un mouvement continuel l’adresse, les ressources, la politique de la
Reine
. Elle imagina Fêtes sur Fêtes, pour lui faire per
se et Marguerite de Lorraine Fille de Nicolas de Vaudemont sœur de la
Reine
, furent fiancés en la Chambre de la Reine, et le
las de Vaudemont sœur de la Reine, furent fiancés en la Chambre de la
Reine
, et le Dimanche suivant, furent mariés à trois he
ermain de l’Auxerrois. Le Roi mena la Mariée au Moustier suivie de la
Reine
, Princesses et Dames tant richement vêtues, qu’il
ndaient à d’autres bêtes ; et étant monté en Coche s’en alla avec les
Reines
et toute la suite, au Festin qui fut le plus magn
é en Mai, ou en Juillet et Août. Le Dimanche 15 Octobre, Festin de la
Reine
dans le Louvre, et après le Festin le ballet de C
jet de ce ballet, qui fut donné sous le titre de ballet comique de la
Reine
. Il fut représenté dans la grande salle de Bourbo
e la Reine. Il fut représenté dans la grande salle de Bourbon, par la
Reine
, les Princesses, les Princes, et les plus grands
ujet, et en disposa toute l’ordonnance. Il en communiqua le plan à la
Reine
qui l’approuva ; mais le peu de temps qui restait
point de se charger des Récits, de la musique et des Décorations ; la
Reine
, à sa prière, commanda à Lachenaye Aumônier du Ro
y en eut une qui lui fut très supérieure et qui ne l’a pas frappé. La
Reine
et les Princesses qui représentaient dans le Ball
e ne fera-t-on pas fâché d’en trouver ici quelques-unes. Celle que la
Reine
offrit au Roi représentait un Dauphin qui nageait
me. Ainsi la Cour de France troublée par la mauvaise politique de la
Reine
, divisée par l’intrigue, déchirée par le fanatism
tre autres à sa Mère, où les femmes servirent déguisées en hommes. La
Reine
lui rendit la pareille par un autre où les Dames
oilà comment je n’ai pas dansé devant la reine Victoria. J’arrête la
reine
des Belges dans la rue. — J’étais engagée pour qu
ngagée pour quelques représentations à Spa. Le soir de mes débuts, la
reine
et la princesse Clémentine étaient dans la loge r
x messieurs causaient sur le perron auprès de nous. — Tiens, voici la
reine
, dit l’un d’eux. C’était la reine que j’avais arr
n auprès de nous. — Tiens, voici la reine, dit l’un d’eux. C’était la
reine
que j’avais arrêtée !… Simplicité princière. — A
e me décidai à ne pas laisser perdre cette occasion et j’écrivis à la
Reine
lui demandant de bien vouloir m’accorder une heur
ippodrome. Une de ses dames d’honneur me répondit que le séjour de la
Reine
était très limité et que Sa Majesté avait déjà ac
sible de prendre de nouveaux engagements. Je ne pensai donc plus à la
Reine
. En arrivant à une matinée, un jeudi, je vis deva
nt particulièrement grand air, et toutes timbrées à l’écu royal. « La
Reine
a envoyé quelqu’un à ma matinée », pensai-je, « e
r si mes danses valent vraiment la peine d’être vues. Si je plais, la
Reine
me demandera peut-être de venir danser un jour de
ecteur se précipita chez moi en criant : — Il est quatre heures et la
Reine
attend depuis deux heures et demie. — Quoi la Rei
atre heures et la Reine attend depuis deux heures et demie. — Quoi la
Reine
est ici ? Pourquoi ne m’avez-vous pas prévenue pl
et deux minutes après, j’entrais en scène. Au milieu de ma danse, la
Reine
se leva et quitta le théâtre avec toute sa suite.
e venais de réaliser un de mes vœux les plus chers : danser devant la
Reine
. Et jamais je n’avais éprouvé une telle tristesse
éâtre même, qu’on avait téléphoné après le déjeuner, pour dire que la
Reine
désirait voir la Loïe Fuller, mais qu’elle devait
elle devait repartir à quatre heures. Le directeur qui croyait que la
Reine
venait voir l’Hippodrome, n’avait pas attaché d’i
urs etc., etc. De moi, pas un mot. Pourtant, comme j’avais écrit à la
Reine
, pour la prier de venir, il me parut que je devai
vint m’aviser qu’elle avait écrit la veille à la dame d’honneur de la
Reine
, qu’elle connaissait, de venir me voir danser à l
velles danses célèbres dans le monde entier, me dit cette amie. Et la
Reine
viendra, j’en suis sûre, si cela lui est possible
te l’histoire à mon amie. Elle ne comprenait toujours pas pourquoi la
Reine
était partie si brusquement et elle chercha la ca
e chercha la cause de ce départ précipité. Enfin, tout s’expliqua. La
Reine
devait aller visiter l’atelier d’un peintre à tro
er et ses danses. Quant au directeur, il est demeuré convaincu que la
Reine
était venue voir non Loïe Fuller, mais l’Hippodro
près les trois personnages. A l’égard d’Assur complice du crime de la
Reine
, d’Azoma, de Cédar, personnages purement épisodiq
trois actes. 24Le premier se passe dans un Cabinet magnifique de la
Reine
. On la voit assise et endormie, appuyée à une tab
ard qu’elle tient en sa main, la secoue, la réveille et disparaît. La
Reine
se lève ; l’horreur est peinte sur son visage ; e
mé dans l’enceinte du Palais. Tout y est préparé pour le choix que la
Reine
va faire d’un époux ; on y voit un trône ; Oroès
e ses victoires et les dépouilles des ennemis vaincus. On voit que la
Reine
s’occupe d’abord de lui. Elle voudrait même lui d
pas que cet hymen soit agréable aux Dieux : sur ses refus réitérés la
Reine
par un signe de mépris fait entendre quelle sera
ntrouvre, et le spectre de Ninus en sort. Tout s’enfuit encore, et la
Reine
reste seule. Elle fait des efforts pour s’éloigne
scagne, triomphe de tous ses efforts ; les tendres caresses que cette
Reine
prodigue à cet enfant, et celles qu’elle reçoit d
avec cet embarras et cette émotion qui décèlent un amour extrême. La
Reine
le reçoit avec ce trouble et cette agitation qui
urs âmes. Enée, qui ne respire que l’amour, se jette aux genoux de la
Reine
; il lui jure une fidélité éternelle. Didon, auss
le l’enfant dangereux, et le Prince Troyen suit de loin les pas de la
Reine
, en exprimant sa félicité. Seconde partie.
se devance la chasse : les fanfares et le bruit des cors annoncent la
Reine
. Elle paroît dans un char de la plus grande magni
l’embellir ; ils forment un pas de trois en action dans le quel cette
Reine
ne peut s’empêcher de marquer les préférences les
don, rien ne peut arrêter sa rage et son désespoir. La perfidie de la
Reine
et le bonheur d’Enée mettent le comble à sa fureu
r son vaisseau, lorsque Didon, avertie de sa résolution paroît. Cette
Reine
s’exhale en reproches, mais voyant Enée inébranla
e dans les bras de Didon ; il lui fait les plus tendres adieux. Cette
Reine
ne pouvant supporter sans frémir l’idée du départ
connoissance dans les bras de ses femmes. Enée frappé du danger de la
Reine
, vole à ses genoux ; il arrose de ses pleurs les
qui s’est ménagé une issue, vient offrir sa main et son trône à cette
Reine
infortunée. Didon, qui déteste la vie, et qui abh
ser, (qui est du côté de l’Orchestre.) Du tems du feu Roy, c’étoit la
Reine
avec qui Sa Majesté figuroit, au deffaut, c’étoit
stez, chacun de leur côté, & à la fin du couplet, le Roy & la
Reine
se mettoient à la queuë, & celui & celle
branle à leur tour ; ensuite se vont placer derriere le Roy & la
Reine
, & successivement des autres de deux en deux,
t une très-profonde reverence, ensuite il vient à l’endroit où est la
Reine
, ou premiere Princesse, & font ensemble les r
était aimé, un Danseur célèbre40, qu’il établit l’écuyer de la jeune
reine
. Il devait être en cette qualité, le guide de son
ques Historiens, il en était digne. Il avait l’attention d’exercer la
Reine
par des Danses nobles qu’il composait exprès pour
soins qu’inspire le désir de paraître aimable, osait soupirer pour la
Reine
; mais toujours dissipée par un exercice, et par
stis, ainsi Qu’étaient lesdits Masques ici. Notre MONARQUE et notre
REINE
, Dont la Puissance Souveraine Fait notre bienheur
te, Vêtus en Perses éclatants, Des fins joyaux tout bluettants121, La
REINE
, ayant sur sa Personne, Et si divine et si mignon
en divers lieux, Durant ce jour-là j’aimai mieux Aller à la suite des
Reines
, Voir sans embarras et sans peines, Sans passe-po
côtés, de bout en bout, Par mes Vers qui courent par tout ; Que si la
Reine
débonnaire, Dont ma Muse est pensionnaire, La Rei
e noble politesse. Comme dans les Bals reglez il y a un Roy & une
Reine
; pour en suivre la regle, ce sont eux qui commen
i commencent à danser, & lorsque leur premier menuet est fini, la
Reine
convie une autre Cavalier de venir danser avec el
r danser avec elle, & après qu’ils ont dansé, il va reconduire la
Reine
, & lui demande poliment qui elle souhaite qu’
rus à la Cour de France, qui était aussi magnifique que nombreuse. La
Reine
qui voulait donner une haute idée de son administ
ivière de Bayonne et qui était couverte d’un bois de Haute Futaie, la
Reine
fit faire douze grands Berceaux qui aboutissaient
able de douze couverts dans chacun des Berceaux. La Table du Roi, des
Reines
, des Princes et des Princesses du Sang était dres
firent entendre, dès que le Roi parut. Les Filles d’honneur des deux
Reines
, vêtues élégamment partie en Nymphes, partie en N
la nuit. Le Roi en sortit à onze heures avec le Roi d’Angleterre, la
Reine
et les Princes du Sang pour aller souper. Pendant
Robinet, lettre du 17 octobre 1666 L’autre Jour, notre belle
REINE
, Dans le PETIT PARC de VINCENNE Ayant assemblé le
Le considérant de plus près, J’en remarquai les beaux attraits, De la
Reine
, et de chaque Belle, Qui faisaient Entrée avec El
La Gravette de Mayolas, 2ème lettre du mois de janvier130 La
REINE
, qu’un chacun contemple Comme un parfait et rare
a peint les plus affreux présages. Egisthe, non moins inquiet que la
Reine
, se jette à ses pieds, et, en lui jurant un amour
iii. Un Messager envoyé par Agamemnon se prosterne aux pieds de la
Reine
, et lui remet une lettre de la part de ce Prince.
mnestre recule épouvantée ; Egisthe veut fuir, se donner la mort ; la
Reine
tremble, s’oppose à sa fuite à ses transports, et
cipaux officiers d’Agamemmon portent les riches présens destinés à la
Reine
et à ses enfans. Ce Prince est dans son char ; Ca
elle exprime en s’éloignant d’elle la haine la plus implacable. Cette
Reine
et Egisthe saisissent tous les in-*stans, où ils
plus près l’instant de le commettre, n’en reçoit la proposition de la
Reine
qu’avec effroi ; mais les emportemens de Clytemne
. Scène iv. Agamemnon et Cassandre entrent dans le salon de la
Reine
, sans appercevoir Egisthe. Cassandre, frappée d’u
tée de pardonner à la douleur et au désespoir de sa sœur ; mais cette
Reine
qui craint tout de la vengeance d’Electre, sort e
furieuse et hors d’elle-même, fait peu d’attention aux menaces de la
Reine
. Une de ses femmes lui annonce l’arrivée de deux
femmes. Scène vii. Egisthe entre ; les plaintes amères que la
Reine
vient de lui porter, ont excité sa colère ; il es
l’arrivée de la pompe funèbre ; des Gardes portent des flambeaux ; la
Reine
, les Princesses et leur suite sont couvertes de c
inte Personne illustre Parut, illec, dans tout son lustre. La jeune
Reine
mêmement, De la Cour le cher Ornement, De mille g
e d’amour, Et (ce qui vaut mieux qu’on Domaine) Surintendante chez la
Reine
. D’Elbeuf la Fille, et non la Sœur, Dont les ye
digne Époux. Cologon, la belle inhumaine, Qu’on estime fort chez la
Reine
, Et qui par ses charmes vainqueurs Se peut asserv
trente-deux couverts. Les appartements destinés pour le Roi, pour la
Reine
, pour Monseigneur le Dauphin, pour Mesdames, étai
Mesdames, étaient décorés avec la plus grande magnificence ; mais la
Reine
et Mesdames ne vinrent point à l’Hôtel-de-ville.
es de velours, prirent aussitôt le devant, et conduisirent le Roi, la
Reine
, Monseigneur le Dauphin, Madame la Dauphine, et M
r la place, était un autre dais très riche avec aigrette et queue. La
Reine
y était aussi. Il y avait deux fauteuils pour leu
la table. Le Roi, après le concert, rentra dans son appartement ; la
Reine
et la famille royale l’y suivirent, et M. le prév
honneur de dire au Roi que sa Majesté était servie : alors le Roi, la
Reine
et toute la famille royale, allèrent se mettre à
ttre à table. La table contenait quarante-deux couverts. Le Roi et la
Reine
se mirent à table au bout du côté de l’appartemen
ncesse de Conti, et ensuite toutes les dames de la cour. Le Roi et la
Reine
et la famille royale furent servis en vaisselle d
ranle de la cheminée. La cheminée opposée du côté de la chambre de la
Reine
, avait été de même repeinte et redorée ; et pour
r le souper, il y avait un petit buffet particulier pour le Roi et la
Reine
, et la famille royale. Après le souper, qui dura
e royale. Après le souper, qui dura deux heures, le Roi passa avec la
Reine
et la famille royale dans son appartement. Ils vi
été donné par la ville de Paris plusieurs autres festins au Roi, à la
Reine
, à la famille royale. Jamais monarque n’a gouvern
écits aussi coupables, l’union pure des nouveaux époux, ordonna à ces
reines
criminelles de disparaître. A sa voix, les amours
euse perfection. On ne parlera ici que d’une seule des fêtes de cette
reine
, qui avait toujours des desseins, n’eut jamais de
rus à la cour de France, qui était aussi magnifique que nombreuse. La
reine
qui voulait donner une haute idée de son administ
ée dans la rivière de Bayonne, couverte d’un bois de haute-futaie, la
reine
fit faire douze grands berceaux qui aboutissaient
able de douze couverts dans chacun des berceaux. La table du roi, des
reines
, des princes et des princesses du sang, était dre
e firent entendre dès que le roi parut. Les filles d’honneur des deux
reines
, vêtues élégamment partie en nymphes, partie en n
hore, et Clio, s’approcha du globe, et il s’ouvrit. L’Europe vêtue en
reine
en sortit la première suivie de ses filles, la Fr
un mouvement continuel l’adresse, les ressources, la politique de la
reine
: elle imagina fêtes sur fêtes pour lui faire per
et Marguerite de Lorraine, fille de Nicolas de Vaudémont, sœur de la
reine
, furent fiancés en la chambre de la reine, et le
as de Vaudémont, sœur de la reine, furent fiancés en la chambre de la
reine
, et le dimanche suivant furent mariés à trois heu
ermain de l’Auxerrois. Le roi mena la mariée au moutier, suivie de la
reine
, princesses, et dames tant richement vêtues, qu’i
ndaient à d’autres bêtes ; et étant monté en coche, s’en alla avec la
reine
et toute la suite, au festin qui fut le plus magn
té en Mai ou en Juillet et Août. Le dimanche 15 Octobre, festin de la
reine
dans le Louvre ; et après le festin, le ballet de
jet de ce ballet, qui fut donné sous le titre de Ballet comique de la
reine
; il fut représenté dans la grande salle de Bourb
e la reine ; il fut représenté dans la grande salle de Bourbon par la
reine
, les princesses, les princes, et les plus grands
et il est plein d’inventions d’esprit ; il en communiqua le plan à la
reine
, qui l’approuva : enfin tout ce qui peut démontre
en eut une qui lui fut très supérieure, et qui ne l’a pas frappé. La
reine
et les princesses qui représentaient dans le ball
e ne sera-t-on pas fâché d’en trouver ici quelques-unes. Celle que la
reine
offrit au roi représentait un dauphin qui nageait
me. Ainsi la cour de France, troublée par la mauvaise politique de la
reine
, divisée par l’intrigue, déchirée par le fanatism
ne partageaient point avec eux des divertissements aussi délicats. La
reine
avait proposé au cardinal de Savoie, qui était po
e d’Aglié. Voyez Ballet. Il accepta avec respect la proposition de la
reine
, et il donna à Monceaux un grand ballet, sous le
l’orangerie, devaient faire retentir les airs pendant que le Roi, la
Reine
, et la famille royale, dans le salon du milieu, e
ompliment fut terminé par mille et mille cris de vive le Roi, vive la
Reine
, vive Monseigneur le Dauphin, vive Madame la Daup
e S. A. S. mademoiselle de Clermont, surintendante de la maison de la
Reine
. Ce fut elle, en effet, qui donna à S. M. cette m
éparer en secret le spectacle élégant dont elle voulait surprendre la
Reine
. Ainsi le soir du 12 Juillet 1729, en se promenan
t les deux statues qu’on voit aux deux côtés de la grille. Dès que la
Reine
parut, une symphonie harmonieuse se fit entendre
tres, qui en était suivie. Elle adressa les chants les plus doux à la
Reine
, en la pressant de goûter quelques moments les in
rent avec la fée une jolie scène, dont les traits légers amusèrent la
Reine
et la cour. Après ce début, les trois acteurs con
a Reine et la cour. Après ce début, les trois acteurs conduisirent la
Reine
dans les allées du labyrinthe ; l’illumination en
scriptions, aussi aisément qu’en plein jour. Au premier carrefour, la
Reine
trouva une troupe de jardiniers qui formèrent un
t un joli ballet mêlé de chants et de danses. Cette troupe précéda la
Reine
en dansant, et l’engagea à venir à la fontaine qu
bles de tous ces jolis bosquets jouèrent pendant tout le temps que la
Reine
voulut bien y rester ; et la réflexion des coups
et variait à tous les instants les charmes de cet agréable séjour. La
Reine
, après le ballet, passa dans le berceau couvert ;
égance de ses pas, présenta un bouquet de fleurs les plus belles à la
Reine
: les autres en offrirent à toutes les dames de l
atterie qu’on n’avait que faire d’elle pour célébrer les vertus d’une
Reine
adorée, qui comptait tous ses moments par quelque
ur comique, finit d’une manière plaisante cette partie de la fête. La
reine
et la cour arrivèrent dans la grande allée qui sé
danse, qui furent exécutés par les meilleurs danseurs de l’Opéra. La
reine
, après la comédie, rentra dans le Labyrinthe, et
fit donner à tous ces amusements le nom d’impromptu du labyrinthe. La
Reine
ignorait tout ce qui devait l’amuser pendant cett
u’une imagination aussi réglée que riante répandait sur les pas de la
Reine
la plus respectable, n’étaient que les prémices d
9 Mais, avant que l’on en soit là (Et toute la Cour dit cela), La
REINE
pourra, sans obstacle, Voir l’incomparable Specta
coutumière, Avec son maintien sans égal, Il finit ce Ballet Royal. La
REINE
, aussi sage que belle, Digne d’une gloire immorte
rs sont pointus. Au premier rang, il est bien juste De mettre notre
Reine
auguste, Dont l’agréable Majesté Est un modèle de
honnêteté, D’esprit, de grâce et de beauté. Des-Autels, Fille de la
Reine
, Fort aimable, mais inhumaine, Qui tient en Cour
haute puissance, Désirant agréablement Donner un divertissement À la
REINE
, que son coeur aime Aussi tendrement que lui-même
; surtout pendant la Régence de Catherine de Médicis. Outre que cette
Reine
avoit beaucoup de goût pour les fêtes de réjouiss
milieu d’un beau Bois de Futaye, pour la célébrité de cette fête : la
Reine
y fit couper & étayer des arbres, pour former
s il y avoit des tables de douze couverts chacune : celle du Roi, des
Reines
, des Princes & des Princesses du Sang, étoit
up d’œil toute l’assemblée pendant le repas. Les filles d’honneur des
Reines
vêtues très également, partie en Nymphes, partie
ines d’or, pour placer les Rois de France & d’Angleterre, avec la
Reine
, Madame de Bourgogne, tous les Princes & les
quoique le Roi en sortît à onze heures, avec le Roi d’Angleterre, la
Reine
, & tous les Princes du Sang, pour aller soupe
is ceci (J’en ai, de deuil, le cœur transi) Devant le Roi, devant les
Reines
, Qui sont de retour de Vincennes, On s’en fait, e
ne dis. J’ m’y coulai, non pas sans peine, Un peu devant qu’entrât la
Reine
: Mais n’ayant pas été placé Aussi bien que j’ava
éclairé, Et des Machines l’artifice Y fit dignement son office. Nos
Reines
, pleines d’un bon sens, Mais qui des plaisirs inn
e Veste De qui les enrichissements N’étaient que de purs Diamants. La
REINE
, en Sarmate charmante, En avait une autre éclatan
. Les corbeilles et les hottes sont pleines. Giselle est proclamée la
reine
de la vendange, couronnée de pampres et portée en
e fille pâle et froide comme un clair de lune sur la neige : c’est la
reine
des wilis. Du bout de son sceptre, elle trace dan
rbres, il en arrive de tous côtés. Quand l’assemblée est complète, la
reine
propose l’admission de Giselle, une nouvelle mort
capricieux ! La voici qui va d’un air soumis s’agenouiller devant la
reine
des wilis. On lui pose une étoile au front ; deux
— Ma baguette perd son pouvoir devant cette croix, c’est vrai, dit la
reine
avec un geste d’autorité ; mais toi, Giselle, tu
ntanée d’Hercule et d’Admète lui en permet l’exécution : il engage la
Reine
qui a les yeux fixés sur son vaisseau, de vouloir
y monter avec sa sœur et ses femmes, pour en examiner l’intérieur. La
Reine
, vivement sollicitée et par sa sœur et par le per
t aux frères Cognard. Voilà bien des éléments dont s’accommoderait la
Reine
des Carottes mais qui ne s’amalgament point avec
ut mettre les pieds. Étoiles de la danse, saluez Mme Alice Coonen, la
reine
aux cothurnes d’or qui font rentrer la cheville d
rait ? Mlle Daunt grande, blonde, blanche et rose, c’est Penthésilée,
reine
des amazones, c’est l’antique chasseresse, Antyop
-on dit, l’Auteur. Jeudi, bien des Gens y coururent, Nos deux sages
Reines
y furent Environ vers la fin du jour, Avec une as
et pour reconnaître celui auquel elle avait accordé ses faveurs, une
reine
des temps jadis s’était vue dans l’obligation de
isait-on dans l’avant-scène des troisièmes, — côté cour ou côté de la
Reine
, — réservée à celles de ces demoiselles, qui, aya
écits aussi coupables, l’union pure des nouveaux Époux, ordonna à ces
Reines
criminelles de disparaître. À sa voix les Amours
ble aux mœurs de la nation. Le masque a même la liberté de prendre la
Reine
du bal pour danser, quand ce seroit une Princesse
lurent. Le lendemain ce fait fut rapporté au dîner du Roi & de la
Reine
mere, par gens qui ignoroient qu’il eût été de la
ne partageaient point avec eux des divertissements aussi délicats. La
Reine
avait proposé au Cardinal de Savoie, qui était po
é, dont j’ai déjà parlé. Il accepta avec respect la proposition de la
Reine
, et il donna à Monceaux un grand Ballet, sous le
sœurs divines Aux corselets de guêpe, aux regards de houri …………….. O
reines
du ballet, toutes les trois si belles ! Qu’un Hom
pourtant, Se danse trois fois la semaine, Non chez le Roi, ni chez la
Reine
, Mais dans ce noble et charmant lieu, Digne séjou
jour-là, ce fut une doublure qui dansa à ma place, mais le Roi et la
Reine
ont dû croire que c’était moi qu’ils avaient vue.
ssistèrent pas, en effet, mais la Princesse avait invité le Roi et la
Reine
et toute leur suite, en limitant toutefois ses in
chore et Clio, s’approcha du globe, et il s’ouvrit. L’Europe vêtue en
Reine
en sortit la première suivie de ses filles, la Fr
n de cotillon. Que faut-il pour que Zambelli soit une « zingara », la
reine
des « zingaras » ? Un méchant fichu, une main cri
noy, et faisoit partie d’une fête de jour, que Monsieur, donnoit à la
Reine
. Cette heureuse bagatelle eut un succès complet.
tgart elle conquérait, avec la sympathie du public, l’affection de la
reine
. A Munich, où elle fut engagée au théâtre royal,
i exprime la nostalgie du ciel. La Gazette des Théâtres la nomme « la
reine
des airs qui fait honte à notre grossière nature7
mbres de l’aristocratie. Dans les cours allemandes on rendait à cette
reine
de théâtre les honneurs militaires. A Vienne, com
danse, a acquis cela qu’un roi dit à ses enfants de la saluer, qu’une
reine
l’admet à sa cour dans ses causeries intimes ! »
auté des trois Déesses, sa passion pour Hélène, l’enlèvement de cette
reine
, l’embrasement de la plus florissante ville de l’
n compagnie de jeunes gens fort distingués qui me suivaient comme une
reine
et me composaient gratis une brillante escorte. L
ancan comme personne : excepté Marguerite la huguenote, qui en est la
reine
. Ne fais pas la bêtise de me demander des détails
ions. Depuis que les Balets ont été rétablis en France, nos Rois, nos
Reines
& les grands Seigneurs n’ont pris que des per
s et les chanteuses qui exécutent les concerts chez le Roi et chez la
Reine
, sont appelés ordinaires de la Musique de la cham
pour se trouver ainsi, au titre d’invité, parmi tous ces rois et ces
reines
, tous ces princes et ces princesses ? Il avait ap
et leur suite : les femmes du Sérail précedent l’Em-pereur. La jeune
Reine
, Usbeck, Zélis et les Dervis l’accompagnent ; la
n aide-de-camp du roi entre dans leur loge, les supplie, au nom de la
reine
, de renoncer à leur macabre plaisanterie. Le régi
er : « Vous voyez que la reine de l’Opéra est mieux accueillie que la
reine
des Français elle-même. » Que de souvenirs amusan
nt favorable éloigne le batiment du rivage ; et c’est à Sparte que la
Reine
des Amours va conduire Paris. FIN. (1). Il y
u champagne à des filles !… La belle Clotilde Mafleuroy était une des
reines
de ces fêtes. C’était une grande, souple et super
ncé, chaste et gracieux, — digne de la Diane antique, — de Myrtha, la
reine
des willis, au second acte de Giselle. Hélas ! M
maintien au Conservatoire, où elle apprend à saluer et à marcher aux
reines
de la tragédie. Encore qu’elle soit née dans une
t, d’efforts et d’amertume. Ce fut, je crois, la dernière fois que la
reine
parut à l’Opéra. Une clameur sortit des vomitoire
e ! …. C’était le général X…, l’un des aides-de-camp des princes… La
reine
avait appris ce qui se préparait… Or, une tête hu
d’or ; Adorable Manon pour qui, dans les casernes, Ainsi que pour la
Reine
eût roulé le tambour, Pour qui, durant le bal et
longues suites. La Suède m’a beaucoup plu. J’y ai été fêtée en vraie
reine
. J’y ai vu ma bonne grand-mère et les frères de…
des premières danseuses, — l’unique en ce moment, — reçut le titre de
Reine
de la danse, qu’elle daigna partager, du reste, a
re. » Mademoiselle Desmatins se trouvait si belle dans ses habits de
reine
ou de magicienne, qu’elle les gardait souvent apr
ariage du Duc de Joyeuse avec Mademoiselle de Vaudémont sœur de cette
Reine
; toute la Cour, hommes & femmes, danserent d
obe, ou l’Europe étoit décrite, s’ouvrit, l’Europe en sortit vêtue en
Reine
avec cinq de ses filles, la France, l’Espagne, l’
de mort. L’honneur d’être présentées à des souverains était pour les
reines
de théâtre une des formes les plus convoitées de
ersonnelles et originales qui devaient faire de l’une d’elles une des
reines
de la danse. Il applaudit indifféremment Thérèse
au bal où la fête étoit préparée ; elle y dansa la premiere comme la
Reine
du bal. Cette illustre veuve étant sans ostentati
onne ne soupçonnât que l’héritier présomptif du trône de France et la
reine
de la danse avaient pu se trouver un instant ench
par la Gitana. L’article félicitait Marie Taglioni d’être devenue la
reine
de la danse terrestre, après avoir été la reine d
oni d’être devenue la reine de la danse terrestre, après avoir été la
reine
de la danse céleste. Il ajoutait que les spectate
, sous la figure d’un Petit-Maître ; l’Angleterre sous la forme d’une
Reine
majestueuse, &c. Les Anglais ont à Londres un
it à Paris, il fut étonné de voir Lisette et Marton métamorphosées en
reine
; il admira des progrès d’autant plus étonnants,
chanter, comme la Chonchon de la Grâce de Dieu : A l’Opéra, je serai
reine
! En satin j’aurai des souliers, Du vermeil, de l
orique de la Danse. 2. « Le dimanche 15 octobre 1581, festin de la
Reine
dans le Louvre, et après le festin, le Ballet de
moires de l’Étoile, tome premier, p. 150. Ce ballet, dans lequel la
Reine
, femme de Henri iii, la princesse de Lorraine, le
s de la Cour à Fontainebleau, en l’année 1664. Le roi Louis xiv. La
Reine
. Monsieur. Madame la comtesse de Soissons. M.
rt, &c. savoir : MM. Galand du Désert, maître à danser de la
Reine
. Prévôt, maître à danser du Roi. Jean Renaud, maî
favorables ; à côté du tableau est la fécondité, qui tournée vers la
Reine
, lui montre dans une corne d’abondance cinq petit
ont de cette Princesse iront jusqu’à ce nombre : dans la figure de la
Reine
on juge facilement par la rougeur de ses yeux, qu
re, à toi les applaudissements convulsifs du peuple, les couronnes de
reine
et les amours de prince ! ! » Les vingt-six repr
y Elssler. Il semblait qu’une fatalité farouche s’acharnât contre les
reines
du théâtre. Le Courrier des Théâtres fit appel au
roi d’Angleterre, c’est-à-dire sur monsieur le mari de sa majesté la
reine
d’Angleterre (nous tenons même en matière de cont
re place dans une loge au théâtre le plus près possible du mari de la
reine
, et là, attendre qu’il tombe à la renverse frappé
pas long. La Lorette partit. Les chapeaux se fanèrent, le mari de la
reine
brava l’éclair comme s’il eût été assuré par la c
ce genre autrefois ; mais le peu de succès de Manto la fée, et de la
Reine
des Péris, semblait l’avoir décrédité. Un auteur
. Sous la forme de Giannina, et reposant dans sa couche, elle voit la
reine
des Ondines s’approcher du lit où elle est étendu
onfondait dans une nuance indéfinissable et sans nom… Alors arrive la
reine
majestueuse de ces rivages ; elle sort de ces gro
sur le théâtre du Petit-Bourbon, en présence de Louis quatorze, de la
Reine
mere et de la Cour, la FestaThéatrale del la Fint
son temps de Balthazar Beaujoyeux qui régla le « Ballet Comique de la
Reine
» la même image mais renversée. C’est le chorégra
loire par delà les mers, Taglioni dansait chez nous ; Taglioni, votre
reine
à toutes, effaçait vos moindres traces, non dans
marchands, elle que les peuples d’Amérique avaient acclamée comme une
reine
! Elle fit appel. Le procès fut repris devant la
dit-on, qu’ayant enlevé un cœur royal à la pointe d’une cachucha, la
reine
des Grâces du lieu ne conservât assez longtemps s
prit le nom de Beaujoyeux, fut nommé valet-de-chambre du roi et de la
reine
sa mère ; il se rendit si illustre à la cour par
Glück et Piccini, la dispute des Bouffons et de Lulli, le coin de la
reine
et le coin du roi, les pamphlets, et les injures,
taquin ; — du feu, de la flamme, — la passion du moment, la fantaisie
reine
, le caprice flamboyant, le rayon méridional qui s
; les premières sont placées du côté du Roi, les autres du côté de la
Reine
. Voyez Chœurs. La partie des dessus à la chapelle
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