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1 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VI. les débuts de fanny elssler à paris  » pp. 188-219
le dominait. Je leur offris cependant, comme je l’ai déjà dit, 40 000 francs par an. Je cherchai, pour réussir dans mes projet
r la table un plateau d’argent où s’amoncelaient pour près de 200 000  fr. de bijoux et de diamants On passa le plateau en m
x des objets les plus modestes, et représentant à peine 6 000 à 8 000 francs . De tous ces bijoux, je rapportai aussi à Paris q
é quelque peu grossie par le vaniteux narrateur. Le chiffre de 40 000 francs auquel Véron prétend avoir engagé les deux sœurs
. En réalité, Fanny fut engagée, ainsi que Thérèse, à raison de 8 000 francs par an. Sur les comptes de l’Opéra, elle émargea
mptes de l’Opéra, elle émargea chaque quinzaine pour une somme de 333  fr.  33. C’était exactement ce que touchait aussi Loui
ctement ce que touchait aussi Louise Duvernay. Aux mensualités de 666  fr.  66 s’ajoutaient les feux qui étaient de 125 franc
ux mensualités de 666 fr. 66 s’ajoutaient les feux qui étaient de 125 francs par soirée. Ce n’est qu’à partir du 1er septembre
ublés par Duponchel, qui porta aussi les appointements fixes à 10 000  fr. Comme, dans les trois premières années de son eng
gement, Fanny dansa juste cent fois, les feux lui rapportèrent 12 500 francs , c’est-à-dire un peu plus de 4 000 francs par an.
eux lui rapportèrent 12 500 francs, c’est-à-dire un peu plus de 4 000 francs par an. Il faut compter aussi le produit d’une re
recette que les deux bénéficiaires eurent à se partager fut de 18 467 francs  ; la part de chacune, répartie sur trois ans, aug
rtie sur trois ans, augmentait donc ses appointements d’environ 3 000 francs par année. En résumé, les appointements fixes (8 
ron 3 000 francs par année. En résumé, les appointements fixes (8 000  fr. ), les feux (4 000 fr.) et la représentation à bén
nnée. En résumé, les appointements fixes (8 000 fr.), les feux (4 000  fr. ) et la représentation à bénéfice (3 000 francs),
000 fr.), les feux (4 000 fr.) et la représentation à bénéfice (3 000 francs ), constituaient à Fanny un revenu annuel d’enviro
 000 francs), constituaient à Fanny un revenu annuel d’environ 15 000 francs . Ce total pouvait être augmenté par le produit de
i qu’en 1838 Duponchel leur racheta leur congé pour la somme de 8 000 francs . Lorsque Véron lançait son chiffre de 40 000 fr.,
la somme de 8 000 francs. Lorsque Véron lançait son chiffre de 40 000  fr. , sensiblement supérieur, comme on le voit, au tot
utées par MM. Séchan, Feuchère et Cie fut arrêté au chiffre de 14 935 francs , celui des travaux de peinture faits par M. Cicér
ture faits par M. Cicéri, pour trois décorations, au chiffre de 9 009 francs . Les fournitures pour les costumes coûtèrent 14 3
e de 9 009 francs. Les fournitures pour les costumes coûtèrent 14 301  fr.  50. Voici le détail de ce qui fut dépensé pour ha
er « Mlle Esler cadette » : 3 aunes 90 de crêpe lisse blanc à 4  fr.  60 l’aune, pour chemisette et jupe de dessus 17 f
e lisse blanc à 4 fr. 60 l’aune, pour chemisette et jupe de dessus 17  fr.  25 2 aunes 30 de mousseline gaze blanche, pour
25 2 aunes 30 de mousseline gaze blanche, pour jupe de dessous, à 2  fr.  25 5 fr. 05 1 paire de chaussons 4 fr. » 1 ce
nes 30 de mousseline gaze blanche, pour jupe de dessous, à 2 fr. 25 5  fr.  05 1 paire de chaussons 4 fr. » 1 ceinture en
e, pour jupe de dessous, à 2 fr. 25 5 fr. 05 1 paire de chaussons 4  fr.  » 1 ceinture en cuivre doré fin ornée de pierre
 fr. » 1 ceinture en cuivre doré fin ornée de pierres de couleur 38  fr.  » 1 paire de bracelets en cuivre doré fin ornés
paire de bracelets en cuivre doré fin ornés de pierres de couleur 28  fr.  » 1 bandeau en cuivre doré fin orné de pierres
28 fr. » 1 bandeau en cuivre doré fin orné de pierres de couleur 60  fr.  » 4 aunes de crêpe crêpé blanc, pour une chemis
4 aunes de crêpe crêpé blanc, pour une chemisette et une jupe, à 4  fr. l’aune 16 fr.  » 2 aunes 15 de mousseline gaze
crêpe crêpé blanc, pour une chemisette et une jupe, à 4 fr. l’aune 16  fr.  » 2 aunes 15 de mousseline gaze blanche, pour
 » 2 aunes 15 de mousseline gaze blanche, pour jupe de dessous, à 2  fr.  25 l’aune 4 fr. 80 2 aunes 40 d’organdi blanc 3
de mousseline gaze blanche, pour jupe de dessous, à 2 fr. 25 l’aune 4  fr.  80 2 aunes 40 d’organdi blanc 3/4 pour une jupe
fr. 80 2 aunes 40 d’organdi blanc 3/4 pour une jupe de dessous, à 4  fr.  50 l’aune 10 fr. 50 183 fr. 60 Au compte de
0 d’organdi blanc 3/4 pour une jupe de dessous, à 4 fr. 50 l’aune 10  fr.  50 183 fr. 60 Au compte des accessoires figu
anc 3/4 pour une jupe de dessous, à 4 fr. 50 l’aune 10 fr. 50 183  fr.  60 Au compte des accessoires figurent en outre
ent en outre trois aunes de crêpe lisse blanc pour un voile carré à 4 francs l’aune. Il n’y avait point là de quoi ruiner Véro
des dépenses plus modestes encore. Celui de Mlle Legallois coûta 100  fr.  45, celui de Mlle Leroux 111 fr. 40. La belle Lou
e. Celui de Mlle Legallois coûta 100 fr. 45, celui de Mlle Leroux 111  fr.  40. La belle Louise Duvernay fut habillée pour 49
Mlle Leroux 111 fr. 40. La belle Louise Duvernay fut habillée pour 49  fr.  50, et six esprits de l’air, Mlles Julia, Fitzjam
, Fitzjames, Ropiquet, Benard, Danse et Forster, pour un total de 418  fr.  70. Le mémoire le plus élevé fut celui des fourni
rderie, modelure, dentelle d’église, etc… dont le total fut de 19 163  fr.  54. Lorsque, dans la deuxième semaine de juillet,
fit expier à Fanny les maladresses de la réclame. Devant le succès si franc qu’elle remporta, l’envie fut réduite au silence.
: 15 sept. 1re représentation avec Fernand Cortez (12e) 7 614  fr. 17 — 2e — — Guillaume Tell (101e) 7 500 — 19
Taglioni : 22 sept. La Sylphide, avec Guillaume Tell 8 429  fr. 29 — La Révolte au Sérail, avec Le Serment 8
tenue par chaque danseuse est sensiblement la même. Elle est de 7 700 francs pour Fanny Elssler, de 7 900 francs pour Marie Ta
lement la même. Elle est de 7 700 francs pour Fanny Elssler, de 7 900 francs pour Marie Taglioni. Ces chiffres sont de beaucou
eux qu’atteignait Mozart. Don Juan n’arrivait le 8 octobre qu’à 5 263 francs , montait à 6 736 fr. le 3 novembre, et tombait le
. Don Juan n’arrivait le 8 octobre qu’à 5 263 francs, montait à 6 736  fr. le 3 novembre, et tombait le 29 décembre à 4 982
montait à 6 736 fr. le 3 novembre, et tombait le 29 décembre à 4 982 francs . La Tempête eut la consécration des pièces à succ
2 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « I. Origines, composition, organisation. » pp. 1-13
Petits sujets, dont les appointements variaient de six à trois mille francs  ; Premières coryphées, à douze cents francs ; D
ent de six à trois mille francs ; Premières coryphées, à douze cents francs  ; Deuxièmes, à mille ; Enfin, en trois quadrille
in, en trois quadrilles d’élèves, dont le premier touchait neuf cents francs , le deuxième huit cents et le troisième sept cent
nt réglés au cachet ; les marcheuses recevaient de trente à cinquante francs par mois. C’était ce menu fretin du corps de ball
es externes reçoivent, chaque fois qu’elles jouent, un cachet de deux francs . Les demoiselles des quadrilles touchent de cent
francs. Les demoiselles des quadrilles touchent de cent à deux cents francs par mois. Les coryphées, deux cent cinquante et t
ents à quinze cents. Les étoiles, de vingt-cinq mille à trente mille francs par an. Notons, en passant, qu’il y a pour celles
celles-ci une diminution sensible. Taglioni gagnait trente-six mille francs par an ; Fanny Elssler, quarante-six mille ; Carl
ervice, les jupons et les maillots. Ceux-ci valent environ vingt-cinq francs la paire. Ce qui n’empêche pas ces demoiselles de
e pour l’administration. Chaque paire de chaussons lui revient à cinq francs . Or, les étoiles reçoivent une paire de chaussons
e n’est pas avec des émoluments qui s’échelonnent de cent sous à deux francs cinquante par jour, que ces petites filles peuven
fameux pas des patins. Comme une gratification exceptionnelle — cinq francs , je crois — étaient alloués à celles de ces demoi
3 (1841) Physiologie de la lorette pp. -127
ité par lequel l’administration s’engage, par écrit, à la payer 1,200 francs par an ; mais, en échange de ce papier, la Lorett
é : celui-ci donne à la Lorette un souper dont la carte s’élève à 200 francs , il laisse un cabriolet de régie douze heures à l
es de champagne dont il a fait son onde lustrale lui ont coûté 25,000 fr. sans compter les bouteilles frappées qui augmente
et qu’avant de partir elle déposait chez un notaire de Paris 100,000 francs , monnaie de France, que le parrain de la pupille
gros marchands de bois de la banlieue. Le prix du dîner est trois francs . Le jour où vous faites honneur à l’invitation qu
baisse de nouveau à votre oreille, et vous dit : Je le fais payer six francs aux Anglais, vous ne le payerez que cinq. Puis la
sur la table la gravure de l’Amour et Psyché, et s’écrie : — A six francs l’Amour et Psyché. — Avec son cadre ? — Parbleur
Psyché. — Avec son cadre ? — Parbleur… dit un clerc d’avoué. — Sept francs . — Mimi, tu vas trop vite. Ah ! ben, il n’y aura
— Mimi, tu vas trop vite. Ah ! ben, il n’y aura pas de plaisir. Sept francs un sou. — Deux sous. — Sept francs dix, continue
, il n’y aura pas de plaisir. Sept francs un sou. — Deux sous. — Sept francs dix, continue gravement un convive qui braque un
encore amener le trouble ici ; qu’entendez-vous par ces paroles, sept francs dix… est-ce sept francs dix sous ? — Non, monsieu
ici ; qu’entendez-vous par ces paroles, sept francs dix… est-ce sept francs dix sous ? — Non, monsieur, je ne donne pas sept
… est-ce sept francs dix sous ? — Non, monsieur, je ne donne pas sept francs dix sous de cet objet d’art. J’en donne sept fran
ne donne pas sept francs dix sous de cet objet d’art. J’en donne sept francs dix centimes. — Mais j’ai dit avant vous sept fra
J’en donne sept francs dix centimes. — Mais j’ai dit avant vous sept francs deux sous, c’est la même chose… Vous vouliez esco
: « Pour faire cesser ce conflit, et raviver les enchères, dites huit francs . » Le nouveau venu dit huit francs. Le calme rena
t raviver les enchères, dites huit francs. » Le nouveau venu dit huit francs . Le calme renaît. L’hôtesse frappe sur la table a
hôtesse frappe sur la table avec son verre… — Allons, messieurs, huit francs , mesdames, huit francs ! Amélie, tu ne dis rien…
able avec son verre… — Allons, messieurs, huit francs, mesdames, huit francs  ! Amélie, tu ne dis rien… Joséphine, regarde enco
huit francs ! Amélie, tu ne dis rien… Joséphine, regarde encore… huit francs … Avec le cadre… huit francs… Et on le portera à d
dis rien… Joséphine, regarde encore… huit francs… Avec le cadre… huit francs … Et on le portera à domicile, moyennant un franc
Avec le cadre… huit francs… Et on le portera à domicile, moyennant un franc qu’on donnera à ma bonne. Huit francs…. L’Amour e
portera à domicile, moyennant un franc qu’on donnera à ma bonne. Huit francs …. L’Amour et Psyché, d’après Gérard… C’est vu… en
main heureuse pour votre première visite, à vous le tableau pour huit francs . J’espère qu’un autre objet me couvrira de la per
Musard, qui m’a donné sa parole d’honneur. — Quel est le prix ? — 35 francs pour les agents de change, 15 francs pour les étr
nneur. — Quel est le prix ? — 35 francs pour les agents de change, 15 francs pour les étrangers, et 10 francs pour les amis. —
francs pour les agents de change, 15 francs pour les étrangers, et 10 francs pour les amis. — Voulez-vous me permettre de me c
SOIRÉE DANSANTE donnée par madame de longchamps. Prix d’entrée : 25 francs . On se réunira à 11 heures précises. Un prince g
uve d’or, en d’autres termes comment elle dévore un demi-sac de mille francs . La veille du jour ou le pactole, c’est-à-dire
pièce de crédit. C’est une pièce de monnaie presque toujours de cinq francs  ; quand elle est de vingt francs elle prend alors
de monnaie presque toujours de cinq francs ; quand elle est de vingt francs elle prend alors le nom de grande pièce de crédit
s. A l’aide de ce procédé, il y a des Lorettes qui ont dû jusqu’à 200  francs à leur porteur d’eau. Arrivons au budget. Pass
Félicité Denise, et que vous l’ayez prise en service à raison de 300  francs par an. Quand arrive le premier mois de gages, vo
riez bien gentil de placer quelque chose pour moi — Adrien, mettez 50  francs sur mon livret — Auguste, faites-moi un compte ro
. La Lorette va au bois en cabriolet à quatre roues, elle donne trois francs de prime au cocher quand il peut accrocher la voi
qui font plus de mal que celle-là. La Lorette devenue riche envoie 20  francs au préfet de son département pour l’extinction de
tez-moi donc de quoi renvoyer mon ver rongeur. La Lorette prend vingt francs sur la cheminée ; elle en soustrait un quart pour
4 (1921) Le Ballet de l’Opéra pp. 191-205
s Grâces dansent comme elle. Les étoiles touchent de 25 000 à 40 000  francs  ; Maury en avait 40 000. 2º Dix premiers sujets,
ses feld-maréchaux. » Les premiers sujets recevaient de 600 à 1 200  francs par mois. 3º Vingt-deux seconds sujets : 5 à 600 
e 600 à 1 200 francs par mois. 3º Vingt-deux seconds sujets : 5 à 600  francs par mois. On m’a cité un de ces seconds sujets qu
is. On m’a cité un de ces seconds sujets qui grignota huit cent mille francs en six mois. Et elle a des dents toutes petites !
e Pignatelli, comte d’Egmont, servait une pension de douze cent mille francs , l’amiral Mazaredo quatre cent mille ; à côté de
protecteurs actifs, un modeste amoureux platonique payait cent mille francs le privilège de s’asseoir auprès de l’étoile pend
lle sous les réverbères. 4º Trois divisions de coryphées à 350 et 300  francs par mois, comprenant chacune deux sections de six
externes, chaque fois qu’elles jouaient, recevaient un cachet de deux francs , les marcheuses de 30 à 50 francs par mois. C’est
aient, recevaient un cachet de deux francs, les marcheuses de 30 à 50  francs par mois. C’est ce menu fretin que Nestor Roquepl
l ces demoiselles recevaient une gratification exceptionnelle de cinq francs . Nombreuses étaient les demandes, nombreux les re
progressé, si bien qu’aujourd’hui chaque représentation coûte 40 580  francs , tandis que la recette moyenne de 1920 ne dépasse
0 francs, tandis que la recette moyenne de 1920 ne dépasse pas 25 000  francs . * * * C’est entre 1830 et 1870 que se place, pou
s trop ! — Comment ? — Il m’a payée en livres, j’aurais mieux aimé en francs . » * * * Le foyer de la danse avait eu un rôle a
5 (1834) L’Opéra. Paris ou Le Livre des Cent-et-un. tome XV « L’Opéra. » pp. 366-428
t Lulli, en 1712, les dettes de l’Opéra montaient à quatre cent mille fr. , que les cessionnaires du privilége furent obligé
rité de l’administration ; le fonds des pensions est fixé à dix mille francs  ; la pension était acquise après quinze années de
rvices et à l’administration : ce personnel coûtait par année 884,260  fr.  ; sur l’état du corps de ballets, on voit figurer
tat du corps de ballets, on voit figurer pour des appointemens de 800  fr. par an, mademoiselle Leverd, que nous avons admir
d : en 1807, le total des appointemens ne s’élevait plus qu’à 821,160  fr. En 1808, sous la direction de Picard, le chiffre
re cent cinquante-quatre individus, et celui des traitemens à 752,060  fr. Les feux, c’est-à-dire la gratification qui est a
plaudissemens. En 1810, les recettes de l’Opéra s’élevèrent à 660,327  fr.  ; l’Empereur dépensa pour ce spectacle 1,027,676 
vèrent à 660,327 fr. ; l’Empereur dépensa pour ce spectacle 1,027,676  fr. Il est vrai que l’Opéra marchait à la tête de ceu
l’Opéra n’avait reçu du Gouvernement, à titre de secours, que 150,000  fr.  ; ses recettes s’étaient élevées à 853,719 fr. — 
e secours, que 150,000 fr. ; ses recettes s’étaient élevées à 853,719  fr.  — Ensemble 1,003,719 fr. — Ses dépenses furent à
. ; ses recettes s’étaient élevées à 853,719 fr. — Ensemble 1,003,719  fr.  — Ses dépenses furent à 1,221,648 fr. — Il perdit
53,719 fr. — Ensemble 1,003,719 fr. — Ses dépenses furent à 1,221,648  fr.  — Il perdit 217,929 fr. Les chiffres forment une
003,719 fr. — Ses dépenses furent à 1,221,648 fr. — Il perdit 217,929  fr. Les chiffres forment une partie essentielle de l’
a Italien. Une subvention royale qui de 1824 à 1828 s’éleva à 750,000  fr. , qui en 1829 fut de 817,925 fr., et en 1830 de 82
qui de 1824 à 1828 s’éleva à 750,000 fr., qui en 1829 fut de 817,925  fr. , et en 1830 de 826,919 fr., non compris, bien ent
à 750,000 fr., qui en 1829 fut de 817,925 fr., et en 1830 de 826,919  fr. , non compris, bien entendu, la redevance des peti
s petits théâtres, qui s’élevait alors à une somme de deux cent mille francs par année ; une révolution musicale que Nourrit,
équentation des spectacles. En 1829, les dépenses furent de 1,770,103  fr.  ; en 1830, elles furent de 1,717,347 fr. La premi
dépenses furent de 1,770,103 fr. ; en 1830, elles furent de 1,717,347  fr. La première année offrit un bénéfice de 47,000 fr
urent de 1,717,347 fr. La première année offrit un bénéfice de 47,000  fr.  ; la seconde, un déficit de 143,711 fr. Le thermo
offrit un bénéfice de 47,000 fr. ; la seconde, un déficit de 143,711  fr. Le thermomètre des recettes de l’Opéra présente d
fort de la Terreur et de l’émigration, il offre un chiffre de 853,719  fr. , et en 1810, au moment le plus glorieux des conqu
ourait dans la capitale de l’Empire, le chiffre ne monte qu’à 660,327  fr. , dont 70,000 furent produits par les bals masqués
nt jamais été aussi richement rétribués : Mlle Taglioni reçoit 30,000  fr. par an ; Adolphe Nourrit et madame Cinti-Damoreau
an ; Adolphe Nourrit et madame Cinti-Damoreau reçoivent chacun 50,000  fr. Si quelqu’un était tenté d’accuser de parcimonie
e graduellement, jusqu’à ce qu’elle ait atteint le chiffre de 650,000  fr. C’est moins que n’a jamais donné la restauration 
e sait, et auquel l’Opéra coûta, en 1810, un million vingt-sept mille fr. La direction actuelle, pour les résultats qu’elle
de Mozart, de Weber et de Rossini, l’Opéra a dépensé plus de 100,000  fr. , et Paris a joui du plus beau spectacle du monde7
6 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1660 — Juillet : Ballets des comédiens espagnols à Paris — La Muse historique de Loret — Loret, lettre du 24 juillet 1660 »
nière, J’allai voir leur Pièce première, Donnant à leur Portier, tout Franc , La somme d’un bel écu blanc. Je n’entendis point
7 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 13 février : Le Ballet de Flore — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 9 mars 1669 »
Sexe aimant le doux, Et (dont il n’était pas en fête) Le jetait tout franc à la tête, Si qu’un Huissier en eut au Chef Fort
8 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VII » pp. 90-105
ie. — Un mardi raté. — Des Russes attendus. — Une recette de dix-sept francs cinquante. — Désespoir de Markouski. — Arrivée d’
de ces sept ou huit jeunes danseuses qui reçoivent un cachet de deux francs par nuit pour « ornementer » ces fêtes. Markouski
les. Deux heures allaient sonner, et la recette se montait à dix-sept francs cinquante. — Vous voyez, je lutte, disait Markous
9 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VI. Ballade des dames du temps jadis. » pp. 88-
trop ! — Comment ? — Il m’a payée en livres : j’aurais mieux aimé en francs . Mademoiselle Bigottini, qui était devenue milli
a Jeunesse de Henri V. La recette s’éleva à plus de vingt-cinq mille francs . Clotilde Mafleuroy Le temps était passé
-vingt-neuf. Regnauld de Saint-Jean d’Angély dépensait tout seul cent francs à son dîner, et le propre frère de César, —  Jérô
agnifique faisait à sa maîtresse un revenu annuel de douze cent mille francs . Cent mille francs par mois ! « Mais, — racont
a maîtresse un revenu annuel de douze cent mille francs. Cent mille francs par mois ! « Mais, — raconte Nestor Roqueplan, d
ouvent, par paresse, par générosité, de donner à son cordonnier mille francs d’une paire de souliers pour n’avoir pas à change
aider la danseuse dans ses charités, et augmenta de quatre cent mille francs son modeste revenu. A ces nouvelles largesses s’a
étalait sur l’estrade de ce lit et ne valait pas moins de douze mille francs . Le tapis de la chambre avait été payé — au Thibe
les meubles, les collections et les tableaux — estimé sept cent mille francs  !!! Eh bien ! au milieu de ce bain d’or, Danaë n’
que vous m’aimez ?… — Soit. — Mais m’aimez-vous autant que cent mille francs . Le lendemain le boyard se présenta devant elle,
t tout un fleuve d’or bouillonna sur le tapis. — Il y a là cent mille francs , murmura le vieillard. Mais l’insouciante fille,
10 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VII, un voyage en russie. — un contrat rompu » pp. 72-81
oyé n’acceptait pas mon billet de banque français. Ce billet de mille francs et un peu de monnaie constituaient tout mon avoir
nnaie constituaient tout mon avoir. Mon interprète s’empara des mille francs , me pris un ticket pour Berlin, puis disparut pou
mes costumes retenus en gage, tout près de deux cent cinquante mille francs . Pendant ma seconde saison aux Folies-Bergère, al
11 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XX, une expérience » pp. 222-231
de notre Ouest lointain. Bonne, énergique et gaie, c’était une femme franche , cordiale et sincère, et je me sentis aussitôt en
un télégramme ainsi libellé : « Seulement si vous déposez dix mille francs dans une banque de Vienne avant demain matin neuf
plus cruel qu’elle savait que je venais de perdre plus de cent mille francs du fait d’un directeur viennois qui avait rompu s
12 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre X. le coucher de l’astre  » pp. 365-413
tembre 1837 au 31 mai 1841, et les appointements s’élevaient à 10 000 francs , payables de mois en mois ; plus 250 francs de fe
ents s’élevaient à 10 000 francs, payables de mois en mois ; plus 250 francs de feux par chaque représentation, le directeur s
Paris ; plus encore trois mois de congé par an rachetables par 8 000 francs , plus enfin une représentation à bénéfice à l’exp
1841 jusqu’au 31 mai 1845, aux mêmes conditions, avec dédit de 60 000 francs  ; puis, le 12 décembre 1839, on régla les congés
ssions, l’actrice s’engageait à payer au directeur la somme de 60 000  fr. dans le cas où elle ne ferait pas acte de présenc
le avant le mois de mai 1841 ; que si M. Léon Pillet exige les 60 000 francs de dédit, il ne reste plus à Mlle Fanny qu’à envo
une demande en résiliation des engagements et en paiement des 60 000  fr. de dédit140. » Le procès, long et fastidieux, co
que s’il était passé devant notaire, sous peine de paiement de 60 000 francs à titre de dédit, exigible en totalité, à quelque
ugement précédent et la condamna par corps à payer le dédit de 60 000 francs . La sentence était dure pour Fanny Elssler. Non
fait payer d’avance sa part des recettes à effectuer, à savoir 1 500 francs par représentation. Léon Pillet n’eut pour se déd
it, en moins de quarante-huit heures, atteint un total de douze mille francs , et, pour cette somme, un bijoutier en renom avai
et sel russe et cordial, de notre amour, de notre hospitalité, de nos francs souhaits de bienvenue ». Le kalatche était en car
dieu tutélaire de sa famille. Elle souscrivit pour une somme de mille francs . Malgré sa passion pour le théâtre, aucune prière
13 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre VIII. Ressource unique des Danseurs modernes »
é. Vous vous flattez, si vous croyez arriver jamais à une gaieté plus franche , à une précision plus naturelle, que celles qui b
14 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « X, les étoiles d’aujourd’hui. » pp. 204-
nc ! Il est vrai qu’en ce temps-là, Rosita Mauri gagnait quatre cents francs par mois, — pour soutenir toute une famille, — ce
ôtel de Saragosse, rue Lafayette. On avait là, moyennant soixante-dix francs par mois, une grande chambre pour tout faire. Soi
dix francs par mois, une grande chambre pour tout faire. Soixante-dix francs  ! Une somme ! Si l’on songe que toutes les ressou
montrer inquiets sur l’avenir. On mit les petites à l’Opéra. A parler franc , Constance, l’aînée, n’avait de dispositions que
à l’écurie. Je sais qu’elle vient d’acheter une bicoque de cent mille francs pour y remiser la vieillesse de son papa. Je sais
15 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 13 février. Danses de Mlle Ellen Sinding et M. Iril Gadescow. »
eu mais qui me restent présents et agréables. Mlle Sinding a toute la franche ingénuité des vierges nordiques, leur élégance sa
16 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre XI. » pp. 67-69
nt petit. L’état des appointemens ne s’élevoit alors qu’à douze mille francs par mois. Ceux de quelques premiers sujets étoien
17 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre xvii » pp. 96-101
erdre de sa vigueur, de son brillant, de sa prestesse, ni de la gaité franche qu’exige le genre villageois. Elle fit les délice
tueuse ; c’est une belle Diane. Sa danse est fière, son exécution est franche , son genre est le sérieux, Mlle. Clotilde a de gr
18 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXI, choses d’amérique » pp. 232-249
cette voiture, tout à l’heure… N’est-ce pas un vrai vol ?… Vingt-cinq francs pour nous amener de la gare jusqu’ici !… Et quell
e menu que nous et sa note était de deux dollars et demi — soit douze francs cinquante — plus élevée que les nôtres. Ces douze
— soit douze francs cinquante — plus élevée que les nôtres. Ces douze francs cinquante représentaient le prix d’une bouteille
tarif était d’un dollar et demi l’heure. C’était donc soixante-quinze francs qu’il lui fallait débourser. Notre ami était pers
19 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre III. l’opéra de paris sous la direction véron  » pp. 97-128
ces considérables que complétaient une subvention annuelle de 750 000  fr. payée par la liste civile et une redevance d’envi
 000 fr. payée par la liste civile et une redevance d’environ 300 000 francs prélevée par l’Opéra sur les autres théâtres de P
rges et une subvention qui fut fixée pour la première année à 810 000 francs . L’esprit des affaires, l’esprit bourgeois, se su
e, pour mettre en vente le nouveau produit. Véron avait engagé 17 000 francs dans l’affaire ; elle finit par lui en rapporter
aux de la Juive. Pour monter cet ouvrage, Véron avait dépensé 150 000 francs , somme qui paraissait fantastique alors. Trente m
150 000 francs, somme qui paraissait fantastique alors. Trente mille francs furent affectés aux armures que l’on fit en métal
continuèrent, avec des recettes qui parfois atteignaient à peine 500 francs . Mais après cette période de vaches maigres, cell
20 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VII. Brelan d’astres » pp. 134-175
cœur, le sentiment de la reconnaissance : — Une recette de huit mille francs perdue ! Dix mille francs d’amende ! Voilà pourta
econnaissance : — Une recette de huit mille francs perdue ! Dix mille francs d’amende ! Voilà pourtant un bouquet de cent sous
 ! Voilà pourtant un bouquet de cent sous qui me coûte dix-huit mille francs  ! *** Le directeur prit sa revanche. L’engagement
Sa démarche auprès de Fanny. — Le portefeuille et les cinquante mille francs en billets de… loterie. — Départ pour l’Amérique.
is. M. Véron offrit aux sœurs Elssler un engagement de quarante mille francs par an. L’idée de paraître à l’Opéra et de change
uel s’amoncelaient, — montagne flamboyante, — pour près de cent mille francs de bijoux, de perles et de diamants… On fit circu
faiseur de tuyaux. Au lieu de reproches, reproches inutiles : — Cent francs de plus pour vous, lui dit M. Véron, si ce matin,
l, faites-moi rendre ma position, et voici cinquante billets de mille francs que je vous supplie d’accepter. Et il fit mine de
21 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1661 — 23 juillet : Le Ballet des Saisons — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 31 juillet 1661 »
eine-Mère, Gentilhomme brave et sincère, Qui, vers moi, débonnaire et franc , Me plaça sur son propre banc, Parmi de fort nobl
22 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — IV, comment je vins a paris » pp. 40-
qu’il touchait pour moi dix mille marks, soit douze mille cinq cents francs par mois. Et il ne m’avait donné que 1,500 francs
ze mille cinq cents francs par mois. Et il ne m’avait donné que 1,500  francs  !… Que devais-je faire ? Mes débuts à Berlin avai
23 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VIII. victoires et revers  » pp. 262-319
plus hautes que l’Opéra eût jamais atteintes jusque-là, fut de 35 784 francs , dont il resta pour la bénéficiaire, tous frais p
sta pour la bénéficiaire, tous frais payés, une somme nette de 32 815 francs . Une salle en délire mêlait à ses applaudissement
, la simplicité et la bonté. On fut vite rassuré, car on les retrouva franches , modestes et serviables. Elles allèrent sans frac
ar son goût pour les créations plastiques au profil pur, aux contours francs , par sa passion pour la réalité lumineuse. Un cla
onument à Molière. En cette circonstance, Mlle Mars avait donné mille francs . Son Altesse Royale n’en donna que cinq cents. Le
ations à bénéfice de l’année. Le total des locations s’éleva à 23 597 francs  ; les frais déduits, les deux sœurs touchèrent 18
à 23 597 francs ; les frais déduits, les deux sœurs touchèrent 18 467 francs . Le bénéfice de Nourrit, le 4 avril 1837, avait p
e Nourrit, le 4 avril 1837, avait produit une recette brute de 24 322 francs , celui de Lise Noblet, le 24 mars 1838, 22 236 fr
brute de 24 322 francs, celui de Lise Noblet, le 24 mars 1838, 22 236 francs , celui de Mme Damoreau-Cinti, le 19 avril 1838, 2
22 236 francs, celui de Mme Damoreau-Cinti, le 19 avril 1838, 24 804 francs . Sans doute on restait loin des 35 784 francs enc
e 19 avril 1838, 24 804 francs. Sans doute on restait loin des 35 784 francs encaissés le 22 avril 1837, à la soirée d’adieux
24 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 19 mars. Le cas des Sakharoff. »
vail obstiné et stérile de stylisation. Ces danses n’ont pas l’allure franche du grand art ; c’est là de l’art appliqué, du fig
25 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre III » pp. 27-43
e disait-elle en prenant sa prise, souviens-toi qu’on aime les biches franches , cela repose des femmes du monde. IV Mon am
a maîtresse de Finette a une centaine de clientes qui la payent douze francs par mois. Elle écrit quelque chose comme deux cen
26 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXIV, comment m. claretie m’a décidée à écrire ce livre » pp. 272-285
sée, et que sa note, mise à mon compte, s’élevait à près de six mille francs . Ensuite d’autres factures arrivèrent : teinturie
es Beaux-Arts me demanda si je ne pouvais pas lui rendre soixante-dix francs qu’il m’avait prêtés deux ans plus tôt, par l’ent
ût, et qui me réclamait dix livres sterling– soit deux cent cinquante francs  –qu’il m’avait prêtées, toujours par l’entremise
27 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 10 décembre « Le Festin de l’araignée ». »
syncopé lui échappent. Aussi se plaît-il, cet instrument, aux rythmes francs , marqués et symétriques, aux cantilènes distincte
28 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre VI. » pp. 56-71
attitude n’est ni svelte ni animée, sa tête n’annonce point une gaité franche , enfin cette statue est un marbre inanimé. Elle i
t vers la cheminée et on jettoit dans un vase d’argent son écu de six francs . Marcel avoit l’oreille line et sensible, et étoi
enuets dansés dans les grands bals parés lui étoient payés trois cens francs . L’histoire de la Traine, ou des longues queües a
29 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 29 mai. Pétrouchka. L’Après-midi d’un faune. Soleil de nuit. »
rtaine monotonie, quelques petits gestes souvent trop répétés — et le franc plaisir que donne cette musique limpide, saturée
30 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre II » pp. 10-20
aisir, et le bonheur. Pourroit-on se dispenser de nommer cette action franche et vive, danse naturelle, ou danse primitive ? Il
plus dans le tems ou un tableau d’Appelle étoit payé trois cens mille francs  ; où un grand Monarque écrivoit de sa main au cav
31 (1852) Tableau de Paris. Chapitre XII « [Chapitre XII. Extrait] » pp. 104-108
. Le chiffre des traitements des premiers ténors varie de 50 à 70,000  francs , et la somme de tous les appointements réunis dép
rancs, et la somme de tous les appointements réunis dépasse 1,100,000 francs . Il y a progrès… dans les appointements. L’Opéra
32 (1823) De l’art de la danse , considéré dans ses vrais rapports avec l’éducation de la jeunesse (3e éd.) « Introduction. » pp. -
iers exprimaient sans art, mais non pas toujours sans grâce, une joie franche et vive. Ensuite les règles s’établirent au son d
33 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre X » pp. 138-147
, et qui continue son commerce. Sa maison lui rapporte soixante mille francs par an, et lui en coûte trois mille. Le surplus e
34 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre II » pp. 16-26
VI C’était un rentier, sa fortune pouvait être de cinq à six mille francs de revenus. — On l’appelait le père Californie. —
35 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 26 juin. Lettre à Mlle ***, de l’Opéra. »
oins du monde. Eh bien, quelle délivrance, quelle robuste joie que ce franc jeté, que ce temps d’élévation exécuté dans toute
36 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre XIV. » pp. 77-82
cette représentation avoit valu à Mlle. Sallé plus de deux cens mille francs . Les Anglais, généreux d’ailleurs, ne le sont par
37 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre premier » pp. 6-15
réclamer, dans un beau mouvement de désintéressement, les vingt-cinq francs de prime. Mais c’est si vieux, tout cela, c’est s
38 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre XV. » pp. 83-88
llard et Pélin, ils formoient des pas de quatre délicieux ; une gaité franche et naïve, une expréssion vraie, adaptée au sentim
39 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VII. le diable boiteux  » pp. 220-261
iocres. Après avoir flotté, les premiers jours, aux environs de 4 000 francs , elles descendaient, à la 9e et à la 10e représen
descendaient, à la 9e et à la 10e représentation, au-dessous de 3 000 francs . Don Juan lui-même, un des grands insuccès de la
celui de Valentine, furent acclamés. Duponchel avait dépensé 160 000 francs pour monter les Huguenots. Malgré l’éclat de la m
e extasiée se pressait rue Le Peletier et « payait un tribut de 8 500 francs à la cachucha de Mlle Elssler113 ». Le Diable boi
rs de prince ! ! » Les vingt-six représentations rapportèrent 65 000 francs . C’était, pour le théâtre de Bordeaux, une recett
40 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre V. marie taglioni  » pp. 156-187
Rahel analyse les mouvements des jambes et préférerait des bonds bien francs à leurs flexions truquées. Les chevilles manquent
idement ses ressources. Ses appointements fixes qui étaient de 20 000 francs à l’Opéra, les feux, c’est-à-dire les cachets par
ce, dont l’une, celle du 22 avril 1837, donnait une recette de 35 784 francs , somme énorme, si l’on songe que la même année le
rrit, un artiste pourtant choyé du public, n’avait produit que 24 000 francs , les guinées, les roubles et les thalers ramassés
41 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 23 octobre. Valses. Chopin à l’opéra. — Le sang viennois. »
se de Mlle de Craponne ; très nettement croisés ses entrechats ; très franche la parabole de ses jetées dessus. Nous ignorons c
42 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre huitième. Danseur sérieux, danseur demi-caractère. Danseur comique » pp. 88-95
e aux plaisirs de la danse et à des jeux que partage, avec une gaieté franche , sa compagne chérie ou son amante, c’est offrir l
43 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 18 septembre. Je fais l’école buissonnière. »
voix, ce dialogue des mouvements avec les sons m’ont procuré le plus franc plaisir. Dans l’exécution, habile sans dénoter ch
44 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 6 novembre. Classicisme et exotisme. Une étoile parnassienne : Mlle Schwarz. — Djemil. — Un maître français. — Reprise de « Roméo ». »
scène. Et elle apporte à certaines de ses réalisations un humour très franc , une verve résolument plébéienne. Car c’est là un
45 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « XI. Le corps de ballet actuel. » pp. 228-269
omme d’argent déposa dans la layette un contrat de rente de six mille francs . L’existence retirée et calme d’un petite rentièr
s tapage ; un caractère qui nese livre pas. Opinion des camarades : —  Franche comme un jeton. Marie Stilb Il y a une do
ne mouche avait, dans l’une de ces collectes, récolté une centaine de francs  : — J’espère, lui dit une camarade, que tu vas me
46 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre IV » pp. 44-59
les femmes se font par chaque bal une petite rente de quinze à vingt francs . Cela paye les voitures et les gants. XIV E
47 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VI » pp. 76-89
’hui elle ne se ferait pas couper une mèche de cheveux pour dix mille francs . L’ami. — Mais alors toutes ces dames sont rich
48 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre II. Des Fêtes de la Cour de France, depuis 1560 jusqu’en l’année 1610 »
même office, la gorge découverte et les cheveux épars. Méz. Hist. de Fr. sur l’année 1577.
49 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — X. m. et mme camille flammarion  » pp. 108-
et le chef se décida à payer en mon lieu et place. On lui demanda 300  francs . Le prix lui parut exorbitant, et il n’osa pas ré
50 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVIII, comment j’ai découvert hanako » pp. 204-
yai aux compagnies de chemins de fer trois cent soixante-quinze mille francs de frais de transport, mais cela me coûtait encor
51 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « III. Éducation. » pp. 24-35
de lapin, wate proofs, mac-farlanes, « redingotes russes » à dix-neuf francs , — pacotilles, rossignols, occasions, liquidation
52 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre IX » pp. 120-137
tations et ses droits d’auteur, quelque chose comme sept à huit mille francs par an. De plus, il est là dans son milieu, dans
53 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre XI » pp. 148-166
ait sans façon y boire des petits verres de kirsch, qu’il payait cinq francs le verre. Il trinquait avec les machinistes, qui
54 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VIII. Ballerines étrangères. » pp. 176-189
était entouré d’une cravate de dentelles d’une valeur de douze mille francs . Amalia Ferraris. Quand, en quatre enjamb
55 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre I. Des Fêtes dont la Danse a été le fond à la Cour de France, depuis l’année 1610 jusqu’en l’année 1643 »
i IV joignait à un bon esprit une galanterie cavalière, et une gaieté franche . Tels parurent les Courtisans qui l’entouraient.
56 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IV. le ballet a l’opéra vers 1830  » pp. 129-155
seur de tuyaux. « Au lieu de reproches, reproches inutiles : — « Cent francs de plus pour vous, lui dit M. Véron, si ce matin,
e Louise. On en supposa beaucoup à Mlle Roland, qui avait pour 50 000 francs de diamants et à peine pour deux sous de talent.
57 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « V. Pastels après décès. » pp. 54-87
Cahusac ajoute : « C’est en vain qu’on chercherait un enjouement plus franc et une vivacité plus naturelle. » Alerte et fort
ar la plainte d’un officier général qui, ayant compté cinquante mille francs pour obtenir la décoration, n’avait rien reçu.
58 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IX. le voyag e en amérique  » pp. 320-364
sentations. Son bénéfice s’élevait, toutes dépenses payées, à 742 000 francs . Cette fortune avait été acquise avec huit ballet
gracieux, au profit d’œuvres de bienfaisance. Au taux de trois mille francs que lui rapportait en moyenne chaque soirée, c’ét
moyenne chaque soirée, c’était une recette de plus de soixante mille francs qu’elle abandonnait aux nécessiteux. Sa charité p
59 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVII, quelques philosophes » pp. 188-
es fois trente, ça dépend des jours. Il y en a où on se fait ses deux francs . Mais c’est rare, j’ai mon loyer à payer et trois
60 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « XII. Le foyer de la danse » pp. 270-287
emandé et une paire de boucles d’oreilles estimées quatre-vingt mille francs . *** Que dire, maintenant, des marcheuses ? On no
61 (1921) Salvatore Viganò pp. 167-190
ous dis que Viganò a eu ce succès. Par exemple on payait quatre mille francs par an les compositeurs de ballets ; lui a quaran
ancs par an les compositeurs de ballets ; lui a quarante-quatre mille francs pour 1819… Si Viganò trouve l’art d’écrire les ge
62 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre II. la dernière passion du chevalier frédéric de gentz  » pp. 37-96
Valaque lui donnait 6 000 ducats par an, c’est-à-dire plus de 60 000  fr. Une année même, en signe de satisfaction particul
de les plus considérées du Berlin de 1830. Rahel avait avec Gentz son franc parler ; elle ne se privait pas de gronder ou de
faiseur qui spéculait sur le goût du public pour le scandale ». 15. Fr. v. Gentz, Briefe an Pilat, hrsgb. von Mendelssohn
63 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre V. » pp. 37-55
existent plus, tels qu’ils étoient, et nous tracera avec des couleurs franches et un pinceau hardi, leurs vices, ou leurs vertus
64 (1845) Notice sur Giselle pp. 3-24
uliette et de toutes les belles amoureuses. — Mais à quoi pensent ces francs chasseurs ? se mettre à l’affût en un tel endroit
65 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Sixième lettre. Juste Odoard à Mlle de Nesmes, à Lyon. » pp. 433-445
xceptionnel, un être aérien, une merveille, un trésor, et offrir cent francs payés sur l’heure si mon maître voulait me céder
66 (1623) Apologie de la danse et la parfaite méthode de l’enseigner tant aux cavaliers qu’aux dames [graphies originales] « Methode povr les cavaliers. » pp. 25-51
er le genoüil, la pointe des pieds ouuerte en sorte que les mouuemens francs de toute timidité procedent de la hanche. Ceste f
67 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XX et dernière. » pp. 213-241
mouvemens, d’attitudes et de posilions dessinées par une joie pure et franche . La Saxe, la Prusse et la Pologne leur fourniront
68 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « Observations sur la construction d’une salle d’opéra. » pp. 3-32
eprésentations extraordinaires puissent s’élever à dix ou douze mille francs  ; au reste, c est la nature et le genre de specta
69 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre IX. » pp. 97-129
ux danseurs comiques. Ils doivent imiter cette simplicité, cette joye franche de la nature en belle humeur. Il n’est donc quest
70 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE IX. » pp. 195-260
e, les singes de la nature, & imiter cette simplicité, cette joie franche & cette expression sans Art qui regne au vill
71 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la musique moderne »
e juge ; et il prononça en faveur des Romains. Le P. Daniel, Hist. de Fr. tome I. p. 472. On voit par-là combien les Franç
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