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1 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIV, la princesse marie » pp. 146-
XIV la princesse marie C’était le soir de mes débuts, à Bucarest
de mes débuts, à Bucarest. On vint me dire que le Prince royal et la Princesse royale étaient dans la loge du souverain. Après l
cela pouvait lui être agréable. La réponse ne se fit pas attendre. La Princesse me mandait auprès d’elle. On appelle cela un « or
oi l’ordre vint sous la forme d’une lettre charmante me disant que la Princesse me recevrait avec plaisir si je n’étais point gên
sparaissait. J’oubliai où je me trouvais et me crus en présence d’une Princesse de légende dans une chambre de conte de fées. Aus
s mots que je prononçai, en prenant les mains que me tendait la jolie Princesse aux cheveux d’or, furent-ils : — Ah ! que c’est a
mble en rien à un Palais royal, pas plus que vous ne ressemblez à une Princesse recevant une étrangère ! Elle se prit à sourire
e nous nous fûmes assises, elle me dit : — Alors on croit donc qu’une Princesse doit toujours être froide et cérémonieuse lorsqu’
le de tristesse couvrait soudain la peinture, et je me demandai si la Princesse ne regretterait jamais sa transplantation. Elle m
oquelicots. Tandis que nous retournions à notre place, je regardai la Princesse , j’admirai sa démarche élégante, son aimable sour
qui pendaient mélancoliquement. Je ne pus m’empêcher de considérer la Princesse tandis qu’elle tournait la page. — Je les ai pein
tais très triste. Mais n’avons-nous pas tous de ces jours-là ? — Oui, Princesse , mais vous ne devriez pas en avoir. — Ah ! croyez
’elles vous plaisent ? Les chaises étaient ravissantes, et c’était la Princesse qui les avait peintes. Les panneaux, les cadres d
oré de fleurs différentes peintes par elle. Autour de la cheminée, la Princesse avait aménagé un petit coin intime, avec des diva
te colonnade avait existé avant que la chambre fût transformée par la Princesse , et formait une manière de corridor. On avait vou
de corridor. On avait voulu l’enlever pour élargir la pièce, mais la Princesse l’avait maintenue et on en avait tiré un admirabl
de danse. — Avez-vous jamais dansé devant ma grand-mère ? demanda la Princesse . — Non, jamais. A Nice, une fois, j’allais avoir
toujours regretté, car une autre occasion ne s’est plus présentée. La Princesse me demanda encore si le Roi et la Reine d’Anglete
l’harmonie des mouvements. Longtemps nous parlâmes de ces danses, la Princesse et moi, et elle me demanda : — Pourrions-nous réa
evaient l’intéresser plus que ce qu’elle avait vu au théâtre. Puis la Princesse me demanda mille autres choses encore, et nous ét
ndit plus d’une heure. Le soir où je dansai au palais, je crus que la Princesse serait seule, car nous avions entendu, comme je l
t pas à ma représentation. Ils n’y assistèrent pas, en effet, mais la Princesse avait invité le Roi et la Reine et toute leur sui
improvisée, et j’avais amené deux électriciens afin de pouvoir, si la Princesse le désirait, donner une ou deux danses lumineuses
s, mais je me sentis tout à coup si exténuée que je dus m’arrêter. La Princesse remarqua ma fatigue et vint à moi. — Quel égoïsme
nous devions prendre le train le lendemain. Je me rendis donc chez la Princesse , qui était la seule personne que je connusse en R
ible, que la salle dans laquelle j’avais pénétré la première fois. La Princesse me reçut ; elle était en robe de chambre et avait
i dis : — J’aurais aimé vous connaître sans savoir que vous étiez une princesse . — Mais, répondit-elle, c’est la femme que vous c
épondit-elle, c’est la femme que vous connaissez maintenant et non la princesse . Et c’était vrai. Je sentis que j’étais en présen
ssance dans le palais royal de son père. Chacun sait que la vie d’une princesse royale oxclut toute liberté, toute possibilité de
uvre d’inspiration pure. Lorsque je me levai pour prendre congé de la Princesse , elle m’embrassa et prononça ces mots : — Si jama
ar si j’avais pu prévoir tout cela je n’aurais jamais osé déranger la Princesse . Il est vrai que je n’aurais point découvert quel
2 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XX, une expérience » pp. 222-231
rganiserais. J’allai voir ensuite la princesse de Metternich. — Chère princesse , lui dis-je ; j’ai une camarade, une danseuse, qu
ser. — Mais certainement. Vous pouvez compter absolument sur moi. La princesse est d’une simplicité impressionnante. Là, où on s
ayant conservé une jeunesse de mouvements extraordinaire. Lorsque la princesse était ambassadrice à Paris on avait réédité pour
surnom d’Adélaïde de Savoie ; on l’appelait : « la jolie laide ». La princesse amplifiait encore en disant : « Je suis le singe
: « Je suis le singe le mieux habillé de Paris. » je me demande si la princesse a jamais pu être laide ? Il y a une telle intelli
oi que ce fût elle serait contente de venir à notre réunion. Comme la princesse , elle me promit donc sa présence. Certaine enfin
ur la presse le jour même où mon amie paraîtrait en matinée devant la princesse et les membres du corps diplomatique. J’envoyai d
le mais fort élégant. Enfin tous les autres. Soudain l’équipage de la princesse , si connu de tous les Viennois, s’arrêta devant l
onnait. Lorsqu’elle eut fini, personne ne parla. Je m’approchai de la princesse . Elle me dit à voix basse : — Pourquoi danse-t-e
3 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La Mort d’Hercule. Ballet tragique. » pp. 157-168
rions consacrés à la guerre, précédent cette marche triomphale. Jolé, Princesse captive est conduite par des Lutteurs ; elle est
harmes d’Jolé, conjure Déjanire de s’intéresser à la liberté de cette Princesse  ; Hercule se rend à la prière de son épouse ; on
’y étoit point insensible, cherche à s’assurer des sentimens de cette Princesse , qui, peu faite à l’art de feindre, lui dévoile i
nçoit les plus violens soupçons ; il quitte Déjanire et court vers la Princesse dont les dédains et les mépris mettent le comble
uellement ses feux, cherche un asyle dans les bras de Déjanire. Cette Princesse vivement frappée de l’indifférence de son époux,
l’ame de Déjanire, et de troubler par ce moyen le bonheur dont cette Princesse va jouir avec Hercule. La jalousie obéit ; elle d
on venin, elle verse autour de Déjanire ses vapeurs infernales. Cette Princesse , troublée par les idées les plus funestes, exprim
infidèle, elle le surprend dans les bras d’Jolé elle apperçoit cette Princesse sensible à ses feux ; un instant après tenant un
(qu’elle approche, avant de se retirer, du sein de cette malheureuse Princesse ), annonce sa victoire. Scène IX. Déjanire s
4 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XVI. Du Cérémonial que l’on observe au grand Bal du Roy. » pp. 49-54
ord, qu’il n’y a personne admis dans le Cercle, que les Princes & Princesses du Sang, ensuite les Ducs & Pairs, & les
reverence, ensuite il vient à l’endroit où est la Reine, ou premiere Princesse , & font ensemble les reverences que l’on fait
devant. Ensuite ce Seigneur fait une reverence très-profonde à cette Princesse en la quittant, parce que l’on ne va-pas recondui
it deux ou trois pas en avant, pour adresser une autre reverence à la Princesse ou Dame qui doit danser à son tour, afin de la co
5 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Plan. du ballet d’alexandre. » pp. 219-222
Le même trait dont son cœur est atteint va blesser celui de la jeune Princesse . Il relève avec bonté cette famille prosternée à
voir un entretien avec Statira ; il lui fait connoître sa passion. La Princesse lui avoue avec l’ingénuité et la candeur de son â
annonce sa nouvelle victoire, et lui offre son cœur et son trône. La Princesse est sensible à ce double hommage ; mais son ame e
sa naissance, voient allumer pour elle les flambeaux de l’Hyménée. La Princesse hésite, elle balance ; mais l’Amour triomphe de t
6 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIII, mes danses et les enfants » pp. 134-145
une petite bande, bavarde et bruyante, de petits princes, de petites princesses et de toute une petite suite de petits amis. Lors
a fut dit à voix très haute. Ensuite je perçus la voix de l’aînée des princesses , celle qui ressemble si étonnamment à sa grand’mè
dis, c’est un ange. A chaque changement de danse, l’aînée des petites princesses faisait de nouvelles remarques, expliquant chaque
que des enfants de bourgeois, en présence d’une étrangère. Lorsque la princesse leur expliqua que j’étais la dame qu’ils avaient
tais la dame qu’ils avaient vue danser au théâtre, l’aînée, la petite princesse n° 1, ne souffla mot ; mais, malgré toute sa bonn
. Aussi, quand je dansai au palais les petits princes et les petites princesses n’assistèrent pas à la représentation. Par contre
ait passer pour la Loïe Fuller les avait trompés. L’aînée des petites princesses s’écria de façon à être entendue par tout le mond
7 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Pyrrhus et Polixène. Ballet tragique. » pp. 205-214
e à Pyrrhus. Elle lui est présentée dans les fers. La beauté de cette Princesse , son air majestueux, et cette noble fierté qui la
ciers remet dans cet instant à Pyrrhus le poignard avec le quel cette Princesse avoit voulu trancher ses jours, lorsqu’il l’arrêt
e de sa valeur et de sa clémence, pour ne penser qu’à Polixène. Cette Princesse de son côté, aussi occupée de ses sentimens que P
te sur lui, rompt le silence et lui offre son cœur et sa main : cette Princesse dissimule une partie de son trouble, et dérobant
genoux ; le coup est suspendu par les regards, et les larmes de cette Princesse  ; il se laisse aller dans ses bras, et il se livr
8 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre II. Origine des Ballets »
r dansé une Entrée noble qui exprimait leur admiration à la vue d’une Princesse si belle, et d’un Prince si digne de la posséder.
les suivaient entouraient la Foi conjugale, qu’ils présentèrent à la Princesse et qui s’offrit à Elle pour la servir. Dans ce mo
Judith, Porcie et Sulpicie les remplacèrent, en présentant à la jeune Princesse les palmes de la Pudeur, qu’elles avaient méritée
9 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre IV. Des Bals »
chacun des Berceaux. La Table du Roi, des Reines, des Princes et des Princesses du Sang était dressée dans le milieu du Salon, en
ine d’Angleterre, Madame la Duchesse de Bourgogne, les Princes et les Princesses du Sang. Les trois autres côtés étaient bordés au
g, de Fauteuils fort riches pour les Ambassadeurs, les Princes et les Princesses étrangères, les Ducs, les Duchesses et les grands
prit M. le Duc de Berri. Ainsi successivement tous les Princes et les Princesses du Sang dansèrent chacun selon son rang. M. le Du
s’attirèrent l’admiration de toute la cour. Comme les Princes et les Princesses du Sang étaient en grand nombre, cette première c
10 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre II. Des Fêtes de la Cour de France, depuis 1560 jusqu’en l’année 1610 »
de l’Auxerrois. Le Roi mena la Mariée au Moustier suivie de la Reine, Princesses et Dames tant richement vêtues, qu’il n’est mémoi
c accommodé en forme de Char triomphant, dans lequel le Roi, Princes, Princesses et les Mariés devaient passer du Louvre aux Pré-a
Il fut représenté dans la grande salle de Bourbon, par la Reine, les Princesses , les Princes, et les plus grands Seigneurs de la
qui lui fut très supérieure et qui ne l’a pas frappé. La Reine et les Princesses qui représentaient dans le Ballet les Naïades et
11 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1662 — 7 février : Ercole Amante — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 4 février 1662 »
ien, Ni par rime, ni par langage ; Ha que ce serait grand dommage ! Princesse , en attendant ce temps, Le Ciel rendre vos vœux c
12 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre V. De l’usage de la Danse grave & sérieuse, convenable aux Bals de cérémonie. » pp. 112-145
to danser Marguerite de Valois à un bal de cérémonie, parce que cette Princesse passoit pour la danseuse la plus accomplie de l’E
cs de Savoie & de Lorraine, & de quantité de Princes & de Princesses étrangers ; desorte que la Régente ne songeoit qu
ze couverts chacune : celle du Roi, des Reines, des Princes & des Princesses du Sang, étoit disposée de maniere, qu’elle répon
Monseigneur fut Roi du bal, & Madame la Dauphine la Reine : cette Princesse y dansa avec toutes les graces & la noblesse
terre, avec la Reine, Madame de Bourgogne, tous les Princes & les Princesses du Sang ; les trois autres côtez étoient bordez a
fauteuils fort riches, pour placer les Ambassadeurs, les Princes, les Princesses Etrangeres, les Ducs, les Duchesses, & les au
eur le Duc de Berri : ainsi successivement tous les Princes & les Princesses du Sang danserent chacun selon son rang. Monsieur
attirerent l’admiration de toute la Cour. Comme les Princes & les Princesses du Sang étoient en grand nombre dans ce tems-là,
13 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 13 février : Le Ballet des Amours déguisés — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 23 février 1664 »
re, Et que n’eut pas commise un boeuf, Des deux Demoiselles d’Elbeuf, Princesses d’illustre Famille, J’écrivis la Soeur pour la Fi
14 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 5 ou 6 mars : Mascarade — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 9 mars 1669 »
eur Centre Royal, Vinrent fondre dans ce grand Bal, Et mon HÉROÏNE et PRINCESSE , Nonobstant sa chère Grossesse, Y fut dans l’Habi
15 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 13 février : Le Ballet de Flore — Lettre en vers et en prose au Roi de la Gravette de Mayolas — La Gravette de Mayolas, lettre du 21 février 1669 »
ment À ce beau divertissement. Nos Princes les plus remarquables, Les Princesses les plus aimables, Les Envoyés, Ambassadeurs, Bel
16 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre V. Des Ballets Allégoriques »
s de Lin en fut le sujet, parce qu’il était la couleur favorite de la Princesse , à qui on voulait plaire. Au lever de la toile, l
17 (1797) Essai ou principes élémentaires de l'art de la danse, utiles aux personnes destinées à l'éducation de la jeunesse « Des différents genres de la danse »
le Menuet de la cour, les passepieds simples et figurés, le Passepied princesse , etc. etc. qui s’exécutent avec les pas graves. D
18 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les fêtes modernes »
e-sur-Yon ; et de l’autre côté, après madame seconde, était madame la princesse de Conti, et ensuite toutes les dames de la cour.
la Reine et la famille royale furent servis en vaisselle d’or, et les princesses en vaisselle de vermeil. M. le prévôt des marchan
dansé une entrée noble, qui exprimait leur admiration à la vue d’une princesse si belle, et d’un prince si digne de la posséder.
foule d’oiseaux a volé pour m’entendre, je les offre à la plus belle princesse de la terre, puisque la charmante Eurydice n’est
les suivaient entouraient la foi conjugale, qu’ils présentèrent à la princesse , et qui s’offrit à elle pour la servir. Dans ce m
Judith, Porcie et Sulpicie, les remplacèrent en présentant à la jeune princesse les palmes de la pudeur, qu’elles avaient méritée
chacun des berceaux. La table du roi, des reines, des princes et des princesses du sang, était dressée dans le milieu du salon ;
de l’Auxerrois. Le roi mena la mariée au moutier, suivie de la reine, princesses , et dames tant richement vêtues, qu’il n’est mémo
c accommodé en forme de char triomphant, dans lequel le roi, princes, princesses , et les mariés devaient passer du Louvre au pré-a
; il fut représenté dans la grande salle de Bourbon par la reine, les princesses , les princes, et les plus grands seigneurs de la
ui lui fut très supérieure, et qui ne l’a pas frappé. La reine et les princesses qui représentaient dans le ballet les naïades et
es armes. Une compagnie de basques qui était allée au-devant de cette princesse à une lieue de la ville, l’accompagna en dansant
précédente, l’intendant de Guyenne prévoyant le passage de l’auguste princesse que la France attendait, fit au travers de ces la
u soir, au bruit du canon de la ville et de celui des trois forts. La princesse trouva à la porte Saint-Julien un arc de triomphe
cte à rendre ce morceau d’architecture digne des regards de l’auguste princesse pour laquelle il était destiné. Cet ouvrage, qui
e, et de Monseigneur le Dauphin, celles du chapitre au-dessous. Cette princesse fut haranguée par le doyen du chapitre, et condui
elle alla ensuite à l’opéra ; l’amphithéâtre était réservé pour cette princesse et sa cour. On avait fait au milieu de la balustr
celui des Fleurs, et on y joignit deux ballets pantomimes ; et cette princesse sortant de l’opéra et rentrant par la principale
et sans culture étrangère ; ce qui faisait allusion au prince et à la princesse , en qui le sang a réuni toutes les grâces et tout
errines, dont les lumières produisaient un fort bel effet. Lorsque la princesse fut dans son appartement, elle vit l’illumination
ur 22 canons, du port d’environ 350 tonneaux. Sur le chemin que cette princesse devait faire pour aller au port, à l’extrémité de
salle où les officiers de la bouche avaient préparé sa collation. La princesse se retira ensuite aux flambeaux, et se rendit à l
se répétaient dans les glaces. Dans une chambre à côté de celle de la princesse , étaient les plus habiles musiciens de la ville,
ec des rafraîchissements, dans une autre chambre de l’appartement. La princesse qui était arrivée vers les six heures à l’Hôtel d
assemblée de sa présence pendant plus de deux heures. Le même jour la princesse honora pour la seconde fois de sa présence l’opér
avale, que la ville avait fait préparer pour son voyage, et que cette princesse eut la bonté d’accepter. Cette maison navale étai
nt en robes de cérémonie, avec un corps de troupes bourgeoises. Cette princesse étant sortie de sa chaise, le comte de Rubempré,
le corps de ville, l’ordonnateur de la marine, etc. Au départ de la princesse , l’air retentit des vœux que faisait pour elle un
tait pratiqué lors du passage de sa Majesté catholique, père de cette princesse , la cuisine de la ville aborda la maison navale,
à boire. On se trouva au port à la fin du dîner, après l’abordage la princesse sortit sur un pont que les jurats de Bordeaux ava
nnue, et qui rappellera à la cour de France le souvenir d’une aimable princesse , qui en était adorée. On doit pressentir à ce peu
qu’elle inspire à tous ceux qui ont le bonheur de l’approcher. Cette princesse , douée des dons les plus rares, et les mieux fait
ls avaient été dictés par le cœur de mademoiselle de Clermont : cette princesse ne flatta jamais, et mérita de n’être jamais flat
placés sur le quai du côté des Tuileries, et après que les princes et princesses du sang, les ambassadeurs et ministres étrangers,
s unique du Roi, et de madame infante d’Espagne. 6. Arrivez, auguste Princesse , et recevez avec bonté l’hommage de nos cœurs. 7
19 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre IV. De la Danse des Balets des Anciens & des Modernes, avec quelques descriptions des plus singulieres, & de l’origine de la danse Théâtrale. » pp. 70-111
Une partie des Entrées fut dansée par le Roi ; les Princes & les Princesses , avec les plus grands Seigneurs de la Cour, étoie
le sujet fut la naissance de Venus, par rapport à l’arrivée de cette Princesse . L’ouverture du Théâtre commença par faire voir N
Des rayons de la lumiere Que le Saint Esprit a conçu : Amenez ici vos Princesses , Pour en recevoir les adresses. Aussitôt la par
Loire, le Gua d’Alquinir, le Rhin, le Tibre, & Archéloüs : chaque Princesse avoit trois Pages à sa suite ; la France, un Basq
lets avec des flambeaux. Après cet avant-Balet, des Princes & des Princesses de ces quatre Parties de l’Europe, sortirent du G
, avec autant de divers airs d’instrumens : les Pages de la suite des Princesses étoient vétus à la Moscovite, à la Tartare, à la
emple soit planté. L’Afrique sortit aussi-tôt accompagnée de quatre Princesses , la Numidie, la Barbarie, la Lybie, & l’Ethio
20 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre III. Suite du Précédent »
sements lui était une ressource inépuisable. J’appris auprès de cette Princesse , continue Sully, le métier de courtisan dans lequ
21 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1663 — 8 janvier : Ballet des Arts — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 20 janvier 1663 »
e ses beaux yeux ; On ne pouvait, sans allégresse, Voir danser icelle Princesse , Et rien n’égalait les appas De sa grâce et de se
22 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La mort d’agamemnon. ballet tragique. en cinq actes.  » pp. 141-169
articulier de quelques auteurs, étoit frere puiné d’Iphigénie ; cette Princesse fut conduite en Aulide pour être mariée, selon qu
memnon prodigue les plus tendres caresses à Iphise et à Electre ; ces Princesses au comble du bonheur ne peuvent se détacher des b
t de deux objets qui lui sont odieux. Pendant cette scène, les jeunes Princesses , qui se sont arrêtées à l’une des croisées, ont é
Elle est prête à frapper. Tels sont les tableaux effrayans que cette Princesse découvre en reculant d’horreur, et aux quels Agam
t partie des appartemens d’Electre et d’Iphise. Scène i. Ces Princesses paroissent ; elles sont couvertes de Deuil, ainsi
e la pompe funèbre ; des Gardes portent des flambeaux ; la Reine, les Princesses et leur suite sont couvertes de crêpes noirs, et
23 (1921) Une dernière étape des « Ballets russes ». La Belle au Bois Dormant pp. 227-231
ntent en une vague vermeille nuancée d’émeraude vers le berceau de la princesse et le couple royal, velours bleu et hermine, avec
ideau — et pour cause. L’exécution fut remarquable quoiqu’inégale. La princesse du premier soir fut Mlle Olga Spessivtseva, jeune
24 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Alceste. Ballet tragique. » pp. 207-218
e, ne peut résister au désir de voir et de connoître un Prince et une Princesse qui réunissoient tant de vertus ; il vient à la c
et Ismène, qui paroîssent, n’ont pu arrêter le bras d’Alceste. Cette Princesse , avant d’expirer, leur recommande Admète et ses e
25 (1845) Notice sur Giselle pp. 3-24
suite brillante et nombreuse. Loys n’a que le temps de s’esquiver. La princesse est lasse, elle a soif ; elle voudrait se reposer
, et mordre de ses dents de perle le pain bis du paysan. Fantaisie de princesse . Justement la chaumière de Giselle est là, La mèr
t avec un joli geste de chatte curieuse, elle allonge sa main vers la princesse , et, tartufe de coquetterie, elle effleure comme
avec quelle hardiesse timide Carlotta exécute cette scène muette. La princesse , qui s’est aperçue de ce manège, et qui en rit de
26 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 20 mai. Le retour des « Ballets russes ». »
blanche et Le Chaperon rouge, d’une naïveté si subtile, et encore Les Princesses de porcelaine, chinoiserie rococo, dont l’auteur
27 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 26 janvier : Ballet de la Naissance de Vénus — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 7 février 1665 »
oit entre elles des Comtesses, Des Marquises et des Duchesses, Et des Princesses , mêmement, Qui sont un rare assortiment Au susdit
28 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1662 — 7 février : Ercole Amante — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 11 février 1662 »
jusques ici, Qu’à faire d’admirables tresses Pour Prélats, Princes et Princesses , On peut dire avec vérité Que la rare dextérité D
29 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 13 février : Le Ballet des Amours déguisés — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 16 février 1664 »
her d’autre façon ; On m’a donné cette leçon. Primo, cette aimable Princesse , Qui de Soissons est la Comtesse, Un des beaux Es
30 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 6 novembre. Classicisme et exotisme. Une étoile parnassienne : Mlle Schwarz. — Djemil. — Un maître français. — Reprise de « Roméo ». »
s Miracles. Car sous la crasse du souillon transparaît malgré tout la princesse . Cependant que je m’en vais en guerre contre le t
31 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVI, autres souverains » pp. 178-
d’invité, parmi tous ces rois et ces reines, tous ces princes et ces princesses  ? Il avait appuyé son coude au dossier de sa chai
32 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Renaud et Armide. Ballet héroïque » pp. 99-108
sente les magnifiques jardins du palais d’Armide. Scène I. Cette Princesse paroît avec son vainqueur ; ils sont entourés par
33 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Médée. Ballet tragique. » pp. 65-74
e dans les plus affreux soupçons. Créon, qui lit dans l’aine de cette Princesse , cherche à la distraire en lui offrant successive
34 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre VI. De l’origine des Bals masquez. » pp. 146-160
r la prudence du Roi, qui calma le ressentiment des Princes & des Princesses , du refus de l’entrée du bal ; desorte qu’ils sor
35 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Les Danaïdes, ou. Hypermnestre. Ballet tragique. en cinq actes. » pp. 183-195
toujours inquiet et toujours tourmenté, cherche Hypermnestre ; cette Princesse paroît ; à ses pleurs et à la douleur qui l’accab
36 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Enée et Didon. Ballet tragique. » pp. 135-147
res de ses climats, sa main et son cœur à la Reine de Carthage. Cette Princesse flattée de l’hommage de Jarbe, reçoit les présens
37 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXII, gab » pp. 250-
ans son costume de velours noir, elle donnait l’impression de quelque princesse byzantine. Jean Aicard, le poète, disait un jour
38 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Psyché et l’Amour. Ballet héroï-pantomime. » pp. 121-134
, et qu’il se détermina à l’épouser ; que la curiosité de cette jeune Princesse pour connaître son vainqueur, qui ne la voyoit qu
39 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « IV. Le mastic et le chausson » pp. 36-53
ait vers le milieu du dix-huitième siècle, et qu’on avait baptisée la Princesse , à cause de sa liaison avec le prince de Carignan
40 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XV, quelques souverains » pp. 160-177
— Victoria de Schaumbourg-Lippe. Un soir que je dansais à La Haye, la princesse était dans la salle avec le major Winslow et d’au
41 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « XII. Le foyer de la danse » pp. 270-287
jusqu’à l’invasion des alliés, qui en firent : Des millionnaires, Des princesses , Des mères de famille respectées… Car on peut fa
42 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VI. Ballade des dames du temps jadis. » pp. 88-
s’en effraya, à tort peut-être, et mademoiselle Albertine, traitée en princesse … de la main gauche, inscrite sur le grand-livre d
bliait qu’elle était la comtesse Gilbert des Voisins et la mère d’une princesse du vrai monde, pour ne se plus souvenir que d’un
43 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Paralele. DE. LA PEINTURE. ET DE. LA POESIE. » pp. 213-269
petits enfans, pour donner à entendre que ceux qui naîtront de cette Princesse iront jusqu’à ce nombre : dans la figure de la Re
amp; la joie d’avoir mis un Daufin au monde, ont fait oublier à cette Princesse les douleurs de l’enfantement. Les autres tableau
44 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre V. » pp. 37-55
ans les ballets. M. le Dauphin, et Me la Dauphine, les Princes et les Princesses du sang, les Ducs et les Duchesses, enfin ce qu’i
45 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Iphigenie en Tauride. Ballet tragique » pp. 235-256
ent sa statue et qui vont lui élever un temple dans l’Attique ; cette Princesse quitte sa patrie pour se livrer aux fonctions sac
46 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VIII. victoires et revers  » pp. 262-319
e que revenait tout le mérite. Elle avait à jouer le rôle d’une jeune princesse chinoise, amoureuse d’un étudiant qui, de son côt
it être changée en femme. Il consentit à la métamorphose et ce fut la princesse qui prit la place de l’animal. Elle adopta les ha
47 (1834) L’Opéra. Paris ou Le Livre des Cent-et-un. tome XV « L’Opéra. » pp. 366-428
monseigneur le Dauphin et madame la Dauphine, Mademoiselle, madame la princesse de Conti, et autres princes et princesses, seigne
ine, Mademoiselle, madame la princesse de Conti, et autres princes et princesses , seigneurs et dames de la cour. Cette réunion de
48 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre V. marie taglioni  » pp. 156-187
s, qui avait la réputation de ne pas être un spectacle pour de jeunes princesses . Il leur permit d’y assister le jour où Mlle Tagl
49 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XX et dernière. » pp. 213-241
est cette beauté ? C’est Hélène : Voici l’Episode. Le buste de cette Princesse est présenté a Paris par les Graces et par les Am
50 (1841) Physiologie de la lorette pp. -127
n main, Pour boire à sa hautesse (ou bien à son altesse ou bien à la princesse ). Ou… Partons, l’heure nous presse Pas de pares
51 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre II. la dernière passion du chevalier frédéric de gentz  » pp. 37-96
. Il s’était prêté de la meilleure grâce du monde aux taquineries des princesses Hermine et Léontine de Metternich. On lui disait
52 (1806) L’Art de la danse, poëme en quatre chants, calqué sur l’Art poétique de Boileau pp. -247
, lesquels étaient, depuis nombre d’années, exécutés par les princes, princesses , seigneurs et quelques personnes de la suite de l
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