le dominait. Je leur offris cependant, comme je l’ai déjà dit, 40 000
francs
par an. Je cherchai, pour réussir dans mes projet
r la table un plateau d’argent où s’amoncelaient pour près de 200 000
fr.
de bijoux et de diamants On passa le plateau en m
x des objets les plus modestes, et représentant à peine 6 000 à 8 000
francs
. De tous ces bijoux, je rapportai aussi à Paris q
é quelque peu grossie par le vaniteux narrateur. Le chiffre de 40 000
francs
auquel Véron prétend avoir engagé les deux sœurs
. En réalité, Fanny fut engagée, ainsi que Thérèse, à raison de 8 000
francs
par an. Sur les comptes de l’Opéra, elle émargea
mptes de l’Opéra, elle émargea chaque quinzaine pour une somme de 333
fr.
33. C’était exactement ce que touchait aussi Loui
ctement ce que touchait aussi Louise Duvernay. Aux mensualités de 666
fr.
66 s’ajoutaient les feux qui étaient de 125 franc
ux mensualités de 666 fr. 66 s’ajoutaient les feux qui étaient de 125
francs
par soirée. Ce n’est qu’à partir du 1er septembre
ublés par Duponchel, qui porta aussi les appointements fixes à 10 000
fr.
Comme, dans les trois premières années de son eng
gement, Fanny dansa juste cent fois, les feux lui rapportèrent 12 500
francs
, c’est-à-dire un peu plus de 4 000 francs par an.
eux lui rapportèrent 12 500 francs, c’est-à-dire un peu plus de 4 000
francs
par an. Il faut compter aussi le produit d’une re
recette que les deux bénéficiaires eurent à se partager fut de 18 467
francs
; la part de chacune, répartie sur trois ans, aug
rtie sur trois ans, augmentait donc ses appointements d’environ 3 000
francs
par année. En résumé, les appointements fixes (8
ron 3 000 francs par année. En résumé, les appointements fixes (8 000
fr.
), les feux (4 000 fr.) et la représentation à bén
nnée. En résumé, les appointements fixes (8 000 fr.), les feux (4 000
fr.
) et la représentation à bénéfice (3 000 francs),
000 fr.), les feux (4 000 fr.) et la représentation à bénéfice (3 000
francs
), constituaient à Fanny un revenu annuel d’enviro
000 francs), constituaient à Fanny un revenu annuel d’environ 15 000
francs
. Ce total pouvait être augmenté par le produit de
i qu’en 1838 Duponchel leur racheta leur congé pour la somme de 8 000
francs
. Lorsque Véron lançait son chiffre de 40 000 fr.,
la somme de 8 000 francs. Lorsque Véron lançait son chiffre de 40 000
fr.
, sensiblement supérieur, comme on le voit, au tot
utées par MM. Séchan, Feuchère et Cie fut arrêté au chiffre de 14 935
francs
, celui des travaux de peinture faits par M. Cicér
ture faits par M. Cicéri, pour trois décorations, au chiffre de 9 009
francs
. Les fournitures pour les costumes coûtèrent 14 3
e de 9 009 francs. Les fournitures pour les costumes coûtèrent 14 301
fr.
50. Voici le détail de ce qui fut dépensé pour ha
er « Mlle Esler cadette » : 3 aunes 90 de crêpe lisse blanc à 4
fr.
60 l’aune, pour chemisette et jupe de dessus 17 f
e lisse blanc à 4 fr. 60 l’aune, pour chemisette et jupe de dessus 17
fr.
25 2 aunes 30 de mousseline gaze blanche, pour
25 2 aunes 30 de mousseline gaze blanche, pour jupe de dessous, à 2
fr.
25 5 fr. 05 1 paire de chaussons 4 fr. » 1 ce
nes 30 de mousseline gaze blanche, pour jupe de dessous, à 2 fr. 25 5
fr.
05 1 paire de chaussons 4 fr. » 1 ceinture en
e, pour jupe de dessous, à 2 fr. 25 5 fr. 05 1 paire de chaussons 4
fr.
» 1 ceinture en cuivre doré fin ornée de pierre
fr. » 1 ceinture en cuivre doré fin ornée de pierres de couleur 38
fr.
» 1 paire de bracelets en cuivre doré fin ornés
paire de bracelets en cuivre doré fin ornés de pierres de couleur 28
fr.
» 1 bandeau en cuivre doré fin orné de pierres
28 fr. » 1 bandeau en cuivre doré fin orné de pierres de couleur 60
fr.
» 4 aunes de crêpe crêpé blanc, pour une chemis
4 aunes de crêpe crêpé blanc, pour une chemisette et une jupe, à 4
fr.
l’aune 16 fr. » 2 aunes 15 de mousseline gaze
crêpe crêpé blanc, pour une chemisette et une jupe, à 4 fr. l’aune 16
fr.
» 2 aunes 15 de mousseline gaze blanche, pour
» 2 aunes 15 de mousseline gaze blanche, pour jupe de dessous, à 2
fr.
25 l’aune 4 fr. 80 2 aunes 40 d’organdi blanc 3
de mousseline gaze blanche, pour jupe de dessous, à 2 fr. 25 l’aune 4
fr.
80 2 aunes 40 d’organdi blanc 3/4 pour une jupe
fr. 80 2 aunes 40 d’organdi blanc 3/4 pour une jupe de dessous, à 4
fr.
50 l’aune 10 fr. 50 183 fr. 60 Au compte de
0 d’organdi blanc 3/4 pour une jupe de dessous, à 4 fr. 50 l’aune 10
fr.
50 183 fr. 60 Au compte des accessoires figu
anc 3/4 pour une jupe de dessous, à 4 fr. 50 l’aune 10 fr. 50 183
fr.
60 Au compte des accessoires figurent en outre
ent en outre trois aunes de crêpe lisse blanc pour un voile carré à 4
francs
l’aune. Il n’y avait point là de quoi ruiner Véro
des dépenses plus modestes encore. Celui de Mlle Legallois coûta 100
fr.
45, celui de Mlle Leroux 111 fr. 40. La belle Lou
e. Celui de Mlle Legallois coûta 100 fr. 45, celui de Mlle Leroux 111
fr.
40. La belle Louise Duvernay fut habillée pour 49
Mlle Leroux 111 fr. 40. La belle Louise Duvernay fut habillée pour 49
fr.
50, et six esprits de l’air, Mlles Julia, Fitzjam
, Fitzjames, Ropiquet, Benard, Danse et Forster, pour un total de 418
fr.
70. Le mémoire le plus élevé fut celui des fourni
rderie, modelure, dentelle d’église, etc… dont le total fut de 19 163
fr.
54. Lorsque, dans la deuxième semaine de juillet,
fit expier à Fanny les maladresses de la réclame. Devant le succès si
franc
qu’elle remporta, l’envie fut réduite au silence.
: 15 sept. 1re représentation avec Fernand Cortez (12e) 7 614
fr.
17 — 2e — — Guillaume Tell (101e) 7 500 — 19
Taglioni : 22 sept. La Sylphide, avec Guillaume Tell 8 429
fr.
29 — La Révolte au Sérail, avec Le Serment 8
tenue par chaque danseuse est sensiblement la même. Elle est de 7 700
francs
pour Fanny Elssler, de 7 900 francs pour Marie Ta
lement la même. Elle est de 7 700 francs pour Fanny Elssler, de 7 900
francs
pour Marie Taglioni. Ces chiffres sont de beaucou
eux qu’atteignait Mozart. Don Juan n’arrivait le 8 octobre qu’à 5 263
francs
, montait à 6 736 fr. le 3 novembre, et tombait le
. Don Juan n’arrivait le 8 octobre qu’à 5 263 francs, montait à 6 736
fr.
le 3 novembre, et tombait le 29 décembre à 4 982
montait à 6 736 fr. le 3 novembre, et tombait le 29 décembre à 4 982
francs
. La Tempête eut la consécration des pièces à succ
Petits sujets, dont les appointements variaient de six à trois mille
francs
; Premières coryphées, à douze cents francs ; D
ent de six à trois mille francs ; Premières coryphées, à douze cents
francs
; Deuxièmes, à mille ; Enfin, en trois quadrille
in, en trois quadrilles d’élèves, dont le premier touchait neuf cents
francs
, le deuxième huit cents et le troisième sept cent
nt réglés au cachet ; les marcheuses recevaient de trente à cinquante
francs
par mois. C’était ce menu fretin du corps de ball
es externes reçoivent, chaque fois qu’elles jouent, un cachet de deux
francs
. Les demoiselles des quadrilles touchent de cent
francs. Les demoiselles des quadrilles touchent de cent à deux cents
francs
par mois. Les coryphées, deux cent cinquante et t
ents à quinze cents. Les étoiles, de vingt-cinq mille à trente mille
francs
par an. Notons, en passant, qu’il y a pour celles
celles-ci une diminution sensible. Taglioni gagnait trente-six mille
francs
par an ; Fanny Elssler, quarante-six mille ; Carl
ervice, les jupons et les maillots. Ceux-ci valent environ vingt-cinq
francs
la paire. Ce qui n’empêche pas ces demoiselles de
e pour l’administration. Chaque paire de chaussons lui revient à cinq
francs
. Or, les étoiles reçoivent une paire de chaussons
e n’est pas avec des émoluments qui s’échelonnent de cent sous à deux
francs
cinquante par jour, que ces petites filles peuven
fameux pas des patins. Comme une gratification exceptionnelle — cinq
francs
, je crois — étaient alloués à celles de ces demoi
ité par lequel l’administration s’engage, par écrit, à la payer 1,200
francs
par an ; mais, en échange de ce papier, la Lorett
é : celui-ci donne à la Lorette un souper dont la carte s’élève à 200
francs
, il laisse un cabriolet de régie douze heures à l
es de champagne dont il a fait son onde lustrale lui ont coûté 25,000
fr.
sans compter les bouteilles frappées qui augmente
et qu’avant de partir elle déposait chez un notaire de Paris 100,000
francs
, monnaie de France, que le parrain de la pupille
gros marchands de bois de la banlieue. Le prix du dîner est trois
francs
. Le jour où vous faites honneur à l’invitation qu
baisse de nouveau à votre oreille, et vous dit : Je le fais payer six
francs
aux Anglais, vous ne le payerez que cinq. Puis la
sur la table la gravure de l’Amour et Psyché, et s’écrie : — A six
francs
l’Amour et Psyché. — Avec son cadre ? — Parbleur
Psyché. — Avec son cadre ? — Parbleur… dit un clerc d’avoué. — Sept
francs
. — Mimi, tu vas trop vite. Ah ! ben, il n’y aura
— Mimi, tu vas trop vite. Ah ! ben, il n’y aura pas de plaisir. Sept
francs
un sou. — Deux sous. — Sept francs dix, continue
, il n’y aura pas de plaisir. Sept francs un sou. — Deux sous. — Sept
francs
dix, continue gravement un convive qui braque un
encore amener le trouble ici ; qu’entendez-vous par ces paroles, sept
francs
dix… est-ce sept francs dix sous ? — Non, monsieu
ici ; qu’entendez-vous par ces paroles, sept francs dix… est-ce sept
francs
dix sous ? — Non, monsieur, je ne donne pas sept
… est-ce sept francs dix sous ? — Non, monsieur, je ne donne pas sept
francs
dix sous de cet objet d’art. J’en donne sept fran
ne donne pas sept francs dix sous de cet objet d’art. J’en donne sept
francs
dix centimes. — Mais j’ai dit avant vous sept fra
J’en donne sept francs dix centimes. — Mais j’ai dit avant vous sept
francs
deux sous, c’est la même chose… Vous vouliez esco
: « Pour faire cesser ce conflit, et raviver les enchères, dites huit
francs
. » Le nouveau venu dit huit francs. Le calme rena
t raviver les enchères, dites huit francs. » Le nouveau venu dit huit
francs
. Le calme renaît. L’hôtesse frappe sur la table a
hôtesse frappe sur la table avec son verre… — Allons, messieurs, huit
francs
, mesdames, huit francs ! Amélie, tu ne dis rien…
able avec son verre… — Allons, messieurs, huit francs, mesdames, huit
francs
! Amélie, tu ne dis rien… Joséphine, regarde enco
huit francs ! Amélie, tu ne dis rien… Joséphine, regarde encore… huit
francs
… Avec le cadre… huit francs… Et on le portera à d
dis rien… Joséphine, regarde encore… huit francs… Avec le cadre… huit
francs
… Et on le portera à domicile, moyennant un franc
Avec le cadre… huit francs… Et on le portera à domicile, moyennant un
franc
qu’on donnera à ma bonne. Huit francs…. L’Amour e
portera à domicile, moyennant un franc qu’on donnera à ma bonne. Huit
francs
…. L’Amour et Psyché, d’après Gérard… C’est vu… en
main heureuse pour votre première visite, à vous le tableau pour huit
francs
. J’espère qu’un autre objet me couvrira de la per
Musard, qui m’a donné sa parole d’honneur. — Quel est le prix ? — 35
francs
pour les agents de change, 15 francs pour les étr
nneur. — Quel est le prix ? — 35 francs pour les agents de change, 15
francs
pour les étrangers, et 10 francs pour les amis. —
francs pour les agents de change, 15 francs pour les étrangers, et 10
francs
pour les amis. — Voulez-vous me permettre de me c
SOIRÉE DANSANTE donnée par madame de longchamps. Prix d’entrée : 25
francs
. On se réunira à 11 heures précises. Un prince g
uve d’or, en d’autres termes comment elle dévore un demi-sac de mille
francs
. La veille du jour ou le pactole, c’est-à-dire
pièce de crédit. C’est une pièce de monnaie presque toujours de cinq
francs
; quand elle est de vingt francs elle prend alors
de monnaie presque toujours de cinq francs ; quand elle est de vingt
francs
elle prend alors le nom de grande pièce de crédit
s. A l’aide de ce procédé, il y a des Lorettes qui ont dû jusqu’à 200
francs
à leur porteur d’eau. Arrivons au budget. Pass
Félicité Denise, et que vous l’ayez prise en service à raison de 300
francs
par an. Quand arrive le premier mois de gages, vo
riez bien gentil de placer quelque chose pour moi — Adrien, mettez 50
francs
sur mon livret — Auguste, faites-moi un compte ro
. La Lorette va au bois en cabriolet à quatre roues, elle donne trois
francs
de prime au cocher quand il peut accrocher la voi
qui font plus de mal que celle-là. La Lorette devenue riche envoie 20
francs
au préfet de son département pour l’extinction de
tez-moi donc de quoi renvoyer mon ver rongeur. La Lorette prend vingt
francs
sur la cheminée ; elle en soustrait un quart pour
s Grâces dansent comme elle. Les étoiles touchent de 25 000 à 40 000
francs
; Maury en avait 40 000. 2º Dix premiers sujets,
ses feld-maréchaux. » Les premiers sujets recevaient de 600 à 1 200
francs
par mois. 3º Vingt-deux seconds sujets : 5 à 600
e 600 à 1 200 francs par mois. 3º Vingt-deux seconds sujets : 5 à 600
francs
par mois. On m’a cité un de ces seconds sujets qu
is. On m’a cité un de ces seconds sujets qui grignota huit cent mille
francs
en six mois. Et elle a des dents toutes petites !
e Pignatelli, comte d’Egmont, servait une pension de douze cent mille
francs
, l’amiral Mazaredo quatre cent mille ; à côté de
protecteurs actifs, un modeste amoureux platonique payait cent mille
francs
le privilège de s’asseoir auprès de l’étoile pend
lle sous les réverbères. 4º Trois divisions de coryphées à 350 et 300
francs
par mois, comprenant chacune deux sections de six
externes, chaque fois qu’elles jouaient, recevaient un cachet de deux
francs
, les marcheuses de 30 à 50 francs par mois. C’est
aient, recevaient un cachet de deux francs, les marcheuses de 30 à 50
francs
par mois. C’est ce menu fretin que Nestor Roquepl
l ces demoiselles recevaient une gratification exceptionnelle de cinq
francs
. Nombreuses étaient les demandes, nombreux les re
progressé, si bien qu’aujourd’hui chaque représentation coûte 40 580
francs
, tandis que la recette moyenne de 1920 ne dépasse
0 francs, tandis que la recette moyenne de 1920 ne dépasse pas 25 000
francs
. * * * C’est entre 1830 et 1870 que se place, pou
s trop ! — Comment ? — Il m’a payée en livres, j’aurais mieux aimé en
francs
. » * * * Le foyer de la danse avait eu un rôle a
t Lulli, en 1712, les dettes de l’Opéra montaient à quatre cent mille
fr.
, que les cessionnaires du privilége furent obligé
rité de l’administration ; le fonds des pensions est fixé à dix mille
francs
; la pension était acquise après quinze années de
rvices et à l’administration : ce personnel coûtait par année 884,260
fr.
; sur l’état du corps de ballets, on voit figurer
tat du corps de ballets, on voit figurer pour des appointemens de 800
fr.
par an, mademoiselle Leverd, que nous avons admir
d : en 1807, le total des appointemens ne s’élevait plus qu’à 821,160
fr.
En 1808, sous la direction de Picard, le chiffre
re cent cinquante-quatre individus, et celui des traitemens à 752,060
fr.
Les feux, c’est-à-dire la gratification qui est a
plaudissemens. En 1810, les recettes de l’Opéra s’élevèrent à 660,327
fr.
; l’Empereur dépensa pour ce spectacle 1,027,676
vèrent à 660,327 fr. ; l’Empereur dépensa pour ce spectacle 1,027,676
fr.
Il est vrai que l’Opéra marchait à la tête de ceu
l’Opéra n’avait reçu du Gouvernement, à titre de secours, que 150,000
fr.
; ses recettes s’étaient élevées à 853,719 fr. —
e secours, que 150,000 fr. ; ses recettes s’étaient élevées à 853,719
fr.
— Ensemble 1,003,719 fr. — Ses dépenses furent à
. ; ses recettes s’étaient élevées à 853,719 fr. — Ensemble 1,003,719
fr.
— Ses dépenses furent à 1,221,648 fr. — Il perdit
53,719 fr. — Ensemble 1,003,719 fr. — Ses dépenses furent à 1,221,648
fr.
— Il perdit 217,929 fr. Les chiffres forment une
003,719 fr. — Ses dépenses furent à 1,221,648 fr. — Il perdit 217,929
fr.
Les chiffres forment une partie essentielle de l’
a Italien. Une subvention royale qui de 1824 à 1828 s’éleva à 750,000
fr.
, qui en 1829 fut de 817,925 fr., et en 1830 de 82
qui de 1824 à 1828 s’éleva à 750,000 fr., qui en 1829 fut de 817,925
fr.
, et en 1830 de 826,919 fr., non compris, bien ent
à 750,000 fr., qui en 1829 fut de 817,925 fr., et en 1830 de 826,919
fr.
, non compris, bien entendu, la redevance des peti
s petits théâtres, qui s’élevait alors à une somme de deux cent mille
francs
par année ; une révolution musicale que Nourrit,
équentation des spectacles. En 1829, les dépenses furent de 1,770,103
fr.
; en 1830, elles furent de 1,717,347 fr. La premi
dépenses furent de 1,770,103 fr. ; en 1830, elles furent de 1,717,347
fr.
La première année offrit un bénéfice de 47,000 fr
urent de 1,717,347 fr. La première année offrit un bénéfice de 47,000
fr.
; la seconde, un déficit de 143,711 fr. Le thermo
offrit un bénéfice de 47,000 fr. ; la seconde, un déficit de 143,711
fr.
Le thermomètre des recettes de l’Opéra présente d
fort de la Terreur et de l’émigration, il offre un chiffre de 853,719
fr.
, et en 1810, au moment le plus glorieux des conqu
ourait dans la capitale de l’Empire, le chiffre ne monte qu’à 660,327
fr.
, dont 70,000 furent produits par les bals masqués
nt jamais été aussi richement rétribués : Mlle Taglioni reçoit 30,000
fr.
par an ; Adolphe Nourrit et madame Cinti-Damoreau
an ; Adolphe Nourrit et madame Cinti-Damoreau reçoivent chacun 50,000
fr.
Si quelqu’un était tenté d’accuser de parcimonie
e graduellement, jusqu’à ce qu’elle ait atteint le chiffre de 650,000
fr.
C’est moins que n’a jamais donné la restauration
e sait, et auquel l’Opéra coûta, en 1810, un million vingt-sept mille
fr.
La direction actuelle, pour les résultats qu’elle
de Mozart, de Weber et de Rossini, l’Opéra a dépensé plus de 100,000
fr.
, et Paris a joui du plus beau spectacle du monde7
nière, J’allai voir leur Pièce première, Donnant à leur Portier, tout
Franc
, La somme d’un bel écu blanc. Je n’entendis point
Sexe aimant le doux, Et (dont il n’était pas en fête) Le jetait tout
franc
à la tête, Si qu’un Huissier en eut au Chef Fort
ie. — Un mardi raté. — Des Russes attendus. — Une recette de dix-sept
francs
cinquante. — Désespoir de Markouski. — Arrivée d’
de ces sept ou huit jeunes danseuses qui reçoivent un cachet de deux
francs
par nuit pour « ornementer » ces fêtes. Markouski
les. Deux heures allaient sonner, et la recette se montait à dix-sept
francs
cinquante. — Vous voyez, je lutte, disait Markous
trop ! — Comment ? — Il m’a payée en livres : j’aurais mieux aimé en
francs
. Mademoiselle Bigottini, qui était devenue milli
a Jeunesse de Henri V. La recette s’éleva à plus de vingt-cinq mille
francs
. Clotilde Mafleuroy Le temps était passé
-vingt-neuf. Regnauld de Saint-Jean d’Angély dépensait tout seul cent
francs
à son dîner, et le propre frère de César, — Jérô
agnifique faisait à sa maîtresse un revenu annuel de douze cent mille
francs
. Cent mille francs par mois ! « Mais, — racont
a maîtresse un revenu annuel de douze cent mille francs. Cent mille
francs
par mois ! « Mais, — raconte Nestor Roqueplan, d
ouvent, par paresse, par générosité, de donner à son cordonnier mille
francs
d’une paire de souliers pour n’avoir pas à change
aider la danseuse dans ses charités, et augmenta de quatre cent mille
francs
son modeste revenu. A ces nouvelles largesses s’a
étalait sur l’estrade de ce lit et ne valait pas moins de douze mille
francs
. Le tapis de la chambre avait été payé — au Thibe
les meubles, les collections et les tableaux — estimé sept cent mille
francs
!!! Eh bien ! au milieu de ce bain d’or, Danaë n’
que vous m’aimez ?… — Soit. — Mais m’aimez-vous autant que cent mille
francs
. Le lendemain le boyard se présenta devant elle,
t tout un fleuve d’or bouillonna sur le tapis. — Il y a là cent mille
francs
, murmura le vieillard. Mais l’insouciante fille,
oyé n’acceptait pas mon billet de banque français. Ce billet de mille
francs
et un peu de monnaie constituaient tout mon avoir
nnaie constituaient tout mon avoir. Mon interprète s’empara des mille
francs
, me pris un ticket pour Berlin, puis disparut pou
mes costumes retenus en gage, tout près de deux cent cinquante mille
francs
. Pendant ma seconde saison aux Folies-Bergère, al
de notre Ouest lointain. Bonne, énergique et gaie, c’était une femme
franche
, cordiale et sincère, et je me sentis aussitôt en
un télégramme ainsi libellé : « Seulement si vous déposez dix mille
francs
dans une banque de Vienne avant demain matin neuf
plus cruel qu’elle savait que je venais de perdre plus de cent mille
francs
du fait d’un directeur viennois qui avait rompu s
tembre 1837 au 31 mai 1841, et les appointements s’élevaient à 10 000
francs
, payables de mois en mois ; plus 250 francs de fe
ents s’élevaient à 10 000 francs, payables de mois en mois ; plus 250
francs
de feux par chaque représentation, le directeur s
Paris ; plus encore trois mois de congé par an rachetables par 8 000
francs
, plus enfin une représentation à bénéfice à l’exp
1841 jusqu’au 31 mai 1845, aux mêmes conditions, avec dédit de 60 000
francs
; puis, le 12 décembre 1839, on régla les congés
ssions, l’actrice s’engageait à payer au directeur la somme de 60 000
fr.
dans le cas où elle ne ferait pas acte de présenc
le avant le mois de mai 1841 ; que si M. Léon Pillet exige les 60 000
francs
de dédit, il ne reste plus à Mlle Fanny qu’à envo
une demande en résiliation des engagements et en paiement des 60 000
fr.
de dédit140. » Le procès, long et fastidieux, co
que s’il était passé devant notaire, sous peine de paiement de 60 000
francs
à titre de dédit, exigible en totalité, à quelque
ugement précédent et la condamna par corps à payer le dédit de 60 000
francs
. La sentence était dure pour Fanny Elssler. Non
fait payer d’avance sa part des recettes à effectuer, à savoir 1 500
francs
par représentation. Léon Pillet n’eut pour se déd
it, en moins de quarante-huit heures, atteint un total de douze mille
francs
, et, pour cette somme, un bijoutier en renom avai
et sel russe et cordial, de notre amour, de notre hospitalité, de nos
francs
souhaits de bienvenue ». Le kalatche était en car
dieu tutélaire de sa famille. Elle souscrivit pour une somme de mille
francs
. Malgré sa passion pour le théâtre, aucune prière
é. Vous vous flattez, si vous croyez arriver jamais à une gaieté plus
franche
, à une précision plus naturelle, que celles qui b
nc ! Il est vrai qu’en ce temps-là, Rosita Mauri gagnait quatre cents
francs
par mois, — pour soutenir toute une famille, — ce
ôtel de Saragosse, rue Lafayette. On avait là, moyennant soixante-dix
francs
par mois, une grande chambre pour tout faire. Soi
dix francs par mois, une grande chambre pour tout faire. Soixante-dix
francs
! Une somme ! Si l’on songe que toutes les ressou
montrer inquiets sur l’avenir. On mit les petites à l’Opéra. A parler
franc
, Constance, l’aînée, n’avait de dispositions que
à l’écurie. Je sais qu’elle vient d’acheter une bicoque de cent mille
francs
pour y remiser la vieillesse de son papa. Je sais
eu mais qui me restent présents et agréables. Mlle Sinding a toute la
franche
ingénuité des vierges nordiques, leur élégance sa
nt petit. L’état des appointemens ne s’élevoit alors qu’à douze mille
francs
par mois. Ceux de quelques premiers sujets étoien
erdre de sa vigueur, de son brillant, de sa prestesse, ni de la gaité
franche
qu’exige le genre villageois. Elle fit les délice
tueuse ; c’est une belle Diane. Sa danse est fière, son exécution est
franche
, son genre est le sérieux, Mlle. Clotilde a de gr
cette voiture, tout à l’heure… N’est-ce pas un vrai vol ?… Vingt-cinq
francs
pour nous amener de la gare jusqu’ici !… Et quell
e menu que nous et sa note était de deux dollars et demi — soit douze
francs
cinquante — plus élevée que les nôtres. Ces douze
— soit douze francs cinquante — plus élevée que les nôtres. Ces douze
francs
cinquante représentaient le prix d’une bouteille
tarif était d’un dollar et demi l’heure. C’était donc soixante-quinze
francs
qu’il lui fallait débourser. Notre ami était pers
ces considérables que complétaient une subvention annuelle de 750 000
fr.
payée par la liste civile et une redevance d’envi
000 fr. payée par la liste civile et une redevance d’environ 300 000
francs
prélevée par l’Opéra sur les autres théâtres de P
rges et une subvention qui fut fixée pour la première année à 810 000
francs
. L’esprit des affaires, l’esprit bourgeois, se su
e, pour mettre en vente le nouveau produit. Véron avait engagé 17 000
francs
dans l’affaire ; elle finit par lui en rapporter
aux de la Juive. Pour monter cet ouvrage, Véron avait dépensé 150 000
francs
, somme qui paraissait fantastique alors. Trente m
150 000 francs, somme qui paraissait fantastique alors. Trente mille
francs
furent affectés aux armures que l’on fit en métal
continuèrent, avec des recettes qui parfois atteignaient à peine 500
francs
. Mais après cette période de vaches maigres, cell
cœur, le sentiment de la reconnaissance : — Une recette de huit mille
francs
perdue ! Dix mille francs d’amende ! Voilà pourta
econnaissance : — Une recette de huit mille francs perdue ! Dix mille
francs
d’amende ! Voilà pourtant un bouquet de cent sous
! Voilà pourtant un bouquet de cent sous qui me coûte dix-huit mille
francs
! *** Le directeur prit sa revanche. L’engagement
Sa démarche auprès de Fanny. — Le portefeuille et les cinquante mille
francs
en billets de… loterie. — Départ pour l’Amérique.
is. M. Véron offrit aux sœurs Elssler un engagement de quarante mille
francs
par an. L’idée de paraître à l’Opéra et de change
uel s’amoncelaient, — montagne flamboyante, — pour près de cent mille
francs
de bijoux, de perles et de diamants… On fit circu
faiseur de tuyaux. Au lieu de reproches, reproches inutiles : — Cent
francs
de plus pour vous, lui dit M. Véron, si ce matin,
l, faites-moi rendre ma position, et voici cinquante billets de mille
francs
que je vous supplie d’accepter. Et il fit mine de
eine-Mère, Gentilhomme brave et sincère, Qui, vers moi, débonnaire et
franc
, Me plaça sur son propre banc, Parmi de fort nobl
qu’il touchait pour moi dix mille marks, soit douze mille cinq cents
francs
par mois. Et il ne m’avait donné que 1,500 francs
ze mille cinq cents francs par mois. Et il ne m’avait donné que 1,500
francs
!… Que devais-je faire ? Mes débuts à Berlin avai
plus hautes que l’Opéra eût jamais atteintes jusque-là, fut de 35 784
francs
, dont il resta pour la bénéficiaire, tous frais p
sta pour la bénéficiaire, tous frais payés, une somme nette de 32 815
francs
. Une salle en délire mêlait à ses applaudissement
, la simplicité et la bonté. On fut vite rassuré, car on les retrouva
franches
, modestes et serviables. Elles allèrent sans frac
ar son goût pour les créations plastiques au profil pur, aux contours
francs
, par sa passion pour la réalité lumineuse. Un cla
onument à Molière. En cette circonstance, Mlle Mars avait donné mille
francs
. Son Altesse Royale n’en donna que cinq cents. Le
ations à bénéfice de l’année. Le total des locations s’éleva à 23 597
francs
; les frais déduits, les deux sœurs touchèrent 18
à 23 597 francs ; les frais déduits, les deux sœurs touchèrent 18 467
francs
. Le bénéfice de Nourrit, le 4 avril 1837, avait p
e Nourrit, le 4 avril 1837, avait produit une recette brute de 24 322
francs
, celui de Lise Noblet, le 24 mars 1838, 22 236 fr
brute de 24 322 francs, celui de Lise Noblet, le 24 mars 1838, 22 236
francs
, celui de Mme Damoreau-Cinti, le 19 avril 1838, 2
22 236 francs, celui de Mme Damoreau-Cinti, le 19 avril 1838, 24 804
francs
. Sans doute on restait loin des 35 784 francs enc
e 19 avril 1838, 24 804 francs. Sans doute on restait loin des 35 784
francs
encaissés le 22 avril 1837, à la soirée d’adieux
vail obstiné et stérile de stylisation. Ces danses n’ont pas l’allure
franche
du grand art ; c’est là de l’art appliqué, du fig
e disait-elle en prenant sa prise, souviens-toi qu’on aime les biches
franches
, cela repose des femmes du monde. IV Mon am
a maîtresse de Finette a une centaine de clientes qui la payent douze
francs
par mois. Elle écrit quelque chose comme deux cen
sée, et que sa note, mise à mon compte, s’élevait à près de six mille
francs
. Ensuite d’autres factures arrivèrent : teinturie
es Beaux-Arts me demanda si je ne pouvais pas lui rendre soixante-dix
francs
qu’il m’avait prêtés deux ans plus tôt, par l’ent
ût, et qui me réclamait dix livres sterling– soit deux cent cinquante
francs
–qu’il m’avait prêtées, toujours par l’entremise
syncopé lui échappent. Aussi se plaît-il, cet instrument, aux rythmes
francs
, marqués et symétriques, aux cantilènes distincte
attitude n’est ni svelte ni animée, sa tête n’annonce point une gaité
franche
, enfin cette statue est un marbre inanimé. Elle i
t vers la cheminée et on jettoit dans un vase d’argent son écu de six
francs
. Marcel avoit l’oreille line et sensible, et étoi
enuets dansés dans les grands bals parés lui étoient payés trois cens
francs
. L’histoire de la Traine, ou des longues queües a
rtaine monotonie, quelques petits gestes souvent trop répétés — et le
franc
plaisir que donne cette musique limpide, saturée
aisir, et le bonheur. Pourroit-on se dispenser de nommer cette action
franche
et vive, danse naturelle, ou danse primitive ? Il
plus dans le tems ou un tableau d’Appelle étoit payé trois cens mille
francs
; où un grand Monarque écrivoit de sa main au cav
. Le chiffre des traitements des premiers ténors varie de 50 à 70,000
francs
, et la somme de tous les appointements réunis dép
rancs, et la somme de tous les appointements réunis dépasse 1,100,000
francs
. Il y a progrès… dans les appointements. L’Opéra
iers exprimaient sans art, mais non pas toujours sans grâce, une joie
franche
et vive. Ensuite les règles s’établirent au son d
, et qui continue son commerce. Sa maison lui rapporte soixante mille
francs
par an, et lui en coûte trois mille. Le surplus e
VI C’était un rentier, sa fortune pouvait être de cinq à six mille
francs
de revenus. — On l’appelait le père Californie. —
oins du monde. Eh bien, quelle délivrance, quelle robuste joie que ce
franc
jeté, que ce temps d’élévation exécuté dans toute
cette représentation avoit valu à Mlle. Sallé plus de deux cens mille
francs
. Les Anglais, généreux d’ailleurs, ne le sont par
réclamer, dans un beau mouvement de désintéressement, les vingt-cinq
francs
de prime. Mais c’est si vieux, tout cela, c’est s
llard et Pélin, ils formoient des pas de quatre délicieux ; une gaité
franche
et naïve, une expréssion vraie, adaptée au sentim
iocres. Après avoir flotté, les premiers jours, aux environs de 4 000
francs
, elles descendaient, à la 9e et à la 10e représen
descendaient, à la 9e et à la 10e représentation, au-dessous de 3 000
francs
. Don Juan lui-même, un des grands insuccès de la
celui de Valentine, furent acclamés. Duponchel avait dépensé 160 000
francs
pour monter les Huguenots. Malgré l’éclat de la m
e extasiée se pressait rue Le Peletier et « payait un tribut de 8 500
francs
à la cachucha de Mlle Elssler113 ». Le Diable boi
rs de prince ! ! » Les vingt-six représentations rapportèrent 65 000
francs
. C’était, pour le théâtre de Bordeaux, une recett
Rahel analyse les mouvements des jambes et préférerait des bonds bien
francs
à leurs flexions truquées. Les chevilles manquent
idement ses ressources. Ses appointements fixes qui étaient de 20 000
francs
à l’Opéra, les feux, c’est-à-dire les cachets par
ce, dont l’une, celle du 22 avril 1837, donnait une recette de 35 784
francs
, somme énorme, si l’on songe que la même année le
rrit, un artiste pourtant choyé du public, n’avait produit que 24 000
francs
, les guinées, les roubles et les thalers ramassés
se de Mlle de Craponne ; très nettement croisés ses entrechats ; très
franche
la parabole de ses jetées dessus. Nous ignorons c
e aux plaisirs de la danse et à des jeux que partage, avec une gaieté
franche
, sa compagne chérie ou son amante, c’est offrir l
voix, ce dialogue des mouvements avec les sons m’ont procuré le plus
franc
plaisir. Dans l’exécution, habile sans dénoter ch
scène. Et elle apporte à certaines de ses réalisations un humour très
franc
, une verve résolument plébéienne. Car c’est là un
omme d’argent déposa dans la layette un contrat de rente de six mille
francs
. L’existence retirée et calme d’un petite rentièr
s tapage ; un caractère qui nese livre pas. Opinion des camarades : —
Franche
comme un jeton. Marie Stilb Il y a une do
ne mouche avait, dans l’une de ces collectes, récolté une centaine de
francs
: — J’espère, lui dit une camarade, que tu vas me
les femmes se font par chaque bal une petite rente de quinze à vingt
francs
. Cela paye les voitures et les gants. XIV E
’hui elle ne se ferait pas couper une mèche de cheveux pour dix mille
francs
. L’ami. — Mais alors toutes ces dames sont rich
même office, la gorge découverte et les cheveux épars. Méz. Hist. de
Fr.
sur l’année 1577.
et le chef se décida à payer en mon lieu et place. On lui demanda 300
francs
. Le prix lui parut exorbitant, et il n’osa pas ré
yai aux compagnies de chemins de fer trois cent soixante-quinze mille
francs
de frais de transport, mais cela me coûtait encor
de lapin, wate proofs, mac-farlanes, « redingotes russes » à dix-neuf
francs
, — pacotilles, rossignols, occasions, liquidation
tations et ses droits d’auteur, quelque chose comme sept à huit mille
francs
par an. De plus, il est là dans son milieu, dans
ait sans façon y boire des petits verres de kirsch, qu’il payait cinq
francs
le verre. Il trinquait avec les machinistes, qui
était entouré d’une cravate de dentelles d’une valeur de douze mille
francs
. Amalia Ferraris. Quand, en quatre enjamb
i IV joignait à un bon esprit une galanterie cavalière, et une gaieté
franche
. Tels parurent les Courtisans qui l’entouraient.
seur de tuyaux. « Au lieu de reproches, reproches inutiles : — « Cent
francs
de plus pour vous, lui dit M. Véron, si ce matin,
e Louise. On en supposa beaucoup à Mlle Roland, qui avait pour 50 000
francs
de diamants et à peine pour deux sous de talent.
Cahusac ajoute : « C’est en vain qu’on chercherait un enjouement plus
franc
et une vivacité plus naturelle. » Alerte et fort
ar la plainte d’un officier général qui, ayant compté cinquante mille
francs
pour obtenir la décoration, n’avait rien reçu.
sentations. Son bénéfice s’élevait, toutes dépenses payées, à 742 000
francs
. Cette fortune avait été acquise avec huit ballet
gracieux, au profit d’œuvres de bienfaisance. Au taux de trois mille
francs
que lui rapportait en moyenne chaque soirée, c’ét
moyenne chaque soirée, c’était une recette de plus de soixante mille
francs
qu’elle abandonnait aux nécessiteux. Sa charité p
es fois trente, ça dépend des jours. Il y en a où on se fait ses deux
francs
. Mais c’est rare, j’ai mon loyer à payer et trois
emandé et une paire de boucles d’oreilles estimées quatre-vingt mille
francs
. *** Que dire, maintenant, des marcheuses ? On no
ous dis que Viganò a eu ce succès. Par exemple on payait quatre mille
francs
par an les compositeurs de ballets ; lui a quaran
ancs par an les compositeurs de ballets ; lui a quarante-quatre mille
francs
pour 1819… Si Viganò trouve l’art d’écrire les ge
Valaque lui donnait 6 000 ducats par an, c’est-à-dire plus de 60 000
fr.
Une année même, en signe de satisfaction particul
de les plus considérées du Berlin de 1830. Rahel avait avec Gentz son
franc
parler ; elle ne se privait pas de gronder ou de
faiseur qui spéculait sur le goût du public pour le scandale ». 15.
Fr.
v. Gentz, Briefe an Pilat, hrsgb. von Mendelssohn
existent plus, tels qu’ils étoient, et nous tracera avec des couleurs
franches
et un pinceau hardi, leurs vices, ou leurs vertus
uliette et de toutes les belles amoureuses. — Mais à quoi pensent ces
francs
chasseurs ? se mettre à l’affût en un tel endroit
xceptionnel, un être aérien, une merveille, un trésor, et offrir cent
francs
payés sur l’heure si mon maître voulait me céder
er le genoüil, la pointe des pieds ouuerte en sorte que les mouuemens
francs
de toute timidité procedent de la hanche. Ceste f
mouvemens, d’attitudes et de posilions dessinées par une joie pure et
franche
. La Saxe, la Prusse et la Pologne leur fourniront
eprésentations extraordinaires puissent s’élever à dix ou douze mille
francs
; au reste, c est la nature et le genre de specta
ux danseurs comiques. Ils doivent imiter cette simplicité, cette joye
franche
de la nature en belle humeur. Il n’est donc quest
e, les singes de la nature, & imiter cette simplicité, cette joie
franche
& cette expression sans Art qui regne au vill
e juge ; et il prononça en faveur des Romains. Le P. Daniel, Hist. de
Fr.
tome I. p. 472. On voit par-là combien les Franç
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