à son retour à la vie, ne pourroit que renouveller plus fortement ses
douleurs
. Hercule honteux de sa foiblesse et sensible en m
vent le ramener à ses premiers sermons ; absorbée sous le poids de sa
douleur
; anéantie par une multitude de réflexions désesp
r cette robe fatale dont le poison subtil a filtré dans son cœur. Ses
douleurs
s’accroissent ; ses entrailles se déchirent ; il
il revient ensuite, mais ne pouvant plus supporter la violence de ses
douleurs
, il tombe sans sentiment dans les bras d’Hilias e
s, accourt pour jouir de leur succès heureux, son étonnement égale sa
douleur
lorsqu’elle apperçoit l’état déplorable au quel s
nir la vue de ce spectacle ; la perte de son époux met le comble à sa
douleur
; elle tire un poignard, s’en perce le sein et to
emi-Dieux. Le calme et la joye succèdent bientôt aux larmes et à la
douleur
; et ce ballet se termine par l’Apothéose d’Hercu
a senti. Il y a naturellement dans la voix des sons de plaisir et de
douleur
, de colère et de tendresse, d’affliction et de jo
s, ces cris perçants, lorsque leur âme est affectée d’un sentiment de
douleur
. Voyez ce souris aimable, ces regards de feu, ces
e de Cassandre eussent formé le second. D’un côté, il auroit peint la
douleur
d’Electre et d’Iphise, embrassant le corps ensang
crier : c’est ma mère ! des femmes grouppées dans les attitudes de la
douleur
, qui entoureroient Clytemnestre ; tout cela entre
gréablement, et lui fait entendre que son message va mettre fin à ses
douleurs
et à ses infortunes. Scène IV. Clytemnestr
gisthe, frémit d’inquiétude et de crainte. Cassandre, en exprimant sa
douleur
, lit dans l’âme d’Egisthe et de Clytemnestre le p
le corps ensanglanté d’Agamemnon, en exprimant ce que le regret et la
douleur
ont de plus déchirant. Agamemnon leur tend des b
: ils paraissent avec l’empressement de l’amitié ; ils affectent une
douleur
et une pitié que leurs yeux et leur physionomie d
orps d’Agamemnon en fondant en larmes, et en exprimant tout ce que la
douleur
a de plus amer et de plus véhément. Acte IV.
son ressentiment ; elle supplie cette mère irritée de pardonner à la
douleur
et au désespoir de sa sœur ; mais cette Reine qui
e par un grouppe de figures de marbre qui expriment les regrets et la
douleur
. Scène i. Oreste et Pylade paroîssent dans
marches du tombeau, et elles s’y prosternent dans les attitudes de la
douleur
, les enfans jettent des fleurs. Cette cérémonie t
malheureux Oreste tombe dans leurs bras accablé sous le poids de ses
douleurs
, sans sentiment et sans connoissance. Les Furies,
elle chancelle et tombe dans un fauteuil, absorbée par la crainte, la
douleur
et le désespoir. Scène III. Camille, les t
grouppes de guerriers, et de femmes qui peignent leur effroi et leur
douleur
. C’est par ce tableau varié d’expressions et de s
d’un Romain. L’amour de la patrie ne ferme cependant pas son ame à la
douleur
qu’il éprouve d’avoir immolé Camille ; il ne peut
tombe à ses genoux, et ne pouvant rien obtenir elle s’abandonne à sa
douleur
. Puis se retraçant son amant livré à des bourreau
vé de tout secours, il tombe à ses pieds, anéanti sous le poids de sa
douleur
. Scène III. Le vieil Horace. Le père d’Hora
a en nous trois principes des mouvemens de la danse ; le plaisir, la
douleur
, & un instinct divin. Le plaisir & la dou
le plaisir, la douleur, & un instinct divin. Le plaisir & la
douleur
produisent des mouvemens au-dehors ; comme la fur
, ni le désespoir, & les actions violentes des personnes à qui la
douleur
fait s’arracher les cheveux, ni les extravagances
; les dames Troyennes y sont enchaînées, et elles expriment ce que la
douleur
et le désespoir ont de plus affreux ; ce char pom
es cœurs sont glacés d’effroi. L’ombre disparoît. Polixène exprime sa
douleur
; Pyrrhus peint son desespoir ; il se jette aux g
t entourée des dames Troyennes qui expriment ce que les regrets et la
douleur
ont de plus amer ; l’autre offre Pyrrhus accablé
sente un lieu aride et inhabité. Scène I. Orphée, en proye à sa
douleur
, ne peut se consoler de la perte d’Euridice ; il
et les noirs spectres du Tartare entraînent Orphée hors de ce lieu de
douleur
et d’épouvante1. Sixième partie. La décora
rte d’Euridice cherche la solitude pour s’abandonner entièrement à sa
douleur
. Quelques femmes attirées par les charmes de l’ha
cevant ensuite son époux dangereusement blessé, elle exprime toute sa
douleur
. On apporte un brancard formant un trophée des dé
ste exprime son affliction de la manière de plus vive, on voit qu’une
douleur
profonde brise son ame et déchire son cœur. Apoll
nt d’expirer, leur recommande Admète et ses enfans. Ismène exprime sa
douleur
, et Hercule promet à Alceste d’être l’ami de sa f
s attentifs à les suivre, que Dieu les opère : ils ont à la vérité la
douleur
de se voir souvent abandonnés de ceux à qui la sa
e la fête de Versaille[s] Je ne puis rien dire qui vaille. Malgré les
douleurs
dont mon col, Dont j’étais quasi pis que fol, Je
pardonneront (n’est-il pas vrai ?) au Russe que je suis, avec quelle
douleur
et avec quelle fierté, de remettre à plus tard l’
ue notre connaissance de la couleur. Nous disons : « terrassé par la
douleur
», mais, en réalité, nous ne faisons attention qu
par la douleur », mais, en réalité, nous ne faisons attention qu’à la
douleur
; « transporté de joie », mais nous n’observons q
s exprimer. Nous savons tous que dans les fortes émotions de joie, de
douleur
, d’horreur ou de désespoir, le corps exprime l’ém
de ne point épargner le sang de leurs époux. Hypermnestre livrée à la
douleur
fait tous ses efforts pour engager ses sœurs à re
soutenir l’idée de tant de forfaits, ni résister à la violence de sa
douleur
, il tombe sans connoissance dans les bras d’Hyper
cherche Hypermnestre ; cette Princesse paroît ; à ses pleurs et à la
douleur
qui l’accable, le Tyran croit ne pouvoir douter d
mariage et ne prenez pas la peine de me remontrer les dangers et les
douleurs
de la solitude. Je les connais mieux que vous ; v
i encore cette amertume et je dus trouver des consolations pour cette
douleur
. Je m’imposai de lui cacher la joie que j’éprouva
e tendresse, je le vois, je le verrai toujours ! Ma femme partagea ma
douleur
et la calma autant qu’il était en elle. Mais elle
apaisent et relèvent. Elle fut pourtant très bonne et s’affecta de ma
douleur
. Elle s’en affecta même trop, car elle tomba mala
s tableaux déchirans, qu’il lui présente, le pénétrer de la plus vive
douleur
, l’électriser au feu des passions, et des sentime
ve les bras au ciel, exprime, par un morne silence, et le geste de la
douleur
, combien son àme est déchirée ; une telle situati
toit quelques uns, ils étoient lents, resserrés, et comprimés par la
douleur
. Dans les passions vives et violentes, l’expressi
r, et qui portoit dans l’âme du spectateur, l’effroi, l’épouvante, la
douleur
et l’admiration ; tant de beautés réunies, disoit
rs ; je ne veux que des mots entrecoupés, des cris de désespoir et de
douleur
, et des exclamations propres à rendre plus effray
s cris confus et effrayans poussés par les remolds, le repentir et la
douleur
; (cris prononcés par un choeur de femmes) que da
tre. Cet assassin voulant dérober son crime, emprunte le masque de la
douleur
et l’accablement du desespoir. Clytémnestre emplo
ent des tourmens que les furies lui firent éprouver dans ce séjour de
douleur
, elle y perdit encore ses charmes et sa beauté ;
que mourante, dans l’attitude la plus propre à exprimer l’excès de sa
douleur
et de son désespoir. Scène II. L’Amour, vi
r, vivement épris des charmes de Psyché, ne peut être insensible à sa
douleur
; il veut la soustraire aux dangers qui la menace
levé, est marqué par l’action variée des femmes du Sérail, on voit la
douleur
impérieuse des unes ; l’affliction muette, mais p
a nécessité de se venger ; Zélis naturellement tendre n’écoute que sa
douleur
: mais Fatnie lui montre dans l’éloignement le So
ur déchiré par les fonctions barbares de son ministère, se livre à sa
douleur
; d’un autre côté, elle ignore le sort de sa fami
e ; elle lui jure que son cœur est innocent, qu’il est déchiré par la
douleur
, qu’il n’a point de part au sang que sa main répa
ifié. Cette résolution produit un double effet ; Oreste se livre à la
douleur
, et Pylade à la joie ; Oreste embrasse les genoux
’un voile, est prosternée aux pieds de l’autel, dans l’attitude de la
douleur
; Oreste se met à genoux et présente sa tête au g
vicieuses : Scimus saltare etiam in vitiis poni. Scipion témoigne sa
douleur
, dans une oraison contre Tibérius Gracchus, de ce
i se promènent dans la salle, font entendre que le Sultan, accablé de
douleur
, est tombé malade : les uns s’en affligent, les a
noir & en longs manteaux, font entendre que le Sultan est mort de
douleur
. Scene XXIII. Le Théâtre représente un
faire d’une mère tendre et chérie, qui a succombé sous le poids de la
douleur
. Ses restes ont reçus par ordre d’Alexandre les h
lles leur destinoient : ceux-ci dans une attitude qui peint ce que la
douleur
et l’accablement ont de plus affreux, sont immobi
atre frappant. Le plaisir et la tendresse succèdent sur le champ à la
douleur
et à la rage. Zaïre, loin de se plaindre, montre
l’autre bergère, la capricieuse humiliée se livre au chagrin et à la
douleur
; mais par une suite naturelle de sa légèreté et
ers, cette alternative continuelle de tendresse et d’indifférence, de
douleur
et de plaisir, de sensibilité et de froideur, ont
lles leur destinoient ; ceux-ci dans une attitude qui peint ce que la
douleur
& l’accablement ont de plus affreux sont immo
e frappant. Le plaisir & la tendresse succédent sur le champ à la
douleur
& à la rage. Zaïre loin de se plaindre montre
autre Bergere. La capricieuse humiliée se livre au chagrin & à la
douleur
, mais par une suite naturelle de sa légéreté &
, cette alternative continuelle de tendresse & d’indifférence, de
douleur
& de plaisir, de sensibilité & de froideu
e, à la réserve du péché, a bien pris nos larmes, nos tristesses, nos
douleurs
, et jusqu’à nos frayeurs ; mais il n’a pas pris n
oissoit indigne d’un Dieu fait homme. Je ne m’en étonne pas ; car nos
douleurs
et nos tristesse sont très-véritables, puisqu’ell
e son voyage. Scène VIII. Julie s’abandonne à la plus excessive
douleur
. Le Bailli vient de flétrir sa réputation ; sa fa
avec horreur : sa noirceur est découverte, il annonce avec une feinte
douleur
la mort de Colin. A cette nouvelle, Julie tombe s
e Dieu fait à Vénus les plus tendres adieux. Cette Déesse exprime une
douleur
feinte. Ses larmes sont prêtes à couler ; Mars vi
ir d’un Héros, Dans son geste, et dans ses propos, Et si bien dans sa
douleur
exprime, Que, dans tous les Cœurs, il l’imprime,
me insensible, Et, bref, à l’Amour, invincible. Afin de charmer ses
douleurs
, Elle s’en va cueillir des Fleurs Qu’elle aperçoi
s, répandre des pleurs, partager les fureurs d’Ajax79, ou les tendres
douleurs
d’Hécube80. Et sur quels hommes ces vives impress
lottera longs tems entre la distraction qu’il vient d’éprouver, et la
douleur
à la quelle on tente de le rappeller : le piège q
on triomphe. Tircis abandonné, Tircis méprisé peint son trouble et sa
douleur
: bientôt la jalousie et la fureur s’emparent de
ite les bergers à en prendre soin. Thémire désarmée, mais accablée de
douleur
, fait un effort pour s’approcher de Tircis ; elle
. Les bergères attendries arrachent Thémire de ce lieu, théatre de la
douleur
et de la plainte : elle tombe evanouie dans leurs
oté, entrainent Tircis ; il est près d’expirer, et il peint encore la
douleur
qu’il ressent d’être séparée de Thémire, et de ne
ttera long-temps entre la distraction qu’il vient d’éprouver & la
douleur
à laquelle on tente de le rappeller ; le piege qu
riomphe. Tircis abandonné, Tircis méprisé, peint son trouble & sa
douleur
; bientôt la jalousie & la fureur s’emparent
ite les Bergers à en prendre soin. Thémire désarmée, mais accablée de
douleur
, fait un effort pour s’approcher de Tircis ; elle
s Bergeres attendries arrachent Thémire de cet endroit, Théatre de la
douleur
& de la plainte ; elle tombe évanouie dans le
é entraînent Tircis ; il est prêt d’expirer, & il peint encore la
douleur
qu’il ressent d’être séparé de Thémire, & de
ue ce soit un temps consacré à la pénitence, un temps de larmes et de
douleur
pour les chrétiens, un temps où, pour me servir d
iculier dans le nouveau testament, puisqu’il est une expression de la
douleur
de l’Eglise dans le temps qu’elle aura perdu son
i fait ce trou-là exprès. J’aime mieux un trou dans ma bottine qu’une
douleur
dans mon pied. Cet homme était Victorien Sardou.
e satisfaction spirituelle. Vous avez des gestes qui sont des cris de
douleur
ou de joie. Mais ces cris m’ont déjà fait fuir la
cette danse macabre, au rythme déchiqueté, à l’allure hoquetante. La
douleur
a brisé les ailes de l’étoile. Giselle ne danse p
stiques ; pendant cette scène, les Athéniennes expriment la plus vive
douleur
, et les Corsaires yvres et fatigués s’endorment.
lui en donnerait bien trente. Sa figure porte les traces des grandes
douleurs
de sa première jeunesse. Il est bien mis, avec un
ux pour les progrès d’un art dont il seroit devenu le modèle, que des
douleurs
vagues et sans cesse renaissantes, l’aient forcé
ui d’être intéressante dans tous les genres, mais des accidens et une
douleur
fixée dans les genoux, l’ont forcée dans plusieur
é ? Il fait qu’on ne peut voir, sans en être ému et sans la plus vive
douleur
, ce qui offense Dieu et ce qui perd les ames. Or,
ans que mon zèle s’enflamme, et sans que je ressente dans mon ame une
douleur
aussi cuisante que celle que ressent dans son cor
de l’ame se déploient & que le calme, l’agitation, le plaisir, la
douleur
, la crainte & l’espérance se peignent tour-à-
es remords. Le dernier Acte n’étoit employé qu’aux regrets & à la
douleur
; l’humanité triomphoit des meurtres & de la
oient ; son teint pâle & livide n’empruntoit sa couleur que de la
douleur
& du repentir ; il tomboit enfin dans cet ins
talent ; puisqu’enfin sa physionomie ne montre que la peine & la
douleur
, lorsqu’elle ne devroit me tracer que les passion
ont Zéphire est le rival ; le coup tragique qui lui ravit le jour, la
douleur
d’Apollon, cette fleur teinte de pourpre qui naît
abite, et ce retour funeste le précipite dans l’abattement et dans la
douleur
la plus profonde. L’empressement qu’il a dabord t
s mains. Dans cet instant il se jette sur son siège, et se livre à la
douleur
et au désespoir. Béatrix témoin de cette scène,
orts ; il en terrasse plusieurs, mais accablé par le nombre et par sa
douleur
, ses forces diminuent insensiblement, ses jambes
& ce retour funeste le précipite dans l’abattement & dans la
douleur
la plus profonde. L’empressement qu’il a d’abord
mains. Dans cet instant il se jette sur son siege & se livre à la
douleur
& au désespoir. Béatrix témoin de cette Scen
s ; il en terrasse plusieurs, mais accablé par le nombre & par sa
douleur
, ses forces diminuent insensiblement, ses jambes
sous cette pression. J’éprouve les mêmes tressaillements et les mêmes
douleurs
que la somnambule qu’on magnétise. La musique se
pour lui assurer la possession constante de Renaud. Ce n’est qu’avec
douleur
qu’il voit cette absence momentanée ; l’Amour don
chante pas. Ce n’est donc pas dans des circonstances marquées par la
douleur
et l’infortune générale, que les législateurs doi
veux échangés entre Gentz et Fanny. « Cela ne s’appelait point de la
douleur
, cela ne s’appelait point de la joie ; c’était pl
’a pas tout à fait tort. » *** Cette quiétude adoucit pour Gentz les
douleurs
d’une longue séparation. Il était sûr que pendant
bles de ma vie, en réussissant presque à me l’adoucir. Sans doute les
douleurs
qui m’oppressaient lorsque j’ai pris congé de toi
uitte, le cœur accablé, ce lieu chéri : j’emporte avec moi toutes mes
douleurs
et toute joie. » Gentz était à peine installé à
Metternich l’obligeait à travailler avec lui. Il prit prétexte d’une
douleur
au pied pour éviter une promenade que lui proposa
es du magnétisme. » En attendant les joies du retour, Rahel berce la
douleur
de l’impatient amant. Elle lui parle de la tendre
ge. Voici donc l’Ondine devenue mortelle ; sur elle pèsent toutes les
douleurs
de l’humanité : elle souffre, elle craint, elle t
qui l’enchaîne aux conditions de la décadence humaine et de l’humaine
douleur
. « Cette rose, lui dit sa mère, est à demi flétri
. Cette résolution consterne les jeunes Arcadiennes et les pénetre de
douleur
. L’Amour témoin sensible de leur peine, va se ser
elle voit un Berger qui brise son chalumeau, et qui exprime ce que la
douleur
et la langueur ont de plus touchant. Tous ces tab
ait close. Pendant longtemps, très longtemps, grelottant de froid, de
douleur
et d’angoisse, je me promenai, comme une bête en
ant créa des danses nouvelles. La façon dont il exprimait la joie, la
douleur
, l’extase, le désespoir, était admirable. Mon sou
affirme que, depuis peu, MM. les professeurs apprennent à danser sans
douleur
. Probablement comme Bilboquet extirpait les mola
es qui régnoient de son temps ! Il ne vit jamais qu’avec la plus vive
douleur
, celui des danses, et surtout de celles que le co
nt aux ames, que la peste nuit aux corps ? Saint Augustin avoit eu la
douleur
de voir à Hypone, aux fêtes des martyrs, ces prof
venir à pareille heure dans ce lieu formidable ? Albrecht, insensé de
douleur
, qui veut pleurer sur la tombe de Giselle, et tâc
out ce qui reste au comte Albrecht de la pauvre villageoise. Navré de
douleur
, brisé d’émotion, il tombe sans connaissance dans
ns des efforts qui causent dans ces parties un engourdissement et une
douleur
insupportables. Ceux qui sont arqués, ne doivent
laisse aller et se penche dans les bras des Nymphes, en exprimant la
douleur
que lui cause sa blessure. C’est dans cet instant
ris vit succéder aux grâces éternelles, Aux pas aériens, aux célestes
douleurs
La danse échevelée et les poses charnelles, Et le
s de l’ame se déploient, et que le calme, l’agitation, le plaisir, la
douleur
, la crainte et l’espérance se peignent tour-à-tou
e ses remords. Le dernier acte n’étoit employé qu’aux regrets et à la
douleur
; l’humanité triomphoit des meurtres et de la bar
its s’alongeoient ; son teint pâle et livide portoit l’emprunte de la
douleur
et du repentir ; il tomboit enfin ; dans cet inst
n grand plaisir. Ce n’est pas un jour de fête que l’on doit parler de
douleur
, de…, etc., etc., mais on peut prouver sa bonne i
on les chantait, et on représentait sur ces chants les aventures, les
douleurs
d’Eriphanis, par des mouvements et des gestes qui
par les différents mouvements du corps et du visage. Le plaisir et la
douleur
en se faisant sentir à l’âme, ont donné au corps
n outre, composé de la musique parfaite pour des danses de joie ou de
douleur
. Bref, j’avais dû danser au moins vingt fois et n
on coupe cette main, ce qui ne pourroit se faire sans une très-grande
douleur
; pour marquer que quoi qu’il en puisse coûter po
urs ; les emportemens d’Achille, la fierté d’Agamemnon, le trouble la
douleur
et les éclats de l’amour maternel ; l’obéissance
des mouvemens pleins de compassion & de pitié, qui exprimoient la
douleur
de la famille de Boreus, dont il étoit tendrement
t tous ces enchantemens inutiles, devient furieuse ; & pressée de
douleur
, de honte & de désespoir, se plaint & s’e
. Les sons que peut former un muet peuvent exprimer les sensations de
douleur
ou de plaisir. De là il est évident que le chant
elle ne sauraient jamais produire. La seconde réflexion est un cri de
douleur
et de pitié sur les égarements et les préjugés qu
68
Nougaret, Pierre-Jean-Baptiste.
(1775)
La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales]
«
Traité du geste,
Contenant la maniere de représenter les Pièces de Théatre, à l’aîde des bras & des jambes, pour la commodité des Acteurs nazillans, begayans, gasconnans ; &c. &c. & offrant, en outre, une excellente Méthode aux gens mariés, pour se quereller dans leur ménage, sans faire de bruit. »
pp. 49-60
mes brutaux ; dans des momens d’orage, témoignez par votre silence la
douleur
qui vous accable : si des signes extérieurs ne pe
ns des efforts qui causent dans ces parties un engourdissement et une
douleur
insupportable. J’ai connu des danseurs qui ont tr
hera un jour de la mode et de la folie. Je conviendrai avec autant de
douleur
que de vérité qu’il ne m’a pas été possible penda
’il était de marbre, se prête à rendre tous les sentiments, depuis la
douleur
la plus tragique jusqu’à la gaieté la plus folle.
ors arriver Paquita. La manola plaide sa cause avec des larmes, et sa
douleur
est si vraie, si touchante, que Cléofas en est at
des efforts qui causent dans ces parties un engourdissement & une
douleur
insupportable. J’ai connu des Danseurs qui ont tr
âssis. L’actrice s’appuie sur la coulisse lorsqu’elle est accablée de
douleur
, comme dans la scène de Médée et d’Eglé de l’opér
nie. Ce joli sourire sur les lèvres qui se tordent au théâtre sous la
douleur
de l’hara-kiri ! Elle me faisait penser à Oreste
nditions imposées, mais j’éprouvais, à la fois, de la colère et de la
douleur
, en voyant avec quelle impudence on me volait mon
despit d’auoir esté condamné par les arbitres augmenta de beaucoup la
douleur
que luy causoient les vlceres de ses iambes. Voil
in doit indiquer le lieu de la scène, et annoncer les tourmens et les
douleurs
de ceux qui la remplissent. Les habitans des enfe
e qu’ils peignent la fureur, la jalousie, le dépit, l’inconstance, la
douleur
, la vengeance, l’ironie, toutes les passions de l
afficher le lieu de la Scene, & annoncer les tourments & les
douleurs
de ceux qui la remplissent. Les habitants des Enf
e qu’ils peignent la fureur, la jalousie, le dépit, l’inconstance, la
douleur
, la vengeance, l’ironie, toutes les passions inné
les convives, étant montés près d’elle, la trouvèrent en proie à une
douleur
qui se manifestait par des spasmes violents et pa
e mortelle. Pauvre Albertine ! quelle fin ! En proie aux plus atroces
douleurs
, ses derniers moments furent adoucis, consolés de
es âges, de tous les temps ; elle peint même mieux que la parole, une
douleur
extrême, ou une joie excessive. Dauberval. «
personne qui ne remarque une double passion, je veux dire un reste de
douleur
avec un commencement de joie, & qui n’en tire
’avoir mis un Daufin au monde, ont fait oublier à cette Princesse les
douleurs
de l’enfantement. Les autres tableaux de cette Ga
plaisir sans jamais nuire. » Mais personne ne saurait dire combien de
douleurs
mademoiselle Taglioni savait mettre dans le dénou
lus, et je sortis du théâtre, remportant mon offrande inaperçue et ma
douleur
incomprise. Je rencontrai sur la place une douzai
oussaient pour Fanny sur les bords de la Sprée ! A Berlin elle eut la
douleur
d’apprendre la mort de son père, décédé à Vienne
obligée de courir le cachet. La guerre de 1870 lui amena de nouvelles
douleurs
. Son fils fut blessé à la bataille de Frœschwille
s charmer, la Tragédie en pleurs D’Œdipe tout sanglant fit parler les
douleurs
, D’Oreste parricide exprima les alarmes, Et, pour
ère. Conservez à chacun son propre caractère. &c. Il faut dans la
douleur
que vous vous abaissiez : Pour me tirer des pleur
oit austère. Conservez à chacun son propre caractère. Il faut dans la
douleur
que vous vous abaissiez : Pour me tirer des pleur
elle voit un berger qui brise son chalumeau et qui exprime ce que la
douleur
et la langueur ont de plus touchant. Tous ces tab
s âges, de tous les temps ; elle peint encore mieux que la parole une
douleur
extrême ou une joie excessive. »« Il ne me suffit
; mais au moindre toucher, la physionomie de la danseuse exprimait la
douleur
la plus vive. Pendant que les chirurgiens discuta
nna les sons de la voix, pour peindre à l’extérieur les sentiments de
douleur
, de joie, de plaisir dont ils étaient intérieurem
ux les a tous blessés au cœur ; toute la nuit ils entourent le lit de
douleur
; le prince meurt à l’Opéra assiégé par les masqu
e ; on était alors long-tems à reprendre le maintien du corps que ces
douleurs
faisaient perdre, et la facilité n’existait plus.
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