me Montessu. — Lise Noblet. — Mlle Legallois. — Pauline Leroux. — Les
sœurs
Fitzjames. — Mlles Roland, Forster, Coquillard. —
fanny elssler à paris Le voyage de Véron à Londres. — Engagement des
sœurs
Elssler. — Leurs appointements. — Réclame tapageu
de la Sylphide. — Débuts de Thérèse. — Le bal de Gustave. — Les deux
sœurs
dans Don Juan. — Les recettes de la Tempête. — Un
let. — Duponchel succède à Véron. — Qualités de Duponchel. — Les deux
sœurs
Elssler à Berlin. — Retour à Paris. — Première re
t des danses espagnoles. — Grillparzer à Paris ; son jugement sur les
sœurs
Elssler. — Première représentation du Diable boit
ns la Sylphide. — Deux principes opposés. — La Fille du Danube. — Les
sœurs
Elssler à Bordeaux. — Retour à Paris ; accident d
iable boiteux. — Adieux de Marie Taglioni. — Nourrit et Duprez. — Les
sœurs
Elssler à Vienne en août 1837. — Les feuilletons
eux Demoiselles d’Elbeuf, Princesses d’illustre Famille, J’écrivis la
Soeur
pour la Fille ; Il est certain qu’icelle Soeur A
Famille, J’écrivis la Soeur pour la Fille ; Il est certain qu’icelle
Soeur
A de l’esprit, grâce et douceur : C’est ce que j’
Taglioni créait Brezilia, Fanny dansait le ballet de Gustave avec sa
sœur
. La presse taglioniste lui sut peu de gré de sa c
rale, s’il n’avait été soutenu par Fanny et Thérèse Elssler. Les deux
sœurs
étaient dans une période d’angoisse. Il leur fall
si heureux par votre bienveillance ! Vous trouverez toujours les deux
sœurs
toutes dévouées102. » Le journaliste combla les
à celles des dieux d’Homère ; Fanny peut passer sous les jambes de sa
sœur
, comme un cygne sous celles du colosse de Rhodes
de Rhodes. » La Gazette des Théâtres, tout en reconnaissant aux deux
sœurs
un joli talent, se plaignit de la monotonie de le
t mon mal de genou103. » Les premiers rapports de Duponchel avec les
sœurs
Elssler manquèrent de cordialité. On se mit diffi
rochait. Le 4 octobre elle partait pour Berlin avec Thérèse. Les deux
sœurs
furent remplacées par Mlles Duvernay et Leroux. M
l’été maussade de Paris, le séjour à Berlin fut réconfortant pour les
sœurs
Elssler. Elles y retrouvaient leur frère et tout
chec de Berlioz. Quand le roi de Prusse se faisait présenter les deux
sœurs
et s’efforçait de les retenir dans sa capitale, i
apitale, il essayait, heureusement en vain, d’éloigner celle des deux
sœurs
qui était véritablement une grande artiste du seu
s la deuxième semaine de janvier 1836 elle rentrait en France avec sa
sœur
. Le 20 janvier elle commença par une reprise de l
premiers jours de janvier 1836, c’est-à-dire avant même le retour des
sœurs
Elssler, il faisait annoncer qu’il mettait en rép
ndrie107. Depuis Munich il avait fait route avec une cousine des deux
sœurs
, Herminie Elssler, danseuse elle aussi, qui, allé
ent avec lui un pas de trois, ne sont pas à dédaigner. Enfin les deux
sœurs
Elssler pour qui seules j’étais allé cette fois a
eut lieu à Trianon une fête où la cour et ses invités firent aux deux
sœurs
un accueil chaleureux. Il se produisit même un fa
x, léger, insaisissable, fuyant entre les mains comme les vagues, ses
sœurs
. La fille des eaux, Fleur-des-Champs, sortie d’un
es « sylphides germaniques », comme la presse bordelaise appelait les
sœurs
Elssler, arrivèrent à Bordeaux le 13 août. Elles
signol. Le programme était beaucoup plus varié que celui que les deux
sœurs
exécutaient à Paris. Il est à remarquer qu’en pro
cette danse « qu’il y avait dans la salle, des mères, des femmes, des
sœurs
, des filles ». Mais bientôt le faux point d’honne
sa joie et de sa reconnaissance, le directeur Solomé offrit aux deux
sœurs
une fête champêtre au village de la Forêt. Sur de
Marseille où elles devaient rester une quarantaine de jours, les deux
sœurs
reprirent directement le chemin de Paris. C’était
sommités ne produisirent pas l’effet désiré. Thérèse, qui soignait sa
sœur
avec un dévouement admirable, voulut qu’on fît ap
premier mérite, de l’appui, du bonheur de plusieurs familles et d’une
sœur
dont l’existence est liée à celle qui porte admir
noissance avec Electre, l’indignation de ce Prince, lorsqu’il voit sa
sœur
dans les fers, sa colère et sa fureur, lorsqu’ell
ion vive et fortement sentie. Iphise mêle ses pleurs aux larmes de sa
sœur
; elles se jettent encore sur le corps d’Agamemno
ie cette mère irritée de pardonner à la douleur et au désespoir de sa
sœur
; mais cette Reine qui craint tout de la vengeanc
Scène iv. Les etrangers sont intrnduits. Oreste, pour ménager à sa
sœur
une reconnoissance qui pourroit lui causer une ém
la même émotion, les mêmes sentimens, et se jette dans les bras de sa
sœur
; il lui présente son ami fidèle ; et Electre lui
e sa sœur ; il lui présente son ami fidèle ; et Electre lui montre sa
sœur
Iphise qui étoit au Berceau lorsqu’il quitta Mycè
geur ne devienne la troisième victime de la fureur d’Egisthe, prie sa
sœur
et engage ses femmes à veiller à la conservation
e par les ennemis de sa famille. Scène v. Oreste, qui voit ses
sœurs
et leurs femmes en deuil, demande à Electre la ca
il se jette dans les bras de Pylade, puis courant dans les bras de sa
sœur
, il se saisit du poignard, et veut aller chercher
ard, et veut aller chercher Egisthe pour le percer de mille coups. Sa
sœur
et Pylade l’arrêtent. Scène vi. Dans ce mo
tte nouvelle, Oreste veut l’attendre et lui donner la mort ; mais ses
sœurs
suspendent un instant sa vengeance et le détermin
s ses forfaits. La jeune Iphise, craignant tout des emportemens de sa
sœur
, et du ressentiment d’Egisthe, tombe a ses genoux
sthe, tombe a ses genoux pour le calmer, mais Electre, appercevant sa
sœur
dans cette posture humiliante, recule d’indignati
ne terreur soudaine, il se retourne, voit une femme expirante, et ses
sœurs
en larmes ; il marche à pas chancelans, il lève d
et sans blâme, Brûle d’un constante flamme ; Enfin et le Frère et la
Sœur
De ce célèbre GOUVERNEUR Montraient aussi dans ce
Le Roi ; sa Femme : Madame ; son Frère : le Marquis de Villeroy ; sa
Sœur
: Mademoiselle de la Vallière. CEUX QUI CHANTÈREN
isse et le considérant d’un œil curieux, elle s’écrie en fuyant : Mes
sœurs
! il a des ailes, c’est un oiseau, ou peut-être c
aux débats. L’enjouée Thalie, toujours fertile en expédiens, tire ses
sœurs
à l’écart : elle leur propose de former des guirl
e elles, soutient que c’est une barbarie. Approchons, dit-elle, à ses
sœurs
, il nous prie avec tant de grace ! il est dailleu
ur promet de les conduire à Paphos. Vous serez, leur dit-il, aimables
sœurs
, vous serez, sous le nom chéri des Graces, l’orne
Arcadiennes, sans malice, sans méchanceté, comme si elles étoient ses
sœurs
, et ces filles charmantes qui réunissent ce qu’on
, y trouve son excuse ; elle dit à Lycénion, qu’elles ont trouvé, ses
sœurs
et elle, une chose rare, mais charmante ; elles c
écipite dans leurs bras, et s’écrie en les embrassant ; Vous êtes mes
sœurs
, vous êtes les Graces ! Scène V. Tant de p
dre témoins de cette union, paroît dans le lointain avec ses aimables
sœurs
: leur présence embellit tout, leur influence rép
mour je jette dans les bras de sa mère et lui présente ses charmantes
sœurs
, qui, après avoir reçu de la déesse les plus tend
gères s’empressent à leur rendre le même hommage ; les trois aimables
sœurs
leur promettent de règner toujours invisiblement
nait moins en sa faveur ; sa taille était plus élevée que celle de sa
sœur
. Fanny désirait beaucoup venir à Paris ; elle m’a
nt, elle résista à mes propositions d’engagement pour elle et pour sa
sœur
, qu’elle dominait. Je leur offris cependant, comm
e chiffre de 40 000 francs auquel Véron prétend avoir engagé les deux
sœurs
sonne bien et donne une haute idée de sa munifice
aussi le produit d’une représentation à bénéfice à laquelle les deux
sœurs
avaient droit pour la durée triennale de leur eng
trois mois de congé que l’engagement accordait chaque année aux deux
sœurs
, ou encore par un rachat de congé, c’est-à-dire p
sensiblement supérieur, comme on le voit, au total de ce que les deux
sœurs
pouvaient gagner ensemble, c’était un de ces coup
tion du public en éveil se multiplient. Ils donnent les noms des deux
sœurs
, indiquent leur taille et la nature du talent de
tendeurs ce demi-mot pouvait suffire. En attendant l’arrivée des deux
sœurs
que leurs obligations retenaient encore à Londres
t de 19 163 fr. 54. Lorsque, dans la deuxième semaine de juillet, les
sœurs
Elssler vinrent à Paris, la réclame fit entendre
son mieux, tout en étant elle-même profondément troublée, et les deux
sœurs
, prises d’un accès de piété, comme dans toutes le
d amateur de l’Opéra de Vienne, d’un fidèle et fervent admirateur des
sœurs
Elssler, que jamais le fils de Napoléon (puisqu’i
vernay, Mlle Jawureck ; la loge la plus en vue avait été réservée aux
sœurs
Elssler. Entre la beauté imposante de Thérèse et
premier soir où elle affrontait le public parisien, de l’appui de sa
sœur
. Fanny était habituée à danser avec Thérèse. Cell
oir son dévouement doublement récompensé, par le succès complet de sa
sœur
et par la sympathie que lui témoignèrent à elle-m
ateurs touchés d’une telle abnégation. Un autre spectacle où les deux
sœurs
parurent ensemble à la fin de l’année 1834 fut le
Eliza. Zirca, Père d’Eliza, Cacique. Fatmé, mère d’Eliza. Amazili,
sœur
d’Eliza. Négotians Européens, Habitans de la Pens
e il se décide a sortir par un des flancs du théâtre, il rencontre sa
sœur
, qui vient pour retrouver Belton ; elle reçonnoit
qu’il est digne d’être son frère. L’Indien est touché. Il embrasse sa
sœur
; elle l’engage à venir dans son logis ; il se dé
leve vers le ciel. Belton, prodigue ses tendres caresses à Amazili sa
sœur
; il est uni à sa chere Eliza. La joie et l’allég
gère, Quand notre HÉROÏNE est BERGÈRE, Dans le grand BALLET des Neufs
SŒURS
, Fait trembler les Loups ravisseurs, Comme l’a mi
ante et belle D’une fameuse Demoiselle Que l’on met au rang des neufs
Soeurs
,55 Pour ses poétiques douceurs. Plusieurs ravi
us disiez point, SEIGNEUR, Que CHARLES, ROI D’ESPAGNE, épousait votre
SŒUR
Et que, comme on était à Table, Un COURRIER MASQU
lceste, épouse d’Admète. Hercule. Lycomède, Roi de Scyros. Ismène,
sœur
d’Alceste. Les deux enfans d’Alceste. Apollon. L
ne qui a les yeux fixés sur son vaisseau, de vouloir y monter avec sa
sœur
et ses femmes, pour en examiner l’intérieur. La R
pour en examiner l’intérieur. La Reine, vivement sollicitée et par sa
sœur
et par le perfide Lycomède, accepte la propositio
a mort, pour lui conserver la vie, et il la lui montre entourée de sa
sœur
, de ses enfans et de ses femmes ; Admète s’approc
r les planches. Cela ne signifie pas que le frère ait désapprouvé les
sœurs
, mais tout au plus qu’il y avait divergence de go
-être un peu Frère Pacifique ; cependant il ne cessera pas de voir sa
sœur
, et il ne faudrait pas jurer qu’au fond de son co
e Horchelt, ils citent la petite Heberle, Angioletta Mayer, les trois
sœurs
Schrœder, et d’autres encore. Jamais ils ne nomme
ut donc lieu. Ce fut en septembre 1830. Fanny était accompagnée de sa
sœur
Thérèse qui dansait, elle aussi, avec un certain
consommée, un goût très sûr et un remarquable sens musical. Les deux
sœurs
débutèrent ensemble le 8 octobre dans la Laitière
ques de faveur ne comptaient que parce qu’elles facilitaient aux deux
sœurs
les débuts dans la carrière et les posaient dans
air d’ingénuité ; sa tête charmante ne semble pas, comme celle de sa
sœur
, la copie d’une statue antique ; c’est une beauté
se alliance de la nature et de l’art. On pouvait prévoir que les deux
sœurs
occuperaient une place très différente dans l’his
à peine à l’abri du besoin. Alphonse Royer dit qu’il voyait les deux
sœurs
« quitter le soir le théâtre de la Porte de Carin
éficia de cette soif de plaisir. La Fée et le Chevalier, que les deux
sœurs
apportaient pour la première fois de Vienne à Ber
et flattent les sens ? » La saison théâtrale de Vienne, où les deux
sœurs
revinrent en février 1832, ne différa guère de ce
érusalem délivrée, de Théodosia, de Barbe-Bleue, et se remit, avec sa
sœur
, en route pour Berlin. Les représentations de Bar
Robinet, lettre du 26 décembre 1666 L’auguste BALLET des NEUFS
SŒURS
, Où l’on voit d’excellent Danseurs, Divertit touj
Mademoiselle Henriette. — Mademoiselle Leroyer. — Les deux nouvelles
sœurs
Lyonnet. — Mademoiselle Mélanie. — Mademoiselle C
pant de mademoiselle Leroyer des Folies-Dramatiques. Ce sont les deux
sœurs
Lyonnet du boulevard du Temple. X Mélanie j
e ce côté-là. Espérons qu’il en sera toujours de même ! XII Les
sœurs
Paurelle, Elmyre et Maria, sont entiées eu même t
le qui travaille la comédie, au Conservatoire, et dont elle semble la
sœur
jumelle. Aux cartes, sa couleur préférée est le p
appelle familièrement la Sous-Préfète. Peut-être est-ce à cause de sa
sœur
. Mademoiselle Biot IIe est restée éloignée du thé
ein midi — et cherchez ! Isabelle Ottolini Aussi brune que sa
sœur
est blonde. La taille moins fine que le crayon de
dire f…, et passer outre. Henriette Stilb — Ce sont les deux
sœurs
, dit Philippe d’Aulnay à Buridan, au premier acte
uerite de l’apothéose. C’est la plus séduisante des blondes comme sa
sœur
est la plus succulente des brunes. Celle-ci, tail
oit une de ses artistes arriver, éplorée, dans son cabinet. Sa petite
sœur
, qui ne la quittait jamais d’une semelle, lui mar
, j’en suis sûr… Mais comment avez-vous pu faire ?… Avec votre petite
sœur
, qui était sans cesse à vos côtés ?… Ici, la peti
votre petite sœur, qui était sans cesse à vos côtés ?… Ici, la petite
sœur
s’avance… Et, ouvrant son manteau avec le même ge
tés Ont du renom de tous côtés. Deux charmantes Fleurs de jeunesse,
Sœurs
de la précédente Altesse, Savoir Alençon et Valoi
, dès l’âge de douze ans, Ravissait Cour et Courtisans. Deux jeunes
Sœurs
belles et sages, Qui charment tout par leurs visa
utzmann, d’une voix frêle et caressante. Elle avait l’air d’une jeune
sœur
de cette admirable miss Booth, qui fonda l’armée
ténue à lutter, car elle est à peu près seule à avoir la foi, avec sa
sœur
, miss Élisabeth Duncan, qui est, en fait, la dire
directrice de l’École du Grünewald. Intelligente et fine, adorant sa
sœur
comme une déesse, elle a sacrifié sa vie à son ad
expirait le 27 avril 1837. L’Opéra comptait — depuis trois ans — les
sœurs
Elssler dans ses cadres. L’engagement ne fut poin
— La cachucha sur tous les théâtres. — Danses hongroises. — La grande
sœur
. — Sa chère fille ! — Accusation de matérialisme.
. Véron fit un voyage à Londres. Deux Viennoises l’y attiraient : les
sœurs
Elssler, — Fanny et Thérèse, — qui dansaient, dep
it beaucoup occupé d’une prétendue passion que la plus jeune des deux
sœurs
aurait inspirée au duc de Reichstadt. En ce temps
ssé voleter tranquillement de Schœnbrunn à Paris. M. Véron offrit aux
sœurs
Elssler un engagement de quarante mille francs pa
ougueux pronunciamientos de Théophile Gautier, la Dolorès Serral, les
sœurs
Fabiani et la Manuelita Dubinon n’étaient point p
donnait un caractère de vigueur joyeuse tout à fait irrésistible. Sa
sœur
Thérèse lui servait le plus souvent de partenaire
ule, la Gipsy, la Volière, — ce dernier ballet avait été réglé par sa
sœur
, — et reprit plusieurs rôles de Taglioni : la Mue
uille ne renfermait que des billets de loterie. *** En 1840, les deux
sœurs
partirent pour Rome. Elles passèrent de là en Amé
qui avait tenu à l’Opéra un emploi secondaire sous le règne des deux
sœurs
, jalouse des succès transatlantiques de celles-ci
; qu’elle a néanmoins pris en faveur de l’Histoire de la Danse, comme
sœur
de la Musique : c’est une cadette qui n’a pas bes
es aux serment d’obéissance qu’il exige d’elles ; Hypermnestre et ses
sœurs
s’avancent vers l’autel ; elles posent respectueu
du crime, que son père exige d’elle, tombe à ses genoux ainsi que ses
sœurs
; en vain elles veulent révoquer leurs sermens ;
permnestre livrée à la douleur fait tous ses efforts pour engager ses
sœurs
à renoncer à un projet si horrible ; mais celles-
e en Béarn, que de réjouissances et de galanteries. Le goût de Madame
sœur
du Roi pour ces divertissements lui était une res
primés. Il n’avait pas ce bonheur tous les jours. *** L’été venu, les
sœurs
Elssler allèrent passer leur congé à Vienne. Elle
ête de la gloire n’avait pas exigé certains sacrifices et si les deux
sœurs
, dans leur séjour à l’étranger, n’avaient pas per
s, l’autre au profit d’un malheureux directeur de théâtre. « Ces deux
sœurs
exceptionnelles, dit l’Allgemeine Theaterzeitung,
126 ». Quelque chose aurait pu gâter l’agréable souvenir que les deux
sœurs
laissaient aux Viennois : ce fut la violence avec
de la popularité fut atteint le 5 mai 1838, jour du bénéfice des deux
sœurs
. Le programme comprenait le second acte du Mariag
nseuse. « La représentation annoncée pour son bénéfice et celui de sa
sœur
ne saurait manquer d’être extrêmement fructueuse,
l des locations s’éleva à 23 597 francs ; les frais déduits, les deux
sœurs
touchèrent 18 467 francs. Le bénéfice de Nourrit,
numéros du programme n’eussent pas produit l’effet attendu, les deux
sœurs
avaient lieu d’être satisfaites. Paris les avait
journal blessait Fanny dans ses plus chères affections, en jugeant sa
sœur
avec cruauté. Mlle Thérèse Elssler, disait-il, n’
lle est fort insignifiant ; elle a été de tout temps le compère de sa
sœur
et c’est dans les beaux jours de Fanny que l’on a
e succès de Mlle Fanny Elssler diminue un peu, on n’applaudit plus sa
sœur
, et cela est bien simple : il faut partager frate
premiers jours de mars, elle se rendit en Angleterre, pendant que sa
sœur
se dirigeait sur Hambourg. Elle fut rejointe à Lo
anse sacrée des Juifs Après le passage de la Mer Rouge, Moïse et sa
Sœur
rassemblèrent deux grands Chœurs de Musique, l’un
yal spectacle, Faisant l’Apollon à miracle, Et dansant avec les neufs
Sœurs
, Parut un des meilleurs Danseurs. Bref, les aut
deux Curiaces , ses frères. Procule , Sénateur Romain. Camille ,
sœur
des Horaces, amante de l’ainé des Curiaces. Ful
. Camille, les trois Horaces. Les Horaces viennent embrasser leur
sœur
et lui dire peut-être un éternel adieu. Ce moment
e l’amour de la patrie l’a entraîné au parricide, il s’élance vers sa
sœur
; on l’arrête, et cette scène, offre un grouppe g
ame Alexis Dupont. — Louise Fitz-James. — Albertine Coquillard. — Les
sœurs
Dumilâtre. — Les sœurs Marquet. — Emma Livry.
uise Fitz-James. — Albertine Coquillard. — Les sœurs Dumilâtre. — Les
sœurs
Marquet. — Emma Livry. Emilia Bigottini C
de son talon, qu’une chaussure trop vieille refusait de couvrir ; la
sœur
des Grâces gesticulait fort peu, de crainte qu’on
a porte de l’élève de Terpsychore. » Madame Paul Montessu La
sœur
de Paul l’aérien. « C’est, écrit l’un de ses bi
s dans le brouillard d’Ecosse, apparaissait la Dolorès Serral que les
sœurs
Elssler et les danseuses à leur suite allaient co
lle et tricota… des jambes. Madame Alexis Dupont C’était la
sœur
de Lise Noblet et la femme du chanteur à la voix
es Sophie et Adèle Dumilatre Le Charivari les avait baptisées les
sœurs
demi-lattes. C’est ce qui faisait dire à Perpign
ouillard et l’air impur ! Ainsi parlent les sorcières de Macbeth. Les
sœurs
du Destin se sont prises par la main, elles vont
a Sylphide, voltigent d’une aile timide et cadencée les sylphides ses
sœurs
; l’air est rempli de suaves mélodies, la campagn
sion a disparu pour ne plus revenir. — Les sylphides ont emporté leur
sœur
expirée comme une fleur brisée avant le soir. Qua
orcière regardant d’un œil narquois cette mort funeste. Cependant les
sœurs
de la Sylphide descendaient des nuages portant le
sa rage ; il les faisoit immoler aux autels de Diane, dont Iphigénie,
sœur
d’Oreste, étoit grande prêtresse. Ce Prince et so
vent le charger. Oreste, au moment d’être sacrifié est reconnu par sa
sœur
, et Pylade, qui n’avoit joint son vaisseau, que p
reuse. Arbas se charge de la lettre d’Iphigénie adressée à Electre sa
sœur
; il ne doit la remettre à Pylade, que lorsqu il
dans ceux de son ami et ne les quitte que pour voler dans ceux de sa
sœur
. Diane paroît dans un nuage avec les attributs de
aron d’Auguy. Mademoiselle Lolotte devint comtesse d’Hérouville et sa
sœur
, marquise de Saint-Chamond. Fanny Elssler s’unit,
anny Elssler s’unit, de la main droite, à un banquier allemand, et sa
sœur
Thérèse, de la gauche, au prince Adalbert de Prus
; Andrée Mérante, à Bois-Colombes ; Fiocre-Collin, à Courbevoie ; sa
sœur
, rue de Courcelles ; Beaugrand, à Asnières, et Ri
aussi subi des pertes douloureuses. Et c’est Bronislava Nijinska, la
sœur
de Vatslav au nom glorieux, qui détient le comman
fin du jour, Avec une assez noble Cour, C’est-à-dire Mademoiselle, Sa
Soeur
d’Alençon avec elle, Et plusieurs Princes, mêmeme
de roses. On dit qu’il donna lui-même ce prix glorieux à l’une de ses
sœurs
, que la voix publique avoit nommée pour être Rosi
conduite irréprochable, mais que son père, sa mère, ses frères et ses
sœurs
soient eux-mêmes irrépréhensibles. Depuis ce tems
er à la fin de la représentation. Hérivaut ou Hairivaux, — la
sœur
cadette d’Esther Duparc, une demi-mondaine qui vé
tant Régnier, de l’Ambigu ; Guénia, que Faure protégeait ; Subra, la
sœur
aînée de celle d’aujourd’hui, qui allait jouer la
t de Peste, et font vœu, De ne jamais, aimer son Jeu, Quoi que Flore,
Sœur
de Pomone, Très fortement, les y semone, En leur
ar-dessus le marché n’est pas fameux. Ce soir je vais voir la Garcia,
sœur
de la Malibran. On prétend qu’on n’a jamais vu un
mais elle a le bon esprit de dire quelle n’est venue que pour voir sa
sœur
, que peut-être elle donnera un concert. Elle a su
tissaient que de gémissements. Chaque Citoyen pleurait une fille, une
sœur
, une amante. On entend alors une jeune fille qui
délices d’une époque plus raffinée : Elssler ! Taglioni ! Carlotta,
sœurs
divines Aux corselets de guêpe, aux regards de ho
Caresse De beaux Galants, à blondes Tresses. Apollon, avec les neuf
Sœurs
, Qui plaisent fort aux Spectateurs, Bacchus, de m
t et leste, Mais achevons, vite, le reste. La belle Affligée a deux
Sœurs
, Qui, de ses maux, font leurs douceurs, Par un ef
i avons vécu ensemble dans la plus grande intimité, comme deux vraies
sœurs
. Gab est beaucoup plus jeune que moi et me porte
ent, une fleur d’or surhumaine s’allonge vers le ciel. Elle n’est pas
sœur
des fleurs terrestres qui sur nos âmes endolories
x de leurs mères ; celle-ci retrouve son frère ; celle-là embrasse sa
sœur
; le jeune Hyménée est entouré par ses amis. Cett
Domaine) Surintendante chez la Reine. D’Elbeuf la Fille, et non la
Sœur
, Dont les yeux ont grande douceur, Dont la face e
ne saurions dédaigner cette hautaine retenue, cette douce sévérité de
sœur
converse qui respecte par-dessus tout la règle de
ie les bords féconds de l’Éridan, l’ambition des fils de Clymène, ses
sœurs
changées en ces arbres précieux d’où l’ambre déco
York, et il n’était pas arrivé à savoir si sa mère, ses frères et ses
sœurs
étaient morts ou en vie. Peu de temps après notre
st dit dans le livre de l’Exode (c. 15, v. 20.) de Marie prophétesse,
sœur
d’Aaron : que célébrant, avec Moïse et les enfans
ve-t-on plus facilement rien qui y ressemble dans l’exemple de Marie,
sœur
de Moïse et d’Aaron, laquelle tenant un tambour à
s voilà toutes !… Ohé ! Se penchant sur la balustrade. — Bonjour, mes
sœurs
. Alida , d’en bas. Salut, Alice ; est-ce que t
uc de Joyeuse et Marguerite de Lorraine Fille de Nicolas de Vaudemont
sœur
de la Reine, furent fiancés en la Chambre de la R
tres « unités » enfin furent introduites à Londres par Mlle Nijinska,
sœur
du danseur illustre : « Jean le simple » très mou
Ponthieu . Raymond de Mayenne , amant secret d’Adèle. Gabrièle ,
sœur
d’Adèle. Alphonse , chevalier Espagnol, à qui A
sse faire voir : il y a longtems qu’elles ont été reconnues pour deux
sœurs
qui se ressemblent si fort en toutes choses, qu’e
r leurs esprits. Mais quoique la Peinture & la Poésie soient deux
sœurs
qui se ressemblent en ce qu’elles ont de plus spi
eux arts, lesquels peuvent se raporter aussi à la Musique comme trois
sœurs
inséparables, par rapport aux arts qui sont commu
e Traité de la Peinture & de la Poésie, que je regarde comme deux
sœurs
, que la jalousie entretient dans la discorde depu
des explications : il n’a que trois ans et demi. Mais son frère et sa
sœur
lui ont tellement farci la tête du nom de Loïe Fu
rotégée, l’ambassadrice se souvint de l’avoir déjà vue danser chez sa
sœur
à Chicago quelques années auparavant. La danse, à
ien à ce fardeau domestique, qu’elle en arriva à porter sa mère et sa
sœur
. Si la place ne lui eût manqué, elle en eût porté
rères d’Onorato étaient comme lui danseurs et chorégraphes. Sa femme,
sœur
du célèbre compositeur Boccherini, était elle aus
Jules Romain au palais du T à Mantoue. Les Titans remettaient à leur
sœur
trois urnes de métal dont ils faisaient présent a
t Nicola Molinari, Giuseppe Bocci, Luigi Costa, enfin Céleste Viganò,
sœur
de Salvatore qui eut un talent extraordinaire pou
& qui mérite à tous égards l’indifférence & le mépris de ses
sœurs
. Nous connoissons parfaitement le nom des hommes
ontemporaine de Fanny Bias était Lise Noblet, la plus connue de trois
sœurs
, dont la seconde, Mme Alexis Dupont, dansait, com
grettait qu’elle ne se contentât point de chanter. Nathalie avait une
sœur
, Louise, devenue légendaire à cause de sa maigreu
léofas rayonnant, essaie de lui faire comprendre que Bellaspada et sa
sœur
ne convoitent que ses prétendues richesses, et le
omber une à une les plumes de paon dont le geai s’était paré, tire sa
sœur
par le bras et s’éclipse discrètement. Florinde,
petite mine, que je me mis à causer avec lui. Il avait cinq frères et
sœurs
; il faisait tout ce qu’il pouvait trouver à fair
nny se rendait à Berlin où elle était engagée pour deux mois, avec sa
sœur
Thérèse. Comment Gentz avait-il pu consentir à ce
nt un ennui : c’était la présence, presque inévitable, de Thérèse, la
sœur
aînée, la Minerve au front majestueux. Rahel sent
où j’entre, dit-elle, elle était assise en train de préparer pour sa
sœur
et pour elle-même de ses mains souveraines des g
te de personnelle. » Rahel voit avec effroi venir le jour où les deux
sœurs
partiront. « Ce sera alors, dit-elle, la nuit som
nt préférer le veau. Je marchais, — un matin, — dans les semelles des
sœurs
Fiocre qui s’en revenaient du marché. L’une disai
s d’être plus correctes. « …………… Terpsicore27… « D’Euterpe28 aimable
sœur
, comme Euterpe on l’encense, « Et mariant sa marc
après le passage de la mer Rouge, l’an 2545 du Monde. Moïse & sa
sœur
Marie formerent deux grands chœurs de Musique, l’
ans. Chose extraordinaire : elle s’aventura par delà les mers sans sa
sœur
Thérèse, sa compagne dévouée, sa partenaire si ut
nier moment le cœur lui manqua ; elle resta en Europe. A défaut de sa
sœur
, Fanny emmena sa cousine germaine, Catherine Prin
de le Diable boiteux, la Gypsi et la Tarentule. Il attendait les deux
sœurs
Elssler pour la fin de novembre 1842. Mais au der
brit la vieillesse de Fanny. Elle fut infiniment plus heureuse que sa
sœur
Thérèse dont la destinée avait été, en apparence,
t partie du culte reçu. Après le passage de la mer Rouge, Moïse et sa
sœur
rassemblèrent deux grands chœurs de musique, l’un
ner la danse De Camargo. Mlles Mariette et Poulette Les deux
sœurs
. La première eut tant d’influence à l’Opéra que,
solemnité du mariage du Duc de Joyeuse avec Mademoiselle de Vaudémont
sœur
de cette Reine ; toute la Cour, hommes & femm
om de l’étranger) croit reconnoître à l’approche de cette chaloupe sa
sœur
et son ami. Il regarde attentivement ; son cœur e
om de l’Etranger) croit reconnoître à l’approche de cette chaloupe sa
sœur
& son ami. Il regarde attentivement ; son cœu
e, fit une carrière honorable à l’Opéra sous l’Empire. Elle avait une
sœur
, réputée pour sa beauté, qui, devenue la femme d’
ndre témoins de cette union paroit dans le lointain avec ses aimables
soeurs
. Leur présence embéllit tout ; leur influence rép
ût renaîtra. Pour prouver aux esprits vulgaires, « Que les muses sont
sœurs
, que les beaux-arts sont frères1, » Ce qu’Aristot
ully raconte dans ses Mémoires le fait suivant, en parlant de Madame,
sœur
du Roi. « Elle eut la bonté de m’apprendre elle-m
r, sous la tiretaine de la fermière, même sous le sarrau de serge des
sœurs
de la sagesse, partout la Lorette se trahit à l’œ
de Joyeuse et Marguerite de Lorraine, fille de Nicolas de Vaudémont,
sœur
de la reine, furent fiancés en la chambre de la r
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