ent dans des rapprochements d’idées. Elles dérivent donc toutes de la
comparaison
; la comparaison est le préalable de toutes les f
rochements d’idées. Elles dérivent donc toutes de la comparaison ; la
comparaison
est le préalable de toutes les formes de langage
pour la faire mieux saisir, une autre idée analogue à la première. La
comparaison
, nous l’avons prouvé, est dans notre nature, mais
rts saisissables à première vue ; qu’il évite dans l’expression de la
comparaison
les ambiguïtés, les longueurs, les écarts, les in
les ambiguïtés, les longueurs, les écarts, les incohérences ; que la
comparaison
circonscrive l’objet, l’éclaircisse, l’avive en l
e autre étoffe. Outre ces lois dictées par la raison, observez que la
comparaison
varie selon les temps et les genres divers. La po
plus rigoureuse. Dans la poésie grecque, les idées rapprochées par la
comparaison
ne cadrent souvent que d’un seul côté ; le reste
t au tableau, pour délasser l’esprit, pour varier le ton. Ce sont ces
comparaisons
à longue queue, qui, au xviie siècle, faisaient
tiguée de luttes et de combats. Plus tard, on devint plus sévère. Les
comparaisons
des écrivains latins sont déjà plus étroitement l
et exactes, brillantes et correctes. On a souvent cité les admirables
comparaisons
qui se rencontrent dans nos grands poëtes et nos
s un beau tableau. » Aujourd’hui enfin l’on demande encore mieux. La
comparaison
ne doit plus être seulement juste et suivie, nous
es rajeunir singulièrement par la forme. Mais si nous exigeons que la
comparaison
soit imprévue sans être bizarre, assez développée
de solide et de pénétrant, qu’en conclure ? Qu’il faut être sobre de
comparaisons
, parce que l’excellent dans le difficile est chos
lles qui se dérobent ou qu’on doit chercher trop loin101. Abrégez la
comparaison
, retranchez-en les termes solennels qui l’accompa
l’idée à laquelle vous comparez, et vous arrivez au trope. Voici une
comparaison
: comme en creusant la pierre ou le métal on y gr
esprit : voilà le trope. Qu’avons-nous fait dans le trope ? Après une
comparaison
mentale entre une idée et une autre, et une fois
hore. Il y a métaphore, en effet, toutes les fois que, en vertu d’une
comparaison
mentale, on emploie le signe d’une idée pour expr
talement entre la louange et l’encens, entre Napoléon et l’aigle, une
comparaison
qui amène la métaphore elliptique, pour ainsi dir
Que jamais ne corrompt l’amertume des mers. Si la mélaphore est une
comparaison
abrégée, l’allégoric est une métaphore continuée.
à sa pensée ou à son expression. Les auteurs qui joignent l’esprit de
comparaison
à beaucoup d’observations et de lectures abondent
appuyées des exemples les plus célèbres dans les poètes anciens. La
Comparaison
. Le but de toute espèce de comparaison est de
ns les poètes anciens. La Comparaison. Le but de toute espèce de
comparaison
est de faire ressortir les objets les uns par les
a pensée dans tout son jour ; et peu importe alors de quels objets la
comparaison
est tirée : elle est heureuse, toutes les fois qu
apparence, et relever cette petitesse prétendue par la noblesse d’une
comparaison
. Voltaire, qui écrivait dans un temps et chez un
s troupes françaises à une meute de chiens : sûr de la justesse de la
comparaison
et du rapport vrai des idées, il ne restait plus
rt des grands poètes. Aussi, bien loin de nous choquer, ces sortes de
comparaisons
nous plaisent-elles dans leurs ouvrages ; et nous
, et, tranchons le mot, de plus trivial au premier coup d’œil, que la
comparaison
suivante employée par Isaïe, qui fait parler en c
uente du texte. Que l’on réfléchisse maintenant sur la justesse de la
comparaison
que nous venons de citer, et que l’on dise si le
cœur, et nous citent déjà cet admirable tableau d’une des plus belles
comparaisons
de Virgile : Qualis populeâ mœrens Philomela sub
u-dessus de l’éloge. Nous croyons cependant bien supérieure encore la
comparaison
suivante : c’est toujours le prophète Isaïe que n
c’est bien moins ici deux objets rapprochés à dessein, pour faire une
comparaison
, qu’une seule et même chose, Dieu et la nature :
ssentiellement grand ne peut donc être dégradé dans aucun cas, par sa
comparaison
avec un objet évidemment inférieur. Lorsqu’il s’a
jet petit par lui-même, on ne saurait mettre trop de noblesse dans la
comparaison
, trop de grandeur dans les images que l’on emploi
liv. 12. v. 331). Voltaire pousse plus loin encore la hardiesse de la
comparaison
, en assimilant deux armées qui en viennent aux ma
s Isaïe ; rien n’égale la grandeur de ses idées et la justesse de ses
comparaisons
. 130« Væ multitudini populorum multorum, ut mul
bres des forêts qui frissonnent à l’approche de la tempête131 ». Les
comparaisons
du genre gracieux ne sont ni moins fréquentes, ni
s traits plus justes et plus capables de la faire sentir, que dans la
comparaison
suivante : Tel un arbre que la nature Plaça sur
ès de la tragédie. V. Définition de la comédie ses premiers progrès.
Comparaison
de la tragédie et de l’épopée. VI. § 1. Définitio
ndue de l’action. VIII. De l’unité de l’action. IX. § 1. Digression :
comparaison
de l’histoire et de la poésie. De l’élément histo
à l’épopée et à l’histoire de la durée des événements épiques. XXIV.
Comparaison
de l’épopée avec la tragédie nombreux mérites d’
de ces problèmes. XXVI. Retour au sujet du chapitre vingt-quatrième :
comparaison
de l’épopée avec la tragédie conclusion sur l’ép
orce immense du pléonasme toi. Ce sera dans l’esprit des écoliers une
comparaison
entre le danger existant et la timidité de leur c
es ou purement grammaticales ou purement oratoires. I. Métaphore. —
Comparaison
abrégée. La métaphore (qui transporte le sens
n une autre signification qui ne convient à ce mot qu’en vertu d’une
comparaison
qui se fait dans l’esprit. Ainsi, quand on dit q
s les métaphores sont des images, et des espèces de similitudes et de
comparaisons
. Quand je dis d’un homme en colère, il est comme
, etc, je détaille les circonstances de la similitude et je fais une
comparaison
. Si je dis simplement : Quand cet homme est en f
s une métaphore, et la métaphore, comme on voit, n’est au fond qu’une
comparaison
abrégée qu’achève l’imagination. Cette figure est
té. D’après ces paroles de La Harpe, toute métaphore a un rapport de
comparaison
. Si ce rapport apparaît de suite à l’esprit juste
juste et régulier, la métaphore sera bonne ; elle sera mauvaise si la
comparaison
est trop recherchée, et que le rapport soit si pe
est employée à propos, plus elle rebute l’esprit quand les termes de
comparaison
sont faux, emphatiques, triviaux, ignobles, ridic
étaphore. Un lion n’a pas de foudre. Je ne puis établir un rapport de
comparaison
juste ; si le poète s’était arrêté à Louis, j’aur
raison juste ; si le poète s’était arrêté à Louis, j’aurais achevé la
comparaison
dans mon esprit, en pensant au maître du tonnerre
veux en bain où on peut tremper les mains, je n’ai plus de rapport de
comparaison
, et je ne vois qu’un mauvais jeu de mots sur l’ex
) Comment le chagrin peut-il aller à cheval ? — Où est le rapport de
comparaison
, base de la métaphore ? — Ce rapport n’est point
saisi lui-même à la vue d’un monstre marin. Quelquefois le rapport de
comparaison
est tout entier dans l’esprit du lecteur, et null
nnées ; mais ce simple mot amène de suite dans l’esprit un rapport de
comparaison
entre le riche qui se sert de bougies et le pauvr
u moyen d’une perception plus ou moins rapide et claire du rapport de
comparaison
, qu’on découvre la beauté ou le défaut de la méta
ans la catachrèse par imitation on fait, comme dans la métaphore, une
comparaison
abrégée ; mais il y a une différence notable dans
ls ? Non, c’est de l’avoir faite Reine malheureuse.(Boss.) XVIII.
Comparaison
. 42. La comparaison rapproche deux idées qui
ir faite Reine malheureuse.(Boss.) XVIII. Comparaison. 42. La
comparaison
rapproche deux idées qui se ressemblent soit par
rs, plus de force au raisonnement ou plus de clarté à l’élocution. La
comparaison
est surtout du domaine de la poésie ; mais l’éloq
t renversé le monarque et le trône, exprime sa pensée par cette belle
comparaison
qui fait image. Comme une colonne dont la masse
n avoir porté le faix, elle n’est pas même courbée sous sa chûte. La
comparaison
, dit E. Héreau, est une des figures les plus rich
se étendue, car il faut choisir les analogies et non les épuiser. Les
comparaisons
doivent être employées à propos et avec discrétio
lies ou trop communes, et les choisir neuves, autant que possible. La
comparaison
prend le nom de contraste, quand pour fortifier u
nement. XIX. Antithèse. 43. L’antithèse est le contraire de la
comparaison
. C’est, a dit Labruyère, l’opposition de deux vér
re objet ; le style est ignoble quand les expressions, les idées, les
comparaisons
sont empruntées d’objets vils et populaires. L
phonème. — 10. Permission. 3e Espèce. — Figures par combinaison. — 1.
Comparaison
. — 2. Contraste. — 3. Antithèse. — 4. Pointe ou j
s modèles, par la lecture des ouvrages les plus recommandables, et la
comparaison
des divers degrés de beauté du même ordre, que l’
ifiés par la raison ; son état naturel et normal est déterminé par sa
comparaison
avec celui des autres hommes, et l’approbation gé
nt à trouver des mots correspondants ; lorsqu’il en est autrement, la
comparaison
ou le contraste nous semble imparfait ; cependant
e imparfait ; cependant il ne faut pas y mettre de l’affectation ; la
comparaison
ou l’opposition doit nous y conduire naturellemen
a pensée, comme dans les exclamations, interrogations, apostrophes et
comparaisons
: alors l’on peut varier les mots dont on fait us
e plus beau de tous les tropes. Elle a beaucoup de similitude avec la
comparaison
exprimée vivement et avec brièveté. Lorsque je di
Lorsque je dis d’un grand ministre : c’est la colonne de l’état ; la
comparaison
que j’aurais pu faire d’un ministre habile et d’u
iste entre ces objets. Rien ne plaît davantage à l’imagination que la
comparaison
d’un objet à un autre, la découverte des points d
es dans leur signification littérale. Quoique toute métaphore emporte
comparaison
, et soit à cet égard une figure de pensée, cepend
que l’homme qui s’en pare. Il faut éviter dans les métaphores toutes
comparaisons
inexactes, et surtout celles qui formeraient disp
tir une idée différente : en effet, tout objet dont on peut tirer une
comparaison
(et tous, sans exception, en offrent les moyens)
ent les moyens) fournit une expression figurée qui, à l’aide de cette
comparaison
, présente la pensée sous un aspect plus lumineux.
freuses, peuvent avec convenance servir dans certains cas de terme de
comparaison
. Cependant, lors même que les métaphores sont cho
, un auteur ne doit jamais employer des allusions dégoûtantes, ou des
comparaisons
qui fixeraient sur des images ignobles l’imaginat
emps qui appelait son ennemi stercus curiæ , excrément du sénat ; la
comparaison
peut être juste, dit-il, mais l’idée qu’elle prés
e-t-on de très remarquables exemples dans l’Écriture sainte. De la
comparaison
, de l’antithèse, de l’interrogation ; de l’exclam
ra ce que nous avons déjà dit sur l’emploi et l’effet des figures. La
comparaison
ou similitude est celle qui va d’abord m’occuper
on. J’ai expliqué la différence qui existait entre la métaphore et la
comparaison
; la première est une comparaison implicite et no
i existait entre la métaphore et la comparaison ; la première est une
comparaison
implicite et non développée ; la seconde exige qu
rces ne sont connues que d’un petit nombre. » On voit qu’une heureuse
comparaison
est une espèce d’ornement brillant qui n’ajoute p
hose principale, et l’idée plus claire qui résulte pour nous de cette
comparaison
et de l’introduction d’un objet nouveau, et ordin
l’objet principal. Aussi le vice le plus contraire à l’agrément de la
comparaison
est-il l’ambiguïté ; si l’image s’applique à deux
se qui en faisait le mérite, et perd tout son charme. En général, les
comparaisons
peuvent être réduites aux deux espèces suivantes
xpliquer, celles qui tendent à embellir. Tous les sujets admettent la
comparaison
explicative. L’auteur le plus abstrait, dans les
jets les plus arides, peut avec beaucoup de convenance introduire une
comparaison
dans la seule vue de donner une idée plus claire
ns la seule vue de donner une idée plus claire de son sujet. Mais les
comparaisons
d’embellissement ne conviennent pas à tous les su
passés. Voici les règles qui doivent être observées dans l’usage des
comparaisons
: convenance dans leur introduction, et attention
uction, et attention à la nature des objets où elles sont puisées. La
comparaison
, comme je l’ai déjà dit, est plutôt le langage de
ut difficilement commettre une plus grande faute que d’introduire une
comparaison
au milieu d’un mouvement passionné ; l’expression
stance, mais ce n’est qu’avec réserve. La pompe et la solennité d’une
comparaison
formelle sont tout à fait étrangères à la passion
l’objet de son ardeur l’occupant tout entière. Cependant, quoique la
comparaison
ne soit pas du domaine de la passion, elle exige,
ent. Voyons maintenant les meilleures sources d’où peut être tirée la
comparaison
introduite avec propriété. D’abord, il faut évite
ance est trop frappante. La principale jouissance que nous procure la
comparaison
est de découvrir des rapports entre des objets qu
e des objets qui ne paraissent pas en avoir au premier coup d’œil. La
comparaison
ne doit pas non plus être triviale, telle que cel
génie. Le poète vulgaire, dont l’esprit stérile croit que toutes les
comparaisons
ont été épuisées, se borne à suivre humblement le
velles formes qui n’avaient pas encore été remarquées, et donne à ses
comparaisons
de l’originalité, de l’expression et de la vivaci
té, de l’expression et de la vivacité. » D’un autre côté, quoique la
comparaison
ne doive pas être basée sur une ressemblance trop
jet. Il faut, de plus, veiller à ce que le sujet qui sert de terme de
comparaison
ne soit pas un objet inconnu, ou une chose dont p
assumitur, ipsum esse clarius eo quod illuminat. C’est pourquoi les
comparaisons
fondées sur les découvertes physiques, ou sur que
idus, atteignent rarement leur but. Les anciens ont pris toutes leurs
comparaisons
dans la nature, et surtout dans les objets dont i
si les loups, les renards, les serpents, leur offraient des termes de
comparaison
vrais, et faciles à saisir. Les écrivains moderne
iles à saisir. Les écrivains modernes ont adopté, sans réflexion, ces
comparaisons
, et cependant leur convenance et leur propriété s
es entre eux, que de chercher dans ces objets étrangers des sujets de
comparaison
. Cette faute dénote toujours un poète qui ne cher
nciers. Enfin, si l’ouvrage est sérieux ou si le sujet est élevé, les
comparaisons
ne doivent pas être empruntées à des objets bas e
t facilement comprises d’après les principes que nous avons posés. La
comparaison
est fondée sur la ressemblance, l’antithèse, sur
ditation, et qu’elles sont destinées à se graver dans la mémoire. Les
comparaisons
et les antithèses sont des figures qui sont le pr
assés confusément en un seul monceau ; enfin elle résulte aussi de la
comparaison
de l’objet avec des êtres de même nature. Mais le
n, reste toujours, pour l’expression, au-dessous de l’original, et la
comparaison
le décourage. « Dans les études de ma première je
chacun d’eux, sont si fortement marqués dans leurs écrits, que cette
comparaison
est, sous bien des rapports, évidente et facile.
ntes et animées. Il peut non seulement employer les métaphores et les
comparaisons
, mais dans certaines occasions apostropher les sa
tion plutôt que toucher le cœur. Il résulte de ce qui précède que les
comparaisons
sont toujours dangereuses, et généralement tout à
. Cicéron recommande aussi l’étude des bons modèles, et se sert d’une
comparaison
frappante de vérité. « De même qu’en me promenant
gnification propre d’un mot à une autre signification, au moyen d’une
comparaison
qui se fait dans l’esprit. Si vous dites, en parl
d’un homme cruel, il ressemble à un tigre, vous faites simplement une
comparaison
; mais si vous dites, c’est un tigre, vous faites
mais si vous dites, c’est un tigre, vous faites une métaphore, car la
comparaison
reste dans l’esprit. Voici d’autres exemples de m
phore est défectueuse quand elle est forcée, fausse dans son point de
comparaison
, ou tirée d’objets qui répugnent ; telles sont le
r : l’hyperbole, la litote, l’ironie, la réticence, la suspension, la
comparaison
, l’allusion, l’antithèse, la gradation, l’interro
i son fils ? Non ; c’est de l’avoir faite reine malheureuse. » 6°
Comparaison
. La comparaison sert à rapprocher des objets q
c’est de l’avoir faite reine malheureuse. » 6° Comparaison. La
comparaison
sert à rapprocher des objets qui se ressemblent p
ut en poésie-, mais la prose en tire aussi de beaux effets. Voici une
comparaison
tirée du Crucifix de Lamartine : Le vent, qui ca
lotter sur un blanc mausolée L’ombre des noirs cyprès. La
comparaison
prend le nom de contraste quand, au lieu de procé
tre les oppositions des objets. 7° Allusion. L’allusion est une
comparaison
à demi cachée, par laquelle on dit une chose pour
sens moral ou métaphysique qui ne convient à ce mot qu’en vertu d’une
comparaison
qui se fait dans l’esprit. Cette figure est entiè
a ressemblance de deux objets : elle est par là fort rapprochée de la
comparaison
; elle n’est même qu’une comparaison abrégée, une
est par là fort rapprochée de la comparaison ; elle n’est même qu’une
comparaison
abrégée, une comparaison vive et animée dont on r
e de la comparaison ; elle n’est même qu’une comparaison abrégée, une
comparaison
vive et animée dont on retranche ces mots : comme
l’État, comme une colonne supporte le poids d’un édifice, je fais une
comparaison
; mais si je dis qu’il est la colonne de l’État,
chées, prises de loin, dont le rapport n’est pas assez naturel, ni la
comparaison
assez sensible pour le commun des lecteurs, parce
, etc. 216. Qu’est-ce que l’antonomase ? L’antonomase supposant une
comparaison
qui se fait dans l’esprit, est une espèce de méta
distingue de la métaphore en ce qu’elle ne suppose pas comme elle de
comparaison
, et qui consiste à substituer un mot à un autre,
la dubitation, l’hypothèse, la réticence, l’ironie, la gradation, la
comparaison
et l’hypotypose. 238. Qu’est-ce que l’antithèse ?
udiam, sed etiam non videam, planèque sentiam. 246. Qu’est-ce que la
comparaison
? La comparaison consiste à rapprocher deux obje
on videam, planèque sentiam. 246. Qu’est-ce que la comparaison ? La
comparaison
consiste à rapprocher deux objets qui se ressembl
s détaillée que ne le permet la nature de la métaphore. L’effet de la
comparaison
est de donner plus de grâce et d’éclat au discour
ccumulées par une révolution sanglante, Bossuet fait cette magnifique
comparaison
: Comme une colonne dont la masse solide paraît
l’âme pieuse goûte dans le temple du Seigneur, Lamartine emploie les
comparaisons
suivantes : Comme la vague orageuse S’apaise en
uns ni les autres. Il en est ainsi de la vérité pour les hommes. La
comparaison
est une des figures les plus riches de l’éloquenc
rattachent l’énumération des parties, — le genre et l’espèce. 2° La
comparaison
qui comprend aussi les contraires, — - les choses
e le dit la dernière phrase : Ce qu’on appelle esprit est tantôt une
comparaison
nouvelle, tantôt une allusion fine ; ici l’abus d
du prince de Condé. Leçon VII. Suite des lieux communs. 1. La
comparaison
. — 2. Les contraires. — 3. Les choses qui répugne
— 7. Des lieux intrinsèques. — 8. Utilité des lieux communs. 1. La
comparaison
. — La comparaison consiste à tirer une conclusio
insèques. — 8. Utilité des lieux communs. 1. La comparaison. — La
comparaison
consiste à tirer une conclusion du rapport entre
entre les idées que plus d’effet ou plus d’éclat dans le langage. La
comparaison
conduit l’esprit à conclure du plus au moins, du
inconséquent celui qui ose nier la Providence, argumente ainsi par la
comparaison
du moins au plus : Il croit qu’un État ne peut ê
re sa raison ? 2. Lescontraires. — Ce lieu commun est une espèce de
comparaison
qui consiste à bien faire voir ce qu’est une chos
us les yeux les mêmes phénomènes de lumière, de son, de pesanteur Ces
comparaisons
, qu’on pourrait multiplier, suffisent pou faire c
mment agiraient les contraires, quel effet il pourrait attendre de la
comparaison
. En suivant cette voie modeste, l’écrivain sera s
à l’infini, puisqu’on peut dire tout ce qu’une chose n’est pas. 2° La
comparaison
, qui peut à elle seule fournir la matière d’un dé
es, la répétition, le redoublement d’idée, l’opposition, l’incise, la
comparaison
, etc. III. Opposer les contraires ; faire des co
incise, la comparaison, etc. III. Opposer les contraires ; faire des
comparaisons
; indiquer les circonstances de moyen, de manière
! vous le savez ; le soir nous la vîmes séchée !... De même, dans la
comparaison
entre Turenne et Condé : Quel spectacle de voir
ses d’un autre œil que les autres hommes ; tout est pour lui objet de
comparaison
rapide et de métaphore ; sans qu’il y prenne gard
souvent plus agréable ou meilleure à. suivre que la ligne droite. Une
comparaison
aussi frappante peut être empruntée à la statuair
nt l’une l’autre ! Le pampre et l’épi sont les plus heureux termes de
comparaison
avec une jeune fille. Comme les mois souffle du N
lieu du mot lions et la métaphore disparaît, il ne reste plus qu’une
comparaison
: la métaphore est donc une ligure de mot. 4. Rè
composés, comme l’hypotypose, l’éthopée, la prosopographie, etc. ; la
comparaison
avec ses diverses espèces : l’allusion, l’ antith
igures de pensée qui servent a la clarté et à l’ornement. 1. De la
comparaison
. — 2. Qualités qu’elle doit réunir. — 3. Formes d
raison. — 2. Qualités qu’elle doit réunir. — 3. Formes diverses de la
comparaison
. — 4. Du parallèle. — 5. De l’allusion. — 6. Util
antithèse. — 9. Du paradoxe. — 10. Régles de ces figures. 1. De la
comparaison
. — La comparaison consiste à rapprocher deux chos
paradoxe. — 10. Régles de ces figures. 1. De la comparaison. — La
comparaison
consiste à rapprocher deux choses qui se ressembl
e rapprochement d’une idée analogue. Voici par exemple une ravissante
comparaison
, par laquelle Fénelon ajoute un charme poétique e
et quelle puissance ajoute à l’exposition historique cette admirable
comparaison
de Massillon : L’Eglise n’opposa jamais aux pers
leur mission. Les vérités philosophiques et morales reçoivent de la
comparaison
une vivacité qui les rend plus pénétrantes : Le
n rendant grâce à l’arbre qui l’a portée. Marc-Aurèle. Cependant, la
comparaison
a moins de charme que la métaphore, parce que, ne
ur. 2. Des qualités qu’elle doit réunir. — La première qualité de la
comparaison
est celle qu’on recommande dans tout travail de l
que l’esprit veut rapprocher. — Rien de moins juste que ces bizarres
comparaisons
qui rapetissent les objets au lieu de les grandir
nteau d’un Arabe. Montesquieu a dît avec un goût parfait : Dans les
comparaisons
, l’esprit doit toujours gagner et ne jamais perdr
s le bas ; car elle se-le serait caché si elle l’avait découvert. La
comparaison
doit être sobre, c’est-à-dire qu’il faut éviter d
prolongé, c’est-à-dire aggravé. Voltaire a dit à propos de l’abus des
comparaisons
: Il faut avouer que la nature est bien variée.
e une fois, la nature est comme la nature ; pourquoi lui chercher des
comparaisons
? D’ordinaire, c’est par le rapprochement avec d
raire est quelquefois d’un effet puissant. Telle est cette ingénieuse
comparaison
qu’on trouve dans Ossian : La musique de Carryl
comme se souvenir des plaisirs passés. 3. Des formes diverses de la
comparaison
. — Les poëtes et les orateurs offrent l’exemple d
urs offrent l’exemple d’une grande variété de formes pour exprimer la
comparaison
. Elle se rend d’une façon directe à l’aide de cer
perçois que leur style donne de la couleur au mien. - Cicéron. La
comparaison
peut être indiquée seulement par le rapprochement
r sa finesse et sa pénétration d’esprit : telle est cette spirituelle
comparaison
de Mme de Sévigné : La Providence nous conduit a
Sarmates. Marc-Aurèle. La Fontaine présente d’une façon si vive la
comparaison
, qu’il semble voir l’objet transfiguré. Ainsi à p
r de leurs mains. Un morceau tout entier peut n’être qu’une suite de
comparaisons
; ainsi la ravissante élégie de la jeune Captive
ne et de goût le poëte semble avoir présente à la pensée la touchante
comparaison
de Périclès qui, déplorant la perte de la jeuness
emps. » Chateaubriand a réuni comme à plaisir toutes les formes de la
comparaison
dans le morceau suivant des Martyrs : Un cri s’é
e débattent dans les angoisses de la douleur. 4. Du parallèle. — La
comparaison
prolongée et contenant rémunération complète des
ffrent quelque analogie avec le sujet qu’on traite. Elle comporte une
comparaison
qui se fait tacitement dans l’esprit de l’écrivai
antithèse. — L’antithèse ou le contraste est la figure qui tire de la
comparaison
de deux objets l’occasion Je les opposer. Saint-L
s. 10. Règles relatives à ces figures. — Toutes les remarques sur la
comparaison
, l’allusion et l’antithèse sont résumées dans hui
son, l’allusion et l’antithèse sont résumées dans huit règles : I. La
comparaison
se propose de rendre l’idée plus vive et plus fra
était qu’il ne les avait jamais souhaités, Cicéron l’accable sous une
comparaison
ironique avec le grand Pompée : Que Pompée est m
i de ces figures s’apprenne surtout, par l’étude, la méditation et la
comparaison
des bons exemples, on peut, présenter à cet égard
ent la gaieté elle rire ; aller au-devant des objections ; offrir des
comparaisons
et des exemples ; distribuer une idée en plusieur
ransporte en effet un mot à une signification nouvelle en vertu d’une
comparaison
sous-entendue. Quand David dit : Dieu est mon sol
me protège comme un bouclier. Une métaphore, dit Quintilien, est une
comparaison
abrégée. Ainsi le moraliste pourrait dire que la
ne trouble sa fin, c’est le soir d’un beau jour. Fénelon emploie une
comparaison
quand i ! dit : Le fils d’Idoménée, comme une je
cruellement moissonné dès son premier âge. Bossuet a remplacé cette
comparaison
par une métaphore : Représentons-nous le jeune p
poëte : Sur les ailes du temps la tristesse s’envole. Il a réuni la
comparaison
et la métaphore dans ces vers sur la vieillesse e
que d’un banquet ; Remerciant son hôte, et qu’on fît son paquet. Une
comparaison
acceptée peut se transformer en métaphore : L’ho
e ou de l’élégance. Il emploiera surtout les métaphores, qui, par les
comparaisons
qu’elles suggèrent à l’esprit, le transportent d’
omme dans toutes les questions de goût, la lecture, la méditation, la
comparaison
des grands écrivains sont les plus sûrs moyens de
timides avouent qu’elle a vieilli. Non ; la vérité est que certaines
comparaisons
un peu lourdes, empruntées par Rollin à Cicéron e
le mérite le plus séduisant de Sophocle, de Virgile et de Racine. Une
comparaison
sera le meilleur moyen de faire sentir les nuance
dans une mesure très-différente d’excellentes leçons de goût ; et la
comparaison
en peut être très-instructive. 7. Modèles d’éloge
igés dont nos enfants démoliront les statues ! 8. Du parallèle. — La
comparaison
est un procédé d’étude et d’amplification qui écl
rer ainsi les routes de l’avenir ; non-seulement elle cherche dans la
comparaison
des productions de l’art, dans leur conformité au
es tours ! Cependant que, terme noble et pompeux ; au Caucase pareil,
comparaison
hyperbolique ; arrêter marque une sorte d’empire
-ce que la foudre de Jupiter, qu’est-ce que le trident de Neptune, en
comparaison
du souffle de Jéovah ? Qu’est-ce que des Dieux qu
t le reproche est fondé ; 3º la monotonie de ses métaphores et de ses
comparaisons
, constamment empruntées de circonstances locales
s les plus harmoniques. Ainsi chaque contrée aura des métaphores, des
comparaisons
particulières, un style figuré qui lui sera propr
lle. Sans frein d’acier, ni rênes d’or, etc. Et le poëte poursuit la
comparaison
jusqu’à ce qu’il ait épuisé les rapports. La cat
s appellent cette figure alliance de mots. C’est un mariage forcé. La
comparaison
. — Le poëte, qui veut surtout peindre, fait de se
cé. La comparaison. — Le poëte, qui veut surtout peindre, fait de ses
comparaisons
des tableaux. L’orateur, qui veut surtout persuad
arts, aux métiers, aux détails familiers de la vie. Souvent aussi sa
comparaison
est un rapport brièvement exprimé, qui jette sur
celles qui conviennent le plus au style tempéré, sont l’antithèse, la
comparaison
et la description, à laquelle se rapportent plusi
ples ; par la vertu il deviendra l’arbitre même des Souverains. »
Comparaison
. La Comparaison est une figure, par laquelle o
il deviendra l’arbitre même des Souverains. » Comparaison. La
Comparaison
est une figure, par laquelle on présente les rapp
s même courbée sous sa chute. » Le Télémaque de Fénelon est plein de
comparaisons
également riches et agréables. Je me borne à cell
soutenir. Ainsi le fils d’Ulyssec était aux portes de la mort. » La
comparaison
doit être courte le plus qu’il est possible, et o
t rapporter à cette figure le Parallèle, qui n’est autre chose que la
comparaison
de deux hommes illustres, comme on le voit dans c
est une figure qui change la signification d’un mot, à la suite d’une
comparaison
qui se fait dans l’esprit. Par exemple, si, en pa
c les habitudes de la jeune fille et j’ai fait une métaphore. La même
comparaison
naît dans l’esprit des personnes qui m’écoutent l
es dans un même mot, et ces idées sont rendues plus frappantes par la
comparaison
. On est obligé d’y recourir lorsqu’on veut faire
extension ou imitation, il y a, comme dans la métaphore, une sorte de
comparaison
. Toutefois, il ne faut pas confondre ces deux fig
s deux figures. La métaphore unit le plus souvent, dans ses termes de
comparaison
, l’ordre physique à l’ordre moral, et, lorsque ce
ces termes sont renfermés dans l’ordre physique seul, il y a toujours
comparaison
saillante et figure hardie ; la catachrèse, au co
eule des expressions devrait nous l’indiquer. Quoique les rapports de
comparaison
soient tirés dans les deux cas de l’ordre physiqu
hysique, on voit clairement que dans les mots ruisseau de sang il y a
comparaison
énergique entre les ruisseaux proprement dits et
! Questionnaire. 1. Qu’est-ce que la catachrèse ? — 2. N’y a-t-il pas
comparaison
dans la catachrèse par imitation, et ne serait-ce
ssion, 15° la Réticence, 16° la Correction, 17° la Suspension, 18° la
Comparaison
, 19° l’Antithèse, 20° la Commination, 21° l’Obséc
u’il va dire, afin de donner plus d’intérêt à ses paroles. 12. Par la
comparaison
, on rapproche deux idées qui se ressemblent par u
es figures doivent être employées avec ménagement et à propos. 13. La
comparaison
doit peindre justement et vivement les objets ; i
réticence, la correction et la suspension ? — 12. Que fait-on par la
comparaison
et l’antithèse. — 13. Faites une remarque sur la
par la comparaison et l’antithèse. — 13. Faites une remarque sur la
comparaison
. — 14. Dites aussi quelque chose de plus de l’ant
on. 6. Pour rendre une définition plus claire, on peut recourir à une
comparaison
courte, et même, si une clarté suffisante ressort
avons-nous dit, il y a métaphore toutes les fois que, en vertu d’une
comparaison
mentale, on emploie le signe d’une idée pour expr
analogie ne suffit plus, et qu’il faut ajouter un autre élément à la
comparaison
. Entrons dans quelques détails. La métonymie est
eux idées correspondance positive, et qui existait préalablement à ma
comparaison
; c’est une métonymie. Ainsi : Métonymies de la c
loniste, dix mille cavaliers. Vous conclurez de tout ceci que plus la
comparaison
, qui est la base du trope, est rigoureuse et enti
n mot à une autre signification qui ne lui convient qu’en vertu d’une
comparaison
qui se fait clans l’esprit. Quintilien l’appelle
’une comparaison qui se fait clans l’esprit. Quintilien l’appelle une
comparaison
abrégée- Ainsi lorsque Voltaire dit dans la Henri
ontre Richard et le comte d’Arundel, a péché contre la justesse de la
comparaison
en disant : Dès le premier effort, la lance remp
faut pas s’attacher aux mots, mais aux pensées ; elle ne sert que de
comparaison
pour donner l’intelligence d’un autre sens que l’
tation. D’autres plaisent par la symétrie ; ce sont : l’antithèse, la
comparaison
, le parallèle et l’adjonction, D’autres encore pl
prétentieux. L’antithèse prolongée devient un parallèle, ainsi que la
comparaison
. Cette figure se montre dans toute sa grâce dans
nº 65. — 2° Grandeur et Bassesse de l’homme. Vol. II, nº 63. § II.
Comparaison
La Comparaison est un rapport de convenance en
ur et Bassesse de l’homme. Vol. II, nº 63. § II. Comparaison La
Comparaison
est un rapport de convenance entre deux objets qu
Chantres. Vol. II, nº 65. § III. Parallèle Le Parallèle est une
comparaison
entre deux personnages dont on fait ressortir les
’art de parler et d’écrire, l’étude attentive des vrais modèles et la
comparaison
des passages les plus brillants avec ceux où se l
l’objet devient sublime. Les poètes ont emprunté leurs plus sublimes
comparaisons
du lion ou des autres animaux d’une force surpren
ontre le malheur qui l’accable. Cet objet est ennobli par cette belle
comparaison
que l’on en fait avec l’astre du jour dont une éc
a cum gemitu [Vomit, en bouillonnant, ses entrailles fumantes]. Cette
comparaison
de la montagne avec une personne ivre ou malade d
où se trouvent beaucoup de passages d’un très grand mérite ; la belle
comparaison
de son héros avec l’ange qui, assis sur un tourbi
. Un canal qui se prolonge en ligne droite est une figure insipide en
comparaison
des sinuosités d’une rivière. Les figures conique
même expression pour plusieurs objets, c’est-à-dire de s’exprimer par
comparaisons
, par métaphores, par allusions et par d’autres mo
n sur cet objet. Dans cette phrase de Salluste, lorsqu’il établit une
comparaison
entre l’âme et le corps : Animi imperio, corpori
vent faire considérer notre langue comme très expressive, au moins en
comparaison
des langues modernes, puisque nous sommes si loin
n seul cas ; ses adjectifs ne varient que pour exprimer les degrés de
comparaison
, et ses verbes, au lieu de subir tous les changem
hrase traîne péniblement après elle, et l’on peut lui appliquer cette
comparaison
de M. Pope dans sa description du vers alexandrin
autrement nous nous trouvons comme trompés dans notre attente, et la
comparaison
ou le contraste perd de sa justesse à nos yeux. A
phrase qui l’exprimait était obscure et embrouillée. C’est ce qu’une
comparaison
peut faire sentir à tout le monde, et s’il en est
ue, dans les exclamations, les interrogations, les apostrophes et les
comparaisons
, si vous changez les mots primitivement employés,
tote, et c’est ce qui ne manque jamais de plaire à l’esprit ; car les
comparaisons
et les ressemblances ont un bien grand charme pou
objet ; aussi a-t-elle beaucoup de rapports avec la similitude ou la
comparaison
; et, rigoureusement parlant, elle n’est même qu’
u la comparaison ; et, rigoureusement parlant, elle n’est même qu’une
comparaison
exprimée de la manière la plus concise. Lorsque j
onne qui supporte tout le poids d’un édifice, » je fais une véritable
comparaison
; mais si je dis de ce ministre qu’il est « la co
de l’État, » c’est une métaphore. C’est l’entendement qui établit la
comparaison
entre le ministre et la colonne, car les mots ne
s deux objets est si bien reconnue, que, sans en faire précisément la
comparaison
, on peut substituer le nom de l’un au nom de l’au
sens le plus littéral. Quoique toute métaphore soit par elle-même une
comparaison
, et doive, sous ce point de vue, être considérée
remarque porte sur les avantages que la métaphore a sur la véritable
comparaison
. Combien, en effet, cette pensée eût perdu de sa
joue sans confusion le rôle qui lui convient. Lecture XVII. De la
comparaison
, de l’antithèse, de l’interrogation, de l’exclama
inerai presque entièrement ce qui me reste à dire sur les figures. La
comparaison
ou la similitude est celle dont je m’occuperai d’
écédemment en quoi elle diffère de la métaphore. La métaphore est une
comparaison
qui n’est pas développée, comme quand je dis : «
aire entendre qu’il lui ressemble par sa force et son courage. Il y a
comparaison
, lorsque la ressemblance entre deux objets est ex
naissent la source ; » ce simple exemple montrera suffisamment que la
comparaison
est un ornement fort brillant, et fait pour ajout
elle cette figure orationis lumina . Le plaisir que nous prenons aux
comparaisons
est juste et dans la nature, et l’on peut lui ass
dans l’empressement avec lequel les enfants saisissent des points de
comparaison
entre les choses diverses, aussitôt qu’ils sont c
s objets qui les environnent. Secondement, le plaisir que produit une
comparaison
vient de la clarté qu’elle répand sur l’objet pri
sent été perdus pour notre imagination. On peut considérer toutes les
comparaisons
sous deux points de vue différents : les unes exp
er un ornement. Il n’est point de sujet qui ne soit susceptible d’une
comparaison
explicative. Qu’un auteur raisonne de la manière
de philosophie le plus obscur, il peut employer très heureusement une
comparaison
dans la seule vue de se faire mieux comprendre. T
t vrai, toutes les impressions, mais qui les perd à l’instant. » Les
comparaisons
qui embellissent, employées moins dans la vue d’é
de parfaite ou d’une conformité réelle. Deux objets peuvent servir de
comparaison
à un troisième, quoique, strictement parlant, ils
e souvenir des plaisirs qui ne sont plus, douce, mais triste. » Cette
comparaison
est heureuse et délicate. Cependant il est certai
ne idée plus vraie du caractère de cette harmonie. En général, qu’une
comparaison
soit fondée sur une ressemblance entre deux objet
objet est grand et noble par lui-même, toutes les circonstances d’une
comparaison
doivent tendre à le faire paraître plus grand enc
es autres s’appliqueront à la nature des choses qui peuvent servir de
comparaison
. Premièrement : De la manière d’introduire conven
araison. Premièrement : De la manière d’introduire convenablement une
comparaison
dans le discours. — Il est évident, d’après ce qu
iscours. — Il est évident, d’après ce que nous avons déjà dit sur les
comparaisons
, qu’elles ne sont pas, commes les figures dont no
pas poussée trop loin ; mais l’espèce de pompe et de solennité d’une
comparaison
n’est point compatible avec la passion : elle cha
tragiques. Dans quelques-unes de ses pièces, M. Rowe a multiplié les
comparaisons
, et souvent les a placées bien mal à propos. Le C
u de paraître agité de la plus violente douleur, lui répond par cette
comparaison
recherchée : « Ainsi la flamme légère d’une lampe
dans une telle situation, ce langage n’est pas celui de la nature. La
comparaison
, lorsquelle est destinée à servir d’embellissemen
ne soit agité par aucune passion. En un mot, la véritable place d’une
comparaison
est dans cette espèce de style qui tient le milie
s actuellement les règles relatives aux objets dont on doit tirer des
comparaisons
, en supposant qu’on ait trouvé la place qui leur
rouvé la place qui leur convient. D’abord il faut éviter de tirer ses
comparaisons
d’objets qui ont avec l’objet principal une resse
vec l’objet principal une ressemblance trop évidente. Le charme d’une
comparaison
consiste surtout en ce qu’elle nous fait découvri
euse obscurité jette l’épouvante parmi les nations, nous admirons une
comparaison
aussi heureuse et aussi noble. Mais lorsqu’il com
autre berceau, et une belle femme à une autre belle femme. Parmi les
comparaisons
que rend défectueuses une trop grande ressemblanc
ls se transmettent les uns aux autres comme un droit héréditaire. Ces
comparaisons
, sans doute, remplirent parfaitement le but des a
oduisent aucune impression sur notre esprit. Le caractère général des
comparaisons
, dans un ouvrage, est une marque certaine pour di
saisit des ressemblances inaperçues jusqu’à lui, et qui donnent à ses
comparaisons
de l’originalité, de l’élégance et de l’énergie.
l’originalité, de l’élégance et de l’énergie. En second lieu, si les
comparaisons
ne doivent pas être fondées sur des ressemblances
l’obscurité, et fatiguent l’imagination. Il est bon d’observer qu’une
comparaison
entre deux objets qui ont des rapports suffisants
jets. C’est une faute dans laquelle tombe souvent M. Cowley, dont les
comparaisons
sont en général poussées si loin et présentent ta
ses odes principalement. Troisièmement, l’objet dont on emprunte une
comparaison
ne doit pas être si généralement inconnu qu’il n’
gratia assumitur, ipsum esse clarius eo quod illuminatur. Ainsi des
comparaisons
fondées sur des découvertes philosophiques, ou su
chappe trop souvent à nos poètes modernes. Les anciens prennent leurs
comparaisons
dans des effets de la nature ou dans une classe d
ositions d’un genre sérieux et élevé, il ne faut jamais emprunter ses
comparaisons
à des objets bas ou ignobles. Au lieu d’embellir
et. C’est un vice que l’on a injustement reproché à quelques-unes des
comparaisons
d’Homère ; car il ne faut pas perdre de vue que l
des mœurs du siècle dans lequel nous vivons. Voilà pourquoi certaines
comparaisons
, par exemple, empruntées aux différentes circonst
fondie : la métaphore, l’hyperbole, la prosopopée, l’apostrophe et la
comparaison
. Il ne nous en reste plus à examiner qu’un petit
e d’appliquer la plupart des règles que nous avons déjà posées. Si la
comparaison
est fondée sur une ressemblance, l’antithèse ne l
s heureuse qu’elle est exprimée dans un plus petit nombre de mots. La
comparaison
et l’antithèse sont des figures généralement asse
ou en les représentant en masse ; soit enfin en prenant pour point de
comparaison
des choses ou des événements d’une nature analogu
lorsqu’elle est vive et animée, nous fait trouver les métaphores, les
comparaisons
; la passion, ou l’émotion violente, nous inspire
e, et on compare ce que l’on a écrit avec le texte de l’auteur. Cette
comparaison
quelquefois répétée nous fera apercevoir les vice
et de vivacité. Non seulement il peut employer les métaphores et les
comparaisons
, mais il peut encore faire usage de la prosopopée
de contact ; cherchez quels éclaircissements il pourrait tirer d’une
comparaison
ou d’un contraste, d’une recherche de causes ou d
u mot Fable dans ses Élements de littérature. 54. Dans la judicieuse
comparaison
que Denys d’Halicarnasse établit entre le talent
sir de deviner ce qu’on lui cache ; il emploie surtout l’allusion, la
comparaison
, l’antithèse, la suspension, etc. » (Filon.) C’e
x pour les faire taire. Il reprend sa méditation, qui est toujours la
comparaison
qu’il fait de ces personnes avec lui-même, et où
ment l’harmonie imitative, et fait un grand usage de métaphores et de
comparaisons
. Il convient dans les morceaux descriptifs, tels
admet quelques figures dont les plus communes sont la Métaphore et la
Comparaison
, la Répétition, l’Apostrophe et la Prosopopée. Ex
es flots suspendus sur ma tête, et je n’en ai pu supporter le poids. (
Comparaison
et métaphore.) Tu seras enivrée de douleurs ; tu
e ses petits sous ses ailes ? et tu ne l’as pas voulu. (Prosopopée et
comparaison
.) Un des grands ornements qui donnent du charme
’agrément dans certaines oppositions qui en réalité sont une sorte de
comparaison
; nous en citons une ici que notre illustre Buffo
et de vivacité, ici le cœur parle avec tendresse, avec amour ; là les
comparaisons
sont toutes expressives : ce sont les palmes et l
de développement sont : l’énumération des parties, la description, la
comparaison
, la répétition. 1° De l’énumération des partie
sage, que la meilleure traduction ne saurait reproduire.) 3° De la
comparaison
. La comparaison consiste à mettre en regard d
re traduction ne saurait reproduire.) 3° De la comparaison. La
comparaison
consiste à mettre en regard deux idées qui ont en
us familière et plus facile à concevoir. La poésie aime à se parer de
comparaisons
riches, nobles, touchantes, afin de plaire à l’im
tête chargée de pluie. » Un écrivain moderne a peint, sous une belle
comparaison
, le pouvoir odieux de ces tyrans d’Egypte qui n’é
u fond de son labyrinthe que le monarque dictait ses volontés. » Les
comparaisons
doivent être claires et de nature à mieux faire c
e classe, consistant en rapprochements d’idées, dérivent toutes de la
comparaison
. La comparaison doit être juste et suivie, et aut
tant en rapprochements d’idées, dérivent toutes de la comparaison. La
comparaison
doit être juste et suivie, et autant que possible
uste et suivie, et autant que possible, neuve, rapide et piquante. La
comparaison
abrégée se nomme trope. Le trope consiste à trans
st la métaphore. Il y a métaphore, toutes les fois qu’en vertu d’une
comparaison
mentale, on emploie le signe d’une idée pour expr
omme ; et ici nous entrons dans les similitudes, les différences, les
comparaisons
, les contraires. Voyez-vous comme, à l’aide des l
e ces lieux suffit pour les définir. Aux semblables se rattachent les
comparaisons
, les similitudes, du plus au moins, du moins au p
ais, s’il m’est permis de revenir, à cause de son exactitude, sur une
comparaison
tirée d’objets purement matériels, je dirai : Les
e beau, belle, agréable. 28. — Le comparatif, c’est l’adjectif avec
comparaison
: quand on compare deux choses, on trouve que l’u
que l’on compare. Nous avons trois adjectifs qui expriment seuls une
comparaison
: meilleur, au lieu de plus bon, qui ne se dit pa
its, qui ne parlent pas à l’imagination. Elle cherche les images, les
comparaisons
, la couleur, l’éclat. Elle prête la vie aux objet
aisonner, c’est comparer deux propositions ou jugements, et, de cette
comparaison
, tirer une proposition nouvelle, que l’on appelle
etc. 3° Les Circonstances. — On appelle ainsi la preuve tirée de la
comparaison
du sujet ou du fait en question avec la personne,
ppelé. » (Bossuet, Oraison funèbre d’Henriette d’Angleterre.) 5° La
Comparaison
, qu’il ne faut pas confondre avec la figure de pe
èbre de M. Le Tellier.) 6° Les Contraires, qui se rapprochent de la
Comparaison
et de la Définition, consistent à prouver le suje
s, annonce dans un magnifique langage les incertitudes où le jette la
comparaison
du pouvoir et de la liberté : Cet empire absolu
plutôt encore de circonstances propres au sujet ou à l’orateur d’une
comparaison
, d’un souvenir, d’un accident. L’emploi des texte
; — l’ordre de disposition, où se classent, après la réflexion et la
comparaison
, toutes les pensées essentielles du sujet ; — la
mplicité ; et moins il est superbe, plus il devient vénérable. » 10°
Comparaison
. — Elle rapproche les objets, comme l’antithèse,
êt à la mettre en pièces. » (Oraison funèbre d’Anne de Gonzague). La
Comparaison
continuée entre deux hommes illustres prend le no
y arrêter, et comme en se jouant, l’Allusion, comme l’Antithèse et la
Comparaison
, procède par rapprochement et par analogie. « On
t, elle change le sens, et transporte l’application d’un mot, par une
comparaison
abrégée et réduite à un seul terme. Bossuet dit d
le que je vois encore tomber cette fleur. » Voilà la différence de la
comparaison
et de la métaphore. — La comparaison se fait avec
eur. » Voilà la différence de la comparaison et de la métaphore. — La
comparaison
se fait avec trois termes, le signe, l’objet auqu
ois termes, le signe, l’objet auquel on le compare, et le signe de la
comparaison
. La métaphore supprime le sujet et le signe pour
pre de la figure, sans exprimer ni indiquer aucunement le sujet de la
comparaison
. Telle est l’idylle de madame Deshoulières à ses
posées Observez ici comme tout se lie dans l’esprit humain. Par la
comparaison
et toutes les figures qui s’y rattachent, nous no
chent, il s’embellit par le contraste. » Voilà une image sensible des
comparaisons
et des antithèses. L’antithèse n’est donc que le
L’antithèse n’est donc que le rapprochement des contrastes, comme la
comparaison
est le rapprochement des semblables. L’antithèse,
r telle de ces fables se jouer dans la maison paternelle. L’esprit de
comparaison
se forme insensiblement dans leurs tendres intell
rant son mal au vrai, et tout ce qu’on en peut ôter de pointes par la
comparaison
avec le mal d’autrui. Les lettres Que n’a
: la définition, l'énumération des parties, le genre et l'espèce, la
comparaison
, les contraires, les choses qui répugnent entre e
rce qu'il faut aimer la vertu et que la modestie est une vertu. 4° La
comparaison
est un argument qui compare deux choses ensemble
couronne, pourquoi blâmer Napoléon, qui a fait la même chose ? — Les
comparaisons
développent la pensée et lui donnent de la force
Présente, je vous fuis ; absente, je vous trouve. (Racine.) 14° La
comparaison
rapproche deux idées, deux choses, et montre le r
ées, deux choses, et montre le rapport qu'il y a entre ces choses. La
comparaison
doit être vraie ; elle doit prendre le ton, le st
le sujet et être employée à propos. (Voyez les lieux communs.) Si la
comparaison
a pour objet des personnes célèbres, elle se nomm
un mot à une autre signification qui ne lui convient qu'à cause d'une
comparaison
qui est dans l'esprit. Par exemple, l'esprit ne c
ve l'argument que constituent le genre et l'espèce ? Qu'est ce que la
comparaison
? En quoi consistent les contraires ? A quoi serv
coussins sous sa molle épaisseur. (Boileau.) Les parallèles sont des
comparaisons
qui ont pour objet des personnes célèbres. Corne
e à une signification nouvelle, qui ne lui convient qu’en vertu d’une
comparaison
qui est dans l’esprit. Par exemple, quand on dit
nes, et entre le plaisir que cause la vue d’une belle campagne. Cette
comparaison
enveloppée que renferme la métaphore, donne une i
té. Mais quoiqu’il soit de l’essence de la métaphore de renfermer une
comparaison
, l’une et l’autre ne doivent pas être confondues.
rrier : il s’élançait comme un lion au milieu des ennemis ; c’est une
comparaison
: elle est exprimée par les termes mêmes. Qu’on d
: ce lion s’élançait au milieu des ennemis ; c’est une métaphore. La
comparaison
n’est alors que dans l’esprit : aucun terme ne l’
gorie. L’Allégorie n’est qu’une métaphore continuée : elle sert de
comparaison
, pour donner à entendre un sens qui n’est point e
loyées est celle qui suppose une ressemblance dans les objets, et une
comparaison
qui se fait dans l’esprit ; les rhéteurs la nomme
qui se fait dans l’esprit ; les rhéteurs la nomment métaphore. Si la
comparaison
est fausse ou forcée, l’image est obscure ou mauv
de ne suffisent pas pour donner du goût ; c’est par l’étude et par la
comparaison
des modèles qu’il se forme : l’enseignement du ma
écrivains anciens et modernes qui présentent avec elle des points de
comparaison
. Au nombre des annotateurs de cette œuvre, on peu
La Harpe, le ton d’Homère pour rendre le choc des deux armées par une
comparaison
qui rappelle toute la grandeur de l’objet : le de
s, I, 211 : Durate, et vosmet rebus servate secundis. 1. « Cette
comparaison
, dit La Harpe, est au nombre des plus belles qui
é et le goût ; elle y ajoute ses propres pensées, et de ce travail de
comparaison
et de critique, elle fait ressortir quelque vérit
r telle de ces fables se jouer dans la maison paternelle. L’esprit de
comparaison
se forme insensiblement dans leurs tendres intell
rant son mal au vrai, et tout ce qu’on en peut ôter de pointes par la
comparaison
avec le mal d’autrui. Vieillards enfin, arrivés a
ntrinsèques Définition, Énumération des parties, Genre et Espèce,
Comparaison
, Contraires, Choses qui répugnent entre elles, Ci
premier (le genre) l’est nécessairement de la seconde (l’espèce).
Comparaison
et dissemblance La comparaison établit entre d
rement de la seconde (l’espèce). Comparaison et dissemblance La
comparaison
établit entre deux idées un rapport qui amène une
funèbre de Michel Le Tellier.) La dissemblance est une variété de la
comparaison
. Contraires Les contraires consistent à pro
) Circonstances Les circonstances sont les preuves tirées de la
comparaison
du sujet ou du fait avec la personne, le lieu, le
° Intrinsèques, Définition, Énumération des parties, Genre et espèce,
Comparaison
, Contraires, Choses qui répugnent entre elles. Ci
ence, le nombre, et charme l’oreille quand elle est harmonieuse. Ex.
Comparaison
du caractère d’Antonin et de Marc-Aurèle dans Bos
rrection ; Concession ; Prétérition, etc. Prosopopée ; Hypotypose ;
Comparaison
; Périphrase, etc. Interrogation ; Apostrophe ;
tères) ; Prosopographie (des personnes) ; Topographie (des lieux).
Comparaison
La comparaison est la figure par excellence de
aphie (des personnes) ; Topographie (des lieux). Comparaison La
comparaison
est la figure par excellence de la poésie et de l
ettre en pièces. » (Bossuet, Oraison funèbre d’Anne de Gonzague.) La
comparaison
prolongée entre deux hommes illustres, entre deux
sser un mot de sa signification propre à une nouvelle, en vertu d’une
comparaison
mentale. Ex. « Madame a passé du matin au soir c
Jeune Veuve, IV, 21.) Il y a une différence entre la métaphore et la
comparaison
. Celle-ci se fait avec trois termes : le sujet, l
ois termes : le sujet, l’objet auquel on le compare et le signe de la
comparaison
. La métaphore supprime le sujet et le signe pour
é au style. Pour faire mieux saisir le rapport et la différence de la
comparaison
et de la métaphore, on peut citer l’exemple suiva
, Prétérition, etc. 2° Figures d’imagination. Prosopopée, Hypotypose,
Comparaison
, Périphrase, etc. 3° Figures de passion. Interrog
chien dans Buffon. 5° Parallèle Le parallèle est une espèce de
comparaison
appliquée aux personnes ou aux caractères. Il opp
ment trempés, il est barbare. Similitude. La similitude est une
comparaison
; comme elle, elle établit des rapprochements ent
re les objets et nous amène à juger de l’un par l’autre. Telle est la
comparaison
que fait Racine (Athalie, acte II, scène 9) du te
és ou défauts du jugement. Raisonnement et argumentation. De la
comparaison
des idées est résulté le jugement. Du rapprocheme
ous me trouverez assez éloquents. » Il importe de choisir. La
comparaison
de l’exorde du plaidoyer d’Ajax et de celui d’Uly
proche quelquefois de l’Iliade par le sublime des images. Voyez cette
comparaison
: Ainsi, lorsque des monts séparés par Alcide, L
quum saucius aram, Taurus, et incertam excussit cervice securim. La
comparaison
est juste et bien exprimée. C’est une victime rap
ures de pensée qui se rapportent au style tempéré ou fleuri sont : la
comparaison
et le parallèle, l’allusion, la signification ou
se, l’éthopée, la prosopographie, la topographie, la chronographée.
Comparaison
. Parallèle. La comparaison rapproche deux obje
ie, la topographie, la chronographée. Comparaison. Parallèle. La
comparaison
rapproche deux objets qui se ressemblent, au moin
rydice, que lui a ravie le Destin, fait cette juste et attendrissante
comparaison
: Qualis, populeâ mœrens Philomela sub umbrâ, Am
amentables accents, dont elle emplit tous les lieux d’alentour. » La
comparaison
suivante est d’un autre caractère : il s’agit d’H
garde en ses grottes profondes L’amertume pour lui. Les
comparaisons
doivent être employées à propos et avec réserve.
loyées à propos et avec réserve. Prodiguées, elles déplairaient. À la
comparaison
doit se rapporter le parallèle, qui n’est qu’un r
itive à une autre signification qui ne lui convient qu’en vertu d’une
comparaison
qui est dans l’esprit. Lorsqu’on dit qu’une campa
ent que consiste la métaphore. La métaphore, toutefois, diffère de la
comparaison
. Qu’on dise d’un guerrier qu’il s’élançait comme
rrier qu’il s’élançait comme un lion au milieu des ennemis, c’est une
comparaison
. Mais qu’on dise, du même guerrier, que c’est un
c’est un lion qui s’élançait au milieu des ennemis, ce n’est plus une
comparaison
, c’est une métaphore. La métaphore est le trope l
n nom à une autre signification qui ne lui convient qu’en vertu d’une
comparaison
qui existe dans l’esprit. Il n’est point de figur
le discours, soit en vers, soit en prose. La métaphore diffère de la
comparaison
par la forme seulement ; car le fond est évidemme
fléchir le poids d’un immense édifice, ce ministre, etc., je fais une
comparaison
, parce que j’exprime tous les points de rapport d
lonne de l’état, voilà une métaphore qui n’est, comme on voit, qu’une
comparaison
abrégée qu’achève l’imagination. Cette figure, qu
t ; quand c’est dans les pensées que se trouve l’opposition. Comme la
comparaison
est fondée sur la ressemblance des objets comparé
ose toute image ? Toute image suppose une ressemblance, renferme une
comparaison
; et de la justesse de la comparaison dépend la c
une ressemblance, renferme une comparaison ; et de la justesse de la
comparaison
dépend la clarté, la transparence de l’image. Mai
la comparaison dépend la clarté, la transparence de l’image. Mais la
comparaison
est sous-entendue, indiquée ou développée. On dit
dit encore : tel qu’un lion altéré de sang, etc. Il rugit, suppose la
comparaison
; c’est un lion, l’indique ; tel qu’un lion, la d
présentent, entre la pensée et l’objet physique qui sert de point de
comparaison
, cette exactitude de rapport et cette vérité sens
corset est étonné de se trouver ici. 5. En général, il faut que les
comparaisons
ajoutent à l’idée de l’objet qu’on vent peindre,
Un loup de mer n’a pas les larmes faciles. Citons, comme exercice de
comparaison
, l’ode de Lebrun sur le vaisseau le Vengeur, qui,
plus d’objets sur lesquels il peut s’exercer, dont il peut tirer des
comparaisons
, des argumens ; le style s’embellit d’images de t
es ; nous comparons deux idées pour en découvrir le rapport, et cette
comparaison
est un jugement ; nous rapprochons deux jugemens
ai l’idée d’un triangle. Définition du jugement. Le jugement est la
comparaison
de deux idées (P. R.). On peut le définir aussi u
n jugement d’autres jugemens déjà connus. Cette opération suppose une
comparaison
préalable de deux jugemens. Base du raisonnement
e majeure, et la seconde celui de mineure. Ainsi le syllogisme est la
comparaison
de deux idées, par le moyen d’une troisième qui s
chercher, je chercherai une troisième idée pour me servir de terme de
comparaison
; je prendrai celle du vrai bonheur, et je dirai
de ce moyen oratoire. Il emploie dans la plupart de ses discours les
comparaisons
les plus justes et les plus énergiques. Voici com
es sophistes ont des tours d’adresse qu’Aristote n’a pas comptés. Les
comparaisons
, les images, les figures de toute espèce, la pomp
e sens figuré est celui auquel on transporte le mot par une espèce de
comparaison
. Exemples. Par exemple, le mot chaleur a été ét
re d’un mot à une signification qui ne lui convient qu’en vertu d’une
comparaison
qui est dans l’esprit, et qu’on supprime dans l’e
e qui fond sur les Troyens, qu’il s’élance comme un lion, je fais une
comparaison
; mais quand Homère dit : Ce lion s’élançait, il
s, prises de loin, et que le rapport n’est point assez naturel, ni la
comparaison
assez sensible. Théophile a dit : Je baignerai me
lle image les descriptions et les tableaux. Aristote donne ce nom aux
comparaisons
. Mais, en matière de style, on attache à ce mot u
nos pensées. Ces figures sont l’amplification, l’énumération, la
comparaison
, la répétition, l’antithèse, et l’hypotipose. Am
mère, ma femme, mes enfans. » (Tit.-Live, l. II, c. 40.) 2°. Par la
comparaison
de plusieurs objets. Il y a des idées qui entraîn
al du discours, parce que l’idée accessoire qu’on prend pour terme de
comparaison
, et l’idée première que l’on compare, étant éclai
sant de vivre. » (Quinte-Curce, l. V, c. 8.) Quelquefois le terme de
comparaison
est une hypothèse, c’est-à-dire qu’au lieu d’être
ui composent la vie de cette princesse.(Exorde de cette orais. fun.)
Comparaison
. On peut distinguer deux sortes de comparaisons
e cette orais. fun.) Comparaison. On peut distinguer deux sortes de
comparaisons
: les unes de simple ornement, les autres de néce
traitons pas ici de la poésie, nous considérerons principalement les
comparaisons
comme servant à mettre les pensées plus en éviden
à les rendre plus palpables. Il y a des mots consacrés au tour de la
comparaison
: de même que….. comme, ainsi, pareillement, tel
Mais on n’emploie pas toujours ces formules usitées. Quelquefois la
comparaison
marche toute seule, comme dans l’exemple suivant
Souvent on en fait l’application au sujet, en mêlant les idees de la
comparaison
avec les termes propres de la chose. Exemple : «
encouragement pour le bien. » (Thomas, éloge de Sully.) Sources des
comparaisons
. Ordinairement les comparaisons se prennent d’ob
omas, éloge de Sully.) Sources des comparaisons. Ordinairement les
comparaisons
se prennent d’objets physiques, parce qu’ils sont
pres à faire des tableaux ou des images. Voici pourtant une charmante
comparaison
prise d’une idée métaphysique : « La musique de
rien dans la nature qui ne puisse fournir à l’écrivain des sujets de
comparaison
; on en peut prendre même dans les idées abstrait
u’on en veut faire. Manière de les introduire dans le discours. Les
comparaisons
entrent dans le langage de l’imagination, mais el
assions énergiques. Il s’ensuit que la narration tranquille admet des
comparaisons
fréquentes ; qu’à mesure qu’elle s’anime, elle en
imer. Règles de ces figures. Les règles à observer relativement aux
comparaisons
sont : 1°. qu’elles soient claires et qu’elles re
de l’analogie entre l’objet comparé et celui qui lui sert de terme de
comparaison
; 3°. qu’elles ne soient pas tirées d’objets rare
ur ainsi dire usés. Répétition Comme toutes les autres figures, les
comparaisons
ne doivent pas être prodiguées ; il faut les empl
ire va nous les apprendre : « Ce qu’on appelle esprit, est tantôt une
comparaison
nouvelle, tantôt une allusion fine : ici l’abus d
par cela même qu’il est un ornement. Une pensée fine, ingénieuse, une
comparaison
juste et fleurie, est un défaut quand la raison s
institutions nouvelles dans la république. (Tit. Liv., l. IV.) 2. La
comparaison
n’est quelquefois qu’un ornement de style ; mais
e discours. Ce qu’il faut éviter en amplifiant. Énumération. Exemple.
Comparaison
. Exemples. Sources des comparaisons. Manière de l
amplifiant. Énumération. Exemple. Comparaison. Exemples. Sources des
comparaisons
. Manière de les introduire dans le discours. Règl
irmation d’un rapport qu’on aperçoit entre deux idées par suite d’une
comparaison
qu’on a faite. Quand je dis : Dieu est bon, mon e
Toute image, dit Marmontel, suppose une ressemblance et renferme une
comparaison
; et de la justesse de cette comparaison dépend l
ressemblance et renferme une comparaison ; et de la justesse de cette
comparaison
dépend la clarté, la transparence de l’image. Le
sa signification propre à une signification étrangère en vertu d’une
comparaison
qui se fait dans l’esprit. Dites en parlant de Co
e. Mais dites ensuite : Condé s’élance comme un lion, vous faites une
comparaison
. Quand le prophète-roi dit au seigneur : Votre p
e éclaire mes pas comme une lampe de sa lumière, il aurait exprimé la
comparaison
et il n’y aurait point eu de figure. 171. La méta
is mots berceau, flotté, submergés sont en parfait rapport avec cette
comparaison
. 174. Il y a beaucoup de traits de ressemblance e
emploi des métaphores. Cependant, quoique toute métaphore suppose une
comparaison
, il n’est pas vrai de dire que toute métaphore es
n autre. Elle diffère de la métaphore en ce qu’elle ne suppose pas de
comparaison
, et elle lui ressemble en ce qu’elle est comme el
t que les quatre premiers tropes dont nous avons parlé renferment une
comparaison
et se rapportent tous à la métaphore. Ainsi l’all
la réticence, l’antithèse, la gradation, l’ironie, le contraste ou la
comparaison
. 200. La correction est une figure par laquelle o
Cet enfant de David, votre espoir, votre attente ! (Racine.) 206. La
comparaison
ou similitude rapproche deux objets qui se ressem
côtés, afin de rendre l’un d’eux plus sensible et plus frappant. Les
comparaisons
ont pour but d’éclaircir les pensées, d’orner le
elles doivent être claires, justes, nobles et sobrement ménagées. La
comparaison
a beaucoup de rapports avec la métaphore, et tout
s dit sur l’emploi des images et des métaphores s’applique aussi à la
comparaison
. Il s’émeut, et semblable à l’instrument terribl
pas. Il chancelle, il hésite, il recule d’un pas. (Delille.) 207. La
comparaison
prend le nom de contraste lorsqu’elle oppose deux
lèle à propos de la description ; mais il s’agit ici uniquement de la
comparaison
de deux écrivains qui ont entre eux quelque rappo
dans les choses de sentiment. Qu’il s’embellisse de périphrases et de
comparaisons
tirées des objets de la campagne et toujours sugg
est-ce que l’ironie prend le nom de sarcasme ? 206. Qu’est-ce que la
comparaison
ou similitude ? 207. Quand est-ce que la comparai
Qu’est-ce que la comparaison ou similitude ? 207. Quand est-ce que la
comparaison
prend le nom de contraste ? 208. Quelles sont les
pot. 19. Voir notre Choix de compositions littéraires comme terme de
comparaison
pour le travail des élèves. 20. Auteurs à consul
u nous dire que ce qu’il y avait de mieux. Aussi résulte-t-il de leur
comparaison
avec les moralistes les plus accrédités, que ce q
parfums étonnent les hivers. (Prov. ch. 11. v. 2, 4 et suiv.) Cette
comparaison
est un de ces traits charmants, si fréquents et t
d’un éclat passager, Ne sortent du néant que pour s’y replonger. Une
comparaison
d’autant plus sublime, qu’elle rend plus sensible
erons les développements qui se font par gradation, par similitude ou
comparaison
, et par expolition. Nous avons traité de la compa
similitude ou comparaison, et par expolition. Nous avons traité de la
comparaison
et de la gradation à l’article des figures. Quant
ion. S’agit-il, par exemple, de rendre le choc de deux années par une
comparaison
qui rappelle toute la grandeur de l’objet ? Sur
dernier vers est sublime. Ces sortes d’oppositions qui terminent une
comparaison
par une circonstance plus grande que toutes les a
urs naturelles ! quelle émotion saisissante ! La lecture, l’étude, la
comparaison
, prêtent à l’imagination ce qui lui manque réelle
e, dans nos idées habituelles, aucun point de rapport, aucun point de
comparaison
. Le sublime s’élance au-delà des bornes du fini :
parent autour d’eux une nombreuse postérité1. 1re partie, chap. 2.
Comparaison
de Démosthène et d’Isocrate. Vous avez mis Dém
émosthène parlait bien autrement contre Philippe. Vous pouvez voir la
comparaison
que Denys d’Halicarnasse fait de ces deux orateur
e : il parle beaucoup et réfléchit peu. 6° Enfin il y des adverbes de
comparaison
, comme plus, moins, aussi, autant, etc. Exemples
utre objet en regard de mon sujet, il me sera permis de recourir à la
comparaison
, que je devrai abréger le plus possible. Souvent
nt dans les trois vers qui suivent, c’est la noblesse des images, une
comparaison
superbe et la fierté de l’être qui brave égalemen
l’auteur le compare à un lion qui vient d’égorger un troupeau. Cette
comparaison
est si rebattue qu’elle est devenue triviale ; ma
l’imagination peut suivre ce mouvement, bondissant comme un léopard (
comparaison
courte et vive, telle qu’il la fallait en cet end
xpliquer lui-même : « Ce qu’on appelle esprit, dit-il, est tantôt une
comparaison
nouvelle, tantôt une allusion fine ; ici, l’abus
comprendre en quoi consiste cette qualité. Il appelle esprit : 1° une
comparaison
telle que celle-ci que madame de Sévigné emprunte
parole à une fille qui n’était pas muette. » 2° La métaphore est une
comparaison
abrégée ; elle est d’un fréquent usage. Madame de
sommes anéantis pour jamais. » 4° L’allusion est aussi une sorte de
comparaison
, mais qui n’est pas expressément énoncée. Madame
: la définition, l’énumération des parties, le genre et l’espèce, la
comparaison
, les contraires, les choses qui répugnent entre e
urs du même orateur sur la décadence de l’éloquence. Il y joint cette
comparaison
: « Semblable à ces arbres dont la stérile beauté
arlerons point de la similitude, qui est presque la même chose que la
comparaison
, ni de la dissimilitude ou différence, qui se con
e ou différence, qui se confond presque avec les contraires. 4º. La
comparaison
, qu’il ne faut point confondre avec la figure ain
inconséquent celui qui ose nier la Providence, argumente ainsi par la
comparaison
du moins au plus : « Il croit qu’un État ne peut
aditus ad causam, et qui consiste surtout à préparer les esprits. La
comparaison
de l’exorde du plaidoyer d’Ajax et de celui d’Uly
randissent, cela nous paraît noble. On s’en aperçoit surtout dans les
comparaisons
, où l’esprit doit toujours gagner et ne jamais pe
des expressions pathétiques de la tragédie, ni des métaphores et des
comparaisons
de l’épopée. Tout écrit, de quelque nature qu’il
la passion. Dans l’oraison funèbre du grand Condé, Bossuet, après la
comparaison
de l’aigle, ajoute : « Aussi vifs étaient les reg
mot à une autre signification, qui ne lui convient qu’en vertu d’une
comparaison
qui est dans l’esprit. Toute métaphore renferme d
comparaison qui est dans l’esprit. Toute métaphore renferme donc une
comparaison
; mais elle en rend l’expression plus rapide et p
II, 6). Quand Homère dit qu’Achille s’élance comme un lion, c’est une
comparaison
; mais quand il dit du même héros, ce lion s’élan
s, prises de loin, et que le rapport n’est point assez naturel, ni la
comparaison
assez sensible. Théophile a dit : Je baignerai m
e ou de l’élégance. Il emploiera surtout les métaphores, qui, par les
comparaisons
qu’elles suggèrent à l’esprit, le transportent d’
cette figure tout ce que nous avons dit sur les alliances de mots. La
comparaison
, au lieu d’opposer ainsi les idées, rapproche deu
s de force et de clarté au raisonnement. La poésie aime à se parer de
comparaisons
riches, grandes, expressives. On en voit un exemp
les vivantes. Les orateurs, sans se permettre trop souvent de telles
comparaisons
, ne se les interdisent pas. Bossuet, dans l’éloge
le n’est pas même courbée sous sa chute. » Thomas présente une belle
comparaison
morale dans son éloge de Sully : « L’idée seule d
me juste, un frein pour le mal, un encouragement pour le bien. » Les
comparaisons
doivent être vraies, nobles, employées à propos e
blessent et importunent. Quand on rapproche deux hommes illustres, la
comparaison
se nomme parallèle. L’allusion est une comparaiso
mmes illustres, la comparaison se nomme parallèle. L’allusion est une
comparaison
qui se fait dans l’esprit, et par laquelle on dit
nt la gaieté et le rire ; aller au-devant des objections ; offrir des
comparaisons
et des exemples ; distribuer une idée en plusieur
sortie de l’arche et rapportant le rameau d’olivier. En suivant cette
comparaison
, j’ajouetrai que le Génie du christianisme (1802)
i dit ce mot, et je ne m’en dédis pas. Ce n’est pas une analogie, une
comparaison
de choses qui se ressemblent : non, c’est la chos
nnaître le présent : je ne sais pas de travail plus profitable que la
comparaison
des mœurs antiques avec celles des temps modernes
dat, c’est le barreau qui fait l’avocat. (J’en reviens toujours à mes
comparaisons
militaires ; mais qu’est-ce que la parole, sinon
de phrase se servent les bergers ? Les bergers emploient souvent des
comparaisons
tirées des objets qui frappent leurs yeux, au lie
la joie, la tendresse ou l’espérance. Le poète y fait quelquefois une
comparaison
de nos travaux, de nos vices, de nos prétendues r
a fin de l’Histoire de la Critique. Je transcris ici, comme termes de
comparaison
, les traductions de Dacier, de Batteux et de Chén
n obtient une symétrie plus satisfaisante entre les deux termes de la
comparaison
marquée par les mots ᾥσπβρ — οὒτω. Peut-être auss
sons nouvelles pour mettre les femmes au pas4. Le Pot au lait
Comparaison
des alquemistes 1 à la bonne femme qui portoit un
une épigramme continuelle. Nul écrivain n’a jamais été plus riche en
comparaisons
vives et hardies, en métaphores rapides et involo
’ayant mis hors de soi, selon la volonté divine. 11. Il revient à sa
comparaison
des aiguilles aimantées qui se tiennent les unes
d’où Ritter conclut à tort contre l’authenticité de ce chapitre. — La
comparaison
de l’Iliade avec la définition de l’homme est aus
cher le cœur. Voilà pourquoi, dans le développement des passions, les
comparaisons
sont toujours dangereuses et souvent déplacées. G
otson, Temple, Boyle, Locke, Newton et Clarke. Lorsqu’il s’agit d’une
comparaison
entre les anciens et les modernes, l’on entend pa
s dont les ouvrages occupent un rang éminent dans la littérature. Une
comparaison
entre ces deux classes d’écrivains ne peut être q
éral que j’ai posé ; son application nous mènerait trop loin dans une
comparaison
entre les anciens et les modernes. Quelque supéri
e qui n’est due qu’à des connaissances plus exactes. Revenons à notre
comparaison
de l’âge du monde avec l’âge d’un homme, et dison
être écrits d’un style facile, correct et élégant. Ils admettent les
comparaisons
, les métaphores et, en général, toutes ces figure
utre ouvrage, attireraient toute notre attention. Les métaphores, les
comparaisons
, les allégories, les personnifications y sont trè
ébreux sous ce rapport, nous trouverons que leurs métaphores et leurs
comparaisons
peignent admirablement la nature de leur contrée,
, qui, par la grandeur et la dignité des expressions, élevaient leurs
comparaisons
à la hauteur de leur sujet. Quelle inexprimable g
cérémonies se reproduisent sans cesse sous des formes nouvelles. Les
comparaisons
dont se servent les poètes sacrés sont en général
peut-être un avantage sur les poètes de la Grèce ou de Rome, dont les
comparaisons
, par leur extrême étendue, coupent la narration d
upe, et reprend aussitôt le cours de ses idées. Telle est cette belle
comparaison
, pour faire sentir l’heureuse influence d’un bon
que nubibus rutilat, et sicut pluviis germinat herba de terra. Cette
comparaison
est une des meilleures et une des plus naturelles
el, ni aux particularités du climat de la Judée. On n’y trouve aucune
comparaison
empruntée aux rivières ou aux torrents, qui étaie
vec un air de gaîté et d’assurance, assimilé, par une des plus belles
comparaisons
de l’Iliade, à celui d’un coursier qui bondit et
t inanimées et froides. Aucun poète ne fit un plus fréquent usage des
comparaisons
; la plupart sont de la plus grande beauté. Il fa
sont extrêmement riches de poésie. Cependant je ne crois pas que les
comparaisons
, prises en général, soient ce que l’on doive admi
du cinquième livre de l’Odyssée ; c’est ainsi que presque toutes les
comparaisons
de Virgile ne sont que des copies de celles d’Hom
leines de vivacité qui appartiennent particulièrement à l’auteur. Les
comparaisons
, entre autres, y sont neuves et magnifiques. Cepe
gracieux. Ses descriptions annoncent une imagination étonnante ; ses
comparaisons
, presque toujours extrêmement heureuses, sont par
onge pas plus à décrire ce qu’il éprouve, qu’à chercher des points de
comparaison
avec les sentiments qui l’affectent. C’est un lan
a sorte en recevant le coup le plus fatal et le plus inattendu. Cette
comparaison
eût été admirable dans la bouche d’une personne q
décrire ses gestes et ses regards, et surtout ne va pas chercher des
comparaisons
pour en rendre la description encore plus sensibl
ent puéril, dû seulement au mauvais goût des auditeurs du siècle, ces
comparaisons
en vers rimés, et ces couplets par lesquels nos p
tre n’a pas. Nous avons des lettres de tous les deux ; il n’y a nulle
comparaison
à en faire. D’un autre côté, Démosthène a un gran
’ai seulement gardé le cygne, parce que le rat me choquait. » 1. Les
comparaisons
n’ont pas manqué entre Corneille et Racine. Ce qu
ur a imité aussi en quelques passages l’Andromaque d’Euripide. Sur la
comparaison
de la pièce française avec la pièce grecque, on l
tes Les pensées brillantes consistent dans le choix d’une heureuse
comparaison
, relevée par une tournure pleine de précision. La
e signification étendue, augmentée quelquefois encore par un terme de
comparaison
qui en fait mieux sentir la grandeur. Telle est c
e. 6. Oui, le grand ressort d’une montre qui se brise. Fénelon a les
comparaisons
volontiers familières, et toutes simples. 1. Il
ccès de colère. 1. Que d’esprit dans cette analyse ! 2. Encore une
comparaison
toute voisine de nous. 3. Tour vil ; pour dire
igé l’esprit du gouvernement, si longtemps corrompu et dépravé. Cette
comparaison
sert à mieux marquer et le mérite et la reconnais
n suivante de l’esprit : « Ce qu’on appelle esprit, c’est tantôt une
comparaison
nouvelle, tantôt une allusion fine ; ici, l’abus
sur des bruyères. Souvent l’espace semblait borné, faute de points de
comparaison
; mais si une vague venait à se lever, un flot à
ions ; il aurait cru faire plus d’effet : il se fût trompé. Charmante
comparaison
de la jeune fille avec l’épi et le fruit de la vi
de goût et de fraîcheur ; elles se succèdent et changent de point de
comparaison
sans se nuire, tant elles sont justes et bien cho
e trouve entre deux ou plusieurs choses ; elle n’est, au fond, qu’une
comparaison
. L’orateur s’en sert lorsqu’il veut développer un
se, l’instabilité des choses humaines est prouvée et exprimée par des
comparaisons
accumulées : Quel fruit avons-nous tiré, disent
raires ont une grande analogie avec la similitude. C’est une sorte de
comparaison
où l’on fait ressortir des différences et des con
ions étendues et ornées, qu’ils entrent dans des détails, fassent des
comparaisons
, mettent sous les yeux des exemples, opposent plu
et la structure si délicate que toute autre machine est grossière en
comparaison
. A rechercher de près les parties, on y voit de t
Remarquez la parfaite symétrie de tous les termes de cette admirable
comparaison
. 2. Il est curieux de comparer à ce passage ce q
x son concurrent Ulysse199. (Le Fermier, le Chien et le Renard.) Ces
comparaisons
de petites choses à ce qu’il y a de plus grand, f
r des expressions pleines de douceur. Le poète y fait quelquefois une
comparaison
de nos travaux, de nos vices, de notre condition,
vement pénétré ; il suggérera à l’esprit des pensées, des images, des
comparaisons
analogues et proportionnées au sentiment. C’est d
e son sujet ; et dans un emportement soudain, il débute par de riches
comparaisons
et de brillantes images. C’est ce que fait Horace
des coups de tonnerre Que leur grandeur doit éclater ? Ce seront des
comparaisons
riches et multipliées qui nous présenteront les o
fférents de la même personne. Le parallèle est, comme on le voit, une
comparaison
soutenue. Il y a plusieurs manières de procéder d
essions nobles et hardies sont toujours de son ressort, ainsi que les
comparaisons
, les descriptions, les métaphores, le pathétique,
, l’horreur pour le mal. Pour atteindre ce but, l’écrivain se sert de
comparaisons
, de métaphores, de descriptions, de couleurs, de
es ornements, on remarque les pensées fines, les traits piquants, les
comparaisons
neuves ou justes et naïves, les sentiments et les
cependant nous ne pûmes aller jusqu’à la flatterie. Bussy-Rabutin.
Comparaison
. Nous vous retiendrons ici (à Cambrai), comme l
lus pour l’éloquence que la nature ; et il résout la question par une
comparaison
aussi ingénieuse que décisive. « Si Praxitèle, di
uvenir de sa vertu, à des statues vivantes et impérissables ; mais la
comparaison
est implicite, c’est-à-dire, qu’elle n’est pas ex
pouvez d’un seul mot les rendre à la vie. » Remarquez encore ici une
comparaison
implicite : ces habitants d’Antioche que le senti
composer, sans le secours du livre, le morceau analysé. Enfin, par la
comparaison
qu’il fera de son travail avec la rédaction adopt
is qui est ou brillante ou rapide, selon que le sujet l’exige ; 3° la
comparaison
, qui consiste à rapprocher les choses des circons
ographie13, l’éthopée14, le parallèle, le contraste, la similitude ou
comparaison
, enfin l’hypotypose qui raconte un fait particuli
ec des grâces nouvelles. La similitude, qu’on nomme aussi quelquefois
comparaison
, en diffère cependant en ce que la comparaison, e
omme aussi quelquefois comparaison, en diffère cependant en ce que la
comparaison
, en style oratoire, est un véritable raisonnement
e et dieu S’il est vrai que l’univers tout entier ne soit rien en
comparaison
d’une âme, parce qu’une âme se connaît et que l’u
, Qui de sa tige arrachée Devient le jouet des vents. Cette dernière
comparaison
n’est point dans l’original ; mais elle est si bi
uiconque y voudra puiser le vrai beau. Combien de traits sublimes, de
comparaisons
heureuses, de mouvements pleins d’énergie ou de s
rofonds. » L’esprit 1 Ce qu’on appelle esprit est tantôt une
comparaison
nouvelle, tantôt une allusion fine : ici, l’abus
à la littérature et à un peu de réputation ne sont que des fleurs en
comparaison
des autres maux qui de tout temps ont inondé la t
, ils ne furent plus obligés d’avoir recours à des allusions et à des
comparaisons
continuelles ; le style devint plus précis, et en
u monde la plus spirituelle : Ce qu’on appelle esprit est tantôt une
comparaison
nouvelle, tantôt une allusion fine ; ici l’abus d
ner une idée plus claire, plus exacte et plus complète. Tels sont les
comparaisons
, les exemples, les citations, les témoignages que
r de petites choses. » (Discours sur le s des inscriptions.) De la
comparaison
ou similitude. La description indirecte procèd
ant d’un autre objet qui lui ressemble : c’est ce que l’on appelle la
comparaison
ou similitude. Ainsi Voltaire, voulant donner une
e jamais ne corrompt l’amertume des mers. Nous citerons encore cette
comparaison
tirée de la méditation de M. de Lamartine, intitu
lir ici les soupira des mortels. Les poëtes emploient fréquemment la
comparaison
pour embellir et varier leurs tableaux ; la prose
sée. Pascal, ne pouvant définir l’espace, en donne une idée par cette
comparaison
: « C’est un cercle dont le centre est partout et
le fruit : voilà le despotisme. » De l’allusion. Quelquefois la
comparaison
n’est pas expressément énoncée ; la phrase a un s
t pas expressément énoncée ; la phrase a un sens indépendant de toute
comparaison
, mais il existe entre le ait exprimé et un autre
ertir en or tout ce qu’il touchait. L’allusion n’est pas toujours une
comparaison
déguisée : elle consiste aussi à rappeler un mot
iété dans le discours, on emploie un artifice entièrement opposé à la
comparaison
; on montre qu’il n’y a aucune ressemblance entre
s dit des tropes en général. La métaphore, qu’on pourrait appeler une
comparaison
abrégée, est un mot employé (primitivement à dési
y ait pas trop de disproportion dans les idées dont elle n’est qu’une
comparaison
implicite. Ainsi on a eu raison de blâmer ce vers
sir de deviner ce qu’on lui cache ; il emploie surtout l’allusion, la
comparaison
, l’antithèse, la suspension, etc. Quand la finess
use. Une bonne élocution est d’un effet toujours sûr. Il n’y a pas de
comparaison
à faire entre l’impression que produit sur nous u
ντων. La Fontaine a inséré à la fin du premier livre de sa Psyché une
comparaison
de la comédie et de la tragédie, qui mérite encor
vient que nous avons multiplié ces occasions de rapprochements et de
comparaisons
qui habituent l’œil à voir juste, à distinguer le
vient que nous avons multiplié ces occasions de rapprochements et de
comparaisons
qui habituent l’œil à voir juste, à distinguer le
u niveau de leur renommée. Mais ici l’orateur n’à point à craindre la
comparaison
de l’austère vérité. La mort qu’ils ont affrontée
rouvera plus bas deux autres, chap. v et xl, xxviii et xv. Quant à la
comparaison
même que fait ici Aristote entre les plaisirs de
reux2. Je sais qu’il est un goût acquis par l’étude, la lecture et la
comparaison
, et je ne prétends pas en nier l’empire ni le mér
chercher ce qu’il y avait de différent ou de semblable. Cette longue
comparaison
est, je le crois, la vraie préparation de l’espri
vec nous, pour qu’ils intéressent notre cœur ; voilà le bon. Quelques
comparaisons
familières vont répandre une vive lumière sur ces
le peut ne contenir que des peintures, des récits, des sentiments, la
comparaison
de notre vie avec celle des bergers. Selon la déf
communs, pourvu que tout y soit exprimé avec grâce. Voyez cette jolie
comparaison
par laquelle Bernis représente le pouvoir de la m
chrétiens vinrent à bout des infidèles ; il le fait au moyen de cette
comparaison
: Comme un torrent fougueux qui, du haut des mon
Il n’y a peut-être pas dans les écrits de l’antiquité une plus belle
comparaison
. Ut ex Apennino fluminum, sic ex communi sapienti
l’inconstance de nos caprices. Mais la manière d’agréer est bien sans
comparaison
plus difficile, plus subtile, plus utile et plus
les· enlève soit rare, et que peu d’écrivains ; s’en accommodent. Les
comparaisons
tirées d’un fleuve dont le cours, quoique rapides
sont la preuve. Si cependant il est permis de faire entre eux quelque
comparaison
, et les marquer l’un et l’autre par ce qu’ils ont
x vérités qui se donnent du jour l’une à l’autre. La métaphore, ou la
comparaison
, emprunte d’une chose étrangère une image sensibl
à faire des images qui soient précises, donnent naturellement dans la
comparaison
et la métaphore. Les esprits vifs, pleins de feu,
Fragments du discours à l’Académie Rappelez en votre mémoire (la
comparaison
ne vous sera pas injurieuse), rappelez ce grand e
ais il s’y établit avec lui : le monde s’accoutume à en voir faire la
comparaison
: quelques-uns ne souffrent pas que Corneille, le
nd les mêmes choses d’une autre manière ; il les revêt d’images et de
comparaisons
plus sensibles ; ou bien il remonte aux principes
ses, d’un autre œil que les autres hommes. Tout est pour lui objet de
comparaison
rapide et de métaphore, sans qu’il y prenne garde
des expressions pathétiques de la tragédie, ni des métaphores et des
comparaisons
de l’épopée. Chaque genre a ses nuances différent
r un habitant de Paris ; les Anglais tireront plus heureusement leurs
comparaisons
, leurs métaphores de la marine, que ne feront les
lui font quelquefois oublier ses malheurs66. Je crois voir, dans la
comparaison
de ces deux morceaux, le disciple qui tâche de lu
dire. Je tiens, en fait de langue, tous les peuples pour barbares, en
comparaison
des Grecs et de leurs disciples les Romains, qui
ses couleurs. Quoi qu’il en soit, la même observation qui confirme la
comparaison
de Rollin prouve encore la justesse de celle-ci :
x auteurs comme poëtes, je crois qu’il ne serait pas juste d’en faire
comparaison
. Sans parler de la supériorité du genre sublime97
arent ce qui est très-fin, il faut le colorer. CVI. Les images et les
comparaisons
sont nécessaires, afin de rendre double l’impress
e force physique et une force intellectuelle. CVII. Il faut, dans les
comparaisons
, passer du proche au loin, de l’intérieur à l’ext
Condé offraient à l’historien des points de rapport et des termes de
comparaison
que l’orateur a dû saisir, et qui se trouvent néc
ssi rapprocher de cette pièce, en éloignant d’ailleurs toutes idée de
comparaison
, les Adieux d’un poëte à la vie, que renferment l
and sur le même sujet. N’oubliez pas les vers de Juvénal. 1. La même
comparaison
a été appliquée ainsi par Sénèque : « La gloire s
Il ressemble à un gigantesque rubis. 3. Remarquez la constance de la
comparaison
qui se continue. 4. C’est senti, c’est peint d’a
très-obéissant et très-fidèle serviteur. 1. Je n’aime guère cette
comparaison
; car le mot d’abeille éveille des idées d’indust
e : — Si le parjure est un crime, le mensonge est répréhensible. — La
comparaison
. — Vous établissez des rapports entre deux idées,
tude et à la précision, les orner de toutes les images, de toutes les
comparaisons
, de toutes les figures dont il est susceptible. E
fet visible de l’art et du travail, ces figures oratoires, ces riches
comparaisons
pompeusement étalées, ces élans lyriques fruit d’
et les fougueux transports. Ainsi vous rejeterez les hyperboles, les
comparaisons
directes, les apostrophes aux êtres insensibles,
n’existe que des extraits dans toutes les éditions précédentes, et de
comparaisons
, d’observations et de remarques nouvelles. Les tr
tous ses héros un certain air de ressemblance. On a fait beaucoup de
comparaisons
entre ces deux souverains de notre scène. Mais po
comparer deux poëtes qui ont excellé dans un genre différent ; et ces
comparaisons
pourront-elles jamais nous servir à apprécier le
s le genre sublime, ni Racine dans le sien ? Quoi qu’il en soit ; ces
comparaisons
ne sont pas tout-à-fait inutiles, puisqu’elles no
cle, et que l’autre doit plus à Euripide. Ceux qui voudront faire une
comparaison
entre ces deux grands hommes, pourront donc concl
’on va quelquefois se délasser, qui tendent toutes à la grande. Cette
comparaison
me paroît juste, pourvu toutefois que ces allées
es dans une belle ordonnance et dans une juste proportion. Toutes ces
comparaisons
peuvent donner suffisamment à entendre ce que son
re un chemin. Par delà tous ces cieux, le Dieu des cieux réside. Les
comparaisons
servent infiniment à embellir le poëme épique, pa
elles soient toujours justes et nobles. Homère est le père des belles
comparaisons
. Elles ont été presque toutes imitées par les poë
le, la hardiesse des figures, la vivacité des images, la noblesse des
comparaisons
, une foule de traits sublimes dans ce récit d’une
i la doit foudroyer, Et le Batave(f) encor est prêt à se noyer. Cette
comparaison
m’en rappelle une autre, qui produit un effet vra
iques entre eux et avec le tout, y seraient dans un état perpétuel de
comparaison
. Il faudrait présenter non seulement les rapports
nous a montré les plus grands personnages de la Grèce et de Rome. Les
comparaisons
perpétuelles qu’il fait entre un Grec et un Romai
le, la hardiesse des figures, la vivacité des images, la noblesse des
comparaisons
, et, sous ces qualités, tout l’enjouement, toutes
uite, et qui méritait de l’être, dans toutes les langues. C’est, sans
comparaison
, le plus beau poème épique des temps modernes. So
moins, qu’un sentier réellement plus court, mais rude et raboteux. La
comparaison
est de Quintilien. La précision, comme tant d’aut
donner de la clarté et de la force. Nous appellerons à notre aide les
comparaisons
, les exemples, les citations, les témoignages ; u
uent, par l’étude des règles, par la connaissance des modèles, par la
comparaison
et l’appréciation des chefs-d’œuvre. Dans son éta
isent. — 4° Après les conjonctions ut et quo pour ut eo, quand il y a
comparaison
. Ex. : Ut quisque optimus est, ità difficillimè a
, ou imprimis facundus. 5° En mettant un comparatif ou un adverbe de
comparaison
: Orator nullus Cicerone fuit eloquentior ; nemo
les épaules : inque humeros cervix collapsa recumbit. Quant aux deux
comparaisons
suivantes, l’une tirée de l’hyacinthe qui a été a
nt un vrai tout, quoiqu’ils fussent les uns après les autres ? Quelle
comparaison
entre le Colisée et une multitude confuse de mais
lumineux : c’est l’esprit de Fénelon dans toute sa beauté. 2. Cette
comparaison
, plus ingénieuse qu’exacte, éveille l’idée d’une
ute, et nous, rhéteurs, des enfants. Mais, bien qu’on ait abusé de la
comparaison
, il n’en est pas moins vrai que, quand le géant a
Si la lettre est accompagnée d’une fleur ou d’un présent, il fait une
comparaison
, forme un souhait en rapport avec l’objet offert.
chose vient se mettre à sa place. » 1. La Bruyère disait : « Les
comparaisons
tirées d’un fleuve dont le cours, quoique rapide,
ère . La colère éclate, en effet, comme le salpêtre, et le rapport de
comparaison
étant juste, nous ne pouvons blâmer la figure. Ce
ent parce qu’elle est universellement adoptée, et que les rapports de
comparaison
sont très justes, mais encore parce que le poète
est au-dessus de toute expression. Si je ne craignais d’employer une
comparaison
trop recherchée, je dirais que ce morceau ressemb
ns la balance ; un mélange de beautés et de défauts ne peut entrer en
comparaison
avec des productions achevées qui réunissent tous
mies : bronze, tonnerres, etc. Tout le monde aperçoit les rapports de
comparaison
qui justifient ces figures. La voix d’airain d
cumante. Ici écumante se transporte à mer sans aucune difficulté. La
comparaison
du laboureur qui trace un sillon dans un champ à
boulet, est un peu courte et n’est là qu’à titre d’ornement. Mais la
comparaison
la plus belle, le mieux rendue est celle des deux
désert, ces flots qui, unis, combattent encore, tous ces points de la
comparaison
sont justes, énergiquement exposés et à la hauteu
sur les deux camps.... Métaphore forcée, où il n’y a aucun point de
comparaison
. Qu’entend le poète par la foudre ? Est-ce le can
ces peuples vaincus qui paient tribut à un conquérant. Ce rapport de
comparaison
indique qu’il y a métaphore dans l’épithète tribu
igures sont trop hardies : la première n’amène point dans l’esprit la
comparaison
d’une fleur jaune avec la voile d’un vaisseau ; l
avec la voile d’un vaisseau ; la seconde est inconvenante quoique la
comparaison
puisse s’établir ; car il est odieux de faire abu
pare à un ami qui accompagne son ami, lui montre son chemin, et cette
comparaison
justifie la figure. Ces deux vers contiennent une
ortels, Il court : Le premier vers contient une hyperbate, la courte
comparaison
du jeune héros aux immortels est un trait descrip
heureux que le premier. Les éclairs sont moins prompts. Forme de
comparaison
très concise, et dont la force s’accroît par l’hy
crimes, nager dans son sang , sont deux métaphores dont les termes de
comparaison
apparaissent clairement ; c’est dommage que l’on
est fini ; les cieux sont ouverts, Jésus-Christ est descendu. Par une
comparaison
énergique, le pécheur est assimilé au criminel, q
z point la peine de balancer les raisons des deux parties ; c’est une
comparaison
dont mon rival vous épargne les frais et les emba
contribuent cependant à en donner une idée plus complète. Ce sont les
Comparaisons
, les Exemples, les Citations, les Témoignages. L’
’Idoménée, et il nous la rend fort touchante par l’emploi d’une belle
comparaison
. Mort du Fils d’Idoménée L’enfant tombe dans son
ipaux, le tableau de la littérature grecque au siècle de Périclès. La
comparaison
s’impose entre cette époque littéraire et celle q
ent écrites. [9] (3 novembre 1885) Esquisser à grands traits la
comparaison
entre l’Épître aux Pisons d’Horace et l’Art poéti
lque sorte, plus semblable à nous-mêmes ; et c’est toujours par cette
comparaison
instinctive que nous établissons entre nous et le
oidement, une explication peu nécessaire, La Fontaine fait une petite
comparaison
piquante ; Le monde est plein de gens qui ne son
à son modèle. En résumé, il n’est guère possible d’établir la moindre
comparaison
entre notre fabuliste et un autre quelconque, san
n a souvent comparé l’âme à une balance. Rien ne rappelle mieux cette
comparaison
que ce qui se pusse dans l’âme d’Andromaque. Deux
tion forcée ; néanmoins, ne trouvez-vous pas, ma chère enfant, qu’une
comparaison
toute naturelle nous fait reconnaître, sous ses f
position : à la première classe appartiennent toutes les formes de la
comparaison
, métaphore, métonymie, synecdoque, allégorie, all
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