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1 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre II. Des Fêtes de la Cour de France, depuis 1560 jusqu’en l’année 1610 »
un mouvement continuel l’adresse, les ressources, la politique de la Reine . Elle imagina Fêtes sur Fêtes, pour lui faire per
se et Marguerite de Lorraine Fille de Nicolas de Vaudemont sœur de la Reine , furent fiancés en la Chambre de la Reine, et le
las de Vaudemont sœur de la Reine, furent fiancés en la Chambre de la Reine , et le Dimanche suivant, furent mariés à trois he
ermain de l’Auxerrois. Le Roi mena la Mariée au Moustier suivie de la Reine , Princesses et Dames tant richement vêtues, qu’il
ndaient à d’autres bêtes ; et étant monté en Coche s’en alla avec les Reines et toute la suite, au Festin qui fut le plus magn
é en Mai, ou en Juillet et Août. Le Dimanche 15 Octobre, Festin de la Reine dans le Louvre, et après le Festin le ballet de C
jet de ce ballet, qui fut donné sous le titre de ballet comique de la Reine . Il fut représenté dans la grande salle de Bourbo
e la Reine. Il fut représenté dans la grande salle de Bourbon, par la Reine , les Princesses, les Princes, et les plus grands
ujet, et en disposa toute l’ordonnance. Il en communiqua le plan à la Reine qui l’approuva ; mais le peu de temps qui restait
point de se charger des Récits, de la musique et des Décorations ; la Reine , à sa prière, commanda à Lachenaye Aumônier du Ro
y en eut une qui lui fut très supérieure et qui ne l’a pas frappé. La Reine et les Princesses qui représentaient dans le Ball
e ne fera-t-on pas fâché d’en trouver ici quelques-unes. Celle que la Reine offrit au Roi représentait un Dauphin qui nageait
me. Ainsi la Cour de France troublée par la mauvaise politique de la Reine , divisée par l’intrigue, déchirée par le fanatism
tre autres à sa Mère, où les femmes servirent déguisées en hommes. La Reine lui rendit la pareille par un autre où les Dames
2 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XV, quelques souverains » pp. 160-177
oilà comment je n’ai pas dansé devant la reine Victoria. J’arrête la reine des Belges dans la rue. — J’étais engagée pour qu
ngagée pour quelques représentations à Spa. Le soir de mes débuts, la reine et la princesse Clémentine étaient dans la loge r
x messieurs causaient sur le perron auprès de nous. — Tiens, voici la reine , dit l’un d’eux. C’était la reine que j’avais arr
n auprès de nous. — Tiens, voici la reine, dit l’un d’eux. C’était la reine que j’avais arrêtée !… Simplicité princière. — A
e me décidai à ne pas laisser perdre cette occasion et j’écrivis à la Reine lui demandant de bien vouloir m’accorder une heur
ippodrome. Une de ses dames d’honneur me répondit que le séjour de la Reine était très limité et que Sa Majesté avait déjà ac
sible de prendre de nouveaux engagements. Je ne pensai donc plus à la Reine . En arrivant à une matinée, un jeudi, je vis deva
nt particulièrement grand air, et toutes timbrées à l’écu royal. « La Reine a envoyé quelqu’un à ma matinée », pensai-je, « e
r si mes danses valent vraiment la peine d’être vues. Si je plais, la Reine me demandera peut-être de venir danser un jour de
ecteur se précipita chez moi en criant : — Il est quatre heures et la Reine attend depuis deux heures et demie. — Quoi la Rei
atre heures et la Reine attend depuis deux heures et demie. — Quoi la Reine est ici ? Pourquoi ne m’avez-vous pas prévenue pl
et deux minutes après, j’entrais en scène. Au milieu de ma danse, la Reine se leva et quitta le théâtre avec toute sa suite.
e venais de réaliser un de mes vœux les plus chers : danser devant la Reine . Et jamais je n’avais éprouvé une telle tristesse
éâtre même, qu’on avait téléphoné après le déjeuner, pour dire que la Reine désirait voir la Loïe Fuller, mais qu’elle devait
elle devait repartir à quatre heures. Le directeur qui croyait que la Reine venait voir l’Hippodrome, n’avait pas attaché d’i
urs etc., etc. De moi, pas un mot. Pourtant, comme j’avais écrit à la Reine , pour la prier de venir, il me parut que je devai
vint m’aviser qu’elle avait écrit la veille à la dame d’honneur de la Reine , qu’elle connaissait, de venir me voir danser à l
velles danses célèbres dans le monde entier, me dit cette amie. Et la Reine viendra, j’en suis sûre, si cela lui est possible
te l’histoire à mon amie. Elle ne comprenait toujours pas pourquoi la Reine était partie si brusquement et elle chercha la ca
e chercha la cause de ce départ précipité. Enfin, tout s’expliqua. La Reine devait aller visiter l’atelier d’un peintre à tro
er et ses danses. Quant au directeur, il est demeuré convaincu que la Reine était venue voir non Loïe Fuller, mais l’Hippodro
3 (1765) Dissertation sur les Ballets Pantomimes des Anciens, pour servir de programme au Ballet Pantomime Tragique de Sémiramis « Plan du Ballet »
près les trois personnages. A l’égard d’Assur complice du crime de la Reine , d’Azoma, de Cédar, personnages purement épisodiq
trois actes. 24Le premier se passe dans un Cabinet magnifique de la Reine . On la voit assise et endormie, appuyée à une tab
ard qu’elle tient en sa main, la secoue, la réveille et disparaît. La Reine se lève ; l’horreur est peinte sur son visage ; e
mé dans l’enceinte du Palais. Tout y est préparé pour le choix que la Reine va faire d’un époux ; on y voit un trône ; Oroès
e ses victoires et les dépouilles des ennemis vaincus. On voit que la Reine s’occupe d’abord de lui. Elle voudrait même lui d
pas que cet hymen soit agréable aux Dieux : sur ses refus réitérés la Reine par un signe de mépris fait entendre quelle sera
ntrouvre, et le spectre de Ninus en sort. Tout s’enfuit encore, et la Reine reste seule. Elle fait des efforts pour s’éloigne
4 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Enée et Didon. Ballet tragique. » pp. 135-147
scagne, triomphe de tous ses efforts ; les tendres caresses que cette Reine prodigue à cet enfant, et celles qu’elle reçoit d
avec cet embarras et cette émotion qui décèlent un amour extrême. La Reine le reçoit avec ce trouble et cette agitation qui
urs âmes. Enée, qui ne respire que l’amour, se jette aux genoux de la Reine  ; il lui jure une fidélité éternelle. Didon, auss
le l’enfant dangereux, et le Prince Troyen suit de loin les pas de la Reine , en exprimant sa félicité. Seconde partie.
se devance la chasse : les fanfares et le bruit des cors annoncent la Reine . Elle paroît dans un char de la plus grande magni
l’embellir ; ils forment un pas de trois en action dans le quel cette Reine ne peut s’empêcher de marquer les préférences les
don, rien ne peut arrêter sa rage et son désespoir. La perfidie de la Reine et le bonheur d’Enée mettent le comble à sa fureu
r son vaisseau, lorsque Didon, avertie de sa résolution paroît. Cette Reine s’exhale en reproches, mais voyant Enée inébranla
e dans les bras de Didon ; il lui fait les plus tendres adieux. Cette Reine ne pouvant supporter sans frémir l’idée du départ
connoissance dans les bras de ses femmes. Enée frappé du danger de la Reine , vole à ses genoux ; il arrose de ses pleurs les
qui s’est ménagé une issue, vient offrir sa main et son trône à cette Reine infortunée. Didon, qui déteste la vie, et qui abh
5 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XVI. Du Cérémonial que l’on observe au grand Bal du Roy. » pp. 49-54
ser, (qui est du côté de l’Orchestre.) Du tems du feu Roy, c’étoit la Reine avec qui Sa Majesté figuroit, au deffaut, c’étoit
stez, chacun de leur côté, & à la fin du couplet, le Roy & la Reine se mettoient à la queuë, & celui & celle
branle à leur tour ; ensuite se vont placer derriere le Roy & la Reine , & successivement des autres de deux en deux,
t une très-profonde reverence, ensuite il vient à l’endroit où est la Reine , ou premiere Princesse, & font ensemble les r
6 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre IX. Opposition singulière des Mœurs des Grecs avec les nôtres »
était aimé, un Danseur célèbre40, qu’il établit l’écuyer de la jeune reine . Il devait être en cette qualité, le guide de son
ques Historiens, il en était digne. Il avait l’attention d’exercer la Reine par des Danses nobles qu’il composait exprès pour
soins qu’inspire le désir de paraître aimable, osait soupirer pour la Reine  ; mais toujours dissipée par un exercice, et par
7 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 3 mars : Mascarade — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 9 mars 1669 »
stis, ainsi Qu’étaient lesdits Masques ici. Notre MONARQUE et notre REINE , Dont la Puissance Souveraine Fait notre bienheur
te, Vêtus en Perses éclatants, Des fins joyaux tout bluettants121, La REINE , ayant sur sa Personne, Et si divine et si mignon
8 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1662 — 7 février : Ercole Amante — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 21 janvier 1662 »
en divers lieux, Durant ce jour-là j’aimai mieux Aller à la suite des Reines , Voir sans embarras et sans peines, Sans passe-po
côtés, de bout en bout, Par mes Vers qui courent par tout ; Que si la Reine débonnaire, Dont ma Muse est pensionnaire, La Rei
9 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XVII. De la maniere de se conduire avec politesse dans les Bals reglez. » pp. 55-59
e noble politesse. Comme dans les Bals reglez il y a un Roy & une Reine  ; pour en suivre la regle, ce sont eux qui commen
i commencent à danser, & lorsque leur premier menuet est fini, la Reine convie une autre Cavalier de venir danser avec el
r danser avec elle, & après qu’ils ont dansé, il va reconduire la Reine , & lui demande poliment qui elle souhaite qu’
10 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre IV. Des Bals »
rus à la Cour de France, qui était aussi magnifique que nombreuse. La Reine qui voulait donner une haute idée de son administ
ivière de Bayonne et qui était couverte d’un bois de Haute Futaie, la Reine fit faire douze grands Berceaux qui aboutissaient
able de douze couverts dans chacun des Berceaux. La Table du Roi, des Reines , des Princes et des Princesses du Sang était dres
firent entendre, dès que le Roi parut. Les Filles d’honneur des deux Reines , vêtues élégamment partie en Nymphes, partie en N
la nuit. Le Roi en sortit à onze heures avec le Roi d’Angleterre, la Reine et les Princes du Sang pour aller souper. Pendant
11 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — Première moitié d’octobre : Divertissement pour la reine — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 17 octobre 1666 »
Robinet, lettre du 17 octobre 1666 L’autre Jour, notre belle REINE , Dans le PETIT PARC de VINCENNE Ayant assemblé le
12 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 13 février : Le Ballet des Amours déguisés — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 1er mars 1664 »
Le considérant de plus près, J’en remarquai les beaux attraits, De la Reine , et de chaque Belle, Qui faisaient Entrée avec El
13 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1670 — Janvier : Ballet royal — Lettres en vers au Roi de la Gravette de Mayolas — La Gravette de Mayolas, 2ème lettre du mois de janvier »
La Gravette de Mayolas, 2ème lettre du mois de janvier130 La REINE , qu’un chacun contemple Comme un parfait et rare
14 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La mort d’agamemnon. ballet tragique. en cinq actes.  » pp. 141-169
a peint les plus affreux présages. Egisthe, non moins inquiet que la Reine , se jette à ses pieds, et, en lui jurant un amour
iii. Un Messager envoyé par Agamemnon se prosterne aux pieds de la Reine , et lui remet une lettre de la part de ce Prince.
mnestre recule épouvantée ; Egisthe veut fuir, se donner la mort ; la Reine tremble, s’oppose à sa fuite à ses transports, et
cipaux officiers d’Agamemmon portent les riches présens destinés à la Reine et à ses enfans. Ce Prince est dans son char ; Ca
elle exprime en s’éloignant d’elle la haine la plus implacable. Cette Reine et Egisthe saisissent tous les in-*stans, où ils
plus près l’instant de le commettre, n’en reçoit la proposition de la Reine qu’avec effroi ; mais les emportemens de Clytemne
. Scène iv. Agamemnon et Cassandre entrent dans le salon de la Reine , sans appercevoir Egisthe. Cassandre, frappée d’u
tée de pardonner à la douleur et au désespoir de sa sœur ; mais cette Reine qui craint tout de la vengeance d’Electre, sort e
furieuse et hors d’elle-même, fait peu d’attention aux menaces de la Reine . Une de ses femmes lui annonce l’arrivée de deux
femmes. Scène vii. Egisthe entre ; les plaintes amères que la Reine vient de lui porter, ont excité sa colère ; il es
l’arrivée de la pompe funèbre ; des Gardes portent des flambeaux ; la Reine , les Princesses et leur suite sont couvertes de c
15 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 13 février : Le Ballet des Amours déguisés — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 16 février 1664 »
inte Personne illustre Parut, illec, dans tout son lustre. La jeune Reine mêmement, De la Cour le cher Ornement, De mille g
e d’amour, Et (ce qui vaut mieux qu’on Domaine) Surintendante chez la Reine . D’Elbeuf la Fille, et non la Sœur, Dont les ye
digne Époux. Cologon, la belle inhumaine, Qu’on estime fort chez la Reine , Et qui par ses charmes vainqueurs Se peut asserv
16 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les fêtes modernes »
trente-deux couverts. Les appartements destinés pour le Roi, pour la Reine , pour Monseigneur le Dauphin, pour Mesdames, étai
Mesdames, étaient décorés avec la plus grande magnificence ; mais la Reine et Mesdames ne vinrent point à l’Hôtel-de-ville.
es de velours, prirent aussitôt le devant, et conduisirent le Roi, la Reine , Monseigneur le Dauphin, Madame la Dauphine, et M
r la place, était un autre dais très riche avec aigrette et queue. La Reine y était aussi. Il y avait deux fauteuils pour leu
la table. Le Roi, après le concert, rentra dans son appartement ; la Reine et la famille royale l’y suivirent, et M. le prév
honneur de dire au Roi que sa Majesté était servie : alors le Roi, la Reine et toute la famille royale, allèrent se mettre à
ttre à table. La table contenait quarante-deux couverts. Le Roi et la Reine se mirent à table au bout du côté de l’appartemen
ncesse de Conti, et ensuite toutes les dames de la cour. Le Roi et la Reine et la famille royale furent servis en vaisselle d
ranle de la cheminée. La cheminée opposée du côté de la chambre de la Reine , avait été de même repeinte et redorée ; et pour
r le souper, il y avait un petit buffet particulier pour le Roi et la Reine , et la famille royale. Après le souper, qui dura
e royale. Après le souper, qui dura deux heures, le Roi passa avec la Reine et la famille royale dans son appartement. Ils vi
été donné par la ville de Paris plusieurs autres festins au Roi, à la Reine , à la famille royale. Jamais monarque n’a gouvern
écits aussi coupables, l’union pure des nouveaux époux, ordonna à ces reines criminelles de disparaître. A sa voix, les amours
euse perfection. On ne parlera ici que d’une seule des fêtes de cette reine , qui avait toujours des desseins, n’eut jamais de
rus à la cour de France, qui était aussi magnifique que nombreuse. La reine qui voulait donner une haute idée de son administ
ée dans la rivière de Bayonne, couverte d’un bois de haute-futaie, la reine fit faire douze grands berceaux qui aboutissaient
able de douze couverts dans chacun des berceaux. La table du roi, des reines , des princes et des princesses du sang, était dre
e firent entendre dès que le roi parut. Les filles d’honneur des deux reines , vêtues élégamment partie en nymphes, partie en n
hore, et Clio, s’approcha du globe, et il s’ouvrit. L’Europe vêtue en reine en sortit la première suivie de ses filles, la Fr
un mouvement continuel l’adresse, les ressources, la politique de la reine  : elle imagina fêtes sur fêtes pour lui faire per
et Marguerite de Lorraine, fille de Nicolas de Vaudémont, sœur de la reine , furent fiancés en la chambre de la reine, et le
as de Vaudémont, sœur de la reine, furent fiancés en la chambre de la reine , et le dimanche suivant furent mariés à trois heu
ermain de l’Auxerrois. Le roi mena la mariée au moutier, suivie de la reine , princesses, et dames tant richement vêtues, qu’i
ndaient à d’autres bêtes ; et étant monté en coche, s’en alla avec la reine et toute la suite, au festin qui fut le plus magn
té en Mai ou en Juillet et Août. Le dimanche 15 Octobre, festin de la reine dans le Louvre ; et après le festin, le ballet de
jet de ce ballet, qui fut donné sous le titre de Ballet comique de la reine  ; il fut représenté dans la grande salle de Bourb
e la reine ; il fut représenté dans la grande salle de Bourbon par la reine , les princesses, les princes, et les plus grands
et il est plein d’inventions d’esprit ; il en communiqua le plan à la reine , qui l’approuva : enfin tout ce qui peut démontre
en eut une qui lui fut très supérieure, et qui ne l’a pas frappé. La reine et les princesses qui représentaient dans le ball
e ne sera-t-on pas fâché d’en trouver ici quelques-unes. Celle que la reine offrit au roi représentait un dauphin qui nageait
me. Ainsi la cour de France, troublée par la mauvaise politique de la reine , divisée par l’intrigue, déchirée par le fanatism
ne partageaient point avec eux des divertissements aussi délicats. La reine avait proposé au cardinal de Savoie, qui était po
e d’Aglié. Voyez Ballet. Il accepta avec respect la proposition de la reine , et il donna à Monceaux un grand ballet, sous le
l’orangerie, devaient faire retentir les airs pendant que le Roi, la Reine , et la famille royale, dans le salon du milieu, e
ompliment fut terminé par mille et mille cris de vive le Roi, vive la Reine , vive Monseigneur le Dauphin, vive Madame la Daup
e S. A. S. mademoiselle de Clermont, surintendante de la maison de la Reine . Ce fut elle, en effet, qui donna à S. M. cette m
éparer en secret le spectacle élégant dont elle voulait surprendre la Reine . Ainsi le soir du 12 Juillet 1729, en se promenan
t les deux statues qu’on voit aux deux côtés de la grille. Dès que la Reine parut, une symphonie harmonieuse se fit entendre 
tres, qui en était suivie. Elle adressa les chants les plus doux à la Reine , en la pressant de goûter quelques moments les in
rent avec la fée une jolie scène, dont les traits légers amusèrent la Reine et la cour. Après ce début, les trois acteurs con
a Reine et la cour. Après ce début, les trois acteurs conduisirent la Reine dans les allées du labyrinthe ; l’illumination en
scriptions, aussi aisément qu’en plein jour. Au premier carrefour, la Reine trouva une troupe de jardiniers qui formèrent un
t un joli ballet mêlé de chants et de danses. Cette troupe précéda la Reine en dansant, et l’engagea à venir à la fontaine qu
bles de tous ces jolis bosquets jouèrent pendant tout le temps que la Reine voulut bien y rester ; et la réflexion des coups
et variait à tous les instants les charmes de cet agréable séjour. La Reine , après le ballet, passa dans le berceau couvert ;
égance de ses pas, présenta un bouquet de fleurs les plus belles à la Reine  : les autres en offrirent à toutes les dames de l
atterie qu’on n’avait que faire d’elle pour célébrer les vertus d’une Reine adorée, qui comptait tous ses moments par quelque
ur comique, finit d’une manière plaisante cette partie de la fête. La reine et la cour arrivèrent dans la grande allée qui sé
danse, qui furent exécutés par les meilleurs danseurs de l’Opéra. La reine , après la comédie, rentra dans le Labyrinthe, et
fit donner à tous ces amusements le nom d’impromptu du labyrinthe. La Reine ignorait tout ce qui devait l’amuser pendant cett
u’une imagination aussi réglée que riante répandait sur les pas de la Reine la plus respectable, n’étaient que les prémices d
17 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1668 — 18 juillet : Le Grand Divertissement royal ou les Fêtes de Versailles — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 7 juillet 1668 »
9 Mais, avant que l’on en soit là (Et toute la Cour dit cela), La REINE pourra, sans obstacle, Voir l’incomparable Specta
18 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 13 février : Le Ballet de Flore — Lettre en vers et en prose au Roi de la Gravette de Mayolas — La Gravette de Mayolas, lettre du 21 février 1669 »
coutumière, Avec son maintien sans égal, Il finit ce Ballet Royal. La REINE , aussi sage que belle, Digne d’une gloire immorte
19 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1662 — 7 février : Ercole Amante — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 11 février 1662 »
rs sont pointus. Au premier rang, il est bien juste De mettre notre Reine auguste, Dont l’agréable Majesté Est un modèle de
honnêteté, D’esprit, de grâce et de beauté. Des-Autels, Fille de la Reine , Fort aimable, mais inhumaine, Qui tient en Cour
20 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 13 juin : Le Favori — Lettres en vers à Madame la Duchesse de Nemours de la Gravette de Mayolas — La Gravette de Mayolas, lettre du 21 juin 1665 »
haute puissance, Désirant agréablement Donner un divertissement À la REINE , que son coeur aime Aussi tendrement que lui-même
21 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre V. De l’usage de la Danse grave & sérieuse, convenable aux Bals de cérémonie. » pp. 112-145
; surtout pendant la Régence de Catherine de Médicis. Outre que cette Reine avoit beaucoup de goût pour les fêtes de réjouiss
milieu d’un beau Bois de Futaye, pour la célébrité de cette fête : la Reine y fit couper & étayer des arbres, pour former
s il y avoit des tables de douze couverts chacune : celle du Roi, des Reines , des Princes & des Princesses du Sang, étoit
up d’œil toute l’assemblée pendant le repas. Les filles d’honneur des Reines vêtues très également, partie en Nymphes, partie
ines d’or, pour placer les Rois de France & d’Angleterre, avec la Reine , Madame de Bourgogne, tous les Princes & les
quoique le Roi en sortît à onze heures, avec le Roi d’Angleterre, la Reine , & tous les Princes du Sang, pour aller soupe
22 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1661 — 19 février : Ballet de l’Impatience — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 19 février 1661 »
is ceci (J’en ai, de deuil, le cœur transi) Devant le Roi, devant les Reines , Qui sont de retour de Vincennes, On s’en fait, e
23 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 29 janvier : Le Mariage forcé — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 2 février 1664 »
ne dis. J’ m’y coulai, non pas sans peine, Un peu devant qu’entrât la Reine  : Mais n’ayant pas été placé Aussi bien que j’ava
24 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1663 — 8 janvier : Ballet des Arts — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 24 février 1663 »
éclairé, Et des Machines l’artifice Y fit dignement son office. Nos Reines , pleines d’un bon sens, Mais qui des plaisirs inn
25 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1668 — 17 janvier : Mascarade — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 21 janvier 1668 »
e Veste De qui les enrichissements N’étaient que de purs Diamants. La REINE , en Sarmate charmante, En avait une autre éclatan
26 (1845) Notice sur Giselle pp. 3-24
. Les corbeilles et les hottes sont pleines. Giselle est proclamée la reine de la vendange, couronnée de pampres et portée en
e fille pâle et froide comme un clair de lune sur la neige : c’est la reine des wilis. Du bout de son sceptre, elle trace dan
rbres, il en arrive de tous côtés. Quand l’assemblée est complète, la reine propose l’admission de Giselle, une nouvelle mort
capricieux ! La voici qui va d’un air soumis s’agenouiller devant la reine des wilis. On lui pose une étoile au front ; deux
— Ma baguette perd son pouvoir devant cette croix, c’est vrai, dit la reine avec un geste d’autorité ; mais toi, Giselle, tu
27 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Alceste. Ballet tragique. » pp. 207-218
ntanée d’Hercule et d’Admète lui en permet l’exécution : il engage la Reine qui a les yeux fixés sur son vaisseau, de vouloir
y monter avec sa sœur et ses femmes, pour en examiner l’intérieur. La Reine , vivement sollicitée et par sa sœur et par le per
28 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 10 décembre « Le Festin de l’araignée ». »
t aux frères Cognard. Voilà bien des éléments dont s’accommoderait la Reine des Carottes mais qui ne s’amalgament point avec
29 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 12 février. Pylade chez Roscius. »
ut mettre les pieds. Étoiles de la danse, saluez Mme Alice Coonen, la reine aux cothurnes d’or qui font rentrer la cheville d
30 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 8 mai. Le répertoire : « La Tragédie de Salomé ». »
rait ? Mlle Daunt grande, blonde, blanche et rose, c’est Penthésilée, reine des amazones, c’est l’antique chasseresse, Antyop
31 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 26 janvier : Ballet de la Naissance de Vénus — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 7 février 1665 »
-on dit, l’Auteur. Jeudi, bien des Gens y coururent, Nos deux sages Reines y furent Environ vers la fin du jour, Avec une as
32 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « IX. L’escadron volant de la rue Lepeletier. » pp. 190-203
et pour reconnaître celui auquel elle avait accordé ses faveurs, une reine des temps jadis s’était vue dans l’obligation de
isait-on dans l’avant-scène des troisièmes, — côté cour ou côté de la Reine , — réservée à celles de ces demoiselles, qui, aya
33 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre II. Origine des Ballets »
écits aussi coupables, l’union pure des nouveaux Époux, ordonna à ces Reines criminelles de disparaître. À sa voix les Amours
34 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre VI. De l’origine des Bals masquez. » pp. 146-160
ble aux mœurs de la nation. Le masque a même la liberté de prendre la Reine du bal pour danser, quand ce seroit une Princesse
lurent. Le lendemain ce fait fut rapporté au dîner du Roi & de la Reine mere, par gens qui ignoroient qu’il eût été de la
35 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre I. Des Fêtes dont la Danse a été le fond à la Cour de France, depuis l’année 1610 jusqu’en l’année 1643 »
ne partageaient point avec eux des divertissements aussi délicats. La Reine avait proposé au Cardinal de Savoie, qui était po
é, dont j’ai déjà parlé. Il accepta avec respect la proposition de la Reine , et il donna à Monceaux un grand Ballet, sous le
36 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Conclusion » pp. 414-418
sœurs divines Aux corselets de guêpe, aux regards de houri …………….. O reines du ballet, toutes les trois si belles ! Qu’un Hom
37 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 26 janvier : Ballet de la Naissance de Vénus — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 31 janvier 1665 »
pourtant, Se danse trois fois la semaine, Non chez le Roi, ni chez la Reine , Mais dans ce noble et charmant lieu, Digne séjou
38 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIV, la princesse marie » pp. 146-
jour-là, ce fut une doublure qui dansa à ma place, mais le Roi et la Reine ont dû croire que c’était moi qu’ils avaient vue.
ssistèrent pas, en effet, mais la Princesse avait invité le Roi et la Reine et toute leur suite, en limitant toutefois ses in
39 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre II. Des Fêtes du même genre dans les autres Cours de l’Europe »
chore et Clio, s’approcha du globe, et il s’ouvrit. L’Europe vêtue en Reine en sortit la première suivie de ses filles, la Fr
40 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 19 février. Une grande danseuse russe. Mme Véra Tréfilova. — Émotion et abstraction. — Mélodie continue. — Exotisme transposé. — Deux Moscovites : Novikoff, Clustine. »
n de cotillon. Que faut-il pour que Zambelli soit une « zingara », la reine des « zingaras » ? Un méchant fichu, une main cri
41 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre XV. » pp. 83-88
noy, et faisoit partie d’une fête de jour, que Monsieur, donnoit à la Reine . Cette heureuse bagatelle eut un succès complet.
42 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre V. marie taglioni  » pp. 156-187
tgart elle conquérait, avec la sympathie du public, l’affection de la reine . A Munich, où elle fut engagée au théâtre royal,
i exprime la nostalgie du ciel. La Gazette des Théâtres la nomme « la reine des airs qui fait honte à notre grossière nature7
mbres de l’aristocratie. Dans les cours allemandes on rendait à cette reine de théâtre les honneurs militaires. A Vienne, com
danse, a acquis cela qu’un roi dit à ses enfants de la saluer, qu’une reine l’admet à sa cour dans ses causeries intimes ! »
43 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre IV. Fragment de Lucien »
auté des trois Déesses, sa passion pour Hélène, l’enlèvement de cette reine , l’embrasement de la plus florissante ville de l’
44 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre V » pp. 60-75
n compagnie de jeunes gens fort distingués qui me suivaient comme une reine et me composaient gratis une brillante escorte. L
45 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VI » pp. 76-89
ancan comme personne : excepté Marguerite la huguenote, qui en est la reine . Ne fais pas la bêtise de me demander des détails
46 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre III. Des mouvemens de la Danse par rapport aux actions humaines, suivant les préceptes des Egyptiens & des Grecs. » pp. 59-69
ions. Depuis que les Balets ont été rétablis en France, nos Rois, nos Reines & les grands Seigneurs n’ont pris que des per
47 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les artistes de l’opéra »
s et les chanteuses qui exécutent les concerts chez le Roi et chez la Reine , sont appelés ordinaires de la Musique de la cham
48 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVI, autres souverains » pp. 178-
pour se trouver ainsi, au titre d’invité, parmi tous ces rois et ces reines , tous ces princes et ces princesses ? Il avait ap
49 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — L’épouse persanne. Ballet héroï-pantomime. » pp. 197-206
et leur suite : les femmes du Sérail précedent l’Em-pereur. La jeune Reine , Usbeck, Zélis et les Dervis l’accompagnent ; la
50 (1921) Le Ballet de l’Opéra pp. 191-205
n aide-de-camp du roi entre dans leur loge, les supplie, au nom de la reine , de renoncer à leur macabre plaisanterie. Le régi
er : « Vous voyez que la reine de l’Opéra est mieux accueillie que la reine des Français elle-même. » Que de souvenirs amusan
51 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Le jugement de Pâris. Ballet héroïque. » pp. 171-182
nt favorable éloigne le batiment du rivage ; et c’est à Sparte que la Reine des Amours va conduire Paris. FIN. (1). Il y
52 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VI. Ballade des dames du temps jadis. » pp. 88-
u champagne à des filles !… La belle Clotilde Mafleuroy était une des reines de ces fêtes. C’était une grande, souple et super
ncé, chaste et gracieux, — digne de la Diane antique, — de Myrtha, la reine des willis, au second acte de Giselle. Hélas ! M
maintien au Conservatoire, où elle apprend à saluer et à marcher aux reines de la tragédie. Encore qu’elle soit née dans une
53 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VII. Brelan d’astres » pp. 134-175
t, d’efforts et d’amertume. Ce fut, je crois, la dernière fois que la reine parut à l’Opéra. Une clameur sortit des vomitoire
e ! …. C’était le général X…, l’un des aides-de-camp des princes… La reine avait appris ce qui se préparait… Or, une tête hu
d’or ; Adorable Manon pour qui, dans les casernes, Ainsi que pour la Reine eût roulé le tambour, Pour qui, durant le bal et
54 (1921) Quelques lettres inédites de célébrités chorégraphiques pp. 222-226
longues suites. La Suède m’a beaucoup plu. J’y ai été fêtée en vraie reine . J’y ai vu ma bonne grand-mère et les frères de…
55 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « V. Pastels après décès. » pp. 54-87
des premières danseuses, — l’unique en ce moment, — reçut le titre de Reine de la danse, qu’elle daigna partager, du reste, a
re. » Mademoiselle Desmatins se trouvait si belle dans ses habits de reine ou de magicienne, qu’elle les gardait souvent apr
56 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre IV. De la Danse des Balets des Anciens & des Modernes, avec quelques descriptions des plus singulieres, & de l’origine de la danse Théâtrale. » pp. 70-111
ariage du Duc de Joyeuse avec Mademoiselle de Vaudémont sœur de cette Reine  ; toute la Cour, hommes & femmes, danserent d
obe, ou l’Europe étoit décrite, s’ouvrit, l’Europe en sortit vêtue en Reine avec cinq de ses filles, la France, l’Espagne, l’
57 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre premier. les années d’apprentissage  » pp. 1-36
de mort. L’honneur d’être présentées à des souverains était pour les reines de théâtre une des formes les plus convoitées de
ersonnelles et originales qui devaient faire de l’une d’elles une des reines de la danse. Il applaudit indifféremment Thérèse
58 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre VII. Des Spectacles des Danseurs de corde, & de l’Art Gymnastique, & des sauts périlleux. » pp. 161-182
au bal où la fête étoit préparée ; elle y dansa la premiere comme la Reine du bal. Cette illustre veuve étant sans ostentati
59 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VIII. victoires et revers  » pp. 262-319
onne ne soupçonnât que l’héritier présomptif du trône de France et la reine de la danse avaient pu se trouver un instant ench
par la Gitana. L’article félicitait Marie Taglioni d’être devenue la reine de la danse terrestre, après avoir été la reine d
oni d’être devenue la reine de la danse terrestre, après avoir été la reine de la danse céleste. Il ajoutait que les spectate
60 (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] « Lettre, d'un grand sauteur. A M. de Voltaire, sur les pantomimes . » pp. 17-37
, sous la figure d’un Petit-Maître ; l’Angleterre sous la forme d’une Reine majestueuse, &c. Les Anglais ont à Londres un
61 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XVIII. » pp. 185-200
it à Paris, il fut étonné de voir Lisette et Marton métamorphosées en reine  ; il admira des progrès d’autant plus étonnants,
62 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « X, les étoiles d’aujourd’hui. » pp. 204-
chanter, comme la Chonchon de la Grâce de Dieu : A l’Opéra, je serai reine  ! En satin j’aurai des souliers, Du vermeil, de l
63 (1806) L’Art de la danse, poëme en quatre chants, calqué sur l’Art poétique de Boileau pp. -247
orique de la Danse. 2. « Le dimanche 15 octobre 1581, festin de la Reine dans le Louvre, et après le festin, le Ballet de
moires de l’Étoile, tome premier, p. 150.   Ce ballet, dans lequel la Reine , femme de Henri iii, la princesse de Lorraine, le
s de la Cour à Fontainebleau, en l’année 1664. Le roi Louis xiv. La Reine . Monsieur. Madame la comtesse de Soissons. M.
rt, &c.   savoir :   MM. Galand du Désert, maître à danser de la Reine . Prévôt, maître à danser du Roi. Jean Renaud, maî
64 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Paralele. DE. LA PEINTURE. ET DE. LA POESIE. » pp. 213-269
favorables ; à côté du tableau est la fécondité, qui tournée vers la Reine , lui montre dans une corne d’abondance cinq petit
ont de cette Princesse iront jusqu’à ce nombre : dans la figure de la Reine on juge facilement par la rougeur de ses yeux, qu
65 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VII. le diable boiteux  » pp. 220-261
re, à toi les applaudissements convulsifs du peuple, les couronnes de reine et les amours de prince ! ! » Les vingt-six repr
y Elssler. Il semblait qu’une fatalité farouche s’acharnât contre les reines du théâtre. Le Courrier des Théâtres fit appel au
66 (1841) Physiologie de la lorette pp. -127
roi d’Angleterre, c’est-à-dire sur monsieur le mari de sa majesté la reine d’Angleterre (nous tenons même en matière de cont
re place dans une loge au théâtre le plus près possible du mari de la reine , et là, attendre qu’il tombe à la renverse frappé
pas long. La Lorette partit. Les chapeaux se fanèrent, le mari de la reine brava l’éclair comme s’il eût été assuré par la c
67 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la poétique du ballet et de l’opéra »
ce genre autrefois ; mais le peu de succès de Manto la fée, et de la Reine des Péris, semblait l’avoir décrédité. Un auteur
68 (1845) Notice sur Ondine pp. 3-22
. Sous la forme de Giannina, et reposant dans sa couche, elle voit la reine des Ondines s’approcher du lit où elle est étendu
69 (1845) Notice sur La Sylphide pp. 3-23
onfondait dans une nuance indéfinissable et sans nom… Alors arrive la reine majestueuse de ces rivages ; elle sort de ces gro
70 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre V. » pp. 37-55
sur le théâtre du Petit-Bourbon, en présence de Louis quatorze, de la Reine mere et de la Cour, la FestaThéatrale del la Fint
71 (1927) Paul Valéry philosophe de la danse
son temps de Balthazar Beaujoyeux qui régla le « Ballet Comique de la Reine  » la même image mais renversée. C’est le chorégra
72 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre X. le coucher de l’astre  » pp. 365-413
loire par delà les mers, Taglioni dansait chez nous ; Taglioni, votre reine à toutes, effaçait vos moindres traces, non dans
marchands, elle que les peuples d’Amérique avaient acclamée comme une reine  ! Elle fit appel. Le procès fut repris devant la
73 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IV. le ballet a l’opéra vers 1830  » pp. 129-155
dit-on, qu’ayant enlevé un cœur royal à la pointe d’une cachucha, la reine des Grâces du lieu ne conservât assez longtemps s
74 (1834) L’Opéra. Paris ou Le Livre des Cent-et-un. tome XV « L’Opéra. » pp. 366-428
prit le nom de Beaujoyeux, fut nommé valet-de-chambre du roi et de la reine sa mère ; il se rendit si illustre à la cour par
Glück et Piccini, la dispute des Bouffons et de Lulli, le coin de la reine et le coin du roi, les pamphlets, et les injures,
75 (1845) Notice sur Le Diable boiteux pp. 3-31
taquin ; — du feu, de la flamme, — la passion du moment, la fantaisie reine , le caprice flamboyant, le rayon méridional qui s
76 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la musique moderne »
; les premières sont placées du côté du Roi, les autres du côté de la Reine . Voyez Chœurs. La partie des dessus à la chapelle
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