nt en consultant la nature, je me bornerai à chercher dans celle de l’
homme
le principe inné des arts et des connaissances hu
s humaines. Oui, c’est dans la conformation, ou la construction de l’
homme
dans ses organes, et ses facultés intellectuelles
tude, ce que l’on nomme le centre de gravité ; ils préservent enfin l’
homme
des chûtes, et des accidens inévitables, dont il
a pantomime sans règle, de la musique, et de la mélodie sans étude. L’
homme
, condamné dès sa naissance à la peine et au trava
Il faut conclure d’après ces observations puisées dans la nature de l’
homme
, que la danse, et la musique privées de règles et
monde. La nécessité et le besoin furent deux sources fécondes, où les
hommes
puisèrent les prémiers principes des arts, et des
nation de sa longue léthargie, elle s’échauffa gradativement ; et les
hommes
apprirent dès cet instant à sentir et à apprécier
urnir des modèles parfaits dans tous les genres. Ce fut alors que les
hommes
devinrent imitateurs ; la marche régulière des as
musique par ce clair-obscur, qui est l’âme des beaux arts. Le premier
homme
qui fit un air, le composa sans règle et sans mes
habitants, et devint l’âme de leurs amusemens champêtres. Le premier
homme
qui eut l’idée heureuse d’adapter des paroles au
ffèrent l’imagination, excitérent l’industrie, et dévelopérent dans l’
homme
le germe de tous les talens. La sculpture dont le
une main industrieuse prit les formes, que l’idée, et la volonté de l’
homme
voulurent lui imprimer. La première tête qu’il pa
ltation et du geste, les Prothée, les Batyae, et les Pylade. Tous ces
hommes
célèbres, en étonnant leurs siècles reçurent les
louis par an, s’il vouloit y rester. Tout est bien changé ; mais ces
hommes
rares seront toujours nos maîtres, et nos modèles
avers les siècles, et ils seront en vénération, tant qu’il y aura des
hommes
qui cultiveront les arts, et les lettres. Il me s
e et la puissance ; et comme si un coup électrique eût animé tous les
hommes
, bientôt les arts et les sciences se montrèrent e
magnificence, ce fut dans cette ville si justement célébrée, que des
hommes
supérieurs exposèrent aux regards d’un peuple pas
mperceptible ; j’ai puisé toutes mes observations dans la nature de l’
homme
; je ne crois pas être tombé dans l’erreur ; si j
ondamner hautement. Je réponds en second lieu, que si la présence des
hommes
peut arrêter les actions extérieures dont on sent
le consentement intérieur qu’on leur donne, parce qu’on sait que les
hommes
ne voient pas ce qui se passe au-dedans. Et de qu
ui se passe au-dedans. Et de quoi peut servir d’être pur aux yeux des
hommes
, si on ne l’est pas aux yeux de Dieu qui sonde l
réponds en troisième lieu, qu’on ne sera pas toujours en présence des
hommes
: et n’est-il pas à craindre que les passions aya
alement de bas en haut] [à gauche] deux pas de menuet en avant pour l’
homme
[à droite] deux pas de menuet en avant pour la de
86. Troisieme Figure [Légende intérieure] [du centre vers le haut] L’
homme
un pas en arriere / Un de Coté en quittant la mai
i vous mets en presence Par cette Figure, elle vous represente que l’
homme
fait un pas de Menuet en arriere, pour laisser pa
ure Principal du Menuet [Légende intérieure] [du haut vers le bas] L’
homme
(2) deux pas du coté gauche .... deux pas en avan
er et quite la main........... [du centre vers la gauche] figure de l’
homme
en faisant le tour entier en tenant la main et la
gure. 89. [Légende intérieure] [du centre vers le haut] figure de l’
homme
en tenant la main gauche et faisant le tour entie
orsque vous tenez les deux mains, vous faites un tour ou deux, mais l’
homme
fait un pas de Menuet en arriere, en amenant à lu
our en ôter du même tems son chapeau : enfin le pas du Menuet fini, l’
homme
porte le pied droit à côté de la deuxiéme positio
par le charme de la figure, seront insuffisantes pour le succès, si l’
homme
qui possède ces qualités, n’est appellé par goût
des-Côtes. Je crois pouvoir avancer comme vérité incontestable, que l’
homme
apporte en naissant un germe précieux susceptible
dans toutes les créatures ne se développe pas également dans tous les
hommes
. Il est des terrains ingrats qui ne produisent qu
tentifs et laborieux les plus abondantes récoltés. Voilà l’image de l’
homme
en général, la variété de ses gouts, de ses incli
particulière de chaque portion de terre. Les facultés physiques de l’
homme
quelles qu’elles soient, ne se développent qu’à l
tionnent que par une application constante et un travail opiniâtre. L’
homme
employé dès sa naissance à la culture de la terre
et la souplesse si nécessaires aux mouvemens variés des bras. Voilà l’
homme
robuste et vigoureux, l’homme machine et routinie
aux mouvemens variés des bras. Voilà l’homme robuste et vigoureux, l’
homme
machine et routinier. Le moral à son tour ne peut
sent et deviennent incapables de glandes conceptions. Dans cet état l’
homme
s’éclipse ; il ne pense point ; il rumine. Mais a
eu de tant d’étres ineptes, on distingue, comme je vous l’ai dit, des
hommes
privilégiés, et particulièrement favorisés par la
acquièrent par la répétition des mouvemens une dexterité telle, qu’un
homme
habile dans un art n’est pas propre à passer subi
e de la Danse, définition qui en a été faite par les Philosophes. L’
Homme
a eu des sensations au premier moment qu’il a res
itive du sentiment, en a fait développer une seconde qui était dans l’
homme
, et c’est cette expression qu’on a nommée Danse.
eu, et dont la Nature elle-même est le principe. Dès qu’il y a eu des
hommes
, il y a eu sans doute des Chants et des Danses. S
la création du monde jusqu’à nous, et qu’il est vraisemblable que les
hommes
chanteront et danseront jusqu’à la destruction to
e mieux connue, l’Art des gestes. Quoiqu’ils soient tous naturels à l’
homme
, on a cependant trouvé des moyens, pour donner au
essions vives, fortes, et légères, dont elle était composée. Tous les
hommes
ont un penchant naturel à l’imitation, de là le p
nom de Héros, et dont l’orgueil ne voyait qu’en pitié tous les autres
hommes
, fixèrent leurs regards sur les Dieux, et ils les
s, d’ailleurs, la guerre était le seul chemin ouvert à la gloire. Les
hommes
qui se croyaient nés pour elle, devaient par cons
s. Les qualités de l’âme, l’amour de l’ordre, le désir du bonheur des
hommes
ont été depuis, les vertus plus précieuses des sa
Sur l’artiste Décorateur Décorateur, s. m. (Spectacle.)
homme
expérimenté dans le dessein, la peinture, la scul
orateur à l’opéra de Paris : on ne saurait choisir pour cet emploi un
homme
trop intelligent ; c’est là où le génie, l’expéri
ne sauraient manquer de paraître fort extraordinaires. On a cru qu’un
homme
devait être tout à fait hors de lui-même, pour po
uffisante pour éclaircir mon idée) de ce qui se passe dans l’âme de l’
homme
de génie, lorsque la raison, par une opération ra
meut, le ravit, et l’absorbe. Observez que je parle ici de l’âme d’un
homme
de génie ; parce que j’entends par le mot génie,
ici d’une opération froide et commune de la mémoire. Il n’est point d’
homme
à qui elle ne rappelle souvent les différents obj
ais empoisonné ; une éloquence noble et mâle, des accents dignes de l’
homme
, font retentir le barreau, nos tribunes, nos chai
up un grand tableau auquel rien ne manque, et qui paraît toujours à l’
homme
de génie, à qui il sert de modèle, bien supérieur
pourra désormais être poète excellent, sans cesser de passer pour un
homme
sage ; un musicien sera sublime, sans qu’il soit
u’il soit indispensablement réputé pour fou. On ne regardera plus les
hommes
les plus rares comme des individus presqu’inutile
ra-t-on un jour qu’ils peuvent penser, vivre, agir comme le reste des
hommes
. Ils auront alors plus d’encouragement à espérer,
la société, seront peut-être à la fin persuadés qu’un artiste, qu’un
homme
de lettres tiennent dans l’ordre des choses un ra
e froides copies retournées de mille petites façons différentes : les
hommes
disparaissent ; on ne trouve plus à leur place qu
été un enthousiasme véritable. Il y a donc de faux enthousiasmes. Un
homme
peut se croire des talents, du génie, et n’avoir
le rendre. Voyez Génie [Article non signé]. L’enthousiasme plonge les
hommes
privilégiés qui en sont susceptibles, dans un oub
a bien de la peine à détruire. Mais a-t-on vu encore quelque espèce d’
hommes
parfaite ? en trouve-t-on beaucoup qui portent un
un des moindres ouvrages de la raison ? Aussi lorsque vous verrez un
homme
de lettres, un peintre, un musicien souple, rampa
que nous pouvons produire et ce que nous avons appris. La raison d’un
homme
de génie décompose les différentes idées qu’elle
les peut combattre et détruire de la manière la plus victorieuse. Les
hommes
doués d’une organisation parfaite peuvent juger s
degré de chaleur, de supériorité et d’estime quelle mérite. D’autres
hommes
, et ils sont rares, étudient les arts sans les ex
teindre ce but commun à tous les arts, l’imitation de la nature ; ces
hommes
, dis-je, sont des juges intègres ; ils prononcent
du goût, ni mettre des bornes aux élans du génie, je citerai quelques
hommes
célébrés. Racine fit Athalie et les Plaideurs ; M
la plus enthousiaste, est celle qui le juge le mieux. J’abandonne à l’
homme
d’esprit et de goût qui a avancé cette opinion, l
a légèreté, avec la quelle nous avons jugé Hayden et Mozart. Ces deux
hommes
vraiment célèbres, méritent bien une petite lettr
es et les récompenses sont les ressorts les plus sûrs des actions des
hommes
. L’Artiste qu’on punit ou qu’on récompense à prop
ériorité que le génie et les talents doivent avoir dans l’opinion des
hommes
, sur la naissance, la fortune, et les dignités. C
guerrière. Le Roi de Prusse entraîné par ce penchant, si naturel aux
hommes
extraordinaires, pour les beaux-arts, les a appel
sa Capitale, et ils y fleurissent. Il a sur pied cent cinquante mille
hommes
, pour défendre ses droits, et toutes les Langues
ces médiocres. Il est vrai qu’il eut une manière à lui d’être méchant
homme
, et mauvais Roi.
doit pas s’appuyer sur une louange non méritée ; car il ne faut qu’un
homme
de bon sens, pour détromper cent personnes qu’ell
nt le mérite, savent adroitement se servir du penchant naturel qu’a l’
homme
d’être imitateur, de courir où il voit les autres
ponderazione dell’uomo. Sempre il peso. — Du centre de gravité de l’
homme
debout. Le poids de l’homme qui repose sur une ja
pre il peso. — Du centre de gravité de l’homme debout. Le poids de l’
homme
qui repose sur une jambe seule, se partagera en p
ule, se partagera en proportion égale sur le point qui le soutient. L’
homme
qui se meut, aura son centre de gravité sur le mi
. 77. Come nel saltare dell’uomo, ec. Quando l’uomo, ec. — Comment l’
homme
fait trois mouvements en sautant. Quand l’homme s
omo, ec. — Comment l’homme fait trois mouvements en sautant. Quand l’
homme
s’élance en haut, la tête est trois fois plus act
Avant-propos « Le chant, si naturel à l’
homme
, ne pouvant manquer de le séduire, lui a inspiré,
d’un sentiment, en a fait développer une seconde qui existait chez l’
homme
, à laquelle on a donné le nom de Danse ou de Ball
voit par là, que le chant et la danse ne sont pas moins naturels à l’
homme
que la voix et le geste, et que l’une et l’autre
que les instruments qui leur ont donné lieu. Depuis qu’il existe des
hommes
, il y a eu, sans doute, des chants et des danses
ansé depuis la création jusqu’à nous, et il est vraisemblable que les
hommes
chanteront et danseront jusqu’à la destruction to
ne cento [traduction] 5. » [6] « L’approbation et les suffrages des
hommes
qui se distinguent dans les arts, les seuls juges
arts, les seuls juges à considérer, doivent servir à perfectionner l’
homme
à talent, qui ne doit avoir que du mépris pour le
ls n’étaient jugés que par les savants. Il serait à souhaiter que les
hommes
à talent n’eussent pour juges que ceux dont l’opi
anseurs, parlent beaucoup de danse. » Je crois que les écrits de ces
hommes
, qui ont employé tant de veilles pour l’amour de
is on y ajouta un usage digne de la sagesse des Anciens Égyptiens. Un
homme
instruit en l’Art de contrefaire l’air, la démarc
t en l’Art de contrefaire l’air, la démarche, les manières des autres
hommes
, était choisi pour précéder le cercueil. Il prena
r, sous ces traits honorables, quand ils auraient cessé de vivre. Les
hommes
, indignes de ce nom, et nés pour le malheur de l’
dont la vie n’est qu’un adultère continuel ! C’est parce que le saint
homme
Job craignoit le danger et le mal qu’il y a dans
car comme le ver s’engendre dans les vêtemens, ainsi l’iniquité de l’
homme
vient de la femme ; c’est-à-dire comme le ver se
ieux faire sentir cette vérité, le Saint-Esprit ajoute (v. 14.) : Un
homme
qui vous fait du mal, vaut mieux qu’une femme qui
tte sentence si extraordinaire ? Elle signifie que la méchanceté d’un
homme
qui nous afflige est moins à craindre que les man
euse et bienfaisante. Pourquoi ? Parce que le mal que fait un méchant
homme
, peut servir à exercer la patience, et être par l
que les précautions et la retenue que le Saint-Esprit recommande aux
hommes
dans tous les endroits qui viennent d’être rappor
ard des femmes, sont également nécessaires aux femmes par rapport aux
hommes
, et leur sont par conséquent également recommandé
â audacior fiat ad crimina ? Cet ancien auteur ajoute : « L’ame de l’
homme
tendant naturellement au vice, et y tombant facil
e aux Colossiens. (c. 3, vv. 5 et 6.) Faites mourir les membres de l’
homme
terrestre qui est en vous, la fornication, l’impu
; puisque ce sont ces excès qui font tomber la colère de Dieu sur les
hommes
rebelles à la vérité. Bien loin que dans les dan
rité. Bien loin que dans les danses on fasse mourir les membres de l’
homme
terrestre, qui sont les passions et les vices, to
équente, lorsque j’y vais, que quelques artistes estimables, quelques
hommes
de lettres ou des amateurs dont j’admire l’esprit
, mais je connois votre indulgence. Vous pardonnerez le radotage d’un
homme
vieux comme Anacréon, et qui ne desire son esprit
sprit et ses graces, que pour célébrer vos charmes et vos vertus. Les
hommes
qui chérissent les arts, (et vous savez, Madame,
de voir et de comparer, ont appris à juger sainement. Cette classe d’
hommes
estimables est bien petite, je le sais ; mais ell
voit existé en Angleterre un Lord qui ne voyoit rien comme les autres
hommes
. Lorsque les prés et les arbres étaloient l’éclat
son mari est entrepreneur et fournisseur des armées. C’est un galant
homme
; pendant son absence, notre maîtresse s’amuse po
médiocre en tout genre dans la ligne des Zéros ; elle ne juge point l’
homme
sur la fécondité, mais sur la perfection de ses o
ne peuvent rien produire de beau. Nous avons dans ce premier art des
hommes
justement célèbres ; il ne seroit pas difficile d
tous les genres, déploient et mettent en évidence le génie des grands
hommes
; sans ces circonstances, il reste concentré et i
érieur, s’éteint, sans avoir pu briller un seul instant. Les grands
hommes
dans tous les genres ne doivent être employés qu’
ose, ce retour à la pudeur qui embellit la beauté même, inspirera aux
hommes
cette politesse, ces égards et ce respect qui reg
plus aimable, le plus galant et le plus intéressant de l’Europe. Les
hommes
peuvent se comparer à ces insectes, qui prennent
là, Madame, ce que les amateurs des arts m’ont dit ; voilà ce que les
hommes
les plus distingués par leur mérite et leurs mœur
si toutes les femmes vous ressembloient. Ce sont elles qui créent les
hommes
, qui les élévent, qui épurent leurs mœurs, qui co
civilité que de faire attendre celle qui doit danser avec vous. 61.
Homme
et Femme prest a faire la premier Reverence avant
ême ligne, le Cavalier tient la Demoiselle par la main ; la main de l’
homme
en dessous 5. & celle de la Demoiselle en des
dehors, la main paroît enveloppée dans les jupes. De cette attitude l’
homme
porte le pied droit a côté de soy, de même qu’il
son pied gauche aussi à côté d’elle 9. à la deuxiéme position. 63.
Homme
et Femme faisant la Reverence pour Dancer Ces d
s deux Figures icy sont pour exprimer la forme de cette reverence ; l’
homme
ayant porté son pied à la deuxiéme position, il p
rre. La plupart des successeurs d’Auguste méritèrent à peine le nom d’
hommes
. Rome, l’Italie dégénérèrent et déchurent. La dép
rs barbares. Je franchis cette Lacune immense, qui pour l’honneur des
hommes
devrait être effacée des Annales du monde, et qui
. Les plaisirs de l’esprit succédèrent à une galanterie Gothique. Les
hommes
furent instruits, ils devinrent polis, sociables,
Chapitre XII Sommaire. — La maladresse des
hommes
vis-à-vis des femmes. — Le Manuel des amoureux, l
Les petits malheurs qui arrivent aux gaudins, — et même aux autres
hommes
, — car les gandins sont du sexe masculin, — ont p
ls sont d’une maladresse sans égale. Je n’ai jamais rencontré un seul
homme
qui s’y soit pris d’une manière intelligente.
n’est pas rare de voir une brune faire elle-même une déclaration à l’
homme
qui lui plaît. Ne pas se fier à cela cependant. A
que. C’est la plus affreuse liaison qu’on puisse avoir dans la vie. L’
homme
assez tombé pour devenir l’amant d’un bas-bleu es
pourquoi les bandeaux ne le seraient-ils pas à un moment donné ? Les
hommes
ne sont pas si habiles qu’on ne puisse, au moyen
est à moitié prise. A partir de cette publication je souhaite que les
hommes
soient moins maladroits dans leurs façons d’assié
ce chapitre j’ai vaillamment déclaré n’avoir jamais rencontré un seul
homme
habile à parler aux dames. Je me suis trompée. J’
dre, pour corriger et conduire à la piété et à la justice, afin que l’
homme
de Dieu soit parfait et disposé à toutes sortes d
ntraire, le démon, tout opposé à Jésus-Christ, porte présentement les
hommes
à rire et à se divertir, en se réservant, par une
20.) Marie, conduisant le chœur des femmes, répétoit après celui des
hommes
: Chantons une hymne à la gloire du Seigneur, par
c une harmonie majestueuse les hymnes sacrées, après que les chœurs d’
hommes
les avoient entonnées ? Et combien, par conséquen
les contienne, et qu’elle les empêche de se répandre au-dehors. « Un
homme
touché de Dieu jusqu’au fond du cœur, dit un célè
omme lui, de l’infinie grandeur de Dieu et de l’extrême bassesse de l’
homme
? Quoi, au contraire, de plus capable de faire pe
conome infidèle autorise son infidélité ? Cet économe, en agissant en
homme
très-infidèle à son maître, a agi en même temps e
agissant en homme très-infidèle à son maître, a agi en même temps en
homme
très-prudent pour les affaires temporelles ; et c
antique du nouveau testament, dont le sujet est la réconciliation des
hommes
avec Dieu par Jésus-Christ ; et vous n’avez poin
oint du vin ; et vous dites : Il est possédé du démon. Le fils de l’
homme
est venu buvant et mangeant , et vous dites : C’
ls de l’homme est venu buvant et mangeant , et vous dites : C’est un
homme
de bonne chère et qui aime à boire. C’est avec r
de toutes ses forces. Cependant, lorsque ces choses se faisoient, les
hommes
n’étoient point avec les femmes… Or, maintenant f
les plus folles et les plus indécentes sont les mieux reçues. Là, les
hommes
n’étoient point avec les femmes, il n’y avoit poi
ert le chemin pour y répondre qu’en général tout ce qui intéresse les
hommes
dans des inclinations vicieuses, est proscrit ave
Chœurs de Musique entretenus des fonds publics, on voyait un jour les
hommes
déjà faits41 former des Danses légères. Ils étaie
disait : Nous avons été jadis Jeunes, vaillants et hardis. Celle des
hommes
suivait après, qui disait : Nous le sommes mainte
use ; afin, répondit-il, que faisant les mêmes exercices que font les
hommes
, elles n’eussent rien moins qu’eux, ni quant à la
i commandiez à vos maris : aussi n’y a-t-il que nous qui portions des
hommes
… Et était en ce temps-là l’honnêteté et la pudici
autre pour leur diverse éducation, et combien plus peut, à rendre les
hommes
vertueux la nourriture que non pas la Nature. » P
hylle On trouve dans le caractère particulier de chacun de ces deux
hommes
célèbres la cause première de la diversité de leu
ait été le Général, à l’Empereur lui-même, comme s’il n’eût été qu’un
homme
. Il eut des admirateurs, des partisans, des entho
effrayèrent plusieurs, et les révoltèrent tous. Tant qu’on verra des
hommes
supérieurs dans leur Art, qui fixeront sur eux l’
s les siècles. Ainsi lors qu’une continuité de grands succès élève un
homme
à talents au-dessus de tous ses Contemporains : q
à ses entours ne balancent plus son mérite ; on cherche alors quelque
homme
nouveau pour l’opposer à l’ancien. On le désigne
t ne leur ont pas encore procuré la facilité de la suivre. La foule d’
hommes
bornés qui fréquentent nos Spectacles ne sauraien
démêler, que j’écris ce Chapitre. Je ne l’adresse pas non plus, à ces
hommes
médiocres, qu’il est si difficile de persuader et
tous les Spectateurs. L’Aréopage frémit d’horreur et d’épouvante. Des
hommes
vieillis dans le métier des armes tremblèrent : l
Thémistocle était un héros, que Socrate fut le plus sage de tous les
hommes
; et c’était au temps de ces Grecs fameux, sur ce
es fureurs d’Ajax79, ou les tendres douleurs d’Hécube80. Et sur quels
hommes
ces vives impressions étaient-elles produites ? i
d’un sentiment qu’elle a profondément gravé dans le cœur de tous les
hommes
. Ils sortaient à peine des mains du Créateur la v
connaissance pour leurs cœurs. Il est donc très vraisemblable que les
hommes
chantèrent d’abord les bienfaits de Dieu, et ils
les Arts, comme de toutes les Sociétés qui se sont formées entre les
hommes
. Il faut, pour les bien connaître, remonter aux c
t aveuglément l’impulsion du ressort qui la fait mouvoir, et tous les
hommes
en général, qui, dans les Arts dont ils s’occupen
fallait attendre que le temps eût réuni les différentes opinions des
hommes
sur ce qui leur plaisait, pour pouvoir enseigner
ui fournit autant de moyens d’expression qu’il y a de passions dans l’
homme
. Autant de tableaux qu’il y a dans la nature de m
’étude constante de la nature. Il saisit alors le pinceau. Les grands
hommes
renaissent, les événements mémorables se retracen
ux qu’avec ses livres. Il rit, joue, et badine dans le monde avec les
hommes
… Un flot nous entraîne. Je vous suis… Quelle atte
. Ce Poète devint bientôt célèbre dans ce genre ; mais le P… de P***,
homme
fort aimable, et fait en tout pour la bonne compa
is de la sienne. L’Auteur est discuté publiquement et à la rigueur. L’
homme
du monde qui travaille, dit-on, pour son plaisir,
ours les mêmes choses. On aspirait au plaisir d’être dédommagé par un
homme
neuf, des rhapsodies d’un Auteur usé. Ce discours
lible, le P… de P*** comme la ressource unique, et Benserade comme un
homme
médiocre, sans goût, sans imagination et presque
beaucoup de patience, un grand fond de fermeté, la certitude que les
hommes
ne sont pas toujours injustes, le secours du temp
dont vous auriez tôt ou tard fixé l’admiration, et qui vous méprise.
Hommes
privilégiés par la nature, aimez-vous mutuellemen
esoin et la nécessité peuvent être regardés comme deux sources où les
hommes
puisèrent leur industrie, leurs connoissances et
es idées, Bientôt le génie s’empressa de couronner ses efforts ; et l’
homme
brut dans son état primitif, parvint à éclairer s
esclaves, que la force avoit enrolés pour les dévouer au carnage. Des
hommes
intelligens, peut-être un pâtre, dont la cornemus
e leur pays. Le calme bien rétabli, le goût des plaisirs, naturel à l’
homme
; l’amour, sa première passion ; la richesse, qui
pour apercevoir les artisans de cette joyeuse harmonie. C’étaient un
homme
et une femme qui passaient. L’homme jouait de l’a
te joyeuse harmonie. C’étaient un homme et une femme qui passaient. L’
homme
jouait de l’accordéon tout en marchant à petits p
de ceux qui la produisaient que je hélai le couple. Je voulais que l’
homme
jouât dans le jardin, derrière la maison, pour qu
Je les fis asseoir sous un arbre, auprès du fauteuil de ma mère, et l’
homme
joua de l’accordéon jusqu’au moment où l’on vint
ù l’on vint nous avertir que le déjeuner était servi. Je demandai à l’
homme
et à la femme s’ils avaient mangé. Quand je décou
geraient notre repas. Nous eûmes, à table, une longue conversation. L’
homme
avait toujours été aveugle. Je lui demandai s’il
Je m’attendais à des remerciements passionnés et à des dithyrambes. L’
homme
dit seulement : — On vous remercie bien, ma bonne
musique. Après quatre ans, ils disparurent. Je ne les revis jamais. L’
homme
, que j’avais vu souffrant, devait être mort, et l
ule. *** A Marseille, un jour, je vis un autre aveugle, un très vieil
homme
, assis sur un pliant, contre un mur. Auprès de lu
— Et quel âge avez-vous donc ? — Quatre-vingts ans, madame. Ce vieil
homme
avait une longue marche à fournir pour regagner s
Il est rare, Monsieur, pour ne pas dire impossible de trouver des
hommes
exactement bien faits ; & par cette raison, i
nts, de Danseurs ou de Baladins détestables ; que sai-je, Monsieur, d’
hommes
insupportables dans tous les genres. Ces mêmes ho
je, Monsieur, d’hommes insupportables dans tous les genres. Ces mêmes
hommes
placés où ils devoient être auroient été utiles à
plus léger leur feroit découvrir ; or dès qu’ils ignorent ce que tout
homme
qui a quelques lumieres est en droit de leur repr
és sur aucuns principes raisonnés & suivis ; ils dansent moins en
hommes
qu’en machines ; l’arrangement disproportionné de
ns-nous très-peu de Danseurs qui en soient exempts. Nous disons qu’un
homme
est jarreté, lorsque ses hanches sont étroites &a
; vigoureux sont gros & nerveux. On pense assez communément qu’un
homme
gros & trapu doit être lourd ; ce principe es
e la Danse, car la légéreté ne naît que de la force des muscles. Tout
homme
qui n’en sera aidé que foiblement, tombera toujou
premier est arqué ; il a tiré de ce défaut un avantage qui annonce l’
homme
habile ; il est tendu, il est en dehors, il est v
se habitude & aux jupes, elles paroissent plus brillantes que les
hommes
, parce que, comme je l’ai dit, ne battant que du
ur égale maintenant. J’exploite ma réputation ; que les prudes et les
hommes
graves s’en prennent à mes apologistes, qui ont c
’ait pas encore voulu faire ma connaissance, il m’a toujours plu, cet
homme
-là. Il élève la voix, je lève la jambe : nous som
m’avoir fait maudire par ma famille ! D’introduire dans mon récit un
homme
de la campagne — le roi de pique — lequel m’aurai
la quatrième ligne… et vous aussi. V Pourtant, voyez comme les
hommes
sont bizarres, il en est très-peu qui ne se laiss
onc faire, lui ai-je dit ; il ne comprend pas ce qu’il dit, c’ pauvr’
homme
!
penses, les distinctions et les honneurs excitèrent l’émulation ; les
hommes
célèbres dans tous les genres parurent en foule d
magnificence, et de prodigalité, n’est-il pas douloureux de voir des
hommes
, d’une sublimité rare, délaissés, abandonnés, et
étoit déclarée si hautement la protectrice. Là, je vois Périclès, cet
homme
, qui, par son éloquence, sa sagesse, et ses vertu
iva pendant quarante ans l’amour des Athéniens ; je vois, dis-je, cet
homme
aussi illustre dans la paix que dans la guerre, à
caractère familière aux Athéniens, ils élevèrent une statue à ce même
homme
, qu’ils avoient empoisonné. Je suis, etc.
le rêve de la poésie commence. Faut-il l’avouer ? L’amour, tel que l’
homme
l’a conçu, le cœur, la charité, la musique, l’art
enfin, Dieu sensible au cœur, voilà ce que l’art des sons propose à l’
homme
. Ces divins propos ou ces fantômes n’ont plus de
ique va bientôt aussi ne peindre que par des gestes les ridicules des
hommes
. Rappellez-vous, s’il est possible, le Philosophe
tant. On oublie qu’elle pourrait peindre les vices, les ridicules des
hommes
, ainsi que la Comédie. On compose des Pantomimes
gestes ; que la Pantomime n’était pas le talent « de faire agir des
hommes
sur la Scène », & d’imaginer des changemens s
r d’intrigue, d’actions, la rendre un tableau mouvant de la folie des
hommes
, « c’est le caractère distinctif des grands Maîtr
imens qui s’échappent de l’âme, que les gestes expriment, & que l’
homme
médiocre ne rencontre jamais : voilà le talent ra
mp; mettent à l’instant le Spectateur au fait, elles sont l’ouvrage d’
hommes
de goût, qui sentent, qui réfléchissent. Jugez pa
ent d’une foule de gens qui ont la faiblesse d’esprit de me croire un
homme
ordinaire », & qui ôsent me disputer les laur
Auteur « que l’on n’a jamais vu. Quoi ! faudra-t-il toujours dire aux
hommes
: Ne haïssez jamais celui qui ne vous est pas con
En dépit de ces Censeurs sévères, je ne me trouve pas moins un habile
homme
. « Les désagrémens attachés aux arts de l’esprit,
long-temps que l’Envie s’est apperçue qu’il valait mieux calomnier l’
homme
que l’Ouvrage, parce que l’Ouvrage est sous les y
uvrage, parce que l’Ouvrage est sous les yeux du Lecteur, & que l’
homme
n’y est pas. Mais s’il peut se dire à lui-même qu
’adouciront point la haîne ; on ne l’a pas espéré : mais aux yeux des
hommes
sages & désintéressés, qui y reconnaîtront le
Il est rare, Monsieur, pour ne pas dire impossible, de trouver des
hommes
exactement bienfaits ; et par cette raison, il es
ans, de danseurs et de baladins détestables, que sais-je, Monsieur, d’
hommes
insupportables dans tous les genres. Ces mêmes ho
je, Monsieur, d’hommes insupportables dans tous les genres. Ces mêmes
hommes
placés où il devroient être, auroient été utiles
plus léger leur feroit découvrir : or, dèsqu’ils ignorent ce que tout
homme
qui a quelques lumières est en droit de leur repr
ns nous très-peu de danseurs qui en soient exempts. Nous disons qu’un
homme
est jarreté, lorsque ses hanches sont étroites et
plus vigoureux sont gros et nerveux. On pense assez communément qu’un
homme
gros et trapu doit être lourd : ce principe est v
la danse ; car la légèreté ne naît que de la force des muscles. Tout
homme
qui n’en sera aidé que foiblement, tombera toujou
vaise habitude et aux jupes, elles paroissent plus brillantes que les
hommes
, parce que, comme je l’ai dit, ne battant que du
monter aux causes de ces jouissances, c’est assez pour le plupart des
hommes
; mais analyser les jouissances, est le fait de l
s Philosophes : objet des Législateurs relativement à la Danse. Les
hommes
communs ne considèrent dans les plaisirs que le p
pour sa propre gloire, et pour le bonheur du reste de l’humanité. Ces
hommes
supérieurs à l’espèce ordinaire, examinent, compa
l’impétuosité de la colère, et des transports rapides de la joie. « L’
homme
, dit un ancien philosophe, a un sens capable d’or
s sauts et des mouvemens, mesurés de façons diverses, en assemblées d’
hommes
et de femmes, au son de choses vaines et profanes
léger, remuant, sans arrêt ; ce qui ne peut convenir à l’honneur de l’
homme
chrétien… Quant à ce que de telles démarches se f
u’en la tête ; et nous disons que pour cela la folie et la vanité des
hommes
se montrent bien plus grandes… Avoir mis cette va
a parole de Dieu nous recommande, non pas de garder mesure à rendre l’
homme
vain en une danse, et cependant en toutes ses act
ls ne devroient cependant jamais perdre de vue : c’est que, « quand l’
homme
fidèle use de la récréation, ce n’est pas tant po
insistent comme étant le comble du mal dans les danses, c’est que les
hommes
et les femmes s’y trouvent ensemble pour s’y donn
pareilles circonstances la femme est un objet de concupiscence pour l’
homme
, et l’homme pour la femme, la matière de l’inflam
rconstances la femme est un objet de concupiscence pour l’homme, et l’
homme
pour la femme, la matière de l’inflammation est d
sans inconvénient. Non pas toutefois qu’il ne soit jamais permis aux
hommes
et aux femmes de se trouver ensemble ; mais seule
cela encore, et en de telles assemblées, il y a des privautés entre l’
homme
et la femme, tout est perdu… En quelque part que
ainsi punie. » chapitre X. Et en effet, si la seule rencontre de l’
homme
avec la femme peut par le moyen des regards « all
20. tom. 1, pag. 308 et 309.) « Il y a quelque espérance, lorsque les
hommes
respectent les règles, quoiqu’ils ne les suivent
l’esprit et du cœur ; et la Religion ne peut plus subsister parmi des
hommes
qui en sont ennemis et par leurs actions et par l
et souvent même parmi ceux qui paroissent avoir renoncé à la vie des
hommes
du siècle. Ceux qui conservent une lumière plus p
apitre VI. De la Danse des Funérailles. Comme la Nature a donné à l’
homme
des gestes relatifs à toutes ses différentes sens
vanité des survivants. L’orgueil est à peu près le même dans tous les
hommes
: les nuances qu’on croit y apercevoir sont peut-
plesse dans l’esprit, qu’on nomma douceur de caractère. C’est sur cet
homme
que les ennemis de Pylade jetèrent les yeux, d’ab
toujours la première fortune des gens à talents. Pylade supportait en
homme
ferme cette disgrâce. Hylas en jouit en jeune éto
tantôt fixes sur la terre, tantôt tournés vers le ciel, peignaient un
homme
occupé des plus grandes choses, qu’il voyait, qu’
ssance profonde des moyens qui servent à le développer avec sûreté. L’
homme
rare qui réunit la théorie et le talent, s’élève,
t le talent, s’élève, avec les ailes de l’Aigle, jusqu’au sublime ; l’
homme
commun qui les confond ou qui les sépare, manque
étoit en bonne intelligence avec le prélat, et dont le chef étoit un
homme
de bien, ayant été informé de cette contravention
uestion : Peut-être n’y a-t-il pas de mal, ou y en a-t-il peu que les
hommes
dansent avec des femmes ? Et voici sa réponse : «
cation sont un mal, je ne vois pas comment ce n’en est pas un que des
hommes
dansent avec des femmes, la danse pouvant facilem
blées de danses, et comme ils sont appliqués à jeter dans le cœur des
hommes
à l’égard des femmes, et des filles à l’égard des
le cœur des hommes à l’égard des femmes, et des filles à l’égard des
hommes
, les étincelles ou plutôt les flammes de l’amour
lée de larmes, et comme dans une prison, et que de quelque côté que l’
homme
se tourne il ne voit autour de lui que des sujets
de ces plaisirs mondains et des plus dangereux, que la fragilité des
hommes
est telle, que les danses deviennent le principe
En rapportant le sentiment de plusieurs saints et de plusieurs grands
hommes
, qui, à l’envi les uns des autres ont condamné le
qui ne peut que déplaire à des yeux chastes, et qui est indigne d’un
homme
sensé, inane spectaculum, honestis invisum oculi
il n’y a point d’instrumens, et que vous y voyiez des femmes, et des
hommes
encore plus efféminés que les femmes, faire en si
ant que s’il pouvoit alléguer contre les danses l’autorité de quelque
homme
du monde, en réputation par son esprit et ses écr
s consciences, qu’ils n’y allassent jamais. » Il est beau de voir un
homme
du monde et d’un si rare génie, donner ici des le
n de rigorisme ceux qui tiennent ferme pour ne pas permettre ce qu’un
homme
instruit par sa propre expérience, plus que par l
es, et sur les gens qui les exercent. Le moyen de faire entendre à un
homme
insensible, qu’il doit être ému, ou à un homme qu
de faire entendre à un homme insensible, qu’il doit être ému, ou à un
homme
qui est dans un accès de frénésie, qu’il devrait
, comme une imitation par les gestes, des actions et des passions des
hommes
. Portée au Théâtre, elle y reçut plusieurs accroi
le soir, j’agitais dans le rayonnement de mes projecteurs. Soudain un
homme
, grand et fort, orné en outre d’une lourde chaîne
tout interdites, nous demanda ce qui s’était passé. Je lui désignai l’
homme
à la chaîne qui nous dominait de toute sa hauteur
tous les animaux émirent des sons différents. L’harmonie existait, l’
homme
, classant et cataloguant les sons, créa la musiqu
musique. On sait ce qu’il a su en tirer depuis !… Or, aujourd’hui, l’
homme
, passé maître sur le terrain musical, en est enco
de la nature qui se composent et se décomposent. Un jour viendra où l’
homme
saura les employer de si précieuse façon pour des
nous prouve le résultat naturel des causes qui ont d’abord poussé les
hommes
à danser. Maintenant ces causes sont oubliées et
C’est ainsi que la matière subit la force de la cause immatérielle. L’
homme
civilisé et bien trempé, seul, résiste le mieux à
t va d’exaltation en exaltation. Il ne voit, il ne parle que du grand
homme
, et il en parle avec le délire de l’enthousiasme
besoin. Ce n’est point avec une plume foible que l’on ose écrire à l’
homme
qui dispose, a son gré, de celle du goût et du gé
ur les premiers acteurs ; il étoit orné des bustes de tous les grands
hommes
de l’Angleterre : un autre étoit destiné aux seco
chir, Si la mort n’eût, pas enlevé Roubillard, sculpteur français, et
homme
de mérite, il lui auroit fait, exécuter votre bus
ésentations que lui fit un grand personnage, il répondit : les grands
hommes
ont l’univers pour patrie. Il ne voyait les acteu
t souvent vingt voitures à sa porte. Cette société étoit composée des
hommes
les plus instruits de la cour, des savans, des ge
ons, qui par leurs beautés, placent cet auteur célèbre au dessus de l’
homme
, et l’élevent dans les régions célestes de l’immo
er tomber de sa plume sur tout ce qu’elle écrit. J’ose espérer, que l’
homme
, (ou le génie) qui a autant de réputations différ
st organique. Et plus elle est infaillible, plus elle est monotone. L’
homme
commun n’a pas encore compris le sens de la nuanc
dre harmonieux. Elle aussi est fondée sur la nécessité organique de l’
homme
. Mais cette ordonnance n’est pas la seule ; il n’
les suprêmes élégances de l’entrechat, et le pathétique triomphe de l’
homme
enlevant la danseuse, érigeant de sa droite tendu
synthèse de l’énergie, de la vigueur, de l’impérieuse domination de l’
homme
et de la ductilité, de l’abandon, de l’impondérab
ention acrobatique. Quinault fait triompher le goût français. De tels
hommes
sont faits pour rendre à la danse classique, art
rle le mouvement gauche ou guindé, toujours amoindri et incertain des
hommes
en veston et des hommes en chiton, toute cette mi
ou guindé, toujours amoindri et incertain des hommes en veston et des
hommes
en chiton, toute cette misère plastique, tout ce
. Et c’est dans le principe même de notre art prétendu périmé que cet
homme
d’aujourd’hui a pu trouver la confirmation de ses
Chapitre II Sommaire. — La curiosité des
hommes
. — Ce qui m’a fait quitter le sentier de la vertu
e nouvelle manière d’effeuiller les marguerites. — Chut ! I Les
hommes
ont une manie bien désagréable, ils sont curieux
ur que la clef ne fût pas dans la serrure. — La porte s’ouvrit, et un
homme
portant sous son bras un objet enveloppé d’une se
n bras un objet enveloppé d’une serge verte apparut sur le seuil. Cet
homme
, c’était M. Prosper. M. Prosper était mon voisin,
aient une injustice, qui allait jusqu’à la tyrannie, dans l’exil d’un
homme
public, qui était devenu nécessaire aux plaisirs
terre. Que de ressources heureuses n’a-t-on pas dans la frivolité des
hommes
, pour leur faire adorer même le joug qu’on leur i
son règne, que parce que l’habitude de régner et la connaissance des
hommes
, la lui avaient rendue légère. 62. Je ne crois
l n’en est point qui n’accorde à Auguste la connaissance profonde des
hommes
, et de l’art de les gouverner. Le plan, dont je p
de savoir choisir ; la gloire d’un règne dépend presque toujours d’un
homme
mis à sa place, ou d’un homme oublié. Les ballets
d’un règne dépend presque toujours d’un homme mis à sa place, ou d’un
homme
oublié. Les ballets représentés en France jusqu’e
ns le Père Ménestrier, qui en a fait un savant traité, et qui était l’
homme
de l’Europe le plus profond sur cette matière. (B
: c’est ce qu’on a nommé geste. Voyez Geste. Le chant si naturel à l’
homme
, en se développant, a inspiré aux autres hommes q
e chant si naturel à l’homme, en se développant, a inspiré aux autres
hommes
qui en ont été frappés, des gestes relatifs aux d
oyez Chant) a fait développer une seconde expression qui était dans l’
homme
qu’on a nommée danse. Et voilà ses deux principes
uments de deux arts auxquels ils ont donné lieu. Dès qu’il y a eu des
hommes
, il y a eu sans doute des chants et des danses ;
ansé depuis la création jusqu’à nous, et il est vraisemblable que les
hommes
chanteront et danseront jusqu’à la destruction to
d’un sentiment qui semble gravé profondément dans le cœur de tous les
hommes
. Dans les premiers temps où ils sortaient à peine
rême, et des motifs touchants de reconnaissance pour leurs cœurs. Les
hommes
chantèrent donc d’abord les louanges et les bienf
rd l’exemple des Grecs jusqu’au règne d’Auguste ; il parut alors deux
hommes
extraordinaires qui créèrent un nouveau genre, et
des actions gaies, vives et badines. La nature avait donné à ces deux
hommes
le génie et les qualités extérieures ; l’applicat
qu’Auguste accorda à leurs théâtres et à leurs compositions. Ces deux
hommes
rares ne furent point remplacés ; leur art ne fut
iption qui en parut étonna l’Europe, et piqua l’émulation de quelques
hommes
à talents, qui profitèrent de ces nouvelles lumiè
t sa sœur rassemblèrent deux grands chœurs de musique, l’un composé d’
hommes
, l’autre de femmes, qui chantèrent et dansèrent u
ieu à son tour entraîné par le penchant de l’imitation si naturel à l’
homme
, se rappela après sa sortie de l’Egypte les cérém
s la sainte paix des Chrétiens. Il se forma alors des congrégations d’
hommes
et de femmes, qui à l’exemple des Thérapeutes se
s en l’honneur d’un Dieu mort sur une croix pour le salut de tous les
hommes
, d’un Dieu ressuscité le troisième jour pour cons
es abus qui naissent toujours de la faiblesse et de la bizarrerie des
hommes
, dégénéra après les premiers temps de zèle en des
ns vu, aux mouvements de joie et de reconnaissance qu’inspirèrent aux
hommes
les bienfaits récents du Créateur, donna dans les
ité la plus reculée. Le plaisir a toujours été l’objet des désirs des
hommes
; il s’est modifié de mille manières différentes,
funérailles Danse des funérailles. « Comme la nature a donné à l’
homme
des gestes relatifs à toutes ses différentes sens
anité des survivants : l’orgueil est à peu près le même dans tous les
hommes
; les nuances qu’on croit y apercevoir sont peut-
presse de Lycurgue. Cette danse était composée de deux chœurs, l’un d’
hommes
faits, l’autre d’enfants : ils dansaient nus, en
es et des Lapithes : les différents mouvements de ces monstres moitié
hommes
et moitié chevaux, qu’il était nécessaire de rend
is on y ajouta un usage digne de la sagesse des anciens Egyptiens. Un
homme
instruit en l’art de contrefaire l’air, la démarc
t en l’art de contrefaire l’air, la démarche, les manières des autres
hommes
, était choisi pour précéder le cercueil ; il pren
our sous ces traits honorables quand ils auraient cessé de vivre. Les
hommes
indignes de ce nom, et nés pour le malheur de l’e
uvre ; les récompenses et les distinctions excitèrent l’émulation des
hommes
de génie, enfin ils firent pour Florence ce que l
mma leur imagination, et le succès couronna leurs efforts. Les grands
hommes
parûrent dans tous les genres ; la nature sembla
a France donna le ton à l’Europe, et son exemple enfanta par tout des
hommes
célèbres, que leur mérite naturalisoit, et qui av
aux arts. Toutes ces merveilles avoient été préparées par deux grands
hommes
, Richelieu et Mazari. Ils furent les précurseurs
liant tout à la fois les rangs, et les titres, elle nous montrera les
hommes
qui n’existent plus, tels qu’ils étoient, et nous
sa naissance. On ne peut se refuser à regarder l’Abbé Perrin comme un
homme
qui eut assez de génie pour entrer dans les vües
r le commerce, d’aiguilloner l’industrie, et d’honorer l’agriculture.
Homme
en place et honnête homme, il ne détournoit jamai
on fut agréée. Il obtint encore celle d’attirer en France deux grands
hommes
capables d’étendre le cercle alors étroit des sci
le bonheur du peuple, et l’illustration des sciences et des arts. Cet
homme
rare et d’un mérite extraordinaire eût des envieu
ur, la calomnie, la jalousie et toutes les passions qui dégradent les
hommes
, ne firent contre lui que des attaques infructueu
e sont aussi difficiles à déraciner que ceux de l’enfance, et que les
hommes
ainsi que les enfans se plaisent constamment à en
us voulez, Monsieur, que je vous trace le portrait de Garrick, de cet
homme
extraordinaire, qui fut tout à la fois le Protée,
i donc qu’un croquis très-imparfait des principaux traits de ce grand
homme
; laissant à votre plume éloquente le soin de les
n et la reconnoissance. Il seroit bien à souhaiter, Monsieur, que les
hommes
de lettres employassent un instant leurs plumes s
dire, de leurs sépulcres ; et en les ressuscitant dans la mémoire des
hommes
, ils leur assigneraient une place au temple de l’
yle et des Roscius. Il pouvoit être regardé comme le légataire de ces
hommes
rares, qui firent jadis l’admiration d’Athènes et
es passions violentes, ou par de grands intérêts. Dans ce moment où l’
homme
égaré marche, profère quelques mots sans suite, t
eoient eu croupe avec eux, Preville eût la fantaisie de contrefaire l’
homme
ivre ; Garrick en applaudissant à l’imitation de
nqué une chose bien essentielle à la vérité et a la ressemblance de l’
homme
ivre, que vous venez d’imiter » — « quoi donc, lu
aient insensiblement placée à côté de Melpomène. Lord Chesterfield, l’
homme
de plus instruit et le plus aimable de Londres, d
rand genre qu’elle avoit adopté ; que la fréquentation habituelle des
hommes
de lettres, joint à un esprit naturel, et au dési
stinguées. Comme je le saluais avec respect, il comprit ma méprise en
homme
habitué à faire son effet, et après m’avoir deman
de m’apprendre qu’il était M. Champorel, premier valet de chambre et
homme
de confiance de M. le duc. Celui-ci était absent
ncé et qui entrait après moi dans la cour. — On aura soin de ce brave
homme
, me dit-il. Eh ! c’est le père Rédoré ! On le soi
mais je sais ce qu’il a souffert pour devenir ce qu’il est. C’est un
homme
qui n’a pas son égal au monde pour la patience, l
esté une impression rassurante et un respect anticipé pour ce roi des
hommes
qui, en dépit du proverbe, est l’idéal de son val
de suite. Je pensais à toi, à moi, à mon hôte et à Champorel. Comme l’
homme
est, malgré qu’il en ait, un profond égoïste, je
ollège tu as vécu de privations sans me le dire. Tu as fait de moi un
homme
et j’ai été heureux bien longtemps sans savoir et
oir et la nature, j’ai constaté que j’étais un orphelin abandonné des
hommes
et recueilli par un bon ange comme le héros d’un
résolu de ne se point coucher et d’aller attendre son maître avec des
hommes
et des flambeaux au pied de la montagne. J’étais
Bigarany,49 De Modène, et non pas de Rome, Et fort habile et galant
Homme
. Enfin, pour finir mon rollet Touchant ce splen
ment, Tant Princes du Sang, qu’autrement. Un fort honnête et galant
Homme
Qu’il n’est pas besoin que je nomme, Homme, enver
Un fort honnête et galant Homme Qu’il n’est pas besoin que je nomme,
Homme
, envers-moi, de coeur humain, Et mon ami, de long
Augustin a adopté la même opinion ; il me semble que ces deux grands
hommes
(qui probablemeut n’étoient danseurs ni l’un ni l
it sur les vices, et qu’elle foudroyoit les passions, qui dégradent l’
homme
. Eh bien ! Monsieur, tous ces génies rares n’avoi
ut avoir en lisant les auteurs anciens. Il n’est pas nécessaire qu’un
homme
bien proportionné soit musicien pour faire de bea
’où est venu le mot hypocrite, pour exprimer un mime qui contrefait l’
homme
de bien. On nominoit musique rithmique, ce que no
prononciation, les infléxions, les repos etc. et comme il y avoit un
homme
chargé d’accompagner, probablement les accents de
e s’enrouer. Cicéron ne vouloit point qu’on l’accompagnât. C’étoit un
homme
grave, qui savoit se posséder ; mais Quintillien
mme. — Pourquoi elles deviennent biches ou se marient. — Ce qu’est un
homme
à leurs yeux. — Un mot d’une fille pauvre. — Le c
es de la maison. L’indépendance a toujours été le premier besoin de l’
homme
, comme de la femme, du reste. II La plupart
mme, qu’elle se jette dans les bras du premier venu, sans scrupule. L’
homme
est à leurs yeux un geôlier bienfaisant qui leur
urs petites roueries sont plus fortes que les grandes diplomaties des
hommes
spéciaux. Elles ont imaginé une foule de moyens p
charmes. On rembourse le provincial. Comme les femmes remboursent les
hommes
. Nota. — Le tour ne réussit pas infailliblement,
— Arrivée d’étrangers de distinction. — Départ de Gil Perez. — Trois
hommes
comme il faut. — L’air morgue de Markouski. — Son
t. On parle presque autant de lui que de moi. VI Il n’est pas d’
homme
à Paris dont on se moque plus que de Markouski. I
Russes, fit-il ; enfin ! Et il se dirigea vers son contrôle, où trois
hommes
modestement vêtus demandaient, le chapeau à la ma
es trois inconnus que le professeur s’obstinait à appeler « ses trois
hommes
distingués » passèrent toute la nuit à boire et à
lles de leurs amis, ceux-là comme ils étaient venus. Seuls, les trois
hommes
distingués ne firent pas mine de partir. — Faut-i
mier plan, dans la galerie des notabilités parisiennes. L’un était un
homme
du monde, fin, délicat, spirituel, galant et poss
commettre un sacrilège !… Elle m’apprit alors que M. Groult était un
homme
qui avait fait une énorme fortune dans les pâtes
Boyer avec exaltation, a rassemblé les plus beaux trésors d’art qu’un
homme
ait jamais possédés. C’était très intéressant, sa
à part moi, qu’une telle manie ne devait guère laisser de loisir à un
homme
, pourtant si riche, de faire du bien autour de lu
nt entouré la gestation de ses chefs-d’œuvre ; il en parlait comme un
homme
de cœur et comme un critique d’art. En nous disan
’exécutent, aient rencontré cet instant de naturel inné chez tous les
hommes
; instant précieux qui se montre toujours avec au
u le mérite du Compositeur ; cela m’a presque persuadé que les grands
hommes
ne font jamais de petites fautes, & qu’il y a
oir & de m’intéresser ; j’applaudis alors à l’adresse, j’admire l’
homme
machine, je rends justice à sa force, à son agili
crime.. &.. l’échafaud. Cependant ces mots arrangés par le grand
homme
composent ce beau Vers du Comte d’Essex : Le cr
u langage, & qu’il ne suffit pas d’en connoître l’Alphabet. Qu’un
homme
de génie arrange les lettres, forme & lie les
arté que lorsque l’Hôtel de Ville a été gouverné par quelqu’un de ces
hommes
rares dont ses fastes l’honorent. Lorsque les Sui
postérité, pour l’honneur de notre siècle, mettra de niveau avec les
hommes
les plus célèbres du siècle de Louis XIV107, sut
tout s’embellit, tout devient admirable sous la main vivifiante d’un
homme
de génie. [Voir Fêtes de la Ville de Paris] 106
ionale qui augmentent tous les ans les fonds qui y sont destinés. Des
hommes
opulens et amis des arts firent un prospectus, da
cé dans le chœur de ce pompeux édifice où repose la cendre des grands
hommes
de cette nation, est construit de manière à recev
phonies enchanteresses d’Hayden et par des Concertos exécutés par les
hommes
les plus célèbres. Plus de quatre cens musiciens
uis des siècles : « C’était un art nouveau qui est mort avec ce grand
homme
. » Stendhal ne faisait que partager l’opinion gé
iselle Arnaud ou de Raphaël par David ou de Canova par M. Lemot… Tout
homme
qui a un succès immense dans sa nation est remarq
xpriment leur étonnement”, mais comment ? Voilà le talent de ce grand
homme
. Il a observé admirablement les gestes humains4…
nous pouvons donner une très légère idée des ballets inventés par cet
homme
de génie. * * * Salvatore Viganò naquit à Naples
t s’y fixe jusqu’en 1803. C’est alors que Viganò fait représenter Les
Hommes
de Prométhée, médiocre ballet où l’on reconnaît l
xcessive des allégories imaginées par Viganò, parle de lui comme d’un
homme
de génie10. C’est en 1804 que Viganò fit ses débu
figurants, c’est pour ce théâtre dont le décorateur Sanquirico est un
homme
de génie, qu’il va écrire ses chefs-d’œuvre. À ce
. Parfois il se trompe, mais, dit Stendhal, « l’exécrable de ce grand
homme
est meilleur que l’excellent des autres13 ». Avan
à face humaine, mais qu’on pouvait difficilement reconnaître pour des
hommes
, gisaient çà et là en des attitudes qui trahissai
On assistait ensuite aux efforts stériles du Titan pour instruire les
hommes
dans l’art de construire des habitations et de cu
ui-même n’avait jamais intégralement appliquées. Ce n’étaient pas des
hommes
furieux que montrait Viganò, mais de véritables b
l retombait sur la terre et au troisième acte, en faisait présent aux
hommes
. Des étincelles du feu naissaient de petits amour
arbres. Ils en descendaient sur un air mélodieux et poursuivaient les
hommes
. Ceux-ci commençaient à prendre conscience de la
anvier 1818 : « On a été sur le point de mettre en prison Viganò. Cet
homme
de génie ne sait pas composer sur le papier. Il a
aient à leur sœur trois urnes de métal dont ils faisaient présent aux
hommes
. À son retour sur la terre, au 3e acte, Thia s’em
perdaient leurs feuilles et leurs fruits. Amour venait au secours des
hommes
menacés de mourir de faim et leur faisait enseign
n nouveau cataclysme. À l’âge d’argent succédait l’âge de bronze. Les
hommes
vêtus de fourrures pour se préserver du froid dev
hal écrivait de Milan à de Mareste le 2 novembre 1819 : « Deux grands
hommes
, à savoir Monti et moi sommes fous des deux premi
Chapitre III l’opéra de paris sous la direction véron L’
homme
qui dirigeait l’Opéra de Paris en 1834 et qui all
était personnifié de la façon la plus éclatante par Louis Véron. Cet
homme
avait toutes les qualités et tous les défauts néc
petits yeux clignotants, émerge à peine. Fort de sa connaissance des
hommes
et de son succès, il dévale d’un air satisfait, d
ques Et des plaques : Je les ferais faire en strass !31 Tel était l’
homme
qui tint pendant quatre ans, de 1831 à 1835, le s
tait, éclatait dans tout cet éblouissement. Ce clinquant attirait les
hommes
de négoce, les financiers, les arrivés de la poli
ique, il eut du moins le mérite de s’adjoindre comme collaborateur un
homme
qui avait du goût et des idées, Duponchel, archit
eut le don de se faire obéir. Quoique le poste fût dangereux pour un
homme
de vertu médiocre comme lui, quoiqu’il eût des fa
nconi fut dépassé et fit faillite, et M. Véron est depuis ce temps un
homme
riche. Le nom de Véron vivra éternellement dans l
élaborait, les soirs de premières représentations. Il dispersait ses
hommes
en tirailleurs, de manière à ce que les salves d’
ns la salle qui veulent l’entreprendre, je le ferai continuer par mes
hommes
; mais je ne réponds de rien. « — Alors, dit Meye
es pays. La critique littéraire et dramatique était entre les mains d’
hommes
qui savaient juger et écrire. Si la critique musi
t en lui-même, il croyait pouvoir se passer de louanges achetées. Les
hommes
courageux qui osaient braver la vengeance des ban
à l’emporte-pièce qui sont souvent d’une drôlerie incontestable. Cet
homme
était la terreur des coulisses. Pour se rendre co
ds noms au bas des billets les plus humbles, les plus obséquieux. Les
hommes
sont plats et lâches ; les femmes s’offrent. Ce C
ine prospérité que Véron cessa son exploitation. S’il fut, en tant qu’
homme
, l’objet de nombreuses attaques, le jugement de s
e ; mais jamais aussi l’instruction ne fut si répandue. Cette foule d’
hommes
oisifs qu’on ne saurait désigner que par les plac
besoin qu’ils se donnassent la peine de le lire. Il y a une espèce d’
hommes
pour qui seuls, tous les Traités les plus Philoso
re quelques propositions que va, devant vous, risquer sur la Danse un
homme
qui ne danse pas. Vous attendrez un peu le moment
ps qui n’est plus tout à fait le même que celui de la vie pratique. L’
homme
s’est aperçu qu’il possédait plus de vigueur, plu
une minute. L’araignée guette et ne s’amuse pas sur sa toile. Mais l’
homme
? L’homme est cet animal singulier qui se regar
L’araignée guette et ne s’amuse pas sur sa toile. Mais l’homme ? L’
homme
est cet animal singulier qui se regarde vivre, qu
ucoup plus simple de construire un univers que d’expliquer comment un
homme
tient sur ses pieds. Demandez à Aristote, à Desca
te, la moindre action, le temps le plus bref, semblent l’inspirer. Un
homme
pratique est un homme qui a l’instinct de cette é
le temps le plus bref, semblent l’inspirer. Un homme pratique est un
homme
qui a l’instinct de cette économie de temps et de
et non à un but figuré et localisé, prennent un régime périodique ; l’
homme
qui marche prend un régime de cette espèce ; le d
le distrait qui balance son pied ou qui tambourine sur les vitres ; l’
homme
en profonde réflexion qui se caresse le menton, e
nscience réfléchie à ses données immédiates, et je salue Argentina en
homme
qui est exactement content d’elle comme il voudra
nce ; ce fut dans la comédie des nuées, écrite par Aristophane, que l’
homme
le plus instruit et le plus sage de la Grèce se v
tes ces farces monstrueuses étoient applaudies avec transport par des
hommes
d’un rare mérite, et en présence des pères de la
Cyprien s’exprime ainsi : « Le pantomime est un monstre, qui n’est ni
homme
ni femme, dont toutes les manières sont plus lasc
déshonnête ; et que le maître qui a su faire ressembler davantage un
homme
à une femme, est celui qui passe pour avoir fait
ait sa fortune. » D’après cette assertion, il est à présumer que les
hommes
, qui éxercoient la profession du théatre, étoient
mps d’Auguste, ne peut-il se faire aujourd’hui ? Ce seroit avilir les
hommes
que de le penser, et dépriser le goût et l’esprit
de fureur et de désespoir qui la suivent, qu’il prenne pour modèle un
homme
dont la férocité et la brutalité naturelle soit c
l’action d’un crocheteur jaloux sera moins pittoresque que celle d’un
homme
dont les sentimens seront élevés. Le premier se v
te plus la chaleur sera concentrée, et plus l’effet sera attachant. L’
homme
grossier et rustique ne peut fournir au peintre q
suit sa vengeance est toujours celui d’une joie basse et triviale. L’
homme
bien né lui en présente au contraire une multitud
et leur génie à des productions d’un genre bas et trivial. Les grands
hommes
ne doivent créer que de grandes choses, et abando
x, sans les satisfaire. La distribution des habits étoit telle, que l’
homme
cessoit de paroitre dès l’instant, qu’il cessoit
totalité du pont ; les chevaux postiches étoient plus petits que les
hommes
, et ces défauts de proportions choquérent les yeu
emps d’Auguste ne peut-il se faire aujourd’hui ? Ce seroit avilir les
hommes
que de le penser, & dépriser le goût & l’
ureur & de désespoir qui la suivent ? qu’il prenne pour modele un
homme
dont la férocité & la brutalité naturelle soi
’action d’un crocheteur jaloux, sera moins pittoresque que celle d’un
homme
dont les sentiments seront élevés. Le premier se
rruptions n’en sont alors que plus funestes & plus dangereuses. L’
homme
grossier & rustique ne peut fournir au Peintr
t sa vengeance, est toujours celui d’une joie basse & triviale. L’
homme
bien né lui en présente au contraire une multitud
leur génie a des productions d’un genre bas & trivial. Les grands
Hommes
ne doivent créer que de grandes choses, & aba
eux sans les satisfaire. La distribution des habits étoit telle que l’
homme
cessoit de paroître dès l’instant qu’il cessoit d
totalité du Pont ; les chevaux postiches étoient plus petits que les
hommes
, & ces défauts de proportion choquerent les y
s sacrés, qui rendent agréables, utiles, et solides, les sociétés des
hommes
. Numa crut, qu’en jetant parmi eux les fondements
t d’abord exécutée. Que ne peut pas la force de l’imagination sur les
hommes
d’un sang vif ? Les Prêtres alors se croyaient vr
ir ; la honte ou la gloire d’un règne dépendent presque toujours d’un
homme
oublié, ou d’un homme mis à sa place. [Voir Balle
oire d’un règne dépendent presque toujours d’un homme oublié, ou d’un
homme
mis à sa place. [Voir Ballet] 84. On nommait Sa
eurs, il ne saurait qu’en faire. Les sympathies et les curiosités des
hommes
de lettres ne vont que trop à lui ; même j’en pâl
t révèle un tempérament individuel : c’est lui qui semble entraîner l’
homme
. Devant le trombone agressif et lubrique, la Nina
ty et Tillio. Leur réputation est considérable et, ma foi, méritée. L’
homme
, grand, beau assoupli par l’exercice classique, t
e » en un sketch de Schéhérazade, exotique et sanguinaire. Et quand l’
homme
fait le moulinet avec le corps de la danseuse, c’
ases ; il fortifie et augmente le charme de 1’ éloquence ; il est à l’
homme
qui parle, ce que sont les accompagnemens à l’hom
ence ; il est à l’homme qui parle, ce que sont les accompagnemens à l’
homme
qui chante. Le geste conventionnel est ridiculem
e, comme je l’entends, est un second organe que la nature à donné à l’
homme
; mais il ne se fait entendre que lorsque l’ame l
ne de Médicis, ni sous celui de Louis quatorze. Dauberval, mon élève,
homme
rempli de goût se déclara l’apôtre zélé de ma doc
manières de faire. Il seroit un Phénix, et il n’en existe point. Les
hommes
les plus instruits dans leur art doivent se ménag
de tant de merveilles, les étudient et les copient ; le génie de ces
hommes
illustres embrâse le leur ; ils trouvent dans les
e génie. J’ai cependant admiré dans ces divertissemens quelques pas d’
hommes
exécutés avec autant de justesse que d’ensemble e
rigoureusement exiger qu’un maître des ballets soit un puriste et un
homme
de lettres ? si ces deux dernières productions av
t sa Sœur rassemblèrent deux grands Chœurs de Musique, l’un composé d’
hommes
, et l’autre de femmes. Moïse se mit à la tête du
tous les Psaumes, par les chœurs, dont ils font mention, une troupe d’
hommes
dansants au son de divers instruments de Musique.
ré. Pylade né en Cilicie, et Batyle [Bathylle] d’Alexandrie, les deux
hommes
en ce genre les plus surprenants, vinrent y dével
langue, et qui n’ont jamais pu apprendre la mienne. Les gestes de cet
homme
leur feront entendre mes volontés. Thymèle, du t
qui n’appartenaient qu’à l’esprit. Il faut avoir beaucoup étudié les
hommes
, pour oser entreprendre de les peindre. Ce n’est
seulement le directeur de son théâtre, mais il en représente la joie.
Homme
charmant, bien élevé, ses manières sont élégantes
s en ne les payant pas du tout. Oscar, le régisseur général, un brave
homme
de l’ancienne école, n’en revient pas encore. — I
liblement le Panthéon. Elle chantera le rondeau obligé sur les grands
hommes
, s’y fera applaudir par la claque, qui ne compren
mes doivent avoir dans leurs vie à se reprocher au moins la mort d’un
homme
. Jusqu’à présent, mademoiselle Clémentine n’a heu
eut s’accommoder des choses si simples, et qu’il faille réveiller les
hommes
gâtés par quelques objets d’un mouvement plus ext
pres paroles. (tom. 7, p. 654 et 655.) « Pour déraciner, dit ce grand
homme
, tout à la fois le goût de la comédie, il faudroi
seule fois par un mouvement qui lui paroissoit indigne d’un Dieu fait
homme
. Je ne m’en étonne pas ; car nos douleurs et nos
épondoient aux pharisiens qui leur en avoient donné l’ordre : Jamais
homme
n’a parlé comme cet homme. Il parle néanmoins av
qui leur en avoient donné l’ordre : Jamais homme n’a parlé comme cet
homme
. Il parle néanmoins avec une toute autre douceur
porta quelque temps sur celle de Racine ; & l’Athalie de ce grand
Homme
ne fut pas toujours regardée comme un chef-d’œuvr
it en tout genre. Ne peut-il pas arriver, me répliquera-t-on, que tel
homme
qui s’arroge le droit de prononcer définitivement
peu de mots à cette grave objection, qu’il est impossible qu’un seul
homme
réunisse toutes les connaissances humaines, dont
dent-ils pas leur succès des applaudissemens continuels du Public ? L’
homme
le plus savant, le plus raisonnable propose ses i
sentiment d’un seul est moins que rien, & même celui de plusieurs
hommes
assemblés, pourquoi tant de gens s’ingérent-ils d
gtems, et ne trouvèrent point d’azile. Sans doute des productions des
hommes
de génie devoient assurer aux beaux arts une exis
réposa long-tems, sans donner de successeurs à cette foule de grands
hommes
que la Grèce avoit produits. Mais au nom d’August
à la protection qu’il accorda aux arts, et par un heureux échange les
hommes
de génie firent oublier ses cruautés : sans eux l
rent dans leur course ni asile, ni protection, ni secours. Les grands
hommes
finissent, je le repète encore ; mais la mort, en
e des arts est indestructible ; cette émanation devine, qui donne à l’
homme
une si grande prééminence sur les êtres de son es
LETTRE IX. C’est comme vous le savez, Monsieur, sur le visage de l’
homme
que les passions s’impriment, que les mouvements
nes & les Tritons ont la partie supérieure du corps semblable aux
hommes
, la partie inférieure tient du Bouc & du Pois
voulez hideux, chargés, tout me paroît outré ; mais tout me montre l’
homme
, non comme il est, mais comme il peut être sans c
eut être sans choquer la vraisemblance. D’ailleurs la différence de l’
homme
& de ces êtres engendrés de la fiction &
u contraire les jours où il doit représenter un Poëte, un Artisan, un
Homme
du Peuple, un Nouvelliste, un petit Maître ; car
’ai vu, Monsieur, & ce que les Comédiens devroient voir ; voilà l’
homme
que je cite pour modele ; tant pis pour ceux qui
tant pis pour ceux qui dédaigneront de le suivre. En imitant ce grand
homme
, il ne seroit pas difficile d’abolir les masques,
ture, quelle doit être ma surprise, lorsque je verrai à l’Opéra douze
hommes
qui n’auront à eux tous qu’un même visage ! &
grossiere de la Danse & qui n’en a jamais senti l’esprit. Un tel
homme
est fait pour aller faire le saut périlleux : le
t me tracer que les passions & les affections de son ame : un tel
homme
enfin n’est qu’un mal-adroit dont l’exécution pén
nseuses de nos jours ont, proportion gardée, plus d’exécution que les
hommes
; elles font tout ce qu’il est possible de faire.
e, plus d’expression & plus d’intérêt dans leur exécution que les
hommes
. En apportant le même soin qu’elles, nous ne sero
as servi dans des rôles où il n’est pas nécessaire de ressembler à un
homme
de condition. M. Dumoulin pareillement s’étoit él
e Moliére dans les Femmes savantes .... .... J’ai vu clairement des
hommes
dans la Lune. . . . . . . . . . . . Je n’ai point
s hommes dans la Lune. . . . . . . . . . . . Je n’ai point encor vu d’
hommes
, comme je crois ; Mais j’ai vu des clochers tout
80
Nougaret, Pierre-Jean-Baptiste.
(1775)
La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales]
«
Traité du geste,
Contenant la maniere de représenter les Pièces de Théatre, à l’aîde des bras & des jambes, pour la commodité des Acteurs nazillans, begayans, gasconnans ; &c. &c. & offrant, en outre, une excellente Méthode aux gens mariés, pour se quereller dans leur ménage, sans faire de bruit. »
pp. 49-60
parle souvent plus mal que la soubrette ; le valet a le langage d’un
homme
de Cour ; & le Marquis, dépeint par le Poète
mieux se priver du plaisir d’entendre réciter les vers de ces grands
Hommes
, afin de remédier plus sûrement à la mal-adresse
Rome, rempli d’admiration, partagea son estime entre ces deux grands
hommes
; deux partis divisèrent la ville, & faillire
Encore un autre trait. Trois ou quatre gestes, faits pourtant par un
homme
du peuple, confondirent, dit-on, un habile Philos
e ménage. Pour vous, tendres épouses, souvent compagnes infortunées d’
hommes
brutaux ; dans des momens d’orage, témoignez par
connaissance du geste est la science la plus sublime dans laquelle l’
homme
puisse exceller.
? La poupée, le pantin artificiel, mécanique, automatique a évincé l’
homme
; elle prime l’acteur désemparé. Il reste juste a
, cette danse macabre de l’indifférence, l’action mimée s’étiole, les
hommes
vivants se dérobent. Le drame passionnel, la mort
up d’autres personnes, je ne remarquai pas tout d’abord, que les deux
hommes
ne se parlaient pas. Enfin je m’en rendis compte,
observatoire, et, à sa mort, légua cette merveilleuse propriété à un
homme
qu’il n’avait jamais vu : cet homme était Camille
cette merveilleuse propriété à un homme qu’il n’avait jamais vu : cet
homme
était Camille Flammarion. Je me souviens d’avoir
somme, mais s’aperçut alors qu’il n’avait plus assez d’argent, et les
hommes
de l’agence de location s’en retournèrent avec le
fet, que ceux qui sont dénuez de secours. Le Public n’attend pas d’un
homme
comme moi, qui a passé tout le tems de sa vie à é
naissance ; mais il en est de même de la Danse que de la Comédie, les
hommes
ont cherché à tirer de l’utilité de ce que le seu
nnes ; mais on peut dire qu’elle merite les soins presque de tous les
hommes
, quand même ils n’en devroient faire usage que da
Louis le Grand sera toûjours regardé avec justice, comme le Regne des
hommes
les plus illustres. Entre tous les Arts qui se so
t-elles dailleurs éxcellentes, finissent par produire l’ennui. Chaque
homme
porte avec lui la mesure de ses plaisirs, et le t
esure, se change bientôt en dégoût. L’ennui naît de la satiété, car l’
homme
est facilement transporté vers les extrêmes, le p
essité de l’instant qui doivent déterminer le parti du compositeur. L’
homme
mercenaire en fait d’art imitateur suit servileme
productions du génie me pénétrent d’une admiration respectueuse ; ces
hommes
extraordinaires se peignent à mon ésprit étonné,
r, sera celui qui parviendra le mieux à former un élève. L’etude de l’
homme
et de ses facultés physiques dirigera ses précept
e né avec toutes les dispositions que l’art du théatre exige, et si l’
homme
qui s’y destine n’a pas été primordialement favor
e, et de dire : il est plaisant, et bourru, mais il est liane, et bon
homme
; dailleurs il entend son affaire à merveille, et
Cour cependant, au milieu de ses triomphes et sous le ministère d’un
homme
vraiment grand, dont une économie bourgeoise ne b
la rendre l’admiration de l’Europe. Il ne fallait que s’y servir des
hommes
, que le génie et l’art mettaient en état d’imagin
Cardinal de Richelieu, il s’était pris de quelque amitié pour Durand,
homme
maintenant tout à fait inconnu, et que je n’arrac
qui inaugura la suprématie de la virtuose sur l’ensemble, réduisit l’
homme
à des fonctions purement auxiliaires. Ils n’étaie
le ballet ne saurait — opine-t-il — se passer de la participation des
hommes
et n’admet pas les femmes travesties. Cependant l
cades et, pour l’individu, d’une éducation complète. M. Ricaux est un
homme
de talent. Mais s’il réussit la tâche de former s
n seroit aujourd’hui une excellente choriphée. La danse plus riche en
hommes
nous offroit le Grand Dupré ; je dis grand, parce
à merveille. Au reste la danse alors offroit bien plus de talens en
hommes
qu’en femmes. C’est tout le contraire aujourd’hui
te ; il triomphe, il lutte de force, de vigueur et de talent avec les
hommes
; et les femmes mettent dans la balance du jugeme
-propre, la jalousie et toutes les petites passions qui dégradent les
hommes
, et qui avilissent les artistes, contribuent néce
qui captent, à force de bassesses, la confiance et la protection des
hommes
en place. On sait que la France est la patrie et
il se trouvoit relégué, il ne pouvoit pas même distinguer les grands
hommes
, auteurs, acteurs, et devenus seuls spectateurs d
LETTRES chérit l’Empire, Pour animer les STUDIEUX, Qui se font grands
Hommes
chez Eux, Une TRAGÉDIE excellente, Dont la Scène
à la convenance que ces deux Arts ont avec la Musique. Mais comme les
hommes
ne s’accordent pas toujours sur les choses mêmes
; la Poésie se furent enfin montrées dans leur plus grand lustre, des
hommes
d’un génie extraordinaire donnerent au Public des
ue dans le Ciel observer la majesté des Dieux, pour en faire part aux
hommes
, comme elles peignent les hommes pour en faire de
té des Dieux, pour en faire part aux hommes, comme elles peignent les
hommes
pour en faire des demi-Dieux : c’est ce qu’on a d
e de leur art, consacrerent aux Dieux leurs ouvrages, croyant que les
hommes
en étoient indignes. La Gréce touchée de reconnoi
dans la Ville par un autre côté que celui où étoit le Cabinet de cet
homme
illustre, il aima mieux épargner la Peinture, que
er ennemi d’un art qui travaille à honorer les Dieux, à instruire les
hommes
, & à leur donner l’immortalité. Pour les effe
elle on ne sçauroit bien représenter les mœurs & les actions des
hommes
, ce qui est cependant la fin de la Poésie ; l’exé
lle ne manque pas de ressorts non plus que la Poésie, pour plaire aux
hommes
, pour leur imposer, & pour ébranler leurs esp
rdinaire : ils ont tant de patience pour ces sortes d’ouvrages, qu’un
homme
passera tout un jour à tourner une plume pour la
principale fin du Poëte est d’imiter les mœurs & les actions des
hommes
. La Peinture a le même objet, mais elle y va d’un
a faculté de raisonner ; & l’on dit que ce précieux appanage de l’
homme
, qui se rencontre dans la Poésie avec tous ses or
e matiere à raisonner, non seulement aux Philosophes, mais à tous les
hommes
. Quintilien avoue que la Peinture pénétre si avan
ont aussi regardé Orphée, Lin, Musée, Homere, & Hésiode comme des
hommes
divins ; ils donnoient aussi la qualité de saints
ine au hazard, suivant l’opinion commune, par l’effet de l’ombre de l’
homme
& la clarté du Soleil, ou de l’ombre de la lu
, Livre X. dit que les premiers Peintres prirent les proportions de l’
homme
à l’ombre du Soleil, en tirant des lignes pour en
ontraire aux ordres du Sénat, un prodige ou phantôme ressemblant à un
homme
, fort haut & beau par excellence, s’apparut à
, il passa dans cette grande Ville une espece de phantôme ou de grand
homme
, d’une figure prodigieuse, qui jouant du flageole
mp; ils sont toujours écoutez favorablement, par l’avidité qu’ont les
hommes
de sçavoir tout ce qui leur est nouveau, soit vra
’ont jamais pû éxécuter : ce qui fait voir qu’il n’appartient pas aux
hommes
de vouloir réformer la nature sans la participati
e Créateur de l’Univers : mais qu’il en peut renaître aussi comme des
hommes
, suivant l’opinion des Cabalistes : j’oserai dire
Cn Gallet. Je ne compare sûrement point mon faible talent à ceux des
hommes
célèbres que je viens de citer, mais seulement ma
blir leurs productions sur le théâtre de l’Opéra de Paris, quel est l’
homme
à talent qui voudra rester attaché à ce théâtre p
qu’on semble le penser que la place dont il s’agit soit tenue par un
homme
d’un talent avoué, car la médiocrité compromettra
travail a besoin de la plus grande tranquillité, soit à la merci de l’
homme
sans place ou de l’intrigant ? Il est temps, Cit
e, je demande une retraite honorable, et telle que peut la mériter un
homme
qui a servi trente ans son pays de toutes les man
, Dudit Ballet est l’inventeur. Hesselin en est Conducteur, Hesselin,
Homme
de remarque, Et qui des plaisirs du Monarque, Qu’
je ne dirai bien, ni mal, Jusques en l’autre Carnaval, Où Taloi, cet
Homme
si rogue, N’aura peut-être, plus de vogue. 11.
ent, Font dans le Bourgeois gentilhomme, Où La Grange, en fort galant
Homme
, Fait le Rôle qui lui sied mieux, Savoir celui d’
nos actions et de toute notre conduite ; et non pas les préjugés des
hommes
, la multitude des mauvais exemples et les coutume
a cupidité est le grand ressort qui remue et fait agir la plupart des
hommes
. Ce qui plaît aux sens et flatte cette cupidité,
, changeoit de nature, et comme si la vérité dépendoit du caprice des
hommes
pour être vérité. Mais qu’on s’efforce tant qu’on
e Dieu même ; et parce qu’il ne peut se tromper, toutes les idées des
hommes
qui sont contraires aux siennes, ne peuvent être
cet esprit de malice. Il y a donc un autre adversaire ; mais c’est l’
homme
qui se fait à lui-même cet adversaire : car s’il
règle inviolable de toute notre conduite, et non pas les préjugés des
hommes
, les coutumes du monde, et les mauvais exemples q
Il n’a point disposé ces douze apôtres à suivre plusieurs milliers d’
hommes
; mais il a plutôt préparé plusieurs milliers d’h
urs milliers d’hommes ; mais il a plutôt préparé plusieurs milliers d’
hommes
à se soumettre à ces douze apôtres… Celui qui, ma
t faites en Dieu. Saint Augustin, réfléchissant sur l’amour que les
hommes
ont naturellement pour la vérité, puisqu’ils n’ai
de prophétie : (Ép. 2, c. 4, v. 3 et 4.) Il viendra un temps que les
hommes
ne pourront plus souffrir la saine doctrine, et q
ége de l’esprit d’impudicité, un artifice de l’enfer pour séduire les
hommes
, un feu qui n’est capable que d’embraser le cœur
les Savants de la Chine déclarent qu’il est savant. Je crois voir un
homme
qui ayant dans sa main la clef du Temple des Muse
l faut voir Rodin, pour l’apprécier à sa juste valeur. Il faut voir l’
homme
, le cadre et l’œuvre, dans leur grand ensemble, p
nt, je puis dire que Rodin est, avec le maître Anatole France, un des
hommes
qui, en France, m’ont le plus impressionnée. Anat
lui est reconnaissant. » Moins certes que je ne le suis moi-même à l’
homme
qui a écrit ces lignes. Mais je suis heureuse, su
a partie théâtrale, celle du sentiment, et cette coupe rare que peu d’
hommes
ont connue, qui est le grand talent du théâtre ly
plus savantes compositions. L’usage des chansons est fort naturel à l’
homme
: il n’a fallu, pour les imaginer, que déployer s
: leurs lois et leurs histoires, les louanges des dieux et des grands
hommes
, furent chantées avant que d’être écrites ; et de
myrte, donnèrent lieu à un proverbe grec, par lequel on disait qu’un
homme
chantait au myrte, quand on le voulait taxer d’ig
L’usage établi en France d’un commerce libre entre les femmes et les
hommes
, cette galanterie aisée qui règne dans les sociét
retombent toujours. Inventer des chants nouveaux, n’appartient qu’à l’
homme
de génie ; trouver de beaux chants, appartient à
tient qu’à l’homme de génie ; trouver de beaux chants, appartient à l’
homme
de goût. (S) Le chant est l’une des deux première
nature. Voyez Geste. C’est par les différents sons de la voix que les
hommes
ont dû exprimer d’abord leurs différentes sensati
de langage, qui est de tous les pays, est aussi entendu par tous les
hommes
, parce qu’il est celui de la nature. Lorsque les
Accent [Article de Dumarsais]. Lorsque les mots furent trouvés, les
hommes
qui avaient déjà le chant, s’en servirent pour ex
ait été d’abord donné par la nature ; car rien n’est plus naturel à l’
homme
que le chant, même musical : c’est un soulagement
oie, servit bientôt après pour célébrer les actions de grâces que les
hommes
rendirent à la Divinité ; et une fois établi pour
e pour régler les différents tons de la voix. Les sons étaient dans l’
homme
: il entendit chanter ; il fut frappé par des bru
ilités ; il semble que cette espèce de feu divin qui anime les grands
hommes
, épure aussi leur sentiment, et le rend plus fin,
ent, et le rend plus fin, plus délicat, plus sûr que celui des autres
hommes
. Personne dans le royaume ne l’avait plus exquis
rtiste a portée dans ses ouvrages dramatiques ; mais il l’a saisie en
homme
original ; il a vu la lumière dès qu’elle a paru
était sans examen rejeté sur le poète. On sait que Quinault était un
homme
modeste et tranquille, que Lully n’avait pas hont
là le plan qu’il a tracé, que Lully aurait dû suivre, et terminer en
homme
de génie par un entr’acte, dans lequel la magie a
oit dominée par l’impureté ; qu’elle alloit plus souvent chercher les
hommes
, que les hommes ne la cherchoient ; et que ce qui
l’impureté ; qu’elle alloit plus souvent chercher les hommes, que les
hommes
ne la cherchoient ; et que ce qui pouvoit servir
s ont imaginé une représentation vivante des différentes passions des
hommes
: ce trait de génie est sublime. Ils ont exposé s
r le Spectateur. Oserait-on le dire ? une des bonnes tragédies de cet
homme
extraordinaire suppose plus d’étendue de génie qu
tés. Le moyen qu’il ne prévit pas qu’il se trouverait tôt ou tard des
hommes
rigides qui refuseraient de se prêter aux supposi
t ni moins nobles ni moins touchants ? Écouterait-on la critique d’un
homme
de mauvais goût qui déclamerait contre une compos
ts combinés il pouvait résulter un ensemble ravissant, qui arrachât l’
homme
à lui-même, pour le transporter pendant le cours
▲