Chapitre V. Du
mouvement
du Coude & de l’Epaule. Le coude, comme le
ement du Coude & de l’Epaule. Le coude, comme le poignet a son
mouvement
de haut en bas & de bas en haut ; avec cette
jambes, quand vous pliez le genou, c’est le cou-de-pied qui acheve le
mouvement
en relevant le pas, & ainsi du coude avec le
répresentation des bras, afin de ne rien omettre pour faire tous ces
mouvements
à propos. 208. Representation des mouvements de
re pour faire tous ces mouvements à propos. 208. Representation des
mouvements
des poignets Coudes et de l’épaule [Légende inté
même situation qu’ils étoient, 5. Comme aussi lorsque vous prenez un
mouvement
des poignets ils doivent se plier & s’étendre
dre de même que lorsqu’ils se plient avec les coudes. Quant au second
mouvement
qui se prend de bas en haut, les mains se trouvan
ils reviennent dans la même attitude que le represente, 5. Ce dernier
mouvement
de bas en haut, n’est pas moins necessaire que le
qui est expliqué plus au long dans le Chapitre suivant. A l’égard du
mouvement
de l’épaule, comme ils ne sont gueres distinguez
tent à la hauteur d’où ils sont baissez, ce qui ne se fait que par le
mouvement
de l’épaule.
ans les ténèbres où il se meut aujourd’hui. *** Notre connaissance du
mouvement
est presque aussi embryonnaire que notre connaiss
rons que le chagrin. En toute chose, nous ne donnons aucune valeur au
mouvement
qui exprime la pensée. On ne nous l’enseigne pas
nseigne pas et nous n’y pensons pas. Qui de nous n’a été peiné par un
mouvement
d’impatience, un froncement de sourcils, un hoche
vement !… Nous avons beau savoir qu’il y a autant d’harmonie dans les
mouvements
que dans la musique et dans la couleur, nous n’ap
ns la musique et dans la couleur, nous n’apprenons pas l’harmonie des
mouvements
. Que de fois avons-nous entendu dire : « Je ne pe
ux pas supporter cette couleur. » Mais a-t-on jamais réfléchi que tel
mouvement
est produit par telle musique. Une polka ou une v
l’atmosphère paisible d’une serre aux vitres vertes, nous faisons des
mouvements
tout différents de ceux que nous ferions dans une
bleus. Mais nous n’apportons pas d’attention à cette corrélation des
mouvements
et de leurs causes. C’est pourtant ces choses qu’
ment de lumière et de musique harmonisées ensemble. Lumière, couleur,
mouvement
et musique. Observation, intuition, et enfin comp
a forme primitive de la danse, transformée à présent en un million de
mouvements
, qui n’ont avec elle qu’un très lointain rapport,
a amenée à ce qu’elle est de nos jours. Aujourd’hui, danse signifie :
mouvements
des bras et des jambes. Un mouvement convenu, d’a
. Aujourd’hui, danse signifie : mouvements des bras et des jambes. Un
mouvement
convenu, d’abord avec un bras et une jambe, puis
tre jambe. S’il y a accompagnement de musique, chaque note demande un
mouvement
correspondant, et le mouvement, cela va sans dire
ent de musique, chaque note demande un mouvement correspondant, et le
mouvement
, cela va sans dire, doit guider plutôt la note et
s aller en mesure, ou pour mieux dire qui ne peut pas faire autant de
mouvements
qu’il y a de notes. Il est terrifiant de penser à
’on entend par chorégraphie de nos jours. Qu’est-ce que la danse ? Du
mouvement
. Qu’est-ce que le mouvement ? L’expression d’une
de nos jours. Qu’est-ce que la danse ? Du mouvement. Qu’est-ce que le
mouvement
? L’expression d’une sensation. Qu’est-ce qu’une
sations naturelles et violentes seules peuvent être exprimées par les
mouvements
naturels et c’est tout ce que je tente de faire.
que dans de grandes ou de terribles circonstances. Ce ne sont que des
mouvements
fugitifs. Pour donner l’impression d’une idée, je
donner l’impression d’une idée, je tâche de la faire naître, par mes
mouvements
, dans l’esprit des spectateurs, d’éveiller leur i
x exprimer cette force indéfinie mais sûre de son impulsion ; j’ai le
mouvement
, cela signifie que tous les éléments de la nature
sique, que ce soit un nocturne de Chopin, une sonate de Beethoven, un
mouvement
lent de Mendelssohn, un lieder de Schumann, ou mê
de Schumann, ou même la cadence des mots dans les vers ? De fait, le
mouvement
a été le point de départ de tout effort d’express
les gestes, alors que nous le pouvons avec les mots. Puisque c’est le
mouvement
et non la parole qui est la vérité, nous avons do
. Étude des bras [1] La position, les oppositions42, et surtout les
mouvements
ou le port des bras43, sont, peut-être, les parti
ec douceur. Bannissez-en la roideur et ne les abandonnez jamais à des
mouvements
exagérés. Ne les faites point mouvoir par secouss
ctueuses des bras, fig. i, 2 et 3, planc. III. 42. « De tous les
mouvements
qui se font en dansant, c’est l’opposition ou con
anc. I ; fig. 4, planc. IV ; toutes les figures, planc. VIII). 43.
Mouvements
des bras. Le mouvement du poignet se prend de deu
IV ; toutes les figures, planc. VIII). 43. Mouvements des bras. Le
mouvement
du poignet se prend de deux manières, savoir du h
lier le poignet en dedans, faisant un rond de la main, qui de ce même
mouvement
se remet dans la première situation où elle était
oint trop plier le poignet ; car il paraîtrait cassé. Quant au second
mouvement
, qui se prend du bas en haut, il faut plier le po
is laisser retourner la main en haut, faisant un demi-tour, et par ce
mouvement
la main se trouve à la première position des bras
ve à la première position des bras. Le coude, comme le poignet, a son
mouvement
de haut en bas, et de bas en haut, avec cette dif
ambes, quand vous pliez le genou ; c’est le cou-de-pied qui achève le
mouvement
, en relevant le pas ; et il en est de même du cou
se remettent dans la situation où ils étaient. Lorsque vous prenez un
mouvement
des poignets, ils doivent se plier et s’étendre d
dre de même que lorsqu’ils se plient avec les coudes. Quant au second
mouvement
qui se prend de bas en haut, les mains se trouvan
uire plus facilement. 203. Premiere Representation des bras pour le
mouvement
des Poignets [Légende intérieure] 3 de haut en b
sous, c’est ce qui fait le contraire de l’un à l’autre. Mais comme le
mouvement
du poignet se prend de deux manieres ; Sçavoir, d
plier le poignet en dedans faisant un rond de la main, qui de ce même
mouvement
se remet dans la premiere situation qu’elle étoit
point trop plier le poignet, car il paroîtroit cassé. Quant au second
mouvement
qui se prend de bas en haut, la main étant en des
mi-tour, comme vous le tracent ces mots rond du poignet, & par ce
mouvement
la main se trouve à la premiere representation de
tombant, les bras quoique étendus se baissent ; ce qui se fait par le
mouvement
de l’épaule qui se d’étend, en laissant baisser l
pas, les bras ne font que se baisser & se relever, ce qui est le
mouvement
de l’épaule, puisque ce n’est que par cette joint
rté à côté pour tirer ensuite l’autre derriere, les bras font le même
mouvement
que je viens de dire au pas tombé, qui est de se
oit s’opposer en avant de bas en haut : par exemple, en prenant votre
mouvement
pour assembler, le bras droit qui étoit devant, s
4e position ; & en glissant le corps & la tête font un petit
mouvement
; puis ils se redressent en vous élevant sur ce p
pour lors vos deux bras restent dans leur situation, sans faire aucun
mouvement
pendant les deux jettez-chassez qui terminent l’é
vant, & celuy-cy on doit plier sur les deux pieds. 168. Premier
mouvement
du Contretems Par exemple, si vous devez faire
evez en sautant. 169. Deuxieme attitude ayant sauté Mais comme le
mouvement
que l’on prend pour sauter, est plus forcé que ce
airement de ces pas pour aller de côté, ainsi ce pas est composé d’un
mouvement
sauté, & de deux pas marchez sur la pointe ;
e vous pliez, & se tient en l’air fort étenduë pendant ce premier
mouvement
; mais vous reprenez de suite un second mouvement
pendant ce premier mouvement ; mais vous reprenez de suite un second
mouvement
en pliant sur le pied gauche, ce qui vous rejette
osé derriere, & celuy de devant se leve dans l’instant du premier
mouvement
en restant en l’air, le passer derriere lorsque l
t en restant en l’air, le passer derriere lorsque l’on fait le second
mouvement
, ce qui est un demi-jetté par où se termine ce pa
le pas de Bourée, & celui qui est devant se leve, & au second
mouvement
vous vous laissez tomber sur ce pied en le jettan
l a respiré, et les sons de la voix, le jeu des traits du visage, les
mouvements
du corps ont été seuls les expressions de ce qu’i
ère et de tendresse, d’affliction et de joie. Il y a de même dans les
mouvements
du visage et du corps, des gestes de tous ces car
titudes, des sauts, des ébranlements aux sons dont l’âme peignait ses
mouvements
. Ainsi le Chant, qui est l’expression primitive d
, dans les traits de leur visage, dans leurs regards, dans tous leurs
mouvements
. Observez cette pâleur subite, ces contorsions vi
entiment de douleur. Voyez ce souris aimable, ces regards de feu, ces
mouvements
rapides, lorsqu’elle est émue par un sentiment de
naturels à l’homme, on a cependant trouvé des moyens, pour donner aux
mouvements
du corps les agréments dont ils étaient susceptib
ement. Tâchez d’acquérir de la facilité dans les hanches, pour que le
mouvement
des cuisses soit libre, et pour que les genoux se
t être faciles, moelleux et faits avec élégance34 ; il faut que leurs
mouvements
s’opèrent toujours suivant les règles, et que leu
arqué ; il aura plus d’aisance, plus de grâce dans l’exécution ; ses
mouvements
seront faciles et délicats ; mais il n’aura pas t
sages, sans renvoyer le lecteur aux chapitres qui les renferme. 33.
Mouvements
des jambes. Le mouvement du cou-de-pied est celui
cteur aux chapitres qui les renferme. 33. Mouvements des jambes. Le
mouvement
du cou-de-pied est celui qui consiste dans l’élév
e dans l’élévation et l’abaissement de la pointe du pied. De tous les
mouvements
, c’est le plus nécessaire parce qu’il soutient le
e, vous relève avec vivacité, et vous fait tomber sur les pointes. Le
mouvement
du genou ne diffère de celui du cou-de-pied qu’en
nt que la jambe est étendue et la pointe basse. Il est inséparable du
mouvement
du cou-de-pied. Le mouvement de la hanche est un
t la pointe basse. Il est inséparable du mouvement du cou-de-pied. Le
mouvement
de la hanche est un mouvement qui conduit celui d
parable du mouvement du cou-de-pied. Le mouvement de la hanche est un
mouvement
qui conduit celui du cou-de-pied et du genou. Il
la sécheresse à la danse. On peut être très doux et saccader tous les
mouvements
, en pliant bas comme en ne pliant pas. La raison
e, naturelle et évidente, lorsque l’on considère que les temps et les
mouvements
du danseur sont exactement subordonnés aux temps
es mouvements du danseur sont exactement subordonnés aux temps et aux
mouvements
de la musique. En partant de ce principe, il n’es
eux dépend en partie de la flexion proportionnée des genoux ; mais ce
mouvement
n’est pas suffisant ; il faut encore que les cous
ehors, et de les mouvoir, dans ce sens, en profitant de la liberté du
mouvement
de rotation du fémur dans la cavité cotyloïde des
ire les bras avec les Coupez de mouvemens. J’ai separé le coupé de
mouvement
des autres coupez, pour ne le pas confondre, &
ez tourner vos deux bras un peu en dessous, & vous faites un demi
mouvement
des poignets, & des coudes en commençant de b
& sans paroître affectée ; mais lorsque vous prenez votre second
mouvement
qui est le jetté échapé, en commençant votre plié
vos bras s’étendent, & dans le même moment ils prennent un petit
mouvement
de l’épaule, en se baisant & en se relevant,
bas en haut ; mais les laisser un peu baissés en prenant votre second
mouvement
, & les relever en le finissant, comme aussi d
étend de haut en bas, & l’autre bras qui est étendu fait un petit
mouvement
du poignet de haut en bas, aussi parce qu’il faut
en bas, aussi parce qu’il faut que vous tâchiez quand vous faites un
mouvement
d’un bras, que celui qui est étendu fasse une pet
z du pied droit, le bras droit qui est devant, s’étend en prenant son
mouvement
de haut en bas, & le bras gauche se tournant
mp; s’oppose au pied droit en revenant de bas en haut ; ce qui est le
mouvement
contraire de l’un à l’autre ; mais au second demi
hors sans le secours des secondes. Les genoux en effet n’ont que deux
mouvements
, celui de flexion & celui d’extension ; l’un
mine & qui lui sont inférieures. Elle les tourne conséquemment au
mouvement
de rotation dont elle est douée, & dans quelq
ort & de la souplesse, au lieu que la boîte ne sollicite qu’à des
mouvements
qui se ressentent plutôt de la contrainte que de
de leurs ligaments & de leurs muscles se prête à toutes sortes de
mouvements
; d’autres faussent leurs genoux par les attitude
se déplace une omoplate. Celui-là enfin répétant à chaque instant un
mouvement
& une situation contrainte jette son corps to
genoux, & si vous les étendez ensuite. Que l’on fasse ces divers
mouvements
soit avec célérité, soit avec lenteur, soit avec
élévation. La flexion des genoux & leur extension participent aux
mouvements
du coudepied & du tendon d’Achille que l’on d
ent. Je ne dis pas qu’il soit moralement impossible de faire faire un
mouvement
aux jambes par un effort violent de la hanche ; m
un mouvement aux jambes par un effort violent de la hanche ; mais un
mouvement
de cette espece ne peut être regardé comme un tem
dérober de dessous mes pieds, la crainte alors m’engageoit à faire un
mouvement
qui en esquivant la chûte m’élevoit un peu au-des
biles, & mes pieds tendant directement vers la terre étoient sans
mouvement
, mais dans une position propre à recevoir & à
de secousse au-delà du fossé ? S’il y a de l’impossibilité à faire ce
mouvement
, combien plus y en aura-t-il à en faire un autre
ses justes proportions ressemblera à l’action de ces Pantins dont les
mouvements
ouverts & disloqués n’offrent que la charge g
vements ouverts & disloqués n’offrent que la charge grossiere des
mouvements
harmonieux que les bons Danseurs doivent avoir. C
mation du Danseur qui doivent fixer & déterminer l’étendue de ses
mouvements
& les proportions que ses pas & ses attit
après des efforts & des contorsions qui ne peuvent s’associer aux
mouvements
gracieux & harmonieux de la Danse. Voilà, Mo
tranquille, qu’il soit immobile & inébranlable dans le temps des
mouvements
des jambes. Se prête-t-il au contraire à l’action
sécheresse à la Danse ; on peut être très-dur & sacader tous les
mouvements
en pliant bas comme en ne pliant pas. La raison e
turelle & évidente lorsque l’on considere que les temps & les
mouvements
du Danseur sont exactement subordonnés aux temps
mouvements du Danseur sont exactement subordonnés aux temps & aux
mouvements
de la Musique. En partant de ce principe, il n’es
leux dépend en partie de la flexion proportionnée des genoux, mais ce
mouvement
n’est pas suffisant ; il faut encore que les coud
& haussent avec douceur. C’est cette harmonie rare dans tous les
mouvements
qui a décoré le Célebre Dupré du titre glorieux d
; le liant, le moëlleux & la douceur qui régnoient dans tous ses
mouvements
, la correspondance intime qui se rencontroit dans
de l’esprit & de la valeur aux pas, & qui répand sur tous les
mouvements
un sel qui les anime & qui les vivifie. Il y
p; qui les vivifie. Il y a des oreilles fausses & insensibles aux
mouvements
les plus simples & les plus saillants ; il y
a d’autres enfin qui se prêtent naturellement & avec facilité aux
mouvements
des airs les moins sensibles. Mlle. Camargo &
de la valeur & du brillant. Ce charme qui naît de l’harmonie des
mouvements
de la Musique & des mouvements du Danseur enc
charme qui naît de l’harmonie des mouvements de la Musique & des
mouvements
du Danseur enchaîne ceux mêmes qui ont l’oreille
sont freres ; les accents tendres & harmonieux de l’un excite les
mouvements
agréables & expressifs de l’autre ; leurs tal
s airs mêmes destinés à leurs réjouissances ont un caractere & un
mouvement
différents, quoiqu’ils portent tous celui de la g
ur Danse est séduisante, parcequ’elle tient tout de la nature : leurs
mouvements
ne respirent que la joie & le plaisir, &
raisonnement ni expression, & la Musique qui devroit diriger ses
mouvements
, fixer ses pas & déterminer ses temps, ne ser
us apparent ; parce que l’on ne doit pas plier le coude, sans que son
mouvement
soit accompagné de celui du poignet : ainsi du co
poignet : ainsi du cou-de-pied & du genou, qui ne peut finir son
mouvement
sans que l’on soit élevé sur la pointe du pied, q
du pied, qui par consequent est le cou-de-pied qui l’acheve. Quant au
mouvement
de l’épaule, il n’est apparent que dans les pas t
le corps fait, que les forces vous manquent : aussi l’épaule par son
mouvement
fait comme si les bras tomboient ; ce qui sera ci
lles faisaient le tour du plateau en adaptant l’allure et la forme du
mouvement
à la coupe de leurs vêtements de ville ou de soir
costumes très somptueux arborés par Mlle Nérys entravaient plutôt les
mouvements
indiqués à l’artiste par le maître Clustine qu’il
Larionoff, il s’évertue à circonscrire et à limiter volontairement le
mouvement
par l’usage du costume « rigide » ; encore ne le
taire — si nous avons bien compris — la figure bizantine esquisse un
mouvement
qui déplace les lignes, et c’en est fait de la be
E X. J’ai dit, Monsieur, que la Danse étoit trop composée & le
mouvement
symmétrique des bras trop uniforme, pour que les
iere de Danse est l’Art de faire passer par l’expression vraie de nos
mouvements
, de nos gestes & de la physionomie, nos senti
pour exprimer les passions : tant qu’on ne variera pas davantage les
mouvements
des bras, ils n’auront jamais la force d’émouvoir
écarter à chaque instant, ou s’opposer en les suivant exactement aux
mouvements
de l’ame, qui ne peuvent se limiter par un nombre
timent. Instruit des principes fondamentaux de notre Art, suivons les
mouvements
de notre ame, elle ne peut nous trahir lorsqu’ell
ns sont les ressorts qui font jouer la machine : quels que soient les
mouvements
qui en résultent, ils ne peuvent manquer d’être v
e l’est pas, le Danseur sera toujours médiocre. Il en est de même des
mouvements
des bras ; la bonne grace est à ces derniers, ce
prendre. Que mes confreres se persuadent que j’entends par gestes les
mouvements
expressifs des bras soutenus par les caracteres f
Ce ne seroit pas m’entendre que de penser que je cherche à abolir les
mouvements
ordinaires des bras, tous les pas difficiles &
utant d’esprit que d’Art, & qu’ils répondent à l’action & aux
mouvements
de l’ame du Danseur ; j’exige que dans une expres
que dans une Scene grave on n’en fasse point de légers ; que dans des
mouvements
de dépit on sache éviter tous ceux qui ayant de l
le de pas enchaînés plus ou moins mal, cette exécution difficile, ces
mouvements
compliqués, ôtent, pour ainsi dire, la parole à l
Danse. Plus de simplicité, plus de douceur & de moëlleux dans les
mouvements
procureroit au Danseur la facilité de peindre &am
primer. Il pourroit se partager entre le méchanisme des pas & les
mouvements
qui sont propres à rendre les passions ; la Danse
sible de mettre de l’ame, de la vérité & de l’expression dans les
mouvements
, lorsque le corps est sans cesse ébranlé par des
Public par la force de l’illusion, & lui faire éprouver tous les
mouvements
dont ils sont animés. Cette vérité, cet enthousia
mp; qui force leur cœur à la sensibilité. Le cri de la nature, ou les
mouvements
vrais de l’action Pantomime doivent également tou
musique que l’on doit regarder comme l’organe & l’interprete des
mouvements
successifs du Danseur ? Pour que notre Art parvi
s donc, Monsieur ; cessons de ressembler à ces marionnettes, dont les
mouvements
dirigés par des fils grossiers n’amusent & ne
la musique, il aurait fallu une autorité plastique, une plénitude du
mouvement
à peine imaginables. Aussi, dans toutes les tenta
ronds de jambes ou entrechats-six, la concordance de durée entre les
mouvements
consécutifs et identiques avait l’exactitude d’un
n faveur de l’élément statique, les repos se prolongeaient ou bien le
mouvement
se précipitait par saccades. L’expérience nous fa
se qu’elle redevienne un art appliqué, calqué sur la configuration du
mouvement
, ancilla choregraphiæ. La danse a donné à pleines
anse la priorité revient à cette dernière. C’est elle qui organise le
mouvement
dans la durée. Les temps ne sont plus, heureuseme
consequent le droit se trouve opposé : alors en prenant votre premier
mouvement
, votre bras droit fait aussi du même tems son mou
votre premier mouvement, votre bras droit fait aussi du même tems son
mouvement
en le prenant de haut en bas, & le gauche dan
roit, le bras gauche opposé qui en s’étendant vous fait faire par son
mouvement
le demi tour à gauche ; mais comme le pied droit
vous voulez tourner qui vous en donne la facilité, parce que par son
mouvement
il oblige le corps de ce tourner du côté qu’il s’
, planc. I, et la fig. 3, planc. II. Battements [3] Battements.
Mouvements
en l’air que l’on fait d’une jambe, pendant que l
s démontre de quelle manière on doit s’exercer en se tenant. Après le
mouvement
du battement, la jambe retombe à la cinquième pos
attements vous tourneront entièrement et donneront de la facilité aux
mouvements
des hanches pour les développements et pour l’exé
t les jambes, parce que l’élève sera obligé de doubler le temps et le
mouvement
. [6] Les petits battements sur le cou-de-pied. La
ts sur le cou-de-pied. La hanche et le genou forment et disposent ces
mouvements
; la hanche conduit la cuisse pour s’écarter ou p
er à faire plusieurs de ces battements de suite. Doublez peu à peu le
mouvement
jusqu’à ce que vous soyez parvenu, avec le temps,
es enchaînements et pour habituer son oreille à saisir promptement le
mouvement
et le rythme de la musique. [12] Ce travail serai
oit avoir que la longueur du pied. Ne mettez point de roideur dans le
mouvement
des jambes, et ne les écartez pas. Il faut aussi
on le mette, il s’y place avec facilité, & anime la danse par son
mouvement
sauté & sa variation. Commençons par ceux qui
art et d’autre] contour du bras de haut en bas Lorsque l’on prend le
mouvement
du contre-tems, comme cette seconde Figure vous l
; à l’autre : afin de faire comprendre que les deux bras font le même
mouvement
à la fois. 259. Troisieme attitude apres avoir
qui se passe devant, mais en vous jettant sur le droit pour ce second
mouvement
, il ne faut pas changer vos bras. Vous devez auss
bras gauche opposé : ainsi dans le tems que vous prenez votre premier
mouvement
pour passer le pied droit derriere, le bras gauch
erent en ce qu’il ne faut pas d’opposition : d’autant que son premier
mouvement
se prend de la troisiéme ou cinquiéme position, &
mande point d’opposition ; c’est pourquoi il suffit de faire un petit
mouvement
des deux poignets. Voilà toutes les manieres les
ce coupé vous pliez les deux bras, & vous les étendez au premier
mouvement
du chassé ; mais au second mouvement qui se relev
amp; vous les étendez au premier mouvement du chassé ; mais au second
mouvement
qui se releve sur le pied contraire à la jambe, q
l suffit à ce pas une seule opposition qui se commence dès le premier
mouvement
, & qui se contient dans les deux autres pas.
sent pas néanmoins de faire une petite action des poignets au premier
mouvement
, & c’est pour éviter cette roideur où ils par
assignés par le moyen des muscles qui y aboutissent et les mettent en
mouvement
. On peut considérer ces muscles comme de vrais le
autres. Il y a donc des articulations de deux espèces, les unes avec
mouvement
, et les autres sans mouvement ; j’omettrai ces de
ulations de deux espèces, les unes avec mouvement, et les autres sans
mouvement
; j’omettrai ces dernières comme absolument étran
lisse, à celui de genou, à celui de charnière et à celui de pivot. Le
mouvement
de coulisse se fait quand deux os coulent et glis
oit deux autres, un à chaque extrémité, comme les vertèbres. Enfin le
mouvement
de Pivot a lieu, lorsqu’un os considérable tourne
e vertèbre du col sur l’apophèse olondoïde de la seconde vertèbre, le
mouvement
du Radius avec le Cubitus, où le premier roule au
orsqu’un os considérable tourne sur la pointe d’un autre ; tel est le
mouvement
de la tête au moyen de l’apophise olontoïde de la
emens. Rien ne contribue tant à l’élégance et à la bonne grace que le
mouvement
des bras combinés avec les oppositions de la tète
e cette articulation latérale du Radius avec le Cubitus résultent les
mouvements
de Pronation et de Supina- lion qui concourent à
s maintenant aux articulations qui servent directement aux pas et aux
mouvements
combinés du méchanisme de l’art. On peut considér
. La jonction de ces deux os constitue l’articulation par genou ; son
mouvement
de rotation est moins manifeste que celui du bras
trainte, puisque son articulation par charnière, ne lui permet que le
mouvement
de fléxion et d’extension ; le pied peut cependan
le secours de la hanche, par le moyen des muscles qui en dirigent le
mouvement
; mais cette position dèslors est outrée et défec
ns des parties qu’elle commande, et qui lui sont subordonnées par son
mouvement
de rotation ; il n’est point d’articulation qui c
conservent leur tension tonique, et ceux de la jambe font exécuter le
mouvement
de flexion ; si de cette attitude on passe subite
utre attitude, en portant lajambe et la cuisse en avant, alors il y a
mouvement
de fléxion à la cuisse et mouvement d’extension à
la cuisse en avant, alors il y a mouvement de fléxion à la cuisse et
mouvement
d’extension à la jambe ; mais lorsque je tends to
tour de jambe dans le moment de cette fléxion, la cuisse sera dans un
mouvement
d’adduction modifié par lemuscles qui en sont les
rminer leur jeu particulier et d’assigner à chacun d’eux la partie de
mouvement
qui lui est propre. Si ces notions ne paroissent
ulation désordonnée et violente d’une pantomime naturaliste. Tous les
mouvements
imitatifs ou révélant une sensation sont réduits
sont réduits à des formules plastiques fixes, à leur forme-type ; ces
mouvements
ne réalisent pas l’action ; ils la symbolisent. C
e pour l’éternité, une profonde satisfaction intellectuelle. Tous les
mouvements
de l’acteur étant astreints à un rythme, la panto
très bas, reste impassible ; le regard fermé, absent. Il commence un
mouvement
en s’appuyant sur la jambe gauche pliée et en ten
n tendant l’autre ; il porte son torse à gauche et imprime au bras un
mouvement
qui, tantôt se réduit à faire jouer le poignet, t
ait, le danseur porte le centre de gravitation à droite et réitère le
mouvement
identique ; cette figure de danse dédoublée se ré
e buste39 avec élégance, donnez-lui, dans ses oppositions et dans ses
mouvements
, de la grâce, de la souplesse, de l’abandon, sans
épaules, la tête et le buste, doivent être soutenus, et ornés par les
mouvements
des bras, et ils doivent les suivre avec grâce, p
le, inébranlable, ferme, sans roideur, mais flexible suivant tous les
mouvements
des jambes et des bras. Celui qui pendant sa dans
u’après des efforts et des contorsions, qui ne peuvent s’associer aux
mouvements
gracieux de la danse. » [NdE J. G. Noverre, art.
termes usités le plus généralement dans nos écoles de danse. 40. Les
mouvements
des jambes, comme l’apprend le chapitre précédent
es, et la représentation d’une action par les gestes, les pas, et les
mouvements
du corps, sont donc ce qui constitue le ballet. I
tarque ; parce que sans rien dire, elle s’exprime par les gestes, les
mouvements
et les pas. Clausis faucibus, dit Sidoine Apollin
culée. On dansa dans les commencements pour exprimer la joie ; et ces
mouvements
réglés du corps, firent imaginer bientôt après un
composèrent des danses sublimes, qui exprimaient et qui peignaient le
mouvement
réglé des astres, l’ordre immuable, et l’harmonie
ansaient d’abord on rond de droite à gauche, et exprimaient ainsi les
mouvements
du ciel qui se font du levant au couchant. Ils ap
à droite pour représenter le cours des planètes, et ils nommaient ces
mouvements
antistrophes ou retours ; après ces deux danses,
rmer le corps, le rendre agile ou robuste, et donner des grâces à ses
mouvements
, avaient uni ces deux exercices ; en sorte que le
r Danse théâtrale] Leurs danses étaient un tableau fidèle de tous les
mouvements
du corps, et une invention ingénieuse qui servait
mme la tragédie en représentant les passions, servait à rectifier les
mouvements
de l’âme. Les Grecs avaient d’abord quatre espèce
, deux sources fertiles d’invention, leur suggérèrent les gestes, les
mouvements
du corps et les figures, pour se faire entendre l
mière de ses parties essentielles : les figures sont la seconde : les
mouvements
la troisième : la Musique qui comprend les chants
it le seul objet de ce peuple voluptueux ; il était l’âme de tous ses
mouvements
, et de tous ses exercices. Athénée, d’après Arist
différents, et dès-lors les chevaux Sybarites, au lieu de suivre les
mouvements
que voulaient leur donner les cavaliers qui les m
un pas et un saut. La danse de terre à terre est formée de pas, et de
mouvements
égaux, en avant, en arrière, à volte sur la droit
le cheval ne s’y élève point. La danse des courbettes est composée de
mouvements
à demi élevés, mais doucement, en avant, en arriè
ant, en arrière, par voltes et demi-voltes sur les côtés, faisant son
mouvement
courbé, ce qui donne le nom à cette espèce de dan
tous les autres, l’air, le temps de l’air, et la figure. L’air est le
mouvement
de la symphonie qu’on exécute, et qui doit être d
re aux chevaux en avant, en arrière, à droite, à gauche : de tous ces
mouvements
se forment les figures, et quand d’un seul temps
ntait sur ces chants les aventures, les douleurs d’Eriphanis, par des
mouvements
et des gestes qui ressemblaient beaucoup à la dan
s en 1667. Voyez Ballet. (B) Danse Danse, s. f. (Art et Hist.)
mouvements
réglés du corps, sauts, et pas mesurés, faits au
la voix. Les sensations ont été d’abord exprimées par les différents
mouvements
du corps et du visage. Le plaisir et la douleur e
ir et la douleur en se faisant sentir à l’âme, ont donné au corps des
mouvements
qui peignaient au-dehors ces différentes impressi
mé des pas lents ou rapides, les traits du visage ont participé à ces
mouvements
divers, tout le corps a répondu par des positions
sés, tandis qu’au milieu, une quatrième, Mlle Bourgat, se penche d’un
mouvement
lent et incurvé avec ampleur sur la rame invisibl
che sur les doigts tendus, la courbe du cou-de-pied saillant, tout ce
mouvement
délicatement articulé, évoque le charme suranné d
usical, est vide de signification plastique, ignore les ressources du
mouvement
organisé. Et ce n’est pas de Hellerau que viendra
la danse proprement dite. Le rythme doit vaquer à la distribution du
mouvement
dans le temps ; il prétend en dicter la configura
e un poncif. Ah ! l’on se moque du jeté-battu ! Mais comparez donc le
mouvement
du danseur, dit moderne ou prétendu « antique » :
que où d’innombrables harmonies imitatives sont fondues dans ce vaste
mouvement
d’ensemble, irrésistible, impératif qui impose au
provisation. Cependant, rien de plus complexe que la configuration du
mouvement
réparti sur trois plans différents. Et c’est cela
masques valent par l’exagération grotesque, voulue par le maître, des
mouvements
de danse populaires. Pour les poupées, dans les s
’intérieur le procédé diffère. Pétrouchka est un pantin astreint à un
mouvement
mécanique, limité, anguleux. Mais Pétrouchka aime
it pas ; il sombre dans l’automatisme de la poupée. Et ce dualisme du
mouvement
, poignant et cocasse, tient la salle en haleine.
e province. Elle est composée de trois pas joints ensemble, avec deux
mouvements
. On la commence par une noire en levant. Mouret a
on [Article non signé]. Bourrée, (Pas de) ce pas est composé de deux
mouvements
; savoir d’un demi-coupé avec un pas marché sur l
isse glisser le pied qui est devant jusqu’à la quatrième position. Ce
mouvement
se fait en laissant plier le genou de la jambe de
nse terre à terre, et s’exécute sur une chaconne, ou sur un air de ce
mouvement
. Voyez Chaconne en Musique [Article de Rousseau e
la suite on ne la dansa que terre à terre. (B) Pas de courante. Ses
mouvements
, quoique la courante ne soit plus en usage, sont
me ce pas temps, parce qu’il est renfermé dans un seul pas et un seul
mouvement
, et qu’il tient la même valeur que l’on emploie à
ême valeur que l’on emploie à faire un autre pas composé de plusieurs
mouvements
. Voici comment ce pas s’exécute. On place le pied
rreur dans les entrées des démons, etc. (B) Geste Geste, s. m.
mouvement
extérieur du corps et du visage ; une des premièr
n. L’homme a senti, dès qu’il a respiré ; et les sons de la voix, les
mouvements
divers du visage et du corps, ont été les express
rver, réfléchir, lire, leur paraissent des distractions nuisibles aux
mouvements
du corps, où ils se livrent par préférence ; leur
s. En attendant, la vérité se trouvera écrite. Il est certain que les
mouvements
extérieurs du visage sont les gestes les plus exp
est toujours inférieur à la teinte de la nature, ne peut avoir aucun
mouvement
, et ne peut être jamais que ce qu’il a paru d’abo
age sont en proportion du sentiment ; et l’expression marquée par les
mouvements
de ses traits, sont les grâces les plus désirable
le connaissance, sont plus que suffisantes pour rendre les différents
mouvements
du corps, flexibles, rapides, brillants et moelle
ent merveilleux de son corps bronzé qui se revêtait dans ses moindres
mouvements
de la noble grandeur des rites bouddhistes ou de
ffirmer hautement l’autonomie de la danse qui transforme et exalte le
mouvement
usuel et le rythme naturel du muscle selon une lo
le pas d’une étoile est plus riche en variantes de composition et de
mouvement
, plus lourd de significations idéales qu’un musée
toutes les écoles lui refusent. Ces autres écoles réduisent toutes le
mouvement
des jambes à ces deux modes du déplacement de l’é
apte à exécuter non seulement d’innombrables variantes du saut et du
mouvement
giratoire, mais aussi à se déplacer latéralement
obtenu, leur permettent l’effusion ou les violences du drame mimé. Le
mouvement
saltatoire exclut toute velléité expressive ; s’i
qui veut que l’on presse ou ralentise selon la qualité du chant et du
mouvement
de la mesure. Le vrai mouvement élastique de la d
ntise selon la qualité du chant et du mouvement de la mesure. Le vrai
mouvement
élastique de la danse est un ; jouer trop lenteme
icien qui voudrait jouer la contredanse et s’assurer de son véritable
mouvement
, peut l’observer sans être danseur. Pour cet effe
nous l’avons démontré ci-dessus, et par cette raison produit le même
mouvement
, comme un redoublement de frappement produirait c
t à les réaliser intégralement. Mais peut-on en somme reconstituer un
mouvement
de danse ? Quelquefois, peut-être, et encore ! Il
nce de tous ces éléments, la tâche reste ardue. Mais s’il s’agit d’un
mouvement
dont l’image conservée fixe un ou deux aspects se
parant minutieusement ces instantanés pris sur des chevaux vivants au
mouvement
des coursiers de marbre, il trouva la solution. C
est bon cavalier lui-même, rien de plus simple que de reconstituer le
mouvement
. Il n’y a pas là, d’ailleurs, de quoi s’étonner.
i Mme Valentine Jean-Hugo rectifie-t-elle dans un ouvrage inachevé le
mouvement
des danseuses de Sakkarah mentionnées au début de
sés par une force occulte, les danseurs répètent à l’infini les mêmes
mouvements
, à peine équarris, compacts, obstinés, sinistres,
s, s’appesantit sur leurs nuques ployées. Et l’on se dit que d’autres
mouvements
plus harmonieux, plus libres leur sont interdits
musique défiant toute transposition plastique ? L’unique résultat des
mouvements
, par lui imaginés, fut la réalisation du rythme.
’étant pas un musée. Mais ce vide il l’a rempli par une succession de
mouvements
sans logique, sans raison d’être, par des exercic
appuyé sur la paume droite, la joue penchée sur l’autre paume dans un
mouvement
familier à la femme slave, elle est l’image même
isposez les attitudes de vos personnages et donnez à leurs membres un
mouvement
tel que cet accord fasse voir ce qui se passe dan
, ou devant elle, parce qu’il importe que vous donniez à vos têtes un
mouvement
qui annonce de la vivacité naturelle, et qu’elles
avec vitesse les bras et les épaules qui se mettent simultanément en
mouvement
avec une partie du corps en raison de l’impulsion
en raison de l’impulsion ; et ils se soutiennent élevés, tant que le
mouvement
est accompagné de celui du corps, dont les reins
ion se fait de deux sens ; c’est-à-dire en avant et en haut, alors le
mouvement
destiné à se porter en avant, place aussi le corp
ltare dell’uomo, ec. Quando l’uomo, ec. — Comment l’homme fait trois
mouvements
en sautant. Quand l’homme s’élance en haut, la tê
le demi-coupé, sans néanmoins que ni l’un ni l’autre bras fasse aucun
mouvement
pendant l’ouverture de jambe. Autre coupé en ava
le bras droit se plie, parce qu’après il s’étend & donne par son
mouvement
la facilité au corps de se tourner : ainsi de mêm
l ne faut pas de contraste. Pour moi je trouve que l’on peut faire un
mouvement
des deux poignets, en faisant ce coupé, cela même
en avant & qui sont battus au second pas, on ne doit faire aucun
mouvement
de bras dans le tems que vous formez vos battemen
er la mesure par la fin d’un pas, il faut encore faire ce pas dans le
mouvement
qui lui convient, et, pour ainsi dire, noter avec
ment à sa place. Pour lever alternativement les deux bras, au premier
mouvement
que l’un fait pour redescendre, l’autre fait le s
Ainsi, quand on donne la main, c’est du coude que s’opère le premier
mouvement
pour lever le bras, ensuite l’avant-bras et la ma
la danse et déploie toutes les grâces du maintien ; la lenteur de son
mouvement
donne le tems à l’attention d’approfondir les pri
era comme sur les pliés, afin de forcer l’exécution, observant que ce
mouvement
ne produise point de roideur dans aucune des part
car pour sauter il faut plier les deux genoux à la fois, et forcer ce
mouvement
. Le pas, qui s’exécute sur place, doit être consi
e il n’observe que deux tems, le levé et le frappé, et pour imiter le
mouvement
de la danse, il faudrait qu’il frappât sans inter
e pied par le moyen des doigts que l’on rentre en dessous. Ce dernier
mouvement
, qui doit toujours suivre le premier dans son exé
e genou serré et tourné en arrière, pliez ce genou en le lâchant : ce
mouvement
apportera le pied que vous renflerez (par le moye
essaire de doubler ensuite le frappement pour s’accoutumer à tenir ce
mouvement
qui est exact, avec celui de l’exécution des tems
assuré d’un tems ou pas de la danse, il est essentiel d’en régler le
mouvement
par celui de la musique, en exprimant les tems de
sure, que souvent ils ne distinguent pas. Abrégé des principes du
mouvement
3/4 de la musique dite du menuet. Ce genre de
incipes du mouvement 3/4 de la musique dite du menuet. Ce genre de
mouvement
, qui n’est pas celui de la joie, est une règle im
omme il est indiqué à la manière de plier ; relevez-vous dans le même
mouvement
; sortez la jambe de derrière sur la pointe du pi
faire ce tems, suivez la même règle que pour le tems de courante à un
mouvement
, avec cette différence que, lorsque la jambe que
our plier également des deux jambes que l’on tiendra tournées (second
mouvement
), et se relevant, le corps retournera se replacer
avant, en observant la manière indiquée pour le tems de courante à un
mouvement
. Exercer ce tems alternativement des deux jambes
, observant également la même règle que pour le tems de courante à un
mouvement
, avec la différence du second mouvement exécuté à
pour le tems de courante à un mouvement, avec la différence du second
mouvement
exécuté à la seconde position. Ce tems, comme exe
t, derrière, et de celle qui est derrière, devant, avec uniformité de
mouvement
; soutenez les coudes-pieds dans leur repliement
t produit le développement des jambes. Il est nécessaire de régler le
mouvement
de ces exercices par celui de la musique, pris da
ue tems, pour lequel vous ferez les deux coupés ou pliés dans le même
mouvement
, et vous marcherez les deux tems du pas de bourré
ême mouvement, et vous marcherez les deux tems du pas de bourrée d’un
mouvement
ou de la valeur d’un des deux pliés, pour former
onnu dans la contredanse sous le nom de pas de bourrée couru. Du
mouvement
de contredanse 2/4 ou 6/8 de la musique. Ce mo
uru. Du mouvement de contredanse 2/4 ou 6/8 de la musique. Ce
mouvement
est celui de la joie ; il est sensible à l’oreill
ement pairs de plier, de tendre, pour danser ou sauter. C’est dans ce
mouvement
que la danse de ville dans un tems a beaucoup aug
re de la musique. Leçons abrégées de quelques tems, ou pas sur le
mouvement
2/4 ou 6/8 de la musique, mesure dite de contreda
tivement des deux jambes. Ce tems, comme exercice, habitue à tenir un
mouvement
continu, et exerce les articulations. De la m
nsécutivement pour faire un second changement de jambe ; continuez ce
mouvement
des coudes-pieds continuement, en changeant de ja
ion et en dehors. Cet exercice de changement de jambe, exécuté par un
mouvement
continu de tendre et replier les coudes-pieds, do
ur vous renlever et faire le changement de jambe ; ce qui produira un
mouvement
continu de plier et tendre durant cette exécution
ement des deux jambes. Ce tems de sissone, lié avec l’assemblé par un
mouvement
continu de plier et tendre, donne de la souplesse
e se prend en effet tendue, c’est-à-dire sans plier, seulement par le
mouvement
du coude-pied et d’un lâchement de genou de la ja
, rentrez-la devant l’autre à la troisième position, sans faire aucun
mouvement
de plié ni de sauté, et sortez consécutivement la
Ce tems de balonné donne de la souplesse dans les articulations et un
mouvement
(dit de balon) agréable à la danse, quand il est
on. Le tems de cuisse à la première position s’exécute par le même
mouvement
à la troisième position ; avec cette différence q
te différence que, pour le tems de cuisse à la troisième position, le
mouvement
ou le tems se trouve assujetti d’une cuisse contr
re ; et que pour le tems de cuisse exécuté à la première position, le
mouvement
ou le tems n’est assujetti sur rien, puisqu’une c
ment ou le tems n’est assujetti sur rien, puisqu’une cuisse opère son
mouvement
, en passant contre l’autre à la première position
e genou un peu plié et bien en dehors. Dans cette attitude, faites un
mouvement
de la cuisse de derrière, en partant de la hanche
eu de côté ; puis enlevez-vous, et de cet élan faites en même tems le
mouvement
ou le tems de la cuisse, passant contre l’autre à
contre l’autre à la première position, à laquelle vous retiendrez le
mouvement
de votre cuisse, comme si elle y rencontrait quel
ifférence que vous passerez une cuisse contre l’autre, sans opérer le
mouvement
comme pour le battre. Du pas ou tems appelé d
peu arrondis, pour leur donner plus de grâces ; ne leur donner aucun
mouvement
, et dans cet état se tenir éloignés l’un de l’aut
z cet enchaînement en avant et en arrière continuement, et suivant le
mouvement
des quatre mesures de ce trait. Trait pour al
levé, et terminés par le jeté et l’assemblé continuement, suivant le
mouvement
des quatre mesures de ce trait. Trait de bala
e sens de la danse ; ils exécuteront ce tems continuement, suivant le
mouvement
des quatre mesures de ce trait. Trait du dos-
l’assemblé. Ils exécuteront cet enchaînement continuement, suivant le
mouvement
des quatre mesures de ce trait. Des traits de
l’exécutera continuement pour la chaîne anglaise entière, suivant le
mouvement
des huit mesures des deux traits. Des traits
t à leur place. On exécutera ces deux traits continuement, suivant le
mouvement
des huit mesures de ces traits. Du trait appe
xécuteront ce chassé-croisé en même tems, et continuement, suivant le
mouvement
des huit mesures de ces deux traits. Pour chasser
nt être exécutés dans l’un comme dans l’autre de ces traits. 3. Ce
mouvement
de lâcher le genou en commençant les pas, joint a
plus sortes ou les plus riantes, ne les compose que des attitudes, du
mouvement
des bras, du jeu des traits du visage, qui sont l
’elle veut peindre. Sa marche va de tableaux en tableaux, auxquels le
mouvement
donne la vie. Il n’est qu’imité dans la Peinture.
peut encore être exécuté par de jeunes gens exercés, qui ont tous les
mouvements
expressifs et faciles. La Danse, sur notre Théâtr
aises habitudes que pourrait contracter l’écolier dans les différents
mouvements
qu’on lui fait exécuter. Les deux pas glissés doi
doit se faire en pliant et l’autre moitié en tendant les jarrets d’un
mouvement
lent et égal dans l’intervalle des quatre premier
’exécutent en portant les pieds de même à la quatrième position, d’un
mouvement
plus accéléré, avec les jarrets tendus dans l’int
ems en rejettant le corps sur le pied gauche, & assemblant par ce
mouvement
sauté, le pied droit auprès du gauche en se posan
cette premiere Figure ; la seconde fait voir le changement au second
mouvement
, puis que le pied droit revient devant & les
nt pliez, comme au premier ; & la troisiéme represente le dernier
mouvement
qui se termine par un assemblé, ce qui finit l’ét
nes enfants les suivaient : ils imitaient leurs pas, répétaient leurs
mouvements
, se modelaient sur leurs attitudes. Ces deux trou
êtres représentaient par des figures expressives, des pas graves, des
mouvements
de caractère, la simplicité, la sagesse, le bonhe
e ces jeunes Spartiates exécutaient vivement avec des pas légers, des
mouvements
rapides et des figures variées qui exigeaient la
r y exécuter la danse de l’innocence. Leurs pas, leurs regards, leurs
mouvements
étaient si modestes, si remplis d’agréments et de
s faisaient simples dans le même temps. C’était là toute la magie des
mouvements
différents l’un de l’autre, sur le même air. 46.
& qui perfectionne ce pas en le faisant couler avec legereté. Le
mouvement
du genoüil est different de celui-ci, parce qu’il
vous élevez, c’est le cou-de-pied qui perfectionne ce pas ; ainsi le
mouvement
du genoüil est inseparable du cou-de-pied : celui
separable du cou-de-pied : celui de la hanche est très-different, son
mouvement
n’est pas si apparent en ce qu’il est plus caché,
aut en bas, comme ces autres mots : Rond du poignet, vous marquent le
mouvement
du poignet droit. 216. Deuxieme figure du tems
vraye intelligence de sçavoir le pas avec les bras. 217. Figure du
mouvement
du cou du pied La 3e. Figure represente comme v
as d’opposition ; les bras étant ouverts dans ce pas il faut faire un
mouvement
leger des deux, & aussi des poignets de bas e
ous, & en vous relevant & finissant votre pas, faire un petit
mouvement
des coudes & des poignets de bas en haut ; ce
r donne des contours gracieux, du moelleux et de la justesse dans les
mouvements
, de l’aplomb et du soutien dans l’équilibre du co
corps ; et si la plupart des danseurs ont des attitudes forcées, des
mouvements
durs et un équilibre mal assuré, c’est qu’ils ign
rsque le corps se meut, l’esprit se repose. Les figures, les pas, les
mouvements
de la Danse amusent également et le Danseur qui l
que. Ce sens, si l’on en croit Platon, produit l’harmonie de tous les
mouvements
de l’âme et du corps que la Danse sert à entreten
ent ; et il se forme une Danse juste et mesurée entre tous ces divers
mouvements
. » On dirait que ce philosophe ne nous considère
uelques ruptures de l’alignement. C’est que ces vastes et symétriques
mouvements
de masses asservies à une volonté unique n’admett
du pied la mesure : ce pas figure la recherche de l’équilibrer par un
mouvement
ondulé des bras à la seconde ; commencé sur la pl
l’élan et le ballon de ces bonds, les belles courbes arrondies de ses
mouvements
tournants. Dans les temps d’adage du grand ensemb
e défi fut accepté, le sujet choisi, et le jour pris. Rome entière en
mouvement
, sollicitée, poussée par la faction d’Hylas court
noble et fière. Sa danse grave, ses bras croisés, ses pas lents, ses
mouvements
quelquefois animés, souvent suspendus, ses regard
ergie d’une peinture si expressive, entraînés hors d’eux-mêmes par un
mouvement
unanime, poussent un cri d’admiration, après lequ
était en somme une pantomime mesurée, une comédie en musique où tout
mouvement
de danse ne se produit qu’en fonction de la donné
nser, pour libérer, pour exalter l’esprit chorégraphique, le génie du
mouvement
organisé, l’imagination plastique, l’ivresse motr
cé le grand style classique par des effets de stylisation, étouffé le
mouvement
sous le costume, l’essentiel sous l’accessoire. M
tonnant entre tous, nous montre le rythme et la configuration même du
mouvement
chez le danseur épousant la ligne musicale dans u
du critique, les coupes et les modulations de la phrase traduisent le
mouvement
chorégraphique d’une manière si concrète que l’on
and jet d’inspiration, d’un grand rythme intérieur extériorisé par le
mouvement
. Je n’ai pas la sensation d’un style, — car qu’es
[4] Soignez la tenue du corps et le port des bras ; il faut que leurs
mouvements
soient doux, gracieux et toujours d’accord avec c
un tact plus sûr qu’aucun autre ; leur oreille les rendra maîtres du
mouvement
, de la mesure, et leurs pas cadencés25 se mariero
ur la danse, XII, éd. de 1760, p. 360-361.] (a) On appelle temps un
mouvement
de jambe. (b) Pas se dit des différentes manièr
nt remplies de justesse.) 24. Ce charme qui naît de l’harmonie des
mouvements
de la musique et des mouvements du danseur, encha
Ce charme qui naît de l’harmonie des mouvements de la musique et des
mouvements
du danseur, enchaîne ceux même qui ont l’oreille
par la main ; les accents tendres et harmonieux de l’un excitent les
mouvements
agréables et expressifs de l’autre ; leurs effets
toujours comme se bat la mesure. Ainsi le maître de musique marque le
mouvement
du menuet en frappant au commencement de chaque m
e elles les parties d’un même tout. C’est en musique la différence du
mouvement
qui résulte de la vitesse ou de la lenteur, de la
excitée, au bruit des instruments « Joint à des pas légers de justes
mouvements
. » Danchet. 28. Le nom d’Euterpe, du grec
ansons. » Danchet. 29. La pantomime exprime avec rapidité les
mouvements
de l’âme ; elle est le langage de tous les peuple
la Chironomie, qui signifie art de faire avec grâce les gestes et les
mouvements
du corps, de cheir, main, et de nomos, loi. 30
s voltigeurs italiens de la Renaissance. Quant à ce pas de chahut, ce
mouvement
de la jambe tendue, violemment projetée en avant
la jambe tendue, violemment projetée en avant à la hauteur des yeux,
mouvement
que les dancing-girls anglaises, bataillons d’ang
evauchant à la tête des preux de Charlemagne. C’est ainsi que l’ample
mouvement
des pleureuses de Pharaon apparaît, provocant et
n dernier hoquet. Ce débat de la femme avec les voix, ce dialogue des
mouvements
avec les sons m’ont procuré le plus franc plaisir
ne pénurie de ressources gymnastiques. Mais sa conception est juste :
mouvement
exagéré et fantaisiste, corsé par l’humour d’une
Sous la mantille du boléro ou le tartan de la gigue, le tracé de son
mouvement
reste celui de la danse classique : pur, ample, a
la demi-pointe de la jambe d’appui. Je vois Mlle Zambelli enlever ce
mouvement
brillant ; il serait plus haut, plus soutenu que
ge, pour le compléter, un langage mimique conventionnel qui exclut le
mouvement
naturaliste. Seulement ce langage est resté en en
à un concerto classique. L’étoile, instrument concertant, indique le
mouvement
, simple temps d’exercice, mais beau de sérénité,
de progrès. Les « grands bonshommes » du xixe siècle ont su doter le
mouvement
d’une amplitude de développements plus grande, d’
hé sur la pointe du pied & d’un demi-jetté, ce qui fait le second
mouvement
, & l’étenduë de votre pas, je dis un demi-jet
ême pas, puisqu’il ne contient non plus que 3. pas. Mais il n’a qu’un
mouvement
; c’est un pas aisé & que l’on apprend facile
corps posé sur le pied gauche vous pliez dessus, & en prenant ce
mouvement
la jambe droite qui est en l’air marche en faisan
ssez glisser le pied qui est devant jusqu’à la quatriéme position, ce
mouvement
se fait en laissant plier le genou du pied de der
xplication. Ne l’ayant rapporté qu’à l’occasion du pas de Bourée à un
mouvement
, & que l’on nomme fleuret ; c’est pourquoi je
ous pliez sur les deux jambes pour lever le pied droit, en prenant ce
mouvement
vous pliez les poignets de haut en bas, & vou
e sorte qu’en les commençant du droit, vous prenez seulement un petit
mouvement
des poignets de haut en bas, & les bras demeu
arfaite du Peintre, l’instruiroit aujourd’hui de la signification des
mouvements
méchaniques & indéterminés de nos Pantomimes.
leur ignorance, ainsi que du silence & de l’inefficacité de leurs
mouvements
. Dès le troisieme siecle on commençoit à s’apperc
sation muette, une peinture parlante & animée qui exprime par les
mouvements
, les figures & les gestes. Ces figures sont s
es, & que leur physionomie & leurs regards traceront tous les
mouvements
de leur ame ; lorsque leurs bras sortiront de ce
espace plus considérable, ils décriront par des positions justes les
mouvements
successifs des passions ; lorsqu’enfin ils associ
ont ; les récits dès-lors deviendront inutiles ; tout parlera, chaque
mouvement
dictera une phrase ; chaque attitude peindra une
e simples divertissements de Danse, & qui ne me déploient que les
mouvements
compassés des difficultés méchaniques de l’Art. T
sieur, sur le visage de l’homme que les passions s’impriment, que les
mouvements
& les affections de l’ame se déploient &
des passions, & laisse voir pour ainsi dire l’ame à nu. Tous nos
mouvements
sont purement automatiques & ne signifient ri
essentielles ? Comment fera-t-il passer dans l’ame du Spectateur les
mouvements
qui agitent la sienne, s’il s’en ôte lui-même le
l’organe de la Scene muette, il est l’interprete fidelle de tous les
mouvements
de la Pantomime : en voilà assez pour bannir les
amp; les remettre successivement, suivant les circonstances & les
mouvements
opposés que l’on éprouveroit dans un pas de deux.
e ce genre. Il ne dit rien, il tourne avec rapidité, il a beaucoup de
mouvement
& peu d’action ; c’est un tourbillon de pas s
il touche dans le Pathétique ; il fait éprouver dans le Tragique les
mouvements
successifs des passions les plus violentes, &
mene à l’égalité ; il expiroit enfin : le hoquet de la mort & les
mouvements
convulsifs de la Physionomie, des bras & de l
absurdité ! sur-tout dans un Spectacle où tout varie, où tout est en
mouvement
, où les lieux changent, où les nations se succéde
e, lors même que les ressorts & les muscles qui coopérent à leurs
mouvements
, sont dans une contention forcée, & qui contr
semble, & qu’elle est le miroir fidelle de nos sentiments, de nos
mouvements
& de nos affections. Aussi mettent-elles plus
ndant de la force & du caractere ; il lui apprend à connoître les
mouvements
de la nature ; il lui indique la maniere de distr
forces, il faudroit encore qu’il lui enseignât la succession de leurs
mouvements
, leurs gradations, leurs dégradations & les d
int les yeux du Danseur, & qu’on peut lire dans leurs regards les
mouvements
qui les affectent : je répondrai premiérement qu’
s’appercevoir de leurs progrès & suivre le Danseur dans tous ses
mouvements
? L’imagination, diront les défenseurs du masque,
urelles ; le masque leur devient étranger ; il ne fait que cacher les
mouvements
de leur ame ; il est un obstacle aux progrès &
si gênant & si incommode, que l’Acteur récitant ne faisoit aucun
mouvement
. La déclamation étoit souvent partagée entre deux
es au langage sans parole, & à l’expression vive & animée des
mouvements
de l’ame désignés par les signes extérieurs. Que
iceron par le tour & l’arrangement des mots, & Roscius par le
mouvement
des bras & l’expression de la physionomie, pr
que nous ne sommes encore que des enfants ; que nous n’avons que des
mouvements
machinaux & indéterminés, sans signification,
servant qu’en détachant le pied, le corps et la tête ne fassent aucun
mouvement
. Voyez la planche seconde . Troisième positio
portant de bien savoir ; on aura l’attention d’observer pour tous ces
mouvements
et changements de positions, ce qui a été dit ci-
te qui s’ouvre à côté, & le genou étendu & là reposez du même
mouvement
aussi à la premiere position ; mais à peine est-e
st que pour faire une liaison de ce pas avec un autre, & faire le
mouvement
du pas suivant avec plus de facilité. Tous ces di
ant à la traduction, elle se réduit essentiellement à indiquer par le
mouvement
des bras la durée des sons, les accents et la cou
es bras qui les invitent à la course au bond, au tourbillonnement des
mouvements
giratoires. C’est là un chef d’orchestre dirigean
battre et croiser, et je vois fort bien l’entrechat-six compléter le
mouvement
, et les pointes basses piquer les planches. Chose
lépidoptères. La ressource indiquée au maître de ballet c’est donc le
mouvement
imitatif. Ressource aucunement négligeable : Aris
ccidentale et exécutées par des indigènes : ce sont des merveilles de
mouvement
stylisé et d’une utilisation caractéristique de l
s des mantes religieuses sont des camisoles de force qui entravent le
mouvement
. Le décor est une vignette agrandie et coloriée a
mée une vision parfaitement construite, harmonieuse ou grandiose. Les
mouvements
de danse de Tsérételli-Marasquin ont une justesse
monté sur ces patins qui l’exhaussent et l’héroïsent, commande à son
mouvement
une allure monumentale, le torse se portant avec
monieuse exaltation. Vous avez vu, dans les théâtres où l’on parle le
mouvement
gauche ou guindé, toujours amoindri et incertain
, les passions, les actions des Dieux, des Héros, des hommes, par des
mouvements
et des attitudes du corps, par des gestes et des
écutait par des gestes parlants, par des signes expressifs et par des
mouvements
de la tête, des yeux, de la main, des bras et des
s arrêter à dialoguer, et que nous devons toujours agir et suivre des
mouvements
qui nous lassent, nous sommes forcés de resserrer
ectateursfroids et tranquilles ont admiré nos pas, nos attitudes, nos
mouvements
, notre cadence, notre « à plomb », avec la même i
t l’écho plastique. Vous en avez, de plus, accusé les accents par des
mouvements
intensément marqués. Puis, recueillie, immobile,
emment. Je me rappelle une pose qui correspond à peu près au deuxième
mouvement
d’une préparation à la quatrième croisée. La jamb
e. Tout de suite vous étiez récompensée : car la courbe altière de ce
mouvement
sauté enlevant le corps qui retombe verticalement
arrivait à se mépriser un peu elle-même, exilée comme elle l’était du
mouvement
artistique. Il existe un livre amer du grand trad
ge à la grande seconde et, pendant que ses bras impriment au corps un
mouvement
rotatoire, la jambe d’appui, par un effort du cou
ticale du corps qui vire en montant. En exécutant à trois reprises le
mouvement
grandiose et léger que nous venons de décrire, la
é graphique. Et il faut voir Mlle Rousseau battre l’entrechat-six, ce
mouvement
complexe et symétrique qui est bien de son fait :
oselly-Cléopâtre. Je signalerai, en soupirant — toujours dans le même
mouvement
décisif — une jambe imparfaitement tendue, au gen
discours. Il faut plusieurs mots, pour exprimer une pensée : un seul
mouvement
peut peindre plusieurs pensées, et quelquefois la
re, et qu’il faut animer de toute l’expression, qui peut résulter des
mouvements
passionnés de la Danse. C’était-là sans doute le
ent par le geste significatif mais surtout par le dynamisme vivant du
mouvement
. Ce mouvement est ample et désinvolte car la dans
te significatif mais surtout par le dynamisme vivant du mouvement. Ce
mouvement
est ample et désinvolte car la danseuse est tourn
batie élégante satisfaisant à un appétit d’harmonie bien ordonnée, de
mouvement
symétrique, devint le langage de l’indicible, le
donnée, de mouvement symétrique, devint le langage de l’indicible, le
mouvement
s’érigea en symbole, le geste conventionnel se mu
ets blancs » le mécanisme de la danse, le caractère et l’amplitude du
mouvement
sont puissamment déterminés par cette conception.
’évadant de la réalité, abordant l’au-delà, la danseuse brise avec le
mouvement
naturel et s’astreint à une dynamique abstraite e
rigide ; ce n’est plus ni la marche ni la course. C’est une forme de
mouvement
inouïe, qui s’affranchit des lois de la gravitati
s’affranchit des lois de la gravitation, des habitudes mécaniques du
mouvement
vulgaire, des nécessités de l’aplomb. La ballerin
re conquête de la danse romantique, c’est l’amplitude plus grande des
mouvements
, le diapason plus vaste des lignes. Encore au tem
inspirée à la Taglioni par le peintre Eugène Lamy, affranchissant le
mouvement
, l’entourant d’une brume laiteuse, deviennent l’«
n’a pâli sous sa couronne de fleurs… Quelle légèreté ! quel rythme de
mouvements
! quelle noblesse de geste ! quelle poésie d’atti
ieux du critique-poète à la danseuse je signale surtout l’émotion, le
mouvement
véhément de la diction ; au fond Gautier n’enrich
a dépassé toutes les espérances ; pas un geste de convention, pas un
mouvement
faux ; c’est la nature et la naïveté même… » Que
e ce n’est que le corps qui se tourne, & que cela ne change aucun
mouvement
; c’est pourquoi je vais décrire la maniere de le
au premier demi-coupé l’épaule s’efface, & la tête fait un petit
mouvement
; ce qui donne l’agrément à ce pas, & que j’e
e chœur qui bat la mesure dans un concert, & qu’il y régle par un
mouvement
ou battement égal, toutes les facultez corporelle
hine de Marly peut donner une idée & même une espece de preuve du
mouvement
harmonieux des Planetes ; laquelle auroit été enc
’Inventeur de cette merveilleuse Machine, avoit pensé d’ajoûter à son
mouvement
des tuyaux d’orgue, qui auroient pû former un Jeu
e ce grand chef-d’œuvre plus digne d’admiration. Ce n’est pas que son
mouvement
prodigieux & cadencé ne produise une espece d
l’expérience. Ainsi il a été facile à Dieu de donner aux Planetes un
mouvement
harmonieux, sur les principes de cette Musique na
e temps ils demeurent tranquilles au même lieu, sans faire le moindre
mouvement
. L’effet théâtral qui est résulté des actions qu’
’Amour, doit faire sentir quelles grandes beautés naîtraient de leurs
mouvements
, si on les exerçait à agir conformément aux chose
urs. Mais l’expédient sûr et d’embellir le spectacle, et de donner du
mouvement
aux chœurs, est de mettre à leur tête, et en avan
ue la multitude des choristes, il serait aisé de leur faire faire les
mouvements
nécessaires. Les chœurs les suivraient comme une
es. Les chœurs les suivraient comme une compagnie de soldats suit les
mouvements
de ses officiers. Ces acteurs se rompraient eux-m
figurantes se modelent exactement d’après eux, & compassent leurs
mouvements
, leurs gestes & leurs attitudes, d’après les
soient excellents Comédiens, & qui possédent l’Art de peindre les
mouvements
de l’ame, par les gestes ! Il est, dis-je, si dif
ont-ils pas l’ouvrage de l’ame, & les interpretes fidelles de ses
mouvements
? Un Maître de Ballets sensé doit faire, dans ce
ations Pantomimes étoient de glace ; à peine une heure & demie de
mouvement
& de geste fournissoit-elle un seul instant a
mises en œuvre par l’esprit, lorsque le génie ne dirige pas tous ces
mouvements
, & que le sentiment & l’expression ne leu
son but doit être de parler aux yeux par le geste, de substituer des
mouvements
aux paroles, de représenter par des personnages v
tre : la scène est la toile, les danseurs sont les personnages, leurs
mouvements
sont les couleurs, la fidélité du costume le colo
musique ; elle doit être en quelque sorte la régulatrice de tous les
mouvements
du danseur, qui ne saisira jamais l’esprit ni le
, il n’indique exactement que l’action des pieds, et s’il désigne les
mouvements
des bras, il n’exprime ni les positions, ni les c
qui doit être fort soûtenu, on peut dans ce même tems faire un petit
mouvement
du corps, & la tête fait aussi une legere inc
les jambes étenduës, aussi-tôt le genoüil droit se plie, qui par son
mouvement
rejette le corps sur la jambe gauche qui se passe
ant poser le talon droit à terre, & le genoüil se pliant ; par ce
mouvement
il oblige la jambe gauche de se croiser devant la
osition, par consequent un bras opposé qu’il faut faire votre premier
mouvement
: pour lors ce bras qui est opposé doit s’étendre
issez tomber vos deux bras à côté de vous ; puis vous faites un petit
mouvement
de la tête en la baisant, & vous la relevez d
oid ; l’abstinence et son contraire ; l’air et l’eau ; le repos et le
mouvement
. C’est tout. SOCRATE Mais pour l’âme, il n’y en a
mais conclure. C’est là ne conclure qu’à elle-même… N’est-elle pas ce
mouvement
mystérieux qui, par le détour de tout ce qui arri
actes bien égaux, et qu’elle frappe du talon les sonores effigies du
mouvement
. Elle semble énumérer et compter en pièces d’or p
nos corps obscurément accomplissent. À la lumière de ses jambes, nos
mouvements
immédiats nous apparaissent des miracles. Ils nou
sans aucun bruit le fait comprendre. On ne doit voir son corps qu’en
mouvement
. ÉRYXIMAQUE Ses yeux sont revenus à la lumière… P
i je veux voir avec une tendre émotion, poindre sur cette vivante, le
mouvement
sacré. Voyez !… Il naît de ce glissant regard qui
beau ! ÉRYXIMAQUE Toute, elle devient danse, et toute se consacre au
mouvement
total ! PHÈDRE Elle semble d’abord, de ses pas pl
les de l’univers… Elle trace des roses, des entrelacs, des étoiles de
mouvement
, et de magiques enceintes… Elle bondit hors des c
! point de fiction ! Pourquoi feindre, mes amis, quand on dispose du
mouvement
et de la mesure, qui sont ce qu’il y a de réel da
s d’être riche ! SOCRATE L’opulence rend immobile. Mais mon désir est
mouvement
, Éryximaque… J’aurais besoin maintenant de cette
erain bien de la danseuse… Il faudrait à mon esprit cette force et ce
mouvement
concentré, qui suspendent l’insecte au-dessus de
lui-même, il tentait de changer sa liberté de jugement en liberté de
mouvement
? SOCRATE Alors il nous apprendrait d’un seul cou
t comparable au feu, — dans une essence très subtile de musique et de
mouvement
, où elle respire une énergie inépuisable, cependa
s, engendrés successivement par nos besoins, et que nos gestes et nos
mouvements
accidentels soient comme des matériaux grossiers,
, au milieu des échanges les plus actifs… On ne peut plus parler de «
mouvement
»… On ne distingue plus ses actes d’avec ses memb
mmeil magique… SOCRATE Elle reposerait immobile au centre même de son
mouvement
. Isolée, isolée, pareille à l’axe du monde… PHÈDR
t blanche ! ÉRYXIMAQUE Laissons agir le repos qui va la guérir de son
mouvement
. PHÈDRE Tu crois qu’elle n’est pas morte ? ÉRYXIM
ATHIKTÉ Asile, asile, ô mon asile, ô Tourbillon ! — J’étais en toi, ô
mouvement
, en dehors de toutes les choses… Paul Valéry.
lla », et sa renommée immense en Espagne est absolument justifiée. Ce
mouvement
du fandango où elle développe lentement les bras
tions de l’Académie Baraduc ? Or, j’avoue ne pas savoir distinguer le
mouvement
d’un blues de celui d’un vulgaire fox-trott, ce q
sautez, où les bras se conduisent à peu prés de même : excepté que le
mouvement
du bras imite celui de la jambe, en ce que lorsqu
ent du bras imite celui de la jambe, en ce que lorsque vous sautez le
mouvement
se releve plus vîte : aussi le bras s’étend vivem
rgueilleux et déchirant ! Chopin est le magicien du rythme impair. Ce
mouvement
de trois quarts qui régit ses airs préférés : maz
français échouent lamentablement dans les mazurkas et les polonaises.
Mouvements
simples comme bonjour mais qu’on dirait ensorcelé
u en vert s’adonnant à un exercice prolongé pareil de tous points aux
mouvements
d’un frotteur qui astiquerait un parquet en mesur
timidement sautés, des bras et un torse traduisant avec insistance le
mouvement
musical comme ceux d’un chef d’orchestre. Avec ce
ce béate. Eh bien, non ! Cette petite défaillance, cette déviation du
mouvement
qu’avait perçue l’œil infaillible, sombre et lumi
é ; l’ensemble en pâtira. Vous sacrifiez à une pose qui vous plaît le
mouvement
et ses lois inexorables. Mais le professeur inter
ommençer par la déshumaniser. Ses muscles se plient aux nécessités du
mouvement
voulu. Ses jambes se tournent en dehors pour ampl
un volume plastique. Ses membres n’agissent plus qu’en fonction d’un
mouvement
d’ensemble. Ses linéaments affectent des tracés a
ils. A peine est-il permis à un Maître de Ballets de faire changer le
mouvement
d’un air ancien ; on a beau leur dire que nos Pré
legme de leur exécution : vains efforts ! Ils connoissent les anciens
mouvements
, ils savent battre la mesure ; mais ils n’ont que
ors ne peut plus s’allier aujourd’hui : les pas sont multipliés ; les
mouvements
sont rapides & se succédent avec promptitude
sante est ou devroit être le Poëme écrit qui fixe & détermine les
mouvements
& l’action du Danseur ; celui-ci doit donc le
ssive que le Chant sans paroles ; c’est une espece de folie, tous ses
mouvements
sont extravagants, & n’ont aucune significati
ir la Danse, on du moins connoître les temps & la possibilité des
mouvements
qui sont propres à chaque genre, à chaque caracte
des Passacailles, parce que le célebre Dupré s’étoit comme fixé à ces
mouvements
; qu’ils s’ajustoient à son goût, à son genre &am
n’a pu éclipser cette noblesse & cette simplicité harmonique des
mouvements
tendres, voluptueux, mais toujours décents de cet
evroit déterminer, ce me semble, les Musiciens à se varier dans leurs
mouvements
, & à ne plus travailler pour ceux qui n’exist
e sa Musique le soit à son tour. On se plaint que les Danseurs ont du
mouvement
sans action, des graces sans expression ; mais ne
l veut immoler son rival. Celui-ci paroît un instant après ; tous ses
mouvements
me tracent l’image du bonheur, ses gestes, ses at
vous tracer, il faut de toute nécessité que la Musique abandonne les
mouvements
& les modulations pauvres qu’elle emploie dan
premiers Sujets ; ils me déploient toutes les beautés méchaniques des
mouvements
harmonieux du Corps ; mais desirer & faire de
ets faits pour s’illustrer mêlent quelquefois aux graces du corps les
mouvements
de l’ame ; ambitionner de les admirer sous une fo
es, ils contraignent & gênent la Danseuse à un tel point ? que le
mouvement
de son panier l’affecte & l’occupe quelquefoi
ane, disent cependant que les Danses des Egyptiens représentoient les
mouvements
célestes & l’harmonie de l’Univers ; ils dans
cela n’étoit ainsi que bien d’autres choses que des figures & des
mouvements
de convention, aux-quels on attachoit une signifi
mpts & multipliés. Ces liaisons & ces suites de figures ; ces
mouvements
qui se succédent avec rapidité ; ces formes qui t
la découverte de la source, du principe & des moyens de tous les
mouvements
dont l’animal est susceptible, l’ont conduit à un
rendre l’homme dans ses proportions, & pour le dessiner dans ses
mouvements
& dans ses attitudes. Si le nud doit se faire
n’en saisira pas l’esprit & le caractere ; il n’ajustera pas les
mouvements
de la Danse à ceux de la mesure avec cette précis
x des mots & le tour des phrases l’est à l’éloquence. Ce sont les
mouvements
& les traits de la musique qui fixent & d
excentricités de clown. Mlle Plunkett se signalait par de tumultueux
mouvements
de croupe. Un rare degré de trivialité fut attein
pparaît, traduisant une belle phrase musicale en lignes, en poses, en
mouvements
, s’identifiant à la mélodie qui a passé dans ses
nous contemplons avec ravissement la pureté des formes, la grâce des
mouvements
, l’harmonieuse ordonnance des groupes, combien la
r le talon droit à terre, pour laisser plier son genoüil ; qui par ce
mouvement
fait lever la jambe gauche, qui se passe en avant
passe en avant en faisant un demi-coupé échappé, qui est le troisiéme
mouvement
de ce pas de menuet & son quatriéme pas. Mais
aissant poser doucement le talon, ce qui fait une espece de troisiéme
mouvement
lorsque l’on est dans l’habitude de le bien faire
en sautant à demi, c’est-à-dire, raze de terre ; & en prenant ce
mouvement
sur les deux pieds, la jambe droite se raproche d
s’entresuivent : car dans le moment que vous pliez sur une jambe son
mouvement
fait lever l’autre, & en vous relevant vous r
ed droit derriere le gauche à la troisiéme, ou cinquiéme position, ce
mouvement
jetté par le poids du corps qui tombe avec le pie
pourra l’égaler ou le surpasser un jour. Le premier sentiment est un
mouvement
d’orgueil aveugle qui entraîne l’Artiste dans le
au moins, un obstacle au développement des grâces, à la précision des
mouvements
, à la perfection des figures ? Voilà les forts ar
igure du demi Coupé Comme on ne peut faire aucuns pas pliez sans un
mouvement
du genoüil, & qu’ordinairement les pas compos
uence, parce que très-souvent les Ecoliers se relâchant prennent leur
mouvement
à faux, & ne se relevent pas avec la même fac
n Ensemble ; plus de liaison dans les pas ; plus de moëlleux dans les
mouvements
; plus d’élégance dans les attitudes & dans l
hors & de les mouvoir dans ce sens, en profitant de la liberté du
mouvement
de rotation du fémur dans la cavité cotiloïde des
des secousses violentes & réitérées, & où elle se livre à des
mouvements
contraires & à des efforts continuels & m
jeu aux muscles qui s’y attachent & dont dépendent en partie les
mouvements
du tronc, mouvements & inflexions beaucoup pl
s’y attachent & dont dépendent en partie les mouvements du tronc,
mouvements
& inflexions beaucoup plus aisés, lorsque ces
. Ce principe posé, l’Artiste doit suggérer relativement aux bras des
mouvements
différents à ses éleves. Cette attention est très
ntion est très-importante à faire ; les bras courts n’exigent que des
mouvements
proportionnés à leur longueur ; les bras longs ne
ussi l’impression par nous éprouvée, les formules non spécifiées. Les
mouvements
conjugués du corps de ballet paraissent multiplié
à l’avance. Cette élégante théorie de la démarche qui nous montre les
mouvements
symétriquement successifs des deux jambes est aus
« pénétrant dans ce qui n’est pas possible » e, elle se « consacre au
mouvement
total » (Goethe raffolait de cet adjectif). Qu’a-
ité fait « le juste orgueil des extrêmes orteils de l’Athikté » ; ces
mouvements
de rotation ne sont que les avant-coureurs du déc
ère-t-il avec clairvoyance — des roses, des entrelacs, des étoiles de
mouvement
, de magiques enceintes. Elle bondit hors des cerc
essé : « Asile, asile, ô mon asile, ô Tourbillon ! J’étais en toi, ô
mouvement
, en dehors de toutes les choses… » Qui lui a souf
nastique d’Athikté ne se distingue en rien, quant à son processus, du
mouvement
usuel. Mais elle n’obéit plus au réflexe habituel
conception « verticale » se fait jour qui étudie la configuration du
mouvement
dans l’espace et le rayonnement de la statue viva
t diaphane, autour de ses reins graciles, indique avec ostentation un
mouvement
rotatif. 6. Les « tours » ultimes d’Athikté, ses
plus, perpétuent, tout au long des parois d’un tombeau de Sakkara, le
mouvement
même des « marcheuses » dans le « Chahut » de Seu
s qui ne se dément que rarement les procédés de la danse classique au
mouvement
« vulgaire », déformé et parodié, rehaussé et dis
ource de surprises comiques peut jaillir de l’exécution en mesure des
mouvements
triviaux et réalistes de la vie familière. Quant
ées : car si le pouce se joignoit à un des doigts, cela marqueroit un
mouvement
arrêté qui feroit roidir les jointures superieure
eme temps des bras du Menuet Mais du même tems en prenant le second
mouvement
du pied gauche, le coude se plie un peu en levant
ultitude entraînée par l’illusion suivre machinalement les différents
mouvements
du Tableau dont elle était frappée, pousser des c
approbation était honorable. Rien ne leur échappait, et leur premier
mouvement
était toujours une saillie de goût. Un jour un Pa
d’Œdipe, était censé s’être crevé les yeux, manqua de mettre dans ses
mouvements
le caractère de la situation. Tu vois encore, lui
nerveux, sautillant, que Staats conduit sans lâcher les rênes. Et le
mouvement
d’ensemble culmine dans cette étourdissante entré
u par les courbes puissantes, mais par le jeu des angles aigus et des
mouvements
parallèles et opposés. L’aspect suprême de la Pav
s, mais surtout cette variation de Sylvia et Aminta qui me ravit. Les
mouvements
simultanés et identiques du danseur (M. Ricaux) e
des récitatifs, l’éclat de quelques grands cris pathétiques, un ample
mouvement
chorégraphique travaille, nourrit, emporte l’acti
açant à son tour un autre. M. Guerra accompagne les soli par d’amples
mouvements
d’ensemble ; et encore une fois il n’a pas tort.
iers d’un carrousel royal. Apollon s’arrête brusquement dans un grand
mouvement
décoratif, et immédiatement la musique des sphère
se n’étant autre chose que la belle manière d’exécuter les différents
mouvements
du corps, de composer son maintien et de se prése
e dans les traits, de ces belles proportions dans les membres, de ces
mouvements
prestes et souples du corps, on ne voit trop souv
e en avant, l’air de tête fier et gracieux, les membres déliés et les
mouvements
aisés. En présentant au public ce traité élémenta
quelle force & quel empire n’auroit-elle pas sur nos sens, si ses
mouvements
étoient dirigés par l’esprit & ses Tableaux e
érisera de mille manieres différentes ; elle donnera de l’énergie aux
mouvements
extérieurs, & peindra avec des traits de feu
z un Art qui n’est pas fait pour vous. Livrez-vous à un métier où les
mouvements
de l’ame soient moins nécessaires que les mouveme
un métier où les mouvements de l’ame soient moins nécessaires que les
mouvements
des bras, & où le génie ait moins à opérer qu
uivis et modulés de la voix, et aux yeux par les pas, les gestes, les
mouvements
mesurés de la Danse. Tout ce qui se fait sur le T
le prenait les habits. Dans les Bals de cérémonie, elle n’était qu’un
mouvement
sans objet, une occasion toujours la même de mont
pas, par les formes diverses qu’il savait donner à l’ensemble de ses
mouvements
. Peut-être est-ce le fond le plus riche que la Da
voir, combien j’aurais pu être satisfait, si le jeu de la Danse et le
mouvement
des machines s’étaient adroitement concertés, pou
par conséquent Armide livrée toute entière et sans retour, aux divers
mouvements
de la plus vive tendresse. Instruite par son art
it très rapidement ses rôles, faisait faire à ses bras de très grands
mouvements
, et malgré tout cela ne débitait point, parce qu’
la noblesse, une morgue insupportable ; pour gestes d’expression, des
mouvements
convulsifs qui n’étaient jamais d’accord avec les
’est et ne doit être que l’expression du sentiment, de la passion, du
mouvement
de l’âme, que l’art a intention d’imiter : or il
i marche d’un pas apprêté, qui remue au hasard deux grands bras qu’un
mouvement
monotone de pendule agite ; mon attention cesse ;
es pieds, le corps, se trouvent d’eux-mêmes dans les places, dans les
mouvements
où ils doivent être. Tout suit l’ordre avec l’ais
ui voit des gestes dans les autres, croit les égaler au moins par des
mouvements
de bras, par des marches en avant et par de froid
pportable. Jamais dans ces automates fatiguant l’âme ne fait agir les
mouvements
; elle reste ensevelie dans un assoupissement pro
à la seule bonne manière de les adapter sur le théâtre aux différents
mouvements
du caractère et de la passion. Voyez Déclamation.
Voyez Déclamation. Nous voyons au théâtre français des gestes et des
mouvements
qui nous entraînent ; s’ils nous laissaient le te
défaut de l’organe : celui de r, par exemple, n’est formé que par un
mouvement
d’habitude qu’on donne aux cartilages de la gorge
aux cartilages de la gorge, et qui est poussé du dedans au-dehors. Ce
mouvement
est inutile pour la prononciation de r : il est d
lus vicieux que dans le parler. Le son à donner change, parce que les
mouvements
que le grasseyement emploie sont étrangers à celu
e, l’Histoire, et la Fable ; qu’il sache exprimer les passions et les
mouvements
de l’âme ; qu’il emprunte de la Peinture et de la
nceptions de l’âme, et découvrir ses sentiments par les gestes et les
mouvements
du corps : enfin il doit avoir le secret de voir
u’ils voulaient représenter, par des gestes et des signes, et par des
mouvements
des jambes, des genoux, des mains et du corps : e
orps : et rien ne ressemble plus à la Danse, que l’emploi de tous ces
mouvements
. D’ailleurs ces mouvements se faisaient au son de
plus à la Danse, que l’emploi de tous ces mouvements. D’ailleurs ces
mouvements
se faisaient au son des instruments, et en cadenc
cher, et à faire des gestes très délicats, et très expressifs, et des
mouvements
de tête au son de la flûte, et en cadence, ne dan
t, la forme étrange de langage se dessine. Pour y aider, ni gestes ni
mouvements
; mais seulement l’expression de ses regards clai
ous rendit les merveilles perdues de la mimique grecque, l’art de ces
mouvements
à la fois voluptueux et mystiques qui interprêten
populaire, truculente, goguenarde, assourdissante qui d’un exubérant
mouvement
d’allégresse accapare la scène ; c’est le rythme
elle devenue cette foule de Pétrouchka, diverse, bariolée, enivrée de
mouvement
? La poupée, le pantin artificiel, mécanique, aut
ont la Fuller allonge son bras et amplifie puissamment l’envergure du
mouvement
est la baguette d’une vraie magicienne. Telle j’a
éclairé. Les ombres qu’elles projettent « doublent » chacun de leurs
mouvements
sur une échelle plus grande ; parallélisme réjoui
; du même tems le genouil droit se plie & le talon se leve par le
mouvement
que le corps fait en se posant dessus la jambe ga
s faites un pas du pied droit, c’est le bras gauche qui fait un petit
mouvement
en devant, ce qui fait le balancier & même ce
s jambes dans cette position et que les bras soient prêts à donner le
mouvement
et la force au corps pour le faire tourner, et qu
n penché, et les bras et la tête doivent gracieusement accompagner le
mouvement
. Cette pirouette a quelque chose qui étonne ; car
que en entier. La jambe qui est en attitude doit se plier, et par son
mouvement
elle doit accompagner le contour arrondi de la po
orps, de ses bras et de ses jambes soit gracieux et facile, et que le
mouvement
de toutes les parties du corps soit naturel, et d
roubles qu’ils exciteraient, les disputes qu’ils feraient naître, les
mouvements
tumultueux qu’ils pourraient susciter. Sa prévoya
euse à l’inquiétude naturelle des Romains. Il tenait dans sa main les
mouvements
secrets de la machine, qu’il avait exposée à leur
és, dans ces combats de tous les jours. Tibère trembla que de pareils
mouvements
ne dégénérassent à la fin en des factions funeste
▲