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1 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Table des matières » pp. 419-423
me Montessu. — Lise Noblet. — Mlle Legallois. — Pauline Leroux. — Les sœurs Fitzjames. — Mlles Roland, Forster, Coquillard. —
fanny elssler à paris Le voyage de Véron à Londres. — Engagement des sœurs Elssler. — Leurs appointements. — Réclame tapageu
de la Sylphide. — Débuts de Thérèse. — Le bal de Gustave. — Les deux sœurs dans Don Juan. — Les recettes de la Tempête. — Un
let. — Duponchel succède à Véron. — Qualités de Duponchel. — Les deux sœurs Elssler à Berlin. — Retour à Paris. — Première re
t des danses espagnoles. — Grillparzer à Paris ; son jugement sur les sœurs Elssler. — Première représentation du Diable boit
ns la Sylphide. — Deux principes opposés. — La Fille du Danube. — Les sœurs Elssler à Bordeaux. — Retour à Paris ; accident d
iable boiteux. — Adieux de Marie Taglioni. — Nourrit et Duprez. — Les sœurs Elssler à Vienne en août 1837. — Les feuilletons
2 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 13 février : Le Ballet des Amours déguisés — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 23 février 1664 »
eux Demoiselles d’Elbeuf, Princesses d’illustre Famille, J’écrivis la Soeur pour la Fille ; Il est certain qu’icelle Soeur A
Famille, J’écrivis la Soeur pour la Fille ; Il est certain qu’icelle Soeur A de l’esprit, grâce et douceur : C’est ce que j’
3 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VII. le diable boiteux  » pp. 220-261
Taglioni créait Brezilia, Fanny dansait le ballet de Gustave avec sa sœur . La presse taglioniste lui sut peu de gré de sa c
rale, s’il n’avait été soutenu par Fanny et Thérèse Elssler. Les deux sœurs étaient dans une période d’angoisse. Il leur fall
si heureux par votre bienveillance ! Vous trouverez toujours les deux sœurs toutes dévouées102. » Le journaliste combla les
à celles des dieux d’Homère ; Fanny peut passer sous les jambes de sa sœur , comme un cygne sous celles du colosse de Rhodes
de Rhodes. » La Gazette des Théâtres, tout en reconnaissant aux deux sœurs un joli talent, se plaignit de la monotonie de le
t mon mal de genou103. » Les premiers rapports de Duponchel avec les sœurs Elssler manquèrent de cordialité. On se mit diffi
rochait. Le 4 octobre elle partait pour Berlin avec Thérèse. Les deux sœurs furent remplacées par Mlles Duvernay et Leroux. M
l’été maussade de Paris, le séjour à Berlin fut réconfortant pour les sœurs Elssler. Elles y retrouvaient leur frère et tout
chec de Berlioz. Quand le roi de Prusse se faisait présenter les deux sœurs et s’efforçait de les retenir dans sa capitale, i
apitale, il essayait, heureusement en vain, d’éloigner celle des deux sœurs qui était véritablement une grande artiste du seu
s la deuxième semaine de janvier 1836 elle rentrait en France avec sa sœur . Le 20 janvier elle commença par une reprise de l
premiers jours de janvier 1836, c’est-à-dire avant même le retour des sœurs Elssler, il faisait annoncer qu’il mettait en rép
ndrie107. Depuis Munich il avait fait route avec une cousine des deux sœurs , Herminie Elssler, danseuse elle aussi, qui, allé
ent avec lui un pas de trois, ne sont pas à dédaigner. Enfin les deux sœurs Elssler pour qui seules j’étais allé cette fois a
eut lieu à Trianon une fête où la cour et ses invités firent aux deux sœurs un accueil chaleureux. Il se produisit même un fa
x, léger, insaisissable, fuyant entre les mains comme les vagues, ses sœurs . La fille des eaux, Fleur-des-Champs, sortie d’un
es « sylphides germaniques », comme la presse bordelaise appelait les sœurs Elssler, arrivèrent à Bordeaux le 13 août. Elles
signol. Le programme était beaucoup plus varié que celui que les deux sœurs exécutaient à Paris. Il est à remarquer qu’en pro
cette danse « qu’il y avait dans la salle, des mères, des femmes, des sœurs , des filles ». Mais bientôt le faux point d’honne
sa joie et de sa reconnaissance, le directeur Solomé offrit aux deux sœurs une fête champêtre au village de la Forêt. Sur de
Marseille où elles devaient rester une quarantaine de jours, les deux sœurs reprirent directement le chemin de Paris. C’était
sommités ne produisirent pas l’effet désiré. Thérèse, qui soignait sa sœur avec un dévouement admirable, voulut qu’on fît ap
premier mérite, de l’appui, du bonheur de plusieurs familles et d’une sœur dont l’existence est liée à celle qui porte admir
4 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La mort d’agamemnon. ballet tragique. en cinq actes.  » pp. 141-169
noissance avec Electre, l’indignation de ce Prince, lorsqu’il voit sa sœur dans les fers, sa colère et sa fureur, lorsqu’ell
ion vive et fortement sentie. Iphise mêle ses pleurs aux larmes de sa sœur  ; elles se jettent encore sur le corps d’Agamemno
ie cette mère irritée de pardonner à la douleur et au désespoir de sa sœur  ; mais cette Reine qui craint tout de la vengeanc
Scène iv. Les etrangers sont intrnduits. Oreste, pour ménager à sa sœur une reconnoissance qui pourroit lui causer une ém
la même émotion, les mêmes sentimens, et se jette dans les bras de sa sœur  ; il lui présente son ami fidèle ; et Electre lui
e sa sœur ; il lui présente son ami fidèle ; et Electre lui montre sa sœur Iphise qui étoit au Berceau lorsqu’il quitta Mycè
geur ne devienne la troisième victime de la fureur d’Egisthe, prie sa sœur et engage ses femmes à veiller à la conservation
e par les ennemis de sa famille. Scène v. Oreste, qui voit ses sœurs et leurs femmes en deuil, demande à Electre la ca
il se jette dans les bras de Pylade, puis courant dans les bras de sa sœur , il se saisit du poignard, et veut aller chercher
ard, et veut aller chercher Egisthe pour le percer de mille coups. Sa sœur et Pylade l’arrêtent. Scène vi. Dans ce mo
tte nouvelle, Oreste veut l’attendre et lui donner la mort ; mais ses sœurs suspendent un instant sa vengeance et le détermin
s ses forfaits. La jeune Iphise, craignant tout des emportemens de sa sœur , et du ressentiment d’Egisthe, tombe a ses genoux
sthe, tombe a ses genoux pour le calmer, mais Electre, appercevant sa sœur dans cette posture humiliante, recule d’indignati
ne terreur soudaine, il se retourne, voit une femme expirante, et ses sœurs en larmes ; il marche à pas chancelans, il lève d
5 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 25 septembre : Ballet dansé par le roi à Villers-Cotterêts — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 4 octobre 1665 »
et sans blâme, Brûle d’un constante flamme ; Enfin et le Frère et la Sœur De ce célèbre GOUVERNEUR Montraient aussi dans ce
Le Roi ; sa Femme : Madame ; son Frère : le Marquis de Villeroy ; sa Sœur  : Mademoiselle de la Vallière. CEUX QUI CHANTÈREN
6 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Les Graces. Ballet anacréontique. » pp. 75-97
isse et le considérant d’un œil curieux, elle s’écrie en fuyant : Mes sœurs  ! il a des ailes, c’est un oiseau, ou peut-être c
aux débats. L’enjouée Thalie, toujours fertile en expédiens, tire ses sœurs à l’écart : elle leur propose de former des guirl
e elles, soutient que c’est une barbarie. Approchons, dit-elle, à ses sœurs , il nous prie avec tant de grace ! il est dailleu
ur promet de les conduire à Paphos. Vous serez, leur dit-il, aimables sœurs , vous serez, sous le nom chéri des Graces, l’orne
Arcadiennes, sans malice, sans méchanceté, comme si elles étoient ses sœurs , et ces filles charmantes qui réunissent ce qu’on
, y trouve son excuse ; elle dit à Lycénion, qu’elles ont trouvé, ses sœurs et elle, une chose rare, mais charmante ; elles c
écipite dans leurs bras, et s’écrie en les embrassant ; Vous êtes mes sœurs , vous êtes les Graces ! Scène V. Tant de p
dre témoins de cette union, paroît dans le lointain avec ses aimables sœurs  : leur présence embellit tout, leur influence rép
mour je jette dans les bras de sa mère et lui présente ses charmantes sœurs , qui, après avoir reçu de la déesse les plus tend
gères s’empressent à leur rendre le même hommage ; les trois aimables sœurs leur promettent de règner toujours invisiblement
7 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VI. les débuts de fanny elssler à paris  » pp. 188-219
nait moins en sa faveur ; sa taille était plus élevée que celle de sa sœur . Fanny désirait beaucoup venir à Paris ; elle m’a
nt, elle résista à mes propositions d’engagement pour elle et pour sa sœur , qu’elle dominait. Je leur offris cependant, comm
e chiffre de 40 000 francs auquel Véron prétend avoir engagé les deux sœurs sonne bien et donne une haute idée de sa munifice
aussi le produit d’une représentation à bénéfice à laquelle les deux sœurs avaient droit pour la durée triennale de leur eng
trois mois de congé que l’engagement accordait chaque année aux deux sœurs , ou encore par un rachat de congé, c’est-à-dire p
sensiblement supérieur, comme on le voit, au total de ce que les deux sœurs pouvaient gagner ensemble, c’était un de ces coup
tion du public en éveil se multiplient. Ils donnent les noms des deux sœurs , indiquent leur taille et la nature du talent de
tendeurs ce demi-mot pouvait suffire. En attendant l’arrivée des deux sœurs que leurs obligations retenaient encore à Londres
t de 19 163 fr. 54. Lorsque, dans la deuxième semaine de juillet, les sœurs Elssler vinrent à Paris, la réclame fit entendre
son mieux, tout en étant elle-même profondément troublée, et les deux sœurs , prises d’un accès de piété, comme dans toutes le
d amateur de l’Opéra de Vienne, d’un fidèle et fervent admirateur des sœurs Elssler, que jamais le fils de Napoléon (puisqu’i
vernay, Mlle Jawureck ; la loge la plus en vue avait été réservée aux sœurs Elssler. Entre la beauté imposante de Thérèse et
premier soir où elle affrontait le public parisien, de l’appui de sa sœur . Fanny était habituée à danser avec Thérèse. Cell
oir son dévouement doublement récompensé, par le succès complet de sa sœur et par la sympathie que lui témoignèrent à elle-m
ateurs touchés d’une telle abnégation. Un autre spectacle où les deux sœurs parurent ensemble à la fin de l’année 1834 fut le
8 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Belton et Eliza. Ballet pantomime. » pp. 223-233
Eliza. Zirca, Père d’Eliza, Cacique. Fatmé, mère d’Eliza. Amazili, sœur d’Eliza. Négotians Européens, Habitans de la Pens
e il se décide a sortir par un des flancs du théâtre, il rencontre sa sœur , qui vient pour retrouver Belton ; elle reçonnoit
qu’il est digne d’être son frère. L’Indien est touché. Il embrasse sa sœur  ; elle l’engage à venir dans son logis ; il se dé
leve vers le ciel. Belton, prodigue ses tendres caresses à Amazili sa sœur  ; il est uni à sa chere Eliza. La joie et l’allég
9 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 2 décembre : Le Ballet des Muses — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 13 février 1667 »
gère, Quand notre HÉROÏNE est BERGÈRE, Dans le grand BALLET des Neufs SŒURS , Fait trembler les Loups ravisseurs, Comme l’a mi
10 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 13 juin : Le Favori — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 21 juin 1665 »
ante et belle D’une fameuse Demoiselle Que l’on met au rang des neufs Soeurs ,55 Pour ses poétiques douceurs. Plusieurs ravi
11 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1667 — Début mars : Mascarade — La Muse de la Cour à Monseigneur le Dauphin d’Adrien Perdou de Subligny — Subligny, quatrième semaine, lettre du 3 mars 1667 »
us disiez point, SEIGNEUR, Que CHARLES, ROI D’ESPAGNE, épousait votre SŒUR Et que, comme on était à Table, Un COURRIER MASQU
12 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Alceste. Ballet tragique. » pp. 207-218
lceste, épouse d’Admète. Hercule. Lycomède, Roi de Scyros. Ismène, sœur d’Alceste. Les deux enfans d’Alceste. Apollon. L
ne qui a les yeux fixés sur son vaisseau, de vouloir y monter avec sa sœur et ses femmes, pour en examiner l’intérieur. La R
pour en examiner l’intérieur. La Reine, vivement sollicitée et par sa sœur et par le perfide Lycomède, accepte la propositio
a mort, pour lui conserver la vie, et il la lui montre entourée de sa sœur , de ses enfans et de ses femmes ; Admète s’approc
13 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre premier. les années d’apprentissage  » pp. 1-36
r les planches. Cela ne signifie pas que le frère ait désapprouvé les sœurs , mais tout au plus qu’il y avait divergence de go
-être un peu Frère Pacifique ; cependant il ne cessera pas de voir sa sœur , et il ne faudrait pas jurer qu’au fond de son co
e Horchelt, ils citent la petite Heberle, Angioletta Mayer, les trois sœurs Schrœder, et d’autres encore. Jamais ils ne nomme
ut donc lieu. Ce fut en septembre 1830. Fanny était accompagnée de sa sœur Thérèse qui dansait, elle aussi, avec un certain
consommée, un goût très sûr et un remarquable sens musical. Les deux sœurs débutèrent ensemble le 8 octobre dans la Laitière
ques de faveur ne comptaient que parce qu’elles facilitaient aux deux sœurs les débuts dans la carrière et les posaient dans
air d’ingénuité ; sa tête charmante ne semble pas, comme celle de sa sœur , la copie d’une statue antique ; c’est une beauté
se alliance de la nature et de l’art. On pouvait prévoir que les deux sœurs occuperaient une place très différente dans l’his
à peine à l’abri du besoin. Alphonse Royer dit qu’il voyait les deux sœurs « quitter le soir le théâtre de la Porte de Carin
éficia de cette soif de plaisir. La Fée et le Chevalier, que les deux sœurs apportaient pour la première fois de Vienne à Ber
et flattent les sens ? » La saison théâtrale de Vienne, où les deux sœurs revinrent en février 1832, ne différa guère de ce
érusalem délivrée, de Théodosia, de Barbe-Bleue, et se remit, avec sa sœur , en route pour Berlin. Les représentations de Bar
14 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 2 décembre : Le Ballet des Muses — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 26 décembre 1666 »
Robinet, lettre du 26 décembre 1666 L’auguste BALLET des NEUFS SŒURS , Où l’on voit d’excellent Danseurs, Divertit touj
15 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VIII » pp. 106-119
 Mademoiselle Henriette. — Mademoiselle Leroyer. — Les deux nouvelles sœurs Lyonnet. — Mademoiselle Mélanie. — Mademoiselle C
pant de mademoiselle Leroyer des Folies-Dramatiques. Ce sont les deux sœurs Lyonnet du boulevard du Temple. X Mélanie j
e ce côté-là. Espérons qu’il en sera toujours de même ! XII Les sœurs Paurelle, Elmyre et Maria, sont entiées eu même t
16 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « XI. Le corps de ballet actuel. » pp. 228-269
le qui travaille la comédie, au Conservatoire, et dont elle semble la sœur jumelle. Aux cartes, sa couleur préférée est le p
appelle familièrement la Sous-Préfète. Peut-être est-ce à cause de sa sœur . Mademoiselle Biot IIe est restée éloignée du thé
ein midi — et cherchez ! Isabelle Ottolini Aussi brune que sa sœur est blonde. La taille moins fine que le crayon de
dire f…, et passer outre. Henriette Stilb — Ce sont les deux sœurs , dit Philippe d’Aulnay à Buridan, au premier acte
uerite de l’apothéose. C’est la plus séduisante des blondes comme sa sœur est la plus succulente des brunes. Celle-ci, tail
oit une de ses artistes arriver, éplorée, dans son cabinet. Sa petite sœur , qui ne la quittait jamais d’une semelle, lui mar
, j’en suis sûr… Mais comment avez-vous pu faire ?… Avec votre petite sœur , qui était sans cesse à vos côtés ?… Ici, la peti
votre petite sœur, qui était sans cesse à vos côtés ?… Ici, la petite sœur s’avance… Et, ouvrant son manteau avec le même ge
17 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1662 — 7 février : Ercole Amante — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 11 février 1662 »
tés Ont du renom de tous côtés. Deux charmantes Fleurs de jeunesse, Sœurs de la précédente Altesse, Savoir Alençon et Valoi
, dès l’âge de douze ans, Ravissait Cour et Courtisans. Deux jeunes Sœurs belles et sages, Qui charment tout par leurs visa
18 (1908) L’École de danse de Grünewald « L’école de danse du Grünewald » pp. 261-268
utzmann, d’une voix frêle et caressante. Elle avait l’air d’une jeune sœur de cette admirable miss Booth, qui fonda l’armée
ténue à lutter, car elle est à peu près seule à avoir la foi, avec sa sœur , miss Élisabeth Duncan, qui est, en fait, la dire
directrice de l’École du Grünewald. Intelligente et fine, adorant sa sœur comme une déesse, elle a sacrifié sa vie à son ad
19 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VII. Brelan d’astres » pp. 134-175
expirait le 27 avril 1837. L’Opéra comptait — depuis trois ans — les sœurs Elssler dans ses cadres. L’engagement ne fut poin
— La cachucha sur tous les théâtres. — Danses hongroises. — La grande sœur . — Sa chère fille ! — Accusation de matérialisme.
. Véron fit un voyage à Londres. Deux Viennoises l’y attiraient : les sœurs Elssler, — Fanny et Thérèse, — qui dansaient, dep
it beaucoup occupé d’une prétendue passion que la plus jeune des deux sœurs aurait inspirée au duc de Reichstadt. En ce temps
ssé voleter tranquillement de Schœnbrunn à Paris. M. Véron offrit aux sœurs Elssler un engagement de quarante mille francs pa
ougueux pronunciamientos de Théophile Gautier, la Dolorès Serral, les sœurs Fabiani et la Manuelita Dubinon n’étaient point p
donnait un caractère de vigueur joyeuse tout à fait irrésistible. Sa sœur Thérèse lui servait le plus souvent de partenaire
ule, la Gipsy, la Volière, — ce dernier ballet avait été réglé par sa sœur , — et reprit plusieurs rôles de Taglioni : la Mue
uille ne renfermait que des billets de loterie. *** En 1840, les deux sœurs partirent pour Rome. Elles passèrent de là en Amé
qui avait tenu à l’Opéra un emploi secondaire sous le règne des deux sœurs , jalouse des succès transatlantiques de celles-ci
20 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « A, son altesse royale. Monseigneur. le duc d'Orléans, petit-fils de France. » pp. -
; qu’elle a néanmoins pris en faveur de l’Histoire de la Danse, comme sœur de la Musique : c’est une cadette qui n’a pas bes
21 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Les Danaïdes, ou. Hypermnestre. Ballet tragique. en cinq actes. » pp. 183-195
es aux serment d’obéissance qu’il exige d’elles ; Hypermnestre et ses sœurs s’avancent vers l’autel ; elles posent respectueu
du crime, que son père exige d’elle, tombe à ses genoux ainsi que ses sœurs  ; en vain elles veulent révoquer leurs sermens ;
permnestre livrée à la douleur fait tous ses efforts pour engager ses sœurs à renoncer à un projet si horrible ; mais celles-
22 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre III. Suite du Précédent »
e en Béarn, que de réjouissances et de galanteries. Le goût de Madame sœur du Roi pour ces divertissements lui était une res
23 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VIII. victoires et revers  » pp. 262-319
primés. Il n’avait pas ce bonheur tous les jours. *** L’été venu, les sœurs Elssler allèrent passer leur congé à Vienne. Elle
ête de la gloire n’avait pas exigé certains sacrifices et si les deux sœurs , dans leur séjour à l’étranger, n’avaient pas per
s, l’autre au profit d’un malheureux directeur de théâtre. « Ces deux sœurs exceptionnelles, dit l’Allgemeine Theaterzeitung,
126 ». Quelque chose aurait pu gâter l’agréable souvenir que les deux sœurs laissaient aux Viennois : ce fut la violence avec
de la popularité fut atteint le 5 mai 1838, jour du bénéfice des deux sœurs . Le programme comprenait le second acte du Mariag
nseuse. « La représentation annoncée pour son bénéfice et celui de sa sœur ne saurait manquer d’être extrêmement fructueuse,
l des locations s’éleva à 23 597 francs ; les frais déduits, les deux sœurs touchèrent 18 467 francs. Le bénéfice de Nourrit,
numéros du programme n’eussent pas produit l’effet attendu, les deux sœurs avaient lieu d’être satisfaites. Paris les avait
journal blessait Fanny dans ses plus chères affections, en jugeant sa sœur avec cruauté. Mlle Thérèse Elssler, disait-il, n’
lle est fort insignifiant ; elle a été de tout temps le compère de sa sœur et c’est dans les beaux jours de Fanny que l’on a
e succès de Mlle Fanny Elssler diminue un peu, on n’applaudit plus sa sœur , et cela est bien simple : il faut partager frate
premiers jours de mars, elle se rendit en Angleterre, pendant que sa sœur se dirigeait sur Hambourg. Elle fut rejointe à Lo
24 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre VII. De la Danse sacrée des Juifs »
anse sacrée des Juifs Après le passage de la Mer Rouge, Moïse et sa Sœur rassemblèrent deux grands Chœurs de Musique, l’un
25 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1661 — 23 juillet : Le Ballet des Saisons — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 31 juillet 1661 »
yal spectacle, Faisant l’Apollon à miracle, Et dansant avec les neufs Sœurs , Parut un des meilleurs Danseurs. Bref, les aut
26 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Les Horaces. Ballet tragique. » pp. 35-50
deux Curiaces , ses frères. Procule , Sénateur Romain. Camille , sœur des Horaces, amante de l’ainé des Curiaces. Ful
. Camille, les trois Horaces. Les Horaces viennent embrasser leur sœur et lui dire peut-être un éternel adieu. Ce moment
e l’amour de la patrie l’a entraîné au parricide, il s’élance vers sa sœur  ; on l’arrête, et cette scène, offre un grouppe g
27 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VI. Ballade des dames du temps jadis. » pp. 88-
ame Alexis Dupont. — Louise Fitz-James. — Albertine Coquillard. — Les sœurs Dumilâtre. — Les sœurs Marquet. — Emma Livry.
uise Fitz-James. — Albertine Coquillard. — Les sœurs Dumilâtre. — Les sœurs Marquet. — Emma Livry. Emilia Bigottini C
de son talon, qu’une chaussure trop vieille refusait de couvrir ; la sœur des Grâces gesticulait fort peu, de crainte qu’on
a porte de l’élève de Terpsychore. » Madame Paul Montessu La sœur de Paul l’aérien. « C’est, écrit l’un de ses bi
s dans le brouillard d’Ecosse, apparaissait la Dolorès Serral que les sœurs Elssler et les danseuses à leur suite allaient co
lle et tricota… des jambes. Madame Alexis Dupont C’était la sœur de Lise Noblet et la femme du chanteur à la voix
es Sophie et Adèle Dumilatre Le Charivari les avait baptisées les sœurs demi-lattes. C’est ce qui faisait dire à Perpign
28 (1845) Notice sur La Sylphide pp. 3-23
ouillard et l’air impur ! Ainsi parlent les sorcières de Macbeth. Les sœurs du Destin se sont prises par la main, elles vont
a Sylphide, voltigent d’une aile timide et cadencée les sylphides ses sœurs  ; l’air est rempli de suaves mélodies, la campagn
sion a disparu pour ne plus revenir. — Les sylphides ont emporté leur sœur expirée comme une fleur brisée avant le soir. Qua
orcière regardant d’un œil narquois cette mort funeste. Cependant les sœurs de la Sylphide descendaient des nuages portant le
29 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Iphigenie en Tauride. Ballet tragique » pp. 235-256
sa rage ; il les faisoit immoler aux autels de Diane, dont Iphigénie, sœur d’Oreste, étoit grande prêtresse. Ce Prince et so
vent le charger. Oreste, au moment d’être sacrifié est reconnu par sa sœur , et Pylade, qui n’avoit joint son vaisseau, que p
reuse. Arbas se charge de la lettre d’Iphigénie adressée à Electre sa sœur  ; il ne doit la remettre à Pylade, que lorsqu il
dans ceux de son ami et ne les quitte que pour voler dans ceux de sa sœur . Diane paroît dans un nuage avec les attributs de
30 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « XII. Le foyer de la danse » pp. 270-287
aron d’Auguy. Mademoiselle Lolotte devint comtesse d’Hérouville et sa sœur , marquise de Saint-Chamond. Fanny Elssler s’unit,
anny Elssler s’unit, de la main droite, à un banquier allemand, et sa sœur Thérèse, de la gauche, au prince Adalbert de Prus
 ; Andrée Mérante, à Bois-Colombes ; Fiocre-Collin, à Courbevoie ; sa sœur , rue de Courcelles ; Beaugrand, à Asnières, et Ri
31 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 20 mai. Le retour des « Ballets russes ». »
aussi subi des pertes douloureuses. Et c’est Bronislava Nijinska, la sœur de Vatslav au nom glorieux, qui détient le comman
32 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 26 janvier : Ballet de la Naissance de Vénus — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 7 février 1665 »
fin du jour, Avec une assez noble Cour, C’est-à-dire Mademoiselle, Sa Soeur d’Alençon avec elle, Et plusieurs Princes, mêmeme
33 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La Rosière de Salency. Ballet pastoral. » pp. 191-203
de roses. On dit qu’il donna lui-même ce prix glorieux à l’une de ses sœurs , que la voix publique avoit nommée pour être Rosi
conduite irréprochable, mais que son père, sa mère, ses frères et ses sœurs soient eux-mêmes irrépréhensibles. Depuis ce tems
34 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « IX. L’escadron volant de la rue Lepeletier. » pp. 190-203
er à la fin de la représentation. Hérivaut ou Hairivaux, — la sœur cadette d’Esther Duparc, une demi-mondaine qui vé
tant Régnier, de l’Ambigu ; Guénia, que Faure protégeait ; Subra, la sœur aînée de celle d’aujourd’hui, qui allait jouer la
35 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 3 mars : Pomone — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du samedi 18 avril 1671 »
t de Peste, et font vœu, De ne jamais, aimer son Jeu, Quoi que Flore, Sœur de Pomone, Très fortement, les y semone, En leur
36 (1921) Quelques lettres inédites de célébrités chorégraphiques pp. 222-226
ar-dessus le marché n’est pas fameux. Ce soir je vais voir la Garcia, sœur de la Malibran. On prétend qu’on n’a jamais vu un
mais elle a le bon esprit de dire quelle n’est venue que pour voir sa sœur , que peut-être elle donnera un concert. Elle a su
37 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre IV. De quelques Danses des Grecs »
tissaient que de gémissements. Chaque Citoyen pleurait une fille, une sœur , une amante. On entend alors une jeune fille qui
38 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Conclusion » pp. 414-418
délices d’une époque plus raffinée : Elssler ! Taglioni ! Carlotta, sœurs divines Aux corselets de guêpe, aux regards de ho
39 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 17 janvier : Psyché — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 24 janvier 1671 »
Caresse De beaux Galants, à blondes Tresses. Apollon, avec les neuf Sœurs , Qui plaisent fort aux Spectateurs, Bacchus, de m
40 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 17 janvier : Psyché — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 1er août 1671 »
t et leste, Mais achevons, vite, le reste. La belle Affligée a deux Sœurs , Qui, de ses maux, font leurs douceurs, Par un ef
41 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXII, gab » pp. 250-
i avons vécu ensemble dans la plus grande intimité, comme deux vraies sœurs . Gab est beaucoup plus jeune que moi et me porte
ent, une fleur d’or surhumaine s’allonge vers le ciel. Elle n’est pas sœur des fleurs terrestres qui sur nos âmes endolories
42 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Hyménée et Cryséïs. Ballet anacréontique. » pp. 149-155
x de leurs mères ; celle-ci retrouve son frère ; celle-là embrasse sa sœur  ; le jeune Hyménée est entouré par ses amis. Cett
43 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 13 février : Le Ballet des Amours déguisés — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 16 février 1664 »
Domaine) Surintendante chez la Reine. D’Elbeuf la Fille, et non la Sœur , Dont les yeux ont grande douceur, Dont la face e
44 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 6 novembre. Classicisme et exotisme. Une étoile parnassienne : Mlle Schwarz. — Djemil. — Un maître français. — Reprise de « Roméo ». »
ne saurions dédaigner cette hautaine retenue, cette douce sévérité de sœur converse qui respecte par-dessus tout la règle de
45 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre IV. Fragment de Lucien »
ie les bords féconds de l’Éridan, l’ambition des fils de Clymène, ses sœurs changées en ces arbres précieux d’où l’ambre déco
46 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — IX, alexandre dumas » pp. 98-
York, et il n’était pas arrivé à savoir si sa mère, ses frères et ses sœurs étaient morts ou en vie. Peu de temps après notre
47 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre II. Objections tirées de l’Ecriture sainte. » pp. 151-166
st dit dans le livre de l’Exode (c. 15, v. 20.) de Marie prophétesse, sœur d’Aaron : que célébrant, avec Moïse et les enfans
ve-t-on plus facilement rien qui y ressemble dans l’exemple de Marie, sœur de Moïse et d’Aaron, laquelle tenant un tambour à
48 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VI » pp. 76-89
s voilà toutes !… Ohé ! Se penchant sur la balustrade. — Bonjour, mes sœurs . Alida , d’en bas. Salut, Alice ; est-ce que t
49 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre II. Des Fêtes de la Cour de France, depuis 1560 jusqu’en l’année 1610 »
uc de Joyeuse et Marguerite de Lorraine Fille de Nicolas de Vaudemont sœur de la Reine, furent fiancés en la Chambre de la R
50 (1921) Une dernière étape des « Ballets russes ». La Belle au Bois Dormant pp. 227-231
tres « unités » enfin furent introduites à Londres par Mlle Nijinska, sœur du danseur illustre : « Jean le simple » très mou
51 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Adèle de Ponthieu. Ballet tragi-héroïque, en quatre actes. » pp. 109-120
Ponthieu . Raymond de Mayenne , amant secret d’Adèle. Gabrièle , sœur d’Adèle. Alphonse , chevalier Espagnol, à qui A
52 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Paralele. DE. LA PEINTURE. ET DE. LA POESIE. » pp. 213-269
sse faire voir : il y a longtems qu’elles ont été reconnues pour deux sœurs qui se ressemblent si fort en toutes choses, qu’e
r leurs esprits. Mais quoique la Peinture & la Poésie soient deux sœurs qui se ressemblent en ce qu’elles ont de plus spi
eux arts, lesquels peuvent se raporter aussi à la Musique comme trois sœurs inséparables, par rapport aux arts qui sont commu
e Traité de la Peinture & de la Poésie, que je regarde comme deux sœurs , que la jalousie entretient dans la discorde depu
53 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIII, mes danses et les enfants » pp. 134-145
des explications : il n’a que trois ans et demi. Mais son frère et sa sœur lui ont tellement farci la tête du nom de Loïe Fu
54 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XX, une expérience » pp. 222-231
rotégée, l’ambassadrice se souvint de l’avoir déjà vue danser chez sa sœur à Chicago quelques années auparavant. La danse, à
55 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « III. Éducation. » pp. 24-35
ien à ce fardeau domestique, qu’elle en arriva à porter sa mère et sa sœur . Si la place ne lui eût manqué, elle en eût porté
56 (1921) Salvatore Viganò pp. 167-190
rères d’Onorato étaient comme lui danseurs et chorégraphes. Sa femme, sœur du célèbre compositeur Boccherini, était elle aus
Jules Romain au palais du T à Mantoue. Les Titans remettaient à leur sœur trois urnes de métal dont ils faisaient présent a
t Nicola Molinari, Giuseppe Bocci, Luigi Costa, enfin Céleste Viganò, sœur de Salvatore qui eut un talent extraordinaire pou
57 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE VII. » pp. 110-128
& qui mérite à tous égards l’indifférence & le mépris de ses sœurs . Nous connoissons parfaitement le nom des hommes
58 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IV. le ballet a l’opéra vers 1830  » pp. 129-155
ontemporaine de Fanny Bias était Lise Noblet, la plus connue de trois sœurs , dont la seconde, Mme Alexis Dupont, dansait, com
grettait qu’elle ne se contentât point de chanter. Nathalie avait une sœur , Louise, devenue légendaire à cause de sa maigreu
59 (1845) Notice sur Le Diable boiteux pp. 3-31
léofas rayonnant, essaie de lui faire comprendre que Bellaspada et sa sœur ne convoitent que ses prétendues richesses, et le
omber une à une les plumes de paon dont le geai s’était paré, tire sa sœur par le bras et s’éclipse discrètement. Florinde,
60 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVII, quelques philosophes » pp. 188-
petite mine, que je me mis à causer avec lui. Il avait cinq frères et sœurs  ; il faisait tout ce qu’il pouvait trouver à fair
61 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre II. la dernière passion du chevalier frédéric de gentz  » pp. 37-96
nny se rendait à Berlin où elle était engagée pour deux mois, avec sa sœur Thérèse. Comment Gentz avait-il pu consentir à ce
nt un ennui : c’était la présence, presque inévitable, de Thérèse, la sœur aînée, la Minerve au front majestueux. Rahel sent
où j’entre, dit-elle, elle était assise en train de préparer pour sa sœur et pour elle-même de ses mains souveraines des g
te de personnelle. » Rahel voit avec effroi venir le jour où les deux sœurs partiront. « Ce sera alors, dit-elle, la nuit som
62 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « IV. Le mastic et le chausson » pp. 36-53
nt préférer le veau. Je marchais, — un matin, — dans les semelles des sœurs Fiocre qui s’en revenaient du marché. L’une disai
63 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre premier. Instructions générales aux élèves » pp. 19-39
s d’être plus correctes. « …………… Terpsicore27… « D’Euterpe28 aimable sœur , comme Euterpe on l’encense, « Et mariant sa marc
64 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre II. De la Danse Sacrée des Hébreux, des Chrétiens dans la primitive Eglise, & des Payens, depuis son origine jusqu’à présent. » pp. 33-58
après le passage de la mer Rouge, l’an 2545 du Monde. Moïse & sa sœur Marie formerent deux grands chœurs de Musique, l’
65 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IX. le voyag e en amérique  » pp. 320-364
ans. Chose extraordinaire : elle s’aventura par delà les mers sans sa sœur Thérèse, sa compagne dévouée, sa partenaire si ut
nier moment le cœur lui manqua ; elle resta en Europe. A défaut de sa sœur , Fanny emmena sa cousine germaine, Catherine Prin
66 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre X. le coucher de l’astre  » pp. 365-413
de le Diable boiteux, la Gypsi et la Tarentule. Il attendait les deux sœurs Elssler pour la fin de novembre 1842. Mais au der
brit la vieillesse de Fanny. Elle fut infiniment plus heureuse que sa sœur Thérèse dont la destinée avait été, en apparence,
67 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse ancienne »
t partie du culte reçu. Après le passage de la mer Rouge, Moïse et sa sœur rassemblèrent deux grands chœurs de musique, l’un
68 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « V. Pastels après décès. » pp. 54-87
ner la danse De Camargo. Mlles Mariette et Poulette Les deux sœurs . La première eut tant d’influence à l’Opéra que,
69 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre IV. De la Danse des Balets des Anciens & des Modernes, avec quelques descriptions des plus singulieres, & de l’origine de la danse Théâtrale. » pp. 70-111
solemnité du mariage du Duc de Joyeuse avec Mademoiselle de Vaudémont sœur de cette Reine ; toute la Cour, hommes & femm
70 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre quinzième et dernière. » pp. 216-240
om de l’étranger) croit reconnoître à l’approche de cette chaloupe sa sœur et son ami. Il regarde attentivement ; son cœur e
71 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — DERNIERE LETTRE. » pp. 435-484
om de l’Etranger) croit reconnoître à l’approche de cette chaloupe sa sœur & son ami. Il regarde attentivement ; son cœu
72 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre V. marie taglioni  » pp. 156-187
e, fit une carrière honorable à l’Opéra sous l’Empire. Elle avait une sœur , réputée pour sa beauté, qui, devenue la femme d’
73 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XX et dernière. » pp. 213-241
ndre témoins de cette union paroit dans le lointain avec ses aimables soeurs . Leur présence embéllit tout ; leur influence rép
74 (1806) L’Art de la danse, poëme en quatre chants, calqué sur l’Art poétique de Boileau pp. -247
ût renaîtra. Pour prouver aux esprits vulgaires, « Que les muses sont sœurs , que les beaux-arts sont frères1, » Ce qu’Aristot
ully raconte dans ses Mémoires le fait suivant, en parlant de Madame, sœur du Roi. « Elle eut la bonté de m’apprendre elle-m
75 (1841) Physiologie de la lorette pp. -127
r, sous la tiretaine de la fermière, même sous le sarrau de serge des sœurs de la sagesse, partout la Lorette se trahit à l’œ
76 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les fêtes modernes »
de Joyeuse et Marguerite de Lorraine, fille de Nicolas de Vaudémont, sœur de la reine, furent fiancés en la chambre de la r
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