/ 151
1 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre III. Suite du Précédent »
rn, que de réjouissances et de galanteries. Le goût de Madame sœur du Roi pour ces divertissements lui était une ressource
lui offrait en Ministre Philosophe, et Henri IV les recevait en grand Roi . On lui annonça un jour, pendant une de ces Fêtes
elques Troupes, marcha à Amiens avec elles, et le premier. Les grands Rois donnent toujours leur ton aux Cours même des autr
. Les grands Rois donnent toujours leur ton aux Cours même des autres Rois . On dansa dans tous les États de l’Europe, parce
me endroit, que lorsqu’il ne se mêlait pas de ces divertissements, le Roi trouvait toujours qu’il y manquait quelque chose.
Dimanche 23 Février 1597, qui était le premier Dimanche de Carême, le Roi fit une Mascarade de Sorciers, et alla voir les c
2 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 25 septembre : Ballet dansé par le roi à Villers-Cotterêts — Lettres en vers à Madame la Duchesse de Nemours de la Gravette de Mayolas et Lettres en vers de Boursault »
oursault57 57. Ces gazettes mentionnent toutes le déplacement du roi à Villers-Cotterêts sans jamais pourtant évoquer
terêts sans jamais pourtant évoquer un quelconque ballet dansé par le Roi . Cependant, ils précisent qu’un bon nombre de div
s divertissements préférés de la cour, il n’est pas impossible que le roi fut en représentation.
3 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre II. Des Fêtes de la Cour de France, depuis 1560 jusqu’en l’année 1610 »
Mariage du Duc de Joyeuse et de Marguerite de Lorraine belle-sœur du Roi . En retraçant l’idée de la galanterie de ce temps
heures après midi en la Paroisse de Saint-Germain de l’Auxerrois. Le Roi mena la Mariée au Moustier suivie de la Reine, Pr
mémoire en France d’avoir vu chose si somptueuse. Les habillements du Roi et du Marié étaient semblables, tant couverts de
ux dix-sept Festins qui de rang et de jour à autre, par ordonnance du Roi , furent faits depuis les Noces, par les Princes e
rades, Présents, Devises, musique, Livrées, que le bruit était que le Roi n’en serait pas quitte pour douze cent mille écus
d’un grand Bac accommodé en forme de Char triomphant, dans lequel le Roi , Princes, Princesses et les Mariés devaient passe
ls, qui pendant le trajet devaient donner maints passe-temps, tant au Roi qu’à 50 000 personnes qui étaient sur le rivage ;
aire marcher les Animaux ainsi qu’on l’avait projeté, de façon que le Roi ayant attendu depuis quatre heures du soir jusqu’
as fâché d’en trouver ici quelques-unes. Celle que la Reine offrit au Roi représentait un Dauphin qui nageait sur les flots
rait sans doute une sorte de mérite, si le goût des plaisirs, sous un Roi efféminé95, n’y avait été poussé jusqu’à la licen
ond en 1573 pour célébrer le jour de la naissance de Charles IX où ce Roi et le Duc d’Anjou son frère soutinrent le combat
4 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre IV. Des Bals »
ilan, il ordonna un bal solennel où toute la noblesse fut invitée. Le Roi en fit l’ouverture ; les cardinaux de Saint-Séver
e d’esprit qui y rappela le plaisir. Pendant sa Régence, elle mena le Roi à Bayonne, où sa Fille Reine d’Espagne, vint la j
aça une Table de douze couverts dans chacun des Berceaux. La Table du Roi , des Reines, des Princes et des Princesses du San
les Berceaux et cachés par les Arbres se firent entendre, dès que le Roi parut. Les Filles d’honneur des deux Reines, vêtu
légamment partie en Nymphes, partie en Naïades, servirent la Table du roi . Des Satyres qui sortaient du bois, leur apportai
moisi, garnis de grandes crépines d’or. C’est là que furent placés le Roi , le Roi et la Reine d’Angleterre, Madame la Duche
arnis de grandes crépines d’or. C’est là que furent placés le Roi, le Roi et la Reine d’Angleterre, Madame la Duchesse de B
it Amphithéâtre séparé, où étaient placés les vingt-quatre Violons du Roi avec six Hautbois et six Flûtes douces. Toute la
s de cristal et quantité de Girandoles garnies de grosses Bougies. Le Roi avait fait prier par Billets tout ce qu’il y a de
ue je copie) sur une balustrade vis-à-vis l’Estrade où était placé le Roi . Je comptai que cette magnifique Assemblée pouvai
ourgogne prit le Roi d’Angleterre, lui la Reine d’Angleterre, elle le Roi , qui prit Madame de Bourgogne ; elle prit Monseig
îchissements, pendant tout le temps du bal qui dura toute la nuit. Le Roi en sortit à onze heures avec le Roi d’Angleterre,
5 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les fêtes modernes »
re de cet article nous désignons ces banquets extraordinaires que nos Rois daignent quelquefois accepter dans le sein de leu
C’est un doux spectacle pour un peuple aussi tendrement attaché à son Roi , de le voir au milieu de ses magistrats s’entrete
gnifiques qui se déployèrent le 15 Novembre 1744, jour solennel où le Roi , à son retour de Metz, vint jouir des transports
le, était Un arc de triomphe placé entre la maison appelée le coin du roi , et la maison qui fait encoignure sur la place du
e de relief de 48 pieds de face sur 28 pieds de haut, représentait le Roi couronné de laurier par une renommée placée debou
renommée placée debout dans un char tiré par quatre chevaux, dont le Roi tenait les rênes d’une main, et un bâton de comma
peint de différents marbres. Au-devant de l’attique et au-dessous du Roi , étaient écrits en lettres d’or sur un fond de ma
de cette fontaine : elle commença à couler au moment de l’arrivée du Roi à l’Hôtel-de-ville, et ne cessa qu’après son dépa
e cramoisi, enrichi d’un grand cartouche qui renfermait le chiffre du Roi . Toutes les croisées étaient garnies de rideaux d
amoisi : sur la cheminée, du côté de la chambre qui était destinée au Roi , était placé un riche dais, sur la queue duquel é
lons d’or, et des aigrettes de plumes blanches au-dessus. Le buste du Roi , en marbre blanc, était placé au-dessous de ce ta
ns qui devaient exécuter des morceaux de musique pendant le festin du Roi . Cet amphithéâtre était couvert tout-autour de da
de tapis de Turquie, et d’un double tapis de Perse à l’endroit où le Roi devait se mettre à table. La table pour le festin
ndroit où le Roi devait se mettre à table. La table pour le festin du Roi , que S. M. avait permis que l’on dressât avant so
té faite pour trente-deux couverts. Les appartements destinés pour le Roi , pour la Reine, pour Monseigneur le Dauphin, pour
croisées cintrées. Au-devant de la lucarne, au-dessus de la statue du roi , était un tableau transparent, avec une inscripti
le et dans tous les corridors. Marche du Roi. Sur les deux heures le Roi partit du château des Tuileries, ayant devant et
nt par-dessus le port pour se poster à la place aux Veaux. Lorsque le Roi fut arrivé près la barrière de l’Hôtel-de-ville a
galonné en argent, pour servir de garçons de la chambre, tant chez le Roi que dans l’appartement de Monseigneur le Dauphin.
nseigneur le Dauphin. Monseigneur le Dauphin qui était arrivé avec le Roi , de même que les princes et autres seigneurs, le
s des marchands et échevins s’étaient tenus dans la grande salle ; le Roi ordonna de les faire entrer, et M. le gouverneur
prévôt des marchands, qui était sorti un instant de l’appartement du Roi , y rentra, et eut l’honneur de dire à sa Majesté
entra, et eut l’honneur de dire à sa Majesté qu’elle était servie. Le Roi sortit de son appartement, passa dans la grande s
t se mit à table. Pendant le festin, l’ode qui avait été présentée au Roi fut exécutée ; et il y eut d’autres morceaux de m
dant le festin, M. le prévôt des marchands eut l’honneur de servir le Roi . Outre la table de sa Majesté, il y avait plusieu
nnes de considération, qui n’avaient pas été nommées pour la table du Roi . Il y avait aussi des tables pour les personnes d
du Roi. Il y avait aussi des tables pour les personnes de la suite du Roi , pour les gardes-du-corps, les pages, etc. Après
u Roi, pour les gardes-du-corps, les pages, etc. Après le festin, le Roi et Monseigneur le Dauphin passèrent dans leur app
le Roi et Monseigneur le Dauphin passèrent dans leur appartement. Le Roi regarda par ses croisées l’illumination de la pla
t. Après avoir considéré quelque temps l’illumination de la place, le Roi sortit de son appartement avec Monseigneur le Dau
it devoir ajouter à ces premiers détails, la description du souper du Roi à l’Hôtel-de-ville, le 8 Septembre 1745, après le
ope, est unanimement regardée comme l’école de l’Univers ! Souper du Roi en banquet royal dans l’Hôtel-de-ville, le 8 Sept
nt un genou à terre, et M. le prévôt des marchands fit un discours au Roi . Ces messieurs qui étaient vêtus de leurs robes d
eurs robes de velours, prirent aussitôt le devant, et conduisirent le Roi , la Reine, Monseigneur le Dauphin, Madame la Daup
phine, et Mesdames, dans la grande salle, et de-là à l’appartement du Roi , où ils eurent l’honneur d’être encore présentés
ppartement du Roi, où ils eurent l’honneur d’être encore présentés au Roi par M. le duc de Gesvres. Sur les huit heures et
eures et demie du soir, M. le prévôt des marchands demanda l’ordre du Roi pour faire tirer le feu d’artifice. On commença p
une brillante illumination, et au haut de l’artifice était un Vive le Roi , dont le brillant et la nouveauté frappa d’admira
tout à coup, et que les desseins ne perdirent rien à sa rapidité. Le Roi qui parut fort satisfait, vit tirer ce feu à la c
l’estrade de la grande salle et les tapis, pour dresser la table. Le Roi , après le concert, rentra dans son appartement ;
l’y suivirent, et M. le prévôt des marchands eut l’honneur de dire au Roi que sa Majesté était servie : alors le Roi, la Re
s eut l’honneur de dire au Roi que sa Majesté était servie : alors le Roi , la Reine et toute la famille royale, allèrent se
rent se mettre à table. La table contenait quarante-deux couverts. Le Roi et la Reine se mirent à table au bout du côté de
Roi et la Reine se mirent à table au bout du côté de l’appartement du Roi , dans deux fauteuils ; et sur le retour à droite,
ame la princesse de Conti, et ensuite toutes les dames de la cour. Le Roi et la Reine et la famille royale furent servis en
lle de vermeil. M. le prévôt des marchands eut l’honneur de servir le Roi . La salle était remplie de personnes de la premiè
d salle était telle. Etant d’usage d’appuyer les planchers lorsque le Roi honore de sa présence l’Hôtel-de-ville, il avait
ranches de fleurs. Au-devant de la cheminée, du côté de la chambre du Roi , était dressé un riche dais avec une queue, sur l
ressé un riche dais avec une queue, sur laquelle était le portrait du Roi . Le buste de marbre du Roi était au-dessous, sur
e queue, sur laquelle était le portrait du Roi. Le buste de marbre du Roi était au-dessous, sur une console dorée, posée su
partie de cette salle, auprès de la cheminée du côté de la chambre du Roi . Au bas, pour le souper, il y avait un petit buff
u bas, pour le souper, il y avait un petit buffet particulier pour le Roi et la Reine, et la famille royale. Après le soupe
eine, et la famille royale. Après le souper, qui dura deux heures, le Roi passa avec la Reine et la famille royale dans son
’or, retroussés en forme de pavillon, sous lequel était le chiffre du Roi en fleurs : au-dessous et sur l’entablement du pr
ses. Il a été donné par la ville de Paris plusieurs autres festins au Roi , à la Reine, à la famille royale. Jamais monarque
ouceur ; jamais peuples aussi n’ont été si tendrement attachés à leur roi . (B) Fête (Beaux-Arts) Fête, (Beaux-Arts)
agréables démonstrations de l’allégresse publique. Dans les cours des rois on sentit par cet exemple, que les mariages, les
ns, à l’accomplissement de ses vues. Pendant sa régence, elle mena le roi à Bayonne, où sa fille reine d’Espagne, vint la j
aça une table de douze couverts dans chacun des berceaux. La table du roi , des reines, des princes et des princesses du san
les berceaux et cachés par les arbres, se firent entendre dès que le roi parut. Les filles d’honneur des deux reines, vêtu
légamment partie en nymphes, partie en naïades, servirent la table du roi . Des satyres qui sortaient du bois, leur apportai
es chariots étaient ceux qui allaient représenter un ballet devant le roi , et qui formaient par cet arrangement un premier
ontrés ainsi à une multitude innombrable, ils arrivèrent au palais du roi où ils dansèrent un grand ballet allégorique. La
sur Alithie, compagne inséparable du plus sage et du plus éclairé des rois . Après ce récit, le vieillard accompagné de trois
nos numerus sumus, etc. n’est pas moins cependant le vrai trésor des rois  : il est, par son industrie et sa fidélité, cette
mariage du duc de Joyeuse et de Marguerite de Lorraine, belle-sœur du roi . Je ne fais au reste que copier d’un historien co
heures après midi en la paroisse de Saint-Germain de l’Auxerrois. Le roi mena la mariée au moutier, suivie de la reine, pr
mémoire en France d’avoir vu chose si somptueuse. Les habillements du roi et du marié étaient semblables, tant couverts de
ux dix-sept festins qui de rang et de jour à autre, par ordonnance du roi , furent faits depuis les noces, par les princes,
rades, présents, devises, musique, livrées, que le bruit était que le roi n’en serait pas quitte pour cent mille écus. Le m
d’un grand bac accommodé en forme de char triomphant, dans lequel le roi , princes, princesses, et les mariés devaient pass
ls, qui pendant le trajet devaient donner maints passe-temps, tant au roi qu’à 50000 personnes qui étaient sur le rivage ;
re marcher les animaux, ainsi qu’on l’avait projeté ; de façon que le roi ayant attendu depuis quatre heures du soir jusqu’
as fâché d’en trouver ici quelques-unes. Celle que la reine offrit au roi représentait un dauphin qui nageait sur les flots
rait sans doute une sorte de mérite, si le goût des plaisirs, sous un roi efféminé, n’y avait été poussé jusqu’à la licence
llets, des bals, des mascarades, de toutes les fêtes, en un mot, d’un roi aussi aimable que grand, et qui méritait à tant d
es grands spectacles de ce temps, qui étaient les seuls amusements du roi et des courtisans français, ne furent que des fro
mauvais goût, s’empara pour lors sans contradiction du palais de nos rois . On croyait s’y être bien réjoui, lorsqu’on y ava
pour lors chargé en France des négociations de sa cour, de donner au roi une fête de ce genre. La nouvelle s’en répandit,
ire. La fête brillante que ce ministre donna dans son palais au jeune roi , le 26 Février 1651, justifia le choix qu’il avai
la découpure de la salle, d’une adresse assez singulière, pour que le Roi et toute la cour pussent voir d’un coup d’œil le
dans le cours de ce superbe spectacle. Aussi vit-on Zulisca amuser le roi , plaire à la cour, mériter les suffrages de tous
nu, comme l’avait été celui de ses prédécesseurs ; il semblait que le Roi ne se servit que de la même main pour faire éclat
et modeste (M. de Bonneval, pour lors intendant des menus-plaisirs du Roi ), qui avait eu la plus grande part à l’exécution
e Bonneval, mis en musique par M. de Blamont surintendant de celle du Roi , auteur célèbre des Fêtes grecques et romaines :
récédente. Voyons en peu de mots ce qu’il avait déterminé d’offrir au roi , dans l’espérance où l’on était de la naissance d
de vue. Tous ces beaux préparatifs avaient pour objet l’amusement du Roi , de la famille royale, et de la cour, qui devaien
divers habitants de cette belle partie de l’univers. Au moment que le roi serait arrivé, cinquante vaisseaux équipés richem
coins de l’orangerie, devaient faire retentir les airs pendant que le Roi , la Reine, et la famille royale, dans le salon du
beaux portiques, un magnifique opéra, qui, au moment de l’arrivée du roi , aurait commencé son spectacle. Au sortir du gran
cé son spectacle. Au sortir du grand théâtre, la cour aurait suivi le Roi sous tous les portiques : les étoffes, le goût, l
us œuvre, et exerça l’adresse féconde du sieur Arnoult, machiniste du roi , aidée des soins actifs de l’ordonnateur et du zè
nôtre. M. Blondel de Gagny, Intendant pour lors des menus-plaisirs du Roi , seconda tout le zèle de l’ordonnateur. Par malhe
yaume des moyens éclatants de signaler son zèle et son amour pour nos rois . L’histoire de tous les règnes rappelle aux Paris
s citoyens, pour qu’on puisse craindre à son égard d’en trop dire. Le Roi , toute la famille royale lui firent espérer d’hon
lieu ; elle était du dessein de feu M. Gabriel, premier architecte du Roi  : la première était du chevalier Servandoni. Déc
Le concert commença d’une manière vive et bruyante, au moment que le Roi parut sur son balcon ; il se fit entendre tant qu
Août, M. Turgot voulut encore donner un nouveau témoignage de zèle au Roi , à madame Infante, et à la famille royale. Il éta
zèle et sa magnificence ; ainsi la convalescence du plus chéri de nos Rois , son retour de Metz (voyez Festins royaux), nos v
atriotes, dans les circonstances, où leur amour pour le sang de leurs rois a la liberté d’éclater. On verrait dans le même t
e nos beaux ports de mer, dans les circonstances où le bonheur de nos rois , ou la gloire de la patrie, leur ont fourni les o
langage. Le compliment fut terminé par mille et mille cris de vive le Roi , vive la Reine, vive Monseigneur le Dauphin, vive
se retira ensuite aux flambeaux, et se rendit à l’Hôtel des Fermes du roi . Cet hôtel compose une des façades latérales de l
it dont tous les Bourbons sont animés, qui produisit lors du sacre du Roi en 1725, ces fêtes éclatantes à Villers-Cotterêts
quelques détails qu’on a rassemblés d’après les mémoires du temps. Le Roi après son sacre partit de Soissons le 2 de Novemb
un tel ordre, qu’ils laissaient toute la liberté du passage. Quand le Roi fut sur son balcon, ayant auprès de sa personne u
x voisins, et par des cavaliers du même ordre, divertirent d’abord le Roi . Les danseurs de corde commencèrent ensuite leurs
ts variés de la plus surprenante agilité. Après ce divertissement, le Roi voulut voir courir la bague de plus près ; alors
de Pesé, se distinguèrent. Après avoir été témoin de leur adresse, le Roi remonta et se mit au jeu. Des que la partie du Ro
e leur adresse, le Roi remonta et se mit au jeu. Des que la partie du Roi fut finie, les Comédiens-Italiens donnèrent un im
de village, qui avançait en dansant vers la terrasse, sur laquelle le Roi était ; Thévenard marchait à la tête de la troupe
ntaient le marié et la mariée. Ce petit ballet fut suivi du souper du Roi et de son coucher. M. le régent, M. le duc de Cha
ang et les principaux officiers de S. M. le suivirent : l’équipage du Roi pour le sanglier, commandé par le marquis d’Ecque
inte qu’on avait formée près du jardin de l’orangerie. Pour placer le Roi et toute sa cour, on avait construit trois galeri
’à la contre-allée du parterre. La galerie du milieu préparée pour le Roi avait douze toises de longueur et trois de largeu
ressemblait assez à un dais qui servait de couronnement à la place du Roi . Le plancher était couvert de tapis de Turquie, a
spectateurs, qui ne pouvaient pas tous avoir place sur la galerie du Roi . Ces deux galeries étaient décorées de feuillages
précautions infinies, pour prévenir les moindres dangers. Dès que le Roi fut placé, on lâcha l’un après l’autre cinq sangl
n épieu. Le comte de Saxe se distingua beaucoup dans cette chasse. Le Roi ayant blessé un sanglier d’un dard qu’il lui lanç
oup S. M. et toute la cour, dura jusqu’à une heure après midi, que le Roi rentra pour dîner. Chasse du cerf. Après le dîne
heval. Le cerf fut chassé pendant plus de deux heures par la meute du Roi  ; le comte de Toulouse, grand veneur de France, e
t les chiens, alla donner de la tête contre une grille, et se tua. Le Roi revint sur les cinq heures dans son appartement,
les chargées de bougies. On voyait au haut de ce théâtre les armes du Roi groupées avec des guirlandes de fleurs ; le chiff
tienne : c’étaient des courtisans, qui se démasquèrent d’abord que le Roi parut. La sixième, intitulée Ducreux et Baraillon
la Chine, du Japon et des Indes, qui faisaient partie des lots que le Roi devait tirer. Javilliers père, et la Mangot, en h
rité inexprimables. Tel est toujours l’effet des beaux contrastes. Le Roi suivi de sa cour, entrant dans ce lieu enchanté,
y amusa quelque temps, et joua au hoca et au biribi. Après le jeu, le Roi alla au théâtre du docteur Barry : Scapin commenç
e Trivelin expliquait en français, pendant que Flaminia présentait au Roi , dans un mouchoir de soie, les raretés que lui of
lui fut offert ; Scapin l’accompagna de ce discours qu’il adressa au Roi  : Voilà des tablettes qui renferment le trésor d
les. Flaminia eut encore l’honneur de présenter deux autres bijoux au Roi  ; un cachet précieux et d’une gravure parfaite, c
rmain et Saint-Laurent, dans les temps où elles sont belles. Enfin le Roi , après avoir été longtemps diverti par la variété
irée, occupa Sa Majesté jusqu’à près de neuf heures du soir. Alors le Roi passa sur le parquet de la salle du bal, située a
et, qui avait composé tous les airs de ces danses, chanta un récit au Roi . Après ce récit la suite de Terpsichore se montra
agnaient ; ce qui causa une surprise très agréable. Après ce chœur le Roi alla souper, et les masques s’emparèrent de la sa
précis assez détaillé dans quelques autres articles. Voyez Sacre des Rois de France [Article non rédigé], Illumination [Art
 : hé ! sandis, je meurs de faim ; on vit donc de l’air à la cour des rois de France? A ces deux originaux, en succédèrent q
le avait été composée par feu Coypel, qui est mort premier peintre du Roi , et qui a laissé après lui la réputation la plus
t-Aignan devait faire un jour pour servir l’état et pour plaire à son Roi . M. de Blamont, chevalier de l’ordre de Saint-Mic
naître qu’autant qu’ils m’ont paru liés aux grands spectacles que les rois , les villes, les provinces, etc. offrent aux peup
phe en l’honneur du mariage de Monseigneur le Dauphin, fils unique du Roi , et de madame infante d’Espagne. 6. Arrivez, aug
6 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1661 — 19 février : Ballet de l’Impatience — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 19 février 1661 »
Loret, lettre du 19 février 1661 Dans fort peu, le Ballet du Roi , Fort divertissant, sur ma foi, Qu’on intitule (q
e ; Et, foi de sincère Normand, Le tout me parut si charmant, Que, du Roi , l’auguste prestance, Des Princes et Seigneurs la
t, Baptiste. L’inimitable Sieur Geoffroy Fit, bien de fois, rire le Roi , Ayant un béguin sur l’oreille, Et faisant l’aveu
tenant que j’écris ceci (J’en ai, de deuil, le cœur transi) Devant le Roi , devant les Reines, Qui sont de retour de Vincenn
7 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre V. De l’usage de la Danse grave & sérieuse, convenable aux Bals de cérémonie. » pp. 112-145
pplication qu’à la Pyrrhique. Mezeray rapporte aussi que nos premiers Rois donnoient des festins & des bals militaires à
doit plutôt croire qu’il ne voulut pas donner cette satisfaction à ce Roi , qui passoit pour le Tiran de Siracuse ; au lieu
e de bien suivre la cadence des instrumens, & de danser devant ce Roi une danse convenable à son caractere ; ce qui lui
personnes de considération sortirent du bal, comme par mépris pour le Roi , ne pouvant soufrir cette indignité dans un bal d
ortir, sans coup férir. Cette histoire fit grand bruit dans Paris, le Roi la sçut ; & sans la faveur, il eût envoyé à l
t, tous les Chefs du Concile par délibération convinrent de donner au Roi une fête galante, & digne de la magnificence
s lesquels il y avoit des tables de douze couverts chacune : celle du Roi , des Reines, des Princes & des Princesses du
s Marchands & les Echevins s’aviserent de présenter un Mémoire au Roi , pour le prier de leur accorder un petit droit su
zade dans un petit verre, à la santé des Cantons. Après la maladie du Roi en 1684, Sa Majesté voulant venir à Notre-Dame po
e Gouverneur de Paris & le Prevôt des Marchands allerent prier le Roi d’honorer l’Hôtel de Ville de sa présence, pour y
norer l’Hôtel de Ville de sa présence, pour y dîner à son retour : le Roi l’accepta, & y fut régalé avec toute la Cour,
urprenante. Le dîné fut suivi d’un bal de cérémonie ; Monseigneur fut Roi du bal, & Madame la Dauphine la Reine : cette
nificence peuvent servir de modele à toutes les Cours de l’Europe. Le Roi fit partager en trois la Galerie de Versailles, p
de velours cramoisi, garnis de grandes crépines d’or, pour placer les Rois de France & d’Angleterre, avec la Reine, Mada
un petit amphithéâtre séparé, pour placer les vingt-quatre Violons du Roi , avec six Haubois & six Flutes douces. Toute
cristal, & quantité de girandoles garnies de grosses bougies. Le Roi avoit fait prier par billets tout ce qu’il y a de
tois appuyé sur une balustrade, vis-à-vis l’estrade où étoit placé le Roi , je comptai que cette magnifique assemblée pouvoi
Roi d’Angleterre pour danser ; lui, la Reine d’Angleterre ; elle, le Roi , qui prit Madame de Bourgogne ; elle prit Monseig
emens, pendant tout le tems du bal qui dura toute la nuit, quoique le Roi en sortît à onze heures, avec le Roi d’Angleterre
mp; tous les Princes du Sang, pour aller souper ; mais pendant que le Roi y fut, on n’y dansa que des danses graves & s
8 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre quatrième — Chapitre III. Dispute entre Pylade et Hylas. »
s’agissait de représenter Agamemnon. Pour exprimer la grandeur de ce Roi , le jeune pantomime entre sur la scène avec un co
s plus grandes choses, qu’il voyait, qu’il pesait, qu’il comparait en Roi . Les Spectateurs frappés de la justesse, de la di
roidement Pylade en s’adressant à Hylas, nous avions à représenter un Roi , qui commandait à vingt Rois. Tu l’as fait long :
ant à Hylas, nous avions à représenter un Roi, qui commandait à vingt Rois . Tu l’as fait long : je l’ai fait grand. L’Emper
9 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre IV. De la Danse des Balets des Anciens & des Modernes, avec quelques descriptions des plus singulieres, & de l’origine de la danse Théâtrale. » pp. 70-111
s, sous le régne de Louis XIII. l’invention de tous les Balets, où le Roi dansa au Louvre avec toute sa Cour. Ce Duc étoit
fit un Balet de la prospérité des armes de la France, dans lequel le Roi devoit danser masqué avec toute sa Cour ; mais co
ec toute sa Cour ; mais comme depuis long-tems on n’avoit point vû de Rois danser sur le Théâtre à Paris, ou peut-être point
être comme une longue fête, après de longs travaux : non seulement le Roi & son grand Ministre qui ont tant veillé &
Cette convocation a fait beaucoup d’honneur à la danse. Au mariage du Roi en 1659, il dansa avec tous les Seigneurs & D
ec tous ses agrémens, de même qu’il avoit été représenté à Venise. Le Roi en 1664 fit encore faire un Balet, dont le sujet
par rapport à ses nouvelles amours : il fut représenté au Louvre ; le Roi y dansa encore masqué dans les trois Entrés, avec
let de chevaux. Balet d’Eléphans. Balet des Passions, dansé devant le Roi . Balet du Tems, dansé par le Roi. Balet des Plais
Balet des Passions, dansé devant le Roi. Balet du Tems, dansé par le Roi . Balet des Plaisirs, dansé par le Roi. Les Plaisi
oi. Balet du Tems, dansé par le Roi. Balet des Plaisirs, dansé par le Roi . Les Plaisirs troublez, Mascarade donnée au Roi p
laisirs, dansé par le Roi. Les Plaisirs troublez, Mascarade donnée au Roi par M. le Duc de Guise. L’Amour malade, Balet du
L’Amour malade, Balet du Roi dansé par Sa Majesté. Balet dansé par le Roi . Balet d’Alcibiade, dansé par le Roi. Balet de la
r Sa Majesté. Balet dansé par le Roi. Balet d’Alcibiade, dansé par le Roi . Balet de la Raillerie, dansé par Sa Majesté. Bal
e la Raillerie, dansé par Sa Majesté. Balet de Vincennes dansé par le Roi . Balet d’Hercule, dansé au mariage du Roi. Balet
t de Vincennes dansé par le Roi. Balet d’Hercule, dansé au mariage du Roi . Balet des Amours déguisez, dansé par le Roi. Bal
ule, dansé au mariage du Roi. Balet des Amours déguisez, dansé par le Roi . Balet de Flore, dansé par le Roi. Pomone. Les pe
t des Amours déguisez, dansé par le Roi. Balet de Flore, dansé par le Roi . Pomone. Les peines & les plaisirs d’amour. L
e ; ce qui termina le Balet. Une partie des Entrées fut dansée par le Roi  ; les Princes & les Princesses, avec les plus
es plus grands Seigneurs de la Cour, étoient de ces Entrées. Comme le Roi en avoit fait la dépense, rien ne fut épargné pou
s Nations du monde vinrent en ordre par la Tamise, jusqu’au Palais du Roi , pour rendre leurs hommages à la vérité. C’est un
’un si pesant fardeau sur Alithie qui demeuroit dans cette Isle où le Roi l’avoit reçûe si favorablement. Ayant fini son ré
10 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 25 septembre : Ballet dansé par le roi à Villers-Cotterêts — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 4 octobre 1665 »
i très joliment s’escrime De la Plume pour faire Rime, Par l’ordre du ROI fit les Vers, Un autre composa les Airs,58 Et ce
moiselles d’Elbeuf, d’Arquien et Longueval. GENTILHOMMES DU PAYS : Le Roi et le Marquis de Villeroy. FEMME DU CAPITAINE DU
qui de Pleumartin et le Sieur Coquet. GOUVERNEURS DE LA PROVINCE : Le Roi  ; sa Femme : Madame ; son Frère : le Marquis de V
11 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre VI. De l’origine des Bals masquez. » pp. 146-160
ng, quoique non masquée ; comme je l’ai vû arriver dans un bal que le Roi donnoit à Versailles, par un masque déguisé en pa
é de l’entrée du bal pendant le Carnaval, d’un incident qui arriva au Roi chez M. le Président de N.… qui donnoit un bal da
u sujet du mariage d’un de ses fils, il y a près de cinquante ans. Le Roi qui se plaisoit quelquefois à courre le bal incog
entrer les masques que par billets, refuserent l’entrée à la bande du Roi , quoiqu’il fût une heure après minuit. Sur ce ref
respect à toute l’assemblée : M. de Louvois qui étoit de la troupe du Roi , tira M. de N … à part ; & s’étant démasqué,
encore M. de N … mais le mal n’alla pas plus loin, par la prudence du Roi , qui calma le ressentiment des Princes & des
nt qu’ils le voulurent. Le lendemain ce fait fut rapporté au dîner du Roi & de la Reine mere, par gens qui ignoroient q
tout le monde s’étoufoit pour sortir ; quelques-uns crioient sauve le Roi  : la Duchesse de Berry qui étoit avertie de cette
a Duchesse de Berry qui étoit avertie de cette Mascarade, reconnut le Roi , le couvrit de sa robbe, & le préserva bien d
12 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1670 — 4 février : Divertissement royal, Les Amants magnifiques — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 22 février 1670 »
le Dieu Marin, Neptunus, Parut le Patron du Parnasse, Qui, dans notre Roi , se retrace, Ainsi qu’en son grand Lieutenant, Bi
Sur ce que ce grand Gradué, Fait ces livres-là, d’ordinaire, Etant du Roi , Pensionnaire. Il approuvera, je crois, bien, Q
i l’Italie, Pour travailler, en bel arroi, À ces grands Spectacles de Roi , Avait de ses savantes Veilles, Tirés les charman
13 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1661 — 19 février : Ballet de l’Impatience — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 5 mars 1661 »
oit, un peu félonnes, Eussent animé contre moi Cet ardent Officier du Roi  ; Je m’étais (outré de colère) Plaint de son proc
ime.   Ledit Ballet je revis, donc, Agréable s’il en fut, onc, Où, du Roi , la belle prestance, L’air noble, la taille et la
14 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XV, quelques souverains » pp. 160-177
me pour le drapeau persan « profané » par moi. Mes relations avec un roi nègre. — A l’exposition coloniale de Marseille, e
que achevé. Lorsqu’ils furent proches, je m’exclamai : — On dirait un roi de contes de Fées ! Ils passèrent devant nous et
enez, je vais vous présenter. J’étais ravie. Lorsque je fus devant le roi , je dis tranquillement à mes amis, à voix distinc
ils sont tous taillés sur ce modèle-là en Afrique ! On me présenta au roi , il me tendit la main et jugez de mon effarement
cevoir le souverain. — Quand commencera la cérémonie ? demandai-je au roi , dès qu’il fut arrivé. — Nous dirons nos prières
u coucher du soleil. Tandis que le jour baissait, je remarquai que le roi et les gens de sa suite regardaient le ciel, tout
tout autour d’eux, et je me demandai pourquoi. Voyant ma surprise le roi me dit qu’ils cherchaient à s’orienter pour recon
t que la ligne. C’était vraiment très, très beau. Après la prière, le roi me raconta que son père avait été détrôné, puis e
avait été nommé chef de sa tribu, car en réalité il n’y avait plus de roi . Il était sujet français et dans son pays, tribut
ra faillit ne pas me voir. — Un matin les journaux annoncèrent que le Roi et la Reine d’Angleterre allaient passer quelques
ourtant, elle resta à l’Hippodrome jusqu’à quatre heures et demie. Le Roi alla seul chez le peintre, et elle arriva en reta
15 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1668 — 18 janvier : Le Carnaval ou La Mascarade royale du Carnaval — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 21 janvier 1668 »
r ou petit Livre Qui se vend, je pense, une livre Chez l’Imprimeur du Roi , BALLARD. Où vous verrez, de part en part, Le res
Qui, des Muses favorisé, Fait toujours miracle, à mon gré. 91. Le Roi , les Comtes d’Armagnac et de Vaudemont, les Marqu
16 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 13 février : Le Ballet de Flore — Lettre en vers et en prose au Roi de la Gravette de Mayolas — La Gravette de Mayolas, lettre du 21 février 1669 »
sième. La quatrième, le Printemps, Avec l’amour et les doux vents. Le ROI terminant la dernière, Avec sa grâce coutumière,
out le monde, Qui louait, aussi bien que moi, L’éclat et l’adresse du Roi . 106. En quatre Quadrilles.
17 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre VI. De la Danse des Funérailles. »
ances solennelles, de tristesse et de deuil. Dans les funérailles des Rois d’Athènes38 une troupe d’Élite vêtue de longues r
archaient lentement et en mesure en chantant des vers à la louange du Roi mort. Cette Pompe était suivie d’un grand nombre
18 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1661 — 19 février : Ballet de l’Impatience — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 26 février 1661 »
]té qu’accompagne, Un certain Breton de Bretagne, Officier moderne du Roi , Ce me semble, nommé Taloi, Qui par caprice, ou p
’Impatience, Qui me parut, en bonne foi, Digne d’un illustre et Grand Roi  : Ses seize admirables Entrées Par moi, de près c
tir, on trouva telles Qu’un chacun les jugea très belles. Ce fut le Roi qui commença, Et si parfaitement dansa, Qu’il rav
19 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1662 — 7 février : Ercole Amante — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 11 février 1662 »
ttre du 11 février 1662 Le sept du mois, Mardi passé, Le Ballet du Roi fut dansé, Mêlé d’un Poème tragique, Chanté, tout
trées, La moindre valant vingt bourrées : Et dont Louis, la Fleur des Rois , Paraît à la tête de trois ; Que dis-je, trois ?
récédente Altesse, Savoir Alençon et Valois, Extraites du Sang de nos Rois . De Soissons, la Comtesse aimable, Dont la grâc
ose, Et je vais parler d’autre chose. 22. Bouti. 23. Imprimeur du Roi pour la Musique.
20 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre I. Des Fêtes dont la Danse a été le fond à la Cour de France, depuis l’année 1610 jusqu’en l’année 1643 »
rait comparer l’espèce particulière d’hommes qui peuplent la Cour des Rois , aux différentes parties qui composent ces beaux
us les grands Ballets de ce temps qui étaient les seuls amusements du Roi et des Courtisans, ne furent que de froides allus
s mauvais goût s’empara pour lors sans contradiction du Palais de nos Rois . On croyait s’y être bien réjoui, lorsqu’on y ava
pour lors chargé en France des négociations de sa Cour, de donner au Roi une fête de ce genre. La nouvelle s’en répandit,
justesse dans les choses de pur agrément par le Ballet qu’il donna au Roi dans le Palais Cardinal le 7 Février 1641 : il eu
er doit être une longue Fête après de longs travaux. Non seulement le Roi et son grand Ministre qui ont tant veillé et trav
exercices sur des rhinocéros. Plusieurs Admirateurs des conquêtes du Roi dansèrent la dernière Entrée avec la Gloire qui s
21 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1662 — 7 février : Ercole Amante — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 25 février 1662 »
tes d’armes, Qui pour nous étaient de doux charmes ; Dans ce Camp, le Roi secondé24 De l’Altesse du Grand Condé25 (Un des
doute, Car, alors, je ne verrai goutte. Ce Ballet du plus Grand des Rois Eût été dansé plus de fois, Mais à la requête et
t cassé, Ne serait jamais plus dansé. 24. J’ai dit ailleurs que le Roi 25. représentait Mars en cette Entrée 26. et Mr
22 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre V. » pp. 37-55
e Cardinal le fit représenter au Château de Vincennes, en présence du Roi et de sa cour. Il faut considérer que cet opéra f
e la musique étoit confiée à Cambert, Sous-Intendant de la musique du Roi . Mais au milieu de tant de spectacles on distingu
re. Cette fête extraordinaire étoit destinée à célèbrer le mariage du Roi , et sa paix avec l’Espagne. Ce spectacle avoir, p
Mazarin tomba dangereusement malade ; mais avant de mourir, il fit au Roi un présent inestimable ; il lui légua Colbert son
eux ministère. La mort de Mazarin ne fit pas une grande sensation. Le Roi fut enchanté d’être délivré d’un Mentor incommode
e la peinture, de la sculpture et de l’architecture, il fit agréer au Roi l’etablissement d’une Académie à Rome ; on y fit
courager les sciences. Rien n’est indifférent au génie. Il proposa au Roi l’établissement d’une Académie des Sciences, et s
rent la vertu, les talens et le génie ; il fit tout pour la gloire du Roi , le bonheur du peuple, et l’illustration des scie
Ses ennemis augmentèrent sa gloire, et le rendirent aussi cher à son Roi qu’a la nation dont il fut constamment l’idole. L
és en femmes, car la danse alors n’étoit cultivée qu’à la cour, et le Roi s’étant déclaré on faveur de cet art, qu il exerc
). Ce Ministre qui faisoit honneur à la France, qui avoit rendu a son Roi des services signalés, éprouva comme Sully l’ingr
23 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre VI. Des Mascarades »
ite de trouver place dans l’Histoire des Arts. Les Mascarades que les Rois Charles IX, Henri III, Henri IV et Louis XIII ont
arin le 2 Janvier 1655 dont était Louis XIV. C’est la première que le Roi ait dansée. Le Carnaval de Benserade, qu’on exécu
24 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 13 février : Le Ballet des Amours déguisés — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 16 février 1664 »
écider, Leur fait accepter pour Arbitre Louis, qui mérite le titre Du Roi qui le plus judicieux Qui soit sous la rondeur de
itre Du Roi qui le plus judicieux Qui soit sous la rondeur des Cieux, Roi , qui dans la fleur de son âge Est aussi charmant
Ballets de Sa Majesté, Si quelqu’un s’en venait me dire, Et fut-ce le Roi notre Sire, As-tu rien vu de si mignon ? Je dirai
ant dire. 31. Tous trois de la Troupe 32. des grands Comédiens du Roi . 33. Mademoiselle d’Aumale. 34. Mesdem. Hilaire
25 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIV, la princesse marie » pp. 146-
ccasion ne s’est plus présentée. La Princesse me demanda encore si le Roi et la Reine d’Angleterre m’avaient vue danser : —
ours où j’étais engagée par ailleurs. Pendant une de mes absences, le Roi et la Reine d’Angleterre, qui étaient alors le Pr
héâtre. Ce jour-là, ce fut une doublure qui dansa à ma place, mais le Roi et la Reine ont dû croire que c’était moi qu’ils
Ils n’y assistèrent pas, en effet, mais la Princesse avait invité le Roi et la Reine et toute leur suite, en limitant tout
Le souper était prêt depuis déjà longtemps et la séance finit là. Le roi me demanda, il m’en souvient, si je pouvais danse
ns vingt fois et nous avions terminé par les danses lumineuses que le roi n’avait jamais vues. Tout le monde, cela va sans
26 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1668 — 18 juillet : Le Grand Divertissement royal ou les Fêtes de Versailles — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 14 juillet 1668 »
r on travaille À mettre tout en bel arroi Pour ce charmant Plaisir du ROI . 100. Préparation du Grand Divertissement
27 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1660 — 20 ou 22 novembre : Xerxès — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 11 décembre 1660 »
ts et la Comédie Se pouvaient nommer, sur ma foi Un divertissement de Roi  : Mais, à parler en conscience, J’eus bien besoin
28 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 3 janvier : Les Amours de Jupiter et de Sémélé — La Muse de la Cour à son Éminence Monseigneur le Prince Orsini d’Adrien Perdou de Subligny — Subligny, dixième semaine, lettre du 18 janvier 1666 »
Subligny, dixième semaine, lettre du 18 janvier 1666 Le ROI ces jours passés vit les grandes Machines Des Com
29 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les artistes de l’opéra »
r. Les chanteurs et les chanteuses qui exécutent les concerts chez le Roi et chez la Reine, sont appelés ordinaires de la M
chez la Reine, sont appelés ordinaires de la Musique de la chambre du Roi . Lorsque Louis XIV donnait des fêtes sur l’eau, i
couvrir, mais seulement à ceux qui chantent. Il y a à la chapelle du Roi plusieurs castrati qu’on tire de bonne heure des
es capitaineries, et leur parlait quelquefois avec humanité. Ce grand roi prenait plaisir à consoler ces malheureux de la b
30 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVI, autres souverains » pp. 178-
e les monarques ou que la foule. Certains sentiments, eux aussi, sont rois . A Nice, au Riviera Palace Hôtel, je découvris, c
avoir lieu à l’hôtel, en l’honneur d’un grand-duc de Russie, de deux rois et d’une impératrice. Je me souviens que la Patti
tait-il donc pour se trouver ainsi, au titre d’invité, parmi tous ces rois et ces reines, tous ces princes et ces princesses
as, il fit les présentations. J’appris alors qu’il était le fils d’un roi de l’industrie internationale et des plus connus
31 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre II. Des Fêtes du même genre dans les autres Cours de l’Europe »
es chariots étaient ceux qui allaient représenter un Ballet devant le Roi , et dont on formait par cet arrangement un premie
ontrés ainsi à une multitude innombrable, ils arrivèrent au Palais du Roi , où ils dansèrent un grand Ballet allégorique. L
sur Alithie compagne inséparable du plus sage et du plus éclairé des rois . Après ce récit, le Vieillard, accompagné des tro
32 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 3 août : Ballet du Temps accompagnant la tragédie de collège Gusmans — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 8 août 1666 »
rtisans des beaux Esprits, MARDI, l’on délivra les Prix Fondés par le Roi notre SIRE, Qui des LETTRES chérit l’Empire, Pour
33 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1670 — 14 octobre : Le Bourgeois Gentilhomme — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 18 octobre 1670 »
tes, Comme on sait, dans leur noble Emploi, Pour divertir notre Grand Roi , L'un, par sa belle Comédie, Et l’autre, par son
34 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Approbation. De M. l’Abbé Richard, Doyen des Chanoines de l’Eglise Royale & Collégiale de Ste Opportune à Paris, Prieur-Seigneur de l’Hôpital, &c. Censeur Royal. » pp. -
toute sorte d’instrumens qui accompagnent la Musique. Les plus grands Rois du monde se sont fait un plaisir de danser quelqu
utres Bouffons condamnez par les Conciles, par les Ordonnances de nos Rois , & par les Arrests des Cours ; parce que le M
35 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1663 — 24 août : « agréable ballet » de la Foire Saint-Laurent — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 25 août 1663 »
ême famille, Deux fils, une fort jeune Fille, Y donnent un plaisir de Roi , Par de charmantes mélodies, Par de petites Coméd
36 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1670 — 4 février : Divertissement royal, Les Amants magnifiques — Lettres en vers et en prose au Roi de la Gravette de Mayolas — La Gravette de Mayolas, lettre de la fin février 1670 »
La Gravette de Mayolas, lettre de la fin février 1670 Grand ROI , de qui la complaisance, Se joint à la magnificen
37 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1667 — Début mars : Mascarade — La Muse de la Cour à Monseigneur le Dauphin d’Adrien Perdou de Subligny — Subligny, quatrième semaine, lettre du 3 mars 1667 »
ins agréable ; Je souhaiterais, par ma foi, Pour l’amour de son jeune Roi , Que la chose fût véritable.
38 (1834) L’Opéra. Paris ou Le Livre des Cent-et-un. tome XV « L’Opéra. » pp. 366-428
anobli ; il prit le nom de Beaujoyeux, fut nommé valet-de-chambre du roi et de la reine sa mère ; il se rendit si illustre
n bon sens. L’impression de la musique fut beaucoup moins vive sur le roi , car il est dit qu’il ne fit que rire. Les ballet
que, le cardinal Mazarin fit représenter, au Petit-Bourbon, devant le roi et la reine-mère, une pièce italienne intitulée :
la cour des ballets accompagnés de déclamation et de symphonie, où le roi , les princes et les plus grands seigneurs dansaie
troducteur des ambassadeurs auprès de Gaston, duc d’Orléans, frère du roi Louis XIII, entreprit de surmonter ces obstacles 
de l’Opéra Jean-Nicolas de Francine, son gendre, et maître-d’hôtel du roi . En 1698, Francine s’associa pour un quart Hyacin
nt-Germain furent chargés de la régie de l’Opéra ; enfin, en 1749, le roi donna à la ville de Paris la direction générale d
n, ministre et secrétaire d’état ayant le département de la maison du roi . En conséquence, M. Bernage, prevôt des marchands
’exploitation de l’Opéra, dans ses moindres détails, fut réglé par le roi lui-même dès 1713, on est moins surpris de lire l
à toute personne, même à celles qui faisaient partie de la maison du roi , d’entrer à l’Opéra sans payer ; défense à la liv
it d’autres exceptions à ces règles que pour les spectacles devant le roi , et ceux qui avaient lieu pendant les foires de S
a dispute des Bouffons et de Lulli, le coin de la reine et le coin du roi , les pamphlets, et les injures, la dispute partou
evait pas à plus de 150,000 livres par année ; il coûtait beaucoup au roi . Les recettes ne produisaient pas au-delà de 450,
ême, tantôt par ses délégués, tantôt par le ministère de la Maison du roi , et placée sous le patronage de messieurs les gen
n reprenait : Écartez de vous les profanes, Les lâches partisans des rois , Et jurez de venger les mânes Des amis des mœurs
aussi ridicule, il faut bien le dire, que celle des ballets du grand roi . La Commune de Paris ne négligea rien pour conser
appelé Académie impériale de Musique ; il fit partie de la maison du roi , comme il avait fait partie du palais de l’empere
onnelles, n’existait plus ; l’embarrassant patronage de la chambre du roi était tombé ; il fallait lancer, en quelque sorte
a Saint-Martin, puis il s’interrompait et reprenait après le jour des Rois , et continuait de temps à autre durant le carnava
ue jour. Le bon marché, qui veut s’en prendre aux gouvernemens et aux rois , menace aussi l’empyrée de l’Opéra. Tous les soir
éra. Dès sa naissance, il y eut, à deux reprises, deux ordonnances du roi pour interdire l’entrée des coulisses à tous ceux
L’habitude et le diable ont triomphé de tous les obstacles. Sous les rois de nos pères, les grands seigneurs se glorifiaien
39 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1660 — 15 décembre : Ballet de la revente des habits du ballet — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 18 décembre 1660 »
ur. 7. Mrs Vincent et de la Barre. 8. Premier Valet de chambre du Roi
40 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1662 — 7 février : Ercole Amante — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 4 février 1662 »
ner ceci s’amuse, On prépare en moult bel arroi L’admirable Ballet du Roi , Dont les raretés sans-pareilles Passent pour aut
41 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre quatrième — Chapitre V. Honneurs et Privilèges accordés à la Danse »
ouvés par une loi expresse. L’Histoire qui nous peint tous les grands Rois occupés sans cesse à cultiver, à honorer les arts
est vrai qu’il eut une manière à lui d’être méchant homme, et mauvais Roi .
42 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 13 février : Le Ballet de Flore — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 9 mars 1669 »
binet, lettre du 9 mars 1669 Le lendemain, le Grand Ballet Chez le ROI joua son Rôlet, Et le lundi d’ensuite encore, S’e
43 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre IV. » pp. 27-36
ruction et de génie ; il s’imagina qu’il falloit représenter un grand Roi à la Toise, en conséquense il se fit faire un cot
suite, et sans avoir recours à de si petits moyens, il se présenta en roi occupé des projets les plus vastes et les plus im
dit froidement à Hilas : « Jeune homme, nous avions à représenter un roi qui commandoit à vingt rois, tu l’as fait long ;
 Jeune homme, nous avions à représenter un roi qui commandoit à vingt rois , tu l’as fait long ; je l’ai fait grand. » Par un
44 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 3 janvier : Les Amours de Jupiter et de Sémélé — Lettres en vers à Madame la Duchesse de Nemours de La Gravette de Mayolas — La Gravette de Mayolas, lettre du 17 janvier 1666 »
LIÈRE, Par un Concert incomparable, La rendent fort recommandable. Le ROI , MADAME, avec MONSIEUR, Lui voulurent faire l’hon
45 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1668 — Avril (2ème moitié) : La Grotte de Versailles ou L’Églogue de Versailles — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 28 avril 1668 »
’ils ont de plus aimable. 94. Par la Troupe Royale et la Troupe du Roi .
46 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 6 octobre : Monsieur de Pourceaugnac — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 23 novembre 1669 »
de Lutèce ; Vous avouerez de bonne foi, Que c’est un vrai Plaisir de Roi . 127. Le Marquis de Pourceaugnac. 128. sic.
47 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre VII. Des Bals publics »
es occasions éclatantes, pour signaler son zèle et son amour pour nos rois ou pour célébrer les événements glorieux à la Fra
d’un pareil miracle, sans surcharger le Peuple, et sans importuner le Roi . Ce Magistrat que la postérité, pour l’honneur de
48 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre VIII. Objections : Plusieurs directeurs permettent la Danse. » pp. 202-205
s deux dans la fosse ? (ibid. c. 15, v. 14.) On lit au 3.e livre des rois , (c. 22.) que pour un seul véritable prophète, no
tisoit jamais rien de bon, et qu’il ne lui annonçoit que du mal . (5. Rois , c. 22, v. 8.) N’étoit-ce pas faire entendre clai
49 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 2 décembre : Le Ballet des Muses — Lettre en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 12 décembre 1666 »
61 Toutes s’expliquant par des VOIX Qui charment ce plus grand des ROIS . Les ARTS, qui sous lui rajeunissent, Et de tou
et huit pages représentent les Muses. 62. Pyrame et Thisbé. 63. Le Roi , le Marquis de Villeroi, Madame et la Marquise de
50 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1660 — 19 août : Ballet du Mariage du Lys et de l’Impériale accompagnant la tragédie de Collège Clementia Christiana — La Muse historique de Loret — Loret, lettre du 21 août 1660 »
tion galante Fut, tout à fait, divertissante, Et cadrant à l’Hymen du Roi  ; Bref, je vous puis jurer ma foi Que cette Actio
51 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1667 — 14 février : Le Sicilien ou L’Amour peintre — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 19 juin 1667 »
Mantes Valent bien de l’argent, ma foi : Ce sont, aussi, Présents de Roi . 84. Au Palais Royal. 85. sic. 86. Mademoise
52 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 13 février : Le Ballet de Flore — Lettre en vers et en prose au Roi de la Gravette de Mayolas — La Gravette de Mayolas, lettre du 10 mars 1669 »
t ou devine, Et lit dans un je ne sais quoi Les Caractères d’un Grand Roi . Lundi, vous dansâtes encore L’agréable Ballet de
53 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1660 — 19 février : Ballet accompagnant Stilicon de Thomas Corneille — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 21 février 1660 »
21 février 1660 Mollier, Esprit de bon aloi, Illustre Musicien du Roi , Par une agréable boutade, Fit un Ballet, ou Masc
54 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 13 février : Le Ballet des Amours déguisés — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 23 février 1664 »
er 1664 Je vous dis donc, de bonne foi, Qu’en parlant du Ballet du Roi , Je fis dans ma Lettre dernière, Une faute absurd
55 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 2 décembre : Le Ballet des Muses — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 23 janvier 1667 »
t d’ENTRÉES Qu’il est de Mortels et d’Emplois, Sans excepter Papes ni Rois , De cette Loi dure et griève. L’ABBÉ de SAINTE GE
56 (1852) Tableau de Paris. Chapitre XII « [Chapitre XII. Extrait] » pp. 104-108
ccès et fut d’abord représentée à Issy, ensuite à Vincennes devant le roi . Les auteurs applaudis s’associèrent alors avec l
osée de tel nombre et qualité de personnes qu’il aviserait, et que le roi choisirait et arrêterait sur le rapport du direct
ra pas de cette clause si étrange, si l’on songe qu’à cette époque le roi , les plus grands seigneurs et les plus grandes da
’installer au théâtre des Tuileries ; puis l’administration obtint du roi la permission de jouer des opéras en un acte sur
57 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1663 — 8 janvier : Ballet des Arts — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 13 janvier 1663 »
Que Palais Royal on appelle, Lundi dernier, Jeudi passé, Le Ballet du Roi fut dansé. Je ne saurais encor que dire De ce Bal
58 (1765) Dissertation sur les Ballets Pantomimes des Anciens, pour servir de programme au Ballet Pantomime Tragique de Sémiramis « Plan du Ballet »
ramis paraît ; en sa présence on prête le serment de reconnaître pour Roi celui qu’elle choisira pour époux. Ninias entre s
isième Acte représente un Bosquet sacré où l’on voit les tombeaux des Rois d’Assyrie ; celui de Ninus est sur le devant. Au
59 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Enée et Didon. Ballet tragique. » pp. 135-147
Reine de Carthage. Enée , Prince Troyen. Jarbe , Prince Maure, et Roi des Gétuliens. L’Amour , sous la forme d’Ascagne
rès de Didon ; il est entouré par les Troyens. Jarbe, Prince Maure et Roi des Gétuliens paroît ; il est devancé et suivi pa
s les couronnes de l’univers : Cependant en dédaignant les vœux de ce Roi , elle fait sentir à Enée que lui seul règne sur s
cette Reine infortunée. Didon, qui déteste la vie, et qui abhorre ce Roi , refuse avec horreur et sa main et ses secours. C
60 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 11 août : Fête à Versailles — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 17 août 1669 »
, l’on voit tout rire Par un sort des plus accomplis Que n’eût jamais ROI des LYS, Alla dans son charmant Versailles, Où la
61 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 13 juin : Le Favori — Lettres en vers à Madame la Duchesse de Nemours de la Gravette de Mayolas — La Gravette de Mayolas, lettre du 21 juin 1665 »
La Gravette de Mayolas, lettre du 21 juin 1665 Le ROI , dont la magnificence Égale la haute puissance, D
62 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « A Monseigneur le duc de Rets, pair de France, et capitaine des gardes du corps. » pp. -
e la grandeur, de parler de l’éclat de votre Sang, né pour former nos Rois , & de ce haut courage qui en est l’ame : mais
63 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 21 février : Mascarade de Bergers et de Bergères — Lettres en vers à Madame de Loret — Loret, lettre du 14 février 1665 »
t en Mascarade, En noble et triomphant arroi, (Louis, c’est-à-dire le Roi ) Dont la splendeur presque infinie Charma toute l
64 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse ancienne »
es par le sacerdoce. C’est dans une de ces circonstances que le saint roi David se joignit aux ministres des autels, et qu’
fut ainsi chez les Romains, qui adoptèrent les dieux des Grecs. Numa, roi pacifique, crut pouvoir adoucir la rudesse de ses
e l’allégresse publique, les fêtes des particuliers, les mariages des rois , les victoires, etc. firent inventer en temps dif
tances solennelles de tristesse et de deuil. Dans les funérailles des rois d’Athènes, une troupe d’élite vêtue de longues ro
rchaient lentement et en mesure, en chantant des vers à la louange du roi mort. Cette pompe était suivie d’un grand nombre
frappées d’anathème par les papes, abolies par les ordonnances de nos rois , et sévèrement condamnées par les arrêts des parl
des Saliens. Numa Pompilius l’institua en l’honneur du dieu Mars. Ce roi choisit parmi la plus illustre noblesse, douze pr
65 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre II. Objections tirées de l’Ecriture sainte. » pp. 151-166
arde de manquer de citer ce qui est rapporté dans le second livre des rois  : (c. 6, v. 14.) David, revêtu d’un éphod de lin
s ont autant remarqué tout ce qui est dit dans l’histoire de ce saint roi pénitent, des différens caractères si admirables
e sur la danse de David, (M. d’Asfeld, concordance et explication des rois et des paralipomènes, tom. 4. p. 100 et suiv.), n
nté, comme Michol, de la condamner comme peu séante à la majesté d’un roi et à la gravité d’un prophète. Mais si, en pénétr
t à cette raillerie de Michol ? Apprenons-le de l’histoire sacrée. (2 Rois , c. 6, vv. 21 et 22.) Oui, dit-il, devant le Sei
66 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « A, son altesse royale. Monseigneur. le duc d'Orléans, petit-fils de France. » pp. -
sçavez, MONSEIGNEUR, que l’exercice qui en fait le sujet, a servi aux Rois les plus sages & aux Héros les plus illustres
67 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La mort d’agamemnon. ballet tragique. en cinq actes.  » pp. 141-169
lace de la ville. La colonnade est ornée de tous les trophées que les Rois d’Argos et de Mycènes ont enlevés dans les différ
ne foule innombrable de peuple s’assemble sur la place, pour voir son Roi , qui, après douze ans d’absence, rentre dans ses
jà prévenus par l’epouvante qu’Electre a semée. Elle leur montre leur Roi assassiné, respirant à peine, et Cassandre privée
ce double spectacle d’horreur les Officiers volent au secours de leur Roi , et les femmes se grouppent autour de Cassandre.
et de l’autre ; mais Electre leur crie : c’est mon frère, c’est votre Roi  ! elle leur montre comme un témoignage de cette v
ciers pénétrés d’amour et de respect pour l’héritier légitime de leur Roi , tombent et se prosternent aux pieds d’Oreste, qu
de cariatides qui supportent des lampes sépulchrales. Le tombeau des Rois d’Argos et de Mycènes forme la partie principale
68 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre XI. Des danses Baladoires, des Brandons, etc. »
n Décret en 744 pour les défendre : dans les suites, les Évêques, les Rois , les Empereurs, s’unirent tous à lui pour les pro
69 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre VIII. De la Danse des Anciens considérée comme exercice. »
es objets plus élevés que soi qu’il nous pousse et nous entraîne. Les Rois n’imitent point les grands Seigneurs qui les ento
70 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 29 janvier : Le Mariage forcé — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 2 février 1664 »
i méritent d’être admirées, Où Princes et Grands de la Cour, Et nôtre Roi digne d’amour, En comblant nos cœurs d’allégresse
71 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre II. Des moyens qui conduisent à la connaissance des Arts »
rnée, dans une famille intimement unie ? Qu’on démêle le caractère du Roi qui règne ; l’esprit des Lois qui enchaînent cett
72 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre IX. De la Danse sacrée des Grecs et des Romains »
urs premières Lois, leurs superstitions, et peut-être leur gloire. Ce roi forma d’abord un Collège de prêtres qu’il institu
73 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre VI. Des Ballets Moraux »
mêmes, les Dames et les Seigneurs les plus aimables de leur Cour. Les Rois ajoutaient souvent à tout ce qu’on vient de rappo
74 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre V. Préjugés contre la Danse en Action »
igny à côté de Mademoiselle Sallé ? Quelle exécution, du temps du feu roi , aurait pu être comparée à celle de Mademoiselle
75 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1663 — 8 janvier : Ballet des Arts — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 24 février 1663 »
s, de tous honneurs, En ce Ballet galant dansèrent, Et, des mieux, le Roi secondèrent. Cinq jeunes et rare beautés, Sources
76 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1668 — 17 janvier : Mascarade — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 21 janvier 1668 »
Avecque plusieurs de leur Cour, Tant en riche que simple Atour. Le ROI , comme maint le proteste, En Persan, avait une Ve
77 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « V. Pastels après décès. » pp. 54-87
terie sans… apparat. Le lendemain, à son petit-lever, on entretint le roi de cette espièglerie. Le jeune Louis XV en rit à
nce de son amant, que ses devoirs de lieutenant général des armées du roi avaient emmené loin de Paris, ne voulut pas paraî
ernier venait de la doter du marquisat de Courvoy, lorsqu’un ordre du roi lui enjoignit de rallier son régiment, lequel ten
Elle avait eu aussi pour amant Bontemps, premier valet de chambre du roi , qui mourut en 1766. A cette occasion, dit Bachau
plus assidus. Avec eux, M. de la Borde, valet de chambre ordinaire du roi , était un de ses amants utiles. « Il ne contrib
péciale : quiconque voulait, par ce ministre, arriver à une faveur du roi , était imposé d’une certaine somme, versée préala
78 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre II. Preuves contre les Danses, tirées des Saintes Ecritures. » pp. 11-22
ethsabée, femme d’Urie, fit tomber David dans l’adultère. (Liv. 2 des Rois , c. 11.) La trop grande complaisance de Samson po
ennemis. (Liv. des juges, c. 16.) Enfin, on voit dans l’histoire des Rois , (L. 3, c. 11.) que les femmes étrangères que Sal
Salomon aima passionnément, corrompirent à un tel point le cœur de ce roi , auparavant si sage, qu’elles lui firent suivre d
79 (1921) Le Ballet de l’Opéra pp. 191-205
Le Ballet de l’Opéra, par Victor Du Bled Comme la cour des rois , comme la cour du roi des rois, comme toute admin
Opéra, par Victor Du Bled Comme la cour des rois, comme la cour du roi des rois, comme toute administration, comme tout
ar Victor Du Bled Comme la cour des rois, comme la cour du roi des rois , comme toute administration, comme tout empire, c
ns aient eu le temps de faire le geste symbolique, un aide-de-camp du roi entre dans leur loge, les supplie, au nom de la r
ne. Les lions s’empressèrent de déférer à son vœu, et le lendemain le roi signait la grâce de Meunier. Nestor Roqueplan aff
80 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Privilege du roy. » pp. -
Privilege du roy . Louis par la grace de Dieu Roy de France &
81 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1663 — 8 janvier : Ballet des Arts — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 20 janvier 1663 »
di dernier, au Ballet, Au Ballet des Arts, c’est-à-dire, Le Ballet du Roi notre Sire, Qui sous son Règne glorieux, Dans Par
82 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Préface. » pp. -
le treiziéme siécle, de même que des danses Baladoires : en quoi nos Rois se sont conformez dans leurs Ordonnances au senti
, malgré les défenses de l’Eglise & contre les Ordonnances de nos Rois  ; ce qui dans les Synodes a donné lieu à agiter s
83 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre II. De la Danse Sacrée des Hébreux, des Chrétiens dans la primitive Eglise, & des Payens, depuis son origine jusqu’à présent. » pp. 33-58
les auteurs de cette profanation. On trouve dans le second Livre des Rois , chap. 6, que David se fit un honneur d’accompagn
es constitutions ont été plusieurs fois appuyées par des Edits de nos Rois , & pour la défense des danses Baladoires qui
eptembre 1667, que je rapporte ici pour faire voir l’attention de nos Rois pour la suppression des fêtes & des danses Ba
re Romaine nous fait voir que Numa Pompilius, après avoir été déclaré Roi des Romains l’an 40 de Rome, institua une danse S
84 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 13 juin. Les ballets de Loïe Fuller. »
tion au théâtre ; c’est à Loïe Fuller que j’aurais confié (si j’étais roi  !) la scène des Sorcières de Macbeth, l’Ariel de
85 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre XII. » pp. 70-72
théâtre, étant libre, fut cédé à Lulli sur-intendant de la musique du Roi , pour y représenter ses opéras. Ce spectacle eût
86 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1661 — 23 juillet : Le Ballet des Saisons — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 31 juillet 1661 »
yeux Que mille grâces naturelles Qu’on voyait éclater en elles. Le Roi parut, soudain après, Sous la figure de Cerès ; P
87 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Pyrrhus et Polixène. Ballet tragique. » pp. 205-214
d’Achille, Genéral des Grecs. Polixène , fille de Priam. Priam , Roi des Troyens. L’ombre d’Achille . Dames troyen
qui veut l’immoler à sa fureur l’atteint au peristille du temple. Ce Roi prosterné aux pieds de la statue de Jupiter, semb
88 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre III. Des Danses des Anciens dans les Fêtes des Particuliers »
fermaient machinalement chez eux par la même raison, qui fait que les Rois entre eux ne se visitent guère. Leur vie ordinair
89 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre IV. Des Ballets poétiques »
les entendre. Henri III même alla chez Baïf ; mais les Courtisans, le Roi , les mignons ne prirent pas plus d’intérêt à cett
90 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 2 juin. Le ballet cambodgien. »
de la jambe ramené vers la cuisse. C’est ainsi que la sirène fuit le roi des singes, dans un pas qui est la contrepartie d
91 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1668 — 18 juillet : Le Grand Divertissement royal ou les Fêtes de Versailles — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 21 juillet 1668 »
, Le plus GRAND Prince de la Terre. 101. sic 102. de la Troupe du Roi . 103. Personnage de la Comédie qui fut jouée.
92 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre II. De la Danse théâtrale des Grecs »
s craindre le holà, Peut aller au parterre insulter Attila ; Et si le Roi des Huns, ne lui charme l’oreille, Traiter de Vis
93 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre VII. Des Ballets Bouffons »
des Spectacles gratuits, qui ne servaient qu’aux divertissements des Rois et des Princes. 86. Quelle idée !
94 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre VII. Objection : On a toujours dansé. » pp. 188-201
p de péchés ? Après quelque grand événement favorable à un état et au roi qui le gouverne, comme la naissance d’un prince,
, vv. 14 et 15.) Personne ne s’intéresse plus sincèrement au bien des rois et des états que les bons chrétiens ; ils se font
nt un devoir de religion de prier souvent pour la santé et la vie des rois , pour la prospérité de leurs armes, pour éviter l
95 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse moderne »
sous prétexte de la danse sacrée. Il y a plusieurs ordonnances de nos Rois qui les défendent, comme tendantes à la corruptio
on totale des mœurs. Recueil d’édits, ordonnances et déclarations des Rois de France. (B) Bocane Bocane, s. f. danse
donné le nom de brandons. Voyez Danse sacrée. Les ordonnances de nos rois ont sagement aboli ces danses, ainsi que les bala
96 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre VIII. De la Danse sacrée des Égyptiens »
nnait, le reconnaissait pour son père, pour son bienfaiteur, pour son Roi . On réservait son Apothéose et celle d’Isis pour
97 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre IX [X] » pp. 97-106
ciel, c’étoit pour y contempler le grandeur et la majesté du Roi des Rois , et pour rendre graces au maître de l’univers des
d’une admiration respectueuse. Il est donc indécent de transformer un Roi pieux en Baladin ; surtout dans une cérémonie aus
98 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La Rosière de Salency. Ballet pastoral. » pp. 191-203
la somme de 25 livres ; ensuite on forme un bal champêtre. Plusieurs Rois de France ont honoré de leur protection cet établ
ordes, son premier Capitaine des Gardes, qui fit la cérémonie pour le Roi , par les ordres du quel il ajouta au prix une bag
99 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la musique moderne »
donnait autrefois le nom de chantres aux musiciens de la chapelle du roi  : ils s’en offenseraient aujourd’hui ; on les app
en fait de préventions et d’erreurs sur certains chapitres : mais un roi tel que Charlemagne n’était pas fait pour adopter
s Français. C’est un hommage que l’académie royale de Musique rend au Roi . On ignore pourquoi l’ancienne musique, beaucoup
t été chargées. Anne Daveau, dit Philidor, ordinaire de la musique du Roi , en donna l’idée en 1725. C’est un spectacle trib
lus goûtées du public, et les voix de la chapelle et de la chambre du Roi les plus brillantes qu’on a le soin d’y faire par
blic y court en foule. Ce n’est que là, au reste, et à la chapelle du Roi , qu’on peut jouir des beaux motets de M. Mondonvi
és de dessus et de bas-dessus ; les premières sont placées du côté du Roi , les autres du côté de la Reine. Voyez Chœurs. La
côté de la Reine. Voyez Chœurs. La partie des dessus à la chapelle du Roi , est chantée par des castrati. Voyez Chanteur. (B
100 (1806) L’Art de la danse, poëme en quatre chants, calqué sur l’Art poétique de Boileau pp. -247
ir ignoré. Succédant aux tournois, la Danse encor grossière, Chez nos rois , à Paris, y monta la première1 ; Lorsque Circé pa
oyeux Tricotets 3 Et le pas d’Henri-Quatre ont orné nos ballets. Ce roi si valeureux, si chéri de la France, Et son ami S
 : Malgré le préjugé, les souples courtisans, Des plaisirs de leur roi devinrent partisans. Cet art, que les bigots ont
étaient de la composition de Beauchamps, sur-intendant des ballets du Roi .   « Les spectacles de Danse avaient été formés j
y, et M.le marquis de Rossen, y parurent en public une fois devant le Roi , qui vint voir ce spectacle ; et choisirent pour
cadémie royale de Musique, en 1671 : mort en 1705. Il dansait avec le Roi dans les ballets de la Cour. La critique qu’en fa
onte dans ses Mémoires le fait suivant, en parlant de Madame, sœur du Roi . « Elle eut la bonté de m’apprendre elle-même le
de quatre-vingts étaient de grands ballets dans plusieurs desquels ce Roi dansa. Cahuzac, Traité de la Danse. – Voyez les
. David, revêtu d’un éphod de lin, dansait devant l’arche. Livre des Rois , chap. 6. 6. Socrate est loué par les philoso
à Saint-Germain le 13 février 1669. Dans le nombre de ces ballets, le Roi en dansa un dont le sujet était Psyché ou la Puis
nd du Désert, maître à danser de la Reine. Prévôt, maître à danser du Roi . Jean Renaud, maître à danser de Monsieur, frère
uissaient de tous les droits des officiers commensaux de la maison du roi . La Danse Théatrale, ainsi dénommée, pour la dis
ilan, il ordonna un bal solennel où toute la noblesse fut invitée. Le Roi en fit l’ouverture ; les Cardinaux de Saint-Sever
/ 151