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1 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIII, mes danses et les enfants » pp. 134-145
XIII mes danses et les enfants Les enfants, bercés, dès les premières heures d
XIII mes danses et les enfants Les enfants , bercés, dès les premières heures de leur existen
n’y était pour rien, les passions que ma danse a suscitées parmi les enfants . Je n’ai qu’à jeter un regard derrière moi, à tra
re : « Chère miss Loïe, « Nous avons formé le projet de conduire les enfants vous voir jouer en matinée, la semaine prochaine.
, prouve bien l’impression profonde que mes danses produisent sur les enfants . Voilà, en effet, un tout petit de trois ans et d
ler de moi — en quels termes, on peut le supposer ! — par deux autres enfants . *** Voici, maintenant, une histoire non point pl
mené sa fillette à une matinée au cours de laquelle j’apparaissais. L’ enfant semblait, m’a-t-on dit, éblouie, hallucinée. Elle
voir Loïe Fuller dans sa loge. Une flamme s’alluma dans les yeux de l’ enfant et elle suivit sa mère en lui serrant nerveusemen
, ainsi que le prouve du reste la fin de cette anecdote. La mère et l’ enfant pénétrèrent donc dans ma loge. Une habilleuse leu
L’émotion la plus vive demeurait empreinte sur la petite figure de l’ enfant . Elle avait dû croire qu’elle allait pénétrer dan
mmatériel. Les bras tendus elle s’avançait en souriant. Les yeux de l’ enfant s’ouvraient de plus en plus. A mesure que je m’av
près d’elle !… Comme touchée par une baguette magique, la figure de l’ enfant changea d’expression. — Non, non, ce n’est pas vr
e sciemment de la peine à quelqu’un ; et, dans mon adoration pour les enfants , je ne me serais jamais consolée de causer une dé
use. Je tâchai donc d’être à la hauteur de la situation et je dis à l’ enfant  : — Oui, ma chère petite, vous avez raison. Je ne
*** A Bucarest, la princesse Marie de Roumanie avait envoyé tous ses enfants me voir en matinée. La loge royale était occupée
tard, je me rendis au palais. La princesse Marie envoya chercher ses enfants . Ils vinrent les uns derrière les autres, aussi t
fants. Ils vinrent les uns derrière les autres, aussi timides que des enfants de bourgeois, en présence d’une étrangère. Lorsqu
d’abord décidée, fut abandonnée à ma prière. Je voulais éviter à ces enfants ce qui eût été pour eux une déception. Aussi, qu
ouvait clairement que le sujet avait été longuement discuté entre les enfants et que cette affirmation était le résultat de mûr
Je lui donnai une robe faite sur le modèle des miennes et, bientôt, l’ enfant créa des danses nouvelles. La façon dont il expri
urieuse est celle de la fille de Nevada, la grande diva américaine. L’ enfant m’appelait toujours « ma Loïe », et, après sa pre
de l’avenue Wagram, pour que ses amis pussent applaudir la charmante enfant . A l’une de ces séances assistaient quelques prêt
atholiques, et, comme ils s’extasiaient, émerveillés de la grâce de l’ enfant , celle-ci leur dit paisiblement : — Vous aimez c
mère. Les choses en arrivèrent au point qu’il fallut faire voyager l’ enfant . La veuve partit pour l’Angleterre avec son fils.
ustrer d’images trop vivantes les contes improbables qu’imaginent les enfants
2 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — I, mes débuts sur la scène de la vie » pp. 10-
I mes débuts sur la scène de la vie — A qui est cet enfant  ? — Je ne sais pas. — Bien, mais en tout cas, ne
sieurs firent le tour de la société et demandèrent à chaque dame si l’ enfant était à elle : personne ne le reconnaissait. Sur
le bébé. L’une dit, comme tout à l’heure le danseur : — A qui est cet enfant  ? Et l’autre répliqua : — Pour l’amour de Dieu, q
répliqua : — Pour l’amour de Dieu, qu’est-ce qu’il fait là ? C’est l’ enfant de Lile. Il n’a que six semaines et elle l’a amen
l’autre bout de la salle de bal. Elle poussa un cri, et s’empara de l’ enfant . Toute rougissante, elle s’apprêtait à l’emporter
e la salle jusqu’à ce que le dernier des danseurs fût parti. Or cette enfant , c’était moi, et voici comment cette aventure éta
ne restait qu’une chose à faire dans ces conditions : emmener aussi l’ enfant . Ma mère se défendit tant bien que mal, alléguant
transporta au bal. Lorsque nous fûmes arrivés, on crut que, comme une enfant bien élevée, j’allais dormir toute la nuit, et on
3 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1663 — 24 août : « agréable ballet » de la Foire Saint-Laurent — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 25 août 1663 »
Loret, lettre du 25 août 1663 […] Trois Enfants , de même famille, Deux fils, une fort jeune Fille
argent comptant Que l’on ne plaint point en sortant : Bref, les trois Enfants que j’allègue, Dont le cadet est un peu bègue, N’
4 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Les Graces. Ballet anacréontique. » pp. 75-97
es aimables filles sont des immortelles ; qu’elles ne reconnoissent l’ enfant de Cythère, que lorsqu’il fait éclater sa puissan
c empressement. Mais qu’elle est leur surprise lorsqu’elles voyent un enfant , emmailloté, pour ainsi dire, de ces fleurs ? Con
égèreté ; elles considèrent, et admirent en silence les traits de cet enfant  : son sourire aimable, cette tendre innocence, ce
fait bientôt place à la frayeur : en examinant de plus près l’aimable enfant , elles apperçoivent près de lui un arc, un carquo
ve et plus curieuse que ses compagnes, veut examiner encore ce tendre enfant  ; elle approche sur la pointe des pieds ; elle to
écart : elle leur propose de former des guirlandes, des fleurs dont l’ enfant est entouré et de l’en enchaîner si fortement, qu
nouvelles et en assujettissent les bras, les ailes et les jambes de l’ enfant de Cythère. Satisfaites de leur ruse et de leur p
jouissent de son embarras et de son dépit ; elles éclatent de rire, l’ enfant ailé les apperçoit et ne doute pas qu’elles ne lu
mmes-nous pas trois, continue Euphrosine, quel mal peut nous faire un enfant  ? elles avancent ; les larmes et les prières de l
été longue ; que dire à leur mère ! Il faut partir, que faire de cet enfant  ? l’abandonner dans cette forêt, seroit une cruau
ain adoptée ; on fait de la corbeille un lit de fleurs ; on y place l’ enfant ailé, et on l’emporte en triomphe en jouant et en
hanteur la relient ; elle considère avec admiration et avec plaisir l’ enfant dangereux ; il est le plus beau et le plus toucha
bientôt à1’admiration ; elle serre tendrement dans ses bras l’aimable enfant et elle se sent animée par un sentiment qui lui e
xamine la forme et voulant indiscrètement savoir si elle est aigue, l’ enfant malin, qui la guette, lui pousse le bras et la lu
5 (1908) L’École de danse de Grünewald « L’école de danse du Grünewald » pp. 261-268
des choses délicates et achevées sont imitées par des barbares ou des enfants . Aujourd’hui, qui le croirait ? ce sont les danse
où elle reçoit gratuitement, héberge, habille, instruit, vingt jeunes enfants allemands, hollandais, russes, français, scandina
anse et de gymnastique, une salle d’hydrothérapie, et chaque jour les enfants font des exercices d’assouplissement, selon la mé
pprennent à courir, à marcher dans la pleine liberté de mouvement des enfants grecs, tels qu’on les voit sur des bas-reliefs qu
oute la journée, mises à part les heures d’études et d’exercices, les enfants jouent dans la forêt qui s’étend tout autour de l
pellerai divine pour en marquer la qualité rare et noble. Ces corps d’ enfants souples et beaux, leurs longs cheveux bouclés et
al compris, surtout leurs yeux, leurs doux yeux candides et tendres d’ enfants du Nord, me mirent dans un état d’exaltation pure
6 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La Descente d’Orphée aux Enfers. Ballet héroï-pantomime. » pp. 215-224
chere Euridice, il la cherche, l’appelle et la nomme cent fois.   Un enfant , et cet enfant, c’est l’Amour, transformé en ombr
, il la cherche, l’appelle et la nomme cent fois.   Un enfant, et cet enfant , c’est l’Amour, transformé en ombre le conduit pr
se, dans une attitude, qui exprime l’abattement et la tristesse ; cet enfant engage Orphée à se servir de sa lyre ; Euridice é
vers Orphée ; elle s’arrête, s’avance, recule et trésaille de joye. L’ enfant soulève le voile qui déroboit ses traits. Orphée
i exprime à la fois l’étonnement l’admiration et le bonheur. Le jeune enfant s’approche d’Orphée, lui dit un mot à l’oreille e
ue par les mains de l’Amour ; transporté de joye, il rend hommage à l’ enfant de Cythère, et il partage sa reconnoissance entre
7 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « II. Vocation. » pp. 14-23
asard. — Une fine mouche. — Papa et galant. — Généalogie ordinaire. —  Enfants de la balle. — Elles rebondissent ! On raconte q
é sur un buffet. Pour atteindre à ce paradis de gelée de groseille, l’ enfant avait tendu le jarret outre mesure et se tenait e
pendre et lui demandai avec bienveillance : — Quel est le père de cet enfant  ? Elle me répondit naïvement : — C’est des messi
t toutes deux belles — sans éloge. Que faire aujourd’hui de ces deux enfants  ?… Il faut sans retard qu’elles soient pourvues :
s efforts, sa protestation se perdait au milieu des cris de joie de l’ enfant qui lui avait sauté au cou et l’embrassait à l’ét
8 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXII, gab » pp. 250-
ve jamais de chapeaux assez grands pour la coiffer. Lorsque Gab était enfant , elle avait pour jouets un âne, un poney, une arm
Gab était si sauvage que lorsque sa mère recevait une visite, quand l’ enfant était au salon et qu’il n’y avait pas moyen de s’
. Sa mère avait tant de souci de ce qu’elle appelait la timidité de l’ enfant , qu’elle ne voulut jamais la contraindre. Gab, de
e. Lorsqu’elle fut morte ceux qui l’ensevelirent pleurèrent comme des enfants disant qu’elle était trop belle pour avoir été un
plus développés, plus avancés, et que la vue s’exerce plus tôt chez l’ enfant que l’ouïe. Le champ d’harmonie de l’œil comparé
’ambassadeurs, et, aux matinées, il y a foule de femmes du monde et d’ enfants . Toutes les chaises et les tables des promenoirs
ce lorsque autour des épis blonds par les jours ensoleillés, de beaux enfants dansaient se jouant avec leurs faucilles d’or. Ri
en fièvre chemina. Pour calmer nos âmes meurtries et nos cauchemars d’ enfants une icône fragile danse dans une robe de ciel. »
9 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Hyménée et Cryséïs. Ballet anacréontique. » pp. 149-155
Jeunes Athéniennes . L’Amour, sans attributs, et sous la forme d’un enfant ordinaire. Corsaires . Peuple d’Athènes .
les Corsaires yvres et fatigués s’endorment. Scène IV. Un jeune enfant effrayé et mouillé par l’orage, court avec précip
son bras. Les Athéniennes libres cherchent avec empressement le jeune enfant , qui, pendant cette action, s’étoit caché derrièr
buisson de roses. Cryséïs s’en approche ; elle apperçoit cet aimable enfant  ; il vole à elle, l’embrasse, applaudit à la vale
10 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Quatrième lettre. Flaminien d’Autremont à Melchior de Sainte-Fauste. » pp. 83-91
êmes par le dévoûment, par le sacrifice au besoin. Ma femme était une enfant élevée comme moi dans l’ignorance de la plus impo
ertain que ma femme l’eût comprise. Elle était, je vous l’ai dit, une enfant , et je crois qu’elle était destinée à l’être touj
ns le silence et j’essayai de la distraire et de la promener comme un enfant qu’il faut amuser à tout prix. Elle mourait d’env
m’opposer aux distractions nécessaires, disait-elle, à la vie de son enfant . Elles iraient en voiture, au pas, s’il le fallai
reconnaître. Ainsi, en moins d’un mois, j’avais perdu père, femme et enfant . J’étais seul au monde. Je courus m’enfermer à Au
r et souffrir en liberté. Voilà le tragique roman de ma jeunesse. Cet enfant que vous avez instruit avec tant de zèle, de pati
elques-uns m’ont dit, après une courte expérience : « La femme est un enfant qu’il faut toujours amuser pour qu’elle vous aime
intelligence, plus cultivée et plus développée que celle de la pauvre enfant qui fut ma femme, n’avait pas reçu la notion de l
dans ces conditions, unir et niveler deux âmes. J’avais accepté cette enfant comme mon égale, j’étais tout porté à la chérir e
11 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre premier. les années d’apprentissage  » pp. 1-36
e homme avait réuni et stylé un corps de ballet de près de deux cents enfants , âgés de six à douze ans. Ce petit bataillon ne m
audir ce Lilliput fut une Cendrillon exécutée par cent soixante-seize enfants . Des détachements de la troupe donnaient des repr
ires ! Il éprouve un légitime orgueil à se retrouver chez ceux de ses enfants qui gardent, tout en les idéalisant, les caractèr
caillier, Eva-Maria Kœstler. Haydn servit aussi de parrain à tous les enfants nés de ce mariage. Le second des fils de Joseph,
u mariage de Jean-Florian Elssler avec Thérèse Prinster naquirent six enfants . Haydn fut le parrain des deux premiers ; au bapt
e, pour son compte personnel, marraine des trois derniers. L’aîné des enfants , Joseph, né en 1800, entra, à l’âge de vingt-troi
ifique. Il mourut, en 1856, au couvent de Maria-Enzersdorf. Le second enfant , Jean, fut élevé, grâce à l’appui de son illustre
. Berlin resta sa patrie adoptive ; il y mourut en 1872. Un troisième enfant fut une fille, Anna, qui parut, peu de temps d’ai
ne du Kærnthner-Thor, sans arriver à la notoriété. Après un quatrième enfant qui mourut en bas-âge, vinrent les deux célébrité
son intérêt. Elle nous montre que Fanny Elssler fut véritablement un enfant du peuple et une Autrichienne de race. En elle se
grâce souriante et sa spirituelle vivacité. Dès la première heure, l’ enfant régla ses pas sur les jolies cadences du maître.
t que l’artiste, dont la renommée remplissait le monde entier, fût un enfant de Vienne pur sang ; on voulait qu’elle fût sorti
ur le corps de ballet. L’important personnage daigna s’intéresser à l’ enfant et l’initier aux secrets de son art. Aumer était
’en 1824 il repartit pour Naples, il obtint la permission d’emmener l’ enfant , afin d’achever en Italie son éducation artistiqu
ner-Thor, et les Viennois furent assez longtemps à s’apercevoir qu’un enfant du faubourg de Gumpendorf valait les célébrités v
lée Thérèse. Deux philanthropes, les époux Grote, s’intéressèrent à l’ enfant , l’adoptèrent en quelque sorte et le gardèrent de
12 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre II. Des moyens qui conduisent à la connaissance des Arts »
qui le cherchent, le démêlent toujours. On croit voir alors plusieurs enfants d’un même père, heureusement nés, élevés avec soi
tres : les Républicains sont esclaves volontaires de leurs Lois : les enfants sont par habitude, les échos de leurs pères. On a
13 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Enée et Didon. Ballet tragique. » pp. 135-147
ous ses efforts ; les tendres caresses que cette Reine prodigue à cet enfant , et celles qu’elle reçoit de lui, allument dans s
e et détruit tous ses projets, et croyant voir dans les traits de cet enfant tous ceux de son vainqueur, elle n’est plus occup
les attraits de la volupté ; et satisfait de son ouvrage, le perfide enfant se retire à l’écart, pour jouir du progrès de ses
promet sa main, son cœur et son trône. Le jeune Ascagne, ou plutôt l’ enfant de Cythère, s’amuse pendant cette scène à cueilli
’en former une chaîne à la quelle il attache Enée. Cette idée dans un enfant enchante les deux amans ; ils regardent ce jeu co
idon se sépare avec regret de son vainqueur ; elle emmène avec elle l’ enfant dangereux, et le Prince Troyen suit de loin les p
14 (1797) Essai ou principes élémentaires de l'art de la danse, utiles aux personnes destinées à l'éducation de la jeunesse « Épître dédicatoire à Madame **** »
rage, se passer d’un maître, ou du moins présider aux leçons de leurs enfants , et en diriger elles-mêmes les progrès. En parlan
t ces soins continuels que vous ne cessez de prêter à l’éducation des enfants que le ciel vous a donnés. J’ai été assez heureux
15 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Cinquième lettre. Juste Odoard à Mlle de Nesmes, à Lyon. » pp. 92-100
— J’ai ce qu’il me faut, monsieur Champorel. — Vous avez entendu, mes enfants , dit-il en s’adressant aux deux subalternes d’un
a compris. A présent, voilà le souper. Restez dans l’antichambre, mes enfants , je servirai monsieur. Si j’avais écouté mon prem
ue M. le duc avait la piété ardente. Il a trop pesé sur l’esprit de l’ enfant . Il lui disait tout et ne le laissait rien imagin
te à celle de ce grand seigneur riche qui a eu père et mère, femme et enfant , et qui vit tout seul à présent dans un château f
plus héroïque en toi que la charité. Tu pouvais être calomniée ! cet enfant que tu prenais dans tes bras, jeune encore, — tu
er au château, monsieur Odoard et emmener le jeune voyageur. C’est un enfant qui a besoin de repos et M. le duc serait fâché s
rsonne, qu’elle était tenue de près par son père et qu’elle était une enfant parfaitement innocente ou raisonnable. Il faut po
16 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre III. Des Danses des Anciens dans les Fêtes des Particuliers »
evait être par conséquent très uniforme. La crainte et le respect des enfants pour leurs Pères, les bontés et les complaisances
our leurs Pères, les bontés et les complaisances des Pères pour leurs enfants , les services et l’amitié entre les proches, sans
17 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1661 — 31 août : Ballet de L’Arc-en-ciel Fils du Soleil , accompagnant la tragédie de collège La Mort des Enfants de Säul — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 3 septembre 1661 »
d’assurance, Un des adroits Danseurs de France.20 19. La Mort des Enfants de Saül. 20. Le sieur Langlois.
18 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1663 — 7 août : Ballet de la Vérité, accompagnant la tragédie de collège Thésée — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 11 août 1663 »
e du 11 août 1663 Dans Clermont, où par excellent28 On montre aux Enfants la science, Plus de cinquante Scolares Bien vêtu
19 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 5 juin : Ballet et comédie au Palais-royal par la troupe du Dauphin — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 7 juin 1664 »
Loret, lettre du 7 juin 1664 […] À propos de ce noble Enfant , Pour qui de zèle je me pique, Sur ma foi, sa Tro
20 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Les Amours de Vénus, ou les Filets de Vulcain. Petit ballet en action. » pp. 169-175
donne un baiser ; celle-ci d’accord avec ses compagnes se saisit de l’ enfant ailé ; elles l’enchaînent à un arbre avec des fle
ur un gazon : dans le moment Vulcain paroît, et ces amans ainsi que l’ enfant de Cythère se trouvent enveloppés dans des filets
21 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1660 — 19 août : Ballet du Mariage du Lys et de l’Impériale accompagnant la tragédie de Collège Clementia Christiana — La Muse historique de Loret — Loret, lettre du 21 août 1660 »
ns de mérites, Et qui, surtout, sont triomphants À bien enseigner les Enfants , Jeudi, leurs Écoliers jouèrent, Ou, pour mieux d
22 (1797) Essai ou principes élémentaires de l'art de la danse, utiles aux personnes destinées à l'éducation de la jeunesse « Du plié et du Tendu »
très simple m’a mis à même de redresser parfaitement les genoux d’un enfant , âgé de huit à neuf ans, qui était tellement banc
23 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre XII. Des Danses des Lacédémoniens »
et celui qui conduisait la Danse, était couronné de palmes. De jeunes enfants les suivaient : ils imitaient leurs pas, répétaie
le sommes maintenant ; A l’épreuve à tout venant. La troisième, des enfants venait après, qui disait : Et nous un jour le se
24 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « I. Origines, composition, organisation. » pp. 1-13
doublures et remplacements. Et quarante figurantes, sans compter les enfants . » Hélas ! on sait que les contrats ne sont fait
ème sept cent cinquante. Il y avait, en outre, des marcheuses et des enfants  : les enfants étaient réglés au cachet ; les marc
cinquante. Il y avait, en outre, des marcheuses et des enfants : les enfants étaient réglés au cachet ; les marcheuses recevai
25 (1761) Le Festin de Pierre. Ballet Pantomime « [Première partie] »
simple Alphabet de la Danse. Nous n’avons fait que bégayer comme les enfants , sans pouvoir mettre deux phrases ensemble. Des s
phigénie, l’Entrevue de Coriolan avec sa Mère ; Médée qui déchire ses enfants  ; ou Clytemnestre qui fait assassiner Agamemnon !
26 (1845) Notice sur Giselle pp. 3-24
n d’avoir vu, il y a quelques années, à la Renaissance, une charmante enfant qui jouait un rôle dans une pièce intitulée Zinga
a petite Héberlé, comme l’on dirait aujourd’hui la petite Grisi, d’un enfant qui montrerait des dispositions merveilleuses ; c
ose de l’âme, s’épanouit de nouveau sur la bouche fraîche de la belle enfant , qui part pour la vendange avec ses compagnes, à
, dont les petits pieds ne peuvent demeurer en repos. « Mais, maudite enfant , tu te feras mourir, et quand tu seras morte, tu
encore une petite contredanse, rien qu’une. » Au fond, l’incorrigible enfant n’est pas très alarmée de cette menace. Hé quoi !
au cou de Giselle une belle, longue et lourde chaîne d’or. La pauvre enfant , toute rose de honte et de plaisir, se laisse emb
27 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « X, les étoiles d’aujourd’hui. » pp. 204-
e n’est pas ma faute. Pourquoi ce théâtre n’est-il pas plus grand ? L’ enfant avait raison : elle se sentait destinée à de plus
vocation aussi clairement manifestée. L’année suivante, le père et l’ enfant débarquaient à Paris, hôtel de Saragosse, rue Laf
dait dans toutes ses besognes. Dans ce ménage à trois naquirent trois enfants , dont deux filles. Une de moins que chez M. et ma
st celle qui se donne pour rien. *** Quand ils ont tant d’esprit, les enfants arrivent vite. Constatons, cependant, que c’est e
le sol comme une flèche, Et ses mains sont pleines de jeu, Elle est enfant , mais elle est fée, De neige vêtue et coiffée De
28 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur l’interprétation du chanteur »
us. On donne le même nom et on divise de la même manière les voix des enfants avant la mue. Voyez Mue [Article non rédigé]. Les
. Voyez la grammaire de Restaut, sur la lettre R. Il est rare que les enfants ne parlent pas gras, il est rare aussi qu’avec de
. Il est rare que dans les premiers ans on ne puisse pas corriger les enfants de ce vice de prononciation, qui ne vient presque
’expérience : car on grasseye quand on veut. Ce défaut est laissé aux enfants , surtout aux jeunes filles lorsqu’elles paraissen
ent sur le c, le d et le double l, qui est le tic de presque tous les enfants , parce qu’il donne un ton pesant et un air bête.
souvent par l’habitude qu’on acquiert ce défaut très désagréable. Les enfants ont presque tous le grasseyement du c et du d, ai
re bonne, que lorsqu’elle est sans défaut. Ainsi dans l’éducation des enfants , on ne peut trop veiller à la correction des défa
29 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Sixième lettre. Juste Odoard à Mlle de Nesmes, à Lyon. » pp. 433-445
ié ? — Non, et l’on dit qu’il veut rester veuf. — Il a sans doute des enfants  ? — Il paraît que non. Il vit tout seul et veut v
maître, et je priai Mlle Fiori de parler. — Je suis, me dit-elle, une enfant trouvée abandonnée par des parents inconnus. — Oh
que je sais, et ce que tu ne sais pas, toi, c’est que : qui prend un enfant au théâtre, prend un devoir que tout le monde n’e
lic, je ne l’avais pas enthousiasmé. On me trouvait trop maigre, trop enfant , pas assez jolie. Je faillis payer cher ce petit
action à me voir près de lui. « Oui, répondit-il, beaucoup. Sa main d’ enfant me réchauffe, et son bon regard qui me remercie m
30 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre IV. Origine de la Danse, définition qui en a été faite par les Philosophes. »
es, il y a eu sans doute des Chants et des Danses. Suivez ces tendres enfants , depuis leur entrée dans le monde, jusqu’au momen
31 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XX et dernière. » pp. 213-241
fête de ce village ; le Bailli et sa femme, son fils, sa brû et leur enfant dans un Age très tendre sont les personnages nobl
on réelle des objets qui lui sont ravis. Le fils du Bailly tenant son enfant dans ses bras, s’élance hors d’une fenêtre dans l
e ; elle chancelle, ses jambes fléchissent, elle tombe évanouie ; son enfant qui se jette sur elle en l’embrassant semble lui
mme ; ils trainent avec brutalité le vieillard et sa femme ; le jeune enfant vole à son père ; il lui montre sa mère qu’il cro
enchanteur la retient ; elle considère avec l’admiration du plaisir l’ enfant dangereux ; il est le plus beau et le plus toucha
ientôt à l’admiration : elle serre tendrement dans ses bras l’aimable enfant , et elle se sent animée par un sentiment qui lui
tivement la forme, et en essayant indiscrètement si lele est aiguë, l’ enfant malin qui la guette lui pousse le bras et la fait
32 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre IV. Fragment de Lucien »
combat du Soleil et de Neptune, les fureurs d’Athamas, le Bélier des enfants de Néphélé, l’accueil que reçurent Ino et Mélicer
ir représenter d’une manière frappante le mariage frauduleux de leurs Enfants , et de l’effroyable Tragédie qui en fut la suite.
33 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — IX, alexandre dumas » pp. 98-
— Ma main n’est pas serrée, mais je sais ce que vous voulez dire, mon enfant . Mon ami Poulle m’a raconté ses jours d’exil à la
une grande photographie d’après un portrait de lui alors qu’il était enfant . Sur la photographie ces mots : « De votre petit
34 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE IV. » pp. 47-60
range & l’affoiblit ; les commençants au Théatre sont l’image des enfants qu’un amour trop aveugle & trop tendre perd s
es yeux trop fascinés des jeunes danseurs, & qu’il leur dise : «  Enfants de Terpsichore, renoncez aux cabrioles, aux entre
35 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 11 décembre. La querelle des Anciens et des Modernes. Le procès de Miss Duncan. — Les têtes de l’hydre. — Chopin chez la Goulue. — Mon courrier. »
ative, apparaît considérable et propice. * * * Nous avons dit que les enfants spirituels de cette prodigieuse mère Gigogne étai
ncanisme radote déjà. Tout cela n’empêche pas que je trouve les trois enfants charmantes ; un lyrisme très pur émane de leur at
36 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre IV. Des Ballets poétiques »
qu’elle aurait pu s’attacher, à distraire, à abrutir, à craindre ses enfants , qu’il ne fallait que bien instruire. Le moment d
37 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVII, quelques philosophes » pp. 188-
lheureuse petite femme de ménage, pourvue d’un mari ivrogne et de six enfants , s’engagea à prendre soin de la paralytique et de
it !… *** Au nord de l’Irlande, j’eus une fois l’occasion de voir des enfants pieds nus, en février, dans la neige, par un froi
ière de notre voiture. Déjà le cocher le rabrouait, avec brutalité. L’ enfant avait une si drôle de petite mine, que je me mis
38 (1845) Notice sur Ondine pp. 3-22
intérêt. « En 1796, dit la Gazette nationale des Allemands, un petit enfant se noya dans l’Elbe, attiré par un Ondin qui prét
’elle avançait. Enfin elle le déposa sur les marches de l’autel, et l’ enfant se mit à crier en rejetant son enveloppe, au gran
i le précipite vers l’inconnu. C’est cependant une fille du Midi, une enfant de Cadix, Fanny Cérito, qui, transplantée à Londr
êcheur qui épouse Giannina, la plus jolie fille de la côte, charmante enfant qui reçoit les félicitations de toutes ses compag
39 (1845) Notice sur La Sylphide pp. 3-23
effet autour du jeune homme endormi ; « elle bondit avec une joie d’ enfant dans les flammes », dit Nodier ; et dansant, elle
in cacher sa pâleur ; la jeune mère, d’un geste convulsif, presse son enfant sur son cœur : elle est l’ennemie acharnée de la
er le pas du second acte ! — Une belle jeune fille de la Norwége, une enfant de la même patrie, mademoiselle Lucile Grahn est
ciel. Elle renonce, non pas sans larmes, à ce jeune homme tant aimé, enfant des montagnes d’Écosse, qu’elle avait entouré de
40 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « XI. Le corps de ballet actuel. » pp. 228-269
as jolie. Mais à quoi diable lui servirait-il de l’être ? Mariée, des enfants , emmélassée dans la popote et la famille !… Et tr
ffamée. Elève du sieur Mathieu. Elle a commencé dans les quadrilles d’ enfants . Plus tard elle est restée quelque temps sans dan
tz en scène, M. Emile Perrin, alors directeur de l’Opéra, remarqua un enfant de huit à dix ans qui marchait fort adroitement s
re le zist et le zest. Je lis dans Panserose : « Elle a un ami et un enfant … Elle a déclaré l’un… L’autre n’a pas osé se décl
possible de travailler de quelque temps… — Et pourquoi cela, ma chère enfant  ? La fillette, ouvrant son manteau avec un grand
41 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Avant-propos » pp. 5-17
œuvre de la peinture et de la sculpture, surtout dans l’antique : ces enfants immortels du génie des beaux-arts, ces modèles du
es mêmes figures, et les emporter, pour les étudier chez eux, comme l’ enfant qui commence à syllaber, étudie dans son abécédai
42 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre III » pp. 27-43
Sa générosité aurait pu s’arrêter là ; elle alla encore plus loin. L’ enfant se disait abandonné, sans famille, battu par un m
es de tout, même de devenir des saintes Vincente de Paul. XVI L’ enfant fut effectivement adopté. La baronne, qui lui ava
43 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre I. Naissance du Théâtre »
ecs, il est inconcevable que ses progrès aient été si lents. C’est un enfant de quatre-vingts ans qui bégaye encore. [Voir Bal
44 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — DERNIERE LETTRE. » pp. 435-484
leurs massues pour massacrer & les adorateurs & la suite de l’ enfant de Cythere ; ils tournent même leur rage & le
s au caprice & au changement, parce qu’ils ignoreront qu’ils sont enfants de la nature ; qu’ils ne doivent suivre qu’elle,
t souvent à Paris. J’ai vu un temps où l’on ne parloit que des petits Enfants , que des petits Comédiens, que des petits Violons
ut est élégant, tout annonce & caractérise enfin la présence de l’ enfant de Cythere. 13. Ce Ballet a été mis avec soin &
es, avec cette différence qu’ils étoient plus galants. Cette troupe d’ enfants ressembloit à ces jolies petites figures de porce
45 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE VI. » pp. 78-109
id & monotone, que les gens de goût regarderont toujours comme un enfant illégitime de la Peinture. Les couleurs des drape
oit donc ou les supprimer, ou leur en substituer de plus petits ; des enfants , par exemple, montés sur des chevaux modelés, pro
i du reste, jusqu’à ce qu’enfin la derniere classe composée de petits enfants termina cette course en passant sur le Pont. La d
46 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre IX » pp. 120-137
si son côté bizarre. Mademoiselle Mentz : la femme-théâtre. C’est une enfant de quinze à seize ans, fille d’une ouvreuse de la
enriette qui arrive… (A Henriette.) Eh bien, ne vous pressez pas, mon enfant , nous sommes faits pour vous attendre. henriette
47 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « IX. L’escadron volant de la rue Lepeletier. » pp. 190-203
Morando Une Italienne. D’une fécondité remarquable. Mère de huit enfants , assure-t-on. Faite à peindre et peinte à faire p
ui débutait, à quinze ans, dans Coppélia, le joli ballet de Delibes : enfant sublime ! Chaste comme une Muse, elle ne cherchai
48 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre quatrième — Chapitre VI. Causes de la Décadence de l’Art »
ode, qui vit dans le sein des familles les plus considérables comme l’ enfant de la maison, qui n’a plus rien à faire pour capt
49 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre V. Sur le même sujet. » pp. 30-34
sa première passion ; la richesse, qui appelle la volupté ; l’ennui, enfant de la paresse ; tout se réunissoit pour faire ché
50 (1921) Salvatore Viganò pp. 167-190
compositeur Boccherini, était elle aussi une fameuse ballerine. Leurs enfants suivirent l’exemple paternel. Salvatore reçut une
les et leurs dents, s’acharnant sur les plus faibles, les femmes, les enfants . À la fin, l’un d’eux, se servant d’un tronc comm
travaillaient en cadence à dégrossir des blocs de marbre tandis que l’ enfant Icare se jouait parmi les œuvres ébauchées. On ap
e nous avons devant les yeux : la céleste peinture de l’âge d’or. Des enfants , des petites filles, des adolescents formant des
la neige. Le 4e acte se passe dans les profondeurs d’une caverne. L’ enfant Sélénè y ouvre par curiosité le dernier des vases
éparé de sa femme depuis de longues années ; il en avait eu plusieurs enfants , mais un seul avait survécu : Elena Viganò, chant
51 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 17 janvier : Psyché — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 1er août 1671 »
ieux contanter son Amante, Savoir Psiché, toute charmante, Est, comme Enfant , représenté, Par un, lequel, en vérité, S’acquitt
52 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE XII. » pp. 315-361
mp; qui se meuvent sans principes. Sans aller si loin, considérez les enfants  ; jettez les yeux sur les habitants de la campagn
parents sont ou du moins devroient être les premiers Maîtres de leurs enfants . Combien de défectuosités ne rencontrons-nous poi
s & des meres ne servent qu’à les condamner. En supposant que les enfants aient été mal emmaillottés, c’est un motif de plu
eux qui naissent de l’habitude sont en grand nombre. Je vois tous les enfants occupés en quelque sorte à déranger & à défig
53 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIV, la princesse marie » pp. 146-
promettaient de revenir, et, comme ils voulaient aussi envoyer leurs enfants me voir, demandaient si je ne donnerais pas de ma
s entendu, comme je l’ai expliqué dans le chapitre précédent, que ses enfants n’assisteraient pas à ma représentation. Ils n’y
54 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre X. le coucher de l’astre  » pp. 365-413
us couriez sur le pont, que vous grimpiez dans les cordages comme une enfant , Taglioni courait sur les planches de l’Opéra com
ment, au profit d’une institution charitable, l’œuvre des garderies d’ enfants de Margarethen et de Neulerchenfeld. La représent
aissance, signe d’une joie trop pénétrante. En la voyant, vieillards, enfants , hommes et femmes, tous se mirent à pleurer dans
aturée son talent divin. Ce fut le grand poète national, Grillparzer, enfant de Vienne comme Fanny, qui essaya de la retenir.
ulait désormais disposer librement d’elle-même pour se donner à cette enfant . Elle alla demeurer avec elle et sa cousine Cathe
e fille, Fanny, que les intimes nommaient l’« Enkeline » et qui fut l’ enfant gâté de sa grand-mère155. Les liens de la famille
me sévère, en essuyant la bouche et le nez de Son Altesse, comme à un enfant au maillot ; il se disait responsable de la march
55 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre II. la dernière passion du chevalier frédéric de gentz  » pp. 37-96
ur, braver tous les coups du destin, la mort même. Mais toi, ma douce enfant , puisse le ciel t’accorder sa meilleure protectio
ne pouvait remplacer. Il n’avait pas de fortune à laisser à la chère enfant . Il ne se reconnaissait pas le droit d’entraver s
anc parler ; elle ne se privait pas de gronder ou de railler ce grand enfant . Cette fois, elle n’eut pas une parole de blâme.
de longs regards souriants, caressants, pleins de confiance ; c’est l’ enfant attendu, venant se serrer contre sa mère qu’il ne
ingt ans, je m’en croyais délivré à tout jamais) n’ont été que jeux d’ enfants , comparées à celle que cette jeune fille a fait b
paternelle), avec quelqu’un qui serait à la fois ma bien-aimée et mon enfant  ; imaginez-vous cette abondance de jouissances et
i jeune que je ne puis plus me la représenter autrement que comme un enfant chéri, comme ma fille, et à certains égards elle
ui enseigne le français et l’allemand. « Je l’élève, dit-il, comme un enfant chéri. C’est la seule occupation qui ait gardé qu
par leur ami, six semaines avant sa mort, au comte Münch. « La chère enfant , avait dit Gentz en parlant de Fanny, se donne to
56 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre X » pp. 138-147
par an. III La deuxième catégorie se compose du gandin parvenu. Enfant de prolétaires, né de parents riches mais extrême
57 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre I. Des Ballets Ambulatoires »
a première, et entre ses danses elle en avait une plaisante de jeunes Enfants déguisés en Singes, en Guenons, et en Perroquets.
58 (1797) Essai ou principes élémentaires de l'art de la danse, utiles aux personnes destinées à l'éducation de la jeunesse « Introduction »
on des muscles. C’est avec raison que les mythologistes font les arts enfants du même père. Euterpe est tellement liée avec Ter
59 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1662 — 7 février : Ercole Amante — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 11 février 1662 »
st si mignonne, Qu’en son visage triomphant On voit encore un teint d’ enfant . La jeune Comtesse de Guiche, Douce, agréable,
60 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE IX. » pp. 195-260
ment par des exemples vivants que l’on ne pourra rejetter si l’on est enfant de la nature, si la simplicité séduit, si le vrai
per avec grace. Tout est séduisant, tout est charmant dans les petits enfants  ! leurs gestes, leurs attitudes sont pleins de gr
graces, les contours en sont admirables. Si ce charme diminue, si tel enfant cesse de plaire, si ses bras paroissent moins bie
il n’est pas probable que cet accoûtrement ait été imaginé par un Art enfant de la liberté, qui craint les entraves d’une mode
physionomie, prouve très-clairement que nous ne sommes encore que des enfants  ; que nous n’avons que des mouvements machinaux &
61 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VII. Brelan d’astres » pp. 134-175
nter sa fille au professeur Coulon, celui-ci, après avoir considéré l’ enfant pendant quelques minutes, demanda brutalement à l
voix n’était pas moins légère que sa personne. — Quitte la danse, mon enfant , lui disait la Malibran, quitte la danse ; travai
ballet : un corps de ballet de jeunes filles et un corps de ballet d’ enfants . A dix ans, Carlotta était première danseuse parm
llet d’enfants. A dix ans, Carlotta était première danseuse parmi les enfants , tandis que Cerrito était première parmi les jeun
Carlotta un véritable triomphe. Lorsqu’elle paraît avec son sourire d’ enfant , son œil étonné et ravi, ses poses d’oiseau qui c
62 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Psyché et l’Amour. Ballet héroï-pantomime. » pp. 121-134
rête à l’Amour. Dailleurs, dans cette circonstance, il a cessé d’être enfant  ; il veut cacher à Psyché tout ce qui caractérise
sa contenance annonce tout à la fois son amour et son affliction : l’ enfant de Cythère lui avoit apparu en songe ; elle avoit
63 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre X. De la Danse sacrée des Chrétiens »
it avoir vu de son temps, dans quelques Églises, les Chanoines et les Enfants de chœur, qui, le jour de Pâques, se prenaient to
64 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Table des matières » pp. 419-423
 — La musique ; les concerts ; les théâtres ; la danse. — Le ballet d’ enfants de Horchelt. — Mlle Bigottini. — Fanny Elssler ty
65 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 2 avril. Pour une danseuse morte. — Anniversaire. – Bilan. »
elle n’est plus. Une vengeance mystérieuse semblait poursuivre cette enfant d’une race antique qui s’était exilée parmi nous.
66 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Première lettre. A monsieur le duc d’Autremont, château d’Autremont. » pp. 79-81
vous avez perdue il y a cinq ans. Mais vous en avez trente, mon cher enfant , et c’est le bon âge pour recommencer une vie nou
67 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VIII, sarah bernhardt. — le rêve et la réalité » pp. 82-97
u’y a-t-il, chère Loïe ? Qu’ont-ils dit, pour faire pleurer ainsi mon enfant  ? Qu’y a-t-il ? — Maman…, maman…, j’ai un billet…
an…, j’ai un billet… pour La voir !… — Ah ! je suis bien contente mon enfant  ! — Et j’ai une place pour vous aussi. Le grand j
68 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 23 octobre. Valses. Chopin à l’opéra. — Le sang viennois. »
Barrisson ». Mais Grete s’était affranchie pour chercher de son côté. Enfant prodigue du ballet, elle le déserta pour suivre I
69 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 25 novembre. L’école du critique. Une leçon de Zambelli. — Divagation sur quelques monstres. »
ose. Et vous le serez demain, Bourgat ! Pour faire une danseuse d’une enfant gracieuse il faut commençer par la déshumaniser.
70 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « XII. Le foyer de la danse » pp. 270-287
ris cadette qui tenait une petite fille par la main. — Oh ! la jolie enfant  ! A qui est-elle ? demanda mademoiselle Antier, —
ez-la recevoir mes baisers et mes recommandations… Du reste, la chère enfant no dormirait pas tranquille, si ce n’était pas sa
71 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IX. le voyag e en amérique  » pp. 320-364
ns, passait sa jolie tête par les sabords, riait, sautillait comme un enfant en extase devant tout ce qu’elle voyait. Le lieut
1841, au lac George et à Saratoga, elle se vit entourée d’une bande d’ enfants qui sautaient gaîment en criant : This is Fanny !
héâtre, une femme du peuple s’approcha de la voiture et lui tendit un enfant de deux mois environ, en lui disant : « Prenez-le
s et le couvrit de baisers. Alors l’inconnue, folle de joie, reprit l’ enfant , le cacha dans un fichu et prononça ces paroles a
its de cette femme que l’on glorifie. Le bonheur t’a touché, mon cher enfant  ; désormais le malheur n’osera plus t’approcher. 
72 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre III. Fêtes de Louis XIV relatives à la Danse, depuis l’année 1643 jusqu’en l’année 1672 »
toujours votre faute, et rarement la sienne. Regardez-vous comme les enfants d’une même famille, et concourez de tous vos effo
73 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre première. À Voltaire. » pp. 2-7
scène changera, elle représentera un endroit délicieux embelli par l’ enfant de Cithère ; il paraîtra dégagé de ses attributs 
74 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XII. » pp. 115-121
’exceller dans un art dont on ignore les premiers principes ? Cet art enfant du goût et de l’imagination, peut-il être exercé
75 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE VIII. » pp. 129-194
illoient à leurs progrès. Que résulte-t-il d’un préjugé si faux ? Tel enfant né pour plaire, devient maussade & ennuyeux.
du Poëte dans celui du Pere, & l’exemple du Drame dans celui de l’ enfant . Vous me direz peut-être que je fais d’un Poëte u
l’excès du bonheur énerve le courage, soit que l’amour satisfait soit enfant de la paix, il est prêt à succomber sous les effo
’Opéra. La Barbe-bleue & le petit Pousset n’attendrissent que les enfants  ; les Tableaux de l’humanité sont les seuls qui p
76 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VI. Ballade des dames du temps jadis. » pp. 88-
s’introduire chez elle, lui adressa cet acrostiche : Nouveau caprice, enfant , s’empare de mon cœur. Amour aime la danse ; il v
l’esprit de l’Opéra comme Clotilde Mafleuroy en avait été la beauté. Enfant de la balle et du ballet, elle avait dessiné ses
Caroline Dominique, qui entreprit d’en faire une seconde Taglioni. L’ enfant s’instruisit sous les yeux, sur les genoux de sa
éra, et le docteur Rossignol donnèrent les premiers soins à la pauvre enfant . Celle-ci ne poussa que trois cris, — de ces cris
77 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VIII » pp. 106-119
ne, elle s’est fabriqué un caractère détestable Elle a l’allure d’une enfant et l’esprit d’une vieille femme. Mélanie soutient
78 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre IV » pp. 44-59
rai, surtout pour les filles à dots, qu’il n’est pas rare de voir une enfant de seize ans prendre un époux rachitique, poussée
79 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre II. Des Fêtes de la Cour de France, depuis 1560 jusqu’en l’année 1610 »
source de la galanterie et de la magnificence française91. L’aîné des enfants d’Henri II ne régna que dix-sept mois. Il en coût
80 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — X. m. et mme camille flammarion  » pp. 108-
ne grande actrice. En Amérique nous l’aimons comme si elle était une enfant du pays. Peu après mon début aux Folies-Bergère,
81 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVIII, comment j’ai découvert hanako » pp. 204-
autres, celle-ci consentit à mourir. Avec des gestes menus, menus, d’ enfant qui a peur, des soupirs, des cris d’oiseau blessé
82 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre première. » pp. 2-8
té que de foibles esquisses de ce qu’ils peuvent être encore. Cet art enfant du génie, et du goût peut s’embellir, se varier à
83 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre xvii.  » pp. 102-108
ie comme une merveille de l’art, est au fond peu de chose, puis-qu’un enfant encore à l’école, l’exécute mieux que tous les da
84 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre III. » pp. 17-24
aveur, paroissoit moins tendre qu’indifférent : L’Amour n’étoit qu’un enfant craintif, que le bruit intimide, et que la peur f
85 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE III. » pp. 30-46
aveur, paroissoit moins tendre qu’indifférent ; l’Amour n’étoit qu’un enfant craintif, que le bruit intimide & que la peur
86 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VI. les débuts de fanny elssler à paris  » pp. 188-219
sent ; sur le lieu du combat une femme grecque expire en couvrant son enfant des plis de son manteau. C’est une suite de scène
Fernando. Le naufragé est recueilli par une belle jeune fille, Léa, l’ enfant même que la Grecque en mourant avait laissée sur
ne ovation sincère et spontanée. De nombreux spectateurs, pareils aux enfants qui dédaignent et brisent leurs anciens jouets dè
87 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VIII. victoires et revers  » pp. 262-319
ient l’attribut nécessaire et ce sourire qui tenait de l’ange et de l’ enfant . Une comparaison s’imposait entre cette statuette
famille où l’on voit revenir avec attendrissement et fierté ceux des enfants qui se sont distingués au dehors. En Thérèse et e
lanche fourrure d’hermine ; femme, elle se souvient de ses frayeurs d’ enfant , et sa répugnance vaincue se réveille encore un m
des mythologues à mauvaise langue prétendent qu’elle ait eu cinquante enfants d’Endymion, son bleuâtre amoureux, elle a dans le
ar elle-même), où, même à une jolie femme, il n’est pas permis d’être enfant . » Lorsque Fanny fut rentrée à Paris, dans la se
88 (1921) Le Ballet de l’Opéra pp. 191-205
loge de sa fille au moment où celle-ci achève de se maquiller : « Mon enfant , ton père est mort ! » L’enfant candide, étouffan
lle-ci achève de se maquiller : « Mon enfant, ton père est mort ! » L’ enfant candide, étouffant un sanglot : « Oh ! maman, pou
89 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre V. Témoignages des Évêques dans leurs Instructions pastorales, des Catéchismes, et des Théologiens contre les Danses. » pp. 51-71
s danses, et défendit à tous ses curés de recevoir, pour présenter un enfant au baptême, ceux et celles qui auroient violé sur
convient qu’à des personnes ivres ou insensées ; et vous qui êtes un enfant de Dieu, et qui êtes éclairé de la lumière célest
90 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre XI » pp. 148-166
fièrement devant les gandins en faction. (A lui-même.) Posez, mes enfants , vous poserez longtemps. Voilà une soirée qu’il f
91 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Apelles et Campaspe, ou la Générosité d’Alexandre. Ballet pantomime. » pp. 177-189
lore s’offrent pour modèles ; les Graces forment grouppe avec l’Amour enfant  ; elles lèvent mystérieusement le voile qui couvr
92 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La Rosière de Salency. Ballet pastoral. » pp. 191-203
la Rosière et de ceux de son premier accouchement, et ils tiendront l’ enfant aux fonts baptismaux. Madame la Marquise de Segur
93 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VIII. Ballerines étrangères. » pp. 176-189
ïse Guérineau, qui, au premier acte de la Gipsy, représentait Elssler enfant . Jolie maigre ; tête fine sur un col de cygne ; t
94 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la musique moderne »
t, l’autre fut une suite des opérations de l’esprit. Tels on voit les enfants exprimer par des sons vifs ou tendres, gais ou tr
par tous les hommes, parce qu’il est celui de la nature. Lorsque les enfants viennent à exprimer leurs sensations par des mots
leurs articles. Parmi les Juifs, le cantique chanté par Moïse et les enfants d’Israël, après le passage de la mer Rouge, est l
ême ; et il est actuellement affermé à M. Royer, maître à chanter des Enfants de France. C’est le plus beau concert de l’Europe
95 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre VIII. » pp. 65-96
illoient à leurs progrès. Que résulte-t-il d’un prejugé si faux ? tel enfant , né pour plaire, devient maussade et ennuyeux. Vo
ge du poète dans celui du père, et l’exemple du drame dans celui de l’ enfant . Vous me direz peut-être, que je fais d’un poète
l’excés du bonheur énerve le courage, soit que l’amour satisfait soit enfant de la paix, il est prêt à succomber sous les effo
96 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre IX. » pp. 97-129
ment par des exemples vivans que l’on ne pourra rejetter, si l’on est enfant de la nature, si la simplicité séduit, si le vrai
races ; les contours en sont admirables. Si ce charme diminue, si tel enfant cesse de plaire, si ses bras paroissent moins bie
l n’est pas probable que cet accoûtrement ait été imaginé pour un art enfant de la liberté, qui craint les entraves d’une mode
97 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IV. le ballet a l’opéra vers 1830  » pp. 129-155
ns les plus remarquables de l’espèce. Mme Duvernay confia d’abord son enfant au maître de danse Barrez, puis à Vestris qui l’é
On chercha partout, même à la Morgue. On finit par découvrir la belle enfant dans un couvent. Elle était déjà fatiguée de la v
98 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre V. Établissement de l’Opéra Français »
es esprits forts pour qui la plus belle machine ne serait qu’un jeu d’ enfants . Mais Homère et Virgile, Sophocle et Euripide par
99 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre quinzième et dernière. » pp. 216-240
tous leurs massues pour massacrer et les adorateurs et la suite de l’ enfant de Cythère ; ils tournent même leur rage et leur
tout est élégant, tout annonce et caractérise enfin la présence de l’ enfant de Cythère. 1. Ce ballet a été mis avec soin, e
100 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre V. marie taglioni  » pp. 156-187
nce de ses manières et de sa danse, a acquis cela qu’un roi dit à ses enfants de la saluer, qu’une reine l’admet à sa cour dans
onnaît que les défauts mêmes qu’elle censure séduisent le public, cet enfant . Aber gerade das entzückt Publikümchen. Et ce n’e
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