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1 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre XI. » pp. 145-156
l’on prévient le tems où les parties ont acquis leur dernier dégré de force et de consistance, où la nature a pris son pli, e
x défauts diamétralement opposés l’un à l’autre prouvent avec plus de force que tous les discours, que les leçons qui convien
tion des muscles dans les efforts du saut roidit les articulations et force chaque partie à rentrer dans sa place et à reveni
u reste, Monsieur, ce que les danseurs jarretés perdent du côte de la force , ils semblent le regagner du côté de l’adresse. J
mouvoir le cou-de-pied. Voilà des qualités qui les dédommagent de la force qu’ils n’ont pas ; et, en matière de danse, je pr
pas ; et, en matière de danse, je préfererai toujours l’adresse à la force . Ceux qui sont arqués ne doivent s’attacher qu’à
nt nerveux, vifs et brillants dans les choses qui tiennent plus de la force que de l’adresse ; nerveux et légers, attendu la
effet1 ; ils ont peu d’adresse, parce qu’ils comptent trop sur leurs forces , et que cette même force s’oppose en eux à la sou
resse, parce qu’ils comptent trop sur leurs forces, et que cette même force s’oppose en eux à la souplesse et à l’aisance. Le
e dérober leur situation par des temps simples qui, n’exigeant aucune force , donnent toujours le tems d’en reprendre de nouve
ès de la puissance : donc la pesanteur du corps doit augmenter, et la force du tendon d’Achille diminuer en proportion égale.
faux en ce qui concerne la danse ; car la légèreté ne naît que de la force des muscles. Tout homme qui n’en sera aidé que fo
tement perpendiculaire, et lorsque les muscles et les ressorts ont la force de s’opposer à la force même, et de résister avec
et lorsque les muscles et les ressorts ont la force de s’opposer à la force même, et de résister avec vigueur au choc qui pou
2 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XXXVI. Des Jettez, ou demies Cabrioles. » pp. 162-165
nent plus d’anjoüement. Comme ce n’est que par le plus ou le moins de force , que vous possedez dans le cou de pied qui vous f
roche auprès, & lorsque vous vous relevez ; ce qui se fait par la force du pied gauche, qui en s’étendant avec force vous
 ; ce qui se fait par la force du pied gauche, qui en s’étendant avec force vous en rejette sur la droite, parce qu’elle ache
les fait encore d’une autre maniere, en ce qu’il faut prendre plus de force pour les sauter ; ce qui se fait en se relevant p
3 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE XI. » pp. 290-314
’on prévient le temps où les parties ont acquis leur dernier degré de force & de consistance, où la nature a pris son pli
défauts diamétralement opposés l’un à l’autre, prouvent avec plus de force que tous les discours, que les leçons qui convien
des muscles dans les efforts du saut roidit les articulations, & force chaque partie à rentrer dans sa place & à rev
u reste, Monsieur, ce que les Danseurs jarretés perdent du côté de la force , ils semblent le regagner du côté de l’adresse. J
t mouvoir le coudepied : voilà des qualités qui les dédommagent de la force qu’ils n’ont pas, & en matiere de Danse je pr
pas, & en matiere de Danse je préférerai toujours l’adresse à la force . Ceux qui sont arqués ne doivent s’attacher qu’à
nerveux, vifs & brillants dans les choses qui tiennent plus de la force que de l’adresse ; nerveux & légers, attendu
s effet ; ils ont peu d’adresse, parce qu’ils comptent trop sur leurs forces , & que cette même force s’oppose en eux à la
se, parce qu’ils comptent trop sur leurs forces, & que cette même force s’oppose en eux à la souplesse & à l’aisance 
dérober leurs situations par des temps simples qui n’exigeant aucune force , donnent toujours le temps d’en reprendre de nouv
s de la puissance, donc la pesanteur du corps doit augmenter & la force du tendon d’Achille diminuer en proportion égale.
t faux en ce qui concerne la Danse, car la légéreté ne naît que de la force des muscles. Tout homme qui n’en sera aidé que fo
perpendiculaire, & lorsque les muscles & les ressorts ont la force de s’opposer à la force même, & de résister a
lorsque les muscles & les ressorts ont la force de s’opposer à la force même, & de résister avec vigueur au choc qui
4 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre sixième. Des temps, des pas, des enchaînements et de l’entrechat » pp. 71-78
le. Ne mettez jamais dans un enchaînement de grands temps, des pas de force , ou d’une élévation exagérée ; évitez de ralentir
chez le danseur qui lui est nécessaire pour l’exécution des temps de force et de vigueur57. Si vous vous procurez de la viva
vu un danseur le frotter jusqu’à quatorze ; mais ce sont des tours de force , toujours désagréables, et qui ne produisent autr
désagréables, et qui ne produisent autre chose que l’étonnement de la force musculaire du sauteur. Le danseur ne peut alors a
nt nerveux, vifs et brillants dans les choses qui tiennent plus de la force que de l’adresse ; nerveux et légers, attendu la
s Arqués ont en général peu d’adresse, parce qu’ils comptent sur leur force , et que cette même force s’oppose en eux à la sou
eu d’adresse, parce qu’ils comptent sur leur force, et que cette même force s’oppose en eux à la souplesse et à l’aisance. (a
les moyens qu’il emploie pour s’élever de terre. Il nous démontre la force , l’impétuosité des mouvements des bras et des épa
5 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre troisième. Étude du corps » pp. 52-56
me toutes les qualités essentielles à la perfection de cet art. Cette force est, sans contredit, un don de la nature. N’est-e
rencontrons d’autres, au contraire, qui n’étant point nés avec cette force , sont, pour ainsi dire, assis solidement sur leur
nt le but de l’art, parce « Que le vulgaire s’extasie « Aux tours de force , aux entrechats !… » l’Hospital . On devrait
6 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre VIII. De la Danse des Anciens considérée comme exercice. »
lutions militaires. Il fallait la plus grande adresse, et beaucoup de force pour rendre d’une manière agréable et précise, le
à ces fruits grossiers qui naissent dans nos champs sans culture. La force , l’adresse, le courage, furent les vertus des pre
7 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre VI. Preuves de la possibilité de la Danse en action »
tèrent cette action à Sceaux ; et leur Danse la peignit avec toute la force et le pathétique dont elle est susceptible. Nous
sujets et par la qualité des talents. On ne doit se défier ni de ses forces , ni de l’Art, lorsqu’on a l’ambition d’exceller.
8 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 5 juin. Les deux Sacres. »
on n’avait jamais vu rien de pareil à ces danses. Hypnotisés par une force occulte, les danseurs répètent à l’infini les mêm
, fut la réalisation du rythme. Le rythme, telle apparaît pour lui la force unique, monstrueuse, apte à dompter l’âme primiti
apte à dompter l’âme primitive. Les danseurs incarnent la durée et la force respective du son, l’« accelerando » et le « rale
9 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XIX. Discours sur les mouvemens en general. » pp. 67-70
us nécessaires pour bien danser. Ce n’est que par le plus ou moins de force qu’il possede que la jambe s’étend avec plus de f
tant, parce que lorsque vous pliez pour sauter, le cou-de-pied par sa force vous releve avec vivacité, & lorsque vous ret
10 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre XII. Des Danses des Lacédémoniens »
ieuse et noble qu’ils représentaient l’union qui doit régner entre la force et la tempérance. Si l’on entrait dans les Temple
e volonté de faire quelque belle chose47. » Telle est dans un État la force de l’éducation établie sur de bons principes, lor
que font les hommes, elles n’eussent rien moins qu’eux, ni quant à la force et santé du corps, ni quant à la vertu et généros
11 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre second. Étude des jambes » pp. 40-51
xécution ne se cède point à l’autre. J’aime à les voir lutter d’égale force , et que toutes deux me prouvent qu’elles ont vain
es bras35. [8] Dans les pas, dans les temps de vigueur, mettez de la force et de l’énergie ; mais prenez garde que ces quali
ouvements seront faciles et délicats ; mais il n’aura pas toute cette force qui dégénère parfois en roideur, et que l’on trou
rps entier dans son équilibre. Si vous sautez, le cou-de-pied, par sa force , vous relève avec vivacité, et vous fait tomber s
défauts diamétralement opposés l’un à l’autre, prouvent avec plus de force que tous les discours, que les leçons, qui convie
12 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre II. » pp. 9-16
s les hommes ; instant précieux qui se montre toujours avec autant de force que de vérité, lorsqu’il est produit par le senti
ouvemens, et que le sentiment et l’expression ne leur prêtent pas des forces capables de m’émouvoir et de m’intéresser, j’appl
is alors à l’adresse, j’admire l’homme-machine, je rends justice à sa force , à son agilité ; mais il ne me fait éprouver aucu
lie les mots, elle cessera d’être muette, elle parlera avec autant de force que d’ênergie ; et les ballets partageront alors
13 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE II. » pp. 15-29
s les hommes ; instant précieux qui se montre toujours avec autant de force que de vérité, lorsqu’il est produit par le senti
ts, & que le sentiment & l’expression ne leur prêtent pas des forces capables de m’émouvoir & de m’intéresser ; j’
is alors à l’adresse, j’admire l’homme machine, je rends justice à sa force , à son agilité ; mais il ne me fait éprouver aucu
lie les mots, elle cessera d’être muette, elle parlera avec autant de force que d’énergie, & les Ballets alors partageron
14 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1670 — 14 octobre : Le Bourgeois Gentilhomme — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 1er novembre 1670 »
teurs, Tant les grands que petits Docteurs, Travaillent de toute leur force , Gloire, ou gain, leur servant d’amorce.
15 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — LETTRE XII. » pp. 157-180
ens qu’autant qu’elle est foible encore. Le tems lui a-t-il donné des forces  ? elle résiste, elle est indomptable. Concluons d
ure, et la contraindre à des actions le plus souvent au dessus de ses forces . Si notre art exige avec les qualités de l’esprit
us de ses forces. Si notre art exige avec les qualités de l’esprit la force et l’agilité du corps, quels soins ne devrions no
par un changement de conduite, et par une exécution proportionnée aux forces qui nous restent. L’ambition de cabrioler est une
s soit avec célérité, soit avec lenteur, soit avec douceur, soit avec force  ; les pieds ne quitteront point terre : cette flé
ire. Nous voyons d’une part des danseurs qui coupent leurs temps avec force , qui les battent avec autant de vigueur que de fe
osition propre à recevoir et à soutenir la masse. Si l’on admet de la force dans l’instant que le corps tombe, et que l’on cr
changer en l’air la combinaison qu’il a faite de la distance et de la force qu’il lui falloit pour la franchir ? pourquoi enf
me toutes les qualités essentielles à la perfection de cet art. Cette force est, sans contredit, un don de la nature. N’est-e
rencontrons d’autres, au contraire, qui n’étant point nés avec cette force , sont, pour ainsi dire, assis solidement sur leur
16 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE XII. » pp. 315-361
ts qu’autant qu’elle est foible encore. Le temps lui-a-t-il donné des forces  ? Elle résiste, elle est indomptable. Concluons d
e & la contraindre à des actions le plus souvent au-dessus de ses forces . Si notre Art exige avec les qualités de l’esprit
us de ses forces. Si notre Art exige avec les qualités de l’esprit la force & l’agilité du corps, quels soins ne devrions
r un changement de conduite & par une exécution proportionnée aux forces qui nous restent. L’ambition de cabrioler est une
s soit avec célérité, soit avec lenteur, soit avec douceur, soit avec force  ; les pieds ne quitteront point terre, cette flex
ire. Nous voyons d’une part des Danseurs qui coupent leurs temps avec force , qui les battent avec autant de vigueur que de fe
tion propre à recevoir & à soutenir la masse. Si l’on admet de la force dans l’instant que le corps tombe & que l’on
nger en l’air la combinaison qu’il a faite de la distance & de la force qu’il lui falloit pour le franchir ? Pourquoi enf
me toutes les qualités essentielles à la perfection de cet Art. Cette force est sans contredit un don de la nature ; n’est-el
en rencontrons d’autres au contraire qui n’étant point nés avec cette force , sont pour ainsi dire, assis solidement sur leurs
17 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 3 août : Ballet du Temps accompagnant la tragédie de collège Gusmans — Lettre en vers à Madame la Duchesse de Nemours de la Gravette de Mayolas — La Gravette de Mayolas, lettre du 8 août 1666 »
Les Violons et les Trompettes Touchaient d’aimables chansonnettes, Et force Gens de qualité De la Cour et de la Cité, Mardi d
18 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XXXI. Des pas tombez & des pas de Gaillarde. » pp. 142-147
tion, lorsque l’on sçait prendre ses mouvemens à propos, c’est par la force du coup de pied & la pente du corps qui attir
u corps qui attire les jambes & les genoux se plient comme si les forces manquoient, ce qui oblige le talon du pied droit
19 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre VI. De la troisiéme Position. » pp. 15-16
facilement, & que l’œil qui est le miroir de l’ame donne plus de force à mon expression, en conduisant plus aisément le
20 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VI, lumière et danse » pp. 60-71
ts qu’il y a de notes. Il est terrifiant de penser à ce qu’il faut de force et d’agilité, pour mener tout cela à bien. La mus
abois. S’il est blessé, il tombe. C’est ainsi que la matière subit la force de la cause immatérielle. L’homme civilisé et bie
e ne dis pas comprendre mais sentir en nous, comme une impulsion, une force indéfinie et hésitante qui nous pousse et nous do
ante qui nous pousse et nous domine. Eh bien ! je peux exprimer cette force indéfinie mais sûre de son impulsion ; j’ai le mo
21 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre IV. De quelques Danses des Grecs »
. On l’aide dans ce travail et il en trace un nouveau. Il rapproche à force les branches de quelques arbres qu’il voit dans l
ait le courage qu’il venait de faire éclater, lui donna les nouvelles forces qui lui étaient nécessaires pour faire son voyage
22 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre III. Des différentes espèces de Ballets »
, l’art devait venir au secours de la nature ; et on trouva, dans les forces mouvantes, dans la Peinture, dans la Menuiserie,
quelles ressources ne peut-il pas fournir à l’art, pour donner de la force , de l’expression, de la vérité, à la décoration,
23 (1823) De l’art de la danse , considéré dans ses vrais rapports avec l’éducation de la jeunesse (3e éd.) « Des moyens de conserver le talent de la danse. » pp. 133-137
danse, lui ôte tout son moelleux, rompt le maintien du corps et vous force à dévier de tous vos principes. Ce même inconvéni
p de ces nouvelles figures ; c’est encore cette mauvaise habitude qui force le danseur à devier de tous les principes et l’ob
24 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre VI. Témoignage d’Auteurs et de Ministres protestans contre les Danses. » pp. 72-93
raits avec la plus exacte fidélité, afin qu’on soit plus touché de la force avec laquelle les ministres, auteurs du traité, o
procéder avec ordre dans ce traité, et ôter tout lieu d’échapper à la force des autorités et des raisons que ces auteurs allè
ser de l’occasion, et à présenter tous les plaisirs pour donner de la force aux convoitises en ce qu’il peut. Or, en ce comba
jeunes gens, ces auteurs protestans l’interdisent encore avec plus de force aux jeunes personnes de l’autre sexe. Quant aux j
déshonnêtes, c’est jeter de l’huile au feu. Chacun sait quelle est la force des paroles mauvaises à corrompre les mœurs. (1.
d’une petite étincelle se fait souvent un grand incendie. Quant à nos forces de pouvoir être fermes dans les dangers, et d’en
Seigneur Dieu nous en fasse à tous la grâce, auquel soient gloire et force à jamais ! » Nos lecteurs se seroient-ils attend
25 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Sixième lettre. Juste Odoard à Mlle de Nesmes, à Lyon. » pp. 433-445
se sentit au plus mal, il voulut lui parler, mais il n’en eut pas la force , et ne put que lui dire à voix basse : « Souviens
t une affection sérieuse. Ne riez pas ; je peux m’en vanter, c’est la force de mon âme et la fierté de ma vie que ce sentimen
e histoire ! — Vrai ? Eh bien nous sommes deux parvenus dans toute la force du mot. M. Fiori n’était pas mon père ; c’était u
in, dans la Sylphide. J’avais quinze ans, et je n’avais pas encore la force physique de tenir un emploi. Mon père, car j’appe
ne danseuse ne doit rien savoir et ne penser à rien qu’à son art. » A force de m’entendre parler de cette chose sacrée, je l’
côté poétique, et pratiquait le plus profond mépris pour les tours de force , les pointes et les renversements exagérés où le
je rentrai dans la coulisse, égarée et tremblante, je n’avais pas la force de questionner ; mon père accourut pour me dire :
26 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre XII. De la Danse sacrée des Turcs »
res de ce spectacle extraordinaire. Les Dervis y pirouettent avec une force , une adresse, une agilité qui paraissent incroyab
27 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre I. De la Danse profane »
rent dans l’éducation, comme un moyen facile de donner du ressort aux forces du corps, d’entretenir son agilité, et de dévelop
28 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre I. De l’utilité de la Théorie dans tous les Arts. »
l’homme commun qui les confond ou qui les sépare, manque de vues, de force , et d’appui : il rampe toute sa vie, avec la mult
29 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. Seconde partie. — Chapitre III. Des differens mouvemens des bras. » pp. 200-202
s les pas tombez où il semble par la pente que le corps fait, que les forces vous manquent : aussi l’épaule par son mouvement
30 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 11 août : Fête à Versailles — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 17 août 1669 »
ntaiet, Secondés d’une Symphonie Exempte de cacophonie. On y trouva force Bonbons Préparés sur des Guéridons, Et des Bassin
31 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre XII. Ceux qui ont quelque autorité doivent, autant qu’ils le peuvent, s’opposer aux Danses, et empêcher d’y aller ceux et celles qui dépendent d’eux. » pp. 132-147
s saints qui nous ont précédés ? et n’ai-je pas fait voir avec quelle force ils se sont élevés contre elles ? Ils ne se sont
a personne un exemple bien touchant de ce zèle plein de courage et de force pour déraciner les abus, et particulièrement les
te de Dieu dont il est dit (Sagesse, c. 8, v. 1.) Qu’il atteint avec force depuis une extrémité jusqu’à l’autre, et qu’il di
les choses dans l’ordre, et de faire du bien aux hommes, si toute la force qui vous fait soutenir, sans vous étonner, tout c
de demander à Dieu des ministres ainsi remplis de la lumière et de la force de son Esprit.
32 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre X. » pp. 130-144
difficiles, et jouer davantage la physionomie ; ne pas mettre tant de force dans l’exécution, mais y mêler plus d’esprit ; s’
variera pas davantage les mouvemens des bras, ils n’auront jamais la force d’emouvoir ni d’affecter. Les anciens étoient nos
l’on ne raisonnera pas, que l’on fera consister la danse en tours de force , en voltige, l’on fera un métier vil d’un art agr
ussir et de plaire : ils doivent également enchainer le public par la force de l’illusion, et lui faire éprouver tous les mou
e que les comédiens ont sur les danseurs, l’avantage de la parole, la force et l’énergie du discours. Mais ces derniers n’ont
33 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE X. » pp. 261-289
iles, & jouer davantage de la physionomie ; ne pas mettre tant de force dans l’exécution, mais y mêler plus d’esprit ; s’
variera pas davantage les mouvements des bras, ils n’auront jamais la force d’émouvoir & d’affecter. Les anciens étoient
ir & de plaire ; ils doivent également enchaîner le Public par la force de l’illusion, & lui faire éprouver tous les
nstant l’imagination des Spectateurs, qui ébranle leur ame, & qui force leur cœur à la sensibilité. Le cri de la nature,
re que les Comédiens ont sur les Danseurs l’avantage de la parole, la force & l’énergie du discours. Mais ces derniers n’
34 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre quatrième — Chapitre VIII. Preuve de la perfection réelle de la Danse ancienne. »
ne presque toujours les possibilités sur ses connaissances ou sur ses forces . Rien n’est plus ordinaire que de voir les gens à
exprimaient les Danseurs, avaient un caractère si vrai, une si grande force , tant d’énergie, qu’on vit plus d’une fois la mul
35 (1845) Notice sur Ondine pp. 3-22
des Ondines. Ils sont en général doués du pouvoir de séduction, de la force magique, de l’attraction dont on ne peut triomphe
éduction surnaturelle dont elle possède le prestige. Il résiste ; une force invisible l’entraîne ; son cœur fidèle se révolte
révolte contre une fascination qui augmente sans cesse. Attiré par la force magnétique, le jeune pêcheur marche pas à pas ver
nce est impossible : il va, il avance toujours, victime passive d’une force étrangère à sa volonté ; déjà, sur les lèvres sou
sur la tête de Mattéo, dont tant d’agitations violentes ont épuisé la force . Il se laisse aller sur sa couche, vaincu par le
la chaloupe, et tendre ses mains suppliantes vers le fiancé qui fait force de rames vers le rivage. Voici donc l’Ondine deve
36 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. Seconde partie. — Chapitre XV. De la maniere de faire les bras avec les pas de Rigaudon, & les Jettez. » pp. 252-254
fait point non plus de grands mouvemens qui demanderoient beaucoup de force  : ce n’est à proprement parler qu’un jeu de cou-d
37 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 6 octobre : Monsieur de Pourceaugnac — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 12 octobre 1669 »
vie. On fut ravi des belles Voix Qui chantaient ses divines Loix.126 Force Masques, non pas célestes, Mais, à ce qu’on écrit
38 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre III. » pp. 17-24
mportant que les sujets chargés des principaux rôles conservent de la force et de la supériorité sur les objets qui les envir
excellent original ; et comme il ne présente aucune vérité, il n’a la force , ni le droit d’émouvoir ni d’affecter. Ce qui me
on expression, et son caractère particulier ; chaque attitude a de la force et de l’énergie ; les groupes, les terrassemens,
39 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE III. » pp. 30-46
portant que les Sujets chargés des principaux Rôles, conservent de la force & de la supériorité sur les objets qui les en
lent Original, & comme il ne présente aucune vérité, il n’a ni la force , ni le droit d’émouvoir ni d’affecter. Ce qui me
expression & son caractere particulier ; chaque attitude a de la force & de l’énergie ; les grouppes, les terrasseme
40 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 30 octobre. Le danseur et le préjugé au travesti. »
ait-il passé ? Nijinsky avait été un génie spontané et fantasque, une force élémentaire. Comment a-t-il pu être, sinon distan
t établi qui bouleverse toutes les prévisions. Il semble dépasser les forces humaines, apparaît fortuit, surnaturel. Un an plu
41 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Conclusion du traité contre les danses. » pp. 215-216
t obéir ; parce qu’il fait aimer ce qu’il enseigne, et qu’il donne la force de le pratiquer. C’est donc cette onction sainte
42 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre premier. Justes idées sur les Danses contre lesquelles on écrit. » pp. 2-10
rent le danger et le mal. Afin de leur ôter tout prétexte d’éluder la force de ces autorités et de ces raisons, comme si, pou
pris à tâche de multiplier, afin de détruire, s’il étoit possible, la force de ces preuves. Peut-être quelques-uns trouveront
en la développant, je disposerai par là les esprits à mieux sentir la force des preuves sur lesquelles j’en appuierai la cond
43 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre VII. » pp. 56-64
ejetté toutes les règles ; on s’est livré à des sauts, à des tours de force  ; on a cessé de danser, et l’on s’est crû pantomi
t des divertissemens, l’amusement des sauts périlleux et des tours de force  : toutes ces parties détachées forment autant de
s dangereux dont les poètes Anglais les plus célèbres n’ont pas eu la force de se garantir. Cette différence du poème au dram
44 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre IX [X] » pp. 97-106
a poésie ; car combien ces belles productions ne perdent-elles pas de force et d’energie dans la bouche d’un lecteur ou d’un
mpêchoit de se livrer à leur vivacité, de s’emporter, d’épuiser leurs forces , et de s’enrouer. Cicéron ne vouloit point qu’on
rs gestes libres, mûs par l’ame, étoient naturels ; imprimoient de la force aux mots, et ajoutoient une nouvelle puissance à
45 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La Mort d’Hercule. Ballet tragique. » pp. 157-168
toutes les situations qui caractérisent l’adresse, la souplesse et la force , offrent à chaque instant des grouppes pittoresqu
clète reparoît ; il rappelle Hercule à son devoir ; il lui peint avec force le tableau d’une passion qui va ternir sa gloire 
use, l’idée d’un crime, quoiqu’involontaire, lui déchire le cœur, les forces d’Hercule diminuent ; il chancelle, il succombe ;
46 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre IX. Objection : Si l’on défend les Danses, on abandonnera l’usage des sacremens. » pp. 206-207
nes de ces personnes se repentir de leur résistance, céder enfin à la force de la vérité, les remercier de ce qu’ils ne la le
47 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Appendice à l’ouvrage — Premiers exercices » pp. 109-114
rre. Voyez la fig. 4, planc. II. Pour donner de la souplesse et de la force aux cous-de-pied, ou doit exécuter toutes ces pos
elles à un bon danseur. Par cette manière de s’exercer on gagne de la force et les moyens de réussir dans l’exécution de tous
48 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 16 octobre. Moa Mandu »
comme cela se fait depuis Isadora, et cette suite de Peer Gynt qui, à force d’avoir été piétinée par les plantes nues d’innom
49 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre XI. » pp. 67-69
alors annonçoit le mauvais goût, des habits d’une coupe désagréable, force oripeau, des franges et des paillettes étoient se
50 (1921) L’âme et la danse pp. 99-128
uchée qu’il sent se fondre et se disperser en lui-même, va porter des forces nouvelles à ses vertus, comme elle fait indistinc
écision dans ces êtres qui s’étudient à user si heureusement de leurs forces moelleuses !… Toutes mes difficultés me désertent
rait, ne serait-ce point ce que nous voyons maintenant, — ce monde de forces exactes et d’illusions étudiées ? — Rêve, rêve, m
, et à peine élastique. Elle place avec symétrie sur ce miroir de ses forces , ses appuis alternés ; le talon versant le corps
a su enfermer dans cette fille si frêle et si fine, un tel monstre de force et de promptitude ? Hercule changé en hirondelle,
est le souverain bien de la danseuse… Il faudrait à mon esprit cette force et ce mouvement concentré, qui suspendent l’insec
ir silencieux et cachés leurs démons ? Moi-même, je me sens envahi de forces extraordinaires… Ou je sens qu’elles sortent de m
forme et circulaire… Voyez-vous… Elle tourne… Un corps, par sa simple force , et par son acte, est assez puissant pour altérer
st tombée ! PHÈDRE Elle est morte… SOCRATE Elle a épuisé ses secondes forces , et le trésor le plus caché dans sa structure ! P
51 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre premier. les années d’apprentissage  » pp. 1-36
Pendant de longues années la lutte contre Napoléon avait absorbé les forces vives de l’Autriche. Les catastrophes militaires,
l embarras. Le directeur des chœurs contribua néanmoins de toutes ses forces au succès de l’entreprise. Berlin resta sa patrie
suite d’un calcul positif des parents. Sa vocation fut décidée par la force même des choses, par des impulsions ataviques, pa
ccueilli par les Milanais qui s’attendaient à d’extravagants tours de force , finit par leur faire aimer son art sobre et dist
es, se distinguait, elle aussi, par la vivacité de sa danse et par la force expressive de sa mimique. L’exemple des virtuoses
n esthétique de l’émotion humaine, avant tout dans l’expression de la force qui mène le monde, de l’amour, du désir. Elle res
me paralyse d’ennui, l’école française moderne… Combien grande fut la force de la vérité ! » Rahel reparle encore de la tenue
ui s’agite, la vérité qui éclate ; c’est, dirait-on, le jeu facile de forces qui se dépensent en toute liberté. Cependant un œ
52 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Appendice à l’ouvrage — Table des principaux sujets traités par ordre alphabétique » pp. 121-124
italiens, 115. V Vestris, père, 80. — Auguste, 31, 93, 94. Vigueur, force , 45. Vivacité, légèreté, 27.  
53 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XL. Des Saillies ou Pas échapez des deux pieds. » pp. 183-186
soit devant, de-là vous laissez échaper vos deux jambes, comme si les forces vous manquoient, en laissant glisser le pied droi
54 (1765) Dissertation sur les Ballets Pantomimes des Anciens, pour servir de programme au Ballet Pantomime Tragique de Sémiramis « [Seconde partie] »
leur façon. Quant aux Danseurs, ils ne se permettent pas les tours de force employés par les Grotesques ; ils se contentent d
. Ces Danseurs comiques, s’ils sont habiles, peuvent faire admirer la force jointe à la précision et à la légèreté, et même f
sensibles, n’est qu’un être artificiel, une imitation dénuée de cette force , et de cette vérité éloquente qu’emploie la natur
55 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE VII. » pp. 110-128
ejetté toutes les regles ; on s’est livré à des sauts, à des tours de force  ; on a cessé de danser, & l’on s’est cru Pant
& des Ballets, l’amusement des Sauts périlleux & des tours de force  : toutes ces parties détachées forment autant de
s dangereux dont les Poëtes Anglois les plus célebres n’ont pas eu la force de se garantir. Cette difference du poëme au Dram
56 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse moderne »
l’Eglise et la discipline ecclésiastique se sont élevés avec tant de force  : les Païens mêmes réprouvaient ces danses licenc
qué si fort : on en a adouci l’usage, parce qu’il demande beaucoup de force dans le coup-de-pied ; on y a donc ajouté le fleu
qu’il ne gêne pas la respiration ; 2°. Il diminue par conséquent les forces  ; et c’est un inconvénient considérable dans un p
ié les ressorts secrets de la nature humaine ; ils en connaissent les forces , les possibilités, la liaison. Les routes que peu
57 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre IX. De la Danse sacrée des Grecs et des Romains »
la Danse mesurée qu’ils avaient d’abord exécutée. Que ne peut pas la force de l’imagination sur les hommes d’un sang vif ? L
58 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre XI. Des Usages de quelques Peuples, et de certaines Lois de Lacédémone. »
trées de ces Ballets étaient proportionnées à l’âge, aux talents, aux forces , aux progrès de chacun des Acteurs. Ils étaient j
59 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 11 novembre. Danseurs viennois. Mlle Wiesenthal et M. Anton Birkmeyer. »
ues minutes dans une attitude de recueillement ou d’extase d’où toute force expressive est absente. Jambes nues, il arbore de
60 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XX. De la maniere de faire les demi-coupez. » pp. 71-75
s donne la facilité d’étendre les genoux, & vous communique de la force au cou-de-pied : Ainsi c’est de ce premier pas qu
61 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. Seconde partie. — Chapitre XI. De la maniere de faire les bras avec les pas Tombez & les pas de Gaillarde. » pp. 239-242
rez votre pied derriere, & que les genoux se plient, comme si les forces vous manquoient (ce qui fait votre pas tombé) les
62 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 18 septembre. Je fais l’école buissonnière. »
mme, grand, beau assoupli par l’exercice classique, très maître d’une force musculaire peu commune, au souffle remarquablemen
t ainsi que l’épanouissement libre du muscle, le jeu harmonieux de la force disciplinée sombre dans le ridicule prétentieux d
63 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre V. Établissement de l’Opéra Français »
efforts de l’esprit humain. Le Chant ajoutait et devait ajouter de la force , un charme nouveau, un pathétique plus touchant à
-même fort énergique, et qu’elle aurait pu ajouter par conséquent une force nouvelle à l’action principale, si elle y avait é
mposée. Il devait tirer l’illusion, l’émotion, l’intérêt de sa propre force . Rien d’étranger ne pouvait l’aider à frapper, à
64 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre II. Preuves contre les Danses, tirées des Saintes Ecritures. » pp. 11-22
qui danse, et ne l’écoutez pas, de peur que vous ne périssiez par la force de ses charmes. (v. 11.) Plusieurs ayant été su
La trop grande complaisance de Samson pour Dalila lui fit perdre ses forces , et le fit tomber entre les mains de ses ennemis.
entations sont plus fréquentes et plus violentes, et qu’on a moins de force pour leur résister ? J’en prends à témoins les pe
65 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre III. Témoignages des SS. Pères et Docteurs de l’Eglise contre les Danses. » pp. 23-43
é chacun dans leur temps les organes de l’Eglise, ont tous parlé avec force contre les danses. Le premier dont je dois rappor
une homélie qu’il a faite contre les excès du vin, s’élève aussi avec force contre les danses, et particulièrement contre les
n d’idolâtrie ? » Le cœur de ses auditeurs fut en effet brisé par la force et l’onction de ses paroles, à laquelle Dieu joig
que S. Augustin, ne pourroit-on pas espérer qu’élevant comme lui avec force leurs voix contre les danses, on les verroit cess
devant l’église, ou un jour de fête ; mais nous avons vu avec quelle force saint Charles a parlé contre les danses en généra
66 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre VII. De la Danse sacrée des Juifs »
la tribu de Benjamin, à qui on les avait refusées, les enlevèrent de force , sur l’avis des Vieillards d’Israël14. Lorsque la
67 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 27 mai. Les Ballets russes »
ersonnalité hors ligne. Idzikovsky, lui, est un exécutant de première force . M. Vladimiroff n’a pas grand’chose à faire ; la
68 (1797) Essai ou principes élémentaires de l'art de la danse, utiles aux personnes destinées à l'éducation de la jeunesse « Épître dédicatoire à Madame **** »
sanctuaire de la divinité. Cette ambition était trop au-dessus de mes forces , et d’ailleurs, le but que j’ai dû me proposer n’
69 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VIII » pp. 106-119
en qu’avec sa mise en scène, ses costumes et ses décors. Les tours de force qu’il a accomplis depuis qu’il dirige ce théâtre
onnent pas leurs rôles en cours de représentation, il faut être de la force de dix-huit diplomates. Et il obtient tout cela s
70 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre X. le coucher de l’astre  » pp. 365-413
ait entendu, néanmoins, qu’en cas de maladie, naufrage ou accident de force majeure, l’engagement serait résilié ; mais aucun
administration et sans réciprocité. « Voulons en outre qu’il ait même force et valeur que s’il était passé devant notaire, so
ux triomphes. Elle nous apparaît comme la belluaire qui, par la seule force du regard et du sourire, fait taire les rugisseme
ent elle a appris à connaître les sentiments qu’elle exprime avec une force incomparable, ainsi par exemple dans le rôle d’Es
ngt ». Le récit de Mme de Rostopchine nous apprend par quels tours de force , évidemment faits pour éblouir un public primitif
a suavité du sentiment surnaturel qui nous dominait tous avec tant de force et de lien. Nul artiste, parmi les aimés, n’a été
dienne dans une poésie intitulée Fanny Elssler als Schauspielerin. La force dramatique qu’elle déploya dans Yelva, l’orphelin
tte génération rebelle, aveugle devant le mal, sourde à la prière. La force seule a gardé son ancien empire, « Au dehors, c’
ère. La force seule a gardé son ancien empire, « Au dehors, c’est la force des armes ; dans le monde des âmes, c’est la puis
ffacé, est imprimé de nouveau sur son front. « A toi fut donnée cette force bienfaisante. En échange d’une telle faveur du de
71 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre X. Vues des Philosophes : objet des Législateurs relativement à la Danse. »
istraction est une espèce de relâche, qui ménage à l’âme de nouvelles forces pour agir. Mais lorsque l’âme agit, surtout au pr
72 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre VIII. Suites du Vice primitif »
tous les Arts qu’on y avait rassemblés étaient en proportion avec les forces , le talent, et l’art des sujets employés pour l’e
73 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 24 mai. « Pétrouchka » et « Lâcheté » ou l’histoire vue par le ballet. »
ive, Bakst qui possède l’intuition lucide de la vie moderne et de ses forces tumultueuses. 1. Chronique publiée dans Le Figa
74 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre septième. Des pirouettes ; » pp. 79-87
e construction trop vigoureuse ou arquée, éprouvera le même sort ; la force musculaire lui enlèvera la souplesse, le moelleux
tte position et que les bras soient prêts à donner le mouvement et la force au corps pour le faire tourner, et qu’en même tem
75 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre V » pp. 60-75
chambre, je compulsais tous les livres qui parlaient du cancan. D’une force estimable sur la pratique, je cherchais à me comp
moment-là, un mur se présenterait devant moi, que je me sentirais la force de passer au travers. XVIII J’aime les appl
76 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre quatrième — Chapitre III. Dispute entre Pylade et Hylas. »
re sur la scène avec un cothurne qui le rehausse, s’élève encore avec force sur la pointe des pieds, et parvient en effet, pa
77 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre VII. Principes Physiques du vice de l’Exécution primitive de l’Opéra Français. »
, si je puis me servir de ces expressions, pour le proportionner à la force des sujets, qui étaient employés à le bâtir, et à
78 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE IX. » pp. 195-260
a faire grimacer ; un exemple étayera cette vérité, il lui donnera la force de persuader les gens de goût, & de convaincr
étant foible au-dedans, n’a pu se manifester au dehors avec assez de force & d’énergie ; aussi vos gestes & vos atti
, ils doivent imiter, ils doivent être Pantomimes & exprimer avec force . Il n’est donc question que de faire parler à la
le, le Maître lui enseigne la façon de l’animer, en y répandant de la force & du caractere ; il lui apprend à connoître l
s suffisant de lui faire peindre ces mêmes passions dans toutes leurs forces , il faudroit encore qu’il lui enseignât la succes
y substituer le raisonnement à l’imbécillité ; l’esprit aux tours de force  ; l’expression aux difficultés ; les Tableaux aux
r ainsi dire, autant de langues qui s’exprimoient avec facilité, avec force & avec énergie ; le climat, le tempérament &a
79 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre II. la dernière passion du chevalier frédéric de gentz  » pp. 37-96
ils ne le considéraient point comme un scribe à gages, mais comme une force qui méritait d’être honorée. De très hauts person
dévisager les personnes présentes13. » Gentz essayait de réparer ses forces en recourant aux eaux thermales. Ischl et Gastein
role de remerciement, chose contre laquelle je proteste de toutes mes forces , vous vouliez bien écrire de votre jolie main sur
e plus naturellement du monde et, maintenant, il ne dissimule plus la force de sa passion. « J’ai déjeuné tendrement, écrit-
revues de chaque jour avec toi. Si je pouvais donner à mes vœux de la force et des ailes, toute ta belle existence serait une
ment la soirée de la veille. « Tes lettres avaient éveillé toutes mes forces vitales ; au-dedans de moi-même c’est de toi que
core de la dernière passion de son vieil ami. Elle en apprit toute la force et les singuliers effets par une lettre du 22 sep
stinguait. Ce qu’il y a de remarquable dans ses confidences, c’est la force de la passion qu’il exprime, et en même temps la
encore qui ne peuvent pas se dire, et il sera facile à une âme de la force de compréhension de la vôtre, de s’expliquer comp
entre les frivolités mondaines et la politique, s’était réveillé avec force . La petite fleur bleue renaissait sur un sol rava
vec un peu plus d’indulgence encore qu’auparavant. » Il n’est plus de force à supporter des plaisirs violents. « Hier soir, é
t dans son cas d’artificiel et de paradoxal. L’affaiblissement de ses forces physiques acheva sa libération. Il sentait déjà s
80 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre II. De la Danse théâtrale des Grecs »
’était qu’un de leurs Danseurs, qui par la rapidité de ses pas, et la force de son expression, semblait, à chaque instant, ch
81 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VII, un voyage en russie. — un contrat rompu » pp. 72-81
t à m’habiller et on m’emmena à la gare où l’on m’embarqua presque de force avec mes électriciens. Malgré mes résolutions for
tier toute une saison sans me nourrir suffisamment pour récupérer des forces , et dans un appartement où les conditions sanitai
82 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre III. Objections tirées des Docteurs de l’Eglise. » pp. 167-174
e l’Eglise ont dit autrefois contre les danses, a donc encore plus de force par rapport à nous, que par rapport aux Fidèles d
irement dangereux ; ils dissipent l’esprit de dévotion, diminuent les forces de l’ame, refroidissent la charité, réveillent da
83 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 10 décembre « Le Festin de l’araignée ». »
éâtre. Les accoutrements des mantes religieuses sont des camisoles de force qui entravent le mouvement. Le décor est une vign
84 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre quinzième et dernière. » pp. 216-240
auvages ; ceux-ci ne font plus qu’une foible résistance, s’ils ont la force de lever le bras pour porter un coup, ils n’ont p
à la perfection, est un avantage qui suffit à quiconque n’a pas eu la force d’y arriver. Fernand est amant d’Inès ; Clitandr
terrasse plusieurs, mais accablé par le nombre et par sa douleur, ses forces diminuent insensiblement, ses jambes se dérobent
lusion que leur prêteroit la scène, et quoique privées de la nouvelle force qu’elles acquéroient étant jouées par de bons act
action en musique ; chaque trait étoit une expression qui prêtoit des forces et de l’énergie aux mouvemens de la danse, et qui
85 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — DERNIERE LETTRE. » pp. 435-484
ntiment ; ceux-ci ne font plus qu’une foible résistance. S’ils ont la force de lever le bras pour porter un coup, ils n’ont p
à la perfection, est un avantage qui suffit à quiconque n’a pas eu la force d’y arriver. Fernand est amant d’Inès ; Clitandr
rasse plusieurs, mais accablé par le nombre & par sa douleur, ses forces diminuent insensiblement, ses jambes se dérobent
ion que leur prêteroit la Scene, & quoique privées de la nouvelle force qu’elles acquerroient étant jouées par de bons Ac
action en Musique ; chaque trait étoit une expression qui prêtoit des forces & de l’énergie aux mouvements de la Danse &am
86 (1927) Paul Valéry philosophe de la danse
isons à tout instant. « Elle place avec symétrie sur ce miroir de ses forces (le sol) ses appuis alternés, le talon versant le
mme il faudrait, une analyse à une extase » ? Plongée dans ce bain de forces déchaînées, l’étoile vit sa « katharsis », périll
de tension que ferait la raison elle-même » ? Un rêve, ce « monde de forces exactes et d’illusions étudiées » , — ensemble de
’expression ! La pure fonction. Faut-il que la danseuse, « monstre de force et de promptitude », soit, de cette souveraine fo
87 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre VI. » pp. 40-55
ombat intérieur de la fureur et de l’elévation de l’ame prêtera de la force et de l’énergie à sa démarche à ses gestes, à ses
s traits, et d’avoir le talent de les adoucir ou de leur donner de la force . L’instant est l’âme des tableaux ; il est mal-ai
tour, augmentera le charme de la peinture, et lui prêtera toutes les forces capables de séduire, d’emouvoir, et de faire illu
88 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE VI. » pp. 78-109
at intérieur de la fureur & de l’élévation de l’ame prêtera de la force & de l’énergie à sa démarche, à ses gestes, à
es traits ; d’avoir le talent de les adoucir, ou de leur donner de la force . L’instant est l’ame des Tableaux ; il est mal-ai
our augmentera le charme de la Peinture, & lui prêtera toutes les forces capables de séduire, d’émouvoir & de faire il
89 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 3 mai. « Artémis troublée ». »
ec une grâce désuète et mièvre, mais qui ne se dément pas, le jeu des forces élémentaires. Il est vrai que l’ambiance pictural
90 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 8 mai. Le répertoire : « La Tragédie de Salomé ». »
dite de Versailles, ou Mlle Lenglen, imiter la danse, du ventre avec force déhanchements ? Et je ne goûte que médiocrement l
91 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 20 mai. Le retour des « Ballets russes ». »
r de Vatslav au nom glorieux, qui détient le commandement suprême des forces moscovites. La première de jeudi comporta deux œu
92 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre VI. Défauts de l’exécution du Plan primitif de l’Opéra Français »
n Art qui servit également au plaisir, à la religion, au maintien des forces du corps, au développement de ses grâces, à l’édu
redoutable ou de séduisant : les tableaux de Danse de la plus grande force , ou de la plus aimable volupté : des embrasements
93 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Euthyme et Eucharis. Ballet héroï-pantomime. » pp. 51-63
ui, et en lui témoignant leur reconnoissance, elles animent encore sa force et son courage. Les prêtres ordonnent aux Témessi
a victime ; ils veulent obéir, mais aucun d’eux ne peut résister à la force d’Euthyme. Il écarte les uns, il terrasse les aut
94 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « IX. L’escadron volant de la rue Lepeletier. » pp. 190-203
ois qu’elle a aussi suivi les cours de MM. Théodore et Mathieu. Si la force , chez une ballerine, n’était pas en raison de la
tie, et qu’à la légèreté et à la grâce on a substitué l’énergie et la force , il faut savoir gré à une artiste de ne pas tombe
95 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre V. Sur le même sujet. » pp. 30-34
ité de distraire un instant ces nombreux troupeaux d’esclaves, que la force avoit enrolés pour les dévouer au carnage. Des ho
96 (1845) Notice sur Le Diable boiteux pp. 3-31
 ; ses jambes sont tournées comme celles de la Diane chasseresse : la force n’y altère en rien la grâce ; la tête, petite com
il s’agit de deux profanes qui, bravant la consigne, veulent à toute force pénétrer dans le sanctuaire. Inutile de vous les
si marri, se confond tellement en excuses, que la danseuse n’a pas la force de lui garder rancune, et scelle même le raccommo
ui les a vus de loin se provoquer, accourt se jeter entre eux, et les force d’ajourner la partie, au grand désespoir de Flori
orte du boudoir, juste au moment où Dorotea, moitié de gré, moitié de force , accorde un baiser au chérubin en uniforme, et lu
97 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre IX. De la Musiqué Elémentaire attribuée aux Esprits Aëriens & aux Oracles de l’Antiquité. » pp. 195-211
ede natif de l’Isle d’Astipalée, aussi célébre chez les Grecs pour la force du corps, que Samson le fut parmi les Hébreux, en
s la riviere qu’il passa à la nage, en sonnant l’allarme d’une grande force avec cette trompette ; il parut pendant quelque t
98 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre premier. Instructions générales aux élèves » pp. 19-39
xécution ne le cède point à l’autre. J’aime à les voir lutter d’égale force , et que toutes deux me prouvent qu’elles ont vain
z le danseur, et qui lui est nécessaire pour l’exécution des temps de force et de vigueur. Si vous vous procurez de la vivaci
ui sera en possession de plaire à un public aveuglé, par des tours de force , des gambades, et par de ridicules pirouettes. Le
99 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre II. Objections tirées de l’Ecriture sainte. » pp. 151-166
David, revêtu d’un éphod de lin, dansoit devant l’arche de toute sa force . L’éphod étoit un vêtement court, et différent p
introduites parmi nous, l’exemple de David qui a dansé de toutes ses forces devant l’arche ? Avant que de répondre aux amateu
ur qu’ils jouoient des instrumens, et que David sautoit de toutes ses forces . Cependant, lorsque ces choses se faisoient, les
100 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XVIII. » pp. 185-200
l ne peut tirer des étincelles d’un morceau de glace, ni prêter de la force et de l’énergie à un hors-d’oeuvre déplacé, et ab
et toujours dans la gêne, il oublie tout ce qui pourroit prêter de la force et de l’énergie à sa diction ; la crainte qu’il a
que la declamation théatrale, et la déclamation oratoire perdent leur force et leur puissance, si elles ne sont soutenues par
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