cueil n’avait été jusqu’ici public que sous le format in-18, en trois
volumes
. Pour fondre ces trois volumes en deux tomes dans
lic que sous le format in-18, en trois volumes. Pour fondre ces trois
volumes
en deux tomes dans la présente réimpression, dive
tâché que ces changements fussent des améliorations. Chacun des trois
volumes
des précédentes éditions représentait la manière
eut-être nécessaire d’observer quelque ordre dans la fusion des trois
volumes
in-18 en deux in-8°. Une distinction toute nature
qui y sont étrangers. Cette double division répond à chacun des deux
volumes
de la présente édition. Ainsi le premier volume c
nd à chacun des deux volumes de la présente édition. Ainsi le premier
volume
contient toutes les Odes relatives à des événemen
suite semblé utiles. Les Odes historiques, qui constituent le premier
volume
, et qui offrent sous un côté le développement de
t été partagées en trois livres. Chacun de ces livres répond à un des
volumes
des précédentes éditions, et renferme, dans leur
et renferme, dans leur ancien classement, les Odes politiques que ce
volume
contenait. Ces trois livres sont respectivement l
sont respectivement l’un à l’autre comme étaient entre eux les trois
volumes
. Le second corrige le premier ; le troisième corr
ifférentes, rapprochées, et en quelque sorte confrontées dans le même
volume
. On conviendra peut-être qu’il y a quelque bonne
faciliter de cette façon les dissections de la critique. Le deuxième
volume
contient le quatrième et le cinquième livre des O
es traductions d’impressions personnelles. Les Ballades complètent ce
volume
, qui, de cette manière, est, comme l’autre, divis
tes en françois, par M. Arnauld d’Andilli, in-folio, Paris 1667. deux
volumes
. Il y en a une autre traduction plus exacte par l
e Dieu, depuis son origine jusqu’à la naissance du Messie, in-12. dix
volumes
1729. in-4°. huit vol. 1738. est d’une indécence
a Synagogue par le même, in-12. , huit vol. 1754. & in-4°. quatre
volumes
; mais il est écrit bien différemment du précéden
s d’Israël & de Juda jusqu’à la mort de J. C. Amsterdam 1729. six
volumes
in-12. , ouvrage très-sçavant & plein de disc
servira d’introduction à son Histoire ecclésiastique dont on a vingt
volumes
in-4°. & in-12. Le premier parut en 1690. &am
la Religion. Il expose dans le discours qui est à la tête du premier
volume
, les regles qu’il s’est prescrites & qu’il a
ment. On trouve plusieurs autres discours au commencement de quelques
volumes
, qui montrent également le bon goût, l’érudition
lutions arrivées dans la Religion. On les a imprimés séparément en un
volume
in- 12. pour ceux qui ne peuvent acheter son hist
endre la lecture. Ce célébre Ecrivain laissa son ouvrage au vingtiéme
volume
. Il étoit question de trouver un continuateur. Le
lésiastique dans cette compilation. L’auteur ne cherchoit qu’entasser
volume
sur volume pour allonger l’ouvrage. On ne trouve
dans cette compilation. L’auteur ne cherchoit qu’entasser volume sur
volume
pour allonger l’ouvrage. On ne trouve dans cette
1663., trois vol. réimprimés à Bruxelles & à Lyon, in-12. en six
volumes
. Cette histoire est écrite avec éloquence & a
ce qu’il en dit si peu. Les Mémoires de M. de Tillemont sont en seize
volumes
& ils ne passent guéres le cinquiéme siécle.
t été. fidélement mis en françois par Mr. Drouet de Maupertui en deux
volumes
in-8°., & ils peuvent servir de preuve à ce q
n-12. par M. de Villefore. L’auteur avoit entrepris les deux premiers
volumes
à la priére du Cardinal de Noailles, & ils ne
l’Abbé du Pin qu’on en eut l’obligation. Il donna en 1686. le premier
volume
de sa Bibliothèque universelle des Auteurs Ecclés
Didier, Bénédiction de la Congrégation de St. Vannes, fit imprimer un
volume
in-8°. sous le titre de Remarques solides sur les
un volume in-8°. sous le titre de Remarques solides sur les premiers
volumes
de la Bibliothèque de M. du Pin. Il en donna un s
un savant Mémoire de Mr. Bossuet, que l’on trouve à la fin du second
volume
des œuvres posthumes de cet illustre soutien de l
particuliers, & les Actes choisis des Martyrs, in-4°. vingt-trois
volumes
, publiés depuis 1729. jusqu’en 1763. Cet ouvrage
nces que n’avoit pu acquérir M. du Pin, lorsqu’il publia les premiers
volumes
de sa Bibliothèque ; ce qui lui donna lieu d’expl
e, parce que l’auteur avoit d’abord écrit en latin les trois premiers
volumes
de son ouvrage, & qu’il ne les publia en fran
r l’histoire de l’Eglise depuis J. C. jusqu’à nos jours, en 4. petits
volumes
in-8°. à Lyon 1767. Ce titre vaut un analyse. L’a
assé. Il résulte de la lecture de ces trois histoires qui forment six
volumes
in-4°. que du sein des passions & des intrigu
rançois son fils ont écrit & imprimé sur ce sujet en deux énormes
volumes
in-folio. Ces deux Ecrivains qui réussissoient à
gémir tous les gens de bien. On a publié à Amsterdam en 1732. en deux
volumes
in-12. la vie de ce Pontife & de son fils Bor
mp; des Congrégations séculieres de l’un & de l’autre sexe, en 8.
volumes
in-4°. Le premier parut en 1714., & les sept
pirituelle & leur discipline monastique, à Avignon 1762. en trois
volumes
in-4°. & en neuf vol. in-12. Cet auteur comme
nnues. Ce grand ouvrage fut imprimé pendant l’année 1700. en 12. gros
volumes
in-8°. & en trois vol. in-folio. L’auteur ajo
es in-8°. & en trois vol. in-folio. L’auteur ajouta ensuite à ces
volumes
, qui contenoient les douze mois de l’année, l’his
s Dimanches & Fêtes mobiles, par M. M. Mezangui & Goujet deux
volumes
in-4°. & abrégées en deux vol. in-12. Cet ouv
e bons. Le plus estimé est celui de M. Racine, dont les deux premiers
volumes
parurent en 1758. Sous le titre d’Abrégé de l’His
dérables de chaque siécle, avec des réfléxions. Le succès de ces deux
volumes
détermina l’auteur à donner la suite, & il pu
ina l’auteur à donner la suite, & il publia successivement treize
volumes
. Le mérite de cet ouvrage est assez connu. On a c
à l’auteur d’être trop diffus & trop peu modéré dans les derniers
volumes
; mais il s’éleve avec force & peut-être avec
n plus dans l’Abrégé de l’Histoire de l’Eglise, par du Pin, en quatre
volumes
in-12. L’auteur avoit de l’esprit. Il écrivoit av
é chronologique de l’Histoire Ecclésiastique, par M. Macquer, en deux
volumes
in-8°. 1757. vaut beaucoup mieux. Les faits y son
ai pas l’Abrégé de l’Histoire Ecclésiastique, par Mr. Formey, en deux
volumes
in-8°. Ce livre n’est bon que pour les Protestans
uction, j’ai le projet de la faire entrer dans l’étude annoncée en un
volume
sur Hokousaï, mais, à mon âge, on n’est jamais sû
donner les modèles de la peinture à ses élèves, il en fit graver des
volumes
qui, plus tard, obtinrent beaucoup de succès. Il
etits livres les plus rarissimes, les illustrations des romans, en 90
volumes
, les plus complètes, les dessins les plus authent
t, en 1781, à l’âge de vingt et un ans, était un petit roman en trois
volumes
, intitulé : Arigataï tsouno itiji, Grâce à un mot
de « l’enfumage ». Il publie encore, la même année, un roman en deux
volumes
: Shiténnô Daïtsou jitaté, Les quatre rois célest
rages : 1ºKaï-oun Aughino Hanaka, Le parfum des fleurs d’éventail (2
volumes
) ; 2ºNozoki Karakouri Yoshitsouné Yama iri. Expéd
dition de yoshitsouné à la montagne vue dans la boite à spectacle (2
volumes
). Texte de Ikoujimonaï (propre à rien) et illustr
Hotaroubi, Transformation de la haine en feu des lucioles de Ouji (3
volumes
). — 2º Oya Yuzouri Hanano Kômiô, L’héritage du pa
Oya Yuzouri Hanano Kômiô, L’héritage du parent, la gloire du nez (3
volumes
). Dans ce dernier ouvrage Shunrô devient Goummate
es. En 1797, paraît Hatsou Wakana, Les Primeurs des légumes verts. Un
volume
rarissime, illustré en tout d’une seule planche d
ême année paraît : Yanaghi-no-ito, Cordelettes du saule pleureur , un
volume
de poésies, dont l’illustration était due à Yeshi
mono. La même année paraît Shunkiô-jô, Distractions du printemps , un
volume
de poésies dont Hayashi n’a jamais rencontré qu’u
e poésies dont Hayashi n’a jamais rencontré qu’un seul exemplaire, un
volume
aux nuances douces, amorties des planches, annonç
ême année paraît encore Sandara Kasoumi, La Brume de la campagne , un
volume
fait en collaboration avec Shighémasa et Tsoukané
II En 1798, paraît Dan tóka, Chansons de danse pour hommes 12. Un
volume
de poésies où collaborent les dessinateurs Yékigh
enade de l’Est (Promenade de la capitale de l’Est, qui est Yédo), un
volume
en noir, republié en trois volumes en couleur, l’
apitale de l’Est, qui est Yédo), un volume en noir, republié en trois
volumes
en couleur, l’année 1802. Des intérieurs de ville
à dessiner, procédé qu’abandonna plus tard Hokousaï. Dans le premier
volume
: la vue intéressante du temple sinthoïste Shimmé
i avec la foule grouillante qui l’emplit tout le jour. Dans le second
volume
: une boutique de nori, la plante marine comestib
nouveaux sur les planches de bois de la devanture. Dans le troisième
volume
: la cour du temple Asakousa emplie de la presse
préface de l’écrivain-dessinateur. Voici à peu près la préface de ce
volume
, qui va être un des derniers volumes dont Hokousa
Voici à peu près la préface de ce volume, qui va être un des derniers
volumes
dont Hokousaï écrira le texte : Je viens de fair
ançais. XIV La même année, en 1800, Hokousaï illustre les trois
volumes
de Soumida gawa Riôgan itiran, Coup d’oeil sur le
mida , un panorama des deux rives pouvant se déplier. Dans le premier
volume
, c’est à Takanava la vue de la baie où l’on voit
ée sur un grand banc, prend le frais avec ses enfants. Dans le second
volume
, voici le pont de Riôgokou, qui joint les deux ri
banque fait des tours de force devant des enfants. Dans le troisième
volume
, c’est la toiture élancée du temple d’Asakousa da
. La même année paraît encore Hitori Hokkou, Chacun une pensée , deux
volumes
contenant, en leurs cent pages et leurs cinquante
tirées de la pièce jouée un an après l’événement. Ce sont deux petits
volumes
en couleur, d’une exécution assez peu soignée, si
le nom d’une chanson à la mode dans ce temps, Hokousaï illustre deux
volumes
consacrés à la femme japonaise et la montrant sai
femme que vient de quitter son amant. La même année paraît encore un
volume
de poésies, sans titre, illustré par Hokousaï d’u
éki-riori, La Cuisine improvisée , une histoire de ménage éditée en 3
volumes
dont le peintre fournit encore une fois et l’illu
présentable au public, je vous serais obligé de le faire graver. Le
volume
est curieux, parce qu’il traite d’une manière fan
re Ada-déhon Tsoushin-mouda, Allusion à la pièce des 47 ronins . Deux
volumes
contenant de petits bois sans importance. XVII
XVIII En 1804 paraît une publication importante d’Hokousaï, trois
volumes
aux images en couleur portant le titre de Yama ma
ur Hokousaï et le poète Taïguéntei. » La première planche du premier
volume
représente la colline du temple Hatiman d’Ityaga,
baptisée eau pour le thé, des pêcheurs dans leurs barques. Le second
volume
nous montre dans une planche des hommes et des fe
oiseau qu’elle emporte dans une cage. Nous trouvons dans le troisième
volume
une vue de la statue en pierre de Niô et l’entrée
card (l’eclat) des deux pousses de la plante de l’est , roman en cinq
volumes
dont le texte est de Kohéda Sighérou et dont l’il
dont le texte est de Kohéda Sighérou et dont l’illustration est, par
volume
, de six planches doubles. Ce sont deux enfants d’
dont le texte est également de Kohéda Shighérou, roman publié en dix
volumes
, dont les cinq premiers paraissent en 1806 et les
ou monogatari, La Conversion de l’esprit de Kasané , un roman en cinq
volumes
, du célèbre et populaire romancier Bakin. Bakin,
veau livre sur le prunier et le saule de la Soumida , un roman en six
volumes
dont le texte est de Bakin. C’est le roman de deu
Ourami Kouzou-no-ha, La Vengeance de kouzou-no-ha , un roman en cinq
volumes
dont le texte est de Bakin. Dans ce roman fabuleu
lustre : Sono-no-Yuki, La Neige du jardin : un roman de Bakin en six
volumes
, qui est l’histoire du guerrier Sonobé Yoritsouné
a cinquième et la sixième en 1811 : ces six séries forment vingt-huit
volumes
. Ce roman est l’histoire de Tamétomo, un héros du
raduction arrangée par Bakin et Ranzan, publiée en neuf suites de dix
volumes
, dont la sixième, la septième, la huitième n’ont
suivantes ; — ces neuf séries composant un roman de quatre-vingt-dix
volumes
dont Ranzan a écrit quatre-vingts volumes. L’illu
n roman de quatre-vingt-dix volumes dont Ranzan a écrit quatre-vingts
volumes
. L’illustration de ce roman célébrant les exploit
ans la rivière de Waï. L’illustration de ce roman en quatre-vingt-dix
volumes
est en général de trois images doubles par volume
n quatre-vingt-dix volumes est en général de trois images doubles par
volume
, ce qui fait avec les frontispices, pour l’ouvrag
Gloire d’une vengeance . Un roman du romancier Bakin, un roman en six
volumes
très chargé d’incidents, où il est question d’une
hi, Les Étoiles d’une nuit, où il gèle , un roman de Tanéhiko en cinq
volumes
. La jalousie de la femme est un des sujets le plu
ô, Histoire des fidèles vassaux après la vengeance , un roman en cinq
volumes
, dont le texte est dû à Tanshûrô Yémba. Un roman
e vulgaire), roman dont le texte est de Shakou yakoutei et forme cinq
volumes
. Un roman écrit d’après une légende du xie siècl
blie Yuriwaka Nozouyé no Taka, Le Faucon de Yuriwaka , un roman en un
volume
dont le texte est de Mantei-Sôsa. Un roman dans l
du prince Minamoto Yoshitaka contre Yoritomo : un roman édité en huit
volumes
. Ce sont d’abord deux figurations en pied de ce p
x lutteurs , roman dont le texte est de Shakouyakoutei, édité en cinq
volumes
. C’est l’histoire de deux lutteurs, Nourégami et
dén Nanka no Yumé, Le Rêve du camphrier du sud, un roman en dix-sept
volumes
, divisé en deux parties, et dont le texte est de
ontagnes en face , roman dont le texte est de Shinrotei, édité en six
volumes
. Un roman où deux familles, séparées par des diss
Matsouwô , roman dont le texte est de Koyéda Shiguérou, édité en six
volumes
. Un roman qui est une suite d’apparitions, parmi
du xiiie siècle), un roman dont le texte est de Bakin, édité en dix
volumes
. Une des premières planches représente le juge su
ikaga Yoshimitsou, au xive siècle, roman paru en deux séries de cinq
volumes
, la première publiée en 1813, la seconde en 1828.
es noms d’assiettes, dont le texte est de Bakin, roman publié en huit
volumes
et auquel l’artiste japonais a donné peut-être se
Guerre des deux royaumes de Kan et de So , roman historique en trente
volumes
formant trois séries, dont la première et la deux
de Shôtei Kinsoui et dont on ne connaît qu’une partie, éditée en cinq
volumes
. La planche capitale est celle où l’on voit Minam
ssins se passant du texte d’un littérateur, et d’une vente égale à un
volume
où avait associé à son nom le nom de Bakin. C’est
inconnues, et que nous révèle la préface de Hanshû en tête du premier
volume
, et que j’ai eu l’idée de faire traduire par Haya
apprennent le dessin et il a été décidé d’imprimer ces dessins en un
volume
, et quand nous avons demandé à Hokousaï quel titr
t quand nous avons demandé à Hokousaï quel titre il fallait donner au
volume
, il a dit tout simplement : Mangwa, que nous avon
grand « fou de dessin » de là-bas ! Alors tout de suite, le premier
volume
entr’ouvert, dans ces libres croquis où un peu de
s plantes : voici ce qui remplit les cinquante feuilles de ce premier
volume
dont la première planche représente le couple Tak
s pins, l’homme une fourche pour les ramasser. À la fin de ce premier
volume
paru en 1812, Hokoutei Bokousén (l’artiste à la c
sins réduits d’Hokousaï, se déclarent les élèves du Maître. Le second
volume
de la Mangwa paraît seulement en 1814, deux ans a
wa paraît seulement en 1814, deux ans après la publication du premier
volume
, avec une préface de Rokoujuyén, et la collaborat
ge d’animaux fantastiques qui mangent les mauvais rêves. Le troisième
volume
paraît l’année suivante, en 1815, avec une préfac
es rouges (les dessins de l’École vulgaire). Plusieurs planches de ce
volume
représentent les durs et laborieux travaux de l’i
ux ouvertures de l’outre des vents qu’il a sur le dos. Le titre de ce
volume
, toujours gravé en ces belles grosses lettres orn
nt et de leurs tempes, et c’est un charmant frontispice. Le quatrième
volume
paraît l’année suivante, en 1816, avec une préfac
volume paraît l’année suivante, en 1816, avec une préface d’Hôzan. Ce
volume
est tout plein de sujets de l’histoire mythologiq
le ménage de l’homme à la fourche, de la femme au balai. Le cinquième
volume
paraît, l’été de cette même année 1816, avec une
t, l’été de cette même année 1816, avec une préface de Rokoujuyén. Un
volume
qui est presque un cours d’architecture, et qui d
demande sur une bande de papier que le vent soulève dans l’air. Et le
volume
se termine par la représentation de personnages m
us pauvres intérieurs. En la même année 1816 paraît encore le sixième
volume
qui a pour frontispice un arc symbolique sur lequ
selle ornée, les guides, les lourds étriers. Mais la merveille de ce
volume
, comme figuration d’un corps humain en mouvement,
au Japon, qui est de l’année 1542. En 1816, paraît encore le septième
volume
de la Mangwa. Un volume pour ainsi dire entièreme
nnée 1542. En 1816, paraît encore le septième volume de la Mangwa. Un
volume
pour ainsi dire entièrement rempli de paysages, p
e soleil, le brouillard, l’orage. Toujours en 1816 paraît le huitième
volume
, avec un titre fait à l’imitation d’un morceau d’
tervalle de trois ans entre la publication du huitième et du neuvième
volume
, qui paraît seulement en 1819. Ce volume est plei
n du huitième et du neuvième volume, qui paraît seulement en 1819. Ce
volume
est plein d’anecdotes relatives à la vie intime d
trait d’un astronome hollandais. La même année 1819 paraît le dixième
volume
avec une préface vantant la persévérance dépensée
érance dépensée par Hokousaï pour arriver à la publication de ces dix
volumes
. Des saltimbanques, des faiseurs de tours, des pr
aturges se rendant la tête invisible. Mais je ne veux décrire dans ce
volume
que deux compositions, deux compositions d’un fan
el par ses prières. La Mangwa semble terminée en 1819 avec le dixième
volume
, et quinze ans se passent sans qu’il y soit donné
ns qu’il y soit donné une suite, quand, en 1834, il paraît un onzième
volume
avec une préface dans laquelle Tanehiko dit : « q
ans laquelle Tanehiko dit : « que la Mangwa a été terminée au dixième
volume
, mais que les éditeurs avides ont tellement press
qu’il a consenti à reprendre son pinceau, qu’il vient de dessiner ce
volume
qu’il se propose un jour d’arriver au vingtième v
de dessiner ce volume qu’il se propose un jour d’arriver au vingtième
volume
. » Dans ce onzième volume, toujours la variété de
l se propose un jour d’arriver au vingtième volume. » Dans ce onzième
volume
, toujours la variété des premiers. Des poses, des
, tomber son peigne à terre. En la même année 1834 paraît le douzième
volume
. Un volume très poussé à la caricature, où l’Oly
peigne à terre. En la même année 1834 paraît le douzième volume. Un
volume
très poussé à la caricature, où l’Olympe japonais
é à la caricature, où l’Olympe japonais est ridiculisé à outrance, un
volume
de chutes ridicules, de nez interminables de Téng
Hokousaï de recourir parfois à la scatologie. Ainsi, dans le onzième
volume
, nous voyons une Japonaise, retroussée jusqu’à la
un de ses compatriotes par la violence d’un pet, et dans ce douzième
volume
apparaît par la lucarne d’un étroit privé, le pro
ais se bouchant le nez avec leurs doigts et leurs robes. Le treizième
volume
paraît seulement en automne 1849, après la mort d
rt d’Hokousaï, arrivée au printemps de cette année. Dans le treizième
volume
: deux beaux dessins, la divinité Kwannon sur une
oupes ; de dessins représentant le décorticage du riz. Le quatorzième
volume
, tout moderne, paraît seulement en 1875, et est f
x, un lion de Corée, un conciliabule de rats. Le quinzième et dernier
volume
paraît en 1878 avec un avertissement où l’éditeur
u avec Hokousaï, avant sa mort, qu’on poursuivrait jusqu’au quinzième
volume
, et qu’il a fait graver les dessins destinés à la
ur ment, car la plupart des dessins qui ont une valeur sont repris au
volume
intitulé : Hokousaï Gwakiô, Miroir des dessins d’
lé : Hokousaï Gwakiô, Miroir des dessins d’Hokousaï. Les dix premiers
volumes
, en leurs tirages primitifs, et lorsque les bois
éditeurs de cette ville et un éditeur de Nagoya ; à partir du dixième
volume
les bois sont cédés à l’éditeur Yeirakouya de Nag
volume les bois sont cédés à l’éditeur Yeirakouya de Nagoya. Un seul
volume
, le douzième, porte le nom du graveur, et ce grav
okousaï publie, en collaboration avec Hokousou qui dessine le premier
volume
, Jôdan Foutsouka Yehi, Ivresse de deux jours , un
jours , une série de dessins comiques. Dans l’illustration du second
volume
, dont il s’est chargé, il nous montre des porteur
idan, Les Légendes fantastiques de la province de Yétigo , édité en 6
volumes
, avec un texte par Tanéhiko. Un ouvrage dans lequ
guerrier Tawara Toda , pièce de théâtre par Tanéhiko, éditée en trois
volumes
et gravée avec une écriture plus grande, plus fac
ns le Katsoushika Zoushi, Plan et traditions de Katsoushika , dans ce
volume
contenant un plan de cette partie de la ville de
connu), publie Hokousaï Gwashiki, Méthode de dessin par Hokousaï , un
volume
aux dessins en noir teintés d’une coloration rose
s ruades. En 1826, dans Hankon Shirio, Les Vieux Papiers jetés , deux
volumes
de Tanéhiko, il existe un curieux fac-similé d’Ho
s livres illustrés par Hokousaï et gravés par Yégawa Tomékiti : trois
volumes
où les compositions d’Hokousaï, prenant tantôt le
ns la famille, même pendant qu’ils jouent au jardin. L’intérêt de ces
volumes
, où une illustration, toute moderne, et sans rapp
iolence des anatomies pour l’effort des gros ouvrages. Dans le second
volume
c’est le fabricant de nattes, tatami ; c’est le m
la chair séchée sert à faire des soupes très délicates. Le troisième
volume
contient un très petit nombre de planches d’indus
la représente de parasol à un homme et à une femme. Et dans les trois
volumes
, mêlées aux planches représentant des métiers et
deux peignes, d’une coupe à saké, d’une pipe, d’une fleur. Le premier
volume
est publié en 1828, le second en 1848, le troisiè
oésies (de la dynastie) des Thang . La première série, éditée en cinq
volumes
, comprend les poésies chinoises, en cinq caractèr
, littéralement cinq mots. La seconde série, éditée également en cinq
volumes
, et parue en 1836, contient le recueil des poésie
ps, le caractère de la tête des habitants du Céleste Empire. Ces dix
volumes
contiennent des dessins du meilleur temps d’Hokou
irs envers le Maître , texte chinois avec commentaires de Ranzan. Un
volume
de morale, tout rempli d’exemples d’héroïsme et d
chinoise entré dans l’éducation japonaise : un traité publié en deux
volumes
, avec texte chinois et japonais. La première plan
Fougakou Hiakkei, un premier livre suivi d’un second, d’un troisième
volume
et où Hokousaï a apporté dans ses dessins une sci
Fouzi-yama, à travers les champs de riz de l’automne. Dans le second
volume
, il est des compositions où des noirs rembranesqu
encore dans le renversement de cette altitude. Ainsi, dans le premier
volume
, une planche le montre, la tête en bas dans les e
roupe d’oies sauvages est en train de prendre son vol. Dans ce second
volume
, ce renversement a fourni à l’imagination du pein
dans l’eau qu’il porte à ses lèvres. La première planche du troisième
volume
, c’est la lutte corps à corps, au iie siècle, de
s deux guerriers, Kawazou et Matano, en vue du Fouzi-yama. Et tout le
volume
continue à être la représentation de la montagne,
tête : c’est le Fouzi-yama fait d’un seul coup de pinceau. Le premier
volume
de la première édition appelée l’édition à la plu
cet oiseau sur la couverture, édition rare, a paru en 1834, le second
volume
en 1835. De cette édition on ne connaît pas le tr
econd volume en 1835. De cette édition on ne connaît pas le troisième
volume
. Cette première édition était tirée en noir, mais
is peu de temps après paraissait une édition alors composée des trois
volumes
où le tirage en noir était teinté d’une teinte bl
sont bien gravés, mais ils sont loin d’avoir la perfection des trois
volumes
du Fouzi-Yama, gravés par lui. Or, si mon dessin
e l’année dernière, quand Yeiboun est venu me voir, j’avais déjà deux
volumes
terminés du Souiko (roman en 90 volumes commencé
nu me voir, j’avais déjà deux volumes terminés du Souiko (roman en 90
volumes
commencé en 1807), mais je n’ai pu avancer davant
vous m’enverrez la soie, joignez-y le prix de l’illustration des deux
volumes
de Gwadén. Quand vous viendrez, ne demandez pas H
où sont enterrés les premiers shôgouns de Tokougawa, un recueil de 5
volumes
dont l’illustration est due à la collaboration de
èles de l’architecture, mon éditeur m’a demandé de dessiner le second
volume
. Le premier a été fait par un homme du métier, av
du métier, avec des données techniques. Moi, ce que j’ai fait dans ce
volume
est plutôt du domaine de l’art ; toutefois si, gr
u palais impérial et des charpentiers travaillant sous ses ordres. Le
volume
gravé par Yégawa, l’habile graveur des Cent vues
fin de l’édition en noir l’éditeur annonçait la publication de trois
volumes
qui devaient suivre et qui n’ont pas paru. Détail
gata, Modèles des peignes et des pipes à la mode d’aujourd’hui. Trois
volumes
, dont deux consacrés aux peignes, avaient paru en
822, et dont le troisième, consacré aux pipes, paraissait en 1823. Le
volume
des peignes, qui a pour frontispice une Japonaise
tilité pour les fabricants de l’avenir ; donc les dessins de ce petit
volume
ont été faits avec l’idée de créer un décor pouva
iations. Et il signe : Précédemment Hokousaï Katsoushika I-itsou. Le
volume
des pipes a, pour frontispice, un Coréen qui fume
ne grenouille, une mouche, des flammes, des bulles de savon. De ces
volumes
sur l’architecture, sur les peignes et les pipes,
losanges, fait le décor de robes, et qui devait être suivi d’un autre
volume
consacré aux broderies qui n’a pas paru. En tête
n autre volume consacré aux broderies qui n’a pas paru. En tête de ce
volume
, la préface de Tanéhiko dit : « Les artistes qui
uel on voit Daïkokou déroulant un kakémono où sont gravés le titre du
volume
et le nom de l’auteur, et où la première planche
s. Il commence ainsi : L’ignorant Hatiyémon dit : J’ai fait ce petit
volume
pour apprendre aux enfants qui aiment à dessiner
ui aiment à dessiner la manière facile de colorier… publiant ce petit
volume
à bon marché, dans l’espoir que tout le monde pou
droites ou courbes ; et si j’arrive, un jour, à donner une suite à ce
volume
, je mettrai les enfants en état de rendre la viol
s’en tirer selon son inspiration. La même année, il publie un second
volume
portant le même titre, où il dit : Dans le premie
e un second volume portant le même titre, où il dit : Dans le premier
volume
, j’ai indiqué les couleurs à l’état général, dans
uleurs à l’état liquide ; et ce sont des procédés, comme dans l’autre
volume
, pour peindre un lion de Corée, un sanglier, des
r peindre un lion de Corée, un sanglier, des lapins. Dans le premier
volume
, un moment, il nous entretient du procédé holland
ns parti-pris, qu’on peut admettre les deux procédés. Dans ce second
volume
, faisant sans doute allusion à des planches de Re
recouvert d’un vernis, et annonce qu’il dévoilera ce procédé dans le
volume
suivant. Mais ce second volume du Traité du color
nce qu’il dévoilera ce procédé dans le volume suivant. Mais ce second
volume
du Traité du coloris devait être la dernière publ
wa-haya shinan, Leçon rapide de dessin abrégé , ouvrage paru en trois
volumes
, le premier en 1812, le second en 1814, le troisi
r en 1812, le second en 1814, le troisième sans date. Dans le premier
volume
, aux croquis assez brutaux, il y a une chose curi
cuter les dessins les plus fins et les plus délicats. Et à la fin du
volume
, ces lignes sont encore d’Hokousaï : Ce livre ap
oyen apprendra par lui-même la proportion des choses. Dans le second
volume
, Hokousaï se représente peignant avec la bouche,
série de dessins assez semblables aux dessins géométriques du premier
volume
, mais qui seraient inspirés par la contexture des
t inspirés par la contexture des mots de la langue japonaise. Dans ce
volume
en une langue impossible, aux localités invraisem
j’ai dessinés et a pu les priver de la liberté de se sauver. Ce petit
volume
, je l’affirme, sera un bijoux précieux pour la po
: Yamamizou Téngou Téngoudo Nettétsou (fer chaud). Dans le troisième
volume
, qui est toujours une suite de dessins cherchés d
première image représente le peintre qui a signé la préface du second
volume
Téngou Téngoudo, présentant un dessin à un Téngou
x en poils de bête, au nez en vrille22, et Hokousaï met en tête de ce
volume
: Ce livre apprend le dessin sans maître. On a e
ce livre. C’est donc les préliminaires du dessin cursif. À la fin du
volume
, Hokousaï ajoute : L’idée qui m’a fait faire ce
À la fin du volume, Hokousaï ajoute : L’idée qui m’a fait faire ce
volume
vient de ce que, un soir, chez moi, Yû-yû Kiwan n
pas voulu laisser perdre ces dessins, et il m’a fait dessiner tout un
volume
, qu’on doit regarder, au fond, comme une distract
sin Yédéhon, Modèles de dessin pour les commençants , sans date (deux
volumes
dont le second est en couleur), où la succession
, qui a suivi la Leçon rapide de dessin abrégé, et qui a paru en deux
volumes
publiés en 1817 et 1819. Ces albums, qui contienn
de dessin classés sous la première lettre de leurs noms : le premier
volume
commençant à la lettre i et le second finissant à
ie. Trente ans après la mort d’Hokousaï, en 1879, on a publié en deux
volumes
d’après ses dessins, le Yéhon Tôshisén Gogon-zekk
, Les Douze Heures du Yoshiwara , et encore : Kiôka Sonikodeiô, trois
volumes
en couleur. Indépendamment des livres, il a publi
. Gakoutei serait un littérateur qui aurait traduit du chinois les 75
volumes
du Sangokoushi, Histoire des trois royaumes , un
o Kénkwaïrokou, Ombres et lueurs des astres de la nuit , publié en 28
volumes
à Yédo, en 1809. Hokouba avait la réputation de d
une erreur, car en 1819, le Maître signe encore Taïto dans le second
volume
d’Hayabiki, où Ikkou, un ami d’Hokousaï, parle da
uand il se rendit dans cette ville, et ce fut chez lui que le premier
volume
de la Mangwa fut dessiné. On a de lui Hokousén so
dois la traduction des préfaces d’Hokousaï, et la documentation de ce
volume
, a bien voulu rédiger la bibliographie des livres
Catalogue des livres et albums de Hokousaï Livres jaunes. Petits
volumes
de 17 centimètres de hauteur sur 12 centimètres e
sur 12 centimètres et demi de largeur, avec texte et dessins. Chaque
volume
est généralement de 5 feuilles. On les a ainsi ap
e ou le conte du camélia. — Texte de Bakin et dessins de Hokousaï. 28
volumes
en 5 sections dont la 1re, 6 vol, en 1807 ; les 2
de sankatsou et hanshiti. — Texte de Bakin et dessins de Hokousaï. 16
volumes
en 3 sections : la 1re, 6 vol., 1808 ; les 2e et
ée. — Texte de Shakou-yakoutei et dessins de Hokousaï. — Le nombre de
volumes
et la date inconnus. Kohino Oukihashi, Le Pont i
itre. — Texte de Oumébori Kokouga et dessins Hokousaï. — Le nombre de
volumes
et la date d’édition sont inconnus. L’auteur a éc
en, compte quatre-vingt-dix tomes ; il a collaboré à une trentaine de
volumes
. Le tas se forme avec les livres jaunes, livres p
le le public français est habitué. 12. Le titre est trompeur, car le
volume
ne contient que des poésies qui ne peuvent pas se
tout à fait extraordinaires. 17. En 1849, a paru un recueil en trois
volumes
de Hokousaï Gwashiki, avec les planches réduites
anches réduites et teintées grossièrement de rose et de bleu : chaque
volume
précédé d’un prêtre du culte Kami. 18. Les année
, et qui donne la nomenclature des guerriers célèbres. A la fin de ce
volume
, publié en 1841, Hokousaï annonce qu’il prépare u
a fin de ce volume, publié en 1841, Hokousaï annonce qu’il prépare un
volume
sur les poètes et les artistes célèbres, mais ce
il prépare un volume sur les poètes et les artistes célèbres, mais ce
volume
n’a pas paru. 24. Un autre album, intitulé Sôhit
es Avril 1836. Depuis que les morceaux, recueillis dans le premier
volume
de cet ouvrage23, ont paru en 1832, l’auteur s’es
e nos convictions, nous a rendu plus tolérant pour tous. Un quatrième
volume
suivra plus tard les trois qui se trouvent publié
ecueillie. Dans l’Avertissement placé en tête des second et troisième
volumes
de cet ouvrage24, qui parurent en 1836, j’ai dit,
nt en 1836, j’ai dit, et il m’avait semblé, en effet, qu’un quatrième
volume
me suffirait pour épuiser les noms d’auteurs que
es noms d’auteurs que je tenais à traiter encore. Voici pourtant deux
volumes
nouveaux, et je suis loin, selon toute apparence,
relative encore aux Critiques et Portraits littéraires, dans un petit
volume
paru sans nom d’auteur en 1812 et qui n’est qu’un
ui suit : Les Critiques et Portraits, auxquels se rattache ce petit
volume
, forment, à cette date de 1842, cinq volumes in 8
uels se rattache ce petit volume, forment, à cette date de 1842, cinq
volumes
in 8° : le premier volume publié en 1832, les sec
olume, forment, à cette date de 1842, cinq volumes in 8° : le premier
volume
publié en 1832, les second et troisième en 1830,
ième en 1830, les quatrième et cinquième en 1839. De plus, le premier
volume
a eu une seconde édition véritable en 1836, et a
ce qu’on croyait prévu, la première édition, non épuisée, du premier
volume
a continué de se débiter de préférence à la secon
heurs, il y aura peut-être toute une poétique à dégager de ce premier
volume
sur les Poètes du xixe siècle. Mais qu’on m’ente
ns aujourd’hui. On ne les trouvera pas tous dans ce cadre étroit d’un
volume
; mais j’ai besoin de rappeler une conception sur
reproché à l’auteur des Œuvres et des Hommes d’avoir oublié, dans ses
volumes
précédents, des personnalités très considérables.
Elle n’avait pas lu la préface générale, placée à la tête du premier
volume
des Œuvres et des Hommes (le volume des Philosoph
rale, placée à la tête du premier volume des Œuvres et des Hommes (le
volume
des Philosophes et des Écrivains religieux), ou s
ut en embrassant le siècle tout entier, dans un nombre indéterminé de
volumes
, que des publications contemporaines ou des réimp
ilosophe, tel historien, tel poète, etc., ne sont pas dans le premier
volume
des Philosophes, des Historiens, des Poètes. Ils
ose déjà dite, mais j’y suis d’autant plus forcé, que dans ce premier
volume
des Poètes au xixe siècle, il y a des absences,
» Mes premiers articles un peu remarquables furent sur les premiers
volumes
de l’Histoire de la Révolution de M. Thiers et su
ers ce temps aussi que, M. Dubois m’ayant chargé de rendre compte des
volumes
d’Odes et Ballades de Victor Hugo, je fis dans le
rticles sur la Poésie française au xvie siècle qui furent publiés en
volume
l’année suivante (1828) ; et j’y ajoutai un secon
publiés en volume l’année suivante (1828) ; et j’y ajoutai un second
volume
composé d’un choix de Ronsard. En 1829, je donnai
nière main-d’œuvre. J’y mis toute réflexion et tout loisir ; les cinq
volumes
qui en résultèrent ne furent pas moins de vingt a
ysionomie de près, formeraient un Recueil qui deviendrait aisément un
volume
de Mémoires. Il n’en restera pas moins dans l’His
Théâtre français au xvie siècle (Paris, in-8°). L’ouvrage avait deux
volumes
; mais le second contenait simplement les Œuvres
ur. En 1829 M. Sainte-Beuve publiait, sans y mettre son nom, le petit
volume
in-16, intitulé Vie, Poésies et Pensées de Joseph
es biographiques, était assez fidèlement son image au moral. Ce petit
volume
classa M. Sainte-Beuve parmi les poètes novateurs
e de Paris que de la Revue des Deux Mondes, furent recueillis en cinq
volumes
in-8° qui parurent successivement, de 1832 à 1839
collection, qui, prise dans son ensemble, ne forme pas moins de sept
volumes
, a été bien des fois réimprimée avec de légères v
u tirages. « Mais, en 1834, M. Sainte-Beuve publiait un roman en deux
volumes
in-8° qui avait titre Volupté. Cet ouvrage, à l’h
inq éditions, toutes réelles, chacune des quatre dernières formant un
volume
in-1216. « En 1837 M. Sainte-Beuve publia un volu
nières formant un volume in-1216. « En 1837 M. Sainte-Beuve publia un
volume
de Poésies (in-18) : Pensées d’août. Ce dernier r
celui des Consolations et de Joseph Delorme, a contribué à former le
volume
intituléPoésies complètes de Sainte-Beuve, in-12,
dernière, qui a paru chez le libraire Michel Lévy en 1863, forme deux
volumes
et est préférable pour le complet à toutes les au
37-1838, et il bâtit ainsi l’ouvrage qui parut successivement en cinq
volumes
in-8°, depuis 1840 jusqu’en 1859. L’intervalle qu
1859. L’intervalle qu’il y eut entre la publication de plusieurs des
volumes
s’explique par les travaux ou les événements qui
nte-Beuve. Cet ouvrage de Port-Royal (3e édition) a été publié en six
volumes
(format in-12) en 1867 ; et cette dernière éditio
de reconnaissance qu’un peu tard, lorsqu’il publia, en 1861, les deux
volumes
intitulés : Chateaubriand et son groupe littérair
les travaux qu’il y prépara se trouvent indiqués et résumés dans ces
volumes
. « Non marié, mais ayant sa mère plus qu’octogéna
oniteur, devenu journal de l’Empire. La collection de ces articles en
volumes
se fit à partir de 1851, sous le titre de Causeri
pendant les années suivantes au point de former en définitive quinze
volumes
in-1818. « Mais, dans l’intervalle, M. Sainte-Beu
publier la première partie du cours qu’il devait professer. De là le
volume
intitulé : Étude sur Virgile, un volume in-18 (18
il devait professer. De là le volume intitulé : Étude sur Virgile, un
volume
in-18 (1857). Le nom de M. Sainte-Beuve a continu
itre de Nouveaux Lundis, ne forme pas aujourd’hui (1868) moins de dix
volumes
qui auront même une suite. « La fatigue ne laissa
Beuve a recueilli tout récemment cet article en appendice dans le IIe
volume
, donné de son vivant, de la nouvelle et dernière
cole et le collège cette année-là. — Un autre Horace de 1760, en deux
volumes
et traduit en français, ayant également appartenu
M. Sainte-Beuve a attaché ce souvenir particulier, en tête du premier
volume
: « 1820. Année de la naissance de M. le duc de B
n beau et magnifique Virgile (celui de Burmann, Amsterdam, 1746, en 4
volumes
), qui fut son premier prix de vers latins au conc
e. 18. La Table générale analytique qui se trouvait à la fin du xie
volume
a été supprimée comme ne remplissant plus son obj
inte-Beuve ajoutait quelque chose dans ses articles ; enfin les trois
volumes
qui ont porté de onze à quinze le chiffre de la c
’a point encore été faite. M. Sainte-Beuve l’a remplacée dans le xie
volume
par une centaine de pages des plus piquantes, int
tobre, novembre et décembre 1865), qui seront prochainement réunis en
volumes
. — Nous avons eu à publier, depuis la mort de M.
mandé par les éditeurs des Causeries, MM. Garnier, pour l’un des deux
volumes
extraits de ce Recueil, Galerie de Femmes célèbre
ntaine, agent national. » 26. Sic transit gloria mundi. Voilà neuf
volumes
du Voyage du jeune Anacharsis, qui rentrait entiè
Géographie moderne abrégée par l’Abbé Nicolle de la Croix, 1766. deux
volumes
in-12. L’ordre & l’exactitude sont le mérite
détail dans la Géographie universelle par Dom Vaissette, 1755. quatre
volumes
in-4°. L’auteur connu par sa savante Histoire du
seigneur le Chancelier de France, 1745. & années suivantes, seize
volumes
in-4°. & 60. vol. in-12. sans compter la tabl
s qu’il faut chercher dans la lecture. On sçait que les sept premiers
volumes
de l’édition in-4°. sont une traduction de l’angl
igures d’animaux, de végétaux, habits, antiquités, &c. Le premier
volume
de cette continuation a paru & on l’a trouvé
ncien & du nouveau monde, à Paris chez Vincent 1765. en plusieurs
volumes
in-12. L’auteur de cet ouvrage (M. l’Abbé de la P
ettres qui composent cet ouvrage dont nous avons déjà une douzaine de
volumes
, sont remplies de détails curieux, instructifs &a
voit fait six voyages qui ont été publiés in-4°. Paris 1676. en trois
volumes
& réimprimés ensuite en six volumes in-12. On
s in-4°. Paris 1676. en trois volumes & réimprimés ensuite en six
volumes
in-12. On y trouve des choses curieuses, & il
, depuis l’an 1662. jusqu’en 1667. in-4°. Paris 1665-1674-1684. trois
volumes
sont très estimés. On ne fait pas moins de cas d
urelle, par le célébre Tournefort, en deux vol. in-4°. & en trois
volumes
in-8°. Le principal objet des voyages de ce Savan
eux voyages du Levant imprimés au commencement de ce siécle en quatre
volumes
in-12. Corneille le Bruin est généralement estim
e sens, de raison, de philosophie, de vues, que dans beaucoup de gros
volumes
, où la forme est absorbée par la matiere. L’Asie
de Surgi, in-12. ; les Voyages du P. Labat, Dominicain, en plusieurs
volumes
in-12. Voyage fait au Pérou en 1751. , par M. l’A
pulation & de l’histoire naturelle, par M. l’Abbé Richard, en six
volumes
in-12. 1766. , est un livre infiniment curieux, r
ge de France, d’Espagne, de Portugal & d’Italie, par Mr. S***. 4.
volumes
in-12. 1770. Il est bon d’ajouter que quiconque v
utes nos sources, c’est qu’il eût fallu, pour ce faire, doubler notre
volume
. Le public n’ignore pas que le catalogue des jour
ue des journaux de la Révolution, dressé par Deschiens, forme seul un
volume
in-8 de 465 pages. La conscience de n’avoir rien
toire de la société française pendant la Révolution, demande un autre
volume
l’Histoire de la société française pendant le Dir
ise pendant le Directoire : l’accueil que fera le public à ce premier
volume
décidera si nous irons jusqu’au bout de notre œuv
s XV Préface de la première édition (1860)42 En donnant ces
volumes
au public, nous achevons la tâche que nous nous é
de Goncourt. Paris, février 1860. [Addition de l’édition en trois
volumes
(1878)] Cette biographie des Maîtresses de Lo
histoire des Maîtresses de Louis XV, publiée dans le principe en deux
volumes
, je la réédite, aujourd’hui, en trois volumes ind
ans le principe en deux volumes, je la réédite, aujourd’hui, en trois
volumes
indépendants l’un de l’autre et ayant pour titre
Châteauroux et ses sœurs. Madame de Pompadour. La Du Barry. Trois
volumes
contenant la vie des trois grandes Maîtresses déc
a fiction et de la convention, que nous entreprenons l’œuvre, dont ce
volume
est le commencement. Nous voulons, s’il est possi
ouveaux, et jusqu’ici ignorés, de l’histoire morale et sociale. Trois
volumes
, si nous vivons, suivront ce volume de La Femme a
istoire morale et sociale. Trois volumes, si nous vivons, suivront ce
volume
de La Femme au xviiie siècle. Ces trois volumes
s vivons, suivront ce volume de La Femme au xviiie siècle. Ces trois
volumes
seront : l’Homme, l’État, Paris 45 ; et notre œuv
t-elle pas, dans une lettre à Lauraguais, de l’an VII, donnée dans ce
volume
, l’intention d’écrire l’histoire de ses amours ?
7)] Postérieurement à la publication de la première édition de ce
volume
, j’ai retrouvé, j’ai acquis le commencement des M
u temps. 42. Librairie de Firmin-Didot fils, frères et Cie, 1860, 2
volumes
in-8º. 43. Addition à la préface de l’édition d
a préface de l’édition de 1860, qui se trouve dans l’édition en trois
volumes
in-18, publiés par G. Charpentier, 1878-1879. 44
Charpentier, 1878-1879. 44. Librairie Firmin-Didot et Cie, 1862, 1
volume
in-8. 45. Ces trois volumes sont restés à l’éta
Librairie Firmin-Didot et Cie, 1862, 1 volume in-8. 45. Ces trois
volumes
sont restés à l’état de projets. 46. Poulet-Mal
[Préface] En réunissant en
volumes
les plus anciens articles de M. Sainte-Beuve, ins
869) : « Je me propose pourtant, dit-il, si je vis, de donne dans un
volume
à part la suite de mes articles au Globe ; on me
diquer des lacunes de ce genre relies disparaîtraient dans un dernier
volume
de Mélanges. Mais partout où nous avons acquis la
il n’en est point absolument ainsi ; ce qu’on recueille dans de gros
volumes
n’est pas sauvé par là même, et ce qui reste dans
éraires, dont quelques-uns se trouvent recueillis dans les précédents
volumes
; quelques autres que je pourrais regretter sont
deux entre autres sur Jefferson, qu’on trouvera à leur date dans ces
volumes
. Un article du même temps sur M. Louis de Carné,
pour l’explication de la pensée qui a présidé à la composition de ces
volumes
. M. Sainte-Beuve a plus activement collaboré au G
sur M. Mignet (à partir de janvier 1826), nous avons maintenu dans ce
volume
, à leur date, les articles qui précèdent, et qu’i
seraient tentés de nous chicaner sur ce titre de Lundis, donné à ces
volumes
, nous répondrons que M. Sainte-Beuve n’a pas touj
s, et il nous donne, absolument comme si nous n’avions rien dit, deux
volumes
, — que dis-je ? — comme s’il ne pouvait s’en empê
lbutie de L’Illustre Docteur Mathéus avait laissée pendante, ces deux
volumes
-ci y répondent, selon nous, très nettement. Erckm
vrai… et possible. Elle n’a qu’à regarder attentivement dans ces deux
volumes
, et opposer l’un à l’autre ce qui y est réussi, s
III Tout n’est pas fantastique, même de prétention, en ces deux
volumes
, malgré le titre que porte le premier. J’ai parlé
porte le premier. J’ai parlé des Fiancés de Grinderwald. Mais dans le
volume
intitulé : Contes fantastiques, il y a cette luna
s trouvons, ainsi que dans Les Fiancés de Grinderwald, la perle de ce
volume
, les qualités que nous avons cherché à caractéris
ndt est le héros, laquelle n’a pas de raison pour être plutôt dans ce
volume
que dans tout autre volume de nouvelles, et qui e
n’a pas de raison pour être plutôt dans ce volume que dans tout autre
volume
de nouvelles, et qui en aurait une que je sais bi
ui a presque proportion de roman, et qui envahit, à lui seul, tout le
volume
, ce très beau Conte de Hugues-le-Loup, je ne le m
dénonce à tous ! Il vient de paraître à la librairie des Didot quatre
volumes
d’une publication, matériellement très soignée. C
utes les herbes de la Saint-Jean » y sont, n’est-ce pas ?… Les quatre
volumes
, qui doivent être suivis de huit autres, à ce qu’
pas y croire, qu’une telle publication, on ne sait pourquoi de douze
volumes
qui, si j’en juge par les quatre — que je viens d
es de renseignement véritablement nouveau et historique ! Juger douze
volumes
par quatre paraîtra peut-être bien léger aux espr
de remarquer que ce n’est pas du tout le texte, en soi, de ces quatre
volumes
publiés qui me fait induire le texte des huit qui
serait impossible de voir autrement qu’il n’a commencé. En ces quatre
volumes
, en effet, qu’on nous donne aujourd’hui, sous pré
uvrant d’un nom trop brillant leur obscurité. Du moins, en ces quatre
volumes
, MM. Soulié et Dussieux n’ont prouvé nulle part q
u profit de M. Didot, lequel n’a pas besoin du placement de ces douze
volumes
pour faire d’excellentes affaires et avoir une bo
mpromise par le rire qu’elle fait naître ? Dans le premier des quatre
volumes
publiés, le duc de Luynes rapporte (p. 99) que le
urtant (c’est significatif) que deux anecdotes de ces quatre immenses
volumes
, dont l’une, je crois, sur Louis XIV, qui, ennuyé
otes, de dix lignes chacune, pour justifier une publication de quatre
volumes
in-8º de 500 pages ! Réellement cela ne justifie
12
Sainte-Beuve, Charles-Augustin.
(1864)
Portraits littéraires. Tome III (nouv. éd.)
« Théocrite, François Ier poète, le Chevalier de Mébé, l’abbé Prévost, Mademoiselle Aïssé, Madame de Krudner, Madame de Staal-Delaunay, Benjamin Constant, M. Rodolphe Topffer, M. de Rémusat, M. Victor Cousin, Charles Labitte. »
musat, M. Victor Cousin, Charles Labitte. La première édition de ce
volume
, qui parut d’abord en décembre 1851, avait en têt
rut d’abord en décembre 1851, avait en tête cet avertissement : « Ce
volume
, que j’intitule Derniers Portraits, non parce que
lles j’ai pris plaisir avant Février 1848, sert de complément aux six
volumes
de Portraits déjà publiés chez M. Didier. Il s’y
. Si l’on rangeait un jour mes Portraits dans un ordre méthodique, ce
volume
fournirait son contingent à chacune des branches
dans lesquelles je me suis essayé. » Aujourd’hui, en réimprimant ce
volume
dans la collection acquise par MM. Garnier, j’en
ndividualisme. Mais on ne s’en avise pas d’abord, et, dans le premier
volume
de l’Essai sur l’indifférence en matière de relig
de 1819, dans les Soirées de Saint-Pétersbourg, 1821, dans le second
volume
de Lamennais, qui est de la même année, ce que l’
a Révolution de Michelet ; ou celle de Louis Blanc, dont les premiers
volumes
sont de la même année. Mais si peut-être il sembl
thode, ni refait son « tempérament ». Il a continué dans les derniers
volumes
de son Histoire de France, à ne retenir et à ne t
t ainsi dire, dont les faits l’avaient remué. Mais, dans ces derniers
volumes
eux-mêmes, et surtout dans son Insecte, son Oisea
Villemer, 1860, ou de Monsieur Silvestre, 1865, si l’on veut, chaque
volume
nouveau qu’elle ajoute à son œuvre en est un qu’e
— Son œuvre est désormais terminée ; — quoi qu’il y puisse ajouter en
volume
; — et, après les déboires que lui ménage le gouv
surveillé de son vivant la publication de ses Œuvres complètes, en 36
volumes
, Paris, 1836-1839, Pourrat, — nous pourrions nous
Pourrat, — nous pourrions nous borner à relever le contenu de ces 36
volumes
, si la distribution des matières n’y était vraime
nt les tomes XXVI à XXXII de ladite édition, dont les quatre derniers
volumes
contiennent l’Essai sur la littérature anglaise [
authentique de ses Œuvres complètes est l’édition de 1820-1821, en 17
volumes
, Paris, Treuttel et Wurtz. III. — Idéologues,
s sur les premiers objets de nos connaissances morales, 1818 ; — deux
volumes
de Mélanges, 1819, formés d’articles parus dans l
ld, dont la meilleure est l’édition Le Clère, Paris, 1817-1819, douze
volumes
, et, de plus, 1843, quatre volumes. V. — Josep
Le Clère, Paris, 1817-1819, douze volumes, et, de plus, 1843, quatre
volumes
. V. — Joseph-Marie de Maistre [Chambéry, 1753
n 1836. Son fils, le comte Rodolphe de Maistre, a publié en 1851 deux
volumes
de Lettres et opuscules inédits de son père, Lyon
1817], Paris, Michel Lévy. Ses Œuvres complètes ont été réunies en 14
volumes
, Lyon, Vitte et Pérussel, 1884-1886. On a refondu
yon, Vitte et Pérussel, 1884-1886. On a refondu dans les six derniers
volumes
les deux volumes de 1851 ; les trois volumes de M
ussel, 1884-1886. On a refondu dans les six derniers volumes les deux
volumes
de 1851 ; les trois volumes de M. Albert Blanc ;
du dans les six derniers volumes les deux volumes de 1851 ; les trois
volumes
de M. Albert Blanc ; et on y a joint cent cinquan
Conversation chez la comtesse d’Albany (rédigé en 1812) ; — et 4º Un
volume
de Lettres, souvent réimprimé sous le titre de Le
tion des Œuvres de P.-L. Courier est celle que nous avons citée, en 4
volumes
, Paris, 1834, Paulin et Perrotin. VII. — Pierr
de Béranger ; — et que, tout incomplète qu’elle soit, — si les quatre
volumes
que nous en avons ne justifient pas l’enthousiasm
ndre aux Chansons — les Mémoires de 1857, Ma biographie ; — et quatre
volumes
de Correspondance. La meilleure édition des Chans
lleure édition des Chansons est celle de 1847, chez Perrotin, en deux
volumes
in-8º, plus un volume de Chansons posthumes. V
sons est celle de 1847, chez Perrotin, en deux volumes in-8º, plus un
volume
de Chansons posthumes. VIII. — Hugues-Félicité
1814. — Séjour en Angleterre, 1814-1815 ; — et publication du premier
volume
de l’Essai sur l’indifférence en matière de relig
qu’il excite ; — et qui augmente encore par la publication du second
volume
en 1821. — Lamennais, attaqué par une partie du c
xiste deux éditions des Œuvres complètes de Lamennais, l’une en douze
volumes
, Paris, 1836-1837, P. Daubrée et Cailleux ; — et
lumes, Paris, 1836-1837, P. Daubrée et Cailleux ; — et l’autre en dix
volumes
, Paris, 1844, Pagnerre ; — toutes les deux fort i
ires d’un touriste, 1838 ; — sa Correspondance, dont on a publié deux
volumes
en 1855 ; — et un volume de Lettres à sa sœur, 18
— sa Correspondance, dont on a publié deux volumes en 1855 ; — et un
volume
de Lettres à sa sœur, 1892. Ses Œuvres complètes
e Lettres à sa sœur, 1892. Ses Œuvres complètes ont été réunies en 13
volumes
, d’une part ; et de l’autre 4 volumes, intitulés
complètes ont été réunies en 13 volumes, d’une part ; et de l’autre 4
volumes
, intitulés Œuvres posthumes, Paris, 1853-1855, Ca
vy. On y a depuis ajouté : Vie de Napoléon, 1876 ; et les cinq ou six
volumes
publiés par M. Casimir Stryienski. X. — Alphon
ge, 1838 ; — les Recueillements poétiques, 1839. Il y faut joindre un
volume
de Poésies inédites, publié en 1873 ; et d’assez
; et d’assez nombreuses poésies de jeunesse, éparses dans le premier
volume
de sa Correspondance ; 2º Ses Romans : Raphaël, 1
ns des Œuvres complètes de Lamartine : Paris, 1840, chez Gosselin, 13
volumes
; — Paris, 1845-1849, Furne, 8 volumes [qui ne co
Paris, 1840, chez Gosselin, 13 volumes ; — Paris, 1845-1849, Furne, 8
volumes
[qui ne comprennent en réalité que les Œuvres poé
t Paris, 1860-1863, chez l’auteur, rue de la Ville-l’Évêque, quarante
volumes
[dont ne font d’ailleurs partie ni la Corresponda
ennent : 1º ses Lettres sur l’histoire de France, 1820, et réunies en
volume
, augmentées et corrigées en 1827 ; — 2º son Histo
Gogol, L’Inspecteur général ; Tourguenieff, Apparitions ; — 6º quatre
volumes
de récits de voyage : Dans le Midi de la France ;
; et de nombreux articles de revues, qui n’ont pas tous été réunis en
volume
; — 7º une Correspondance, comprenant actuellemen
; et nous avons des raisons de croire qu’on en doublerait aisément le
volume
. XVI. — Alexis-Charles-Henri Clérel de Tocquev
es ont été publiées par Mme de Tocqueville, Paris, 1864-1868, en neuf
volumes
in-8º, dont les deux volumes publiés par M. G. de
e Tocqueville, Paris, 1864-1868, en neuf volumes in-8º, dont les deux
volumes
publiés par M. G. de Beaumont en 1861 forment les
de Balzac], Balzac, sa vie et ses œuvres, Paris, 1858, et en tête du
volume
de la Correspondance. Eugène Poitou, « M. de Balz
Lamartine, « Balzac », dans son Cours de littérature, 1864, et en un
volume
, Paris, 1866 ; — Émile Zola, Le Roman expérimenta
l existe deux bonnes éditions des Œuvres de Balzac, la première en 20
volumes
, Paris, 1855, Houssiaux ; — et la seconde en 24 v
remière en 20 volumes, Paris, 1855, Houssiaux ; — et la seconde en 24
volumes
, Paris, 1885, 1888, Calmann Lévy. II. — Jules
L’Insecte, 1857 ; L’Amour, 1859 ; La Femme, 1860 ; — et les derniers
volumes
de son Histoire de France, 1855-1867 ; — qui l’on
Œuvres de Vico et le Précis d’histoire moderne, 1827. — Les premiers
volumes
de l’Histoire de France, 1833-1844 [des origines
tile à l’Église. — C’est ce qui rend plus surprenant que ces premiers
volumes
n’aient pas tiré tout de suite Michelet de pair ;
Mme Michelet, une édition des Œuvres complètes de J. Michelet, en 40
volumes
in-8º, Flammarion, Paris, commencée il y a déjà q
o après 1830, Paris, 1891 ; Victor Hugo après 1852, Paris, 1893 [cinq
volumes
formant ensemble la plus exacte biographie qu’il
observer que, si les Contemplations n’ont paru qu’en 1856, — tout un
volume
en est antérieur à 1848 [Cf. notamment À Villequi
n le Petit, 1852 ; — Histoire d’un crime, 1852-1877 ; — et les quatre
volumes
intitulés Avant l’Exil ; Pendant l’Exil, et Depui
anche, 1884. On a encore publié, depuis la mort du poète, cinq ou six
volumes
de ses Œuvres posthumes et un volume de Correspon
s la mort du poète, cinq ou six volumes de ses Œuvres posthumes et un
volume
de Correspondance. Les Œuvres complètes — moins l
es Œuvres complètes — moins la Correspondance — ont été réunies en 56
volumes
in-8º, Paris, 1885-1888, Hetzel. IV. — George
orge Sand. Ses Œuvres complètes forment un peu plus d’une centaine de
volumes
[édition Michel Lévy] ; — non compris les quatre
centaine de volumes [édition Michel Lévy] ; — non compris les quatre
volumes
de l’Histoire de ma vie ; — et les six volumes ac
non compris les quatre volumes de l’Histoire de ma vie ; — et les six
volumes
actuellement parus de la Correspondance. V. —
II. — Portraits littéraires, t. II ; Causeries du lundi, t. XI, et le
volume
de Table des Causeries ; — Nouveaux lundis, t. XI
t 3º ses Œuvres critiques, ainsi divisées : Portraits littéraires, 3
volumes
; Portraits de femmes, 1 volume ; Portraits con
ivisées : Portraits littéraires, 3 volumes ; Portraits de femmes, 1
volume
; Portraits contemporains, 5 volumes ; Port-Roy
olumes ; Portraits de femmes, 1 volume ; Portraits contemporains, 5
volumes
; Port-Royal, 5 volumes in-8º ou 7 volumes in-18
mmes, 1 volume ; Portraits contemporains, 5 volumes ; Port-Royal, 5
volumes
in-8º ou 7 volumes in-18 ; Chateaubriand et son
ortraits contemporains, 5 volumes ; Port-Royal, 5 volumes in-8º ou 7
volumes
in-18 ; Chateaubriand et son groupe littéraire,
in-8º ou 7 volumes in-18 ; Chateaubriand et son groupe littéraire, 2
volumes
; Causeries du lundi, 15 volumes ; Nouveaux lun
ubriand et son groupe littéraire, 2 volumes ; Causeries du lundi, 15
volumes
; Nouveaux lundis, 13 volumes. Il y faut ajouter
e, 2 volumes ; Causeries du lundi, 15 volumes ; Nouveaux lundis, 13
volumes
. Il y faut ajouter : Tableau de la poésie françai
de la poésie française au xvie siècle ; — ses Premiers lundis, trois
volumes
qu’on a formés après sa mort des articles qu’il n
rois « nouvelles » assez insignifiantes. Il n’a encore paru que trois
volumes
de sa Correspondance et presque rien de ses fameu
u 1er janvier 1897. Il existe deux éditions des Œuvres, l’une en huit
volumes
in-8º, Paris, 1868-1870, Michel Lévy ; et l’autre
cause qu’elles ne rempliraient pas moins de soixante ou quatre-vingts
volumes
, — se composent : 1º De ses Poésies, dont les pre
sous le titre d’Histoire de l’art dramatique depuis vingt-cinq ans, 6
volumes
, 1858-1859, Paris ; — C. Enfin son œuvre de criti
que Sarcey dans Le Temps. Ceux de M. Jules Lemaître ont été réunis en
volume
sous le titre d’Impressions de théâtre. 2º L’Aute
[revue et corrigée, selon l’antique usage] est celle de 1889, en sept
volumes
, Paris, Calmann Lévy. IV. — Octave Feuillet [S
es Œuvres. — Elles se composent de son Théâtre complet, dans les cinq
volumes
duquel, publiés chez Calmann Lévy, 1892, 1893, on
uées, y compris quelques-unes de celles qui faisaient partie des deux
volumes
: Scènes et proverbes, et Scènes et comédies ; Et
antiques ; Poèmes barbares ; Poèmes tragiques. — Il y faut ajouter un
volume
d’œuvres posthumes, Derniers poèmes, publié en 18
† 1880, Paris] 1º Les Sources. — Correspondance de G. Flaubert, 4
volumes
, 1887-1893, Paris, et, en tête du premier volume
e de G. Flaubert, 4 volumes, 1887-1893, Paris, et, en tête du premier
volume
: « Souvenirs intimes » [par Mme Commanville, sa
es Œuvres complètes, moins la Correspondance, ont été réunies en sept
volumes
, in-8º, Paris, 1885, Quantin. VIII. — Hippolyt
re, 1872 ; — et il conçoit le plan du grand ouvrage — dont le premier
volume
; L’Ancien Régime, 1875, — est peut-être son chef
tique ; — pour y devenir tout à fait prépondérante, dans les derniers
volumes
de ses Origines, 1890-1892. — Il se retrouve ains
art en Grèce, 1869 ; — Philosophie de l’art dans les Pays-Bas [quatre
volumes
réunis en deux, depuis 1881, sous le titre généra
rer au dur éclat de la prose de Taine. — Mais déjà, dans les derniers
volumes
, le dilettantisme commence, d’apparaître ; — c’es
euse, 1857 ; — et Nouvelles études d’histoire religieuse, 1884 ; deux
volumes
, dont le second contient quelques-uns des premier
Évangiles, 1877 ; L’Église chrétienne, 1879 ; Marc-Aurèle, 1881, sept
volumes
, que complète un index ; — Histoire du peuple d’I
1858 ; Le Cantique des Cantiques, 1860 ; L’Ecclésiaste, 1861 ; et le
volume
intitulé Conférences d’Angleterre, 1881. 3º Œuvre
rançais d’Eugène Crépet. Ses Œuvres complètes ont été réunies en sept
volumes
in-12, Paris, 1868-1870, Michel Lévy. XI. — L’
ire Clémenceau, 1866 ; 2º Son Théâtre, dont la dernière édition, en 7
volumes
in-12, Paris, 1890-1893, Calmann Lévy, se compose
, 1882 ; Denise, 1885 ; Francillon, 1887. Il y faut ajouter les deux
volumes
intitulés : Le Théâtre des autres, dans lesquels
dehors de ses romans et de son Théâtre, on a enfin de Dumas : — trois
volumes
d’Entr’actes, 1878-1879, plus un volume de Nouvea
n a enfin de Dumas : — trois volumes d’Entr’actes, 1878-1879, plus un
volume
de Nouveaux entr’actes, 1890, où il a lui-même ré
t encore celle-là ! Je n’en étais pas sûr avant d’avoir lu ce premier
volume
de l’ouvrage d’Édelestand du Méril, mais comment
de théâtre, dans cette époque primitive qu’il parcourt en son premier
volume
, et qu’il ferme à Aristophane ? Dans cette histoi
euples [IV-VII]. [Le Constitutionnel, 21 septembre 1869.] Le second
volume
de l’Histoire de la Comédie chez tous les peuples
eulement l’envie à ceux qui ne le connaissent pas. V Le premier
volume
, en effet, ne nous avait pas mis simplement l’eau
ce que serait l’ouvrage intégral, qui, dit-on, sera de quatre à cinq
volumes
. Il fut évident pour ceux qui l’ouvrirent et qui
nces et les différences des sociétés et des civilisations. Ce premier
volume
de l’Histoire de la Comédie telle que du Méril l’
t le ridicule de chaque temps ? Et du Méril a continué, et son second
volume
égale le premier. Rien n’a défailli ni dans la pl
dans la tête de l’auteur. Il n’a pas fait ce premier pas d’un premier
volume
, étoffé comme le sien, pour reculer. Le premier v
s d’un premier volume, étoffé comme le sien, pour reculer. Le premier
volume
, je l’ai dit, se fermait à Aristophane ; le secon
la Comédie romaine. Telle la circonscription historique de ce second
volume
, armé, vers la fin, d’un appendice redoutable sur
médie soit de la plus étonnante impersonnalité, quoique dans ces deux
volumes
il n’ait pas (si je ne me trompe) écrit le mot mo
et amusante peinture de la société et des mœurs chinoises, au premier
volume
de cette histoire, mais je crois supérieure encor
beau chapitre sur la Comédie italique, le plus intéressant de second
volume
, il vaut encore le critique anglais qu’il rappell
nature, que Winckelmann et que Lessing. Or, justement, dans ce second
volume
de l’Histoire de la Comédie, du Méril nous a donn
là les seuls reproches qu’on puisse raisonnablement adresser aux deux
volumes
actuels de cette grande Histoire de la Comédie ch
e ambition, si l’on veut, est sortie la Légende des Siècles. Les deux
volumes
qu’on va lire n’en contiennent que la première pa
première série, comme dit le titre. Les poëmes qui composent ces deux
volumes
ne sont donc autre chose que des empreintes succe
stoire ; empreintes moulées sur le masque des siècles. Quand d’autres
volumes
se seront joints à ceux-ci, de façon à rendre l’œ
un changement de physionomie de l’humanité. On trouvera dans ces deux
volumes
, qui, nous le répétons, seront continués et compl
La figure de ce livre, on l’a dit plus haut, c’est l’homme. Ces deux
volumes
d’ailleurs, qu’on veuille bien ne pas l’oublier,
l’auteur a dans l’esprit, n’est ici qu’entr’ouvert. Quant à ces deux
volumes
pris en eux-mêmes, l’auteur n’a qu’un mot à en di
fait la légende. C’est l’aspect légendaire qui prévaut dans ces deux
volumes
et qui en colore les poëmes. Ces poëmes se passen
97). OPINIONS. Jean-Jacques Weiss Nous possédons de lui un
volume
de vers, Amours et haines, qu’il a publié en 1869
s’occuper de lui s’il ne l’était pas. On peut donc recueillir dans ce
volume
une demi-douzaine de pièces qui sont inspirées et
ndain ou sensations de la vie de tous les jours. La majeure partie du
volume
(idylles légères, graves et mélancoliques, écrite
s moins poète. Ce vers (c’en est un !) m’est inspiré par la vue d’un
volume
de poésies signées Édouard Pailleron, de l’Académ
matique avec le Parasite et poète avec les Parasites. Dans ce premier
volume
de vers, le poète fait un peu trop claquer le fou
ers, le poète fait un peu trop claquer le fouet de Juvénal. Le second
volume
de vers de M. Pailleron, Amours et haines, paru e
, sinon à des étourderies, du moins à des étourdissements. Si dans ce
volume
vous· ne trouvez pas de contradictions positives,
ur la moqueuse raquette des faits. Dans l’introduction qui précède le
volume
de Μ. Hatin, aucun principe souverain ne s’élève
que-là l’histoire de la Gazette, ne va pas plus loin dans son premier
volume
, et, de fait, la Gazette n’est-elle pas, à elle s
ns des citations qui donneront à croire que le besoin de compléter un
volume
, où la matière d’un volume manque évidemment, éta
ont à croire que le besoin de compléter un volume, où la matière d’un
volume
manque évidemment, était furieusement impérieux !
exemple, quand il nous cite, dans le dessein transparent de faire son
volume
, les platitudes difficiles, nugas difficiles , d
t plus de sincérité et d’insistance que ce livre n’est que le premier
volume
d’un ouvrage qui doit en avoir plusieurs, et que
l. Tout le monde y gagnera. C’est l’aperçu qui manque dans ce premier
volume
de son histoire, et c’est le détail, le détail in
ail insignifiant, petit, incurieux, qui n’y manque pas assez. Que les
volumes
qui vont suivre, et dans lesquels le sujet à trai
oète sincère. Il n’en est pas à son coup d’essai ; c’est le troisième
volume
qu’il donne dans le même ordre d’idées religieuse
onse. Il est du très petit nombre de poètes qui se vendent. Ses beaux
volumes
, magnifiquement imprimés, ne le sont pas à ses fr
timent de composition et d’ensemble systématique : ainsi, son présent
volume
, qui commence par un hosannah au Père céleste, s’
suffisent. On a été fort sévère autrefois dans cette Revue36 pour son
volume
de Poésie catholique, et qu’il nous soit permis d
e seraient qu’un piquant de plus comme pour de certaines beautés. Son
volume
se divise en deux parts : la première, sous le ti
no rose pour oser dire tout haut ses tendresses. La seconde moitié du
volume
nous offre des traductions en vers, comme échanti
pât jamais à dire : Et comme le croyant près de l’Eucharistie !… Le
volume
est précédé d’une lettre en vers à M. Émile Desch
’étoile c’est Dieu, Mais les essais de vers blancs, qui terminent le
volume
, ne sont pas heureux ; mais on n’échappe jamais t
Aujourd’hui qu’on annonce ses œuvres complètes, on publie un premier
volume
qui ne donne pas un grand appétit pour ceux qui v
rdinairement quand ils grimpent. Le morceau le plus intéressant de ce
volume
n’est pas de Diderot ; il est de sa fille, madame
e, par exemple, dans les Pensées soi-disant philosophiques du premier
volume
de l’édition Garnier que j’ai là sous les yeux. C
ri et idiotisé. Mais il faut arrêter tout cet échenillage. Ce premier
volume
de la collection future des Garnier est comme une
rang littéraire par une critique impersonnelle et définitive. Dans le
volume
d’aujourd’hui, intitulé Philosophie, je l’ai dit
se aussi duquel il plongea son génie, l’y souilla et l’y éteignit… Le
volume
que voici est en lui-même de peu d’importance. No
ombres dans la caverne, mais ce n’est pas celle de Platon. Les autres
volumes
nous vengeront-ils de l’ennui causé par celui-ci,
peine d’être montrée. Chapitre II : la philosophie Les 3e et 4e
volumes
des Œuvres de Diderot viennent de paraître, et j’
, si on se le rappelle, que je suivrais l’ordre de cette publication,
volume
par volume, pour montrer intégralement Diderot à
le rappelle, que je suivrais l’ordre de cette publication, volume par
volume
, pour montrer intégralement Diderot à la lumière
la plus grosse patte. Il n’en fut la tête d’aucune façon, et les deux
volumes
que voici le prouvent suffisamment, du reste, car
philosophie de Diderot, c’est les sens de Diderot. Rien de plus ! Les
volumes
que voici en font foi. L’éditeur les a placés sou
phie. Ils contiennent, en effet, toute celle de Diderot. Au troisième
volume
vous trouverez les Pensées sur l’interprétation d
ette philosophie se retrouve à toute place. Voilà le gros de ces deux
volumes
, dans lesquels ce qui vaut le mieux, peut-être, c
istribution des œuvres de Diderot, qui en étaient déjà à leur dixième
volume
quand nous écrivions ceci, ajoute un labeur nouve
conte inventé par La Harpe, et M. Taine, qui l’a cité à la fin de son
volume
de l’Ancien régime, s’est permis un effet de fant
fut pas plus haut que son temps et il le subit tout entier. Dans les
volumes
publiés aujourd’hui il apparaît comme conteur et
ect il ne nous paraît pas plus grand qu’il ne nous l’a paru, dans les
volumes
précédents, comme penseur et comme philosophe. C’
Chapitre IV : le théâtre Parmi les œuvres de Diderot, dont les
volumes
, en ce moment, se succèdent et tombent sur nous c
ur nous comme les lourds blocs d’une avalanche, le viie et le viiie
volumes
sont consacrés à sa critique dramatique. Dans les
ée de tout le fretin qu’elle contenait et nous ont composé presque un
volume
avec les plans et les ébauches de pièces qu’il av
s ! toutes les pièces de Diderot pourraient bien porter ce nom-là. Ce
volume
de plans et d’ébauches montre à quel point l’idée
oulu nous donner un Diderot complet et sous toutes ses faces. Au ixe
volume
de leur collection, destiné presque tout entier à
publication des Garnier continue toujours d’aller son train enragé de
volumes
, cependant on peut, à la rigueur, considérer que
être, les éditeurs, qui croient trouver leur compte à multiplier les
volumes
et à tarir, jusqu’à sa dernière goutte, le puits
encore non pas en critique générale, mais en critique appliquée. Les
volumes
où l’on a renfermé ses critiques d’art contiennen
nce qui doit terminer les œuvres complètes de Diderot. Depuis le XIIe
volume
, qui, selon moi, fermait ses œuvres personnelles,
, fermait ses œuvres personnelles, les éditeurs ont pu écouler en six
volumes
de plus les divers travaux de Diderot à l’Encyclo
iété. C’est de là qu’il a écrit les lettres à mademoiselle Volland du
volume
d’aujourd’hui, qui s’arrête à la date de 1760, ca
bourgeois en veine d’obscénité. Tel il est pourtant, le Diderot de ce
volume
de Correspondance, dans lequel, du Diderot des Œu
quand il a du talent, Diderot ne peut jamais être grand. De tous les
volumes
de l’édition publiée jusqu’ici c’est incontestabl
ici c’est incontestablement le plus médiocre, parce qu’il y a dans ce
volume
le plus de bourgeois. Par places, même, ce livre
erot y regarde, et je n’ai rien trouvé qui puisse sauver du mépris ce
volume
de Correspondance, qui n’est pas le dernier encor
Gœthe Eh bien, c’est fini ! Pour le coup, c’est fini ! Le dernier
volume
de Diderot a paru. Et c’est bien le dernier du Di
ssézat, car il s’est évaporé… Il devait nous faire, parbleu ! tout un
volume
sur Diderot et le xviiie siècle. On l’avait anno
et le xviiie siècle. On l’avait annoncé sur la couverture de chaque
volume
, et il nous faisait faux bond à chaque volume. On
la couverture de chaque volume, et il nous faisait faux bond à chaque
volume
. On l’avait annoncé, gros comme le bras, et on n’
et la philosophie s’abattissent sur Diderot, retrouvé sous ses vingt
volumes
, qu’on se mit à soulever, comme tout un Herculanu
e se contenta pas de jaboter à son tour sur Diderot, mais publia deux
volumes
de ses Œuvres choisies, coupés — mais avec des ci
PENSÉES ET FRAGMENTS145. Chaque publication de ces
volumes
de critique est une manière pour moi de liquider,
il n’en est point absolument ainsi ; ce qu’on recueille dans de gros
volumes
n’est pas sauvé par là même, et ce qui reste dans
i mémoire il y a), de mille réminiscences traînantes et confuses. Ces
volumes
de Critiques et Portraits renferment du moins tou
éraires, dont quelques-uns se trouvent recueillis dans les précédents
volumes
; quelques autres que je pourrais regretter sont
du tome V. 146. Je me propose pourtant, si je vis, de donner dans un
volume
à part la suite de mes articles au Globe ; on me
es membres de l’Institut. (Tome XII, 1853.) Lundi 27 juin 1853. Ce
volume
in-4º de près de mille pages, publié sous la dire
r et d’érudition, sur cette Histoire littéraire qui, après vingt-deux
volumes
, n’a pu encore arriver au terme du xiiie siècle.
ans, le docte religieux avait successivement publié les huit premiers
volumes
de son Histoire littéraire de la France (1733-174
ui était de lui encore, ne parut qu’après sa mort, en 1750. Les trois
volumes
suivants, jusqu’au 12e inclusivement (1763), fure
urs ; non pas que dom Brial eût participé à la rédaction des derniers
volumes
de l’Histoire littéraire, qui remontaient déjà à
Ils ont donné, dans l’espace de près de quarante ans (1814-1853), dix
volumes
, depuis le 13e jusqu’au 22e inclusivement. Cepend
e exécuté et ce qu’entreprit le courageux solitaire. Dès les premiers
volumes
, il prêta aux critiques et aux objections, l’abbé
ue point. Les infatigables et pesants Bénédictins vont donner, en dix
volumes
in-folio, que je ne lirai point, l’Histoire litté
entendu et dans une juste extension, a été fidèlement observé. Ce 22e
volume
offre, je l’ai dit, un article sur le Roman de Re
ne semble guère autre chose qu’une fable de La Fontaine en plusieurs
volumes
; mais il y a plus et mieux, il y a pis. On a, da
n de nos auteurs, que je crois être M. Le Clerc (Avertissement du 22e
volume
). Fauriel, plus circonspect, dit également : « Il
et les moins aimables. 39. [NdA] M. Chabaille a publié, en 1835, un
volume
supplémentaire contenant quelques branches nouvel
oire critique de la littérature au xixe siècle. On le trouve dans le
volume
des Poëtes (3e volume des Œuvres et des Hommes, 1
ttérature au xixe siècle. On le trouve dans le volume des Poëtes (3e
volume
des Œuvres et des Hommes, 1re série, les poëtes),
ons commencé par le poëte cette étude sur Mme de Girardin (voir le 3e
volume
des Œuvres et des Hommes, les poëtes, 1re série).
le premier le second mérite de Mme de Girardin et à examiner les deux
volumes
où la femme d’esprit apparaît avec un tel mouveme
e sexe, vainqueur de tout, — le sexe de ces délicieuses Lettres. Deux
volumes
, deux gros volumes de cinq cents pages, « où, cri
e tout, — le sexe de ces délicieuses Lettres. Deux volumes, deux gros
volumes
de cinq cents pages, « où, criait-il scandalisé,
ténue le délit, mais pour nous, voilà la merveille ! Ce sont ces deux
volumes
, légers, quoique gros, c’est la sorcellerie de ta
s, quoique gros, c’est la sorcellerie de talent qui, en ces deux gros
volumes
, parle si divinement chiffons, cette petite chose
C’est la seule chose qui, selon nous, soit à regretter, dans ces deux
volumes
où les chiffons sont les choses sérieuses, et les
s, et pour preuve de son changement de côté, il nous donne le premier
volume
de son Histoire de la Révolution 23. Il nous le d
it l’unité politique, prétend faire tenir, bon gré, mal gré, dans dix
volumes
, — ni plus ni moins, — par la seule force du poig
s qu’il parvienne à exécuter le tour de force qu’il se propose, et le
volume
que nous avons sous les yeux le prouve suffisamme
ume que nous avons sous les yeux le prouve suffisamment, du reste. Ce
volume
de près de cinq cents pages ne comprend guères qu
nitude des événements, semblent avoir plus de vingt-quatre heures. Ce
volume
-ci a beau brusquer les faits pour les faire aller
l’écrirait. Il peut aller vite, pour peu qu’il arrive… Comment ! dix
volumes
! Il est bien bon de nous promettre dix volumes.
arrive… Comment ! dix volumes ! Il est bien bon de nous promettre dix
volumes
. Il pourrait n’en donner que cinq. Il arriverait
as écrit, même par distraction, une seule fois le nom de Dieu dans un
volume
de cinq cents pages où il s’agit d’un des plus gr
s de rhétorique. Je sais bien que, quand il m’arrive de trouver en ce
volume
, qui n’a pas le temps de regarder dans le cœur de
la Correspondance dont on nous menace, et non l’égrener en plusieurs
volumes
, ce collier, qui n’est pas de perles ! Mais le pu
sieurs volumes, ce collier, qui n’est pas de perles ! Mais le publier
volume
par volume est une imprudence et peut-être une ma
mes, ce collier, qui n’est pas de perles ! Mais le publier volume par
volume
est une imprudence et peut-être une maladresse. L
par volume est une imprudence et peut-être une maladresse. Le premier
volume
dégoûtera de ceux qui vont suivre, et c’est la gl
e ». III Ce n’est guère que vers les trois quarts de ce premier
volume
d’une Correspondance qui ressemble presque à une
t ennui, bon pour la première fois, allait faire supprimer les autres
volumes
d’une correspondance dont le premier donne positi
vons pas l’âme assez profonde pour être inconsolable ! Vers la fin du
volume
, l’Écrivain, qui n’avait touché qu’un mot de ces
croit deviner qu’elle ne sera plus qu’un bas-bleu désormais dans les
volumes
suivants de sa Correspondance. Ses lettres à Mada
3, Eugène Sue, tous ceux enfin qui ont écrit soit une ligne, soit des
volumes
pour le théâtre, oui, la réponse sera unanime ; o
beau de Bavière tout entière y passa. C’est mon premier roman en deux
volumes
. Ce que M. Buloz me paya, je ne saurais le dire,
francs la feuille ; six cent cinquante francs ou sept cents francs le
volume
. Quatre volumes y passèrent. Le succès se soutint
le ; six cent cinquante francs ou sept cents francs le volume. Quatre
volumes
y passèrent. Le succès se soutint ; j’en eus la p
s M. Buloz était une ancienne connaissance : à cent écus de moins par
volume
, je lui donnai la préférence. M. Buloz s’en souvi
de M. Buloz n’a pu féconder ! Oh ! M. Buloz, ne relisez pas les cent
volumes
que M. de Balzac a écrits sous quatre noms différ
u à peu une certaine position littéraire, en publiant une centaine de
volumes
et en composant une vingtaine de drames. Il en ré
que, cédant aux instances de M. Buloz, je continuai à lui donner mes
volumes
à cinq cents francs meilleur marché qu’à tout aut
autre. Cinq cents francs ne sont rien pour un académicien qui fait un
volume
tous les lustres, comme on dit à l’Académie ; mai
part la moindre exigence ce rapport ? Je continuais donc à donner mes
volumes
, tantôt à la Presse, tantôt au Siècle, tantôt à l
ondes, recevant de M. Dujarrier ou de M. Perrée cinq cents francs par
volume
de plus que je ne recevais de M. Buloz, ayant, en
gens qui savent vivre, lorsque je revins de Florence avec les quatre
volumes
du Chevalier d’Harmental. À mon arrivée, je trouv
arrivée, je trouvai une lettre de Desnoyers, qui me demandait quatre
volumes
pour le Siècle. Quatre volumes, c’était juste le
de Desnoyers, qui me demandait quatre volumes pour le Siècle. Quatre
volumes
, c’était juste le chiffre de ce que je rapportais
e de ce que je rapportais ; j’allai donc répondre à Desnoyers que mes
volumes
étaient bien ses serviteurs et ceux de M. Perrée,
de M. Perrée, lorsque de son côté M. Buloz me fit demander ces quatre
volumes
pour la Revue de Paris. J’en demande bien humblem
e et au mien, puisque je perdais 2 000 fr. à cette remise, les quatre
volumes
du Chevalier d’Harmental. Je fus puni par où j’av
ui fallait pour le lendemain une feuille, pour la semaine suivante un
volume
. Je ne dirai pas non plus tout le mal qu’il en éc
diens, il ne fera plus, les uns disent que douze, les autres dix-huit
volumes
pour la Presse. Pour prix de sa collaboration exc
el ma fabrication littéraire a livré, en dix ans, vingt ou vingt-deux
volumes
! comme c’est adroit de la part du régisseur du t
e même qu’elle critiquait. Il est vrai que M. Buloz n’éditait pas les
volumes
comme il avait édité la nouvelle, et puis ces vol
éditait pas les volumes comme il avait édité la nouvelle, et puis ces
volumes
avaient changé de titre : ils s’appelaient Deux t
habitude de publier nos œuvres, d’abord dans un journal et ensuite en
volumes
. On trouvera dans la seconde édition tout ce que
sage, Un Mot, la première partie des Mémoires du Diable, sept ou huit
volumes
à peu près. — Et comment es-tu avec M. Buloz ? —
abonné près ce que rapportent ces inappréciables amphigouris, ces dix
volumes
de bagne, de coups d’épée et d’emprisonnement, fa
e cependant, que je bornerai désormais ma fabrication littéraire à 18
volumes
par an, ce qui laisse à entendre que j’en fais d’
coup plus. M. Buloz a raison sur un point : cette année, j’ai fait 36
volumes
, dont je tiens les manuscrits, la disposition de
M. Buloz ou de toute autre personne qui voudrait s’assurer que ces 36
volumes
sont, depuis la première jusqu’à la dernière lign
usqu’à la dernière ligne, écrits de ma main. Or, mon ami, mettons les
volumes
à 4 000 fr. l’un dans l’autre, on ne m’accusera p
sera pas, j’espère, d’exagérer la valeur de mes produits6. Trente-six
volumes
à 4 000 fr. donneront un total de 144 000 fr. Mai
’est-à-dire d’un an et demi. Cette année et demie, à trente-six
volumes
par an, eût produit cinquante-quatre volumes, qui
e et demie, à trente-six volumes par an, eût produit cinquante-quatre
volumes
, qui, à 4 000 fr. l’un, donneraient 216 000 fr. 2
les notes de M. Dauzats, a été publié dans la Revue de Paris. 6. Les
volumes
du Juif Errant ont été payés 20 000 fr. l’un, 200
tudes, car ce livre vient de paraître, ou plutôt seulement le premier
volume
de ce livre ; mais ce sont déjà des attitudes de
ce temps-là, nous voudrions pourtant risquer notre mot sur ce premier
volume
dont on nous inonde. Et, de fait, cette critique
à fond, comme elle ira peut-être, puisque nous n’avons que le premier
volume
d’un ouvrage qui en a plusieurs. La composition i
tique final, tout, oui ! à peu près tout nous manque, dans ce premier
volume
, de ce qui peut être plus tard. Et il n’y a proba
plaisir ; mais ce que je sais, c’est que je viens de lire le premier
volume
, sur lequel ils avaient compté pour allumer la cu
On pourrait même supprimer, si on voulait, sans que je les lusse, les
volumes
inconnus de l’ouvrage… que, franchement, je n’en
e modifier. Dès les premières pages jusqu’aux dernières de ce premier
volume
de l’Homme qui rit, j’ai reconnu le Victor Hugo d
omme lui je dirais qu’elle y a laissé un trou énorme. Dans le premier
volume
de l’Homme qui rit, comme dans les Travailleurs d
les Travailleurs de la Mer, a pris de bien autres proportions dans le
volume
actuel. Depuis l’histoire des Comprachicos jusqu’
, qu’un hachis de hachures pointues… Voyez son pendu, dans ce premier
volume
de l’Homme qui rit, cette description qui dure le
rardin ! Tel le changement, tel le dernier pas d’Hugo dans ce premier
volume
de l’Homme qui rit. Certes ! je ne lui demandais
hoses devaient venir, et bien d’autres encore, qui viendront dans les
volumes
à venir, sur Jacques II probablement, sur l’arist
isons maintenant notre dernier mot sur l’Homme qui rit, dont tous les
volumes
ont paru, et presque disparu… du moins de la préo
es amis. Tout le monde a été surpris, — et moi-même. Quand le premier
volume
de cet Homme qui rit a paru, j’ai dit combien je
d’Hugo mérite-t-il le sort qu’on lui fait ?… J’ai dit sur le premier
volume
ce que j’en pouvais dire. Je n’en pouvais juger q
effet, de composition quelconque, il n’y en a pas plus dans les trois
volumes
qui le suivent que dans le premier… Le premier —
odieusement, et sans cesse, par des dissertations de revue. Les trois
volumes
que voici continuent cette sublime combinaison. S
auriez pas, certainement, quatre-vingts pages de l’histoire en quatre
volumes
de l’Homme qui rit. Quatre-vingts pages (et même
er ! Il l’a renversé dans ce livre inachevé, qui n’est que le premier
volume
d’un ouvrage qui en aura deux. Faute de tactique,
! Faute cependant moins grande qu’elle ne paraît. Nous n’avons en ce
volume
que Rodrigue Borgia, mais nous avons aussi le gra
la fait toute, seulement avec sa moitié ! IX Tel est le premier
volume
. Borgia, en attendant le pape, en sort complèteme
sa cellule, il entreprenoit la Gazette de son tems, & pour que le
volume
fùt plus gros il remontoit toujours à Adam ou au
ongrois, dont je donne le précis ; qu’on la compare à la grandeur des
volumes
qui composent l’Histoire Ecclésiastique & Mon
service au public, que de réduire en un seul corps de dix ou douze *
volumes
ce qu’à peine pourroit-on trouver ramassé en deux
ouze * volumes ce qu’à peine pourroit-on trouver ramassé en deux cens
volumes
? Un particulier ayant ce seul corps de mon Histo
mérite une place dans les Bibliothèques. Nous avons actuellement 32.
volumes
in-4°. de la traduction françoise imprimés à Amst
souvent inégal. Il devoit, selon son projet, se borner à six ou sept
volumes
; & il a poussé son ouvrage jusqu’à treize. L
in-4°. L’histoire de Pyrrhus, Roi d’Epire, par M. Jourdan, 1749, deux
volumes
in-12. L’histoire d’Epaminondas pour servir de su
Romains, depuis Auguste jusqu’à Constantin, par M. Crevier, en douze
volumes
, a été presqu’entiérement puisée dans M. de Tille
que,) il est écrit d’un style simple & un peu lâche. Les premiers
volumes
parurent en 1700. & ne furent pas beaucoup re
ne chaleur. La mort l’ayant surpris lorsqu’il travailloit au huitiéme
volume
de cet ouvrage, M. Villaret, Secrétaire de la Pai
oit eu de bons fondemens, il n’auroit pas été obligé de faire tant de
volumes
pour le prouver. Son opinion est que les peuples
ire civile, politique & militaire que contiennent les 4. premiers
volumes
. L’Histoire ecclésiastique, celle des guerres, &a
& Charles IX., nouvelle édition in-4°. Londres (Paris) 1743. six
volumes
in-4°. : ouvrage curieux & instructif, &
es & politiques, par M. C. B. in-8°. la Haye (Paris) 1741. quatre
volumes
: b n édition ; mais dans laquelle on n’a pas en
de l’Ecluse les eût mis en françois élégant. Son édition est en huit
volumes
in-12. Mémoires des grands Capitaines françois,
sieur de Brantome, & autres ouvrages, in-12. la Haye 1741. quinze
volumes
. Cet auteur qui avoit le génie de la Cour, s’est
du regne de Louis XIII. par M. de V. in-12. Amsterd. Rouen 1707. deux
volumes
. Ces mémoires sont tirés du Mercure de Vittorio S
ent qu’ils sont du Duc de la Rochefoucauld. Mémoires de Lainet, deux
volumes
in-12. Ils roulent sur la guerre civile de la fro
Anne d’Autriche, par Madame de Motteville, in-12. Amsterdam 1723. six
volumes
. On y trouve beaucoup de petits faits, avec un gr
epuis l’origine de la Monarchie. Il publia en 1636. les deux premiers
volumes
de cette collection. Après la mort de ce savant q
uetin. En 1738. les Libraires associés présenterent au Roi le premier
volume
des Historiens de France ; en 1739. le second ; e
Hommes illustres de la France, dont nous avons actuellement vingt-six
volumes
. Du Castre d’Auvigni, qui a commencé cet ouvrage,
çoise par le Pere Charenton, Jésuite, imprimée à Paris en 1725. en 6.
volumes
in-4°. sous ce titre : Histoire générale d’Espagn
-Unies, il faut consulter les grandes histoires. Le Clerc donna trois
volumes
in-sol. sous le titre d’Histoire des Provinces-Un
on histoire d’Henri VII. Roi d’Angleterre réimprimée en 1727. en deux
volumes
in-12., est le meilleur ouvrage de cet auteur. Vo
e de Marie Stuard, par M. M. Fieron & l’Abbé de Marsy 1742. trois
volumes
in-12. Ouvrage écrit d’un style pur & coulant
évolutions d’Italie, & on la traduit en françois à mesure que les
volumes
paroissent. Cet ouvrage est écrit avec cet art qu
en 1748. sous le titre d’Histoire des révolutions de Gènes, en trois
volumes
in-12., n’est qu’une compilation de vieilles gaze
iberté. Elle est divisée en 40. livres, & imprimée à Naples en 4.
volumes
in-4°. 1723. On l’a traduite en françois dans le
lumes in-4°. 1723. On l’a traduite en françois dans le même nombre de
volumes
, & elle a eu beaucoup de succès. Il resteroit
3. six vol. in-12. La seconde par Mr. Mallet dans un pareil nombre de
volumes
& postérieure à la précédente. Celle-ci est l
t approfondies & son érudition agréablement menagée. Les derniers
volumes
de l’Histoire moderne, ouvrage que je ferai conno
M. de V. par Norborg, confesseur de ce Monarque qui a fait deux gros
volumes
in-4°. maussadement écrits. C’est un ouvrage mal
stine en est l’héroïne. Nous avons sur cette Princesse quatre énormes
volumes
in-4°. dont un savant Allemand a surchargé la lit
te République si singuliérement constituée. Il parut en 1734. en cinq
volumes
in-12. une Histoire des Rois de Pologne & des
I En 1865 il parut, à la librairie de Germer-Baillière, un premier
volume
de l’Histoire de la Révolution française de Carly
urent Élias Regnault et Odysse Barot. Ils publièrent alors le premier
volume
d’une traduction qu’ils devaient continuer. Mais
lui, encore qu’une année d’existence dans le xixe siècle. Combien de
volumes
seraient nécessaires pour examiner, avec la criti
plier, d’entasser, de presser douze cents ans de littérature dans un
volume
qui n’a pas douze cents pages, puis qu’il n’en a
’immense étoffe que Barot emploie toute, il lui fallut plusieurs gros
volumes
pour y mettre cette histoire, circonscrite pourta
nouilles qu’aux hures de saumon, empile toute cette multitude dans un
volume
in-18 de la collection Charpentier ! Assurément l
force et la vie de son histoire, et il bloque son énorme sujet en un
volume
qu’on peut avaler en quelques heures de lecture.
n écrivant cette histoire de la littérature anglaise, bourrée dans un
volume
à l’usage de ceux qui n’ont pas le temps de lire
eux cette idée de démocratie dont son malheureux esprit est féru. Son
volume
, qui finit par une espèce d’apothéose de Stuart.
onne de lui contester, c’est une admirable fertilité. Chacun des deux
volumes
qu’il a publiés contient environ six mille vers.
Chauves-souris , M. de Montesquiou-Fezensac, a choisi le titre de son
volume
de vers. Le nom de Chef des odeurs suaves qu’il l
niérée. Il y a quelque chose de spécialement irritant à voir ces gros
volumes
vides ; on sent fort bien que l’auteur a tout rec
e sa vieillesse surannée, le grand siècle aboli. Ajoutons encore deux
volumes
de prose, Roseaux pensants et Autels privilégiés,
ouvrages, M. de Montesquiou a réimprimé en partie le texte d’un petit
volume
, Félicité, par lui publié antérieurement sur Marc
, il prit le parti de se mettre aux gages d’un Libraire, & publia
volume
sur volume, ce qui n’est pas le moyen de faire de
e parti de se mettre aux gages d’un Libraire, & publia volume sur
volume
, ce qui n’est pas le moyen de faire de bons Ouvra
t des matieres, est celui qui a pour titre, Causes célebres, en vingt
volumes
in-12. Cette Collection seroit intéressante, si u
n’ignorons pas que M. Garsault a réduit cet Ouvrage énorme en un seul
volume
, sous le titre de Faits des Causes célebres &
politiques et diplomatiques. On lira dans un autre esprit le premier
volume
d’une Histoire de la Société de Jésus que vient d
brisées de M. Capefigue et avec plus de talent peut-être. Son premier
volume
de l’Histoire des jésuites a, dit-on, un vif inté
teur de Marie Stuart, vient de recueillir ses œuvres complètes : deux
volumes
ont paru, dont le premier contient les tragédies
art et le Cid d’Andalousie, imprimé pour la première fois ; le second
volume
contient le Poëme de la Grèce et des odes qui s’y
odes qui s’y rapportent, ainsi qu’un poëme sur Napoléon. Un troisième
volume
, non encore paru, donnera des poésies lyriques et
] Maurice Barrès M. Jacques Madeleine aura une note à lui. Son
volume
intéresse ; et ceux qui connaissent la collection
tion qui, moins stricte, serait des plus intéressantes. Dans ces deux
volumes
, il manque un je ne sais quoi ; le poète se garde
n d’un grammairien, et je suis persuadé qu’il l’émonde trop. Des deux
volumes
, je préfère À l’orée de beaucoup ; j’aimerais mie
ccompli, parfait, ambrosien, comme la Muse antique, dans cet adorable
volume
. M. Jacques Madeleine est bien un des meilleurs
mbre d’élus par un artiste de Fontainebleau, À l’orée de la forêt, ce
volume
exquis entre tous ; et cependant, à ne point ment
ire l’une ou l’autre de ces trois choses : une ligne, une surface, un
volume
. Nous devons ces idées à diverses sensations parm
e surface, moins la connotation (résistance). L’étendue en solide, ou
volume
, c’est l’idée d’un volume, moins la connotation (
ation (résistance). L’étendue en solide, ou volume, c’est l’idée d’un
volume
, moins la connotation (résistance). Mais un volum
c’est l’idée d’un volume, moins la connotation (résistance). Mais un
volume
sans la résistance, qu’est-ce ? la place pour un
nce). Mais un volume sans la résistance, qu’est-ce ? la place pour un
volume
. Mais cette place, qu’est-ce ? une portion de l’e
it concevoir l’accroissement continu d’une ligne, d’une surface, d’un
volume
. C’est là ce que nous appelons l’idée d’une étend
aucune marque de vieillesse, à son heure ou prématurée, dans ces deux
volumes
dont le second l’emporte en énergie sur le premie
s affectés d’éléphantiasis. III Les Contemplations forment deux
volumes
qui, selon le compte de M. Hugo, font le total de
allons montrer, vous allez voir que l’insensé n’est pas si bête ! Le
volume
d’Autrefois, dont les dates tiennent entre 1830 e
une belle candeur. Est-ce ici le cas pour M. Hugo ?… Les pièces de ce
volume
, filles des quarts d’heure qui ont sonné à de lon
e la chasse, Et quand j’y vais, ce n’est que pour penser à vous ! Le
volume
d’Autrefois, presque tout entier composé de pièce
suprêmement les défauts habituels de M. Hugo dans le simple, comme le
volume
suivant a tous ses défauts dans le solennel : seu
croyez pas qu’ils soient clairsemés et qu’on les épingle. Le premier
volume
des Contemplations est tout entier dans cette not
udra, ce n’est pas même ce genre de talent qui domine dans le premier
volume
. Presque partout, le Jocrisse du fond, le Jocriss
Murmurent « amour ! » Tel, en toute vérité, est ce premier
volume
où la bucolique aplatit et tue l’élégie, et où, s
les Corybantes de M. Hugo ne vantent eux-mêmes que deux poésies de ce
volume
(deux sur presque cent !!), Le Rouet d’Omphale et
ieux d’André Chénier, ce timbre qui avait des ailes ! Quant au second
volume
, intitulé Aujourd’hui, nous n’en pourrons indique
s n’avons rien, absolument rien, de véritablement beau dans le second
volume
, parce que nous n’avons rien de pur. Même dans le
mages qui obsèdent l’esprit de M. Hugo, nous avons tout loué dans son
volume
d’Aujourd’hui… Ôtez le livre Pauca meæ, consacré
dire, mais cela est mérité. Nous ne mourons que de nos excès. Dans ce
volume
, l’artiste périt défiguré, enflé, énorme (le mot
rie, ils penseraient comme nous, ils diraient comme nous, de ces deux
volumes
sous lesquels la réputation poétique de M. Victor
nd M. Victor Hugo, qui fait des vers depuis quarante ans, publie deux
volumes
embrassant toutes les dates de sa vie, il est imp
araît surtout d’une manière éclatante dans la pièce de vers du second
volume
des Contemplations, intitulé Religio. Cette pièce
à incommoder un homme fier. M. Victor Hugo a été loué pour ce dernier
volume
comme en France on loue toute puissance, car litt
égende des siècles, nous crûmes ne trouver, dans les deux formidables
volumes
dont on parlait, rien autre chose que les convuls
vres complètes, — Les Poésies. I Enfin, après tous les autres
volumes
qui ont successivement paru depuis sa mort, voici
volumes qui ont successivement paru depuis sa mort, voici le premier
volume
des œuvres complètes de Mme Émile de Girardin. No
s rendîmes compte des Lettres parisiennes 7, la cause du retard de ce
volume
de poésies qui aurait dû, selon les us et coutume
rose de sa joue, c’est cette loi que va nous démontrer aujourd’hui le
volume
de poésies de Mme de Girardin, qui furent ses com
! Mais, quand elle écrit de gros ouvrages, et des romans en plusieurs
volumes
, et des tragédies et des comédies en cinq actes,
nie ? Et puisque nous tenons une épave de ce qu’elle a perdu, dans ce
volume
de poésies, publiées aujourd’hui, voyons si son n
aufrage, comme poète, est un si grand malheur à déplorer. IV Le
volume
en question est divise en trois parties : les Poè
! 7. On trouvera Mme de Girardin, jugée comme écrivain, dans notre
volume
intitulé : Les Bas-bleus du xixe siècle. Ici, el
GLANES, PÖESIES PAR MADEMOISELLE LOUISE BERTIN. 1842 On dit que ce
volume
de poésies a été jusqu’à la fin un mystère pour c
e confidence, à demi parlée, à demi murmurée, devait lui sourire. Ce
volume
est né aux Roches, c’est-à-dire en un lieu riant
sont venus rattacher au nom et à la pensée de mademoiselle Bertin. Ce
volume
en fait la réponse naturelle, très en harmonie av
onnés. Quoique, certes, la fraîcheur et la grâce n’y manquent pas, ce
volume
a peu les caractères d’un début. La forme atteste
i s’appelle la région d’un esprit. Ce que je préfère pourtant dans le
volume
, ce que j’y ai cherché d’abord avec une curiosité
eurs remarquables. Je veux moins parler des ballades qui terminent le
volume
et y font appendice ; elles prouvent de l’habilet
râce, mais l’accent y est moins original. Deux grandes pièces dans le
volume
donnent une plus haute idée du souffle et de la f
’ancienne la nouvelle ainsi porte le mauvais lot. Tous les vers de ce
volume
me semblent tenir de cette manière nouvelle ; seu
otre point de départ et des Glanures qui nous ont mis en train. Si ce
volume
avait paru il y a dix ans, il n’y aurait pas de d
ttéraires ; il les a reprises et poussées depuis dans la préface d’un
volume
intitulé Chants d’Amour (Crozet, 1841). Les objec
es poètes belges le plus excellemment simple et chantant. Son premier
volume
était fort joli. Voici un recueil de mélodies dou
rmant, en vérité, de voir venir de temps à autre de là-bas ces minces
volumes
de vers ingénus, pleins de musique, nimbant des s
it, semble-t-il, facile de retrouver, dans les premières divisions du
volume
, des influences assez marquées de ceux qui sont d
des êtres transitoires et partiels. Toutes les pièces que contient le
volume
de M. Paul Gérardy sont de courte haleine, trop c
Le Constitutionnel, 7 février 1870. I Je viens de lire ces deux
volumes
, y cherchant… ce qui n’y est pas, et j’en sors, c
es d’eau salée dans les yeux ; car c’est une mer de mots que ces deux
volumes
: des mots, des mots, des mots ! Encore bon quan
ntement, quelle déception, quelle stupéfaction pour moi, que ces deux
volumes
! Il m’était resté dans la tête, après tout le br
n a choisi celles-ci et on en a composé comme un carquois en ces deux
volumes
; et c’est ce carquois, jugé si formidable, que n
rs ! On s’imagine trouver des orateurs dès les premières pages de ces
volumes
, et on se trouve nez à nez avec des théories orat
n-Timon et qu’on arrivât tout botté vous planter sous le nez ces deux
volumes
des Orateurs, que diriez-vous de l’homme qui les
vieille petite enragée de rhétorique ! À ne le voir que dans les deux
volumes
qui vous font tomber de si haut, on peut affirmer
Voici qu’il pleuro et sanglote en le mirage de ses derniers vers. Le
volume
me semble le vitrail dont il parle dans une pièce
ers. Le volume me semble le vitrail dont il parle dans une pièce d’un
volume
antérieur, intitulée : Résignation. Il appelle so
gourme du poète. Il arrive fréquemment qu’un prosateur débute par un
volume
de vers, il est plus rare qu’un poète débute par
ute par un volume de vers, il est plus rare qu’un poète débute par un
volume
de prose. M. Giraud, qui a la religion de la poés
gourme en prose ? En tout cas, cela lui vaut de n’avoir aucun mauvais
volume
de vers à son actif. Si l’on veut connaître les s
Préface de la première édition du quatrième
volume
Dix années se sont écoulées entre le troisième
du quatrième volume Dix années se sont écoulées entre le troisième
volume
de cet ouvrage et le quatrième et dernier. Je doi
ard une courte explication. Quand j’ai commencé à mettre la main à ce
volume
, la révolution de 1848 venait d’élever à la digni
d, au chapitre qui lui est consacré, le plus anciennement écrit de ce
volume
. Rousseau a deux défauts pour lesquels je ne suis
Récamier [I-II]. [Le Pays, 17 octobre 1859.] Je vous donne ces deux
volumes
comme la plus fameuse des déceptions ! Si ce n’es
n livre sur Madame Récamier ne soit pas plus intéressant que ces deux
volumes
! Songez donc ! Madame Récamier ! cette femme d’u
r ce nom seul de Madame Récamier, toute l’Europe courra lire ces deux
volumes
, si la Critique n’avertit pas… et toute l’Europe
’avertit pas… et toute l’Europe sera attrapée. Elle courra à ces deux
volumes
comme elle courait chez Madame Récamier, dans le
Madame Récamier et elle ne l’y trouvera pas ; car on peut écrire deux
volumes
et même trois sur quelqu’un sans nous le montrer
se dit en parlant de tout. Madame Récamier aurait donc écrit ces deux
volumes
que je l’y verrais, essayât-elle de s’y dérober.
le comte Ory, ce n’est pas suffisant ! Il n’y a, d’ailleurs, dans le
volume
de Madame Lenormant, que quatre à cinq lettres de
e perdue, et qui cesse même d’être Récamier du tout, car, à moitié du
volume
, voilà que cela devient Jean-Jacques Ampère, — un
tre fabuleux ; car nous ne la trouvons nulle part, ni dans le premier
volume
de Madame Lenormant, ni dans le second de ces Let
ensée, ainsi semées à tous les vents, ne fussent point recueillies en
volumes
pour qu’on pût les relire et pour que l’auteur, s
journaliers de la presse, ont pris le parti plus simple de mettre en
volumes
le plus tôt possible ce qu’ils distribuent de jug
crains que Saint-Victor ne conserve pas et ne recueille pas dans les
volumes
d’articles revus qu’il prépare ; il s’agit de je
e fait plus grave, me les ôte et me les supprime. En un mot, dans ces
volumes
de critique qu’on multiplie de nos jours, je goût
ts historiques sont certainement ce qu’il y a de plus notable dans le
volume
que nous annonçons : Néron, Marc-Aurèle, sont d’a
ucisse ou qui tempère. Swift est devenu comme le bouc émissaire de ce
volume
qu’il termine et qui est, à tous les autres endro
ent armé comme pour un combat ou pour une fête. Salut et honneur ! Le
volume
qu’il vient de publier est comme une magnifique o
es industries abaissées frelatent ce qu’elles vendent, voici un petit
volume
qui mérite d’arrêter le regard qu’il attire, car
harmant, d’un goût typographique à la fois audacieux et sûr, ce petit
volume
justifie l’écusson placé en télé du frontispice a
ce, à la librairie parisienne, un exemple qui est une leçon. Avec son
volume
d’aujourd’hui, il a prouvé que la notion des livr
nie de la spéculation qui les produit et qui les lance. Ôtez quelques
volumes
de Techener et de Didot, et la bibliothèque elzév
a Critique que des sujets d’étonnement douloureux et de pitié dans ce
volume
, dont tout le mérite appartiendra à l’éditeur. Co
tes idiotes et enragées, — ces deux caractères sont également dans ce
volume
de rythme forcé et de pensée atone, — voilà les s
peuvent se demander, en lisant des œuvres poétiques comme ce dernier
volume
, si la fin de notre monde littéraire doit avoir l
ue « les aigles » se font une raison, comme on dit. — Savez-vous quel
volume
de poésies a, dans ces dernières années, remporté
ans ces dernières années, remporté le prix de la faveur publique ? un
volume
de sonnets ! Nous devenons poussifs et nous n’av
z, les signes apparaissent déjà : les livres deviennent rares, et les
volumes
se multiplient. Ceci n’est pas un livre, mon ami
es se multiplient. Ceci n’est pas un livre, mon ami ; ce n’est qu’un
volume
. C’est-à-dire un assemblage disparate de pages di
it pas figurer une seule fois le nom du poète vendômois dans les huit
volumes
de sa Bibliographie instructive. M. Brunet, à qui
Pléiade, elle s’est étendue sur les satellites d’alentour. Les quatre
volumes
qui forment l’ensemble des poésies d’Olivier de M
: c’est toute une anthologie française et grecque que ces deux beaux
volumes
imprimés à Bordeaux, avec les caractères de Perri
, bien ou mal, n’avait cessé d’être en vue, M. Blanchemain donnait un
volume
d’Œuvres inédites de Ronsard ou de vers à lui att
faire réimprimer en entier, au grand regret de tous ceux pour qui le
volume
original, tout à fait rare et hors de prix, est i
voulu donner que les Chefs-d’œuvre du poète Des Portes dans un petit
volume
, de facile et agréable lecture (1862). M. Alfred
Michiels avait déjà recueilli tout ou presque tout Des Portes dans un
volume
fort dense (1858), auquel il a joint une notice f
ue placée en tête des œuvres, et de notes rejetées à la fin de chaque
volume
. Pour complément de la collection, un volume à pa
etées à la fin de chaque volume. Pour complément de la collection, un
volume
à part contiendra : une Étude générale sur la Plé
nçoises de Joachim Du Bellay, dont nous n’avons encore que le premier
volume
, l’éditeur a dérogé à son ordre, et la notice bio
ix des œuvres et poésies de Ronsard, publié par M. Paul Lacroix en un
volume
(1840), et il y a, de 1862, un autre Choix en deu
croix en un volume (1840), et il y a, de 1862, un autre Choix en deux
volumes
publié chez M. Didot par les soins de M. A. Noël.
e les auteurs de presque tous les temps. Il écrivait au jour le jour,
volume
par volume ; il prenait ses sujets où il pouvait,
rs de presque tous les temps. Il écrivait au jour le jour, volume par
volume
; il prenait ses sujets où il pouvait, et partout
om est à jamais attaché. Gil Blas se publia successivement en quatre
volumes
, dont les derniers suivirent à des époques assez
s derniers suivirent à des époques assez éloignées. Les deux premiers
volumes
parurent en 1715, l’année même de la mort de Loui
elles sentimentales que l’auteur a insérées çà et là pour grossir ses
volumes
, et qu’il a imitées on ne sait d’où. Les deux pre
ir ses volumes, et qu’il a imitées on ne sait d’où. Les deux premiers
volumes
de l’ouvrage, après avoir fait passer sous les ye
er le métier d’intendant par où l’on devrait le finir. » Le troisième
volume
, publié en 1724, et qui est le plus distingué de
rattache à la race des bons vieux railleurs d’autrefois. Ce troisième
volume
abonde en récits excellents. Gil Blas, devenu sec
ur rentrer dans le vrai de son habitude et de sa nature. Le quatrième
volume
de Gil Blas ne parut qu’en 1735, c’est-à-dire vin
ibou (veuve du libraire) lui a avancé cent pistoles sur son quatrième
volume
de Gil Blas qui n’est point encore fini et qui ne
est point encore fini et qui ne le sera pas de sitôt24. Ce quatrième
volume
, dans lequel on voit Gil Blas sortir de la retrai
ême au naturel. Lesage avait soixante-sept ans quand parut le dernier
volume
de Gil Blas. Trois ans après (1738), il donna Le
paux. Le P. Regnault a mis en entretiens, d’abord le Physique en cinq
volumes
in-12., & depuis la Logique sous le titre d’A
du beau sexe les Institutions physiques de Mme. du Chatelet, en deux
volumes
in-4°. : ouvrage qui étonne par l’immensité des c
nton, en plusieurs vol. in-4°. qui se continuent. Nous avons déjà 16.
volumes
sur les quadrupedes & un vol. sur les oiseaux
p; des métiers, en dix-sept vol. in-fol., sans y comprendre plusieurs
volumes
de planches dans le même format. Les sept premier
plusieurs volumes de planches dans le même format. Les sept premiers
volumes
de ce Dictionnaire furent livrés en effet entre l
s en effet entre les années 1751. & 1757., & les dix derniers
volumes
ont été publiés au commencement de l’année 1766.
st de cette imprimerie de Lutèce que sortirent également les premiers
volumes
de la nouvelle « École » ( !) : Les Syrtes, Les C
Je ne veux pas parler dans cette mince brochure que des Auteurs de
volumes
ou de plaquettes, auxquels le lecteur, désireux c
ne prose cadencée qui ne justifie pas la disposition typographique du
volume
; — mais la pensée reste d’un poète. M. Kahn est
un critique et un savant. Francis Vielé-Griffin Après un petit
volume
Cueille d’avril, qui n’a rien de bien remarquable
où son talent s’affirme davantage. La petite note mise en tête de ce
volume
est intéressante par cela qu’elle semble vouloir
i. M. du Clésieux, pour ceux même qui ne connaîtraient de lui que son
volume
, est évidemment une de ces âmes rares, mais non p
tte forme libre et facile que se sont modulés ses premiers chants. Le
volume
que nous avons sous les yeux laisse certainement
là auprès, une source naturellement courante. Les dernières pièces du
volume
, qui sont d’une date plus récente, ont aussi plus
ses premiers essais. Quoi qu’il en soit de nos critiques sincères, ce
volume
, qui vient de l’âme, et qui est une douce émanati
aux générations curieuses qui n’avaient su jusqu’ici que son nom. Ces
volumes
renferment pourtant très peu de choses écrites pa
M. Lenormant lui-même. Il y a quelques lacunes, sans doute, dans ces
volumes
: au nombre des correspondants les plus habituels
! De toutes les lettres publiées dans les différentes parties de ces
volumes
, et qui offrent un ensemble et une suite, les plu
fait la remarque, qu’il n’y ait que ce mot-là à retenir dans les deux
volumes
. Et ici il faut bien s’entendre et ne pas demande
ue nous lui avons entendu raconter ont trouvé place dans les présents
volumes
; je les y reconnais, et je crois l’entendre. Ain
On le voit assez, aujourd’hui encore, à la place qu’il tient dans ces
volumes
: l’impression des lecteurs les plus favorables e
t je regrette qu’on nous ait donné, dans la dernière moitié du second
volume
, un trop grand nombre de ces pages qui sont des c
-même. — L’observation faite, il n’en est pas moins vrai que ces deux
volumes
nous offrent sur une femme qui fut un modèle de b
, elle n’aura point passé comme une ombre charmante. 61. [NdA] Deux
volumes
in-8°, Michel Lévy, rue Vivienne, 2 bis. 62. [Nd
esse leur front lorsqu’ils entrent dans une galerie ou chiffonnent un
volume
qu’ils devront « juger ». Sans cet esprit corpora
hui général, au point qu’il est quasi impossible de dire du bien d’un
volume
sans rétribution du journal par l’éditeur ou l’au
livres où M. Armand Silvestre est obligé de parler pêle-mêle de vingt
volumes
en deux cents lignes — de vingt volumes sur deux
de parler pêle-mêle de vingt volumes en deux cents lignes — de vingt
volumes
sur deux cents reçus ! À l’Écho de Paris, la crit
peut faire davantage, même en choisissant un nombre très restreint de
volumes
et en condamnant à l’oubli tous les autres. La cr
autres. La critique, comprise comme une lutte de comptes rendus et de
volumes
édités, est une fastidieuse dépense de jugements
ment pour l’Allemagne et pour l’Angleterre, où les journaux sont d’un
volume
considérable, où il y a beaucoup plus de revues e
considérables à ce point de vue. M. Léon Daudet, qui a signé ce beau
volume
des Idées en marche, renouvelé le roman d’aventur
ation, transportée à l’étranger, créerait un échange international de
volumes
sobres, débordants de pensée concentrée, qui enri
Histoire de la Restauration, par M. de Lamartine. (Les deux premiers
volumes
. — Pagnerre.) Lundi 4 août 1851. « Nous sommes
ment au besoin de la phrase et de l’harmonie. Pour moi, dans ces deux
volumes
que je viens de lire avec plaisir et entraînement
vé une seule date ni en marge ni dans le texte. Qu’importe ? les deux
volumes
intéressent, et le sujet, à bien des égards, conv
y aura en lui cette fois bien des restes de l’honnête homme. Les deux
volumes
actuellement publiés le prouvent déjà. Ces volume
te homme. Les deux volumes actuellement publiés le prouvent déjà. Ces
volumes
, je le répète, sont intéressants, bien que rempli
le portrait de Louis XVIII, que M. de Lamartine nous donne au second
volume
. Après l’avoir peint dans son costume ordinaire,
vance indiquer certaines pages de M. Lubis qui se trouveront dans les
volumes
non encore publiés de M. de Lamartine, car les mê
e transcrites comme les précédentes. En lisant avec soin les premiers
volumes
de M. de Vaulabelle, on trouverait également l’us
oire ferme, exact, soutenu. Mais tout est disproportionné : le second
volume
contient des biographies sans fin de tous les mem
’œuvre de composition, M. de Lamartine a placé à la fin de son second
volume
, c’est-à-dire sous la date de 1814 et avant les C
nce qui s’obstine, on attendait encore quelque chose de lui après dix
volumes
manqués. Hélas ! les dix volumes sont devenus tre
ncore quelque chose de lui après dix volumes manqués. Hélas ! les dix
volumes
sont devenus trente volumes. Le talent est resté
près dix volumes manqués. Hélas ! les dix volumes sont devenus trente
volumes
. Le talent est resté une montagne inaccessible au
onnance synthétique grandirait singulièrement la valeur littéraire du
volume
. La valeur littéraire du volume est médiocre : no
ingulièrement la valeur littéraire du volume. La valeur littéraire du
volume
est médiocre : non seulement nous n’avons pas un
i quand il faut ne point reculer devant un simple danger matériel. Ce
volume
est une bonne arme de guerre. Ce volume n’est pas
un simple danger matériel. Ce volume est une bonne arme de guerre. Ce
volume
n’est pas une œuvre d’art, n’est pas un livre. Le
rtiste. Tandis que nous ne trouvons plus même cet effort en ces trois
volumes
publiés à la fois, et qui ne sont, du reste, que
t de s’instruire en faux contre tant d’aplomb, et de dire à ces trois
volumes
: « Vous ne passerez pas ! » ou plutôt : « Vous ê
il a écrit une longue préface qu’il a plaquée à la tête de ces trois
volumes
, précisément, dit-il en capitales, « pour qu’on l
as, et avec raison, car c’est ce qu’il y a de meilleur dans les trois
volumes
, l’auteur fait une passe d’armes, fastueuse et in
, un coup de fouet à l’indigne animal qu’il conduit l’espace de trois
volumes
dans le brancard de son feuilleton. Ces trois rom
ntiment qu’on a voulu peindre. Le Leone Leoni de Feydeau a trois gros
volumes
, lui ! C’est une véritable exhibition américaine
ge de la danseuse, qui n’aurait pas lieu s’il ne fallait un troisième
volume
, intitulé le Mari de la Danseuse. C’est l’Afrique
iété de Rambouillet prenait un heureux essor, la publication du ier
volume
d’un roman nouveau fit événement dans le monde, e
ort répandue, comme toutes les anecdotes scandaleuses. À peine le Ier
volume
de L’Astrée parut, qu’on y reconnut, dit Patru, u
que l’auteur ne le lui fût guère. » Henri IV ne connut que ce premier
volume
. On voit dans les Mémoires de Bassompierre, que l
et par la beauté de l’esprit. » Rien ne nous apprend comment le Ier
volume
du roman du marquis d’Urfé fut accueilli à l’hôte
r s’introduisit dans cette société. Il est fort présumable que le Ier
volume
, qui était du goût de tout Paris et du goût de He
ouns du désert ? [Étude sur Strada (1893).] Léon Deschamps Cinq
volumes
de science pure, quatre volumes de science social
da (1893).] Léon Deschamps Cinq volumes de science pure, quatre
volumes
de science sociale, quinze volumes de poésie, tel
nq volumes de science pure, quatre volumes de science sociale, quinze
volumes
de poésie, telle est l’œuvre publiée de Strada, n
Francis Vielé-Griffin Devons-nous aborder à la légère le nouveau
volume
de M. Strada ? dire que nous l’avons mal lu et, a
auteurs attendant, pour le jour suivant, l’apparition de leur premier
volume
aux étalages des libraires, et même assez avant d
sés depuis l’autodafé d’En 18.., je n’estime pas beaucoup meilleur le
volume
, mais je le regarde, ainsi que Mme Sand m’a appri
roblèmes qu’agitent les bouquins les plus sérieux, et tout le long du
volume
, cet effort et cette aspiration des auteurs vers
ublique, commencent à prendre voix, à balbutier dans ce méchant petit
volume
. On y rencontre et du déterminisme et du pessimis
xelles, 1884 », il veuille bien s’imaginer lire, sur la couverture du
volume
, le titre de la première édition : PARIS chez
ais à l’heure qu’il est, il est vraiment bien tard pour débaptiser le
volume
. Et, il m’est donné seulement aujourd’hui, de pré
ser, de décrire tout ce qu’il est permis aux autres de mettre dans un
volume
qui porte sur sa couverture : Étude ou tout autre
s une prose galante et parfois polissonne. Il n’est question dans les
volumes
florissant aux étalages que des amours vénales de
……………………………………………… Maintenant toi, petite Chérie, toi, pauvre dernier
volume
du dernier des Goncourt, va où sont allés tous te
ce livre aujourd’hui sous un titre qui me semble mieux le nommer. Ce
volume
complète l’Œuvre d’imagination des deux frères. I
on : Les Hommes de lettres. 4. E. Dentu, libraire-éditeur, 1860, un
volume
in-18. 5. Édition illustrée de dix eaux-fortes,
. Édition illustrée de dix eaux-fortes, gravées par James Tissot, un
volume
grand in-8º, publié chez G. Charpentier, 1875. 6
, libraire-éditeur, 1864. 1 vol. in-18. 7. Maison Quantin, 1886, un
volume
des Chefs-d’œuvre du roman contemporain, illustré
e des savants et des artistes. 12. G. Charpentier, éditeur, 1882. 1
volume
in-18. 13. Cette expression, très blaguée dans
t, à force d’efforts, ces pépites… Et si, dans l’ordre interverti des
volumes
, le troisième a paru avant le second, c’est que d
Il a lui-même écrit sa vie, et elle ouvre le premier de ces quatre
volumes
que nous avons là sous les yeux. Il l’a écrite po
, en ces stances, en tous ces vers humains et vécus dont le troisième
volume
de ses Œuvres est rempli. C’est là, en effet, bie
eule corde de l’instrument qui en a sept, — tandis qu’en ce troisième
volume
il y a toutes les faces de d’Aubigné, toutes les
âme, de sa vie, — plus poétique encore que son âme ! En ce troisième
volume
, c’est tout Agrippa d’Aubigné ressuscité et mis d
igné qu’on peut maintenant toiser d’une main sûre. Avant ce troisième
volume
, on ne le pouvait pas. III Mais, il faut bi
yrique, élégiaque, didactique (car il y a, toujours dans le troisième
volume
de ses Œuvres, un poème didactique de QUINZE chan
’avoir cédé à une nostalgie perverse : je viens de relire deux de ces
volumes
de contes où Mendès, fameux par ses imitations, s
couer cependant. Et puis, figurez-vous qu’on rencontre, au courant du
volume
, une idée. Peut-être Mendès l’a volée et maquillé
Ça vous est égal, n’est-ce pas ? Et à l’auteur donc ? Il fabrique un
volume
avec ça comme il le fabriquerait avec autre chose
ie. Il sait cuisiner un discours, un article de journal, un roman, un
volume
de critique ou presque et Mme Comédie-Française n
e. Mais le marchand a double mérite qui réussit à le vendre. Voici un
volume
, par exemple, qui s’appelle Victor Hugo, souvenir
ffamé : « Le Post-Scriptum de ma vie forme MALHEUREUSEMENT le dernier
volume
de prose à publier. » Ailleurs, Claretie cite qu
terrain de la restauration. Ainsi les deux ouvrages qui composent ce
volume
sont loin d’avoir vieilli, malgré la multitude d’
eront expliqués, surtout dans la Formule générale, objet du cinquième
volume
de la présente publication. Mais on comprend que
, n’est que le libre arbitre dans une sphère plus élevée. À la fin du
volume
précédent on a pu voir que j’aspire à son triomph
utes les formes, dans l’Orphée, dans l’Homme sans nom, et à la fin du
volume
précédent. Page 247. Vico, que je ne connaissais
s l’ordre fondé par la Charte, me rappelle, dis-je, la fin du premier
volume
. Le quatrième entretien roule sur les élections.
un auteur qui n’a aucune espèce de talent, qui a déjà publié bien des
volumes
et qui s’indigne à l’idée qu’on veuille enseigner
urables. Au fond qu’est-ce qui prouve le succès ? Le tirage même d’un
volume
n’est pas une présomption. Il y a de faux tirages
u public. Qui pouvait prévoir la vogue de Georges Ohnet ? Son premier
volume
, Serge Panine, ne se vendait pas ; tout à coup sa
es lecteurs. C’est nous qui faisons la signification d’un ouvrage. Un
volume
ne contient jamais que ce que nous y mettons, et
Le résultat de ce referendum pourrait être curieux. Le succès d’un
volume
se fait surtout sous forme de conversations, de r
oches », n’ont eu que très peu d’éditions. M. d’Alméras a publié deux
volumes
d’interviews où nos contemporains les plus notoir
ditions, surenchères de publicité, insertions à prix d’or. Le moindre
volume
est présenté comme un événement : « Œuvre magistr
se. Il ne serait pourtant pas difficile de trouver chaque année vingt
volumes
qui méritent le prix qu’on accorde à un seul. «
u… » Le public n’est qu’à moitié dupe de cette comédie : il achète le
volume
couronné, mais il ne se croit pas tenu de suivre
livres primés, et comme le lauréat ne peut espérer que chacun de ses
volumes
recevra chaque année une récompense quasi officie
onçait dernièrement la publication imminente de plusieurs milliers de
volumes
, à raison de dix à vingt par jour ! Même en tenan
on est en train de tuer le roman, mais on le déshonore. » Sur dix
volumes
qui paraissent, on compte bien neuf romans, de to
publiés au cours des deux dernières années : En 1923 ont paru 1 579
volumes
ressortissant à la littérature d’imagination ; 10
a littérature d’imagination ; 1009 romans, 284 pièces de théâtre, 286
volumes
de vers. En 1922, on avait publié 976 volumes, 36
pièces de théâtre, 286 volumes de vers. En 1922, on avait publié 976
volumes
, 366 pièces de théâtre, 395 volumes de vers. « Il
ers. En 1922, on avait publié 976 volumes, 366 pièces de théâtre, 395
volumes
de vers. « Il est curieux de noter qu’en 1913 il
« Il est curieux de noter qu’en 1913 il avait paru 860 romans et 457
volumes
de vers, et qu’en 1875 on éditait 707 romans et 6
ns et 457 volumes de vers, et qu’en 1875 on éditait 707 romans et 680
volumes
de vers. En somme, on éditerait de moins en moins
la pomme de terre. Les Revues payent le manuscrit, l’éditeur lance le
volume
, il se vend, et on recommence. L’écrivain ne trav
l’auteur du Père Goriot quel but il se proposait en écrivant tant de
volumes
, le grand romancier répondit : « Mon but est tout
e à goutte, le livre qui paraîtra en deux mois à la Presse et qui, en
volume
, demandera à peine huit heures de lecture14. »
e constater cette inquiétude chez un auteur qui a publié près de cent
volumes
et dont la fécondité troublait même Buloz. L’inco
vinement contagieux. Ouvrez ses livres : c’est la vie même. Fermez le
volume
, réfléchissez, vous avez l’impression qu’il manqu
dés différents, font figure de grands écrivains. Avec trois ou quatre
volumes
, Flaubert a atteint la réputation des cent volume
ec trois ou quatre volumes, Flaubert a atteint la réputation des cent
volumes
de George Sand. Villiers de l’Isle-Adam est un au
vue perfection, l’hésitation n’est pas permise : faites deux ou trois
volumes
comme Flaubert, votre réputation est assurée. Si,
te fois, qui s’est chargé de nous donner raison, en racontant dans ce
volume
par quel travail il a réussi à changer toutes les
Athalie et Mérope. Un auteur de talent, Gaston Chérau, consacre deux
volumes
à décrire les vertiges de la corruption la plus b
vent les jeunes gens et les femmes. Nous avons dit dans notre dernier
volume
ce qu’il fallait penser de la psychologie ; nous
ie méthode, la seule méthode à suivre. Max Jacob a écrit deux curieux
volumes
, rien qu’avec les dialogues, manies et mœurs loca
ent du tact. On tombe malheureusement très vite dans l’artificiel, un
volume
sur les Inventaires, un volume sur les Congrégati
sement très vite dans l’artificiel, un volume sur les Inventaires, un
volume
sur les Congrégations, la politique, les procès c
ns, il composait des comédies en quatre actes. Il a publié cent vingt
volumes
, soit mille deux cents pièces de théâtre. Il en é
apier », écrivait Flaubert à Alphonse Daudet, après avoir lu les deux
volumes
de Jack, un beau livre tout frémissant de pitié e
remarquable, l’Epithalame, aurait certainement gagné à n’avoir qu’un
volume
. Ce qu’on raconte en deux volumes peut très bien
t certainement gagné à n’avoir qu’un volume. Ce qu’on raconte en deux
volumes
peut très bien se dire en un seul. La Chaussée de
œuvres de longue haleine sont devenues à la mode : les Thibaut, trois
volumes
; les Rabevel, trois volumes, etc. Il faut avoir
devenues à la mode : les Thibaut, trois volumes ; les Rabevel, trois
volumes
, etc. Il faut avoir un genre de talent très spéc
larisse Harlowe et Gil Blas, ont mis longtemps à paraître. Les quatre
volumes
de Gil Blas furent publiés de 1715 à 1735, et les
quatre volumes de Gil Blas furent publiés de 1715 à 1735, et les dix
volumes
de Clarisse Harlowe de 1734 à 1741. On attendait
s lisons aujourd’hui. Les redites et les longueurs encombrent les dix
volumes
de Richardson. Jules Janin a eu l’heureuse idée d
ardson. Jules Janin a eu l’heureuse idée de réduire l’ouvrage en deux
volumes
parfaitement lisibles. Avec un peu de persévér
ouvelles par an ; il a donc à son compte 6 240 nouvelles, plus de 300
volumes
. Et il continue, le malheureux ! Il a une dizaine
l, a été de ceux qui ont mis à la mode les immenses monographies ; un
volume
pour un atome ; Boisrobert trois volumes ; Mlle d
es immenses monographies ; un volume pour un atome ; Boisrobert trois
volumes
; Mlle de Soudéry cinq volumes. On emprunte à la
olume pour un atome ; Boisrobert trois volumes ; Mlle de Soudéry cinq
volumes
. On emprunte à la science ce défaut de proportion
faut de proportion. Des moindres réputations du passé on fabrique des
volumes
sérieux ; les plus inconnus ou les moins méritant
un siècle pour refaire les anciens livres. On publie aujourd’hui des
volumes
sur n’importe quelle personne ayant joué un bout
apoléon Ier, établies sur les rapports du ministère de la guerre. Des
volumes
comme ceux de Fustel de Coulanges supposent des a
z M. Camille Jullian, dans un grand tiroir, les fiches de son dernier
volume
. « Vous voyez, me disait-il, le livre est fait. J
emps sans cela que j’aurais tout oublié. J’ai sous les yeux les deux
volumes
des Mémoires de Gibbon. C’est un bel exemple de f
ort, de purs chefs-d’œuvre. Le Port-Royal de Sainte-Beuve (cinq gros
volumes
) peut encore passer pour un modèle de mise en œuv
une Vie de saint Athanase, saint Basile, saint Louis (6 vol.), seize
volumes
d’Histoire ecclésiastique, une Histoire des emper
ences dogmatiques qui le rendent encore plus ridicule. Je lis dans un
volume
sur l’art d’écrire les pensées suivantes : « Cor
raine. « Personnellement, dit M. de Pawlowski, je rends compte de dix
volumes
par mois, alors que j’en reçois dix par jour. Le
» plus les livres86. » Ne pouvant faire un choix dans l’avalanche des
volumes
qui se publient, le critique littéraire est oblig
obtenu des prix littéraires. Il tâche ensuite de parcourir les autres
volumes
, et il s’aperçoit, au bout de l’année, qu’il n’a
avoir « comment ça finit », sans que cela leur ôte l’envie de lire le
volume
. Les conseils qu’on peut donner, pour l’enseignem
alysé de très près les procédés d’écrire, et notamment, dans ses deux
volumes
sur Chateaubriand, le mécanisme descriptif de la
core à la langue latine, que Montaigne parlait depuis sa jeunesse. Un
volume
ne suffirait pas à montrer l’influence des grands
Un ensemble de conseils sur le métier de journaliste demanderait un
volume
. Jamais sujet ne fut plus d’actualité. Le journal
ire de leur profession et quelquefois les maîtres de la politique. Un
volume
entier n’aurait pas eu plus de retentissement que
ir une carrière de journaliste. Louis Veuillot a laissé plus de vingt
volumes
de Mélanges. M. de Sacy a écrit aux Débats, penda
écrit aux Débats, pendant trente ans, à peu près la valeur de trente
volumes
in-folio, à deux colonnes. « Dans cette vie labor
érudition, grammaire, tous les sujets sont bons. Le temps d’ouvrir un
volume
et de prendre des notes, et on court se faire app
M. Thiers Tome xviii 12 Lundi, 24 décembre 1860. Ce n’est pas un
volume
comme je l’avais cru d’abord, c’est trois volumes
60. Ce n’est pas un volume comme je l’avais cru d’abord, c’est trois
volumes
que M. Thiers a consacrés à l’exposé de l’année 1
oire, dans toute son étendue, est le même, bien que dans les derniers
volumes
les réflexions, les regrets et les critiques s’y
vres qui n’était pas le plus pacifique de tous. Aussi dans ce nouveau
volume
, après avoir commencé par une revue des derniers
ltait d’une fidèle lecture. L’impression que me laisse aujourd’hui le
volume
de M. Thiers n’est guère différente ; il est arri
adictoires M. Thiers a une solution décidée, promettent aux prochains
volumes
un intérêt puissant. 12. [NdA] Paulin et Cie, r
ailleurs. Je ne veux parler en ce moment que du quatrième et dernier
volume
récemment publié, et qui est tout entier rempli d
amartine ouvrant la marche et le cortège. On ne saurait demander à un
volume
composé de tant d’extraits et de notices dues à d
tices qui ont contribué au Recueil pour une grande part, tant dans ce
volume
que dans les précédents, M. Hippolyte Babou est c
d. Parmi les poëtes dont les extraits font l’honneur et l’agrément du
volume
, il me prend envie d’en mentionner trois ou quatr
rine au musée Campana, dans la partie moderne. Ajoutez que ces petits
volumes
sont pour la typographie de vrais bijoux, sortis
le même) nous semble plus léger, si ce sont des roses ? 62. Quatre
volumes
in-8°, librairie Hachette, boulevard Saint-Germai
a l’art de retrouver dans tous les temps les mêmes hommes. Le premier
volume
in-4º de l’Histoire de Gibbon parut en 1776 ; l’a
en 1776 ; l’auteur était membre du Parlement depuis un an. Ce premier
volume
fut suivi de cinq autres dont deux parurent en 17
’à la fin dans l’estime et dans la faveur du public ; mais le premier
volume
eut un succès de vogue et de mode. La première éd
Septchênes mit son nom était en partie de Louis XVI. Dans ce premier
volume
, l’historien exposait et développait avec le plus
ir de Commode, il entrait dans la narration continue. Ce seul premier
volume
renfermait bien des matières diverses : des consi
étudié, et dont l’élégance allait parfois jusqu’à la parure. Dans les
volumes
suivants, l’historien s’est un peu détendu et de
accueilli ; mais ce fut en 1777, après la publication de son premier
volume
, qu’il fit chez nous son séjour le plus prolongé
clinquant, et point de fond ; je n’en suis qu’à la moitié du premier
volume
(de la traduction), qui est le tiers de l’in-quar
l’amitié, et du paradis terrestre. C’est là qu’il écrit les derniers
volumes
de son Histoire, et qu’il se réjouit d’être sorti
en Angleterre dans l’année 1788, pour la publication de ses derniers
volumes
, il retrouva son ami Deyverdun malade, sujet à de
entraîné plus loin qu’il n’avait prévu. Aujourd’hui voici un douzième
volume
qui sera bien probablement le dernier à ranger so
r les éditeurs MM. Garnier ont acquis, à ce nombre déterminé de douze
volumes
, la propriété des Causeries du lundi ; ils ne nég
ner l’édition qui en ce moment recommence de nouveau par les premiers
volumes
. Celui-ci contient quelques articles qui pourraie
à un âge où d’autres commencent à y monter. Ses Sermons sont en cinq
volumes
. Ceux du P. de la Colombiere, autre célébre Jésui
l les remplit de la bonne odeur de ses vertus. Nous avons de lui cinq
volumes
de Sermons, qui furent publiés en 1704., par le P
s Sermons du P. de la Boissiere de l’Oratoire publiés en 1731. en six
volumes
in-12. L’on en est bien dédommagé par la beauté &
C’est ce que nous avons vu dans ce siécle. Le P. Segaud a laissé six
volumes
de Sermons, dans lesquels on trouve un grand fond
eu imposant, cachoit un très-grand mérite. Le style des Sermons en 2.
volumes
in-12. du P. Perussault, autre Jésuite, distingué
’expression égale à la grandeur du sujet. M. l’Abbé Segui a laissé 2.
volumes
de Sermons & deux volumes de Panégyriques ; m
r du sujet. M. l’Abbé Segui a laissé 2. volumes de Sermons & deux
volumes
de Panégyriques ; mais c’est principalement par c
& dégénére assez souvent en sécheresse didactique. Nous avons six
volumes
de Panégyriques de l’Abbé de la Tour du Pin. Ils
, Ecrivain original, a employé dans ses Panégyriques publiés en trois
volumes
in-8°. Quoiqu’on ne cesse de nous annoncer la déc
principalement sentir. Cet ouvrage bien fait & savant, est en 13.
volumes
in-8°., dont les six premiers renferment environ
loquence. D’ailleurs le livre du Pere Houdry renferme vingt-deux gros
volumes
in-4°., & il y a bien peu de gens, sur-tout p
Le Manuel alphabétique des Prédicateurs, par M. l’Abbé Dinouart en 2.
volumes
in-8°. peut être aussi très-utile à ceux qui se d
ant ses Mémoires & Consultations, ont été publiées à Paris en six
volumes
in-4°. Ses adversaires même se faisoient une gloi
lent qui manquoit au verbeux Gayot de Pitaval qui a compilé les vingt
volumes
des Causes célébres & intéressantes. Le proje
elui des œuvres de M. le Chancelier Daguesseau, publiées en plusieurs
volumes
in-4°. Toutes les matieres de la Jurisprudence y
différens caractères qu’il veut représenter. Ses éloges sont en trois
volumes
in-12. Il faut y joindre ceux que M. M. Freret, d
n âge, au moment où il achevait de corriger les épreuves du cinquième
volume
de ses Mémoires sur Mme de Sévigné, mémoires infi
e dans cette biographie de curiosité et d’affection. Quand on a lu ce
volume
, et qu’on a relu tous les vers que le biographe i
tiquité, une Histoire de la vie et des poésies d’Horace, en deux gros
volumes
. Là encore, M. Walckenaer fait preuve d’une grand
ace, mais il n’en cite pas textuellement un seul vers durant ces deux
volumes
: entre lui et nous il s’interpose toujours. C’es
qu’au lecteur d’avoir son Horace ouvert sur sa table, tout à côté des
volumes
de M. Walckenaer, et de faire lui-même son butin.
à qui veut d’être abeille. On a relevé dans ces utiles et instructifs
volumes
quelques inadvertances singulières, notamment la
ai dit, corrigeait hier de sa main mourante les épreuves du cinquième
volume
, qui en demandait un sixième encore. Il ne compta
demandait un sixième encore. Il ne comptait faire d’abord que quatre
volumes
en tout. On peut dire que, dans ce sujet cordial
ut compter a son journal à lui. » — M. de Rémusat vient de publier le
volume
premier d’un ouvrage sur Abélard et sa philosophi
d’algèbre, et que la scolastique elle-même. — On vient de publier un
volume
de Lettres adressées par Louis XVIII au comte de
re du prétendant pendant l’émigration. M. de Barante a mis en tête du
volume
une notice qui est un chapitre intéressant d’hist
— Lord Brougham vient de publier en français, écrit par lui-même, un
volume
sur Voltaire et J.-J. Rousseau ; c’est un hommage
19) Depuis longtemps nos amis voulaient bien nous engager à réunir en
volume
des études parues dans divers recueils et dont la
ouvent conseillée en termes si bienveillants. Le recueil formera deux
volumes
. Dans le premier sont groupés des travaux qui por
e spirituelle ; tel est le titre que nous donnons au livre. Le second
volume
comprendra les essais relatifs à la méthode, avec
complète de la Correspondance de Madame Du Deffand que ces deux beaux
volumes
: c’est seulement un fragment de cette Correspond
téressant pour nous fut si cruel et si tenace pour elle ; et ces deux
volumes
, en attendant ceux qui viendront encore, sont de
nfirmer sur cette femme, la plus singulière de son siècle, ce que les
volumes
précédemment publiés nous avaient appris. En effe
publiés nous avaient appris. En effet, nous la retrouvons en ces deux
volumes
(une vraie bonne fortune pour ceux qui aiment les
er et qu’on publiera. Un jour ou l’autre, nous aurons mieux. Ces deux
volumes
comprennent particulièrement la correspondance de
n sait, le secrétaire du duc de Choiseul. Dans le premier de ces deux
volumes
on trouve même beaucoup plus Madame de Choiseul q
ort à Paris en 1733, Auteur d’une mauvaise Histoire de France en sept
volumes
in-12, d’une Vie du Cardinal d’Amboise qui ne vau
pendant un objet intéressant, qui n’a pas peu contribué au succès des
Volumes
qui ont paru avant les siens. Au sujet des ancien
’on ne peut y voir, qu’avec beaucoup de plaisir, réunies dans un seul
Volume
, une infinité de choses intéressantes, noyées dan
incent (1766-1834) [Bibliographie] Fables (1812). — Œuvres, 3
volumes
(1818) ; 8 volumes (1824-1897). — Souvenirs d’un
[Bibliographie] Fables (1812). — Œuvres, 3 volumes (1818) ; 8
volumes
(1824-1897). — Souvenirs d’un sexagénaire, 4 volu
lumes (1818) ; 8 volumes (1824-1897). — Souvenirs d’un sexagénaire, 4
volumes
(1833). — Fables nouvelles (1834). OPINIONS.
Permettez-moi, mon cher et noble comte, de vous dédier le sixième
volume
d’un ouvrage où vous teniez déjà votre place1. En
heveux, j’ai toujours mis le nom d’un de mes amis à la tête de chaque
volume
des Œuvres et des Hommes. Je ne pouvais pas, cher
pour vous et qui sont ma fierté ! J. BARBEY D’AUREVILLY 1. Deuxième
volume
des Œuvres et des Hommes : Les Historiens.
cules inédits de Fénelon. (1850.) Lundi 1er avril 1850. Le présent
volume
doit s’ajouter comme un complément indispensable
olume doit s’ajouter comme un complément indispensable aux vingt-deux
volumes
d’Œuvres et aux onze volumes de Correspondance de
complément indispensable aux vingt-deux volumes d’Œuvres et aux onze
volumes
de Correspondance de Fénelon, c’est-à-dire à la t
), à laquelle ont présidé l’abbé Gosselin et l’abbé Caron. Ce nouveau
volume
réunit des écrits qui ne sont pas sans intérêt, q
: c’est assez déjà pour retrouver tout Fénelon. La dernière partie du
volume
contient des Fables de La Fontaine traduites en p
es. J’en trouve quelques-unes qui pourraient paraître telles, dans le
volume
même que je viens de lire, et qui montrent que Fé
illes ; il a eu les tendresses d’une mère. Pour en revenir au présent
volume
, je disais donc qu’on y trouve quelques lettres q
ier, à s’expliquer. Dans l’explication de lui que nous lisons dans ce
volume
, et par laquelle il s’attache à réduire ces expre
geur de ton la plupart de ses lettres. La plus intéressante partie du
volume
qu’on publie se compose d’une suite de lettres fa
j’ose m’assurer que je l’aime toujours. En tenant dans mes mains ces
volumes
de forme et d’inspirations différentes, mais auxq
désir et l’espoir me prennent de tirer quelque chose de chacun de ces
volumes
; car pour peu qu’il y ait au fond une nature de
e politique. Les Fables de Lachambeaudie, publiées dans un magnifique
volume
(1851), nous avertissent que l’auteur est poète,
i s’adressent plutôt à quelques lecteurs isolés qu’au public. Dans un
volume
intitulé Arabesques et figurines (1850), et qui s
nces sur Le Nil, qui sont d’un beau et large sentiment62. Deux petits
volumes
modestes me sont venus de Bordeaux, Les Hirondell
st le titre particulier d’une pièce que M. Brizeux a étendu à tout le
volume
. Au-dessous et en dehors des grands poètes du tem
e des sentiments. Ce que je préfère et ce que je choisis dans tout le
volume
de M. Brizeux, ce sont les deux petits tableaux d
Mort du bouvreuil, qui n’ont chacun que trente vers, brillent dans ce
volume
et s’en détachent ; ce sont comme deux vignettes
encore, je remets de vider cette petite querelle à la fin du présent
volume
. (Voir à l’Appendice.) t. [1re éd.] Je ne consei
t d’amitié avec Guillaume Favre ; une section très précieuse des deux
volumes
que nous annonçons comprend une correspondance fr
is dû rien entendre à ceux de Molière ni de Racine. Notez que ce même
volume
où l’on a recueilli ces misérables vers, ces lour
s livres dont le nombre augmentait chaque jour, pour ses quinze mille
volumes
, une élégante galerie dans sa villa de La Grange
éditeur, ce monument littéraire, a pourvu à la durée de son nom. Ces
volumes
s’adressent à un petit nombre de lecteurs sans do
ngelo Maï, recueillis par sa famille et publiés par M. J. Adert. Deux
volumes
in-8°, 1856. 40. [NdA] Voir sur Schlegel les pag
1856. 40. [NdA] Voir sur Schlegel les pages 119, 151, d’un agréable
volume
de miscellanées littéraires qui vient de paraître
Les Œuvres de Schlegel écrites en français ont été publiées en trois
volumes
, par M. Édouard Boecking, à Leipsig, 1846. C’est
umes, par M. Édouard Boecking, à Leipsig, 1846. C’est dans le premier
volume
que se trouvent les vues et aperçus élevés dont j
a première édition de la seconde ; je ne distinguerai pas non plus le
volume
d’avec les articles insérés dans un journal, et q
ame ; ne suis-je donc pas tout naturellement autorisé à les mettre en
volume
, surtout quand des amis m’y engagent et de temps
e disent comme pour m’agacer : « Vous avez là les matériaux d’un joli
volume
; quand le publierez-vous ? » Je me suis laissé g
Vous n’aviez pas encore mis le feu à la mèche. Ce n’a été qu’avec le
volume
que cette mèche a été allumée, en y mettant les n
in j’ai trouvé mon genre. » Que si vous n’avez pas recueilli dans le
volume
tout ce que vous aviez inséré dans la feuille, c’
sse, d’un bout de la France à l’autre, renoncent à dire : « Lisez les
volumes
de M. de Pontmartin, et sous l’influence de cette
quante que littérairement et pendant quelques pages. Tout le reste du
volume
qui se rapporte à la vie de province et aux tribu
. Ce n’en est pas une, du moins, dans un des plus malins portraits du
volume
, portrait qui n’est autre que le mien, d’avoir di
actique s’était imprimé sur ces entrefaites, et que les deux premiers
volumes
avaient paru, Jomini avait glissé ces volumes dan
t que les deux premiers volumes avaient paru, Jomini avait glissé ces
volumes
dans le paquet des dépêches du maréchal, en y joi
u plus tôt. Il avait remarqué cependant du coin de l’œil que les deux
volumes
avaient été déposés du côté droit du bureau ; c’é
Jomini ne l’a donnée à son Traité qu’à la quatrième édition en trois
volumes
(1847) ; mais la première édition, commencée en 1
elle renfermait tout ce qu’il y avait d’original y compris le premier
volume
des Campagnes des Français depuis 1792, que l’aut
de publication successive et morcelée de l’ouvrage. Même en ayant les
volumes
sous les yeux, on a peine à s’y reconnaître. Les
olumes sous les yeux, on a peine à s’y reconnaître. Les deux premiers
volumes
qui portent la date an xiii (1805) sont intitulés
us ce titre, et comme suite, que parut en 1806 et par anticipation un
volume
intitulé : Relation critique des campagnes des Fr
n un esprit clair, laborieux et distingué comme le sien. En effet, ce
volume
est plus qu’une promesse. C’est une œuvre surtout
s les entasser, dans une marche simple et rapide. Quoique son premier
volume
ne contienne guères que quatre années de ces quin
e calvinisme insurgé. Tel est, en peu de mots, le sujet de ce premier
volume
. L’auteur y a concentré heureusement, dans l’inté
décadence ?… Nous le souhaitons sans l’espérer. Rien, dans ce premier
volume
, ne l’annonce. Avec le choix qu’il avait fait des
l’être, et si l’on peut tirer une induction des opinions d’un premier
volume
qu’on a lu à celles des volumes qui n’ont pas été
ne induction des opinions d’un premier volume qu’on a lu à celles des
volumes
qui n’ont pas été publiés et qui doivent suivre,
ndations ?… Voilà ce que nous nous demandions en lisant ces deux gros
volumes
d’Alexis de Tocqueville (qui, nous annonçait-on,
e ordre que celui de Mademoiselle Rachel… Dès l’apparition du premier
volume
de La Démocratie en Amérique, Alexis de Tocquevil
ette publication ! II Ce qu’on appelle les Œuvres dans ces deux
volumes
, qui ne sont de vrai qu’une Correspondance, consi
au lac d’Onéida, Quinze jours au Désert, et enfin quelques miettes du
volume
resté en portefeuille de l’Ancien Régime et la Ré
eu de métaphores pour les exprimer (dans cette correspondance de deux
volumes
je n’en ai compté qu’une seule, c’est quand, aprè
sert, il faut le dire de toutes les lettres et de l’ensemble des deux
volumes
: c’est le langage d’un homme bien élevé, mais qu
ois à parler de ce rapport de Chénier. La table des matières du petit
volume
où il tient à l’aise est vraiment encyclopédique.
qu’il y a de sûr, c’est qu’aujourd’hui plus d’une année et plus d’un
volume
seraient nécessaires pour mener à bonne fin un pa
ssible, de morceaux inédits qui trop souvent, hélas ! grossissent les
volumes
sans ajouter beaucoup à la valeur de l’œuvre. Tou
ons indiscrètes. Nous aurons bien gagné quand on aura ajouté aux deux
volumes
de La Bruyère trois ou quatre billets inintelligi
eur du Cid, des Horaces et de Cinna l’éternelle reproduction de douze
volumes
, dont la moitié au moins ne se lit pas ; mais ne
ertes scientifiques, tout ce qui resterait enfoui dans d’innombrables
volumes
et serait perdu pour le grand nombre, le compte r
euse. On n’a pas dix ans devant soi pour produire et achever un petit
volume
. Chaque année, chaque mois doit suffire à son œuv
t peut-être le moins historien, quoiqu’il ait écrit tant de charmants
volumes
sur notre histoire. Il est théâtral, même en deho
é de fer contre une langue qui parfois lui résiste, a donné plusieurs
volumes
d’une incontestable valeur, entre autres Les Bour
la Renaissance, il y eut un regain abondant. Tout jeune homme fit son
volume
de vers empreint de l’imitation du maître préféré
intillement vif et particulier, fut Théodore de Banville. Son premier
volume
, intitulé les Cariatides, porte la date de 1841,
ble d’œuvres nombreuses. La mythologie tient une grande place dans ce
volume
, où Banville s’est montré plus grecque partout ai
froide de la pure antiquité. Les Améthystes sont le titre d’un petit
volume
plein d’élégance et de coquetterie typographiques
e livra à un plus joyeux gaspillage de richesses, et, dans ce bizarre
volume
, l’inspiration de Banville ressemble à cette mign
entre elles les pièces de vers, est de tout point charmant. Un autre
volume
, les Légendes fleuries, contient des poëmes dont
rt. Ce n’est pas d’hier qu’il est descendu dans l’arène ; son premier
volume
date de 1832, et son dernier porte le millésime d
e Méry, et il eût au besoin fait tout seul la Némésis, Les principaux
volumes
de M. Pommier sont le Livre de sang, Océanides et
r un jour devant l’idée sans forme à lui offrir. L’Enfer, de tous les
volumes
d’Amédée Pommier, a été le plus remarqué, et c’es
forme avec une maëstria singulière. Il s’en est encore servi dans son
volume
de Paris, espèce de description lyrique et bouffo
encore un cadre de vie moderne. Dans l’Enfer de l’esprit, son premier
volume
, et les Demi-teintes, autre recueil de vers qui l
n amour qui ne s’est jamais démenti. Depuis 1845, date de son dernier
volume
, il semble avoir quitté la poésie pure pour le th
rlovingien du romantisme ; ils vont de 1830 à 1838. Fondus en un seul
volume
et complétés par des pièces de vers de date plus
mpassibilité et en faisant un des principaux mérites de l’artiste. Le
volume
des Poëmes antiques s’ouvre par une pièce adressé
le retiendra peut-être toujours. Mais il n’en a pas moins fait trois
volumes
de vers qui eussent suffi à sa réputation, quand
lænis, est un poëme d’assez longue haleine pour remplir à lui seul le
volume
. Le cas vaut la peine d’être noté dans ce temps d
un Adam nouveau, personnification d’une humanité supérieure. Dans son
volume
Festons et Astragales, Louis Bouilhet se livre à
montrent chez le poëte la persistance de l’idée émise en son premier
volume
. L’école romantique a remis en honneur le sonnet,
temps de fécondité débordante, c’est bien peu, nous le savons, qu’un
volume
de sonnets ; mais nous préférons à des bibliothèq
n volume de sonnets ; mais nous préférons à des bibliothèques de gros
volumes
d’un intérêt mélodramatique cette fine étagère fi
on un bruit dont n’est pas ordinairement accompagnée la naissance des
volumes
de vers. Les Fleurs du mal sont en effet d’étrang
, aux violettes et aux vergiss-mein-nicht, innocente flore des petits
volumes
à couverture jaune paille ou gris de perle. Baude
vons pas analyser en détail dans un cadre nécessairement restreint ce
volume
d’une bizarrerie si profonde. Chaque poésie est r
et comme une étincelle d’âme. Une des pièces les plus remarquables du
volume
est intitulée par le poëte Rêve parisien : c’est
ravail, il était poëte à ses heures et il a laissé comme testament un
volume
de vers, la dernière publication dont il ait corr
imitations d’Alfred de Musset, trop sensibles dans le livre. Dans ce
volume
il y a un chef-d’œuvre, une larme devenue une per
est triste à dire qu’aujourd’hui on peut faire paraître deux ou trois
volumes
de vers pleins de mérite et rester parfaitement i
farement naïf d’un éditeur à qui un jeune homme propose d’imprimer un
volume
de vers. Deux ou trois poëtes semblent suffire à
il sont groupés MM. François Coppée, l’auteur du Reliquaire, charmant
volume
qui promet et qui tient ; Paul Verlaine, Léon Die
able, sans contorsion et sans grimace d’originalité. Dans son premier
volume
, qui date de 1865 et qui porte le titre de Stance
s, chassant la jeune liberté. Nous ne pouvons signaler tout ce que ce
volume
contient de remarquable. Il faudrait prendre chaq
es on sent une volonté persistante qui s’affirmera bientôt. Un second
volume
, celui-là composé entièrement de sonnets, tient t
son caractère et de son talent. A. Lacaussade a publié, en 1852, son
volume
de Poëmes et Paysages, qui fut couronné par l’Aca
e de l’azur et l’expérience amère de la vie, a fait paraître un autre
volume
que désigne un titre découragé : Épaves, comme si
aniques, mais qui tient bien sa place dans le jardin de la poésie. Le
volume
de Maxime Ducamp, les Chants modernes, a ses prem
c du maçon. C’est, toute proportion gardée, la Tristesse d’Olympio du
volume
. Malgré les théories de Maxime Ducamp, la poésie
rès la Flûte de Pan, André Lefèvre a publié la Lyre intime, un second
volume
où sa verve, plus libre, plus personnelle, moins
e dernièrement une traduction en vers des Bucoliques, et dans le même
volume
il a placé comme contraste une traduction égaleme
es pour des lecteurs européens. Mettre ainsi face à face dans un même
volume
Virgile et Kalidâsa, l’antiquité latine et l’anti
sarts nous conduisent au bal, le Chemin des bois (tel est le titre du
volume
de Theuriet) nous ramène à la campagne, et l’on f
orceaux, que connaissent les vrais amateurs de poésie, sont réunis en
volume
et parvenus sous cette forme à un public plus lar
iteraient la lumière, mais en telle quantité qu’il faudrait plusieurs
volumes
pour en donner l’idée la plus succincte. Trois ou
ccincte. Trois ou quatre rayons de notre bibliothèque sont chargés de
volumes
de vers édités pendant ces dernières années, et l
istingué. Elle lit les poëtes grecs et sanscrits dans leur langue. Le
volume
qu’elle a publié sous le titre Contes et poésies
les civilisations, sur des médailles d’or du plus pur titre. Ces deux
volumes
contiennent, en effet, une douzaine de poëmes épi
proie à la tempête et détruite par ce vent qui effeuille une rose. Le
volume
se termine, comme une bible, par une sorte d’apoc
ntre d’une cruche vulgaire la paillette lumineuse de l’idéal. Dans ce
volume
, Victor Hugo a renoncé à l’alexandrin et à ses po
s. Litz, Thalberg, Dreyschok ne sont rien à côté de cela. À la fin du
volume
, le poëte enfourche sa monture impatiente, lui do
Du fond de la tombe, Alfred de Vigny nous tend de sa main d’ombre le
volume
des Destinées, sa plus belle œuvre peut-être, où
t se trouvait tout à point pour cela. Imprimé, ou plutôt recueilli en
volume
depuis 1834, il était un des livres, si ce n’est
té et indépendance : il faudrait peu de chose, selon moi, pour que le
volume
qu’il publie, et qui est le recueil des articles
nents auxquels il ne le cède ni par la science ni par la sagacité. Le
volume
se compose de deux parties fort distinctes et qui
onné, etc. Aussi eussé-je désisé que M. Scherer eût recueilli dans un
volume
à part toutes ces discussions très élevées, très
is eu regret cependant que l’auteur eût complètement supprimé dans le
volume
offert à notre public deux ou trois morceaux. « L
n, je doive m’interdire l’examen de cette partie toute théologique du
volume
, je ne puis omettre de remarquer que M. Scherer n
fet, par l’auteur dans la courte préface qu’il a mise en tête, que ce
volume
renferme « des manières de dire et de penser qui
la famille opposée, de la race de Lessing. J’en viens à la partie du
volume
que je suis plus à même d’apprécier, et qui me pa
de celui d’avant les Girondins. En effet, littérairement parlant, ce
volume
des Confidences vient bien après Jocelyn, La Chut
se sent reprendre avec lui. Pourtant ce n’est qu’en avançant dans le
volume
que l’écrivain se dégage un peu de la phrase prop
êmes étaient devenus vers la fin la paraphrase de ses sentiments. Le
volume
ne prend tout son intérêt qu’à partir de l’épisod
ace, il s’est donc permis une légère supposition à l’autre endroit du
volume
. Mais peu nous importe, et le poète a eu, dans sa
lée, quelques-uns des livres qu’il a sauvés du naufrage. Il y a trois
volumes
en tout : l’un est le roman de Jacopo Ortis ; l’a
volumes en tout : l’un est le roman de Jacopo Ortis ; l’autre est un
volume
de Tacite (le poète, dès ce temps-là, ne sortait
Tacite, en prévision de ses futures destinées) ; enfin, le troisième
volume
est Paul et Virginie. Le poète essaie vainement d
de lui demander ce qu’il en a t’ait. Il est évident, pour qui lit son
volume
intitulé : Chansons et Poésies, qu’il aurait pu,
rapetissé, jeté dans le moule étroit de la chanson de Béranger. Or ce
volume
, qui s’appelle Chansons, s’appelle aussi Poésies,
appelle Chansons, s’appelle aussi Poésies, Eh bien ! cherchez dans ce
volume
des poésies étoffées, par exemple, comme Les Pont
envers lui-même est d’avoir jusqu’ici étouffé. Si nous en croyons le
volume
que l’auteur des Poésies et Chansons appelle les
pas cette marchandise-là demain ! 5. M. Sainte-Beuve. 6. Voir le
volume
si bien traduit par M. Léon de Wailly, qu’on devr
élevée entre M. Renan et moi. Voici ce que j’écrivais dans le dernier
volume
de la première série de mon Journal. L’homme (R
d’un ennemi de sa pensée, ainsi que je l’écrivais dans la dédicace du
volume
, qui lui était adressé. En effet tout le monde sa
— « J’affirme que les conversations données par moi, dans les quatre
volumes
parus, sont pour ainsi des sténographies, reprodu
suite à M. Renan. J’ai voulu qu’au revers de ma réponse, il y eut ce
volume
imprimé, qui, je le répète une seconde fois, doit
Préface Voici le premier
volume
d’un ouvrage qui doit en avoir beaucoup d’autres
e partout, la forme emporte le fond (ou l’empâte), tel est ce premier
volume
des Œuvres et des Hommes. C’est de la critique qu
ons dans l’esprit humain, et chaque série de fonctions aura autant de
volumes
que le nécessiteront le nombre des écrivains et l
e cela à ceux qui s’étonneraient de voir aujourd’hui, dans ce premier
volume
consacré aux Philosophes du xixe siècle, M. Cous
artie descriptive et anatomique, il publia en 1749 les trois premiers
volumes
in-4º de son Histoire naturelle. Ce fut un des év
s de l’ouvrage sont de Buffon ; il y a partout la haute main ; chaque
volume
porte son cachet et son empreinte par quelque pag
on cachet et son empreinte par quelque page immortelle ; les derniers
volumes
ne se distinguent des précédents et ne se font re
èrent, ce furent les savants. On a les Observations critiques que ces
volumes
firent écrire à M. de Malesherbes. Buffon, en ent
re le nôtre, je dirai que ce ne fut qu’après un assez grand nombre de
volumes
que Buffon, instruit peu à peu par la pratique et
les acquisitions et la sphère d’action des divers sens. Le troisième
volume
se couronnait par l’admirable morceau si connu, o
leur, mais, mon cher abbé, votre statue n’en a point. » Le quatrième
volume
de l’Histoire naturelle parut en 1753. Fidèle à l
le pût satisfaire. Il y reprenait les anciennes idées de son premier
volume
sur la théorie de la terre, et les présentait dan
ettre le président de Brosses ; il m’a donné la clef de son quatrième
volume
, sur la manière dont doivent être entendues les c
être distinguées et recommandées par-dessus tout : ce sont les quatre
volumes
qui traitent du xviiie siècle, et aussi le volum
e sont les quatre volumes qui traitent du xviiie siècle, et aussi le
volume
considérable qui nous offre le tableau de l’éloqu
e, parmi les lectures sérieuses de notre âge, que celle de ces quatre
volumes
sur le xviiie siècle, tels qu’ils s’offrent à no
, notre même mal social, notre maladie morale, sinon notre remède. Ce
volume
des pères a été pour l’auteur une étude de prédil
égoire de Nazianze en est la preuve. L’oserai-je dire ? en lisant ce
volume
, il m’a semblé qu’une partie de cet éloge pouvait
ières ses cours et fragments de philosophie en une douzaine de petits
volumes
, quelquefois charmants malgré le sujet, ou du moi
ces. Le Pays, 22 juillet 1856. Quand on vient de lire l’incroyable
volume
d’Auguste Vacquerie, on se demande à quelle class
?… Voilà les questions qui vous pressent à la lecture de ce plaisant
volume
, intitulé : Profils et Grimaces. Titre faux par u
orce créatrice de son génie qui l’a produit, lui, Vacquerie, comme un
volume
de plus de ses œuvres complètes. Or, ce volume, q
i, Vacquerie, comme un volume de plus de ses œuvres complètes. Or, ce
volume
, qui n’est peut-être pas le plus mauvais de la co
es quatre voleurs sous le nez une immonde et bouffonne histoire de ce
volume
, où le grotesque s’unit délicieusement au fétide.
IV La biographie en question, qui termine, dans une gloire, le
volume
de Profils et Grimaces, quoique écrite évidemment
, les faits de sa vie et ceux de son intelligence, tels sont les deux
volumes
de M. Flourens et qui se complètent et s’appellen
corriger ou de leur dicter, comme un professeur ? Seulement, dans ce
volume
sur les Manuscrits, que je regarde comme l’épi vi
e sur les Manuscrits, que je regarde comme l’épi vidé de l’autre beau
volume
si plein sur les Idées et les travaux de Buffon,
t, imprégnés, trempés et saturés de cette lumière, les trois premiers
volumes
de son Histoire naturelle. À dater de ce moment s
de piquante justesse qui, selon nous, fait tout le prix de l’inutile
volume
des Manuscrits. Il n’en est point de même de l’au
l’inutile volume des Manuscrits. Il n’en est point de même de l’autre
volume
de M. Flourens, Des idées et des travaux de Buffo
(t. X).] Émile Deschanel La plupart des fleurs qui composent le
volume
des Nuits persanes, fleurs exotiques cueillies da
t, voilà quelques années, une renaissance de la poésie… Il écrivit un
volume
de vers qui mérite de rester, Les Drames du peupl
de pitié une éloquente étude littéraire. Ce fut, je pense, le dernier
volume
d’Armand Renaud ; mais il résumait toute sa pensé
ngé : c’est de faire graver mon portrait pour le placer en tête de ce
volume
. J’ai un croquis fort bien fait que j’ai rapporté
e celui qui écrivait Eugénie Grandet avait précédemment composé vingt
volumes
!! Mais alors ce n’était pas M. de Balzac, qui ne
’achetai sur-le-champ et cet ouvrage me plut extrêmement ; le premier
volume
surtout. On vient de réimprimer chez nous le Chem
outumés à prendre leurs coudées franches dans cinq actes ou dans deux
volumes
, ne peuvent pas réussir facilement à réduire leur
lier. C’était le chroniqueur de la Flandre française, l’auteur de dix
volumes
de romans de mœurs, le rédacteur en chef du Musée
erche une forme. Il fait des vers ridicules et menace d’en publier un
volume
sous le titre de : Les Goélands. Il a été officie
savant, qu’un homme de style et d’imagination. Paul Lacroix pond deux
volumes
par mois, s’il le veut ; son érudition est immens
mes poètes de l’époque ; on m’a surtout beaucoup parlé de son dernier
volume
de vers : Les Pleurs, que j’ai le regret de ne pa
om mêlé à tant d’anecdotes, à tant de faits, qu’il faudrait plus d’un
volume
pour raconter tout ce qu’elle n’a pas jugé à prop
re bien sûr, c’est que M. Lamothe-Langon est l’auteur de plus de cent
volumes
, publiés, soit sous son nom, soit sous des pseudo
eur au Conseil-d’état. Sous cette nouvelle rubrique il va publier des
volumes
à l’infini sur la matière inépuisable qu’il explo
tions ne sont pas fort élevées au sujet de ses ouvrages ; il vend ses
volumes
chacun 500 francs ; c’est pour rien. Ainsi, un éd
; c’est pour rien. Ainsi, un éditeur va chez lui et lui demande deux
volumes
. Avez-vous quelque chose en train ? demande le li
s avez raison ! — On pourrait aussi, si vous le préfériez, faire deux
volumes
sur la police secrète du roi Nicolas, dans ses ra
rapports avec la pèche aux perles à la côte de la Californie. ou deux
volumes
sur les votes secrets des deux chambres, depuis 1
de trombone… — Qu’en pensez-vous ? L’éditeur choisit ; 500 francs le
volume
, n’importe quelle matière ; c’est un prix fait. D
n’importe quelle matière ; c’est un prix fait. Dans 15 jours les deux
volumes
seront prêts contre mille francs. Le livre une fo
sonnages doivent être blonds ou châtains). Puis, moyennant 500 fr. le
volume
, de publier ce livre avec son propre nom pour se
ges de Mme Sophie Gay sont fort lus ; elle a composé une vingtaine de
volumes
et quelques pièces de théâtre, entre autres le li
Jal tâta sa bosse, la frotta, l’échauffa, et en fit sortir trois gros
volumes
de scènes nautiques, afin que sa marine ne lui fu
1832 et 1833. Les précédents sont écrits sur des épitaphes. Les trois
volumes
de scènes de M. Jal n’ont pas été réimprimés chez
mpléter ses observations, M. Jal est allé jusqu’à Naples, et ses deux
volumes
concluent que, si Colomb n’a point attaché sa bar
nneau est contemporain de Colomb, mais à cela M. Jal répondra en deux
volumes
intitulés : De Naples à Seringapatam ; que si l’a
tre de poète, à son inspiration de grand prosateur, et concevoir deux
volumes
exprès pour une étiquette ? Qu’aurait pourtant fa
presque un département pour le centre de Paris. Vous avez dû lire un
volume
intitulé : Madame de Sommerville, et signé Jules
; le dessein de cet honnête Monsieur, était de réimprimer en un petit
volume
toutes mes lettres à l’Indépendant, et il venait
la Juive à la Monnaie, d’entrer dans un magasin pour acheter quelques
volumes
de contrefaçon… et voilà un pays observé ! Ils ar
par un séjour un peu prolongé, il en pourrait repartir avec deux bons
volumes
d’études qui auraient sous tous les points de vue
it et se mûrissait pour de bonnes œuvres. On lui doit une douzaine de
volumes
, parmi lesquels nous comptons en Belgique quelque
eu, jusqu’à l’époque, prochaine sans doute, où il lancera son premier
volume
de poésies. M. Fulgence Girard a 26 ou 27 ans. C’
te ! Décidément, je vais amasser cinq cents francs, pour commander un
volume
à M. le baron Lamothe-Langon. Je dois dire ici co
vres parisiens au rabais, que le même M. Muret a composé sept ou huit
volumes
! Non, je n’ai pas songé à m’ériger en critique d
ui se rangent dans la catégorie de M. Muret (l’auteur de sept ou huit
volumes
que je n’ai pas lus, et d’un feuilleton que j’ai
tion précédente, M. Sébastien-C. Leconte, qui, dans la Préface de son
volume
Le Sang de Méduse, préconise l’union avec la Scie
rguier, romantique, mais dont nous louons la répudiation à son second
volume
, du « recueil de vers », pour l’unité du poème, d
lement spontané et savant, sa valeur évocatrice et suggestive, en son
volume
les Hiers Bleus. MM. Georges Duhamel et Arcos, s
n livre prochain se titre : L’âme DELIVREE. M. Jean Ott, son premier
volume
l’Effort des Races, à tendance évolutionniste (et
ates plus récentes. L’on ne peut trouver là une documentation, ni aux
volumes
émanés de mêmes sources. Quant aux quelques livre
n mouvement actuellement en plein triomphe, et comme j’ai pu lire des
volumes
entiers où son nom n’est pour ainsi dire pas cité
venu plus tard l’En Méthode à l’Œuvre), paraît en deux revues16 et en
volume
en 188617. Il apporte la théorie de nouvelle tech
vers, en 1883 et 1886. Rien n’indique une intuition, ni, en le second
volume
, une approche du grand mouvement poétique qui ven
échos par lui recueillis de l’entour poétique… En 1887, en un nouveau
volume
de poèmes, M. Emile Verhaeren se montre acquis à
s et tous les poèmes se commandent Elle se compose de douze à quinze
volumes
venant en leur ordre préconçu, dont un tiers envi
uate Rythmique. M. Valère Brussov, qui a derrière lui une douzaine de
volumes
, poèmes, critiques, romans, traductions est des p
j’admire sa grandeur et sa portée universelle. Ayant donné déjà cinq
volumes
de vers et plusieurs de prose, je me vois approch
des plus notoires en elles, M. Gustave Kahn, n’a-t-il pas dit en son
volume
Symbolistes et Décadents, que le Symbolisme « est
mouvement de forme, plutôt que d’idées ». 8. Ainsi, dans le présent
volume
, l’on trouvera quelques citations et extraits, vo
s relever inutilement d’autres manques de mémoire, en disant dans son
volume
(recueils d’articles, Symbolistes et Décadents) q
ichard, éditeur Londres, 1905). (A lire, une étude remarquable sur ce
volume
, de M. Laurence Jerrold, Écrits pour l’Art, de ja
ais dans la derniere édition. On pouvoit facilement retrancher quatre
volumes
in-fol. Il n’en auroit pas été moins utile, il au
écrivoit Currente calamo pour son Libraire. Il sçavoit multiplier les
volumes
; & au lieu d’un in folio, il en donna quatre
Ladvocat donna en 1752. un Dictionnaire historique portatif, en deux
volumes
in-8°. qui eut beaucoup de succès. On sentoit bie
& faits mémorables, de l’histoire ancienne & moderne, en deux
volumes
in-8°., par M. Lacroix. Quoique ces deux ouvrages
me on lirait le livre d’un mort. Vingt-cinq années sont dans ces deux
volumes
. Grande mortalis ævi spatium . L’auteur a laissé
e tous ? On ne s’étonnera donc pas de voir, nuance à nuance, ces deux
volumes
s’assombrir pour arriver, cependant, à l’azur d’u
s. Nous venons de le dire, c’est une âme qui se raconte dans ces deux
volumes
: Autrefois, Aujourd’hui. Un abîme les sépare, le
t question de bien des choses qui ne sont pas hors de propos dans ces
volumes
de contemporains : « Mon cher Béranger, « Une pet
éraire, assez poétique même : nous allons avoir dans une quinzaine un
volume
lyrique de Hugo ; il y aura des vers d’amour ; ma
as, couvriront et glorifieront le péché. Lamartine aussi prépare deux
volumes
de vers pour janvier. Quinet, à qui un jour vous
encées ou projetées qui, avec ce que j’ai déjà, seraient un troisième
volume
à ajouter à Joseph Delorme et aux Consolations, v
t un troisième volume à ajouter à Joseph Delorme et aux Consolations,
volume
que je ne publierai pas quand il sera achevé, mai
Ollendorff, 1909, p. 177-179. Les quelques vers placés en tête de ce
volume
indiquent la pensée qu’il contient. Le prélude ex
t ou s’éteigne complètement. Il n’y a rien de plus à dire. Quant à ce
volume
en lui-même, l’auteur n’en dira rien non plus. À
positifs pour l’histoire d’un cœur humain quelconque. Il y a dans ce
volume
beaucoup de choses rêvées. Ce qui est peut-être e
Épisode Nous avons lu comme tout le monde les deux
volumes
de poésies intitulés Contemplations, que M. Victo
tor Hugo, ont eu l’idée de faire magnifiquement relier, pour elle, le
volume
de poésies de son mari, d’insérer dans ce volume
elier, pour elle, le volume de poésies de son mari, d’insérer dans ce
volume
quelques pages blanches, de couvrir ces pages bla
e. Il entendit pour la première fois prononcer le nom de Gœthe, et un
volume
de ses Poésies et Chansons lui tomba entre les ma
e n’avait cessé d’être de loin son « étoile polaire. » En recevant le
volume
de poésies, Gœthe reconnut vite un de ses discipl
n déterminé, sur un sujet précis. Plaçant alors devant Eckermann deux
volumes
du Journal littéraire de Francfort, dans lequel i
Gœthe, et leur correspondance (non traduite) ne fait pas moins de six
volumes
; Zelter tient Gœthe au courant des nouveautés mu
ntaine ! Si j’avais fait tout ce que je pouvais fort bien faire, cent
volumes
n’y suffiraient pas. Le présent a ses droits ; le
nt, sa manière de comprendre et de sentir. Qu’on parcoure l’admirable
volume
de ses poésies à lui, chansons, paraboles, élégie
et qui est à la fois traduction, analyse et appréciation. Ce dernier
volume
est dû à M. Ernest Faivre, professeur à la Facult
rnest Faivre, professeur à la Faculté des sciences de Lyon. 45. Huit
volumes
in-8°, même librairie. 46. M. Saint-René Taillan
publié par articles, dans le Magasin de librairie, et doit donner en
volumes
dans la Bibliothèque-Charpentier cette Correspond
e nouvelle littéraire, l’unique nouvelle est la publication des trois
volumes
de l’Histoire du Consulat par M. Thiers. Le succè
les négligences s’y décèlent par places, et surtout, après le premier
volume
, on s’aperçoit qu’il y a trop d’abondance et de l
ans le journal la Presse du 29 mars un article très-spirituel sur les
volumes
de M. Thiers. Depuis qu’il est revenu à la santé,
ient de publier sous ce titre, Esprit des institutions militaires, un
volume
plein de feu, d’intérêt, de science et d’agrément
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