ës ; à la fin de ce pas vous laissez doucement poser le talon droit à
terre
, pour laisser plier son genoüil ; qui par ce mouv
il faut laisser poser le talon afin que le pied posant entierement à
terre
on soit plus ferme pour plier ; en recommençant u
auche à la premiere position, & de la plier sans poser le droit à
terre
, & lorsque vous êtes assez pliez, vous passez
que l’on nomme équilibre, & de suite vous posez le talon droit à
terre
, pour avoir le corps plus ferme, & plier du m
oit & l’autre du gauche, mais au dernier il faut poser le talon à
terre
, afin de prendre votre pas de menuet avec plus de
& au dernier qui est du pied gauche vous laissez poser le talon à
terre
pour reprendre un autre pas de menuet. On ne doit
e derriere, jusqu’à la cinquiéme position, en se posant entierement à
terre
& son genou se plie, ce qui fait lever le pie
i oblige le talon du pied droit que vous tirez derriere de se poser à
terre
& son genou se pliant par le poids du corps q
riere la droite ; mais à peine la touche-t’elle que le pied se pose à
terre
, & le corps se posant dessus & fait plier
ié, en voulant s’étendre renvoye le corps sur la jambe, qui se pose à
terre
en faisant un saut que l’on appelle jetté-chassé,
essus, le droit prêt à partir, puisqu’il n’a que la pointe qui pose à
terre
. 72. Deuxieme attitude du demi Coupé 73. Tr
le corps posé sur le gauche 1. le droit en l’air 2. sans qu’il pose à
terre
, les deux genoux sont pliez également & tourn
é sur la pointe du pied, & de suite vous laissez poser le talon à
terre
, ce qui termine la fin de ce pas, & vous met
les genoux dans toutes ces positions, sans jamais lever les talons de
terre
. Voyez la fig. 4, planc. II. Pour donner de la so
il faut que le dégagement soit petit et que la pointe ne quitte point
terre
. Ces battements délieront les jambes, parce que l
de la jambe soit devant, soit derrière l’autre jambe qui est posée à
terre
. Supposez donc que vous soyez sur le pied gauche,
r le pied gauche, la jambe droite à la seconde et la pointe appuyée à
terre
, il faut la croiser devant la gauche, en pliant l
enez en commençant les petits battements. Supposons la jambe gauche à
terre
et la droite à la seconde ; faites décrire à cell
te ligne, & quelque fois dessus & dessous la iambe qui sera à
terre
, pour luy apprendre les liaisons, le tout sans me
sera à terre, pour luy apprendre les liaisons, le tout sans mettre à
terre
que pour se soulager ou pour changer de iambe, af
che, la pointe tant du pied qui sera en l’air que de celuy qui sera à
terre
fort ouuertes, & par ce que cela luy acquerra
droict & faire trois pas, auec quelque negligence sans trainer à
terre
, & s’esleuant sur la pointe des pieds, les ge
sur la pointe du pied ; apres lequel temps faut faire vn chassé hors
terre
du mesme costé, puis sautant sur le pied gauche,
vne femme : mais à costé, en l’air, pour le porter d’vn mesme temps à
terre
, la iambe croisee, en sorte que les molets se tou
i chasse prenne la place du chassé, & que le portant le premier à
terre
sur le mouuement, l’autre soit assis d’abort sur
t par vn pas glissé, qui sera assis à la pointe du gauche tout plat à
terre
, semblable au second, l’autre demeurant sur la po
Escolier, les trois premiers desquels se doiuent porter tous plats à
terre
, les autres sur le mouuement du pied, excepté le
ps quant & quant l’action du premier pas, & qu’en le posant à
terre
, le pied droict soit aussi tost sur la pointe, po
le quel pas glissé, il faut descendre le talon du pied droict plat à
terre
, & sans s’arreste là dessus, faut plier tant
roict à costé sur le talon, à fin de l’assoir tout à l’instant plat à
terre
, & non sur la pointe du pied, comme quelques
& en mesme temps qu’il sera en l’air, il faut en s’esleuant hors
terre
changer de pied, releuant le gauche, duquel par a
bien danser. Ainsi en y a-il d’autres qui sympatisent si fort auec la
terre
, qu’ils ne la peuuent iamais abandonner que de bi
grace à la danse par haut, sont pour leur honneur contraints d’aller
terre
à terre : Car en effect vn homme ne se doit iamai
la danse par haut, sont pour leur honneur contraints d’aller terre à
terre
: Car en effect vn homme ne se doit iamais mesler
ls lui ravirent. Rome seule dès lors devint l’objet des regards de la
Terre
. La plupart des successeurs d’Auguste méritèrent
r. Il suit, se précipite, se perd avec elle dans les entrailles de la
Terre
. La Grèce est pour jamais privée de ses eaux féco
l est témoin, il persiste dans son impénitence. Alors le centre de la
terre
s’entrouvre vomissant des flammes. Il sort de ce
sespoir il est englouti avec tous les monstres ; et un tremblement de
terre
couvre le lieu d’un monceau de ruines. [16] Les D
pieds ouuertes, & que les trois premiers pas soient assis plats à
terre
, & tout le reste sur le mouuement des pieds,
lentement en arriere, s’esleuant sur le mouuement du pied qui sera à
terre
, puis en pliant vn peu les genoüils, releuer le p
a faire porter negligemment trois pas sans chasser, ny s’esleuer hors
terre
, mais pliant vn peu les genoüils se releuer sur l
n peu les genoüils se releuer sur la pointe du pied qui se trouuera à
terre
, faisant retirer auec la mesme douceur tant soit
qui chasse soit porté esgal au costé du chassé, & s’esleuant hors
terre
sur le pas porté, faut couler doucement le chassé
ux pour celles qui manquent de disposition, ne peuuent s’esleuer hors
terre
. Car si elles se plient vn peu bas esgalement sur
se quasi du talon le droit en l’air, qu’il faudra poser à l’instant à
terre
en releuant le gauche, auec lequel il faut à mesm
& ainsi continüer sur l’autre pied sans sauter ou s’esleuer hors
terre
des deux pieds à la fois, mais couler doucement t
t des pas où il n’y a que la hanche qui agit comme dans les battemens
terre
à terre, les entrechats & les cabrioles qui s
s où il n’y a que la hanche qui agit comme dans les battemens terre à
terre
, les entrechats & les cabrioles qui sont des
épodes [voir « Apodes »] Par-là ils représentaient l’immobilité de la
terre
qu’ils croyaient fixe. Voyez Chœur. Thésée change
ngage par ses chants à se répandre sur les astres, le ciel, l’air, la
terre
, et l’eau, afin qu’en leur donnant par la variété
lets de chevaux sont composés de quatre sortes de danse ; la danse de
terre
à terre, celle des courbettes, celle des cabriole
chevaux sont composés de quatre sortes de danse ; la danse de terre à
terre
, celle des courbettes, celle des cabrioles, et ce
ettes, celle des cabrioles, et celle d’un pas et un saut. La danse de
terre
à terre est formée de pas, et de mouvements égaux
elle des cabrioles, et celle d’un pas et un saut. La danse de terre à
terre
est formée de pas, et de mouvements égaux, en ava
à volte sur la droite ou sur la gauche, et à demi-volte ; on la nomme
terre
à terre, parce que le cheval ne s’y élève point.
sur la droite ou sur la gauche, et à demi-volte ; on la nomme terre à
terre
, parce que le cheval ne s’y élève point. La danse
n a donné le nom d’airs à ces différentes danses, ainsi on dit air de
terre
à terre, etc. Dans ces ballets, on doit observer,
é le nom d’airs à ces différentes danses, ainsi on dit air de terre à
terre
, etc. Dans ces ballets, on doit observer, comme d
fortement les cadences. Selon la nature des airs on manie les chevaux
terre
à terre, par courbettes, ou par sauts. Il n’est p
t les cadences. Selon la nature des airs on manie les chevaux terre à
terre
, par courbettes, ou par sauts. Il n’est pas étonn
sition est ce qui marque les différentes situations des pieds posés à
terre
. Il y a cinq bonnes positions dans la danse, et c
s deux jambes. Règle qu’il faut suivre quand on plie les deux pieds à
terre
. Du pas que l’on nomme aussi tems de la danse
utant, lorsque, pour exécuter un tems, on plie les deux pieds posés à
terre
(action de sauter). Ce tems n’a rapport à la marc
plié (inflexion des genoux) ; le glissé (action de mouvoir le pied à
terre
sans la quitter) ; l’élevé (extension des genoux
, frappez à la seconde position sur la pointe du pied, en la tirant à
terre
, pour rentrer la jambe à la troisième position où
pointe du pied en arrière, ce qui présentera la plante droite vers la
terre
; glissez-y la pointe du pied, partant de la troi
era tendue le plus que, vous pourrez ; ensuite retirez-la également à
terre
pour rentrer à la troisième position, où le talon
er cette entrée dessus le coude-pied, ressortant le pied, la pointe à
terre
, jusqu’à la seconde position, pour rentrer altern
e vous présentez, ce qui tourne la pointe du pied en arrière, tirez à
terre
cette pointe du pied en rapprochant la jambe pour
ous tiendrez tourné, et développerez en glissant le pied, la pointe à
terre
sans l’appuyer, jusqu’à la seconde position où la
s-ci se trouvent en ligne perpendiculaire avec les jambes, et près de
terre
, où elles retomberont par la chute du corps ; pos
ambe, en tendant les pointes des pieds pour qu’elles restent posées à
terre
; et retombant, vous poserez les talons que vous
tre côté ; développez ce genou en glissant le pied, la pointe près la
terre
, sans y être posée, jusqu’à la seconde position o
tems le pied qui est devant sur la pointe, que vous glisserez près la
terre
, sans y être posée, à la seconde position où elle
en glissant le pied de côté à la seconde position, la pointe près la
terre
, sans y être posé ; ensuite enlevez-vous ; et au
e devant ; la pointe du pied qui est relevée, doit être basse près la
terre
, sans y être posée : vous tiendrez le genou tourn
ndrez le pied relevé près le bas de la jambe, la pointe basse près la
terre
, sans y être posée, le genou tourné à votre côté,
n ; où elle restera tendue en dehors, la pointe du pied basse près la
terre
, sans y être posé. On exécute cette sissone égale
le talon au-dessus du coude de l’autre pied, la pointe basse près la
terre
, sans y être posée ; vous tiendrez le genou tourn
bas de l’autre jambe ; vous tiendrez la pointe du pied basse près la
terre
, sans y être posée, et le genou tourné à votre cô
be qui est devant : pliez, enlevez-vous, les deux pieds étant posés à
terre
, et retombez alors sur celui qui est derrière, en
on, en la tenant tendue et la pointe du pied basse, sans être posée à
terre
. Aussitôt que cette jambe aura été écartée à la s
mbe sur laquelle vous vous enleverez, et poussant la pointe du pied à
terre
, pour renvoyer le corps qui ira tomber sur la jam
restée de côté, vous la rapprocherez en glissant le pied la pointe à
terre
, pour rentrer consécutivement la jambe derrière l
a troisième position. Ce tems rentré en glissant, la pointe du pied à
terre
, est celui qui donne le nom de glissade dessous q
non en la levant comme pour l’autre jeté, mais en la glissant près la
terre
, sans y poser le pied, quoique la pointe doive êt
, quoique la pointe doive être tendue, ou comme en la coulant près la
terre
. Lorsqu’elle sera développée, enlevez-vous et ret
r ou la battre de la cuisse contre l’autre, et de la pointe du pied à
terre
à la troisième position, derrière l’autre jambe,
ochez celle qui est derrière en tirant la pointe du pied légèrement à
terre
, et serrez ou battez cette jambe derrière l’autre
e tems celle qui est devant en tirant légèrement le pied, la pointe à
terre
pour serrer ou battre cette jambe avec l’autre, e
ncer, et bien tendre surtout les coudes-pieds, qu’il faut éloigner de
terre
le moins possible, en ne s’enlevant pas trop haut
tes les conventions, et naturel à tous les êtres qui respirent sur la
terre
. Ces sons inarticulés qui étaient une espèce de c
rent ou se fermèrent, s’élevèrent vers le ciel ou retombèrent vers la
terre
; les pieds formèrent des pas lents ou rapides ;
e peut penser, Se connaît des mieux à danser, Soit par haut, ou soit,
terre
à terre, Aussi bien qu’à faire la guerre.
enser, Se connaît des mieux à danser, Soit par haut, ou soit, terre à
terre
, Aussi bien qu’à faire la guerre.
té, de souplesse : que je puisse croire que vous effleurez à peine la
terre
, et que vous êtes prêt à voler dans les airs. *
ion de l’homme qui saute et les moyens qu’il emploie pour s’élever de
terre
. Il nous démontre la force, l’impétuosité des mou
ous-de-pied, saute et entraîne tous les autres membres, et s’élève de
terre
. Cependant le danseur qui s’élèverait et « qui pe
ig. 5, planc. XII. Observations physiques sur l’homme qui s’élève de
terre
. Come nel saltar dell’uomo in alto vi si trovan
près à la vie réelle ; le héros appartient également à la fille de la
terre
et à la fille des nuages. Une affreuse sorcière a
la légère Sylphide ; il prend ce bel oiseau ailé pour une femme de la
terre
; il l’a vue recevoir un baiser, et il s’en va po
stin se sont prises par la main, elles vont sans cesse parcourant les
terres
et les mers, et ainsi tournent, tournent, tournen
n de mort, — une écharpe rose à faire envie à toutes les filles de la
terre
. Que sait-on ? c’est peut-être bien une moralité
aérien, rends-moi le foyer d’où je pouvais t’entendre et te voir, la
terre
modeste de la cendre que tu agitais le soir pour
la fugitive ? L’amour que j’ai pour toi n’est pas une affection de la
terre
, et tu ne sais pas combien il y a d’amour hors de
ndre au piège ; jeune fille, on saura bien te forcer à revenir sur la
terre
comme une simple mortelle, ou tout au moins comme
t pleurante et pleurée ! Elle quitte à regret cette double fête de la
terre
et du ciel. Elle renonce, non pas sans larmes, à
cependant le récit commencé ; c’en est fait, James reste seul sur la
terre
; son beau rêve lui échappe à jamais, sa douce vi
’ils exécutaient sans se mouvoir, pour représenter l’immobilité de la
terre
qu’ils croyaient fixe. Voyez Ballet, Chœurs, Dans
ed droit devant à la quatrième position, en laissant poser le talon à
terre
, ce qui finit ce pas. Le corps étant posé sur le
n veut faire un autre du pied gauche, il faut porter le talon droit à
terre
, plier dessus, et porter le pied gauche à côté, e
Chaconne, s. f. (Danse.) elle tient de la danse haute, et de la danse
terre
à terre, et s’exécute sur une chaconne, ou sur un
, s. f. (Danse.) elle tient de la danse haute, et de la danse terre à
terre
, et s’exécute sur une chaconne, ou sur un air de
la courante, on en sautait le pas ; dans la suite on ne la dansa que
terre
à terre. (B) Pas de courante. Ses mouvements, qu
ante, on en sautait le pas ; dans la suite on ne la dansa que terre à
terre
. (B) Pas de courante. Ses mouvements, quoique la
sur la pointe. On baisse ensuite le talon en appuyant tout le pied à
terre
, ce qui termine le pas, le corps étant dans son r
la partie gauche, conservant l’équilibre ; on posera le pied à plate
terre
à la quatrième position, portant ensuite le corps
dant le temps du Carnaval, Je puis assurer, je puis dire Que toute la
terre
l’admire, Et qu’on y court de tous côtés Pour voi
ui plie, parce que celle qui marche ce n’est que la pointe qui pose à
terre
, & qui sert pour ainsi dire de guide au corps
l’autre, & le corps posé sur un seul pied, la pointe de l’autre à
terre
, vous pliez les deux genoux, & vous vous rele
positions, les grands et les petits battements, les ronds de jambe à
terre
et en l’air et les petits battements sur le cou-d
parvenir. La leçon se ferme par tourner les pirouettes, par des temps
terre
à terre, et par des temps de vigueur. Cependant a
. La leçon se ferme par tourner les pirouettes, par des temps terre à
terre
, et par des temps de vigueur. Cependant après que
oleil, les Astres de la nuit, l’immense variété des productions de la
terre
, tous les Êtres vivants et inanimés, étaient pour
l’action de changer le pied d’une position à l’autre sans abandonner
terre
, ce qui s’exécute ordinairement avec le plié ; le
approchant le pied droit à la premiere position, sans qu’il touche à
terre
; puis plier les deux genoux également, ce qui s’
ed droit devant à la quatriéme position, en laissant poser le talon à
terre
ce qui finit ce pas ; le corps étant posé sur le
voulez faire un autre du pied gauche, il faut poser le talon droit à
terre
& plier dessus, & porter le pied gauche à
llante et leste, Dans cet Éden presque céleste, Où l’Air, le Ciel, la
Terre
et l’Eau, Lorsqu’on y fait royal Cadeau, Montrent
sur la pointe : ensuite vous baissez le talon appuyant tout le pied à
terre
, ce qui termine votre tems de Courante ou pas gra
; mais comme vous passez le pied à plein, & que le talon porte à
terre
, le corps se pose facilement sur ce pied, & v
n du pied gauche levé 3. n’y ayant que la pointe du pied qui touche à
terre
, & par consequent prête à marcher, le bras ga
avoir fini votre dernier tems, vous posiez le pied qui est derriere à
terre
& le corps dessus : afin de faire des demi-co
on le vit, dès son origine, se répandre chez toutes les Nations de la
terre
. Je vais le suivre, depuis ses commencements, jus
ent possible, sans lever les talons, ayant toujours les pieds à plate
terre
, observant qu’en pliant il faut que les genoux to
rapproche à force les branches de quelques arbres qu’il voit dans les
terres
, il y attache les voiles du vaisseau, et forme ai
a sentir et ils la portèrent aussi loin qu’aucun Peuple délicat de la
terre
; mais ils ne furent pas longtemps sans la confon
tè, De divertir la Majesté Du premier Monarque du Monde, Tant sur la
Terre
, que sur l’Onde, Fut, pour le premier coup, dansé
Explois, Qui pourroyent êtablir ses Loix Chez tous les Peuples que la
Terre
, Dans sa vaste Rondeur, enserre. Venus, à ses s
re dans le temple ; mais ses vœux et ses offrandes sont rejettés ; la
terre
tremble, les éclairs percent la nue ; la foudre g
soupirs et leur encens sont repoussés par des coups de tonnerre ; la
terre
tremble de nouveau ; le tombeau d’Achille s’entr’
e les manes d’Achille. La foudre en courroux redouble ses éclats ; la
terre
y répond par d’horribles secousses ; les vents se
du tout. Pas du tout ! répond la vilaine fleur, que Giselle jette par
terre
avec dépit ; mais Albrecht ou Loys, si vous l’aim
usqu’ici tout va bien ; mais la chose qui se pardonne le moins sur la
terre
, c’est le bonheur. On pardonne aux gens d’être ri
des nymphéas et du nénuphar ; les longues herbes et les plantes de la
terre
se mêlent aux roseaux de l’étang, dont la brise d
re ; un rayon égaré y trahit le nom de Giselle. C’est là que, sous la
terre
froide, est étendue la victime d’Hilarion, morte
u, tout ce qui est mort pour et par la danse. Elles jaillissent de la
terre
, elles descendent des arbres, il en arrive de tou
sur ma tombe : il est si bon de sentir une tiède larme pénétrer sous
terre
jusqu’à vous, et tomber d’un œil brûlant sur notr
dieu à celui qu’elle ne doit plus revoir, puis la main disparaît : la
terre
a repris sa proie pour ne plus la rendre. Albrech
plus tendres chants à se répandre sur les Astres, le Ciel, l’Air, la
Terre
et l’Eau, afin qu’en leur donnant mille beautés d
élène, la plus belle et la plus dangereuse de toutes les femmes de la
terre
, fut enlevée d’abord par Thésée, et ensuite par P
urs rameaux s’élève vers le ciel : il n’en est point qui rampe sur la
terre
. Admirez le pouvoir, les fruits, les miracles d’u
a rive d’un fleuve à la rive opposée. Le bateau n’a pas plutôt touché
terre
, qu’un mouton saute et s’élance sur le sable, pui
ement ; l’espérance, cette fille consolatrice du ciel, reparut sur la
terre
et reprit son empire dans tous les cœurs, où long
du Ciel, dans un char. Le Sultan, épouvanté, se jette la face contre
terre
. Scene V. Le Magicien sait signe au Sul
Scene XVIII. Plusieurs Démons sortent des entrailles de la
terre
, armés de fourches & de flambeaux. Ils font d
au plutôt. Mais s’appercevant qu’ils menacent le Peuple, il frappe la
terre
de sa baguette, elle s’entr’ouvre & les englo
? Gluck vif, impatient étoit hors de lui-méme, jettoit sa perruque à
terre
, chantait, faisoit des gestes ; peines inutiles ;
ce personnifiés, si tourmentées par tous ces objets, elles sentent la
terre
s’ébranler et s’eutr’ouvrir sous leurs pas chance
à l’instant, elle se jette à genoux, elle gratte, pour ainsi dire, la
terre
et voudroit l’entrouvrir de nouveau ; ses efforts
t leur suite : Le corps humblement combé et les yeux attachés vers la
terre
, ils ne sortent de cette attitude respectueuse qu
ne sur le côté à la distance d’un pied, et posant la pointe du pied à
terre
avant le talon, les jarrets tendus, observant qu’
la jambe & la baisse tout de suite, & les deux pieds étant à
terre
, vous pliez & vous relevez en sautant & e
llégorique. La Religion réunissant la Grande-Bretagne au reste de la
Terre
115 était le sujet de ce spectacle. Le Théâtre re
Atlas fit ensuite sortir dans le même ordre les autres parties de la
Terre
, ce qui forma une division simple et naturelle du
r une conception factice de la danse antique. La mignonne baladine de
terre
cuite qui, la tête rejetée, les bras étendus batt
Paul Valéry lui a réglée. « Elle croise, elle décroise, elle trame la
terre
avec la durée… Ô le charmant ouvrage, le travail
colombes », râlait dans la Salomé d’Oscar Wilde Narraboth, le ver de
terre
amoureux d’une étoile h.) Et plus pareils encore
z, battez !… La matière frappée et battue, et heurtée, en cadence, la
terre
bien frappée… les paumes des mains, les talons, b
es gymnasiarques « planipèdes » !). Les brefs sursauts de la pointe à
terre
jalonnent son avance tandis que la jambe libre, a
DE] Citation de Mallarmé mais déformée : « explication orphique de la
Terre
» b. [NDE] C’est une citation de Valéry (L’âme e
se délasser, à l’exemple de ses patriarches, après avoir cultivé ses
terres
ou ramené ses troupeaux, et après les autres soin
sont de justes peines de notre péché. Mais nous n’avons point sur la
terre
, depuis le péché, de vrai sujet de nous réjouir.
nte de Jésus-Christ et de ses martyrs, que ses conquêtes par toute la
terre
, et le règne de la vérité dans les cœurs, que les
uatriéme en vous élevant dessus la pointe, puis vous posez le talon à
terre
, & la jambe qui est en l’air s’étant aprochée
on centre de gravité sur le milieu de la jambe qui pose entièrement à
terre
. [16] Idem, pag. 66. Dell’equiponderazione. Semp
s active que le talon du pied avant que les doigts se détachent de la
terre
, et deux fois plus rapide que les hanches, ce qui
malaise réel. Et elle achève la plupart de ses danses en se jetant à
terre
. C’est que trouver l’attitude suprême, statuaire
position, en vous élevant dessus, & du même tems poser le talon à
terre
pour plier, & le demi-jetté qui pour lors se
sur la même ligne le pied gauche, le cou-de-pied tendu, sans quitter
terre
, jusqu’à la moitié de la deuxième position, où, à
C’est pourquoi j’en sortis, belle-erre, Et quoi qu’on ne vît Ciel, ni
Terre
, Je revins chez-moi, promptement, Sans voir ce di
es mêmes arabesques sur les deux pieds, qui ne se font qu’en posant à
terre
la jambe, qui est en l’air, comme le représente l
e de gravité de l’homme qui agit, doit exister sur la jambe qui est à
terre
. (Voyez la fìg. i, planc. VIII, etc.) « L’uomo c
use après la mort. Ce que dit Jésus-Christ, demande qu’on mène sur la
terre
une vie plus resserrée et plus gênante ; mais c’e
ns les enfers ? Voyez ce qu’en dit le mauvais riche qui, étant sur la
terre
, avoit été vêtu de pourpre et de lin, et avoit fa
toujours persuadés que le lieu qu’ils habitent est le seul lieu de la
Terre
où le bon goût réside, regardaient en pitié toute
pirent les fureurs dont elles sont animées ; l’Enfer se referme et la
Terre
reparaît. Mars et Bellone, la Renommée et la Vict
ère Entrée avec toutes les Divinités du Ciel qui l’accompagnaient. La
Terre
ornée de fleurs et de verdure formait la décorati
tréteaux qu’illustra Nicolet. Mais n’allez pas aussi, par des pas
terre
à terre, Noblement ennuyeux, fatiguer le parterre
x qu’illustra Nicolet. Mais n’allez pas aussi, par des pas terre à
terre
, Noblement ennuyeux, fatiguer le parterre. Cha
rançois22, Le caprice tout seul faisait toutes les loix. Quelques pas
terre
à terre, à-peu-près en mesure, Tenaient lieu d’or
2, Le caprice tout seul faisait toutes les loix. Quelques pas terre à
terre
, à-peu-près en mesure, Tenaient lieu d’ornement,
rs plats et grossiers, dépouillés d’agrément, 20 Toujours baisent la
terre
, et rampent tristement : On dirait que Ronsard, s
a vapeur qui produit le tonnerre, C’est Jupiter armé pour effrayer la
terre
; &c… Sans tous ces ornemens le vers tombe en
a vapeur qui produit le tonnerre, C’est Jupiter armé pour effrayer la
terre
: Sans tous ces ornemens cet art tombe en langueu
a jamais d’élégance. 2. S’enlever, terme de Danse, c’est quitter la
terre
par un élan, sauter haut et perpendiculairement.
dique le mouvement que doit faire une jambe, soit en l’air, ou bien à
terre
, le corps étant posé sur l’autre jambe. 12. J’ai
rme, pour exprimer le mouvement d’un danseur, qui lorsqu’il touche la
terre
bondit moelleusement. 21. Mlle Théodore (Mad. D
jambes en avant, et faisait un tour en l’air avant que de retomber à
terre
, nous prouve que de tout temps le public a aimé q
autres se font pendant la deuxième. Cette manière de danser s’appelle
terre
à terre, parce que l’on ne saute pas. Marcel disa
e font pendant la deuxième. Cette manière de danser s’appelle terre à
terre
, parce que l’on ne saute pas. Marcel disait : « L
mesure. Mais lorsque les Anglais brodent cette Danse, ils frappent la
terre
du talon et de la pointe alternativement ; ils on
tournant, qu’on place dans les contredanses françaises en le faisant
terre
à terre. Le Basque est fort leste ; il saute très
t, qu’on place dans les contredanses françaises en le faisant terre à
terre
. Le Basque est fort leste ; il saute très-haut, e
, sentiment expressif que l’ame seule peut donner. Son genre de Danse
terre
à terre charmait généralement. Personne ne joua m
ent expressif que l’ame seule peut donner. Son genre de Danse terre à
terre
charmait généralement. Personne ne joua mieux la
enrager mes concitoyens, vous êtes-vous dit, j’élevais une statue de
terre
glaise à côté des leurs, et si je rendais cette s
amp; la jambe droite se portant en arriere, le talon gauche se pose à
terre
; ce qui donne la liberté au pied droit de se por
notions imparfaites de la divinité chez tous les autres peuples de la
terre
. Ainsi elle devint parmi les Egyptiens, et succes
r état ; parce que la danse a été regardée par tous les peuples de la
terre
comme une des parties essentielles du culte qu’on
aient au reste de trois espèces ; la grave qui répondait à nos danses
terre
à terre ; la gaie qui avait un grand rapport à no
reste de trois espèces ; la grave qui répondait à nos danses terre à
terre
; la gaie qui avait un grand rapport à nos gavote
des, nos grands airs de caractères que nous appelons danses nobles et
terre
à terre. Bonnet, Hist. de la Danse. Il y a sur l’
grands airs de caractères que nous appelons danses nobles et terre à
terre
. Bonnet, Hist. de la Danse. Il y a sur l’emmelie
ntôt, en achevant de se corrompre, chez tous les autres Peuples de la
terre
. 13. Sumpsit ergo Maria Prophetissa soror Aaro
tes ces âmes célestes de Chevaliers avec leurs Dames descendissent en
terre
, pour danser à ces noces Royales. Jupiter lui acc
sant sur son Empire, Nonobstant certains Envieux, Qu’il l’est, sur la
Terre
, en tous Lieux. Par lesdits Changements, encore
r, Se culebute, et pirouette, Sans toucher de pied, main, ou tête, La
Terre
, en aucune façon, Et qui marche, encore, tout de
ion, que nous croyons inédite, peut être amplifiée. Tout ce qui est «
terre
à terre » et batterie, temps sur les pointes et e
nous croyons inédite, peut être amplifiée. Tout ce qui est « terre à
terre
» et batterie, temps sur les pointes et entrechat
la quatrième position (vue de profil). Fig. 2. Danseur à la seconde à
terre
, et position des demi-bras. Fig. 3. Seconde posit
is vue que comme l’ont vue toutes les foules humaines qui couvrent la
terre
, sur la scène, agitant d’un geste harmonieux ses
la quatrième position en avant, et rapprochez vivement, sans toucher
terre
le pied gauche, les jarrets tendus à la première
on vit dans l’espace et moi je suis tout simplement un habitant de la
terre
. — Oui, dit Flammarion, mais une petite étoile ve
plantes. La seule jolie plante était celle qui avait poussé en pleine
terre
et en plein air : elle était normale. Puis, pour
gnent dans la nature et composition particulière de chaque portion de
terre
. Les facultés physiques de l’homme quelles qu’ell
ravail opiniâtre. L’homme employé dès sa naissance à la culture de la
terre
, contracte l’habitude de ses travaux pénibles, et
ieds, et les sons touchans de sa Lyre expriment la reconnaissance. La
terre
s’entr’ouvre, l’Amour lui ordonne de le suivre. G
s des regards de ce Dieu, reculent et n’osent plus lever les yeux. La
terre
s’entr’ouvre ; il en sort une légère vapeur, qui,
troupes forment une double haie. Des esclaves déploient et placent à
terre
les tapis nécessaires à cette cérémonie. Le silen
a place sur son trône : dans ce moment on se prosterne la face contre
terre
: le bruit de l’artillerie, celui des instrumens
nconnus aux peuples jadis les plus polis et les mieux instruits de la
terre
. Les amusements étrangers, qu’ils appelèrent à le
uelquefois animés, souvent suspendus, ses regards tantôt fixes sur la
terre
, tantôt tournés vers le ciel, peignaient un homme
réments Le doux charme de tous les Sens ; Là, dis-je, où le Ciel à la
Terre
Ses plus chères faveurs desserre, On vit, Lundi,
mot : « jolie », je m’enquis de ce qui lui semblait le plus joli sur
terre
. — La plus belle chose qui existe sur la terre, m
blait le plus joli sur terre. — La plus belle chose qui existe sur la
terre
, me dit-il, c’est la femme. Je lui demandai alors
pu croire qu’il venait de recevoir le meilleur morceau de sucre de la
terre
. Il faillit dévorer son maître de caresses. — A q
de ce que les maux du monde faisaient tout leur bien, et de ce que la
terre
couvrait toujours leurs fautes. Pendant ce Dialog
éfectueuses des pieds qui, ne se présentant point directement vers la
terre
, lorsque le corps retombe, tournent, ploient et s
r, soit avec douceur, soit avec force ; les pieds ne quitteront point
terre
: cette fléxion et cette extension ne peuvent éle
e la retombée : or, il est certain, que si les pieds rencontroient la
terre
dans le moment que les jambes battent encore, ils
lusieurs fois, sur une planche dont les extrémités étoient élevées de
terre
, lorsque je m’appercevois du coup que l’on alloit
s jambes étoient immobiles ; et mes pieds tendant directement vers la
terre
, étoient sans mouvement, mais dans une position p
de fuir pour jamais les états de Créon. Médée, les yeux fixés vers la
terre
, paroît immobile ; l’arrêt de sa disgrace absorbe
se. Les enfers expriment leur joye barbare ; le ciel s’obscurcit ; la
terre
tremble, une pluie de feu embrâse le palais ; il
ils ; la foudre gronde, l’éclair perce la nue ; le Tonnerre frappe la
terre
: elle sentrouvre et offre une route à Hercule. L
ant des douceurs de la solitude. Comme elles se disposent à obéir, la
terre
s’en-trouvre ; on voit Hercule, l’Amour et l’Hyme
éveloppe. C’est la chaleur du soleil qui fait éclore les germes de la
Terre
. Il y a trente ans, que les sciences, les talents
ales de l’Art dramatique ? Le combat des Soldats sortis du sein de la
Terre
dans Cadmus, devait être, selon ses vues, une act
ité toujours croissante. Le danseur osera-t-il, à la suite, tourner à
terre
ses huit ou douze pirouettes ? Trois chiens de Pe
ce pas est plus lent que si l’on portoit le pied sans qu’il touchât à
terre
, ainsi se glisser signifie un pas trés-lent, ce q
i secondé24 De l’Altesse du Grand Condé25 (Un des preux Héros de la
Terre
)26 Y parut en foudre de guerre, En Dieu triompha
n’ont pas de réceptacle immédiatement à leur portée, pour cracher par
terre
et jeter leurs bouts de cigares n’importe où sans
fit passer négligemment dans la sienne. Puis il déposa la chaussure à
terre
et disparut… Au paroxysme de la fureur, notre ami
r en douane. Même si j’avais affaire aux gens les plus honnêtes de la
terre
, je commencerais par douter. C’est l’éternelle hi
u. Voici le dessein que trace Quinault pour ce moment théâtral. « La
Terre
produit des Soldats armés, qui se préparent d’abo
s aimable volupté : des embrasements, des orages, des tremblements de
terre
: des Ballets légers, des Fêtes brillantes, des e
ctable avoit imaginé de donner tous les ans, à celle des filles de sa
terre
, qui jouiroit de la plus grande réputation de ver
t avantage, perpétua cet établissement. Il détacha des domaines de sa
terre
douze arpens, dont il affecta les revenus au paye
en cascades sur les rochers et se précipitent ensuite dans la mer. La
terre
s’entrouve ; Pluton et Proserpine en sortent ; il
s Dieux, applaudissent au bonheur des deux époux. Les Divinités de la
terre
, des eaux et de l’air se réunissent aux Jeux, aux
valiers Romains n’était son camarade. Il fut le premier Danseur de la
Terre
. Ses successeurs furent familiers avec les plus g
es de fruits. Dans le même temps l’ombre du délicat Apicius sortit de
terre
. Il venait prêter à ce superbe Festin les finesse
Sur un fond de draperies neutres, quatre danseuses sont disposées par
terre
. C’est une promenade en bateau. L’une d’elles, su
e élevation, la jambe gauche suit, en laissant poser le talon droit à
terre
, & le genoüil se pliant ; par ce mouvement il
ueur. Tantôt, donc, il paraît, belle-erre, En Pluton, sortant de la
Terre
, Suivi des Démons, ses Valets, Et fait voir son p
— d’être enfin tout ce qu’il plut à la flûte qu’elle fût, car la même
Terre
qui l’a envoyée, la rappelle, et la rend toute ha
PHÈDRE Elle semble d’abord, de ses pas pleins d’esprit, effacer de la
terre
toute fatigue, et toute sottise… Et voici qu’elle
finissable de sensations ?… Elle croise, elle décroise, elle trame la
terre
avec la durée… Ô le charmant ouvrage, le travail
re forme, tandis que ses membres devenus fous semblent se disputer la
terre
et les airs ; et que sa tête se renverse, traînan
ans l’instant même ?… Flamme est l’acte de ce moment qui est entre la
terre
et le ciel. Ô mes amis, tout ce qui passe de l’ét
, battez !… La matière frappée et battue, et heurtée, en cadence ; la
terre
bien frappée ; les peaux et les cordes bien tendu
es travaux le lendemain : mais quand les ouvriers voulurent ouvrir la
terre
, il se forma un orage si prodigieux, accompagné d
nt, dit le Comte de Gabalis, composez des plus subtiles parties de la
terre
qu’ils habitent ; & que les Nymphes sont comp
es gestes consacrés d’un culte antique ; ceux des sorciers adorant la
terre
et le miracle printanier ; ceux du peuple s’adonn
ut à la fois de science, de goût et d imagination ; le tremblement de
terre
fait pour le second acte de cet ouvrage , ne put
ux jambes & vous relever en sautant à demi, c’est-à-dire, raze de
terre
; & en prenant ce mouvement sur les deux pied
, dit un sçavant Auteur, que non contentes d’imiter ce qui est sur la
terre
, elles ayent été jusque dans le Ciel observer la
t dans toutes les Villes ; un Peintre étoit un bien commun à toute la
terre
. L’on portoit même jusqu’au respect l’honneur qu’
ue Dieu donna aux Apôtres, se fait entendre de tous les peuples de la
terre
. D’ailleurs la Peinture se dévelope, & nous é
ien, forme & représente si bien toutes les choses qui sont sur la
terre
, sur les eaux, & dans les airs, que nous les
aronius dit que le peuple Romain ayant découvert une autre ville sous
terre
, fut ravi d’y voir représenté en peinture les cho
absence : Philostrate, dans ses Tableaux, dit que Débutades Potier de
terre
à Corinthe, étoit pere de cette fille, & qu’i
défectueuses des pieds qui ne se présentant point directement vers la
terre
lorsque le corps retombe, tournent, plient &
r, soit avec douceur, soit avec force ; les pieds ne quitteront point
terre
, cette flexion & cette extension ne peuvent é
ration de la retombée, or il est certain que les pieds rencontrant la
terre
dans le moment que les jambes battroient encore n
jambes étoient immobiles, & mes pieds tendant directement vers la
terre
étoient sans mouvement, mais dans une position pr
e nomme les O de Noël. Ce sont neuf cris de joie qui s’élancent de la
terre
aux cieux, neuf harmonies dont la quinzième lettr
Bérat était un matelot de l’Astrolabe qui avait acheté une langue de
terre
sur laquelle on parlait le patois de Gaspard l’Av
pondance que nous avons pu saisir entre les anges et les démons de la
terre
. Être et n’être pas dans ses meubles.
tte, elle y touche un moment comme les navigateurs abordent à quelque
terre
sauvage pour attendre le bon vent. L’hôtel garni
Lorette. Toutes les tortures l’attendent et l’assaillissent sur cette
terre
d’exil, où souvent elle est condamnée à vernir el
arnis est la table mortuaire des noms de guerre ou plutôt des noms de
terre
. Le cinquième fléau dont nous devons encore prend
eusement sa porcelaine et ses cristaux et qui se compose de tasses en
terre
de pipe, et de petits verres non diaphanes qu’on
t les monts avec elle. Un matin elle se réveille avec l’appétit de sa
terre
natale et la soif de son Arthur. Il y a entre lui
nte qui tombe gratuitement sur la Lorette dans son pèlerinage vers la
terre
promise. La Providence, qui fait tomber cette man
hargées de la vengeance du Ciel, poursuivre et punir les crimes de la
Terre
. Ce trait Historique nous est rapporté par les mê
triomphe. Les rues étaient parées de Tapisseries les plus riches ; la
terre
était jonchée de Fleurs. Sur des Théâtres élevés
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