c. 3. v. 4.) Il y a un temps de s’affliger, et un temps de sauter de
joie
. Ensuite ils croient trouver de quoi autoriser l
où l’on lit : Il y a un temps de s’affliger, et un temps de sauter de
joie
. Mais je demande si, sauter de joie est la même
fliger, et un temps de sauter de joie . Mais je demande si, sauter de
joie
est la même chose que danser ? Il peut arriver qu
se que danser ? Il peut arriver quelquefois que dans les sauts que la
joie
fait faire, il y ait quelque chose qui ne soit pa
quelquefois on est affligé et on pleure, et d’autres fois on saute de
joie
: c’est pourquoi il commence le chapitre d’où son
int-Esprit, qu’il y a un temps de s’affliger et un temps de sauter de
joie
, son intention principale a été de nous avertir d
distinguer le temps destiné aux larmes, et celui qui est destiné à la
joie
; et que c’est dans cette vie qu’il faut gémir et
gémir et pleurer, en attendant dans l’autre vie la consolation et la
joie
. Jésus-Christ lui-même nous a appris à prendre ce
ps de deuil et de pleurs, et celui de l’autre vie pour le temps de la
joie
, lorsqu’il a dit : (Matth. c. 5. v. 5.) Heureux
vous pleurerez et vous gémirez, vous autres, et le monde sera dans la
joie
; vous serez dans la tristesse, mais votre triste
e ; vous serez dans la tristesse, mais votre tristesse se changera en
joie
… et personne ne vous ravira cette joie ; au cont
votre tristesse se changera en joie… et personne ne vous ravira cette
joie
; au contraire, le démon, tout opposé à Jésus-Ch
aint-Esprit, qu’il y a un temps de pleurer, et un temps de sauter de
joie
, pour autoriser les danses, servons-nous-en plut
ur, de personnes de différent sexe, pour se livrer à la licence d’une
joie
folle et criminelle, et ces chœurs de femmes qui
au comble de ses vœux ; et afin de donner à sa reconnoissance et à sa
joie
tout l’essor, et d’en suivre les transports, il p
affection véhémente de donner louange à Dieu avec le témoignage d’une
joie
sainte ; et celles-ci ne tendent au contraire qu’
seul des biens éternels, cherchait à les remplir, en même temps d’une
joie
pure dans la célébration des Fêtes qu’elle avait
des Églises, la veille des grands Jours ; et là, pleins d’une sainte
joie
, ils formaient des Danses, en chantant des Cantiq
uta devant l’Arche, était un Mystère, qui nous enseigne quelle est la
joie
et l’agilité avec lesquelles on doit aller à Dieu
instituées que pour les maintenir dans un esprit de recueillement, de
joie
pure, et de piété. L’Église alors s’arma de ses f
verset qu’ils chantaient avec les plus vifs transports de zèle et de
joie
: San Marceau pregas per nous, et nous espingaren
ar la main et dansaient en chantant des Hymnes de réjouissance. Cette
joie
simple et naïve, supposait des mœurs douces et sa
pas pressés, des figures animées, peignaient aux yeux des Convives la
joie
aimable d’une noce. Cette Danse qu’on avait nommé
les Chants, et anime la Danse. Toute la troupe est déjà remplie d’une
joie
pure… Tout-à-coup des Corsaires paraissent, fonde
retour. On répond à ses offres par mille cris de reconnaissance et de
joie
. Lui, cependant court au vaisseau, l’examine, en
s gémissements sont suspendus : un mouvement confus d’espérance et de
joie
, succède à la tristesse. On entoure en tumulte le
e cette foule de peuple qui l’écoute, la surprise, l’admiration et la
joie
. Il profite de ce moment. Il se découvre, se nomm
s ses mouvements, dans ses attitudes que la liberté, le plaisir et la
joie
: ses danses étaient l’image vive de la gaieté, d
ons, les Danses des Festins leur fournissaient de nouveaux sujets de
joie
. On faisait remonter en Grèce l’origine de ces Da
ir. Le Peuple, les Magistrats, la Noblesse confondus et réunis par la
joie
générale, semblaient ne composer qu’une même fami
nuit. Les Danses, qui étaient d’abord qu’une expression ingénue de la
joie
que causait le retour du Printemps, dégénérèrent
la Danse profane La Danse ne fut d’abord qu’une expression vive de
joie
et de reconnaissance. Elle était comme une espèce
ition. Elle fut donc dans les premiers temps une expression simple de
joie
dans les Fêtes publiques ou particulières et succ
ses, nos douleurs, et jusqu’à nos frayeurs ; mais il n’a pas pris nos
joies
, ni nos ris, et n’a pas voulu que ses lèvres, où
Eccl. c. 2, v. 2.) J’ai estimé les ris une erreur ; et j’ai dit à la
joie
: Pourquoi me trompes-tu ? (Ou, comme porte l’or
, comme porte l’original) : J’ai dit au ris : Tu es un fou ; et à la
joie
: Pourquoi fais-tu ainsi ? Pourquoi me transporte
ines qui sont réelles, mais n’en a point voulu prendre les ris et les
joies
qui ont trop d’affinité avec la déception et l’er
es ames pieuses, par la consolation du Saint-Esprit, l’effusion d’une
joie
divine, un plaisir sublime, que le monde ne peut
le mépris de celui qui flatte les sens, un inaltérable repos dans la
joie
de la conscience, et dans la douce espérance de p
en là qui ressemble à votre loi ; elle seule remplit les cœurs d’une
joie
qui, fondée sur la vérité, dure toujours. » Je p
a naissance même des autres arts, la Danse fut une vive expression de
joie
. Tous les Peuples l’ont fait servir depuis, dans
réjouissances publiques, à la démonstration de leur allégresse. Cette
joie
se varie, prend des nuances différentes, des coul
moyens fréquents de varier, d’embellir, de peindre les mouvements de
joie
populaire, dont chacun des instants peut fournir
ais que chacun de vous célèbre le sabbat spirituellement, trouvant sa
joie
dans la méditation de la loi de Dieu, dans la con
es ouvrages, et non en prenant plaisir à des danses, à des marques de
joie
folles et insensées : Non saltationibus plausibu
ir ouïs, aillent perdre à la danse, dans une si grande effusion d’une
joie
mondaine, l’esprit de recueillement et de componc
les, quand ils seroient innocens. On voit bien que cette marque de la
joie
publique ne conviendroit pas avec le deuil solenn
, parce qu’on ne pouvoit les célébrer qu’avec une démonstration de la
joie
publique. Cet esprit se conserve encore dans l’Eg
uissance, où l’on chante l’Alleluia, qui est la figure du cantique de
joie
du siècle futur : si le jeûne ne convient pas au
e du siècle futur : si le jeûne ne convient pas au temps d’une sainte
joie
, doit-on l’allier avec les réjouissances profanes
plaisir et de douleur, de colère et de tendresse, d’affliction et de
joie
. Il y a de même dans les mouvements du visage et
feu, ces mouvements rapides, lorsqu’elle est émue par un sentiment de
joie
. Vous serez alors aisément persuadé, que l’on a c
sprit, et l’âme est emportée loin d’elle-même par la colère et par la
joie
. Un exercice qui rend le corps plus souple, plus
nsible de l’impétuosité de la colère, et des transports rapides de la
joie
. « L’homme, dit un ancien philosophe, a un sens c
ns, De FRANCAIS et D’ITALIENS, Qui par trois IMPROMPTUS y mêleront la
joie
. On y fera des jeux dont l’art vous surprendra Et
ses Compagnons,5 Sans être incités, ni semons, Que pour la véritable
joie
Que dans les cœurs la Paix envoie, Pour réjouir G
de seulement ; Mais j’en jaserai pleinement, Et même avec beaucoup de
joie
, Si le Sort veut que je le voie. Je vous le prome
réalité, nous ne faisons attention qu’à la douleur ; « transporté de
joie
», mais nous n’observons que la joie ; « accablé
u’à la douleur ; « transporté de joie », mais nous n’observons que la
joie
; « accablé de chagrin », mais nous ne considéron
on pût les exprimer. Nous savons tous que dans les fortes émotions de
joie
, de douleur, d’horreur ou de désespoir, le corps
ontentement, l’incertitude, la résignation, l’espoir, la détresse, la
joie
, la fatigue, la faiblesse et enfin la mort. Toute
e ce plus puissant Fils des Dieux, Qu’on doit notre Heur, & notre
Joie
, Et ces beaux jours filez de soie. Une, de Masq
, De cet Ouvrage admirateurs, Sortirent de la Compagnie Remplis d’une
joie
infinie. 123. des Jésuites.
réguliers exprimaient sans art, mais non pas toujours sans grâce, une
joie
franche et vive. Ensuite les règles s’établirent
peuples de l’antiquité, les sacrifices étaient accompagnés de cris de
joie
, et surtout de danses : toute la nature semblait
hant à l’amour seul des biens éternels, cherchait à les remplir d’une
joie
pure dans la célébration des fêtes qu’elle avait
d devant l’arche sainte, est un mystère qui nous enseigne avec quelle
joie
et quelle promptitude nous devons courir vers les
oit sa première origine, ainsi que nous l’avons vu, aux mouvements de
joie
et de reconnaissance qu’inspirèrent aux hommes le
utées par les Satyres et les Bacchantes de sa suite. Le plaisir et la
joie
furent les seules armes qu’il employa pour conqué
ses de divers genres : c’étaient des espèces de bals où éclataient la
joie
, la magnificence et l’adresse. Philostrate attrib
et ils exprimaient par leurs figures, leurs pas, et leurs gestes, la
joie
vive d’une noce. C’est une des danses qui étaient
ir. Le peuple, les magistrats, la noblesse confondus et réunis par la
joie
générale, semblaient ne composer qu’une seule fam
nuit. Les danses, qui n’étaient d’abord qu’une expression naïve de la
joie
que causait le retour du printemps, dégénérèrent
Tyran lève le bras pour frapper Oreste, fait renaître le calme et la
joie
; et par une transition subite et naturelle, on s
ortemens, que le dédain, le mépris et la fermeté. Thoas, enivré de la
joie
barbare de les faire égorger, est infléxible aux
e. Scène iv. Thoas, commande à ses guerriers de se livrer à la
joie
et d’exécuter les jeux institués pour célébrer l’
roduit un double effet ; Oreste se livre à la douleur, et Pylade à la
joie
; Oreste embrasse les genoux d’Iphigénie, pour la
omber le glaive homicide, elle recule de surprise, d’étonnement et de
joie
, et se jette avec transport dans les bras de son
te, qui est dans ceux de Pylade, lui témoigne sa reconnoissance et sa
joie
; Iphigénie embrasse l’autel de la Déesse et lui
assure devoir bientôt se remplir d’argent. Le Sultan, au comble de la
joie
, fait sonner de la trompette, pour appeller le Pe
rés de frayeur. Les Démons redoublent leurs sauts, s’abandonnent à la
joie
, se jettent enfin dans les coffres, & tout di
ns de l’Art & de la Nature. Le Peuple vient exprimer au Sultan sa
joie
& sa reconnaissance. Le Magicien l’assure qu’
opies des Bacchanales, ne retinrent de celles-ci que la liberté et la
joie
. Ils substituèrent aux premières figures, des fig
upe japonaise à Paris, et que la Société des Auteurs le recevait avec
joie
. J’expliquai alors à Kawakami, avec le renfort in
ponais, reconnaissance, fierté », et fis de mon mieux pour peindre la
joie
de Kawakami d’avoir établi un lien entre le monde
spirituelle. Vous avez des gestes qui sont des cris de douleur ou de
joie
. Mais ces cris m’ont déjà fait fuir la comédie et
oufflée le moins du monde. Eh bien, quelle délivrance, quelle robuste
joie
que ce franc jeté, que ce temps d’élévation exécu
faire le succès de cet amusement, qui tient autant à l’esprit qu’à la
joie
. Il a été extrêmement à la mode pendant près de d
par la négative. Mais sur leur visage, il y avait un reflet de grande
joie
, et je sus qu’ils avaient apprécié et compris Rod
our la simplicité de sa forme et aussi en reconnaissance de la grande
joie
qu’elle m’a causée. « Mme Loïe Fuller, que j’adm
meurent loin d’elle étaient venus vous voir mardi. — Quelle heure de
joie
, de consolation, d’orgueil leur avez-vous donnée,
tout ce qui est favorable au prince et à l’état fait le sujet de leur
joie
; mais alors leur joie et les témoignages publics
le au prince et à l’état fait le sujet de leur joie ; mais alors leur
joie
et les témoignages publics qu’ils en donnent, pre
satisfaire ses désirs impudîques ? Ne peut-on donc prendre part à la
joie
publique qu’en se déshonorant publiquement ? Et c
nt mêlés dans nos ris. Quelle erreur et quelle folie est cela, qu’une
joie
toute simple ne nous paroisse pas en être une, et
s Maîtresses. Lorsqu’on a dansé on se met à table. Au plus fort de la
joie
, le Commandeur en statue, frappe rudement à la po
s crimes qui s’étaient glissés dans la Danse sacrée des Chrétiens. La
joie
sainte des solennités, qui, en passant de l’âme j
r Art, de vrais Apollons, Et, bref, toute la symphonie, Causaient une
joie
infinie. Le Théâtre était fort paré, Bien disposé
, Et la Galerie, aux soirs d’Opéra, Se pâmera, rien qu’à les voir, de
joie
… *** Oh ! les pères de danseuses ! Que dites-vou
ieur. Vains efforts, sa protestation se perdait au milieu des cris de
joie
de l’enfant qui lui avait sauté au cou et l’embra
ié, la tendresse, l’hospitalité concouraient ensemble pour ranimer la
joie
et pour entretenir le plaisir. Chaque Famille dan
nos yeux un peu éblouis et prenons, en toute humilité, notre part de
joie
à ce spectacle rare. Nous verrons se manifester u
bres danseurs, que je tâcherai pourtant de revoir. Mais quelle fut ma
joie
quand quelques instants plus tard, en sortant du
ce Royal Ballet Excellemment bien son Rollet. La Barre, qui comble de
joie
, Soit qu’on l’écoute, ou qu’on la voie, Avait un
nsouciant qui croit avoir tout fait pour la gloire et surtout pour la
joie
intérieure, quand d’une course aux pays lointains
anse en effet autour du jeune homme endormi ; « elle bondit avec une
joie
d’enfant dans les flammes », dit Nodier ; et dans
mmence. Effie est heureuse, James est triste ; Effie s’abandonne à la
joie
d’avoir un mari, à dix-huit ans, James s’étonne,
lles du sabbat, et ces horribles femmes s’abandonnent à leur horrible
joie
tant qu’elle peut aller. « Telles sont les fêtes
aine et terminent ce spectacle par une Entrée générale qui exprime la
joie
la plus folle. Les Ballets de ce genre ont donné
t parmi les chrétiens, elles font plaisir aux démons qui mettent leur
joie
dans la perte des ames, dont les danses sont une
l’amour de lui et pour lui plaire ? Qui ne craint pas dans ces folles
joies
d’étouffer en soi l’esprit de prière, et d’interr
usiques de notre temps. C’est cela qu’elle veut faire revivre pour la
joie
des hommes, pour la joie de l’art. Et voilà pourq
’est cela qu’elle veut faire revivre pour la joie des hommes, pour la
joie
de l’art. Et voilà pourquoi elle a fondé de ses d
i. Cela se passe de toute littérature. C’est une merveille. C’est une
joie
de la vie. La Danseuse Alors, pourquoi voulez-vou
paraît, et dès que nous avons applaudi en elle, avant toute chose, la
joie
de la danse, nous sommes pris par l’objet du spec
te se fait entendre. Lycomède montre de la crainte ; Alceste peint sa
joie
et menace le ravisseur, qui l’entraîne avec préci
son ravisseur étendu sur la poussière, et ce premier objet excite sa
joie
; mais apper-cevant ensuite son époux dangereusem
uisse tombe, entraîne le genou, puis la pointe — et voilà toute notre
joie
gâtée. C’était d’ailleurs un début ; nous irons r
lure plutôt distinguée. Les yeux de Véron pétillaient de malice et de
joie
; chez Duponchel, un lorgnon voilait un regard mo
majeur qu’elle avait à retourner à Paris. Elle renonça volontiers aux
joies
des réunions familiales, aux succès assurés et mê
lle commença par une reprise de la Tempête, où Paris lui témoigna une
joie
sincère de la revoir, une année qui allait être d
allet qui avait fait sa fortune et dont la reprise serait saluée avec
joie
, la Sylphide. Elle remplit le rôle avec son art h
i lui est rendu et dont elle a été privée si longtemps. De toutes les
joies
de ce monde, de tous les plaisirs sans fatigue et
de tous les plaisirs sans fatigue et sans remords, je ne sais pas une
joie
plus grande, un plaisir plus vif : voir danser Ml
pour le théâtre de Bordeaux, une recette fabuleuse. Dans l’élan de sa
joie
et de sa reconnaissance, le directeur Solomé offr
s sa troisième épître qu’il adresse à Gaïus, voulant lui témoigner sa
joie
de ce que des gens venus de chez lui, lui avoient
de la sainteté de sa vie, lui écrit : (v. 3 et 4.) J’ai une extrême
joie
du témoignage que nos frères m’ont rendu de votre
céleste, et j’aurois bien voulu me voir près de l’Epoux, et avoir la
joie
d’entendre sa voix ; mais les fougues de mon orgu
écoutois pas, Seigneur, avec la fidélité nécessaire pour arriver à la
joie
que vous faites goûter à ceux qui n’ont d’attenti
nte ; car elle a été louée dans David. Ce saint roi, transporté d’une
joie
toute sainte, dansoit devant l’arche, ayant l’esp
que bat une horrible tempête, & par une Danse vive qui annonce la
joie
barbare que fait naître l’espoir de voir frapper
cès d’une satisfaction inexprimable, mais cette satisfaction & la
joie
qu’elle inspire sont bientôt balancées par le sou
excès de leur bonheur est exprimé par toutes les démonstrations de la
joie
la plus pure ; ils s’inondent de leurs larmes, &a
main avec transport ; & ils se retirent tous trois pénétrés de la
joie
la plus vive. Clitandre paroît sur la Scene ; so
ant de son bonheur il exprime tour-à-tour sa surprise, sa crainte, sa
joie
, sa tendresse & son ravissement ; il tombe au
promit de ne pas s’exposer à un accident. Mais au moment où, dans la
joie
de mon âme, j’étais prêt à lui rendre toute la fe
er des consolations pour cette douleur. Je m’imposai de lui cacher la
joie
que j’éprouvais, mais je courus en faire part à m
ent le désir bien naturel de voir leur fille revenir promptement à la
joie
et à la santé. Ma contrainte était extrême. Il ne
e était terminé par des Danses vives et gaies qui faisaient passer la
joie
et l’amour dans le cœur d’un peuple innombrable q
de roses orne sa tête ; ses traits sont animés de vives couleurs, la
joie
est dans ses yeux, le sourire est sur ses lèvres.
stins. Elles furent d’abord, comme les Intermèdes de ces repas que la
joie
et l’amitié ordonnaient dans les familles. Bientô
est témoin de l’hommage qu’il rend à Campaspe ; elle fait éclater la
joie
que lui donne l’espoir de perdre sa rivale, et so
é des epoux, le bonheur de Roxane, la satisfaction d’Alexandre, et la
joie
de tous ceux qui ont été témoins de la victoire q
senti pour la première fois, depuis mon malheur, quelque mouvement de
joie
. Mes chants ont changé avec les sentiments de mon
e disperse sur une périphérie trop vaste. Je me fais un devoir et une
joie
d’examiner minutieusement toutes les œuvres qui c
l’emprise qu’exerce cette œuvre unique apparaît plus intense. Quelle
joie
que cette musique, ce bruit puissamment organisé,
0 en un seul souper offert à des femmes de théâtre ou à des filles de
joie
. Gentz n’est pas nommé, mais c’est lui, sans aucu
el, loin d’être choqué de ces lettres qui détaillaient à sa femme les
joies
et les souffrances d’un sexagénaire amoureux, les
’est qu’il faut tenir avec d’autant plus de chaleur et de passion aux
joies
de la vie que celle-ci se rapproche davantage de
ela ne s’appelait point de la douleur, cela ne s’appelait point de la
joie
; c’était plus que l’une et l’autre intimement un
ablé, ce lieu chéri : j’emporte avec moi toutes mes douleurs et toute
joie
. » Gentz était à peine installé à Kœnigswart, qu
, car il y a longtemps que je ne vous ai vu si gai. » C’est de cette
joie
que débordait encore son cœur le lendemain matin,
t, même aux plus absurdes mystères du magnétisme. » En attendant les
joies
du retour, Rahel berce la douleur de l’impatient
« Plutôt me débattre à travers les souffrances que de porter tant de
joies
de la vie », tout cela m’avait tellement fatigué
tout autour de nous, lorsque s’éteint le dernier rayon d’espoir et de
joie
que le ciel pouvait envoyer, personne ne doit cro
sprit qui lui étaient jusqu’alors totalement inconnues, et c’est avec
joie
qu’elle recueillit ces nouveaux éléments de cultu
ste à la Cour de Louis XIII que pour y descendre jusqu’à une sorte de
joie
basse, pire cent fois que la tristesse. Presque t
ste qui avait suivi la Renommée, exprimait cette vérité par un pas de
joie
noble et vive qui termina ce grand spectacle. C’e
e et la rage qui régnent dans son cœur ; il affecte de se prêter avec
joie
à cette union funeste, mais il a beau dissimuler
quelles Danaüs soutient son caractère, en mêlant à l’expression d’une
joie
feinte, les transports d’une haine implacable.
financiers, les actionnaires de chemins de fer, nous apercevons avec
joie
et nous saluons avec respect une cohorte d’artist
telier de la rive gauche, est venu renouveler, quelque chose de cette
joie
et raviver les mêmes préoccupations. Mas Jodjana,
Six des Amours, en ce miment, Tout-à-fait, agréablement, Dansent de
joie
, une Bourrée, Laquelle, grandement, agrée : Et le
t, avait, en outre, composé de la musique parfaite pour des danses de
joie
ou de douleur. Bref, j’avais dû danser au moins v
« Souvenir d’une soirée pendant laquelle vous avez rempli mon âme de
joie
. » La veille de notre départ de Bucarest, l’arge
s de la divine Fanny s’élever jusqu’au ciel. « Mais après toute cette
joie
je crains de ne plus pouvoir être heureux dans l’
lle ne put rendre les derniers devoirs à celui dont elle avait été la
joie
et l’orgueil, et qui allait reposer désormais au
omparable, dans quels suaves embrassements il a été conçu, combien de
joies
et de martyres il est destiné à connaître. « Tu e
’autre était Fanny Cerrito, une Milanaise, qui faisait depuis 1838 la
joie
de ses compatriotes ; la troisième était Lucile G
ny Elssler sans beaucoup la comprendre. Sa danse souleva chez eux une
joie
élémentaire de barbares et entraîna ces tempérame
ondit en larmes, mais en douces larmes de reconnaissance, signe d’une
joie
trop pénétrante. En la voyant, vieillards, enfant
e était décidée à finir en beauté. Il lui tardait aussi de goûter les
joies
silencieuses de la vie de famille, après avoir ép
t que confirmer sa honte ; la confusion de Vénus, la rage de Mars, la
joie
maligne des Dieux, qui accourent en foule à ce sp
ment reçurent l’image de Charles, avec les transports de la plus vive
joie
, et au bruit du Canon de la Ville et des Vaisseau
te génération qui rétablit la royauté de Rameau, j’avoue éprouver une
joie
orgueilleuse. Car cet effort classe notre époque.
es lèvres souriantes de l’Ondine prête à s’engloutir, on peut lire la
joie
et l’orgueil du triomphe, lorsque les amis de Mat
st devenue une simple mortelle, elle sera la femme de Mattéo ! Quelle
joie
! quelle ivresse ! Elle joue avec son ombre, elle
droits surnaturels, laissant à Giannina son bonheur passager, et les
joies
mêlées de troubles de l’existence mortelle. Tel e
lus de lois, d’injustice, de tyrannie. Ce ne furent que transports de
joie
. Le Peuple, les Sénateurs, la Noblesse ne pouvaie
rellement triste et sérieuse ; et après avoir entraîné le public à la
joie
et au plaisir ; après avoir obtenu les plus grand
éation du monde, plutôt qu’à danser et à vous livrer à des marques de
joie
insensées. » (M. Cotellier, dans son recueil des
des vierges, (c. 5, n.° 25, tom. 2, pag. 180,) après avoir dit que la
joie
d’un chrétien ne doit se trouver que dans le témo
ur a faite en disant : (Luc 6, v. 25) Malheur à vous qui êtes dans la
joie
! parce que vous serez dans l’affliction et dans
té franche et naïve, une expréssion vraie, adaptée au sentiment de la
joie
, un ensemble admirable, une précision rare, prési
vous trouver un engagement, petite fille ! Ce fut encore une nouvelle
joie
, une joie pas vaine, car la promesse de cet homme
er un engagement, petite fille ! Ce fut encore une nouvelle joie, une
joie
pas vaine, car la promesse de cet homme devait se
oupes, un instrument docile, ductile et au son très pur. Et c’est une
joie
de la voir, du ressac violent d’une danse bachiqu
s passions et les raisons. L’amour en a besoin comme la haine ; et ma
joie
et mon amertume, ma mémoire avec mes projets, se
dissant, cette fête intense du corps devant nos âmes offre lumière et
joie
… Tout est plus solennel, tout est plus léger, tou
es des mains, les talons, bien frappant et battant le temps, forgeant
joie
et folie ; et toutes choses en délire bien rythmé
e et folie ; et toutes choses en délire bien rythmé, règnent. Mais la
joie
croissante et rebondissante tend à déborder toute
t non-seulement le directeur de son théâtre, mais il en représente la
joie
. Homme charmant, bien élevé, ses manières sont él
était un vieil ami de son père. — Vraiment ! dis-je, au comble de la
joie
. Vous voulez me présenter à l’auteur de la Dame a
tendres caresses à Amazili sa sœur ; il est uni à sa chere Eliza. La
joie
et l’allégresse régnent dans tous les cœurs et br
éprouver de douces émotions et en livrant son âme au plaisir et à la
joie
. [8] Soyez vigoureux, mais sans roideur ; que vot
ps ; elle peint même mieux que la parole, une douleur extrême, ou une
joie
excessive. Dauberval. « Polymnie (a) a du ge
ropos de quoi ? En vantant la gaieté de notre monde, en célébrant ses
joies
, en chantant son indépendance. C’est encore la fa
ur quelques instants que tu n’as pas encore quitté Paris, la ville de
joie
! C’était un bal de nuit, la fête était charmante
danser. Markouski, qui ne les quittait pas des yeux, constatait avec
joie
qu’ils s’amusaient étonnamment. Les dames furent
on « numéro », je me mis à l’applaudir sincèrement et avec une grande
joie
. Ce n’était point l’admiration qui provoquait mes
petite nébuleuse américaine était très fière d’avoir l’honneur et la
joie
de servir de trait d’union entre deux si claires
us ici. Et, par une large baie vitrée, il me montra ce qui faisait sa
joie
: c’était un bassin d’où jaillissait un jet d’eau
XVI autres souverains Je me souviendrai toujours, et avec quelle
joie
, de ma 600e représentation à Paris. J’étais alors
urs intéressée au plus haut point. Aussi peut-on imaginer avec quelle
joie
j’entrai en relations avec Sada Yacco et penser q
termine par un pas général, qui peint la félicité des deux époux, la
joie
pure de Renaud, et l’intérêt tendre que les cheva
uittent leurs hameaux pour se livrer aux transports de leur innocente
joie
: ils lui présentent des fleurs et des fruits, et
lus alors que l’alchimiste n’ait dit vrai, et laisse éclater toute sa
joie
. Don Gil, se trompant sur le motif de sa gaieté,
ier des signes d’intelligence. — Le jeune Zambulo est au comble de la
joie
; il appelle Asmodée et le remercie avec effusion
la part de la veuve, une invitation à se présenter chez elle. Dans la
joie
qu’il en éprouve, Cléofas oublie subitement la gr
les mains. Les Bergers enchantés de ce nouveau prodige expriment leur
joie
et leur félicité. Philis et Daphnis unis à jamais
t se livrent à des danses, qui caractérisent l’expression naïve d’une
joie
pure. Cette fête Anacréontique est terminée par u
e, et l’Hôtel-de-ville de Paris y déploie, pour signaler son zèle, sa
joie
et sa reconnaissance, le goût le plus exquis, les
le Roi, à son retour de Metz, vint jouir des transports d’amour et de
joie
d’un peuple qui venait de trembler pour ses jours
senti pour la première fois, depuis mon malheur, quelque mouvement de
joie
; mes chants ont changé avec les sentiments de mo
Jaucourt]. On aperçut dès-lors que dans les grandes circonstances, la
joie
des princes, des peuples, des particuliers même,
que le point capital dans ces grands spectacles, est d’y répandre la
joie
, la magnificence, l’imagination, et surtout la dé
temps ne cessa d’être triste, que pour descendre jusqu’à une sorte de
joie
basse, pire cent fois que la tristesse. Presque t
us les Français. La grossesse enfin de Madame la Dauphine ranima leur
joie
; et M. le duc d’Aumont, pour lors premier gentil
, ils laissèrent la cour et la ville se livrer aux vifs transports de
joie
que la naissance d’un prince avait fait passer da
plus tranquilles, mais moins opulentes, suppléer dans ces moments de
joie
, à tous les moyens faciles qu’offre aux autres la
, adventus Delphinæ 1745 ; l’arrivée de Madame la Dauphine remplit de
joie
la ville de Bordeaux. Du côté de la ville, l’embl
r de Madame la Dauphine, que des réjouissances et des acclamations de
joie
; ce n’était que fêtes continuelles dans la plupa
ons et aux hautbois, et jouaient les airs de la plus noble gaieté. La
joie
régnait souverainement dans toute l’assemblée, et
nie [Article de Venel]), pour servir ou dans les grandes occasions de
joie
, ou dans la guerre, pour être employée comme arme
ôt, l’enfant créa des danses nouvelles. La façon dont il exprimait la
joie
, la douleur, l’extase, le désespoir, était admira
et jusqu’à ses jambes nues. Je ne voyais que la danseuse et toute la
joie
artistique qu’elle me donnait. Lorsqu’elle eut fi
et l’autre est une perfection, soit comme femme, soit comme danseuse.
Joies
. » Les entrefilets destinés à tenir l’attention d
ns ostensiblement. Rentrée dans les coulisses, où Thérèse pleurait de
joie
, la débutante fut accablée de félicitations. Quel
mesure dans Gustave beaucoup plus que dans la Tempête. Thérèse eut la
joie
de voir son dévouement doublement récompensé, par
auté faisait naître sur le visage des passants. Voici que toute cette
joie
lui était rendue, par une après-midi de décembre
danse. Ses camarades l’accueillirent avec de vives démonstrations de
joie
. Duponchel lui parla d’un ballet nouveau dont il
e Taglioni. « Adieu donc encore, ombre dansante qui étais toute notre
joie
innocente, notre chaste passion, notre plaisir sa
oir, l’Espagne pittoresque, ivre de lumière, frémissante de vie et de
joie
. Ce n’est pas en des poèmes que Th. Gautier chant
et l’article de Th. Gautier valait de l’or. *** Le soir du 5 mai, la
joie
de la triomphatrice aurait pu être troublée, si e
ent encore à modérer quatre passions les plus dangereuses, sçavoir la
joie
, la colere, la crainte, & la mélancolie : les
rs introduisirent des fêtes, des festins, des spectacles, des feux de
joie
, & des jeux innocens, pour augmenter les réjo
ille en pareille occasion, où les festins, les bals & les feux de
joie
répondoient à la magnificence du régne de Louis X
des Danses.D’une troupe plus nombreuse, Muse régle les accords, D’une
joie
impétueuse Rends dociles les transports, Chaconn
u vingt-quatrième dialogue, qui est sur les danses, il fait parler la
joie
et la raison. La joie dit qu’elle trouve un grand
ogue, qui est sur les danses, il fait parler la joie et la raison. La
joie
dit qu’elle trouve un grand plaisir dans les dans
il avoit de perdre l’objet de sa tendresse. Ce calme fait renaître la
joie
dans le Serrail, & le Grand Seigneur permet a
; de son humeur, elle passe subitement de cet excès de tristesse à la
joie
la plus vive & la plus immodérée. Ces transit
ment un concert champêtre et se livrent à des danses qui expriment la
joie
. La petite Javotte, attirée par la curiosité de s
rs années, un petit hérisson qui, d’ailleurs, lui témoignait toute la
joie
qu’il ressentait à se savoir le préféré d’une aus
ipide cité par Athénée, on voit que le linos pouvait aussi marquer la
joie
. Enfin il y avait encore des hymnes ou chansons e
de la voix, pour peindre à l’extérieur les sentiments de douleur, de
joie
, de plaisir dont ils étaient intérieurement affec
’en servirent pour exprimer d’une façon plus marquée le plaisir et la
joie
. Ces sentiments qui remuent et agitent l’âme d’un
pour adoucir le sentiment de nos fatigues, et trouvé pour exprimer la
joie
, servit bientôt après pour célébrer les actions d
ps ; elle peint encore mieux que la parole une douleur extrême ou une
joie
excessive. »« Il ne me suffit pas de plaire aux y
res. Le dernier acte, qui se passait à la cour de Neptune, faisait la
joie
de Stendhal : « Rien moins que des poissons dansa
complexité, sa variété infinie, ce premier acte se déroulait pour la
joie
des yeux. La critique n’y trouva à reprendre qu’u
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