de des belles-lettres. La pensée en général est l’acte par lequel on
considère
un objet ; l’idée est la représentation seulement
ormée en nous par des mouvements extérieurs ou intérieurs ; la pensée
considère
cet objet, elle l’examine avec attention, elle na
présente, L’idée les aperçoit, La mémoire les retient, La pensée les
considère
, Le goût les épure, Le cœur les éprouve, Le senti
er a deux branches principales, qui sont la narration et le discours.
Considérée
relativement à ces deux grands genres, l’inventio
re et leur prudence, leurs lumières. Les juges se sont habitués à les
considérer
comme des girouettes parlantes, qui tournent au g
métier d’argent. Outre les mœurs qu’il doit posséder, l’orateur doit
considérer
un autre ordre de mœurs dans ses auditeurs. C’est
hétique au cœur. Trois choses sont à remarquer dans le pathétique. 1°
Considéré
en lui-même, le pathétique ne comprend que deux s
l’âme, et pour la guérir la religion use de toutes ses ressources. 2°
Considéré
dans l’orateur, le pathétique prend ses sources d
aux autres une émotion qu’on ne ressent pas dans son propre cœur. 3°
Considéré
dans les moyens, le pathétique doit être 1° expri
manière particulière d’envisager et de peindre ce qui le frappe. S’il
considère
le monde physique dans ses rapports avec son âme
ractères distinctifs de la poésie. 13. De combien de manières peut-on
considérer
le monde physique ? L’homme, dit M. Pérennès, es
ue et morale, correspondent deux points de vue, sous lesquels on peut
considérer
les choses. On peut les envisager dans leurs rapp
ornée par le temps et l’espace : c’est le côté positif, qui nous fait
considérer
les objets par leurs qualités sensibles. On peut
onsidérer les objets par leurs qualités sensibles. On peut encore les
considérer
dans leurs rapports avec notre âme, nos idées, no
arts, les modèles ont devancé les préceptes. Les hommes de génie ont
considéré
la nature et l’ont embellie en l’imitant ; puis d
se réduire à deux : la première comprendra ce qui concerne la poésie
considérée
d’une manière générale, c’est-à-dire, sa nature,
le exige du poète ; et la seconde renfermera ce qui regarde la poésie
considérée
en particulier ou les différents genres qu’elle r
essaire d’une obligation morale. La critique et les belles-lettres le
considèrent
comme un être doué de cette puissance de goût et
, ce que, d’après l’assentiment général et presque universel, on peut
considérer
comme un objet parfait auquel on peut comparer to
ent, en dépit des règles de la critique. Les tragédies de Shakspeare,
considérées
comme poésies dramatiques, sont irrégulières dans
l) ; mais le génie ne peut exister sans le goût, quoiqu’il doive être
considéré
comme une puissance d’un ordre plus élevé. Le mot
ur servir à l’interprétation de leurs idées ? Si d’un autre côté nous
considérons
la curieuse analogie qui règne dans la constructi
s et soutenues par des instruments. Aussi Aristote, dans sa Poétique,
considère-t
-il l’harmonie comme une des parties les plus esse
gédie. Il en est de même du geste. Les anciens critiques ont toujours
considéré
l’action comme la qualité principale de l’orateur
iens avaient écrit sur la déclamation et la représentation théâtrale.
Considérons
maintenant le style du langage dans son état prim
s ; elles affectent une construction presque invariable qui peut être
considérée
comme l’ordre que détermine l’entendement. Elles
peuple rude et grossier. Les caractères hiéroglyphiques peuvent être
considérés
comme le second degré de l’art d’écrire. Ces hiér
arties dont le langage ou le discours est composé. Le premier objet à
considérer
est la division des parties du discours. Ces part
traites de toutes celles que peuvent former les hommes, lorsqu’on les
considère
intrinsèquement et séparés des objets de relation
er une idée exacte de ce que signifient ces mots de, à, lorsqu’on les
considère
abstractivement, et d’expliquer clairement ce qu’
ême du génie de ces langues ; c’est qu’on a voulu éviter qu’on ne pût
considérer
ces qualités abstractivement ; on a voulu en fair
divisé les temps en divers moments d’action ; le temps n’a point été
considéré
comme durable, mais comme fuyant sans cesse ; l’a
s la plupart des langues. Le présent, il est vrai, peut toujours être
considéré
comme un point indivisible non susceptible de var
Mais il n’en est pas de même du passé et du futur ; nous pouvons les
considérer
l’un et l’autre sous différents points de vue ; a
urage, ici signifie dans ce lieu même. Les adverbes peuvent donc être
considérés
comme des parties moins nécessaires et d’une form
a construction des phrases, et de l’harmonie. Jusqu’ici nous avons
considéré
la phrase sous ces trois rapports principaux, la
ns sons analogues. Pour l’harmonie de la période il y a deux choses à
considérer
, d’abord l’agrément du son ou la modulation en gé
igures n’ont pas été inventées dans les écoles, qu’elles doivent être
considérées
comme des éléments primitifs du langage, et que l
e ou objet entraîne à sa suite quelques autres idées qui peuvent être
considérées
comme accessoires. Ces accessoires frappent souve
a longue de leur puissance métaphorique, et parviennent à n’être plus
considérés
que comme des expressions simples et littérales ;
té ou non confondues. C’est de chercher à en former un tableau, et de
considérer
comment les diverses parties s’accommoderaient, e
ques mots à ajouter relativement à l’allégorie. L’allégorie peut être
considérée
comme une métaphore continuée. C’est l’idée d’un
manière à ne rendre l’objet ni trop nu, ni trop voilé, a toujours été
considéré
comme une grande beauté. Il y a peu de compositio
ste à porter un objet au-delà de ses limites naturelles, et peut être
considérée
quelquefois comme un trope, quelquefois comme une
exagérées dégoûteraient nécessairement le lecteur qui ne pourrait les
considérer
que d’un œil calme et impassible. Si l’on me dema
ofondément dans la nature humaine. Au premier aspect, et lorsqu’on la
considère
isolément, elle paraît être une figure de la plus
ffet. C’est une idée très fausse, et cependant assez générale, que de
considérer
les ornements du style comme des choses détachées
onner de l’expression aux pensées de l’auteur, maintenant nous allons
considérer
ces mêmes caractères sous un autre point de vue,
éhément. Conseils pour former le style. Je vais, dans ce chapitre,
considérer
le style sous un autre point de vue qui mérite un
pire, un défaut de sens commun. Avant de parler ou d’écrire, il faut
considérer
la fin qu’on se propose ; et si, lorsque nous l’a
et comme politique, ne doivent pas nous occuper directement : nous le
considérons
seulement comme un éloquent orateur ; et, sous ce
icence ; et les sentiments qu’il exprime sont éminemment moraux. Tout
considéré
, son genre est prolixe, mais souvent varié avec b
ans le fameux panégyrique de Trajan par Pline le jeune, qui peut être
considéré
comme le dernier effort de l’éloquence romaine ;
avouer que, parmi les nations européennes, l’art oratoire n’a pas été
considéré
comme un objet aussi important, ni cultivé avec a
la méthode et de la distribution des diverses parties d’un discours.
Considérons
maintenant le style et l’expression propre à l’él
du peuple ; et, par des raisons analogues, nous devons nous garder de
considérer
même les oraisons judiciaires de Cicéron et de Dé
et l’expérience journalière démontre que les moyens que l’on pourrait
considérer
comme secondaires, deviennent souvent la base des
ec la même chaleur dans toutes les causes qui lui sont confiées, sans
considérer
si l’on peut supposer cet intérêt réel ou factice
ision ; mais si vous vous bornez à cette même vertu ou à ce même vice
considéré
sous un aspect particulier, si vous l’examinez af
ce, ne veut pas que le prédicateur apprenne son discours par cœur : «
Considérez
, dit-il, les avantages d’un homme qui n’apprend p
u monde et du cœur humain ; il est pathétique et persuasif ; et, tout
considéré
, il est peut-être le plus éloquent orateur que le
de persuasion. L’orateur doit se mettre à la place de l’auditeur, et
considérer
l’effet que produiraient sur lui les diverses rai
rien ne mérite une plus grande attention. Un penseur superficiel peut
considérer
les inflexions de la voix et du geste comme de pu
, aussi bien que les soins de ceux qui ne veulent que plaire. Il faut
considérer
, en effet, que toutes les fois que nous portons l
ce perd tout effet ; elle peut nous amuser et nous plaire, mais on la
considère
comme un artifice, comme une fourberie, comme une
ses études à une seule science, mais qui, les embrassant toutes, aura
considéré
celle dont il s’occupe spécialement comme un cent
eu deux fils, David et John : le premier fut un des pasteurs les plus
considérés
de l’Église d’Edimbourg ; son fils se fit un nom
la composition. Le degré d’application qu’on y apporte peut même être
considéré
comme une marque certaine des progrès de la civil
pas nous étonner que, sous de telles imputations, l’étude du langage,
considéré
comme un art, ait pu être dépréciée dans l’opinio
ude pédante de mots, de phrases et de tropes, la critique a été aussi
considérée
seulement comme l’art de découvrir des fautes, co
irs soumis aux règles de la morale. Les belles-lettres et la critique
considèrent
surtout l’homme comme doué de ces deux facultés,
ur cette matière. D’abord, j’examinerai quelle est la nature du goût,
considéré
comme une des facultés de l’esprit humain ; de qu
première question qui se présente est de savoir si le goût doit être
considéré
comme un sens interne, ou comme un effort de la r
mot de goût pris dans l’acception métaphorique sous laquelle nous le
considérons
ici. Cependant, comme dans tout ce qui concerne l
urt à augmenter ses progrès2. Le goût, dans le sens sous lequel je le
considère
, est une faculté que tous les hommes possèdent pl
rance. Tant l’exercice est un grand moyen de perfection pour le goût,
considéré
comme un simple effet de la sensibilité ! Quoiqu’
et ce qui nous avait séduit cessera bientôt de nous plaire. Le goût,
considéré
comme faculté de l’esprit, doit donc ses progrès,
t sur la critique, eût été peut-être un modèle de pureté. Après avoir
considéré
le goût dans son plus haut degré de perfection, j
qui a fait l’admiration de tous les siècles. Ceci ne doit point être
considéré
comme un argument contre l’emploi de la critique
point être considéré comme un argument contre l’emploi de la critique
considérée
comme un art. La perfection n’a pas été donnée au
ie sans trouver en même temps le goût : aussi l’un mérite-t-il d’être
considéré
comme une faculté bien supérieure à l’autre. Le g
entivement, je pense, les aient confondues ensemble ; et, de plus, je
considère
les expressions grandeur et sublime comme synonym
soit à nous défendre, soit à nous effrayer, ont plus de titres à être
considérées
comme la base du sublime, que tout ce dont il a é
e cette grande importance de la simplicité et de la concision, que je
considère
la rime dans la poésie anglaise, sinon comme tout
la variété. Je conçois que cette définition est satisfaisante si l’on
considère
la beauté dans éertaines figures ; mais si nous v
de beauté, il nous reste à faire quelques observations sur la beauté
considérée
dans l’art d’écrire ou de parler ; et, sous ce ra
L’art d’écrire, en général, et la poésie surtout, ne peuvent pas être
considérés
comme des arts imitatifs. On doit faire une diffé
elativement à la plus petite portion de l’édifice du langage, on peut
considérer
les sons en général comme arbitraires et conventi
re. Si ensuite nous poussons nos recherches plus loin encore, si nous
considérons
l’analogie curieuse qui existe entre presque tout
ions destinées à être débitées en public. Aristote, dans sa Poétique,
considère
la musique comme une des parties les plus essenti
rs la prononciation vive et accentuée. Tous les critiques anciens ont
considéré
l’action comme le talent principal de celui qui p
nciation des langues, nous allons, en troisième lieu, parler du style
considéré
aussi dans son état primitif, et nous le suivrons
vi l’histoire du langage à travers ses différentes périodes ; je l’ai
considéré
dans sa structure originelle, dans la composition
auxquels on a donné la dénomination d’hiéroglyphiques ; et l’on peut
considérer
cette époque comme la seconde période de l’art d’
a faculté de se communiquer mutuellement leurs pensées, et qu’il faut
considérer
comme les éléments de toutes les connaissances et
ttentives de beaucoup d’écrivains distingués de cette nation, qui ont
considéré
sa structure et déterminé ses caractères particul
antiquité, Les idées sur les rapports des objets entre eux, rapports
considérés
en eux-mêmes et isolés des qualités qui les déter
gtemps avant d’arriver à des expressions aussi générales ; au lieu de
considérer
les relations abstractivement, et d’inventer des
s mots d’une espèce particulière que l’art seul a pu trouver. Il faut
considérer
que je, tu, il, ne sont pas des mots applicables
forme des mots que sur leur sens et leur valeur ; car les adjectifs,
considérés
comme mots qui expriment des qualités, ne ressemb
faut en chercher la raison. Elles évitaient, autant que possible, de
considérer
les qualités isolément ou abstractivement. Elles
on, et divise le temps en chacun des moments qui le composent ; il le
considère
comme ne s’arrêtant jamais, et poursuivant incess
la nôtre n’en a pas moins que quatre : 1º une action passée peut être
considérée
comme n’étant pas encore achevée ; c’est l’imparf
erbe auxiliaire : I have written [j’ai écrit] ; 3º l’action peut être
considérée
comme achevée depuis quelque temps ; c’est le par
pellent un aoriste ou un passé indéfini ; 4º enfin l’action peut être
considérée
comme achevée avant une autre qui l’est aussi ; c
t abstraits ; ils expriment les diverses modifications de l’existence
considérée
isolément et indépendante des personnes et des ch
tre peuple, de composer sans cesse des termes nouveaux, doivent faire
considérer
notre langue comme très expressive, au moins en c
tait absolument impossible de s’écarter ; tandis que parmi nous on le
considère
à peine comme soumis à quelques règles grammatica
s les avantages qu’il est possible d’en attendre. L’on n’hésite pas à
considérer
la clarté comme la qualité fondamentale du style,
x autres dans tout son jour. La clarté dans le style ne peut pas être
considérée
comme une espèce de mérite négatif, c’est-à-dire
irement et distinctement qu’un seul objet à la fois. S’il lui faut en
considérer
deux ou trois ensemble, surtout quand ils ont ent
ière à fond. Quoique la clarté soit le rapport général sous lequel je
considère
en ce moment le langage, je ne veux cependant pas
et donnent sécrètement des avis utiles ; ils peuvent avec raison être
considérés
aujourd’hui, aussi bien qu’ils l’eussent été autr
ntiel de la proposition, savoir : « que ces poètes sont, avec raison,
considérés
comme les meilleurs et les plus dignes d’estime,
instruisent et donnent des avis utiles sécrètement, ils peuvent être
considérés
comme les auteurs les meilleurs et les plus digne
arfaitement belle : « Si nous nous élevons plus haut encore, que nous
considérions
les étoiles fixes comme de vastes océans de flamm
eut être exprimé que par l’un de ces mots ; alors on ne doit plus les
considérer
comme des mots accessoires, et il faut leur donne
qui promène entre ses bords une eau toujours égale. Lorsque nous les
considérons
dans le développement de leurs moyens, Homère res
ment. Cette observation termine ce que j’avais à dire sur les phrases
considérées
sous les trois rapports de la clarté, de l’unité
l’harmonie dans la construction des phrases. Jusqu’ici nous avons
considéré
les phrases sous le rapport de la clarté, de l’un
e second rapport qu’il produit des beautés d’un ordre bien supérieur.
Considérons
d’abord l’harmonie dans les sons en général, comm
oduire, célérité, vélocité, indépendant, impétuosité. » Ce qu’il faut
considérer
, en second lieu, à l’égard de l’harmonie, c’est l
le, l’autre suppose à la musique une expression particulière. Le son,
considéré
sous ce dernier point de vue, a deux degrés bien
qualités du style en deux principales, la clarté et l’ornement. J’ai
considéré
la clarté dans les mots seulement, et ensuite dan
mpression que produisent sur notre esprit la lumière et les couleurs,
considérées
selon le système de M. Locke, comme des qualités
t par elle-même une comparaison, et doive, sous ce point de vue, être
considérée
comme une figure de pensée, cependant, comme les
ectateur : « Il n’est aucun des points de vue sous lesquels on puisse
considérer
la nature humaine, qui ne soit suffisant pour éte
nts. Je n’ajouterai plus que quelques mots sur l’allégorie. L’on peut
considérer
l’allégorie comme une métaphore plus longtemps so
des justes proportions que lui a données la nature. On peut tantôt la
considérer
comme un trope, tantôt comme une figure de pensée
ils ne savent ce qu’ils font.” Lorsque la religion naturelle les aura
considérés
l’un et l’autre, demande-lui quel est le prophète
e nouvelles scènes eussent été perdus pour notre imagination. On peut
considérer
toutes les comparaisons sous deux points de vue d
res ; en un mot, par l’art tout entier du langage. Je vais maintenant
considérer
ce caractère du style, ce résultat de toutes ses
ce et de Rome. Jusqu’ici nous n’avons parlé que des qualités du style
considéré
comme expression de la pensée de l’écrivain. Il f
traité du style concis et développé, nerveux et faible. Je l’ai aussi
considéré
sous le rapport des différents degrés d’ornement
ndi , qu’emploient fréquemment Cicéron et Quintilien. Le style simple
considéré
de cette manière, correspond à ce que j’ai appelé
que Tillotson qui fut toujours admiré comme un écrivain supérieur, et
considéré
comme un modèle d’éloquence de la chaire, Mais on
périeur pour l’aisance et le ton animé de son style. En un mot, on le
considérerait
comme un de nos meilleurs écrivains, si les sujet
rai par ce qu’on appelle proprement éloquence ou discours publics. Je
considérerai
les différents genres et les différents sujets de
t principalement lorsqu’il s’agit d’arriver à un tel but, qu’elle est
considérée
comme un art, c’est aussi sous ce point de vue qu
ur persuader, ce n’est pas encore assez de convaincre. L’orateur doit
considérer
l’homme comme une créature mise en mouvement par
l’état social, et qui n’est accordé qu’au génie secondé par l’étude.
Considérée
seulement comme art de persuader, elle exige un j
jugement parfaitement sûr et une grande connaissance du cœur humain ;
considérée
sous son plus haut point de vue, elle exige en ou
e à l’art oratoire. On ne trouve presque aucune trace de l’éloquence,
considérée
comme art de persuader, jusqu’à la naissance des
int de rapports directs avec le sujet qui nous occupe. Nous ne devons
considérer
que l’homme essentiellement éloquent ; et c’est s
cette contrée, elle n’ait pas jeté un plus vif éclat, surtout si nous
considérons
combien le génie du peuple qui l’habite est éclai
n placées ces figures hardies dont j’ai traité plus haut, et que j’ai
considérées
comme le langage naturel des passions. La chaleur
ensés de notre ville. Mais si, sans nous arrêter à leurs songes, nous
considérons
que Philippe est notre ennemi ; qu’il nous enlève
ur, comme si Philippe était quelque chose de plus qu’un homme, qu’ils
considèrent
que tous les artifices qui l’ont porté à sa prése
ments de la guerre ne marchent pas aussi lentement que nos mesures. «
Considérez
donc votre situation présente, et faites les effo
de la chaire feront l’objet de cette Lecture. Commençons d’abordé par
considérer
de quels avantages peut profiter celui qui se pro
magination et sur leur cœur une impression profonde65. Il faut encore
considérer
que le prédicateur ne peut guère prendre ses suje
ct particulier, s’il en examine un des principaux caractères, ou s’il
considère
son influence dans certaines situations de la vie
t réfléchi, qu’il suppose que c’est à lui que l’orateur s’adresse, et
considère
avec impartialité quels passages lui semblent plu
eur modèle que l’on puisse suivre. Cependant il ne faut pas encore le
considérer
comme un orateur parfait ; sa composition est tro
blement des beautés et de l’élégance, ils n’en doivent pas moins être
considérés
comme vicieux dans un ouvrage auquel ils ne se ra
nd beautiful. 3. Les anciens écrivains nous fournissent sur le goût,
considéré
comme faculté de l’esprit, bien moins d’observati
riptive qu’imitative, cependant elle peut, dans un certain sens, être
considérée
, en général, comme un art imitatif. Le but du poè
d’un événement. 51. Dans les Oraisons funèbres de M. Bossuet, que je
considère
comme un des plus beaux chefs-d’œuvre de l’éloque
i rend insensible. Ce sont les accidents extraordinaires qui lui font
considérer
ce qu’il en retire ordinairement d’utile, et que1
ant ; que l’autorité cesse dans le royaume, tout sera en confusion. «
Considérez
le prince dans son cabinet. De là partent les ord
ndit un pareil piége, et qu’il fût possible de vous y faire tomber. «
Considérez
si c’est bien répondre à toute l’amitié que j’ai
cipal représentant Édouard Zeller, auteur de la Philosophie des Grecs
considérée
dans son développement historique dont M. Émile B
gueur et plus de justesse, dit-il, il a compris que si la rhétorique,
considérée
abstraitement et en idée, n’a pas d’existence à p
0 (= Q), le Vaticanus, 1340 (= Yb) et un manuscrit d’Oxford (= Z). On
considère
aussi comme élément utile pour établir le texte g
baphon et Troïle ; mais, selon les deux philologues précités, il faut
considérer
ces auteurs comme ayant composé des traités de rh
hétorique, on notera seulement ici que, dans les premières lignes, il
considère
ce traité comme dédié à Théodecte, mais il ne dit
ans le drame. — Abus des épisodes dans le drame. — De la péripétie35,
considérée
comme moyen dramatique. I. Il est évident, d’ap
des parties de la tragédie qu’il faut employer, et nous venons de les
considérer
sous le rapport de leur quantité et de leurs divi
juste aussi de dire qu’une tragédie est semblable ou différente, sans
considérer
peut-être la fable mise en œuvre, mais plutôt la
r intermédiaire. C’est dans les traités de métrique qu’il convient de
considérer
ces divers points en détail. VII. La syllabe est
A, en est une, savoir GRA. Il appartient d’ailleurs à la métrique de
considérer
aussi les différences qui distinguent les syllabe
. X. Pour voir jusqu’à quel point la convenance est observée, il faut
considérer
la question dans les vers en faisant entrer les n
, il est évident qu’il y aurait lieu d’en diriger l’application et de
considérer
la cause qui fait réussir soit une action habitue
isemblance, le signe, l’exemple. I. La rhétorique est la faculté de
considérer
, pour chaque question, ce qui peut être propre à
utres sciences. La rhétorique semble, sur la question donnée, pouvoir
considérer
, en quelque sorte, ce qui est propre à persuader.
la disposition de celui qui est en état de former des syllogismes, de
considérer
ce qui se rapporte aux mœurs et à la vertu et, en
st indéterminé et échappe à la méthode scientifique. La rhétorique ne
considérera
pas, non plus, ce qui est vraisemblable dans un c
de la rhétorique ; voyons comment les diviser et les dénombrer, puis
considérons
séparément, pour chacun d’eux, les éléments et le
torique ; autant que de classes d’auditeurs, et il y a trois choses à
considérer
dans un discours : l’orateur, ce dont il parle, l
bat. De même encore l’orateur, dans le cas de l’éloge ou du blâme, ne
considère
pas si celui dont il parle a fait des choses util
e supérieur ou inférieur, le bon et le vilain côté des faits énoncés,
considérés
soit en eux-mêmes, soit dans leurs rapports entre
lité de victoire ou de défaite. Il n’est pas moins nécessaire d’avoir
considéré
l’issue de la guerre, non seulement dans le pays,
t, en résumé, c’est le bonheur et les parties qui le constituent. II.
Considérons
, à titre d’exemple, ce que c’est, à proprement pa
mment en vue du bonheur. XIV. Sur la question de la vertu et du vice,
considérée
en général, et sur leurs variétés, nous nous somm
degré de la vertu que de rendre service à tout le monde. XXX. Il faut
considérer
aussi devant qui on fait un éloge. En effet, comm
st beau, car l’un, ce semble, est bien près de l’autre. XXXI. Il faut
considérer
, en outre, tout ce qui se rattache au devoir, et
s au temps, à l’occasion, et cela indépendamment du devoir strict. On
considérera
encore s’il a souvent mené à bien la même opérati
re des propositions qui devront composer les syllogismes. II. Il faut
considérer
trois points : premièrement, les causes du préjud
différence entre la vengeance et le châtiment. Dans le châtiment, on
considère
celui qui le subit, tandis que, dans la vengeance
X. Il faut donc traiter des choses utiles et des choses agréables, en
considérer
la nature et le nombre. Nous avons parlé de l’uti
ose équitable, c’est encore d’excuser les actions humaines ; c’est de
considérer
non pas la loi, mais le législateur ; non pas la
est de vouloir aller en arbitrage plutôt qu’en justice, car l’arbitre
considère
le côté équitable des choses, tandis que le juge
arbitre considère le côté équitable des choses, tandis que le juge ne
considère
que la loi, et l’arbitre a été institué préciséme
justice, c’est l’inverse289. Or ces actes injustes résultent du tort
considéré
en puissance290. Ainsi celui qui a dérobé trois d
mme le dispensateur du juste ; et que, par conséquent, il ne doit pas
considérer
le fait même de la convention, mais ce qui est le
onventions supposent une fraude, ou une contrainte. En outre, il faut
considérer
si elles sont contraires soit à une loi écrite, s
nstances de cette sorte ; car tous ces points de vue sont également à
considérer
. XXVI. La torture est une espèce de témoignage. E
t Ulysse le preneur de villes331. En effet (Polyphème) ne serait pas
considéré
comme puni s’il ne pouvait se douter ni de l’aute
ssairement que l’on a honte, par rapport à l’opinion de ceux que l’on
considère
. XV. On considère ceux qui nous admirent, ceux qu
n a honte, par rapport à l’opinion de ceux que l’on considère. XV. On
considère
ceux qui nous admirent, ceux que nous admirons, e
ue l’on éprouve à la vue d’un succès eu fait de choses que nous avons
considérées
comme avantageuses par rapport à ceux d’une condi
e à celle de nos propres ancêtres. Cela tient à ce que telles choses,
considérées
à distance, sont plus propres que celles qui sont
seiller Achille, le louer, le blâmer, l’accuser, le défendre, il faut
considérer
les circonstances dans lesquelles il se trouve, o
ux. XVII. II y a encore un autre point de vue sous lequel nous allons
considérer
et détailler, en indiquant le trait caractéristiq
voit qu’en effet tous ces personnages sont partis d’une définition et
considèrent
la nature de la chose définie pour raisonner sur
dieux n’existent pas. » Il consiste aussi, d’une manière générale, à
considérer
le résultat de chaque fait comme étant toujours l
où va s’accomplir une action opposée à celles qu’on a déjà faites, de
considérer
toutes ces actions ensemble. Ainsi Xénophane, com
ait qui s’est produit en même temps ou immédiatement après. Car c’est
considérer
ce qui est après tel fait comme survenu à cause d
es controverses, il existe un syllogisme apparent qui a trait au fait
considéré
absolument et non absolument, mais selon certaine
du semblable, ou de l’unité, ou de la pluralité, lorsque, après avoir
considéré
le point de vue général, on argumente ensuite sur
et la raison pour laquelle il n’y en a que trois sortes. En effet, on
considère
soit les impressions qui affectent les juges eux-
rtains rythmes suivant chaque circonstance, car il y a trois choses à
considérer
: ce sont la grandeur, l’harmonie et le rythme495
est venue que tardivement s’appliquer à l’élocution et que, à bien la
considérer
, elle paraît être futile ; seulement, comme un tr
et parce qu’ils sont métriques. Le péan est d’un bon emploi, vu que,
considéré
isolément, il ne sert pas de mesure aux rythmes p
s non pas trop évidents. En philosophie, par exemple, tu dois viser à
considérer
le semblable dans tels objets qui ont entre eux u
nés. Nous nous sommes expliqué sur l’élocution, sur ses divers genres
considérés
ensemble, et sur chacun d’eux en particulier. Il
i il fait l’éloge d’Aristide. Ou encore on louera ceux qui ne sont ni
considérés
, ni vicieux, mais dont le mérite reste ignoré, co
s yeux. Présente-toi, tout d’abord, sous tel caractère, afin que l’on
considère
ton adversaire comme ayant tel autre caractère ;
ps en Macédoine, durant le moyen âge, d’après laquelle Aristote était
considéré
comme un saint. Nous devons la connaissance de ce
ée par Dacier et l’abbé Batteux. 5. Ἁρμονία. C’est, ici, la musique,
considérée
uniquement sous le rapport des sons mélodiques.
os ! » 672. Début de l’Iliade. 673. Début de l’Odyssée. 674. Vers
considérés
généralement comme début du poème de Chœrile de S
ui comprend cette méthode et cet exercice est donc possible et utile.
Considérée
étymologiquement, elle ne signifie que l’art de p
qui constitue les bienséances. Chapitre VII. L’étude des mœurs
considère
l’individu dans son état normal et habituel, l’ét
ère l’individu dans son état normal et habituel, l’étude des passions
considère
l’espèce dans les accidents identiques qui l’affe
nt soin de remonter le plus souvent possible aux généralités. On peut
considérer
comme une partie de la confirmation, la réfutatio
traction faite de l’idée, et l’harmonie spéciale ou imitative qui les
considère
dans leurs rapports avec les pensées et les senti
mots, de la construction des phrases et de l’enchaînement des idées.
Considérée
sous le rapport des mots et des phrases, elle exi
rtient indistinctement à tous les genres d’écrire, le style peut être
considéré
comme ayant pour objet l’entendement qu’il veut é
ien loin d’être ennemie de la clarté, la précision, telle que nous la
considérons
ici, en est la compagne la plus fidèle. Elle prêt
style sous les rapports de l’expression de la pensée ; nous allons le
considérer
maintenant relativement aux ornements dont il peu
iens. Comme la raison le fait naître, elle doit aussi le mesurer ; et
considérons
que s’ils fussent demeurés dans cette retenue de
e la suite des hommes, pendant le cours de tant de siècles, doit être
considérée
comme un même homme qui subsiste toujours et qui
magination se perde dans cette pensée. Que l’homme étant revenu à soi
considère
ce qu’il est au prix de ce qui est ; qu’il se reg
u plutôt un tout à l’égard du néant où l’on ne peut arriver1 ? Qui se
considérera
de la sorte s’effrayera de soi-même, et, se consi
ement ici le sujet qui me porte à l’offrir à Votre Majesté, ce que je
considère
comme le couronnement et le dernier bonheur de so
est-ce que l’esprit, dont les hommes paraissent si vains ? Si nous le
considérons
selon la nature, c’est un feu qu’une maladie et q
te à s’évanouir, qu’elle est plus délicate et plus épurée. Si nous le
considérons
selon Dieu, c’est une partie de nous-mêmes, plus
que l’emploi du genre masculin : car ce substantif doit être toujours
considéré
comme féminin lorsqu’il se prend dans le sens d’a
e semiănimis, anteĕo, où les voyelles finales de semi et de ante sont
considérées
comme élidées. 4e règle. Une voyelle est lo
aspiration qu’une consonnance. Les voyelles qu’elles sépare sont donc
considérées
comme unies immédiatement. 33. Dans ce mot contr
uader par le discours revêtu des formes oratoires. C’est ainsi que la
considéraient
les anciens quand ils la définissaient : Ars ben
cette partie le nom d’éloquence. Dans ce dernier cas, l’éloquence est
considérée
simplement comme un art, ou un recueil de précept
moyens qu’il emploie. (Voir le nº iii) 25. Dans les preuves, on peut
considérer
d’abord les sources ou répertoires que les rhéteu
Des sources des preuves, ou des lieux oratoires4. 26. Les preuves,
considérées
relativement à leurs sources, se divisent en intr
s idées particulières qu’on appelle espèces. Ainsi la vertu peut être
considérée
comme genre : la tempérance et la justice seront
et dont ils pourraient se laisser éblouir ; qu’ils les pèsent et les
considèrent
en elles-mêmes, qu’ils examinent si elles sont so
arfait lorsqu’on analyse un objet d’une manière incomplète. Vous avez
considéré
dans un tout un certain nombre de ses parties, et
e des auditeurs ; 3º à la forme du discours lui-même, Nous allons les
considérer
successivement sous ces trois rapports. Article
successivement sous ces trois rapports. Article premier. Des mœurs
considérées
dans l’orateur. 89. Les mœurs considérées dans
ticle premier. Des mœurs considérées dans l’orateur. 89. Les mœurs
considérées
dans l’orateur consistent dans les qualités propr
mon du Petit-Carême. (Voir le nº vii.) Article deuxième. Des mœurs
considérées
dans la personne des auditeurs9. 98. Considéré
uxième. Des mœurs considérées dans la personne des auditeurs9. 98.
Considérées
dans les auditeurs, les mœurs consistent dans le
e ses passions. (Le même, Bérénice.) Article troisième. Des mœurs
considérées
dans le discours. 103. Les mœurs considérées d
troisième. Des mœurs considérées dans le discours. 103. Les mœurs
considérées
dans le discours embrassent les bienséances et le
’il ne perde jamais de vue son âge, sa dignité, sa réputation ; qu’il
considère
bien ce qu’il est, pour dire ce qu’il faut et rie
orts qui servent à exciter ou à calmer les passions. Nous allons donc
considérer
les passions, 1º dans la personne de l’orateur ;
ateur ; 2º dans le discours lui-même. Article premier. Des passions
considérées
dans l’orateur13. 124. Trois qualités sont ind
de lui plaire et de régner sur lui. Article second. Des passions
considérées
dans le discours14. 142. Puisque les passions
on. 152. La disposition est très importante, et Cicéron veut que l’on
considère
le discours comme un édifice dont l’orateur est l
out une belle ordonnance, c’est le propre d’un esprit supérieur. Pour
considérer
un vaste sujet dans son ensemble, pour en découvr
’auditoire (Voir le nº xxvi). 363. Pour réussir à la tribune, il faut
considérer
quatre choses : le caractère de la nation, car on
légitimes, exerce dans le monde une espèce de sacerdoce ; sa voix est
considérée
comme un oracle dans le sanctuaire de la justice.
la force de cette confession ne serait point surpassée, soit que l’on
considérât
le génie de l’homme qui l’avait écrite, l’autorit
at est de donner, comme un bon frère, sa vie pour ses frères. Si vous
considérez
l’âpreté de la vie du prêtre, le sacerdoce vous p
ce vous paraîtra, et il l’est en effet, une véritable milice. Si vous
considérez
la sainteté du ministère du soldat, la milice vou
er de la confusion ; puis surtout, si l’on est obligé de parler, pour
considérer
mûrement ce qu’on doit dire, étudier sérieusement
a crié quelqu’un dans l’assemblée. Je conjure celui qui répond oui de
considérer
que son plan n’est pas connu, qu’il faut du temps
s devant toi ? Ton œil a-t-il percé ses ténébreuses demeures ?… As-tu
considéré
l’étendue de la terre ? Dis-moi, si tu le sais, d
s montagnes, sur les sommets abruptes et les rocs escarpés ! De là il
considère
sa proie, et son regard perce l’infini. Il abreuv
s pour s’adresser aux passions ? 25. Sous combien de rapports peut-on
considérer
les preuves dans l’art oratoire ? 26. Comment se
les preuves dans l’art oratoire ? 26. Comment se divisent les preuves
considérées
relativement à leurs sources ? 27. Où trouve-t-on
orateur pour plaire à l’auditoire ? 89. En quoi consistent les mœurs
considérées
dans l’orateur, et quelle en est l’importance ? 9
rera-t-il qu’il possède ces vertus ? 98. En quoi consistent les mœurs
considérées
dans les auditeurs, et comment varient-elles ? 99
au caractère de ceux à qui l’on parle ? 103. Qu’embrassent les mœurs
considérées
dans le discours ? 104. Qu’entend-on par bienséan
tion exclut-elle la méditation du sujet ? 363. Combien de choses doit
considérer
l’orateur de tribune ? 364. Comment peut-on résum
es de la littérature, et par les applications qui lui restent encore.
Considérée
seulement quant à la composition des discours, la
trois parties : l’invention, la disposition et l’élocution. Quand on
considère
le discours comme devant être prononcé, on est ob
mœurs que l’orateur doit constamment montrer, et ce sont là les mœurs
considérées
chez l’orateur. Mais on doit les considérer aussi
et ce sont là les mœurs considérées chez l’orateur. Mais on doit les
considérer
aussi chez l’auditeur, et alors elles ne se borne
ciaire. Le genre démonstratif a pour objet la louange et le blâme. Il
considère
en chaque sujet ce qui est bon ou mauvais ; il s’
r Bourdaloue : Division. — Deux rapports, sous lesquels nous devons
considérer
la loi chrétienne : rapport à l’esprit et rapport
ion profonde où elle plongea les Français, en peut donner la preuve.
Considérez
, messieurs, ces grandes puissances que nous regar
ères sortes de discours appartiennent seules ou peuvent du moins être
considérés
comme appartenant à l’éloquence oratoire ; la for
r la destinée des empires, et pour élever les monuments de la gloire.
Considérés
tous ensemble, marchant avec ordre sous un grand
, de tant d’arts, de tant de chefs-d’œuvre si perfectionnés et si peu
considérés
; enivrés et assoupis dans la sécurité et dans le
e un sujet ; car le même objet paraîtra tout différent selon qu’on le
considérera
sous tel ou tel aspect. C’est ainsi que le guerri
entes espèces de descriptions. 364. De combien de manières peut-on
considérer
la description ? On peut considérer la descripti
. De combien de manières peut-on considérer la description ? On peut
considérer
la description de trois manières : 1° d’après la
de ce paragraphe. I. 365. Qu’avez-vous à dire de la description
considérée
d’après la place qu’elle occupe ? Considérée sou
dire de la description considérée d’après la place qu’elle occupe ?
Considérée
sous ce rapport, la description forme un morceau
oir. II. 367. Combien compte-t-on d’espèces dans la description
considérée
d’après le but de l’auteur ? Si on envisage la f
Combien distingue-t-on d’espèces de compositions dans la description
considérée
d’après la nature des objets à décrire ? On en c
litude à un parallèle qui a lieu entre deux personnes ou deux choses,
considérées
au point de vue de leurs rapports ou de leurs res
’est autre chose qu’un parallèle entre deux personnes ou deux choses,
considérées
sous le rapport de leurs oppositions ou de leurs
aux médecins et aux princes ; ménagée, blâmée, chicanée, tourmentée,
considérée
, accablée, dorlotée, contrariée, tiraillée. Vous
sont pour les grammairiens modernes des adjectifs indéfinis : on les
considère
comme adjectifs parce qu’ils accompagnent toujour
indéfinis. Dans l’exemple tout savant que vous êtes, le mot tout est
considéré
comme adverbe.
Voilà l’idée juste et le tableau fidèle de l’éloquence de la chaire,
considérée
sous les rapports de la sublimité de ses motifs.
du sentiment, l’art ne fera jamais qu’un pompeux déclamateur. On peut
considérer
la chaleur et la gravité comme les deux attributs
ue les défauts des autres font sur nous. Or pour cela il est utile de
considérer
ce qui suit1. Les défauts étant aussi communs qu’
ons beaucoup plus disposés à supporter ceux des autres. Enfin il faut
considérer
qu’il est aussi ridicule de se mettre en colère p
ment parlant, l’éloquence n’a pas de genre et ne peut point en avoir.
Considérée
en elle-même elle est une et simple. C’est la fac
s ; ils regardaient la première comme la base de l’autre ; Cicéron la
considère
ainsi en plusieurs endroits de ses ouvrages. En e
ron et les maîtres les plus célèbres en étaient persuadés. Mais s’ils
considèrent
la gloire qui en revient et les fruits qu’on en r
s élus. C’est l’éloquence artificielle1. Définition de l’éloquence.
Considérée
sous les deux premiers points de vue, l’éloquence
collection de règles sur l’éloquence. La rhétorique, selon Aristote,
considère
en chaque sujet ce qui est capable de persuader.
t particulier, il en examine un des principaux caractères, ou s’il en
considère
l’influence dans certaines situations de la vie.
et la chose tout ensemble. Relativement aux choses, il faut d’abord
considérer
celles où les personnes sont intimement liées aux
ntimement liées aux choses ; ce sont les actions. En toute action, on
considère
pourquoi, où, quand, comment et par quels moyens
e la nature ou de la valeur desquelles il s’agit, et que nous pouvons
considérer
en elles-mêmes et indépendamment des personnes, t
sortes de raisonnement ; l’un logique, l’autre oratoire : le premier,
considéré
dans la sécheresse de ses règles, dans sa facture
manière étendue et ornée la nature de la chose qu’il définit ; il la
considère
soit du côté de la cause, soit du côté des effets
faire descendre les autres au-dessous de lui. » (L. XI, c. 1.) Qu’il
considère
bien ce qu’il est, pour bien dire ce qu’il faut,
irer. La source en est dans l’amour de soi-même, qui fait que l’on se
considère
dans son semblable, dans ses besoins, dans ses pa
e les juges en leur traçant une image de l’avenir, et en leur faisant
considérer
les suites d’un tel crime, s’ils le laissent impu
es les circonstances. L’orateur doit consulter son jugement ; il doit
considérer
le sujet qu’il traite, et le but qu’il se propose
s’agit, et en présentant les diverses faces sous lesquelles on va la
considérer
. (Ibid.) Tout exorde doit donner une idée général
cipales, présentent aussi plusieurs aspects sous lesquels on peut les
considérer
. De là les divisions. Toutes les fois que la prop
à fortiori. Nous en avons donné plusieurs exemples, quand nous avons
considéré
l’exemple comme raisonnement logique. (L. I, art.
sentielle de la controverse, c’est selon l’ordre des temps qu’il faut
considérer
les faits. Hors ce cas, c’est selon leur relation
u style. Chapitre VI. De la Réfutation. De la réfutation
considérée
dans l’éloquence du barreau et de la tribune. La
l’on s’attache à refuter d’abord les raisons de l’adversaire, il faut
considérer
s’il y en a plusieurs, si elles sont indépendante
devoir pour quiconque veut convaincre et persuader. De la réfutation
considérée
dans le sermon. Il s’agit ici des objections que
rouver. Vous trouvez-vous arrêté : reportez vos regards en arrière ;
considérez
tour-à-tour les idées que vous venez d’exprimer,
ideret. (De Orat., l. III.) Cette difficulté se conçoit lorsque l’on
considère
de combien d’élémens le discours se compose, et d
tat essentiel…. Il faut en revenir à ce grand principe, qu’il n’y a à
considérer
dans l’éloquence que la convenance, que ce que Qu
posé de manière à devenir l’expression du sens. 1°. Du son des mots
considéré
en lui-même. Euphonie dans le style. Nous a
nt à ses yeux et que les idées entrent dans son esprit. 2°. Du son
considéré
comme expression de la pensée. Nous venons de
me un accompagnement fait pour plaire à l’oreille. Il nous reste à le
considérer
comme adapté au sens. Sous ce point de vue, il pr
en avons déjà parlé dans le livre premier. Ici la convenance que nous
considérons
est celle du style à la nature des choses. Son i
) D’où il suit qu’on ne peut avoir une juste idée du style, si on le
considère
seul et comme séparé des pensées et des sentimens
celui qui l’emploie l’expression qui lui est propre. Elle doit être
considérée
sous deux rapports. Dans l’application du princi
ous reste à parler du style qui convient aux sentimens et aux pensées
considérées
en elles-mêmes et comme les élémens de morceaux p
ots. Choix des mots. Dans le choix des mots, deux choses sont à
considérer
, la pureté et la propriété. Unum quidque purè et
I, c. 4.) Propriété. 2°. Après la pureté des expressions, il faut
considérer
leur propriété, c’est-à-dire qu’on doit choisir l
ement sur l’expérience, qui est une autre source d’instruction, et il
considère
combien il est nécessaire de joindre l’étude de l
s de l’histoire, il expose d’abord ce que les princes y voient, et il
considère
ensuite quelle impression elle peut faire sur eux
cuper de ce que j’ai dit, ni de ce que je vais dire. Cependant, si on
considère
en elles-mêmes chacune des constructions que j’ai
s se suivent sans faire un tissu. Article II. Nous venons de
considérer
le bon choix des mots et la construction gracieus
on âme : Sois juste, et tu seras heureux. Il n’en est rien pourtant à
considérer
l’état présent des choses : le méchant prospère,
mot grec τρέπω, qui signifie je tourne. Les mots ainsi employés sont
considérés
comme une chose qu’on a tournée pour lui faire pr
es écrits en prose. Comme nous ne traitons pas ici de la poésie, nous
considérerons
principalement les comparaisons comme servant à m
e, des lettres et des syllabes qui composent les mots. Elle peut être
considérée
comme la partie principale de la prononciation.
ins. Mais avant d’examiner les différentes parties dans le mouvement,
considérons
l’ensemble dans le repos. Pose du corps dans l’e
ons pas encore pourquoi elles y sont. Voilà pourquoi après avoir tout
considéré
, tout connu, il faut y revenir. » (Quint., lac. c
manière d’imiter ? Quintilien va nous l’apprendre. « Il faut, dit-il,
considérer
quelle dignité ces grands hommes ont mise dans le
) Nous adoptons néanmoins cette définition, par la raison que nous ne
considérons
ici l’éloquence que dans le discours oratoire, et
n dans le panégyrique et les discours de la tribune. De la réfutation
considérée
dans l’éloquence du barreau et de la tribune. Moy
dans la refutation. Où il faut placer la refutation. De la réfutation
considérée
dans le sermon. Des sophismes et des moyens de le
entend par convenance du style En quoi elle consiste. Elle doit être
considérée
sous deux rapports. (1). On appelle ton, le cara
sont pas ces choses que j’admire le plus dans les rois. Mais quand je
considère
cette infinie multitude de peuples qui attend de
tes, qui avez tant estimé les plaisirs qui passent, et qui n’avez pas
considéré
la suite qui ne passe pas ! » La mort C’e
u’on vous fasse entendre clairement toutes les vérités divines ? Mais
considérez
où vous êtes, et en quelle basse région du monde
ns féconde en événements fâcheux. Regarde, ô homme, le peu que tu es,
considère
le peu que tu vaux : viens, apprends la liste fun
e ce qui était propre à en faire un objet d’horreur. On nous l’a fait
considérer
comme un châtiment, comme le coup porté par un ex
la lumière, qui, lorsqu’il leur vient une idée à mettre en œuvre, la
considèrent
longuement et attendent qu’elle reluise, comme le
, et non pas telle qu’elle existe aux regards des inattentifs, qui ne
considèrent
que les surfaces ; esprits qui se contentent peu,
d’Auguste que Virgile les imita. 142. Sous combien d’aspects peut-on
considérer
la vie pastorale ? On peut considérer la vie pas
Sous combien d’aspects peut-on considérer la vie pastorale ? On peut
considérer
la vie pastorale sous trois aspects différents. O
et désagréables, leurs idées tristes et grossières. Enfin, on peut la
considérer
telle qu’elle n’a jamais existé, et telle qu’elle
ux. Article II. Des différentes Espèces d’Histoire. On peut
considérer
les hommes dans leurs rapports avec la divinité,
ce livre des livres la route qui doit les mener au vrai bonheur. À ne
considérer
l’ancien et le nouveau testament que comme des ou
entre l’histoire et la vie d’un homme illustre. Dans la première, on
considère
l’homme public, plus que l’homme privé. Dans la s
considère l’homme public, plus que l’homme privé. Dans la seconde, on
considère
autant l’homme privé que l’homme public. Si, par
que l’illustre évêque de Meaux ait pris son vol vers les cieux, pour
considérer
la terre et tous ses habitants, la naissance et l
cile les observations les plus importantes au sujet du style, nous le
considérerons
dans ses éléments, dans ses qualités, dans ses or
orme extérieure sous laquelle le jugement se manifeste. La logique ne
considère
que le fond ; la littérature s’occupe tout à la f
ompris. D’ailleurs, on ne peut pas avoir une juste idée du style sans
considérer
les pensées et le fond des choses. Les expression
est parfaitement conforme à son objet, sous quelque rapport qu’on la
considère
. La justesse dit donc plus que la vérité, et une
l’art d’écrire, nous allons donner quelques règles : 1º sur les mots
considérés
en eux-mêmes 2º sur la construction des phrases.
érés en eux-mêmes 2º sur la construction des phrases. § I. Des mots
considérés
isolément. 86. Pour ce qui regarde les mots co
I. Des mots considérés isolément. 86. Pour ce qui regarde les mots
considérés
en eux-mêmes, il faut observer la pureté et la pr
els, submergés du sang des prêtres. (L. Veuillot.) La révolution est
considérée
comme un naufrage, et les trois mots berceau, flo
Du choix et de l’arrangement des mots. 226. Dans le choix des mots
considérés
comme sons, il faut admettre de préférence ceux q
ces divers membres exige un soin particulier. L’harmonie des phrases,
considérée
à ce point de vue, dépend du nombre et de la péri
rage : invention, disposition, élocution, il y a aussi trois choses à
considérer
pour celui qui soumet cette œuvre à son examen :
se rapporte aux études grammaticales, le jeune homme qui traduit doit
considérer
quatre choses : le choix des expressions, les tou
erminé, elle prend le nom de portrait ; quand elle expose une qualité
considérée
en général, c’est un caractère. Saint-Simon et le
condez votre intelligence et votre imagination ; vous vous habituez à
considérer
chaque objet sous toutes ses faces, à passer en r
de ces odes démontre leur céleste origine. Les auteurs de ces chants,
considérés
uniquement comme écrivains, l’emportent infinimen
hants nous sont à peu près inconnus. Parmi les odes d’Horace, on peut
considérer
comme une ode sacrée le poème séculaire, Carmen s
e la conception même du sujet. Dans l’ordonnance de l’épopée, il faut
considérer
le début, le nœud et le dénouement. 469. Avant d’
r toutes les questions qui se rapportent à la poésie dramatique, nous
considérerons
d’abord le drame en général, et nous indiquerons
les besoins de l’action. Personnages dramatiques. 503. On peut
considérer
dans les personnages dramatiques ou leur caractèr
s chants, des luttes poétiques, des récits intéressants. 562. On peut
considérer
les bergers dans trois états différents : ou tels
up ii faire valoir les pensées ? 85. Sous combien de rapports peut-on
considérer
les mots ? 86. Que faut-il observer sur les mots
s peut-on considérer les mots ? 86. Que faut-il observer sur les mots
considérés
isolément ? 87. En quoi consiste la pureté de lan
elle un moyen de se former le style ? 27 9. Combien de choses faut-il
considérer
pour bien traduire ? 280. En quoi consiste l’imit
tes et comment les scènes sont-elles caractérisées ? 503. Que peut-on
considérer
dans les personnages dramatiques ? 504. Qu’appell
et l’objet de la poésie pastorale ? 502. Dans combien d’états peut-on
considérer
les bergers ? 563. Comment s’appelait la poésie p
13. Pour plus de développement, voir notre Essai sur la Traduction,
considérée
comme le principal exercice des classes supérieur
’on veut raconter surtout sa vie, c’est plutôt l’homme privé que l’on
considère
; mais on peut embrasser simultanément l’un et l’
s événements ; elle présente des vues générales sur l’histoire ; elle
considère
spécialement l’esprit des faits, examine les caus
our Balzac que d’avoir pressenti avant Bossuet cette haute manière de
considérer
l’histoire comme le développement dans l’espace e
drait aujourd’hui plus qu’elle ne sert ; davantage suivi de que étant
considéré
comme une incorrection. 3. C’est-à-dire par l’ap
est-ce que l’esprit, dont les hommes paraissent si vains ? Si nous le
considérons
selon la nature, c’est un feu qu’une maladie et q
te à s’évanouir, qu’elle est plus délicate et plus épurée. Si nous le
considérons
selon Dieu, c’est une partie de nous-mêmes, plus
t si, pendant ma vie, vous épousez un plus grand seigneur, il ne vous
considérera
, quand je n’y serai plus, qu’autant que votre hum
ses fautes par ses revers. 2. Que. Nous dirions maintenant si je ne
considérais
que…
si la tragédie a maintenant atteint ou non toute sa perfection, soit
considérée
en elle-même, soit relativement au théâtre, c’est
leau dans l’esprit. Quelle sera la mesure de cette étendue ? Si on la
considère
relativement aux acteurs et aux spectateurs, il e
t qu’on s’est servi autrefois, je ne sais en quel temps. Mais si l’on
considère
la nature même de la chose, plus une pièce aura d
sur celui qui avait tué ce même Mytis et l’écrasa au moment qu’il la
considérait
, cela fut intéressant, parce que cela semblait re
même ? Il y a encore, par rapport à l’expression, une autre partie à
considérer
, c’est celle des figures ; mais elle regarde prin
vait ou ne devait pas être dit ou être fait, il ne faut pas seulement
considérer
ce qui s’est dit ou ce qui s’est fait, s’il est b
-dire lieux ou lieux communs. D’après le point de vue sons lequel ils
considéraient
la rhétorique, les lieux chez eux ne s’appliquaie
ilieu des transformations que ce second travail peut lui faire subir.
Considérez
aussi quelle puissance d’argumentation vous donne
position et le but divers des interlocuteurs modifient leur façon de
considérer
et de définir les choses. On pourra remarquer, da
style. D'où deux articles. ARTICLE I. de la disposition des mots
considérés
dans leurs rapports avec les idées. Il y a deu
vicit sera l’idée principale. Telle doit être la disposition des mots
considérés
dans leurs rapports avec les idées. Si c’est le s
videt, multa in pectore volvit. Quand l’homme de bien voit le méchant
considéré
à cause de ses richesses, il est vivement impress
des mots. Sur l’intérêt, parce que les qualités principales que l’on
considère
dans un objet, excitent plus vivement l’attention
rce qu’elle consiste uniquement dans les mots matériellement pris, et
considérés
comme sons. Mais il y a une autre sorte d’harmoni
Partis de Ténédos. Pourquoi cette circonstance ?… C'est que le poète
considère
le supplice de Laocoon comme une vengeance divine
Le nombre dans les mots n’est autre chose que la valeur des syllabes
considérées
comme sons, c’est-à-dire des longues et des brève
Racine : Ma foi ! sur l’avenir, — bien fou qui se fiera. Les vers,
considérés
quant à la manière dont on les combine entre eux,
sion n’est pas parfaitement exacte ; mais elle est usitée. Les rimes,
considérées
quant à leur richesse, sont pauvres, suffisantes,
z-vous un moment de plus ? Je mourais, sans qu’Athènes se déshonorât.
Considérez
mon âge ; il ne me reste qu’un pas à faire pour e
s, que le seul moyen d’avoir quelque faible notion du vrai, est de le
considérer
avec les yeux de l’esprit, et en fermant les yeux
s ressources dans l’observation des mœurs, c’est-à-dire de l’individu
considéré
dans son état normal et habituel ; elle n’en trou
trouvera pas moins dans celle des passions, c’est-à-dire de l’espèce
considérée
dans les accidents identiques qui l’affectent, en
ers d’une conduite irréfléchie. Il faut penser mûrement avant d’agir,
considérer
les faits et prévoir les conséquences, car si nou
s bornes que la philosophie morale prescrit des règles. Ici, nous les
considérerons
par rapport aux effets qu’elles peuvent produire
me d’en approcher. Pour traiter exactement de l’élocution, il faut la
considérer
1° dans le style, 2° dans les figures, 3° dans le
tre et de définir chaque figure prise séparément, il faut surtout les
considérer
réunies dans un même tableau, et remarquer en quo
de convaincre ou d’émouvoir. Définition. La définition peut être
considérée
comme moyen de preuve, mais elle devient une véri
t une partie essentielle de la poésie. Quant à l’harmonie, on peut la
considérer
de trois manières : dans les mots sépares, et alo
sujet dans toute l’étendue d’un tableau, ou même d’un discours. Nous
considérerons
seulement ici cette espèce d’harmonie, qu’on appe
outienne l’attention. De là trois points de vue sous lesquels il faut
considérer
le nombre comme mouvement, comme chute et comme l
l’oreille ; c’est surtout dans ce qu’on appelle période qu’il faut le
considérer
. On nomme période la réunion de plusieurs proposi
’homme éloquent, suivant Cicéron ? — Sous quel triple rapport peut-on
considérer
l’élocution ? — Qu’est-ce que le style, littérale
Qu’est-ce que le nombre en général ? — Sous quel point de vue peut-on
considérer
l’harmonie dans les productions oratoires ? — Qu’
e table. Division des noms. Les objets de nos idées peuvent être
considérés
simplement en eux-mêmes, ou avec quelques qualité
noms des métaux pris en général, c’est-à-dire, lorsqu’ils ne sont pas
considérés
comme mis en œuvre : l’or, l’argent, le fer, le p
mis en œuvre : l’or, l’argent, le fer, le plomb, etc. Lorsqu’ils sont
considérés
comme mis en œuvre, ils ont un pluriel ; et c’est
à eux qu’elles se terminent. L’action qu’exprime le verbe, peut être
considérée
sous quatre points de vue. De là naissent quatre
le soleil brille ; les arts fleurissent ; votre frère est parti : je
considérerai
le soleil, les arts, votre frère, sans aucun rapp
es espèces de prépositions. Il y en a autant qu’il y a de manières de
considérer
les choses, les unes à l’égard des autres ; et ce
s recueils en particulier, rédigés pour les classes supérieures, sont
considérés
comme un manuel de composition et de style, où le
ses Pensées de Pascal, M. Cousin a ainsi apprécié Descartes : « Je le
considère
, avec Pascal, comme le fondateur de la prose fran
pensées : entre lesquelles l’une des premières fut que je m’avisai de
considérer
que souvent il n’y a pas tant de perfection dans
autres, nous devons néanmoins nous déterminer à quelques-unes, et les
considérer
après, non plus comme douteuses en tant qu’elles
résente en quelque façon comme possibles, il est certain que, si nous
considérons
tous les biens qui sont hors de nous comme égalem
puter de la félicité avec leurs dieux26. Car, s’occupant sans cesse à
considérer
les bornes qui leur étaient prescrites par la nat
de liberté et de repos que vous en auriez dans vos allées, et je n’y
considère
pas autrement les hommes que j’y vois, que je fer
ien que l’action du poème dramatique doive avoir son unité, il y faut
considérer
deux parties, le nœud et le dénouement. « Le nœud
ncements fort peu utiles ; mais elles sont toutes inutiles, si on les
considère
en elles-mêmes et pour elles-mêmes50. Les hommes
eur temps à mesurer des lignes, à examiner les rapports des angles, à
considérer
les divers mouvements de la matière. Leur esprit
non entendues, et raisonnent ensuite sur ces principes, sans presque
considérer
ni ce qu’ils disent ni ce qu’ils pensent. La vani
t les éloges qu’ils donnent eux-mêmes à leurs préceptes. Mais si l’on
considère
ce que l’expérience vous fait voir de l’usage que
ne précipitation pour retourner à ce qu’ils veulent dire ; au lieu de
considérer
que c’est un mauvais moyen de plaire aux autres,
plus maligne de toutes, quoique sa violence soit insensible. Si nous
considérons
attentivement son pouvoir, nous verrons qu’elle s
mêmes, ont néanmoins un fondement très solide et inébranlable, je les
considère
d’une manière toute différente. Cette négligence
ne croit pas qu’il y ait un Dieu qui veille sur ses actions, qu’il se
considère
comme seul maître de sa conduite et qu’il ne pens
gination se perde dans cette pensée. Que l’homme, étant revenu à soi,
considère
ce qu’il est au prix de ce qui est ; qu’il se reg
u plutôt un tout, à l’égard du néant où l’on ne peut arriver ? Qui se
considérera
de la sorte s’effrayera de soi-même, et se consid
e la suite des hommes, pendant le cours de tant de siècles, doit être
considérée
comme un même homme qui subsiste toujours et qui
hommes, sire, nous avons tous failli : nous avons tous désiré d’être
considérés
dans le monde. Nous avons vu que sans bien on ne
son trône est affermi par la bonté et la clémence. » Vous devez donc
considérer
, sire, que le trône que vous remplissez est à Die
u’il donne au monde ; mais, au contraire, tout est important, si nous
considérons
ce qu’il doit à Dieu. Encore une fois, tout est v
sans gloire, mêlés dans l’Océan avec les rivières les plus inconnues…
Considérez
, messieurs, ces grandes puissances que nous regar
u’on vous fasse entendre clairement toutes les vérités divines ? Mais
considérez
où vous êtes, et en quelle basse région du monde
n qui les assortit l’un avec l’autre. Ainsi, de quelque côté qu’il la
considère
, il est hors de lui ; et, ravi en admiration, il
souffrir ; et elle n’a pas d’autres armes que la croix de son époux.
Considérons
cette société sous Moïse. Pharaon la veut opprime
lus grands dont on puisse jouir dans une cour309. Je m’arrêtai donc à
considérer
le spectacle de ce vaste et tumultueux appartemen
davantage des grandes faces sous lesquelles le bon sens a coutume de
considérer
les choses371. Rien n’est encore plus opposé à la
vous-même : Seul vous vous haïssez lorsque chacun vous aime ; Daignez
considérer
le sang d’où vous sortez, Vos grandes actions, vo
e, Montesquieu disait des Maximes, et justement, si l’on se borne à y
considérer
le côté littéraire, « que ce sont les proverbes d
mi ses nombreux appréciateurs, M. Villemain, qui a traité « de Pascal
considéré
comme écrivain et comme moraliste » ; M. Havet, q
III, 136. 86. « Cet alinéa, dit un commentateur de Pascal, peut être
considéré
comme un modèle parfait de développement oratoire
ntraîner par le mouvement de son imagination. Si la matière peut être
considérée
comme divisible à l’infini, on ne saurait raisonn
n’ont pas conscience. Pascal incline vers l’opinion de Descartes qui
considérait
les animaux comme de simples automates. 120. Fon
n a été complétée par l’ouvrage du même auteur intitulé ; Saint-Simon
considéré
comme historien de Louis XIV (1 vol. in-8º). Ce l
s noble génie de concevoir ainsi la royauté, hors de l’égoïsme, et de
considérer
la société, non comme la proie de la force, mais
ut apprendre par un jugement curieux de M. Sainte-Beuve sur Louis XIV
considéré
comme auteur. 346. Célèbre professeur d’astronom
gues a encore écrit : Qui s’étonnera des erreurs de l’antiquité, s’il
considère
qu’aujourd’hui, dans le plus philosophe de tous l
l convient de protester contre ce regard indifférent jeté sur le mal,
considéré
comme un simple élément de la nature humaine. Fab
à apporter dans nos lectures et les objets de nos études. Il faut
considérer
que l’étude est la culture et la nourriture de no
e de l’âme, l’intérieur de la conscience. 2. Ce mot désigne Salomon,
considéré
comme auteur des Proverbes, qui font partie des l
se de toute éloquence mâle et persuasive. Dans les arguments, il faut
considérer
trois choses : l’invention, l’arrangement ou la d
c’est là qu’il faut la faire sentir en lisant. Cependant, si l’on ne
considérait
que l’harmonie, il faudrait lier ce mot avec ceux
ité fort important. Dans tous ses écrits, en général, l’éloquence est
considérée
comme une science grande et sublime, et tout ce q
emarquer les défauts. J’en agirai de même lorsque j’aurai occasion de
considérer
leurs ouvrages sous un point de vue plus général.
r d’une manière sensible. Le monde peut, sous certains rapports, être
considéré
comme un individu qui gagne toujours quelque chos
t ceux écrits en vers. Soumis à des règles diverses, ils doivent être
considérés
séparément. Il est naturel de commencer par les o
andes opérations des peuples avaient un but commun, et pouvaient être
considérées
comme les parties d’un seul système. Là-dessus, i
sur l’Histoire générale de l’Europe depuis Charlemagne, ne peut être
considéré
comme une histoire, ni même comme le canevas d’un
t un grand nombre de volumineux ouvrages du même style, que l’on peut
considérer
comme appartenant à la seconde époque du genre. L
s. Ce serait une grande erreur de croire que la poésie et la musique,
considérées
comme des arts, n’appartiennent qu’aux nations ci
oésie lyrique. Je commence par la poésie pastorale, non pas que je la
considère
comme revêtue de la forme la plus ancienne que la
s ses mœurs, jouissait cependant d’un état honorable. On peut, enfin,
considérer
la vie pastorale sous cet aspect qui ne fut et n’
; mais, pour en faire un examen plus particulier, nous allons d’abord
considérer
, dans ce genre de composition, le lieu de la scèn
genre tout à fait différent. Dans celles que l’on peut véritablement
considérer
comme des pastorales, on découvre un grand nombre
ssages d’un grand sens et d’une critique judicieuse ; et si même l’on
considère
que le poète (ce qui est très probable) le compos
es morales de M. Pope réunissent toutes ces qualités, et doivent être
considérées
comme des modèles presque parfaits de ce genre de
genre de composition magnifique auquel nous n’avons rien à comparer.
Considérés
comme une inspiration divine, ils ouvrent une vas
daptée au sentiment du genre élégiaque. Le Songe de Salomon peut être
considéré
comme un très beau morceau de poésie pastorale. S
té que dans celles des deux autres. Le principal mérite de son style,
considéré
poétiquement, est d’être doux, agréable et tendre
s moins d’être rangé dans la classe des poètes épiques. Mais si je ne
considère
pas le merveilleux comme essentiel ou nécessaire
éalité que, selon eux, doit avoir la poésie épique. En général, on ne
considère
pas d’un œil si philosophique les productions des
s plaisirs des peuples pacifiés. Je crois être fondé à dire que, tout
considéré
, l’Énéide de Virgile est le modèle le plus parfai
es égards, critiquer la distribution du sujet. Il est vrai qu’il faut
considérer
l’Énéide avec l’indulgence que l’on ne peut refus
y suit trop strictement la marche de l’histoire, pour qu’on puisse la
considérer
comme une épopée régulière ; cependant ce serait
bats. La critique la plus sérieuse que l’on ait faite de cet ouvrage,
considéré
comme poème épique, a porté sur ces minutieux dét
excusables dans un ouvrage si long et presque toujours si harmonieux.
Considéré
dans son ensemble, le Paradis perdu est un poème
êt que le mariage d’un simple particulier, la tragédie a toujours été
considérée
comme un amusement plus noble que la comédie. La
it, puis nous traiterons particulièrement de la comédie. La tragédie,
considérée
comme la représentation fidèle du caractère et de
ée des autres, ou les rendent incommodes dans la société. La comédie,
considérée
comme une représentation satirique des folies et
. Le Tartufe, dans le genre sérieux, l’Avare, dans le genre gai, sont
considérés
comme ses deux chefs-d’œuvre. Nous devons naturel
dis qu’on ne faisait aucune attention à sa conversion, ou qu’on ne la
considérait
que comme une affaire de pure forme. On peut se f
ançais, et cependant elle est de quelque importance. On doit en effet
considérer
les objets sublimes, ceux qui, par leur nature, p
ît l’homme le plus naturellement éloquent qui ait existé, et je ne le
considère
ici que comme orateur ; je laisse à part ses écri
nt maniée par les hommes politiques, et surtout par Périclès. On peut
considérer
comme appartenant à cette époque Antiphon, Lysias
embla en effet plus plausible encore que l’autre, la satire peut être
considérée
comme un genre tout latin ; Horace, en effet, la
vons de même, au vie siècle, Névius et Pacuvius. Lucilius peut être
considéré
comme le père de la satire à Rome : Lucile le pr
habilement et plus à propos le pathétique que Cicéron. Soit que l’on
considère
les Catilinaires, les Verrines ou les Philippique
enre. Les épîtres, toutes littéraires de Boileau, ne peuvent pas être
considérées
comme des lettres. Fénelon nous offre, dans sa co
eut avoir aucune prétention, et ne s’impose aucun ordre rigoureux. Il
considère
presque exclusivement la tragédie et l’épopée. Po
effet le premier traité de l’Antiquité où la critique littéraire soit
considérée
comme une science à part ; quoique Longin y fasse
âges primitifs. Quant à la mythologie, elle ne saurait non plus être
considérée
comme une des conditions de l’Épopée ; très légit
les mêmes réserves timides à son admiration : Molière a été dès lors
considéré
comme le grand maître de la scène comique, et Vol
es courtisanes introduit dans les familles. Il ne serait pas exact de
considérer
pour cela le poète comme dépourvu d’imagination,
mbien est juste l’opinion de Voltaire ; aussi n’hésiterons-nous pas à
considérer
notre grand poète comique comme le premier des an
ans ce moment suprême, je ne dois pas penser seulement à moi ; j’ai à
considérer
d’autres intérêts plus graves encore, ceux du pri
zarin est seul capable d’en poursuivre l’exécution. Que Votre Majesté
considère
en effet que je me suis attaché dès longtemps cel
es revêtir des ornements des Muses. Socrate n’est pas le seul qui ait
considéré
comme sœurs la poésie et nos fables. Phèdre a tém
temps qui adoucit les plus cuisants chagrins ; toutefois nous devons
considérer
, dès aujourd’hui, qu’une gloire immortelle va cou
-t-elle été comprise de même en tout temps et par tous les rhéteurs ?
Considérée
dans son étymologie, la rhétorique n’est que l’ar
tymologie, fondirent l’art de bien écrire dans l’art de bien dire, et
considérèrent
connue code unique et universel du style les préc
guère plus de garantie sous le rapport purement littéraire, qu’on les
considère
au point de vue des pensées ou du style. Dans un
mots sur chacune de ces sources. 318. En quoi consiste la définition
considérée
comme source d’amplification ? Exemples. La défi
ement de ce que nous conduisons nos pensées par diverses voies, et ne
considérons
pas les mêmes choses. Car ce n’est pas assez d’av
assurance en cette vie. Il est vrai que pendant que je ne faisais que
considérer
les mœurs des autres hommes, je n’y trouvais guèr
ommes, et même les usages et le commerce ordinaire de la vie. Ou peut
considérer
les mœurs, relativement au discours oratoire, sou
tion n’est pas tout à fait juste et vraie, relativement à l’éloquence
considérée
en elle-même, elle l’est, du moins, relativement
idérée en elle-même, elle l’est, du moins, relativement à l’éloquence
considérée
dans les effets sensibles, universels et durables
vertueux qu’éclairé. Mœurs dans les auditeurs. Quant aux mœurs
considérées
dans la personne des auditeurs, chaque âge, chaqu
clatants. Voici comment il divise son sujet. « Vous n’avez peut-être
considéré
jusqu’à présent la mort du Sauveur, que comme le
e germe des preuves qu’il a dessein d’employer. La narration oratoire
considérée
comme le récit d’un fait, ou comme l’exposition d
un art très-expressif, mais bien borné dans ses ressources, si on le
considère
comme moyen de communication entre les hommes. Po
pays, des caractères connus sous le nom d’hiéroglyphes, et l’on peut
considérer
cette invention comme le second pas de l’art d’éc
nous conduit à l’examen de la construction des phrases. Lorsque nous
considérons
l’ordre dans lequel se présentent les mots qui ex
om de rhéteurs, et l’art qu’ils ont créé s’est appelé Rhétorique. On
considère
ordinairement l’art oratoire comme susceptible de
uand nous disons que le style de Racine est excellent, c’est que nous
considérons
, d’une part, ces idées si justes, si clairement c
s à examiner dans les pensées : 1° Les qualités générales des pensées
considérées
en elles-mêmes ; 2° les rapports des pensées entr
ne, ou ce que l’on a appelé les figures de pensées. I. Des pensées
considérées
en elles-mêmes. Chaque pensée, séparée de cell
elles-mêmes. Chaque pensée, séparée de celles qui l’entourent, et
considérée
seulement comme image ou expression d’un objet qu
s l’avoir soumise à l’examen de sa propre raison. II. Des pensées
considérées
dans les rapports qu’elles ont entre elles. Il
es arts ont empruntées à la nature. Des transitions. Les idées,
considérées
comme parties d’un tout, doivent s’accorder ensem
le son disposé de manière à devenir l’expression du sens. L’harmonie,
considérée
sous ce dernier rapport, prend le nom d’harmonie
es, comme ces mots : repentir, impétueux, indépendant. Ce qu’il faut
considérer
en second lieu, à l’égard de l’harmonie, c’est l’
l’oreille, il lui sut lit de ne point la blesser. II. Des phrases
considérées
dans les rapports qu’elles ont entre elles. La
xprimer un sentiment, de l’organe ou de la partie du corps qui en est
considérée
comme le siége. Ainsi, dans Racine, Thésée dit à
re et de l’albâtre, etc. ; mais il y a aussi synecdoque, puisque l’on
considère
la couleur abstractivement, c’est-à-dire indépend
vous aviez entendu rugir le monstre lui-même ? Il y a trois choses à
considérer
dans l’action, 1° la mémoire, 2° la prononciation
ation qui fait une partie essentielle du discours ; mais la narration
considérée
comme œuvre séparée, comme constituant à elle seu
et doux, frappa d’admiration et presque de fanatisme la foule qui le
considérait
; les femmes surtout s’exprimaient avec cette ima
ous en avons déjà parlé plusieurs fois. 2° Rigoureuse. Il ne faut pas
considérer
une pensée religieuse ou morale, ou même une disc
ropose ? (Oui, s’écria quelqu’un.) Je conjure celui qui répond oui de
considérer
que son plan n’est pas connu : qu’il faut du temp
davantage des grandes faces sous lesquelles le bon sens a coutume de
considérer
les choses, « Rien n’est encore plus opposé à la
e espèce de Conciones Français, formée d’éléments qui méritent d’être
considérés
comme des modèles, où chacun a le loisir d’étudie
à regret, comme les remèdes les plus violents et les plus dangereux.
Considérez
toujours de loin toutes les suites de ce que vous
ignages de votre bienveillance. Les plus âgés d’entre vous doivent me
considérer
comme leur nourrisson en quelque sorte, et ceux q
lles de mon âme anéanties. Ne pensez pas que je sois encore jeune, ne
considérez
pas mon âge : car si vous comptez les campagnes q
a, selon moi, réalisé le parfait bonheur. En tout d’ailleurs, il faut
considérer
la fin ; les Dieux bien souvent, après avoir comb
r perte m’inspire, regrets qui s’augmentent de jour en jour, quand je
considère
comment ils ont péri, je proclame leur sort heure
une énergie digne du caractère romain et du sang de vos ancêtres, ne
considérez
pas en quel lieu vous êtes rassemblés et combien
irréfléchi est une sottise. Mais, sans parler de moi, je vous prie de
considérer
, mon père, que les Samnites, dont les fils, les p
joutes pas foi à mes paroles, bien qu’elles méritent d’être écoutées.
Considère
quelle est la condition des choses humaines. Lais
lus célèbres, ne peuvent être comparés aux exploits de César, si l’on
considère
la grandeur des intérêts, le nombre des combats,
le principal instrument de culture ; et d’autre part entre la guerre
considérée
comme moyen de conquête, et l’épée de dont on se
pléeront facilement. Ne demandez pas si l’expression est usitée, mais
considérez
si l’analogie autorise à s’en servir. L’affair
nnifier les passions, et de prêter du sentiment aux choses inanimées.
Considérée
sous ce rapport, on la trouve à chaque page non-s
nons vomissent la mitraille qui donne la mort. Il est plus naturel de
considérer
ici les effets que la cause. Ce qui frappe le plu
lque temps ; avec une allégorie on peut même faire un ouvrage entier.
Considérée
comme changeant le sens des mots, l’allégorie est
hose en termes équivalents. Pour l’employer convenablement l’écrivain
considère
une idée sous ses divers aspects et les présente
e qui a créé la Rhétorique. L’analyse est de deux sortes. La première
considère
la forme, et fait distinguer les figures et tous
de quelques notions de logique. Disons donc un mot de cette science,
considérée
comme moyen d’analyse. Logique. La logique
même futile, et il faut en revenir à ce grand principe qu’il n’y a à
considérer
dans l’éloquence que la convenance, que ce que Qu
uand nous disons que le style de Racine est excellent, c’est que nous
considérons
, d’une part, ces idées si justes, si clairement c
dées, exprimées autrement, n’auraient certes pas le même charme. Nous
considérons
d’abord le style dans les mots et ensuite dans le
L’harmonie des mots consiste dans le choix et l’arrangement des mots
considérés
comme sons ; les uns sont doux, et sonores, les a
es de pensées, 1° Justesse et netteté des pensées. Chaque pensée
considérée
en elle-même, indépendamment de celles qui l’ento
de est plus facile, mieux définie, d’une utilité plus immédiate. Elle
considère
les mots actuels selon le vocabulaire et selon la
ature. Le voilà en état de traiter un sujet. 5. Remarquez que je ne
considère
point ici la nature et l’origine des idées, je le
rivain, l’homme et la nature, l’un et l’autre éternellement les mêmes
considérés
sous une de leurs faces, éternellement inconstant
ue, comme dans tout le reste. Quoi qu’il en soit, l’étude de l’homme,
considéré
géographiquement, en quelque sorte, sous le rappo
sur celui qui avait tué ce même Mytis, et l’écrasa au moment qu’il la
considérait
, cela fit une grande impression, parce que cela s
une volonté. » Schiller a mis sur la scène la conjuration de Fiesque.
Considérez
le dénoûment que lui donnait l’histoire. Tout le
’on puisse, en rhétorique, abstraire l’expression d’un écrit, pour la
considérer
indépendamment de toute autre propriété, comme, e
oilà pour le style, voici pour le ton. Pour saisir le ton convenable,
considérez
attentivement l’objet de votre ouvrage ; applique
t desquelles nous renvoyons au chap. II, sect. II, p. 46 [Des Pensées
considérées
dans les rapports qu’elles ont entre elles]. Nous
e. L’orateur nous y fait connaître son héros par les qualités du cœur
considérées
sous un autre point de vue : son humanité, sa bon
e dans le drame. § 2. Abus des épisodes dans le drame. De la surprise
considérée
comme moyen dramatique. [n. p]X. De l’action sim
mme Adam, Ève, Paris, la Seine, etc.1. 12. — Dans les noms, il faut
considérer
le genre et le nombre. Il y a en français deux ge
lle devrait être partout, et ce qu’on la trouve en effet, quand on la
considère
dans le véritable esprit de ses maximes ; c’est q
n âme : Sois juste, et tu seras heureux. Il n’en est rien pourtant, à
considérer
l’état présent des choses. Le méchant prospère, e
là où il a offert de parfaits modèles et exemplaires ne cesse d’être
considéré
de nous et compris. C’est par les yeux, c’est par
trop différentes ; nous sommes trop loin les uns des autres pour nous
considérer
comme des rivaux et des concurrents. Les problème
rsque l’on abstrait, que l’on sépare les qualités des objets, pour ne
considérer
ces qualités qu’en elles-mêmes, indépendamment de
urs, combien l’art oratoire ne leur a-t-il pas d’obligations, à ne le
considérer
même ici que sous les rapports humains ? Combien
able 127, et comparez le livre de Welcker, sur les Tragédies grecques
considérées
dans leur rapport avec le Cycle épique, t. I, p.
, avait été prise quelque temps pour un garçon. — 6. La Fortune a été
considérée
comme une déesse aveugle, volage, vagabonde, inco
clipsent de temps en temps. Les éclipses de soleil et de lune étaient
considérées
autrefois comme les présages de grandes calamités
; il aimait mieux pardonner les offenses que de les venger. Il a été
considéré
comme un mortel semblable aux dieux ; en effet pe
, la mer, la terre, les fleuves, les fontaines, les bêtes. La plupart
considérèrent
le soleil et la lune comme des dieux. Les hommes
ent purgé la mer des pirates qui l’infestaient ; ils furent pour cela
considérés
comme les divinités tutélaires des navigateurs. L
couronne murale, soit la couronne civique ; mais aucune n’était plus
considérée
que la couronne de gazon. Ils avaient la servitud
dis domibus canes invigilant. corrigé. 1. La sagesse doit être
considérée
comme l’art de bien vivre. — 2. La rhétorique est
nne d’or dans le Capitole en reconnaissance de ce bienfait. — 8. Nous
considérons
le changement de travail comme une sorte de repos
er fratricidam impiumque detestans compellaret. corrigé. 1. Je
considère
comme le meilleur et le plus parfait des hommes,
vancer vers le rivage ; ils se précipitent, ils l’insultent sans rien
considérer
. Ce n’est pas tout : une ambassade arrive bientôt
Il voulut que les jeunes filles se mariassent sans dot, afin que l’on
considérât
, dans le choix d’une épouse, non la somme, mais l
cile et de l’Afrique, que de soumettre tout l’univers. — 8. S’il faut
considérer
la vertu seule, je doute si je ne mettrai pas Thr
artis quotus irroget annus. corrigé. 1. Archimède, appliqué à
considérer
des figures qu’il avait tracées sur le sable, fut
tone se réfugia à Délos, et y mit au monde Apollon et Diane. — 11. On
considérait
Zeuxis comme bien supérieur à tous les autres pei
le vice est toujours hostile à la vertu, et les hommes vertueux sont
considérés
par les méchants comme des reproches vivants. En
dès que le sang lui était monté au visage. — 7. Tibérius Gracchus fut
considéré
comme ennemi de sa patrie, et non sans raison, pu
paix ; qu’ils pouvaient choisir celui des deux qu’ils voudraient, et
considérer
celui qu’ils auraient choisi comme leur ayant été
les plus anciennement connues. Dans l’origine, l’art de guérir était
considéré
comme une partie de la philosophie ; c’est Hippoc
— 5. Les études [illisible chars][texte coupé]ttéraires étaient moins
considérées
à Lacédémone [illisible chars][texte coupé]u’à At
e, que ses défauts furent les torts de la fortune ou de l’âge. — 9. A
considérer
l’éternité, la vie est bien courte, même chez les
été du parti de César, s’efforçait de les anéantir. — 7. Pour moi, je
considère
comme heureux ceux à qui il a été donné de faire
ier ennemi qu’ils ont tué. Plus un homme a tué d’ennemis, plus il est
considéré
parmi eux ; c’est d’ailleurs le dernier opprobre
ersonnifié. (2). Quà répété équivaut à quum… tùm. (1). Les anciens
considéraient
les éclipses comme le présage de grands malheurs.
n lui-même, que nous allons examiner ici les productions académiques,
considérées
comme ouvrages d’éloquence ou monuments de philos
e crime passe, Vous êtes innocent si vous vous faites grâce. Daignez
considérer
le sang dont vous sortez1, Vos grandes actions, v
urreau Ce qu’à nos justes vœux promet un sort si beau. Polyeucte. Je
considère
plus ; je sais mes avantages, Et l’espoir que sur
our l’un est crime pour l’autre. 4. Point est de trop. 1. Daignez
considérer
. Tout ce plaidoyer s’adresse à un cœur devenu sou
ts soit isolés, soit réunis de manière à former des phrases. Avant de
considérer
les ornements du style, et de clore par là notre
reté du style. 113. Qu’est-ce que la pureté du style ? La pureté,
considérée
comme qualité générale du style, consiste à écrir
une conviction profonde. C’est l’énergie, animée par le sentiment, et
considérée
dans celui qui parle. Le style véhément est essen
fallait, au contraire, les puiser dans les circonstances du sujet, et
considérer
pour cela les causes et les effets, tant au physi
nourriture. Telle est donc l’action physique de la neige, que je dois
considérer
, et qui me fournit les épithètes frigida, gelida,
il faut choisir pour épithètes. Outre le côté physique, on peut aussi
considérer
la chose au point de vue moral. Si donc je veux d
donc deux sortes d’harmonie : celle que j’appellerai générale, qui ne
considère
les sons qu’en eux-mêmes et abstraction faite de
dée qu’ils représentent, et l’harmonie spéciale ou imitative, qui les
considère
dans leurs rapports avec les pensées et les senti
que Crassus, allant contre les Parthes, s’engagea dans leur pays sans
considérer
comment il en sortirait ; que cela le fit périr l
ura pour n’avoir pas eu tant de prévoyance, et par conséquent il faut
considérer
en toute chose la fin. Je demande lequel de ces d
ar des accents circonflexes (ˆ). 24. Dans ce cas, le monosyllabe est
considéré
comme une sorte d’enclitique, ne formant, pour ai
ns les plus précieux et les plus chers. En vérité, mon cher frère, je
considère
avec joie tant d’avantages : mais je ne saurais m
’en tiendrais dans ce sens fort glorieux ; mais j’irais aussi jusqu’à
considérer
dans ce bienfait ma patrie entière, et je ferais
a science qui traite des mœurs, c’est-à-dire, des actions de l’homme,
considérées
par rapport à leur fin. Ces actions sont bonnes l
ne méthode, des principes fondamentaux de la morale, nous devons nous
considérer
nous-mêmes sous deux rapports ; comme hommes, et
oute son étendue, alors la pensée est vraie, de quelque côté qu’on la
considère
; et c’est ce qui en fait la justesse. Pour donne
constituent ces deux pièces de poésie. Section II. — Des Pensées,
considérées
dans les rapports qu’elles ont entre elles. De
nt à peine la hauteur ; mais un précipice, une tour élevée, d’où nous
considérons
les objets qu’elle domine, excitent une sensation
s recueils en particulier, rédigés pour les classes supérieures, sont
considérés
comme un manuel de composition et de style, où le
ans le genre didactique, et surtout dans l’ode. Les poètes chrétiens,
considérés
sans prévention, ne nous ont point paru indignes
Plin. Que la chose soit meilleure ou pire, utile ou nuisible ; ils ne
considèrent
que ce qui leur plaît. Velis, nolis ; scias, nesc
Credere, qui veut dire proprement croire, ajouter foi, comme nous le
considérons
ici, est l’effet de l’estime ; et confidere l’eff
ter d’un lieu à un autre. Il ne se dit que des choses matérielles, ou
considérées
comme telles. Naves portabant legatos Romam. Liv.
s, toutes les espèces, toutes les parties d’une chose, soit qu’on les
considère
comme réunies ou comme séparées. Omnis exercitus,
iderare. Spectare (fréquentatif de l’inusité spicere), regarder,
considérer
pendant quelque temps. Spectatum veniunt. — Specu
antiqui templum nominabant), regarder fixement un objet, contempler,
considérer
. Oculis contemplari cœli pulchritudinem. Cic. — C
cœli pulchritudinem. Cic. — Considerare(de sidus, astre), proprement,
considérer
les astres ; par extension, regarder avec réflexi
ment, considérer les astres ; par extension, regarder avec réflexion,
considérer
. Considerare quid sit agendum. CCXXXII. — Spo
Chapitre III. Idée de l’Éloquence des Saints-Pères. On peut
considérer
les apôtres comme les premiers orateurs chrétiens
hommes, sire ; nous avons tous failli, nous avons tous désiré d’être
considérés
dans le monde ; nous avons vu que sans bien on ne
faut commencer par bien concevoir le sujet que l’on veut traiter ; le
considérer
avec soin sous tous les rapports, saisir ceux qui
prend le genre épique ? Le genre épique (ἔπος, parole, récit, vers),
considéré
dans son extension la plus grande, embrasse tout
de l’élévation que demande l’épopée. Le poème épique a toujours été
considéré
comme le plus noble, le plus sublime et le plus d
sur la vertu résulte de l’impression que fait chacune de ses parties
considérée
séparément, et de celle qui est produite par l’en
t Aristote, De la Mémoire, ch. i cf. Rhétorique, I, 3. Sur le hasard
considéré
comme cause des événements, voyez la Physique, II
ns une narration, il est un autre point de vue d’après lequel on peut
considérer
un récit, et qui peut contribuer puissamment à en
une place de conseiller d’État, remettant celle que je remplis. J’ai
considéré
qu’étant hors d’état de servir Sa Majesté dans se
bien, il m’en fera donc : écrivez-lui en ma faveur. — Mais, monsieur,
considérez
que j’abuserais — Eh bien ! abusez, dit-il ; je v
mesuré. De la structure des vers. Le discours mesuré, que je
considère
ici dans sa forme seulement, par opposition à la
s leur humide roi, Par un récit affreux redoublent son effroi. On ne
considère
pour la rime masculine, que le son de la dernière
les et leur fils. La première partie du xiiie siècle pourrait être
considérée
comme la saison privilégiée du moyen âge. C’est a
siècle, qui en est comme le vestibule, arrêtons-nous un instant pour
considérer
le mouvement qui suivit la prise de Constantinopl
un mouvement d’orgueil par lequel nous nous plaisons en nous-mêmes et
considérons
avec joie au-dessous de nous ceux qui n’ont pas a
dépositaires, j’étonnerais certainement les esprits superficiels qui
considèrent
le noble métier des lettres comme une distraction
influence, par le nom qu’ils portent ! III. Pour moi, quand je
considère
d’une part l’armée de Catilina et de l’autre nos
tre vos mains, maintenant que vous les tenez prisonniers, vous pouvez
considérer
toutes les forces de Catilina, toutes ses espéran
provoquer pouvait attirer sur sa tête, Cicéron adjure le sénat de ne
considérer
dans sa délibération que l’intérêt public. Plus l
ux : jugez-en par ce qu’elle est en elle-même, plutôt que par le nom.
Considérez
d’abord la nature des faits, et peut-être ne cher
enlevé pour peu que l’objet lui ait plu. Je parais en dire beaucoup :
considérez
comment je m’exprime ; car ce n’est ni pour exagé
de Messine ne me fit point d’invitation publique et solennelle. À ne
considérer
que moi, c’est peu de chose ; mais en négligeant
it remplie d’honnêtes gens, il s’approcha de l’argenterie et se mit à
considérer
, à examiner chaque pièce à loisir. Les uns admirè
, il n’a pu s’empêcher, dans une nombreuse assemblée, de manier et de
considérer
l’argenterie de Sisenna, est-il probable que lors
est absurde de revenir à Verrès, après avoir parlé du vertueux Pison.
Considérez
cependant quelle différence il y a entre l’un et
confier aussi le beau vase d’une seule pierre, parce qu’il désire le
considérer
plus attentivement : le prince le lui envoie de m
le plus majestueux de l’univers. Les officiers, croyant qu’il l’avait
considéré
suffisamment, se préparaient à le remporter ; mai
igés de parler en faveur de la gloire des grands hommes. Pour moi, je
considère
les autres crimes et les autres injustices de Ver
s, de cette flotte sicilienne ; mais de manière à prouver que Verrès,
considéré
même par rapport à ce seul objet, est coupable de
aient sur sa route, mais encore des lieux les plus éloignés, pour les
considérer
. Pourquoi ce triomphe était-il pour le peuple rom
à ce tribunal, à cette assemblée, à ce concours si nombreux qui vous
considère
en ce moment avec indignation on ? Jamais la dign
propose, de parcourir chacun d’eux dans le plus grand détail ; je ne
considère
ici que les plaisirs qui résultent pour le goût,
que l’a chargé de chaînes honorables, le vrai magistrat ne s’est plus
considéré
que comme une victime dévouée, non seulement à l’
stote parle des orateurs plutôt que des poëtes. Ritter n’hésite pas à
considérer
comme une interpolation tout le morceau qui s’éte
t que le leur ; ils prennent des tons et des manières au hasard, sans
considérer
que ce qui convient à quelques-uns ne convient pa
t douter que ce ne fût le poëte Nuñez, je demeurai quelque temps à le
considérer
sans rien dire. De son côté, il me remit3, et m’e
toute son étendue ; c’est une pensée vraie sous quelque face qu’on la
considère
. On trouve une pensée pleine de justesse dans le
us allons rechercher quelles sont les qualités que demandent les mots
considérés
isolément. Ces qualités sont au nombre de trois :
en prose. 98. Qu’appelle-t-on phrase ? Après avoir examiné les mots
considérés
isolément ou en eux-mêmes, nous allons nous occup
prime un sentiment de respect. La couleur, la figure et le mouvement,
considérés
séparément, sont des sources de beauté ; ils se r
es de Causes : le Démonstratif, le Délibératif et le Judiciaire On
considère
ordinairement l’art oratoire comme susceptible de
l’Académie française.) La poésie de l’histoire J’ai toujours
considéré
l’histoire comme l’occupation qui convenait le mi
aiblissent. Mais si l’on doit regarder les États comme immortels et y
considérer
les commodités à venir comme présentes, comptons
et de recommandation être néanmoins les plus recommandés et les plus
considérés
, et, sans d’autres titres ni d’autre mérite qu’un
mi ses nombreux appréciateurs, M. Villemain, qui a traité « de Pascal
considéré
comme écrivain et comme moraliste » ; M. Havet, q
avez d’être né dans la seule véritable religion, en vous appliquant à
considérer
les caractères éclatants qui en démontrent la vér
bien, il m’en fera donc : écrivez-lui en ma faveur. — Mais, monsieur,
considérez
que j’abuserais… — Eh bien ! abusez, dit-il. Je v
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