/ 338
1 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. Seconde partie. — Chapitre IV. De la maniere de prendre des mouvemens du poignet. » pp. 203-205
Chapitre IV. De la maniere de prendre des mouvemens du poignet. Quoi que les mouveme
s, ils meritent pourtant que l’on y fasse attention : en ce qu’ils se prennent dans les extremitez des bras ; & c’est de ces
le contraire de l’un à l’autre. Mais comme le mouvement du poignet se prend de deux manieres ; Sçavoir, de haut en bas &
ir, de haut en bas & de bas en haut, ainsi lorsque vous le voulez prendre de haut en bas, il faut laisser plier le poignet
le poignet, car il paroîtroit cassé. Quant au second mouvement qui se prend de bas en haut, la main étant en dessous, comme i
2 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. Seconde partie. — Chapitre X. De la maniere de faire les bras avec les Coupez de mouvemens. » pp. 236-238
commencer par ceux qui se font en avant. C’est pourquoi, lorsque vous prenez votre premier pas qui est un demi-coupé fort soût
a tête imperceptible & sans paroître affectée ; mais lorsque vous prenez votre second mouvement qui est le jetté échapé, e
ençant votre plié, vos bras s’étendent, & dans le même moment ils prennent un petit mouvement de l’épaule, en se baisant &am
Quant à ceux que l’on fait de côté, quoique les mouvemens des bras se prennent à peu près de même, il y a cependant quelques pet
rvations à faire, qui sont un peu differentes ; Sçavoir, lorsque vous prenez votre demi-coupé (soit du pied droit) comme il se
3 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — IX, alexandre dumas » pp. 98-
Clarendon ». Nous paraissions même en être les seuls habitants. Nous prenions nos repas au premier étage dans un grand hall, su
re chaque fois que nous jouions, soit trois fois par semaine, et nous prenions nos repas ensemble. Pendant les trois mois que no
que, et je le remerciai avec effusion. Peu de jours après, il vint me prendre pour me conduite à Marly chez le grand écrivain.
fut arrivé, je dis la malheureuse phrase tout de travers. Au lieu de prendre une de ses mains, je m’emparai des deux et procla
anales, les demandes quelconques, les ordres à donner, et celle qu’il prenait quand il discutait d’un sujet qui le passionnait.
je ne pas saisir et que l’on me traduisit ainsi : — Il dit qu’on l’a pris pour un tas de choses, mais jamais encore pour un
er aussi vite que possible. Il me dit : — Retenez-les, il faut qu’ils prennent de l’âge avant de savoir qu’on ne monte pas une c
i de Dumas, qui demanda s’il était « indiscret », et qui se leva pour prendre congé. Dumas le prit par le bras et me tendant sa
s’il était « indiscret », et qui se leva pour prendre congé. Dumas le prit par le bras et me tendant sa main libre. — Indisc
ent non ! Tous mes amis doivent connaître Loïe et l’aimer. Lorsque je pris congé de lui, il pressa un baiser sur mon front e
4 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XVII. De la maniere de se conduire avec politesse dans les Bals reglez. » pp. 55-59
z de je ne sçai quelle naissance ou de quel rang, mais peu civilisez, prennent cependant des licences qui en dérangent tout le b
conduire la Reine, & lui demande poliment qui elle souhaite qu’il prenne , & après lui avoir fait une reverence, il va
’il arrive des Masques, de les faire danser des premiers, afin qu’ils prennent ceux de leur compagnie de suite. On doit faire ho
ache des Personnes du premier rang. Je ne doute pas, que lorsque l’on prendra toutes ces précautions, tant de la part de ceux q
os, & d’être attentif de rendre le réciproque lorsque l’on vous a pris pour danser de faire la même honnêteté que l’on v
5 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre IV. De la premiere Position. » pp. 11-12
en dehors également. Son usage est pour les pas assemblez, & pour prendre ses mouvemens lorsque l’on doit plier, parce que
rce que tous les pas qui se commencent par des demi-coupez se doivent prendre de cette position. Et la raison est, que lorsque
oît plus droit ; ce que j’expliquerai plus au long dans la maniere de prendre les mouvemens, puisque je n’entens faire ici que
6 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. Seconde partie. — Chapitre XVI. De la maniere de faire les bras avec les Contre-tems de Gavote. » pp. 255-263
he se plie aussi de haut en bas ; mais ses trois mouvemens se doivent prendre conjointement ensemble, c’est-à-dire, lorsque vou
re] [de part et d’autre] contour du bras de haut en bas Lorsque l’on prend le mouvement du contre-tems, comme cette seconde
Contre-tems ouverts ou de Chaconne. Le Contre-tems de Chaconne se prend de la 3e ou 4e position ; comme il est expliqué d
omme je l’ai déja dit ; ce qui le rend vif & brillant. Si vous le prenez en avant & que vous ayez le corps posé sur le
mme il est devant le bras gauche opposé : ainsi dans le tems que vous prenez votre premier mouvement pour passer le pied droit
u’il ne faut pas d’opposition : d’autant que son premier mouvement se prend de la troisiéme ou cinquiéme position, & au s
7 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre IV. Des Bals »
Acteurs et le plaisir ; mais l’Assemblée en devenant plus nombreuse, prit un air de Fête, dont les égards, la bienséance et
Un Bal de cérémonie fut délibéré à la pluralité des voix. Le jour fut pris  ; les dames les plus qualifiées furent invitées,
rgogne ouvrirent le bal par une courante, ensuite Madame de Bourgogne prit le Roi d’Angleterre, lui la Reine d’Angleterre, e
prit le Roi d’Angleterre, lui la Reine d’Angleterre, elle le Roi, qui prit Madame de Bourgogne ; elle prit Monseigneur, il p
Reine d’Angleterre, elle le Roi, qui prit Madame de Bourgogne ; elle prit Monseigneur, il prit Madame qui prit M. le Duc de
elle le Roi, qui prit Madame de Bourgogne ; elle prit Monseigneur, il prit Madame qui prit M. le Duc de Berri. Ainsi success
prit Madame de Bourgogne ; elle prit Monseigneur, il prit Madame qui prit M. le Duc de Berri. Ainsi successivement tous les
s et s’y rafraîchir pendant la pause du Bal. Je les suivis aussi. Ils prirent seulement quelques Grenades, Citrons, Oranges et
Bonnet lui avait dédié son Histoire de la Danse, de laquelle ceci est pris .
8 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « A, son altesse royale. Monseigneur. le duc d'Orléans, petit-fils de France. » pp. -
& la protection dont Elle favorise ceux qui les cultiveni, me fit prendre la liberté de lui présenter il y a quelques année
’engagement auquel Elle ne s’attendoit pas, & qu’elle a néanmoins pris en faveur de l’Histoire de la Danse, comme sœur d
’Europe entre tous les Princes Chrétiens, dès le moment que vous avez pris le gouvernail ; & quel bonheur ne devons-nous
9 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre VI. Des Mascarades »
avaient choisi. La seconde espèce était une composition régulière. On prenait un sujet ou de la Fable ou de l’Histoire. On form
re, qui n’est qu’un abrégé des grands Ballets, et qui me paraît avoir pris naissance à notre cour. Il y en a une troisième,
uta le 18 janvier 1668, fut la dernière, où ce Monarque Père des Arts prit le masque. Il n’avait pas encore trente ans.
10 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre X. De la maniere d’ôter son chapeau, & de le remettre. » pp. 24-28
premiere Figure 1. ayant la main ouverte 2. puis plier le coude pour prendre votre chapeau, ce qui fait un demi cercle, suivan
peau, ce qui fait un demi cercle, suivant ces mots, ply du coude, qui prend son point du coude même. 25. Deuxieme attitude
à côté de soi en pliant le coude, approcher la main de la tête & prendre le chapeau, le lever de dessus, & laisser tom
p; lui servir d’agrément : on doit aussi prendre garde de ne le point prendre par la forme, & d’avancer le bras & la ma
11 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XXXIV. Des pas de Sissonne. » pp. 156-158
termine ce pas. Il se fait de même en arriere, excepté qu’au lieu de prendre le mouvement de derriere pour venir en avant, il
u de prendre le mouvement de derriere pour venir en avant, il doit se prendre de la jambe de devant, pour la passer derriere en
s relevez sur le pied gauche, & le pied droit reste en l’air pour prendre un autre pas de ce pied. On les fait aussi en tou
12 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. Seconde partie. — Chapitre V. Du mouvement du Coude & de l’Epaule. » pp. 206-209
nt dans la même situation qu’ils étoient, 5. Comme aussi lorsque vous prenez un mouvement des poignets ils doivent se plier &a
orsqu’ils se plient avec les coudes. Quant au second mouvement qui se prend de bas en haut, les mains se trouvant en dessous 
essaire que le premier ; parce qu’il y a des pas ausquels il faut les prendre de bas en haut ; de plus pour les oppositions, or
13 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 2 décembre : Le Ballet des Muses — La Muse Dauphine à Monseigneur le Dauphin d’Adrien Perdou Subligny — Subligny, seconde semaine, lettre du 17 février 1667 »
dans cette saison, Qu’on n’en voit dans votre maison, Quoi qu’on n’y prenne point de passe-temps vulgaires. Quoi que MONSIEUR
n de ces derniers jours, Des gens que vous voyez toujours À son sujet prirent querelle ; La cause fut qu’en parlant d’elle, L’u
14 (1623) Apologie de la danse et la parfaite méthode de l’enseigner tant aux cavaliers qu’aux dames [graphies originales] « Methode povr les cavaliers. » pp. 25-51
il me suffit que ma plume les face voir inutiles au subiect que i’ay pris , & dont il est temps que ie parle. Mais à cau
se qui conciste plus en vsage qu’en artifice ; si mes actions doiuent prendre loy de celles de mon Maistre, & qu’il ne sçac
u’on luy face sans le desplacer plier esgalement les deux genoux pour prendre le temps du pas de courante, mais parce que toute
puis baissant vn peu la teste auec le corps faut baiser la main pour prendre celle de la femme, & se couurant, commencer g
on plustost, il faudra monstrer l’action qui doit estre obseruee pour prendre vne Dame, & la prier de danser, dont sera par
roict, faut tourner vn peu le corps de ce mesme costé, à fin de mieux prendre son temps pour faire vn chassé, & deux pas en
; & aux chassez qui se font de costé, faut que le pied qui chasse prenne la place du chassé, & que le portant le premi
te autre sorte de danses, & dés l’heure l’Escolier commençant à y prendre plaisir, s’apperceura comme auec la patience, le
e sçauoir cognoistre, la vanité leur face iuger vaine la peine que ie prends , qu’ils apprennent que la charité seule m’en a se
as tousiours le meilleur, principalement en cest exercice, où il n’en prend pas comme iadis à ces Abderites qui deuiendrent T
pointe du pied droict, le desgager doucement, en baisant la main pour prendre celle de la femme, & se couurant, se remettre
a pointe, à fin de couler doucement le gauche à costé, en luy faisant prendre vn tour vers le talon de l’autre, pour le porter
Gay, qui est composé de quatre pas, & se commence à fin de mieux prendre la cadance, par le dernier, en pliant tant soit p
s s’arreste là dessus, faut plier tant soit peu les genoux pour mieux prendre son temps, à fin d’assembler le pied droict au ga
nne oreille sont contraints d’attendre pour choisir le temps propre à prendre leur cadance.) Il faut partir par vn temps ou deu
t finir par vne ou plusieurs caprioles, sinon par quelque temps, pour prendre en cadance l’action de la reuerence, dont sera pa
ction) que l’on ne doit iamais plier les genoüils que lors qu’on veut prendre son temps pour s’esleuer, d’autant qu’il faut que
iere, faut porter les mains iusques au busque du pourpoint, comme qui prendroit sa force pour faire vn saut, & à la seconde,
mp; baissant vn peu la teste auec le corps, pour baiser la main & prendre celle de la femme, il l’amenera au bas bout, vis
quatre demarches, de la façon qu’il a esté dict cy dessus, auant que prendre la cadance pour commencer, & venant à finir,
15 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XXXVI. Des Jettez, ou demies Cabrioles. » pp. 162-165
sur l’autre. On les fait encore d’une autre maniere, en ce qu’il faut prendre plus de force pour les sauter ; ce qui se fait en
es Dames, elles ne doivent pas tant les sauter, il suffit qu’elles en prennent le tems en pliant, & qu’en se relevant elles
e, & qu’il se trouve des Jettés ou autres pas sautez, il les faut prendre modérément, afin de conserver cet accord d’un sex
16 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXI, choses d’amérique » pp. 232-249
e ferme. La suite des choses devait nous démontrer le contraire. Mais prenons ce vaudeville au lever du rideau : Je m’embarquai
ns sa tenue pour un tel voyage, mais il ne tarda pas à s’apaiser et à prendre gaîment son parti de la farce un peu vive que nou
r cracher par terre et jeter leurs bouts de cigares n’importe où sans prendre même la précaution de les éteindre. Nous gagnâmes
agité, blanc et blond, puis, tranquillement, sans demander son reste, prit la porte et sortit. Cette attitude négligente n’é
llar. Mortier était encore au lit, le nègre pour se faire comprendre, prit les habits pliés sur une chaise, et, tout en siff
notre appartement : — Cette fois, c’est trop fort. Qu’est-ce qui leur prend à ces brutes-là ? Suis-je changé ? dites ? Suis-j
s son prix. Mais en considérant son addition Mortier bondit. Il avait pris le même menu que nous et sa note était de deux do
: un point, c’est tout. Un matin, à huit heures, après que nous eûmes pris ensemble le café au lait, il nous quitta. — Je va
protestations. — A la disposicion de usted ! Et on m’obligeait à tout prendre . J’étais on ne peut plus embarrassée de mon butin
elots que j’avais achetés. Personne, absolument personne ne voulut le prendre . J’allai donc chez le préfet de police, le généra
je le livrerais aux autorités. Toujours riant, il promit, puisque je prenais l’aventure au tragique, qu’il allait s’acquitter
17 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre quatrième. Étude des bras » pp. 57-63
planc. VIII). 43. Mouvements des bras. Le mouvement du poignet se prend de deux manières, savoir du haut en bas, et du ba
nières, savoir du haut en bas, et du bas en haut. Lorsque vous voulez prendre du haut en bas, il faut laisser plier le poignet
poignet ; car il paraîtrait cassé. Quant au second mouvement, qui se prend du bas en haut, il faut plier le poignet en l’arr
suite ils se remettent dans la situation où ils étaient. Lorsque vous prenez un mouvement des poignets, ils doivent se plier e
orsqu’ils se plient avec les coudes. Quant au second mouvement qui se prend de bas en haut, les mains se trouvant en dessous,
18 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XV. Des Reverences en entrant dans un appartement, ou dans une assemblée. » pp. 47-48
la maniere de s’y comporter avec politesse, soit que l’on vienne vous prendre pour danser, ou que vous alliez prendre quelqu’un
se, soit que l’on vienne vous prendre pour danser, ou que vous alliez prendre quelqu’un, c’est ce qui sera expliqué dans les Ch
19 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Sixième lettre. Juste Odoard à Mlle de Nesmes, à Lyon. » pp. 433-445
sme qui avait été étouffé et perdu dans l’enthousiasme universel. Ils prirent subitement la détermination d’aller attendre la d
elle pourrait leur tenir compte par un remerciement ou un sourire. Je pris aussitôt la tête du cortège ; mon bouquet, que j’
vec respect et, dans le mouvement brusque que fit le vieux Fiori pour prendre le bras de sa fille, il fit tomber une des fleurs
ul au cimetière. Ému de son isolement, je lui offris mon bras qu’elle prit en me disant : « Vous êtes bon ! Que Dieu vous co
Fiori et qui, prévenus par hasard, accouraient à la hâte. Mlle Fiori prit alors le bras d’un vieux directeur de ballets et
ustais en égoïste le thé que l’on venait de me servir, lorsque je fus pris de remords et engageai mon hôte à en offrir au vo
s-je vous parler sans qu’on nous écoute ? Je répondis en l’invitant à prendre une tasse de thé, ce qui me fournit le prétexte d
, mais ce que je sais, et ce que tu ne sais pas, toi, c’est que : qui prend un enfant au théâtre, prend un devoir que tout le
que tu ne sais pas, toi, c’est que : qui prend un enfant au théâtre, prend un devoir que tout le monde n’est pas capable de
et pleurer, il craignit pour ma santé, si nécessaire à mes progrès et prit sur lui de m’épargner les vives émotions. Il juge
ngue italienne ; mais là s’arrêtèrent mes leçons. Quand il vit que je prenais goût à la lecture et désirais former un peu mon e
ourru : « Parbleu ! j’y veille, et le diable sera bien fin s’il me la prend . » Quand je lui demandais l’explication de ces pa
m’enleva très bien et m’emporta rapidement dans la coulisse. J’avais pris mon élan d’une manière si heureuse, que la salle
emporté sur un brancard et conduit au domicile de son ami où j’allai prendre de ses nouvelles dans l’après-midi. Il avait un p
20 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre quatrième — Chapitre III. Dispute entre Pylade et Hylas. »
Ce jeune homme joignait à une belle figure beaucoup d’ambition, qu’on prit pour du zèle, un désir extrême de se distinguer q
a défier son maître. Le défi fut accepté, le sujet choisi, et le jour pris . Rome entière en mouvement, sollicitée, poussée p
. Tu l’as fait long : je l’ai fait grand. L’Empereur avait semblé ne prendre aucun intérêt à cette dispute, et il s’en était c
21 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. Seconde partie. — Chapitre III. Des differens mouvemens des bras. » pp. 200-202
oupez en des tems & ouvertures de jambes, & autres pas qui se prennent plus du cou-de-pied que du genou, ce sont les poi
lligence, je vais expliquer dans les Chapitres suivans, la maniere de prendre les mouvemens des poignets separément de ceux des
22 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XV, quelques souverains » pp. 160-177
. Il portait la signature de mon imprésario et était ainsi conçu : «  Prenez train ce soir même pour embarquer après-demain de
es. Je leur expliquai tous mes jeux de lumière et mes danses, puis je pris congé et retournai auprès de ma mère qui m’attend
? — Non, qui est-ce ? — Le grand duc de Mecklembourg. Ce même jour je pris le tramway. Dans la voiture plusieurs personnes p
Je lui apportai la robe que je mets pour la danse du papillon. Elle prit l’étoffe dans sa main et dit : — La robe est vrai
essayai de le mouvoir gracieusement, je n’y parvins pas. J’essayai de prendre une pose noble, toujours avec le drapeau. Je n’y
issait tout d’un coup dans votre pays, parmi vos femmes noires, ne la prendrait -on pas pour un ange ? — Oh ! non ; on la prendrai
mmes noires, ne la prendrait-on pas pour un ange ? — Oh ! non ; on la prendrait pour un diable. Les anges sont noirs dans notre P
en Chine, il me télégraphia que tout était arrangé, et que je pouvais prendre à Vancouver le premier bateau en partance. Après
avait déjà accepté trop d’invitations, pour qu’il lui fût possible de prendre de nouveaux engagements. Je ne pensai donc plus à
nue à l’Hippodrome, malgré ses obligations multiples, les engagements pris ailleurs etc., etc. De moi, pas un mot. Pourtant,
23 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. Seconde partie. — Chapitre VIII. De la maniere de faire les bras avec les pas de Bourrée, ou Fleurets. » pp. 223-230
t qui est opposé au pied gauche, doit s’étendre dans le tems que vous prenez votre plié, & le bras gauche se tourne en des
’oppose. A l’égard du pas de Bourrée dessus & dessous, si vous le prenez du droit en allant à la gauche, en croisant votre
pas est ouvert d’abord, les bras imitent les pas : par exemple, vous prenez votre demi-coupé du pied droit à côté à la 2e. po
é : quant aux bras, il n’y a qu’une opposition ; en ce que si vous le prenez du pied droit, c’est le bras gauche qui se plie e
24 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre VI. Témoignage d’Auteurs et de Ministres protestans contre les Danses. » pp. 72-93
u roi de Navarre par une épître dédicatoire, à la fin de laquelle ils prennent la qualité de ministres du saint Evangile des égl
plusieurs des raisons qu’on allégue pour les justifier. Lorsque j’ai pris le même plan dans le traité que je donne, je n’av
emmes, au son de choses vaines et profanes, et non à autre fin que de prendre et donner du plaisir. Voilà les danses d’aujourd’
it que la jeunesse est gaie, et qu’on la doit laisser danser, il faut prendre l’argument tout contraire. » Après avoir interdi
e front et le visage… tourner toute sa personne de mille manières, et prendre une contenance si hardie et si gaie ? » Cela ne p
chapitre VII. Non-seulement, selon les théologiens, on ne doit pas «  prendre plaisir à danser, mais on ne doit pas non plus se
différence n’étant pas grande en matière de vice, d’y consentir ou de prendre plaisir à le voir faire et de le faire selon que
ation de paroles, autres que bien pures et bien chastes ; et que l’on prenne plaisir à dire et ouïr des choses sales et déshon
a danse réunit tous ces dangers ». Revenant ensuite aux personnes qui prennent plaisir à assister aux danses, ils remarquent que
-étroite ; que nous ne nous conformions point au monde, mais que nous prenions pour règle la volonté de Dieu, pour bien ordonner
ariage par une telle voie, que pourra-t-il s’ensuivre ? Une chose qui prendra sa naissance dans de telles sources, quelle pourr
uvons tenir et conserver avec la grâce de Dieu entière. Et, s’il nous prend donc envie de danser, gardons-nous-en ; c’est not
beaucoup de gens un divertissement permis, et dont en conséquence ils prennent la défense, parce que, pour me servir des paroles
25 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre XI. On doit non-seulement éviter les Danses, mais on doit même éviter, autant qu’on peut, d’être présent aux danses. » pp. 126-131
mer à danser, on ne doit pas non plus aimer à voir danser les autres. Prendre plaisir à être spectateur ou spectatrice des dans
eux qui les font . Il écrit aussi aux Ephésiens (ch. 5, v. 11.) : Ne prenez point de part aux œuvres infructueuses des ténèbr
iez autrefois, à ces assemblées de débauche et d’intempérance, et ils prennent de là sujet de vous charger d’exécrations. Mais i
de son diocèse : et tout curé qui néglige de le faire, ne doit-il pas prendre pour lui ces paroles de Dieu dans la prophétie d’
x maux sans nombre et très-grands qui naissent des danses, quel parti prendra-t -il ? Ce ne sera pas d’être présent à ces danses ;
26 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. Seconde partie. — Chapitre IX. De la maniere de faire les bras avec les Coupez de differentes façons. » pp. 231-235
oupé en avant.Lorsque vous voulez faire un Coupé, supposé que vous le preniez du pied droit en avant, par consequent vous devez
rquoi en pliant votre demi-coupé, vous étendez ce bras en lui faisant prendre son contour de bas en haut, & sans plier le g
Autre coupé en avant pour vous disposer à tourner.D’autres que vous prenez en avant ; c’est qu’ayant étendu le bras en prena
27 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. Seconde partie. — Chapitre XV. De la maniere de faire les bras avec les pas de Rigaudon, & les Jettez. » pp. 252-254
une mesure à deux tems : de sorte qu’en les commençant du droit, vous prenez seulement un petit mouvement des poignets de haut
riere ; c’est la même chose pour les bras, en observant sur tout d’en prendre les mouvemens avec douceur, pour ne point dérange
28 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre III. Objections tirées des Docteurs de l’Eglise. » pp. 167-174
e III. Objections tirées des Docteurs de l’Eglise. Après avoir pris dans les saintes Ecritures des autorités pour la
ntes Ecritures des autorités pour la condamnation des danses, j’en ai pris ensuite dans les ouvrages et les sermons des sain
ne font pas encore les personnes qui, remplies de l’esprit du monde, prennent la défense des danses, pour affoiblir l’impressio
idérations ? C’est, par exemple, dit-il, de penser, lorsqu’on étoit à prendre ce plaisir de la danse, que plusieurs réprouvés b
en dangereux, pour qu’en semblant le permettre, on se croie obligé de prendre tant de précautions pour empêcher les suites fune
apparence du mal. Et Tertullien nous avertit « qu’on ne sauroit trop prendre de sûretés lorsqu’il s’agit de l’éternité. » Nul
29 (1845) Notice sur Le Diable boiteux pp. 3-31
mino blanc, instruit du complot, en donne avis à l’écolier, qui court prendre un déguisement féminin, espérant ainsi pouvoir me
aillette d’argent sur la bedaine d’un énorme flacon de verre que vous prendriez pour un de ces vases où l’on met rafraîchir l’agr
ar le haut. Le laboratoire est désert : le maître est sans doute allé prendre un air de soufre avec ses condisciples du collège
u’elle prie l’alchimiste de lui expliquer, si c’est possible. Cléofas prend un air capable, fait quelques simagrées, et décla
i conseille de n’aimer et de n’épouser que le jeune inconnu qui lui a pris au bal un nœud de ruban, et qui est, ajoute-t-il
our se déclarer, et tombe aux pieds de la veuve en la conjurant de le prendre comme remède, c’est-à-dire comme mari… Mais, pata
d’amour ; la danseuse ne s’y montre pas insensible : elle semble même prendre plaisir à écouter l’écolier ; mais le malencontre
tan, — laissent tomber qui son bec, qui son museau, qui son groin, et prennent une physionomie humaine, sinon plus honnête, du m
smodée. En un clin d’œil, il escamote le professeur de danse, dont il prend le visage et le costume, sans que nul ne se soit
es desseins. Florinde, voyant qu’elle lutte avec trop de désavantage, prend le parti de simuler une entorse, une foulure, tou
le ce qui s’est passé la veille chez l’alchimiste, et la conversation prend un tour des plus tendres, lorsque la camériste de
ui avons bonne mémoire. — C’est doña Florinde en personne. — Elle s’y prend si galamment que l’écolier n’a bientôt plus de pr
lâche à bout portant une déclaration des plus passionnées. Quoi ! s’y prendre de cette façon cavalière ! ne pas même donner aux
ié de force, accorde un baiser au chérubin en uniforme, et lui laisse prendre un ruban à son corsage. Vous jugez de la mine que
s une partie où l’amour-propre le retient plus encore que l’espoir de prendre sa revanche, Cléofas se voit réduit à jouer sur p
chapeau, au justaucorps de cuir, serré par un large ceinturon, qu’on prendrait pour des reîtres du seizième siècle qui auraient
al de vellon. Des Bohémiens traversent le fond du théâtre ; Asmodée a pris leur costume et s’est constitué leur chef de sa p
30 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre IX. Circonstances qui contribuent à rendre les Danses plus dangereuses et plus criminelles. » pp. 102-114
us soyons en même temps excités, par le souvenir de leurs exemples, à prendre , pour arriver au bonheur dont ils jouissent, la r
irement à rendre plus hardi pour le mal. Combien de gens souffrent ou prennent plus facilement, à la faveur des ténèbres, des li
à la faveur des ténèbres, des libertés criminelles qu’ils n’oseroient prendre ou souffrir en plein jour, par un reste de pudeur
, les ténèbres de la nuit contribuent à donner plus de hardiesse pour prendre ou souffrir des libertés criminelles, cette hardi
a plus criminelle, c’est lorsqu’on change les habits de son sexe pour prendre ceux de l’autre sexe. Dieu l’avoit défendu à son
teté ! Une femme , est-il dit dans le Deutéronome, (c. 12, v. 5.) ne prendra point un habit d’homme, ni un homme un habit de f
u de craindre qu’il n’en ait la mollesse et l’esprit, ou qu’il ne les prenne bientôt : ce qui est un renversement de la nature
ral à tous les chrétiens, n’a pas eu honte d’avancer qu’ils pouvoient prendre ce divertissement. Le temps même du carême, « enc
31 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Septième lettre. Juste Odoard à Mlle de Nesmes. » pp. 446-448
lique et doux, sympathique et charmant à ce point que j’ai peur de me prendre d’amitié sérieuse pour lui sans être payé de reto
ions descendu le flanc escarpé de la montagne. J’examinai la roche et pris de l’œil mes mesures. Le projet n’était pas impra
, et je le rassurai. Comme M. de Sainte-Fauste m’avait prévenu que je prendrais mes repas dans le logement que l’on me destinait,
prendrais mes repas dans le logement que l’on me destinait, j’allais prendre congé de mon hôte. « Où allez-vous donc ? me dit-
32 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Belton et Eliza. Ballet pantomime. » pp. 223-233
e à des marchands étrangers. Le second est celui de la résolution que prennent les habitans de la Pensylvanie de donner la liber
sse sa sœur ; elle l’engage à venir dans son logis ; il se décide, il prend les deux enfans dans ses bras et la suit. Scè
venir de loin Belton, qui paroît accablé. Elle vole vers lui ; Belton prend un extérieur forcé pour répondre aux questions de
elton l’accepte. L’Indien se debarrasse de son carquois, de son arc ; prend un bouclier et un casse-tête : il donne les mêmes
reconnoissance. Les deux petits enfans ne sont pas oubliés. Zirca les prend dans ses bras, les presse contre son sein et les
33 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre V. De l’usage de la Danse grave & sérieuse, convenable aux Bals de cérémonie. » pp. 112-145
assemblée. L’Histoire Romaine fait aussi mention que Caton le Censeur prit un Maître à danser à l’âge de 59 ans, pour record
 ; parce qu’on ne peut se dispenser d’obéïr à une Dame qui vient vous prendre  : on doit du moins se présenter pour faire la rév
e la révérence avec elle, la remener en sa place, & ensuite aller prendre une autre Dame, pour en faire encore autant ; afi
ne Dame en écharpe ; car alors il est contre les régles du bal de les prendre pour danser : comme fit Dom Juan d’Autriche, dans
t pas les régles du bal, crut qu’il étoit de la bienséance d’en aller prendre un pour danser ; elle s’adressa à M. le Marquis d
gogne ouvrirent le bal par une Courante : ensuite Madame de Bourgogne prit le Roi d’Angleterre pour danser ; lui, la Reine d
gleterre pour danser ; lui, la Reine d’Angleterre ; elle, le Roi, qui prit Madame de Bourgogne ; elle prit Monseigneur ; il
eine d’Angleterre ; elle, le Roi, qui prit Madame de Bourgogne ; elle prit Monseigneur ; il prit Madame, qui prit Monsieur l
le, le Roi, qui prit Madame de Bourgogne ; elle prit Monseigneur ; il prit Madame, qui prit Monsieur le Duc de Berri : ainsi
rit Madame de Bourgogne ; elle prit Monseigneur ; il prit Madame, qui prit Monsieur le Duc de Berri : ainsi successivement t
ur s’y rafraîchir pendant la pause du bal ; je les suivis aussi : ils prirent seulement quelques grenades, citrons, oranges, &a
s’avance, Son air riant & sa danse Calment mes esprits flotans : Prit -elle un autre langage Pour applaudir au courage D
34 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre premier. Justes idées sur les Danses contre lesquelles on écrit. » pp. 2-10
i se pratiquent ordinairement, il n’y a que l’un de ces deux partis à prendre , ou de dire que cette idée est fausse, et que les
te ; ou qu’étant telles, elles n’ont rien de dangereux ni de mauvais. Prendre le premier parti, ce seroit aller contre l’éviden
roit aller contre l’évidence ; et je ne crois pas qu’on ose le faire. Prendre le deuxième parti, ce seroit aller contre les pri
bre de preuves ; ensuite je répondrai à toutes les objections qu’on a pris à tâche de multiplier, afin de détruire, s’il éto
ivement sentir, qu’on a moins d’attention à les réprimer, et qu’on en prend moins les moyens ? Ces moyens sont la vigilance,
cles combien un tel désir est mauvais à ses yeux, et qu’on ne sauroit prendre trop de précautions contre une passion qu’il est
35 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre IV. » pp. 27-36
mpire. Enfans de la paix, et de l’abondance, ils furent contraints de prendre la fuite ; ils errèrent longtems, et ne trouvèren
sants. Les Grecs imitèrent les Egyptiens ; et les Romains à leur tour prirent les Athéniens pour modèle ; ils héritèrent de leu
éptre du talent. » Pilade fier, et vain accepta le défi ; le jour fut pris  ; la ville et les faubourgs de Rome furent en mou
justice au mérite distingué de Pylade ; et Auguste ne dédaigna pas de prendre intérêt an triomphe bien mérité de cet excellent
échauffèrent les esprits, et les aigrirent au point qu’on résolut de prendre les armes. Mécènes, qui veilloit à tout, qui savo
cruauté, la barbarie, et les débauches de ses successeurs. Les arts prirent encore le fuite pour se dérober à la fureur des p
36 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre VII. De la quatriéme Position. » pp. 17-19
sans les croiser, & sur tout en dansant ; en ce que lorsque l’on prend un mouvement, & que l’on croise le pied quand
êtes parvenu à bien faire une reverence avec grace, insensiblement on prend du goût pour la danse. On me dira encore qu’il fa
37 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 7 au 12 mai : Les Plaisirs de l’Isle enchantée — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 10 mai 1664 »
ol, Dont j’étais quasi pis que fol, Je me mis en quelque équipage, Je pris un cheval de louage, Et fis un dessein courageux
es Étant pour moi des Lettres closes, Qui voudrait (en ma place) oser Prendre aucun souci d’en jaser ? Mais, toutefois, veuille
38 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre III. Des mouvemens de la Danse par rapport aux actions humaines, suivant les préceptes des Egyptiens & des Grecs. » pp. 59-69
her les cheveux, ni les extravagances des fous & de ceux qui sont pris de vin ; néanmoins nous aimons à les voir représe
rquent, comme les forgerons, les rameurs, les endormis, des personnes prises de vin, des luteurs, &c. Et les figures sont
ge doux & serein, qui se trouble néanmoins quelquefois, & qui prend autant de de formes qu’il y a de mouvemens au cœu
blis en France, nos Rois, nos Reines & les grands Seigneurs n’ont pris que des personnages illustres de Divinitez, de Hé
figures arbitraires de la danse, ce sont les diverses situations que prennent les danseurs dans les Entrées, selon le nombre de
39 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les artistes de l’opéra »
donne communément le nom d’acteurs et d’actrices de l’opéra ; et ils prennent la qualité d’ordinaires de l’académie royale de M
royale de Musique. Les exécutants dans l’orchestre et dans les chœurs prennent aussi la même qualité. Voyez Opéra [Article de Ja
apitaineries, et leur parlait quelquefois avec humanité. Ce grand roi prenait plaisir à consoler ces malheureux de la barbarie
s, et qu’on en prépare un autre. On dit de l’acteur en sous ordre qui prend le rôle que remplissait le premier, il a doublé,
rès de la Danse »] Doubler Doubler, v. act. (Spectacle.) pour prendre la place, ou pour tenir la place, terme d’opéra.
40 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — V, mes débuts aux folies-bergère » pp. 50-
, par trop insuffisant. Je réfléchis un moment. Et mon parti fut vite pris . J’embarquai, après le dîner, mon agent et ma mèr
is, cette fois, j’étais bien décidée à lui faire rendre ce qu’elle me prenait . Bientôt, je cessai de lui en vouloir. Au lieu de
in il paya mon imitatrice, et elle quitta le théâtre. Le même soir je pris sa place et il me fallut répéter sa danse quatre
te occasion. Huit jours après eut lieu la répétition générale, qui ne prit fin qu’à quatre heures du matin, et encore n’avai
beaucoup sur la scène pour me féliciter et, parmi eux, Calvé. Elle me prit dans ses bras, m’embrassa et dit : — C’est mervei
41 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVIII, comment j’ai découvert hanako » pp. 204-
ntrai en relations avec Sada Yacco et penser que je n’hésitai point à prendre la responsabilité financière de ses représentatio
dis : — Si vous voulez rester avec moi il faut m’obéir. Et si vous ne prenez pas cette petite pour étoile vous n’aurez aucun s
s yeux grands ouverts, elle regardait encore la mort qui venait de la prendre . C’était poignant. Le soir du début arriva. Le pr
allée de Marseille à Anvers avec d’autres acteurs de la troupe, pour prendre le bateau qui devait la ramener au Japon. Mais à
age que les petites robes japonaises dont elles étaient vêtues, elles prirent le train pour Paris. Hanako avait dû abandonner s
42 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XXVII. Des Tems de Courantes, ou pas graves. » pp. 115-121
suite tant d’un pied que de l’autre. J’ai vû plusieurs personnes les prendre de la premiere position, ils font aussi un fort b
dans la même maniere de ceux-ci ; quoique leurs premiers mouvemens se prennent de même, mais il ne se terminent pas comme les au
as, ce qui fait un agrément tout des plus gracieux : car ce pas étant pris à propos, le corps restant dans son repos, dans u
43 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XXX. Des Coupez du mouvement. » pp. 139-141
lon toute la propreté qu’ils doivent estre faits ; ainsi lorsque vous prenez votre demi-coupé, soit en avant, vous le pliez tr
e demi-coupé, & à la deuxiéme pour le demi-jetté. D’autres qui se prennent de la premiere, & vous portés le pied à côté
44 (1841) Physiologie de la lorette pp. -127
le loriot s’endort bercé par la brise. O Lorettes, Alphonse Karr vous prendra sur ses nerveuses épaules, il vous plongera dans
la Lorette sous puissance de père et mère qui en fait usage. Sa mère prend son café dans un pot de fleurs. Le demi-poulet qu
e sa vie, quand elle veut que sa vie soit mystérieuse. On viendra me prendre ce soir. Si on savait que je suis chez vous, on s
euve, ou par corruption, madame de Maisonave. Quelquefois, la Lorette prend le nom de la ville où elle est née, et vous recev
plutôt des noms de terre. Le cinquième fléau dont nous devons encore prendre note, c’est l’impossibilité du crédit qui frappe
, elle achète en route du charbon qu’elle porte dans un foulard, elle prend possession de son domicile. Le portier dit au maî
’expérience faite par les Lorettes mêmes, que la majorité de ceux qui prennent dans la correspondance amoureuse un pseudonyme, e
présente la lettre initiale du nom du débiteur chez lequel l’Arthur a pris l’hospitalité au nom du Code de commerce. A cette
si mal ; et, comme s’il éprouvait le besoin d’un acte expiatoire, il prend les lettres, se condamne à en déchiffrer au moins
échiffrer au moins une ; faisant application de la loi du progrès, il prend , comme la plus facile à lire, celle qui avait dû
r qu’elle était dans une fausse route, la Lorette haussa les épaules, prit une délicieuse boîte de la papeterie Marion, en t
irculer dans le quartier du faubourg Montmartre sans s’exposer à être pris entre deux paniers à provisions. A cette heure, l
vous prier de vous dispenser aussi de serviette, elle vous autorise à prendre le coin de la nappe : sa blanchisseuse ne vient q
ette, les dents et par conséquent la pomme en l’air ; de l’autre main prenez ce couteau fraîchement émoulé, assenez un coup su
dire en jetant du pique sur table. Je joue piche ! Au lieu de dire Je prends , une autre répond : Je tonds. Ou, si c’est un ro
ette : Lucien, je serai demain à l’Opéra à minuit ; Charles, venez me prendre à la Renaissance à une heure ; Adrien, que je vou
… moi, je m’embête. La Lorette bâille. Le nez de carton croit pouvoir prendre sur lui de l’imiter. — La Lorette. L’Opéra tombe
donc, monsieur ! dit la Lorette, mais certainement. Le nez de carton prend son billet, délicieuse contremarque en carton Bri
ne semble préparé pour un bal. La maîtresse du logis, avertie enfin, prend la chose en riant et demande à madame de Longcham
l’article du souper. Vers deux heures du matin, madame de Longchamps prit la parole : elle raconta qu’un chien enragé venai
. Adolphine. Une autre : Monsieur le préfet, Éprouvant le besoin de prendre ma demi-tasse à l’estaminet, je vous prie de m’au
sants qui fument et allume son cigare au leur ; quelquefois même elle prend le meilleur des deux et s’esquive. Au spectacle e
il ne doit pas non plus être rangé dans la catégorie de ceux qui les prennent . La Lorette jalouse ne reconnaît aucunes lois soc
presque toujours de cinq francs ; quand elle est de vingt francs elle prend alors le nom de grande pièce de crédit La proprié
ons. Dans la rue Notre-Dame-de-Lorette il a été long-temps d’usage de prendre des locataires sans leur imposer aucune taxe, pas
son de 300 francs par an. Quand arrive le premier mois de gages, vous prenez une feuille de papier vélin et vous signalez à la
ici, tu resteras noble et pensionnée du gouvernement. Le cordon-bleu prend ses fonds et retourne à sa broche. Des Lorettes
al : elle en était à blasphémer contre la sibylle… Enfin un quaker la prit en pitié et lui dit : Ma fille, tu as fait une bo
aimable de me confier votre parapluie. Le temps se couvre. La Lorette prend le parapluie le plus coquet qu’elle trouve près d
Docteur, prêtez-moi donc de quoi renvoyer mon ver rongeur. La Lorette prend vingt francs sur la cheminée ; elle en soustrait
sa facture par sa femme, vous reconnaissez un débardeur Musard. Vous prenez des chevaux pour un voyage ; la maîtresse de post
45 (1761) Le Festin de Pierre. Ballet Pantomime « [Plan du ballet] »
va ouvrir ; il entre dans la salle ; les conviés sont épouvantés, ils prennent la fuite. Don Juan reste seul avec la statue. Il
ebout devant son tombeau. Don Juan est un peu étonné en le voyant. Il prend cependant un air assuré, et s’approche du Command
46 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VII, un voyage en russie. — un contrat rompu » pp. 72-81
ante. Elle se coucha en disant : — Je ne peux pas partir ; toi tu vas prendre le train pour ne pas manquer de parole aux gens d
Deux jours durant, je me cachais lorsque quelqu’un venait, et j’avais pris une garde-malade pour veiller ma mère, tellement
ituaient tout mon avoir. Mon interprète s’empara des mille francs, me pris un ticket pour Berlin, puis disparut pour aller c
e trouvais dénuée d’argent à un point tel que je ne pourrais même pas prendre , pour continuer mon voyage, un billet de Berlin à
uée du docteur Chapman, dont la haute taille dominait la foule. Il me prit dans ses bras et me dit : — Elle vit encore, vene
47 (1908) L’École de danse de Grünewald « L’école de danse du Grünewald » pp. 261-268
rônera un jour ou l’autre le morne ballet, à moins que l’Allemagne ne prenne les devants… Car, à part sa propreté et ses nouve
t nécessaire, elle l’importe. Nous importerons des artiste. Vous nous prenez nos musiciens, vous imitez notre musique, nous pr
iste. Vous nous prenez nos musiciens, vous imitez notre musique, nous prendrons modèle sur vos sculpteurs et sur vos peintres, no
J’y allai un soir, puis deux, puis trois. Du premier coup j’avais été pris  : elle m’avait révélé la beauté du mouvement. Je
r vierge pudique et bacchante excitée, que danse-t-elle ? Où a-t-elle pris ces pas, ces courses rapides, ces essors d’ange t
48 (1823) De l’art de la danse , considéré dans ses vrais rapports avec l’éducation de la jeunesse (3e éd.) « Des moyens de conserver le talent de la danse. » pp. 133-137
uvais goût et le mauvais ton créent tous ces défauts, que le vulgaire prend pour autant de modes et qui s’accréditent à ses y
à une bonne exécution ; elle peut rompre un bon maintien et en faire prendre un mauvais. Il faut éviter encore de danser à des
re, pour exécuter cette règle, que les personnes qui donnent des bals prissent , à cet effet, un homme initié dans la danse, tel
49 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 15 mai. Peut-on reconstituer une danse antique. »
imultanés comme l’a observé Rodin chez Rude ou Géricault, comment s’y prendre pour reconstituer ? J’ai compulsé récemment un bo
allures présumables. Et, en comparant minutieusement ces instantanés pris sur des chevaux vivants au mouvement des coursier
es dessins des potiers ioniens en présence d’analyses photographiques prises sur les temps essentiels de la danse dite classiq
50 (1797) Essai ou principes élémentaires de l'art de la danse, utiles aux personnes destinées à l'éducation de la jeunesse « Épître dédicatoire à Madame **** »
nds de tracer ici les règles n’eût été que frivole, je n’aurais point pris la liberté de vous faire l’hommage de cette faibl
ie et de la musique, s’affranchissant enfin de ses gothiques entraves prend un nouvel essor, et ce n’est plus que l’expressio
51 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre VII. Témoignage d’un célèbre Jurisconsulte contre les Danses. » pp. 94-98
airés, et les plus pieux qui viennent d’être rapportés, on ose encore prendre la défense des danses, et que l’on s’obstine à le
s certains que ceux de la médecine ; et ne doit-on pas beaucoup moins prendre de précautions pour conserver la vie du corps, qu
du corps, qu’il faudra nécessairement perdre un jour, qu’on n’en doit prendre pour conserver la vie spirituelle de la grâce, qu
52 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre VI. Objection : Il faut se récréer quelquefois. » pp. 179-187
mmateur de notre foi ; (Hébr. c. 12, v. 2.) ce Jésus qui, ayant voulu prendre toutes nos foiblesses à cause de sa ressemblance,
foiblesses à cause de sa ressemblance, à la réserve du péché, a bien pris nos larmes, nos tristesses, nos douleurs, et jusq
s tristesses, nos douleurs, et jusqu’à nos frayeurs ; mais il n’a pas pris nos joies, ni nos ris, et n’a pas voulu que ses l
ait chair, la vérité éternelle, manifestée dans notre nature, en a pu prendre les peines qui sont réelles, mais n’en a point vo
en a pu prendre les peines qui sont réelles, mais n’en a point voulu prendre les ris et les joies qui ont trop d’affinité avec
53 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre II. De la maniere de bien marcher. » pp. 4-8
p écarter ni les trop serrer ; & je suis certain que lorsque l’on prendra tous ces soins, on ne tombera pas dans aucun des
de les faire ; & comme tous ces differens mouvemens doivent être pris à propos, & que les regles que l’on doit suiv
54 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — LETTRE XII. » pp. 157-180
ntraindre les parties par une application aussi longue que pénible, à prendre une toute autre situation que celle quelles ont p
lutôt que de céder à la contrainte qu’on voudroit leur imposer. Qu’il prenne un jeune arbrisseau, il parviendra facilement à l
cation. Il est encore des personnes qui commencent trop tard, et qui prennent la danse dans l’âge où l’on doit songer à la quit
qui leur sont naturelles. Celui-ci par une suite de l’habitude qu’il prend de se tenir de travers et d’avancer une épaule, s
Je ne finirois point, si je vous parlois de tous les inconvéniens qui prennent leur source d’un mauvais maintien. Tous ces défau
èce de roulis occasionné par la forme convexe que l’extrémité du pied prend dans cette position, s’oppose à toute stabilité ;
ndement, le peu de fermeté des Reins. Les disproportions dans les pas prennent leur source de l’imitation et du peu de raisonnem
finesse dans cet organe. Il est cependant constant que la manière de prendre les temps en contribuant à la vitesse, ajoute en
ui auroit été saillant, et qui auroit produit son effet, s’il eût été pris avec promptitude et à l’extrémité de la mesure, p
posé, la précision manque à celui qui ayant de l’oreille, ne sait pas prendre ses temps avec vitesse. L’élasticité du cou-de-pi
question de sauter ? Cent personnes autour d’un chêne ou d’un pilier, prennent leurs temps dans le même instant, s’élévent avec
55 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE XII. » pp. 315-361
ontraindre les parties par une application aussi longue que pénible à prendre une toute autre situation que celle qu’elles ont
lutôt que de céder à la contrainte qu’on voudroit leur imposer. Qu’il prenne un jeune arbrisseau, il parviendra facilement à l
tion. Il est encore des personnes qui commencent trop tard, & qui prennent la Danse dans l’âge où l’on doit songer à la quit
qui leur sont naturelles. Celui-ci par une suite de l’habitude qu’il prend de se tenir de travers & d’avancer une épaule
Je ne finirois point si je vous parlois de tous les inconvénients qui prennent leur source d’un mauvais maintien. Tous ces défau
ece de roulis occasionné par la forme convexe que l’extrêmité du pied prend dans cette position, s’oppose à toute stabilité ;
ement, le peu de fermeté des reins. Les disproportions dans les temps prennent leur source de l’imitation & du peu de raison
finesse dans cet organe ; il est cependant constant que la maniere de prendre les temps, en contribuant à la vîtesse ajoute en
lant & qui auroit produit l’effet le plus séducteur, s’il eût été pris avec promptitude & à l’extrêmité de la mesure
posé, la précision manque à celui qui ayant de l’oreille, ne sait pas prendre ses temps avec vîtesse ; l’élasticité du coudepie
question de sauter ? cent personnes autour d’un chêne ou d’un pilier prennent leurs temps dans le même instant, s’élévent avec
56 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre septième. Des pirouettes ; » pp. 79-87
Chapitre septième. Des pirouettes ; De la manière de les prendre ou préparer, de celle de les faire et de les file
èce de roulis occasionné par la forme convexe que l’extrémité du pied prend dans cette position, s’oppose à toute stabilité ;
nt et la force au corps pour le faire tourner, et qu’en même temps il prennent leur position, servent de balancier pour conserve
un pas de caractère. Dans un rôle de Mercure que je représentais, je pris , en pirouettant, l’attitude de la statue de J. B
57 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre IV » pp. 44-59
ors de toutes les convenances et de toutes les traditions. Nous avons pris l’envers de la vie. Je m’explique parfaitement l’
s filles à dots, qu’il n’est pas rare de voir une enfant de seize ans prendre un époux rachitique, poussée par le simple attrai
ans les bals. La galerie jette déjà des regards soupçonneux sur lui ; pris au piége, il ne trouve pas d’autre porte de sorti
vant que le lecteur ait eu le temps de remettre la lettre à sa place. Pris en flagrant délit d’indiscrétion, il est forcé, p
58 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VI » pp. 76-89
cavaliers ont leur entrée. C’est ma prime. LE CASINO CADET dialogue pris sur le vif. Un provincial. C’est gentil, ici. —
le Casino-Cadet est excellent pour les éducations. Alice. Oui, on y prend de l’aplomb. Tiens, moi qui te parles, il y a six
e. — Garçon, de la bière ! L’ami. C’est de la bière que vous voulez prendre , vous ne préférez pas plutôt une glace ? Alida
r une respectueuse révérence. — Une fois ces dames parties, l’habitué prend le bras de son ami. L’habitué. — Eh bien ! qu’e
59 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VII » pp. 90-105
oduits. Il les conduisit aux galeries, leur fit admirer ses salons et prit un air morgue. Quand Markouski prend un air morgu
s, leur fit admirer ses salons et prit un air morgue. Quand Markouski prend un air morgue les habitués disent : La recette va
 Rigolo, pensa Markouski, ce sont des Espagnols… et moi qui les avais pris pour des Russes. — Je préfère cela… Les Espagnols
crant quelques lignes. D’ailleurs, depuis quelque temps surtout, il a pris une telle importance, il touche par tant de côtés
60 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XII, la collection de m. groult » pp. 124-133
ntendais et s’il y avait une chasse à courre dans son jardin. Elle se prit à rire franchement et me dit : — Il n’y a pas de
et courtes, mais pleines du meilleur esprit naturel. On sentait qu’il prenait un plaisir réel à converser avec nous. Nous nous
re et haute estime qu’il voulait bien nous donner. Sur ces mots, nous prîmes jour et le petit vieux nous quitta. — Pourquoi ve
rdait comme s’il eût craint que je doutasse de sa sincérité et que je prisse ses affirmations pour des compliments. Avec des m
61 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre quatrième — Chapitre IV. Troubles excités à Rome par les Pantomimes. »
uelle de tumulte67. Les Gardes qu’on envoyait pour calmer le désordre prenaient souvent parti dans la querelle. Les Centurions, l
n ou mauvais. C’est dans cet état que Caligula trouva Rome, lorsqu’il prit les rênes de l’Empire. J’ai dit que Tibère n’avai
avait toujours murmuré jusqu’à lui ; plus ce Prince était blâmable de prendre , dans les circonstances où il se trouvait, le par
62 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre IV. Des Ballets poétiques »
III même alla chez Baïf ; mais les Courtisans, le Roi, les mignons ne prirent pas plus d’intérêt à cette nouveauté qu’on en pre
les mignons ne prirent pas plus d’intérêt à cette nouveauté qu’on en prend pour l’ordinaire aux curiosités de la Foire. Baïf
63 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IX. le voyag e en amérique  » pp. 320-364
toppa. L’on fit des sondages qui ramenèrent du sable. Le capitaine en prit une poignée et l’offrit à Fanny, afin qu’elle fût
A Wilmington elle s’embarqua pour Charlestown. Le 3 janvier 1841 elle prenait le bateau pour la Havane et y débarquait le 14, a
Après avoir donné vingt-six représentations à la Nouvelle-Orléans et pris quelques jours de repos aux bords du lac Pontchar
anny un surcroît d’efforts : il lui fallait haranguer le public. Elle prit l’habitude de jeter par-dessus la rampe des parol
ice, les flammes suprêmes de l’enthousiasme. La première fois qu’elle prit congé de New-York, elle prononça ces mots : I hav
ait dévier les meilleures boussoles. Les têtes les plus graves furent prises de vertige. C’est un chapitre curieux de la psych
’asseoir au fauteuil du président, et Catherine Prinster fut priée de prendre la place du secrétaire. Les deux femmes ne purent
Chambre se réunirait les soirs où Fanny ne danserait pas. Comme Fanny prenait un vif intérêt aux choses de la marine, le départ
e un enfant en extase devant tout ce qu’elle voyait. Le lieutenant la prit par la main et, lui faisant faire quelques pas, l
e catholique à l’office du dimanche 28 juin 1840. Une voiture alla la prendre à son domicile. Au temple les fidèles formaient l
iture et lui tendit un enfant de deux mois environ, en lui disant : «  Prenez -le ! » Profondément surprise, Fanny prit le bébé
environ, en lui disant : « Prenez-le ! » Profondément surprise, Fanny prit le bébé dans ses bras et le couvrit de baisers. A
assemblée fut d’avis qu’il fallait persister à donner la sérénade. On prit rendez-vous pour le 27 août devant l’American Hôt
agna la Cachucha avec des castagnettes. Devant les mesures énergiques prises par leurs adversaires, les Américains renoncèrent
aient voulu tout simplement empêcher la fête française et s’y étaient pris très brutalement. L’affaire n’eut pas de suites.
s mieux gardées. Non seulement les inflammables Cubains se laissaient prendre à ce jeu, mais aussi les gens du Nord aux tempéra
soixante mille francs qu’elle abandonnait aux nécessiteux. Sa charité prenait encore d’autres formes. Elle marquait son passage
64 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 13 juin : Le Favori — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 21 juin 1665 »
lents Concerts Composés d’Instruments et d’Airs ; Si bien que le tout pris ensemble Fit un bel effet, ce me semble, Et causa
65 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 2 décembre : Le Ballet des Muses — La Muse de la Cour à Monseigneur le Dauphin d’Adrien Perdou de Subligny — Subligny, vingt-neuvième semaine, lettre du 9 décembre 1666 »
s avez et l’argent et le temps ; Quand vous aurez vécu cent ans, Vous prendrez , s’il le faut, de la mélancolie.
66 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre quinzième et dernière. » pp. 216-240
uleur la plus profonde. L’empressement qu’il a dabord témoigné a fait prendre le change et en a imposé aux Misogyniens ; ils on
statue s’écroule et se rompt par morceaux. Un nouvel autel paroit et prend la place de celui qui vient d’être détruit. Il es
ns aux Nymphes, et donne à Dorval Zénéide, jeune Nymphe que ce Dieu a pris soin de former. Une marche de triomphe forme l’ou
égance ; on lève l’ancre, les Zéphirs enflent les voiles, le vaisseau prend le large, et poussé par des vents favorables il v
ès cet instant interprète les sentimens d’Inès à son dèsavantage ; il prend sa compassion pour de la tendresse, ses craintes
, s’appercevant que Fernand  ne répond point à son empressement, elle prend la fuite : Béatrix l’arrête sur le champ ; et l’E
mitié, Inès qui le surprend tandis qu’il baise la main de Béatrix, en prend occasion pour se venger de la scène que la jalous
pentir ; elle vole à son amant, le serre tendrement dans ses bras, le prend par la main et s’éfforce de le rappeller à la vie
e notre théatre. Ce sont des tableaux des meilleurs maîtres, que j’ai pris soin de réunir. Le premier est pris de M. Diderot
x des meilleurs maîtres, que j’ai pris soin de réunir. Le premier est pris de M. Diderot, le second offre un coup de théatre
’élèveront contre le genre qu’il indique ; pourquoi ? c’est qu’il est pris dans la nature, c’est qu’il faut des hommes pour
67 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — DERNIERE LETTRE. » pp. 435-484
leur la plus profonde. L’empressement qu’il a d’abord témoigné a fait prendre le change & en a imposé aux Misogyniens ; ils
e s’écroule & se rompt par morceaux. Un nouvel autel paroît & prend la place de celui qui vient d’être détruit, il es
aux Nymphes, & donne à Dorval Zenéide, jeune Nymphe que ce Dieu a pris soin de former. Une marche de triomphe forme l’ou
Zéphyrs & les soupirs des amants enflent les voiles, le vaisseau prend le large, & poussé par des vents favorables i
s cet instant interprete les sentiments d’Inès à son désavantage ; il prend sa compassion pour de la tendresse, ses craintes
ais s’appercevant que Fernand ne répond point à son empressement elle prend la fuite ; Béatrix l’arrête sur le champ, & l
amitié, Inès qui le surprend tandis qu’il baise la main à Béatrix, en prend occasion pour se venger de la Scene que la jalous
pentir ; elle vole à son amant, le serre tendrement dans ses bras, le prend par la main & s’efforce de le rappeller à la
de notre Théatre. Ce sont des tableaux des meilleurs Maîtres que j’ai pris soin de réunir. Le premier est pris de Mr. Didero
ux des meilleurs Maîtres que j’ai pris soin de réunir. Le premier est pris de Mr. Diderot, le second offre un coup de Théatr
’éleveront contre le genre qu’il indique : pourquoi ? c’est qu’il est pris dans la nature ; c’est qu’il faut des hommes pour
68 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 13 février : Le Ballet de Flore — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 16 février 1669 »
dussé-je avoir à dos Les Lecteurs de mes Écritures, Je n’ai pas bien pris mes mesures, Et, mon Papier se trouvant plein, Ce
69 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre premier » pp. 6-15
. J’exploite ma réputation ; que les prudes et les hommes graves s’en prennent à mes apologistes, qui ont cru être très-spiritue
comme les hommes sont bizarres, il en est très-peu qui ne se laissent prendre à ce mélodrame de boudoir ; ils pleurent avec les
riez pas mieux considérées pour cela. Au contraire. VII On nous prend trop au sérieux, voilà la vérité ; les bohèmes ga
70 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XXXII. Des Piroüettez. » pp. 148-152
üetté où le corps n’est posé que sur un seul pied, le plié doit estre pris très-doucement le corps entierement posé sur la j
cette maniere : étant à la deuxiéme ou quatriéme position, car il se prend également de l’une comme de l’autre, & le cor
71 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « V. Pastels après décès. » pp. 54-87
ta là. Voici, du reste, un spécimen de l’orthographe de cette artiste pris dans un billet qu’elle envoyait à l’un de ses gal
avec « une décence extrême. » Elle avait « une manière si adroite de prendre ses pas sous elle que jamais on ne put apercevoir
sent comme elle. La Camargo donna le ton. Toutes les modes nouvelles prirent son nom. Son cordonnier fit fortune avec le genre
che, qu’à une représentation donnée à son bénéfice, les places furent prises d’assaut, l’épée à la main, et que la bénéficiair
prince de Galles. » En 1775, des remords de conscience avaient fait prendre à mademoiselle Heinel la détermination de se reti
il et très utile à l’Opéra pour diriger la conduite de ses compagnes, prit la parole, et, s’adressant aux envieuses de madem
ant six semaines elle ne pourrait paraître en public. Cette ballerine prit sa retraite en 1781. Mademoiselle Grandi
berty elle-même, aussi mauvaise qu’elle soit pour son prochain, ne le prend pas de plus haut avec ses directeurs. Ce que la G
r trois cent mille livres de billets. La comtesse du Lau, qui n’avait pris qu’un billet de vingt livres, gagna cet immeuble,
ecté l’agilité et les formes pures et délicates. Mademoiselle Guimard prit sa retraite en 1790, et mourut en 1816, âgée de s
72 (1910) Dialogue sur la danse pp. 7-17
ur de la musique. La musique signifie-t-elle toujours quelque chose ? Prenez au hasard un morceau… sur lequel on ne danse même
chose ? Prenez au hasard un morceau… sur lequel on ne danse même pas. Prenez la toccata en fa que Bach a écrite pour orgue. Y
ira ! Si vous ne voulez pas de ce sentiment là pour votre sexe, je le prends pour le mien, je le proclame, je le développe, je
applaudi en elle, avant toute chose, la joie de la danse, nous sommes pris par l’objet du spectacle qu’elle donne. Tour à to
73 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1670 — 6 janvier : Divertissement royal — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 11 janvier 1670 »
and, et charmant Sire. Quelqu’un de là, vient de m’écrire, Que l’on y prit dernièrement, Le nouveau Divertissement Dont la b
74 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1662 — 7 février : Ercole Amante — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 4 février 1662 »
place, Où je puisse commodément, Jouir de ce contentement ; Dussè-je prendre des bezicles, J’en écrirai quelques articles : Ma
75 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1661 — 17 août : Les Fâcheux — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 20 août 1661 »
a ; Et chacun prêtant les oreilles À tant de charmantes merveilles, Y prendra plaisir, à gogo, Et rira tout son saoul ; ergo, P
76 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 2 décembre : Le Ballet des Muses — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 26 décembre 1666 »
Qui des Cœurs s’empare soudain, Par sa belle et forte Influence, Les prend illec comme en Cadence. Divine ALTESSE à qui j’
77 (1623) Apologie de la danse et la parfaite méthode de l’enseigner tant aux cavaliers qu’aux dames [graphies originales] « Methode povr les dames. » pp. 53-69
elles occasions, ou aux ceremonies d’vn depart apres le premier congé pris d’vne compagnie, ie diray comme il s’en faut acqu
qu’vne Dame commence le Bransle Gay par le dernier pas, à fin de bien prendre la cadance, & pour ce faire en pliant tant so
euee, puis en pliant les genoüils, assembler comme on aura faict pour prendre la cadance, à fin de recommencer. Il faut toutes
nt deuant celuy qu’on meine, selon que la Musique pourra obliger pour prendre la cadence. Ceste entree se doit finir les pieds
l’on danse, par autant de desmarches que la Musique peut obliger pour prendre la cadence. Puis commencer par vn pas couppé qui
, auec lequel il faut à mesme temps coupper vn pas comme on fait pour prendre la cadence, & ainsi continüer sur l’autre pie
78 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « IX. L’escadron volant de la rue Lepeletier. » pp. 190-203
r, dépourvue de toute espèce de chance : jamais quelqu’un en scène ne prenait , comme on dit, un billet de parterre, sans qu’ell
ur, du ballet de Pierre de Médicis ? — Saprebleu ! disait Aubryet, je prendrais bien cet amour de fiocre à l’heure ! Pilatte
différents : le genre noble et les variations Mademoiselle Fonta a pris sa retraite voici tantôt deux ou trois ans. — Sav
ge à M. de Saint-Georges ! A une répétition du Papillon, le feu avait pris à ses jupes. M. de Saint-Georges s’élança et fut
79 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre X. le coucher de l’astre  » pp. 365-413
ue Paris se venge en inventant tout de suite une autre célébrité ; il prend la première venue, l’illumine d’un regard, et l’o
s de son jardin avec une malice enchanteresse ! Comme elle lui a tout pris , tout, jusqu’à sa cachucha ! » En effet, Taglioni
sur la terre. Quel malheur pour vous, Fanny Elssler ! Taglioni vous a pris la Cachucha, c’est-à-dire la Smolenska, la Mazour
ouronne. Il ne vous reste plus qu’à faire comme elle. Taglioni vous a pris la Cachucha, prenez-lui la Sylphide maintenant. »
s reste plus qu’à faire comme elle. Taglioni vous a pris la Cachucha, prenez -lui la Sylphide maintenant. » L’auteur de l’arti
hé depuis plusieurs années à l’Opéra en qualité de commissaire royal, prit la succession de Duponchel qui alla faire de l’or
ciliation. Les pourparlers qu’il eut avec l’homme d’affaires de Fanny prirent bonne tournure, si bien qu’il remit à l’étude le
ble et dévote Allemagne, disait-il, ne veut pas manquer l’occasion de prendre un peu de mouvement, quand la chose lui est permi
rouble éclataient en Calabre. Une ardente école de littérateurs avait pris pour devise : fuori gli stranieri (à la porte les
iqué une couronne en or. Le travail terminé, les organisateurs furent pris de scrupules et crurent devoir demander au pape-r
rètes traversaient une période de débuts très mouvementée. Des partis pris violents se manifestaient ; des cabales persécuta
me mettre au piano et m’indiqua le mouvement de la cachucha, qu’elle prenait beaucoup plus lentement qu’on ne le prend d’ordin
t de la cachucha, qu’elle prenait beaucoup plus lentement qu’on ne le prend d’ordinaire. Ce fut un bonheur pour moi, que cett
ut faste, elle recherchait un ton de simplicité bourgeoise, mais tout prenait autour d’elle un air d’élégance et de distinction
. » D’autres importants personnages, princes, généraux, Excellences, prirent si bien l’habitude de se rendre aux jeudis de Fan
ain en donnant à Londres des leçons de danse et de maintien. On était pris de pitié, quand on la voyait conduisant, sous la
80 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse ancienne »
danse ancienne Cordace Cordace, s. f. danse des Grecs. Elle a pris son nom d’un des suivants de Bacchus, qui en fut
rtie du peuple Juif de l’Egypte. Les prêtres d’Osiris avaient d’abord pris des prêtres du vrai Dieu une partie de leurs céré
ait vu encore les chanoines de quelques églises qui le jour de Pâques prenaient par la main les enfants de chœur, et dansaient da
se armée a été l’idée primitive de cette institution ; et le roi Numa prit la danse des Saliens de l’une et de l’autre. Voye
reux, et l’enleva. Il y a des auteurs qui prétendent que Paris encore prit pour elle cette violente passion qui coûta tant d
nières des autres hommes, était choisi pour précéder le cercueil ; il prenait les habits du défunt, et se couvrait le visage d’
s Romains les adoptèrent avec une espèce de fureur, lorsqu’ils eurent pris leurs mœurs, leurs arts, et leurs vices. (B) D
ne servit qu’à rendre cet exercice plus piquant : la jeunesse Romaine prit la place des danseurs à gages qu’on avait chassés
manière de parler proverbiale en usage encore de nos jours, on ne me prend point sans vert. Cette fête commencée dès l’auror
81 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — I, mes débuts sur la scène de la vie » pp. 10-
issez pas ici, emportez-le. Et là-dessus l’un des deux interlocuteurs prit la petite chose et l’emporta dans la salle de dan
elqu’un dont l’habitation se trouvait à vingt milles de la nôtre. Ils prenaient tout le monde en route, et s’étaient arrêtés chez
82 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. Seconde partie. — Chapitre VII. De la maniere de faire les bras avec les tems de Courante, & les demi coupez en arriere. » pp. 214-222
it dans la maniere de faire les demi coupez,) & à mesure que vous prenez votre plié, le bras qui étoit opposé fait son dem
en allant de côté ; mais comme ces tems sont ouverts, en ce qu’ils se prennent ordinairement de la 3e. position à la 2e. qui est
83 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Réponse de Voltaire » pp. 8-9
ulièrement. Vous faites trop d’honneur à la Henriade, de vouloir bien prendre le temple de l’Amour pour un de vos sujets ; vous
84 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1660 — 19 août : Ballet du Mariage du Lys et de l’Impériale accompagnant la tragédie de Collège Clementia Christiana — La Muse historique de Loret — Loret, lettre du 21 août 1660 »
urent fort aux sieurs Assistants, Surtout au Nonce du Saint Père, Qui prit plaisir à ce mystère, De sa présence l’honora, Et
85 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 13 février : Le Ballet de Flore — Lettre en vers et en prose au Roi de la Gravette de Mayolas — La Gravette de Mayolas, lettre du 10 mars 1669 »
venez si bien à bout Que vous trouvez du temps pour tout. Et moi, je prends aussi mon heure, Dans un recoin de ma demeure, Po
86 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre sixième. Des temps, des pas, des enchaînements et de l’entrechat » pp. 71-78
de deux pieds de hauteur, fig. 5, planc. XII. N.-B. Le danseur peut prendre dans l’instant de son élévation toute espèce d’at
s brisés, etc., dans les ronds de jambe en l’air, etc. L’entrechat se prend sur place, par un assemblé, par un coupé ou par u
aitement posé sur les hanches et sur les genoux, ployés et préparés à prendre leur élan, que doit faciliter le ressort des cous
87 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre VI. De l’origine des Bals masquez. » pp. 146-160
dre convenable aux mœurs de la nation. Le masque a même la liberté de prendre la Reine du bal pour danser, quand ce seroit une
& envelopé d’une vieille couverture, qui eut la hardiesse d’aller prendre Madame la Duchesse de Bourgogne ; elle eut aussi
Carnaval, surtout après minuit. L’usage que les grands Seigneurs ont pris depuis quelque tems, de ne laisser entrer les mas
relevé d’une maladie qui lui avoit altéré l’esprit : le Duc d’Orleans prit un flambeau pour les regarder au nez, & mit p
88 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre I. Des Fêtes dont la Danse a été le fond à la Cour de France, depuis l’année 1610 jusqu’en l’année 1643 »
vengea de la fausse opinion que les Courtisans de Louis XIII avaient pris d’une Nation spirituelle et polie, qui excellait
bon, que par antipathie pour le bas. Il lui aurait été impossible de prendre le ton à la mode ; mais il ne lui était pas aisé
erriers qui ont si valeureusement exécuté ses nobles desseins doivent prendre du repos et des divertissements ; mais encore tou
accordait à ce mauvais ouvrage, ou à l’intérêt plus particulier qu’il prenait à son succès notre première Salle de Spectacle un
89 (1852) Tableau de Paris. Chapitre XII « [Chapitre XII. Extrait] » pp. 104-108
re fois, le 28 juillet 1794. En 1807, un décret organisa l’Opéra, qui prit le nom d’Académie impériale de musique. Depuis 17
t que possible, de homards et de billets de banque. Quand le lion est pris dans un filet, tenez pour certain que jamais le r
que toute jeune fille devant cette chaste indignation de sa mère, se prendra à rêver un monde d’amours, de coquetteries, de ch
 ! Puis ce sont des costumes qu’il faut essayer, des poses qu’il faut prendre devant la glace pour préparer l’effet de la repré
90 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre IX. » pp. 62-63
voulez enfin, que je me transporte vers l’année 1740. Cela s’appelle prendre les gens au mot ; eh bien, je vais rétrograder en
91 (1921) Danse et musique « Danse et musique, par André Suarès — XI » p. 141
aussi. La raison géométrique n’a plus rien à faire ici. Où la logique prend fin, que le rêve de la poésie commence. Faut-il l
92 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1663 — 8 janvier : Ballet des Arts — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 13 janvier 1663 »
e close, Je m’en allai sans murmurer, Non, toutefois, sans espérer De prendre , à toutes aventures, Un autre jour mieux mes mesu
93 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 7 au 12 mai : Les Plaisirs de l’Isle enchantée — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 8 novembre 1664 »
perbe Salle À Fontainebleau le Régale ; Il la vit attentivement, Il y prit grand contentement ; Et malgré son humeur hautain
94 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 5 août : Ballet des Songes accompagnant la tragédie de collège La Prise de Babylone — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 8 août 1671 »
hamp rempli d’intelligence, Comme on sait, pour la belle Dance, Avait pris soin de ce Ballet, Demi-sérieux, & follet, Et
95 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre II. Objections tirées de l’Ecriture sainte. » pp. 151-166
e II. Objections tirées de l’Ecriture sainte. Comme nous avons pris dans les saintes Ecritures les premières preuves
et les enfans d’Israël, le passage miraculeux de la mer rouge, elle prit un tambour à la main, et que toutes les femmes ma
vie la consolation et la joie. Jésus-Christ lui-même nous a appris à prendre cette vie pour le temps de deuil et de pleurs, et
oissance et à sa joie tout l’essor, et d’en suivre les transports, il prend une tunique, comme le vêtement le plus propre à e
oignage d’une joie sainte ; et celles-ci ne tendent au contraire qu’à prendre et à donner du plaisir. C’étoient là des mouvemen
ite, n’est point de lui, mais du monde ; et les Chrétiens n’y doivent prendre aucune part, puisque Jésus-Christ dit d’eux : (Je
96 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « X, les étoiles d’aujourd’hui. » pp. 204-
a glace. — Dénoûment conjugal. — Rosita Mauri. — Chez elle. — Croquis pris au vol. — En Espagne. — Arrivée à Paris. — Commen
it pas, s’en alla au mur de fond de la scène, s’y arrêta une seconde, prit son élan et vint tomber, en trois bon ’s, sur le
er au matin. A cette époque de l’année, invariablement, le fleuve est pris , — et le train rapide le franchit, à l’aide de so
ns les Deux Pigeons… — Et c’est tout ? — C’est tout. Sur quoi je me pris à penser : Il en est des femmes comme des nations
alheureuse qu’idiote, la brave femme ! car elle n’eut pas le temps de prendre sa part du succès et de la prospérité de sa cadet
’une femme de goût et d’une femme d’esprit. Je sais, enfin, qu’elle a pris pour devise : Anvers e contre tous. Il paraît, d
97 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre V. marie taglioni  » pp. 156-187
èrement voûté. Lorsque son père l’eut conduite à Paris pour lui faire prendre les leçons de Coulon, ses camarades se moquaient
fleurs sur la scène, ne s’était pas encore établi alors. La main qui prit cette initiative était celle de Duponchel, l’arch
voir bouilli, est bu à la ronde. Des talismans sont distribués. Magde prend pour elle une écharpe enchantée. Après avoir dans
vec Mlle Taglioni la danse s’est élevée à la sainteté d’un art » ; il prit son luth et chanta : Près des lacs aux blondes b
ts de marbre, d’argile ou d’or. En les chassant de son enceinte, Rome prit la madone sainte Que toute famille adora : Aujour
lle : On craint de la blesser lorsqu’on touche à son aile. Quand elle prend son vol, les regards soucieux Semblent la retenir
ute pose est une beauté84. L’exaltation de M. Léon Lenoir va jusqu’à prendre les formes de l’adoration religieuse. Son chant a
arde s’était signalé par son ardeur à remplacer le cheval, l’autorité prit un arrêté interdisant à tout fonctionnaire civil
eux ballet mythologique qui regrettaient le temps où Vénus se faisait prendre dans les filets de Vulcain. Tantôt c’étaient les
s voyages. En administrateur sage, Véron se préoccupait de n’être pas pris au dépourvu à l’heure inévitable où le plus fanta
98 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XXI. Du pas de Menuet, & la methode la plus facile pour le faire de differens côtez. » pp. 76-83
re du gauche, mais au dernier il faut poser le talon à terre, afin de prendre votre pas de menuet avec plus de fermeté. On doit
menuet avec plus de fermeté. On doit observer aussi que lorsque l’on prend ces demi-coupez, faut ouvrir les genoux & tou
99 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XXXIX. Des Chassez de differentes façons. » pp. 175-182
utre pas qui vous conduit à la deuxiéme position, en ce que ce pas se prend de cette même position, & se fait en allant d
qui forme ce jetté chassé ; ce pied droit tombant devant le gauche en prend la place, & par consequent l’oblige de se lev
100 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 13 février : Le Ballet de Flore — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 23 février 1669 »
e et Félicité, Que représentent quatre Belles,107 Que l’on peut bien prendre pour Elles, Et chacune séparément Pour toutes qua
ntant le visage et l’air D’un brave Seigneur, Duc et Pair, Qu’on peut prendre aussi pour lui-même, Tant leur ressemblance est e
/ 338