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1 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre III. Objections tirées des Docteurs de l’Eglise. » pp. 167-174
ections tirées des Docteurs de l’Eglise. Après avoir pris dans les saintes Ecritures des autorités pour la condamnation des
des danses, j’en ai pris ensuite dans les ouvrages et les sermons des saints docteurs de l’Eglise. Mais que ne font pas encore
danses, pour affoiblir l’impression de ce qu’ont dit contre elles ces saints docteurs ? Ce qui a, disent-ils, animé leur zèle
si, cette raison n’entroit pour rien dans les motifs par lesquels les saints Pères de l’Eglise attaquoient la danse. Quoiqu’il
très-ordinaire. Qu’on fasse attention aux raisons pour lesquelles les saints pères les ont si fortement condamnées, on verra q
t maintenant, comme celles qui se faisoient autrefois et du temps des saints docteurs ? Les chrétiens d’aujourd’hui ont-ils pl
s seroient-elles moins dangereuses qu’elles ne l’étoient du temps des saints Pères, où un grand nombre de chrétiens vivoient e
en connoissent et en sentent la sainteté et les devoirs ? Ce que les saints Pères de l’Eglise ont dit autrefois contre les da
r l’autorité des anciens docteurs, il prétendoit pareillement que les saints pères ne blâmoient dans les spectacles de leur te
. 7, p. 623 et 624.) « C’est lire trop négligemment les ouvrages des saints pères, que d’assurer, comme fait l’auteur, qu’ils
aroles ; et enfin tout le sérieux de la vie chrétienne. Dites que les saints pères ne blâment pas toutes ces choses et tous ce
moins en désir et dans la préparation du cœur ? On trouvera dans les saints pères toutes ces raisons et beaucoup d’autres. Qu
le goût de Dieu ? « Quelle que soit la sévérité qu’on verra dans les saints docteurs, dit encore (ibid. p. 745.) cet illustre
lace dans ce petit traité. En vain s’efforceroit-on de mettre ici les saints en contradiction avec les saints, en opposant à c
n s’efforceroit-on de mettre ici les saints en contradiction avec les saints , en opposant à ce qu’ont dit contre elles les sai
diction avec les saints, en opposant à ce qu’ont dit contre elles les saints pères, ce qu’on lit dans l’introduction à la vie
les ouvrages ; de S. François de Sales, et l’on verra que cet aimable saint envisageoit la danse comme un simple mouvement du
d si dangereuses, eu égard à la manière dont elles se font. Aussi, ce saint a-t-il cru devoir prescrire différentes considéra
a-t-il cru devoir prescrire différentes considérations bonnes et fort saintes , auxquelles il dit « qu’il faut avoir recours apr
ieux employé que celui qu’on a mis à danser ; qu’on a fait pitié à la sainte Vierge, aux anges et aux saints, lorsqu’ils ont v
is à danser ; qu’on a fait pitié à la sainte Vierge, aux anges et aux saints , lorsqu’ils ont vu que le cœur s’arrêtoit à ce pl
qu’on y a cherché et goûté ? Et si l’on convient que le conseil de ce saint n’est ni pratiqué, ni même praticable, ce qu’il p
guère être remplies ? Voilà pourtant tout ce qu’on peut alléguer d’un saint en faveur de la danse : n’en doit-on pas conclure
2 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre IX. Circonstances qui contribuent à rendre les Danses plus dangereuses et plus criminelles. » pp. 102-114
ours précédens par la fragilité humaine, et pour s’en purifier par de saints gémissemens, en s’en humiliant devant Dieu et lui
tentions que l’Eglise a eues en instituant les fêtes en l’honneur des saints , a été qu’en nous réjouissant avec eux de ce que
route qu’ils ont prise. Or, dit saint Augustin, (ser. 316, p. 1.) les saints n’ont pas mérité le bonheur du ciel en dansant, m
xando, sed tolerando meruerunt. Comment donc prétend-on honorer les saints aux jours de leurs fêtes par des danses et des ex
sont une profanation manifeste de ces jours appelés particulièrement saints , parce que les chrétiens, qui doivent être saints
és particulièrement saints, parce que les chrétiens, qui doivent être saints dans toute la conduite de leur vie, s’y doivent c
’affaires temporelles ; pour faire d’un autel, sur lequel on offre le saint sacrifice, une table pour boire et pour manger, e
ie foderent, quàm totâ die saltarent. (tom. 2, p. 32, n° 6.) Le même saint docteur dit encore : (tract. not. 3.) « L’observa
favorables et plus nécessaires ? Qui a introduit ce retranchement du saint jour ? Et pourquoi n’aura-t-il pas les vingt-quat
s ordonnances, et les parlemens dans leurs arrêts, se sont joints aux saints conciles pour défendre les danses publiques les s
ont joints aux saints conciles pour défendre les danses publiques les saints jours de dimanches et de fêtes, et surtout les fê
at, soit des cours souveraines qui défendent les danses publiques les saints jours de dimanches et de fêtes, il ne reste plus
pénitence, tels que sont les jours de jeûnes, et spécialement dans le saint temps de carême. Je rapporterai, pour le prouver,
es jours où l’Eglise pleure la mort et l’absence de Jésus-Christ. Les saints pères expliquent aussi que c’est pour cette raiso
ttre les plaisirs et les réjouissances profanes, elle s’abstenoit des saintes réjouissances, et il étoit défendu d’y célébrer l
tes réjouissances, et il étoit défendu d’y célébrer les nativités des saints , parce qu’on ne pouvoit les célébrer qu’avec une
re Pâques et la Pentecôte, parce que ce sont des jours destinés à une sainte réjouissance, où l’on chante l’Alleluia, qui est
de joie du siècle futur : si le jeûne ne convient pas au temps d’une sainte joie, doit-on l’allier avec les réjouissances pro
: Potes videri tardiùs te refecisse, non tamen Domino jejunâsse. Ce saint écrivoit à la fin du deuxième siècle. Dans le neu
alloit vivre : tout cela conformément aux canons et à la doctrine des saints . » Est-il plus aisé d’allier les danses que les
es jours et les temps spécialement consacrés à la pénitence, comme le saint temps de carême, plus que tout autre ?
3 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre II. Objections tirées de l’Ecriture sainte. » pp. 151-166
Chapitre II. Objections tirées de l’Ecriture sainte . Comme nous avons pris dans les saintes Ecritu
ctions tirées de l’Ecriture sainte. Comme nous avons pris dans les saintes Ecritures les premières preuves que nous avons al
rer le mal ou le danger inséparable des danses ; c’est aussi dans les saintes Ecritures que plusieurs vont d’abord chercher de
les spectacles, dont j’ai déjà parlé, plusieurs cherchoient dans les saintes Ecritures de quoi justifier les spectacles, comme
e faire que lui : « Je dirai, qu’il vaudroit mieux ne rien savoir des saintes Ecritures, que de les lire pour en abuser ainsi. 
s plus criminel que de se servir pour autoriser les vices, des livres saints qui n’ont été écrits que pour nous enseigner et n
rtes de bonnes œuvres ? Combien s’éloigne-t-on de cette intention du saint , quand on va chercher dans les livres saints, et
-on de cette intention du saint, quand on va chercher dans les livres saints , et qu’on fait d’inutiles efforts pour y trouver
i s’ils ont autant remarqué tout ce qui est dit dans l’histoire de ce saint roi pénitent, des différens caractères si admirab
r pour Dieu, et devenu distrait pour tout ce qui l’environne, par une sainte ivresse, ne voit plus que son bienfaiteur qui le
rudence dans l’affaire du salut, que cette parabole est destinée. Les saints Pères sachant combien les mauvais chrétiens sont
chrétiens sont disposés à se prévaloir de tout ce qui paroît dans les saintes Ecritures tant soit peu favorable à leurs passion
it de l’Evangile, c’est qu’on y voit combien l’esprit qui animoit les saints est différent de celui dont les personnes mondain
avorable au goût et aux maximes du monde pour s’en autoriser ; et les saints , au contraire, se servent, pour s’élever jusqu’à
lir notre cupidité. Est-ce là le fruit que retirent de la lecture des saintes Ecritures ceux et celles qui voudroient y trouver
, ont répondu avant nous aux exemples qu’on voudroit tirer des livres saints en faveur de la danse : ce qu’ils ont dit à ce su
eu en lui rendant grâces ; ce que ne pouvoient faire des personnes si saintes , jouissant si saintement en la présence de Dieu,
si saintes, jouissant si saintement en la présence de Dieu, avec une sainte modestie et une gravité convenable. Ainsi s’en al
tion véhémente de donner louange à Dieu avec le témoignage d’une joie sainte  ; et celles-ci ne tendent au contraire qu’à prend
en enfans de lumière. Mais, dit-on, en accordant qu’il n’y a dans les saintes Ecritures rien qui autorise absolument les danses
es horreurs des anciens spectacles, dont l’Ecriture ne parle pas. Les saints Pères qui ont essuyé de pareilles difficultés, no
vrai, tout ce qui est honnête, tout ce qui est juste, tout ce qui est saint , tout ce qui est aimable, tout ce qui est d’édifi
t là ce qui occupe vos pensées. Tout ce qui empêche donc d’avoir ces saintes pensées, et qui en inspire de contraires, ne doit
4 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre IV. Jugement des Conciles contre les danses. » pp. 44-50
ent abolir la coutume irréligieuse qui s’est introduite aux fêtes des saints , que les peuples, au lieu d’assister à l’Office d
n sorte qu’on vienne aux jours de fêtes, non dans des vues droites et saintes qu’on doit avoir, mais pour danser et chanter des
grand soin d’avertir le peuple qu’on ne doit venir à l’église en ces saints jours que pour prier ». Le concile de Rouen, tenu
artifices du diable pour susbstituer son culte à celui de Dieu et des saints . » Il en donne pour preuves qu’aux fêtes solennel
donne pour preuves qu’aux fêtes solennelles des apôtres et des autres saints , « on tient des foires et des marchés publics, pa
l’impureté, et généralement tout ce qui n’est qu’une profanation des saints jours de fêtes. » Le concile de Reims, tenu en 1
583, au titre des jours de fètes, défend expressément de profaner ces saints jours par des jeux et des danses : Iisdem diebus
êtes doit être employé à écouter les prédications, et à assister à la sainte Messe et aux divins Offices, et non pas à des fes
le cœur de l’homme est si naturellement porté au mal, que ce que les saints pères ont autrefois établi pour réunir les peuple
le décret du dernier concile provincial, en défendant de profaner ces saints jours par aucuns jeux, par des danses ou d’autres
l ne s’y agit que des jours de fêtes et de dimanches, et du temps des saints offices ; en vain voudroit-on en conclure qu’en d
5 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre III. Témoignages des SS. Pères et Docteurs de l’Eglise contre les Danses. » pp. 23-43
nages des SS. Pères et Docteurs de l’Eglise contre les Danses. Les saints Pères qui ont été chacun dans leur temps les orga
danses au nombre des actions qu’on doit particulièrement éviter en ce saint jour. « Que chacun de vous, dit-il, observe le sa
ei admirans, non… saltationibus, plausibusque insanis oblectans se. St . Basile, dans une homélie qu’il a faite contre le
ertissement. (hom. in ebriosos, tom. 2, pag. 123.) « Oubliant, dit ce saint docteur, la crainte de Dieu, et méprisant le feu
ocantes  ; enfin, faisant ces danses hors des murs de la ville où les saints martyrs sont honorés, elles font par là de ces li
le où les saints martyrs sont honorés, elles font par là de ces lieux saints , comme une boutique de leurs obscénités : In mar
s dernières tous les traits de ressemblance avec celles dont parle le saint docteur ? Les filles ne s’y exposent-elles pas, c
me pour prix de sa danse, la tête de saint Jean-Baptiste. Sur quoi le saint docteur commence par ces mots : (hom. 48, en S. M
es : (pag. 498.) Ubì saltatio, ibì diabolus. « Les aimer, ajoute ce Saint , c’est abuser des dons du Créateur, et aller cont
intenant, ne demandent pas qu’on leur apporte dans un plat la tête du saint précurseur ; mais ils demandent pour le démon les
férer son autorité et celle des aveugles mondains, à l’autorité de ce saint docteur ? S. Ambroise, dans une lettre à Sabin, é
llecebra suspecta est, ubì comes deliciarum est extrema saltatio. Le saint docteur cite à ce sujet cette parole d’un païen,
Est-il étonnant que, connoissant si peu les divines beautés de notre sainte Religion, et ce qu’elle a d’intéressant pour le c
sordre qui avoit long-temps régné, de passer la nuit de la fête de ce Saint à chanter et à danser, il dit que « cette peste,
s que simple prêtre, fit observer au peuple que dans toute l’Histoire sainte on ne voit que la circonstance de la consécration
ersistassent à vouloir pratiquer tous les ans dans les solennités des Saints , ce que le peuple juif n’a fait qu’une seule fois
intérieure de sa grâce. Rien n’est plus touchant que le récit que ce Saint fait lui-même à Alippe du fruit de son discours.
er. » Si les églises avoient aujourd’hui un nombre de ministres aussi saints et aussi zélés que S. Augustin, ne pourroit-on pa
de saint Jérôme, ils étoient lus publiquement dans l’église après les saintes écritures, (catalog. scriptorum ecclesiast. c. 15
en parle (Edit. de Cologne, pag. 107 et suiv.). « Qui jamais, dit ce Saint , pourra montrer qu’il est permis à des chrétiens
crits des apôtres et les évangiles. Mais si toutes les paroles de ces saints livres sont véritables et inspirées de Dieu, comm
ns ce cri : (Matth. 26, v. 6.) Voilà l’époux qui vient ! Comment le saint prophète veut-il que nous prévenions la face ou l
s et des instrumens pour y exciter, là, est la fête du diable, et les saints anges sont dans la tristesse » : Ubi citharæ ac
sement entraîné beaucoup d’autres ? Je finis toutes ces autorités des saints contre les danses, par celle de S. Charles, arche
actes, p.69) où il est parlé de la manière de célébrer les fêtes des saints , les danses y sont expressément défendues ; et qu
ucoup de fidèles sont détournés des Offices divins, de la prière, des saintes lectures et de l’assistance aux instructions, par
6 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre X. En convenant que les Danses doivent ordinairement être évitées, ne peut-on pas les permettre du moins aux jours de noces, où elles sont d’usage partout ? » pp. 115-125
ssent alors ni si communs, ni si grands qu’ils le sont parmi nous. Ce saint docteur nous parle encore à nous-mêmes dans ses s
nus jusqu’à nous ; écoutons-le avec le respect que mérite un si grand saint , et plus encore la vérité éternelle qui a parlé p
animum induxerit ut turpe aliquid un quàm aut faciat aut dicat  ». Ce saint parle encore sur la même matière, dans une homéli
am nuptias quales ego dico, et videbit voluptatem.  » Un homme aussi saint et aussi éclairé que saint Jean Chrysostôme, ne m
ions et le contentement qu’on y peut désirer : car le mariage est une sainte ordonnance de Dieu, pour réprimer la convoitise e
agir saintement dès les commencemens, afin que les commencemens étant saints , le reste le soit aussi. Ç’a toujours été la cout
t la sobriété y soient gardées. Mais si, au sortir de cette solennité sainte , on s’abandonne à tout plaisir sans modération, e
our être un jour témoins contre cette perfidie et cet abus des choses saintes  ? Et quelle sera la bénédiction de Dieu avec ce m
épris ? Aux mystères des chrétiens, il ne faut que prières, cantiques saints , honnêteté, modestie. Quand les chrétiens se mari
cet acte ; que l’on s’étudie à ne rien faire qui ne soit bien pur et saint  ; qu’avec le mariage l’on reçoit en la famille la
nsemble du milieu de nous, et que nous rendions l’institution de Dieu sainte en son entier, de peur qu’il ne se courrouce, et
ne sont point un théâtre de folie et de turpitude, mais une solennité sainte d’une chose sacrée, pour mener la vertu, la modes
7 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre VII. Objection : On a toujours dansé. » pp. 188-201
icæ ?  » Et comme on prétendoit justifier cet abus par la coutume, ce saint docteur détruit ainsi cette vaine excuse : « Je s
triarches, quoiqu’ils aient vécu dans un temps où la lumière de notre sainte religion ne brilloit pas avec l’éclat où elle a p
vines pour suivre les usages du monde, et ne préférons pas à ces lois saintes les pernicieuses coutumes qui sont les lois de ce
émon : Illius enim lex sunt hæc qui gaudet de interitu nostro.  » Ce saint ne pouvoit se lasser de faire éclater son zèle co
coutume de faire en Afrique dans les églises, les jours des fêtes des saints , et particulièrement des martyrs. Nous avons vu q
ment des martyrs. Nous avons vu quelle vive impression le discours du saint docteur à ce sujet fit sur ses auditeurs. Cependa
ns présentement ce qu’il y a si longtemps qu’on auroit dû ôter. » Ce saint , repassant sous les yeux de Dieu ses égaremens pa
l. 1, c. 13, n.° 25.) « Malheureux torrent de la coutume, s’écrie ce saint pénitent dans ses confessions, où sont ceux qui t
troduite parmi le peuple, de déshonorer par des danses, les fêtes des saints . Le concile ne pensoit donc point que des abus et
t plus s’appliquer à la déraciner de l’Eglise, qu’il a appris par les saints canons, qu’une mauvaise coutume ne doit pas être
oit-elle sur nous ? Ne devons-nous pas à Dieu la même fidélité que ce saint homme ? Et nous est-il plus permis qu’à lui de no
times qu’en tout autre temps. « Extravagance monstrueuse ! s’écrie ce saint homme, vouloir honorer Jésus-Christ par des spect
rtissemens ! L’apôtre saint Pierre (c. 1, v. 15.) nous exhorte à être saints dans toute la conduite de notre vie, comme celui
ns toute la conduite de notre vie, comme celui qui nous a appelés est saint . Qu’on voie donc la sainteté éclater en nous, non
8 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre X. De la Danse sacrée des Chrétiens »
a porte des Églises, la veille des grands Jours ; et là, pleins d’une sainte joie, ils formaient des Danses, en chantant des C
iques une fois connus, on ne doit plus être étonné des éloges que les Saints Pères font de la Danse, dans mille endroits de le
s licencieuses de la barbare Hérodias, qui firent verser le sang d’un Saint  ? Que n’imitez-vous plutôt ces danses respectable
premiers Chrétiens, qu’ils ne voyaient dans la Danse qu’une imitation sainte des transports d’allégresse des Bienheureux. Les
de leur amour28. On ne représentait à leur Foi, toute cette foule de Saints qui les avaient précédés, dans la carrière où ils
nnelles en représentation de nos Mystères, et à l’honneur de quelques Saints . Le Cardinal Ximénès rétablit dans la Cathédrale
9 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Discours préliminaire. » pp. -
nnemens humains, et tout ce qui s’oppose en nous à la pratique de ses saintes règles. Elle ne veut régner sur nous que pour not
ces erreurs et ces idées opposées à celles de Dieu. Aussi, toutes les saintes Écritures nous donnent-elles la vérité comme deva
oie, la vérité et la vie. La vérité que Dieu nous enseigne dans les saintes Ecritures, qui sont sa parole, est, selon saint A
prison. (serm. 251, n.° 7.) « Quel est cet adversaire », demande le saint docteur ? Et il répond : « L’adversaire dont il e
, et faisons le bien. Selon la manière très-ordinaire de parler des saintes Ecritures, vivre avec piété et dans la justice, c
s la vérité et marcher selon la justice, sont donc une même chose. Le saint roi Ezéchias étant tombé dangereusement malade, e
as s’en étonner, puisqu’ils avoient puisé toute leur science dans les saintes , Ecritures. Tertullien commence son traité du voi
 i, p. 1309.) « Que nous marque le Seigneur en se cachant, demande le saint docteur, sinon que la vérité se cache à ceux qui
ur, sinon que la vérité se cache à ceux qui ne veulent pas mettre les saintes règles en pratique ? Quid abscondendo se Dominus
ont à la vérité. (2. Thess. 2 , 10 et 11.) N’ayant pas reçu , dit le saint apôtre, et aimé la vérité afin d’être sauvés , c’
ressentir ce tressaillement intérieur qui est réservé à ceux dont le saint prophète dit (Ps. 50, v. 10), que l’humilité a b
hète dit (Ps. 50, v. 10), que l’humilité a brisé les os . » Ce même saint dit encore dans un autre endroit de ses confessio
our parvenir à la connoissance de la vérité, c’est d’aimer à faire de saintes lectures, et en particulier celle du saint Evangi
on simus surdi.  » « Vous ayant laissé l’Evangile, dit encore le même saint docteur, il est par-là avec vous : (serm. 242, n.
re lumière et votre vérité. Qu’elles me conduisent sur votre montagne sainte et dans vos tabernacles. « Voilà, dit saint Augu
atigabili spargens pœnales cæcitates super illicitas cupiditates . Le saint docteur, vivement affligé de cette duplicité de c
me a commis et quelle peine mérite un pasteur, qui, ayant lu dans les saints pères que la danse est une pompe du diable, un pi
un extrême péril de perdre son ame, en leur disant, après l’Ecriture sainte , que celui qui aime le péril ne manquera pas d’y
ue la danse par elle-même est une chose indifférente. J’avoue avec ce saint évêque, que la danse en elle-même est une action
ême est une action indifférente ; car elle a été louée dans David. Ce saint roi, transporté d’une joie toute sainte, dansoit
lle a été louée dans David. Ce saint roi, transporté d’une joie toute sainte , dansoit devant l’arche, ayant l’esprit et le cœu
s princes et des grands. Mais en quelqu’état qu’on les considère, les saints n’ont jamais pu se persuader que Dieu en soit l’a
10 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre VII. Témoignage d’un célèbre Jurisconsulte contre les Danses. » pp. 94-98
s et de fêtes, mais j’ai déjà observé, qu’outre la profanation de ces saints jours que les danses qu’on y fait entraînent aprè
manches et de fêtes, ce seroit de n’y pas donner trop de temps en ces saints jours, et surtout de n’y pas employer le temps du
extes que l’on vient de citer. Si, après toutes ces autorités des saintes Ecritures, des saints docteurs, tous ces règlemen
citer. Si, après toutes ces autorités des saintes Ecritures, des saints docteurs, tous ces règlemens des conciles, et tou
voir, a révélé dans ses Ecritures, et par la tradition constante des saints pères, que les danses ne peuvent que causer la pe
11 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre xvii » pp. 96-101
imé de ces poëtes ; dans un écart de génie, crut devoir s’adresser, à St . Roch, à son chien ; il fit intervenir dans cette
à St. Roch, à son chien ; il fit intervenir dans cette bagatelle les Saints et les Saintes du Paradis. L’autre eût recours à
son chien ; il fit intervenir dans cette bagatelle les Saints et les Saintes du Paradis. L’autre eût recours à St. Thomas ; pa
bagatelle les Saints et les Saintes du Paradis. L’autre eût recours à St . Thomas ; partout il n’a trouvé que des incrédule
e. Heinel a épousé Vestris le père et la Dlle. Rose vient de mourir à St . Pétersbourg. La retraite, trop précipitée sans d
e. Heinel a épousé Vestris le père et la Dlle. ROSE vient de mourir à St . Pétersbourg. La retraite, trop précipitée sans d
12 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre V. Témoignages des Évêques dans leurs Instructions pastorales, des Catéchismes, et des Théologiens contre les Danses. » pp. 51-71
e pourrois me dispenser d’ajouter de nouvelles autorités à celles des saints pères et des conciles que je viens de citer. Mais
it encore publiée tous les ans, le dimanche avant la fête de tous les saints , et celui d’après pâques. Exhortons néanmoins led
urs de dimanches et de fêtes, M. Vialart, après s’être plaint que ces saints jours ne sont guère plus en honneur que les autre
lui par une sérieuse pénitence et un véritable changement de vie, le saint prélat entre dans le détail des principaux péchés
par une dévotion extraordinaire, une modestie toute chrétienne et une sainte imitation de leurs vertus ! A leur place, les jeu
our les mœurs. D’autres évêques de France, animés du même zèle que ce saint prélat, ont donné comme lui des instructions past
dents comme des dents de lion : et voici l’explication morale que ce saint archevêque donne à cet endroit de l’Apocalypse, e
s, et qu’elles enflamment de plus en plus. Les sauterelles montrées à St . Jean comme ayant des couronnes d’or et des cheve
rs de Dieu, qui sont les ennemis de ces esprits de malice. » Le même saint continuant à parler contre les danses, traite d’e
à tous les sacremens, ils se déclarent en même temps les ennemis des saints que Dieu glorifie dans le ciel, en profanant leur
tout autre jour ; ils ne pourront donc avoir au jugement futur aucuns saints pour intercesseurs, puisqu’ils les auront tous of
peccata chorisant in choreâ. En rapportant le sentiment de plusieurs saints et de plusieurs grands hommes, qui, à l’envi les
use ; car on trouve dans le chant un plaisir qui est souvent utile et saint , puisqu’en chantant de saints cantiques, on peut
hant un plaisir qui est souvent utile et saint, puisqu’en chantant de saints cantiques, on peut être par là élevé à Dieu et au
es plus récens, et qui par là peuvent nous être plus connus. Henri de saint Ignace, de l’ordre des carmes, dans son savant ou
13 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre II. Preuves contre les Danses, tirées des Saintes Ecritures. » pp. 11-22
Chapitre II. Preuves contre les Danses, tirées des Saintes Ecritures. Les saintes Ecritures défendent, 1.
. Preuves contre les Danses, tirées des Saintes Ecritures. Les saintes Ecritures défendent, 1.° de regarder trop attenti
gens dont la vie n’est qu’un adultère continuel ! C’est parce que le saint homme Job craignoit le danger et le mal qu’il y a
s occasions, et même les moindres apparences. Nous ne sommes pas plus saints que David, plus sages que Salomon, plus forts que
ne peuvent que porter au mal : Avocandus est animus ab istis. » Les saintes Ecritures nous fournissent une seconde preuve con
entaire sur Isaïe, (tom. 1, pag. 464.) dit qu’une fille, telle que le saint prophète la représente, jette par ses regards et
tel : Aspectu ipso exitiosum quoddam virus jaculatur. Après quoi le saint docteur ajoute : Ah ! plût-à-Dieu qu’on ne pût pa
rari non posset ! Une troisième preuve contre les danses, tirée des saintes Ecritures, c’est que Jésus-Christ et ses Apôtres
14 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre I. Des Ballets Ambulatoires »
Portugal allaient en recevoir le Protecteur. Les Châsses de ces deux saints portées par les Grands de l’État, étaient suivies
tourée, en des positions subalternes, de toutes les Images des autres Saints particulièrement honorés en Portugal : elles étai
taient au son des plus éclatantes Symphonies, les actions célèbres du Saint , et ceux qui étaient autour du Char de la Renommé
ala dans cette Fête, des richesses immenses. L’image seule du nouveau Saint fut enrichie de plus d’un million de pierreries.
15 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Conclusion du traité contre les danses. » pp. 215-216
ne, et qu’il donne la force de le pratiquer. C’est donc cette onction sainte que toutes les personnes qui liront ce traité doi
vrai, tout ce qui est honnête, tout ce qui est juste, tout ce qui est saint , tout ce qui est aimable, tout ce qui est d’édifi
16 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre XII. Ceux qui ont quelque autorité doivent, autant qu’ils le peuvent, s’opposer aux Danses, et empêcher d’y aller ceux et celles qui dépendent d’eux. » pp. 132-147
-même, en voyant que cette ville étoit si attachée à l’idolâtrie. Ce saint apôtre dit lui-même, en écrivant aux Corinthiens 
-dire tenté et porté au péché) sans que je brûle ? C’est comme si le saint apôtre disoit : Je ne puis voir Dieu offensé, et
nnes dont ils sont chargés ! Est-ce ainsi qu’ont parlé des danses les saints qui nous ont précédés ? et n’ai-je pas fait voir
i exacte que judicieuse dont il a fait usage en écrivant les vies des saints . (M. Baillet, vie de saint Eloy, au premier décem
ons durèrent un an entier, et ce ne fut qu’à la fête suivante, que le saint évêque, ayant reçu leurs soumissions et celle de
accordant la cessation des maux qu’ils souffroient, qu’aux prières du saint évêque. L’exemple de ces malheureux frappés de Di
nd sommeil, mais ils sont encore enfoncés dans une profonde mort. Les saints pères ont fortement parlé contre les mères qui, p
cquitter de ce qu’ils doivent à ceux dont ils sont chargés. Ce que le saint docteur dit sur cela est si beau et si touchant,
17 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur les fêtes nationales] — Lettre v. sur le mème sujet. » pp. 137-140
, de plus ingénieuse ni de plus mémorable, que celle qui fut donnée à St . Cloud le 18. Brumaire, an 8. Cette fête étoit al
ntôt tout le troupeau est dans la plaine. Voilà juste ce qui arriva à St . Cloud, et certes cette troupe bondissante n’étoi
sés d’un harnois qui auroit rallenti leur course rapide, ils quittent St . Cloud dans le plus grand incognito, pour voler à
18 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre VI. Objection : Il faut se récréer quelquefois. » pp. 179-187
’assister (non par routine, mais avec religion et recueillement) à la sainte messe et aux offices publics, mais encore de fair
e spectacles pour se réjouir que leurs fêtes, leurs sacrifices, leurs saintes cérémonies. Gens simples et naturels par leur ins
se qu’on vient d’entendre, est de l’homélie 37 sur saint Matthieu. Le saint docteur y parle en ces termes contre les spectacl
s associés au chœur des chérubins, et qui entrons en société avec les saints , d’être néanmoins pires en ce point que les Barba
sticité destituée de fondement, puisqu’elle est toute appuyée sur les saintes Ecritures. D’ailleurs, le grand Bossuet avoit l’e
19 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 3 mars : Mascarade — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 9 mars 1669 »
Effets de Phœbus. 120. C’est dans son Étampe de la Tentation de ce St . 121. sic.
20 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1660 — 19 août : Ballet du Mariage du Lys et de l’Impériale accompagnant la tragédie de Collège Clementia Christiana — La Muse historique de Loret — Loret, lettre du 21 août 1660 »
Excellemment représenta, Et dignement s’en acquitta : Sujet bien plus saint que profane, Que le savant Père Dozane De Falaise
21 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 29 janvier. Le « vendredi » de Mlle Nérys. »
rochés et lamés, à relier le corps de la danseuse au cadre de l’image sainte . Aussi, malgré certains excès somptuaires qui d’a
22 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XVI. » pp. 160-172
les plus brillans succès. On vient de réprésenter, tout récemment, à St . Petersbourg mon ballet de Médée, et la sensation
x que la nature a soumis à leurs pinceaux ; et tout ce que les livres saints , la poésie, la fable et l’histoire leur offrent d
ionné par le génie et approuvé par l’imagination, a tracé la peste de St . Hoch, le massacre des Innocens, celui de la St.
, a tracé la peste de St. Hoch, le massacre des Innocens, celui de la St . Barthelemi ; et il n’est pas douteux qu’un jour
23 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre VI. Témoignage d’Auteurs et de Ministres protestans contre les Danses. » pp. 72-93
mploient tout ce traité à montrer par un grand nombre d’autorités des saintes Ecritures et des Pères, et par les plus fortes ra
ole de Dieu leur ordonne, « pour conserver leur âge tendre en un état saint et honnête, dira toujours que la danse leur est e
ir ou de prendre plaisir à le voir faire et de le faire selon que les saints personnages anciennement prononçoient contre ceux
ux hommes et aux femmes de se trouver ensemble ; mais seulement en de saints actes, et avec une telle prudence, que les fins,
ictions parmi ce qui se passe de mauvais dans les danses ? Les choses saintes se doivent traiter par des moyens saints et légit
ans les danses ? Les choses saintes se doivent traiter par des moyens saints et légitimes ; et celui qui veut faire une bonne
24 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre II. De la Danse Sacrée des Hébreux, des Chrétiens dans la primitive Eglise, & des Payens, depuis son origine jusqu’à présent. » pp. 33-58
isée au chant d’un hymne qui exprimoit les vœux du peuple. L’Histoire sainte nous fait voir combien la danse Sacrée étoit en v
es en faisoient la dépense, & y convioient les pauvres ; quelques saints Docteurs les ont regardées comme les noces de l’E
lises, pour danser en rond au chant des Hymnes & des Cantiques du Saint dont l’on solemnisoit la fête, & particuliere
du Limousin, le peuple danser en rond dans le chœur de l’Eglise de ce Saint , & qu’à la fin de chaque Pseaume, au lieu de
z soient tenus ès Fêtes Solemnelles de Pâques, Pentecôte, de tous les Saints , Noël, S. Sacrement, de la Vierge, de l’Ascension
25 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre premier. Justes idées sur les Danses contre lesquelles on écrit. » pp. 2-10
n éloigner et de se les interdire. Nous tirerons ces preuves, 1.° des saintes Ecritures ; 2.° des saints pères et des saints do
rdire. Nous tirerons ces preuves, 1.° des saintes Ecritures ; 2.° des saints pères et des saints docteurs de l’Eglise ; 3.° de
ces preuves, 1.° des saintes Ecritures ; 2.° des saints pères et des saints docteurs de l’Eglise ; 3.° des conciles ; 4.° des
26 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre IX. Objection : Si l’on défend les Danses, on abandonnera l’usage des sacremens. » pp. 206-207
à la vérité la douleur de se voir souvent abandonnés de ceux à qui la sainte vérité de l’Evangile déplaît, et qui veulent être
27 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre XI. Des danses Baladoires, des Brandons, etc. »
mes qui s’étaient glissés dans la Danse sacrée des Chrétiens. La joie sainte des solennités, qui, en passant de l’âme jusqu’au
28 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre premier. Réponses aux objections qu’on fait pour affoiblir, et détruire même, s’il étoit possible, ce qui a été dit contre les Danses. » pp. 149-150
ns donc pas surpris de voir les païens contre dire la vérité de notre sainte religion, et les hérétiques la vérité de nos dogm
29 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre X. » pp. 64-66
parlerai point, Madame, des directions des Bontemps, des Berger, des St . Germain, des Tresfontaine, des Thuret, des Rebel
30 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre XI. On doit non-seulement éviter les Danses, mais on doit même éviter, autant qu’on peut, d’être présent aux danses. » pp. 126-131
conforme aux principes de la religion et si solidement prouvé par les saintes Ecritures, qu’il ne peut être que très-utile de l
n complice et compagnon des vices de l’autre. C’est ici plutôt que la sainte et constante hardiesse chrétienne se doit montrer
31 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse ancienne »
l’avis des vieillards d’Israël. Lib. Jud. cap. ult. Lorsque la nation sainte célébrait quelque événement heureux, où le bras d
omposées par le sacerdoce. C’est dans une de ces circonstances que le saint roi David se joignit aux ministres des autels, et
its d’un Dieu sauveur. Les persécutions troublèrent plusieurs fois la sainte paix des Chrétiens. Il se forma alors des congrég
orte des églises la veille des grandes fêtes ; et la pleins d’un zèle saint , ils dansaient en chantant les cantiques, les psa
t Grégoire de Nazianze prétend même que celle de David devant l’arche sainte , est un mystère qui nous enseigne avec quelle joi
danses solennelles en l’honneur de nos mystères et de nos plus grands saints . Toutes les veilles des fêtes de la Vierge, les j
32 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre VII. De la Danse sacrée des Juifs »
ent de force, sur l’avis des Vieillards d’Israël14. Lorsque la Nation sainte célébrait quelque événement heureux où le bras de
33 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre XII. » pp. 70-72
in 1781. Alors M. le Noir, architecte, construisit, sur le Boulevards St . Martin, une très-belle salle d’opéra en soixante
34 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Approbation. De M. l’Abbé Richard, Doyen des Chanoines de l’Eglise Royale & Collégiale de Ste Opportune à Paris, Prieur-Seigneur de l’Hôpital, &c. Censeur Royal. » pp. -
é Richard, Doyen des Chanoines de l’Eglise Royale & Collégiale de Ste Opportune à Paris, Prieur-Seigneur de l’Hôpital,
35 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre VIII. Témoignages des Païens même contre les Danses. » pp. 99-101
n n’a pas honte de refuser de se rendre aux vérités révélées dans les saintes Ecritures et dans la tradition, et enseignées una
36 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre VI. De l’origine des Bals masquez. » pp. 146-160
i ce qu’il put pour m’attirer à sa Religion, me disant que j’avois un Saint de ma famille parmi eux ; c’est Théodore de Beze,
mon grand oncle maternel : je lui dis que j’avois vu une Lettre de ce Saint écrite à ma grand’mere, où il lui mandoit de rest
37 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre IV. De quelques Danses des Grecs »
le firent recevoir sans examen et sans obstacle. La Fête commence. Un saint zèle dicte les Chants, et anime la Danse. Toute l
38 (1823) De l’art de la danse , considéré dans ses vrais rapports avec l’éducation de la jeunesse (3e éd.) « Introduction. » pp. -
Rouge, institua des fêtes et des danses ; David dansa devant l’Arche sainte  : Socrate apprit à danser d’Aspasia ; Épaminondas
39 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 5 juin. Les deux Sacres. »
nt un branle, épaule à épaule, avec toute la préciosité angélique des saintes byzantines. Puis elles désignent et saluent la vi
40 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse moderne »
e baladoire, il se décline : ce sont les danses contre lesquelles les saints canons, les Peres de l’Eglise et la discipline ec
e vers le milieu du dernier siècle dans le chœur de l’église, dont ce saint est le patron. A la fin de chaque psaume, au lieu
41 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Préface. » pp. -
tes & dans leurs Sacrifices. Les Juifs, à en juger par les Livres Saints , ont regardé leur danse Sacrée comme un don de Di
42 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Adèle de Ponthieu. Ballet tragi-héroïque, en quatre actes. » pp. 109-120
s cette cérémonie, qui étoit pour les chevaliers l’engagement le plus saint , Renaud s’approche de sa fille, pour lui ordonner
43 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre V. » pp. 37-55
a fit exécuter avec succès. Le 21. Janvier de l’année 1681 on donna à St . Germain eu laye sur le théâtre du Château, le tr
uatre mois après la représentation qui en avoit eu lieu au Château de St . Germain. Un auteur de ce temps assure, qu’à l’im
44 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre III » pp. 27-43
pour faire parler d’elles, sont capables de tout, même de devenir des saintes Vincente de Paul. XVI L’enfant fut effectiv
45 (1908) L’École de danse de Grünewald « L’école de danse du Grünewald » pp. 261-268
r infinie douceur, et leur tendre sourire me rappela celui des images saintes qu’aima mon enfance. La musique aidant, j’eus l’i
46 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre VII. » pp. 72-80
à celui qui vous a faite venir. Après avoir lu Quintillien, Athenée, St . Augustin, et les auteurs qui ont écrit sur les t
47 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre IX. » pp. 88-96
vous le démontrer par des raisons suffisantes. En parlant des mimes, St . Cyprien s’exprime ainsi : « Le pantomime est un
48 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre IX [X] » pp. 97-106
règle toutes les infléxions de la voix, et les mouvemens de la tête, St . Augustin a adopté la même opinion ; il me semble
49 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La Rosière de Salency. Ballet pastoral. » pp. 191-203
à une demi-lieue de Noyon. On attribue l’institution de cette fête à St . Médard, seigneur de ce village, qui vivoit sous
50 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VIII. Ballerines étrangères. » pp. 176-189
démodé, le Carnaval de Venise… Là-bas, à Copenhague, — la vieille et sainte ville, enfouie au fond du Nord, qui vous apparaît
51 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « IX. L’escadron volant de la rue Lepeletier. » pp. 190-203
bert, Saville ; Anna Rust, une fillette privilégiée, musicienne comme sainte Cécile, et d’une sagesse si éclatante, que « les
52 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE VII. » pp. 110-128
oir de la monotonie de cet Art, & de la négligence des Artistes ; St . Augustin lui-même, en parlant des Ballets, dit q
53 (1852) Tableau de Paris. Chapitre XII « [Chapitre XII. Extrait] » pp. 104-108
d’amours, de coquetteries, de chants, de parfums à faire descendre un saint du ciel pour se damner dans un boudoir. Maintenan
54 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XVII. » pp. 173-184
mille lieues de Paris est tout étonné de se trouver dans l’eglise de Ste . Geneviève. Est-il question d’une forêt antique e
55 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XX et dernière. » pp. 213-241
autre chose que celui des gestes. Je me retracte donc à l’exemple de St . Augustin ; l’aveu sincère d’une faute en attenue
n grand nombre de troupes on tracera toutes les routes de la forêt de St . Germain ; voilà un grand plan, voilà un vaste de
56 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Cinquième lettre. Juste Odoard à Mlle de Nesmes, à Lyon. » pp. 92-100
e puisse m’attacher beaucoup à un fervent catholique, à une espèce de saint tel que me l’a dépeint le très chrétien M. de Sai
57 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « XII. Le foyer de la danse » pp. 270-287
r cette particularité seule : du moins, avec l’esprit restreint et la sainte ignorance que j’ai constatées tout à l’heure. Ceu
58 (1845) Notice sur Ondine pp. 3-22
? La procession de la Madone se dirige lentement vers la statue de la sainte Vierge. Il faut bien confesser ici une vérité don
59 (1936) Philosophie de la danse
r de saint Augustin, rêvant dans sa pénombre à l’embarras de ce grand saint  : « Qu’est-ce que le Temps ? Mais qu’est-ce que l
60 (1845) Notice sur Giselle pp. 3-24
chanter et le jour paraître. Si Albrecht ne quitte pas jusque-là son saint asile, elle sera sauvée, et, sublime abnégation,
61 (1845) Notice sur Le Diable boiteux pp. 3-31
e le pont de Tolède. — C’est une de ces fêtes espagnoles dont quelque saint est le prétexte, celle de san Anton, si vous le v
62 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre premier. les années d’apprentissage  » pp. 1-36
qui apparaissait alors à tous les artistes d’Europe comme une Mecque sainte , but de toutes les ambitions, ce Paris dont le no
63 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre V. marie taglioni  » pp. 156-187
’argile ou d’or. En les chassant de son enceinte, Rome prit la madone sainte Que toute famille adora : Aujourd’hui l’artiste n
64 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Paralele. DE. LA PEINTURE. ET DE. LA POESIE. » pp. 213-269
; Hésiode comme des hommes divins ; ils donnoient aussi la qualité de saints aux Poëtes qui excelloient dans cet art. Pour la
65 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VIII. victoires et revers  » pp. 262-319
s huguenotes de Meyerbeer et les juives d’Halévy étaient devenues des saintes de fresques. On prétendait même que les peintres
66 (1834) L’Opéra. Paris ou Le Livre des Cent-et-un. tome XV « L’Opéra. » pp. 366-428
us le 2 février et le 25 mars, fêtes de la Vierge, pendant la semaine sainte jusqu’au mardi après Pâques, le dimanche de la Pe
67 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les fêtes modernes »
le de Faiguet]. Il ne sera point question non plus des fêtes de notre sainte religion, dont les plus considérables sont ou ser
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