/ 133
1 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre II. Objections tirées de l’Ecriture sainte. » pp. 151-166
c. 3. v. 4.) Il y a un temps de s’affliger, et un temps de sauter de joie . Ensuite ils croient trouver de quoi autoriser l
où l’on lit : Il y a un temps de s’affliger, et un temps de sauter de joie . Mais je demande si, sauter de joie est la même
fliger, et un temps de sauter de joie . Mais je demande si, sauter de joie est la même chose que danser ? Il peut arriver qu
se que danser ? Il peut arriver quelquefois que dans les sauts que la joie fait faire, il y ait quelque chose qui ne soit pa
quelquefois on est affligé et on pleure, et d’autres fois on saute de joie  : c’est pourquoi il commence le chapitre d’où son
int-Esprit, qu’il y a un temps de s’affliger et un temps de sauter de joie , son intention principale a été de nous avertir d
distinguer le temps destiné aux larmes, et celui qui est destiné à la joie  ; et que c’est dans cette vie qu’il faut gémir et
gémir et pleurer, en attendant dans l’autre vie la consolation et la joie . Jésus-Christ lui-même nous a appris à prendre ce
ps de deuil et de pleurs, et celui de l’autre vie pour le temps de la joie , lorsqu’il a dit : (Matth. c. 5. v. 5.) Heureux
vous pleurerez et vous gémirez, vous autres, et le monde sera dans la joie  ; vous serez dans la tristesse, mais votre triste
e ; vous serez dans la tristesse, mais votre tristesse se changera en joie … et personne ne vous ravira cette joie  ; au cont
votre tristesse se changera en joie… et personne ne vous ravira cette joie  ; au contraire, le démon, tout opposé à Jésus-Ch
aint-Esprit, qu’il y a un temps de pleurer, et un temps de sauter de joie , pour autoriser les danses, servons-nous-en plut
ur, de personnes de différent sexe, pour se livrer à la licence d’une joie folle et criminelle, et ces chœurs de femmes qui
au comble de ses vœux ; et afin de donner à sa reconnoissance et à sa joie tout l’essor, et d’en suivre les transports, il p
affection véhémente de donner louange à Dieu avec le témoignage d’une joie sainte ; et celles-ci ne tendent au contraire qu’
2 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre X. De la Danse sacrée des Chrétiens »
seul des biens éternels, cherchait à les remplir, en même temps d’une joie pure dans la célébration des Fêtes qu’elle avait
des Églises, la veille des grands Jours ; et là, pleins d’une sainte joie , ils formaient des Danses, en chantant des Cantiq
uta devant l’Arche, était un Mystère, qui nous enseigne quelle est la joie et l’agilité avec lesquelles on doit aller à Dieu
instituées que pour les maintenir dans un esprit de recueillement, de joie pure, et de piété. L’Église alors s’arma de ses f
verset qu’ils chantaient avec les plus vifs transports de zèle et de joie  : San Marceau pregas per nous, et nous espingaren
ar la main et dansaient en chantant des Hymnes de réjouissance. Cette joie simple et naïve, supposait des mœurs douces et sa
3 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre IV. De quelques Danses des Grecs »
pas pressés, des figures animées, peignaient aux yeux des Convives la joie aimable d’une noce. Cette Danse qu’on avait nommé
les Chants, et anime la Danse. Toute la troupe est déjà remplie d’une joie pure… Tout-à-coup des Corsaires paraissent, fonde
retour. On répond à ses offres par mille cris de reconnaissance et de joie . Lui, cependant court au vaisseau, l’examine, en
s gémissements sont suspendus : un mouvement confus d’espérance et de joie , succède à la tristesse. On entoure en tumulte le
e cette foule de peuple qui l’écoute, la surprise, l’admiration et la joie . Il profite de ce moment. Il se découvre, se nomm
4 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre II. Des Danses des Anciens dans les Fêtes publiques »
s ses mouvements, dans ses attitudes que la liberté, le plaisir et la joie  : ses danses étaient l’image vive de la gaieté, d
ons, les Danses des Festins leur fournissaient de nouveaux sujets de joie . On faisait remonter en Grèce l’origine de ces Da
ir. Le Peuple, les Magistrats, la Noblesse confondus et réunis par la joie générale, semblaient ne composer qu’une même fami
nuit. Les Danses, qui étaient d’abord qu’une expression ingénue de la joie que causait le retour du Printemps, dégénérèrent
5 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre I. De la Danse profane »
la Danse profane La Danse ne fut d’abord qu’une expression vive de joie et de reconnaissance. Elle était comme une espèce
ition. Elle fut donc dans les premiers temps une expression simple de joie dans les Fêtes publiques ou particulières et succ
6 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre VI. Objection : Il faut se récréer quelquefois. » pp. 179-187
ses, nos douleurs, et jusqu’à nos frayeurs ; mais il n’a pas pris nos joies , ni nos ris, et n’a pas voulu que ses lèvres, où
Eccl. c. 2, v. 2.) J’ai estimé les ris une erreur ; et j’ai dit à la joie  : Pourquoi me trompes-tu ? (Ou, comme porte l’or
, comme porte l’original) : J’ai dit au ris : Tu es un fou ; et à la joie  : Pourquoi fais-tu ainsi ? Pourquoi me transporte
ines qui sont réelles, mais n’en a point voulu prendre les ris et les joies qui ont trop d’affinité avec la déception et l’er
es ames pieuses, par la consolation du Saint-Esprit, l’effusion d’une joie divine, un plaisir sublime, que le monde ne peut
le mépris de celui qui flatte les sens, un inaltérable repos dans la joie de la conscience, et dans la douce espérance de p
en là qui ressemble à votre loi  ; elle seule remplit les cœurs d’une joie qui, fondée sur la vérité, dure toujours. » Je p
7 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre II. Division de la Danse Théâtrale »
a naissance même des autres arts, la Danse fut une vive expression de joie . Tous les Peuples l’ont fait servir depuis, dans
réjouissances publiques, à la démonstration de leur allégresse. Cette joie se varie, prend des nuances différentes, des coul
moyens fréquents de varier, d’embellir, de peindre les mouvements de joie populaire, dont chacun des instants peut fournir
8 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre IX. Circonstances qui contribuent à rendre les Danses plus dangereuses et plus criminelles. » pp. 102-114
ais que chacun de vous célèbre le sabbat spirituellement, trouvant sa joie dans la méditation de la loi de Dieu, dans la con
es ouvrages, et non en prenant plaisir à des danses, à des marques de joie folles et insensées : Non saltationibus plausibu
ir ouïs, aillent perdre à la danse, dans une si grande effusion d’une joie mondaine, l’esprit de recueillement et de componc
les, quand ils seroient innocens. On voit bien que cette marque de la joie publique ne conviendroit pas avec le deuil solenn
, parce qu’on ne pouvoit les célébrer qu’avec une démonstration de la joie publique. Cet esprit se conserve encore dans l’Eg
uissance, où l’on chante l’Alleluia, qui est la figure du cantique de joie du siècle futur : si le jeûne ne convient pas au
e du siècle futur : si le jeûne ne convient pas au temps d’une sainte joie , doit-on l’allier avec les réjouissances profanes
9 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre IV. Origine de la Danse, définition qui en a été faite par les Philosophes. »
plaisir et de douleur, de colère et de tendresse, d’affliction et de joie . Il y a de même dans les mouvements du visage et
feu, ces mouvements rapides, lorsqu’elle est émue par un sentiment de joie . Vous serez alors aisément persuadé, que l’on a c
10 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre X. Vues des Philosophes : objet des Législateurs relativement à la Danse. »
sprit, et l’âme est emportée loin d’elle-même par la colère et par la joie . Un exercice qui rend le corps plus souple, plus
nsible de l’impétuosité de la colère, et des transports rapides de la joie . « L’homme, dit un ancien philosophe, a un sens c
11 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 2 décembre : Le Ballet des Muses — La Muse de la Cour à Monseigneur le Dauphin d’Adrien Perdou de Subligny — Subligny, vingt-sixième semaine, lettre du 18 novembre 1666 »
ns, De FRANCAIS et D’ITALIENS, Qui par trois IMPROMPTUS y mêleront la joie . On y fera des jeux dont l’art vous surprendra Et
12 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1660 — 19 février : Ballet accompagnant Stilicon de Thomas Corneille — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 21 février 1660 »
ses Compagnons,5 Sans être incités, ni semons, Que pour la véritable joie Que dans les cœurs la Paix envoie, Pour réjouir G
13 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1668 — 18 juillet : Le Grand Divertissement royal ou les Fêtes de Versailles — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 7 juillet 1668 »
de seulement ; Mais j’en jaserai pleinement, Et même avec beaucoup de joie , Si le Sort veut que je le voie. Je vous le prome
14 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VI, lumière et danse » pp. 60-71
réalité, nous ne faisons attention qu’à la douleur ; « transporté de joie  », mais nous n’observons que la joie ; « accablé
u’à la douleur ; « transporté de joie », mais nous n’observons que la joie  ; « accablé de chagrin », mais nous ne considéron
on pût les exprimer. Nous savons tous que dans les fortes émotions de joie , de douleur, d’horreur ou de désespoir, le corps
ontentement, l’incertitude, la résignation, l’espoir, la détresse, la joie , la fatigue, la faiblesse et enfin la mort. Toute
15 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1668 — 18 janvier : Le Carnaval ou La Mascarade royale du Carnaval — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 21 janvier 1668 »
e ce plus puissant Fils des Dieux, Qu’on doit notre Heur, & notre Joie , Et ces beaux jours filez de soie. Une, de Masq
16 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 6 août : Le Ballet des Destins accompagnant la tragédie de collège Jonathas — Lettres en vers de la Gravette de Mayolas — La Gravette de Mayolas, lettre du 11 août 1669 »
, De cet Ouvrage admirateurs, Sortirent de la Compagnie Remplis d’une joie infinie. 123. des Jésuites.
17 (1823) De l’art de la danse , considéré dans ses vrais rapports avec l’éducation de la jeunesse (3e éd.) « Introduction. » pp. -
réguliers exprimaient sans art, mais non pas toujours sans grâce, une joie franche et vive. Ensuite les règles s’établirent
peuples de l’antiquité, les sacrifices étaient accompagnés de cris de joie , et surtout de danses : toute la nature semblait
18 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse ancienne »
hant à l’amour seul des biens éternels, cherchait à les remplir d’une joie pure dans la célébration des fêtes qu’elle avait
d devant l’arche sainte, est un mystère qui nous enseigne avec quelle joie et quelle promptitude nous devons courir vers les
oit sa première origine, ainsi que nous l’avons vu, aux mouvements de joie et de reconnaissance qu’inspirèrent aux hommes le
utées par les Satyres et les Bacchantes de sa suite. Le plaisir et la joie furent les seules armes qu’il employa pour conqué
ses de divers genres : c’étaient des espèces de bals où éclataient la joie , la magnificence et l’adresse. Philostrate attrib
et ils exprimaient par leurs figures, leurs pas, et leurs gestes, la joie vive d’une noce. C’est une des danses qui étaient
ir. Le peuple, les magistrats, la noblesse confondus et réunis par la joie générale, semblaient ne composer qu’une seule fam
nuit. Les danses, qui n’étaient d’abord qu’une expression naïve de la joie que causait le retour du printemps, dégénérèrent
19 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Iphigenie en Tauride. Ballet tragique » pp. 235-256
Tyran lève le bras pour frapper Oreste, fait renaître le calme et la joie  ; et par une transition subite et naturelle, on s
ortemens, que le dédain, le mépris et la fermeté. Thoas, enivré de la joie barbare de les faire égorger, est infléxible aux
e. Scène iv. Thoas, commande à ses guerriers de se livrer à la joie et d’exécuter les jeux institués pour célébrer l’
roduit un double effet ; Oreste se livre à la douleur, et Pylade à la joie  ; Oreste embrasse les genoux d’Iphigénie, pour la
omber le glaive homicide, elle recule de surprise, d’étonnement et de joie , et se jette avec transport dans les bras de son
te, qui est dans ceux de Pylade, lui témoigne sa reconnoissance et sa joie  ; Iphigénie embrasse l’autel de la Déesse et lui
20 (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] « Les ressources, ou le tableau du monde, pantomime.  » pp. 15-16
assure devoir bientôt se remplir d’argent. Le Sultan, au comble de la joie , fait sonner de la trompette, pour appeller le Pe
rés de frayeur. Les Démons redoublent leurs sauts, s’abandonnent à la joie , se jettent enfin dans les coffres, & tout di
ns de l’Art & de la Nature. Le Peuple vient exprimer au Sultan sa joie & sa reconnaissance. Le Magicien l’assure qu’
21 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre V. De quelques Danses des Romains »
opies des Bacchanales, ne retinrent de celles-ci que la liberté et la joie . Ils substituèrent aux premières figures, des fig
22 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIX, sardou et kawakami » pp. 214-
upe japonaise à Paris, et que la Société des Auteurs le recevait avec joie . J’expliquai alors à Kawakami, avec le renfort in
ponais, reconnaissance, fierté », et fis de mon mieux pour peindre la joie de Kawakami d’avoir établi un lien entre le monde
23 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 26 juin. Lettre à Mlle ***, de l’Opéra. »
spirituelle. Vous avez des gestes qui sont des cris de douleur ou de joie . Mais ces cris m’ont déjà fait fuir la comédie et
oufflée le moins du monde. Eh bien, quelle délivrance, quelle robuste joie que ce franc jeté, que ce temps d’élévation exécu
24 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre V. Des Bals Masqués »
faire le succès de cet amusement, qui tient autant à l’esprit qu’à la joie . Il a été extrêmement à la mode pendant près de d
25 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XI, une visite chez rodin » pp. 118-123
par la négative. Mais sur leur visage, il y avait un reflet de grande joie , et je sus qu’ils avaient apprécié et compris Rod
our la simplicité de sa forme et aussi en reconnaissance de la grande joie qu’elle m’a causée. « Mme Loïe Fuller, que j’adm
26 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 29 juin. Le gala Karsavina. »
meurent loin d’elle étaient venus vous voir mardi. — Quelle heure de joie , de consolation, d’orgueil leur avez-vous donnée,
27 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre VII. Objection : On a toujours dansé. » pp. 188-201
tout ce qui est favorable au prince et à l’état fait le sujet de leur joie  ; mais alors leur joie et les témoignages publics
le au prince et à l’état fait le sujet de leur joie ; mais alors leur joie et les témoignages publics qu’ils en donnent, pre
satisfaire ses désirs impudîques ? Ne peut-on donc prendre part à la joie publique qu’en se déshonorant publiquement ? Et c
nt mêlés dans nos ris. Quelle erreur et quelle folie est cela, qu’une joie toute simple ne nous paroisse pas en être une, et
28 (1761) Le Festin de Pierre. Ballet Pantomime « [Plan du ballet] »
s Maîtresses. Lorsqu’on a dansé on se met à table. Au plus fort de la joie , le Commandeur en statue, frappe rudement à la po
29 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre XI. Des danses Baladoires, des Brandons, etc. »
s crimes qui s’étaient glissés dans la Danse sacrée des Chrétiens. La joie sainte des solennités, qui, en passant de l’âme j
30 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1663 — 8 janvier : Ballet des Arts — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 24 février 1663 »
r Art, de vrais Apollons, Et, bref, toute la symphonie, Causaient une joie infinie. Le Théâtre était fort paré, Bien disposé
31 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « II. Vocation. » pp. 14-23
, Et la Galerie, aux soirs d’Opéra, Se pâmera, rien qu’à les voir, de joie … *** Oh ! les pères de danseuses ! Que dites-vou
ieur. Vains efforts, sa protestation se perdait au milieu des cris de joie de l’enfant qui lui avait sauté au cou et l’embra
32 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre III. Des Danses des Anciens dans les Fêtes des Particuliers »
ié, la tendresse, l’hospitalité concouraient ensemble pour ranimer la joie et pour entretenir le plaisir. Chaque Famille dan
33 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 2 juin. Le ballet cambodgien. »
nos yeux un peu éblouis et prenons, en toute humilité, notre part de joie à ce spectacle rare. Nous verrons se manifester u
34 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 19 mars. Le cas des Sakharoff. »
bres danseurs, que je tâcherai pourtant de revoir. Mais quelle fut ma joie quand quelques instants plus tard, en sortant du
35 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1661 — 19 février : Ballet de l’Impatience — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 26 février 1661 »
ce Royal Ballet Excellemment bien son Rollet. La Barre, qui comble de joie , Soit qu’on l’écoute, ou qu’on la voie, Avait un
36 (1845) Notice sur La Sylphide pp. 3-23
nsouciant qui croit avoir tout fait pour la gloire et surtout pour la joie intérieure, quand d’une course aux pays lointains
anse en effet autour du jeune homme endormi ; « elle bondit avec une joie d’enfant dans les flammes », dit Nodier ; et dans
mmence. Effie est heureuse, James est triste ; Effie s’abandonne à la joie d’avoir un mari, à dix-huit ans, James s’étonne,
lles du sabbat, et ces horribles femmes s’abandonnent à leur horrible joie tant qu’elle peut aller. « Telles sont les fêtes
37 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre VII. Des Ballets Bouffons »
aine et terminent ce spectacle par une Entrée générale qui exprime la joie la plus folle. Les Ballets de ce genre ont donné
38 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre III. Objections tirées des Docteurs de l’Eglise. » pp. 167-174
t parmi les chrétiens, elles font plaisir aux démons qui mettent leur joie dans la perte des ames, dont les danses sont une
l’amour de lui et pour lui plaire ? Qui ne craint pas dans ces folles joies d’étouffer en soi l’esprit de prière, et d’interr
39 (1908) L’École de danse de Grünewald « L’école de danse du Grünewald » pp. 261-268
usiques de notre temps. C’est cela qu’elle veut faire revivre pour la joie des hommes, pour la joie de l’art. Et voilà pourq
’est cela qu’elle veut faire revivre pour la joie des hommes, pour la joie de l’art. Et voilà pourquoi elle a fondé de ses d
40 (1910) Dialogue sur la danse pp. 7-17
i. Cela se passe de toute littérature. C’est une merveille. C’est une joie de la vie. La Danseuse Alors, pourquoi voulez-vou
paraît, et dès que nous avons applaudi en elle, avant toute chose, la joie de la danse, nous sommes pris par l’objet du spec
41 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Alceste. Ballet tragique. » pp. 207-218
te se fait entendre. Lycomède montre de la crainte ; Alceste peint sa joie et menace le ravisseur, qui l’entraîne avec préci
son ravisseur étendu sur la poussière, et ce premier objet excite sa joie  ; mais apper-cevant ensuite son époux dangereusem
42 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 5 février. Les périls du music-hall. »
uisse tombe, entraîne le genou, puis la pointe — et voilà toute notre joie gâtée. C’était d’ailleurs un début ; nous irons r
43 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VII. le diable boiteux  » pp. 220-261
lure plutôt distinguée. Les yeux de Véron pétillaient de malice et de joie  ; chez Duponchel, un lorgnon voilait un regard mo
majeur qu’elle avait à retourner à Paris. Elle renonça volontiers aux joies des réunions familiales, aux succès assurés et mê
lle commença par une reprise de la Tempête, où Paris lui témoigna une joie sincère de la revoir, une année qui allait être d
allet qui avait fait sa fortune et dont la reprise serait saluée avec joie , la Sylphide. Elle remplit le rôle avec son art h
i lui est rendu et dont elle a été privée si longtemps. De toutes les joies de ce monde, de tous les plaisirs sans fatigue et
de tous les plaisirs sans fatigue et sans remords, je ne sais pas une joie plus grande, un plaisir plus vif : voir danser Ml
pour le théâtre de Bordeaux, une recette fabuleuse. Dans l’élan de sa joie et de sa reconnaissance, le directeur Solomé offr
44 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Discours préliminaire. » pp. -
s sa troisième épître qu’il adresse à Gaïus, voulant lui témoigner sa joie de ce que des gens venus de chez lui, lui avoient
de la sainteté de sa vie, lui écrit : (v. 3 et 4.) J’ai une extrême joie du témoignage que nos frères m’ont rendu de votre
céleste, et j’aurois bien voulu me voir près de l’Epoux, et avoir la joie d’entendre sa voix ; mais les fougues de mon orgu
écoutois pas, Seigneur, avec la fidélité nécessaire pour arriver à la joie que vous faites goûter à ceux qui n’ont d’attenti
nte ; car elle a été louée dans David. Ce saint roi, transporté d’une joie toute sainte, dansoit devant l’arche, ayant l’esp
45 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — DERNIERE LETTRE. » pp. 435-484
que bat une horrible tempête, & par une Danse vive qui annonce la joie barbare que fait naître l’espoir de voir frapper
cès d’une satisfaction inexprimable, mais cette satisfaction & la joie qu’elle inspire sont bientôt balancées par le sou
excès de leur bonheur est exprimé par toutes les démonstrations de la joie la plus pure ; ils s’inondent de leurs larmes, &a
main avec transport ; & ils se retirent tous trois pénétrés de la joie la plus vive. Clitandre paroît sur la Scene ; so
ant de son bonheur il exprime tour-à-tour sa surprise, sa crainte, sa joie , sa tendresse & son ravissement ; il tombe au
46 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Quatrième lettre. Flaminien d’Autremont à Melchior de Sainte-Fauste. » pp. 83-91
promit de ne pas s’exposer à un accident. Mais au moment où, dans la joie de mon âme, j’étais prêt à lui rendre toute la fe
er des consolations pour cette douleur. Je m’imposai de lui cacher la joie que j’éprouvais, mais je courus en faire part à m
ent le désir bien naturel de voir leur fille revenir promptement à la joie et à la santé. Ma contrainte était extrême. Il ne
47 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre VIII. De la Danse sacrée des Égyptiens »
e était terminé par des Danses vives et gaies qui faisaient passer la joie et l’amour dans le cœur d’un peuple innombrable q
48 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre IV. Des Bals »
de roses orne sa tête ; ses traits sont animés de vives couleurs, la joie est dans ses yeux, le sourire est sur ses lèvres.
stins. Elles furent d’abord, comme les Intermèdes de ces repas que la joie et l’amitié ordonnaient dans les familles. Bientô
49 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Apelles et Campaspe, ou la Générosité d’Alexandre. Ballet pantomime. » pp. 177-189
est témoin de l’hommage qu’il rend à Campaspe ; elle fait éclater la joie que lui donne l’espoir de perdre sa rivale, et so
é des epoux, le bonheur de Roxane, la satisfaction d’Alexandre, et la joie de tous ceux qui ont été témoins de la victoire q
50 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre II. Origine des Ballets »
senti pour la première fois, depuis mon malheur, quelque mouvement de joie . Mes chants ont changé avec les sentiments de mon
51 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 17 avril. « En bateau ». — Le préjugé du rythme. »
e disperse sur une périphérie trop vaste. Je me fais un devoir et une joie d’examiner minutieusement toutes les œuvres qui c
52 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 29 mai. Pétrouchka. L’Après-midi d’un faune. Soleil de nuit. »
l’emprise qu’exerce cette œuvre unique apparaît plus intense. Quelle joie que cette musique, ce bruit puissamment organisé,
53 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre II. la dernière passion du chevalier frédéric de gentz  » pp. 37-96
0 en un seul souper offert à des femmes de théâtre ou à des filles de joie . Gentz n’est pas nommé, mais c’est lui, sans aucu
el, loin d’être choqué de ces lettres qui détaillaient à sa femme les joies et les souffrances d’un sexagénaire amoureux, les
’est qu’il faut tenir avec d’autant plus de chaleur et de passion aux joies de la vie que celle-ci se rapproche davantage de
ela ne s’appelait point de la douleur, cela ne s’appelait point de la joie  ; c’était plus que l’une et l’autre intimement un
ablé, ce lieu chéri : j’emporte avec moi toutes mes douleurs et toute joie . » Gentz était à peine installé à Kœnigswart, qu
, car il y a longtemps que je ne vous ai vu si gai. » C’est de cette joie que débordait encore son cœur le lendemain matin,
t, même aux plus absurdes mystères du magnétisme. » En attendant les joies du retour, Rahel berce la douleur de l’impatient
« Plutôt me débattre à travers les souffrances que de porter tant de joies de la vie », tout cela m’avait tellement fatigué
tout autour de nous, lorsque s’éteint le dernier rayon d’espoir et de joie que le ciel pouvait envoyer, personne ne doit cro
sprit qui lui étaient jusqu’alors totalement inconnues, et c’est avec joie qu’elle recueillit ces nouveaux éléments de cultu
54 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre I. Des Fêtes dont la Danse a été le fond à la Cour de France, depuis l’année 1610 jusqu’en l’année 1643 »
ste à la Cour de Louis XIII que pour y descendre jusqu’à une sorte de joie basse, pire cent fois que la tristesse. Presque t
ste qui avait suivi la Renommée, exprimait cette vérité par un pas de joie noble et vive qui termina ce grand spectacle. C’e
55 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Les Danaïdes, ou. Hypermnestre. Ballet tragique. en cinq actes. » pp. 183-195
e et la rage qui régnent dans son cœur ; il affecte de se prêter avec joie à cette union funeste, mais il a beau dissimuler 
quelles Danaüs soutient son caractère, en mêlant à l’expression d’une joie feinte, les transports d’une haine implacable.
56 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Conclusion » pp. 414-418
financiers, les actionnaires de chemins de fer, nous apercevons avec joie et nous saluons avec respect une cohorte d’artist
57 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 25 septembre. Raden Mas Jodjana, danseur classique. »
telier de la rive gauche, est venu renouveler, quelque chose de cette joie et raviver les mêmes préoccupations. Mas Jodjana,
58 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 3 novembre : Les Amours de Diane et d’Endimion — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 14 novembre 1671 »
Six des Amours, en ce miment, Tout-à-fait, agréablement, Dansent de joie , une Bourrée, Laquelle, grandement, agrée : Et le
59 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIV, la princesse marie » pp. 146-
t, avait, en outre, composé de la musique parfaite pour des danses de joie ou de douleur. Bref, j’avais dû danser au moins v
« Souvenir d’une soirée pendant laquelle vous avez rempli mon âme de joie . » La veille de notre départ de Bucarest, l’arge
60 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre X. le coucher de l’astre  » pp. 365-413
s de la divine Fanny s’élever jusqu’au ciel. « Mais après toute cette joie je crains de ne plus pouvoir être heureux dans l’
lle ne put rendre les derniers devoirs à celui dont elle avait été la joie et l’orgueil, et qui allait reposer désormais au
omparable, dans quels suaves embrassements il a été conçu, combien de joies et de martyres il est destiné à connaître. « Tu e
’autre était Fanny Cerrito, une Milanaise, qui faisait depuis 1838 la joie de ses compatriotes ; la troisième était Lucile G
ny Elssler sans beaucoup la comprendre. Sa danse souleva chez eux une joie élémentaire de barbares et entraîna ces tempérame
ondit en larmes, mais en douces larmes de reconnaissance, signe d’une joie trop pénétrante. En la voyant, vieillards, enfant
e était décidée à finir en beauté. Il lui tardait aussi de goûter les joies silencieuses de la vie de famille, après avoir ép
61 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre III. De la Danse théâtrale des Romains »
t que confirmer sa honte ; la confusion de Vénus, la rage de Mars, la joie maligne des Dieux, qui accourent en foule à ce sp
62 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre I. Des Ballets Ambulatoires »
ment reçurent l’image de Charles, avec les transports de la plus vive joie , et au bruit du Canon de la Ville et des Vaisseau
63 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 13 novembre. Échos du temps passé. Éloge de Rameau. »
te génération qui rétablit la royauté de Rameau, j’avoue éprouver une joie orgueilleuse. Car cet effort classe notre époque.
64 (1845) Notice sur Ondine pp. 3-22
es lèvres souriantes de l’Ondine prête à s’engloutir, on peut lire la joie et l’orgueil du triomphe, lorsque les amis de Mat
st devenue une simple mortelle, elle sera la femme de Mattéo ! Quelle joie  ! quelle ivresse ! Elle joue avec son ombre, elle
droits surnaturels, laissant à Giannina son bonheur passager, et les joies mêlées de troubles de l’existence mortelle. Tel e
65 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre quatrième — Chapitre I. Époque du plus haut point de gloire de l’Art »
lus de lois, d’injustice, de tyrannie. Ce ne furent que transports de joie . Le Peuple, les Sénateurs, la Noblesse ne pouvaie
66 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre XIV. » pp. 77-82
rellement triste et sérieuse ; et après avoir entraîné le public à la joie et au plaisir ; après avoir obtenu les plus grand
67 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre III. Témoignages des SS. Pères et Docteurs de l’Eglise contre les Danses. » pp. 23-43
éation du monde, plutôt qu’à danser et à vous livrer à des marques de joie insensées. » (M. Cotellier, dans son recueil des
des vierges, (c. 5, n.° 25, tom. 2, pag. 180,) après avoir dit que la joie d’un chrétien ne doit se trouver que dans le témo
ur a faite en disant : (Luc 6, v. 25) Malheur à vous qui êtes dans la joie  ! parce que vous serez dans l’affliction et dans
68 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre XV. » pp. 83-88
té franche et naïve, une expréssion vraie, adaptée au sentiment de la joie , un ensemble admirable, une précision rare, prési
69 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VIII, sarah bernhardt. — le rêve et la réalité » pp. 82-97
vous trouver un engagement, petite fille ! Ce fut encore une nouvelle joie , une joie pas vaine, car la promesse de cet homme
er un engagement, petite fille ! Ce fut encore une nouvelle joie, une joie pas vaine, car la promesse de cet homme devait se
70 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 6 novembre. Classicisme et exotisme. Une étoile parnassienne : Mlle Schwarz. — Djemil. — Un maître français. — Reprise de « Roméo ». »
oupes, un instrument docile, ductile et au son très pur. Et c’est une joie de la voir, du ressac violent d’une danse bachiqu
71 (1921) L’âme et la danse pp. 99-128
s passions et les raisons. L’amour en a besoin comme la haine ; et ma joie et mon amertume, ma mémoire avec mes projets, se
dissant, cette fête intense du corps devant nos âmes offre lumière et joie … Tout est plus solennel, tout est plus léger, tou
es des mains, les talons, bien frappant et battant le temps, forgeant joie et folie ; et toutes choses en délire bien rythmé
e et folie ; et toutes choses en délire bien rythmé, règnent. Mais la joie croissante et rebondissante tend à déborder toute
72 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VIII » pp. 106-119
t non-seulement le directeur de son théâtre, mais il en représente la joie . Homme charmant, bien élevé, ses manières sont él
73 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — IX, alexandre dumas » pp. 98-
était un vieil ami de son père. — Vraiment ! dis-je, au comble de la joie . Vous voulez me présenter à l’auteur de la Dame a
74 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Belton et Eliza. Ballet pantomime. » pp. 223-233
tendres caresses à Amazili sa sœur ; il est uni à sa chere Eliza. La joie et l’allégresse régnent dans tous les cœurs et br
75 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre premier. Instructions générales aux élèves » pp. 19-39
éprouver de douces émotions et en livrant son âme au plaisir et à la joie . [8] Soyez vigoureux, mais sans roideur ; que vot
ps ; elle peint même mieux que la parole, une douleur extrême, ou une joie excessive. Dauberval. « Polymnie (a) a du ge
76 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre IV » pp. 44-59
ropos de quoi ? En vantant la gaieté de notre monde, en célébrant ses joies , en chantant son indépendance. C’est encore la fa
77 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre V » pp. 60-75
ur quelques instants que tu n’as pas encore quitté Paris, la ville de joie  ! C’était un bal de nuit, la fête était charmante
78 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VII » pp. 90-105
danser. Markouski, qui ne les quittait pas des yeux, constatait avec joie qu’ils s’amusaient étonnamment. Les dames furent
79 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — V, mes débuts aux folies-bergère » pp. 50-
on « numéro », je me mis à l’applaudir sincèrement et avec une grande joie . Ce n’était point l’admiration qui provoquait mes
80 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — X. m. et mme camille flammarion  » pp. 108-
petite nébuleuse américaine était très fière d’avoir l’honneur et la joie de servir de trait d’union entre deux si claires
81 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XII, la collection de m. groult » pp. 124-133
us ici. Et, par une large baie vitrée, il me montra ce qui faisait sa joie  : c’était un bassin d’où jaillissait un jet d’eau
82 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVI, autres souverains » pp. 178-
XVI autres souverains Je me souviendrai toujours, et avec quelle joie , de ma 600e représentation à Paris. J’étais alors
83 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVIII, comment j’ai découvert hanako » pp. 204-
urs intéressée au plus haut point. Aussi peut-on imaginer avec quelle joie j’entrai en relations avec Sada Yacco et penser q
84 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Adèle de Ponthieu. Ballet tragi-héroïque, en quatre actes. » pp. 109-120
termine par un pas général, qui peint la félicité des deux époux, la joie pure de Renaud, et l’intérêt tendre que les cheva
85 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La Descente d’Orphée aux Enfers. Ballet héroï-pantomime. » pp. 215-224
uittent leurs hameaux pour se livrer aux transports de leur innocente joie  : ils lui présentent des fleurs et des fruits, et
86 (1845) Notice sur Le Diable boiteux pp. 3-31
lus alors que l’alchimiste n’ait dit vrai, et laisse éclater toute sa joie . Don Gil, se trompant sur le motif de sa gaieté,
ier des signes d’intelligence. — Le jeune Zambulo est au comble de la joie  ; il appelle Asmodée et le remercie avec effusion
la part de la veuve, une invitation à se présenter chez elle. Dans la joie qu’il en éprouve, Cléofas oublie subitement la gr
87 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Les Graces. Ballet anacréontique. » pp. 75-97
les mains. Les Bergers enchantés de ce nouveau prodige expriment leur joie et leur félicité. Philis et Daphnis unis à jamais
t se livrent à des danses, qui caractérisent l’expression naïve d’une joie pure. Cette fête Anacréontique est terminée par u
88 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les fêtes modernes »
e, et l’Hôtel-de-ville de Paris y déploie, pour signaler son zèle, sa joie et sa reconnaissance, le goût le plus exquis, les
le Roi, à son retour de Metz, vint jouir des transports d’amour et de joie d’un peuple qui venait de trembler pour ses jours
senti pour la première fois, depuis mon malheur, quelque mouvement de joie  ; mes chants ont changé avec les sentiments de mo
Jaucourt]. On aperçut dès-lors que dans les grandes circonstances, la joie des princes, des peuples, des particuliers même,
que le point capital dans ces grands spectacles, est d’y répandre la joie , la magnificence, l’imagination, et surtout la dé
temps ne cessa d’être triste, que pour descendre jusqu’à une sorte de joie basse, pire cent fois que la tristesse. Presque t
us les Français. La grossesse enfin de Madame la Dauphine ranima leur joie  ; et M. le duc d’Aumont, pour lors premier gentil
, ils laissèrent la cour et la ville se livrer aux vifs transports de joie que la naissance d’un prince avait fait passer da
plus tranquilles, mais moins opulentes, suppléer dans ces moments de joie , à tous les moyens faciles qu’offre aux autres la
, adventus Delphinæ 1745 ; l’arrivée de Madame la Dauphine remplit de joie la ville de Bordeaux. Du côté de la ville, l’embl
r de Madame la Dauphine, que des réjouissances et des acclamations de joie  ; ce n’était que fêtes continuelles dans la plupa
ons et aux hautbois, et jouaient les airs de la plus noble gaieté. La joie régnait souverainement dans toute l’assemblée, et
nie [Article de Venel]), pour servir ou dans les grandes occasions de joie , ou dans la guerre, pour être employée comme arme
89 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIII, mes danses et les enfants » pp. 134-145
ôt, l’enfant créa des danses nouvelles. La façon dont il exprimait la joie , la douleur, l’extase, le désespoir, était admira
90 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XX, une expérience » pp. 222-231
et jusqu’à ses jambes nues. Je ne voyais que la danseuse et toute la joie artistique qu’elle me donnait. Lorsqu’elle eut fi
91 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VI. les débuts de fanny elssler à paris  » pp. 188-219
et l’autre est une perfection, soit comme femme, soit comme danseuse. Joies . » Les entrefilets destinés à tenir l’attention d
ns ostensiblement. Rentrée dans les coulisses, où Thérèse pleurait de joie , la débutante fut accablée de félicitations. Quel
mesure dans Gustave beaucoup plus que dans la Tempête. Thérèse eut la joie de voir son dévouement doublement récompensé, par
92 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VIII. victoires et revers  » pp. 262-319
auté faisait naître sur le visage des passants. Voici que toute cette joie lui était rendue, par une après-midi de décembre
danse. Ses camarades l’accueillirent avec de vives démonstrations de joie . Duponchel lui parla d’un ballet nouveau dont il
e Taglioni. « Adieu donc encore, ombre dansante qui étais toute notre joie innocente, notre chaste passion, notre plaisir sa
oir, l’Espagne pittoresque, ivre de lumière, frémissante de vie et de joie . Ce n’est pas en des poèmes que Th. Gautier chant
et l’article de Th. Gautier valait de l’or. *** Le soir du 5 mai, la joie de la triomphatrice aurait pu être troublée, si e
93 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre premier. De la Danse en général, suivant l’opinion des Anciens. » pp. 1-32
ent encore à modérer quatre passions les plus dangereuses, sçavoir la joie , la colere, la crainte, & la mélancolie : les
rs introduisirent des fêtes, des festins, des spectacles, des feux de joie , & des jeux innocens, pour augmenter les réjo
94 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre V. De l’usage de la Danse grave & sérieuse, convenable aux Bals de cérémonie. » pp. 112-145
ille en pareille occasion, où les festins, les bals & les feux de joie répondoient à la magnificence du régne de Louis X
des Danses.D’une troupe plus nombreuse, Muse régle les accords, D’une joie impétueuse Rends dociles les transports, Chaconn
95 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre V. Témoignages des Évêques dans leurs Instructions pastorales, des Catéchismes, et des Théologiens contre les Danses. » pp. 51-71
u vingt-quatrième dialogue, qui est sur les danses, il fait parler la joie et la raison. La joie dit qu’elle trouve un grand
ogue, qui est sur les danses, il fait parler la joie et la raison. La joie dit qu’elle trouve un grand plaisir dans les dans
96 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE XIV. » pp. 396-434
il avoit de perdre l’objet de sa tendresse. Ce calme fait renaître la joie dans le Serrail, & le Grand Seigneur permet a
; de son humeur, elle passe subitement de cet excès de tristesse à la joie la plus vive & la plus immodérée. Ces transit
97 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La Rosière de Salency. Ballet pastoral. » pp. 191-203
ment un concert champêtre et se livrent à des danses qui expriment la joie . La petite Javotte, attirée par la curiosité de s
98 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « IX. L’escadron volant de la rue Lepeletier. » pp. 190-203
rs années, un petit hérisson qui, d’ailleurs, lui témoignait toute la joie qu’il ressentait à se savoir le préféré d’une aus
99 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la musique moderne »
ipide cité par Athénée, on voit que le linos pouvait aussi marquer la joie . Enfin il y avait encore des hymnes ou chansons e
de la voix, pour peindre à l’extérieur les sentiments de douleur, de joie , de plaisir dont ils étaient intérieurement affec
’en servirent pour exprimer d’une façon plus marquée le plaisir et la joie . Ces sentiments qui remuent et agitent l’âme d’un
pour adoucir le sentiment de nos fatigues, et trouvé pour exprimer la joie , servit bientôt après pour célébrer les actions d
100 (1921) Salvatore Viganò pp. 167-190
ps ; elle peint encore mieux que la parole une douleur extrême ou une joie excessive. »« Il ne me suffit pas de plaire aux y
res. Le dernier acte, qui se passait à la cour de Neptune, faisait la joie de Stendhal : « Rien moins que des poissons dansa
complexité, sa variété infinie, ce premier acte se déroulait pour la joie des yeux. La critique n’y trouva à reprendre qu’u
/ 133