Commentaire sur les extraits des problèmes
Chap.
i. — Se font-ils jouer ?] Αὐλοῦνται. Je n’ai pas
trouvé un second exemple de ce verbe ainsi employé à la voix moyenne.
Chap.
xliii. — De deux éléments agréables.] Nous lisons
tyle d’Aristote voy. encore la Politique, VIII, 6, § 5, et plus bas,
chap.
v. Ce sens du mot θεωρεῖν paraît avoir échappé au
t à τοὺς φθόγγους. Il est donc inutile de lire αὐτῆς avec M. Bojesen.
Chap.
ix. — Une flûte.] Peut-être lisait-on primitiveme
la critique. Les mêmes notes, etc.] Cf. Platon, Lois, VII, p.812, D.
Chap.
x. — Lorsque l’on fredonne.] Pollux (IV, 10), Sui
e τό avant τερετίζειν suffit d’ailleurs à justifier notre traduction.
Chap.
xxix. — C’est la même observation qui est dévelop
n. Chap. xxix. — C’est la même observation qui est développée dans le
chap.
xxvii. Il y a dans les Problèmes beaucoup d’exemp
p d’exemples de ces répétitions on en trouvera plus bas deux autres,
chap.
v et xl, xxviii et xv. Quant à la comparaison mêm
le et ceux des autres sens, on la retrouve dans la Politique, VII, 5.
Chap.
xxvii. — J’ai placé ce problème après le précéden
intilien, II, p. 64 : Ἡ μουσιϰὴ πρᾶξιν ῥυθμοῖς ϰαὶ ϰιγήσεσι μιμεῖται.
Chap.
xxxviii. — La nature elle-même, etc.] Même observ
viii. — La nature elle-même, etc.] Même observation dans la Poétique,
chap.
iv, et dans la Politique, VIII, 5. La variété du
401 et suiv. Au reste le sens de tout ce passage est fort incertain.
Chap.
xx. — Si l’on change.] Κινήση. Aristide Quintilie
.] Καὶ μάλιστα τῶν ϰαλῶν. Tournure analogue dans la Rhétorique, I, 1.
Chap.
v. — C’est un plaisir pour l’auditeur.] Voy. sur
, plaisir souvent analysé par Aristote : Problèmes, XIV, 3 Poétique,
chap.
iv (voyez plus haut, p. 74) etc. En traduisant μ
τὸ θεωρεῖν ἤ τὸ μανθάνειν], et il renvoie au traité De la Sensation,
chap.
iv : Οὐ γὰρ ϰατὰ τὸ μανθάνειν, ἀλλὰ ϰατὰ τὸ θεωρε
άνεσθαι. Par l’habitude.] Même observation dans la Rhétorique, I, 11.
Chap.
xl. — Il accompagne.] Συνᾴδει est ordinairement e
acataloge.] Comparez, pour plus de détails, Plutarque, De la Musique,
chap.
xxviii, et Athénée, XIV, p. 635-636. Chap. xxviii
Plutarque, De la Musique, chap. xxviii, et Athénée, XIV, p. 635-636.
Chap.
xxviii. — Plutarque explique le sens de νόμος par
ce qui ne veut pas dire qu’elles étaient en vers (Des Lois, II, 23).
Chap.
xv. — Des acteurs, etc.] On sait que les chanteur
ens, furent d’abord έθελονταί. Voyez Rhétorique, III, 7, et Poétique,
chap.
v. A ceux qui restent dans leur propre caractère.
s » qui sont le propre signe des héros du drame. La dernière ligne du
chapitre
semble appuyer cette conjecture. C’est un nombre
st un nombre.] Voyez Denys d’Halicarnasse, De l’Arrangement des mots,
chap.
xix. Une mesure identique.] Ἑνὶ μετρεῖται. Même e
entique.] Ἑνὶ μετρεῖται. Même expression dans la Morale Nicom., V, 8.
Chap.
xxx. — Ne comportent pas l’antistrophe.] C’est-à-
tent pas l’antistrophe.] C’est-à-dire : sont moins lyriques. Voyez le
chap.
xlviii. Chap. xlviii. — Sur ces divers modes, con
istrophe.] C’est-à-dire : sont moins lyriques. Voyez le chap. xlviii.
Chap.
xlviii. — Sur ces divers modes, consulter la Noti
, ce qui confirme encore la conjecture exposée ci-dessus, à propos du
chap.
xv. Le Géryon.] Voyez les Fragments des Tragiques
arques sont confirmées par un temoignage de Plutarque, De la Musique,
chap.
xvi, d’après lequel ce fut Sappho qui apprit aux
que, v. 193 et suiv. : …..Ille bonis faveatque et consilietur amice.
Chap.
xxxi. — Phrynichus.] C’est en effet un des auteur
Chapitre
XX. Ammonius, dans son commentaire sur le Trait
son commentaire sur le Traité d’Aristote περὶ Ἑρμηνείας, renvoie à ce
chapitre
de la Poétique, pour en tirer d’ailleurs des conc
ement littéraire que grammatical, nous bornerons nos remarques sur ce
chapitre
et sur le suivant aux éclaircissements les plus i
ticales dans l’antiquité, et les ouvrages cités dans les notes sur le
chap.
vii, § 1, des Notions élémentaires de Grammaire c
opiques, IV, 5 VI, 5 cf. Sextus Empiricus, Contre les grammairiens,
chap.
v. Sans articulation.] « Sans le secours d’aucune
ette expression dans Denys d’Halicarnasse, De l’Arrangement des mots,
chap.
xiv. Entre les deux.] Cf. Rhétorique, III, 1 Réf
p. xiv. Entre les deux.] Cf. Rhétorique, III, 1 Réfut. sophistiques,
chap.
xxi Topiques, I, 15. On pense généralement qu’Ar
e d’Aphrodise, dans son commentaire sur les Réfutations sophistiques,
chap.
iv, à propos de la leçon τὸ μὲν οὐ ϰαταπύθεται ὄμ
ὸ μὲν οὐ ϰαταπύθεται ὄμϐρῳ, dans un vers d’Homère discuté ci-dessous,
chap.
xxv de la Poétique, prétend que par βαρβῖα Aristo
prem., I, 4 Métaphysique, X, 12. Le nom.] Voy. Aristote, Du Langage,
chap.
ii et iii, et le ch. xxi de la Poétique. Dans Thé
chez Aristote des observations semblables dans le traité Du Langage,
chap.
ii et iv. Voyez sur la finale δωρος dans les mots
familier à Aristote. Voy. : Rhétorique, III, 2 Réfut. sophistiques,
chap.
xxii Métaph. IV, 7 etc. Il en est de même du no
ité plus bas. Voyez : Rhétorique, II, 2 III, 5 Réfut. sophistiques,
chap.
xxxii Métaph. VI, 15 IX, 5 etc. (exemples réun
ϰαὶ ὁ αὑτανεψιός χαὶ ὁ υίδοὺς ϰαὶ ὁ ἀδελφιδούς. Cf. Denys le Thrace,
chap.
xiv et xv, et le commentaire. L’oraison est une.]
ans un passage d’où Ritter conclut à tort contre l’authenticité de ce
chapitre
. — La comparaison de l’Iliade avec la définition
56-280, a défendu contre les critiques de Ritter l’authenticité de ce
chapitre
.
Résumé.
Chapitre
premier. La rhétorique est l’art de communique
osition à laquelle se rattache l’étude et l’imitation des modèles.
Chapitre
II. Les facultés innées indispensables à la rh
écrits, et les exercices de composition graduellement distribués.
Chapitre
III. Dès que l’élève a ajouté par ces moyens a
puérile ; Tout sujet qui ne présente pas un intérêt assez général.
Chapitre
IV. Le sujet une fois choisi, il reste à le dé
t suivie d’une synthèse ; Ou elle est placée entre deux synthèses.
Chapitre
V. Ensuite, les lieux internes applicables seu
si l’on emploie ceux d’entre eux qui peuvent lui être applicables.
Chapitre
VI. L’étude des mœurs et des passions n’est pa
c ses auditeurs ou ses lecteurs, ce qui constitue les bienséances.
Chapitre
VII. L’étude des mœurs considère l’individu da
passion, ne pas en abuser et l’éviter là où elle serait déplacée.
Chapitre
VIII. Quand on a trouvé toutes ou presque tout
t l’élève à reconnaître et à reproduire lui-même cet enchaînement.
Chapitre
IX. Les règles ayant pour principes la satisfa
ses parties, pour le commencement, le milieu et la fin d’un écrit.
Chapitre
X. Le commencement ou début d’un ouvrage doit
anger au sujet, ou même disparate dans ses rapports avec le sujet.
Chapitre
XI. Après l’exorde, on entre dans le sujet mêm
u’à faire agir et parler les êtres animés et inanimés, prosopopée.
Chapitre
XII. La description des personnes, nommée auss
espèces d’amplification, celle qui agrandit, et celle qui atténue.
Chapitre
XIII. Quand la narration et les genres que nou
connaître ces divisions sans leur donner une importance exagérée.
Chapitre
XIV. Enfin, il est des règles pour terminer l’
pour les mieux graver dans l’esprit des auditeurs et des lecteurs.
Chapitre
XV. La troisième et dernière partie de la rhét
elle est susceptible, et que l’on comprend sous le nom de figures.
Chapitre
XVI. Les qualités essentielles de l’élocution
é. Elle évite aussi le purisme qui est l’exagération de la pureté.
Chapitre
XVII. La propriété consiste à employer toujour
hase, l’afféterie, et l’abus de ce qu’on appelle le style soutenu.
Chapitre
XVIII. Enfin, la dernière qualité essentielle
rte, l’écho du sens, et que tous les grands écrivains ont étudiée.
Chapitre
XIX. Outre ces qualités essentielles à toute e
entiment et de toute idée qui élève l’homme au-dessus de lui-même.
Chapitre
XX. Dans les ouvrages qui appartiennent au gen
ys et les siècles, et, en mainte occasion, n’est point admissible.
Chapitre
XXI. Il a été dit qu’outre les qualités essent
igures par changement des formes de l’idée, mutation ou inversion.
Chapitre
XXII. Les figures de la première classe, consi
res il faut surtout respecter toujours le goût et les convenances.
Chapitre
XXIII. Après avoir distingué parmi les tropes,
, l’autre disant précisément le contraire de ce qu’elle veut dire.
Chapitre
XXIV. Toutes les figures dont on vient de parl
avoir fait la demande, on fait la réponse, au lieu de l’attendre.
Chapitre
XXV. Si le rapprochement des idées semblables
mots qui régulièrement devraient toujours en accompagner d’autres.
Chapitre
XXVI. Enfin on range parmi les figures certain
Chapitre
XXV. Voici encore un chapitre évidemment incomp
Chapitre XXV. Voici encore un
chapitre
évidemment incomplet, et cependant si plein de mi
tre le mot propre en pareil cas. Aristote, Sur la Marche des Animaux,
chap.
xiv : προϐεϐτηϰότα (ζῷα) ϰατά διάμετρον ϰαὶ οὐ το
Albert Dumont, dans son ouvrage sur Le Balkan et l’Adriatique (1873),
chap.
v, a fait de nombreux rapprochements entre les mœ
» Δίδομεν δέ οί.] Même discussion dans les Réfutations sophistiques,
chap.
iv. Tὸ μὲν οὐ ϰαταπύθεται ὄμϐρῳ.] Il s’agit, dans
7 le scholiaste de l’Iliade, XI, 741 cf. Plutarque, Vie de Thésée,
chap.
xii, et les Fragments des Tragiques, p. 621-624 d
té des termes, 6° à l’usage, et il compare fort à propos cette fin du
chapitre
xxv avec le chapitre iv des Réfutations sophistiq
’usage, et il compare fort à propos cette fin du chapitre xxv avec le
chapitre
iv des Réfutations sophistiques ce qui ne l’empê
Réfutations sophistiques ce qui ne l’empêche pas de regarder tout ce
chapitre
xxv comme une interpolation.
Chapitre
XVII. Se mettre à la place du spectateur.] Comp
pendant que ce dernier mot est employé seul et dans ce sens absolu au
chap.
xxv. Se placer dans la situation des personnages.
c.] Même observation dans la Rhétorique, III, 7 cf. Physiognomonica,
chap.
iv Horace, Art poétique, v. 101-113 etc. Nature
ond bien à μανιϰοῦ et que confirme un texte des Problèmes, livre XXX,
chap.
i. Bekker a conservé ὲξεταστιϰοί, qui paraît être
xii e.) Polyidus.] C’est le sophiste poëte dont il a été question au
chap.
précédent. Diodore de Sicile, XIV, 46, le fait fl
les préceptes d’Aristote sur ce sujet. La Poétique de la Mesnardière,
chap.
v, mérite aussi d’être comparée avec ce chapitre.
ique de la Mesnardière, chap. v, mérite aussi d’être comparée avec ce
chapitre
.
Chapitre
XXVI. La moins chargée.] Ἠττον φορτιϰή. « Celle
des moyens grossiers de produire l’intérêt. Voyez plus haut la fin du
chap.
vi et le commencement du chap. xiv. Il se plaint
e l’intérêt. Voyez plus haut la fin du chap. vi et le commencement du
chap.
xiv. Il se plaint ailleurs (chap. xiii du mauvais
n du chap. vi et le commencement du chap. xiv. Il se plaint ailleurs (
chap.
xiii du mauvais goût des auditeurs. Cette plainte
Politique VI, 4 Histoire des Animaux, V, 19 Questions de mécanique,
chap.
viii. La Scylla.] Voyez plus haut, chap. xv. Myni
19 Questions de mécanique, chap. viii. La Scylla.] Voyez plus haut,
chap.
xv. Myniscus.] Ou Mynniscus, de Chalcis, acteur c
sique. Cf. plus haut, p. 70. Sur la rhapsodie, voyez Denys le Thrace,
chap.
vi, et ses commentateurs. Sosistrate et Mnasithée
crit de la Bodléienne à Oxford ; mais celles-ci ne concernent que les
chapitres
XV et XVI du dernier livre de la Rhétorique. Elle
t de beaucoup que l’on puisse adopter cette opinion après avoir lu le
chapitre
très complet où Ch. Thurot a examiné la question.
sous un texte obscur ! Venise, 26 septembre 1882. La Poétique
Chapitre
premier La poésie consiste dans l’imitation. —
s qui existent entre les arts, quant à la pratique de l’imitation.
Chapitre
II Différentes sortes de poésie, selon les obj
res, celle-là des êtres meilleurs que ceux de la réalité actuelle.
Chapitre
III Différentes sortes de poésie, selon la man
r le nombre et la nature des différences que comporte l’imitation.
Chapitre
IV Origine de la poésie. — Divisions primitive
grande affaire que de nous arrêter à chaque détail en particulier.
Chapitre
V Définition de la comédie ; ses premiers prog
ux que renferme celle-ci ne se rencontrent pas tous dans l’épopée.
Chapitre
VI Définition de la tragédie. — Détermination
reil scénique, c’est plutôt l’art du costumier que celui du poète.
Chapitre
VII De l’étendue de l’action. I. Tout cela u
u heureux puis malheureux, il y a juste délimitation de l’étendue.
Chapitre
VIII De l’unité de l’action. I. Ce qui fait
trace sensible, n’est pas une partie (intégrante) de cet ensemble.
Chapitre
IX Comparaison de l’histoire et de la poésie.
ement que les fables conçues dans cet esprit sont les plus belles.
Chapitre
X De l’action simple et de l’action complexe.
t à cause de tel autre fait, et un fait produit après tel autre41.
Chapitre
XI Éléments de l’action complexe : péripétie,
ffrances, les blessures et toutes les autres choses de ce genre49…
Chapitre
XII Divisions de la tragédie. I. Pour ce qui
nsidérer sous le rapport de leur quantité et de leurs divisions53.
Chapitre
XIII Des qualités de la fable par rapport aux
sur la fin de la pièce, et personne ne donne ni ne reçoit la mort.
Chapitre
XIV De l’événement pathétique dans la fable. —
tution des faits et sur les qualités que doivent avoir les fables.
Chapitre
XV Des mœurs dans la tragédie. — De ce qu’il c
samment expliqué là-dessus dans les livres précédemment publiés71.
Chapitre
XVI Des quatre formes de la reconnaissance.
; après celles-là viennent celles qui se tirent d’un raisonnement.
Chapitre
XVII Il faut se pénétrer du sujet que l’on met
est inhérent au sujet du drame, mais les autres sont des épisodes.
Chapitre
XVIII Du nœud et du dénouement. Il faut éviter
morceau ou un épisode tout entier emprunté à quelque autre pièce ?
Chapitre
XIX De la pensée et de l’élocution. I. Nous
ient plaire par eux-mêmes, et non par l’enchaînement du discours ?
Chapitre
XX Des éléments grammaticaux de l’élocution.
inition de l’homme l’est en ce sens qu’elle désigne un seul objet.
Chapitre
XXI Des diverses espèces de noms. I. Les esp
utres) se terminent sur ces voyelles (Α, Ι, et ϒ), sur Ν et sur Σ.
Chapitre
XXII De l’emploi de la glose, de la métaphore,
s parlé, c’est-à-dire le terme propre, la métaphore et l’ornement.
Chapitre
XXIII De la composition épique. I. Voilà qui
la prise de Troie, le Départ de la flotte, Sinon et les Troyennes.
Chapitre
XXIV Comparaison de l’épopée avec la tragédie.
n style trop brillant fait pâlir l’effet des mœurs et des pensées.
Chapitre
XXV Objections faites au style poétique. — Sol
les explications qui précèdent ; or elles sont au nombre de douze.
Chapitre
XXVI La composition épique est-elle supérieure
t traiter un nouveau point de l’art poétique. Il est probable que les
chapitres
suivants étaient relatifs à la comédie, puis à la
omédie, puis à la poésie dithyrambique et aux nomes ou chansons. (Cp.
chap.
ii, §§ 1 et 7.) — Aristote lui-même vise, dans la
mbien il y avait d’espèces de choses risibles. » (Rhétorique, l. III,
chap.
xviii.) Les fragments dont on va lire la première
er. — Voir aussi Egger, Commentaire sur la Poétique, édition de 1876,
chapitre
V. — Diogène de Laërte (V, 1, 12) donne deux livr
le a pour mère le rire178. La Rhétorique Livre premier
Chapitre
premier Rapports de la rhétorique et de la dia
chose qu’à mettre le juge dans tel ou tel état d’esprit. Mais, sur le
chapitre
des preuves oratoires, ils n’expliquent rien, et
son principe ; après quoi, nous nous occuperons de tout le reste.
Chapitre
II Définition de la rhétorique. La vraisemblan
chacun d’eux, les éléments et les propositions qui s’y rattachent.
Chapitre
III Des trois genres de la rhétorique : le dél
délibération, ou discours démonstratif, ou enfin cause judiciaire.
Chapitre
IV Principales propositions propres au genre d
ordre de questions et sur les autres, c’est le moment d’en parler.
Chapitre
V Quel but on doit se proposer quand on consei
cas216, les arguments sont pris pour tout cela en sens contraire.
Chapitre
VI De l’honnête et de l’utile. I. Comme le b
à où l’on doit prendre les preuves relatives au bien et à l’utile.
Chapitre
VII Du bien préférable et du plus utile. I.
on doit emprunter les preuves, pour exhorter comme pour dissuader.
Chapitre
VIII Du nombre et de la nature des divers gouv
st le sujet d’une explication approfondie dans les Politiques 240.
Chapitre
IX De la vertu et du vice. Du beau et du laid
ntraires. En effet, le blâme consiste dans les arguments inverses.
Chapitre
X De l’accusation et de la défense. Du nombre
ront, sur le point à définir, ni obscures, ni trop minutieuses257.
Chapitre
XI Des choses agréables. I. Établissons que
s pénibles, elles sont, manifestement, prises dans les contraires.
Chapitre
XII Quels sont les gens qui font du tort, quel
ême, les personnes qu’il atteint et les motifs qui le déterminent.
Chapitre
XIII La loi naturelle et la loi écrite. — Des
éterminés les points relatifs à la question des choses équitables.
Chapitre
XIV Sur les causes d’un préjudice plus grave e
y avait à dire sur ce qui rend l’acte injuste plus ou moins grave.
Chapitre
XV Des preuves indépendantes de l’art. I. Ap
ions à dire sur les preuves indépendantes de l’art. Livre II
Chapitre
premier Comment on agit sur l’esprit des juges
des distinctions aux divers points de vue que nous venons de dire.
Chapitre
II De ceux qui excitent la colère ; des gens e
tant de ces gens contre lesquels on ne peut manquer d’être irrité.
Chapitre
III Ce que c’est que d’être calme ; à l’égard
u enfin comme ayant été grandement affligés de ce qu’ils ont fait.
Chapitre
IV Quelles sortes de personnes on aime et l’on
ction, de diriger (l’auditoire) vers la solution que l’on préfère.
Chapitre
V Qu’est-ce que la crainte et ce qui l’inspire
inspirent de la crainte et sur celles qui donnent de l’assurance.
Chapitre
VI De quoi avons-nous honte et n’avons-nous pa
ent que nous pourrons tirer un bon parti des arguments contraires.
Chapitre
VII Des personnes à qui l’on fait une faveur.
i est expliqué sur le fait d’accorder une faveur ou de la refuser.
Chapitre
VIII De la pitié. I. Quelles sont les choses
e l’épreuve subie par lui nous semble avoir eu lieu sous nos yeux.
Chapitre
IX De l’indignation. I. L’opposé de la pitié
pas l’obtenir, il deviendra impossible que la pitié soit excitée.
Chapitre
X De l’envie. I. On voit aisément quels moti
ssiront pas à exciter la pitié de ceux qui disposent de leur sort.
Chapitre
XI De l’émulation. I. Dans quel état d’espri
tre excitées et dissipées les passions dont se tirent les preuves.
Chapitre
XII Des mœurs. — De celles de la jeunesse. I
est une impertinence polie. Tel est le caractère des jeunes gens.
Chapitre
XIII Des mœurs de la vieillesse. I. Les viei
me et donner à ses discours une apparence conforme à ce caractère.
Chapitre
XIV Des mœurs de l’homme fait. I. Ceux qui s
avions à dire sur la jeunesse, la vieillesse et la force de l’âge.
Chapitre
XV Des mœurs des nobles. I. Parlons maintena
tement ; ainsi la descendance de Cimon, de Périclès et de Socrate.
Chapitre
XVI Des mœurs inhérentes à la richesse. I. Q
érance, qui les porte soit aux voies de fait, soit au libertinage.
Chapitre
XVII Des mœurs des puissants et des heureux.
emple, celles du pauvre, du malheureux, de l’homme sans puissance.
Chapitre
XVIII Des traits communs à tous les genres de
t des mœurs qui se rencontrent dans les divers gouvernements, dans le
chapitre
relatif aux discours délibératifs380 ; de sorte q
ement ; — enfin le possible et le futur aux discours délibératifs.
Chapitre
XIX Sur le possible et l’impossible. I. Parl
ura lieu ou non, enfin sur la grandeur et la petitesse des choses.
Chapitre
XX Sur les exemples, leurs variétés, leur empl
xemple peut suffire ; car un témoin sûr, fût-il unique, est utile.
Chapitre
XXI Sur la sentence, ses variétés, son emploi,
sa nature, ses diverses espèces, ses applications et son utilité.
Chapitre
XXII Des enthymèmes. I. Parlons maintenant d
ser, le point d’où il faudra partir pour combattre les enthymèmes.
Chapitre
XXIII Lieux d’enthymèmes. I. Il y a un lieu,
utant qu’il faut pour qu’on les connaisse dès qu’ils sont énoncés.
Chapitre
XXIV Lieux des enthymèmes apparents. I. Comm
dans aucun art, excepté l’art oratoire et celui de la controverse.
Chapitre
XXV Des solutions. I. C’est le moment, après
soudre, car tout devient dès lors évident par la démonstration487.
Chapitre
XXVI De l’exagération et de l’atténuation. I
ant à traiter de l’élocution et de la disposition. Livre III
Chapitre
premier De l’élocution. I. Comme il y a troi
Quant à l’autre, on en a parlé dans le traité sur la Poétique 506.
Chapitre
II Sur les qualités principales du style. I.
ver une juste mesure dans l’emploi de l’un ou de l’autre terme529.
Chapitre
III Sur le style froid. I. Les expressions s
mais il ne l’est pas, s’adressant à ce qu’elle est maintenant534.
Chapitre
IV Sur l’image. I. L’image est aussi une mét
(Mars)545. Tels sont les éléments dont se compose le discours546.
Chapitre
V Il faut parler grec. I. La principale cond
r causé, de partir puis je fis ceci et cela et de telle manière. »
Chapitre
VI Sur l’ampleur du style. I. Voici ce qui c
mple, de dire que (le son de) la trompette est un chant sans lyre.
Chapitre
VII Sur la convenance du style. L L’élocutio
comme le faisait Gorgias, ou comme on le voit dans le Phèdre 568.
Chapitre
VIII Sur le rythme oratoire. I. L’élocution
elles conditions ils la rendent telle, nous venons de l’expliquer.
Chapitre
IX Du style continu et du style périodique.
charme : Tantôt j’étais au milieu d’eux, tantôt auprès d’eux605.
Chapitre
X Sur les mots d’esprit. I. Ces explications
ogie et dans le fait mis devant les yeux, on vient de l’expliquer.
Chapitre
XI Mettre les faits devant les yeux. I. Il f
plus haut, elles ne conviennent pas dans la bouche d’un vieillard.
Chapitre
XII À chaque genre convient une diction différ
un d’eux en particulier. Il nous reste à parler de la disposition.
Chapitre
XIII De la disposition. I. Il y a deux parti
ions de ἐπούρωσις (impulsion)666, de digression et de rameaux 667.
Chapitre
XIV De l’exorde. I. L’exorde est placé au dé
ires685, débute immédiatement ainsi : « Élis, heureuse ville !… »
Chapitre
XV Des moyens de réfuter une imputation malvei
aleur. Voilà ce qu’il y avait à dire sur l’imputation calomnieuse.
Chapitre
XVI De la narration. I. La narration, dans l
roge celui qui cherche son fils, et encore l’Hémon de Sophocle701.
Chapitre
XVII Des preuves. I. Les preuves doivent êtr
l faut conclure des traités pendant que la fortune est prospère. »
Chapitre
XVIII De l’interrogation. — De la plaisanterie
en vue de soi-même, tandis que le bouffon s’occupe d’un autre718.
Chapitre
XIX De la péroraison. I. La péroraison (ἐπίλ
en paragraphes adoptée par Buhle, tout en conservant la division par
chapitres
consacrée par l’usage, division dont il ne se sép
l’usage, division dont il ne se sépare d’ailleurs qu’en dédoublant le
chapitre
Ier et en faisant commencer ici son chapitre II.
eurs qu’en dédoublant le chapitre Ier et en faisant commencer ici son
chapitre
II. 4. Manuscrits : διὰ φωνῆς. — Correction de M
chapitre II. 4. Manuscrits : διὰ φωνῆς. — Correction de Madius. Cp.
chap.
vii, 3 : διὰ τέχνην, ἢ διὰ φύσιν. D. Heinsius a p
mmentaire de M. Egger sur la Poétique, 2e édition, p. 76. 14. Cp. le
chapitre
xxvi et dernier. 15. Résumé d’une note de G. Her
e de l’édition 2 de Vahlen (Revue critique, xvii, 131.) 22. Voir les
chap.
xxiii et xxiv. 23. Partie perdue. Les éditions d
aisemblance, à la Poétique. Nous les traduisons à la suite du dernier
chapitre
. 24. Voir Egger, Essai sur l’histoire de la crit
Extraits de ses Problèmes, avec traduction française et Commentaires,
chap.
iii, § 7, où le savant académicien, dès 1849 (ou
. Hermann, d’après Castelvetro, transporte tout ce paragraphe dans le
chapitre
suivant, après : ἡ μετάϐασις γίγνεται. 40. Nous
du texte. 41. Même idée que dans la Rhétorique, II, xxiv, § 8. 42.
Chap.
viii, § 9. 43. Œdipe roi (vers 924 et suivants)
oi (vers 924 et suivants). 44. Tragédie de Théodecte. Cp. plus loin (
chap.
xix), et Hygin (§§ 170 et 273) Schol. d’Euripide
idetur. Conf. 1455 b 32 (ou plutôt 1456 a 2). 50. Voir, sur tout ce
chapitre
, le commentaire de G. Hermann. 51. C’est-à-dire
e pourrait bien être une répétition altérée de la phrase qui ouvre le
chapitre
. 54. Les manuscrits ajoutent : ἔλεος μὲν περὶ τὸ
59. L’auteur passe à la seconde des parties de la tragédie énumérées
chap.
vi, § 8. 60. Chap. vii, § 12. 61. Aristote semb
à la seconde des parties de la tragédie énumérées chap. vi, § 8. 60.
Chap.
vii, § 12. 61. Aristote semble contester à la fe
responsabilité morale de leurs actes. (Cp. son Histoire des Animaux,
chap.
ix, 1, et ses Problèmes, chap. xxix, 11.) 62. L’
actes. (Cp. son Histoire des Animaux, chap. ix, 1, et ses Problèmes,
chap.
xxix, 11.) 62. L’édition de G. Christ (coll. Teu
optons, sous réserve, les additions proposées par Vahlen. 85. Cp. le
chap.
xiii, § 1. Voir le commentaire donné pat Buhle su
né pat Buhle sur ce passage, qui pourrait bien résumer le contenu des
chapitres
vii à xvi, plutôt que viser un autre passage de l
n à deux vers d’Agathon rapportés par Aristote. (Rhétorique, liv. II,
chap.
xxiv, § 10.) 91. Livre III. 92. Le fait de gran
matique, et non des anciens ïambes, tels que ceux d’Archiloque. 140.
Chap.
viii, § 2. 141. Addition de Susemihl. 142. Homè
rquons par des lettres les douze objections posées et résolues. 148.
Chap.
xxiv, § 10. 149. Pindare : Χρυσοκέρων ἔλαφον θήλ
ille d’Icade. 168. Au mieux (idéal). — (Egger.) 169. Cp. plus haut,
chap.
xviii, § 8. 170. Pièce perdue. 171. Ἀεί·λίαν. B
ulsa imitatio » de la définition qu’Aristote a donnée de la tragédie (
chap.
vi, § 2). 179. Cp. Plutarque, De la lecture des
pplication de ces ressources à tel but, à telle arrière-pensée. 186.
Chap.
ier , § 4. 187. C’est le sujet du livre II. 188
e à la dialectique (ou plutôt à l’analytique), l. c., p. 247-248. Cp.
chap.
iv, p. 1359 b 8. M. Thurot cite plusieurs endroit
dans le sens de la proposition qu’il s’agit de faire prévaloir. 211.
Chap.
ii, § 7. 212. Nous dirions aujourd’hui « égales
blique) et par Plutarque (De sera num. vind., § 18). 215. Plus loin,
chap.
ix. 216. Suivant que l’on veut exhorter ou dissu
heureux, glorieux, du siège de Troie. 221. Hom., Il., iv, 298. 222.
Chap.
iv, § 2. 223. Allusion à ce fait que les Corinth
. Spengel (collection Teubner, in-8º), t. II, 1867, p. 109. 224. Cp.
chap.
vi, § 2. 225. Il s’agit toujours de deux choses,
8. Aux questions autres que celles du bien, ou plutôt du mieux. 229.
Chap.
vi, § 2. 230. Cp. Topiques, iii, 3, p. 118 a, 34
ap. vi, § 2. 230. Cp. Topiques, iii, 3, p. 118 a, 34. 231. Début du
chap.
v. 232. Homère, Il., ix, 592. La citation faite
ntaire sur Homère. 234. Cette parole d’Iphicrate reparaît plus loin (
chap.
ix, 31), sous une forme plus complète : ἐξ οἵων ε
. 241. En d’autres termes, autant de matières à démonstration. 242.
Chap.
ii, § 3. 243. Ἐλευθεριότης, c’est aussi le désin
t que, pour Aristote, « in medio stat virtus ». 246. Cp., plus haut,
chap.
vii, § 32. 247. Rapportons ici, avec L. Spengel,
et des vices (p. 1249 éd. Bekker). 253. Ce sera l’objet du livre II,
chap.
i à xvii. 254. Livre II, chap. i à xvii. 255. L
). 253. Ce sera l’objet du livre II, chap. i à xvii. 254. Livre II,
chap.
i à xvii. 255. Livre II, chap. ii. 256. Chap. i
e II, chap. i à xvii. 254. Livre II, chap. i à xvii. 255. Livre II,
chap.
ii. 256. Chap. iv, vi, vii, etc. 257. Cp. Top.,
xvii. 254. Livre II, chap. i à xvii. 255. Livre II, chap. ii. 256.
Chap.
iv, vi, vii, etc. 257. Cp. Top., VI, 1, p. 136 b
dition Al. Pierron. 261. Hom., Il., xviii, 107. Cp. plus bas, l. II,
chap.
ii. 262. Hom., Il., xxiii, 108, et Od., iv, 183.
C’est le premier des trois points que l’auteur a indiqués au début du
chapitre
x. 274. Livre II, chap. xix. 275. C’est-à-dire
oints que l’auteur a indiqués au début du chapitre x. 274. Livre II,
chap.
xix. 275. C’est-à-dire aux trois genres : délibé
ip. ger. præcepta, § 24. 282. Soph., Antig., v. 450. Cp., plus loin,
chap.
xv, § 6. 283. La phrase d’Alcidamas, que nous a
er K. Akademie der Wissenschafte, t. XLIII, Wien, 1863, p. 504. 284.
Chap.
x, § 3. 285. Livre II, chap. ii. 286. Chap. x,
te, t. XLIII, Wien, 1863, p. 504. 284. Chap. x, § 3. 285. Livre II,
chap.
ii. 286. Chap. x, § 12. 287. § 2. 288. Sur l’a
en, 1863, p. 504. 284. Chap. x, § 3. 285. Livre II, chap. ii. 286.
Chap.
x, § 12. 287. § 2. 288. Sur l’antagonisme polit
itée de Meredith Cope. 296. Soph., Antig., vers 454. Cp., ci-dessus,
chap.
xiii, § 2. 297. Μέλλειν marque souvent l’intenti
p. 451, Sylb. Eurip. Androm., v. 518. Cette citation reparaît, l. II,
chap.
xxi, § 11 307. Orateur qui plaida souvent contre
blement, Platon le comique. 309. Voir, plus haut, § 5. 310. Voir le
chapitre
ii. 311. Voir, sur ce passage, une observation d
Bonafous (Rhétor. d’Arist., p. 415). 312. Nous avons déjà vu, l. I,
chap.
xi, cet emploi du mot συνάγειν avec ὅτι, qui n’es
lique aussi bien au fait de rendre vertueux l’auditoire. Cp., liv. I,
chap.
ix, § 1. 314. Cp. Morale à Nicomaque, ii, 5 (énu
Meredith Cope). 323. Que s’ils avaient agi de sang-froid. 324. Cp.
chap.
ii, § 1. 325. Sur un fait pouvant exciter la col
Callisthène, généraux athéniens qui furent accusés de trahison. 329.
Chap.
ii, § 1. 330. Chap. ii, § 2. 331. Homère, Od.,
athéniens qui furent accusés de trahison. 329. Chap. ii, § 1. 330.
Chap.
ii, § 2. 331. Homère, Od., ix, 504. 332. Homère
2. 335. Hésiode, Œuvres et jours, vers 25. Ce vers est encore cité,
chap.
x, § 6. 336. Nous lisons αὐτοὺς, avec Spengel.
cité, chap. x, § 6. 336. Nous lisons αὐτοὺς, avec Spengel. 337. Cp.
chap.
ii, § 2. 338. Cp. chap. ii, § 1. 339. L’édition
Nous lisons αὐτοὺς, avec Spengel. 337. Cp. chap. ii, § 2. 338. Cp.
chap.
ii, § 1. 339. L’édition de Buhle place cette phr
hap. ii, § 1. 339. L’édition de Buhle place cette phrase à la fin du
chapitre
précédent, mais elle appartient évidemment à celu
pseudo-Plutarque, avec une variante légère, mais inadmissible. 361.
Chap.
ix, § 3. 362. Le scoliaste attribue ce vers à Es
a confusion de ces deux leçons est fréquente dans les manuscrits. Cp.
chap.
suiv., § 14. 372. Μηδὲν ἄγαν, rien de trop. 373
. 374. Cp. Cicéron, De Amicitia, 16. 375. Cp. § 1. 376. Ci-dessus,
chap.
viii, § 2. 377. Jusqu’à sept ans l’homme est :
. ΙΙολιτικός a le double sens de civil et de politique. 380. Liv. I,
chap.
viii. 381. Liv. I, chap. ix. 382. Traduction co
ens de civil et de politique. 380. Liv. I, chap. viii. 381. Liv. I,
chap.
ix. 382. Traduction conjecturale. — On a lu quel
e Platon. 384. Cp. Isocrate, collection Didot, p. 281. 385. Liv. I,
chap.
vii. 386. Cp. Horace, Ερ., I, 10, 34. 387. Inte
Mars est commun. Hom., Il., xviii, 309. 395. Cp. ci-dessus, liv. I.
chap.
xv, § 14. 396. C’est-à-dire dangereux ou incommo
st-à-dire comme si l’on devait haïr un jour. 398. § 2. 399. Liv. I,
chap.
ii, § 8. 400. Cp. Euripide, Hippolyte, v. 994-99
ette interprétation est justifiée par un passage qu’on lit plus loin (
chap.
xxiii, § 12). 402. On pourrait presque traduire
. 405. Discours d’Alcidamas d’Élée, disciple de Gorgias. Cp. liv. I,
chap.
xiii. 406. Le scoliaste attribue ces vers, ainsi
de l’émunération des parties. Cp. Topiques, ii, 4, 3. 434. Liv. II,
chap.
xix. Callippe, d’Athènes, disciple de Platon. Nou
m, etc. », In Ruf., I, 40. 443. Voir, sur Callippe, ci-dessus, l. I,
chap.
xii, § 29, note. Pamphile, disciple de Platon (vo
e jumeau Caunus. Cp. Ovide, Métamorph., ix, 453. 483. Cp. ci-dessus,
chap.
xv, § 5, note. 484. Liv. Ier, ch. ii, §§ 14 et s
ilien, Instit. oratoire, ii, 17, 27. — Revoir aussi, plus haut, l. I,
chap.
i, § 4. 497. L’hypocritique, ὑποκριτική, l’art d
oét., ch. xx-xxii. 507. Suivant qu’elle est élevée ou commune. 508.
Chap.
xxi. 509. Γλῶτται, les mots étrangers, inusités,
ap. xxi. 509. Γλῶτται, les mots étrangers, inusités, étranges. 510.
Chap.
iii et vii. 511. Ci-dessus, § 4. 512. Ou équivo
511. Ci-dessus, § 4. 512. Ou équivoques. Voir dans les Catégories,
chap.
ier , la définition des termes ὁμώνυμα, συνώνυμα
si dans les Secondes Analytiques, i, 9, et dans les Sophist. elench.,
chap.
xi. 524. Aux doigts de rose. 525. Aux doigts co
diminutif. 530. Il s’agit du sophiste de ce nom. Cp. Soph. elench.,
chap.
xv. 531. Ἀκτὴ στενόπορος. La traduction littéra
», ce qui se fait aussi pour les petits oiseaux. 545. Cp. Poétique,
chap.
xxi. — D’après Athénée (Deipnosoph., l. XI, p. 50
ple de ces deux locutions. 562. Exemple dans Isocrate, Panathenaic.,
chap.
lxxxiv. Cp. Quintilien, De Inst. orat., viii, 3.
Alexandre. 605. Cp. Démétrius, § 24. 606. Odyssée, xvi, 214. 607.
Chap.
iv, § 3. 608. Aristote, si nous l’avons bien com
Chapitre
XXII. D’être claire.] Même précepte dans la Rhé
e précepte dans la Rhétorique, III, 2. Cf. la Rhétorique à Alexandre,
chap.
xxv Aristide, Rhétorique I, 10, t. IX, p. 393, d
, p. 393, des Rhéteurs grecs de Walz. Cléophon.] Déjà cité plus haut,
chap.
ii. Sthénélus.] Mauvais poëte tragique qui était
270. Comme un mélange.] Κɛϰρᾶσθαɩ. Cf. Denys d’Halic, Sur Démosthène,
chap.
iii : Κέϰραταɩ γὰρ ɛὖ πως (ἡ λέξɩς) ϰαὶ αὐτò τò χ
versification française, voyez le traité de M. L. Quicherat, livre I,
chap.
viii. Dans un vers.] Sur ce sens général du mot ἔ
Sur le Style, § xci Proclus, Chrestomathie (dans Photius, cod. 239),
chap.
xiv. C’est probablement à ce chapitre xxii e que
tomathie (dans Photius, cod. 239), chap. xiv. C’est probablement à ce
chapitre
xxii e que le Tasse fait allusion, lorsqu’il dit
santes pour juger des autres espèces. Ch. Batteux. Poétique.
Chapitre
I. La poésie consiste dans l’imitation. Moyens à
s différences des arts quant aux moyens avec lesquels ils imitent.
Chapitre
II. Des objets de l’imitation poétique. L’imi
ais qu’ils ne sont aujourd’hui, et la tragédie les fait meilleurs.
Chapitre
III. De la manière d’imiter. Il reste une tr
qu’on observe dans les imitations, leur nombre et leurs qualités.
Chapitre
IV. Naissance de la poésie. Penchant naturel pou
ez sur cet objet, car il serait long d’en marquer tous les degrés.
Chapitre
V. De la comédie ; sa définition. Comparaison de
e ; mais tout ce qui est dans la tragédie n’est pas dans l’épopée.
Chapitre
VI. De la tragédie ; sa définition. De ses diffé
nt du ressort des ordonnateurs du théâtre que de celui des poètes.
Chapitre
VII. Comment doit être composée l’action de la t
nent la révolution du bonheur au malheur ou du malheur au bonheur.
Chapitre
VIII. De l’unité de la fable. L’unité consiste,
’y être pas, sans qu’il y paraisse, n’est point partie de ce tout.
Chapitre
IX. Différence du poète et de l’historien. Des f
J’en conclus qu’on doit donner ce mérite aux fables de la poésie.
Chapitre
X. Différence des fables. De l’action simple et
car autre chose est de naître de telle chose ou après telle chose.
Chapitre
XI. De la péripétie et de la reconnaissance.
es tourments cruels, des blessures et autres accidents semblables.
Chapitre
XII. Des divisions de la tragédie quant à son ét
a parlé précédemment de celles qui la constituent dans son espèce.
Chapitre
XIII. Du choix des personnages principaux. Du dé
mis au dénouement ; et personne n’y donne la mort ni ne la reçoit.
Chapitre
XIV. De la terreur et de la pitié. Ces émotions
les actions tragiques, et sur les qualités qu’elles doivent avoir.
Chapitre
XV. Des mœurs. Elles doivent être bonnes, conven
samment parlé dans les ouvrages qu’on a publiés sur cette matière.
Chapitre
XVI. Des quatre espèces de reconnaissances.
ice ; après celles-là, les meilleures sont celles du raisonnement.
Chapitre
XVII. Conseils pour la composition des tragédies
» Voilà le fond de l’action ; tout le reste est détail ou épisode.
Chapitre
XVIII. Du nœud et du dénouement dans la tragédie
pièce des morceaux, ou même des actes entiers d’une autre pièce ?
Chapitre
XIX. Des pensées et de l’élocution dans la tragé
répondrons point à cette critique, qui ne regarde point la poésie.
Chapitre
XX. Des éléments grammaticaux du langage. Des mo
l’homme, ou qu’il lie entre eux une suite de mots, comme l’Iliade.
Chapitre
XXI. Des formes du nom. Des métaphores. Des figu
erminaisons propres ces deux dernières consonnes, et le ν et le ς.
Chapitre
XXII. De l’élocution poétique ; des moyens de la
a tragédie, et sur tout ce qui a rapport à l’imitation dramatique.
Chapitre
XXIII. Différence entre l’épopée et l’histoire p
ennes, la prise de Troie, le retour des Grecs, Sinon, les Troades.
Chapitre
XXIV. L’épopée et la tragédie comparées. L’é
a des pensées et des mœurs, un style trop brillant les obscurcit.
Chapitre
XXV. De certaines critiques sur les défauts de l
ux communs que nous avons marqués, et qui sont au nombre de douze.
Chapitre
XXVI. De la supériorité de la tragédie sur l’épo
sa roue. 11. Pélée, prince vertueux et ami des dieux. 12. Voyez le
chap.
vi. 13. C’est-à-dire voyelles, demi-voyelles et
Chapitre
VI. La tragédie est, etc.] On a écrit des volum
te définition. Voyez, entre autres, la Poétique de Scaliger, livre V,
chap.
6 les auteurs analysés par Goujet, Bibliothèque
n 1671 par de Norville (p. 24, 25 et 28). La Mesnardière, Poétique,
chap.
III : « Disons avec Aristote accommodé à nostre u
évêque, dans La Science du Beau (2e édition Paris, 1872), IVe partie,
chap.
II et M. Barthélemy Saint-Hilaire, dans sa nouve
elon le sens qu’Aristote lui-même donne à ce mot dans les Catégories,
chap.
viii, où il dit que la ποιότης comprend comme esp
t dans ses traités de morale. Voyez aussi dans la Physique, II, 6, un
chapitre
tout classique sur ce sujet. La fin est ce qu’il
avoir de poésie sans fiction. » (De la Manière d’entendre les poëtes,
chap.
vi.) C’est l’affaire de la politique.] Ce passag
tion tout le morceau qui s’étend depuis παραπλήσιον jusqu’à la fin du
chapitre
on retrouve pourtant quelques idées analogues da
Chapitre
XXIV. Homère…. le premier.] Aristote a restrein
IV. Homère…. le premier.] Aristote a restreint lui-même, plus haut,
chap.
iv, ce que cette assertion aurait de trop rigoure
es questions que soulève ce texte, les auteurs cités plus haut sur le
chap.
vii. Dacier et Batteux n’en ont pas vu toute la d
onvient à la danse.] C’est le tétramètre trochaïque. Voyez plus haut,
chap.
iv, et la Rhétorique, III, 1 et 8 : Ἔστι γὰρ τροχ
ncroyable.] Mot à mot : le déraisonnable, τò ᾄλογον, comme plus haut,
chap.
xv. Cf. Rhétorique, III, 17 : Εἴ τιψεύδεται έϰτòς
οατὴς ὄτι ἐποίησεν ἢ οὐϰ ἐποίησεν οϋ δεδειγμένου. Comparez plus haut,
chap.
xvi. Si le premier fait est faux, etc.] Passage t
ntion d’Heinsius. Ils n’ont pas observé que les Νίπτρα, déjà cités au
chap.
xvi, ne comprennent pas seulement le court incide
Chapitre
XXI. Emphatiques.] Nous adoptons la correction
nt.] On s’étonne de ne rien trouver sur cette figure dans le reste du
chapitre
. Néanmoins, ϰόσμος, que Ritter suppose être une g
ose être une glose marginale, est assez justifié par deux passages du
chap.
xxii et par deux autres de la Rhétorique, III, 2
utres de la Rhétorique, III, 2 et 7. Propre.] Cf. Longin, Du Sublime,
chap.
xxxiii, sur la ϰυριολογία, et l’opuscule d’Hérodi
ερος, dans ce sens, est d’un usage plus récent. Voy. Denys le Thrace,
chap.
xiv. Protagoras désignait les noms neutres par σϰ
la difficulté de ce passage. Cf., sur les lettres doubles, le dernier
chapitre
de la Métaphysique, cité plus haut, p. 115. Qui p
Chapitre
V. Il est évident que ce chapitre ne contient p
Chapitre V. Il est évident que ce
chapitre
ne contient plus aujourd’hui les développements q
e, évidemment calquée sur celle de la tragédie qu’on lira plus bas au
chap.
VI :Κωμῳδία ἐστὶ μίμησις πράξεως γελοίου ϰαὶ ἀμοί
quelque livre d’Aristote. L’auteur avait aussi sous les yeux le VI e
chapitre
de la Poétique quand il écrivait ces lignes sur l
, ce mot n’ayant pas d’autre sens dans Aristote que le sens défini au
chapitre
XII de la Poétique mais est-ce une raison suffis
a dit plus loin sur Cratès. Comparez, plus bas, le commentaire sur le
chapitre
XII. Épicharme.] « Le premier, dit un grammairien
umente formellement contre la règle des vingt-quatre heures (livre V,
chap.
9). La Mesnardière, Poétique (1640), chap. v, p.
gt-quatre heures (livre V, chap. 9). La Mesnardière, Poétique (1640),
chap.
v, p. 48, permet d’outrepasser, pour la tragédie,
Chapitre
IX. Plus profond.] Φιλοσοφώτερον. Morale Eudém.
histoire. » La poésie met ensuite des noms propres.] Cf. plus bas le
chap.
xvii, et le fragment d’Antiphane, traduit dans l’
idées analogues dans la Rhétorique attribuée à Denys d’Halicarnasse,
chap.
xi, § 2. — « Bref, c’est (le poëte) un homme le q
é, car il semble anticiper sur la définition qui ne sera donnée qu’au
chapitre
x. Hermann transporte, en conséquence, tout le pa
tre x. Hermann transporte, en conséquence, tout le paragraphe dans le
chapitre
x. Castelvetro a proposé assez heureusement de li
s la remarque qui suit. Plutarque, Des Délais de la vengeance divine,
chap.
viii, dit que l’accident eut lieu θέας ούσης, pen
Chapitre
IV. L’homme imite par instinct.] Aristote a con
7. Genre… ïambique.] Voyez sur ce sujet les auteurs cités à propos du
chap.
III, et, en outre, Liebel, Archilochi iambographo
προαγόντων rappellent cette phrase, analogue pour le sens, du dernier
chapitre
des Réfutations sophistiques, où Aristote revendi
845, n. 16 du Supplément) , s’appuyant sur le sens du mot μέγεθος aux
chap.
VII et XVIII de la Poétique, propose de mettre ic
étrius, sur le Style, § 1. Épisodes.] Voyez plus loin, p. 100, sur le
chap.
XII.
Chapitre
XII. Tout ce chapitre est condamné par Ritter :
Chapitre XII. Tout ce
chapitre
est condamné par Ritter : 1° parce qu’il interrom
il besoin de faire observer que ce mot n’a pas ici le même sens qu’au
chapitre
xxiv ? Au chap. iv, on peut, à la rigueur, entend
observer que ce mot n’a pas ici le même sens qu’au chapitre xxiv ? Au
chap.
iv, on peut, à la rigueur, entendre έπεισόδιον da
Chapitre
VIII. A un seul homme.] Nous suivons la leçon d
les mots ὤσπερ ποτὲ ϰαὶ àλλοτε φασίν, qui nous embarrassaient tant au
chap.
vii : c’est un moyen trop commode, pour un homme
insi intitulés paraît être celui que citent Plutarque (Vie de Thésée,
chap.
xxviii) et Aristote. On n’en connaît pas l’auteur
sente l’Odyssée » Quant au précepte général qui fait le sujet de ce
chapitre
, on peut voir dans le Tasse (Discours IIe sur l’A
Chapitre
XVIII. Le Lyncée.] Voyez plus haut, chap. x. Il
Chapitre XVIII. Le Lyncée.] Voyez plus haut,
chap.
x. Il y a quatre caractères, etc.] « Dacier, dit
rappelle aussi le sens qu’a le mot μέρος un peu plus bas dans ce même
chapitre
. Les Ajax.] Sujet traité par Eschyle, par Sophocl
en trois tragédies destinées au même concours (voy. plus haut, sur le
chap.
iv). C’étaient en effet comme de longues tragédie
Chapitre
XIII. Sur ces diverses formes de catastrophe tr
ies portant ce titre, qui sont aujourd’hui perdues Aristote cite, au
chap.
xvi, celle de Carcinus. Voyez Wagner, Fragments d
Didot. Simple.] Non pas tout à fait dans le même sens que plus haut,
chap.
x. « Aristote appelle ici fable simple celle qui
.] Rhétorique, III, 1 : διὰ τὴν τῶν ἀϰροατῶν μοχθηρίαν. Cf. plus bas,
chap.
xvi. L’emploi de τὸ θέατρον pour οἱ θεαταί est fr
ines, se préparent autour d’eux une nombreuse postérité1. 1re partie,
chap.
2. Comparaison de Démosthène et d’Isocrate.
Bossuet. » (Notice de M. Villemain.) On peut rapprocher de plusieurs
chapitres
de ce traité les Lettres philosophiques de Fénelo
e, de plus éloquent en philosophie ». 1. Cf. Pline l’ancien, liv. I,
chap.
63 : « Hæc (terra) benigna, mitis, indulgens, usu
ritique des écrivains de la Grèce. 2. Cf. Longin, Traité du Sublime,
chap.
xxxviii ; Cicéron, Brutus, chap. ix, Orat., chap.
. 2. Cf. Longin, Traité du Sublime, chap. xxxviii ; Cicéron, Brutus,
chap.
ix, Orat., chap. vii ; Quintilien, Inst. or., I.
Traité du Sublime, chap. xxxviii ; Cicéron, Brutus, chap. ix, Orat.,
chap.
vii ; Quintilien, Inst. or., I. X, chap. i, etc.
on, Brutus, chap. ix, Orat., chap. vii ; Quintilien, Inst. or., I. X,
chap.
i, etc. — Fénelon lui-même, dans sa Lettre à l’Ac
Chapitre
I. Remarquez combien ces premières lignes ratta
ngénieux le grand écrivain n’a pas vu que ψɩλός, dans ψɩλομɛτρία, au
chap.
II, indique seulement l’absence de tout accompagn
se, qui ne prouve rien pour sa thèse il eût pu tirer de la Poétique (
chap.
IX, etc.) d’autres observations plus décisives co
omère et Empédocle.] Plutarque, De la Manière d’entendre les poëtes,
chap.
II : « Nous ne connaissons pas une fable sans poé
Chapitre
IV. — De l’Élocution L’Élocution est la troisiè
nts constituent le domaine de l’élocution ou du style, et forment les
chapitres
I, II III, IV et V sur le style. Nous renvoyons d
I, II III, IV et V sur le style. Nous renvoyons donc à ces différents
chapitres
pour ne pas répéter ici ce qui a été dit précédem
Chapitre
XI. Le Lyncée.] C’est une pièce de Théodecte, c
Lyncée.] C’est une pièce de Théodecte, comme on le voit plus bas, au
chap.
xviii. Lyncée, le seul des cinquante époux des Da
e i lamenti delle personne introdotte. » Le dernier paragraphe de ce
chapitre
est rejeté par Ritter comme une interpolation.
Chapitre
XIV. Dépend.] Politique, VII, 13 : Δεῖται χορηγ
ω. L’effrayant.] Τερατῶδες. Voyez plus haut, la troisième note sur le
chapitre
xiii. Ne sont plus dans la tragédie.] Remarquer τ
p. 304 A : ὅόη βασιλιϰῇ ϰοινωνοῦσα ῥητορεία et Lucien, De la Danse,
chap.
xxxiv : Μηδὲν ταῦτα τῇ νῦν ὂρχήσει ϰοινωνεῖ. Voyo
Chapitre
VII. des passions L’invention, nous venons
irrésistible. Je viens de le dire, et je l’ai reconnu dès le premier
chapitre
de cet ouvrage, elle a parfois de soudaines illum
la feindre du moins par ses paroles et son action. » Relisez aussi le
chapitre
II du VIe livre de Quintilien, où il traite des p
dres et énervantes. « Rien, dit Cicéron, qu’il faut toujours citer au
chapitre
des passions, rien ne sèche plus vite que les lar
Chapitre
II. Qualités et devoirs de l’Orateur du Barreau.
personnalités ? C’est un plaisir inhumain, dit Quintilien (liv. xii,
chap.
9), c’est une jouissance bien indigne d’un honnêt
e, mais qui doit être constamment fermé aux pirates (Quint. liv. xii,
chap.
7). Que l’avocat se constitue donc le juge de la
Chapitre
XXIII. Un ensemble dramatique.] Comparez, plus
Chapitre XXIII. Un ensemble dramatique.] Comparez, plus haut, le
chapitre
viii, et, pour plus de détails, les auteurs analy
sur la scène. Ces réflexions montrent, je pense, comment la fin de ce
chapitre
se rattache au commencement. Ritter essaye vainem
Chapitre
XV. Une femme peut être bonne, etc.] « Les poët
ρὸς φαῦλον ϰαὶ εὐτελὲς διαλέγεσθαι δοϰῇς πρόσωπον (Περὶ Ἐπιδειϰτιϰῶν,
chap.
ii, t. IX, p. 294 des Rhetores græci de Walz). Il
ristophane jusqu’à Molière, en passant par Érasme (Éloge de la Folie,
chap.
vii, p. 33, éd. 1777, dont Molière semblait se so
allèles, de Charles Perrault (1628-1703) et l’Art poétique ; les deux
chapitres
intitulés : Des ouvrages de l’esprit et de la cha
r le style, de Buffon ; le Temple du goût (1732), de Voltaire, le 32e
chapitre
de son Siècle de Louis XIV (1751) et son Commenta
ue ; mais on s’est montré, semble-t-il, moins juste envers lui sur le
chapitre
de l’originalité, et comme il a eu des modèles, o
es ecclésiastiques. Dans la première partie, qui comprend vingt-trois
chapitres
sur trente-neuf, et se subdivise en deux périodes
vec la narration oratoire de Bossuet dans l’oraison funèbre de Condé (
chap.
III) ; tableau animé de la Fronde Parlementaire (
èbre de Condé (chap. III) ; tableau animé de la Fronde Parlementaire (
chap.
IV) ; conquête de la Franche-Comté, faite au cœur
V) ; conquête de la Franche-Comté, faite au cœur de l’hiver (début du
chap.
IX) ; belle défense de la Hollande (fin du chap.
de l’hiver (début du chap. IX) ; belle défense de la Hollande (fin du
chap.
X) ; bataille de Senef et mort de Turenne (chap.
la Hollande (fin du chap. X) ; bataille de Senef et mort de Turenne (
chap.
XII) ; prise de Valenciennes par Louis XIV (chap.
et mort de Turenne (chap. XII) ; prise de Valenciennes par Louis XIV (
chap.
XIII) ; réception en France du roi Jacques II dét
ap. XIII) ; réception en France du roi Jacques II détrôné et fugitif (
chap.
XV) ; second embrasement du Palatinat, portraits
Catinat et de Luxembourg, batailles de Steinkerque et de Neerwinden (
chap.
XVI) ; l’admirable chap. XVII, où Voltaire racont
, batailles de Steinkerque et de Neerwinden (chap. XVI) ; l’admirable
chap.
XVII, où Voltaire raconte comment et pourquoi la
ésastre de Crémone, portraits de Vendôme, de Marlborough, de Villars (
chap.
XVIII) ; défaite d’Hochstedt (chap. XIX) ; poigna
dôme, de Marlborough, de Villars (chap. XVIII) ; défaite d’Hochstedt (
chap.
XIX) ; poignant récit des négociations infructueu
(chap. XIX) ; poignant récit des négociations infructueuses de Torcy (
chap.
XXI) ; victoire de Denain (chap. XXIII). Dans la
négociations infructueuses de Torcy (chap. XXI) ; victoire de Denain (
chap.
XXIII). Dans la deuxième partie, qui comprend deu
e de Denain (chap. XXIII). Dans la deuxième partie, qui comprend deux
chapitres
, auxquels il convient de rattacher les quatre cha
comprend deux chapitres, auxquels il convient de rattacher les quatre
chapitres
d’anecdotes qui précèdent, il faut noter : la des
d’anecdotes qui précèdent, il faut noter : la description des fêtes (
chap.
XXV) ; le récit de la faveur de Mme de Maintenon
on des fêtes (chap. XXV) ; le récit de la faveur de Mme de Maintenon (
chap.
XXVII) ; le caractère de Louis XIV (chap. XXVIII)
faveur de Mme de Maintenon (chap. XXVII) ; le caractère de Louis XIV (
chap.
XXVIII) ; son gouvernement, et les réformes de Co
XXVIII) ; son gouvernement, et les réformes de Colbert et de Louvois (
chap.
XXIX). Enfin dans la troisième partie, on mention
uvois (chap. XXIX). Enfin dans la troisième partie, on mentionnera le
chapitre
XXXII, où Voltaire fait un tableau brillant de la
ous proposez d’ingénieux et sûrs moyens de lui rendre sa richesse. Le
chapitre
qui traite de la rhétorique est écrit de main de
oucart, 6 fr. 2. V. Précis d’un cours de Littérature, p. Ch. Urbain,
chap.
I, art. 4, page 156. Paris, Croville-Morant et Fo
onne. Prix 2,75. 3. V. Ch. Urbain. Précis d’un cours de littérature,
chap.
I, art. 1, p. 135. 4. Ch. Urbain. — Précis d’un
, art. 1, p. 135. 4. Ch. Urbain. — Précis d’un cours de littérature,
chap.
II, art. 2., p. 234. 5. V. Urbain et Jamey, Les
de la Sorbonne). 8. V Ch. Urbain, Précis d’un cours de littérature,
chap.
I, art. 1, p. 168 et 175. 9. Urbain et Jamey, Le
I, p. 553 sqq. 15. V. Ch. Urbain, Précis d’un cours de littérature,
chap.
I, art. 4, p. 156 et 178. 16. V. Urbain et Jamey
. Nous avons largement puisé, pour ce développement, dans l’excellent
chapitre
sur Tacite de l’Hist. de la litt. latine, de M. d
Chapitre
V. des topiques ou lieux. — lieux applicables
se fait le docteur Blair est plus spécieuse ; je l’ai déjà touchée au
chapitre
précédent. « N’a-t-on d’autre but, dit-il, que d’
ue sans y songer. » Outre les trois topiques dont j’ai parlé dans le
chapitre
précédent, Cicéron et Quintilien en comptent trei
par les rhéteurs. J’ai cherché à bien m’expliquer au commencement du
chapitre
précédent : les lieux assurément ne sont pas les
Chapitre
XXVI. des figures. — figures par mutation et i
pareil cas : elle se trouve dans ses Entretiens solitaires, livre II,
chap.
5. Le poëte s’adresse à Dieu : Les ombres de la
sances humaines, part. 2 ; mais il se réfute lui-même au 2e et au 14e
chapitre
de l’Art d’écrire où il établit beaucoup mieux, m
construction française. 119. Un seul exemple, la première phrase du
chap.
Ier du livre IV de Quinte-Curce : « Darius, tanti
de Justin, pour exprimer la même idée, à propos de Xerxès, livre II,
chap.
13 : « Erat res spectaculo digna, et œstimatione
up et ne le critique guère moins, Essai sur l’éloquence de la chaire,
chap.
58. Si le premier, en faisant de lui, dans le ser
es. Cf. Châteaubriand, Génie du Christianisme, IIIe partie, livre IV,
chap.
3. 1. Parmi les oraisons funèbres que prononça M
is IX, dit l’auteur de l’Essai sur les mœurs et l’esprit des nations,
chap.
58, paraissait un prince destiné à réformer l’Eur
Chapitre
XIX. A amplifier ou à diminuer.] Voy. la Rhétor
s plus général, à peu près comme Denys d’Halicarnasse (Sur Thucydide,
chap.
xxiii) dit : σχηματίζειν τὰς λέξεις. L’ordonnateu
Chapitre
XVII. Genre épistolaire. Le genre épistolaire e
tte matière au complet dans la première partie (page 108 [1re partie,
chapitre
VII, § II]).
Chapitre
III. Le poëte peut, etc.] Ces divisions de la p
, p. 27 et suiv. Commenter en détail les assertions contenues dans ce
chapitre
ne serait rien moins qu’écrire une histoire des o
Chapitre
VII. Nous avons établi.] Κεῖται ñµῖν. Le même v
blèmes : XVIII, 3 Analyt. pr. I, 4 Métaphysique, IV, 1 Du Langage,
chap.
vii. N’est beau que, etc.] Comparez Politique, VI
Chapitre
II. Seconde espèce de mots. L’article. 15
e retranchée cette petite figure (’) qu’on appelle apostrophe. (Voyez
chapitre
XI, au mot Orthographe, page 52. Deuxième remarq
Chapitre
VI. des mœurs Je ne dois pas quitter le tit
andonnant à la logique les arguments, de conserver à la rhétorique le
chapitre
des passions et même celui des mœurs, mais dans u
Cette remarque s’applique également à plusieurs des paragraphes de ce
chapitre
. On comprend que l’éducation, le milieu dans lequ
s, ce que nous appelons les bienséances, et se rattache évidemment au
chapitre
des mœurs. Je ne puis qu’effleurer ce qu’il y aur
Chapitre
II. Il faut bien les représenter.] Les deux mot
ertation de Weland, De præcipuis Parodiarum homericarum scriptoribus,
chap.
V l’auteur montre qu’avant Hégémon, Hipponax, Xé
Chapitre
XVI La lance, etc.] Fait rapporté aussi par Dio
p. 465 D, cités par H. Estienne. De toutes les obscurités qu’offre ce
chapitre
, des jugements que l’auteur y porte, et de la pla
Chapitre
XIX. des qualités accidentelles du style. — no
r ce point, et ne perdez pas de vue les préceptes exposés dans un des
chapitres
de la Disposition, à propos du vers de Boileau :
de lui-même ; seulement, qu’on ne perde pas de vue ce que j’ai dit au
chapitre
des Passions, sur la nécessité de savoir se maîtr
lime, c’est dans le roman intitulé Vingt ans après. Qu’on lise le 31e
chapitre
, la Place Royale ; le lieu, l’heure, la situation
Chapitre
IV. Éloge de Trajan, par Pline le jeune. Tels
Sénèque quelquefois, et les deux Pline, dont le jeune appartient à ce
chapitre
de notre ouvrage, par son panégyrique de Trajan,
Chapitre
premier. De la lettre. Observations préliminai
15. Voir mon Cours de Style épistolaire, 2 vol. in-12. Tome 1er,
chapitres
3, 4 et 5. 16. Voyez dans mon Cours de style épi
chapitres 3, 4 et 5. 16. Voyez dans mon Cours de style épistolaire,
chap.
2, tome 1er les avis pour perfectionner ce style.
exandre Il. Les canons rapportés par Isaac, évêque de Langres, t. II,
chap.
XIII ordonnent « sept ans de pénitence pour avoir
evers72 ; nous avons bien causé, la maîtresse du logis et moi, sur ce
chapitre
. Nous sommes dans des inquiétudes qu’il n’y a que
Discours sur l’histoire universelle 107, Ille partie, les Empires,
chap.
VIII. Causes de la grandeur romaine. Qui p
s la bataille de Cannes109. Même Discours, IIIe partie, les Empires,
chap.
VI. Fin de la république à Rome : naissance de
r de ma vie, de qui aurai-je peur154 ? » Traité de la Concupiscence,
chap.
32. Bourdaloue (1632-1701.) [Notice.]
mais parce qu’on est en effet intelligible213. Les Caractères 214,
chap.
I. Du vrai mérite dans les actions et les qual
rait aller plus loin : elle est héroïque, elle est parfaite. Ibid.,
chap.
II. Spectacle de la nature : ce qu’il nous ens
si invariables, qu’est-ce que l’ordre ? qu’est-ce que la règle243 ?
Chapitre
XVI, des Esprits forts. Les grands écrivains d
s sur les causes de la grandeur des Romains et de leur décadence 322,
chap.
vi. Lysimaque323. Lorsqu’Alexandre eut dét
possession de ce pays, au lieu d’y aller en personne ». Ibid. 346,
chap.
ix. De la Grâce et de l’Élégance. Dans les
divins accents. Trad. de l’Imitation de Jésus-Christ 475, liv. III,
chap.
ii. Horace476. (Extraits.) Les destinées de
j’ai lieu d’espérer Que je pourrai bientôt vous montrer en amie Huit
chapitres
du plan de notre académie. Platon s’est au projet
en ! que dit l’épître ? PASQUIN. Elle roule, monsieur, sur un certain
chapitre
Qui ne vous plaira point. LE COMTE.
avec intérêt sur l’influence de Balzac, au dix-septième siècle le 5e
chapitre
des Prédicateurs du dix-septième siècle avant Bos
gladium nobis ad occidendum hominem ab ipsis porrigi legibus. » 48.
Chap.
XXII. 49. Voyez-le dans Cujas, in tit. Dig. de J
de préférence, aujourd’hui, dont… 66. C’est la traduction du XLIXe
chapitre
d’Isaïe, et l’original de la seconde partie de la
djectif latin curtus. 102. Belle image, empruntée au prophète Isaïe,
chap.
XX. 103. Bossuet se sert du mot conseil dans le
de la grandeur des Romains et de leur décadence, particulièrement le
chap.
IV ; en outre, les Réflexions sur les divers géni
sert de préface aux sermons de celui-ci. — On trouvera aussi dans le
chap.
4 du livre de M. Jacquinet (Des prédicateurs du d
instruction écrite en latin : de Cærimonia cinerum. M. Jacquinet, au
chapitre
4 de son livre cité plus haut, établit ce curieux
69. Voy. à ce sujet Sermo CCXVIII, de Passione Domini. 170. Évang.,
chap.
XXVII. 171. Proverbes, XIII, 5. 172. Le libert
ort, ils étaient perdus. Qu’on suive cela. » 175. Voy. l’Apologét.,
chap.
xxi ; cf. saint Augustin, Epist., class. III, 199
-on aujourd’hui. 179. Voyez, pour tous ces détails, l’Évangile cité,
chap.
XXVI et XXVII. 180. Voy. le Sermon cité de Passi
tion de Vauvenargues ; l’agréable notice de Suard, écrite en 1782, un
chapitre
du Génie du Christianisme, l’Éloge de Victorin Fa
: Entretiens d’Ariste et d’Eugène, IV. 197. Voy., à ce sujet, le 33e
chapitre
de Longin, dans son Traité du Sublime : « Si l’on
ptième siècle, avait le sens étendu du mot latin animus. 201. Cf. le
chap.
7 du livre cité de Longin. 202. Son, se rapport
203. Ces pensées sont fort bien développées par Aristote, Poétique,
chap.
XIII et XIV : v. l’édition de cet ouvrage donnée
du prince « que Dieu n’a fait que montrer à la terre ». 253. Cf. le
chap.
5 du livre III de l’Imitation de Jésus-Christ sur
ngères en 1685, rapporte dans son Essai sur l’éloquence de la chaire (
chap.
59), une piquante anecdote. Il lut ce discours al
up et ne le critique guère moins, Essai sur l’éloquence de la chaire,
chap.
58. Si le premier, en faisant de lui, dans le ser
es. Cf. Chateaubriand, Génie du Christianisme, IIIe partie, livre IV,
chap.
3. 290. Massillon, déjà évêque de Clermont, fut
re et sans goût. On trouvera dans le livre déjà cité de M. Jacquinet (
chap.
Ier, p. 35) un exemple curieux de ce pêle-mêle d’
es malheurs de Job et ses entretiens avec ses amis et avec Dieu. Voy.
chap.
III, v. 14. 301. Chap. iii, v. 3. 302. Ici on p
s entretiens avec ses amis et avec Dieu. Voy. chap. III, v. 14. 301.
Chap.
iii, v. 3. 302. Ici on peut noter, une habitude
signalera Chateaubriand, Génie du Christianisme, IIIe partie, l. IV,
chap.
5 ; M. Villemain, dans l’Éloge qu’il lui a consac
ltaire, Châteaubriand, Génie du Christianisme, IIIe partie, liv. III,
chap.
vi ; M. Villemain. Tableau de la littérature au d
e, les Espagnols vinrent jusqu’à Pontoise. « La peur, dit Voltaire au
chap.
ii du Siècle de Louis XIV, avait chassé de Paris
omte de Bouteville, décapité sous Louis XIII. 342. On peut revoir le
chap.
viii du Siècle de Louis XIV sur cette facile camp
26. 344. C’est ce qui arriva en 1661, comme le raconte Voltaire, au
chap.
vii du Siècle de Louis XIV. 345. C’était, dans l
st la véritable. » Introduction à la connaissance de l’esprit humain,
chap.
xiii. 354. La même idée est développée par Buffo
onsulter Chateaubriand, Génie du Christianisme, IIIe partie, liv. IV,
chap.
v ; M. Villemain Tableau de la littérature au dix
peut lire : Chateaubriand, Génie du Christianisme, part. Ire, liv. V,
chap.
7. Buffon, un peu avant ce passage, a dit : « Le
ècle. 392. Tour qui semble ici un peu négligé. 393. On peut voir le
chapitre
des Essais où Montaigne, imitant Lucrèce (du III,
un passage de La Bruyère sur l’action de la justice divine, dans son
chapitre
des Esprits forts, à la fin. 396. « Il est donc
. encore Chateaubriand, Génie du Christianisme, IIe partie, VIe liv.,
chap.
I et suiv. 398. République, liv. II. « Ce juste,
s sur l’Histoire ecclésiastique des six premiers siècles de l’Église,
chap.
ii. 399. Statuaire célèbre, qui fut le père de S
ayon de soleil, et avec quelques-unes des Lettres Provinciales et les
chapitres
de Pascal sur l’homme, ce qu’il y a de mieux écri
propos d’excellentes réflexions, appuyées sur des exemples, dans les
chap.
i, ii et iii du livre Ier du Cours de littérature
II de son Cours analytique de la littérature générale ; M. Nisard, 9e
chapitre
du livre III de son Histoire de la littérature fr
de la Société et de la Conversation. Plusieurs autres passages de ce
chapitre
peuvent encore être rapprochés de la comédie des
té réduit à ses justes proportions par Voltaire, Siècle de Louis XIV,
chap.
x. Consulter à ce sujet les Lettres de Mme de Sév
685. Poème par lequel Scarron avait débuté. 686. La Bruyère, au Ier
chapitre
de ses Caractères, n’a pas parlé avec moins d’est
on sans bonheur, à réparer cet oubli dans son poème de l’Imagination,
chap.
V.) Le IVe chant de l’Art poétique n’est pas tout
e critique trop rarement juste pour Voltaire. Surtout il faut lire le
chapitre
(c’est le xve ) que, dans son Cours de littératur
n’est qu’une ignorance. De la Connaissance de Dieu et de soi-même 1,
chap.
IV, § 2. Les animaux sont-ils doués de raisonn
r intelligence, mais non pas que tout soit intelligent. Même ouvrage,
chap.
V, § 2. Borner ses désirs à une vie obscure.
’exact rapport d’un objet avec son but et sa fin. 1. Saint Matthieu,
chap.
xviii, v. 15. 1. On se bornerait à dire aujourd’
e bornerait à dire aujourd’hui dans ce sens, échappe… 2. Saint Jean,
chap.
ix, v. 4. 3. « En lisant les Élévations sur les
Chapitre
II. Des qualités essentielles du poète 19. Q
hujus honorem. D’après ces paroles, et ce que nous avons dit dans le
chapitre
précédent, il est facile de découvrir les qualité
tions sur les Causes de la Grandeur des Romains et de leur Décadence,
chap.
vii. Attila et les derniers jours de l’empire
ce qu’il s’affaissa tout à coup sous Arcadius et Honorius156. Ibid.,
chap.
xix. Du principe de la démocratie. Il ne fa
us grand que Louis XIV. Essai sur les Mœurs et l’Esprit des Nations,
chap.
clxxiv. Richelieu. Le cardinal se fit porte
et les politesses de l’esprit : c’était l’aurore du bon goût. Ibid.,
chap.
clxxvi. Du goût188. Le goût, ce sens, ce do
s plus infâmes impostures ; un autre, qui vend à un libraire quelques
chapitres
d’une prétendue Histoire universelle, sous mon no
s genres, l’examen de ses ouvrages remplira la plus grande partie des
chapitres
suivants365 ; mais la connaissance personnelle de
assez pour l’aimer de cette manière369. De l’Allemagne, IIe partie,
chap.
vii. Le plaisir de la conversation. Il me s
à eux-mêmes ils finiraient par ne plus se retrouver. Ibid., part. I,
chap.
xi. Les ennemis de l’enthousiasme372. Quelq
, avait été vivement frappé, en lisant le Génie du Christianisme, des
chapitres
où Chateaubriand compare chez les anciens et les
a point calomnié l’humanité. J. J. Rousseau, sa Vie et ses Ouvrages,
chap.
v. Figaro530. Figaro fait à lui seul tout l
tome Ier. M. Désire Nisard.(1806.) M. Nisard, dans le dernier
chapitre
de l’Histoire de la Littérature française. distin
nt de vues pénétrantes, de tant de jugements définitifs. « Il y a des
chapitres
, a dit un juge délicat, qui participent de cette
ie, passim. 7. Nouveaux Essais sur l’Entendement humain, livre IV,
chapitre
xvi. 8. L’Esprit public au dix-huitième siècle,
les points les plus essentiels. » Grandeur et Décadence des Romains,
chapitre
xx. 53. Pour ne pas fatiguer l’attention de Loui
t ne le critique pas moins dans l’Essai sur l’Éloquence de la Chaire,
chap.
Lviii. — M. l’abbé Blampignon a ajouté des faits
t ici allusion au sage du stoïcisme tel que Sénèque l’imagine. Cf. le
chapitre
de Malebranche sur Sénèque au IIe livre de la Rec
mplace. 64. De la ville de Thécua. Voir le livre des Rois, liv. II,
chap.
xiv. 65. Cf. la viie scène de l’acte II d’Esthe
Tableau de la Littérature au dix-huitième siècle, de Villemain ; les
chap.
iii et viii du IVe livre de l’Histoire de la Litt
Ve livre de l’Histoire de la Littérature française, de M. Nisard ; le
chapitre
sur Montesquieu dans Y Histoire de la Philosophie
ntiquité et les temps modernes, par M. P. Janet (liv. IV, section ii,
chap.
i), et pour la partie biographique. : La Vie et l
un tableau ; elle lui donne de la force et du relief. » 133. Cf. le
chapitre
de La Bruyère : De la Société et de la Conversati
s réussi dans sa tragédie. » 147. On rapprochera avec intérêt de ce
chapitre
ce que Montesquieu dit encore de Mithridate dans
uieu dit encore de Mithridate dans l’Esprit des Lois. Voir livre XXI,
chap.
xii. 148. De là le proverbe rapporté par saint A
ini plusieurs fois. Voir particulièrement Esprit des Lois, livre III,
chap.
v, note 1, et livre V, chap. II. Dans les Eclairc
iculièrement Esprit des Lois, livre III, chap. v, note 1, et livre V,
chap.
II. Dans les Eclaircissements sur l’Esprit des Lo
tres. » (Montesquieu.) 164. Voir Tite-Live, Histoires, livre XXXIII,
chap.
xlvi et suivants. C’est Tite-Live qui donne à Ann
préteur : « Prætor factus Annibal vocari ad se quæstorem jussit. » Au
chapitre
xlvii Tite-Live dit des Carthaginois excités cont
de la Littérature française au dix-huitième siècle, de Villemain, le
chapitre
m, § 2 et le chapitre ix, § 1 » de l’Histoire de
nçaise au dix-huitième siècle, de Villemain, le chapitre m, § 2 et le
chapitre
ix, § 1 » de l’Histoire de la Littérature françai
nom de Stanislas II. 175. Aujourd’hui Dniéper. 176. A propos de ce
chapitre
, on pourra lire quelques pages piquantes de Saint
rticle). En louant « les vues justes et rapides » qui recommandent ce
chapitre
, le critique estime cependant que Voltaire « y ab
’homme qui médite est un animal dépravé. » Lire, sur tout le débat le
chapitre
iv du livre de Saint-Marc Girardin : Jean-Jacques
évolutions du Globe, page 17, édition Didot. 207. Essais, livre II,
chapitre
XII. 208. Lire, sur Buffon : la 22e leçon du Tab
de la Littérature française au dix-huitième siècle, de Villemain ; le
chapitre
x du IVe livre de l’Histoire de la Littérature fr
me de ses idées. Voir J. J. Rousseau, sa Vie et ses Ouvrages, tome I,
chapitre
II. 219. L’expression ici pourrait être plus net
ignalé le même défaut dans la conversation. Voir le portrait d’ici au
chapitre
de la Société et de la Conversation. Cf. Montaign
ns le Tableau de la Littérature française au dix-huitième siècle ; le
chap.
XI de la IVe partie de l’Histoire de la Littératu
s’est particulièrement inspiré de Montaigne. Voir dans les Essais le
chap.
xxv du livre I : De l’Institution des Enfants.
essant de comparer ici Rousseau et Montaigne. Voir Essais, livre III,
chap.
ix : « Le voyager me semble un exercice profitabl
de Lisbonne. Sur cette polémique entre Rousseau et Voltaire, lire le
chapitre
v de l’ouvrage cité de Saint-Marc Girardin et int
de la Littérature française, de D. Nisard, tome IV, cbap. VI, § 4, et
chap.
xii, § 3 ; — Sainte-Beuve, Causeries du Lundi, to
tième siècle ; Nisard, Histoire de la Littérature française, tome IV,
chap.
vil, §§2 et 3 ; Sainte-Beuve, Causeries du Lundi,
-même. 265. Revoir le portrait de Catilina dans Salluste, Catilina,
chap.
V et xiv. On relèvera particulièrement ces traits
redibilia, nimis alta semper cupiebat, » etc. Cf. Cicéron, pro Cœlio,
chap.
vi : « Versare suam naturam et regere ad tempus,
s relations du marquis de Mirabeau avec Vauvenargues, on peut lire le
chapitre
xvn de l’ouvrage de M. de Loménie : Les Mirabeau,
points touchés ici par Vauvenargues ont été développés par Fénelon au
chapitre
VII de la Lettre sur les occupations de l’Académi
i vient d’autrui blesse toujours un peu. » 277. Vaugelas, au dernier
chapitre
des Remarques sur la Langue française (1647) a tr
n ; — Histoire de la Littérature française, de M. D. Nisard, tome IV,
chap.
vi ; — Sainte-Beuve, Causeries du Lundi, tome VI,
ableau de la Littérature française au dix-huitième siècle ; — Nisard,
chap.
XII, § IV du IVe volume de L’Histoire de la Litté
’objet de critiques peut-être plus spirituelles que justes. Relire le
chapitre
v de la Lettre à l’Académie : « On voit toujours
ce donc, argument si commode au défaut d’autres. » Le Pape, livre I,
chapitre
xvii. 324. Il disait de lui-même : « Lorsque j’é
boschi, Stor. della Letter. ital. (Venise, 1795), tome IV, livre III,
chapitre
I. 332. Malgré quelques traits sévères ou excess
ture, de la philosophie et de la religion. » De l’Allemagne, liv. IV,
chap.
v. 359. « Nous avons beaucoup perdu par la Révol
ulièrement ses élégies, sont appréciées par Mme de Staël dans le xiii
chap.
de la 2e partie de l’Allemagne, les principales p
nt, Iphigénie en Tauride, Torquato Tasso, Faust) sont jugées dans les
chap.
xxi, xxii et xxiii du même ouvrage. 366. Nous po
le. » 372. Nous ne saurions trop recommander la lecture des derniers
chapitres
de la quatrième partie de l’Allemagne, dont nous
s de M. de Chateaubriand aux vœux de l’imagination. » — Lire aussi le
chapitre
premier du Pessimisme au dix-neuvième siècle, par
t d’Athènes dans le Discours sur l’Histoire universelle, IIIe partie,
chap.
V. 388. Lord Byron, dans son poème intitulé le G
ui passeront l’éternité dans l’extase de ce qu’ils adorent. » Voir le
chapitre
intitulé : Les Peintres étrangers à Rome. 395.
résultat des fouilles entreprises dans ce siècle, un très intéressant
chapitre
du livre de M. Boissier : Promenades archéologiqu
t, dans le Tableau, de l’Éloquence chrétienne au quatrième siècle, le
chapitre
sur saint Ambroise. 441. Le ministre d’Arcadius,
ire que vos fils ont obtenue. » 443. Voir, dans la XIVe Philippique,
chap.
xii, la belle invocation de Cicéron aux guerriers
. » 446. Né à Semur en 1720, mort en 1785. Un choix de ses meilleurs
chapitres
a été placé par M. Hémardinquer à la suite de ses
du Vrai, du Beau et du Bien. 461. Helvétius, en effet, dans le XIVe
chapitre
du IIe discours du livre De l’Esprit, distingue l
e je fais. 465. Racine, imitant l’Épître de saint Paul aux Romains,
chap.
vu, dit, dans un de ses Cantiques spirituels : M
s ou surpris par les neiges. 505. Cf. dans le récit de Tite-Live au
chap.
xxxiii : « Equi maxime infestum agmen faciebant
récit de la mort de Louis XI dans les Mémoires de Comines, livre VI,
chap.
xi et xn. L’historien s’élève à une vraie éloquen
l’Histoire de la Littérature romaine par A. Pierron la conclusion dn
chap.
il : « Rome, à la chute des Tarquins, n’avait pas
de Clélie, etc. 555. Dans sa quatrième Préface. 556. Voir le § 6 du
chapitre
vii : « Le duc de la Feuillade vantait un jour av
uelques poètes ; La Harpe, Cours de Littérature, siècle de Louis XIV,
chap.
ix ; Villemain, Tableau de la Littérature au dix-
cle, 2e leçon; Nisard, Histoire de la Littérature française, tome IV,
chap.
v; Marmontel, ses Mémoires, vers la fin du livre
s Annales de Tacite, livre XII, chap xliv et suivants, et livre XIII,
chap.
xxxvii. 589. Le caractère de Rhadamiste, par ses
12e, 21e ; D. Nisard, Histoire de la Littérature française, tome IV,
chap.
iv, v ; Le Théâtre et la Philosophie au dix-huiti
s où était présenté le même type. Sur ces imitations, on peut lire un
chapitre
intéressant de l’étude de M. Fontaine : Le Théâtr
regards voilés je trouve plus d’attraits… 686. Dans les Jardins,
chap.
ii. — La Harpe a aussi traité le même sujet, qui
tième siècle ; Nisard, Histoire de la Littérature française, tome IV,
chap.
iv ; Sainte-Beuve, le chapitre sur Regnier, dans
ire de la Littérature française, tome IV, chap. iv ; Sainte-Beuve, le
chapitre
sur Regnier, dans le Tableau de la Poésie françai
s permulsa domus jucundo risit odore…… 704. Selon Athénée (liv. I,
chap.
8) dans les temps primitifs chacun des convives a
nt pas généralement aux repas des hommes. Voir Cicéron, In Verrem, I,
chapitre
xxvi. — Cf. Homère, Odyssée, chant. IV, où Hélène
. C’est tout un ciel, tout un.paysage en un vers. » 750. Livre II,
chapitre
n (trad. C. Bénard). 751. Cette impression des p
s, mais sans la nuance de découragement qui perce ici, dans plusieurs
chapitres
de l’Imitation de Jésus-Christ. Voir particulière
rs chapitres de l’Imitation de Jésus-Christ. Voir particulièrement le
chap.
xlviii du livre III : « Opto inhærere coelestibus
hez Michel Lévy. 791. Sur la Chanson de Roland, lire un intéressant
chapitre
de M. Charles Aubertin, dans l’Histoire de la Lan
ve, était anéantie (1er août). » (Duruy, Histoire de France, tome II,
chapitre
lxii.) 796. Dans le sens de dépassée. 797. Comp
ire, sur l’incendie de Rome, dans les Annales de Tacite, le livre XV,
chapitres
xxxviii et suivants. Dion Cassius (16, 21) et S
de Néron. Tacite se borne à dire : Forte an dolo principis incertum (
chapitre
xxxviii). Voir, sur ce point, les notes intéress
e des Annales donnée par M. Dupuy (Delalain). — L’historien latin, au
chapitre
xxxix, rapporte le fait qui a inspiré le poète fr
. » 802. Sur ce point Tacite est affirmatif. Voir Annales, livre XV,
chapitre
xliv : « Ergo abolendo rumori Nero subdidit reo
lé le secret des mystères, c’était à son insu. Voir, sur ce point, le
chap.
iii, p. 349, intitulé : L’orphisme d’Eschyle et l
r la mer Morte, voir l’Itinéraire de Paris à Jérusalem, 3e partie, au
chapitre
intitulé : Voyage de Rhodes, de Jaffa, de Bethlée
Chapitre
premier. Division générale. Les œuvres littérai
0. Voir ci-dessus ce qui a été dit sur les Images, p. 22 [1re partie,
chapitre
II, § III]. 11. Voir plus haut, page 165 [2e par
artie, chapitre II, § III]. 11. Voir plus haut, page 165 [2e partie,
chapitre
premier, § IX] ce qui a été dit sur le sublime da
vais le mettre en pièces. Valère. Lis donc. Hector lit. Lis donc.«
Chapitre
six. Du mépris des richesses. « La fortune offre
age gagne assez lorsqu’il peut s’en défaire. » Lorsque Sénèque fit ce
chapitre
éloquent, Il avait, comme vous, perdu tout son ar
désormais vous serez seule arbitre, Adorable Angélique !… Achève ton
chapitre
. Hector. « Que faut-il… » Valère. « Que faut-i
Chapitre
XIV. de la fin En lisant certains prosateur
et du xixe siècles, quand de nouveaux personnages ont surgi à chaque
chapitre
, quand mille intrigues se sont croisées et compli
indispensable et universelle, que nous pourrions conclure le présent
chapitre
, le dernier de ceux qui traitent de la dispositio
Chapitre
IV. Du Beau et des Plaisirs du Goût. Le beau e
rations, ni aux descriptions10. 10. Le fonds de ces quatre premiers
chapitres
est emprunté du Cours de Rhétorique et de Belles-
Chapitre
VII. Fontenelle. Fidèles à notre plan, qui est
reuves et à la conclusion que nous en voulons tirer, pour terminer ce
chapitre
. On connaît le parallèle de Pierre Ier et du roi
uver, et qu’on les traite plus sérieusement que l’on n’a fait dans ce
chapitre
. L’ignorance, qui est leur caractère, les rend in
nir prier Dieu auprès du corps. Extrait des Mémoires 311, ann. 1711,
chap.
xiv du t. IX, édit. de Sautelet, 1829. Montes
sance parût diminuer au dehors324. De l’Esprit des Lois, liv. XXXI,
chap.
xviii et suiv. Dialogue de Sylla et d’Eucrate3
t, je vous prie, de mon Essai sur le Siècle de Louis XIV par les deux
chapitres
imprimés en Hollande avec tant de fautes qui rend
sur ce prince et sur ses ancêtres ! Histoire du Siècle de Louis XV,
chap.
xxv. De l’esprit. On consultait un homme,
es biens qui ne sauraient finir. (Imitation de Jésus-Christ, liv. I,
chap.
1399.) Polyeucte400. (Extraits.) Félix, sén
avec intérêt, sur l’influence de Balzac au dix-septième siècle, le 5e
chapitre
des Prédicateurs du dix-septième siècle avant Bos
pour lui-même un supplice. (Traduction de Burnouf.) Voici la suite du
chapitre
: « Ce n’est pas en vain que le prince de la sage
lus gracieux récits. « Apulée, dit M. Saint-Marc Girardin dans le 51e
chapitre
du Cours de littérature dramatique, est un vérita
t également curieux de comparer à ce passage un des plus remarquables
chapitres
de l’Esthétique de Hegel (le Ve chapitre du Systè
ge un des plus remarquables chapitres de l’Esthétique de Hegel (le Ve
chapitre
du Système des arts), dans l’excellente traductio
ns douteux qu’il emporte aujourd’hui avec lui. 72. Cf. La Bruyère au
chapitre
De la société et de la conversation, éd. Helleu,
Maury, Essai sur l’éloquence de la chaire. 179. Cf. dans Salluste,
chap.
V, Catil., le portrait de Catilina : « Animus aud
princesse. 182. Vanitas vanitatum, et omnia vanitas (Ecclésiaste,
chap.
I, v. 2) : auparavant saint Jean Chrysostome s’ét
considérations semblables de Fénelon, dans ses Instructions et avis,
chap.
xxx : « Les jours, les mois, les années, se press
VI, 2 ; CI, 12 ; CII, 15. Cf. Fénelon, dans ses Instructions et avis,
chap.
xviii. 190. De Resurrectione carnis : « Cadit i
orrespondance de Bossuet et de Leibnitz. 197. Ire Épître à Timothée,
chap.
V, v. 3 et 5. 198. Ire Épître à Timothée, chap.
e Épître à Timothée, chap. V, v. 3 et 5. 198. Ire Épître à Timothée,
chap.
V, v. 6. 199. Quelle éloquence touchante dans ce
. 200. Dernier passage cité, v. 11 et 12. 201. Épître aux Hébreux,
chap.
VI, v. 4 et suiv. 202. Cf. les Caractères de La
reux, chap. VI, v. 4 et suiv. 202. Cf. les Caractères de La Bruyère,
chap.
VIII, de la Cour. 203. Ce mot annonce et prépare
accents. » 221. « Dans ces solennités funèbres, dit M. Jacquinet au
chap.
V de son livre des Prédicateurs du dix-septième s
tion de Vauvenargues ; l’agréable notice de Suard écrite en 1782 ; un
chapitre
du Génie du Christianisme ; l’Éloge de Victorin F
ntière résumée dans ce remarquable passage. Voy. particulièrement les
chapitres
58 et suiv. de ce dialogue. 260. Ainsi Bossuet,
up et ne le critique guère moins, Essai sur l’éloquence de la chaire,
chap.
58. Si le premier, en faisant de lui, dans le ser
res Cf. Chateaubriand, Génie du Christianisme, IIIe partie, livre IV,
chap.
3. 278. Nicolas de Catinat naquit à Paris en 163
ignalera Chateaubriand, Génie du Christianisme, IIIe partie, liv. IV,
chap.
v ; M. Villemain, dans l’Éloge qu’il lui a consac
sais sur l’histoire de France par M. Guizot, Voy. le quatrième essai,
chap.
III et suiv. « Charlemagne le premier, dit l’émin
ce point d’opposer Montesquieu à lui-même. Voy. particulièrement les
chap.
xi et xiii de la Grandeur et décadence des Romain
bîme de ma gloire… 329. Cependant Plutarque raconte (Vie de Sylla,
chap.
XLIII) qu’un jeune homme osa suivre Sylla jusque
êts à le secourir ou à le venger » Grandeur et décadence des Romains,
chap.
xi. 332. Il serait plus correct de dire je résol
une fort belle page de Montesquieu dans l’Esprit des Lois, liv. XXI,
chap.
XII. 334. On dirait aujourd’hui que Sylla se fût
en vous ne soit qu’une étincelle ? » 335. Plutarque, Vie de César,
chap.
I. 336. « Montesquieu, dit M. Villemain dans l’É
ltaire, Chateaubriand, Génie du Christianisme, IIIe partie, liv. III,
chap.
vi ; M. Villemain, Tableau de la littérature au d
Nouvelle-Grenade. Voy., à ce sujet, le Précis du siècle de Louis XV,
chap.
viii. 341. « Summi sunt, homines tamen », a dit
é ici par erreur à la place du géomètre Viviani, dont il est parlé au
chap.
xxv du Siècle de Louis XIV, et dont Fontenelle a
r les rapports des choses les plus éloignées. » (De l’Esprit humain,
chap.
xi.) 360. L’éloge de Buffon a été fait par Vicq
onsulter Chateaubriand, Génie du Christianisme, IIIe partie, liv. IV,
chap.
v ; M. Villemain, Tableau de la littérature au di
r ce discours, voir l’abbé Maury, Essai sur l’éloquence de la chaire,
chap.
xxxix, et surtout M. Villemain, dans sa 22e leçon
ne sauraient être trop méditées. On étudiera, dans les Caractères, le
chapitre
des Ouvrages de l’esprit ; les articles Goût et S
rtant un peu en arrière, certains passages de Montaigne, notamment le
chap.
V du livre III des Essais, et, en revenant vers n
argues dans son Introduction à la connaissance de l’esprit humain, au
chap.
XIII, que l’on peut rapprocher de ce discours, aj
onde avec la soudaineté des éclairs. » Cf. Longin, Traité du sublime,
chap.
VIII. 382. Déjà, en 1733, Buffon avait été, à l’
ble un passage du IIIe livre de Lucrèce, v. 944 au v. 992, et un beau
chapitre
des Essais de Montaigne, le 19e, du Ier livre.
II de son Cours analytique de la littérature générale ; M. Nisard, 9e
chapitre
du livre III de son Histoire de la littérature fr
us-Christ, est emprunté à Tacite. On pourra lire dans les Annales les
chap.
44 et suiv. du livre XII, et le chap. 37 du livre
ourra lire dans les Annales les chap. 44 et suiv. du livre XII, et le
chap.
37 du livre XIII. 688. À partir du second acte,
Chapitre
premier. Beautés de détail. Nous avons vu quel
e passage d’Homère est en effet admirable, et nous l’avons fait voir,
chap.
iii de notre ouvrage, en parlant du sublime dans
ent, ce versificateur sera vraiment poète. 4. Boileau, Art Poét.,
Chap.
III. 5. Rhétor., L. I, Chap. IX.
iment poète. 4. Boileau, Art Poét., Chap. III. 5. Rhétor., L. I,
Chap.
IX.
de philosophes avait la sienne. 2. On peut consulter, à ce sujet, le
chap.
1er du XIXe livre de cet ouvrage ; Cf. ibid., XVI
eloppement de cette grande pensée. Il faut relire particulièrement le
chap.
viii de la IIIe partie (les Empires), où Bossuet
Chapitre
V. — Qualités particulières du Style Les qualit
té. Nous citerons pour exemple une page de La Bruyère, prise dans son
chapitre
: De la mode : Iphis voit à l’église un soulier
ion du style périodique, voyez page 23 de ce volume [Première partie,
chapitre
I, section IV, § IV, « Style périodique »]. §
une langue bâtarde aux dépens de la noble langue française. (Voir le
chapitre
intitulé : Néologisme, p. 152 de ce volume [Premi
chapitre intitulé : Néologisme, p. 152 de ce volume [Première partie,
chapitre
IV, section II, 4°].) La querelle des anciens et
de consolation. » À toutes les citations qui ont été faites dans ce
chapitre
: nous ajouterons le célèbre Cantique de Moïse, q
Chapitre
IV. Genre didactique. § 20. Définition. — Div
Chapitre IV. Genre didactique. § 20. Définition. — Division du
chapitre
. — Traités de sciences. — Histoire de ces ouvrage
un traité entier ; je placerai, du moins, quelques lignes du deuxième
chapitre
de la Logique de Condillac, où l’auteur prouve qu
puisse faire, c’est l’affection et amour des siens. (Essais, liv. II,
chap.
viii.) Montaigne et ses livres Pour me di
faire particulierement la court10 ; où se cacher ! (Ibid., liv. III,
chap.
iii.) La vertu de la poésie Nous avons bi
naturelle compassion, qui peult infiniement en moy. (Ibid., liv. III,
chap.
xiii.) 1. L’éducation de Montaigne avait été e
estimé. 2. On peut voir, dans le livre cité de M. de Noailles (t. I,
chap.
3), dans quel état de gêne, voisin de la misère,
dans plusieurs parties des ouvrages de Salomon, et notamment dans le
chap.
ii de l’Ecclésiaste. 4. Allusion au mariage sec
ute, ce qui est capable de l’émouvoir. (Arist. , Rh., l. I, c. 2.)
Chapitre
premier. Des preuves ou moyens tirés des chos
d’une autorité grave (MM. de Port Royal, Art de penser ; 3e. partie,
chap.
16), aient montré peu d’estime pour la méthode de
e la division. Nous parlerons de la division au livre suivant. Voyez
chap.
II. Article III. Des moyens de donner
ence. Nous développerons davantage ces idées au livre suivant. (Voyez
chap.
3.) Comment juger de la force intrinsèque des pr
fait, qu’à dire de grandes choses avec nombre et avec harmonie.
Chapitre
II. Des moyens tirés des personnes. Des t
es temps et chez tous les peuples. Une lecture réfléchie de ces beaux
chapitres
ne peut être que très-profitable. On doit, selon
19.) Quintilien a traité excellemment l’art des bienséances dans le
chapitre
premier du livre onzième de ses Institutions orat
de ses Institutions oratoires. L’orateur ne saurait assez méditer ce
chapitre
, qui est un des plus beaux de l’ouvrage. Art
s en revue, et entrer, au sujet de chacune, dans quelques détails.
Chapitre
premier. De l’exorde. But de l’exorde.
i va contre l’intérêt de la cause. (De inv. Rhet., l. I, n. 18.)
Chapitre
II. De la proposition. Définition de la
restreindre le sujet. Nous avons parlé des qualités du plan dans le
chapitre
préliminaire de ce livre ; mais nous devons ajout
’engage à suivre l’orateur avec plus de patience. (Quint., ibid.)
Chapitre
III. De la confirmation. Définition de l
os et la variété. Nous avons fait connaître les deux premiers dans le
chapitre
précédent ; développons les autres. § Ier. De l
us aliœ quoque partes recipiunt, sed breviores. (L. VI, c. 1.)
Chapitre
IV. De la Péroraison. La péroraison a de
cours, est le plus favorable au but que l’orateur s’est proposé.
Chapitre
V. De la Narration. Définition de la nar
a richesse, toute la magnificence, toute la délicatesse du style.
Chapitre
VI. De la Réfutation. De la réfutation c
de passion, d’intérêt, de flatterie. MM. de Port-Royal en ont fait un
chapitre
excellent que les jeunes gens peuvent lire avec b
er successivement ; elles nous serviront de divisions principales.
Chapitre
premier. Des qualités dont se forme un bon st
me les couleurs sous le pinceau. Variété du style. Nous finirons ce
chapitre
par recommander la variété. Après le précepte d’a
n mémoire de quelques pages sur un sujet purement scientifique.
Chapitre
second. Des moyens à employer pour se former u
ens à employer pour se former un bon style. Nous avons vu dans la
chapitre
précédent, quelles sont les qualités dont se form
le communiquent à ceux qui écoutent, comme il a été remarqué dans le
chapitre
des passions ; et, par conséquent, elles contribu
ophisticè loquitur, odibilis est. (De doct. Christ., l. II.)
Chapitre
III. Des défauts les plus ordinaires du style.
urs attachent moins de prix. Elle comprend la mémoire et l’action.
Chapitre
premie. De la mémoir. Utilité de la mémo
urs plaisent au débit, qui, à la lecture, sont trouvés médiocres.
Chapitre
II. De l’action. Importance de l’action.
l’orateur fait contraster ensemble. Et ainsi des autres figures.
Chapitre
II. Du geste. Le geste accompagne naturel
uvrage. j Notions préliminaires 1 Livre premier. De l’invention 7
Chap.
Ier. Des preuves ou moyens tirés des choses 10
t. III. Des moyens de donner aux preuves toute la force possible 88
Chap.
II. Des moyens tirés des personnes 93 Art. Ier.
ur les passions oratoires 131 Livre second. De la disposition 139
Chap.
Ier. De l’exorde 144 Chap. II. De la propositio
Livre second. De la disposition 139 Chap. Ier. De l’exorde 144
Chap.
II. De la proposition et de la division 149 Cha
De l’exorde 144 Chap. II. De la proposition et de la division 149
Chap.
III. De la confirmation 156 § I. De l’arrangemen
euves 160 § III. De la variété dans l’exposition des preuves ibid.
Chap.
IV. De la péroraison 163 Chap. V. De la narrati
ans l’exposition des preuves ibid. Chap. IV. De la péroraison 163
Chap.
V. De la narration 167 Chap. VI. De la réfutati
id. Chap. IV. De la péroraison 163 Chap. V. De la narration 167
Chap.
VI. De la réfutation 175 Appendice. Des transiti
ppendice. Des transitions 184 Livre troisième. De l’élocution 187
Chap.
Ier. Des qualités dont se forme un bon style 199
tyle des sujets pathétiques 246 4°. Style des sujets agréables 248
Chap.
II. Des moyens à employer pour se former un bon s
358 Réflexions sur les figures et sur l’usage du style figuré 363
Chap.
III. Des défauts les plus ordinaires du style 367
ns la prose 384 Livre quatrième. De la prononciation oratoire 387
Chap.
Ier. De la mémoire ibid. Chap. II. De l’action
. De la prononciation oratoire 387 Chap. Ier. De la mémoire ibid.
Chap.
II. De l’action 395 Art. Ier. De la voix 398 1
. Accent 402 Trois tons différens dans la déclamation oratoire 406
Chap.
II. Du geste 411 Mouvement de la tête 413 Du vi
méditer, sur la manière de préparer et de prononcer un plaidoyer, le
chapitre
2e. du livre II de Quintilien, et le chapitre 2e.
noncer un plaidoyer, le chapitre 2e. du livre II de Quintilien, et le
chapitre
2e. du livre V des Institutions oratoires de M. d
ge compta parmi les événements du siècle. Un de ses plus remarquables
chapitres
est celui qui contient les Époques de la nature,
s écrivains que par leurs expressions et leurs images. » (Caractères,
chap.
I.) 1. La logique des idées frappe surtout Bu
ui les éblouisse, ils vous quittent du bon et du beau. » (Caractères,
chap.
I.) 2. Comme la feuille du métal battu. On l
jamais eu l’intention de leur faire dire… » (La Bruyère. Caractères,
chap.
V.) 2. Ce conseil est périlleux. Il faut que l
Chapitre
II. Application du chapitre précédent au discours
Chapitre II. Application du
chapitre
précédent au discours de Cicéron pour Milon. A
s que nous venons d’établir, nous avons préféré de les réunir dans un
chapitre
particulier, et de les tirer surtout d’un seul et
Chapitre
VI. De l’Harmonie du Style. Il est un heureux
imite par la combinaison même des sons, comme nous le verrons dans le
chapitre
qui suivra celui-ci, il est une harmonie générale
r dans Bossuet (Traité de la connaissance de Dieu et de soi-même.) le
chapitre
consacré aux différences qui séparent l’homme des
Miroir historique, l’attribuait à Empédocle. 5. Comparer La Bruyère,
chapitre
Des esprits forts, xvi, Apostrophe à Lucile. 6.
l’instinct et la nature se moquent des règles de convention. Lire le
chapitre
où Pascal traite de la différence entre l’esprit
es définitions sont en lettres italiques. Au commencement de tous les
chapitres
, nous donnons une liste des auteurs à consulter s
tés, dans ses ornements et dans les moyens de le former. De là quatre
chapitres
différents dans cette première partie. Chapitre
rmer. De là quatre chapitres différents dans cette première partie.
Chapitre
premier. Éléments du style. 40. Bien écrire, d
pour la fin les mots qui doivent produire un effet plus décisif.
Chapitre
deuxième. Des qualités du style8. 104. Les qua
timents et les images peuvent prendre un caractère de sublimité.
Chapitre
troisième. Des ornements du style. 160. Par or
eure immobile. (Oraison funèbre de Turenne, — Voir le no ix.)
Chapitre
quatrième. Moyens de former le style. 249. Tro
oilà le genre dramatique. Nous diviserons donc cette section en trois
chapitres
: genre lyrique, genre épique, genre dramatique.
en trois chapitres : genre lyrique, genre épique, genre dramatique.
Chapitre
premier. Genre lyrique22. 415. La poésie lyriq
Pompignan, Gilbert, Lamartine, Casimir Delavigne et Victor Hugo.
Chapitre
deuxième. Genre épique23. 446. Le genre épique
offensée ou en crainte d’être violée par les derniers attentats.
Chapitre
troisième. Du genre dramatique24. 484. Le dram
genre élégiaque. Nous allons parler en peu de mots de chacun d’eux.
Chapitre
premier. Du genre didactique25. 541. Le poème
ité est assez claire par elle-même, il est inutile de l’exprimer.
Chapitre
deuxième. Du genre pastoral26. 560. La poésie
ui forme un des livres de nos saintes Écritures. (Voir le nº xix.)
Chapitre
troisième. Du genre élégiaque. 568. L’élégie c
rançaise, IIIe partie ; Collombet, Cours de littérature, section Ire,
chap.
iii. 9. Auteurs à consulter : Longin, Traité du
Ire, chap. iii. 9. Auteurs à consulter : Longin, Traité du sublime,
chap.
xvi-xxx ; Cicéron, De oratore, III, 200-210 ; Qui
ct. 1re, ch. v. 11. Auteurs à consulter : Longin, Traité du sublime,
chap.
xiii et xiv ; Quintilien, Instit. orat., liv. I e
l’Académie ; Laurentie, De l’étude et de l’enseignement des lettres,
chap.
iv et v ; Marmontel, art. Imitation. Traduction ;
r : Cicéron, De oratore, 1, 150-155 ; Quintilien, Inst. orat. liv. X,
chap.
iii, iv, v ; Marmontel, art. Rhétorique ; Laurent
Rhétorique ; Laurentie, De l’étude et de l’enseignement des lettres,
chap.
v ; L’abbé Capot, Études sur la composition. 15.
die, Comique, Opéra, Chœur, etc. ; Laurentie, De l’étude des lettres,
chap.
viii ; Victor Hugo, Préface de Cromwell ; F. Schl
t Didactique, Descriptif ; Collombet, Cours de littérature, sect. II,
chap.
iii. 26. Auteurs à consulter : Blair, Leçons de
Chapitre
IV. — Du Style. Le Style est la manière d’expri
é de la phrase, dans les leçons précédentes, page 1 [Première partie,
chapitre
I, section I]. La clarté du style fait le princip
é du style, il est important d’étudier ce que nous avons dit dans les
chapitres
précédents sur la Pureté de la phrase. (Voir p. 7
s précédents sur la Pureté de la phrase. (Voir p. 7 [Première partie,
chapitre
I, section II). Nous offrons comme modèles de pur
bles qualités du style, nous renvoyons à la page 17 [Première partie,
chapitre
I, section IV]. Nous ne ferons que résumer ici le
ujusque libido erat, capite censos plerosque. » (De Bello Jugurthino,
chap.
lxxxvi.) Remarquez que, dans la division par trib
iens, les Samnites, et autres. (Appian, De la Guerre civile, livre I,
chap.
xxxix.) (Note de Montesquieu.) 2. Les Toscans, l
tesquieu manque souvent d’ordre, malgré ses divisions en livres et en
chapitres
; que quelquefois il donne une épigramme pour une
e conserve la mémoire des sottises qui ont été faites ou dites sur ce
chapitre
-là. Mais ne faudrait-il pas aussi que le même arr
erne, relativement aux sciences physiques ; voy. particulièrement les
chap.
6, 7 et 8. Cf. Villemain, Tableau de la littératu
i les éblouisse, ils vous quittent du bon et du beau. » (Caractères,
chap.
I) 2. Comme la feuille du métal battu. On li
jamais eu l’intention de leur faire dire… » (LA BRUVÈVE, caractères,
chap.
V.)
Chapitre
X. Péripétie.] Ce mot, que notre langue a empru
Chapitre
X. Dixième espèce de mots. L’interjection
ation de Vauvenargues, l’agréable notice de Suard, écrite en 1782, un
chapitre
du Génie du Christianisme, l’Eloge de Victorin Fa
. » 1. « Est eloquentiæ, lit-on en effet dans l’Orator de Cicéron,
chap.
21, sicut reliquarum rerum, fundamentum sapientia
des langues et sur leurs progrès ; Grammaire raisonnée de Condillac,
chapitre
ii et suivants.) Naissance et progrès de la co
mes effets de l’éloquence, résultent du langage parlé. (Voyez, sur ce
chapitre
et le précédent, l’excellent ouvrage de M. le pré
substantif qu’il modifie. (Voyez la Grammaire raisonnée de Condillac,
chapitre
v.) Parmi toutes les classes de mots qui dans les
je vais faire. (Voyez la Grammaire de Beauzée et celle de Condillac,
chapitre
viii.) Outre les temps ou manière d’exprimer l’ép
ement ou construction mal conçue. Après avoir traité, dans le dernier
chapitre
du choix des mots, nous allons nous occuper de le
ts de littérature de Marmontel, article Harmonie du style. Le dernier
chapitre
de la Prosodie française de l’abbé d’Olivet, la C
sse ; enfin Rollin, Manière d’enseigner les belles-lettres, liv. III,
chap.
3. Origine et nature du langage figuré. Not
affecté, véhément. Conseils pour former le style. Je vais, dans ce
chapitre
, considérer le style sous un autre point de vue q
son attention sur leurs différents genres ; et j’ai indiqué, dans ce
chapitre
et les précédents, les choses les plus utiles à c
r, les gens sensés souriront de pitié ! Enfin, je ne puis conclure ce
chapitre
sans rappeler que l’attention que nous devons au
s. Coup d’œil sur l’éloquence française. Nous avons vu, dans le
chapitre
précédent, combien les mœurs, les habitudes moder
s insistent beaucoup sur cette loi fondamentale. Consultez le premier
chapitre
du deuxième livre de Quintilien, qui est employé
ifs de l’éloquence propre aux assemblées populaires. Je terminerai ce
chapitre
en indiquant ce dernier précepte : que tout orate
toute notre attention. La plupart des règles tracées dans le dernier
chapitre
s’appliquent ce genre d’éloquence, et néanmoins,
’abus de confiance. Dans ce même dessein Quintilien, dans le huitième
chapitre
de son dernier livre, donne un grand nombre d’exc
ours les mêmes idées ; elle n’exige pas qu’il n’y ait ni division, ni
chapitre
; ce serait comprendre cette expression dans un s
s. Introduction, narration, explication. J’ai traité dans les
chapitres
précédents de tout ce qui est particulier à chacu
miroirs dont ils pourraient faire usage. Quintilien, dans le dernier
chapitre
du onzième livre de ses Institutions, établit un
habituels et mécaniques. Je n’ajouterai plus à ce que j’ai dit sur ce
chapitre
que cette considération : pour réussir dans le dé
’il doit dire, et la manière dont il doit l’exprimer. En terminant ce
chapitre
, je ne puis m’empêcher de renouveler le conseil d
s observations préliminaires, nous arrivons à l’objet principal de ce
chapitre
, c’est-à-dire à traiter des moyens les plus propr
Chapitre
VIII. Épître. L’épître est une lettre en vers q
Chapitre
VIII. Huitième espèce de mots. L’adverbe.
Chapitre
VI. De l’élocution et du style. L’élocution est
le fragment cité plus haut, page 52, du plaidoyer de Lally-Tollendal [
chapitre
V, § 2, 5° Réfutation]. On peut faire des période
binaisons, en classer tous les tons, toutes les nuances, on ferait un
chapitre
aussi long que fastidieux, et dont l’utilité sera
n général dans la seconde partie de cet ouvrage (page 165 [2e partie,
chapitre
premier, § IX]) ; il ne s’agit ici que du sublime
rmann, de M. Græfenhan, de M. Ritter, et aux travaux indiqués dans le
chap.
iii, § 4, de l’Essai sur l’histoire de la Critiqu
Chapitre
XIII. du corps de l’ouvrage. — argumentation,
ture française jusqu’au xviie siècle, t. 1, c. 8, p. 80. 59. Au 26e
chapitre
de l’Orateur.
Chapitre
XV. de l’élocution Voici une nouvelle preuv
de ceux qui se croyaient des Salluste, quand ils avaient saupoudré un
chapitre
d’une pincée d’archaïsmes, ou des Cicéron, quand
Chapitre
III. — Disposition Section I. — Conditions d’
es trois qualités, pour le développement desquelles nous renvoyons au
chap.
II, sect. II, p. 46 [Des Pensées considérées dans
Chapitre
IX. Neuvième espèce de mots. La conjoncti
x. L’apostrophe de Démosthène aux Athéniens, dans sa 1re Philippique (
chap.
iii) ; — les plaintes d’Antigone et de Philoctète
e Condé) et celui de Voltaire sur le même sujet (Siècle de Louis XIV,
chap.
iii). La narration poétique orne le récit, l’enri
s quelques pages du Discours sur l’histoire universelle (IIIe partie,
chap.
vi et vii.) 5° Correction La correction est
medius et quasi temperatus… ut cinnus amborum , dit Cicéron (Orator,
chap.
vi). Il est propre surtout aux sujets purement ag
que subierat, damnabitur, pour quodcunque, etc. (Cicéron, Pro Sextio,
chapitre
xxxi.) 2° Figures de construction. Les fig
un petit fait. Ex. les anecdotes du Siècle de Louis XIV par Voltaire (
chap.
xxv et xxvi). Le fait vrai doit être raconté d’un
er à Louis XIII la condamnation de Cinq-Mars dans le roman de ce nom (
chap.
xxiv, p. 393-395). 2° En faisant mouvoir dans un
faisant pendant. Ex. portrait du riche et du pauvre dans La Bruyère (
chap.
vi, Des biens de la fortune) ; — celui de Démosth
nclusion brève du rapporteur. Cf. Rollin, Traité des études, livre V,
chap.
i. Ex. Rapport sur les inondations de l’Allier e
ceux qui désireraient les connaître davantage, nous les renverrons au
chapitre
où Pierre Richelet en étudie tous les détails dan
disait Cicéron. Le genre historique devint même chez les rhéteurs un
chapitre
de leurs Traités sur l’art oratoire. De là cet us
inistration, des finances, des beaux-arts, etc., ou en faisant de ces
chapitres
des groupes trop distincts, 2° Un choix habile de
ndre le Grand, dans l’abbé Barthélemy (Voyage d’Anacharsis 2e partie,
chap.
lxxxii). — On peut y ajouter la description des a
uts de la poésie. Solution de ces problèmes. XXVI. Retour au sujet du
chapitre
vingt-quatrième : comparaison de l’épopée avec la
Chapitre
XV. Genre didactique en prose. C’est moins un g
Chapitre
premier. Première espèce de mots. Le nom.
Chapitre
VII. Septième espèce de mots. La préposit
Chapitre
VII. Satire. Son origine. La satire touche
Chapitre
XII. du corps de l’ouvrage. — portrait, dialog
au genre en lui-même, les motifs énoncés au commencement du précédent
chapitre
me dispensent de m’y arrêter. C’est d’ailleurs un
Chapitre
XX. des qualités accidentelles du style. — élé
ées : leur style est monotone, contraint, embarrassé. » Art d’écrire,
chap.
XI. 94. Quand, dans la Bruyère, cette veuve a ra
Chapitre
XXIII. des figures. — tropes d’invention et tr
rs fois bénir au lien de maudire, blasphémer. An IIIe livre des Rois.
chap.
XXI, des calomniateurs accusent Naboth d’avoir bl
eusement la célèbre définition de la tragédie, par laquelle débute le
chapitre
vi de la Poétique. La Poétique d’Aristote, dans s
Chapitre
III. La rhétorique est l’art de bien dire, ou d
Chapitre
II. Études du Prédicateur. L’éloquence de la ch
Chapitre
IV. Prédicateurs français. Bourdaloue, dit Vol
CHAPITRE
VI. De l’emploi et du mélange des différentes s
Chapitre
VI. Sixième espèce de mots. Le participe.
es passions, triple ressource que l’invention doit mettre en œuvre.
Chapitre
premier. Des preuves. La preuve est le premier
’éloquence et se laisser aller aux désordres qu’on lui reproche !
Chapitre
II. Des mœurs. Les mœurs, au point de vue de l
il faut recourir, ce qui veut dire remuer fortement les passions.
Chapitre
III. Des passions. Les passions, suivant la dé
arties dont se compose la Disposition ou si l’on veut le discours.
Chapitre
Ier. De l’exorde. L’exorde (du latin exordium)
moyens qu’il emploie pour se concilier la bienveillance générale.
Chapitre
II. De la proposition. La proposition est l’ex
mémoire et n’empêche pas que l’orateur n’échauffe et ne remue. »
Chapitre
III. De la narration. La narration, dans le di
sider à son enfance et le conduire ou l’affermir sur le trône. »
Chapitre
IV. De la confirmation. La confirmation a pour
raisonnement. C’est le triomphe que doit se proposer l’éloquence.
Chapitre
V. De la réfutation. La réfutation a pour obje
ature, par l’utilité qu’on en tire, par l’usage qu’on en fait. »
Chapitre
VI. De la péroraison. La péroraison qui clôt l
les dénomme-t-on figures de pensée et figures de mot ou de diction.
Chapitre
premier. — Figures de pensée. Les figures de p
crie Bossuet dans l’oraison funèbre de Marie-Thérèse d’Autriche.
Chapitre
II. Figures de mots. Les figures dites de mots
enim actio quasi sermo corporis , Orat. lib. iii, c. 39. Et dans les
chapitres
17 et 18 du même traité, il trace à l’orateur qui
Chapitre
premier. D’après la définition que nous avons d
Chapitre
IX. De l’élégie. La plaintive élégie, en longs
▲