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1 (1921) Théophile Gautier et le ballet romantique pp. 149-162
ler, que Carlotta Grisi remplissent les deux mondes d’un frou-frou de blanche tarlatane. Osons l’affirmer : la Catchucha de Fan
en est fait de la danse : le ballet est fini. Dans tous ces « ballets blancs  » le mécanisme de la danse, le caractère et l’amp
David ; le corsage rigide et le « tutu » allongé, cloche de tarlatane blanche , inspirée à la Taglioni par le peintre Eugène Lam
Elle voltige comme un esprit au milieu des transparentes vapeurs des blanches mousselines dont elle aime à s’entourer, elle res
une de ces belles figures d’Herculanum ou de Pompéi qui se détachent blanches sur un fond noir et accompagnent leurs pas avec l
eté et de son élévation. Quand elle entre en scène, c’est toujours la blanche vapeur baignée de mousselines transparentes, la v
us faisait penser aux vallées pleines d’ombre et de fraîcheur, où une blanche vision sort tout à coup de l’écorce d’un chêne au
staurer quelques années plus tard dans sa Giselle le type du « ballet blanc  » en faveur d’une troisième ballerine. Si, emport
n ou battant le beurre, n’est que le masque de la divinité ; c’est la blanche nymphe Terpsichore qui se cache sous ce travestis
ement du reste, de battre en brèche la nouvelle tradition du « ballet blanc  » en faveur d’un Orient authentique et coloré. C’
2 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « I. Origines, composition, organisation. » pp. 1-13
dis pas ! Présentement, Roqueplan est mort, et son mot a des cheveux blancs . Appeler une danseuse de cette façon, c’est exhib
vent, — ainsi que de tout ce qui concerne l’art de faire sa tête : du blanc , du rouge, du bleu, du noir, etc., etc., etc. Auj
chaussons par mois. Il y a trois séries de chaussons : les puce, les blancs et les chair. On étudie et l’on répète en chaus
blancs et les chair. On étudie et l’on répète en chaussons puce ou blancs , ayant déjà servi. Les puce ne sont renouvelés qu
ce ne sont renouvelés qu’après huit classes ou huit répétitions ; les blancs après six. La prodigalité n’est pas extravagante.
3 (1845) Notice sur Giselle pp. 3-24
bas, bien loin, perchée sur la crête d’un rocher, on distingue, à ses blanches tourelles en poivrière, une de ces hautes demeure
mais la mesure, à qui la tête ne tourne pas, et qui a les mains aussi blanches que s’il n’avait rien fait de sa vie ? À coup sûr
robe de clair de lune et des bracelets de perles de rosée à tes bras blancs et froids ; tu entraîneras les voyageurs dans la
dit en style de ballet. Un froid mortel saisit votre cœur dans votre blanche poitrine ; les grands seigneurs n’épousent guère,
de fleurs sauvages se dresse une croix de pierre toute neuve et toute blanche encore ; un rayon égaré y trahit le nom de Gisell
essaille, le cœur d’une belle de nuit s’entrouvre ; il en jaillit une blanche vapeur qui se condense bientôt en une belle jeune
u milieu des herbes et des fleurs s’élance une forme mince, droite et blanche , ayant encore la roide attitude du cercueil : c’e
étendus, mais il ne saisit que des roseaux et des lianes. Une vapeur blanche traverse la sombre épaisseur de la forêt : c’est
ine se met à sonner une, deux, trois, quatre heures. Une faible barre blanche se dessine dans les nuages, derrière la colline ;
sparent se fond comme une vapeur. On aperçoit encore sa main frêle et blanche qui fait un signe d’adieu à celui qu’elle ne doit
4 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre XII » pp. 167-185
r. — La rousse. — Moyen de réussir auprès d’elle. — Les grises et les blanches . — La femme grise bas-bleu. — Le mépris qu’il fau
yager. Après : s’en souvenir. XXVI. Les grises. La grise ou la blanche n’est placée ici que pour mémoire. Les tout jeune
es. Je n’en connais même plus. La femme dont les cheveux sont gris ou blancs est généralement un bas-bleu incompris dont on se
se. Je ne connais qu’un seul amour qui puisse aller aux grises et aux blanches . C’est l’amour filial. Passé cela, c’est parfaite
5 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1670 — 4 février : Divertissement royal, Les Amants magnifiques — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 8 février 1670 »
aute de place pour narrer Ce Spectacle, presque céleste Et, dedans le blanc qui me reste.
6 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1660 — Juillet : Ballets des comédiens espagnols à Paris — La Muse historique de Loret — Loret, lettre du 24 juillet 1660 »
e première, Donnant à leur Portier, tout Franc, La somme d’un bel écu blanc . Je n’entendis point leurs paroles ; Mais tant Es
7 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — X. m. et mme camille flammarion  » pp. 108-
esse m’emmena chez lui, rue Cassini. Il portait un vesion de flanelle blanche bordé d’un galon rouge. Il avait une véritable fo
aux vitres de couleurs différentes. L’une des serres était vitrée de blanc et un dernier géranium, enfin, poussait en plein
eur qui l’avait abritée, et même celle qui avait poussé sous le verre blanc n’était pas normale. Pas une n’était verte, ce qu
8 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 11 décembre. La querelle des Anciens et des Modernes. Le procès de Miss Duncan. — Les têtes de l’hydre. — Chopin chez la Goulue. — Mon courrier. »
a cohue s’écarte, un chasseur nègre balaye le plancher et voilà qu’un blanc essaim de tutus romantiques envahit la place. Il
plane, suave et désolée, sur le silence haletant de la multitude. Les blanches ombres glissent sur la mélodie, qui s’égrène, en
ns. Ses robes sont discrètes et charmantes, surtout celles en batiste blanche à falbalas et à traîne. Ses « zingara » et « alle
9 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre VI. De la Danse des Funérailles. »
ailles des Rois d’Athènes38 une troupe d’Élite vêtue de longues robes blanches commençait la marche. Deux rangs de jeunes garçon
10 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XV, quelques souverains » pp. 160-177
voir la même importance que les paroles rituelles. Les larges burnous blancs , drapés au-dessus des longues blouses bleues, flo
arda longuement à son tour et répondit : — Pour mes femmes, une femme blanche n’a ni charme, ni beauté. Ceci me surprenait beau
lui demandai si c’était parce qu’elles n’avaient jamais vu de femmes blanches . — Oh ! me répondit-il, en aucun cas elles ne se
! me répondit-il, en aucun cas elles ne seraient jalouses d’une femme blanche . Il leur paraît absolument impossible qu’une femm
lconque dans ma vie. — Et vous, en êtes-vous aussi sûr ? Si une femme blanche , à la longue chevelure blonde, apparaissait tout
11 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre V. marie taglioni  » pp. 156-187
-huitième siècle. Il prescrivit à la place les tuniques en mousseline blanche , sans ornements, qui tombaient en plis pudiques a
lui de Macbeth, tantôt celui des héros de Walter Scott, elle passait, blanche comme un rayon de lune, avec la légèreté silencie
re le chausson de satin. Ce nouveau genre amena un grand abus de gaze blanche , de tulle et de tarlatane ; les ombres se vaporis
tane ; les ombres se vaporisèrent au moyen de jupes transparentes. Le blanc fut presque la seule couleur adoptée71. » A la n
femme et libellule, qui plane dans le nuage diaphane de ses écharpes blanches et frôle du bout du pied, sans les incliner, les
chaste, si triste74 ». Il admire combien elle est « légère et naïve, blanche et chaste75 ». Une des glorifications les plus dé
réconforter et de purifier les âmes : Ah ! sois notre salut, vierge blanche , pieuse, Colonne de cristal, étoile radieuse ; Re
nt-Pétersbourg, racontaient qu’ils avaient vu dans un théâtre une fée blanche montée dans la loge de l’empereur et que celui-ci
et pour dénigrer les bras qui deviennent rouges, malgré la couche de blanc dont l’artiste les recouvre. Mais Rahel reconnaît
12 (1845) Notice sur Le Diable boiteux pp. 3-31
s épaules satinées qui n’ont pas besoin de la poudre de riz pour être blanches  ; ses yeux ont une expression de volupté malicieu
un quart d’heure, et déjà le voici en intrigue réglée avec un domino blanc le plus coquet du monde. Jurer au joli masque qu’
usieurs copies, — c’est ce qu’a bientôt fait notre écolier. Le domino blanc , peu cruel, lui remet une bague en échange, — une
s laquais. Le moyen va être mis en œuvre, quand par bonheur le domino blanc , instruit du complot, en donne avis à l’écolier,
e à la protection du domino rose, de la pèlerine et surtout du domino blanc . La décoration change. — Nous sommes dans un gale
d’éclatante lumière, Cléofas voit successivement apparaître le domino blanc , la pèlerine et le domino rose. Bien plus, sur un
ent autour de sa tête qui penche, son corps se courbe en arrière, ses blanches épaules ont presque effleuré le sol. Quel geste c
llumer leur cigare ; les gitanas à la robe bleue constellée d’étoiles blanches et frangée d’énormes falbalas, traînant par la ma
13 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 13 février. Danses de Mlle Ellen Sinding et M. Iril Gadescow. »
e et voilà que Femina lui emboîte le pas ; le coquet plateau drapé de blanc se prête à merveille aux manifestations individue
14 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 29 juin. Le gala Karsavina. »
la virginale tunique de mousseline comme une robe de deuil, de deuil blanc . Car vous ne sauriez oublier la Russie. Vous avez
15 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 16 octobre. Moa Mandu »
ostume avec une intelligence qui fait penser aux Sakharoffs. Une robe blanche , aux plis monastiques, lui donne l’ampleur d’une
16 (1845) Notice sur La Sylphide pp. 3-23
if, il est amoureux ! — Oui, mais dans cette ronde formée, si la robe blanche vient à passer, si le frôlement de l’aile jalouse
phide ! Elle a été apportée par le vent printanier ! Elle se détache, blanche et suave jeune fille, de la fenêtre entrouverte ;
rre et à la fille des nuages. Une affreuse sorcière aux longs cheveux blancs , à la bouche impie, à la main osseuse, visage rid
’aube matinale, et les horribles vieilles se répandent comme la fumée blanche , emblème du soufre dévoré par la flamme, dans les
’air ! La fête est grande dans la forêt enchantée ; les sylphides aux blanches ailes traversent l’espace comme autant de colombe
17 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « XI. Le corps de ballet actuel. » pp. 228-269
travers les quadrilles : mesdemoiselles Desprez, Deschamps, Poulain, Blanc , Laurençon, Hayet, Meyer, Martin, Tremblay, Grand
i Une Italienne qui aurait figuré avec avantage à l’exposition du Blanc et du Noir. Bistre et camélia mêlés. Très charmer
toyaient et mettaient volontiers la main à la poche : soit, une pièce blanche , par ci ; soit, un jaunet, par là ! Et la petite
ire expliquer par l’un d’eux les mystères du double renversement. Mademoiselle Blanc S’appeler Blanc et avoir l’épiderme de la Vén
mystères du double renversement. Mademoiselle Blanc S’appeler Blanc et avoir l’épiderme de la Vénus noire ! Amère iro
urs à l’endroit : — Ah ! ma chère, qu’on est à son aise dans du linge blanc  ! Mademoiselle Grandjean IIe Plaçons-la
18 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VI. Ballade des dames du temps jadis. » pp. 88-
ix de six mile écus, lui servait de couvre-pieds. Un autre cachemire, blanc à palmes oranges, s’étalait sur l’estrade de ce l
des bas de laine noirs, dont les défauts avaient été corrigés en fil blanc  ; la fille de Danaüs laissait entrevoir aux couli
s les chats sont gris ; mais le jour toutes les toilettes ne sont pas blanches  : donc, il faut préférer à plaisir sans richesse,
angle droit… Déjà, Marie Taglioni s’avançait sur la pointe du pied, —  blanche vapeur baignée de mousselines transparentes, — po
j’ai toujours soupçonné mademoiselle Duvernay de l’avoir écrit de sa blanche main. Tout fier de sa mission, M. Gide monte en c
es médailles ! Mon cœur est comme les montagnards écossais de la Dame blanche . Chez lui, L’hospitalité se donne, Mais elle ne
C’était la sœur de Lise Noblet et la femme du chanteur à la voix blanche que vous savez… Le soir, madame Alexis Dupont se
écouvrait avec une respectueuse émotion devant le cercueil couvert de blanches draperies et de fleurs virginales, il me souvient
19 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « appendix » pp. 257-258
mitiié, lisés : à l’amitié. 166. 6 en marbre branc, lisés ; en marbre blanc . 173. 18. quisque ce sont, lisés : puisque ce son
20 (1921) Une dernière étape des « Ballets russes ». La Belle au Bois Dormant pp. 227-231
he point que tels « scherzi » du divertissement final — Le petit chat blanc peut-être aient bien des chances d’être appréciés
rbeilles, le « pas de la vision » et des nymphes, épisode de « ballet blanc  » venant se mêler à l’action fastueusement coloré
21 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 15 janvier. Trois vedettes. »
s) cache sous son masque couleur de cirage avec les lèvres peintes en blanc , l’un des meilleurs danseurs fantaisistes que je
22 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 22 janvier. Prose morose. »
point de vue réaliste, prête au ridicule dans cet épisode de « ballet blanc  » introduit en plein Shakespeare. Le poncif du dé
23 (1845) Notice sur Ondine pp. 3-22
er, qui vengea ainsi la mort de son fils. Les ondulations de ces cous blancs et déliés, la grâce mélancolique et languissante
. Ayant ramassé le tout, elle enveloppa ces débris dans un linge bien blanc , et les porta dans l’église. Au moment où elle en
palais aquatique pour aller à la boucherie avec un joli petit tablier blanc dont le bout était toujours mouillé et ne pouvait
e fois ; la lune se lève derrière les montagnes, et baigne son disque blanc dans les eaux du lac. La danse cesse, tous les vi
24 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 26 février. Affaires courantes. »
moins d’impersonnalité correcte et un peu plus d’abandon. De ce « bal blanc  » de Clustine, elle semble ne pas être l’hôtesse
25 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VI. les débuts de fanny elssler à paris  » pp. 188-219
our habiller « Mlle Esler cadette » : 3 aunes 90 de crêpe lisse blanc à 4 fr. 60 l’aune, pour chemisette et jupe de des
hemisette et jupe de dessus 17 fr. 25 2 aunes 30 de mousseline gaze blanche , pour jupe de dessous, à 2 fr. 25 5 fr. 05 1 pa
doré fin orné de pierres de couleur 60 fr. » 4 aunes de crêpe crêpé blanc , pour une chemisette et une jupe, à 4 fr. l’aune
et une jupe, à 4 fr. l’aune 16 fr.  » 2 aunes 15 de mousseline gaze blanche , pour jupe de dessous, à 2 fr. 25 l’aune 4 fr. 80
ur jupe de dessous, à 2 fr. 25 l’aune 4 fr. 80 2 aunes 40 d’organdi blanc 3/4 pour une jupe de dessous, à 4 fr. 50 l’aune
u compte des accessoires figurent en outre trois aunes de crêpe lisse blanc pour un voile carré à 4 francs l’aune. Il n’y ava
26 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VIII. victoires et revers  » pp. 262-319
uages écossais ; Walter Scott s’est inspiré d’elle pour créer la Dame blanche  ; elle a fait les délices du fantastique Hoffmann
elle voltige comme un esprit au milieu des transparentes vapeurs des blanches mousselines dont elle aime à s’entourer ; elle re
une de ces belles figures d’Herculanum ou de Pompéi qui se détachent blanches sur un fond noir et accompagnent leurs pas avec l
ien ! la bête noire de Mlle Elssler, c’était un chat, même une chatte blanche . La vue d’un chat la faisait frémir, le miaulemen
té à son jeu, Mlle Elssler a eu le courage d’élever une petite chatte blanche qui ne la quitte jamais. L’animal perfide est là,
s : parfois elle frissonne encore, si par hasard sa main rencontre sa blanche fourrure d’hermine ; femme, elle se souvient de s
e, elle rougit de sa faiblesse, elle attire vers elle la jolie chatte blanche , et elle la caresse bravement. L’animal détesté d
r affreuse maigreur fait ressembler à des pinces de homard passées au blanc d’Espagne. Sa poitrine même est assez remplie, ch
la première. Il dit à présent : « Mlle Fanny Elssler tient dans ses blanches mains le sceptre d’or de la beauté ; elle n’a qu’
plus sanglante que l’autre ; on ne parle que de vieillards à cheveux blancs , de négociants estimables, d’hommes établis et ay
27 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 12 février. Pylade chez Roscius. »
irs. La pourpre royale de la Phèdre russe s’incline devant le tutu de blanche tarlatane ! Je vois d’ici venir les rieurs. Ce so
28 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre XIV. » pp. 197-215
avoient semblé préférables à des escarpins ; point de bas ni de gants blancs , j’en avois assorti la couleur à la teinte de la
s’occupent à différens ouvrages en usage chez les Turcs. Des Eunuques blancs et des Eunuques noirs superbement habillés, paroi
t marqué, dansé par des muets, par des Eunuques noirs et des Eunuques blancs , qui annoncent l’arrivée du Grand-Seigneur. Il e
eux côtés du théatre offrent un autre groupe de Bostangis, d’Eunuques blancs , d’Eunuques noirs, de Muets, de Janissaires et de
29 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE XIV. » pp. 396-434
avoient semblé préférables à des escarpins ; point de bas ni de gands blancs , j’en avois assorti la couleur à la teinte de la
’occupent à différents ouvrages en usage chez les Turcs. Des Eunuques blancs & des Eunuques noirs superbement habillés, pa
marqué dansé par des Muets, par des Eunuques noirs & des Eunuques blancs qui annoncent l’arrivée du Grand Seigneur. Il ent
ux côtés du Théatre offrent un autre grouppe de Bostangis, d’Eunuques blancs , d’Eunuques noirs, de Muets, de Janissaires &
30 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre VIII. De la Danse sacrée des Égyptiens »
escargot sous la langue, les poils de la queue doubles, et une marque blanche sur le côté droit ressemblante au croissant de la
31 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 8 mai. Le répertoire : « La Tragédie de Salomé ». »
ristesse, perle noire, qui l’incarnerait ? Mlle Daunt grande, blonde, blanche et rose, c’est Penthésilée, reine des amazones, c
32 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 20 mai. Le retour des « Ballets russes ». »
ignées Petipa. Dans les contes de fées, on goûtera beaucoup La Chatte blanche et Le Chaperon rouge, d’une naïveté si subtile, e
33 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La Rosière de Salency. Ballet pastoral. » pp. 191-203
ge. Le 8. Juin, vers les deux heures après midi, la Rosière, vêtue de blanc , frisée, poudrée, les cheveux flottans en grosses
Les uns ornent sa maison de festons de fleurs, et y posent le drapeau blanc , symbole de l’innocence, d’autres forment un conc
34 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VIII. Ballerines étrangères. » pp. 176-189
tres, qui lui sonna le sonnet suivant : Lorsque Taglioni, la fée aux blanches ailes, Quittait la salle aimée où pleuvaient tant
ito était petite et dodue. Elle avait la poitrine très sortie et très blanche , les bras ronds et d’un contour moelleux, les yeu
35 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « IX. L’escadron volant de la rue Lepeletier. » pp. 190-203
ure-t-on. Faite à peindre et peinte à faire plaisir. Une symphonie en blanc majeur. C’est Baratte qui disait encore : — Moran
os ! Ce quatrain de contiseur était enfoui dans une touffe de lilas blancs  : Un nid de serpents dans un buisson d’écrevisses
36 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 2 décembre : Le Ballet des Muses — Lettre en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 12 décembre 1666 »
r ces deux AMANTS62 Qui dessous un MÛRIER s’occirent, Dont les Mûres blanches rougirent. TALIE, aimant, plus sagement, Ce qui
37 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 5 juin. Les deux Sacres. »
rcle magique, la victime jusqu’alors immobile, blême sous son bandeau blanc , exécute sa danse macabre. Et je revois Marie Pil
38 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 13 novembre. Échos du temps passé. Éloge de Rameau. »
ce séjour élyséen où se prélassent les ombres en perruques et paniers blancs fut, pour les sujets de Louis le Bien-aimé, ce qu
39 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXII, gab » pp. 250-
mme une coiffure de grand’mère. Les dents sont petites, régulières et blanches comme des perles ; le nez est droit, gracieux ; l
rtir dans la rue. Elle reste quarante-cinq minutes en scène. La danse blanche à elle seule dure onze minutes. C’est très fatiga
40 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XIX. » pp. 201-212
us dire qu’il regnoit au milieu d’un jardin un vaste bassin de marbre blanc , au centre du quel s’elevoit un socle de marbre.
 ; son accoutrement disparoit ; je ne vis plus qu’un Triton de marbre blanc , ayant à sa bouche une trompe marine, longue envi
41 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les fêtes modernes »
de damas cramoisi, chargé de galons d’or, et des aigrettes de plumes blanches au-dessus. Le buste du Roi, en marbre blanc, étai
es aigrettes de plumes blanches au-dessus. Le buste du Roi, en marbre blanc , était placé au-dessous de ce tableau, sur une co
s de la Victoire, avec leurs attributs. Le corps des figures était en blanc , pour imiter le marbre, et les gaines étaient en
sé d’or, ainsi que les piédestaux. Le plafond était tendu d’une toile blanche au-dessous des poutres, encadrée d’une bordure do
ce dressée et bâtie au jardin du Louvre, se fit un combat de quatorze blancs contre quatorze jaunes, à huit heures du soir, au
aux étaient peints en brèche violette, et les bords d’architecture en blanc veiné. Les moulures étaient dorées, ainsi que les
éra pour tout cet édifice et pour ses ornements, la couleur de pierre blanche à celle des différents marbres qu’on aurait pu im
des différents marbres qu’on aurait pu imiter ; outre que la couleur blanche a toujours plus de relief, surtout aux lumières e
dans des bateaux particuliers. Tous les jouteurs étaient habillés de blanc uniformément, et à la légère ; leurs vêtements, l
vulgairement barret, qui était garnie d’une cocarde de rubans de soie blanche et rouge. Outre ces trois cents pâtres à pied, il
ice, qui était de relief en toutes ses parties, était feint de marbre blanc . Il était exécuté avec toute la sévérité des règl
es armes de France et d’Espagne. Cette colonne était feinte de marbre blanc veiné, ainsi que le piédestal ; les moulures, orn
irlandes, et éclairées de lustres, chargés de longs flambeaux de cire blanche . Des lumières arrangées ingénieusement sous diffé
illuminé avec une grande quantité de lampions et de flambeaux de cire blanche  : ces lumières rangées avec art sur les différent
ges de la cour. Il était ouvert par quatre pilastres peints en marbre blanc , cantonnés de demi-colonnes d’arabesque et de car
ns de fleurs : au-dessus régnait un piédestal en balustrade de marbre blanc à moulure d’or, orné de compartiments, de rinceau
ouvert de vignes et de raisins. On voyait la statue du dieu en marbre blanc , qu’environnaient les satyres en lui présentant l
e cette foire brillante étaient séparées par deux pilastres de marbre blanc , de l’entre-deux desquels sortaient trois bras en
és par quatre brillantes tours, couvertes de lampions à plaque de fer blanc , qui augmentaient considérablement l’éclat des lu
42 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre II » pp. 16-26
mit la clef sous le socle et sortit en me lançant un regard chauffé à blanc . VII Il avait fermé la porte depuis longtem
43 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 29 janvier. Graine d’étoiles. Plante et fleur. — Grands sujets. — Inconvénients d’un beau titre. »
mais s’il en est ainsi, on ne saurait trouver mieux pour la peindre ; blanche , blonde et rose. Ses proportions sont charmantes,
44 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 19 février. Une grande danseuse russe. Mme Véra Tréfilova. — Émotion et abstraction. — Mélodie continue. — Exotisme transposé. — Deux Moscovites : Novikoff, Clustine. »
nte montagnarde d’Écosse ? Une écharpe de tartan nouée sur le corsage blanc . Pour que Bos soit Espagnole ? Une mantille. Daun
45 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VIII, sarah bernhardt. — le rêve et la réalité » pp. 82-97
le public qui emplissait la salle du haut en bas. Dans ma grande robe blanche , immobile, j’attendais la fin des applaudissement
trer. C’était un petit vieux, d’environ 60 ans, avec de jolis cheveux blancs tout bouclés. Il avait l’air si content. Il s’app
46 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « XII. Le foyer de la danse » pp. 270-287
squerie de troupier, fait évoluer ces jeunes recrues trotte-menu, aux blanches épaules, aux minois chiffonnés, comme il eût fait
w, elle se para de ses plus beaux atours, — sans oublier le rouge, le blanc et les mouches, — et s’en fut se précipiter du ha
47 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre III. Fêtes de Louis XIV relatives à la Danse, depuis l’année 1643 jusqu’en l’année 1672 »
tracer sa honte, et immortaliser votre vengeance. Quelle erreur ! le blanc , contre lequel vous tirez à bout-portant est appu
48 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 18 septembre. Je fais l’école buissonnière. »
belle. C’est là le prologue. Elle revient suivie de son jazz-band, de blanc vêtu et constellé de rouge ; les musiciens escala
49 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 6 novembre. Classicisme et exotisme. Une étoile parnassienne : Mlle Schwarz. — Djemil. — Un maître français. — Reprise de « Roméo ». »
tout la règle de l’ordre chorégraphique dont elle a pris l’habit : le blanc tutu, vêtement séraphique. Considérez la si belle
50 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « II. Vocation. » pp. 14-23
les figures Qui leur offriront hôtels et voitures, Avec un laquais de blanc cravaté ; Dans un clair étui de gaze et de soie L
51 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VII. Brelan d’astres » pp. 134-175
poriser à l’aide de jupes de tulle, de mousseline et de tarlatane. Le blanc fut presque la seule couleur adoptée. La Sylphide
pointe d’une fleur ; l’autre, un flot de cheveux noirs déroulé sur de blanches épaules, une joue pâle appuyée sur une main diaph
sereine. On eût dit l’une de ces figures d’un rouge de brique ou d’un blanc de lait qui se détachent sur le fond noir des pot
is avec quel chaste embarras Carlotta se débarrasse de son long voile blanc  ; comme sa pose, alors qu’elle est agenouillée so
52 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre II. Des Fêtes de la Cour de France, depuis 1560 jusqu’en l’année 1610 »
ce dressée et bâtie au Jardin du Louvre, se fit un combat de quatorze blancs contre quatorze jaunes à huit heures du soir aux
53 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — V, mes débuts aux folies-bergère » pp. 50-
illon, n° 4 une danse que le public désigna plus tard du nom de danse blanche . Pour finir, j’entendais danser, éclairée par-des
54 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre III » pp. 27-43
mante fille dont les yeux sont grands, les cheveux longs et les dents blanches . Son seul défaut est d’être jalouse de moi. Elle
55 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VII, un voyage en russie. — un contrat rompu » pp. 72-81
é. Quand je débarquai à Paris, j’aperçus tout de suite la belle barbe blanche , la figure pâle et fatiguée du docteur Chapman, d
56 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIII, mes danses et les enfants » pp. 134-145
e ombre… Devant mes yeux vague Une forme vague, Suis-je fasciné ? Une blanche vague. En volutes d’argent Sur l’océan immense, E
57 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XX, une expérience » pp. 222-231
lle intelligence répandue sur toute sa figure ! Sous ses cheveux gris blanc , les yeux noirs avaient gardé la vivacité, la dou
58 (1908) L’École de danse de Grünewald « L’école de danse du Grünewald » pp. 261-268
vues danser, un soir, autour d’Isadora Duncan, habillées de bleu, de blanc , de rose, et je crois que jamais spectacle humain
59 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « III. Éducation. » pp. 24-35
, — et chaussées d’espèces de « cothurnes » d’un puce douteux ou d’un blanc roux. Aux portants, des pelisses de renard bleu,
60 (1921) Le Ballet de l’Opéra pp. 191-205
as, en effet, que le mastic dure près d’une heure : couche épaisse de blanc liquide sur la figure, les bras, le cou, les épau
frapper : tandis qu’on emportait au cimetière son cercueil couvert de blanches draperies et de fleurs virginales, un rat du dern
61 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre XI » pp. 148-166
n ? » VII Le porteur de ces lettres est un jeune titi en blouse blanche , qui se tient continuellement dans la loge du con
62 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VI, lumière et danse » pp. 60-71
nt où je me trouvais. Je sortis mon mouchoir de ma poche, un mouchoir blanc , et je l’agitai dans les rayons colorés, à la man
63 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIV, la princesse marie » pp. 146-
; elle était en robe de chambre et avait mis une mantille de dentelle blanche , sur ses beaux cheveux défaits. Elle était encore
64 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XIII. » pp. 122-133
mes et les colines ; il ne s’agit pas d’en marquer les places avec du blanc ou du noir ; il faut pour qu’il opère juste, que
65 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XVII. » pp. 173-184
velure. Ils avoient cinq boucles de cheveux de chaque côté poudrées à blanc , un toupet très-exhaussé, nommé improprement toup
66 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre III. l’opéra de paris sous la direction véron  » pp. 97-128
la tête, celle-ci étant entièrement enfouie dans une immense cravate blanche dont les bouts montent jusque par-dessus les orei
tirant sur le rouge. Tel Henri IV ralliant ses soldats à son panache blanc . « Non, continue Berlioz, jamais plus intelligent
67 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Les Horaces. Ballet tragique. » pp. 35-50
t des musiciens devancent son char ; il est traîné par quatre chevaux blancs , attelés de front. Le vieil Horace marche devant
68 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre X. le coucher de l’astre  » pp. 365-413
nel les parait. Mais des essors soudains, changeants, puissants de ta blanche personne sortaient des paroles pleines de lumière
veilleux de la danse, tu m’apparais dans cette vision muette comme la blanche et très belle déesse de l’Espérance qui s’incline
le régulier, n’avait pas de rides, ses épaules et ses bras, fermes et blancs , étaient admirés partout où elle apparaissait en
69 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les machines de théâtre » p. 458
arré. On met sur la partie horizontale des espèces de lampions de fer blanc faits en forme de biscuits, et auxquels on donne
70 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXIV, comment m. claretie m’a décidée à écrire ce livre » pp. 272-285
s mains mobiles, expressives, tendres ou menaçantes, les mains toutes blanches , les mains pareilles à des bouts d’ailes, sortaie
71 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « IV. Le mastic et le chausson » pp. 36-53
les, et la poitrine, jusqu’au-dessous des seins une couche épaisse de blanc liquide qui forme vernis en séchant. Elle graisse
72 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse moderne »
e de danse dont l’air est lent, et se note ordinairement en triple de blanches avec deux reprises. (S) La courante est composée
73 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — III, comment je créai la danse serpentine » pp. 22-
eçus un petit coffret venant des Indes. Il contenait une jupe de soie blanche très légère, d’une forme particulière, et quelque
74 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXI, choses d’amérique » pp. 232-249
çon, un nègre herculéen, contempla, impassible, ce petit homme agité, blanc et blond, puis, tranquillement, sans demander son
75 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Quatrième lettre. Flaminien d’Autremont à Melchior de Sainte-Fauste. » pp. 83-91
us dans cet horrible donjon noir, en face de ces neiges éternellement blanches et solennellement bêtes. Je regrette notre pays p
76 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Cinquième lettre. Juste Odoard à Mlle de Nesmes, à Lyon. » pp. 92-100
de pasquilles, j’ai songé à mon premier réveil dans un petit lit tout blanc auprès du tien ; j’avais sept ans, je sortais d’u
77 (1921) L’âme et la danse pp. 99-128
sus des choses, et l’on dirait qu’elle s’arrange un nid dans ses bras blancs … Mais, à présent, ne croirait-on pas qu’elle se t
es Dieux. SOCRATE Il faut cependant aller voir. PHÈDRE Comme elle est blanche  ! ÉRYXIMAQUE Laissons agir le repos qui va la gué
78 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre premier. Instructions générales aux élèves » pp. 19-39
musique l’est en notes ; mais nous avons des octaves, des rondes, des blanches , des noires, des croches, des temps à compter, et
79 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre II. De la Danse Sacrée des Hébreux, des Chrétiens dans la primitive Eglise, & des Payens, depuis son origine jusqu’à présent. » pp. 33-58
d’Athenes : il dit que ceux qui formoient le convoi étoient vétus de blanc  ; il y avoit autour du cerceuil deux rangs de qui
80 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « X, les étoiles d’aujourd’hui. » pp. 204-
n petit hôtel tout flambant neuf, daté de 1881, qui détache sa façade blanche sur les verdures du bois de Boulogne. Au fronton
81 (1834) L’Opéra. Paris ou Le Livre des Cent-et-un. tome XV « L’Opéra. » pp. 366-428
 ; on vit alors sortir du temple des jeunes filles vêtues de tuniques blanches , couronnées de fleurs, ceintes de rubans tricolor
dans lequel on vit le char du triomphateur, traîné par quatre chevaux blancs , fut une véritable apothéose que toute la populat
qui étonnent. J’ai vu Taglioni , la Sylphide, essayer un pas en robe blanche du matin. J’ai vu tout l’enfer de la Tentation en
82 (1841) Physiologie de la lorette pp. -127
irènes que j’ai rencontrées et qui jouaient dans les roseaux avec les blanches mauves du rivage et les martins-pêcheurs aux aile
yez, Lorettes, vous êtes les protectrices du temple, vous en êtes les blanches et sveltes colonnes ; sans vous, il serait peut-ê
convulsion constante qui constituent la vie de ces myriades de lutins blancs , bleus, tricolores, qui se choquent, se heurtent,
83 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Iphigenie en Tauride. Ballet tragique » pp. 235-256
nduisent la victime à l’autel ; c’est Oreste ; il est vêtu d’une robe blanche , couronné comme ses conducteurs et enchainé avec
84 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IX. le voyag e en amérique  » pp. 320-364
rchestre ; avec leurs pantalons et leurs vestes bleus, leurs chemises blanches , leurs cols bleu clair et leurs chapeaux noirs, i
usa dans la même ville d’un traîneau superbe attelé de quatre chevaux blancs  ; un jour cinquante traîneaux s’élancèrent à sa s
85 (1927) Paul Valéry philosophe de la danse
it se disputer comme pour un grain !…3 » (« Ses pieds sont comme deux blanches colombes », râlait dans la Salomé d’Oscar Wilde N
86 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Sixième lettre. Juste Odoard à Mlle de Nesmes, à Lyon. » pp. 433-445
’eus à moi un costume de gaze à paillettes et des pantoufles de satin blanc . J’étais ivre de joie et je suppliai M. Fiori de
87 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse ancienne »
railles des rois d’Athènes, une troupe d’élite vêtue de longues robes blanches commençait la marche ; deux rangs de jeunes garço
88 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — LETTRE XII. » pp. 157-180
musique l’est en notes ; mais nous avons des octaves, des rondes, des blanches , des noires, des croches, des doubles croches et
89 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE XII. » pp. 315-361
Musique l’est en notes ; mais nous avons des Octaves, des Rondes, des Blanches , des Noires, des Croches, des doubles Croches &am
90 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « V. Pastels après décès. » pp. 54-87
cations, et sa bouche aux lèvres minces laissait apercevoir ses dents blanches . Cahusac ajoute : « C’est en vain qu’on cherchera
91 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre IV. De la Danse des Balets des Anciens & des Modernes, avec quelques descriptions des plus singulieres, & de l’origine de la danse Théâtrale. » pp. 70-111
ëtes sérieux. Pour les Hilarodes, ils entroient sur la scêne vêtus de blanc , avec une couronne d’or ; les Simodes avoient ce
92 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre quinzième et dernière. » pp. 216-240
et prend la place de celui qui vient d’être détruit. Il est de marbre blanc  ; des guirlandes de roses, de jasmins et de myrth
93 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La mort d’agamemnon. ballet tragique. en cinq actes.  » pp. 141-169
tie principale de cette décoration. Ce monument auguste est en marbre blanc , ainsi que les pyramides, les tombeaux et les urn
94 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — DERNIERE LETTRE. » pp. 435-484
p; prend la place de celui qui vient d’être détruit, il est de marbre blanc  ; des guirlandes de roses, de jasmins & de my
95 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre II. la dernière passion du chevalier frédéric de gentz  » pp. 37-96
avait empêché Rahel d’analyser sa perfection. Elle portait des gants blancs qu’elle n’eut pas l’occasion de quitter, de telle
Gentz avait eu le sort à peu près inévitable des galantins à cheveux blancs . On lui donna un rival plus jeune et plus poétiqu
96 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre premier. les années d’apprentissage  » pp. 1-36
une femme qui aurait traversé le monde toujours fraîchement gantée de blanc et attentive à ce qu’aucun faux pli ne dérangeât
97 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XX et dernière. » pp. 213-241
les daines présentoient à Roger un casque riche ombragé d’un panache blanc  ; les chevaliers lui attachoient une magnifique c
98 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « Observations sur la construction d’une salle d’opéra. » pp. 3-32
airer en couvrant les tringles qui porteroient les lumières, d’un fer blanc battu et poli, courbé en quart de cercle et propr
99 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre IX. » pp. 97-129
t une partie des Faunes et des Silvains de sa suite, avec des visages blancs , tandis que l’autre partie porte des masques brun
100 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE IX. » pp. 195-260
une partie des Faunes & des Sylvains de sa suite avec des visages blancs , tandis que l’autre partie porte des masques brun
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