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1 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Lacordaire, 1802-1861 » pp. 542-557
re, il ressentit douloureusement les blessures de la France. Avocat à Paris en 1822, il ne demandait au ciel et à la terre qu
d’avoir fait quelque chose pour Dieu1. (Conférences de Notre-Dame de Paris . Édition de Mme Ve Poussielgue-Rusand.) L’ois
leur en reste, se dépense à se flétrir. (Conférences de Notre-Dame de Paris .) La parole Un homme vient au monde. Ses
on de la patrie1. (De la prophétie. lvi e conférence de Notre-Dame de Paris , 1849. Édition de Mme Ve Poussielgue-Rusand.)
dre en France. Je l’ai fait, j’ai porté cet habit dans les chaires de Paris , de Bordeaux, de Nancy ; j’ai traversé la France
ité, je l’ai quitté pour la gloriole de prêcher dans la cathédrale de Paris  ? Qui verrait en moi autre chose qu’un esprit fai
homme de beaucoup d’esprit, pourquoi il ne venait pas plus souvent à Paris , et pourquoi, quand il y venait, il n’y restait p
lus, à vous parler franchement, je n’aime pas beaucoup votre monde de Paris . — Pourquoi cela ? — Tenez, reprit-il en riant, v
Dans mon département, je suis M. le préfet, et c’est quelque chose. À Paris , dans un salon, on annonce M. le préfet de …, per
Les uns pensent que leur renommée va au moins jusqu’aux barrières de Paris  : elle ne passe pas la Seine et s’arrête sur la r
chaire de Notre-Dame en costume de dominicain ; mais l’archevêque de Paris , craignant des manifestations irrévérentes, pria
2 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Boileau, (1636-1711.) » pp. 212-225
Boileau (1636-1711.) [Notice] Boileau, né à Paris en 1636, avait commencé par se faire recevoir avo
a coutume, Peut conduire un héros au dixième volume3 De là vient que Paris voit chez lui de tout temps Les auteurs à grands
eut-il le décrier ? En vain contre le Cid un ministre se ligue : Tout Paris pour Chimène a les yeux de Rodrigue. L’Académie e
ées ? Viendrai-je, en une églogue, entouré de troupeaux, Au milieu de Paris enfler mes chalumeaux, Et dans mon cabinet assis
, Quatre bœufs attelés, d’un pas tranquille et lent, Promenaient dans Paris le monarque indolent5. Ce doux siècle n’est plus.
freuses4 Couvre des Bourguignons les campagnes vineuses, Revole vers Paris , et, hâtant son retour, Déjà de Montlhéry voit la
de sa maîtresse. Il la suit : et tous deux, d’un cours précipité, De Paris à l’instant abordent la cité. Là, s’élançant d’un
itre placé et déplacé, qui avait jeté la discorde dans un chapitre de Paris , celui de la Sainte-Chapelle si habilement restau
circumvolat umbra ; cf. ibid., VI, 866. 1. A six lieues environ de Paris . En approchant de cette ville par le côté du midi
3 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — De Retz. (1614-1679.) » pp. 20-28
e. S’il n’avait donc pour lui que son rôle politique de coadjuteur de Paris , il serait peu digne de souvenir. Mais amendé par
Germain, tout le régiment des gardes s’y rendit ; l’on amena le roi à Paris . Monsieur1 se contenta d’être lieutenant général
arrêté celui qui, cinq ou six semaines devant, avait ramené le roi à Paris avec un faste inconcevable, l’imagination de tous
nde croyait l’avoir encore à ses côtés3. Mémoires. Une sédition à Paris  ; courage du premier président (Mathieu Molé).
re grise. Le premier président fit voir à la reine toute l’horreur de Paris armé et enragé, c’est-à-dire il essaya de lui fai
les barricades, l’on ouvrit les boutiques, et en moins de deux heures Paris parut plus tranquille que je ne l’ai jamais vu le
ausée, nous dit ingénument « qu’elle n’eût pas cru que jamais dans ce Paris , le séjour des délices et des douceurs, on pût vo
4 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — D’Aubigné, 1550-1630 » pp. -
mon du xvie  siècle. Une évasion (1562) Escolier il fut mis à Paris entre les mains de Mathieu Beroalde1 (M. Brouard)
secutions redoublees, les massacres et brustements qui se faisoient à Paris ayant contraint, après de grands dangers, Beroald
ubonne. Il y a 9 lieuës savoyardes de l’une à l’autre, et plus que de Paris à Estampes, ou de France en Angleterre. Si on all
tour, il n’y en a pas pour une lieuë. Voyez si l’armee qui secourroit Paris ne seroit pas bien contente d’entrer en ce Consei
l vous dire que le secret est aussi puissant pour parler de Londres à Paris , voire à Madric2, qu’au travers de trois muraille
ognees : la premiere est le coust, car ne pourroit faire de Londres à Paris qu’il ne coustast 20000 livres ; l’aultre poinct
5 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Fontenelle. (1657-1757). » pp. 110-119
’étroit sur un si petit théâtre. Ils l’exhortèrent vivement à venir à Paris , et il y fut obligé par quelques démêlés qu’il eu
té de génie et de talents un peu trop mise au jour et trop exercée. A Paris il fut bientôt connu de M. de Pontchartrain, alor
bout de trois ans, il fut lieutenant général de police de la ville de Paris , en 1697. Les citoyens d’une ville bien policée j
n serait effrayé. Entretenir perpétuellement dans une ville telle que Paris une consommation immense dont une infinité d’acci
s au plus haut degré. Aussi le feu roi1 se reposait-il entièrement de Paris sur ses soins. Il eût rendu compte d’un inconnu q
rdinaires : c’était un certain nombre de juges, choisis d’ordinaire à Paris et investis par une délégation temporaire d’une c
6 (1892) La composition française aux examens du baccalauréat de l’enseignement secondaire moderne, d’après les programmes de 1891, aux examens de l’enseignement secondaire des jeunes filles et aux concours d’admission aux écoles spéciales pp. -503
e l’histoire ? L’histoire mise en vers serait-elle un poème épique ? ( Paris , avril 1890.) Qu’est-ce que la critique historiqu
ciales ? (Poitiers, août 1891.) Analisez la quatorzième Provinciale. ( Paris , octobre 1891.) Montrer quelle influence Voltaire
ustice et rappelle les titres du grand poète à la protection du roi. ( Paris , juillet 1887.) Rotrou a Corneille (mars 1637). 
et apprécier le rôle et le caractère du comte de Gormas dans le Cid. ( Paris , août 1888.) Qu’appelle-t-on la règle des trois u
mment cette règle a-t-elle été observée dans le Cid et dans Horace ? ( Paris , août 1887.) Qu’appelle-t-on dans notre histoire
 ? En exposer les causes, les principaux incidents et le dénouement. ( Paris , août 1886.) Montrer en quoi diffère le patriotis
gédie de Cinna et apprécier le caractère des principaux personnages. ( Paris , octobre 1887.) Lettre de Mme de Sévigné à une de
savantes. Quelle est la conclusion morale à tirer de cette comédie ? ( Paris , octobre 1883.) Est-il vrai, comme l’a prétendu J
au, que Molière ait ridiculisé la vertu sous la personne d’Alceste ? ( Paris , août 1884.) Vous analyserez les caractères et le
e reproche en analysant le caractère d’Alceste et celui de Philinte. ( Paris , octobre 1883.) Expliquer ce jugement de J.-J. R
us préférez ? Analysez-la et appréciez-en les principaux caractères. ( Paris , octobre 1880.) Définir l’honnête homme tel qu’on
affirmation. (Toulouse, avril 1889.) Boileau écrit à Racine absent de Paris pour lui annoncer la mort de Molière. Il résume b
e. – En faire ressortir l’esprit et la portée. – Citer des exemples. ( Paris , juillet 1891.) Montrer comment, mieux qu’Ésope e
ire littéraire, telle qu’elle a été comprise et traitée par Boileau. ( Paris , avril 1891.) Quels sont les plus importants des
rche en vain les motifs de cet oubli et engage Boileau à le réparer. ( Paris , juillet 1888.) Faire connaître et apprécier l’i
ique l’oraison funèbre d’Henriette d’Angleterre, duchesse d’Orléans. ( Paris , octobre 1886.) Quel est le caractère des oraison
, analysez et appréciez l’oraison funèbre de Henriette d’Angleterre. ( Paris , octobre 1891.) Quelles sont les idées de Fénelon
 1890.) La Renaissance en France. – Savants, artistes, littérateurs. ( Paris , août 1885.) Exposer et apprécier le rôle de Henr
avant son ministère ; – Turgot ministre ; ses actes et ses projets. ( Paris , avril 1887.) Comment Colbert et Turgot, à des ép
cet exemple ne soit suivi par beaucoup d’autres officiers français. ( Paris , novembre 1888.) Lettre d’un jeune officier à La
sophe, et rappelle les relations que Franklin a eues avec la France. ( Paris , août 1884.) Montrer comment les grands écrivains
ami en quoi elle est civilisatrice et en quoi elle est patriotique. ( Paris , juillet 1890.) Pourquoi les nations européennes
e vous répudiez. (Lille, juillet 1891.) Expliquer comment et pourquoi Paris est devenue la capitale de la France. Faire resso
nce. Faire ressortir les causes de sa prospérité passée et présente. ( Paris , octobre 1890.) Expliquer et développer la phrase
voirs de charité. Citer des exemples à l’appui de cette distinction. ( Paris , août 1883.) Distinguer les devoirs de justice et
) De l’induction et de la déduction appliquées aux sciences morales. ( Paris , octobre 1891.) La doctrine utilitaire. – Quelles
ue l’intérêt personnel soit le mobile unique de toutes nos actions ? ( Paris , avril 1889.) Développer cette parole de Gœthe :
is affections s’enchaînent et se concilient dans le cœur de l’homme. ( Paris , avril 1888.) Quels sont les fondements et quelle
vers de Racine : Lâche qui veut mourir ; courageux qui peut vivre. ( Paris , octobre 1884.) Alfred de Musset a dit dans un po
Grand, empereur de Russie, nommé membre de l’Académie des sciences de Paris , lui adresse par lettre ses remerciements. (Nancy
nez une idée sommaire du théâtre tragique de Corneille et de Racine. ( Paris , août 1874.) Vous supposerez que le soir même de
oir même de la première représentation du Cid (1636), un bourgeois de Paris , grand amateur de théâtre, écrit à un de ses amis
le pièce et lui faire connaître le succès éclatant qu’elle a obtenu. ( Paris , août 1875.) Analyser et apprécier l’une des trag
ls enseignements la morale peut-elle tirer du théâtre de Corneille ? ( Paris , août 1882.) Démontrer par des exemples tirés de
ses plus belles tragédies la portée morale du théâtre de Corneille. ( Paris , août 1877.) Appréciez les rôles de Joad et de J
Appréciez les rôles de Joad et de Joas dans la tragédie d’Athalie. ( Paris , août 1878.) Pourquoi dit-on qu’Athalie est le ch
ût 1878.) Pourquoi dit-on qu’Athalie est le chef-d’œuvre de Racine ? Paris , août 1882.) A-t-on, en France, transporté sur le
Avec quel succès ? Vous prendrez vos exemples dans le xvii e siècle. ( Paris , octobre 1878.) La Fontaine a dit de ses fables q
int au naturel, comme les meilleurs poètes comiques ont pu le faire. ( Paris , août 1874.) Quels sont les principaux caractères
aine s’est plu à peindre dans ses fables, sous la figure d’animaux ? ( Paris , octobre 1880) Appréciez la fable de La Fontaine 
nube », au point de vue de la composition, du sentiment et du style. Paris , août 1877.) Qu’est-ce que l’éloquence ? Sous que
e ? Quels sont les chefs d’œuvre qu’elle a inspirés à cette époque ? ( Paris , octobre 1874.) Discours de Bossuet sur l’Histoir
ongue popularité de ce livre, et l’abandon où il semble être tombé ? ( Paris , août 1879.) 1° Énumérer les principaux écrivain
r l’analyse d’un des ouvrages d’un des plus grands de ces écrivains. ( Paris , novembre 1869.) Quelle a été l’influence de Boil
t-il surtout insisté et quels reproches fait-il aux mauvais poètes ? ( Paris , octobre, 1877.) L’Art poétique de Boileau. (Cler
llé, tant en prose qu’en vers ? Vous citerez des noms et des œuvres. ( Paris , octobre 1882.) Qu’appelle-t-on les quatre grands
’on assigne à ces quatre siècles dans l’histoire de la civilisation. ( Paris , août 1874.) Énumérer et apprécier les principaux
r les principaux auteurs en prose et en vers du siècle de Louis XIV. ( Paris , octobre 1873.) Montesquieu : Grandeur et décaden
ue a-t-elle faits au xix e siècle, et à quels écrivains la doit-on ? ( Paris , août 1876.) Définissez les lettres, les arts et
es arts et les sciences et dites ce que l’homme doit à leur culture. ( Paris , octobre 1878.) Quel est le caractère propre de l
que en France depuis le commencement du xvii e siècle jusqu’en 1830. ( Paris , août 1876.) Principaux genres en prose et en ver
e politique ? Vous prendrez vos arguments dans l’histoire de France. ( Paris , août 1881.) Qu’appelle-t-on éloquence politique 
fin du dernier siècle et appréciez brièvement le génie de Mirabeau. ( Paris , août 1879.) Qu’entendez-vous par la querelle des
n suivie, en ne citant que les noms propres strictement nécessaires. ( Paris , août 1879) Quelles sont les principales règles
lyrique ? On donnera des exemples empruntés à nos meilleurs poètes. ( Paris , août 1878). Histoire. – géographie Par que
Montesquieu explique-t-il la grandeur et la décadence des Romains ? ( Paris , août 1877). La poudre à canon, la boussole, l’im
nements et sur la marche de la civilisation à partir du xv e siècle. ( Paris , août 1882). Donnez une idée sommaire des ministè
comparez les services et les caractères de ces deux hommes célèbres. ( Paris , août 1876). Comparez Turenne et Condé. Vous rapp
s, et par qui leur gloire a été dignement célébrée au xvii e siècle. ( Paris , octobre 1879). Racontez sommairement le règne de
gne de Louis XIV depuis le traité de Ryswick jusqu’à la mort du roi. ( Paris , octobre 1876). Racontez les derniers moments de
elle que présentaient le royaume et la cour quarante ans auparavant. ( Paris , août 1877). Montcalm. – Quelques mots sur son e
ns cette lettre tous les sentiments appropriés aux deux personnages. ( Paris , août 1879). Donnez une idée de la cour de Louis 
faites-nous connaître la situation du roi Louis XVI à cette époque. ( Paris , août 1873.) Lettre d’un député du Tiers-État à u
le à son récit les réflexions qu’une lettre comporte à cette époque. ( Paris , août 1879.) Plusieurs jeunes gens appartenant à
points de vue. Vous donnerez, sans préambule, la parole à l’orateur. ( Paris , octobre 1879.) Faites un voyage en Bretagne, en
ures, etc… Vous pourrez donner à votre voyage la forme d’une lettre. ( Paris , octobre 1875.) Voyage dans la vallée du Rhône et
les industries, les souvenirs. Vous prendrez la forme d’une lettre. ( Paris , août 1883.) Décrivez le cours du Rhône depuis sa
nes et leurs cultures, les habitants et leurs physionomies diverses. ( Paris , octobre 1880.) Morale Sanction de la loi m
qui résulte des actes vertueux ou coupables. – Donner des exemples. ( Paris , novembre 1872.) Fondement des devoirs de l’homme
s suffisent-ils pour assurer la moralité d’un homme ou d’un peuple ? ( Paris , août 1876.) Développez cette idée que l’amitié
e honnêtes gens et qu’elle n’est pas faite pour les cœurs corrompus. ( Paris , août 1881.) Démontrez que l’on ne saurait fonder
ontrez que l’on ne saurait fonder la morale sur l’intérêt personnel. ( Paris , octobre 1877.) Quelles seraient les conséquences
raient les conséquences d’une morale fondée uniquement sur l’utile ? ( Paris , août 1875.) Démontrez que l’intérêt, même bien e
le côté pratique de la question. La forme doit être vive et animée. ( Paris , août 1880.) Amour de la patrie : ce que l’amour
produit de grand et de fécond aux différentes époques de l’histoire. ( Paris , août 1872.) Du travail imposé à chaque homme sel
nu de payer sa dette à la société. Montrez la moralité de cette loi. ( Paris , août 1878.) La loi du travail. Vous direz le rôl
ans les sociétés, sa place dans la morale, sa nécessité, sa dignité. ( Paris , août 1883.) Sujets divers On décrira les s
les vides que la mort a faits dans leurs rangs pendant son absence. ( Paris , août 1873.) La mer et les montagnes : quels spec
? Vous pourrez donner à votre sujet la forme d’une lettre de voyage. ( Paris , août 1884.) Quelle utilité doit-on retirer des v
si peu, comparativement à d’autres peuples ? Faut-il les approuver ? ( Paris , août 1877.) Imaginez un récit vif et animé dans
cette fable : « Rien ne sert de courir, il faut partir à point. » ( Paris , août 1882.) Formez pour votre usage, à la campag
s pourrez donner à cette composition la forme d’une lettre à un ami. ( Paris , août 1881.) Un jeune écolier aimait à lire, mais
quiert dans le commerce de nos bons écrivains, prosateurs et poètes. ( Paris , octobre 1881.) Depuis cinquante ans la France ne
s célèbres dont vous direz les noms et les titres les plus glorieux. ( Paris , août 1878.) Pourquoi a-t-on donné au xvii e sièc
ce siècle sous le rapport des armes, des institutions et des lettres.( Paris , août 1870) avant la bataille. Les premiers feux
ents attristent la pensée de l’observateur qui contemple ce tableau. ( Paris , août 1873.) Un élève de l’enseignement spécial a
euve d’intelligence et de goût dans le choix de ses auteurs favoris. ( Paris , août 1876.) Un ami de Franklin lui écrit pour le
n cadre si pittoresque, dans des conditions si différentes du passé. ( Paris , août 1880.) Vous décrirez une de ces vastes usin
, elles ont servi leurs intérêts et ceux de l’humanité tout entière. ( Paris , août 1878.) léopold Ier , duc de lorraine, et l
sance. Depuis longtemps, il désirait voir la France. Enfin, il vint à Paris en 1717. Il reçut de toutes les classes de la pop
dont il était digne. Il visita tout ce qui pouvait l’intéresser dans Paris , depuis les grands établissements dont s’honore c
orique, en vous tenant à ce qu’il y a de plus général dans le sujet. ( Paris , octobre 1883.) Concours general de cinquième
jet. – La tragédie de Cinna a été représentée pour la première fois à Paris en 1640. Corneille en a emprunté le sujet au trai
t de provinciaux ? Laissez pour un moment vos occupations, et venez à Paris entendre ce chef-d’œuvre. Vous en rapporterez une
tions profanes, et sa diction est quelquefois heurtée et archaïque. A Paris , vers 1659, et jusqu’à sa nomination à l’évêché d
réputation de Bourdaloue, qui commença à prêcher dans les églises de Paris vers le temps où Bossuet cessa d’y paraître, fut
. Fléchier et Mascaron ont prêché l’un et l’autre dans les églises de Paris . Mascaron se fit une grande réputation par ses se
gne, il ne distingue pas le blé d’avec le seigle, il ne sort point de Paris , il ne parle que d’aunage, de tarif et de sou pou
préparions à repousser l’Espagnol de nos frontières et le rebelle de Paris . Vous sourirez peut-être à mon enthousiasme : vou
. Les esprits doux et amateurs des belles lettres fuirent les champs. Paris , la Cour, leur sont préférés. Descartes, Racine,
assante. A sa prière, M. du Harlay, premier président au Parlement de Paris , qui goûtait singulièrement les ouvrages de La Fo
relles que n’en suscita jamais la belle Hélène ! Notre brave ville de Paris se divisait naguère en papistes et huguenots ; el
utes d’orthographe. Ces deux copies n’appartiennent ni à Sèvres, ni à Paris . Malgré ces réserves nécessaires, – et quel conco
direction du Jardin du Roi, devenu, depuis, le Jardin des Plantes de Paris et le Muséum d’Histoire naturelle. Vous supposere
omposition littéraire. Sophie Germain, célèbre mathématicienne, née à Paris en 1776, morte en 1831, dans un Discours sur l’ét
eaux, surtout aux musées, leur sont recommandées. Ceux qui résident à Paris auront intérêt à suivre le Cours d’histoire génér
aux projets de Fulton dans sa propre patrie, qu’elle ne l’avait été à Paris . Vous montrerez la foule incrédule et railleuse,
ez pour le jeune enfant, en développant ses idées. (Centre d’examen : Paris .) CONSEILS ET PLAN CONSEILS Tout est à développer
itue, au-dessus d’elles, quatre grands bailliages, fortifie, embellit Paris , fait construire le château-fort du Louvre, fonde
it Paris, fait construire le château-fort du Louvre, fonde l’Étude de Paris , la future Université. Conclusion. – Richard Cœu
e et courageuse de Marigny se rendant au gibet, à travers les rues de Paris , sous les yeux de la population, dont les sympath
écouvertes et explorations. – Raconter le voyage de Pierre le Grand à Paris  ; dire les sentiments dont il est l’objet. – Raco
ent péri. Plusieurs médecins français, entre autres Maret, quittèrent Paris pour aller soigner les pestiférés. Maret ranime l
ptionnel, maintenu au régiment. – On célèbre à l’hôtel Continental, à Paris , la fête de Noël pour les enfants d’Alsace-Lorrai
fait par sa puissance, dirige tout par sa sagesse. (Centre d’examen : Paris .) influence de la culture des lettres. La cultur
oubliait parfois sa captivité en lisant les tragédies de Corneille. ( Paris ). la culture des beaux-arts. Les beaux arts, con
produits dans les sciences et les lettres, dans la politique, etc. ( Paris ). l’industrie. Merveilles de l’industrie : – Emp
, ne répond qu’aux besoins les moins élevés de la nature de l’homme. ( Paris .) éloge de la mémoire. Que serait l’esprit de l’
même, Dieu qui protège la France, lui suscite un sauveur inattendu. ( Paris . – 1re et 2e séries.) charlemagne aux grands de
nfants dans ces connaissances qui ennoblissent la nature de l’homme. ( Paris . – . 3e et 4e séries.) saint François de Paule a
plus de prétexte….. la conscience est mise à nu….. sondez la vòtre. ( Paris . – 5e et 6e séries.) Henri iv sous les murs de p
e et 6e séries.) Henri iv sous les murs de paris (1594). La ville de Paris , assiégée depuis quatre mois par Henri IV, était
étranger, et qui maitrise les habitants par la terreur….. La ruine de Paris serait mortelle à la France : cette ville est à l
dus à la raison et à leur devoir ouvriront d’eux-mèmes leurs portes. ( Paris . – 7e série.) le gouverneur de paris a Charles v
fet de ce discours, soit sur la dixième légion, soit sur les autres. ( Paris .) le sénat de capoue. Tite-Live raconte que le p
peuple s’écoule confus ; le Sénat est sauvé et la concorde rétablie. ( Paris .) descartes et la fontaine (lettre a un écolier)
nd esprit, est cependant aussi contraire au bon sens qu’à la poésie. ( Paris .) lettre d’un officier de l’armée de turenne a m
n retourna vers ses disciples, après avoir enterré le corps de Paul. ( Paris . — 1re et 2e .) du silence de boileau sur la fon
t nous apprenne à nous délier des premiers mouvements de notre goût. ( Paris . — 3e et 4e séries.) une sédition dans une armée
ion qu’au moment où les soldats en sont venus à sentir leurs fautes. ( Paris . — 5e et 6e séries.) lettre de tacite a son ami
ue l’habit de l’architecte, car le dernier habit de Frédéric II est à Paris , en fort bon état, et il y survivra longtemps à l
fluence de la culture des lettres. Même sujet qu’au concours de 1851 ( Paris , 2e série). Concours de 1876. de l’indépen
J.-J. Rousseau. École de physique et de chimie industrielles de Paris Conseils généraux Nous engageons vivement
laquelle le candidat racontera, à son choix, une excursion faite dans Paris ou aux alentours. Concours de 1889. Lettre de La
il se défier ? – Décrire telle que vous vous la figurez une maison de Paris en l’an 2000, pourvue de toutes les inventions qu
s les sociétés savantes ; il a fait, depuis 1819, plusieurs voyages à Paris , où la grâce de ses manières et l’aménité de son
s soieries à Tours et à Lyon, et celui des tapisseries aux Gobelins à Paris  ; comme grand-maître de l’artillerie, réorganisan
aux examens d’admission de 1881 (2° session). Bourses de la ville de Paris Benjamin Franklin. Le montrer naissant au sein
e Louis XIV qu’on transportait à Saint-Denis. Bourses de la ville de Paris Exposer les avantages commerciaux de toute natur
spérité des nations comme leur grandeur, etc. Bourses de la ville de Paris De l’influence des expositions universelles sur
d’histoire. Concours de 1890 École supérieure de commerce de Paris Expliquer pourquoi et comment Paris est devenu
cole supérieure de commerce de Paris Expliquer pourquoi et comment Paris est devenu la capitale de la France. Montrer les
t de terre de Lima Un jeune homme écrit à son frère, qui se trouve à Paris , pour lui raconter les péripéties du tremblement
erre, en Belgique. Le musée de Bruxelles est même le modèle du genre. Paris est à la veille d’avoir son musée. 1er Partie. – 
apide et bruyante vers les chefs-lieux, vers les grands centres, vers Paris , la ville des espérances… souvent déçues. Le fils
Sujets proposés 422 Ecole de Physique et de Chimie industrielles de Paris 427 Sujets proposés 432 Institut Agronomique e
7 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Voltaire 1694-1778 » pp. 445-463
upinades3, Les divertissements du jour des barricades4. Voilà donc ce Paris  ! voilà ces connaisseurs Dont on veut captiver le
être loué par vous ! » Les champs désertés Plutus1 est dans Paris , et c’est là qu’il appelle Les voisins de l’Adour
a ferme élevé, A d’utiles travaux à quinze ans enlevé, Des laquais de Paris s’en va grossir l’armée : De sergent des impôts i
4. Le 12 mai 1588, le duc de Guise, chef des Ligueurs, étant venu à Paris , malgré la défense du roi Henri III, ce prince fi
er. Henri III dut quitter sa capitale. Il dit ailleurs, en parlant de Paris  : Mes yeux, après trente ans, n’ont vu qu’un peu
rées Dans vingt États puissants sont encore ignorées : On les goûte à Paris  ; c’est le premier des arts ; Peuple heureux ! il
vos remparts. Mon aigne ne fut pas moins vif dans ses sentiments : «  Paris a mon cœur dès mon enfance, et m’en est advenu co
8 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur les extraits des problèmes » pp. -144
d. du Méril, Essai sur le principe et les formes de la versification ( Paris , 1841)  2° Vincent : De la Musique dans la tragéd
e dans la tragédie grecque, à propos de la représentation d’Antigone ( Paris , 1844)  Dissertation sur le rhythme chez les Anci
r le rhythme, sur le vers dochmiaque et la poésie lyrique en général ( Paris , 1846). FIN Typographie Lahure, rue de Fleurus, 9
n général (Paris, 1846). FIN Typographie Lahure, rue de Fleurus, 9, à Paris .
9 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Voiture, 1598-1648 » pp. 21-25
me ils n’ont su que faire jusqu’à cette heure. Alors les bourgeois de Paris seront ses gardes, et il connaîtra combien il est
ut ce que vous m’écrirez quand les Espagnols auront repris Corbie. De Paris , ce 24 décembre. À monseigneur le duc d’Enghi
ie. De Paris, ce 24 décembre. À monseigneur le duc d’Enghien 2 Paris , … mai3 1643. Monseigneur, à cette heure que je
arler. Si vous saviez de quelle sorte tout le monde est déchaîné dans Paris à discourir de vous, je suis assuré que vous en a
10 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Madame de Sévigné 1626-1696 » pp. 52-64
Madame de Sévigné 1626-1696 [Notice] Née à Paris , orpheline à six ans, élevée par son oncle, l’abb
etagne lui a coûté, quoiqu’il eût renvoyé ses laquais et son cocher à Paris , et qu’il n’eût que le seul Larmechin dans cette
bien il est loin de connaître la vérité2. La mort de Vatel 3 À Paris , ce dimanche 26 avril 1671. Il est dimanche, 26 
faut que j’aie une bonne santé pour y résister. Vous n’avez jamais vu Paris comme il est ; tout le monde pleure, ou craint de
vivre après une telle perte2. Mort de Turenne À sa fille A Paris , mercredi 28 août 1675. Vraiment, ma fille, je m
t : aussi, ne l’entreprendrai-je pas. 2. Couvent de la Visitation, à Paris . 3. Un cœur à l’autre uni jamais ne se retire,
11 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Voltaire. (1694-1778.) » pp. 277-290
s assemblent ce qui reste. Suivez-moi l’un et l’autre aux remparts de Paris  ; De la Ligue en marchant ramassez les débris : D
lus grand des monarques De vos fers glorieux les vénérables marques : Paris va révérer le martyr de la croix, Et la cour de L
orency, Melun, d’Estaing, de Nesle, et ce fameux Coucy. Mais à revoir Paris je ne dois plus prétendre : Vous voyez qu’au tomb
emps qu’il était né dans le petit village de Châtenay, peu distant de Paris  : il est établi maintenant qu’il naquit à Paris m
tenay, peu distant de Paris : il est établi maintenant qu’il naquit à Paris même, dont il demeura éloigné plus de vingt année
dans quelques provinces ; mais autrefois il en était ainsi partout, à Paris comme ailleurs. Tallemant des Réaux nous apprend
12 (1912) Morceaux choisis des auteurs français XVIe, XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles
j’estoie. (Roman de la Rose, vers 47-86. Édition Francisque Michel, Paris , 1864.) J’étais en mai, voilà ce que je rêvais, —
ne foiz, en estei, que, pour delivrer sa gent, il venoit ou jardin de Paris , une cote de chamelot vestue, un seurcot de tyret
a et de Pantagruel, livre 1, chap. xxxvi.) Le son et la fumée A Paris , en la rôtisserie du petit Châtelet157 au devant1
e ainsi167 se perdait-elle168 ; jamais n’avait169 été ouï que, dedans Paris , on eût vendu fumée de rôt en rue. Le rôtisseur r
mettait en défense. L’altercation fut grande. Le badaud173 peuple de Paris accourut au débat de toutes parts. Là se trouva à
toutes parts. Là se trouva à propos Seigny Joan174 le fol citadin de Paris . L’ayant aperçu, le rôtisseur demanda au faquin :
ncolique que deux fois, et comment il y pourvut et de son épitaphe. A Paris sus203 Seine trois bateaux y a204 ; mais il y ava
rotections, partir pour La Rochelle (1563) et, un peu plus tard, pour Paris , et c’est à Paris qu’il est mort, probablement à
pour La Rochelle (1563) et, un peu plus tard, pour Paris, et c’est à Paris qu’il est mort, probablement à la Bastille, au co
lun en 1513 d’une humble famille, Jacques Amyot, après avoir étudié à Paris en menant la vie la plus pauvre et la plus labori
urs fonctions à l’étranger et fut nommé par Richelieu, à son retour à Paris , où ses Lettres l’avaient fait connaître, conseil
les visites sont encore plus incommodes que celles que vous recevez à Paris  ; au lieu qu’en cette grande ville où je suis480,
lieu ; mais je ne vous puis exprimer la consternation qui parut dans Paris , le premier quart d’heure de l’enlèvement de Brou
ctueuse : Anne d’Autriche a refusé de céder. Le lendemain matin, tout Paris est en révolte : le Parlement, dès la première he
les barricades, l’on ouvrit les boutiques, et en moins de deux heures Paris parut plus tranquille que je ne l’ai jamais vu le
1673) Jean-Baptiste Poquelin, qui prit le nom de Molière, est né à Paris le 15 janvier 1622. A la fois auteur et acteur, i
r décembre 1664.) Première lettre à de Grignan après son départ de Paris A Paris, vendredi, 6678 février [1671]. Ma dou
1664.) Première lettre à de Grignan après son départ de Paris A Paris , vendredi, 6678 février [1671]. Ma douleur serait
t hier, ma chère bonne, un fort joli voyage. Je partis assez matin de Paris  : j’allais dîner à Pompone691; j’y trouvai notre
s du 4e de ce mois : qu’elles viennent de loin quand elles arrivent à Paris  ! J’ai destiné une partie de cet après-dîner à vo
ou quatre rossignols qui sont sur ma tête. Ce soir je m’en retourne à Paris pour faire mon paquet697 et vous l’envoyer.... N’
mphe sur ma cheminée : vous êtes adorée présentement en Provence et à Paris , à la cour et à Livry. Enfin, ma bonne, il faut b
la, que ce n’était pas son métier, et qu’il aimait mieux s’en aller à Paris . Ma foi ! la colère me monte à la tête. Je songea
le des narrations agréables. Mort de Turenne A Mme De Grignan A Paris , mercredi 28e août [1675]. Vraiment, ma fille, je
era solennel. Un guerrier de dix-sept ans A Madame De Grignan A Paris , ce mercredi, 8 décembre (1688). Le petit fripon7
65, édition Chéruel, p. 259-263.) Malebranche (1638-1715) Né à Paris en 1638, mort en 1715, l’oratorien801 Nicolas de
3 juin 1692.) La Bruyère (1645-1695) Jean de la Bruyère, né à Paris en 1645, mort en 1695, entra en 1684, sur la reco
’ai appris de Sethon, ambassadeur de France dans cette cour, revenu à Paris depuis quelques jours, que je connais familièreme
use qui, bien entendue857, lui accorde une maison située au milieu de Paris , comme elle se trouve, et avec les meubles : son
Ternies était employé pour les habits que son maître faisait venir de Paris et ne s’acquittait pas toujours fidèlement de cet
nt. Son hôtellerie était la mieux fournie qu’il y eût entre Calais et Paris  ; et le chevalier de Gramont, en mettant pied à t
on ami. L’abbé, persuadé qu’il n’y avait point de meilleur séjour que Paris pour des philosophes raisonnables, vint, en 1686,
nt d’eux-mêmes dans l’esprit. Un persan a paris Les habitants de Paris sont d’une curiosité qui va jusqu’à l’extravaganc
: « Je vous ai promis de vous produire1074 dans les bonnes maisons de Paris  ; je vous mène à présent chez un grand seigneur q
prit des Lois, livre X, chap. xiii.) Voltaire (1694-1778) Né à Paris le 20 novembre 1694, François-Marie Arouet, qui d
es les affaires qui passionnent l’opinion publique. Il rentre enfin à Paris , le 10 février 1778. Le 30 mars, la sixième repré
mmé Martin, d’un village du Barrois1104 ressortissant au parlement de Paris . Le premier juge condamna ce vieillard à la tortu
sont une race de femmes de chambre et de domestiques, transplantée à Paris par Mme Denis1115 et consorts. Un Pichon vient de
ée à Paris par Mme Denis1115 et consorts. Un Pichon vient de mourir à Paris , et laisse de petits Pichons. J’ai dit qu’on m’en
de le prendre sous la vôtre. Cet enfant est ou va être transplanté de Paris à Lyon par le coche ou par charrette. Comment le
tait un ordre de monsieur son père de faire venir monsieur son fils à Paris . Jeannot monta en chaise en tendant la main à Col
e six mois, retira de l’école M. le marquis son fils pour le mettre à Paris dans le beau monde. Colin, toujours tendre, écriv
être la mère d’un bel esprit, et donna à souper aux beaux esprits de Paris . La tête du jeune homme fut bientôt renversée : i
Jean-Louis Leclerc de Buffon est né à Montbard1147 en 1707 et mort à Paris en 1788. Dès 1739, après avoir publié d’important
sseau est né à Genève le 28 juin 1712 et mort à Ermenonville, près de Paris , le 2 juillet 1778. C’est seulement à trente-huit
in sans être arrêté par mes larmes. J’ai cent fois projeté d’écrire à Paris pour faire chercher le reste des paroles, si tant
Emile, livre IV.) Le pot de beurre A M. Le Comte De Lastic1198 Paris , le 29 décembre 1754. Sans avoir l’honneur, monsi
anvier 1762.) Diderot (1713-1784) Né à Langres en 1713, mort à Paris en 1784, Denis Diderot est un des esprits les plu
après avoir vainement tenté d’entrer dans la diplomatie. Il mourut à Paris en 1747, à l’âge de trente-deux ans, laissant, ou
ns le Limousin, en 1723, mort en 1799, Jean-François Marmontel vint à Paris en 1745 et, soutenu de l’appui de Voltaire et de
(Mémoires d’un père, livre I.) Beaumarchais (1732-1799) Né à Paris en 1732, mort en 1799, Pierre Caron de Beaumarcha
nq mois gratis un tapissier qui lui était inconnu et qui était venu à Paris pour un procès, « parce que, me dit-il, ce tapiss
e depuis si longtemps, ce qui pouvait peut-être m’agréer le plus dans Paris . Mais, nil ab omni parte beatum 1315je loge dans
ensionnaires et leurs jeunes novices folâtrer dans leur jardin.     A Paris , ce 7 février 1781. Le logement de J.-J. Rouss
8, II.) Madame Roland (1754-1793) Marie-Jeanne Philipon, née à Paris pu 1754, épousa en 1780 Roland de la Platière (17
ise-Germaine Necker, fille du célèbre ministre de Louis XVI, naquit à Paris en 1766. Elle épousa en 1786 le baron de Staël-Ho
lle épousa en 1786 le baron de Staël-Holstein, ambassadeur de Suède à Paris , et mourut en 1817. Ame ardente et passionnée pou
etagne Le printemps, en Bretagne, est plus doux qu’aux environs de Paris , et fleurit trois semaines plus tôt. Les cinq ois
Et toute la troupe sautait comme une bande de démons. (Itinéraire de Paris à Jérusalem, septième et dernière partie.) La
s plus longtemps que dans la mémoire de ses amis1382. (Itinéraire de Paris à Jérusalem, lre partie : Voyage de la Grèce.)
Paul-Louis Courier (1772-1825) Paul-Louis Courier de Méré, né à Paris en 1772, mort assassiné en 1825, servit comme off
ion de l’esclavage, 10 mars 1842.) Départ de Charlotte Corday pour Paris 1499 Le 9 juillet, de très bonne heure, elle
heureuse témérité justifiée par l’événement que d’avoir osé courir de Paris à Smolensk1542, de Smolensk à Moscou ! Certain de
onsulat et de l’Empire, livre XLV.) Michelet (1798-1874) Né à Paris en 1708, mort en 1874, Jules Michelet, qui fut pr
tait ordonné. De là nos revers, de là nos défaites, de là la prise de Paris , de là l’exil à l’île d’Elbe ! — Mais laissons là
es avec Oblet. (Mes Mémoires, XXXI.) Mérimée (1803-1870) Né à Paris en 1805, mort en 1870, Prosper Mérimée a atteint
ndis 1665, tome V : Molière.) Ernest Legouvé (1807-1903) Né à Paris en 1807, mort en 1903, Gabriel-Ernest Legouvé, fi
t très vif, augmentèrent sa réputation, Tolla (1855), les Mariages de Paris (1856), Germaine (1857), etc. About s’essaya sans
776, XIX.) Anatole France (né en 1844) M. Anatole France, né à Paris , s’est illustré comme poète, comme critique, comm
avoir l’esprit tout à fait commun, si l’on fut élevé sur les quais de Paris , en face du Louvre et des Tuileries, près du pala
ine, qui coule entre les tours, les tourelles et les flèches du vieux Paris . Là, de la rue Guénégaud à la rue du Bac1780, les
ais appris à faire une bassesse. (Nicomède, acte II, scène iii.) Paris Dorante, Cliton2116. Dorante. A la fin j
jeunesse ; J’étais en ces lieux-là de beaucoup de métiers2122 ; Mais Paris , après tout, est bien loin de Poitiers. Le climat
; Et là, faute de mieux, un sot passe à la montre2123. Mais il faut à Paris bien d’autres qualités : On ne s’éblouit point de
on est mal reçu, si l’on ne leur ressemble. Cliton. Connaissez mieux Paris , puisque vous en parlez. Paris est un grand lieu
r ressemble. Cliton. Connaissez mieux Paris, puisque vous en parlez. Paris est un grand lieu plein de marchands mêlés ; L’ef
) La Fontaine (1621-1695) Né en 1621 à Château-Thierry, mort à Paris en 1695, Jean de La Fontaine, qui a laissé de pet
roi.) Boileau (1636-1711) Nicolas Boileau Despréaux est né à Paris en 1636 et mort en 1711. Dès son début dans la li
à moi. (Mithridate, acte III, sc. i.) Regnard (1655-1709) Né à Paris en 1655, mort en 1709, Jean-François Regnard parc
en penser ! Ce Sénèque, monsieur, est un excellent homme. Etait-il de Paris  ? Valère. Non, il était de Rome2451. Dix fois à
ses, acte I, sc. ii.) J.-B. Rousseau (1670-1741) Né en 1670, à Paris , Jean-Baptiste Rousseau, qui a laissé de médiocre
tous. (Odes, livre I, ode iii.) Louis Racine (1692-1763) Né à Paris en 1692, mort en 1763, Louis Racine, le dernier d
lzire, ou les Américains, acte V, sc. vii) La vie mondaine A Paris , au milieu du XVIIIe siècle2501, Après dîné250
Écouchard Le Brun (1729-1807) Ponce-Denis Écouchard Le Brun, né à Paris en 1729, mort en 1807, fut appelé par ses contemp
uitta le service, et voyagea en Suisse et en Italie, revint en 1785 à Paris , où, sans rien publier, il sut faire apprécier so
ticulier de notre ambassadeur, en 1787. Il ne rentra définitivement à Paris qu’en 1791 ; mais dès 1789, dès le début de la Ré
ès d’elle2592. (Dernières Poésies.) Béranger (1780-1857) Né à Paris en 1780, mort en 1857, Jean-Pierre de Béranger, a
d De Vigny (1797-1863) Alfred-Victor de Vigny, né à Loches, mort à Paris , servit comme officier avant de se consacrer enti
Victor Hugo (1802-1885) Né à Besançon le 26 février 1802, mort à Paris le 22 mai 1885, Victor Hugo publia un premier rec
n (1842), et des romans, dont les deux (principaux sont Notre-Dame de Paris (1831) et les Misérables 2681 (1862). Pour les
i2687 bienvenue, Que le haut Panthéon élève dans la nue, Au-dessus de Paris , la ville aux mille tours, La reine de nos Tyrs e
s. (Marie : la Chaîne d’or.) Auguste Barbier (1805-1882) Né à Paris en 1805, mort en 1882, Henri-Auguste Barbier a pu
zare.) Hégésippe Moreau (1810-1838) Hégésippe Moreau est né à Paris en 1810 et mort en 1838. Sa destinée fut vraiment
r de Provins, mais sentant s’éveiller son talent poétique, il vient à Paris , où la misère et la maladie le forcent d’entrer à
nt d’entrer à l’hôpital, retourne à Provins, puis rentre de nouveau à Paris , un an après, et commence à peine à sortir de l’o
j’avais su ! (Le Myosotis.) Alfred de Musset (1810-1857) Né à Paris en 1810, mort en 1857, Louis-Charles-Alfred de Mu
is au lit, La Fortune en passant vint frapper à ma porte. Je reçus de Paris une somme assez forte, Et très heureusement il me
uvernail. (Oiseaux chanteurs.) Eugène Manuel (1823-1901) Né à Paris en 1823, mort en 1901, Eugène Manuel a publié, ou
r : Intérieurs et paysages.) Sully Prudhomme (1839-1907) Né à Paris , Sully Prudhomme donna en 1866 un premier recueil
véritable. (Les Solitudes). François Coppée (1842-1908) Né à Paris , François Coppée a publié, outre des contes et de
eur manuscrit de la Chanson de Roland est rédigé en dialecte normand. M. Gaston Paris , dans ses Extraits de la Chanson de Roland, a ram
nous appellerions aujourd’hui le ministère public. 39. Le Jardin de Paris , qui entourait le palais, dans la Cité, était sit
ncolie un peu affectée. — Nous suivons l’édition Charles d’Héricault ( Paris , in-16, 1874). 51. Le rondeau est une petite piè
Vous ne vous attarderez, vous ne demeurerez pas davantage. 63. Né à Paris , d’une humble famille, il dut de pouvoir étudier
ienne littérature. — Nous suivons l’édition publiée par Aug. Longnon ( Paris , 1892, in-8°). 64. Voir page 557, note 1. 65.
arnier du cimetière des Innocents, qui était situé près des Halles, à Paris . 86. Magistrats des Requêtes de l’hôtel, tribuna
91). — Le livre de Commynes fut publié pour la première fois en 1524 ( Paris , in-4°) sous le nom de Chronique et hystoire fait
on que Mlle Dupont a publiée pour la Société de l’Histoire de France ( Paris , in-8°, 1840-1847). 102. Lès, adverbe : près de
n jeune géant, que son père, le roi Grandgosier, vient de rappeler de Paris , pour combattre d’injustes ennemis qui ont envahi
esse située sur la rive gauche de la Seine, et qui servait de porte à Paris , à l’entrée du Petit-Pont. 158. Devant, devantu
, de Tours. Le sou tournois valait douze deniers ; le sou parisis (de Paris ) en valait quinze. 179. S’il pesait le poids lég
r aux. — Voire, vraiment, à vrai dire, et même. 195. Dudit lieu, de Paris . 196. La Rote, tribunal ecclésiastique de la cou
ue M. Ernest Dupuy a donné de tout ce récit dans son Bernard Palissy ( Paris , 1894), deuxième partie, chap. II. 240. D’une t
a Bruyère cité page 117 que la mode des tulipes était encore vivace à Paris à la fin du xviie siècle. 469. C’est-à-dire ceu
our la France. 518. Tome III, pages 147 et 148 de l’édition de 1683 ( Paris , in-folio). 519. Cette conjuration avait été dir
d’histoire de France, pour le détail des événements qui précédèrent à Paris les troubles de la Fronde : rappelons seulement q
que, déjà ému par les mesures financières de Mazarin, le parlement de Paris avait proposé à la sanction royale vingt-sept art
our à tenter quelque coup de main contre le Parlement et le peuple de Paris . Mais Mazarin l’avait pleinement assuré du contra
us le rochet. Paul de Gondi était alors coadjuteur de l’archevêque de Paris . 527. Au Marché Neuf, à droite du pont Saint-Mi
ait l’insigne des présidents de parlement. Il y avait au parlement de Paris huit présidents à mortier ou au mortier, y compri
es n’étaient pas très sûres le soir : on ne commença à les éclairer à Paris qu’en 1667 ; Don Juan est de 1665. — Le mousqueto
note 1 de la page 87. 688. Des nouvelles sur ce qui se passe soit à Paris , soit à la cour, des nouvelles que je puisse vous
mon chagrin. 690. Livry, village situé à un peu plus de 5 lieues de Paris , près de la forêt de Bondy, et qui fait aujourd’h
elatives à Mme de Grignan, qui avait, dix semaines auparavant, quitté Paris pour rejoindre son mari en Provence (voir la lett
ce reçut, d’un éclat de bombe, une contusion à la cuisse. Il rentra à Paris vingt-cinq jours après. C’est alors que Mme de Sé
our aller vous revoir en Provence. En effet, Louis de Grignan resta à Paris jusqu’au commencement de mars 1689 et repartit al
s de leur pays pour visiter l’Europe et particulièrement la France et Paris , et c’est la correspondance que ces persans échan
re instance. 1108. La Tournelle, chambre criminelle du parlement de Paris , qui devait examiner en dernier ressort la senten
it, et alors plus longue qu’aujourd’hui, était une des plus larges de Paris . 1178. Rousseau et ses amis du canton de Neuchât
la vie de Rousseau, entre 1770 et 1778. 1182. La porte Maillot ferme Paris du côté de Neuilly. Le château de la Muette est à
Neuilly sont situé ssur la lisière du bois de Boulogne, à l’ouest de Paris . Passy est, depuis 1860, enclavé dans Paris. – Ra
de Boulogne, à l’ouest de Paris. Passy est, depuis 1860, enclavé dans Paris . – Rappelons que le diner était, au xviiie siècl
allé s’établir à la campagne, à Montmorency, village des environs de Paris (aujourd’hui chef-lieu de canton du département d
rnois, ou livre de Tours, valait vingt sous : la livre parisis, ou de Paris , valait un cinquième de plus. 1254. Demi-heure,
que Beaumarchais veut faire entendre. 1291. Rue de la Madeleine, à Paris , dans le quartier de l’église de ce nom, qui avai
se de ce nom, qui avait été commencée en 1764. 1292. Rue Bergère, à Paris , rue peu distante de l’un des grands boulevards,
ôtel garni. 1314. Le faubourg Saint-Victor était situé au sud-est de Paris . La rue Neuve Saint-Étienne (aujourd’hui rue Roll
uivons le texte de l’édition critique publiée par M. Maurice Souriau ( Paris , 1907). 1329. Bellevue, village entre Sèvres e
mystérieuses, effrayantes. 1440. Le Raincy, village des environs de Paris . 1441. D’abord, dés l’abord, sans précaution, s
d’Eubée. C’est ainsi qu’on disait jadis chez nous le sou parisis (de Paris ) ; la livre tournois (de Tours). 1570. Hiéron II
de la Seine, dans le quartier Saint-Germain, l’un des plus riches de Paris . 1584. Au bout de douze ans. On était alors en
s, appelées pensions des donataires. 1592. On sait que le traité de Paris (1814), consacrant l’abdication de Napoléon, l’av
e en 1814 (l’auteur avait alors onze ans) : les Alliés étant entrés à Paris (31 mars), l’empereur Napoléon avait abdiqué à Fo
ilippe Auguste éleva une tour en 1204. 1632. Montmartre, au nord de Paris  ; le mont Valérien, à l’ouest ; Saint-Cloud, à l’
— Montmartre est aujourd’hui enclavé dans la ville. 1633. Églises de Paris . 1634. La montagne Sainte-Geneviève, colline auj
-Geneviève, colline aujourd’hui enclavée dans le V° arrondissement de Paris , sur la rive gauche de la Seine. 1635. Le 25 jui
paroles et la musique de son Chant de l’armée du Rhin, qui, importé à Paris par les fédérés de Marseille, prit dès lors le no
1669. Journal des Débats, l’un des journaux les plus importants de Paris , fondé en 1789. 1670. Lady, mot anglais qui dés
eu lourds et trop ornés : tel est, par exemple, l’église Saint-Paul à Paris . 1720. Avricourt, village de l’ancien départeme
des prix auxquels sont cotées les diverses denrées. — Le Parlement de Paris tenait, le premier mercredi après la Saint-Martin
n 1839. — Le premier chemin de fer français fut construit en 1837, de Paris à Saint-Germain. Les chemins de fer de Paris à Or
ut construit en 1837, de Paris à Saint-Germain. Les chemins de fer de Paris à Orléans et de Paris à Rouen furent inaugurés en
de Paris à Saint-Germain. Les chemins de fer de Paris à Orléans et de Paris à Rouen furent inaugurés en 1843. Une loi du 4 ju
e de Vauvert (val vert), qui se trouvait, au xiiie siècle, au sud de Paris , était habité par des diables. 1758. Diantre. M
nom populaire de certains bateaux à vapeur, en usage sur la Seine, à Paris , la Saône et le Rhône, à Lyon, pour le transport
son ami Fontanet, dont il sera question plus loin. 1778. Quartier de Paris qui s’étend sur la rive gauche de la Seine, de Sa
rs suivants. 2077. Le Louvre était la résidence des rois de France à Paris . Ce palais avait été construit par François ler s
16. Dorante est un tout jeune homme qui vient d’arriver de Poitiers à Paris  : il a pris Cliton pour valet. 2117. La robe po
a-Reine, promenade qui longe la rive droite de la Seine, a l’ouest de Paris  ; ou au Cours Saint-Antoine, qui était situé à l’
e en pairie, et qui, par là, avait le droit de siéger au Parlement de Paris . — Primitivement et à l’époque de la féodalité, l
2317. Madame votre mère, Philaminte, femme de Chrysale, bourgeois de Paris , qui a le tort de vouloir passer pour une femme s
on père, Gilles Boileau, greffier de la grand’chambre du parlement de Paris (1584-1657). 2373. Rouler, assez fréquent dans
). Chrétien-François (1644-1709) était avocat général au parlement de Paris quand Boileau lui adressa cette épître (1677). Il
93. Arpent, ancienne mesure agraire de valeur variable : l’arpent de Paris valait environ un tiers d’hectare. 2394. Les ne
u. 2477. Potier de Blancménil (1541-1635), président au Parlement de Paris . — Les ligueurs tinrent en 1593 des États générau
effet alors, et il y eut même encore longtemps après cette époque, à Paris , des gens qui faisaient métier d’aller, de maison
2687. Ici : au Panthéon. Ce monument, l’un des plus remarquables de Paris , commencé en 1757 sous la direction de l’architec
be être pouvant signifier qu’on s’est trouvé dans un lieu (j’ai été à Paris ), et par conséquent qu’on y est allé ces temps on
fabliaux et autres pièces inédites des xiiie , xive et xve siècles ( Paris , 1839-1842), et dont Littré a donné l’analyse dan
13 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Jean-Jacques Rousseau, 1712-1778 » pp. 185-195
mier précepte de la vertu que vous voulez suivre ; et si le séjour de Paris , joint à l ‘emploi que vous remplissez, vous para
est plus facile à supporter en province que la fortune à poursuivre à Paris , surtout quand on sait, comme vous ne l’ignorez p
son patronage, et voulait courir les chances de la vie littéraire de Paris . « Vous ne trouverez dans cette grande ville que
on des autres, si ce n’est peut-être pour s’en divertir. Je crois que Paris n’est bon que pour les fermiers-généraux et les g
’une espèce de brigandage. S’il y a encore quelques hommes de génie à Paris , ils sont persécutés. Les autres sont des corbeau
14 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Mme de Sévigné. (1626-1696.) » pp. 48-53
tenir sans contrainte et sans effort pénible. C’est en conversant, de Paris ou de la Bretagne, avec ses amis absents et surto
l’esprit du lecteur, mais qu’elles le purifient et l’élèvent1. Née à Paris le 5 février 1626, Mme de Sévigné mourut en 1696,
le, que mes lettres sont sauvages ! Où est le temps que je parlais de Paris comme les autres ? C’est purement de mes nouvelle
faut que j’aie une bonne santé pour y résister. Vous n’avez jamais vu Paris comme il est : tout le monde pleure, ou craint de
15 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Notes pour l’intelligence des exemples cités dans ce premier volume. » pp. 365-408
is de Bourbon, prince de), qui mérita le surnom de Grand. Il naquit à Paris , en 1621, de Henri de Bourbon, prince de Condé, e
Bordeaux. Devenue orpheline, elle fut élevée chez une de ses tantes à Paris . La dureté avec laquelle elle y fut traitée, l’en
oiles, et la partie inférieure du corps semblable à celle d’un bouc. Paris , capitale du royaume de France, et située sur les
sait, ni l’on ne saura probablement jamais qui il était. Il mourut à Paris dans le château de la Bastille en 1703, et fut en
à deux lieues nord de Clèves. Richelieu (Armand Duplessis de), né à Paris en 1585, nommé, par dispense d’âge, évêque de Luç
u Hâvre de Grâce, après avoir baigné les murs de Troyes, de Melun, de Paris et de Rouen. Serbelloni, d’une ancienne maison d
homme, lui fit faire un service solennel dans l’église cathédrale de Paris , comme au premier prince du sang, et voulut qu’il
l personne n’était parvenu avant lui. Il mourut maréchal de France, à Paris , en 1707, après avoir travaillé à 300 places anci
oncourut efficacement à l’établissement de l’École Royale Militaire à Paris , et aux moyens de le maintenir. Versailles, vill
naire de nos rois, et située dans l’Île-de-France, à quatre lieues de Paris . Il y a un château magnifique, où tout est digne
16 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Voltaire, 1694-1778 » pp. 253-281
be dans la mer, et que la mer reçoit la Seine, et que notre maison de Paris est assez près de cette rivière de Seine2 ; et je
ous arrangerez pour gouverner la république romaine sur le théâtre de Paris , et pour travestir en Caton et en Cicéron nos com
arti, ou bien tous les partis se réunissent contre vous1. Il y a dans Paris un grand nombre de petites sociétés où préside to
Lenglet-Dufresnoi qui avait fait imprimer les Variantes auparavant, à Paris , chez Gandouin ? Lorsqu’on imprime que je suis l’
j’en ai bien d’être si loin de vous. — J’ai grande envie de toucher à Paris , dans ma maison. — Je ne vous écris jamais sans r
sont une race de femmes de chambre et de domestiques, transplantée à Paris par madame Denis et consorts. Une Pichon vient de
ée à Paris par madame Denis et consorts. Une Pichon vient de mourir à Paris et laisse de petits Pichon. J’ai dit qu’on m’envo
de le prendre sous la vôtre. Cet enfant est ou va être transporté de Paris à Lyon par le coche ou par charrette. Comment le
naturel. Il était membre correspondant de l’Académie des Sciences de Paris . 3. Voici comment Voltaire raconte ce qui se pa
abandonner soi-même. 1. Pigalle (1714-1785), célèbre sculpteur, né à Paris , auteur de la bizarre statue de Voltaire qui est
17 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Courier, 1773-1825 » pp. 447-454
o, en Calabre, au bout de l’Italie, plus loin que je ne fus jamais de Paris et de vous, madame. Pour vous écrire, depuis six
s femme en ce pays-là. Je ne balance point, madame, entre Syracuse et Paris  ; tout badaud que je suis, je préfère Aréthuse à
la hausse et la baisse, les faillites, la bouillotte ; ma foi, votre Paris est un autre coupe-gorge, et vous ne valez guère
vait échappé belle : on avait songé à l’enlever et à la transporter à Paris . Daunou, envoyé comme commissaire à Rome, écrivai
18 (1881) Morceaux choisis des classiques français des xvie , xviie , xviiie et xixe siècles, à l’usage des classes de troisième, seconde et rhétorique. Prosateurs
tra le Toulousain Cujas (1522-1590) dans les chaires de Bourges et de Paris , et dont sortirent les Pasquier et les Pithou : e
mployés ta jeunesse a bien proufficter en estude et en vertu. Tu es a Paris , tu as ton precepteur Epistemon14, dont l’ung par
vers tous et contre tous, et hantant des gens lettrez qui sont tant a Paris comme ailleurs. Mais parce que, selon le saige Sa
ition, augmentée du troisième et dernier livre, fut publiée par lui à Paris en 1588. Mme de Gournay, sa « fille d’alliance »,
aris en 1588. Mme de Gournay, sa « fille d’alliance », qu’il connut à Paris en 1588, publia en 1595 une édition des Essais co
puerile. Peusse ie ne me servir que de ceulx qui servent aux haies à Paris  ! Aristophanes le grammairien n’y entendoit rien,
ontr’un.) Charron (1541-1603) Notice Pierre Charron, de Paris , élève, comme tant d’autres hommes éminents du si
de Cahors, fut député et secrétaire de l’Assemblée du clergé tenue à Paris en 1595. La prédication qu’il exerça avec succès
dia en droit à Toulouse et à Poitiers, fut conseiller au Parlement de Paris , dé-puté au Concile de Trente, surintendant des f
-1593) Notice Jacques Amyot, né à Melun, commença par être, à Paris , un étudiant pauvre, laborieux et opiniâtre. Pend
r traité, fruit de ses études géologiques, agronomiques, chimiques. À Paris , où il s’établit ensuite, il travailla à la décor
français, grand prévôt de la connétablie. Quand, pendant le siège de Paris , au milieu de la lassitude universelle, le lieute
x d’estre mal heureux pour une si bonne cause. O Paris qui n’est plus Paris , mais une spelunque de bestes farouches, une cita
Monsieur du Plessis, en sa saincte et digne garde. Ce XXe novembre, à Paris , Henry. À mon compere le Connestable de Fran
Pauvre et obscur enfant des environs d’Auch, élève de l’Université de Paris , élève de Cujas à Bourges, secrétaire de M. de Fo
e père et l’enfant A huit ans et demi, le pere mena son fils257 à Paris , et en passant par Amboise un jour de foire, il v
les eust, il ne les rendroit jamais. Jésus ! qu’il y a des larrons en Paris  ! FRONTIN. N’ayez pas peur de ceux qui sont icy,
nès aujourd’hui, qu’on sollicitait de toutes parts, qu’il écrivait de Paris ou de son château des bords de la Charente, et qu
ogie de la politique de Richelieu301 Lettre à M.  *** 302 . De Paris , le 24 novembre 1636. Je vous avoue que j’aime à
évoient percer la France jusqu’aux Pyrénées, qui menaçoient de piller Paris et d’y venir reprendre jusque dans Notre-Dame les
sa constance et sa magnanimité ? Nos ennemis sont à quinze lieues de Paris , et les siens sont dedans. Il a tous les jours av
me ils n’ont su que faire jusqu’à cette heure. Alors les bourgeois de Paris seront ses gardes ; et il connoîtra combien il es
t la pièce que vous m’imputez et qui vous pique316 ; je l’ai reçue de Paris avec une lettre qui m’a appris le nom de son aute
a reine, les princesses et les plus vertueuses dames de la cour et de Paris l’ont reçue et caressée en fille d’honneur. Quand
un acteur en poste, les deux côtés du théâtre pourroient représenter Paris et Rouen. Je souhaiterois, pour ne point gêner du
1664) Notice Pascal (Blaise), né à Clermont-Ferrand, mourut à Paris , à l’âge de 39 ans. Génie précoce, universel, « e
Notice Antoine Arnauld, vingtième enfant d’un célèbre avocat de Paris , fut le « soldat militant » du jansénisme dont sa
at militant » du jansénisme dont sa famille fut comme le séminaire. À Paris , à Port-Royal, en Hollande, à Liège où il mourut,
unes, fugitif en France, en Belgique, puis fixé à Chartres et enfin à Paris , Nicole (Pierre), « une des plus belles plumes de
conspira contre Richelieu ; il fut ensuite un brillant prédicateur à Paris  ; tribun mitré quand il devint coadjuteur du prem
is ; tribun mitré quand il devint coadjuteur du premier archevêque de Paris , son oncle, il joua un rôle capital dans la Frond
ra en France en 1661, fut le dernier abbé de Saint-Denis, et mourut à Paris dans la piété et la charité. — C’est dans ses imm
arrêté celui qui, cinq ou six semaines devant, avoit ramené le roi à Paris avec un faste inconcevable338, l’imagination de t
re grise. Le premier président fit voir à la reine toute l’horreur de Paris armé et enragé, c’est-à-dire il essaya de lui fai
les barricades, l’on ouvrit les boutiques, et en moins de deux heures Paris parut plus tranquille que je ne l’ai jamais vu le
isit à travers la province, jouant et composant lui-même, et ramena à Paris , en 1658, une troupe de comédiens, appelée d’abor
olitude effroyable aux grands ouvrages, lorsque des sottises ont tout Paris . Je vous avoue que le cœur m’en saigne quelquefoi
tudes précoces, brillantes et solides, commencées à Dijon, achevées à Paris , prêtre et docteur, il fut successivement doyen à
prêtre et docteur, il fut successivement doyen à Metz, prédicateur à Paris (1657-1670), évêque non résident de Condom (1659-
té données dans le xviiie  siècle, et dans le xixe à Versailles et à Paris . De la constitution de la langue française
assillon. Bossuet, en descendant (1669) de la chaire où il prêchait à Paris les avents et les carêmes, céda au jésuite Bourda
’abord professeur de belles-lettres à Narbonne et simple catéchiste à Paris , fut un bel esprit, des plus fins et des plus goû
jusqu’à dire397 partout que j’étois poëte. Faire des vers et venir de Paris , ce sont deux choses qui donnent bien de la réput
dit le R. P. Raphaël, il est probable, monsieur, que vous tenez dans Paris un des premiers rangs parmi les beaux esprits, et
lusieurs grandes villes du Midi, puis de Nantes et d’Angers, enfin de Paris et devant la cour, à plusieurs reprises, jusqu’en
(1624-1693) Notice Né protestant à Béziers, mort catholique à Paris  : l’homme « le plus laid » et l’un des plus beaux
nds écrivains de la France). À Madame de Grignan. Séparation À Paris , vendredi 6e février [1671] Ma douleur seroit bie
complimens, si je voulois. À Madame de Grignan. Séparation À Paris , lundi 9e février [1671] Je reçois vos lettres, m
de la consolation. À Madame de Grignan. Corneille et Racine À Paris , mercredi 16e mars [1672] … Je suis au désespoir
ous y… À Madame de Grignan420. Un voyage qui ne se fera pas À Paris , jeudi 28e décembre [1673] Je commence dès aujour
inirai demain. Je veux traiter d’abord le chapitre de votre voyage de Paris . Vous apprendrez par Janet que la Garde est celui
cherai d’imiter. À Madame de Grignan. Un voyage qui se fera À Paris , lundi 15e janvier [1674] J’allai donc dîner same
etagne lui a coûté, quoiqu’il eût renvoyé ses laquais et son cocher à Paris . Il trouve l’invention de dépenser sans paroître,
ippa d’Aubigné. Elevée à la Martinique d’abord, puis à Niort, enfin à Paris , elle abjura à dix-sept ans et fut épousée par le
, XVII). La Bruyère (1645-1696. Notice La Bruyère, né à Paris , mort à Versailles, fut retiré par Bossuet en 168
re au petit-fils du grand Condé. Dès lors, à Versailles, Chantilly, à Paris , il observa de près les hommes et particulièremen
Notice Le Père Malebranche (Nicolas), de l’Oratoire, né et mort à Paris , le plus célèbre métaphysicien français de l’écol
6] Divers petits accidens ont toujours retardé jusqu’ici mon retour à Paris  : mais enfin, monseigneur, je pars, et peu s’en f
ires qui étoient inconnues depuis si longtemps deviennent fréquentes. Paris même, si près de vous, n’en est pas exempt. Les m
dans plusieurs villes du Midi, avant de se faire entendre, en 1699, à Paris , et à Versailles devant le roi. Il prononça plusi
cepteur de Louis XIV en 1644, évêque de Rhodez en 1648, archevêque de Paris en 1662, après la démission du cardinal de Retz,
ulgence le Salluste français. L’abbé Fleury (1640-1723), né et mort à Paris , sous-précepteur des fils du grand Dauphin, et pl
lquefois animé, dans la retraite des cures modestes qu’il eut près de Paris et de Rouen, une Histoire des révolutions de Port
de secrétaire de la duchesse d’Orléans, mère du Régent, le fixèrent À Paris . Un mot qu’on lui attribue, souvent répété en faç
anfaron qui l’a forcé de se battre ; il peut obtenir sa grâce hors de Paris , et voudroit y être en sûreté, à cause qu’il a un
pour apaiser le peuple et lui parler de son devoir. Le coadjuteur de Paris qui, par une ambition démesurée, avoit des inclin
iné : car j’avois pensé mourir d’étonnement quand on me vint dire que Paris étoit en armes, ne croyant pas que jamais dans ce
vint dire que Paris étoit en armes, ne croyant pas que jamais dans ce Paris , le séjour du délice et des douceurs, on pût voir
voyage et de mes desseins. Il y a d’aussi bons traiteurs à Lyon qu’à Paris  ; mais mon soldat, selon la coutume, me mena chez
qui après mille friponneries punissables marchent la tête levée dans Paris parés des dépouilles de leurs concitoyens avec au
guesseau (Henri-François), 1668-1751 ; avocat général au parlement de Paris dès l’âge de vingt deux ans, puis procureur génér
Le Sage (1668-1747) Notice Le Sage (René), venu de Bretagne à Paris , fut quelque temps commis de traitant, puis, dégo
Marie Arouet, qui prit le nom de Voltaire, naquit à Chatenay, près de Paris , d’un notaire parisien. Esprit infatigable, toujo
eçu son nom, comme une partie du xviie a reçu celui de Louis XIV. De Paris , son centre, où il revint sans cesse pour y faire
eux. Je verrai M. d’Argenson ! — Et voilà mon grand garçon qui vole à Paris . J’ai donc, monsieur, l’honneur de vous en averti
laquais, scribe, professeur et copiste de musique, précepteur, prit à Paris , presque âgé de quarante ans, la plume la plus él
désormais si loin des hommes. Oh ! si dans ces momens quelque idée de Paris , de mon siècle et de ma petite gloriole d’auteur,
ers préceptes de la vertu que vous voulez suivre ; et si le séjour de Paris , joint à l’emploi que vous remplissez, vous paroî
st plus facile à supporter en province, que la fortune à poursuivre à Paris , surtout quand on sait, comme vous ne l’ignorez p
’agréer mes salutations très humbles. À M. le comte de Lastic Paris , le 20 décembre 1754. Sans avoir l’honneur, monsi
benton, l’abbé Bexon, Gueneau de Montbeillard. Quelques mois passés à Paris chaque année, il retournait à Montbar, et là, dan
vie, non pas vagabonde, mais instable ; professeur de mathématiques à Paris  ; journaliste à Amsterdam, officier et ingénieur
ennes, et par l’éclat de publications diverses et nombreuses faites à Paris ou à Londres, en prison ou dans l’exil, et qui si
endre d’un sentiment profond d’inquiétude quand on a été au camp sous Paris . Les travaux avancent très-lentement ; il y a bea
e de torpeur dans laquelle paraissent ensevelis les citoyens restés à Paris  ? Ne nous le dissimulons pas, il est temps de dir
soulever contre elle les nations amies de l’humanité ! Ô citoyens de Paris , je vous le demande avec la plus profonde émotion
ssuyer une défaite ; que feront alors les Prussiens ? Viendront-ils à Paris  ?… Non, ils n’y viendront pas, non, si Paris est
ssiens ? Viendront-ils à Paris ?… Non, ils n’y viendront pas, non, si Paris est dans un état de défense respectable, si vous
ut, comme Voltaire élève des jésuites au collège de Louis-le-Grand, à Paris  ; il y eut pour condisciple Robespierre qui devai
Mme de Grafigny (1695-1758), de Nancy ; Mme Riccoboni (1713-1792 ; de Paris , qui ont toutefois moins vécu par leurs romans qu
Lacordaire, qui, par une parole brillante, ardente, élevée, captiva à Paris et à Toulouse les auditeurs de ses Conférences, e
ût du moment et du cercle où l’on se trouve. Il me semble reconnu que Paris est la ville du monde où l’esprit et le goût de l
se bientôt en soi-même ce qu’on ressent. Une femme d’esprit a dit que Paris était le lieu du monde « où l’on pouvait le mieux
humaine ; mais rien ne saurait faire qu’une ville d’Allemagne devînt Paris , ni que les Allemands pussent, sans se gâter enti
ontées dans ses Mémoires d’Outre-Tombe, officier inactif et chagrin à Paris , il s’embarqua pour l’Amérique avec le projet de
ssai sur les Révolutions, puis le Génie du Christianisme, qui parut à Paris le jour même où le Moniteur promulguait le concor
le récit, deux ans après les Martyrs, sous le titre de Itinéraire de Paris à Jérusalem (1811), « livre original et charmant,
re, le spectacle dont je fus témoin lorsque Louis XVIII, entrant dans Paris , le 3 mai, alla descendre à Notre-Dame : on avait
s paysans, du peuple, et surtout des soldats ? Ce courrier, venant de Paris depuis peu de jours, raconta que, depuis Paris ju
Ce courrier, venant de Paris depuis peu de jours, raconta que, depuis Paris jusqu’à Montélimart, il avait entendu crier parto
P. L. Courier (1773-1825) Notice Paul-Louis Courier, né à Paris , mort assassiné à Véretz (Indre-et-Loire), fut, p
o, en Calabre, au bout de l’Italie, plus loin que je ne fus jamais de Paris et de vous, madame. Pour vous écrire, depuis six
s femme en ce pays-là. Je ne balance point, madame, entre Syracuse et Paris  ; tout badaud que je suis, je préfère Aréthuse à
la hausse et la baisse, les faillites, la bouillotte ; ma foi, votre Paris est un autre coupe-gorge, et vous ne valez guère
, madame… Le « Bréviaire » de Courier À M. de Sainte-Croix, à Paris Mileto, le 12 septembre 1806. …………………………………………………
de mes amis. Entre hellénistes À M. de Sainte-Croix 708 , à Paris Naples, le 27 novembre 1807. Monsieur, vous me r
que encore des outils pour enlever certains nœuds. Il faudrait être à Paris , et y être de loisir ; deux choses à moi difficil
Milan. Protecteur et protégé À M. et Madame Clavier 712 , à Paris   Strasbourg, le 2 juin 1809. Monsieur et Madame
vait provoqué et obtenu le rétablissement, commença par être avocat à Paris  ; puis, prêtre séculier (1827) il remplit les fon
int-Siège : censuré, il se soumit. Dans la chaire, ses Conférences de Paris (1834-1835, 1843-1851), de Toulouse (1855), de Ly
r.) Villemain (1790-1870) Notice Villemain (Abel), né à Paris , a exercé une sorte de magistrature sur la littér
Guizot (1787-1874) M. Guizot (François), né à Nîmes, mort à Paris , a laissé des traces profondes partout où il a éc
n d’étranger à ses devoirs. Le chef du gouvernement l’avait chargé, à Paris , d’une négociation importante, à laquelle le favo
immenses progrès, vous verriez dans trois mois toute la population de Paris , comme autrefois la population de Rome, s’en alle
a eu de tout temps ses martyrs. Augustin Thierry, né à Blois, mort à Paris , aveugle depuis vingt-cinq ans, a été celui de la
(Adolphe), né à Marseille, après des succès d’académie à Aix, vint à Paris chercher le théâtre qui lui convenait. Journalist
iomphes académiques, M. Mignet, d’Aix débuta comme lui et avec lui, à Paris , par le journalisme ; puis il se consacra entière
ple, etc.), ont fait à Jules Michelet, fils d’un modeste imprimeur de Paris , une triple et éclatante renommée de professeur,
Ducis, et qui lui avait fait beaucoup d’avances pendant son séjour à Paris après la première campagne d’Italie, jusqu’à voul
par une autre image :   « Je ne sais plus trop quand je reviendrai à Paris . Je dois me tenir comme une petite fleur timide s
27 mai 1852.) Vitet (1802-1873) Notice Louis Vitet, de Paris , fut de cette génération ardente et brillante qui
. On se sent véritablement ailleurs ; l’on comprend que l’on a quitté Paris tout de bon ; la différence du climat, de l’archi
me. (Italia ou Voyage en Italie, X. — Charpentier, éditeur). À Paris . — L’Apothéose d’Homère 886 (Musée du Louvre)
urcharges. Mais la magie du pinceau charme et éblouit : Notre-Dame de Paris (1831) est une résurrection du moyen âge ; certai
s, pour ne citer que ces deux romans, ont la grandeur de l’épopée. Paris à vol d’oiseau en 1482 La Cité et l’Universi
vient, selon Pasquier915, le navire qui blasonne le vieil écusson de Paris . Pour qui sait le déchiffrer, le blason est une a
Tournelle, jusqu’à l’hôtel de Nesle, dont la tour principale bornait Paris , et dont les toits pointus étaient en possession
fort le linge, comme de nos jours. Ce n’est pas la moindre gaieté de Paris . L’Université925 faisait un bloc à l’œil. D’un bo
faisait, après la tour de Nesle, la deuxième dentelure de ce côté de Paris , à partir de l’occident. Les églises (et elles ét
mme église et comme seigneurie, ce palais abbatial, où les évêques de Paris s’estimaient heureux de coucher une nuit, ce réfe
, où la politique eut même sa petite part, sous le Consulat, mourut à Paris , bibliothécaire de l’Arsenal et académicien. Des
1799-1850) Notice Honoré de Balzac naquit à Tours et mourut à Paris . L’œuvre de Balzac est une autre « comédie à cent
r.) P. Mérimée (1803-1870) Notice Prosper Mérimée, né à Paris , mort à Cannes, membre de l’Académie française. I
pour cadre soit le Berry, soit le pays (La Marche) où l’auteur, né à Paris , avait été élevé, et où il alla retrouver plus ta
fois c’était repaître. » (Le Duchat) 53. La livre parisis (frappée à Paris ) valait 25 sous ; — tournois (frappée à Tours) 20
s robes fourrées d’hermine. 68. Désigne la conciergerie du Palais, à Paris . 69. Voyez La Fontaine Fables, VIII. 16. 70. Je
on. Louis XIV lui dit en le nommant premier président du Parlement de Paris (1658) : « Si j’avois connu un plus homme de bien
rent de l’Académie au dix-huitième siècle. — De Harlay, archevêque de Paris , de l’Académie. — Séguier, le chancelier, chez qu
à M. Dacier. 510. 1630-1711. Président des enquêtes au parlement de Paris , prévôt des marchands (il fit construire le quai
emain.) 512. Ce mot a signifié d’abord une assemblée du parlement de Paris tenue les premiers mercredis (Mercurii dies) aprè
s. 527. Rue de Grenelle-Saint-Germain. 528. Allégorie. Il s’agit de Paris . Ailleurs dans Voltaire : Les embellissemens de P
e. Il s’agit de Paris. Ailleurs dans Voltaire : Les embellissemens de Paris (1749). 529. Cf. Montesquieu, Portrait des Franç
égé du Zend, livre sacré des Brahmanes. 536. Trésorier de Voltaire à Paris . 537. Homme de lettres. 538. Libraire. 539. Ho
n semoir, des vaches et des Gênevois, loin de cette grande villace de Paris  » (13 janvier 1759). Il lui sera compté d’avoir,
aire tort : « Je vous supplie de me dire ce qu’on pense de Marin dans Paris . » (Ibid.) 586. Arnaud-Baculard ou Baculard d’Ar
n aux débats. 599. Jacques Necker (1732 1804), de Genève, banquier à Paris , puis directeur général des finances (1776-1781),
embre, les prisonniers politiques furent massacrés dans les prisons à Paris . Le 20, les Prussiens furent vaincus à Valmy. — C
Saint-Évremond, la Délation sous Tibère, p. 255, 256. 610. Prison de Paris . 611. Quibus deerat inimicus, per amicos oppres
a populace à Amsterdam en 1672. 616. C’est le premier qu’il prêcha à Paris , dans l’église de Saint-Sulpice, en 1751. 617.
upprimé par la censure, sous prétexte qu’il y avait tant de bonheur à Paris qu’on n’avait pas besoin de s’en passer. (Note de
ssède plusieurs de ses tableaux. 666. André Le Nôtre (1613-1700), de Paris , créateur de l’art de dessiner et de planter les
machine arithmétique. 679. Expériences du Puy-de-Dôme, continuées à Paris sur la tour Saint-Jacques-la-Boucherie. 680. Hyp
on ban, jetant ses fers au visage des rois, il vint seul, de Cannes à Paris , coucher paisiblement aux Tuileries. » (Chateau
uivit Napoléon à qui elle fut donnée en souveraineté par le traité de Paris , après sa déchéance. 727. Nommé pair de France a
ns son hôtel de la Place-Royale, ou dans sa retraite de Port Royal de Paris , à partir de 1659, se réunissaient tous les beaux
traités dans ses Notices. 781. Jean-Sylvain Bailly (1736-1793), né à Paris , de l’Académie des Sciences, puis de l’Académie f
ie, publiée en 1775-85. Il présida les États-Généraux et fut maire de Paris . Poursuivi de haines acharnées pour avoir obéi à
ncore publié que des Éloges et des Panégyriques. Il fut archevêque de Paris , de 1810 à 1814. 785. Plus exactement : « Le sty
Grand-Andelys, vécut, peignit et mourut à Rome (1624-1665). Appelé à Paris par Louis XIII, il y séjourna trois ans (1640-164
vrage a été écrit à propos de l’Exposition universelle qui eut lieu à Paris en 1855. 894. Ou Laghouat, à 360 kilomètres au s
my. 912. Cette description particulière de deux des trois parties de Paris est précédée, dans ce chapitre : 1° d’un tableau
lant de siècle en siècle son enceinte ; 2° d’un tableau d’ensemble de Paris , composé alors de la Cité dans l’île qui a conser
t publié son ouvrage intitulé : Histoire et antiquités de la ville de Paris . C’est lui que Boileau raille sous le nom de Sofa
te encore le nom. 918. 1360-1431, de Troyes. Prévôt des marchands de Paris (1388), chancelier de France (1413). 919. Situé
lein du Pont-Neuf. 923. Sur la rive gauche l’enceinte méridionale de Paris était terminée, à l’est, par la Tournelle (petite
s’y donna. 927. Les hôtels ou logis logeaient, pendant leur séjour à Paris , les grands seigneurs ou dignitaires de Église au
(archevêque de Sens), sur la rive droite, en dehors de l’enceinte de Paris au xve siècle. 928. Restes d’un vaste palais, d
19 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Voltaire, 1694-1778 » pp. 158-174
tout le monde2. La vie à paris À madame de champbonin De Paris , 1739. Ma chère amie, Paris est un gouffre où se
à paris À madame de champbonin De Paris, 1739. Ma chère amie, Paris est un gouffre où se perdent le repos et le recue
uis enfin vis-à-vis ce beau portail2, dans le plus vilain quartier de Paris , dans la plus vilaine maison, plus étourdi du bru
mps Vous n’avez au Théâtre-Français que des marionnettes2 et dans Paris que des capables. Mes anges ! mes pauvres anges !
es temps, et aujourd’hui plus que jamais. 1. Mme Deshoulières, née à Paris en 1638, morte en 1694. On la surnomma la Dixième
sagesse iroquoise » 1. Pigalle (1714-1785), célèbre sculpteur, né à Paris , auteur de la bizarre statue de Voltaire qui est
20 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre IV. — Du Style. »
premières loges, où brillaient, la veille, les plus jolies femmes de Paris  ; cet orchestre, ces balcons, où se montraient no
ent pittoresque. La grande route qui le traverse dans la direction de Paris à Clermont étant bordée des terres les plus habit
vous allez faire pic, repic et capot tout ce qu’il y a de galant dans Paris .   Madelon. Votre complaisance pousse un peu trop
gné et avoir ajusté ses canons. Eh bien ! mesdames, que dites-vous de Paris  ?   Madelon. Hélas ! qu’en pourrions-nous dire ?
? Il faudrait être l’antipode de la raison, pour ne pas confesser que Paris est le grand bureau des merveilles, le centre du
rit et de la galanterie,   Mascarille. Pour moi, je tiens que hors de Paris il n’y a point de salut pour les honnêtes gens.  
du beau monde, ce sont eux qui donnent le branle à la réputation dans Paris  ; et vous savez qu’il y en a tel dont il ne faut
esprits, et je vous promets qu’il ne se fera pas un bout de vers dans Paris , que vous ne sachiez par cœur avant tous les autr
e vous ; et vous verrez courir de ma façon dans les belles ruelles de Paris , deux cents chansons, autant de sonnets, quatre c
n lui-même. On y voit les dieux et les héros déguisés en bourgeois de Paris , mais tous avec leur propre caractère, dont Scarr
21 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Madame de Sévigné, 1626-1696 » pp. 76-88
Madame de Sévigné 1626-1696 [Notice] Née à Paris , orpheline à six ans, élevée par son oncle, l’abb
chère enfant ; il y a trois heures que je suis ici. Je suis partie de Paris avec l’abbé1, Hélène, Hébert et Marphise2, dans l
tagne lui a coûté, quoi qu’il eût renvoyé ses laquais et son cocher à Paris , et qu’il n’eût que le seul Larmechin dans cette
nt point abattus3. Reproches et pardon Au comte de Bussy 4 Paris , ce 20 juillet 1668. Je veux commencer à répondr
sse d’en faire les honneurs2. Mort de turenne À sa fille À Paris , mercredi 28 août 1675. Si l’on pouvoit écrire t
22 (1853) Éléments de la grammaire française « Éléments de lagrammaire française. — Chapitre XI. De l’orthographe. » pp. 53-58
propres, des noms de dignité, doit être une lettre capitale : Pierre, Paris . 2° Tous les noms qui ne finissent point par s au
ou moi.   168. — On met un accent grave sur à préposition : je vais à Paris  ; on n’en met point sur a troisième personne du v
’elles, entr’autres. Jusque, perd e devant à, au, aux, ici : jusqu’à Paris , jusqu’ au ciel, jusqu’ ici. I, se retranche dan
23 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — C — article »
Catinat (Nicolas), né à Paris en 1637, d’une famille noble de robe. Il passa pa
a pensée. Il mourut, en 1712, dans sa terre de Saint-Gratien, près de Paris , n’ayant ni augmenté ni diminué sa fortune.
24 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Regnard. (1655-1709.) » pp. 242-253
aquelle on ne saurait offrir un tableau véritable de la société. Né à Paris en 1655, ce fut seulement à l’âge de quarante ans
ment à l’âge de quarante ans que de retour en France, et fixé près de Paris , il songea à devenir auteur. Une fortune aisée, d
en penser ! Ce Sénèque, monsieur, est un excellent homme. Etait-il de Paris  ? Valère. Etait-il de Paris ?Non, il était de R
ur, est un excellent homme. Etait-il de Paris ? Valère. Etait-il de Paris  ?Non, il était de Rome… Dix fois, à carte triple,
25 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Voltaire. (1694-1778.) » pp. 140-145
elui de Louis XIV. Né en effet le 20 février 1694 à Châtenay, près de Paris , il ne mourut qu’en 1778, à Paris. Émule, dans la
20 février 1694 à Châtenay, près de Paris, il ne mourut qu’en 1778, à Paris . Émule, dans la prose, des maîtres de notre époqu
 « Je verrai M. d’Argenson ! » — Et voilà mon grand garçon qui vole à Paris . J’ai donc, monsieur, l’honneur de vous en averti
26 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Descartes, 1596-1650 » pp. 9-14
du duc de Bavière (1617-1619). Jaloux de son indépendance, il quitta Paris en 1629 pour se retirer en Hollande, où il séjour
igueur du climat. Ses restes, rapportés en France en 1667, reposent à Paris , dans l’église Saint-Étienne-du-Mont. De tous les
Balzac sur les plaisirs de la campagne. 4. Quand Descartes habitait Paris , il lui arriva souvent de déménager pour échapper
27 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Gilbert. (1751-1780.) » pp. 297-303
. Au sortir de l’adolescence, il vint de son pays, à pied, chercher à Paris la fortune : il ne devait y trouver que les décep
il, on l’embrasse : il parle, on se récrie : Fût-il un Durosoy4, tout Paris l’applaudit ; C’est un auteur divin, car nos dame
de cet écrivain est celle qui a été publiée en 1823 (par Mastrella), Paris , Dalibon, in-8° : elle est accompagnée « des corr
28 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — La Satire Ménippée, 1594 » pp. -
leur choix. Le tocsin avait partout appelé le peuple aux armes. Dans Paris assiégé, des fanatiques, conduits par des ambitie
efs toujours battus, malgré leurs rodomontades. Il y avait alors dans Paris quelques hommes de haute science et de saine gaie
la première fois en août 1594, trois mois après l’entrée d’Henri IV à Paris , la Ménippée avait circulé sous main avant l’ouve
29 (1853) Éléments de la grammaire française « Éléments de lagrammaire française. — Chapitre VII. Septième espèce de mots.  » pp. 41-42
our marquer la place ou le lieu. À. Attacher à la muraille ; vivre à Paris  ; aller à Rome. Dans. Être dans la maison ; serr
navigable dès sa source ; dès sa plus tendre enfance. Depuis. Depuis Paris jusqu’à Orléans ; depuis la création jusqu’au dél
30 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre V. » pp. 82-88
le recueil intitulé : Pièces fugitives d’histoire et de littérature, Paris , 1704, p. 256.) — Nos critiques français sont bie
emps, de lieu, etc., que l’on trouve dans l’édition de ses tragédies ( Paris , 1830, in-12), et dans la traduction qu’en a donn
s (Paris, 1830, in-12), et dans la traduction qu’en a donnée Fauriel ( Paris , 1834).
31 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Béranger 1780-1859 » pp. 488-497
mère !     Il vous a parlé !   L’an d’après, moi, pauvre femme,   A Paris étant un jour,   Je le vis avec sa cour : Il se r
l me dit : Bonne espérance !   Je cours, de tous ses malheurs,   Sous Paris , venger la France.   Il part, et, comme un trésor
me une espérance de victoire nationale et de salut public ? (Siège de Paris .) 4. Il va passer en revue les fastes de l’épopé
32 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Montesquieu, 1689-1755 » pp. 235-252
rs, ferma la porte, et, comme s’il eût volé, disparut à mes yeux1. De Paris , le 25 de la lune de rhamazan 719. Un Persan
es yeux1. De Paris, le 25 de la lune de rhamazan 719. Un Persan à Paris Les2 habitants de Paris sont d’une curiosité
la lune de rhamazan 719. Un Persan à Paris Les2 habitants de Paris sont d’une curiosité qui va jusqu’à l’extravaganc
Il verrait son ami, mais il verrait mieux la France, où il n’y a que Paris et les provinces éloignées qui soient quelque cho
Paris et les provinces éloignées qui soient quelque chose, parce que Paris n’a pas pu encore les dévorer. Que dites-vous des
33 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXV. des figures. — figures par développement et par abréviation  » pp. 353-369
. Il n’y a point de roi pour eux, mais un auguste monarque ; point de Paris , mais une capitale du royaume. Il y a des endroit
mais une capitale du royaume. Il y a des endroits où il faut appeler Paris , Paris, et d’autres où il faut l’appeler capitale
ne capitale du royaume. Il y a des endroits où il faut appeler Paris, Paris , et d’autres où il faut l’appeler capitale du roy
limax dans la Satire Ménippée : c’est d’Aubray rappelant au peuple de Paris tout ce qu’a fait pour lui Henri III : « Tu n’as
34 (1882) Morceaux choisis de prosateurs et de poètes des xviii e et xix e siècles à l’usage de la classe de rhétorique
bourgeoise, gallicane et janséniste, qui a son centre au Parlement de Paris  ; enfin, à la cour même, l’opposition, « dont Sai
èbres. Voltaire, naguère encore modéré et presque respectueux, quitte Paris , et, des Délices, puis de Ferney, il entretient p
s des traits qui recommandent à notre souvenir le nom de Rollin. Né à Paris le 30 janvier 1661, il ne se crut jamais quitte e
d fut abbé. Après avoir étudié chez les jésuites de Vannes, il vint à Paris en 1692, et préféra bientôt à la carrière des fin
 » Id. liv. VII, ch. iii et iv. Saint-Simon.(1675-1755.) Né à Paris en janvier 1675, d’un père déjà âgé, et qui devai
plus révérés Pères de l’Église129. Cette grande lumière s’éteignit à Paris le 12 avril 1704, à soixante-quatorze ans. Paris
lumière s’éteignit à Paris le 12 avril 1704, à soixante-quatorze ans. Paris et la France pleurèrent, Rome même pleura avec la
et la France pleurèrent, Rome même pleura avec la France, et Rome et Paris se disputèrent d’obsèques et de panégyriques. Ce
t au château de la Brède, prés Bordeaux, en 1689, et mourut en 1755 à Paris . D’une famille de robe, et, comme son compatriote
e moment que le prosateur. François-Marie Arouet de Voltaire naquit à Paris le 21 novembre 1694. Élève des jésuites au collèg
pendance, Voltaire continue à agiter le monde. A deux cents lieues de Paris , où il lui est interdit de rentrer, c’est vraimen
erbes pour le bien public. Quand la loi arbitraire qui l’éloignait de Paris eut été rappelée, il partit de Ferney le 3 avril
lques troupes, il marche sur la frontière de la Picardie, il revoie à Paris , écrit de sa main aux parlements, aux communautés
l’État. » Ce sont ses propres paroles. Il va lui-même au parlement de Paris  : « Si on me donne une armée, dit-il, je donnerai
euser le canal de Briare, par lequel on a joint la Seine et la Loire. Paris est agrandi et embelli : il forme la Place-Royale
s Nations, chap. clxxiv. Richelieu. Le cardinal se fit porter à Paris , sur les épaules de ses gardes, dans une chambre
er plus commodément dans les villes : c’est ainsi qu’il alla mourir à Paris (4 décembre 1642), à cinquante-huit ans, et qu’il
parti, ou bien tous les partis se réunissent contre vous. Il y a dans Paris un grand nombre de petites sociétés où préside to
pour mener une vie indépendante. Un jour de l’été de 1749, allant de Paris à Vincennes, il prend le Mercure de France, et to
raient du moment désiré. Tel passe la moitié de sa vie à se rendre de Paris à Versailles, de Versailles à Paris, de la ville
a moitié de sa vie à se rendre de Paris à Versailles, de Versailles à Paris , de la ville à la campagne, de la campagne à la v
mier précepte de la vertu que vous voulez suivre ; et si le séjour de Paris , joint à l’emploi que vous remplissez, vous paraî
est plus facile à supporter en province que la fortune à poursuivre à Paris , surtout quand on sait, comme vous ne l’ignorez p
ésormais si loin des hommes. Oh ! si dans ces moments quelque idée de Paris , de mon siècle et de ma petite gloriole d’auteur
1713, Diderot étudia d’abord chez les jésuites de cette ville, puis à Paris , au collège d’Harcourt. Au sortir de là, sans res
usqu’à la fin contre la maladie la liberté de son esprit. Il mourut à Paris le 28 mai 1747. Quelques mois avant sa mort il av
de Figaro n’est pas plus compliquée que la vie de Beaumarchais. Né à Paris en 1732 et mort en 1799, fils d’un horloger, intr
pital, et parce qu’il a une âme atroce, connue « pour telle dans tout Paris , » etc. Je trouvai la phrase un peu masculine pou
fait campagne en 1760. Desservi auprès de ses chefs, il est renvoyé à Paris . Quelque temps après il se rend auprès de Catheri
, séjourne à Dresde et à Berlin, et prend enfin le parti de revenir à Paris . Après de nombreuses sollicitations, il obtient u
publiées après sa mort, n’ont pas ajouté à sa réputation. Il mourut à Paris le 21 janvier 1814, M. Nisard a bien dit des œuvr
ces d’animaux. Il était dans un pot de terre, au milieu des fumées de Paris . Je ne l’observais qu’à des moments perdus. Je ne
s de bonnes études au séminaire de Sainte-Garde, à Avignon, il vint à Paris , et son premier écrit fut une lettre sur le poème
6 octobre, jour où Louis XVI fut ramené par le peuple de Versailles à Paris . Dès le début de la Révolution, Rivarol embrassa
quit en 1754 à Montignac, dans le Périgord, et mourut en 1824. Venu à Paris en 1778, à l’âge de vingt-quatre ans, il fréquent
Anne-Louise-Germaine Necker, fille du ministre de Louis XVI, naquit à Paris en 1766. Dès son enfance, elle fit pressentir une
ormes les plus diverses que lui donne le génie des peuples. Rentrée à Paris en 1815, Mme de Staël occupa ses dernières années
p. vii. Le plaisir de la conversation. Il me semble reconnu que Paris est la ville du monde où l’esprit et le goût de l
se bientôt en soi-même ce qu’on ressent. Une femme d’esprit a dit que Paris « était le lieu du monde « où l’on pouvait le mie
humaine ; mais rien ne saurait faire qu’une ville d’Allemagne devînt Paris , ni que les Allemands pussent, sans se gâter enti
çut soudain le désir de revoir la France, et, en effet, il rentrait à Paris au mois de mars 1792. Sur le conseil de M. de Mal
tous les détails qui se rattachent à ce voyage, dans l’Itinéraire de Paris à Jérusalem. Les admirables peintures de l’Égypte
dans Lacédémone. Quel magnifique éloge de cette cité ! Itinéraire de Paris à Jérusalem, Ire partie. Athènes sous la domin
ent troublée, qu’il ne ressentît et ne soulevât bien des haines. Né à Paris , le 4 janvier 1772, élevé en Touraine, il était l
rmopolis, Mgr Frayssinous, inaugurait dans la chaire de Notre-Dame de Paris , sous la forme nouvelle de conférences, un enseig
confondaient tous les âges, où se rencontraient tous les partis. Né à Paris en 1790, Villemain avant vingt-six ans avait obte
oche à Buffon d’avoir quitté par orgueil les salons philosophiques de Paris , où, dit-il, on ne lui accordait, avec raison, qu
llesse. Calme et laborieux jusqu’à sa dernière heure, Buffon mourut à Paris , le 16 avril 1788. Et au milieu de la vive attent
au dix-huitième siècle, Leçon 22. V. Cousin.(1792-1867.) Né à Paris en 1792, Victor Cousin, après des études couronné
le délassement d’un voyage en Provence, il revenait presque aveugle à Paris , condamné désormais à lire par les yeux d’autrui
om du Seigneur soit béni472. » Lorsque l’épidémie, après avoir désolé Paris et son territoire, se porta vers Soissons, envelo
aint-Denis, et ils firent transporter son corps du palais de Braine à Paris , sans l’accompagner eux-mêmes. Tous leurs soins s
tutions de saint Louis furent les premiers essais de sa plume. Venu à Paris en 1822, M. Mignet ouvrit un cours d’histoire à l
ctrique et de la foudre ; devint membre de l’Académie des sciences de Paris et de presque tous les corps savants de l’Europe 
e l’Empire, liv. LIII. Michelet.(1798-1874.) Michelet naquit à Paris le 21 août 1798. Il grandit, a-t-il dit de lui-mê
l dit de lui-même, « comme une herbe sans soleil, entre deux pavés de Paris . » Tout jeune encore, compositeur d’imprimerie, e
que, ancien serviteur de René, que le roi avait fait son lieutenant à Paris , assembla les gens de la ville, et fit voter des
l’est, c est que leurs gens, tout le peuple de robe recommençait dans Paris la maligne petite guerre qu’ils lui avaient faite
ent tempérée, une imagination facile, et qui ne s’abandonne pas. Né à Paris en 1801, il méritait, dans les dernières années d
y-sur-Ource Côte-d’Or), étudiant en droit à Dijon, avocat stagiaire à Paris , revenu vers 1822 aux croyances catholiques et or
ns sur les autres ; si vous n’avez vu que les campagnes qui entourent Paris et ces vastes plaines, marquetées de tant de carr
Chefs-d’ œuvre de poésie. J. B. Rousseau.(1671-1741). Né à Paris en 1671, élevé au collège du Plessis, engagé ensu
oire, Dont ils répètent le refrain. Epîtres, xlv. Les Français à Paris . Je crois voir à la fois Athène et Sybaris Tr
rlupinades, Les divertissements du jour des barricades. Voilà donc ce Paris  ! voilà ces connaisseurs Dont on veut captiver le
quelquefois A des soupers divins retenu pour un mois ; Quand il est à Paris , il ne peut y suffire. Me direz-vous qu’on hait u
on souvent peu sévère, quelques beautés vraiment originales. Revenu à Paris après un séjour de plusieurs années à Londres, De
r plusieurs portraits d’une touche fine et heureuse, Delille mourut à Paris en 1813. L’école descriptive ne devait pas lui su
tie de sa jeunesse s’écoula dans le Languedoc. Il acheva ses études à Paris au collège de Navare, où avaient été élevés jadis
le suc de toutes les fleurs sur lesquelles elle se pose. De retour à Paris , André Chénier, qui a renoncé à la carrière des a
e poète des Iambes. Après le 10 août, quand les presses du Journal de Paris eurent été brisées, André Chénier se retira à Ver
que timidement correcte ou froidement ingénieuse, où l’on admirait à Paris les grâces fanées de Bertin et l’enthousiasme lab
rs. Béranger a eu le mérite de conquérir la chanson à la poésie. Né à Paris en 1780, Béranger ne trouva personne dans sa fami
de Rousseau, et qui portait le nom solennel d’Institut patriotique. A Paris , il devint apprenti imprimeur. Dés cette époque,
, grand’mère ! Il vous a parlé ! — L’an d’après, moi, pauvre femme, A Paris étant un jour,    Je    le vis avec sa cour : Il
rs, Il me dit : Bonne espérance ! Je cours de tons ses malheurs, Sons Paris , venger la France. Il part ; et comme un trésor J
ue aussi à ses romans, dont les deux plus célèbres sont Notre-Dame de Paris (1831) et les Misérables (1862) ; et s’il convien
n poète qui, « à défaut de la foi, avait le don des larmes823. » Né à Paris en 1810, A. de Musset, après des études brillante
croire, une circonstance heureuse pour sa destinée poétique. Loin de Paris et des querelles littéraires de 1830, il ne perdi
s. Il faut les aller chercher de sa personne au milieu du monde, et à Paris , où se trouvent les plus illustres. Molière ne s’
squisses prises au dehors, dont ils feront des tableaux : emportez de Paris de vigoureuses ébauches, pour en faire des portra
ur talent, vibrante et presque exclusive. Le vicomte de Bornier, né à Paris en 1825, a toujours cherché la poésie à ses haute
r la tendresse passionnée comme par la fermeté héroïque du cœur. Né à Paris en 1823, M. Eugène Manuel, dans plusieurs recueil
hable, et dont le succès honore notre temps. M. Sully-Prudhomme, né à Paris en 1839, est déjà membre de l’Académie française.
jours parvenir à effacer la trace de cet effort même. Nés également à Paris , M. François Coppée en 1842 et M. Paul Déroulède
t des planètes. 186. Bossuet, dit-on, venant pour la première fois à Paris en septembre 1642, aurait vu l’entrée de Richelie
uelles boutades de Voltaire de trop sérieuses conclusions. 198. Né à Paris en 1692, mort en 1762, il fut fermier-général, pr
puérile. Puissé-je ne me servir que de ceulx qui servent aux haies à Paris  ! » 226. Ce conseil, exprimé dans une image elle
on d’un tableau et surtout d’un paysage. 261. Peintre de genre, né à Paris en 1699, mort en 1779. Ses tableaux se distinguen
it de quitter la France ; mais, quand cette nouvelle se répandit dans Paris , le peuple se souleva et porta en triomphe le bus
t des bains de toutes sortes. Les gens de bonne société, de passage à Paris ou à Versailles, allaient loger chez le baigneur.
ël ont été publiées par son fils, le baron Auguste de Staël-Holstein ( Paris , 1821 et 1844). — Lire sur Mme de Staël, la derni
il particulièrement cruel : « La conversation française n’existe qu’à Paris , et la conversation a été, depuis mon enfance, mo
dont le mérite propre a été dans l’expression. 459. Helvétius, né à Paris en 1715, mort en 1771, fut le disciple de Locke,
ritique sur cet auteur. Le P. Daire, son compatriote, a écrit sa vie ( Paris , 1779, in-12) ; plusieurs ont composé son éloge,
isses de Châteauvieux, publié au mois d’avril 1792 dans le Journal de Paris . Ses œuvres poétiques étaient restées dans un gra
un duc et pair, ou n’était qu’un grimaud ; Les syllabes, pas plus que Paris et que Londres, Ne se mêlaient : ainsi marchaient
Fragments, page 14) écrivait : « L’amour maternel dans Notre-Dame de Paris est devenu une bête enragée. Ce par quoi cet amou
la scène iv du Ve acte. 850. Sur la mer Morte, voir l’Itinéraire de Paris à Jérusalem, 3e partie, au chapitre intitulé : Vo
érêt l’ouvrage de M. Wallon : Histoire du Tribunal révolutionnaire de Paris , t. III, p. 7 et suivantes. 857. C’est-à-dire la
35 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Jean-Jacques Rousseau, 1712-1778 » pp. 313-335
raient du moment désiré. Tel passe la moitié de sa vie à se rendre de Paris à Versailles, de Versailles à Paris, de la ville
a moitié de sa vie à se rendre de Paris à Versailles, de Versailles à Paris , de la ville à la campagne, de la campagne à la v
u méchant, et le commencement de celle du juste1. À Voltaire 1 Paris , le 10 septembre 1755. C’est à moi, Monsieur, de
ésormais si loin des hommes. Oh ! si dans ces moments quelque idée de Paris , de mon siècle et de ma petite gloriole d’auteur,
onsumé de mélancolie. O monsieur, combien vous vous trompez ! C’est à Paris que je l’étais, c’est à Paris qu’une bile noire r
ur, combien vous vous trompez ! C’est à Paris que je l’étais, c’est à Paris qu’une bile noire rongeait mon cœur ; et cette bi
36 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Montesquieu 1666-1755 » pp. 148-157
rs, ferma la porte, et, comme s’il eût volé, disparut à mes yeux1. De Paris , le 25 de la lune de rhamazan 719. Un Persan
es yeux1. De Paris, le 25 de la lune de rhamazan 719. Un Persan à Paris 2 Les habitants de Paris sont d’une curiosité
la lune de rhamazan 719. Un Persan à Paris 2 Les habitants de Paris sont d’une curiosité qui va jusqu’à l’extravaganc
37 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Buffon, 1707-1788 » pp. 175-184
l’aurore ; je voudrais bien’vous imiter ; mais la malheureuse vie de Paris est bien contraire à ces plaisirs. J’ai soupé hie
six heures de repos ! Je soupire pour la tranquillité de la campagne. Paris est un enfer, et je ne l’ai jamais vu si plein. J
re à madame de Champbonin. (Recueil de M. Fallex, p. 165.) Il dit : «  Paris est un gouffre où se perdent le repos et le recue
38 (1881) Morceaux choisis des classiques français des xvie , xviie , xviiie et xixe siècles, à l’usage des classes de troisième, seconde et rhétorique. Poètes
hambre de François Ier et son bibliothécaire ; — Charles Fontaine, de Paris , bien connu par ses « Ruisseaux de Fontaine », qu
ommer ensemble ceux que j’appellerai les « Ménippéens », bourgeois de Paris , de naissance ou d’adoption, tous, qui avocat, qu
ors, de Jean Marot, qui y était, venu de Caen, sa patrie. Il suivit à Paris son père, devenu secrétaire d’Anne de Bretagne et
est écrit dans la prison de Chartres, où en 1526 il est transféré de Paris  ; ses Psaumes sont de 1540 à 1543 : ils furent co
Beze, né à Vézelay, après avoir étudié à Orléans et à Bourges, vint à Paris , et, comme d’Aubigné, auquel il ressemble par cer
Remi Belleau (1528-1577) Notice Né à Nogent-le-Rotrou, mort à Paris âgé de moins de cinquante ans, l’histoire de sa v
de Lorraine, marquis d’Elbeuf, le suivit a Naples, revint avec lui à Paris et y cultiva la poésie. Ses amis Ronsard, Baïf, D
s.) Jodelle (1532-1573) Notice Estienne Jodelle, né à Paris , un des plus ardents de la « brigade », un des pl
rd, dans le Maine, après avoir étudié le droit à Toulouse et plaidé à Paris , vécut et mourut au Mans dans les fonctions de li
é nombre de poètes et d’amis de la nature. Jeune il étudia le droit à Paris et à Poitiers, et en même temps s’enrôla avec pas
t qu’à moitié ; il joua au berger dans son jardin du Pré-aux-Clercs à Paris . — À dix-neuf ans il publia (1555) en deux livres
, Grimoult, Toutain etmoy, poussez d’un beau printans, Nous quittames Paris et les rives de Seine, Vînmes dessus le Loir, sur
es. Au Roy. Pour le convier de rentrer dans Paris Venez revoir Paris , cet antique navire Qu’un orage excité par la fur
oncle et non poète comme lui, il s’échappe et rejoint l’oncle poète à Paris . À vingt ans il suit à Rome le cardinal de Joyeus
à Paris. À vingt ans il suit à Rome le cardinal de Joyeuse, revient à Paris , retourne à Rome à la suite de l’ambassadeur Phil
iance ou fierté, il en prend son parti, et dès lors (1605-1613) vit à Paris , à Chartres, à Royaumont, dont l’abbé était son a
le bruit qui court, De la Royne, du Roy, des Princes, de la Cour, Que Paris est bien grand, que le Pont-Neuf s’acheve637, Si
lière et La Fontaine, qui n’avaient plus qu’à monter. Molière était à Paris depuis deux ans, Racine y arrivait, Boileau y déb
onde, et, comme Desportes, imitait les Italiens, qu’il dut de venir·à Paris fonder contre eux une nouvelle école de poésie. S
auquelin de la Fresnaye, et par le cardinal Duperron, il fut attiré à Paris , attaché à la maison du grand écuyer, M. de Belle
oureuses ; Qui demeure chez luy comme en son element, Sans cognoistre Paris que de nom seulement770, Et qui, bornant le monde
1609-1650) Notice Jean Rotrou, né à Dreux, précéda d’un an à Paris et au théâtre (1628) Corneille, qui, plus âgé que
) Notice Pierre Corneille, né à Rouen le 6 juin 1606, vint à Paris en, 1629, y séjourna à plusieurs reprises, s’y fi
lite (1629) lui fit quitter le barreau pour le théâtre, et Rouen pour Paris , où déjà étaient venus du Havre, Scudéry, gentilh
ean-Baptiste Poquelin, qui prit le nom de Molière, naquit et mourut à Paris . Ce qu’on a appelé « ses années d’apprentissage »
is sont devenues dans ses comédies des portraits. En 1658 il arriva à Paris où il débuta par un coup de maître, par les Préci
il lisait saint Thomas par devoir et Euripide par plaisir, il vint à Paris où était arrivé Molière, où Boileau donnait sa pr
grec, latin et français, Bajazet (1672), transportant sur la scène de Paris et de Versailles une récente et tragique aventure
(1635-1688) Notice Philippe Quinàult, fils d’un boulanger de Paris , tout en exerçant avec distinction la profession
5-1709) Notice François Regnard, fils d’un riche bourgeois de Paris , voyagea de bonne heure, visita l’Italie, fut esc
et surtout de la Laponie, qu’il a racontées ; puis, revenu et fixé à Paris , homme de plaisir et homme d’esprit, il écrivit d
en penser ! Ce Sénèque, monsieur, est un excellent homme. Étoit-il de Paris  ? VALÈRE.                             Non, il éto
rétaire de Marguerite de Navarre quand, répudiée, elle revint habiter Paris , il n’obtint de Richelieu qu’un exil dans la prés
et moi je vis comme il est mort. Claude de Maleville (1597-1647), de Paris , fut de l’hôtel de Rambouillet (la Guirlande de J
(1594-1601), de Rouen, passa avec le comte d’Harcourt des cabarets de Paris , qu’ils hantaient ensemble en nombreuses compagni
e il dédia (1653) « son Idylle héroïque » de Moïse sauvé. Il mourut à Paris académicien, poète epique, gentilhomme verrier, e
qu’il sçache que je m’appelle Descudery. » (Préface.) — Pendant qu’à Paris on pendait Théophile en effigie, il faisait à Cha
ervice, d’abord de comédiens de province, puis du théâtre du Marais à Paris , Des six cents pièces que, dit-on, il écrivit, qu
-1741) Notice Jean-Baptiste Rousseau, fils d’un cordonnier de Paris , dont il eut, dit-on, le tort de rougir, vécut à
cordonnier de Paris, dont il eut, dit-on, le tort de rougir, vécut à Paris jusqu’en 1712, écrivant, admiré, applaudi et redo
Marie Arouet, qui prit le nom de Voltaire, naquit à Chatenay, près de Paris , Je 21 février 1694 et mourut à Paris le 30 mai 1
ire, naquit à Chatenay, près de Paris, Je 21 février 1694 et mourut à Paris le 30 mai 1778. Il a donné son nom au siècle qu’i
en me parlant d’honneur. L’abbé Trublet alors avait la rage D’être à Paris un petit personnage. Au peu d’esprit que le bonho
s l’Égypte eut moins de sauterelles Que l’on ne voit aujourd’hui dans Paris De malotrus, soi-disant beaux esprits, Qui, disse
 Ah ! j’ai fait un discours, et l’on s’en est moqué ! Des plaisans de Paris j’ai senti la malice ; Je vais me plaindre au roi
tu n’instruis que les sages ; Tu n’as plus à répondre aux discours de Paris .     Je crois voir à la fois Athène et Sibaris Tr
des, Les divertissemens du jour des barricades1096.     Voilà donc ce Paris  ! voilà ces connaisseurs Dont on veut captiver le
rt railleur. Il était déjà connu et redouté comme tel quand il vint à Paris écrire à main levée pour le Théâtre de la Foire d
ui parle, et qui parle à Damis… Voilà donc ce que fait mon neveu dans Paris  ? Qu’a produit un séjour de si longue durée ? Que
inquiétèrent la sévérité de ses supérieurs, quitta l’ordre, écrivit à Paris des tragédies et des comédies, fut de l’Académie
se, mère de Chloé.   CLÉON.                                            Paris  ! il m’ennuie à la mort ; Et je ne vous fais pas
tous ces gens brillans qu’on mange, qu’on friponne, Qui, pour vivre à Paris avec l’air d’être heureux, Au fond n’y sont pas m
quelquefois À des soupers divins retenu pour un mois ; Quand il est à Paris , il ne peut y suffire. Me direz-vous qu’on hait u
Fontenay-le-Château, en Lorraine, vint tenter la fortune littéraire à Paris . Aigri par un double échec dans les concours de l
Le Brun-Écouchard (1729-1807) Notice Le Brun-Écouchard, né à Paris , chanta en des odes la conquête de Minorque, l’am
et d’une Grecque. Élevé dans le Languedoc avant de faire ses études à Paris , officier quelques mois à Strasbourg, il voyagea
sailles, et, dans les intervalles, vécut, pensa, travailla, écrivit à Paris , avec quelques amis, dans une société de loisir,
etourna deux fois et mourut à Nantes au moment où, sans être revenu à Paris , il s’apprêtait à un troisième voyage. Âme délica
folie extrême ; Un ami s’empara de moi pour tout le jour. Hier à tout Paris j’ai fait voir une veste D’un goût divin, l’habit
élégants et harmonieux, antérieurs à la Révolution, la Chartreuse de Paris , le Verger, le Jour des Morts à la campagne, méla
90 Béranger (1780-1857) Notice Pierre de Béranger, né à Paris , petit-fils d’un tailleur et fils d’un teneur de
é, grand’mère ! Il vous a parlé ! L’an d’après, moi, pauvre femme, À Paris étant un jour, Je le vis avec sa cour : Il se ren
s, Il me dit : Bonne espérance ! Je cours, de tous ses malheurs, Sous Paris , venger la France. Il part ; et, comme un trésor,
le bélier qui bat les tours, C’est l’astre qui change de zone, C’est Paris qui suit Babylone ; Demain, c’est le sapin du trô
(1810-1857) Notice Alfred de Musset naquit, vécut et mourut à Paris . Plus jeune de dix ou quinze ans que Lamartine, V
ouvent Byron dans son allure, il se rêvait Grec, comme Chénier, en ce Paris qu’il n’a jamais quitté : Grèce, ô mère des arts
hait jadis pour quelques mauvais vers. S’il rentrait aujourd’hui dans Paris , la grand’ville1424, Il y trouverait mieux, pour
que la grêle des balles Sifflait et pleuvait dans les airs ; Que dans Paris entier, comme la mer qui monte, Le peuple soulevé
l’Artois où, jeune, il fut transplanté pour y faire ses études, et à Paris où il arriva en 1826, connut le Cénacle et se lia
évy, éditeur.) Hégésippe Moreau (1810-1838) Notice Né à Paris , ouvrier imprimeur, maître d’études, homme de let
ouvrier imprimeur, maître d’études, homme de lettres, à Provins et à Paris , mort dans sa vingt-huitième année à l’hôpital de
le succès de Lucrèce que Francis Ponsard apporta de Vienne (Isère) à Paris en 1843. Il semble qne les spectateurs haletants,
rge : Malfaisant, pipeur, beuveur, batteur de pavez, s’il en estoit à Paris , au demourant, etc. (1er livre de Pantagruel, cha
tableau. 59. On imputait à Marot des Adieux satiriques aux Dames de Paris . Il se défendit dans une épître (II. 3) de les av
(II. 3) de les avoir écrits. Ce désaveu ne désarma pas « six dames de Paris  ». Il promet de les faire repentir, et, parlant d
mièrement. 83. Gilles Maillart, lieutenant-criminel de la prévôté de Paris depuis 1501. C’est devant lui que comparut Marot
e quercum. Æquævumque vide consenuisse nemus. 198. Le Parlement de Paris . 199. Insanumque forum (Virg., G., II, 501).
sins qui, huit ans après, couchaient par terre, dans les ruisseaux de Paris , Coligny et « ses compagnons », qui tuaient de do
date de la satire (1607) Malherbe, établi seulement depuis deux ans à Paris , avait encore peu publié. La dernière encore plus
e Toulouse, qui fut conseiller et président à mortier au Parlement de Paris , qui fut un des représentants du roi au concile d
glogues spirituelles de Godeau. Transplanté brusquement des salons de Paris en pleine nature, l’éblouissement de la verdure,
(Groupes secondaires). 1088. Petites feuilles volantes qui coururent Paris . 1089. Allusion à la Βατραχομνομαχία (305 vers),
Il dit douze ans après (Épître à Mme Denis, sa nièce, LXXX, La vie de Paris et de Versailles) de Ce tourbillon qu’on appelle
suite de vifs débats scientifiques, Voltaire ne cessa, à Berlin et à Paris , de le poursuivre de ses railleries et de ses fac
de Versaille et sa vaste étendue. Le normand Fontenelle, au milieu de Paris , Prêta des agrèmens au chalumeau champêtre. Mais
elées, De quelque malheureux ma main sèche les pleurs, Sur la scène à Paris j’en lais verser peut-être, Dans Versaille étonné
. Médecin genevois (1709-1781), qui pratiqua à Amsterdam, à Genève, à Paris , instruit, habile et bienfaisant. 1106. Légère a
s Guèbres, de Sophonisbe, des Lois de Minos, d’Irène, qui le ramena à Paris pour y être couronné sur la scène, quinze jours a
s écoles et collèges. (Voir dans notre Recueil de Prosateurs, p. 661, Paris à vol d’oiseau, par V. Hugo.) 1138. Étudiants po
usseau. 1161. Mercier (1740-1814), célèbre depuis par son Tableau de Paris (1781), avait, dans un Essai sur l’art dramatique
, fils unique de Napoléon Ier et de Marie-Louise d’Autriche, naquit à Paris le 20 mars 1811, et reçut à sa naissance le, titr
rait dont il est frappé. » (Menot, prédicateur du xve  siècle, mort à Paris en 1519). 1347. « Qu’est-ce que le trône ? Quat
ssis sur un monceau de gloire, se dressant sur les ruines muettes de Paris , et, se dressant seule sur l’histoire, l’ombre gr
rceau précité) et leur demandait contre la Commune révolutionnaire de Paris (Ier acte). Dix mois après, plusieurs d’entre eux
par d’autres moyens dont elle garde pour elle le secret, et part pour Paris (IIe et IIIe actes). On sait le reste, sujet des
39 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Préface. »
st l’opinion que l’institution du concours général a fait prévaloir à Paris , il ne se distingue en rien des classes précédent
ur de rhétorique de province ajoute à l’enseignement tout pratique de Paris , et il n’est pas douteux que, toutes choses égale
40 (1853) Éléments de la grammaire française « Éléments de lagrammaire française. — Chapitre III. Troisième espèce de mots. » pp. 8-11
er le superlatif, on met très, ou le plus, devant l’adjectif, comme : Paris est une très-belle ville, et alors le superlatif
st une très-belle ville, et alors le superlatif s’appelle absolu ; ou Paris est la plus belle des villes : et ce superlatif s
41 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre VI. — Différents genres d’exercices »
s amis. Il lui propose d’aller déjeuner avec lui à quelques lieues de Paris . La proposition est acceptée. La conversation s’e
le propose à son ami de venir déjeuner avec lui, à quelques lieues de Paris . 2° Difficultés d’abord ; puis la proposition est
lière : acquittez-moi donc de tous mes devoirs. Tant que vous serez à Paris , vous devriez me mander des nouvelles ; nous auri
reux Je verrai M. d’Argenson ! — Et voilà mon grand garçon qui vole à Paris . « J’ai donc, monsieur, l’honneur de vous en aver
que vous étiez un peu touchée en m’embrassant. Pour moi, je revins à Paris , comme vous pouvez vous l’imaginer. M. de Coulang
arrêts, et aller les premiers à l’offrande. Vous ne voyez pas cela à Paris . » Lectures. — 1° Lettre de Le Brun au comte de
42 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Joubert, 1754-1824 » pp. 388-398
son mérite académique, laisse en province quand tant d’autres sont à Paris  ; que M. de Fontanes lui-même a négligé, quoiqu’i
e, vous aura sûrement rendu sourd ; M. Maillet donc vient d’arriver à Paris , avec une lettre de l’évêque de Montpellier pour
cher à Villeneuve, où je n’étais pas arrivé, est revenu me chercher à Paris , d’où je partais, sans avoir l’habileté de me sai
43 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre VI. » pp. 89-94
ristote, tels que M. Ch. Lévêque, dans La Science du Beau (2e édition Paris , 1872), IVe partie, chap. II  et M. Barthélemy Sa
Barthélemy Saint-Hilaire, dans sa nouvelle traduction de la Poétique ( Paris , 1858). Cette opinion a pour principal appui le t
44 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Courier 1773-1825 » pp. 238-242
tait tout ce qu’on avait pu prendre. Oui, messieurs, à cent lieues de Paris , dans un bourg écarté, ignoré, qui n’est pas même
ique ; il suffit de vous dire que… 7. Raincy. Parc situé à l’est de Paris . 1. Le compagnon de Courier est bien Français pa
45 (1882) Morceaux choisis des prosateurs et poètes français des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles. Cours supérieur. Poètes (2e éd.)
la cour les représentants des diverses provinces du royaume groupés à Paris . Esprit tout français, Malherbe avait cependant d
ient emparés de l’île de Ré au mois de juillet 1627. Le roi, parti de Paris le 20 juin pour aller rejoindre son armée qui ass
un vieil histrion,     Un chroniqueur émut la question     Quand dans Paris commença la méthode De ces sifflets qui sont tant
en penser ! Ce Sénèque, monsieur, est un excellent homme. Était-il de Paris  ? Valère.                             Non, il ét
Soit que le ciel me garde un cours long et tranquille, À Rome ou dans Paris , aux champs ou dans la ville, Dût ma Muse par là
gnifique qu’il mène dans ses terres. Malheureusement ce père arrive à Paris et se présente chez son fils. Il est vêtu simplem
nie. Lisimon. Signons donc maintenant. La noce se fera Aussitôt qu’à Paris ton père arrivera. Le Comte. Mon père, dites-vou
de la Henriade, dont le sujet, dit l’auteur lui-même, est le siège de Paris , commencé par Henri de Valois et Henri de Bourbon
édie intitulée le Temple du Goût, composée par Romagnesi, et que tout Paris courut applaudir130. Poésies philosophiques et m
ant ; Tu n’as point d’aile, et tu veux voler ! rampe. » La Vie de Paris et de Versailles. À madame Denis, nièce de l’
nt d’un sort tranquille, Vole à la cour, dégoûté de la ville. Si dans Paris chacun parle au hasard, Dans cette cour on se tai
’Épître à ma sœur sur ma convalescence. Lancé dans le monde et fixé à Paris après sa sortie des Jésuites, Gresset rêva une gl
heur ? Satire de Paris143. (Le Méchant, acte III.)             Paris  ! il m’ennuie à la mort, Et je ne vous fais pas u
ous ces gens brillants qu’on mange, qu’on friponne, Qui, pour vivre à Paris avec l’air d’être heureux, Au fond n’y sont pas m
que son père, qui était architecte, avait dissipé sa fortune, vint à Paris vers l’âge de dix-huit ans et se mit à tailler la
né de parents pauvres, à Fontenay-le-Château (Lorraine), et arrivé à Paris sans aucune ressource, eut la témérité de demande
Voltaire. (Satire du Dix-huitième Siècle.)     Un monstre dans Paris croît et se fortifie, Qui, paré du manteau de la
cette pièce que Marmontel inséra dans le Mercure de France. Attiré à Paris par un si rapide succès, Malfilâtre y fut accueil
er en 1745, fit ses études au collège des Jésuites. Il vint ensuite à Paris où il débuta par des pièces fugitives dont le suc
ilà pourquoi il faisait les délices des salons les plus distingués de Paris , à ce point qu’on se l’enviait, qu’on se l’arrach
recueillait les hommages. Ses livres étaient répandus non seulement à Paris , mais en province, dans les châteaux, dans les fa
plusieurs petits poèmes qu’il publia successivement, La Chartreuse de Paris , qui n’a d’autre rapport que le nom avec l’ouvrag
ût pur et sévère qu’il avait toujours en écrivant. La Chartreuse de Paris . Vieux cloître où de Bruno les disciples cach
, Heureux de fuir la cour et d’oublier les rois.     J’ai trop connu Paris  : mes légères pensées, Dans son enceinte immense,
ouis. Je préfère ces lieux où l’âme, moins distraite, Même au sein de Paris peut goûter la retraite : La retraite me plaît, e
aucoup trop de réminiscences. Chênedollé vécut habituellement loin de Paris — ses ouvrages s’en ressentent — ; cependant il y
caractère et appréciait son talent : il lui enviait la jolie chanson Paris à cinq heures du matin. L’Atelier du peintre.
nissons….       Adieu chansons ! Ma fortune est faite. Tableau de Paris à cinq heures du matin. L’ombre s’évapore, Et
; Où donc me cacher ? Jamais mon oreille N’eut frayeur pareille… Tout Paris s’éveille… Allons nous coucher. Béranger (Je
grand’mère ! Il vous a parlé ! — L’an d’après, moi, pauvre femme, À Paris étant un jour, Je le vis avec sa cour : Il se ren
s, Il me dit : « Bonne espérance ! Je cours de tous ses malheurs Sous Paris venger la France. » Il part et comme un trésor, J
d’un négociant estimé. À l’âge de dix ans, il fut envoyé au collège à Paris . Un dithyrambe sur la naissance du roi de Rome at
ir ce ciel de son enfance, Revenir et mourir au lieu de sa naissance. Paris était pour elle un séjour étranger, Son exil à se
lantes études littéraires, il remporta le grand prix de philosophie à Paris , en 1827. En 1830, par les conseils de Victor Hug
sé, qu’il n’avait pas le courage de rien penser, et aspirait d’être à Paris pour éteindre ce qui lui restait d’un feu noble d
gents de plaisirs et d’affaires, Par leur impertinence indignent tout Paris , Et se sont fait un nom à force de mépris. N’est-
                                                    C’est de rigueur. Paris , dans les beaux jours, est triste à faire peur ;
s champs alors quel plaisir on éprouve ! C’est un charme divin ; tout Paris s’y retrouve. Et puis la solitude a pour moi mill
ropos un mot patois. Ce barde armoricain arrivé déjà, tout Parisien à Paris , à l’âge de vingt et un ans, devint de jour en jo
part de la Divinité. » Ce n’est pas là, on le voit, la foi bretonne. Paris avait effacé les traces de Lorient ; la philosoph
s point de lettre, et je n’appris Ce malheur imprévu qu’en rentrant à Paris . Le Notaire. C’était un galant homme, et cette m
ère sembles et de boche et de vis. (Garin le Loherain, 3e chant, iii, Paris .) 19. Et pourtant. Si, dans cette significatio
u’on avait à mâcher le pain chalan, qui était fort dur. On appelait à Paris , pain chalan, une sorte de pain grossier (Viollet
pressions de M. Baudrillart, Discours sur Voltaire. 127. Journal de Paris , 14 mars 1724. 128. Voir le Temple de Mémoire, s
c lui, édita plusieurs de ses ouvrages, et fut son agent d’affaires à Paris . 148. Préface de Didon. 149. Faisons cette rest
n 1828. Le père du poète illustre a laissé des Mémoires, 3 vol. in-8, Paris , 1823, et divers ouvrages sur l’art militaire. 2
ommencent au 20 mars 1815, jour où l’échappé de l’île d’Elbe arriva à Paris , et finissent le 20 juin, jour où il quitta la ca
46 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Molière. (1622-1673.) » pp. 29-34
Molière, en le considérant comme poëte. Bornons-nous à dire que, né à Paris en 1622, il termina sa carrière en 1673. L’ava
apologie de la musique et de la danse. M. Jourdain (bourgeois de Paris ), un maître à danser, un maître de musique.
47 (1867) Morceaux choisis des classiques français, à l’usage des classes supérieures : chefs d’œuvre des prosateurs et des poètes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouvelle édition). Classe de rhétorique
à Angoulême (1594) vers le temps où Henri IV faisait sa rentrée dans Paris , il mourut en 1655, lorsque Louis XIV, majeur, la
les visites sont encore plus incommodes que celles que vous recevez à Paris , au lieu qu’en cette grande ville où je suis, n’y
un acteur en poste, les deux côtés du théâtre pourraient représenter Paris et Rouen43 Je souhaiterais, pour ne point gêner d
n : on estime surtout les deux discours qui en forment le début. Né à Paris en 1612, il mourut à Liège l’année 1694. De la
se plaça au rang des écrivains illustres du dix-septième siècle. Né à Paris en 1613, il fut homme d’intrigue et de guerre pen
, p. 19 et suiv. de l’édition des Œuvres de La Rochefoucauld donnée à Paris en 1825. Du caractère d’un grand génie, et de
tenir sans contrainte et sans effort pénible. C’est en conversant, de Paris ou de la Bretagne, avec ses amis absents et surto
’esprit du lecteur, mais qu’elles le purifient et l’élèvent139. Née à Paris le 5 février 1626, madame de Sévigné mourut en 16
exemple n’est-il pas juste ; une chose que nous ne saurions croire à Paris , comment la pourrait-on croire à Lyon ? une chose
querir du conseil, et le pressa de mander promptement des médecins de Paris  ; mais Fagon se mit en colère, ne se paya d’aucun
celui de Louis XIV. Né en effet le 20 février 1694 à Châtenay près de Paris , il ne mourut qu’en 1778, à Paris. Émule, dans la
20 février 1694 à Châtenay près de Paris, il ne mourut qu’en 1778, à Paris . Émule, dans la prose, des maitres de notre époqu
ieuse retraite ; et, par une dernière faveur du sort, il s’éteignit à Paris , le 16 avril 1788, plein d’honneurs et de jours,
s. Œuvres diverses. Molière (1622-1673.) [Notice.] Né à Paris en 1622, Molière, après de bonnes études terminée
                    Si le roi m’avait donné                          Paris sa grand’ville,                     Et qu’il me f
          Je dirais au roi Henri :                     Reprenez votre Paris  ;                         J’aime mieux ma mie    
                    Si le roi m’avait donné                          Paris sa grand’ville,                     Et qu’il me f
          Je dirais au roi Henri :                     Reprenez votre Paris  ;                         J’aime mieux ma mie    
tience535… Boileau (1636-1711.) [Notice.] Boileau, né à Paris en 1636, avait commencé par se faire recevoir avo
ine, du sein de vos vallons chéris Arraché malgré moi, je rentre dans Paris , Qu’en tous lieux les chagrins m’attendent au pas
vos mépris vous servent de louanges.     Ainsi, de cent chagrins dans Paris accablé, Juge si, toujours triste, interrompu, tr
564…     Mais peut-être j’invente une fable frivole. Démens donc tout Paris , qui, prenant la parole, Sur ce sujet encor de bo
ème dramatique. Voulez-vous sur la scène étaler des ouvrages Où tout Paris en foule apporte ses suffrages Et qui, toujours p
âta sa mort. Né à la Ferté-Milon le 21 décembre 1639, il s’éteignit à Paris le 22 avril 1699. Ses cendres reposent aujourd’hu
emps qu’il était né dans le petit village de Châtenay, peu distant de Paris  : il est établi maintenant qu’il naquit à Paris m
tenay, peu distant de Paris : il est établi maintenant qu’il naquit à Paris même, le 20 février 1694, dont il demeura éloigné
4. Nous avons suivi l’édition in-folio des Œuvres de Balzac, 2 vol., Paris , 1665. — Parmi ceux qui se sont occupés spécialem
out à l’heure fera connaître en détail les événements qui suivirent à Paris l’emprisonnement de Broussel. 69. Cf. La Bruyère
gne : « Qu’on jette une poutre entre ces deux tours (de Notre-Dame de Paris ), d’une grosseur telle qu’il nous la faut à nous
bîme de grandeur. » Des Pensées de Pascal, p. 443. Cf. ibid., p. 127 ( Paris , Ladrange, 1843). 105. Pascal se laisse ici entr
, d’abord, la Prison des princes, et ensuite, le Retour des princes à Paris . 205. Le cardinal Mazarin alla en personne les d
e Motteville. Suivant La Rochefoucauld, le prince de Condé fut reçu à Paris « comme un homme qui était plus en état de faire
sura et donna sa parole à la reine de périr, ou qu’il le ramènerait à Paris triomphant de tous ses ennemis. » Mémoires du d
me, IIIe partie, livre IV, chap. 3. 278. Nicolas de Catinat naquit à Paris en 1637 : il quitta le barreau pour les armes et
notre pays. Il mourut en 1712 dans sa terre de Saint-Gratien, près de Paris . 279. Saint Victor, dont Bossuet a composé le pa
première pointe de l’aurore. Toute la cour était là rassemblée, tout Paris y abondait ; et comme la discrétion et la précaut
la visite que lui firent, dans un moment de mieux, les harengères de Paris , ses amies fidèles. « Elles arrivèrent en plusieu
lles, elles s’écrièrent dans leur joie qu’elles allaient réjouir tout Paris et faire chanter le Te Deum. Monseigneur leur dit
ollège de France, qui eut part à la construction de l’Observatoire de Paris . On lui doit, entre autres ouvrages, le livre int
tête de l’édition des Œuvres complètes de Vauvenargues, 3 vol. in-8º, Paris , 1821. On trouvera joints à cette notice d’autres
aradoxes dont Rousseau devait bientôt amuser l’oisiveté des salons de Paris , Vauvenargues renvoie à la triste nudité de la vi
lid, 1529, in-fol.), qu’un certain de La Grise a traduit en français ( Paris , 1531, in-4º) et intitulé l’Horloge des princes.
e M. Dongois, greffier en chef du parlement » (Boileau), à 39 kil. de Paris , du côté de Mantes. Voltaire, qui avait connu l’i
ritique sur cet auteur. Le P. Daire, son compatriote, a écrit sa vie ( Paris , 1779, in-12) ; plusieurs ont composé son éloge,
tés à Tours et à La Flèche, venait d’être appelé par ses supérieurs à Paris , au collège Louis-le-Grand, pour y être régent de
ne au-dessus de l’autre, surmonté d’une plate-forme qui dominait tout Paris . C’était l’observatoire des jésuites. On l’a détr
48 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Beaumarchais, 1732-1799 » pp. 344-356
ouver sa liaison secrète avec mes ennemis en écrivant contre moi dans Paris des lettres de Grenoble à celui qui l’aura aidé à
style. (Préface du Mariage de Figaro.) L’amour-propre blessé 1 Paris , … mai 1784. Je n’ai nulle considération pour de
oires contre M. Goezman, conseiller de grand’chambre, au parlement de Paris . On avait dit à Beaumarchais, engagé dans un proc
49 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre XII. Poésie dramatique. »
it la jeunesse ; J’étais en ces lieux-là de beaucoup de métiers, Mais Paris , après tout, est bien loin de Poitiers. Le climat
tre, Et là, faute de mieux, un sot passe à la montre. Mais il faut, à Paris , bien d’autres qualités ; On ne s’éblouit pas de
u’on est mal reçu si l’on ne leur ressemble. CLITON. Connaissez mieux Paris , puisque vous en parlez : Paris est un grand lieu
r ressemble. CLITON. Connaissez mieux Paris, puisque vous en parlez : Paris est un grand lieu plein de marchands mêlés. L’eff
éâtre de Lyon l’Étourdi, sa première pièce, on donnait au théâtre des Paris les Rivales de Quinault. Mais cet auteur inimitab
50 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Supplément aux exemples. »
ns courbés et les flancs amaigris, Souvent à jeun lui-même, alimenter Paris . Quelquefois, consolé par une chance heureuse, Il
u’un enfant ;           Un petit sou me rend la vie. On m’a dit qu’à Paris je trouverais du pain ; Plusieurs ont raconté, da
51 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Balzac. (1594-1655.) » pp. 2-6
ire. Né à Angoulême vers le temps où Henri IV faisait sa rentrée dans Paris , il mourut lorsque Louis XIV, majeur, laissait en
1. Nous avons suivi l’édition in-folio des Œuvres de Balzac, 2 vol., Paris , 1665. — Parmi ceux qui se sont occupés spécialem
52 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — D’Aguesseau. (1668-1751.) » pp. 124-129
ortantes. Dès sa vingt-deuxième année, avocat général au parlement de Paris , et procureur général six ans après, il fut l’un
gnalera particulièrement la savante édition publiée par M. Pardessus, Paris , 1819, 16 vol in-8°. 1/. Là-dessus Malebranche a
53 (1853) Éléments de la grammaire française « Éléments de lagrammaire française. — Remarques particulières sur chaque espèce de mots. » pp. 46-52
que ce nom ne soit exprimé dans la même phrase. Ainsi, ne dites pas : Paris est beau, j’admire ses bâtiments ; mais dites : j
bien de son, sa, ses, quand il est régi par une préposition, comme : Paris est beau ; j’admire la grandeur de ses bâtiments.
54 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Retz, 1614-1679 » pp. 38-42
malgré lui à l’Église, d’abord coadjuteur et plus tard archevêque de Paris , Paul de Gondi avait plus de vocation pour les af
l convient aussi d’observer que les maires du palais et les comtes de Paris se placèrent dans le trône des rois à la faveur d
55 (1885) Morceaux choisis des classiques français, prose et vers, … pour la classe de rhétorique
la vivacité du trait, dans le Cours de littérature dramatique et dans Paris en Amérique. Une exclusion sévère de bon nombre d
n digne hommage. Les murs qui l’ont vu naître attendaient son image ; Paris , tous les Français ; tout un peuple jaloux Veut,
aient !… On entendait des cris. « Aux armes, citoyens, il faut sauver Paris  ! » Et l’on voyait courir, comme des fourmilières
t pas moins pris, pendant ces six années, en province aussi bien qu’à Paris , dans les plus humbles rangs des lettres comme da
de regret, de reconnaissance et d’alarme éclata, en province comme à Paris , parmi les propriétaires, les négociants, les man
le bélier qui bat les tours, C’est l’astre qui change de zone, C’est Paris qui suit Babylone ; Demain, c’est le sapin du trô
que la grêle des balles Sifflait et pleuvait par les airs ; Que dans Paris entier, comme la mer qui monte, Le peuple soulevé
e et la sainte canaille. Se ruaient à l’immortalité ? Tandis que tout Paris se jonchait de merveilles, Ces messieurs tremblai
Accroupis derrière un rideau. ……………………………. V Mais, ô honte ! Paris , si beau dans sa colère, Paris, si plein de majes
……………………………. V Mais, ô honte ! Paris, si beau dans sa colère, Paris , si plein de majesté Dans ce jour de tempête où l
té Dans ce jour de tempête où le vent populaire Déracina la royauté ; Paris , si magnifique avec ses funérailles, Ses débris d
ins dépavés et ses pans de murailles Troués comme de vieux drapeaux ; Paris , cette cité de lauriers toute ceinte, Dont le mon
ples émus appellent tous la sainte, Et qu’ils ne nomment qu’à genoux, Paris n’est maintenant qu’une sentine impure, Un égout
he une victoire à mon sang réservée ; Je ne connais Priam, Hélène, ni Paris  : Je voulais votre fille, et ne pars qu’à ce prix
ais adieu les amis, si le temps devient sombre62. Ponsard 63. Paris et la Campagne MADAME HUGUET.                
cause ? — Emportement de nos champs vers les villes, Des villes vers Paris . Le fermier, de son fieu Fait orgueilleusement un
oilà ce que j’admire, Qu’aucun père à son fils ne s’avise de dire : «  Paris est encombré de hardis compagnons ; Retourne aux
; Mais qu’il se fasse ici neuf mille francs de rente, Je l’admets : à Paris il s’en fera quarante. MATHILDE. Crois-tu qu’il e
nfants. Mon pauvre frère, avec les produits de sa charge, Aura-t-il à Paris une vie assez large ? MADAME HUGUET. Il n’est pas
riche encor, À mon heureux foyer j’admire mon trésor... À l’enfer de Paris quelque jour cette issue Sera des bons esprits à
Mécène du jour, flatter les favoris De l’Apollon bâtard qu’on adore à Paris . Je ne sais pas encor de quel air on écoute Vos a
bles dont personne ne peut prévoir la fin. Je dis que le Parlement de Paris n’est, dans ce moment- ci, que l’écho du public d
Parlement de Paris n’est, dans ce moment- ci, que l’écho du public de Paris et que le public de Paris est celui de toute la n
dans ce moment- ci, que l’écho du public de Paris et que le public de Paris est celui de toute la nation. C’est le parlement
Savez-vous comment sont décernés les mandats d’arrêt ? La commune de Paris s’en repose à cet égard sur son comité de surveil
s de roi, de pape, d’évêques ; mais auguste monarque, etc. ; point de Paris  ; capitale du royaume. Il y a des lieux où il fau
it la pièce que vous m’imputez et qui vous pique95 ; je l’ai reçue de Paris avec une lettre qui m’a appris le nom de son aute
a reine, les princesses et les plus vertueuses dames de la cour et de Paris l’ont reçue et caressée en fille d’honneur ? Pour
la, que ce n’était pas son métier, et qu’il aimait mieux s’en aller à Paris . Ma foi ! la colère me monte à la tête : je songe
, il y a sept ou huit mois, quand j’arrangeais ma maison avec vous, à Paris , que je m’établirais à trois cents lieues, dans l
assiez comme Mme de Rothembourg, qui a toujours préféré les opéras de Paris à ceux de Berlin. Ô destinée ! comme vous arrange
es pauvres humains ! Il est plaisant que les mêmes gens de lettres de Paris qui auraient voulu m’exterminer, il y a un an, cr
mé Pérard, né comme moi en France ; il demandait permission d’aller à Paris pour ses affaires ; le roi lui fit répondre qu’il
ieux ses affaires que lui-même, et qu’il n’avait nul besoin d’aller à Paris . Ma chère enfant, quand je considère un peu en dé
encore loin de la guérison. Je vous envoie ce fatras, qu’il intitule Paris en Amérique ; je n’ai voulu en rien retrancher, n
ctrique et de la foudre ; devint membre de l’Académie des sciences de Paris et de presque tous les corps savants de l’Europe 
ignet. La Charité parisienne Ô cité de misère et de luxe ! ô Paris  ! Centre de l’antithèse, enfer et paradis, Médail
le, elle entend tous les cris ; C’est une charité qu’on fit pour toi, Paris  : Elle prend son bouquet dès qu’un malheur l’appe
ue et morale : Joseph, Carle et Horace Vernet. (Hetzel édit.) 100. Paris en Amérique. (Charpentier édit.) 101. Odes, II,
56 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « Étude littéraire et philologique sur la langue du XVIe siècle » pp. -
t à dire ? dist Pantagruel à ung de ses gens. C’est, respondit-il, de Paris . — Tu viens donc de Paris, dist-il, et à quoy pas
à ung de ses gens. C’est, respondit-il, de Paris. — Tu viens donc de Paris , dist-il, et à quoy passez-vous le temps, vous au
de la langue latine sur la grammaire du XVIe  siècle Si Athènes et Paris se touchent, Rome est plus voisine encore de la F
toires des professeurs hébraïques, grecs ou latins de l’Université de Paris  ; elle est au Louvre, au Palais, aux halles, en g
e dynastie d’imprimeurs et de savants français, dont le chef naquit à Paris , vers 1470, et mourut en 1520. Son fils fut Rober
57 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Lacordaire 1802-1861 » pp. 279-285
n cœur ressentit douloureusement les blessures de la France. Avocat à Paris en 1822, il quitta bientôt la carrière du barreau
eur en reste, se dépense à se flétrir1. (Conférences de Notre-Dame de Paris .) 1. Il disait ailleurs de la tristesse : « C’
58 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Corneille, 1606-1684 » pp. 26-31
ait la pièce que vous m’imputez et qui vous pique2 ; je l’ai reçue de Paris avec une lettre qui m’a appris le nom de son aute
a reine, les princesses et les plus vertueuses dames de la cour et de Paris l’ont reçue et caressée en fille d’honneur ? Pour
59 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Cours complet de littérature à l’usage des séminaires et des colléges rédigé d’après les meilleurs critiques anciens et modernes par M. l’abbé A. Piron. Chanoine, Vicaire général, Membre de l’Académie des Arcades, ancien Professeur de littérature. » pp. 1-8
t de la Poétique en particulier. Nous nommerons l’Univers, l’Union de Paris , le Monde, la Chronique de l’Ouest, l’Indépendant
de Lyon, de Bordeaux, de Besançon et de Chambéry, les Archevêques de Paris , de Toulouse, de Bourges et d’Albi, les Évêques d
60 (1868) Morceaux choisis des écrivains contemporains à l’usage des classes supérieurs de l’enseignement classique et spécial. Prose et poésie
Anne-Louise-Germaine Necker, fille du ministre de Louis XVI, naquit à Paris en 1766. Dès sa première enfance elle fit pressen
rgique, assurent à l’Allemagne un succès durable et mérité. Rentrée à Paris en 1815, Mme de Staël occupa ses dernières années
nce aux progrès de la raison humaine. Ce fut en 1817 que s’éteignit à Paris ce noble esprit qui exerça une durable influencé
ue et l’Espagne, La relation de ce voyage est devenue l’Itinéraire de Paris à Jérusalem. Cet ouvrage, remarquable par la rich
elle écoute les furibonds qui, il y a quatorze ans, voulaient prendre Paris , et qui aujourd’hui l’ont embarquée dans une guer
ne, dans ceux de Rome, de Berlin, de Madrid, de Moscou, qui a délivré Paris de la souillure que la trahison et la présence de
ermopolis, Mgr Frayssinous inaugurait dans la chaire de Notre-Dame de Paris , sous la forme nouvelle de conférences régulières
heure placé M. Villemain dans cette élite d’esprits supérieurs. Né à Paris en 1790, il avait avant vingt-six ans obtenu troi
oche à Buffon d’avoir quitté par orgueil les salons philosophiques de Paris , où, dit-il, on ne lui accordait, avec raison, qu
, André Chénier, l’aîné des deux frères, fut placé dans un collège de Paris . Son goût vif pour les arts, son instinct de l’an
id., leçon 58e 170. V. Cousin (1792-1867) [Notice] Né à Paris en 1792, M. Victor Cousin, après de fortes études
le délassement d’un voyage en Provence, il revenait presque aveugle à Paris , condamné désormais à lire par les yeux d’autrui
lieu où il devait être inauguré comme roi des Franks occidentaux226. Paris , ni toute autre ville, ne pouvait convenir pour c
om du Seigneur soit béni236. » Lorsque l’épidémie, après avoir désolé Paris et son territoire, se porta vers Soissons, envelo
aint-Denis, et ils firent transporter son corps du palais de Braîne à Paris , sans l’accompagner eux-mêmes. Tous leurs soins s
tutions de saint Louis furent les premiers essais de sa plume. Venu à Paris en 1822, M. Mignet ouvrit un cours d’histoire à l
ctrique et de la foudre ; devint membre de l’académie des sciences de Paris et de presque tous les corps savants de l’Europe 
agne sur les Girondins : ceux d’entre ces derniers qui purent quitter Paris allèrent soulever les provinces et organiser la g
di. Charlotte Corday crut sauver la Gironde en allant frapper Marat à Paris . À cette époque (1793) vivait dans le Calvados u
sécurité en Angleterre. Tout en écrivant cela, elle s’acheminait vers Paris . Avant son départ, elle voulut voir à Caen les dé
touchés de ses sentiments. Tous ignoraient ses projets264. Arrivée à Paris , Charlotte Corday songea à choisir sa victime, Da
rnardins. De là il ordonnait tout, et ne cessait de correspondre avec Paris et avec les autres armées de la république, Il av
on souvent peu sévère, quelques beautés vraiment originales. Revenu à Paris après un séjour de plusieurs années à Londres, De
d’une touche fine et heureuse qui n’ont pas vieilli. Delille mourut à Paris en 1813. L’école descriptive ne devait pas lui su
e chansonnier populaire a été en même temps un artiste consommé. Né à Paris en 1780, Béranger ne trouva personne dans sa fami
de Rousseau, et qui portait le nom solennel d’Institut patriotique. À Paris , il devint apprenti imprimeur. Dès cette époque,
grand’mère ! Il vous a parlé ! — L’an d’après, moi, pauvre femme, À Paris étant un jour, Je le vis avec sa cour : Il se ren
rs, Il me dit : Bonne espérance ! Je cours de tous ses malheurs, Sous Paris , venger la France. Il part ; et comme un trésor J
ait encore dans les deux célèbres romans de M. V. Hugo (Notre-Dame de Paris , 1831, les Misérables, 1862), et nous forcerait à
l faut donc effacer le mot impie qui sert d’épigraphe à Notre-Dame de Paris et qui est la conclusion des Misérables : ἀνάγκη.
n poète qui, « à défaut de la foi, avait le don des larmes448 ». Né à Paris en 1810, A. de Musset, après des études brillante
croire, une circonstance heureuse pour sa destinée poétique. Loin de Paris et des querelles littéraires de 1830, il ne perdi
s. Il faut les aller chercher de sa personne au milieu du monde, et à Paris , où se trouvent les plus illustres. Molière ne s’
esquisses prises au dehors dont ils feront des tableaux : emportez de Paris de vigoureuses ébauches, pour on faire des portra
4. Les œuvres oratoires de Mirabeau ont été publiées en 2 vol. in-8°, Paris , Blanchard, 1819 5. Le 11 juillet 1789, Necker,
onnait de quitter la France ; mais quand cette nouvelle se répandit à Paris , le peuple se souleva et porta en triomphe le bus
ètes de Mme de Staël ont été publiées par son fils, en 17 vol. in-8°, Paris , Treuttel et Wurtz, 1821. 9. Cette pensée est un
. 39. Les œuvres de Chateaubriand ont été publiées en 19 vol. in-12, Paris , Firmin-Didot. Des Morceaux choisis de Chateaubri
isis de Chateaubriand ont été publiés par M. A. Didier, 1 vol. in-12, Paris , Delalain. 40. L’objet du livre auquel ce morcea
dont le mérite propre a été dans l’expression. 182. Helvétius, né à Paris en 1715, mort eu 1771, fut le disciple de Locke e
tes, épaisses et de forme carrée. 226. Sighebert se trouvait alors à Paris , où il avait établi son quartier général. 227. S
ort de son frère. 430. « On mit sous l’échafaud, dans les halles de Paris , les jeunes enfants du duc, pour recevoir sur eux
61 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Buffon, 1707-1788 » pp. 282-302
naît de vous l’Europe, et ce que dira la postérité. Sur la vie de Paris 2 À l’abbé Le Blanc Je suis charmé quand
l’aurore ; je voudrais bien vous imiter ; mais la malheureuse vie de Paris est bien contraire à ces plaisirs. J’ai soupé hie
six heures de repos ! Je soupire pour la tranquillité de la campagne. Paris est un enfer, et je ne l’ai jamais vu si plein. J
re à madame de Champbonin. (Recueil de M. Fallex, p. 165) Il dit : «  Paris est un gouffre où se perdent le repos et le recue
62 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre VI. Contes, romans, nouvelles. »
été tel, que des souverains étrangers ont entretenu à grands frais, à Paris , des correspondants pour être mis au courant de t
ette petite disgrâce a fait quelque tort au magnétisme, qui fait dans Paris et dans la France presque autant de bruit que Fig
63 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Bernardon de Saint-Pierre 1737-1814 » pp. 203-209
e publique de Soissons, et nous la quittâmes à dix lieues et demie de Paris , au-dessus de Dammartin. On nous dit que de là à
orale. 3. Il était si pauvre alors qu’il lui fallait aller à pied de Paris à Versailles, et en revenir de même. 4. Il logea
64 (1870) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices par Gustave Merlet,... à l'usage de tous les établissements d'instruction. Cours moyens, grammaire et enseignement spécial. Première partie : prose
du duc de Bavière (1617-1619). Jaloux de son indépendance, il quitta Paris en 1629 pour se retirer en Hollande, où il séjour
igueur du climat. Ses restes, rapportés en France en 1667, reposent à Paris , dans l’église de Saint-Étienne-du-Mont. De tous
ils osaient se persuader que du siège de Rocroy dépendait la prise de Paris  ; et l’avidité de leur ambition dévorait déjà le
malgré lui à l’Église, d’abord coadjuteur, et plus tard archevêque de Paris , Paul de Gondi avait plus de vocation pour les af
es peut rendre agréables390. Madame de Sévigné 1626-1696 Née à Paris , orpheline à six ans, élevée par son oncle l’abbé
Grignan A Livry, mercredi 29 avril. Je partis hier assez matin de Paris  ; j’allai dîner à Pomponne ; j’y trouvai notre bo
u quatre rossignols qui sont sur ma tête. Ce soir, je m’en retourne à Paris pour faire mon paquet413, et vous l’envoyer. Je v
he423 sur ma cheminée ; vous êtes adorée maintenant en Provence, et à Paris , et à la cour, et à Livry ; enfin, ma fille, il f
commun ; mais il n’est pas commun qu’ils soient tous comme lorsque à Paris chacun les approche de son nez, en faisant une ce
, trouver un mauvais melon, nous serions obligés de le faire venir de Paris , il ne s’en trouve point ici ; les figues sont bl
e va pas chercher bien loin le sujet de ses lettres, L’incendie Paris , vendredi 20 février 1671. Je vous avoue que j’a
faut que j’aie une bonne santé pour y résister. Vous n’avez jamais vu Paris comme il est ; tout le monde pleure, ou craint de
exemple n’est-il pas juste ; une chose que nous ne saurions croire à Paris , comment la pourrait-on croire à Lyon ? une chose
iciers des justices voisines, qui venaient s’humilier devant celle de Paris , et des religieux de différentes couleurs qui ven
la mémoire. Nous verrons cela plus à fond quand je serai de retour à Paris . Adieu, mes baisemains à vos sœurs. Un simple
, à trente-six ans, sur la recommandation de Bossuet, il fut appelé à Paris pour enseigner l’histoire à M. le Duc, petit-fils
 : c’était un ordre de M. son père de faire revenir M.1086 son fils à Paris . Jeannot monta en chaise de poste en tendant la m
lorsqu’il retira de l’école M. le marquis son fils, pour le mettre à Paris dans le beau monde. Colin, toujours tendre, écriv
era sauvée ou perdue. C’est un grand jour pour le beau monde oisif de Paris qu’une première représentation : les cabales batt
s toujours très-affligé de n’être plus au coin du vôtre. La vie à Paris A Madame de Champbonin De Paris, 1739. Ma
à Paris A Madame de Champbonin De Paris, 1739. Ma chère amie, Paris est un gouffre où se perdent le repos et le recue
enfin vis-à-vis ce beau portail1146, dans le plus vilain quartier de Paris , dans la plus vilaine maison, plus étourdi du bru
Vous n’avez au Théâtre-Français que des marionnettes1164, et dans Paris que des cabales. Mes anges ! mes pauvres anges !
mier précepte de la vertu que vous voulez suivre ; et si le séjour de Paris , joint à l’emploi que vous remplissez, vous paraî
est plus facile à supporter en province que la fortune à poursuivre à Paris , surtout quand on sait, comme vous ne l’ignorez p
gne1542 Le printemps en Bretagne est plus doux qu’aux environs de Paris , et fleurit trois semaines plus tôt. Les cinq ois
1063.) Au Schah de Perse Réponse a une demande d’alliance Paris , 27 pluviôse an XIII (16 février 1805). J’ai par
tait tout ce qu’on avait pu prendre. Oui, messieurs, à cent lieues de Paris , dans un bourg écarté, ignoré, qui n’est pas même
quence nerveuse et substantielle, un style net et vigoureux. Appelé à Paris par ce succès qui fixa l’attention des compagnies
nglante1714, le titre de général en chef, passe ensuite de l’armée de Paris à l’armée d’Italie, conquiert cette contrée en un
Vatican1722, des Tuileries. Silvestre de Sacy Né en 1804 Né à Paris le 17 octobre 1801, fils d’un orientaliste célèbr
évolution de 1848, à la fin de ces longues soirées pendant lesquelles Paris tout entier semblait transformé en un immense for
était-il tout cela ? Il l’était dans son simple ménage de Rouen ou de Paris , dans son paisible intérieur, entre sa femme et s
n cœur ressentit douloureusement les blessures de la France. Avocat à Paris en 1822, il quitta bientôt la carrière du barreau
il ? Vous le savez 1819 ; nous avons suivi son cercueil de Pomponne à Paris , de Saint-Jacques-du-Haut-Pas à Port-Royal-des-Ch
en la cour du Parlement, in-8*, 1613. — Réponse à Phyllarque, in-8°, Paris , 1628. 33. Je lis ailleurs dans Balzac : « Sou
Balzac sur les plaisirs de la campagne. 64. Quand Descartes habitait Paris , il lui arriva souvent de déménager pour échapper
i viennent s’instruire chez nous, et qui contribuent à l’abondance de Paris . Nos pauvres sont nourris du produit de ces ouvra
spectacle plus belles que le théâtre de Pompée ; mais quel homme dans Paris est animé de l’amour du bien public ? On joue, on
: aussi, ne l’entreprendrai-je pas. 392. Couvent de la Visitation, à Paris . 393. . Un cœur à l’autre uni jamais ne se re
taquèrent Rocroi, et ils crurent pénétrer bientôt jusqu’aux portes de Paris , comme ils avaient fait huit ans auparavant. La m
défauts, et tout ce qu’elle entendait dire d’elle de désavantageux à Paris ; cette charmante princesse, au lieu de se choquer
rbeaux qui croissent parmi les seigles furent, un été, à la mode dans Paris . Les dames en mettaient pour bouquet. 786. Par
temps, et aujourd’hui plus que jamais. 1135. Mme Deshoulières, née à Paris eu 1638, morte en 1694. On la surnomma la Dixième
dans le Brandebourg, est pour Berlin comme Versailles relativement à Paris . 1142. Qui s’applique d’ordinaire aux personnes
. 1145. Je lis dans Buffon : « Ah ! la malheureuse vie que celle de Paris . J’ai soupé hier fort tard, et on m’a retenu jusq
six heures de repos ! Je soupire pour la tranquillité de la campagne. Paris est un enfer, et je ne l’ai jamais vu si plein. J
ait-il pas ! Et que peut-il penser lorsque dans une rue, Au milieu de Paris , il promène sa vue ; Qu’il voit de toutes parts l
ns courbés et les flancs amaigris, Souvent à jeun lui-même, alimenter Paris . Quelquefois, consolé par une chance heureuse, Il
t son patronage, et voulait courir les chances de la vie littéraire à Paris  : « Vous ne trouverez dans cette grande ville que
on des autres, si ce n’est peut-être pour s’en divertir. Je crois que Paris n’est bon que pour les fermiers généraux et les g
’une espèce de brigandage. S’il y a encore quelques hommes de génie à Paris , ils sont persécutés. Les antres sont des corbeau
e Corinne nous croyons entendre les soupirs de Mme de Staël exilée de Paris par un pouvoir ombrageux. 1521. Comparez la pet
e ; il suffit de vous dire que… 1616. Raincy. Parc situé à l’est de Paris . 1617. Le compagnon de Courier est bien Français
e Bossuet, par M. Patin, l’éminent doyen de la faculté des lettres de Paris . 1672. Montaigne, auteur des Essais, naquit en 1
militaire de Brienne, d’où, en 1781, il passa à l’école militaire de Paris , et fut sous-lieutenant d’artillerie dès 1785. 1
65 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre XI. Grands poèmes. »
aire les a placés dans ces beaux vers de la Henriade : Cependant sur Paris s’élevait un nuage Qui semblait apporter le tonne
ur, Dieux enivrés de sang, dieux dignes des ligueurs. Aux remparts de Paris ils fondent, ils s’arrêtent ; En faveur de d’Auma
ie n’y peuvent jouer qu’un bien faible rôle. Arouet de Voltaire, né à Paris (ou à Châtenay) en 1694, jaloux de la gloire de s
ient de ne pouvoir pas produire. La Henriade a pour sujet la prise de Paris par Henri IV. On a dit avec quelque raison qu’il
66 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Mignet. Né en 1796. » pp. 504-512
quence nerveuse et substantielle, un style net et vigoureux. Appelé à Paris par ce succès qui fixa l’attention des compagnies
ctrique et de la foudre ; devint membre de l’Académie des sciences de Paris et de presque tous les corps savants de l’Europe 
67 (1866) Morceaux choisis des classiques français, à l’usage des classes supérieures : chefs d’œuvre des prosateurs et des poètes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouvelle édition). Classe de seconde
à Angoulême (1594) vers le temps où Henri IV faisait sa rentrée dans Paris , il mourut en 1655 lorsque Louis XIV, majeur, lai
evaient percer la France jusqu’aux Pyrénées, qui menaçaient de piller Paris et d’y venir reprendre jusque dans Notre-Dame les
sa constance et sa magnanimité ? Nos ennemis sont à quinze lieues de Paris , et les siens sont dedans. Il a tous les jours av
me ils n’ont su que faire jusqu’à cette heure. Alors les bourgeois de Paris seront ses gardes ; et il connaîtra combien il es
Molière, en le considérant comme poète. Bornons-nous à dire que, né à Paris en 1622, il termina sa carrière en 1673. Appré
tenir sans contrainte et sans effort pénible. C’est en conversant, de Paris ou de la Bretagne, avec ses amis absents et surto
l’esprit du lecteur, mais qu’elles le purifient et l’élèvent68. Née à Paris le 5 février 1626, Mme de Sévigné mourut en 1696,
la, que ce n’était pas son métier, et qu’il aimait mieux s’en aller à Paris . Ma foi ! la colère m’a monté à la tête : je song
ine. J’ai fait un fort joli voyage. Je partis hier assez matin de Paris  ; j’allai dîner à Pomponne ; j’y trouvai notre bo
ou quatre rossignols qui sont sur ma tête. Ce soir je m’en retourne à Paris , pour faire mon paquet et vous l’envoyer. Je vais
té regretté si sincèrement ; tout ce quartier où il a logé93, et tout Paris , et tout le peuple, était dans le trouble et dans
t trouver sa place, puisque sa vie lui fut dévouée tout entière. Né à Paris le 30 janvier 1661, il avait eu le bonheur, malgr
le condition de ses parents, d’être nommé boursier dans un collège de Paris et d’y recevoir les leçons des maîtres les plus h
nt valu, sans qu’il y songeât, une durable réputation281. Il mourut à Paris en 1741. Rollin fait hommage de son Traité des
elui de Louis XIV. Né en effet le 20 février, 1694 à Châtenay près de Paris , il ne mourut qu’en 1778, à Paris. Émule, dans la
20 février, 1694 à Châtenay près de Paris, il ne mourut qu’en 1778, à Paris . Émule, dans la prose, des maîtres de notre époqu
taquèrent Rocroy, et ils crurent pénétrer bientôt jusqu’aux portes de Paris , comme ils avaient fait huit ans auparavant334. L
ieuse retraite ; et, par une dernière faveur du sort, il s’éteignit à Paris , le 16 avril 1788, plein d’honneurs et de jours,
les ordres, mais ne remplit pas les fonctions du sacerdoce. Il vint à Paris en 1744 et s’attacha à M. de Boze, garde des méda
et que le lieutenant général était absent, Rotrou, qui se trouvait à Paris , s’empressa de retourner à Dreux pour remplir ses
d’être malheureux582. Molière (1622-1673.) [Notice.] Né à Paris en 1622, Molière, après de bonnes études terminée
écrire650. Boileau (1636-1711.) [Notice.] Boileau, né à Paris en 1636, avait commencé par se faire recevoir avo
hocle, et, seul de tant d’esprits, De Corneille vieilli sais consoler Paris , Cesse de t’étonner si l’envie animée, Attachant
âta sa mort. Né à la Ferté-Milon le 21 décembre 1639, il s’éteignit à Paris le 22 avril 1699. Ses cendres reposent aujourd’hu
faire747. J.-B. Rousseau (1671-1741748.) [Notice.] Né à Paris en 1671, J.-B. Rousseau, qui étendit et agrandit
éablement vous me voyez surpris. J’accepte le projet. Mais est-elle à Paris , Votre fille ? LYCANDRE.                        S
temps qu’il était né dans le petit village de Château, peu distant de Paris  : il est établi maintenant qu’il naquit à Paris m
âteau, peu distant de Paris : il est établi maintenant qu’il naquit à Paris même, le 20 février 1694, dont il demeura éloigné
4. Nous avons suivi l’édition in-folio des Œuvres de Balzac, 2 vol., Paris , 1665. — Parmi ceux qui se sont occupés spécialem
tin Epist., classis III, cciv, tome II, p. 1161 de l’édition donnée à Paris en 1836 ; cf. ibid., p. 167. 47. Voy le pro Milo
contente de passer un mois dans un tel tracas : quand je suis hors de Paris , ajoute-t-elle, je ne veux que la campagne ». 85
embre 1687), des obligations infinies. Livry est à peu de distance de Paris . 91. Par un billet du marquis de Vaubrun a Louvo
ut s’y asseoir. » 198. De même Boileau, dans sa IXe satire : Tout Paris pour Chimène a les yeux de Rodrigue. 199. On p
harangue latine que rappelle ici Rollin se trouve dans ses Opuscules, Paris , in-8º, 1807, t. II, p. 144 et suiv. Elle se rapp
ouvent fait remonter jusqu’à Charlemagne l’origine de l’Université de Paris , dont le véritable fondateur fut Philippe Auguste
eur, dit Voltaire au chap. ii du Siècle de Louis XIV, avait chassé de Paris la moitié de ses habitants, et le cardinal de Ric
maison autrichienne, avait été réduit à taxer les portes cochères de Paris à fournir chacune un laquais pour aller à la guer
68 (1853) Exercices de composition et de style ou sujets de descriptions, de narrations de dialogues et de discours
nt. Pendant la nuit de la Saint-Barthélemi, tous deux se trouvaient à Paris . Vesins dit à ses amis qu’il se charge du meurtre
Il ne faut pas s’étonner que Vesins et ses compagnons soient allés de Paris au fond du Quercy sur les mêmes chevaux, dans un
d’Alexandrie. Il allait échanger cette dignité pour celle d’évêque de Paris , lorsque la mort l’enleva, eu 1355, à l’âge de 44
urs de Henri IV aux chefs de son armée. Sujet. Henri IV assiégeait Paris pour la seconde fois en 1590. Paris s’opiniâtrait
ée. Sujet. Henri IV assiégeait Paris pour la seconde fois en 1590. Paris s’opiniâtrait à le repousser. Les chefs de l’armé
qu’il serait facile, surtout à des guerriers aussi braves, de prendre Paris dénué de secours et fatigué par un long siège : i
e modérer dans l’intérêt de l’humanité et dans celui de la France. Si Paris était pris d’assaut, comment retenir la fureur du
riront leurs portes à leur roi, à leur père. Dans le premier siège de Paris , en 1589, Henri IV et ses officiers avaient fourn
ers avaient fourni des vivres aux assiégés, tourmentés par la famine. Paris ouvrit ses portes à Henri IV le 22 mars 1594.
e Raoul à Charles Le Gros (887). Sujet. Les Normands26 ont assiégé Paris pendant deux ans avec un acharnement incroyable ;
6 ont assiégé Paris pendant deux ans avec un acharnement incroyable ; Paris les a repoussés avec une admirable valeur. Mais l
excita une horreur générale. Constance, mûre de la victime, courut à Paris demander vengeance au roi de France, Philippe-Aug
révolte devint générale, et Henri III fut assassiné à son tour devant Paris , qu’il assiégeait. Sujet et plan. Le roi vient de
dans la Gazette des Tribunaux du 24 juin 1836 : Conseil de guerre de Paris . « Un jeune homme au teint brun foncé, cheveux co
e de route pour venir en liberté rejoindre son régiment en garnison à Paris . Le colonel l’a fait arrêter et traduire comme pr
69 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Napoléon Ier , 1769-1821 » pp. 428-446
plaines de la Champagne, domine dans leurs conseils. Si ce n’est plus Paris qu’ils veulent brûler et renverser jusque dans se
elle écoute les furibonds qui, il y a quatorze ans, voulaient prendre Paris , et qui aujourd’hui l’ont embarquée dans une guer
Son élection à l’Institut Au président de l’Institut national Paris , 6 nivose an VI (26 décembre 1797). Le suffrage
70 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « À mes anciens élèves de l’école militaire de Paris. » pp. -
À mes anciens élèves de l’école militaire de Paris . Mes chers anciens Élèves, Voici une nouvelle
71 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — A — article »
a ligue. Il étoit toujours à la tête des sorties, pendant le siége de Paris . Il fut tué, en 1591, en voulant surprendre la vi
72 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — La Bruyère. (1646-1696.) » pp. 91-100
1636 par les Impériaux, dans la guerre de Trente ans. 3. Autrefois à Paris les rues se fermaient avec des chaînes de fer, do
der. Voy dans ce volume le morceau de Retz, intitulé : Une sédition à Paris , page 25. 4. Pour coalition. 5. Ou le Diable.
73 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Descartes, 1596-1650 » pp. 11-20
du duc de Bavière (1617-1619). Jaloux de son indépendance, il quitta Paris en 1629 pour se retirer en Hollande, où il séjour
igueur du climat. Ses restes, rapportés en France en 1667, reposent à Paris , dans l’église de Saint-Étienne-du-Mont. Il fut u
74 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Bernardin de Saint-Pierre, 737-1814 » pp. 357-367
re publique de Soissons, et nous la quittâmes à dix lieues et demi de Paris , au-dessus de Dammartin. On nous dit que de là à
orale. 3. Il était si pauvre alors qu’il lui fallait aller à pied de Paris à Versailles et en revenir de même. 1. Il logeai
75 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — C — article » p. 409
Colbert (Jean-Baptiste), marquis de Seignelai, né à Paris en 1619, le plus grand ministre des finances qu’a
76 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Avis du libraire sur cette nouvelle édition » pp. -
an xi (1802), Sa Majesté Impériale et Royale, visitant le Prytanée de Paris , ordonna l’usage de ces Principes Généraux des Be
77 (1879) L’art d’écrire enseigné par les grands maîtres
int de roi, de pape, d’évêques ; mais auguste monarque, etc. Point de Paris  ; capitale du royaume. Il y a des lieux où il fa
de Paris ; capitale du royaume. Il y a des lieux où il faut appeler Paris , Paris ; et d’autres où il le faut appeler capita
is ; capitale du royaume. Il y a des lieux où il faut appeler Paris, Paris  ; et d’autres où il le faut appeler capitale du r
re touché de quelque chose de médiocre ; puis il vient au jugement de Paris . Junon, dit-il, lui promettait l’empire de l’Asie
inerve, la victoire dans les combats ; Vénus, la belle Hélène ; comme Paris ne put (poursuit-il), dans ce jugement, regarder
s mêmes s’étaient soumises. « Je m’étonne, dit-il encore en faveur de Paris , que quelqu’un le trouve imprudent d’avoir voulu
dinage. Mais son récit on frondera : A la cour on murmurera ; Et dans Paris on me prendra Pour un vieux conteur de voyage, Qu
ns vos écrits Le dieu du Goût vous accompagne, Faites tous vos vers à Paris , Et n’allez point en Allemagne. Puis, me faisant
crèce, né à Rome, embellissait Épicure en latin, son adversaire, né à Paris , devait le combattre en français. Enfin, après be
r sont, ou ceux mêmes que nous avons tenus enfermés si lâchement dans Paris , ou gens qui ne valent pas mieux et qui auront pl
ique, et son goût non encore épuré dans sa satire sur les embarras de Paris , où il peint des chats dans les gouttières ? L’u
n citoyen de Londres pourront ne faire aucun effet sur un habitant de Paris  ; les Anglais tireront plus heureusement leurs co
endant, il a souvent le courage de donner la préférence au théâtre de Paris sur celui de Londres ; il fait sentir les défauts
eux, je n’ai pas le temps d’avoir du goût. » Dans une ville telle que Paris , peuplée de plus de six cent mille personnes, je
re dramatique, ce qui est si rare, et qui doit l’être ; on dit : Tout Paris est enchanté ; mais on en imprime trois mille exe
ations les plus éclairées et les plus grossières ; car le vulgaire de Paris n’a rien au-dessus d’un autre vulgaire ; mais il
re de Paris n’a rien au-dessus d’un autre vulgaire ; mais il y a dans Paris un nombre assez considérable d’esprits cultivés p
doutent si la statue équestre qui est dans la cathédrale gothique de Paris est de Philippe de Valois ou de Philippe le Bel.
e cheveux Que reçut don Fernand pour arrhes de mes vœux Le peuple de Paris a changé arrhes en erres : des erres au coche : d
es mains l’annonce imprimée d’un marchand de ce qu’on peut envoyer de Paris en province pour servir sur table. Il commence pa
gé à un Français ou à un François qui avait ou qui a toit été élevé à Paris dans le centre du bon goût, mais qui s’est un peu
; je vous aimerai toute ma vie. A M. de Vauvenargues87, à Nancy. Paris , le 16 avril 1743. J’eus l’honneur de dire hier
nts que vous méritez, Monsieur, votre, etc. Voltaire. Au même. A Paris , le 17 mai. J’ai tardé longtemps à vous remercie
du petit nombre d’hommes de goût et de génie qui restent encore dans Paris , et qui méritent de vous lire. Mais, plus j’admir
rédigés par Chapelain. 20. Bouhours, jésuite, habile critique né à Paris en 1628, mort en 1703: principaux ouvrages : Entr
e regrette sont rentrés dans la langue. 48. Ces deux rondeaux, selon M. Paulin Paris , ont été composés à la fin du seizième siècle ou
66. Acte III, sc. III. 67. Etienne Jodelle, sieur du Lymodin, né à Paris , mort en 1573, auteur de tragédies imitées des Gr
elon, Lettres sur l’éloquence, tome II, § VI, pages 238 et suivantes, Paris , 1821. 100. Tragédie de Voltaire 101. Il faut
78 (1867) Rhétorique nouvelle « Troisième partie. la rhétorique » pp. 194-
erroir. Nous avons vu des gens distingués, mêlés au meilleur monde de Paris , séjourner trente ou quarante ans dans cette vill
jourd’hui les chemins de fer versent continuellement la province dans Paris , et Paris dans la province ; en sorte qu’on peut
les chemins de fer versent continuellement la province dans Paris, et Paris dans la province ; en sorte qu’on peut prévoir le
sorte qu’on peut prévoir le temps où il n’y aura plus ni province ni Paris . Cicéron nous dit qu’on ne parlait le pur latin q
avaient pas dû parler autrement. Je suppose qu’on trouverait encore à Paris quelque Lélia parmi les femmes du peuple, les bou
79 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — M — article » p. 417
auteur cité, année 1659.) Mazarin mourut en 1661, après avoir fondé à Paris un collège qui porte son nom, et qui est appelé a
80 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — V — article » p. 425
sque les alliés commandés par le prince Eugène, menacèrent de venir à Paris , il sauva la France, en forçant leurs retrancheme
81 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Notes pour l’intelligence des exemples cités dans ce second volume. »
blissait de jour en jour, il se rembarqua, le 6 novembre. Il mourut à Paris en 1709. Crœsus, roi de Lydie dans l’Asie mineur
Eugène ( François de Savoie, plus connu sous le nom de prince), né à Paris en 1663, d’Eugène Maurice de Savoie et d’Olympe M
çu maitre des requêtes à 20 ans, et procureur-général du Parlement de Paris à 55, il fut nommé surintendant des finances, en
ependant il mourut assassiné, en 1610 dans la rue de la Ferronnerie à Paris . Hercule, surnommé Alcide, parce qu’il descendai
82 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre III. » p. 77
net de Presle, Recherches sur les établissements des Grecs en Sicile ( Paris , 1845), p. 79, 80. Chionidès.] Les manuscrits por
83 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) «  Chapitre XXIV. des figures. — figures par rapprochement d’idées opposées  » pp. 339-352
dit que le tumulte et les cris, le sang ruisselait de tous côtés dans Paris  ; on trouvait le fils assassiné sur le corps de s
i point le tumulte et les cris, Le sang de tous côtés ruisselant dans Paris  ; Le fils assassiné sur le corps de son père Le f
84 (1853) Éléments de la grammaire française « Éléments de lagrammaire française. — Chapitre premier. Première espèce de mots.  » p. 6
nvient qu’à une seule personne ou à une seule chose, comme Adam, Ève, Paris , la Seine, etc.1.   12. — Dans les noms, il faut
85 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XVIII. » pp. 115-116
t de Græfenhan : ὁμαλὁν  Batteux avait lu ce mot dans un manuscrit de Paris   — 2° Vahlen (1874) lit τερατῶδες au lieu de τέτα
86 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Première section. Des genres secondaires de poésie — CHAPITRE PREMIER. Du genre léger on des poésies fugitives » pp. 75-95
monument public, est celle qui est gravée à l’entrée de l’arsenal de Paris  : Ætna hæc Henrico Vulcania tela ministrat, Tela
suivant, qui se trouve au-dessus de la porte du tribunal criminel de Paris , n’est pas moins remarquable : Hic pœnæ scelerum
87 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XXI. » pp. 120-121
De la formation et de la composition des mots dans la langue grecque ( Paris , 1840), § 290-295. D’ornement.] On s’étonne de ne
88 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Première partie. Principes de composition et de style. — Principes de rhétorique. — Chapitre III. »
sauvée, la gloire des vainqueurs. Un capitaine français avait amené à Paris un jeune sauvage d’O-taïti : il le conduisit au J
89 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Bonaventure Desperriers. Mort en 1544 » pp. -
ouvelle. Un jeu de mots Un homme, devisant1 avec une femme de Paris , laquelle se vantoit d’estre la maistresse, luy d
90 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre IV. des topiques ou lieux. — lieux applicables a l’ensemble du sujet. » pp. 48-63
i environne la Rome moderne est dépeint de même dans l’ Itinéraire de Paris à Jérusalem. Le rapprochement est curieux entre c
ond Lulle, avec toutes les figures de rhétorique, par le sieur Jacob. Paris , 1655. C’est un petit livre assez curieux.
91 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Rabelais, 1483-1553 » pp. -
histoire est empruntée aux épigrammes latines de Nicolas Barthélemy, Paris , 1532. 15. Les receveurs percevaient les impôts,
sur ses épaules. Il eut jadis une statue à l’entrée de Notre-Dame de Paris 6. Énée emporta son père Anchise lors de la pris
92 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Michel de Montaigne, 1533-1592 » pp. -
ay esté d’advis de vous présenter ce petit ouvrage. (Lettres, v.) Paris et Montaigne Ie ne me mutine1 iamais tant con
Ie ne me mutine1 iamais tant contre la France, que ie ne regarde Paris de bon œil. Elle2 a mon cœur des mon enfance. Et
93 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XX. » pp. 117-119
les ingénieuses observations de Letronne sur les Noms propres grecs ( Paris , 1846), IIe partie. Il marche.] Exemple familier
94 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — De la Poétique » pp. 2-4
ant de force que d’élégance. Boileau. Enfin, Boileau-Despréaux, né à Paris , en 1636, et mort dans la même ville en 1711, a f
95 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Lettre. A un ancien Elève de l’Ecole Militaire de Paris. » pp. 375-399
Lettre A un ancien Elève de l’Ecole Militaire de Paris . J E ne saurois trop m’empresser, mon cher anc
dans son état actuel de foiblesse et de corruption. Je suis, etc. A Paris , ce….. (a). Emile, Liv. 4. (a). Esprit des
96 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XXIII. » pp. 124-127
ère, Apollonius de Rhodes  Fauriel, Histoire de la Poésie provençale ( Paris , 1846)  etc. Le combat naval de Salamine, etc.] V
97 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Henri IV, 1553-1610 » pp. -
l rendit publique la bibliothèque royale, il rétablit l’Université de Paris , il fonda le collége de France, il y institua un
98 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Jean-Baptiste Rousseau 1670-1741 » pp. 441-444
égraderont Virgile : Car il n’est point d’auteur si désolé5 Qui dans Paris n’ait un parti zélé ; Rien n’est moins rare. Un s
99 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section quatrième. Genre Démonstratif. Les Panéryriques. — Chapitre VII. Éloge funèbre des officiers morts dans la guerre de 1744, par Voltaire. »
u ciel des frères, des époux, des enfants. Les paisibles habitants de Paris se rendent le soir au spectacle, où l’habitude le
100 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Michel de L’Hospital, 1505-1573 » pp. -
approfondit la jurisprudence. Nommé auditeur de rote à Rome, ramené à Paris par le patronage du cardinal de Grammont, il dut
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