bruits
maison du docteur Blanche ; elle se promenait, l’été passé, sous ces
vieux
arbres qui ont abrité de leur ombre séculaire, So
us haïr, cette mère de famille livrée à des jouets d’enfant, ou cette
vieille
fille qui se jette dans l’amour idéal, faute d’un
e Boccace, aux folies de la reine de Navarre, aux récits amoureux des
vieux
fabliaux ! quelle plus gaie et plus vraie science
de tous dans le genre des représentations fidèles et scrupuleuses des
vieux
temps, Tony Johannot qui vient de mourir, laissan
it laissée ! À coup sûr c’est la comédie la plus latine de Plaute, ce
vieux
latin qui représenterait, au besoin, toute la lan
nt lui. Certes, nous sommes de grands inventeurs ; nous ravaudons les
vieilles
comédies, nous rapetassons les anciennes tragédie
etassons les anciennes tragédies, nous mettons des manches neuves aux
vieilles
chlamydes, nous réparons la bande de pourpre des
neuves aux vieilles chlamydes, nous réparons la bande de pourpre des
vieux
manteaux ; chez le savetier du coin on n’est occu
cothurnes, à ressemeler des brodequins ; — nous sommes des poètes en
vieux
, calembour à part. Sentez-vous cette vieille odeu
nous sommes des poètes en vieux, calembour à part. Sentez-vous cette
vieille
odeur de laine et de cuir ? c’est la tragédie qui
sse ! Sentez-vous le safran qui vous monte à la tête ? voyez-vous ces
vieilles
couronnes de lauriers de Pæstum, ces écharpes et
m, ces écharpes et ces roses de Malte, rosas Melithenses ? — c’est la
vieille
comédie qui passe ! Vous la reconnaîtrez aux fran
archant ainsi sur les brisées de Diderot et de La Chaussée : enfin ce
vieux
bonhomme d’un vrai génie n’a pas dédaigné la vrai
e ses lois et sa façon de se vêtir. Tu es Romain, reste Romain, et le
vieux
Caton, quand tu sortiras d’une maison décriée, te
rebelle. — Lydia, dormis ? Nous, cependant, nous, les Parisiens du
vieux
Paris, les petits-maîtres de la ville et de la co
vait traduire honnêtement, — ad munditiem ; nous avons emprunté aux
vieux
comiques tout l’esprit qui se pouvait assaisonner
et Névius avaient fait leur profit de cette fable qui était déjà une
vieille
fable. Bien plus, les divers personnages de cette
saveur d’une langue bien faite ; le peuple y retrouvait avec joie ses
vieux
mots, précieusement enchâssés dans les formes nou
étrange, débris respectables, parfum d’un autre siècle, souvenir des
vieux
âges, précieux matériaux que la tourbe des traduc
Nuées, et qu’il est mort plein de gloire, plein d’honneur, estimé des
vieux
soldats qui l’avaient vu combattre et ramener l’a
ixième sens par excellence. Grand danger de traduire les comédies des
vieux
peuples ; on ne traduit pas l’esprit et la gaîté
t étranger, il a étudié avec un grand soin, avec un rare esprit notre
vieux
théâtre. Entre autres grands maîtres, notre auteu
s et d’amours en amours jusqu’au jour où sa maison fut déserte, où la
vieille
Arsinoé elle-même la fit consigner à sa porte. On
n temps aussi qu’on nous en donne de nouvelles ; les nôtres sont bien
vieilles
et bien usées ; elles ont posé la première pierre
i se meurt est si heureux de se rattacher à une poésie naissante ! La
vieille
Ninon, à quatre-vingts ans, ne fut pas plus fière
ait attendre M. Baron ! Il se moque des comédiennes, quand elles sont
vieilles
et laides ; il dit comme cela que le premier devo
ide et piquante, qui ne pense qu’à s’enrichir aux dépens de la pauvre
vieille
imbécile de créature dont elle exploite le dernie
abitués à la retenue de Molière, qui avez toujours rencontré, dans la
vieille
comédie, les plus honnêtes sentiments cachés sous
se devinée. On était si las enfin de la grandeur et de la sévérité du
vieux
roi ! L’atmosphère était si fort chargée des mias
ertu. Elle achète et elle vend ; c’est là son métier. Elle achète les
vieilles
dépouilles et les jeunes défroques ; son commerce
t au voile de dentelle. Elle habille et elle déshabille à son gré les
vieilles
femmes et les jeunes femmes, laissant celles-ci t
froid était balayé avec soin ; sur cette table en sapin reposaient de
vieux
bons livres, les derniers amis du pauvre ; ceux-l
temps et les révolutions ne les aient précipitées dans le même néant…
vieilles
gravures des modes d’autrefois. Les vieilles comé
tées dans le même néant… vieilles gravures des modes d’autrefois. Les
vieilles
comédies ne disparaissent pas entièrement ! Le te
ore un singulier mot, dont vous ne trouveriez le synonyme que dans le
vieux
français de la reine de Navarre. Et enfin, si vou
sont teints, aussi bien que ses sourcils et sa moustache. Il est plus
vieux
que. Saturne ; cependant, comme au temps de sa na
ambre, son messager naturel. Araminte est une femme comme Lucinde, ni
vieille
et ni jeune, ni belle, et ni laide, ni bourgeoise
que la comédie est l’école des mœurs ! — Qu’il n’y a de moral que le
vieux
répertoire, et plaignez-vous en vile prose, des h
ucinde de la terre, où est le mal ? Est-ce que je m’intéresse à cette
vieille
folle, pas plus qu’à Cidalise, pas plus qu’à Aram
ls se mettaient de moitié dans l’œuvre commune, celui-ci apportant sa
vieille
expérience des choses du théâtre, celui-là ses an
ôté, madame Patin, marchande notre chevalier ; mais, d’autre part, la
vieille
baronne en est déjà venue à donner des arrhes ; m
omme, lui promet les mille pistoles pour le même soir ; ainsi fait la
vieille
baronne. Voilà notre chevalier bien content ; mal
et d’elle-même, et cette parodie-là c’est le dandy ! Il paraît que la
vieille
Comédie-Française représentait à merveille L’Homm
(déjà !) de fumée et de bruit qui tiennent la plume en disant : « ces
vieux
critiques sont bien lents à mourir ». « Neque co
it par son père dans une bibliothèque de province : il y avait de ces
vieux
auteurs français ; il les lut. Il commença par Ch
x choses, d’une part louer M. Livet de son zèle à faire connaître les
vieux
poètesn, l’encourager à poursuivre ces travaux d’
est restée longtemps la peinture expressive et fidèle de quantité de
vieux
châteaux perdus dans les forêts druidiques, et pr
de Lassay vers 1695, dans un château, au milieu des bois, qui est si
vieux
qu’on dit dans le pays que ce sont les fées qui l
on ode, avait autrefois sa place assurée dans la bibliothèque de tout
vieux
château. Si nous nous demandons aujourd’hui, en l
rrait le sujet de la ballade : Que j’aime à voir la décadence De ces
vieux
châteaux ruinés, Contre qui les ans mutinés Ont d
ndant ç’a été un défaut de beaucoup d’auteurs : Buchanan a décrit une
vieille
avec toutes les figures de sa rhétorique ; Saint-
une visite polie et de galant homme n. [1re éd.] faire connaître nos
vieux
poètes o. [1re éd.] dans lesquelles Boileau n'es
ment sur soi et un suprême effort de quelques fidèles pour sauver les
vieilles
mœurs ou du moins les vieilles chansons, pour les
rt de quelques fidèles pour sauver les vieilles mœurs ou du moins les
vieilles
chansons, pour les préserver et les clôturer, s’i
binaisons et par ses récitations chaleureuses, remettre en honneur le
vieux
patois, nécessairement altéré, et faire accroire
ompte à M. Luzel de ses nobles sentiments de résistance, de sa foi au
vieux
culte, aux mœurs nationales. Il déteste peut-être
le temps Passât vite sur son printemps ; Oui, je voudrais qu’elle fût
vieille
! Non pas pour être alors vainqueur De l’amour qu
toujours jeune et belle ; Mais pour que son doux entretien Me gardât
vieux
longtemps près d’elle, Et sans que le monde en dî
timent dans un sonnet, l’un des meilleurs de sa façon : UNE GLACE DU
VIEUX
TEMPS. Glace de l’ancien temps, dans ton vieux ca
façon : UNE GLACE DU VIEUX TEMPS. Glace de l’ancien temps, dans ton
vieux
cadre à fleurs Couronné de ramiers, au frémisseme
mandait non seulement en qualité de colon, mais aussi d’Anglais de la
vieille
Angleterre, ardent à travailler à la future grand
soit bien sa patrie intellectuelle. Il a écrit quelque chose sur les
vieilles
mélodies écossaises, et sur l’impression délicieu
omme l’eût fait plus tard un Dugald Stewart, d’expliquer pourquoi ces
vieilles
mélodies sont si agréables. Ses remarques, à ce s
ur aller dans un pays et chez un peuple que j’aime. Je vais partir du
vieux
monde pour le nouveau, et je me figure que je sen
ive (1789) : « Nous nous sommes mis en garde contre un mal auquel les
vieux
États sont très sujets, l’excès de pouvoir dans l
enant cet amour-propre ? » — « À porter et à user jusqu’au bout leurs
vieux
habits, jusqu’à ce qu’ils sachent eux-mêmes s’en
n faire de neufs. » Franklin parlant ainsi devant le Parlement de la
vieille
Angleterre, était un peu comme le Paysan du Danub
, comme il rappelait, est brisé ; il en fait son deuil. L’homme de la
vieille
Angleterre en lui n’existe plus. Les hostilités s
quatre-vingts lettres retrouvées et publiées il se dégage une tête de
vieille
femme qui n’est pas celle de la marquise de Créqu
de l’ancien monde qui ne s’étaient pas enversaillées, comme disait le
vieux
marquis de Mirabeau, — elle a les haines et les m
courte-paille, d’après l’argument de Pascal, il s’éteignit pauvre et
vieux
dans ses coiffes (car il en portait) chez les frè
léchissent d’autant mieux qu’elle ne s’y est jamais mirée, elle était
vieille
, et l’on croit qu’elle l’a toujours été. On ne pe
et l’on croit qu’elle l’a toujours été. On ne peut se l’imaginer que
vieille
, dit Sainte-Beuve, prenant trop pour un effet de
ne dentelle d’aujourd’hui, qui ficelle ce petit et précieux paquet de
vieilles
dentelles rousses, cette Introduction est terminé
et occulta, La Soif de l’infini, Pâquerette, et enfin L’Arbre devenu
vieux
, qui me paraît sans comparaison la plus belle piè
onner ». Eh bien, c’est après avoir lu cette pièce de L’Arbre devenu
vieux
et celle de la Soif de l’infini, qu’on se demande
es de ces pièces la longueur, la puissance du souffle… L’Arbre devenu
vieux
n’a pas moins de cent dix-neuf strophes… Or, ces
er la précision, nette et presque coupante, du détail. L’Arbre devenu
vieux
, le chef-d’œuvre du volume, réunit ces deux quali
comme un hêtre ou comme un centaure ?… De Gères, dans L’Arbre devenu
vieux
, n’a pas l’étrange originalité de Guérin, qui nou
s : Autour d’un ormeau foudroyé Grimpait vivace un tendre lierre, Le
vieux
tronc s’effondrait, noyé Dans la guirlande famili
s exclusivement français et gaulois, plus littéraire, en abordant nos
vieux
romans suivant l’aspect plus familier à nos érudi
critique soigneuse et délicate, de faire des travaux précieux sur les
vieux
monuments de notre langue. C’est ce genre de méri
à montrer son sang, bien qu’il fasse nuit, et à accuser Berte, que la
vieille
Margiste vient saisir aussitôt comme sa fille, et
uivrons cette continuation avec l’intérêt qu’inspirent ces récits des
vieux
trouvères qui firent les délices de nos aïeux.
ables barbares (j’en nommerai quarante) d’avoir été taillés comme des
vieux
arbres trop chargés de bois mort ! Souvent il suf
ilactère, qui garde un air un peu gauche, surtout si on le compare au
vieux
filatire 57 que le pèlerin Richard avait au XIIe
bouleversement entrepris par certains réformateurs que l’ignorance du
vieux
français rend tout à fait impropres à concilier l
ceux qui ont guidé jadis l’Académie espagnole quand elle simplifia la
vieille
orthographe ; j’ai donné les motifs à la fois de
ouvenirs sur Mme Récamier, nous esquisse une figure de son salon : le
vieux
Forbin-Janson. On le rencontrait dans l’escalier
bert me contait, un de ces soirs, que son grand-père maternel, un bon
vieux
médecin, ayant pleuré dans une auberge, en lisant
et les a menés, le soir, dans sa loge à l’Opéra. Une vraie partie de
vieux
de Paul de Kock. Et Sainte-Beuve se met à parler
ment costumé et jouant le Pied qui remue, mené par Artus, travesti en
vieux
gendarme. Le bal ressemble un peu à ces tableaux
unesse, parlant religieusement de son père, un douanier de la mer, un
vieux
gabelou bronzé, qui, pendant une semaine passée à
t. Il a une parole amène tombant d’une bouche aux dents longues d’une
vieille
Anglaise. C’est Taine, l’incarnation en chair et
… Puis nous allons en corps, à la reprise de Don Juan de Marana, une
vieille
pièce de Dumas père, encore plus vieillie que vie
de Marana, une vieille pièce de Dumas père, encore plus vieillie que
vieille
. Dans un corridor, Saint-Victor tombe sur Crémieu
es, se nouant et se dénouant dans un rayon de lune. Quand on brûle de
vieilles
lettres d’amour, il s’élève dans la flamme des so
e l’esprit pas d’une plus haute volée que celui qu’avaient toutes les
vieilles
femmes spirituelles du temps… Son théâtre, ose-t-
oire : c’est le mensonge et la convention pompeuse et bête de la plus
vieille
et solennelle histoire… Sa science, ses hypothèse
uve, quand on ne sait plus ce qu’on dit ! * * * — Un bien beau mot du
vieux
Rothschild, prononcé l’autre jour chez Walewski.
e Sand, elle ne restera pas plus que Mme de Genlis. — C’est déjà bien
vieux
, Balzac ! hasarde Saint-Victor, et puis c’est tro
s posent sur un plancher, l’épaule frôle un châssis de bois, garni de
vieux
journaux. Et nous voilà au milieu d’apparitions é
Là-dedans des odeurs de quinquet, des vapeurs de gaz, des âcretés de
vieille
poussière, des sueurs de danseuses rousses, des é
commodé avec le bon Dieu pour faire un journal. Tu t’es remis avec le
vieux
. La table rit. … Taine. — Par exemple, la femme a
se reflètent avec des solidités denses, et sous la dernière arche du
vieux
pont, près de moi, de l’arc de son ombre, se déta
où des écriteaux promettent des rues, chaque maison isolée recèle un
vieux
nom de théâtre, ici la Franconi, là, la veuve d’A
e des coulisses. Aux bureaux de leurs caisses, les hôtels montrent de
vieilles
femmes, dont les voix vous rappellent des voix d’
ui commence. Mercredi 9 septembre Nous enterrons ce matin notre
vieille
cousine de Courmont, âgée de 83 ans, une de nos v
94, et qui garde la vitalité des gens de ce temps, sous ses traits de
vieille
femme, montre les restes d’une beauté passée, all
ie moue de regret, quand, sur les huit heures, après le bonsoir de ma
vieille
, adressé par le fils à sa mère, la grand-maman em
u fond de ses loques colorées, il finit par retirer, en soupirant, la
vieille
culotte de peau de ses longues chevauchées, une c
il considère avec l’attendrissement d’un serpent qui contemplerait sa
vieille
peau. En cherchant son roman, il a découvert un
sa tunique. Alors, avec une grâce charmante, il donna sur la joue du
vieux
, une petite tape de gronderie amicale — et passa
es solides une science esthétique. Mais alors notre planète sera bien
vieille
et touchera aux termes de ses destins. Le soleil,
des connaisseurs rire de ce style, qu’ils croyaient celui de quelque
vieux
capitaine. Le plaisant qui riait le plus fort éta
ilieu de ses employés ; il était vraiment pour eux le patron, dans le
vieux
sens, dans le bon sens du mot. D’ailleurs, il en
ngtemps rompu aux affaires, suppléer, avec ses deux jeunes frères, le
vieux
chef que nous regrettons, mais qui revit dans ses
t morte après quarante-quatre ans de solitude. Chaque matin, comme le
vieux
Rollin dans sa maison de Saint-Étienne-du-Mont, e
, avait un jour, assise au coin du feu, passé les pincettes à un très
vieux
monsieur d’une manière trop sensuelle. J’étais là
he, bien que l’occasion de la faire n’ait jamais manqué, certes, à la
vieille
humanité : « Quand on aime, dit M. Paul Bourget
qu’as-tu vu sur ton chemin ? » les oiseaux qui font leur nid dans le
vieux
clocher répondent par leur chant : « Marie, Marie
erthelot, qui est chimiste, commence à soupçonner ces choses, que les
vieux
alchimistes avaient devinées avant lui. Mais comm
z les grands, dans tout le peuple, la chair débridée faisait rage. Ce
vieux
pontife obèse était grand d’impureté, quand, aux
rance et cela pour diverses raisons. On y professe à la fois les plus
vieilles
sciences du monde et les plus nouvelles. L’enseig
ouvrît à toutes son sein indulgent. Cet établissement unit en lui des
vieux
procédés et les nouvelles méthodes : tel professe
s nouvelles méthodes : tel professeur y continue encore Rollin et nos
vieux
oratoriens ; tel autre, comme M. Gaston Paris ou
charment par une expression de silence et de recueillement. Ils sont
vieux
, mais non point d’une antiquité profonde. Leurs p
iberté de vous conduire aujourd’hui — par la rue Saint-Jacques — à la
vieille
maison que fonda François Ier, c’est pour vous fa
e qui nous sortons. La mode s’en est mêlée et a failli tout gâter. En
vieilles
chansons comme en vieille vaisselle la fraude est
s’en est mêlée et a failli tout gâter. En vieilles chansons comme en
vieille
vaisselle la fraude est venue servir la vanité. M
ngt-cinq ans à recueillir les contes et les chansons avec lesquels de
vieilles
servantes avaient bercé son enfance. Comment il s
d’autres que M. Bladé a interrogés pendant plus de vingt-cinq ans. Le
vieux
Cazaux dit un jour à M. Bladé : « J’ai ouï-dire q
l’unité de bien des thèmes populaires s’accuse nettement. » Mais ces
vieilles
, ces éternelles histoires, en passant dans chaque
avec des peignes d’or leurs cheveux de soie. On y retrouve aussi ces
vieilles
et étranges connaissances du traditionniste : ces
e sont de petits esprits occupés surtout à tourmenter les chevaux. Le
vieux
Cazaux les a vus, aussi vrai que nous devons tous
sors au voyageur qui lui a donné la sépulture. C’est le sujet du plus
vieux
roman du monde, de ce roman chaldéen d’où les Jui
n’est même pas si facile qu’on croit d’obtenir une copie fidèle d’un
vieux
texte. M. Amélineau en sait quelque chose. Étant
romis. J’ai corrigé dans le style tout ce qu’il y avait de rude et de
vieux
. J’ai remplacé, autant que je l’ai pu, les senten
l’âpre et belle vallée du Grésivaudan, on a cru reconnaître en lui ce
vieux
génie dauphinois, si tenace, si positif, si labor
simple papyrus découvert dans le tombeau de quelque momie ou comme un
vieux
parchemin oublié dans les archives d’une ville dé
Sans être comme Shakespeare un divinateur infaillible des âmes, notre
vieux
poète ne manquait pas de tout discernement ; il s
, pas même l’art d’un Shakespeare. Il faut la lire dans Plutarque. Ce
vieux
Plutarque est un merveilleux narrateur. Je vous r
it une femme dangereuse. Et l’on peut penser d’elle ce que pensait le
vieux
professeur de Henri Heine. « Mon vieux professeur
enser d’elle ce que pensait le vieux professeur de Henri Heine. « Mon
vieux
professeur, dit Heine, n’aimait pas Cléopâtre ; i
lle a perdu Antoine et contribué peut-être à la perte de César, et le
vieux
professeur parlait d’or. Ce n’est peut-être pas a
funérailles du vaincu. Quand, dans les jours sombres, Æhnobarbus, son
vieux
compagnon, l’abandonna la veille de la bataille,
ar son sentiment de l’art, il est tout Français. Il est nourri de nos
vieux
romans de chevalerie et il semble ne vouloir conn
de la poésie. M. Jean Moréas et son école ont rejeté les règles de la
vieille
prosodie. Ils se sont débarrassés de la fausse cé
o et des romantiques serait-elle éternelle ? Je ne vois guère que les
vieux
lions de 1830, s’il en est encore, pour gémir de
pas de plus dans une voie dès longtemps suivie. Le vers brisé de nos
vieux
romantiques est aujourd’hui tenu pour exemplaire
ure beaucoup, en sorte que ses vers, pleins de vocables pris dans les
vieux
auteurs, ressemblent à la maison gallo-romaine de
cité dans un vieil in-folio, dont les tranches d’un rouge bruni et le
vieux
cuir largement écorné m’inspirent beaucoup de vén
la me retient dans l’idée qu’il y a dans les sentiments des hommes un
vieux
fonds sur lequel les poètes mettent des broderies
éré jadis tout à fait comme il l’est aujourd’hui. Et je crois que les
vieilles
idées, à cet égard, valaient mieux que les nouvel
erait bien extraordinaire qu’on ne dénichât pas quelques douzaines de
vieux
conteurs obscurs pour montrer que M. de Pontmarti
généreuse qui s’accuse faussement dans vingt auteurs, depuis les plus
vieux
contes hindous jusqu’à Madame Cottin, où elle est
l avait seulement puisé au même fonds que le poète et fouillé dans un
vieux
recueil de contes orientaux dont les inventeurs s
idée ne vaut que par la forme et que donner une forme nouvelle à une
vieille
idée, c’est tout l’art, et la seule création poss
comme Montufar. Ce Montufar était un dangereux fripon. Associé à une
vieille
femme galante, il prenait la mine d’un dévot pers
e parle étant assez connue. M. Charles Louandre l’a insérée, dans ses
vieux
conteurs français. Le texte que j’en ai sous les
esse et les grands biens de dame Isidore, qui n’est en réalité qu’une
vieille
courtisane édentée, plus pauvre que Job. L’avare
est la mer que sillonnaient jadis sur les galères et les trirèmes les
vieux
poètes et les vieux sages ; et comme ils se tenai
nnaient jadis sur les galères et les trirèmes les vieux poètes et les
vieux
sages ; et comme ils se tenaient debout à la poup
ins que les pêcheurs de Dulichium, les pirates de Zacinthe les bonnes
vieilles
occupées à raccommoder les filets sur les rivages
veux sur la tête, l’homme enfin le plus digne d’envie et de pitié, le
vieux
roi des pirates, le père des navigateurs. Tel est
ablement sans beaucoup de retouches dans l’épopée. Tous les héros des
vieux
contes montrent, dans des circonstances analogues
des magiciennes réapparaissent comme des fantômes au lit de mort des
vieux
rois à la barbe de neige. Dante, dont le noir gén
suivit une tradition barbare d’après laquelle le fils de Laerte, très
vieux
, naviguait dans l’Océan, sous les étoiles du ciel
seule vue de cet homme, le terrible goéland des rochers d’Ithaque, le
vieux
pirate, est purifié, lavé de ses crimes, pardonné
le Arène trouvaient encore le temps, à Paris, de s’amuser aux vers du
vieux
chanteur. Excusez-moi donc si je me mêle à la con
, ni aux femmes. C’est là une morale, et une morale considérable, une
vieille
morale. Guillaume de Humboldt la professait et la
sais quoi de rare et d’exquis, de chimérique aussi, qui faisait de ce
vieux
monsieur un personnage de fantaisie, échappé d’un
l’Éperon où fleurissaient en tout temps les camélias bleus, saluer le
vieux
maître si poli, dont l’âme était fleurie comme so
mon heureuse enfance Avait des jours encor Tout filés d’or ! Ô ma
vieille
Font-Georges, Vers qui les rouges-gorges Et le do
e lyrique fut en poésie, quand il lui plut, un clown sans égal. Notre
vieux
Scarron n’est, à côté de lui, qu’un grossier mata
contester. Et la vérité est que cette manière oubliée qui, dans notre
vieille
littérature s’appelait le burlesque, il l’a renou
sa vie et de son œuvre, M. de Banville s’est attaché à restaurer les
vieux
poèmes à forme fixe, rondeau, ballade, chant roya
et les simples, parmi de très petites gens que dédaignait une société
vieille
et fière. Ces ignorants possédaient, il est vrai,
our être entendus des ignorants, ils continuèrent comme les païens la
vieille
littérature de Rome. Ils imitèrent Cicéron dans l
ourpre, traversait les rues au milieu des acclamations du peuple, une
vieille
femme aveugle, levant le bras vers le jeune César
mplir dans son illustre règne de quelques mois ce qu’avait annoncé la
vieille
aveugle. Il n’avait jamais été galiléen que par f
gus, le village, demeuré idolâtre, devait donner son dernier nom à la
vieille
religion abolie. Mais les cultes rustiques de l’I
auré en quelques mois. Je crois, au contraire, que Julien rétablit la
vieille
religion dans les formes qu’elle avait prises alo
qu’il est jeune. Ni le Trévoux ni Furetière ne le connaissaient. Mon
vieux
Furetière, qui fait mes fréquentes délices, donne
aintes pour les églises de village et elle chantait avec sentiment de
vieux
airs quand elle était seule. Elle était simple, d
s histoires de Rollin et l’Odyssée, si amusante et si facile dans les
vieilles
traductions. On le voit, le choix était bon, et l
1839, le jeune Weiss prenait des leçons de danse et de maintien d’un
vieux
Dijonnais, nommé Mercier, professeur de la bonne
lui rappela toujours les Syracusaines de Théocrite. Et il était déjà
vieux
quand il écrivait : « Je ne puis prononcer le nom
t dure. On sait que le ministère Fortoul a laissé dans la mémoire des
vieux
universitaires un pénible souvenir. En 1855, l’in
plus précieux des mœurs d’autrefois, pas de témoignages plus sûrs des
vieux
états d’âme que tel conte ou telle chanson, à les
il touche par son origine au temps jadis ; il naquit contemporain des
vieux
âges, car il vit le jour et fut nourri dans la pe
Il mena ses premiers jeux dans les rues montueuses, à l’ombre de ces
vieilles
maisons aux poutres sculptées et peintes en rouge
talienne par sa mère, l’enfant était, par Jean-François, son père, de
vieille
souche bretonne. Le Goffic veut dire, en celtique
sieur saint Efflam, roi d’Irlande. C’était, en effet, la coutume des
vieux
saints irlandais d’aborder la côte armoricaine da
nuits, ô douces nuits d’antan, Où sont nos haltes et nos courses ; Le
vieux
saule près de l’étang, Et les genêts au bord des
objets singuliers jetés à l’aventure ; Des loques, une pique avec de
vieux
chapeaux. Une femme, en riant, écoute les p
ur double, et l’on n’y voit point, comme chez M. Joséphin Peladan, un
vieux
docteur allemand, épris d’esthétique, visiter la
emme se jeta avec ardeur dans la philosophie et dans les sciences. Le
vieux
mathématicien Roberval lui donnait des leçons. Sa
e persuadera facilement, à bien prendre ici le mot domestique dans le
vieux
sens et selon la définition qui subsiste dans le
és, dans la nuit, jusqu’au dernier par les légionnaires de Pompée, le
vieux
roi s’échappa seul à cheval, avec sa concubine Hy
tés dont un poète se plut à orner ses plans. On sait seulement que le
vieux
roi « se proposait de longer la rive septentriona
rible sultan. Il était si défiguré qu’on ne put le reconnaître qu’aux
vieilles
cicatrices dont il était couvert. Pompée le fit c
ramené les beaux jours du royaume de Pergame : l’Asie affranchie, la
vieille
Grèce elle-même soulevaient sur leurs épaules, da
, adressant un appel désespéré au fanatisme religieux et national des
vieux
peuples de l’Asie et des hordes nomades du Nord,
mieux peut-être que tous les récits de guerre le vrai Mithridate, le
vieux
sultan de Pont, le despote, l’Oriental. FIN 1
lat soudain Faisait rire l’écho jusqu’au bout du jardin, Soit que, du
vieux
Sénat l’âme tout occupée, Il poignardât César en
u vallon d’en bas, La fontaine en tes vers Polycrène épanchée, Que le
vieux
villageois nomme aussi la Rachée 12, Mais que plu
mancipés, prompts aux neuves douceurs, Grands écoliers riant de leurs
vieux
professeurs. Si le même conseil préside aux beaux
us simple est d’aller. Ce moulin par devant Nous barre le chemin ; un
vieux
pont nous invite, Et sa planche en ployant nous d
iré de force ! Je vous devrai la joie d’avoir revu une fois encore ma
vieille
ville de Tréguier, à laquelle m’attachent de bien
er, en faisant le tour du cloître et de la cathédrale, en visitant ma
vieille
maison, je me disais que rien absolument, n’était
thédrale a toujours son adorable légèreté. L’herbe qui pousse sur les
vieilles
tombes du cloître est toujours aussi touffue ; j’
rience d’un compatriote, qui vous a quittés jeune et qui vous revient
vieux
, après avoir vu des mondes assez divers. Je ne vo
vre de chair qui lui revient. Son procédé est simple et appartient au
vieux
répertoire de la fourberie. Maître Guérin s’est f
lzac. C’est une peinture d’une vérité amère et hardie que celle de ce
vieux
fripon dans sa maison, jovial et bourru, gouaille
; elle a peur lui et elle l’aime. Elle a la servilité idolâtre d’une
vieille
concubine arabe accroupie, dans l’angle de la ten
ornée et touchante, pauvre d’esprit, grande de cœur. C’est Cendrillon
vieille
et mère, mais transfigurée, elle aussi, et rayonn
y dresse des actes de vente et des contrats de mariage, à dérouter un
vieux
praticien. Quelle différence du notaire technique
nous introduit dans la maison de M. Tenancier, un riche bourgeois de
vieille
souche, plein d’honnêteté et de prud’homie, dans
peut dire qu’aujourd’hui, comme au retour de l’Émigration, il y a une
vieille
et une nouvelle France. Pour l’immense Moutard-Cl
, où d’Estrigaud, qui a décidément jeté sur la marquise son dévolu de
vieux
garçon libertin, entreprend de démontrer à son fr
égarée par M. Tenancier, sur son bureau, au moment où il rangeait de
vieux
papiers de jeunesse, et ramassée par son fils. Il
dans le Mariage de Figaro et la Mère coupable, épouserait sagement le
vieux
Bartholo. Sint ut sunt, aut non sint ! « Qu’ils s
, en lui léguant son nom, acquittera sa dette de cœur envers elle. Le
vieux
Tenancier, jadis aussi clairvoyant que Zadig, mai
écit : étalée sur la scène, elle semble impossible. Les Cassandres du
vieux
Théâtre italien refuseraient d’avaler l’énorme my
pendant le Directoire a paru samedi. Nous passons aujourd’hui chez le
vieux
Barrière, si paternel pour nous à l’occasion de l
int-Jean-d’Angely, la duchesse de Bréant, etc., etc., un bataillon de
vieilles
femmes, mais qui avaient conservé ce je ne sais q
rd ? — Mais, Madame, qui m’a desservi ainsi ; je n’ai que l’esprit de
vieux
, le reste… Où vous revoir, dites ? Elle s’arrête,
ancret sur un mur ; sur un autre, des costumes et des coiffures de la
vieille
Alsace, parmi lesquels une garniture de tête, en
vierges ou dessinés dans leurs papiers de soie, et son grand plat de
vieille
faïence enfermant une gerbe de pipes merveilleuse
illeusement culottées. Et encore, dans cet atelier, traînaient sur un
vieux
divan, deux bouquins à la reliure tout usée, les
calé sur sa canne, en la pose que j’ai vue à l’oncle Shandy, dans une
vieille
illustration du roman de Sterne, regardait vaguem
e. Le monde mourrait de civilisation. Autrefois, en Europe, quand une
vieille
population d’une aimable contrée était convenable
andres de rivière. Mais, déjà, que de choses changées, disparues ! Le
vieux
bac où nous passions et repassions, n’est plus. L
le aux grands peupliers, l’étroit bras de rivière a été élargi. Et le
vieux
pommier aux pommes vertes, criantes sous la dent,
e apothéose de l’automne. 5 novembre Les Folies-Nouvelles. Une
vieille
garde mal vêtue au contrôle. Le placeur : un anci
ccrocheuses de trottoir. * * * — Je copie ces quelques lignes dans de
vieilles
notes d’Edmond : « Quand je commençai à être un
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