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1 (1823) De l’art de la danse , considéré dans ses vrais rapports avec l’éducation de la jeunesse (3e éd.) « Description méthodique des figures de contredanse qui se dansent généralement ; suiviede variétés et de plusieurs autres contredanses nouvelles. » pp. 109-128
e du pantalon.) Chaîne anglaise. 1re. Deux cavaliers et deux dames de vis-à-vis font la chaîne anglaise ; pour cet e
t la chaîne anglaise ; pour cet effet, les deux cavaliers et les deux dames s’avancent pour changer de place, et se donnent e
main droite ; chaque cavalier, après avoir donné la main droite à la dame qui lui fait face, tourne derrière elle en lui qu
lui quittant la main, et va donner la main gauche en main gauche à sa dame qui passe à l’instant à la place de l’autre dame,
en main gauche à sa dame qui passe à l’instant à la place de l’autre dame , et vont tous deux se placer l’un à côté de l’aut
figure, et en huit mesures. Balancé. 2e. Chaque cavalier et sa dame se tournent l’un vers l’autre et balancent durant
atre mesures. Un tour de deux mains. 3e. Chaque cavalier et sa dame , aussitôt après avoir balancé, se donnent les deu
s se quittent les mains, le tout en quatre mesures. La chaîne des dames . 4e. Deux dames de vis-à-vis changent de place
ains, le tout en quatre mesures. La chaîne des dames. 4e. Deux dames de vis-à-vis changent de place et se donnent, en
aliers qui sont restés à leur place. Chaque cavalier, au moment où sa dame part pour faire la chaîne avec l’autre dame, doit
cavalier, au moment où sa dame part pour faire la chaîne avec l’autre dame , doit partir à droite en présentant la main gauch
l’autre dame, doit partir à droite en présentant la main gauche à la dame qui arrive à la place de la sienne, et tourner su
che pour rentrer à sa place, où étant arrivé, il quitte la main de sa dame . Ceci, qui s’exécute durant quatre mesures, se ré
s, se répète pour la chaîne entière, alors en huit mesures, et chaque dame se remet à sa place. La demi-queue du chat.
ce. La demi-queue du chat. 5e. Chacun des deux cavaliers et sa dame se donnent la main gauche en gauche, et partent o
des autres, durant quatre mesures. 6e. Les deux cavaliers et les deux dames font une demi-chaîne anglaise pour retourner à le
autres. Figure de la (dite de l’été.) 1re. Un cavalier et une dame de vis-à-vis vont en avant et en arrière ou en av
en avant deux durant quatre mesures. 2e. Le même cavalier et la même dame traversent ou changent de place en passant de dro
n passant de droite à droite en quatre mesures. 3e. Le cavalier et la dame vont chacun de côté à leur droite, et reviennent
ennent de suite à gauche durant quatre mesures. 4e. Le cavalier et la dame retournent ou retraversent chacun à leur place en
leur place en quatre mesures. 5e. Le cavalier fait un balancé avec sa dame , et la dame avec son cavalier. (Voyez la figure d
n quatre mesures. 5e. Le cavalier fait un balancé avec sa dame, et la dame avec son cavalier. (Voyez la figure du Pantalon a
er. (Voyez la figure du Pantalon au n°. 2.) 6e. Chaque cavalier et sa dame font un tour de main. (Voyez la figure du Pantalo
a introduit le balancé, mais qui n’existe que pour le cavalier et la dame de ceux qui ont figuré ; alors ils commencent le
qui ont figuré ; alors ils commencent le balancé en même tems que la dame de l’un et le cavalier de l’autre commencent le t
main. Figure de la (dite de la poule.) 1re. Un cavalier et une dame de vis-à-vis traversent et se donnent la main dro
côté au milieu de la danse, en quatre mesures. 3e. Le cavalier et la dame qui se tiennent la main gauche, donnent la main d
nent la main gauche, donnent la main droite en main droite, l’un à sa dame et l’autre à son cavalier, balancent tous les qua
queue du chat. (Voy. à la figure du Pantalon.) 5e. Un cavalier et une dame de vis-à-vis vont en avant et arrière en quatre m
ont en avant et arrière en quatre mesures. 6e. Le même cavalier et la dame font le dos-à-dos ; pour cet effet, ils s’avancen
utres. Figure de la (dite de la trénis.) 1re. Un cavalier et sa dame se donnent la main, et vont en avant et en arrièr
t et en arrière deux fois ; à la seconde, ils se quittent la main, la dame va se placer à la gauche du cavalier de vis-à-vis
ière, et en huit mesures. 2e. Le cavalier traverse au milieu des deux dames qui sont alors sur la même ligne et qui traversen
on.) 4e. Chacun des deux cavaliers fait un tour de deux mains avec sa dame . (Voyez la figure du Pantalon.) Contre-partie pou
. Figure de la (dite de la pastourelle.) 1re. Un cavalier et sa dame se donnent la main, vont en avant deux fois, comm
se donnent la main, vont en avant deux fois, comme à la Trénis, et la dame va également se placer à la gauche du cavalier de
mesures. 2e. Le cavalier de vis-à-vis qui se trouve alors entre deux dames , donne la main à chacune d’elles, et vont tous tr
uit mesures. 4e. Le même cavalier et celui de vis-à-vis avec les deux dames qui sont placées à ses côtés s’avancent, se donne
chacun la leur et où ils se séparent, chaque cavalier ayant alors sa dame placé à côté de lui, en quatre mesures. 5e. Les q
de la (dite final.) 1re. Deux cavaliers vis-à-vis, et chacun leur dame , font un chassé croisé ; le cavalier fait un chas
é croisé ; le cavalier fait un chassé à droite en passant derrière sa dame qui fait en même tems un chassé à gauche en passa
demi-balancé sur place, en quatre mesures. 2e. Les mêmes cavaliers et dames déchassent, le cavalier à sa gauche en repassant
et dames déchassent, le cavalier à sa gauche en repassant derrière sa dame , et la dame à sa droite en repassant également de
hassent, le cavalier à sa gauche en repassant derrière sa dame, et la dame à sa droite en repassant également devant son cav
i-balancé, en quatre mesures. 3e. En avant deux ou un cavalier et une dame de vis-à-vis. (Voyez la figure de l’Été.) 4e. Les
ent. 5e. Ils vont ensuite à droite et à gauche. 6e. Le cavalier et la dame retraversent à leur place. 7e. Les deux cavaliers
place. 7e. Les deux cavaliers de vis-à-vis balancent chacun avec leur dame . (Voyez la figure du Pantalon.) 8e. Ils font ens
ure du Pantalon.) 8e. Ils font ensuite un tour de main. 9e. Les deux dames font la chaîne. 10e. La demi-queue du chat. (Voye
sé à quatre. (Voyez ci-dessus.) Dans une figure dite final, Les dames font quelquefois le moulinet au lieu de la chaîne
l, Les dames font quelquefois le moulinet au lieu de la chaîne des dames , alors elles se donnent toutes la main droite, et
ont un second tour de moulinet alors dans le sens opposé. Ensuite les dames , sans se quitter la main gauche, donnent chacune
tous en même tems, et en quatre mesures. Après, chaque cavalier et sa dame font un tour de main en reprenant leur place. On
trefois le tems figuré à droite ou sur le côté. Chaque cavalier et sa dame se donnent la main, et vont se placer devant le c
a dame se donnent la main, et vont se placer devant le cavalier et la dame qui sont placés à leur droite et font un demi-bal
t pour se mettre tous sur deux lignes et chaque cavalier vis-à-vis sa dame  ; ensuite tous les huit vont en avant et arrière,
uit vont en avant et arrière, puis chaque cavalier va au devant de sa dame , font un tour de main jusqu’à leur place. Cette f
erminé au-dessus de huit. Figure de la 1re. Un cavalier et une dame de vis-à-vis se donnent la main droite en main dr
anse comme à un moulinet, et en quatre mesures. 2e. Le cavalier et la dame se quittent la main, vont donner la main gauche e
la main, vont donner la main gauche en main gauche, le cavalier à sa dame et la dame à son cavalier, et font un tour sur pl
ont donner la main gauche en main gauche, le cavalier à sa dame et la dame à son cavalier, et font un tour sur place en part
ns que présente la main, et tournent jusqu’à ce que le cavalier et la dame qui ont fait le premier tour en se donnant la mai
côté la main gauche, ce qui met alors les deux cavaliers et les deux dames sur une seule ligne au milieu de la danse, comme
à la figure de la poule, et en quatre mesures. 4e. Le cavalier et la dame qui sont au milieu se quittent la main droite, et
sont au milieu se quittent la main droite, et chaque cavalier avec sa dame se tiennent toujours par la main gauche, et tourn
ait la figure de la Trénis de la manière suivante : un cavalier et sa dame vont deux fois en avant, à la deuxième fois la da
un cavalier et sa dame vont deux fois en avant, à la deuxième fois la dame va se placer à la gauche du cavalier de vis-à-vis
de la 1re. Le grand rond. 2e. En avant deux ou un cavalier et une dame de vis-à-vis. 3e. Traversez deux. 4e. A droite et
droite et à gauche. 5e. Retraversez à vos places. 6e. Balancez à vos dames . 7e. Un tour de deux mains. 8e. Chassez croisés t
le nombre formant la contredanse. Pour exécuter ce chassé-croisé, les dames se retournent en dedans et passent devant leurs c
alancé, ils se retournent en dedans à leur tour, comme ont fait leurs dames , qui de leur côté se retournent aussi en même tem
mençant et suivant la manière ordinaire de faire le déchassé pour les dames , lesquelles se retrouvent à leur place et les cav
ute en quatre mesures. 9e. Chaque cavalier dans cette position, et la dame , qui se trouve alors à sa droite, se donnent la m
e se quittent point, et en quatre mesures. 10e. Chaque cavalier et sa dame s’étant rejoints après le tour précédent, se donn
les cavaliers sont alors placés le dos au centre de la danse, et les dames dans le sens opposé, et suivant celui qu’elles ti
les contredanses en nombre multiplié. 11e. Chaque cavalier et chaque dame se tenant toujours la main gauche et quittant de
la fin. Figure de la (dite des grâces.) 1er. Un cavalier et sa dame se donnent la main droite en main droite, le cava
te, le cavalier en même tems donne la main gauche en main gauche à la dame qui figure à sa gauche, et les deux dames se donn
n gauche en main gauche à la dame qui figure à sa gauche, et les deux dames se donnent l’autre main derrière le cavalier et à
se retire en arrière, en se baissant pour passer dessous les bras des dames , lesquelles se tiennent les mains ; le cavalier e
le cavalier en se relevant de suite, fait passer et tourner les deux dames dessous chacun de ses deux bras, et fait aussitôt
de ses deux bras, et fait aussitôt un salut en même tems que les deux dames font la révérence sur le point d’orgue, après les
point d’orgue, après les quatre mesures. 3e. Le cavalier et les deux dames font un tour de rond en se tenant les mains, puis
e beaucoup de danseurs exécutent cette figure à deux cavaliers et une dame . Comme elle dérive de l’allemande à trois, c’est
e elle dérive de l’allemande à trois, c’est alors un cavalier et deux dames d’abord pour le plus élégant, ensuite, pour l’exé
bord pour le plus élégant, ensuite, pour l’exécution de la passe, les dames étant presque toujours moins grandes, ont, par co
2 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XVI. Du Cérémonial que l’on observe au grand Bal du Roy. » pp. 49-54
; Pairs, & les Duchesses : & après les autres Seigneurs & Dames de la Cour, chacun selon le rang qu’ils doivent o
es de la Cour, chacun selon le rang qu’ils doivent occuper ; mais les Dames sont assises sur le devant, & les Seigneurs a
t assises sur le devant, & les Seigneurs aussi assis derriere les Dames  : quoique je les aye réprésenté debout ; mais c’e
Seigneurs ; tous les Seigneurs sont d’un côté à la gauche, & les Dames à la droite : & dans ce même ordre on se fait
se fait la reverence l’un devant l’autre, ensuite Sa Majesté & sa Dame mene le branle, qui étoit la danse par où les Bal
par où les Bals de la Cour se commençoient, tous les Seigneurs & Dames suivent leurs Majestez, chacun de leur côté, &
ois pas en avant, pour adresser une autre reverence à la Princesse ou Dame qui doit danser à son tour, afin de la convier de
dinairement ; ensuite il fait une reverence en arriere en quittant la Dame , & se va mettre à sa place ; mais la Dame obs
arriere en quittant la Dame, & se va mettre à sa place ; mais la Dame observe le même cérémonial pour convier un autre
3 (1823) De l’art de la danse , considéré dans ses vrais rapports avec l’éducation de la jeunesse (3e éd.) « Des manières de civilités. » pp. 138-159
cavalier exercera ce salut des deux côtés. De la manière dont les dames doivent faire la révérence. Les dames, pour fa
. De la manière dont les dames doivent faire la révérence. Les dames , pour faire la révérence, dégageront un pied, le
pied l’autre jambe pour la placer devant à la troisième position. Les dames exécuteront cette révérence doucement et continue
on s’écarte un peu, n’observant point leur conversation. Si c’est une dame que l’on accompagne, on ne doit point lui offrir
urgent, comme la main dans un mauvais pas. De la manière dont une dame doit se comporter dans les rues. Lorsqu’une da
manière dont une dame doit se comporter dans les rues. Lorsqu’une dame marche dans les rues, elle doit observer une bonn
voiture. Si l’on monte en voiture avec quelqu’un, que ce soit une dame ou autre personne pour qui l’on ait des considéra
la voix. S’il vient un à propos de saluer, le cavalier saluera, et la dame fera la révérence selon la manière que nous avons
l’on veut saluer ; le cavalier saluera à la première position, et la dame fera la révérence à la quatrième : s’il est néces
ntinuant de marcher à cette position quelques pas pour se retirer. La dame fera la révérence aussi à la quatrième position,
luer à son passage, le cavalier saluant à la première position, et la dame faisant la révérence à la quatrième. Pour sortir,
udra saluer ; le cavalier saluera comme nous l’avons démontré ; et la dame fera la révérence pareillement et en même tems, d
e cavalier répétera le salut, les pieds à la première position, et la dame fera la révérence à la quatrième ; et si l’on a q
quatrième position en arrière, à laquelle le cavalier saluera, et la dame fera la révérence. Si l’on n’a qu’à parler, après
gards vers le chef de la maison et ceux qui l’environnent. Lorsque la dame fera la révérence, pour donner plus d’élégance et
cavalier faisant le salut à la quatrième position en arrière ; et la dame , à cette position, fera la révérence, et en même
t et d’un mauvais genre. Il est malhonnête et indécent de choisir les dames pour les faire danser, comme de danser toujours a
l’avons démontré. Le cavalier se tenant un peu écarté et à côté de sa dame , la conduira à la place destinée pour danser, où
tinée pour danser, où ils se placeront, le cavalier à la gauche de la dame , la dame à la droite du cavalier. Le quadrille ou
r danser, où ils se placeront, le cavalier à la gauche de la dame, la dame à la droite du cavalier. Le quadrille ou rond éta
le composent se salueront réciproquement ; puis chaque cavalier et sa dame se tournant en face l’un de l’autre, se salueront
ier saluera, lâchant la jambe à la quatrième position en arrière ; la dame fera la révérence également à cette position ; et
t comme auparavant ; et chaque cavalier recevant la main gauche de sa dame , suivant l’ordre, également comme avant, la recon
ce en s’inclinant devant elle et les personnes qui l’accompagnent. La dame fera la révérence. On se comportera toujours avec
4 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre VIII. Des Moralités »
ussent été renommés en amours pour leur constante fidélité envers les Dames . A l’instant, on vit plusieurs Chevaliers dans le
supplia Jupiter de transformer aussi les autres Étoiles en autant de Dames qui avaient aimé ces Chevaliers. Incontinent, ces
t aimé ces Chevaliers. Incontinent, ces Étoiles changées en autant de Dames furent vues vêtues de la même couleur que leurs C
ia de permettre que toutes ces âmes célestes de Chevaliers avec leurs Dames descendissent en terre, pour danser à ces noces R
Jupiter lui accorda encore cette requête, et les Chevaliers et leurs Dames descendant des nues sur le théâtre au son de plus
5 (1728) Trattato del ballo nobile di Giambattista Dufort « Trattato del Ballo Nobile di Giambattista Dufort — Della Contradanza »
ze nobili. [2] La Contradanza si può fare o con determinato numero di Dame e di Cavalieri, ovvero indeterminato, cioè di qua
alcune arie agevoli e corte. Vuol essere solamente ballata da quelle Dame e da que’ Cavalieri che sanno le regole del ballo
ballo. [4] La Contradanza di numero indeterminato, cioè d’altrettante Dame e Cavalieri messi a fila sopra due linee, quanti
ove Contradanze: ma si conviene innanzi tratto appararle almeno a due Dame ed a due Cavalieri, che a cominciarle dovranno es
6 (1623) Apologie de la danse et la parfaite méthode de l’enseigner tant aux cavaliers qu’aux dames [graphies originales] « Avx cavaliers et avx dames, par luy mesme. »
Avx cavaliers et avx dames par luy mesme. Qvi desire scauoir les premier
mens, Dont Lauze a bien huré l’Angleterre & la France.   Les Dames y verront parmi leurs pas diuers L’air, L’adres
7 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Adèle de Ponthieu. Ballet tragi-héroïque, en quatre actes. » pp. 109-120
igion, désintéressement, humanité après la victoire, respect pour les dames , dont les chevaliers défendoient la vertu au péri
r d’Adèle. Alphonse , chevalier Espagnol, à qui Adèle est promise. Dames de la cour d’Adèle. Chevaliers. Hérauts d’armes
perbe salon du palais de Renaud. Scène I. Des chevaliers et des dames magnifiquement vêtus, entrent successivement dans
ir. Tout est préparé pour cette auguste cérémonie. Un grand nombre de dames et de chevaliers sont invités à cette réception.
donne l’accolade. Les chevaliers s’empressent autour de Raymond. Les dames lui présentent les différentes pièces de son armu
et triomphale annonce l’arrivée des champions. Les chevaliers et les dames se placent sur les gradins. Le peuple se disperse
la joie pure de Renaud, et l’intérêt tendre que les chevaliers et les dames prennent à cette union.
8 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Les Horaces. Ballet tragique. » pp. 35-50
fille de Procule, amante d’Horace. Julie , confidente de Camille. Dames Romaines. Tullus , Roi de Rome. Métius , Roi
lle. Dames Romaines. Tullus , Roi de Rome. Métius , Roi d’Albe. Dames et Chevaliers Romains. Chevaliers Albains. Prêt
ion représente le Capitole. Scène I. Acteurs précédens. Fulvie, dames Romaines, Camille. Horace, précédé et suivi du pe
rmes des vaincus forment des trophées, qui accompagnent ce char ; les dames Romaines s’empressent à lui offrir des lauriers.
il Horace dévoué à sa patrie, applaudit au parricide de son fils. Les dames Romaines sont saisies de frayeur ; Tullus oublie
adins élevés. Scène I. Le vieil Horace, Horace, Fulvie, Procule, Dames et Chevaliers Romains. Le peuple est impatient de
t accompagné par Procule et Fulvie, par des chevaliers Romains et des dames amies de Fulvie. Le char s’arrête au milieu de la
ux pieds de Tullus, il le relève et l’embrasse ; Procule, Fulvie, les dames et les chevaliers entourent Tullus ; et cette réu
e réunion forme un grouppe d’autant plus général, que les troupes les dames et le peuple, par un mouvement spontané, exprimen
se militaire exécutée par vingt-quatre chevaliers Romains ; autant de dames tenant à leurs mains des couronnes de laurier et
e et Procule font éclater leur reconnoissance ; les chevaliers et les dames Romaines expriment leur admiration et par un sent
9 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XX, une expérience » pp. 222-231
e est d’une simplicité impressionnante. Là, où on s’attend à voir une dame en grands atours, à la mine altière, on trouvé un
e en grands atours, à la mine altière, on trouvé une charmante grande dame accueillante, simple, spirituelle et ayant conser
n confiance. C’est ainsi que je m’étais toujours représenté la grande dame , par tout ce qu’elle est elle-même, et non seulem
et les sculpteurs et cette soirée fut également un grand succès. Une dame enfin pria mon amie de danser chez elle. L’étoile
chez elle. L’étoile demandait très cher, mais, persuadée par moi, la dame consentit à payer le gros cachet que prétendait t
vint seul. D’abord, il fit quelques difficultés, puis m’avoua que ces dames ne comptaient pas me rejoindre. Je ne pouvais pas
je n’ai pas la moindre envie de retourner auprès de Loïe. » Quand ces dames durent revenir à Budapest elles laissèrent partir
10 (1623) Apologie de la danse et la parfaite méthode de l’enseigner tant aux cavaliers qu’aux dames [graphies originales] « Methode povr les dames. » pp. 53-69
Methode povr les dames . Il est indubitable que la beauté des Dames a
Methode povr les dames. Il est indubitable que la beauté des Dames a seruy de subiect aux enuieux, pour blasmer cest
esclat de tant de traits & d’atraits sans alarmes. Mais voyez mes Dames la responce que ie leur ay faicte en l’Apologie d
Plusieurs maistres estiment qu’il n’est pas necessaire d’obliger vne Dame à porter les pointes des pieds ouuertes, & se
uera mon aduis. Des principes. Et pource que le visage d’vne Dame est le premier obiect qui attire les yeux des reg
tre quelque fois diuerses compagnies en vn mesme lieu, lesquelles vne Dame est obligee (soit par bien seance ou autrement) d
es démarches plus naturelles sont non seulement les plus requises aux Dames , mais sans comparaison les plus propres pour leur
Tovt de mesmes qu’il a esté dict pour vn Caualier, il faut qu’vne Dame commence le Bransle Gay par le dernier pas, à fin
as de courante qu’on fait auiourd’huy, ie n’en ay point trouué qu’vne Dame peust acquerir auec plus de facilité, n’y qui luy
bien peu en dehors tenant les extremitez du lieu, & à fin que la Dame n’incommode celuy auec lequel elle danse, ayant f
’vne autre forte de pas qui ont bonne grace estans bien faits par vne Dame , si la negligence qu’on apporte auiourd’huy à dan
11 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VI » pp. 76-89
ent. Décidément ce bal est trés-galant ; il est entièrement dédié aux dames . L’habitué. Merci, pour ces portraits… ces dame
ièrement dédié aux dames. L’habitué. Merci, pour ces portraits… ces dames sont mesdames Sévigné, de Girardin, etc. — Tu les
abitués. L’ami. C’est cela qui m’est égal, que ces messieurs et ces dames se moquent de nous… L’habitué. Oui, mais ça ne
on l’a appelée ainsi, ton intelligence te le fait deviner : c’est une dame très-bien, qui a jeté son bonnet par-dessus les m
he de cheveux pour dix mille francs. L’ami. — Mais alors toutes ces dames sont riches. Alida. — Toutes, ah ! bien oui ! —
’ami répond à ce salut par une respectueuse révérence. — Une fois ces dames parties, l’habitué prend le bras de son ami. L’
12 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — II, mes débuts sur une vraie scène a deux ans et demi » pp. 16-21
dimanche précédent pour assister à mon « succès » lorsqu’elle vit une dame se lever et s’approcher de l’estrade. La dame se
s » lorsqu’elle vit une dame se lever et s’approcher de l’estrade. La dame se mit à lire un petit papier qu’elle tenait à la
me se mit à lire un petit papier qu’elle tenait à la main. Lorsque la dame eut achevé sa lecture, ma mère entendit ces mots 
eprésentation. C’est ainsi que j’ai joué Marguerite Gauthier, dans la Dame aux Camélias, avec un délai de quatre heures seul
13 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre IX » pp. 120-137
vec moi. — Un document historique. — Une répétition du théâtre. — Ces dames chez le commissaire. — La Comédie-Française et le
virgule. C’est un trésor pour les Délassements. Car trop souvent ces dames oublient de venir, retenues qu’elles sont, l’une
est l’activité personnifiée. C’est lui qui est chargé de prévenir ces dames et de veiller à ce qu’elles entrent en scène à te
t faire si je ne vois rien ? Oscar. Coupez les rôles, parbleu ! Ces dames trouvent qu’ils font longueur. Paurelle. Si on
avec ?… mélanie. Marche devant. Au bout de trois minutes, toutes les dames ont quitté la répétition pour aller chez le commi
eur. On n’a jamais pu savoir. Un quart d’heure après ce colloque, ces dames effectuent leur rentrée, ramenées par M. Sari, cl
14 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre XI » pp. 148-166
invitation à souper. — Une circulaire. — La réponse épistolaire d une dame . — Deux lignes spirituelles d’un vaudevilliste no
s l’une et l’autre. « J… » VI Cependant dernièrement une de ces dames a reçu deux lignes vraiment, spirituelles. Le cas
tous ses clients sur le bout du doigt. Il en est arrivé à éviter aux dames la lecture des lettres inutiles. Le moyen qu’il e
t répondre que oui ; après cela, tu sais, je ne réponds de rien ; ces dames sont si changeantes ! Le gandin brun. Elle n’es
urse. — J’ai peur d’être ridicule. Premier gandin. Ah ! — voilà des dames qui sortent. Effectivement, quatre dames effectue
ier gandin. Ah ! — voilà des dames qui sortent. Effectivement, quatre dames effectuent leur sortie ; elles sont sur-le-champ
15 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Pyrrhus et Polixène. Ballet tragique. » pp. 205-214
, fille de Priam. Priam , Roi des Troyens. L’ombre d’Achille . Dames troyennes , Captives. Capitaines et soldats tro
rophées de la victoire. Il est traîné par les officiers captifs ; les dames Troyennes y sont enchaînées, et elles expriment c
s grands malheurs, frappent Pyrrhus de surprise et d’admiration ; les dames Troyennes oublient leurs chaînes pour voler vers
lorer sa clémence. Polixène lui demande la liberté des Troyens et des dames Troyennes ; elle lui est accordée ; tout ce peupl
résente Polixène égorgée au pied du tombeau d’Achille et entourée des dames Troyennes qui expriment ce que les regrets et la
16 (1823) De l’art de la danse , considéré dans ses vrais rapports avec l’éducation de la jeunesse (3e éd.) « Méthode ou Principes élémentaires sur L’art de la danse pour la ville. » pp. 11-92
t en dessus. Les cavaliers les tiendront près d’eux en cet état ; les dames tiendront leur robe légèrement du bout des doigts
bras continuellement jusqu’à sa place. Lorsqu’on se donne la main, la dame entre la sienne sur celle de son cavalier, qui pr
eur exécution, et pour éviter que les pieds du cavalier et ceux de la dame se rencontrent en valsant ; de façon que lorsque
ant ; de façon que lorsque le cavalier exécute un de ces deux pas, la dame exécute l’autre ; et que le cavalier et la dame e
n de ces deux pas, la dame exécute l’autre ; et que le cavalier et la dame exécutent chacun alternativement l’un et l’autre
r, pour bien prendre le pas et se mettre d’accord le cavalier avec la dame , si le cavalier tiens sa dame à côté de lui à sa
se mettre d’accord le cavalier avec la dame, si le cavalier tiens sa dame à côté de lui à sa droite il faut qu’il parte du
l faut qu’il parte du pied gauche, en tournant en même tems devant sa dame comme s’il eût été devant elle ; et pour exécuter
es qui naissent des mauvais lieux ; il faut que le cavalier tienne sa dame de la main droite, au-dessus de la taille ou des
ieux que le cavalier de sa main gauche soutienne la main droite de sa dame . Il faut soutenir les bras un peu arrondis, pour
it du tour de deux mains. Pour remplir ce trait, le cavalier et la dame se faisant face se donneront les deux mains, bais
aversé ; et tournant sur leur place, le cavalier vers la droite de la dame , et la dame vers la droite du cavalier ; et finis
tournant sur leur place, le cavalier vers la droite de la dame, et la dame vers la droite du cavalier ; et finissant le tour
Trait du dos-à-dos. Pour remplir ce trait, un cavalier et une dame de vis-à-vis se présenteront l’épaule droite, et
sés, jetés et assemblés, comme pour traverser. Deux cavaliers et deux dames de vis-à-vis, partant du pied droit pour faire le
che, les cavaliers tourneront sur leur droite, quittant la main de la dame de ce côté, pour donner la gauche à leurs dames q
quittant la main de la dame de ce côté, pour donner la gauche à leurs dames qu’ils rencontreront, et continueront à tourner d
droit, et le jeté et assemblé, en se plaçant au côté gauche de leurs dames , qui tourneront aussi sur leur gauche, exécutant
it que la demi-chaîne anglaise, mettra les deux cavaliers et les deux dames de vis-à-vis à la place opposée à la leur, qu’ils
ent des huit mesures des deux traits. Des traits de la chaîne des dames . Pour exécuter cette chaîne, deux dames de vis
es traits de la chaîne des dames. Pour exécuter cette chaîne, deux dames de vis-à-vis exécutant les trois chassés comme po
même pas, en montant à leur droite pour se trouver à la rencontre des dames , où ils se donneront la main gauche en main gauch
ce côté en reprenant le sens de la danse ; et répétant ce trait, les dames rentreront à leur place. On exécutera ces deux tr
e trait, deux cavaliers de vis-à-vis donneront la main gauche à leurs dames , (on passe en dessous la main droite en main droi
et assemblés, comme pour traverser, les cavaliers feront passer leurs dames devant eux, en partant à leur droite pour descend
emplir ces traits, deux cavaliers de vis-à-vis passant derrière leurs dames , allant à droite, feront le tems levé, le chassé
vant à la troisième position : les cavaliers repassant derrière leurs dames , répéteront ce même enchaînement de la jambe gauc
ont ce même enchaînement de la jambe gauche et allant de ce côté. Les dames , pour exécuter le chassé-croisé, partant à gauche
sous de la droite, et l’assemblé devant. Pour déchasser à droite, les dames repassant devant leurs cavaliers, exécuteront le
s, et l’assemblé devant à la troisième position. Les cavaliers et les dames exécuteront ce chassé-croisé en même tems, et con
iers de vis-à-vis, de la main droite, recevront celle gauche de leurs dames  ; et partant à leur droite pour se mettre en face
ce qu’on appelle chassé ouvert, exécuté à huit, les cavaliers et les dames qui se font face, se donneront les deux mains, ré
 : chaque cavalier en même tems fera tourner et placer à sa droite la dame dont il tient les mains, ce qui mettra les quatre
il tient les mains, ce qui mettra les quatre cavaliers et les quatre dames sur deux lignes : alors chaque cavalier et sa dam
ers et les quatre dames sur deux lignes : alors chaque cavalier et sa dame se trouveront en face l’un de l’autre. On exécute
17 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XV, quelques souverains » pp. 160-177
rsqu’une voiture, attelée de deux chevaux fringants, conduits par une dame entre deux âges, arriva sur nous. J’eus peur pou
r pour ma mère, et j’étendis le bras vers l’équipage qui s’arrêta. La dame nous laissa passer, et, tout en la remerciant, je
escendant de ma chambre, je rencontrai dans l’escalier de l’hôtel une dame , à l’expression très douce et qui me demanda : — 
quiesçai volontiers et la suivis. Je fus charmée de causer avec cette dame et avec son mari, qui était le plus aimable des h
way. Dans la voiture plusieurs personnes parurent me reconnaître. Une dame vint s’asseoir à côté de moi et se mit à me parle
ser, pour que les archiduchesses qui sont là, avec toute une suite de dames de la Cour, puissent vous voir ? Je répondis : — 
ssible, en effet, de lui demander de venir à l’Hippodrome. Une de ses dames d’honneur me répondit que le séjour de la Reine é
oir une de mes amies vint m’aviser qu’elle avait écrit la veille à la dame d’honneur de la Reine, qu’elle connaissait, de ve
18 (1728) Trattato del ballo nobile di Giambattista Dufort « Trattato del Ballo Nobile di Giambattista Dufort — Delle Riverenze fuor della Danza »
ingiusta censura, che tralasciar cosa da cui possono spezialmente le Dame ed i Cavalieri, in serviggio de’ quali a sì fatta
ove si trovano a man destra e sinistra, e nel fondo di quella, assai Dame e Cavalieri seduti, o che stanno in piedi, convie
19 (1908) Quinze ans de ma vie « Préface » pp. -
re présenté à un déjeuner du « Tour du monde » à Boulogne. Je vis une dame américaine aux traits menus, aux yeux bleus comme
ein de charme et d’agrément. Cette éblouissante artiste se révèle une dame d’un sens juste et délient, douée d’une pénétrati
20 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXIII, la valeur d’un nom » pp. 264-
l’histoire suivante : — Lorsque vous jouiez Jack Sheppard, l’une des dames de la troupe demeurait ici avec M. X. Un jour ils
une telle querelle que je fus obligé de les prier de déguerpir. Cette dame s’était inscrite sous le nom de miss Fuller. J’ig
quelles « imitations », dans la vie privée, peuvent faire de moi ces dames , que n’embarrassent point les scrupules. Aussi je
21 (1623) Apologie de la danse et la parfaite méthode de l’enseigner tant aux cavaliers qu’aux dames [graphies originales] « Aduertissement. » pp. 1-3
ou peu iudicieux. Car de s’obliger de traicter de la Methode pour les Dames , & n’en rien dire du tout : Promettre d’ensei
ample qui s’en fait auec les autres, à vne inuisible Methode pour les Dames  : donner en fin à vne piece imparfaicte, le tiltr
22 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XVII. De la maniere de se conduire avec politesse dans les Bals reglez. » pp. 55-59
oir vivre tout des plus grossier ; cette regle est également pour les Dames . De même que lorsque l’on vous vient prier pour d
ue vous apprenez : ainsi vos reverences finies vous reconduisez cette Dame à sa place, & du même tems vous allez faire u
23 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 26 janvier : Ballet de la Naissance de Vénus — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 14 février 1665 »
rut, Laissant un grand regret dans l’âme De maint Monsieur, de mainte Dame , De perdre le contentement D’un si cher divertiss
24 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1663 — 7 août : Ballet de la Vérité, accompagnant la tragédie de collège Thésée — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 11 août 1663 »
. Plus de six mille Hommes, que Femmes, Dont étaient plusieurs belles Dames Dignes de respect et d’amour, Et maints grands Se
25 (1623) Apologie de la danse et la parfaite méthode de l’enseigner tant aux cavaliers qu’aux dames [graphies originales] « Methode povr les cavaliers. » pp. 25-51
e les pas & les actions d’vn Caualier, & ce qu’il faut qu’vne Dame face : & aussi qu’il y auroit de la confusion
trois autres sortes de reuerences, comme pour saluer vn Seigneur, vne Dame  ; commencer vne courante, ou vne gaillarde, desqu
il faudra monstrer l’action qui doit estre obseruee pour prendre vne Dame , & la prier de danser, dont sera parlé cy apr
t, d’ailleurs que les pas & les actions qu’on y fait obseruer aux Dames , dont sera parlé cy apres, peuuent seruir de regl
mpagnie, il luy faut apprendre les actions qui suiuent pour prier vne Dame de danser ; Ayant donc tiré le chapeau, qu’il por
ommencer, & venant à finir, que ce soit d’vne reuerence deuant la Dame , mais ne faut pas oublier d’en faire vne auparaua
omme ie vous ay dict, quelqu’vn qui vous y obligeast, ny à ramener la Dame en sa place, le tout auec des pas & des demar
n Escolier la grauité qui est requise pour salüer vn Seigneur, ou vne Dame , qu’on luy face souuent prattiquer les reuerences
esmes actions doiuent estre obseruees par vn Caualier pour salüer vne Dame , excepté qu’il faut en se releuant apres auoir ba
qu’il faut en se releuant apres auoir baisé la main, baiser aussi la Dame , puis desgager le pied gauche & glisser le dr
26 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1663 — 3 octobre : Ballet des Noces de Village — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 6 octobre 1663 »
étaient ni Comtes, ni Marquis, Mais des Gens de mérite exquis, Et des Dames belles et bonnes, Deux desquelles sont fort Migno
27 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre IV. Des Bals »
ure ; les cardinaux de Saint-Séverin et de Narbonne y dansèrent ; les dames les plus aimables y firent éclater leur goût, leu
érémonie fut délibéré à la pluralité des voix. Le jour fut pris ; les dames les plus qualifiées furent invitées, et après un
te écus l’aune : d’autres étaient vêtus de drap d’or ou d’argent. Les Dames n’étaient pas moins parées : l’éclat de leurs pie
be collation dressée d’une propreté enchantée. Monsieur, et plusieurs Dames et Seigneurs de la cour vinrent voir ces appareil
28 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre quatrième — Chapitre VI. Causes de la Décadence de l’Art »
ec les plus grands seigneurs de Rome : ils étaient compagnie chez les Dames de la Cour de Tibère, de Caligula, de Néron ; les
it les succès. Les Pantomimes étaient entretenus publiquement par les Dames les plus qualifiées de Rome75. Le talent du Théât
29 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — I, mes débuts sur la scène de la vie » pp. 10-
s deux messieurs firent le tour de la société et demandèrent à chaque dame si l’enfant était à elle : personne ne le reconna
était à elle : personne ne le reconnaissait. Sur ces entrefaites deux dames entrèrent dans la chambre qui servait de vestiair
30 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 13 février : Le Ballet de Flore — Lettre en vers et en prose au Roi de la Gravette de Mayolas — La Gravette de Mayolas, lettre du 10 mars 1669 »
Étrangers, les Courtisans, Qui dans la Salle était présent, Comme les Dames les plus belles, Y virent des grâce nouvelles. Qu
31 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VIII » pp. 106-119
t fort. — Un mot d’Oscar le régisseur. — Le magnétisme de Sari. — Ces dames . — De quoi se compose la troupe féminine. — Madem
nie de discipline. Jamais on n’a trouvé de définition plus juste. Ces dames  — mes douces compagnes — sont les êtres les plus
VIII La troupe féminine du théâtre se compose d’une vingtaine de dames recrutées un peu partout. Bien malavisé serait ce
32 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 13 février : Le Ballet de Flore — Lettre en vers et en prose au Roi de la Gravette de Mayolas — La Gravette de Mayolas, lettre du 21 février 1669 »
, Les Princesses les plus aimables, Les Envoyés, Ambassadeurs, Belles Dames et grands Seigneurs Agréablement s’y trouvèrent E
33 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre II. Des Fêtes de la Cour de France, depuis 1560 jusqu’en l’année 1610 »
. Le Roi mena la Mariée au Moustier suivie de la Reine, Princesses et Dames tant richement vêtues, qu’il n’est mémoire en Fra
la Mariée et autres des plus grands de la cour, tous les Seigneurs et Dames changèrent d’accoutrements, dont la plupart étaie
uisées en hommes. La Reine lui rendit la pareille par un autre où les Dames les plus belles firent le même office, la gorge d
34 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre V. De l’usage de la Danse grave & sérieuse, convenable aux Bals de cérémonie. » pp. 112-145
er devant Sa Majesté ; parce qu’on ne peut se dispenser d’obéïr à une Dame qui vient vous prendre : on doit du moins se prés
c elle, la remener en sa place, & ensuite aller prendre une autre Dame , pour en faire encore autant ; afin de ne point i
curiosité, incognito, c’est-à-dire enveloppé d’un manteau, & une Dame en écharpe ; car alors il est contre les régles d
orps de Satyre au naturel : ce qui scandalisa toute l’assemblée ; les Dames eurent recours à leurs éventails, les hommes cour
& digne de la magnificence d’une assemblée si considérable : les Dames les plus distinguées de la Ville de Trente, y par
e écus l’aulne ; d’autres étoient vêtus de drap d’or ou d’argent. Les Dames n’étoient pas moins parées ; l’éclat de leurs Pie
e d’une propreté enchantée. Monsieur, & plusieurs Seigneurs & Dames de la Cour vinrent voir cet appareil, pour s’y ra
35 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre X » pp. 138-147
ne compagnie qui n’est pas désagréable, il appelle les femmes « belle dame  », les compare aux roses du printemps et leur off
ussi ? — Les vôtres aussi. — Mais, de quel droit, s’il vous plaît ? —  Dame … du droit que tout directeur… — Cela est impossib
36 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre XII. Des Danses des Lacédémoniens »
’où vient que la femme de Léonidas nommée Gorgo, répondit, à quelques Dames étrangères qui lui disaient : Il n’y a que vous a
ns des hommes… Et était en ce temps-là l’honnêteté et la pudicité des Dames si éloignée de la facilité que l’on dit avoir été
37 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 13 juin : Le Favori — Lettres en vers à Madame la Duchesse de Nemours de la Gravette de Mayolas — La Gravette de Mayolas, lettre du 21 juin 1665 »
aire éclater la Scène. Les plus grands Seigneurs de la Cour, Avec les Dames , tour à tour, Dans le petit Parc se trouvèrent, E
38 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre III » pp. 27-43
endant je ne résiste pas au plaisir de parler de quelques-unes de ces dames . De mademoiselle Finette par exemple, ma rivale d
coup de travail, mais les lettres sont copiées dans le Secrétaire des Dames , ce qui simplifie la besogne. Les messieurs n’y v
fils. La foule battit des mains et voulut la porter en triomphe. Une dame du noble faubourg fit sur cet événement une réfle
39 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIII, mes danses et les enfants » pp. 134-145
ce n’est pas vrai. Je ne veux pas la voir. Celle-ci, c’est une grosse dame et c’est une fée que j’ai vue danser. S’il y a un
ce d’une étrangère. Lorsque la princesse leur expliqua que j’étais la dame qu’ils avaient vue danser au théâtre, l’aînée, la
au théâtre et s’ancrèrent de plus en plus dans leur conviction que la dame qu’ils avaient vue chez leur mère et qui s’était
40 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre premier » pp. 6-15
duite. J’ai la prétention d’avoir autant d’imagination que toutes ces dames , et rien ne me serait plus facile que de raconter
VI Ce qui m’étonne, c’est le peu de franchise et d’énergie de ces dames . — Pourquoi ne pas dire la vérité ? pourquoi ne p
41 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 13 février : Le Ballet des Amours déguisés — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 16 février 1664 »
t nommer un beau plan De toutes les grâces touchantes Qui rendent les Dames charmantes. La jeune Dame de Vibray, Laquelle,
ais hardiment que non. Outre ces Beautés éclatantes, La plupart des Dames importantes, Cinq ou six Fillettes encor, Chacun
42 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XIII. De la maniere dont les Demoiselles doivent marcher, & celle de se bien presenter. » pp. 38-41
ue la Nature a fait de plus gracieux ; c’est que sans la presence des Dames la danse n’est pas si animée, car ce sont elles q
43 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre VI. Des Ballets Moraux »
leurs étaient remplis ordinairement par les Souverains eux-mêmes, les Dames et les Seigneurs les plus aimables de leur Cour.
44 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XXXVI. Des Jettez, ou demies Cabrioles. » pp. 162-165
mp; même à ceux qui en font leur principale occupation. A l’égard des Dames , elles ne doivent pas tant les sauter, il suffit
45 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IV. le ballet a l’opéra vers 1830  » pp. 129-155
de Mentor, et encore ce second personnage ne dansait pas. Les grandes dames avaient des tendresses pour ces artistes. Les duc
olympiens, à la crinière de lion, Théophile Gautier. *** Du côté des dames , il y avait la vieille garde, avec des sujets don
squ’elle débuta, en 1823, dans Aladin ou la Lampe merveilleuse. Cette dame n’a point d’histoire. Sa lampe ne brilla jamais b
c un Anglais colossalement riche, avait fait entrer dans sa maison la dame de compagnie d’une haute et noble lady qui venait
e rentes, se fit une place dans la haute société anglaise et garda sa dame de compagnie. A Mlle Duvernay manquait, ainsi qu’
ies physiques et morales vers un but haut placé. Pour beaucoup de ces dames , la danse n’était qu’un moyen de paraître en publ
46 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 4 octobre. Le ballet de « Manon ». »
trouvé chez un des interprètes de Manon. Non, j’en conviens, chez ces dames du corps de ballet, mais chez l’artiste qui chant
47 (1797) Essai ou principes élémentaires de l'art de la danse, utiles aux personnes destinées à l'éducation de la jeunesse « Différentes manières de saluer »
ut du pavé à la personne qu’il voudra saluer, supposé que ce soit une dame ou une demoiselle : s’il veut s’arrêter, il ira d
48 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XIV. Des Reverences de plusieurs manieres. » pp. 42-46
Chapitre XIV. Des Reverences de plusieurs manieres. Les Dames n’ont pas les mêmes embarras que les Messieurs po
49 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — IX, alexandre dumas » pp. 98-
s-je, au comble de la joie. Vous voulez me présenter à l’auteur de la Dame aux Camélias ? — Oui, répondit-il. Cela valait bi
Un jour, toujours avec M. Poulle pour interprète, nous parlions de la Dame aux Camélias et du Demi-Monde et de l’immoralité
50 (1841) Physiologie de la lorette pp. -127
serait du retard. C’est sans doute une Lorette qui a fait donner aux dames qui paraissent en scène, le sobriquet de paraisse
ion de son domicile. Le portier dit au maître d’hôtel : Tiens ! cette dame n’a pas d’effets. Étant payé d’avance l’hôtelier
es richesses vestimentales de sa locataire. Il se dit : Tiens ! cette dame a beaucoup d’effets. Il descend chez le portier,
francs, il laisse un cabriolet de régie douze heures à la porte de la dame  ; après le dîner il débouche sept bouteilles de c
t encore un type à signaler. Un de ces individus invite un jour trois dames à dîner chez le restaurateur ; mais, avant de se
le garçon… vous avez demandé trois fois du Volnay. — Oui, disent les dames , nous témoignons. — Et on a marqué trois bouteill
e fatalité, la voiture de la Lorette s’étant brisée à la barrière, la dame revient à Paris, et, sans rentrer chez elle, va a
a fourchette. — Madame Saint-Lambert, dit une petite voix flûtée à la dame de la maison, est-ce que tu ne vas pas mettre auj
et à l’enchère… c’est si amusant. A peine ce vœu est-il formé, que la dame de la maison place sur la table la gravure de l’A
ligence du bien-être que ne possèdent pas à un degré égal beaucoup de dames non lorettes. De nos jours, Paris est une atmosph
concédait gratuitement, pour six mois, un apparpartement complet aux dames assez intrépides pour risquer les rhumatismes pro
sur l’étrangère : les faiseurs de cancans de Londres se dirent que la dame avait une mission de basse diplomatie et qu’on l’
sse. La vieille Lorette est très-recherchée des hypocondriaques comme dame de compagnie, son habitude des vicissitudes de la
51 (1728) Trattato del ballo nobile di Giambattista Dufort « Trattato del Ballo Nobile di Giambattista Dufort — Trattato del Ballo Nobile — Capitolo IV. De’ Movimenti del Corpo »
a coloro che sono troppo grandi della persona, è necessarissimo alle Dame , alle quali in niun modo è lecito saltare nel Bal
52 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 1er janvier 1923. Carte de visite. »
de danse et à son vaillant état-major ; il prie également toutes ces dames et tous ces messieurs d’agréer l’expression de so
53 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre quatrième — Chapitre III. Dispute entre Pylade et Hylas. »
eunesse Romaine transportée de ce coup de génie, crie au miracle. Les Dames les plus belles battent des mains. On admire, on
54 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « XI. Le corps de ballet actuel. » pp. 228-269
fils de roi, n’affecte point ce luxe d’aménagement qui fait crier les dames des commerçants en rupture d’épicerie. Sa mère a
gée. — Excellente mère de famille, » Ouvrez, enfin, le Plutarque des Dames , ou Etrennes aux Oisifs, publié, en l’an de grâce
rs les coryphées. Mademoiselle Vendoni Une Italienne ?… —  Dame  ! la terminaison du nom semble l’indiquer… Mais v
lini, Vandoni, Maffioli, Corzoli, — et cœteri ! — Des Italiennes ?… —  Dame  ! si je m’en rapporte au début de cette tirade de
ante : — C’est ma fille, monsieur ! Et il n’est pas une de ces braves dames qui n’ajoute avec l’enthousiasme traditionnel : —
55 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IX. le voyag e en amérique  » pp. 320-364
de voir ce chevalier servant fidèlement attaché aux pas de l’illustre dame . Un journal, le Corsaire, se fit l’organe de la p
mit gaîment à cette obligation. Catherine Prinster joua le rôle de la dame respectable et s’assit à la caisse à côté d’elle.
de grand prix, qui lui servit dans la suite à danser la cachucha. Une dame ajouta au costume un merveilleux éventail où la c
égate, on se prépara à hisser la jolie visiteuse dans le fauteuil des dames  ; mais Fanny préféra monter tout simplement par l
us traitera de lâches ; mais il faut s’incliner devant le désir d’une dame  ; je vais, mademoiselle, soumettre votre demande
s n’existe-t-il pas une sympathie séculaire entre les pompiers et les dames du corps de ballet ? *** Comment nous expliquer
des cigares qui s’allumaient à toutes les places. Lorsque ces belles dames recevaient le soir, on écartait les rideaux du sa
t des soirées musicales où il était convié. Il comparait le chant des dames américaines au son que l’on obtient lorsqu’on pro
56 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XXV. Des contre-tems du Menuet, & la maniere de les faire. » pp. 104-109
ître, lorsque vous les executerez bien, de les adoucir. A l’égard des Dames , c’est la même maniere : à l’exeception qu’elles
57 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1662 — 7 février : Ercole Amante — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 25 février 1662 »
dents Vers, En deux ou trois endroits divers, J’ai parlé de celle des Dames , Qui comblaient d’amoureuses flammes, Ainsi que d
58 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 26 janvier : Ballet de la Naissance de Vénus — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 7 février 1665 »
belles Tables d’attente Pour augmenter le nombre, un jour, Des hautes Dames de la Cour : J’ai vu trente Ballets en France, Ma
59 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre IV. » pp. 27-36
ment fausse fut applaudie à outrance. Le public cria au miracle ; les dames Romaines, à qui le jeune pantomine plaisoit, s’éc
grands associèrent leurs débauches à celles de ces bas farceurs, les dames Romaines, et leurs filles joüoient avec eux les s
60 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XXXVIII. Des Contre-tems de côté de plusieurs sortes. » pp. 168-174
tre. J’ai déja dit que tous ces differens pas sont également pour les Dames , comme pour les Messieurs, à l’exception qu’elles
61 (1852) Tableau de Paris. Chapitre XII « [Chapitre XII. Extrait] » pp. 104-108
’à cette époque le roi, les plus grands seigneurs et les plus grandes dames de la cour figuraient dans les ballets sur le thé
! Et puisqu’il s’agit d’actrices, deux mots, s’il vous plaît, sur ces dames en passant. Pour tout jeune homme, ce mot d’actri
62 (1728) Trattato del ballo nobile di Giambattista Dufort « Trattato del Ballo Nobile di Giambattista Dufort — Trattato del Ballo Nobile — Avviso a chi legge »
presente libro, è assai men faticosa di quella da Teatro. Serve alle Dame , Cavalieri ed altre gentili persone, e per fino i
63 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Conclusion » pp. 414-418
rivialité fut atteint par Lola Montès en 1844. Pour ses débuts, cette dame fâcheusement illustre arriva sur la scène d’un bo
64 (1823) De l’art de la danse , considéré dans ses vrais rapports avec l’éducation de la jeunesse (3e éd.) « Des moyens de conserver le talent de la danse. » pp. 133-137
plus que désordre, confusion, et brutalité ; il fait beau de voir les dames exposées à recevoir à chaque instant des coups d’
65 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 26 janvier : Ballet de la Naissance de Vénus — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 31 janvier 1665 »
le Rochefort, Que tout le monde estime fort. Outre ces seize Nobles Dames , Aucunes Filles, d’autres Femmes, L’aimable et ch
66 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre V. Mimes, Pantomimes, Danse Italique »
lle, en peignant les amours de Léda, avait toujours causé à plusieurs Dames Romaines, très respectables d’ailleurs, des distr
67 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VI. Ballade des dames du temps jadis. » pp. 88-
VI Ballade des dames du temps jadis. Emilia Bigottini. — Clotilde
hènes et Rome, et le boudoir des courtisanes, comme celui des grandes dames , s’ingéniait à rappeler l’intérieur d’Aspasie ou
tes ces médailles ! Mon cœur est comme les montagnards écossais de la Dame blanche. Chez lui, L’hospitalité se donne, Mais
it la tête de la colonie anglaise à Paris, mourut, laissant libre une dame de compagnie renommée pour son excellente tenue e
cause de ce chagrin subit. Alors Pauline entre deux sanglots : — Ma dame de compagnie a appris que nous n’étions pas marié
68 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre II » pp. 16-26
soupirai si fortement, qu’il leva la tête. — Elle vous plaît donc ? —  Dame … J’osais à peine lui répondre… — Dites, vous plaî
69 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVII, quelques philosophes » pp. 188-
un moment, qu’il voyait, mon aveugle ajouta : — Regardez-la, ma bonne dame , est-ce que sa bonté n’est pas peinte sur tout so
ithyrambes. L’homme dit seulement : — On vous remercie bien, ma bonne dame . Peu après, je partis pour une longue tournée en
70 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VIII. victoires et revers  » pp. 262-319
fet mystificateur, se chargèrent de faire parvenir à destination. Les dames choristes avaient posé, disait-on, pour les peint
L’opposition fut impuissante. Le grand monde adopta la cachucha. Les dames de la meilleure aristocratie s’essayèrent à la da
née, le Diable boiteux avait eu sa répercussion sur la mode. Chez les dames « l’asmodée velouté » faisait concurrence aux « t
les nuages écossais ; Walter Scott s’est inspiré d’elle pour créer la Dame blanche ; elle a fait les délices du fantastique
, était représentée par Fanny, le Décaméron, de Winterhalter, par des dames de l’Opéra, de la Comédie-Française et du Vaudevi
, Lauriston, Fulchiron, Pourtalès, Aguado, Fould, Schickler, etc… Les dames s’exhibaient en organdis brodés ou brochés en cou
nom de Mario. Chacun s’extasiait sur la jolie voix du joli ténor. Les dames le couvaient de leurs regards attendris. Toutes c
71 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XI, une visite chez rodin » pp. 118-123
Lorsque la visite des trois ateliers fut terminée, un monsieur et une dame  ; traversant le jardin ; vinrent à nous, et Rodin
72 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXIV, comment m. claretie m’a décidée à écrire ce livre » pp. 272-285
us allions nous mettre à table, Mme Claretie était allée chercher une dame âgée à la figure aimable. J’ai rarement vu des mo
elles composaient un délicieux tableau. Mme Claretie me présenta à la dame âgée. C’était sa mère. Je demandai à la vieille d
73 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre XII. Ceux qui ont quelque autorité doivent, autant qu’ils le peuvent, s’opposer aux Danses, et empêcher d’y aller ceux et celles qui dépendent d’eux. » pp. 132-147
unes demoiselles, et combien les suites en peuvent être funestes. Une dame un peu jalouse de sa réputation, ne seroit pas co
 C’est, dit-il, la remarque que fait Salluste en disant de Sempronia, dame de naissance, mais absolument décriée pour les mœ
74 (1623) Apologie de la danse et la parfaite méthode de l’enseigner tant aux cavaliers qu’aux dames [graphies originales] « Apologie de la danse. » pp. 11-24
eusement au choc d’vne bataille, & s’y exerçoit encores parmy les dames de sa cité, n’estimant pas que ce fut chose qui d
’elle a pour subiect vn bien tres-necessaire aux Caualiers, & aux Dames qui veulent anoblir les charmes qu’ils ont desia
75 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre III. Fêtes de Louis XIV relatives à la Danse, depuis l’année 1643 jusqu’en l’année 1672 »
riches préparatifs pour son exécution : le Roi voulut y danser : les Dames les plus qualifiées, les Seigneurs les plus disti
76 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre V » pp. 60-75
ché. Nous courûmes tous prendre part à ce divertissement imprévu. Ces dames étaient réellement furieuses, elles s’injuriaient
77 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VII » pp. 90-105
as des yeux, constatait avec joie qu’ils s’amusaient étonnamment. Les dames furent adorables ; l’orchestre, — un piano et un
78 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — IV, comment je vins a paris » pp. 40-
, mais je n’y attachai pas trop d’importance. Je saluai à nouveau les dames en robes superbes qui se pressaient dans les gale
79 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — X. m. et mme camille flammarion  » pp. 108-
était une enfant du pays. Peu après mon début aux Folies-Bergère, une dame demanda à me voir. C’était la comtesse Wolska, Po
80 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre XII » pp. 167-185
nt déclaré n’avoir jamais rencontré un seul homme habile à parler aux dames . Je me suis trompée. J’en connais un. Mais celui-
81 (1908) L’École de danse de Grünewald « L’école de danse du Grünewald » pp. 261-268
sard me fait un matin, à l’aube, rencontrer à la gare de Silésie, une dame étrange enveloppée de voiles bruns aux plis graci
82 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Alceste. Ballet tragique. » pp. 207-218
représente un bosquet des jardins d’Admète. Admète est entouré des Dames de la Cour ; elles s’empressent par leurs jeux de
83 (1921) Le Ballet de l’Opéra pp. 191-205
nt les délices des Alliés en 1814, que beaucoup devinrent des grandes dames étrangères, des mères de famille respectées. Ce d
jupes du corps de ballet : « Voulez-vous me plaire ? disait-il à ces dames . Des pantalons larges et des mœurs ! » L’émotion
84 (1845) Notice sur Giselle pp. 3-24
toute honteuse de paraître ainsi à l’improviste devant une si grande dame  ; cependant elle a l’air si bon, que l’on oublie
aperçue de ce manège, et qui en rit de toute son affabilité de grande dame , passe au cou de Giselle une belle, longue et lou
85 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Apelles et Campaspe, ou la Générosité d’Alexandre. Ballet pantomime. » pp. 177-189
Apelles . Campaspe . Alexandre . Roxane . Ephestion . Dames de la cour d’Alexandre. Guerriers. 1 Elève d’Ap
86 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Enée et Didon. Ballet tragique. » pp. 135-147
Ascagne est à ses pieds. Ce trône est environné des officiers et des dames de sa cour. Enée tient la première place auprès d
87 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les fêtes modernes »
me seconde, était madame la princesse de Conti, et ensuite toutes les dames de la cour. Le Roi et la Reine et la famille roya
Le roi mena la mariée au moutier, suivie de la reine, princesses, et dames tant richement vêtues, qu’il n’est mémoire en Fra
a mariée, et autres des plus grands de la cour, tous les seigneurs et dames changèrent d’accoutrements, dont la plupart étaie
ribués par une loterie amusante et pleine de galanterie, à toutes les dames et à tous les seigneurs de la cour. Le magnifique
phe régnaient deux galeries, dont la supérieure était remplie par les dames les plus distinguées de la ville, et l’autre l’ét
ent des symphonies italiennes. Le 28 la ville offrit des présents aux dames et aux seigneurs de la cour de Madame la Dauphine
dame la Dauphine se rendit à l’église métropolitaine, accompagnée des dames et seigneurs de sa cour, et des principaux offici
te cors de chasse. Les tourniquets à courir la bague, occupés par des dames supposées des campagnes et des châteaux voisins,
urs les plus belles à la Reine : les autres en offrirent à toutes les dames de la cour. Il y avait autour du berceau un grand
du sang, les ambassadeurs et ministres étrangers, et les seigneurs et dames de la cour, invités à la fête, furent arrivés à l
88 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La mort d’agamemnon. ballet tragique. en cinq actes.  » pp. 141-169
Pylade, ami d’Oreste. Un Messager. Principaux officiers d’Agamemnon. Dames du Palais. Soldats Grecs. Esclaves Troyens. Peupl
er de ses larmes. Scène vii. Les cris d’Eleclre ont attiré les Dames et les Officiers du Palais, déjà prévenus par l’e
89 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XVII. » pp. 173-184
ns ses vêtemens et ses ajustemens ; devenue l’oracle du bon goût, les dames de la cour et la ville s’empressoient de la consu
90 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre II. la dernière passion du chevalier frédéric de gentz  » pp. 37-96
n’avait cessé d’éprouver de la tendresse. Il soupira pour de grandes dames auxquelles il pouvait à peine se permettre de lai
ntelles. Un ami avait désapprouvé son choix, mais il consulta une des dames réputées pour avoir le meilleur goût de tout Vien
e également dans le secret, fut suppliée de ne pas le trahir. A cette dame qui avait résisté à ses avances, Gentz vante les
rée s’était terminée par une promenade dans le parc, où Gentz fit aux dames un petit cours d’astronomie. Le prince de Mettern
91 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VI. les débuts de fanny elssler à paris  » pp. 188-219
e la jolie Allemande sont imités aux répétitions par plusieurs de ces dames qui se piquent d’elssleriser avant un mois. Troup
e, Petits Mémoires de l’Opéra, p. 78. 96. Voir le Petit Courrier des Dames , septembre et octobre 1834. 97. La Gazette des
92 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XX et dernière. » pp. 213-241
ile qui conduisoit au temple de l’immortalité ; les chevaliers et les dames exprimoient par des danses héroïques la joye que
adamante an comble de la joye voloit vers lui ; les chevaliers et les dames se réunissoient à l’entour des deux époux et des
93 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VIII, sarah bernhardt. — le rêve et la réalité » pp. 82-97
— Où est votre mère ? — Là, dehors. Et je désignai la porte. — Cette dame pâle, à la figure si douce ? — Oui, monsieur… Ell
94 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXI, choses d’amérique » pp. 232-249
un pays du monde, et tout le temps du repas je reçus des cadeaux. Des dames ôtaient leurs bracelets, d’autres leurs bagues, d
95 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre VI. » pp. 56-71
s femmes toujours prêtes à se porter vers les extrêmes, imitèrent les dames Romaines ; elles trouvèrent Marcel charmant, déli
96 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « XII. Le foyer de la danse » pp. 270-287
ectées… Car on peut faire d’une marcheuse : Une rentière, Une grande dame , Une femme honnête, au besoin… Tout ce qu’on voud
97 (1921) Théophile Gautier et le ballet romantique pp. 149-162
« bon Théo ». Il mourut trente-deux ans plus tard avec le nom de la «  dame aux yeux de violettes » sur les lèvres. * * * On
98 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Sixième lettre. Juste Odoard à Mlle de Nesmes, à Lyon. » pp. 433-445
t, comme il regardait par la porte, restée ouverte : — C’est bien une dame , ajouta-t-il, et pas déguisée du tout. Faut-il qu
99 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre X. le coucher de l’astre  » pp. 365-413
ièrement de son pessimisme ce Lenau féminin. Betty Paoli avait été la dame de compagnie de la princesse Marie-Anne de Schwar
soirée passée chez Fanny : « Hier, soirée chez Fanny Elssler. Cette dame a quelque chose de Ninon de Lenclos ; elle est dé
100 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse et le ballet »
e toujours remplis par les souverains eux-mêmes, les seigneurs et les dames les plus aimables de leur cour ; et souvent à tou
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