XIV la
princesse
marie C’était le soir de mes débuts, à Bucarest
de mes débuts, à Bucarest. On vint me dire que le Prince royal et la
Princesse
royale étaient dans la loge du souverain. Après l
cela pouvait lui être agréable. La réponse ne se fit pas attendre. La
Princesse
me mandait auprès d’elle. On appelle cela un « or
oi l’ordre vint sous la forme d’une lettre charmante me disant que la
Princesse
me recevrait avec plaisir si je n’étais point gên
sparaissait. J’oubliai où je me trouvais et me crus en présence d’une
Princesse
de légende dans une chambre de conte de fées. Aus
s mots que je prononçai, en prenant les mains que me tendait la jolie
Princesse
aux cheveux d’or, furent-ils : — Ah ! que c’est a
mble en rien à un Palais royal, pas plus que vous ne ressemblez à une
Princesse
recevant une étrangère ! Elle se prit à sourire
e nous nous fûmes assises, elle me dit : — Alors on croit donc qu’une
Princesse
doit toujours être froide et cérémonieuse lorsqu’
le de tristesse couvrait soudain la peinture, et je me demandai si la
Princesse
ne regretterait jamais sa transplantation. Elle m
oquelicots. Tandis que nous retournions à notre place, je regardai la
Princesse
, j’admirai sa démarche élégante, son aimable sour
qui pendaient mélancoliquement. Je ne pus m’empêcher de considérer la
Princesse
tandis qu’elle tournait la page. — Je les ai pein
tais très triste. Mais n’avons-nous pas tous de ces jours-là ? — Oui,
Princesse
, mais vous ne devriez pas en avoir. — Ah ! croyez
’elles vous plaisent ? Les chaises étaient ravissantes, et c’était la
Princesse
qui les avait peintes. Les panneaux, les cadres d
oré de fleurs différentes peintes par elle. Autour de la cheminée, la
Princesse
avait aménagé un petit coin intime, avec des diva
te colonnade avait existé avant que la chambre fût transformée par la
Princesse
, et formait une manière de corridor. On avait vou
de corridor. On avait voulu l’enlever pour élargir la pièce, mais la
Princesse
l’avait maintenue et on en avait tiré un admirabl
de danse. — Avez-vous jamais dansé devant ma grand-mère ? demanda la
Princesse
. — Non, jamais. A Nice, une fois, j’allais avoir
toujours regretté, car une autre occasion ne s’est plus présentée. La
Princesse
me demanda encore si le Roi et la Reine d’Anglete
l’harmonie des mouvements. Longtemps nous parlâmes de ces danses, la
Princesse
et moi, et elle me demanda : — Pourrions-nous réa
evaient l’intéresser plus que ce qu’elle avait vu au théâtre. Puis la
Princesse
me demanda mille autres choses encore, et nous ét
ndit plus d’une heure. Le soir où je dansai au palais, je crus que la
Princesse
serait seule, car nous avions entendu, comme je l
t pas à ma représentation. Ils n’y assistèrent pas, en effet, mais la
Princesse
avait invité le Roi et la Reine et toute leur sui
improvisée, et j’avais amené deux électriciens afin de pouvoir, si la
Princesse
le désirait, donner une ou deux danses lumineuses
s, mais je me sentis tout à coup si exténuée que je dus m’arrêter. La
Princesse
remarqua ma fatigue et vint à moi. — Quel égoïsme
nous devions prendre le train le lendemain. Je me rendis donc chez la
Princesse
, qui était la seule personne que je connusse en R
ible, que la salle dans laquelle j’avais pénétré la première fois. La
Princesse
me reçut ; elle était en robe de chambre et avait
i dis : — J’aurais aimé vous connaître sans savoir que vous étiez une
princesse
. — Mais, répondit-elle, c’est la femme que vous c
épondit-elle, c’est la femme que vous connaissez maintenant et non la
princesse
. Et c’était vrai. Je sentis que j’étais en présen
ssance dans le palais royal de son père. Chacun sait que la vie d’une
princesse
royale oxclut toute liberté, toute possibilité de
uvre d’inspiration pure. Lorsque je me levai pour prendre congé de la
Princesse
, elle m’embrassa et prononça ces mots : — Si jama
ar si j’avais pu prévoir tout cela je n’aurais jamais osé déranger la
Princesse
. Il est vrai que je n’aurais point découvert quel
rganiserais. J’allai voir ensuite la princesse de Metternich. — Chère
princesse
, lui dis-je ; j’ai une camarade, une danseuse, qu
ser. — Mais certainement. Vous pouvez compter absolument sur moi. La
princesse
est d’une simplicité impressionnante. Là, où on s
ayant conservé une jeunesse de mouvements extraordinaire. Lorsque la
princesse
était ambassadrice à Paris on avait réédité pour
surnom d’Adélaïde de Savoie ; on l’appelait : « la jolie laide ». La
princesse
amplifiait encore en disant : « Je suis le singe
: « Je suis le singe le mieux habillé de Paris. » je me demande si la
princesse
a jamais pu être laide ? Il y a une telle intelli
oi que ce fût elle serait contente de venir à notre réunion. Comme la
princesse
, elle me promit donc sa présence. Certaine enfin
ur la presse le jour même où mon amie paraîtrait en matinée devant la
princesse
et les membres du corps diplomatique. J’envoyai d
le mais fort élégant. Enfin tous les autres. Soudain l’équipage de la
princesse
, si connu de tous les Viennois, s’arrêta devant l
onnait. Lorsqu’elle eut fini, personne ne parla. Je m’approchai de la
princesse
. Elle me dit à voix basse : — Pourquoi danse-t-e
rions consacrés à la guerre, précédent cette marche triomphale. Jolé,
Princesse
captive est conduite par des Lutteurs ; elle est
harmes d’Jolé, conjure Déjanire de s’intéresser à la liberté de cette
Princesse
; Hercule se rend à la prière de son épouse ; on
’y étoit point insensible, cherche à s’assurer des sentimens de cette
Princesse
, qui, peu faite à l’art de feindre, lui dévoile i
nçoit les plus violens soupçons ; il quitte Déjanire et court vers la
Princesse
dont les dédains et les mépris mettent le comble
uellement ses feux, cherche un asyle dans les bras de Déjanire. Cette
Princesse
vivement frappée de l’indifférence de son époux,
l’ame de Déjanire, et de troubler par ce moyen le bonheur dont cette
Princesse
va jouir avec Hercule. La jalousie obéit ; elle d
on venin, elle verse autour de Déjanire ses vapeurs infernales. Cette
Princesse
, troublée par les idées les plus funestes, exprim
infidèle, elle le surprend dans les bras d’Jolé elle apperçoit cette
Princesse
sensible à ses feux ; un instant après tenant un
(qu’elle approche, avant de se retirer, du sein de cette malheureuse
Princesse
), annonce sa victoire. Scène IX. Déjanire s
ord, qu’il n’y a personne admis dans le Cercle, que les Princes &
Princesses
du Sang, ensuite les Ducs & Pairs, & les
reverence, ensuite il vient à l’endroit où est la Reine, ou premiere
Princesse
, & font ensemble les reverences que l’on fait
devant. Ensuite ce Seigneur fait une reverence très-profonde à cette
Princesse
en la quittant, parce que l’on ne va-pas recondui
it deux ou trois pas en avant, pour adresser une autre reverence à la
Princesse
ou Dame qui doit danser à son tour, afin de la co
Le même trait dont son cœur est atteint va blesser celui de la jeune
Princesse
. Il relève avec bonté cette famille prosternée à
voir un entretien avec Statira ; il lui fait connoître sa passion. La
Princesse
lui avoue avec l’ingénuité et la candeur de son â
annonce sa nouvelle victoire, et lui offre son cœur et son trône. La
Princesse
est sensible à ce double hommage ; mais son ame e
sa naissance, voient allumer pour elle les flambeaux de l’Hyménée. La
Princesse
hésite, elle balance ; mais l’Amour triomphe de t
une petite bande, bavarde et bruyante, de petits princes, de petites
princesses
et de toute une petite suite de petits amis. Lors
a fut dit à voix très haute. Ensuite je perçus la voix de l’aînée des
princesses
, celle qui ressemble si étonnamment à sa grand’mè
dis, c’est un ange. A chaque changement de danse, l’aînée des petites
princesses
faisait de nouvelles remarques, expliquant chaque
que des enfants de bourgeois, en présence d’une étrangère. Lorsque la
princesse
leur expliqua que j’étais la dame qu’ils avaient
tais la dame qu’ils avaient vue danser au théâtre, l’aînée, la petite
princesse
n° 1, ne souffla mot ; mais, malgré toute sa bonn
. Aussi, quand je dansai au palais les petits princes et les petites
princesses
n’assistèrent pas à la représentation. Par contre
ait passer pour la Loïe Fuller les avait trompés. L’aînée des petites
princesses
s’écria de façon à être entendue par tout le mond
e à Pyrrhus. Elle lui est présentée dans les fers. La beauté de cette
Princesse
, son air majestueux, et cette noble fierté qui la
ciers remet dans cet instant à Pyrrhus le poignard avec le quel cette
Princesse
avoit voulu trancher ses jours, lorsqu’il l’arrêt
e de sa valeur et de sa clémence, pour ne penser qu’à Polixène. Cette
Princesse
de son côté, aussi occupée de ses sentimens que P
te sur lui, rompt le silence et lui offre son cœur et sa main : cette
Princesse
dissimule une partie de son trouble, et dérobant
genoux ; le coup est suspendu par les regards, et les larmes de cette
Princesse
; il se laisse aller dans ses bras, et il se livr
r dansé une Entrée noble qui exprimait leur admiration à la vue d’une
Princesse
si belle, et d’un Prince si digne de la posséder.
les suivaient entouraient la Foi conjugale, qu’ils présentèrent à la
Princesse
et qui s’offrit à Elle pour la servir. Dans ce mo
Judith, Porcie et Sulpicie les remplacèrent, en présentant à la jeune
Princesse
les palmes de la Pudeur, qu’elles avaient méritée
chacun des Berceaux. La Table du Roi, des Reines, des Princes et des
Princesses
du Sang était dressée dans le milieu du Salon, en
ine d’Angleterre, Madame la Duchesse de Bourgogne, les Princes et les
Princesses
du Sang. Les trois autres côtés étaient bordés au
g, de Fauteuils fort riches pour les Ambassadeurs, les Princes et les
Princesses
étrangères, les Ducs, les Duchesses et les grands
prit M. le Duc de Berri. Ainsi successivement tous les Princes et les
Princesses
du Sang dansèrent chacun selon son rang. M. le Du
s’attirèrent l’admiration de toute la cour. Comme les Princes et les
Princesses
du Sang étaient en grand nombre, cette première c
de l’Auxerrois. Le Roi mena la Mariée au Moustier suivie de la Reine,
Princesses
et Dames tant richement vêtues, qu’il n’est mémoi
c accommodé en forme de Char triomphant, dans lequel le Roi, Princes,
Princesses
et les Mariés devaient passer du Louvre aux Pré-a
Il fut représenté dans la grande salle de Bourbon, par la Reine, les
Princesses
, les Princes, et les plus grands Seigneurs de la
qui lui fut très supérieure et qui ne l’a pas frappé. La Reine et les
Princesses
qui représentaient dans le Ballet les Naïades et
ien, Ni par rime, ni par langage ; Ha que ce serait grand dommage !
Princesse
, en attendant ce temps, Le Ciel rendre vos vœux c
to danser Marguerite de Valois à un bal de cérémonie, parce que cette
Princesse
passoit pour la danseuse la plus accomplie de l’E
cs de Savoie & de Lorraine, & de quantité de Princes & de
Princesses
étrangers ; desorte que la Régente ne songeoit qu
ze couverts chacune : celle du Roi, des Reines, des Princes & des
Princesses
du Sang, étoit disposée de maniere, qu’elle répon
Monseigneur fut Roi du bal, & Madame la Dauphine la Reine : cette
Princesse
y dansa avec toutes les graces & la noblesse
terre, avec la Reine, Madame de Bourgogne, tous les Princes & les
Princesses
du Sang ; les trois autres côtez étoient bordez a
fauteuils fort riches, pour placer les Ambassadeurs, les Princes, les
Princesses
Etrangeres, les Ducs, les Duchesses, & les au
eur le Duc de Berri : ainsi successivement tous les Princes & les
Princesses
du Sang danserent chacun selon son rang. Monsieur
attirerent l’admiration de toute la Cour. Comme les Princes & les
Princesses
du Sang étoient en grand nombre dans ce tems-là,
re, Et que n’eut pas commise un boeuf, Des deux Demoiselles d’Elbeuf,
Princesses
d’illustre Famille, J’écrivis la Soeur pour la Fi
eur Centre Royal, Vinrent fondre dans ce grand Bal, Et mon HÉROÏNE et
PRINCESSE
, Nonobstant sa chère Grossesse, Y fut dans l’Habi
ment À ce beau divertissement. Nos Princes les plus remarquables, Les
Princesses
les plus aimables, Les Envoyés, Ambassadeurs, Bel
s de Lin en fut le sujet, parce qu’il était la couleur favorite de la
Princesse
, à qui on voulait plaire. Au lever de la toile, l
le Menuet de la cour, les passepieds simples et figurés, le Passepied
princesse
, etc. etc. qui s’exécutent avec les pas graves. D
e-sur-Yon ; et de l’autre côté, après madame seconde, était madame la
princesse
de Conti, et ensuite toutes les dames de la cour.
la Reine et la famille royale furent servis en vaisselle d’or, et les
princesses
en vaisselle de vermeil. M. le prévôt des marchan
dansé une entrée noble, qui exprimait leur admiration à la vue d’une
princesse
si belle, et d’un prince si digne de la posséder.
foule d’oiseaux a volé pour m’entendre, je les offre à la plus belle
princesse
de la terre, puisque la charmante Eurydice n’est
les suivaient entouraient la foi conjugale, qu’ils présentèrent à la
princesse
, et qui s’offrit à elle pour la servir. Dans ce m
Judith, Porcie et Sulpicie, les remplacèrent en présentant à la jeune
princesse
les palmes de la pudeur, qu’elles avaient méritée
chacun des berceaux. La table du roi, des reines, des princes et des
princesses
du sang, était dressée dans le milieu du salon ;
de l’Auxerrois. Le roi mena la mariée au moutier, suivie de la reine,
princesses
, et dames tant richement vêtues, qu’il n’est mémo
c accommodé en forme de char triomphant, dans lequel le roi, princes,
princesses
, et les mariés devaient passer du Louvre au pré-a
; il fut représenté dans la grande salle de Bourbon par la reine, les
princesses
, les princes, et les plus grands seigneurs de la
ui lui fut très supérieure, et qui ne l’a pas frappé. La reine et les
princesses
qui représentaient dans le ballet les naïades et
es armes. Une compagnie de basques qui était allée au-devant de cette
princesse
à une lieue de la ville, l’accompagna en dansant
précédente, l’intendant de Guyenne prévoyant le passage de l’auguste
princesse
que la France attendait, fit au travers de ces la
u soir, au bruit du canon de la ville et de celui des trois forts. La
princesse
trouva à la porte Saint-Julien un arc de triomphe
cte à rendre ce morceau d’architecture digne des regards de l’auguste
princesse
pour laquelle il était destiné. Cet ouvrage, qui
e, et de Monseigneur le Dauphin, celles du chapitre au-dessous. Cette
princesse
fut haranguée par le doyen du chapitre, et condui
elle alla ensuite à l’opéra ; l’amphithéâtre était réservé pour cette
princesse
et sa cour. On avait fait au milieu de la balustr
celui des Fleurs, et on y joignit deux ballets pantomimes ; et cette
princesse
sortant de l’opéra et rentrant par la principale
et sans culture étrangère ; ce qui faisait allusion au prince et à la
princesse
, en qui le sang a réuni toutes les grâces et tout
errines, dont les lumières produisaient un fort bel effet. Lorsque la
princesse
fut dans son appartement, elle vit l’illumination
ur 22 canons, du port d’environ 350 tonneaux. Sur le chemin que cette
princesse
devait faire pour aller au port, à l’extrémité de
salle où les officiers de la bouche avaient préparé sa collation. La
princesse
se retira ensuite aux flambeaux, et se rendit à l
se répétaient dans les glaces. Dans une chambre à côté de celle de la
princesse
, étaient les plus habiles musiciens de la ville,
ec des rafraîchissements, dans une autre chambre de l’appartement. La
princesse
qui était arrivée vers les six heures à l’Hôtel d
assemblée de sa présence pendant plus de deux heures. Le même jour la
princesse
honora pour la seconde fois de sa présence l’opér
avale, que la ville avait fait préparer pour son voyage, et que cette
princesse
eut la bonté d’accepter. Cette maison navale étai
nt en robes de cérémonie, avec un corps de troupes bourgeoises. Cette
princesse
étant sortie de sa chaise, le comte de Rubempré,
le corps de ville, l’ordonnateur de la marine, etc. Au départ de la
princesse
, l’air retentit des vœux que faisait pour elle un
tait pratiqué lors du passage de sa Majesté catholique, père de cette
princesse
, la cuisine de la ville aborda la maison navale,
à boire. On se trouva au port à la fin du dîner, après l’abordage la
princesse
sortit sur un pont que les jurats de Bordeaux ava
nnue, et qui rappellera à la cour de France le souvenir d’une aimable
princesse
, qui en était adorée. On doit pressentir à ce peu
qu’elle inspire à tous ceux qui ont le bonheur de l’approcher. Cette
princesse
, douée des dons les plus rares, et les mieux fait
ls avaient été dictés par le cœur de mademoiselle de Clermont : cette
princesse
ne flatta jamais, et mérita de n’être jamais flat
placés sur le quai du côté des Tuileries, et après que les princes et
princesses
du sang, les ambassadeurs et ministres étrangers,
s unique du Roi, et de madame infante d’Espagne. 6. Arrivez, auguste
Princesse
, et recevez avec bonté l’hommage de nos cœurs. 7
Une partie des Entrées fut dansée par le Roi ; les Princes & les
Princesses
, avec les plus grands Seigneurs de la Cour, étoie
le sujet fut la naissance de Venus, par rapport à l’arrivée de cette
Princesse
. L’ouverture du Théâtre commença par faire voir N
Des rayons de la lumiere Que le Saint Esprit a conçu : Amenez ici vos
Princesses
, Pour en recevoir les adresses. Aussitôt la par
Loire, le Gua d’Alquinir, le Rhin, le Tibre, & Archéloüs : chaque
Princesse
avoit trois Pages à sa suite ; la France, un Basq
lets avec des flambeaux. Après cet avant-Balet, des Princes & des
Princesses
de ces quatre Parties de l’Europe, sortirent du G
, avec autant de divers airs d’instrumens : les Pages de la suite des
Princesses
étoient vétus à la Moscovite, à la Tartare, à la
emple soit planté. L’Afrique sortit aussi-tôt accompagnée de quatre
Princesses
, la Numidie, la Barbarie, la Lybie, & l’Ethio
sements lui était une ressource inépuisable. J’appris auprès de cette
Princesse
, continue Sully, le métier de courtisan dans lequ
e ses beaux yeux ; On ne pouvait, sans allégresse, Voir danser icelle
Princesse
, Et rien n’égalait les appas De sa grâce et de se
articulier de quelques auteurs, étoit frere puiné d’Iphigénie ; cette
Princesse
fut conduite en Aulide pour être mariée, selon qu
memnon prodigue les plus tendres caresses à Iphise et à Electre ; ces
Princesses
au comble du bonheur ne peuvent se détacher des b
t de deux objets qui lui sont odieux. Pendant cette scène, les jeunes
Princesses
, qui se sont arrêtées à l’une des croisées, ont é
Elle est prête à frapper. Tels sont les tableaux effrayans que cette
Princesse
découvre en reculant d’horreur, et aux quels Agam
t partie des appartemens d’Electre et d’Iphise. Scène i. Ces
Princesses
paroissent ; elles sont couvertes de Deuil, ainsi
e la pompe funèbre ; des Gardes portent des flambeaux ; la Reine, les
Princesses
et leur suite sont couvertes de crêpes noirs, et
ntent en une vague vermeille nuancée d’émeraude vers le berceau de la
princesse
et le couple royal, velours bleu et hermine, avec
ideau — et pour cause. L’exécution fut remarquable quoiqu’inégale. La
princesse
du premier soir fut Mlle Olga Spessivtseva, jeune
e, ne peut résister au désir de voir et de connoître un Prince et une
Princesse
qui réunissoient tant de vertus ; il vient à la c
et Ismène, qui paroîssent, n’ont pu arrêter le bras d’Alceste. Cette
Princesse
, avant d’expirer, leur recommande Admète et ses e
suite brillante et nombreuse. Loys n’a que le temps de s’esquiver. La
princesse
est lasse, elle a soif ; elle voudrait se reposer
, et mordre de ses dents de perle le pain bis du paysan. Fantaisie de
princesse
. Justement la chaumière de Giselle est là, La mèr
t avec un joli geste de chatte curieuse, elle allonge sa main vers la
princesse
, et, tartufe de coquetterie, elle effleure comme
avec quelle hardiesse timide Carlotta exécute cette scène muette. La
princesse
, qui s’est aperçue de ce manège, et qui en rit de
blanche et Le Chaperon rouge, d’une naïveté si subtile, et encore Les
Princesses
de porcelaine, chinoiserie rococo, dont l’auteur
oit entre elles des Comtesses, Des Marquises et des Duchesses, Et des
Princesses
, mêmement, Qui sont un rare assortiment Au susdit
jusques ici, Qu’à faire d’admirables tresses Pour Prélats, Princes et
Princesses
, On peut dire avec vérité Que la rare dextérité D
her d’autre façon ; On m’a donné cette leçon. Primo, cette aimable
Princesse
, Qui de Soissons est la Comtesse, Un des beaux Es
s Miracles. Car sous la crasse du souillon transparaît malgré tout la
princesse
. Cependant que je m’en vais en guerre contre le t
d’invité, parmi tous ces rois et ces reines, tous ces princes et ces
princesses
? Il avait appuyé son coude au dossier de sa chai
sente les magnifiques jardins du palais d’Armide. Scène I. Cette
Princesse
paroît avec son vainqueur ; ils sont entourés par
e dans les plus affreux soupçons. Créon, qui lit dans l’aine de cette
Princesse
, cherche à la distraire en lui offrant successive
r la prudence du Roi, qui calma le ressentiment des Princes & des
Princesses
, du refus de l’entrée du bal ; desorte qu’ils sor
toujours inquiet et toujours tourmenté, cherche Hypermnestre ; cette
Princesse
paroît ; à ses pleurs et à la douleur qui l’accab
res de ses climats, sa main et son cœur à la Reine de Carthage. Cette
Princesse
flattée de l’hommage de Jarbe, reçoit les présens
ans son costume de velours noir, elle donnait l’impression de quelque
princesse
byzantine. Jean Aicard, le poète, disait un jour
, et qu’il se détermina à l’épouser ; que la curiosité de cette jeune
Princesse
pour connaître son vainqueur, qui ne la voyoit qu
ait vers le milieu du dix-huitième siècle, et qu’on avait baptisée la
Princesse
, à cause de sa liaison avec le prince de Carignan
— Victoria de Schaumbourg-Lippe. Un soir que je dansais à La Haye, la
princesse
était dans la salle avec le major Winslow et d’au
jusqu’à l’invasion des alliés, qui en firent : Des millionnaires, Des
princesses
, Des mères de famille respectées… Car on peut fa
s’en effraya, à tort peut-être, et mademoiselle Albertine, traitée en
princesse
… de la main gauche, inscrite sur le grand-livre d
bliait qu’elle était la comtesse Gilbert des Voisins et la mère d’une
princesse
du vrai monde, pour ne se plus souvenir que d’un
petits enfans, pour donner à entendre que ceux qui naîtront de cette
Princesse
iront jusqu’à ce nombre : dans la figure de la Re
amp; la joie d’avoir mis un Daufin au monde, ont fait oublier à cette
Princesse
les douleurs de l’enfantement. Les autres tableau
ans les ballets. M. le Dauphin, et Me la Dauphine, les Princes et les
Princesses
du sang, les Ducs et les Duchesses, enfin ce qu’i
ent sa statue et qui vont lui élever un temple dans l’Attique ; cette
Princesse
quitte sa patrie pour se livrer aux fonctions sac
e que revenait tout le mérite. Elle avait à jouer le rôle d’une jeune
princesse
chinoise, amoureuse d’un étudiant qui, de son côt
it être changée en femme. Il consentit à la métamorphose et ce fut la
princesse
qui prit la place de l’animal. Elle adopta les ha
monseigneur le Dauphin et madame la Dauphine, Mademoiselle, madame la
princesse
de Conti, et autres princes et princesses, seigne
ine, Mademoiselle, madame la princesse de Conti, et autres princes et
princesses
, seigneurs et dames de la cour. Cette réunion de
s, qui avait la réputation de ne pas être un spectacle pour de jeunes
princesses
. Il leur permit d’y assister le jour où Mlle Tagl
est cette beauté ? C’est Hélène : Voici l’Episode. Le buste de cette
Princesse
est présenté a Paris par les Graces et par les Am
n main, Pour boire à sa hautesse (ou bien à son altesse ou bien à la
princesse
). Ou… Partons, l’heure nous presse Pas de pares
. Il s’était prêté de la meilleure grâce du monde aux taquineries des
princesses
Hermine et Léontine de Metternich. On lui disait
, lesquels étaient, depuis nombre d’années, exécutés par les princes,
princesses
, seigneurs et quelques personnes de la suite de l
▲