mertume en paraissait grande ; et poussait non des sanglots, mais des
cris
, mais des hurlements. Il se taisait parfois, mais
méditation profonde qui venait de précéder. Souvent réveillée par les
cris
de son époux, prompte à le secourir, à le souteni
elle-même, puis un torrent de larmes qui lui aidaient à suffoquer ses
cris
. Madame la duchesse de Bourgogne consolait aussi
qui se refuse au plus grand besoin. Le fréquent moucher répondait aux
cris
du prince son beau-frère. Quelques larmes amenées
rmes en les embrasant, fit retentir le château d’un renouvellement de
cris
, et fournit un spectacle bizarre d’une princesse
e Faculté complète et munie. Toute leur nuit se passa en larmes et en
cris
. De fois à autre, M. le duc de Berry demandait de
chouettes qui, dans cette obscurité, annonçaient, par leurs funestes
cris
, les malheurs de tous les hommes : tout cela me f
’or, pierreries, brasiers de feu et de fleurs, embarras de carrosses,
cris
dans la rue, flambeaux allumés, reculements et ge
ons, et par des évanouissements, et par un silence mortel, et par des
cris
étouffés, et par des larmes amères, et par des él
ilshommes, qui pensèrent mourir en voyant ce portrait : c’étaient des
cris
qui faisaient fendre le cœur ; ils ne pouvaient p
On lui a fait un service militaire dans le camp, où les larmes et les
cris
faisaient le véritable deuil ; tous les officiers
u’un coup, les piques traînantes et les mousquets renversés. Mais ces
cris
de toute une armée ne se peuvent pas représenter
dans aucune école. Ses descriptions touchantes lui échappent comme un
cri
d’enthousiasme, comme l’élan d’une prière, comme
ies ou les plus lestes sautaient de l’autre côté en poussant un grand
cri
; les autres, plus lourdes ou plus maladroites, s
me temps que les flots ; quelquefois les larmes qu’elle verse, et les
cris
de sa douleur enfantine sur le rivage de la mer ;
ps redoublés, elle écoute les aboiements lointains de la meute et les
cris
des chasseurs. Me voilà dans mon terrier. Mais, l
que j’essaye en vain de faire le sourd. Mais s’éveiller à minuit, aux
cris
de la tempête, être assailli dans les ténèbres pa
es sans fin sur eux vont se répandre ! Dans vos cités en deuil que de
cris
vont s’entendre, Avant qu’avec douleur la terre a
soc penché dormait à moitié du sillon1. On n’entendait au loin que le
cri
du grillon, Au lieu du bruit vivant, des voix ent
s touchait son meuble favori, Et, comme s’il avait compris, jetait un
cri
. Mais ma mère, entr’ouvrant la chambre paternel
n joyeuse volée, Courir de haie en haie et d’allée en allée, Et leurs
cris
de bonheur monter et retentir Sur les pas de la m
ant toute la chambre, et semblant aux murs même, Par ses bonds et ses
cris
, annoncer ce qu’il aime ; Puis, sur mon sac poudr
éloquente, et d’une imagination souvent indignée. 1. L’encan est le
cri
public qui se fait par un huissier pour une vente
rnia pour y prier, un grand nombre d’oiseaux l’environnèrent avec des
cris
joyeux et battant des ailes comme pour le félicit
oïne en proie à une sorte de frénésie convulsive, quand j’entends ses
cris
et ses sanglots, quand elle se tord les mains et
our nous le sifflement des vents, les mugissements de l’orage, et les
cris
des passagers désespérés, s’il en est qui soient
un profond sentiment de reconnaissance, et l’on y répondit par trois
cris
de joie. Le vaisseau signalé était un brick angla
ort de l’étang, encor toute mouillée, Et, se montrant au jour avec un
cri
joyeux, Au charme d’un beau ciel, craintive, ouvr
uton et la tige, Et, sûre du printemps, alors, et de l’amour, Par des
cris
triomphants célèbre leur retour. Elle chante sa j
rage indompté ; Sous le flot qui les couvre entendez-vous encore Ce
cri
: « Vive la liberté ! » Ce cri… c’est en vain
s couvre entendez-vous encore Ce cri : « Vive la liberté ! » Ce
cri
… c’est en vain qu’il expire, Étouffé par la mort
t lui conter comme leur pauvre mère Est morte sous le chaume avec des
cris
affreux ; Mais maintenant, au loin, tout est sile
dans les yeux ? Ne savais-tu donc pas, comédienne imprudente, Que ces
cris
insensés qui te sortaient du cœur De ta joue amai
temps passés et rêveurs d’aujourd’hui1, Croyez-moi, la prière est un
cri
d’espérance ! Pour que Dieu nous réponde, adresso
e l’art, du beau, de l’idéal. Dans cette élégie éloquente, il y a des
cris
dignes d’être entendus par la postérité. « Quand
passage, Et, de sang tout couvert, échauffant le carnage ; Songe aux
cris
des vainqueurs, songe aux cris des mourants, Dans
ert, échauffant le carnage ; Songe aux cris des vainqueurs, songe aux
cris
des mourants, Dans la flamme étouffés, sous le fe
er en marchant du plaisir de la voir. Andromaque, au travers de mille
cris
de joie, Porte jusqu’aux autels le souvenir de Tr
uis me venger ! Allons. C’est à moi seule à me rendre justice. Que de
cris
de douleur le temple retentisse : De leur hymen f
du peuple attiraient le suffrage, Nos Grecs n’ont répondu que par un
cri
de rage ; L’infidèle s’est vu partout envelopper,
remblaient déjà de peur. M. de Turenne se jeta en bas du carrosse aux
cris
de Madame de Choisi. Je crus que c’étaient des vo
hurlaient plutôt qu’elles ne criaient. Vous connaissez peut-être les
cris
aigus de Madame de Choisi ; Mademoiselle de Vendô
ient que nous étions aux mains avec tous les diables, firent un grand
cri
, et ce ne fut pourtant pas eux qui eurent le plus
tion qui marque leur dépit ; ils n’ont point d’autre voix qu’un petit
cri
, fréquent et répété ; ils le font entendre dans l
mprunter à sa nature les principes de ses jugements. La gloire est le
cri
de la sympathie et de la reconnaissance ; c’est l
feu. Combien n’en a-t-on pas vu parmi nous qui, sans pousser un seul
cri
, ont présenté aux flammes non-seulement leur main
ncent partout le carnage et la mort… Mille voix réunies ne font qu’un
cri
; la terreur et l’épouvante le répètent : l’anima
déjà à l’entrée du petit village de Lou. Les chiens aboient à grands
cris
, s’attroupent et ferment le passage au féroce ani
s les yeux se mouillent de larmes, toutes les bouches s’ouvrent à des
cris
de ravissement et de joie… ô Lienou-Song, Lienou-
l avança la main pour saisir le miel. Mais un hurlement de joie et un
cri
doux et plaintif s’élevèrent à la fois du fond de
étaient jointes. Des esprits resplendissants l’accueillaient avec des
cris
d’allégresse, et il était resplendissant comme eu
sseur, se tenait à l’écart, muette et désolée, sans mêler sa voix aux
cris
sauvages que ses compagnes poussaient dans leurs
la terre, et, emportée par un rapide essor, s’élance en poussant des
cris
de joie. La grue souffrante resta loin derrière s
oyait plus, pas même des débris ; L’univers écrasé ne jetait plus ses
cris
. Quand la mer eut des monts chassé tous les nuage
sable embrasé, le guide échappe à ma vue ; tout-à-coup j’entends son
cri
. Je vole à sa voix : l’infortuné, foudroyé par le
mbeaux semblables à des serpents de flamme ; tout l’équipage jette un
cri
nous semblons précipités dans un volcan ; c’est l
it l’oisiveté des villes ; Et, quand Mars des combats fit retentir le
cri
, Tu défendis l’état après l’avoir nourri. Enfin,
inhospitalière Dans les vents de la nuit l’aigle a jeté sa voix. A ce
cri
, d’effroyable augure, Le voyageur transi n’ose pl
pe, le clairon, la joyeuse cymbale, Nous jettent leurs accords et les
cris
des mourants D’abord que fait ici la harpe ? Le
bale n’est rien moins que joyeuse, et que le poète va nous parler des
cris
des mourants. Sous ce dernier rapport, l’épithète
ient de remporter ; le peuple se pressait autour de l’héroïne, et les
cris
de joie, accompagnés de marques de vénération et
iciers inondaient en larmes autour de son lit. Le camp renaissait des
cris
de la douleur et du désespoir. Les médecins avaie
ue instant avec des circonstances effrayantes. Des bruits sourds, des
cris
affreux annoncent que les troupes d’Hydarnès sont
ux du pays ; puis, le 17 mai, tout s’élance ; les soldats montent, au
cri
de Vive le premier consul ! à l’assaut des Alpes
enait de le voir disparaître à travers la voûte, qui avait poussé des
cris
d’admiration, en poussa d’enthousiasme et de déli
ugissant, contre lui. Un horrible rugissement, auquel répondirent les
cris
de la foule, annonça l’arrivée du tigre ; car on
a-t-il ressenti les atteintes de leurs lances, qu’il se lève avec un
cri
terrible, auquel répondent, en mugissant d’effroi
lèvres pâles et une voix rauque, presque étouffée par la colère. Les
cris
ayant redoublé cependant, il leva la tête, fit du
le tigre, tout haletant, courut à lui avec un rugissement de joie, Un
cri
d’horreur, ou peut-être de joie aussi, partit en
t déjà loin avant que je sortisse ; Ils ne m’entendaient plus, et mes
cris
douloureux Vainement par leur nom les rappelaient
. Ses lèvres hideuses se séparent avec effort et laissent échapper un
cri
terrible. Il me répond enfin d’une voix sourde et
l’esprit infernal excite dans toute l’armée une nouvelle ardeur ; des
cris
d’extermination se font entendre contre les Espag
lons mourir. » Et sa voix touchante et plaintive Frappait les airs de
cris
perdus : La foule sans les voir s’échappait fugit
es dieux ne viennent pas toujours à la voix des malheureux ; mais aux
cris
d’une mère affligée, Cérès apparut. « Loïs, dit-e
ésespérées, et au moment où il ouvrait la bouche pour jeter un second
cri
, il vit passer au rebord de la balustrade, au-des
voix murmura : « Souviens-toi de ce que que tu as vu. » Je poussai un
cri
, je m’éveillai. J’étais dans mon lit, au milieu d
e orgueilleux et cruel. » Quelques jours après, entendant pousser des
cris
dans la rue, il s’informa de la cause de cette ru
un air à demi-tremblant, la caresser et lui lécher les mains avec des
cris
de douleur plus propres à l’attendrir qu’à l’effr
timent, devisait du pays natal. Tout-à-coup, à quelques pas d’eux, un
cri
de terreur est parti du milieu des ombres. Une fl
l. Les flots joyeux de la multitude remplissaient les avenues, et les
cris
d’allégresse se mêlaient au bruit des clairons. E
l’ours l’avait éventé. II n’avait pas fait dix pas qu’il entendit un
cri
. Celui-là, c’était un cri humain, un cri de terre
n’avait pas fait dix pas qu’il entendit un cri. Celui-là, c’était un
cri
humain, un cri de terreur et d’agonie tout à la f
it dix pas qu’il entendit un cri. Celui-là, c’était un cri humain, un
cri
de terreur et d’agonie tout à la fois, un cri dan
était un cri humain, un cri de terreur et d’agonie tout à la fois, un
cri
dans lequel celui qui le poussait avait rassemblé
hommes : À moi !....... Puis rien, pas même une plainte ne succéda au
cri
de Guillaume. François ne courait pas, il volait
lques paysans accoururent avec des armes, car ils avaient entendu les
cris
et les coups de feu. Bientôt tout le village fut
douleur extrême, Je songe bien plutôt à me percer moi-même, De grands
cris
ont soudain attiré mes regards ; J’ai vu, qui l’a
tes, Bourbon, notre règne est passé. » Tout le peuple y répond par un
cri
lamentable. D’Aumale, sans vigueur, étendu sur le
oudain pâlit, recule, et tremble a cette voix ; Et, poussant un grand
cri
, se plonge au fond des bois. Mollevault. N°
ipite avec une vélocité effrayante. La jeune fille, pour laquelle ces
cris
, ces dangers, cette chute rapide, tout est nouvea
antes se précipitent dans les temples ; les enfants répondent par des
cris
aux gémissements de leurs mères ; l’épouse se jet
é que Miltiade et Thémistocle furent Athéniens ? N’entends-tu pas les
cris
de ces malheureux, dont le seul crime est d’avoir
on sein la couronne mystique, il s’écria : Je vous salue, Marie. A ce
cri
, une vive clarté se fit aux cieux, et ils furent
t à toute bride, et s’avançant vers le champ clos. L’air retentit des
cris
: un champion ! un champion ! et en dépit des pré
ui que ce fut, sous peine de mort, ne troublât les combattants par un
cri
, par un mot ou par un geste, après quoi il se ret
un grand coup sur la tête, qui la fit tomber. On la crut morte, et un
cri
de désespoir sortit de toutes les bouches ; mais
’était la foudre qui les traversait comme une épée de feu ; tantôt le
cri
d’une cigale, l’aile d’un oiseau, le travail d’un
ldats le motif pour lequel ils doivent arrêter. C’est mon fils, et ce
cri
d’ailleurs est si naturel à une mère ! C’est le p
arrêter. C’est mon fils, déchirez sa mère et votre reine. Voici le
cri
rendu plus énergique par la répétition, et la per
a tentative d’Erox, il se complique à Déjà la garde accourt avec des
cris
de rage. Le dénouement se prépare à ces mots :
er devait commencer par là ; c’est la voix de la nature qui pousse ce
cri
. Ensuite il commence le récit de son forfait, mai
ns le ciel par une couronne de gloire immortelle. Mais j’entends les
cris
de vos guerriers ; ils vous appellent au champ d’
l’âme et d’une sinistre horreur, ce sont les murmures séditieux, les
cris
de révolte qui s’élèvent dans quelques-uns de vos
te qui s’élèvent dans quelques-uns de vos rangs. Pour moi, tel est le
cri
que la foi m’inspire : je suis chrétien ; chrétie
la lance ; armés de la croix, ils ne répondent aux menaces que par le
cri
commun des martyrs. Ne pensez donc pas qu’ils veu
e Vous traversiez les flots d’une foule enivrée. Au lieu de ces longs
cris
, de ces regards joyeux, Qui frappaient votre orei
généreux transport ! Notre exemple en héros va féconder la Grèce ! Un
cri
vengeur succède au cri de la détresse : Patrie !
tre exemple en héros va féconder la Grèce ! Un cri vengeur succède au
cri
de la détresse : Patrie ! indépendance ! à ce cri
vengeur succède au cri de la détresse : Patrie ! indépendance ! à ce
cri
tout répond Des monts de Messénie aux mers de l’H
; car chacun n’a trouvé place que parmi les réprouvés. Où êtes-vous ?
cri
d’alarme de l’orateur. Dernière note dans laquell
eurs, dit Maury, se levèrent par un mouvement soudain, en poussant un
cri
sourd et lugubre de frayeur et de foi, comme si l
i, Là jamais entière allégresse, L’âme y souffre de ses plaisirs, Les
cris
de joie ont leur tristesse, Et les voluptés leurs
b l’atteignit tout sautillant et vif, De son gosier saignant un petit
cri
plaintif Sortit, quelque duvet vola de sa poitrin
ncieux, Et les oiseaux de mer, tous allongeant la tête5, Et jetant un
cri
sourd signe de la tempête… Le chevreuil
ent les métaux ! Rien n’est harmonieux comme l’acier qui vibre, Et le
cri
de l’outil aux mains d’un homme libre ! Au fond d
chouettes qui, dans cette obscurité, annonçaient, par leurs funestes
cris
, les malheurs de tous les hommes : tout cela me f
ilshommes, qui pensèrent mourir en voyant ce portrait : c’étoient des
cris
qui faisaient fendre le cœur ; ils ne pouvaient p
On lui a fait un service militaire dans le camp, où les larmes et les
cris
faisoient le véritable deuil ; tous les officiers
u’un coup, les piques traînantes et les mousquets renversés. Mais ces
cris
de toute une armée ne se peuvent pas représenter
eur, ne pouvait être ancienne tout en naissant. Cependant, malgré les
cris
et la fureur de l’ignorance, il refusa toujours d
’un grand ouvrage, n’en contient pas moins des pages achevées, que le
cri
seul de l’admiration peut louer d’une manière dig
s enchanteurs, élèveraient ici la voix de concert, et pousseraient un
cri
contre moi ? Je l’avouerai donc : les grâces acco
hez celles-ci le souvenir d’un affront, elles pousseront aussi-tôt le
cri
de guerre et vous suivront au combat. Tous les y
ure. » — Chacun de ces souvenirs lugubres arrache aux assistants des
cris
de douleur et de rage. Il faut s’armer, il faut a
eur neutralité. Il devra, pour échauffer son peuple, faire répéter le
cri
de guerre à tous les échos de la presse. Il devra
it atteindre. A peine les Grecs l’ont-ils entendu, qu’ils poussent un
cri
, et tous, chefs et soldats, courent au rivage, ro
» Trouvait-il un homme du peuple, et le surprenait-il à pousser des
cris
, il le frappait de son sceptre : « — Tiens-toi t
s intonations et même dans ses silences. L’action, l’action, c’est le
cri
de Démosthène, c’est le cri de la nature et de l’
es silences. L’action, l’action, c’est le cri de Démosthène, c’est le
cri
de la nature et de l’expérience. Parler à la trib
’avocat des opprimés et l’ennemi des tyrans. Aussi, quand il jette ce
cri
: « Non, Athéniens, vous n’avez pas failli ! » ce
ipide et la déclamation scénique. Lire comme un acteur jouerait, avec
cris
, gestes et mouvements, c’est dépasser le but et t
ses pas. La mort ferma ses yeux ; les nymphes ses compagnes De leurs
cris
douloureux remplirent les montagnes ; Le Thrace b
onument L’ont au cap du Zéphyr déposé mollement ; Et de loin à grands
cris
appelant leurs compagnes, Et les nymphes des bois
saint Paul au théâtre, où toute la ville s’était assemblée. Alors les
cris
redoublèrent, et durant deux heures la place publ
uvert d’un dur acier : arme funeste que le Franc jette en poussant un
cri
de mort, et qui manque rarement de frapper le but
pas dit l’oraison dernière. Tout à coup l’église est envahie à grands
cris
par des hommes couverts de fer. L’épée à la main,
au-dessus s’arrondissent en dais ; Le bon prélat s’y place, et mille
cris
de joie Volent au loin : l’écho les double et les
le même Dieu s’assemblent confondus. Quel tumulte effrayant ! que de
cris
lamentables ! Ciel, qui pourrait compter le nombr
ls un quart d’heure de joie ! Puis, qu’elle prie et jette au ciel ce
cri
sacré, Plus fort, ô Dieu clément, que toutes vos
l ce cri sacré, Plus fort, ô Dieu clément, que toutes vos colères. Ce
cri
qui rend le ciel obéissant aux mères, Qui des bra
tardif de leur amour. Les petits ont vu la lumière ; J’entends leurs
cris
; il faut nourrir Cette jeunesse printanière Qu’o
Par quel amour insatiable Serez-vous donc récompensés. Ce matin des
cris
de détresse Dans le jardin ont résonné, Les merle
étaler leur plumage, Voler et chanter dans le ciel, Sans entendre le
cri
de rage Qui sort du buisson paternel. À quelles
nc est l’ennemi ? Si dans l’art des tyrans tu n’es pas affermi… Vains
cris
! plus de sénat ; la république expire, Sous un n
agues rougeurs, Et le soleil levant conduit les vendangeurs. Avec des
cris
joyeux ils entrent dans la vigne ; Chacun, dans l
échalas. Voici qu’un lièvre part : on a vu ses oreilles. La grive au
cri
perçant fuit et rase les treilles. Malgré les rir
que j’essaye en vain de faire le sourd. Mais s’éveiller à minuit, aux
cris
de la tempête, être assailli dans les ténèbres pa
leurs amours, Planèrent sur ton front comme un pâle nuage, Perçant de
cris
aigus tes gémissements sourds. Le flot triste hé
petits sapajous, le grognement babillard du singe nocturne rayé, les
cris
saccadés du grand tigre, du couguara ou lion d’Am
venait en hurlant chercher un refuge sous nos hamacs. Quelquefois le
cri
du tigre partait du haut d’un arbre ; et alors il
passage. Ainsi alarmés, les singes mêlent, du haut des arbres, leurs
cris
à ceux des grands quadrupèdes ; ils réveillent le
ens sont placés dans cet intervalle à des distances égales. Quand les
cris
de la multitude ont donné le signal, le premier a
urs, je vous prie ! Mercure. Comment ! bourreau, tu fais des
cris
! Sosie. De mille coups tu me meurtris,
éleste étendu sur la terre, Voûte immense, sainte lumière, Mon
cri
de désespoir vous salue !… Et ma main Ensa
ve, Je veux, dans ce palais, à ces portes d’airain, Faire éclater les
cris
de ma douleur captive !… Proserpine et Pluton, Me
n passage, Et, de sang tout couvert, échauffant le carnage. Songe aux
cris
des vainqueurs, songe aux cris des mourants, Dans
vert, échauffant le carnage. Songe aux cris des vainqueurs, songe aux
cris
des mourants, Dans la flamme étouffés, sous le fe
u’elles ne sortent : Leur amour importun viendrait avec éclat Par des
cris
et des pleurs troubler notre combat ; Et ce qu’el
encore, à travers les orages, Au bruit de la tempête entremêlant ses
cris
, Redemandant aux flots, aux rochers, aux débris,
le plus héroïque. Tous les cœurs déchirés poussent à la fois le même
cri
en sa faveur. Mais, tout à coup, un autre jeune h
. Ils demandaient au ciel de terminer leur vie ; Mais leurs
cris
étaient superflus ; Ils ne pouvaient mourir. Notr
étour d’une rue, Près du malade se trouva ; Il entendit ses
cris
, son âme en fut émue. Il n’est tel que
e, et la pauvre mère, se débattant vivement dans sa serre, jetait des
cris
perçants. À cette vue, l’homme qui travaillait se
r ce qui se passerait. Et après un peu de temps, il entendit un léger
cri
, et il aperçut la seconde mère rapportant en hâte
us sa défense. Je vois par le bonheur tout ce monde animé, Et par des
cris
d’amour son auteur proclamé. Ce sol, ces airs, ce
On lui a fait un service militaire dans le camp, où les larmes et les
cris
faisaient le véritable deuil : tous les officiels
un coup ; les piques traînantes et les mousquets renversés : mais ces
cris
de toute une armée ne se peuvent pas représenter,
face contre terre, baigné de larmes, étouffé de sanglots, jetant des
cris
et des paroles entrecoupées. Je sentais mon cœur
nds, avec Cardan, Spinosa qui murmure : « Ces remords, me dit-il, ces
cris
de la nature, Ne sont que l’habitude et les illus
é comme une aurore, elle lui survit comme une sœur. L’Évangile est le
cri
de la conscience de Dieu dans la conscience de l’
mme, et, tant que Dieu vivra, tant que l’homme ne sera pas éteint, ce
cri
sera plus fort pour sauver que les passions pour
pe, arrache, entraîne, éclate et tonne, et devient, grâce au ciel, un
cri
général, un crescendo public, un chorus universel
si dans tes secrets tu le retiens encore, Entends du haut du ciel le
cri
de mes besoins : L’atome et l’univers sont l’obje
solitudes, qui plus d’une fois avez calmé mes passions, puissent les
cris
de la guerre ne troubler jamais vos résonnantes c
tombent et se brisent contre les rochers ébranlés et fracassés ; les
cris
et les hurlements des hommes et des animaux, pêle
e sable embrasé, le guide échappe à ma vue. Tout à coup j’entends son
cri
, je vole à sa voix : l’infortuné, foudroyé par le
rits fatigués d’une longue discussion, on intimidés par le danger, un
cri
, un mot décisif s’échappait de sa bouche, sa tête
vote d’assaut. 1. « Non, l’on ne délibéra plus, dit la Harpe ; des
cris
d’enthousiasme attestèrent la victoire de l’orate
pas tant de façons. “Il faut se défaire de M. de Mirabeau !” C’est le
cri
de ralliement… Mais comment ? — Qui s’en chargera
ladie et de la convalescence du roi à Metz ! « On se souvient de ces
cris
de douleur, de cette désolation, de ces larmes de
ment, peut-il errer ? Le cœur du prince sentit ce que voulait dire ce
cri
de la nation : la crainte universelle de perdre u
urore à l’autre tu termineras ma vie. En vain ai-je fait entendre les
cris
de l’hirondelle, les gémissements de la colombe,
s. Bien, très bien pour le poète. Mais où est le trait essentiel, le
cri
du sentiment, l’accent vrai de la douleur, presqu
…………………………………………… Les larmes cependant coulent de tous les yeux Vingt
cris
mal étouffés troublent les rits pieux ; L’effort
ême, étonné de ses nouveaux accents : « Calmez, dit le vieillard, vos
cris
attendrissants ; » Prêts à nous séparer que la fo
s prodigue, Vainement un mortel se plaint et le fatigue De ses
cris
superflus : L’âme d’un vrai héros, tranquille, co
, sur ses rivages, Les noirs habitants des déserts Insulter par leurs
cris
sauvages L’astre éclatant de l’univers. Cris impu
serts Insulter par leurs cris sauvages L’astre éclatant de l’univers.
Cris
impuissants, fureurs bizarres ! Tandis que ces mo
a douleur remplissent l’âme de l’orateur, ces sentiments débordent en
cris
passionnés, en interpellations violentes. — « O
e remords que par l’éloquence de l’accusateur, le misérable pousse un
cri
et s’affaisse sur la sellette : « Assez, assez, q
son égide et sa fureur. » (Horace.) Sur sa croupe indomptée, avec un
cri
terrible, Il s’élance, il saisit sa chevelure hor
érigés en précepteurs du genre humain. Liberté de penser, voilà leur
cri
, et ce cri s’est fait entendre d’une extrémité du
précepteurs du genre humain. Liberté de penser, voilà leur cri, et ce
cri
s’est fait entendre d’une extrémité du monde à l’
enveloppa la tour, et monta jusqu’au sommet. Bientôt on entendit des
cris
lamentables en sortir. Le toit était en flammes,
eux taureau d’airain inventé par Phalaris. Le malheureux poussait des
cris
épouvantables, et agitait vainement les bras comm
l’Eurotas et de l’Alphée. Fénelon, Télémaque. De loin, il pousse un
cri
qui se fait entendre des deux armées : ce cri de
De loin, il pousse un cri qui se fait entendre des deux armées : ce
cri
de Télémaque porte le courage et l’audace dans le
e, le commencement, le progrès et la consommation de la victoire, les
cris
différents des vaincus et des vainqueurs, attaque
les plus délicats, ces Lazares qui vous importunent de loin par leurs
cris
ne vous demandent que les miettes qui tombent de
de la Saint-Barthélemy : Je ne vous peindrai point le tumulte et les
cris
, Le sang de tous côtés ruisselant dans Paris, Le
ang confondu j’ai vu couler les flots. Déjà la garde accourt avec des
cris
de rage. Sa mère… Ah ! que l’amour inspire de cou
lui roule sur la poussière. D’Ailly voit son visage : ô désespoir ! ô
cris
: Il le voit, il l’embrasse : hélas ! c’était son
les deux : Ils demandaient au ciel de terminer leur vie ; Mais leurs
cris
étaient superflus ; Ils ne pouvaient mourir. Notr
tons, au détour d’une rue, Près du malade se trouva : Il entendit ses
cris
, son âme en fut émue. Il n’est tel que les malheu
sourit2 et, les suivant des yeux, Des jolie, en les voyant, pousse un
cri
dans les cieux. L’air, qui gémit du cri de l’horr
lie, en les voyant, pousse un cri dans les cieux. L’air, qui gémit du
cri
de l’horrible déesse, Va jusque dans Cîteaux réve
ancs poudreux de la vaste machine L’oiseau sort en courroux, et, d’un
cri
menaçant, Achève d’étonner le barbier frémissant
endu la vie ! » et, « Vous m’avez perdu ! » Chose étrange ! à ces
cris
de douleur et de joie, Un grand peuple accouru ne
les vents semblaient être appelés. Nous partions ; et déjà, par mille
cris
de joie, Nous menacions de loin les rivages de Tr
Je suis comme l’hirondelle Sous les griffes du vautour107. Ainsi de
cris
et d’alarmes Mon mal semblait se nourrir, Et mes
âme est dans les ténèbres, Mes sens sont glacés d’effroi. Écoutez mes
cris
funèbres, Dieu juste, répondez-moi. Mais enfin sa
ui roule sur la poussière ; D’Ailly voit son visage : ô désespoir ! ô
cris
! Il le voit, il l’embrasse : hélas ! c’était son
r sa vue : « Est-ce toi, cher amant ? » Ces mots interrompus, Ces
cris
demi-formés ne sont point entendus ; Elle rouvre
entendre à la fois Le gazouillis de leurs confuses voix ; Et dans les
cris
de la folle cohue La médisance est à peine entend
Sur le rocher le plus sauvage, Dans les forêts, dans les déserts, Le
cris
des oiseaux, leur ramage Bénit le Dieu de l’unive
s du silence. De ses antres fangeux la bête alors s’élance, Et de ses
cris
aigus étonne le pasteur. Par leurs rugissements l
révoltés ? Déjà les fières destinées Ont prononcé l’arrêt fatal, Le
cri
des Parques mutinées De ta chute est l’affreux si
rse et brûlante S’élève en nue étincelante, Que percent d’effroyables
cris
. ………………………………… Lisbonne, quels objets funèbres L
éris ; Un peuple errant, un faible reste, L’environne en poussant des
cris
; Elle n’est plus ! L’horreur farouche, À ces mot
nt la vue, Et sur Lisbonne disparue Il égare ses yeux en pleurs. Les
cris
, le désespoir, les larmes D’un peuple cher et mal
c eux. Un juge sourcilleux, épiant mes ouvrages, Tout à coup à grands
cris
dénonce vingt passages Traduits de tel auteur qu’
our, Les poétiques fleurs n’ont jamais vu le jour ; Le tumulte et les
cris
font fuir avec la lyre L’oisive rêverie au suave
ied l’opulence, Tous ces travaux, ce peuple à grands flots agité, Ces
cris
confus qu’élève une vaste cité, Des enfants de Br
ente prière ! Cet antre protégeait leur paisible sommeil ; Souvent le
cri
de l’aigle avança leur réveil : Ils chantaient l’
Et peut-être de tous c’est le plus criminel. « Bien, dit Pacuvius, le
cri
public m’atteste Que tout le monde ici l’accuse e
tendit pas. Ses voisins, plus hardis, tout haut le répétèrent : Mille
cris
à la fois contre lui s’élevèrent. Pouvait-on prés
t rendre à tous une exacte justice. Et vous, jaloux esprits, dont les
cris
détracteurs D’un blâme intéressé chargeaient nos
s au-dessus s’arrondissent en dais. Le bon prélat s’y place, et mille
cris
de joie Voient au loin ; l’écho les double et les
’écrase le nez du traître Sous le poids d’un Caligula. À ses
cris
, au fracas des bosses, Je vois vers moi, de l
: « Carotte, Panais et choux-fleurs ! » Perçant et grêle, Son
cri
se mêle À la voix frêle Du noir ramoneur. ……
ivante l’étincelle de l’honneur national, pour avoir fait retentir le
cri
de la souffrance et de l’indignation, pour avoir
vid et les prophètes. Ainsi, troublant le cœur des pâles matelots, Un
cri
sinistre et doux retentit sur les flots, Quand l’
s’incline. L’étincelle jaillit, le salpêtre a fumé, L’air siffle, un
cri
s’entend… l’hymne pieux expire. Ce cri, qui l’a p
pêtre a fumé, L’air siffle, un cri s’entend… l’hymne pieux expire. Ce
cri
, qui l’a poussé ? Vient-il de ton esquif ? Est-ce
cachots, du fond de leur souffrance À ta voix qu’ils couvraient leurs
cris
ont répondu. Fais-les taire, et de Dieu tu seras
é le temps, ce capital du génie. Il a eu de l’âme, il a jeté quelques
cris
justes du cœur ; mais, comme il le dit encore ave
si dans tes secrets tu le retiens encore, Entends du haut du ciel le
cri
de mes besoins ; L’atome et l’univers sont l’obje
s touchait son meuble favori, Et, comme s’il avait compris, jetait un
cri
. Mais ma mère, entr’ouvrant la chambre paternelle
n joyeuse volée, Courir de haie en haie et d’allée en allée, Et leurs
cris
de bonheur monter et retentir Sur les pas de la m
S’endort au son des mandolines, Et s’éveille en sursaut aux
cris
des écoliers. Tortose est chère à saint Pierre ;
tique, et « ces défaillances de la raison, ces vertiges de l’âme, ces
cris
de l’homme perdu dans le vide du monde, cette poi
; Quand plus tard vous auriez égaré vos voyages, Mêlé vos pleurs, vos
cris
aux murmures des plages, Semé de vous les mers, l
leurs amours, Planèrent sur ton front comme un pâle nuage, Perçant de
cris
aigus tes gémissements sourds. Le flot triste hé
barde audacieux, Que le bruit du canon roulant de cime en cime, Ou le
cri
du coursier que la trompette anime, Ou le fracas
s débris épars au fond de cette baie Qu’attriste incessamment l’aigre
cri
de l’orfraie, Des gens agenouillés ont longtemps
le est fait des ossements broyés, Et les bruits de ses bords sont les
cris
des noyés !… Mais déjà s’éloignait la bande sole
flottent tout meurtris, Et l’horrible vent d’ouest nous apporte leurs
cris
; Sur le cap on les voit errer jusqu’à l’aurore,
ans l’infini du soir Un sifflement lugubre, intense, Comme le
cri
perçant d’une âme au désespoir En fuite p
pour en faire une comparaison avec le vautour. Il parle seulement du
cri
du petit de l’hirondelle et des gémissements de l
, foilenn ; probablement du bas-breton gwela, pleurer, à cause de son
cri
plaintif. 273. Sur la paresse. 274. La Coupe
ni par le son des trompettes, ni par le bruit des canons, ni par les
cris
des blessés ; où l’homme paraît tout seul aussi g
, le commencement, les progrès et la consommation de la victoire, les
cris
différents des vaincus et des vainqueurs, attaque
nos vaillants conscrits, Dressés et triomphants, s’élancent à grands
cris
: Pas un coup de fusil qui n’ait touché son homme
es couvertes D’un linge blanc qui luit entre les feuilles vertes. Des
cris
ont salué l’espoir du gai repas. Vers l’ombre, au
fanée, ils la maltraitent. — Ils n’ont point d’autre voix qu’un petit
cri
fréquent et répété ; ils le font entendre dans le
premiers jours d’automne. — Tristesse de la grue blessée à la patte ;
cris
: sauvages de ses compagnes. — Monologue de la gr
re — c’est le même air — … mais il a changé de ton… et l’on entend le
cri
de la douleur — … Avis. Style brillant et poétiq
au s’élance au milieu du cirque, mais au bruit de mille fanfares, aux
cris
, à la vue des spectateurs il s’arrête inquiet et
par degrés et sur l’aile des vents Nous jettent leurs accords et les
cris
des mourants… De leurs brillants éclats les cotea
rpe, le clairon, la joyeuse cymbale Nous jettent leurs accords et les
cris
des mourants. Terminez par de courtes réflexions
nterie royale par Charles 1er en personne95 L’armée royale avait pour
cri
de ralliement ; La reine Marie, et l’armée des pa
uent le gladiateur avec les pics de leurs lances — Celui-ci pousse un
cri
, auquel répondent toutes les bêtes féroces enferm
voit ses mains saignantes, regarde la place avec terreur, écoute les
cris
des curieux placés sur le parvis, fixe des yeux é
rquet — … Grande frayeur de la pauvre enfant — … Son père vient à ses
cris
— … Il réussit à s’emparer du chapeau coureur — …
costume asiatique113, qui manifestaient leur reconnaissance par leurs
cris
et leurs gestes. Mais ce riant tableau disparaiss
ang confondu j’ai vu couler les flots. Déjà la garde accourt avec des
cris
de rage. Sa mère, ah ! Que l’amour inspire de cou
t votre reine, Ce sein qui l’a nourri, ce flanc qui l’a porté, » A ce
cri
douloureux le peuple est agité. Un gros de nos am
e son père, et, du sein de ces ténèbres mystérieuses, sort ce dernier
cri
: « Hélas ! Hélas ! Adieu ma fille ! » A l’instan
nt Maurice les exhorte au martyre. Il commence par s’étonner de leurs
cris
séditieux ; un chrétien doit connaître la résigna
livrée au fer et au feu. Déjà tout l’univers soulève contre elle tics
cris
de colère et d’indignation ; son malheur est à so
ersailles, devant Louis XIV, tout l’auditoire se leva en poussant des
cris
sourds de frayeur. Tour finir votre analyse, vous
mptables de ses jouis à cette famille désolée qui le demande à grands
cris
; c’est à eux à combler ces justes vœux. N° 24
igne. Là, jamais allégresse pleine, l’âme y souffre de ses joies, les
cris
d’allégresse ont leur chagrin, et les voluptés le
s, ses joues empourprées ; il veut parler, il balbutie, il pousse des
cris
confus, sa colère réelle le suffoque ; il touchai
ssion personnelle puisse inspirer une idée, un mouvement oratoire, un
cri
, un geste entraînant et irrésistible. Je viens de
vu sur ses rivages Les noirs habitants des déserts Insulter par leurs
cris
sauvages L’astre éclatant de l’univers. Cris impu
serts Insulter par leurs cris sauvages L’astre éclatant de l’univers.
Cris
impuissants ! fureurs bizarres ! Tandis que ces m
rescrites. — Oh ! oh ! s’écria l’écolier, j’entends retentir l’air de
cris
et de lamentations ; viendrait-il d’arriver quelq
ertis de ce funeste accident, viennent d’arriver : ils remplissent de
cris
tout le voisinage. « Malheureux enfant ! dit le p
a parole qui distingue éminemment l’homme de la brute. L’animal a son
cri
naturel, qui lui permet de communiquer avec son s
eine ou de plaisir, de haine ou d’amour dont il est affecté ; mais ce
cri
est toujours le même, et n’est susceptible d’aucu
nt de cette faculté, ce fut de se communiquer leurs affections par le
cri
même du sentiment, accompagné des gestes les plus
propres à l’exprimer. A l’aspect d’un objet agréable ou terrible, ce
cri
s’échappait de la bouche de l’un, retentissait da
Lorsque les hommes ne se bornèrent plus à désigner les objets par un
cri
énergique et rapide, et qu’ils leur donnèrent un
On lui a fait un service militaire dans le camp, où les larmes et les
cris
faisaient le véritable deuil : tous les officiers
’un coup, les piques traînantes et les mousquets renversés ; mais ces
cris
de toute une armée ne peuvent pas se représenter
coups qui retentissaient sur son corps, ne faisait entendre d’autres
cris
, d’autres plaintes que celle-ci : Je suis citoyen
ures qu’on étalait tous les jours ! Ah ! si la voix plaintive, si les
cris
touchants de cet infortuné ne t’attendrissaient p
pérance, les sons ravissants de la musique, se mêlent quelquefois aux
cris
de ces malheureux, et forment une horrible disson
l’exclamation. Quelquefois l’orateur s’interrompt lui-même par un
cri
qui éclate tout à coup après une période harmonie
solitudes, qui plus d’une fois avez calmé mes passions, puissent les
cris
de la guerre ne troubler jamais vos résonnantes c
ir rendu au peuple l’enthousiasme républicain, et c’est au milieu des
cris
de vive la liberté ! qu’Antoine se présente pour
ins, tout le monde nous voit faire mauvais ménage ; ils entendent les
cris
, les plaintes, les injures dont lu m’accables ; i
tranger à notre langue comprendrait, d’après le son même des mots, le
cri
d’Oreste aux Furies qui l’environnent : Pour qui
huées et les murmures contre l’avocat et contre l’accusé ; au lieu de
cris
d’enthousiasme, on n’entend que des éclats de rir
ès de ses efforts. Oswald entendit, à travers la rumeur générale, des
cris
plus horribles que tous les autres : ils partaien
départ pour Rome au lendemain, lorsqu’il entendit pendant la nuit des
cris
affreux dans la ville ; il se hâta de sortir de s
porter avec leurs bras quelques secours. On entendait, à travers les
cris
, le bruit des chaînes des galériens, employés à s
élan de l’âme, cet enthousiasme qui fait trouver des ressources « Les
cris
des matelots ont toujours quelque chose de lugubr
loux. « Oswald, à travers la rumeur générale, distingua cependant des
cris
plus horribles que tous les autres, qui se faisai
ntendre à l’autre extrémité de la ville. Il demanda d’où venaient ces
cris
; on lui dit qu’ils partaient du quartier des Jui
nt ramené leurs pompes vers le port. Oswald lui-même, étourdi par les
cris
de ceux qui l’entouraient et l’appelaient à leur
à terre ; il courait alors se cacher à fond de cale, en poussant des
cris
. Qu’est-ce qui avait donné à ce matelot cette ten
ons, et par des évanouissements, et par un silence mortel, et par des
cris
étouffés, et par des larmes amères, et par des él
nument L’ont au cap du Zéphir déposé mollement ; Et de loin, à grands
cris
, appelant leurs compagnes, Et les nymphes des boi
eux. Un juge sourcilleux, épiant mes ouvrages, Tout à coup, à grands
cris
, dénonce vingt passages Traduits de tel auteur qu
de la cause, une vaine rumeur, un faux bruit ou la voix du peuple, le
cri
de la conscience publique. Sans pousser plus loin
visage La sensibilité ne grava son image. Il entend, sans pâlir, les
cris
des malheureux Et la douleur d’autrui ne mouille
ivin Auguste, la veuve de Germanicus. Comptez-lui nos six enfants. Le
cri
de la pitié publique s’élèvera avec la voix des a
nt est mort cet homme puissant qui sauvait le peuple d’Israël ? À ces
cris
, Jérusalem redoubla ses pleurs, les voûtes du tem
endie, les hurlements des mourants, les vœux de la religion mêlés aux
cris
du désespoir et aux imprécations de la rage, jusq
53) : Insonuere cavæ gemitumque dedere cavernæ. Faut-il peindre des
cris
déchirants, le bruit cruel des fouets, le grincem
… Stridens aquilone procella Velum adversa ferit. Ici c’est le
cri
et le vol rapide de l’aigle (Il., μ, 207) : Αὐτὸ
leureux Pluton. Tout tremblant, il s’élança de son trône et poussa un
cri
, craignant que Neptune dont le trident ébranle la
passage de la Henriade : Je ne vous peindrai point le tumulte et les
cris
, Le sang de tous côtés ruisselant dans Paris, Le
s-je !… Mon aspect épouvante les ombres, Que de gémissements ! Que de
cris
douloureux ! Oreste… Qui m’appelle en ce séjour a
pargnez votre malheureux fils. Ombre d’Agamemnon, sois sensible à mes
cris
!… Le désordre des idées, le tumulte du délire,
rais ma malheureuse mère fondre en larmes et mourir de douleur ». Ce
cri
de l’orateur émut de pitié jusqu’à ses ennemis, s
t subit de l’âme, éclate par des interjections : c’est d’ordinaire le
cri
de la fureur ou de l’indignation, quelquefois l’a
ts, le commencement, les progrès, la consommation de la victoire, les
cris
différents des vaincus et des vainqueurs attaquen
les objets, en vertu de l’imitation : c’est le bruit de tel objet, le
cri
de tel autre, qui lui sert de règle. Ainsi sont f
le, le cliquetis des armes, etc., etc. ; parmi les animaux et de leur
cri
, en grec, ἡ κακκάϐη, la perdrix ; en grec encore
ois heures après minuit, j’entendis crier au voleur ! au feu ! et ces
cris
si près de moi et si redoublés, que je ne doutai
ut chez M. de Guitaut, une clarté qui faisait horreur : c’étaient des
cris
, c’était une confusion, c’était un bruit épouvant
tragiques des passions exagérées ; on s’aperçoit promptement que ces
cris
de souffrance et d’agonie qui, la première fois,
ez vos yeux et vos oreilles au spectacle de la servitude de Rome, aux
cris
de la populace, cette vieille ennemie de tous les
: c’était par une rude journée d’hiver. Chemin faisant, il entend des
cris
plaintifs qui sortaient d’une carrière abandonnée
aisait ses dispositions pour l’attaque, lorsque tout à coup de grands
cris
attirent son attention. Il voit ce qui les cause.
es par l’ennemi, passent sous les fenêtres de Crillon en poussant des
cris
de détresse. Guise lui-même se précipite dans la
ns sa tente et entouré de quelques chevaliers ; sa fureur s’exhale en
cris
et en menaces terribles contre son meurtrier. Tab
il raconte tout aux juges et se livre à eux. En cet instant de grands
cris
retentissent : on apprend qu’une révolution vient
e Delmance enfermé dans le pavillon. La cloche des vêpres sonne ; des
cris
affreux parviennent à ses oreilles ; il veut sort
paroles menaçantes dirigées contre un père, Ilfrid n’a pu retenir un
cri
d’horreur. Stupéfaction des conjurés ; la fureur
essera à ses soldats. Dès l’aurore, Maximien remplit le palais de ses
cris
: « On a, dit-il, assassiné son gendre, c’est à l
glenne est attendri jusqu’aux larmes ; son secret lui échappe avec le
cri
de sa reconnaissance ; il supplie madame Milville
Damon ne paraissait pas. Pythias monte sur l’échafaud. Tout à coup un
cri
se fait entendre : Damon, qu’une rivière débordée
s spectateurs. Il épargna les deux amis, et le peuple, poussant mille
cris
de joie, les reconduisit chez eux en triomphe.
ors éclatait un orage terrible. Il appelle ; personne ne répond à ses
cris
. L’enfant se couche contre l’ouverture que la mer
ieu du morne silence qui régnait dans l’immense galerie, ou entend ce
cri
: « Léon ! mon cher Léon ! » C’était le petit ois
te et vertueuse femme, qui n’avait pour défense que ses larmes et les
cris
de ses enfants. À cette nouvelle, don Pèdre, au d
enfant la saisit et la tue en la jetant avec force contre le pavé. Un
cri
général d’indignation s’élève ; on traîne l’enfan
e baissée, Semblaient se conformer à sa triste pensée. Un effroyable
cri
, sorti du fond 1 des flots, Des airs en ce moment
: Et du sein de la terre une voix formidable Répond en gémissant à ce
cri
redoutable. Jusqu'au fond de nos cœurs notre sang
raie : Ils courent. Tout son corps n'est bientôt qu'une plaie. De nos
cris
douloureux la plaine retentit ; Pour fougue impét
sur ses rivages, Les noirs habitants des déserts Insulter, par leurs
cris
sauvages, L'astre éclatant de l'univers. Cris imp
rts Insulter, par leurs cris sauvages, L'astre éclatant de l'univers.
Cris
impuissants, fureurs bizarres ! Tandis que ces mo
feint de vouloir taire : Je ne vous peindrai point le tumulte et les
cris
, Le sang de tous côtés ruisselant dans Paris ; Le
nt les sources où j'ai puisé. 1. Aucun animal ne pouvant pousser des
cris
du fond des flots, la prose ordinaire rejette cet
vons assez pris de poisson. » — Et Ysengrin lui répondit en jetant un
cri
: — « Renart, fait-il, il y en a trop ; — j’en ai
e captive… Arrivez-y sur le point de leur office450 : vous n’oyez que
cris
, et d’enfants suppliciés, et de maîtres enivrés e
ntilshommes, qui pensèrent mourir de voir ce portrait : c’étaient des
cris
qui faisaient fendre le cœur ; ils ne pouvaient p
On lui a fait un service militaire dans le camp, où les larmes et les
cris
faisaient le véritable deuil725 : tous les offici
un coup ; les piques traînantes et les mousquets renversés ; mais ces
cris
de toute une armée ne se peuvent pas représenter
ventre. Le duc, la chevêche et l’orfraie1172 faisaient entendre leurs
cris
dans les fentes de la montagne ; quelques petits
pe, arrache, entraîne, éclate et tonne, et devient, grâce au ciel, un
cri
général, un crescendo public, un chorus universel
nt ramené leurs pompes vert le port. Oswald lui-même, étourdi par les
cris
de ceux qui l’entouraient et l’appelaient à leur
et les prétoriens impatients appellent le fils de Lasthénès à grands
cris
. « Allons ! » dit le martyr. Et, surmontant les d
âtre, et le martyr entra seul et triomphant dans l’arène. Aussitôt un
cri
universel, des applaudissements furieux, prolongé
uvert d’un dur acier ; arme funeste que le Franc jette en poussant un
cri
de mort et qui manque rarement de toucher le but
étant brûlé les gencives, le palais et la langue, la jument poussa un
cri
, laissa tomber le gigot et dès ce moment fut soum
e, voyant un lièvre, ils s’annoncent mutuellement sa présence par les
cris
: « À vous ! à vous !… » Mais aucun de ces Cosaqu
débris de cet intrépide régiment, saluèrent pour la dernière fois des
cris
de : Vive l’Empereur !… eux qui allaient mourir p
lui ! C’était le Caesar, morituri te salutant de Tacite1475 ; mais ce
cri
était ici poussé par des héros ! Les aigles d’inf
te d’un rocher nous empêchait d’apercevoir encore, nous entendîmes un
cri
de douleur s’échapper à la fois de la bouche du p
rs. Graziella et les petits enfants mêlèrent bientôt leurs voix à ces
cris
. Tous se précipitèrent comme des insensés en fran
a course, et s’entr’ouvrit par le flanc gauche : l’équipage poussa un
cri
de détresse qui fut entendu sur les vaisseaux du
ire malade, et me fit porter dans ma chambre. Je le suppliai à grands
cris
de mettre une sentinelle à ma porte pour m’empêch
tte masse compacte, y traçaient d’affreux sillons, et arrachaient des
cris
de terreur aux pauvres femmes, cantinières ou fug
bientôt la masse se reformait aussi épaisse, flottant et poussant des
cris
douloureux sous les boulets : spectacle atroce, b
dans leur chute. Du sein de la foule qui n’avait pas encore passé, un
cri
de désespoir s’éleva tout à coup : des pleurs, de
de manière à épouvanter leurs corn-patriotes. Là-dessus s’élèvent des
cris
; si quelqu’un veut parler, ils l’accablent de pi
bera pas. Tremblant, il nage soutenu du paternel souffle du ciel, des
cris
rassurants de sa mère… Tout est fini… Désormais i
pprochant, aucun bruit, si ce n’est le gloussement d’une poule et les
cris
d’une volée de moineaux effrayés qui s’abattaient
ens de bergers, des sonneries de troupeaux, des bruits d’avirons, des
cris
de bateliers, au loin le hurlement sonore d’un lo
es qui remontaient alors la Seine : tous ensemble planaient, avec des
cris
perçants, au-dessus du cadavre de quelque cerf mo
nt le cœur se gonfle de colère à la pensée de la tyrannie. Un premier
cri
d’alarme, répété deux fois, signale de loin l’enn
ant lequel résonnent les pas confus d’un peuple qui se lève ; puis ce
cri
imprévu, gigantesque, qui perce les nues : Aux ar
puis ce cri imprévu, gigantesque, qui perce les nues : Aux armes ! Ce
cri
de la France, prolongé d’échos en échos, immense,
ule exaspérée couvrait les gradins et appelait les chrétiens à grands
cris
. Maturus, Sanctus, Blandine el Attale1694 furent
ait connu de toute la ville ; aussi la ville l’appela-t-elle à grands
cris
. On lui fit faire le tour de l’amphithéâtre. Il m
ent dressés. Alexandre ne prononça pas un mot, ne fit pas entendre un
cri
; recueilli en lui-même, il s’entretenait avec Di
t comme fait exprès pour lui. Au petit jour, quand le coq lançait son
cri
dans la vallée encore toute grise, et qu’au loin,
entend la clochette de troupeaux qui passent à une demi-lieue, et le
cri
des grands aigles qui se perdent dans l’immensité
ssé, décimé, découragé, se débande ; on le charge, on le disperse aux
cris
de : Vive la nation ! vive la République ! Lorsqu
es grillades à l’anis, qui font rire Tartarin-Sancho en étouffant les
cris
de Tartarin-Quichotte. Et voilà comme il se trouv
on m’enchanta, et je l’accueillis avec des battements de mains et des
cris
de joie. Nous convînmes que nous commencerions le
es derniers battements d’ailes d’un grand oiseau blessé qui râle. Des
cris
d’angoisse venaient de là-haut, de cette espèce d
sse venaient de là-haut, de cette espèce de grappe humaine suspendue.
Cris
d’hommes, cris rauques, plus sinistres que ceux d
là-haut, de cette espèce de grappe humaine suspendue. Cris d’hommes,
cris
rauques, plus sinistres que ceux des femmes, parc
s que ceux des femmes, parce qu’on est moins habitué à les entendre ;
cris
d’horrible douleur : une main prise quelque part,
de la mer. Souvent les pauvres mourants, avant de rendre leur dernier
cri
, leur dernier hoquet d’agonie, sont restés des jo
mugissantes de la mer, tandis qu’un autre s’aplatit sur le pont, sans
cri
, comme serait tombé un homme déjà mort. — Encore
! Au secours ! je vous prie. Mercure. Comment, bourreau, tu fais des
cris
? Sosie. De mille coups tu me meurtris, Et tu ne
fla mon revenu. La brigue ni l’envie à mon bonheur contraires, Ni les
cris
douloureux de mes vains adversaires, Ne purent da
n passage, Et, de sang tout couvert, échauffant le carnage. Songe aux
cris
des vainqueurs, songe aux cris des mourants, Dans
vert, échauffant le carnage. Songe aux cris des vainqueurs, songe aux
cris
des mourants, Dans la flamme étouffés, sous le fe
ontées. Soudain j’entends crier : « A l’aide ! je suis mort ! » A ces
cris
redoublés, et dont je riais fort, J’accours et je
ntendre à la fois Le gazouillis de leurs confuses voix ; Et, dans les
cris
de la folle cohue, La médisance est à peine enten
ourage indompté. Sous le flot qui les couvre, entendez-vous encore Ce
cri
: « Vive la liberté ! » Ce cri !… c’est en vain q
ui les couvre, entendez-vous encore Ce cri : « Vive la liberté ! » Ce
cri
!… c’est en vain qu’il expire, Étouffé par la mor
tons, au détour d’une rue, Près du malade se trouva ; Il entendit ses
cris
, son âme en fut émue ; Il n’est tels que les malh
Ne la retrouve plus. Inquiet, il l’appelle : Personne ne répond à ses
cris
douloureux. Le lapin, de frayeur l’âme toute sais
8 L’ont au cap du Zéphyr2569 déposé mollement ; Et de loin, à grands
cris
appelant leurs compagnes, Et les nymphes des bois
des. Je dois rendre les loups innocents et timides. Et puis, menaces,
cris
, injure, emportements Et lâches cruautés qu’il no
le sol, de leur soif attendri, Ne refuserait pas de la rendre à leur
cri
.... Mais remettant au ciel un cœur transi de dout
e, Le désert qui poudroie ou le brouillard qui fume, Montrant avec un
cri
son espoir de la main2632, Le faisait revenir cen
d’eux dévorait ce que l’autre pensait. Des enfants sur leurs bras le
cri
s’affaiblissait, Leur cœür les réchauffait entre
neur notre Dieu reste la tributaire. Israël est vainqueur, et par ses
cris
perçants Reconnaît du Très-Haut les secours tout-
ouche ouverte D’où l’âme en s’enfuyant, sinistre, avait jeté Ce grand
cri
de la mort qu’entend l’éternité ! Près du lit où
t lui conter comme leur pauvre mère Est morte sous le chaume avec des
cris
affreux ; Mais maintenant au loin tout est silenc
nes, pics blancs, mers bleues, « Brodant d’écume leur bassin ! » Avec
cris
et battements d’ailes, Sur la moulure aux bords é
le, Sans comment ni pourquoi sur la crise finale, Soulevant d’un seul
cri
le poids qui m’étouffait, Me dira simplement : «
ur à tour ton corps endolori, Sans jamais à ta lèvre arracher un seul
cri
, Sans jamais d’une larme amollir ta paupière. Oui
nta la cloche, à l’heure où de l’école La troupe des enfants avec des
cris
s’envole, Je m’en allai muet, triste vers la mais
terrasses ? « Ah ! rien ne m’aime ici ! je suis comme perdu ! » Si ce
cri
m’échappait, on me fermait la bouche ; Mais les s
e. Je pourrai donc, libre et rêvant, Etre joyeusement poète ! Avec le
cri
de l’alouette Tous mes vers s’en iront au vent, A
ns sa captivité, son fils Astyanax. Tous les Grecs réclamant à grands
cris
la mort de cet enfant, Pyrrhus promet de sauver s
vaisseau eut été envahi par la mer, ne purent se sauver, périrent au
cri
de « Vivre la République ! ». Ils étaient 200 à p
âme, attristée d’abord par ses sombres pensées, s’épanche enfin en un
cri
d’amour et s’élève jusqu’à Dieu dans une prière p
Cette exclamation rappelle le souhait plus mélancolique encore et le
cri
déchirant qu’Auguste Barbier, dans une autre pièc
uerre contre les Anglais fasse saigner la France au cœur pour que des
cris
chevaleresques lui échappent encore, comme le der
plaintes et de malédictions, à la lueur du bûcher de Jean Huss, et au
cri
de sauve qui peut que s’ouvre le xve siècle 1. »
, tas, broc, parc, dru (drud, héros), quai (cai), corde (cord), banc,
cri
, blanc (blan), amarre, clan, brusque (brysk), tro
rames s’ourdissaient sous le masque de l’amitié et de l’alliance. Des
cris
de guerre se sont fait entendre à Berlin ; depuis
é de quinze mille cadavres, que je conjure Votre Majesté d’écouter le
cri
de l’humanité, et de né pas permettre que les enf
r plusieurs mois de siége ; mais le corps germanique demande à grands
cris
la paix, qui seule peut le sauver de son entière
uit ? Βῆ δ᾿ ἀκέων παρὰ θῖνα πολυφλοίσϐοιο θαλάσσης. (Ιλ. Α. 34). Le
cri
et le vol rapide de l’aigle ? Αὐτὸς δὲ κλάγξας π
s chevaux ; En tumulte à sa voix tous les Latins s’unissent, De leurs
cris
conjurés les champs au loin frémissent. Tout s’ém
est mort cet homme puissant qui sauvait le peuple d’Israël ! » À ces
cris
Jérusalem redoubla ses pleurs ; les voûtes du tem
comme si en voyant son cercueil on l’eût perdu une seconde fois, les
cris
et les larmes recommençaient. » 1. À l’abbé Bo
saurait dicter un discours comme l’Oraison funèbre du grand Condé. Un
cri
parti du cœur remue et saisit ; mais il ne suffit
passage, Et, de sang tout couvert, échauffant le carnage ; Songe aux
cris
des vainqueurs, songe aux cris des mourants Dans
ert, échauffant le carnage ; Songe aux cris des vainqueurs, songe aux
cris
des mourants Dans la flamme étouffés, sous le fer
coups qui retentissaient sur son corps, ne faisait entendre ’d’autres
cris
, d’autres plaintes que celle-ci : Je suis citoyen
s écouterons. Cette triste apostrophe des Juifs à Jésus-Christ est le
cri
constant des hommes du monde. Il faut donc en ten
e longue histoire de nos triomphes et de nos revers, c’est le dernier
cri
qui s’échappe de mon cœur, cri sincère que je vou
hes et de nos revers, c’est le dernier cri qui s’échappe de mon cœur,
cri
sincère que je voudrais faire parvenir au cœur de
es vainqueurs de la terre Que produira l’auteur après tous ces grands
cris
? La montagne en travail enfante une souris. Oh !
d’une bonne division9 : Elle est naturelle puisqu’elle est tirée du
cri
suprême qui couronne la vie du Sauveur : Tout est
car la sobriété et une émotion contenue seront plus puissants que les
cris
et les grands mouvements. L’agrément résulte de l
Enfin, il faut citer comme le modèle des péroraisons pathétiques ce
cri
arraché à l’âme charitable de saint Vincent de Pa
t d’un autre substantif. — Phèdre dit, à propos d’Hippolyte : Et mes
cris
éternels L’arrachèrent du sein et des bras patern
rire à l’aise. Court avec Pharaon se noyer dans les mers. Lorsque un
cri
tout à coup suivi de mille cris Vient d’un calme
aon se noyer dans les mers. Lorsque un cri tout à coup suivi de mille
cris
Vient d’un calme si doux retirer ses esprits. Je
t ces alarmes, Nous-mêmes contre nous tournant nos propres armes, Les
cris
que les rochers renvoyaient plus affreux, Enfin,
ons, et par des évanouissements, et par un silence mortel, et par des
cris
étouffés, et par des larmes amères, et par des él
es formes de la comparaison dans le morceau suivant des Martyrs : Un
cri
s’élève du fond des légions ; « Victoire à l’empe
des légions ; « Victoire à l’empereur ! » Les barbares repoussent ce
cri
par un affreux mugissement : la foudre éclate ave
’or, pierreries, brasiers de feu et de fleurs, embarras de carrosses,
cris
dans la rue ; flambeaux allumés, reculement et ge
çon courte et frappante qui se dégagé des faits on s’échappe comme un
cri
de la conscience ; ainsi l’Horace de Corneille au
un furieux a violé son asile, et qu’il fait entendre des menaces, des
cris
de mort. A cette nouvelle : « Gorgias, dit-il, fi
. En résumé : I. L’exclamation exprime par une interjection ou par un
cri
l’émotion soudaine de l’âme. II. La sentence rés
monde nous voit faire mauvais ménage (énumération). Us entendent tes
cris
, tes plaintes, les injures dont tu m’accables (ac
nner au style plus d’énergie ; quelle force et quelle émotion dans ce
cri
d’un exilé : ....Qui découvre avec joie Le faib
nation que l’orateur veut exciter, il trouve une voix pénétrante, des
cris
étouffés, et son débit, quoique varié, est toujou
il inutile et qui, suspendus aux cordages, demandent au ciel avec des
cris
lamentables de seconder leurs derniers efforts ;
. Voici la cadence voluptueuse du rossignol ; là, dans le buisson, le
cri
moqueur de la fauvette ; là-haut, clans les airs,
stant de repos. Ils obéissent ; mais au bout de quelques minutes, les
cris
de guerre retentissent de nouveau : Barbazan, à l
Kérouïs et Guillaume Bataille se défont de leurs adversaires. Un long
cri
s’élève dans l’espace, c’est le cri de la France
ont de leurs adversaires. Un long cri s’élève dans l’espace, c’est le
cri
de la France victorieuse. Mais peut-être, se rapp
loue la sagesse de Nerva ; on raconte les vertus de scs ancêtres ; un
cri
s’élève, et les rives du Tanais répètent le nom d
rtune. Il était imposable de rien distinguer parmi celle confusion de
cris
et de vœux ; seulement les mots de richesses, d’h
fflante, ils s’abattent tout à coup sur les eaux qui retentissent. Un
cri
général, suivi d’un profond silence, s’élève dans
veur des roseaux et des ombres. Là, battant des ailes et poussant des
cris
par intervalles, au milieu du murmure des vents e
s leur labyrinthe, reparaît et disparaît encore, en poussant un petit
cri
sauvage ; elle se promène dans les fossés du chât
ais l’oreille au murmure de l’armée ennemie, au bruit de la mer et au
cri
des oiseaux sauvages qui volaient dans l’obscurit
er que le vent brise contre un rocher ; puis tout à coup, poussant un
cri
aigu, ils entonnent le bardit54 à la louange de l
leurs bras. Les aigles et les oiseaux aux pieds jaunes poussaient des
cris
de joie ; le corbeau nageait dans le sang des mor
à la fois leurs épées, dont les éclairs se croisent dans les airs. Un
cri
s’élève du sein des légions : « Victoire à l’empe
des légions : « Victoire à l’empereur ! » Les barbares repoussent ce
cri
par un affreux mugissement : la foudre éclate ave
brillant de la foudre dans la livide clarté d’un orage. Au milieu des
cris
, des insultes, des menaces, du bruit des épées, d
res au champ de l’honneur, ils ne pouvaient s’empêcher de pousser des
cris
de guerre et d’amour ; ils ne se lassaient point
bjet d’épouvante et de pitié. À ce spectacle, les Gaulois poussent un
cri
de douleur. Leur chef était le dernier descendant
sous les lierres de la cabane antique, le jeune passereau pousse des
cris
de joie ; le vieillard vient s’asseoir sur le seu
. Mais, hélas ! aucun son ne frappait notre oreille. À peine quelques
cris
échappés à une populace esclave sortaient par int
ds solitaires qui passaient tour à tour sous mes yeux107. Bientôt des
cris
affreux succédaient au silence de la nuit, et les
nt ; plusieurs bandes se répandirent dans la cité, célébrant à grands
cris
leur victoire ; d’autres se retirèrent silencieus
ttre. L’attaque des gens de pied et de cheval recommença de près, aux
cris
de Notre-Dame ! Dieu aide ! Dieu aide ! Mais les
ent en même temps deux coups à travers les côtes. Sighebert poussa un
cri
et tomba mort. À ce cri le camérier du roi, Hareg
oups à travers les côtes. Sighebert poussa un cri et tomba mort. À ce
cri
le camérier du roi, Hareghisel, et un Goth nommé
comme le trait le plus déchirant ; elle arrache aux contemporains un
cri
de sympathie dont l’expression a quelque chose de
cœur. « À moi ! s’écrie-t-il, à moi ! » Sa gouvernante s’élance à ce
cri
; un commissionnaire qui ployait des journaux acc
berceau brûlant Je courus à la flamme arracher mon enfant. Parmi les
cris
, les feux, les poignards homicides, Je le serrai
t son oreille ; Des Romains opprimés la douleur le réveille, Et leurs
cris
menaçants, par Tibère entendus, Vont lui porter c
, Seul, attendant la mort quand leur coupable voix Demandait à grands
cris
du sang et non des lois ! Ceux que la France a vu
s d’un sang noir sans cesse dégouttants, Trouvant sa volupté dans les
cris
de sa proie, Bercé par la tempête, il s’endort da
ort dans sa joie. Et toi, Byron, semblable à ce brigand des airs, Les
cris
du désespoir sont tes plus doux concerts. Le mal
re à toi ! Gloire à toi ! Frappe, anéantis-moi ! Tu n’entendras qu’un
cri
: Gloire à jamais à toi402 ! » Ainsi ma voix mon
nts d’harmonie : C’est pour la vérité que Dieu fit le génie. Jette un
cri
vers le ciel, ô chantre des enfers403 ! Le ciel m
id et les prophètes ; Ainsi, troublant le cœur des pâles matelots, Un
cri
sinistre et doux retentit sur les flots Quand l’a
s’incline. L’étincelle jaillit, le salpêtre a fumé, L’air siffle, un
cri
s’entend… L’hymne pieux expire418. Ce cri, qui l’
re a fumé, L’air siffle, un cri s’entend… L’hymne pieux expire418. Ce
cri
, qui l’a poussé ? vient-il de ton esquif ? Est-ce
achots, du fond de leur souffrance, À ta voix qu’ils couvraient leurs
cris
ont répondu ; Fais-les taire, et de Dieu tu seras
ur d’une église. Rolla fléchissait le genou, et peut-être son dernier
cri
fut une prière449. L’espoir en Dieu Tant q
temps passés et rêveurs d’aujourd’hui ; Croyez-moi, la prière est un
cri
d’espérance ! Pour que Dieu nous réponde, adresso
lle qui voit un tigre s’élancer pour la dévorer. Tout au contraire ce
cri
de la nature est d’une admirable beauté. La condi
t des grandes âmes blessées par le spectacle de la vie, n’est déjà le
cri
désespéré de Lucrèce préférant nier les dieux que
-nous, je vous supplie, La Mort, qui dans le champ de Mars, Parmy les
cris
et les allarmes, Les feux, les glaives et les dar
, début). Élégie aux nymphes de Vaux862 Remplissez l’air de
cris
en vos grottes profondes, Pleurez, nymphes de Vau
d’enfermer moins de mots que de sens967. Juvénal, élevé dans les
cris
de l’école, Poussa jusqu’à l’excès sa mordante hy
me, retiens ma rivale en ces lieux. Qu’il n’ait, en expirant, que ses
cris
pour adieux. Qu’elle soit cependant fidèlement se
ns cesse on y passe, Jamais on n’en sort. Tous les charmes, Plaintes,
cris
, larmes, Tout est sans armes Contre la mort. Chac
es drapeaux ondoyans, Vers la sainte cité d’eux-mêmes se ployans ; Le
cri
des bataillons imite le tonnerre, Leurs pas, plus
usieurs fois, et la poésie lyrique ne lui doit qu’un souvenir pour le
cri
d’admiration que lui arracha par surprise la plus
d’autres tragédies, a laissé un beau récit : Tout le peuple à grands
cris
applaudit sa victoire ; Cet homme alors s’avance,
e suis comme l’hirondelle Sous les griffes du vautour1045. Ainsi, de
cris
et d’alarmes Mon mal sembloit se nourrir ; Et mes
, la tête échevelée, Du temple fait mugir la demeure ébranlée Par ses
cris
impuissans1051 : Tel, au premier accès d’une sai
ent nous ressemblons aux grenouilles d’Homère1089, Implorant à grands
cris
le fier dieu de la guerre, Et les Dieux des enfer
r, s’applaudissoient entre eux, S’approchoient, me montroient avec un
cri
farouche ; Leur doigt mystérieux se posoit sur le
suivant le cours de ton eau, Entendre et le bois qui frissonne Et le
cri
plaintif du vanneau1151 ! Que j’aime cette églis
me sa jambe est faite ; Comme ses pieds sont plats, hideux ! — Et son
cri
, disoit l’autre, est si mélodieux, Qu’il fait fui
n, lassé du port, de l’ancre et du repos, Aux éclats du tonnerre, aux
cris
des matelots, Au bruit des longs adieux mourans s
a cendre des morts gémirait sous ses pas. Elle pâlit d’entendre et le
cri
des batailles, Et les assauts tonnants qui frappe
s. Ô silence de l’ombre, Qui n’entends que la voix de mes vers et les
cris
De la rive aréneuse1200 où se brise Téthys ! Muse
t qu’ils m’eussent pris, « N’eussiez armé pour moi les pierres et les
cris
. « — Mon père, il est donc vrai : tout est deven
azurée, En foule il appelait les filles de Nérée, Qui bientôt, à ses
cris
s’élevant sur les eaux, Aux rivages troyens parco
t, à l’autel prend un chêne brûlant, Sur sa croupe indomptée, avec un
cri
terrible, S’élance, va saisir sa chevelure horrib
hrace, errant sur les montagnes, Remplit les bois et les campagnes Du
cri
perçant de ses douleurs : Les champs de l’air en
vu sur ses rivages De noirs habitants des déserts Insulter par leurs
cris
sauvages L’astre éclatant de l’univers. Crime imp
ouveau, son titre, qui ne sera plus le nom commun d’un genre, mais le
cri
de son âme et comme une confidence personnelle au
, Seul, attendant la mort quand leur coupable voix Demandait à grands
cris
du sang et non des lois 1277 ! Ceux que la France
ble, Ils ont la gaieté, le mouvement, le tour, souvent l’accent et le
cri
: Il est encor des gloires à chanter ! ………………………
ntendez-vous les clameurs qu’elle envoie ? Elle s’avance et mêle, aux
cris
de liberté Des chants d’orgueil, d’espérance et d
sa couche. Mais s’il charge mes jours du poids de ses ennuis1315, Du
cri
de ses douleurs s’il fatigue mes nuits, Quand ce
et vit encore. (Ibid., II. — 4 : L’Infini dans les cieux.) Le
cri
de l’âme Quand le souffle divin qui flotte su
èvres de feu : Mais chaque impression t’y trouve et t’y ranime, Et le
cri
de mon âme est toujours toi, mon Dieu ! (Ibid.,
splendides1344 Frémirent, comme au vent frémissent les épis, Et son
cri
, ce doux cri qu’une nourrice apaise, Fit, nous l’
44 Frémirent, comme au vent frémissent les épis, Et son cri, ce doux
cri
qu’une nourrice apaise, Fit, nous l’avons tous vu
ait comment Dieu travaille ? Qui sait si l’onde qui tressaille, Si le
cri
des gouffres amers, Si la trombe aux ardentes ser
oyant saisir et partager leur proie, Ils courent à leur père avec des
cris
de joie. En secouant leurs becs sur leurs goîtres
l se soulève, ouvre son aile au vent, Et, se frappant le cœur avec un
cri
sauvage, Il pousse dans la nuit un si funèbre adi
assez de venir, un soir, par aventure, D’entendre au fond de l’âme un
cri
de la nature, D’essuyer une larme, et de partir a
as ! Tu la pressas plus fort de ta cuisse nerveuse, Pour étouffer ses
cris
ardents ; Tu retournas le mors dans sa bouche bav
ur mon sein verser l’or de tes larmes divines : Oh ! je comprends tes
cris
, tes mortelles frayeurs, Et dans tes yeux gonflés
le calme des airs, La cloche des béliers sur les sommets déserts, Le
cri
du laboureur qui, là-bas dans la plaine, Gourmand
’âme, Et le ciel s’empourpra d’une sanglante flamme ; On entendit des
cris
et des plaintes sans nom ; Un grand vent accourut
de épouvanté ! Le peuple, amoncelé sur les pentes fatales, Mêlait ses
cris
d’horreur aux bruits sourds des rafales, Et le Ro
sur le bord prochain, le tigre se dressant Poussait par intervalle un
cri
rauque et puissant. Mais le ciel, dénouant ses la
eux et pelé, Il s’enlève en fouettant l’âpre neige des Andes, Dans un
cri
rauque il monte où n’atteint pas le vent, Et, loi
rs malheureux, 231. Tromper. Étymol. ; Pipare, siffler ; imiter le
cri
de la chouette pour attirer les oiseaux sur des b
° le bruit, que dans une battue les paysans font après les loups ; 2°
cri
de dérision. Étym. hu, onomatopée exclamative. On
ce sur un monologue de Cléopâtre. 809. Ce soupir de soulagement, ce
cri
de triomphe, c’est une mère qui les pousse, après
; puis un défi plein de dépit et de menace à la « sotte vertu » ; un
cri
de rage contre son fils ; un élan passionné pour
dire signalé les gîtes, il laisse courre. 909. Ordinairement taïaut,
cri
du chasseur, lorsqu’il appelle les chiens pour le
alma (oct. 1803) ; songeons aux Grecs, à l’effet de leurs furies, aux
cris
, aux gémissemens véritables dont les Le Kain et l
evées par Palissot, qu’il cherche a Corneille, sont compensées par le
cri
d’enthousiasme que lui arrachent ses sublimes bea
t pas comme un artifice prétendu pindarique : elles éclatent comme un
cri
. 1200. Voilà un de ces mots empruntés à la langu
« Je me défiais de l’homme et je voulais l’avis du poète. Il jeta des
cris
d’admiration :Ah, mon dieu ! que cela est beau !
urait l’être. » En lisant la strophe devant Voltaire, il substitua :
Cris
impuissants . 1259. La Harpe a été très sévère p
t. La première est plus rêveuse et plus passionnée. 1328. Voilà le
cri
de la nature. La mélancolie, un peu raffinée, des
illements d’oiseaux, enveloppée dans des effusions de l’âme, dans des
cris
du cœur, dans des élans de la foi. On est quelque
nourricière. La légende dit qu’au commencement de l’ère chrétienne un
cri
« Pan est mort ! » courut le long des rivages de
n regardant marcher cette forêt d’éclairs ». et auquel répond par un
cri
de liberté L’aigle montagnard, l’aigle orageux d
de Penmark déchirent les vaisseaux… Nul bruit dans ce désert, hors le
cri
du vanneau, Immobile longtemps au bord des flaque
iques égayés sous le soleil ardent par le chant de la caille, par les
cris
joyeux de l’enfant qui, sur le sein de sa mère, t
vague insomnie, Des cascades du Nil la lointaine harmonie ; Dans ses
cris
éternels, le nocturne grillon Demande au sol brûl
Des hommes inconnus mêlent leur grande voix. Sur la ligne du camp le
cri
d’éveil résonne Et va s’éteindre au loin, comme u
un passage, Et de sang tout couvert, échauffant le carnage. Songe aux
cris
des vainqueurs, songe aux cris des mourants, Dan
vert, échauffant le carnage. Songe aux cris des vainqueurs, songe aux
cris
des mourants, Dans la flamme étouffés, sous le f
nt la nuit de la Saint-Barthélemy on n’entendit que le tumulte et les
cris
, le sang ruisselait de tous côtés dans Paris ; on
ur et la fille avec mère Je ne vous peindrai point le tumulte et les
cris
, Le sang de tous côtés ruisselant dans Paris ; Le
ffecta d’enfermer m’oins de mots que de sens. Juvénal, élevé dans les
cris
de l’école, Poussa jusqu’à l’excès sa mordante hy
la fois de tous les gémissements, de toutes les plaintes, de tous les
cris
de ses sujets. Il faudrait que sa force fût aussi
Souviens-toi de la famine qui a désolé l’Italie. Nous entendions les
cris
de nos femmes et de nos enfants qui nous demandai
t et en s’écriant avec transport : « O-taïti ! O-taïti ! » C’était le
cri
du cœur, le souvenir de la patrie : le bananier l
par la fenêtre au travers des ténèbres, appellent leur père avec les
cris
et les larmes de l’innocence. Hélas ! il ne verra
ceux du pays ; puis, 17 mai, tout s’élance ; les soldats montent, au
cri
de Vive le premier consul ! à l’assaut des Alpes
n Histoire philosophique et politique fait ainsi sentir aux hommes le
cri
de la nature, le besoin de l’humanité, et la paix
ait mon diadème. Je délivrais le pauvre qui demandait justice par ses
cris
, et l’orphelin qui était sans protecteur. Celui q
a vu sur ses rivages Les noirs habitants des déserts Insulter par des
cris
sauvages L’astre éclatant de l’univers. Cris impu
déserts Insulter par des cris sauvages L’astre éclatant de l’univers.
Cris
impuissants, fureurs bizarres ! Tandis que ces mo
ons, et par des évanouissements, et par un silence mortel, et par des
cris
étouffés, et par des larmes amères, et par des él
ureux d’élégance et d’harmonie ; le dernier seul est laible auprès du
cri
admirable de Virgile : At non infelix animi Phœn
répas… On se mêle, on combat ; l’adresse, le courage, Le tumulte, les
cris
, la peur, l’aveugle rage, La honte de céder, l’ar
Ils jettent leurs drapeaux, ils courent, se renversent, Poussent des
cris
affreux, se heurtent, se dispersent : Les uns, sa
s forfaits sont devenus pour lui un supplice, faisant retentir de ses
cris
les antres de Caprée, et cherchant en vain dans s
pro Cælio, c. 26.) La renommée est, selon les intérêts différents, le
cri
de la vérité ou du mensonge : c’est un vain bruit
confiance que n’obtiendra jamais le déclamateur mercenaire, dont les
cris
étourdissent et ne persuadent pas. À quoi servent
passage, Et, de sang tout couvert, échauffant le carnage ; Songe aux
cris
des vainqueurs, songe aux cris des mourants Dans
ert, échauffant le carnage ; Songe aux cris des vainqueurs, songe aux
cris
des mourants Dans la flamme étouffés, sous le fer
t entendre par son harmonie le bruit des flots, le choc des vents, le
cri
des voiles déchirées, la chute du rocher de Sisyp
nthousiasme qui le possède, et l’harmonie obéit à sa pensée : « À ces
cris
, Jérusalem redoubla ses pleurs, les voûtes du tem
s de Malherbe sur la pénitence de saint Pierre : C’est alors que ses
cris
en tonnerres éclatent ; Ses soupirs se font vents
uvelle, Madame se meurt, Madame est morte ! » L’auditoire s’émut à ce
cri
, et la voix de l’orateur fut interrompue par les
e la maison qu’un furieux a violé son asile, et qu’il menace à grands
cris
de tout passer au fil de l’épée. À cette nouvelle
ans les flancs affreux de leurs roches sanglantes Remportent à grands
cris
ces dépouilles vivantes. Les orateurs, sans se p
désespoir ? (Athalie.) Je ne vous peindrai point le tumulte et les
cris
, Le sang de tous côtés ruisselant dans Paris, Le
nation que l’orateur veut exciter, il trouve une voix pénétrante, des
cris
étouffés, et son débit, quoique varié, est toujou
ue les hommes et les choses étaient changés. Juvénal, élevé dans les
cris
de l’école, faisait parler, sous la dictée de se
; voyez les larmes de Thucydide. Ces acclamations des guerriers, ces
cris
de triomphe, ces pleurs, n’ont-ils applaudi que l
loue la sagesse de Nerva ; on raconte les vertus de ses ancêtres ; un
cri
s’élève, et les rives du Tanaïs répètent le nom d
ent dans tous les rangs le trouble et le désordre ; des murmures, des
cris
se font entendre ; les centurions, les tribuns, s
rmes, que me demandez-vous ? que veulent ces soldats qui poussent des
cris
de guerre autour de ma tente ? Quoi ! on veut que
i IV, et, comme moi, il n’entendrait retentir sur son passage que des
cris
d’allégresse et d’amour. Je veux que la valeur et
ipide et la déclamation scénique. Lire comme un acteur jouerait, avec
cris
, gestes et mouvements, c’est dépasser le but et t
infernal chemin. Là tout était couvert d’impénétrables voiles, Et des
cris
résonnaient sous ce ciel sans étoiles ; C’est pou
ant qu’ils m’eussent pris, N’eussiez armé pour moi les pierres et les
cris
. — Mon père, il est donc vrai, tout est devenu pi
rs ! Vos applaudissements font tressaillir sa cendre ; Appelé par vos
cris
, heureux de les entendre, Pour jouir de sa gloire
’un empire. Mais déjà l’esprit se retire ; Et les peuples poussant un
cri
, Comme un avide essaim d’esclaves Dont on a brisé
pole d’azur, Les chevaux au piquet hennissaient d’un ton grêle, Et le
cri
prolongé : « Garde à toi, sentinelle ! » S’étenda
nuit se lever un orage ! Les Prussiens arrivaient !… On entendait des
cris
. « Aux armes, citoyens, il faut sauver Paris ! »
me temps que les flots ; quelquefois les larmes qu’elle verse, et les
cris
de sa douleur enfantine sur le rivage de la mer ;
e s’est roidie avec un son bizarre. DEMI-CHŒUR. Oui, c’était comme un
cri
plaintif. LE CHŒUR.
te, sans me troubler, l’oreille à mes discours ; D’aucun mot, d’aucun
cri
, n’en interromps le cours ; Tiens ta langue capti
ouer sa couche. Mais s’il charge mes jours du poids de ses ennuis, Du
cri
de ses douleurs s’il fatigue mes nuits ; Quand ce
achots, du fond de leur souffrance, À ta voix qu’ils couvraient leurs
cris
ont répondu ; Fais-les taire, et de Dieu tu seras
veste indigente, S’exerçant aux jurons, et, chute sans grandeur, Des
cris
qu’elle déteste exagérant l’ardeur ! DANTON. Morb
ntraire, avez-vous fait mépris : Cachez-vous, apostat, ou voyez à ses
cris
Se dresser de fureur ceux qu’elle tient en lesse
la bataille ! mais nous avons entendu et nous avons dû comprendre le
cri
qui avait enfanté les bataillons. La légalité vio
e l’impulsion eut succédé au calme d’un début, il m’échappa un de ces
cris
dont l’accent, lorsqu’il est sincère et profond,
évue d’un camp mal gardé, le premier qui s’aperçoit du péril jette un
cri
, saisit ses armes, et s’élance à l’encontre des a
Et peut-être de tous c’est le plus criminel. « Bien, dit Pacuvius, le
cri
public m’atteste Que tout le monde ici l’accuse e
ntendit pas. Ses voisins, plus hardis, tout haut le répétèrent. Mille
cris
à la fois contre lui s’élevèrent. « Pouvait-on pr
t rendre à tous une exacte justice. Et vous, jaloux esprits, dont les
cris
détracteurs D’un blâme intéressé chargeaient nos
libertin novice, S’il va plus loin que toi sur la route du vice, Tes
cris
éclateront ; dans ton emportement Tu le menaceras
haillons pour doublure. Mais ta charité veille, elle entend tous les
cris
; C’est une charité qu’on fit pour toi, Paris : E
ulement, quand elle ne prend garde qu’aux souffrances de la chair, au
cri
de la faim et du froid, à ce qui fait pitié, à ce
temps passés et rêveurs d’aujourd’hui ; Croyez-moi, la prière est un
cri
d’espérance ! Pour que Dieu nous réponde adresson
Jeunesse. (Mich. Lévy, édit.) 65. « Non, on ne délibéra plus ; des
cris
d’enthousiasme attestèrent la victoire de l’orate
nant elle languit sous l’herbe ! Le deuil, le désespoir, les
cris
Habitent son morne rivage ; J’ai
sonne qui osât seulement agiter son aile, ou faire entendre un faible
cri
». 128. « Cependant Sion a dit : le Seigneur m’a
lle la lui confirme, ce n’est plus une idée qu’il formulera, c’est un
cri
presque involontaire qui lui échappera : « O vani
que l’interruption ne fait qu’y ajouter de l’énergie, en y jetant un
cri
de l’âme tout involontaire, et qui lui échappe pr
entendre à la fois Le gazouillis de leurs confuses voix ; Et dans les
cris
de la folle cohue, La médisance est à peine enten
air retentit en mille endroits à la fois des coups de la hache et des
cris
des travailleurs. On dirait la ville d’Idoménée b
veste indigente, S’exerçant aux jurons, et, chute sans grandeur ! Des
cris
qu’elle déteste exagérant l’ardeur ! Danton, écl
re souillure dans son propre sang, et où le futur consul, poussant un
cri
de révolte contre les rois, apparaît comme le gén
gémissements. Peut-il sortir de sa bouche d’autres accents, d’autres
cris
, que ceux du sentiment et de la passion ? La véri
tion toujours animée par le sentiment. La voici. Remplissez l’air de
cris
en vos grottes profondes, Pleurez, Nymphes262 de
lle, Je suis comme l’hirondelle Sous les griffes du vautour. Ainsi de
cris
et d’alarmes, Mon mal semblait se nourrir ; Et me
âme est dans les ténèbres, Mes sens sont glacés d’effroi. Écoutez mes
cris
funèbres, Dieu juste, répondez-moi. Mais enfin sa
vu sur ses rivages De noirs habitants des déserts Insulter par leurs
cris
sauvages L’astre éclatant de l’univers. Crime imp
; alors il se fait un silence horrible, et l’on n’entend plus que le
cri
des os qui éclatent sous la barre, et les hurleme
pe, arrache, entraîne, éclate et tonne, et devient, grâce au ciel, un
cri
général, un crescendo public, un chorus universel
ction. Homère fait entendre le bruit des flots, le choc des vents, le
cri
des voiles qui se déchirent, la chute du rocher d
mores simul horrendos ad sidera tol lit. Il pousse vers le ciel des
cris
épouvantables. La lime qui ronge le fer : Tùm f
oidit ses bras contre ces nœuds terribles, et pousse vers le ciel des
cris
épouvantables. Ecce autem… Ces mots sont bien pr
couvert de sang et du poison de ces monstres ; il semble entendre ses
cris
épouvantables, si bien figurés par ces mots plein
élance, s’oppose, et, par des aboiements réitérés, des efforts et des
cris
de colère, il donne l’alarme, avertit et combat :
entendre les tambours plus longtemps, et qui perçaient l’air de leurs
cris
, sans vouloir écouter personne, aussitôt qu’on ta
qu’il lui plaît. C’est le Jupiter de Lucien, qui, las d’entendre les
cris
lamentables des humains, se lève de table et dit
d’un noir affreux, et cuivrés sur leurs bords. L’air retentissait des
cris
des frégates, des coupeurs d’eau, et d’une multit
té sur les rochers à une demi-encâblure du rivage305. Ce ne fut qu’un
cri
de douleur parmi nous. Paul allait s’élancer à la
ussant avec dignité, détourna de lui sa vue. On entendit aussitôt ces
cris
redoublés des spectateurs : « Sauvez-la, sauvez-l
er que le vent brise contre un rocher ; puis tout à coup, poussant un
cri
aigu, ils entonnent le bardit379 à la louange de
leurs bras. Les aigles et les oiseaux aux pieds jaunes poussaient des
cris
de joie ; le corbeau nageait dans le sang des mor
à la fois leurs épées, dont les éclairs se croisent dans les airs. Un
cri
s’élève du sein des légions : « Victoire à l’empe
des légions : « Victoire à l’empereur ! » Les barbares repoussent ce
cri
par un affreux mugissement : la foudre éclate ave
brillant de la foudre dans la livide clarté d’un orage. Au milieu des
cris
, des insultes, des menaces, du bruit des épées, d
. Mais, hélas ! aucun son ne frappait notre oreille. A peine quelques
cris
échappés à une populace esclave sortaient par int
, et la pauvre mère, se débattant vainement sous sa serre, jetait des
cris
perçants. A cette vue, l’homme qui travaillait se
ce qui se passerait. Et, après un peu de temps, il entendit un léger
cri
, et il aperçut la seconde mère rapportant en hâte
nt ; plusieurs bandes se répandirent dans la cité, célébrant à grands
cris
leur victoire ; d’autres se retirèrent silencieus
comme le trait le plus déchirant ; elle arrache aux contemporains un
cri
de sympathie dont l’expression a quelque chose de
ttre. L’attaque des gens de pied et de cheval recommença de près, aux
cris
de Notre-Dame ! Dieu aide ! Dieu aide ! Mais les
te, il pressa sur sa poitrine le drapeau et le général, au milieu des
cris
et des larmes des assistants, puis il se jeta dan
la tète échevelée, Du temple fait mugir la demeure ébranlée, Par ses
cris
impuissants573 : Tel aux premiers accès d’une sai
r son tyran sous les yeux mêmes d’Alvarez. Le peuple demande à grands
cris
son supplice et celui d’Alzire. Mais, au moment d
ent L’ont au cap du Zéphyr722 déposé mollement ; Et de loin, à grands
cris
appelant leurs compagnes, Et les Nymphes des bois
Seul, attendant la mort, quand leur coupable voix Demandait à grands
cris
du sang et non des lois ! Ceux que la France a vu
s d’un sang noir sans cesse dégouttants, Trouvant sa volupté dans les
cris
de sa proie, Bercé par la tempête, il s’endort da
ort dans sa joie. Et toi, Byron, semblable à ce brigand des airs, Les
cris
du désespoir sont tes plus doux concerts. Le mal
re à toi ! Gloire à toi ! Frappe, anéantis-moi ! Tu n’entendras qu’un
cri
: Gloire à jamais à toi759 ! » Ainsi ma voix mont
nts d’harmonie : C’est pour la vérité que Dieu fit le génie. Jette un
cri
vers le ciel, ô chantre des enfers760 ! Le ciel m
id et les prophètes ; Ainsi, troublant le cœur des pâles matelots, Un
cri
sinistre et doux retentit sur les flots, Quand l’
s’incline. L’étincelle jaillit, le salpêtre a fumé, L’air siffle, un
cri
s’entend… L’hymne pieux expire775. Ce cri, qui l’
re a fumé, L’air siffle, un cri s’entend… L’hymne pieux expire775. Ce
cri
, qui l’a poussé ? vient-il de ton esquif ? Est-ce
achots, du fond de leur souffrance, A ta voix qu’ils couvraient leurs
cris
ont répondu ; Fais-les taire, et de Dieu tu seras
Couvrons un jeu cruel de voluptés sublimes. Malheur à qui se plaît au
cri
de ses victimes !…… Il faut l’étouffer dans des c
pas Tu la pressas plus fort de ta cuisse nerveuse, Pour étouffer ses
cris
ardents ; Tu retournas le mors dans sa bouche bav
alants ; Où l’on n’entend au loin, sous les herbes brûlantes, Que les
cris
répétés des cigales bruyantes ; L’heure où le cie
Longtemps l’œil sur les flots, resta silencieux, Puis ce fut comme un
cri
d’animal furieux. « Une voile ! Une voile ! Iann,
temps passés et rêveurs d’aujourd’hui ; Croyez-moi, la prière est un
cri
d’espérance ! Pour que Dieu nous réponde, adresso
Icarie ; Elle allait et hurlait, cette impure furie, Séduisant de ses
cris
, qu’on prenait pour des chants, Un cortège boiteu
vage, Si ce n’est quelquefois un onagre sauvage, Qui passe, et de son
cri
fait retentir les airs ; Ou l’Arabe du Tor, qui v
rovence, étincelant de flammes, Il était beau de voir, suivi de mille
cris
, Ce bâton dont la foule adorait les débris, Ce ve
veste indigente, S’exerçant aux jurons, et, chute sans grandeur ! Des
cris
qu’elle déteste exagérant l’ardeur ! DANTON. Morb
appela Necker. 308. « Non, l’on ne délibéra plus, dit La Harpe ; des
cris
d’enthousiasme attestèrent la victoire de l’orat
des grandes âmes blessées par le spectacle de la vie ; c’est déjà le
cri
désespéré de Lucrèce, aimant mieux nier les dieux
poète pour faire parvenir à son père les vers qui étaient le dernier
cri
de son cœur. 732. Lire, sur Marie-Joseph Chénier
l’ordre universel et la passion sont en harmonie. On n’entend pas le
cri
du tigre qui cherche ses petits. C’est la raison
s ressorts, Feront pour se traîner d’inutiles efforts : La Mort, d’un
cri
lugubre, annoncera votre heure ; L’éternité, pour
été celle de tous les philosophes anciens qui raisonnaient d’après le
cri
unanime de la nature entière, et non d’après les
enchante, Dormait au bruit flatteur de son onde naissante , Lorsqu’un
cri
tout à coup suivi de mille cris, Vient d’un calme
teur de son onde naissante , Lorsqu’un cri tout à coup suivi de mille
cris
, Vient d’un calme si doux retirer ses esprits. Il
de malades dans Metz ! Il semble que j’entends tout autour de moi un
cri
de misère. Ne voulez-vous pas avoir pitié ? Leur
On dit aujourd’hui : diminuent. 2. Il y a dans ce passage comme des
cris
qui échappent involontairement. 3. Remarquez ces
ut exprès sur ces débris pour les peintres et les poëtes. Au lieu des
cris
de joie que des spectateurs féroces poussaient ja
opres débris te rappelle et te pleure, Et jette aux flots du Tibre un
cri
de liberté, Hélas ! par l’écho même à peine répét
x qui les attendaient dehors. Après une longue scène de tumulte et de
cris
, dix personnes demeurent arrêtées : c’était tout
commençay à crier : « Cargue, cargue207 ! » Et jamais n’euz faict le
cri
, que nous voilà tous pesle-mesle dans leurs gens
devant même que l’on eût pris les armes, apprit le mouvement par les
cris
d’une multitude immense qui hurloit dans la salle
ns3 ; il « transportoit », et il convainquait, s’il faut en croire le
cri
qui échappa un jour au maréchal de Gramont : « Mo
est mort cet homme puissant qui sauvoit le peuple d’Israël ? » À ces
cris
, Jérusalem redoubla ses pleurs, les voûtes du tem
r le papier ; elle a des élans de tendresse, de joie, de douleur, des
cris
au cœur, des saillies d’esprit, des échappées de
chouettes qui, dans cette obscurité, annonçoient, par leurs funestes
cris
, les malheurs de tous les hommes ; tout cela me f
uttes de sueur lui en couloient sur le visage, il ne poussa jamais un
cri
, ni ne donna aucun signe d’impatience, et dès qu’
mertume en paroissoit grande ; et poussoit non des sanglots, mais des
cris
, mais des hurlemens. Il se taisoit parfois, mais
méditation profonde qui venoit de précéder. Souvent réveillée par les
cris
de son époux, prompte à le secourir, à le souteni
elle-même, puis un torrent de larmes qui lui aidoient à suffoquer ses
cris
. Mme la duchesse de Bourgogne consoloit aussi son
qui se refuse au plus grand besoin. Le fréquent moucher répondoit aux
cris
du prince son beau-frère. Quelques larmes amenées
mes en les embrassant, fit retentir le château d’un renouvellement de
cris
, et fournit un spectacle bizarre d’une princesse
de Portugal ! » Le peuple, qui étoit accouru au palais, poussa mille
cris
de joie en le voyant précipiter, et répondit par
se recueillir dans un silence que ne trouble aucun autre bruit que le
cri
des aigles, le ramage entrecoupé de quelques oise
nt est sa voix ordinaire ; car, quand il est en colère, il a un autre
cri
qui est court et réitéré subitement ; au lieu que
i est court et réitéré subitement ; au lieu que le rugissement est un
cri
prolongé, une espèce de grondement d’un ton grave
fois par jour, et plus souvent lorsqu’il doit tomber de la pluie. Le
cri
qu’il fait lorsqu’il est en colère est encore plu
solitudes, qui plus d’une fois avez calmé mes passions, puissent les
cris
de la guerre ne troubler jamais vos résonnantes c
us entendîmes le sifflet du maître qui commandoit la manœuvre, et les
cris
des matelots qui crièrent trois fois : Vive le Ro
ris des matelots qui crièrent trois fois : Vive le Roi ! car c’est le
cri
des François dans les dangers extrêmes, ainsi que
d’un noir affreux, et cuivrés sur leurs bords. L’air retentissoit des
cris
des frégates, des coupeurs-d’eau et d’une multitu
ut jeté sur le rocher à une demi-encâblure du rivage. Ce ne fut qu’un
cri
de douleur parmi nous. Paul alloit s’élancer à la
ussant avec dignité, détourna de lui sa vue. On entendit aussitôt ces
cris
redoublés des spectateurs : « Sauvez-la, sauvez-l
qui la termoient, les faisant voler en éclats, et demandant à grands
cris
une torche pour embraser les vaisseaux ; presque
t brillé affreusement à sa clarté ! Je vois tout, j’entends tout. Les
cris
des mères déchirent encore mes entrailles. J’avoi
dévore, le fracas des édifices qui de moment en moment croulent, les
cris
des mères. Je sortis enfin de la place. Soudain à
ts pontificaux, le souverain pontife. La foule, à linstant, pousse un
cri
, à l’instant est à genoux ; à l’instant le pontif
désert ; seulement à de longs intervalles, on entendoit les lugubres
cris
de quelques oiseaux de nuit et de quelques chacal
un morne silence, retentissoient sans cesse le bruit des armes et les
cris
d’allégresse et de fête ; ces marbres amoncelés f
ut exprès sur ces débris pour les peintres et les poëtes. Au lieu des
cris
de joie que des spectateurs féroces poussaient ja
e, tous penchés en avant, le visage sur la flamme, tantôt poussant un
cri
d’admiration, tantôt répétant avec emphase les ge
fermait tour à tour en faisant claquer ses dents et en étouffant des
cris
dont on n’entendait que le premier son. Il aperçu
aux bivouacs. Aux premiers rayons de la lune on battit la diane ; un
cri
simultané de joie partit de tous les bivouacs ; o
, et la pauvre mère, se débattant vainement sous sa serre, jetait des
cris
perçants. À cette vue, l’homme qui travaillait se
ce qui se passerait. Et, après un peu de temps, il entendit un léger
cri
, et il aperçut la seconde mère rapportant en hâte
uffrent, quand ils craignent, ou quand ils ont faim, ils poussent des
cris
plaintifs. Ces cris sont la prière qu’ils adresse
raignent, ou quand ils ont faim, ils poussent des cris plaintifs. Ces
cris
sont la prière qu’ils adressent à Dieu, et Dieu l
fuite des Perses aux arcs recourbés ? Ce n’est pas seulement le même
cri
de guerre, je même accent d’une âme belliqueuse ;
mment les voleurs ; et, quand leur chef vint à passer, il le salua du
cri
de vivat rex ! À quoi le chef ne comprit rien. Le
sprits fatigués d’une longue discussion ou intimidés parle danger, un
cri
, un mot décisif s’échappait de sa bouche, sa tête
rchait absorbé, quand plusieurs de nous, levant les yeux, jetèrent un
cri
de saisissement. Soudain, chacun regarda autour d
une terrible redoute, conquête et tombeau de Caulincourt826. Alors le
cri
: « C’est le champ de la grande bataille ! » form
t-il d’une voix plus tonnante encore, allons vaincre pour elle ! » Ce
cri
du général, porté de bouche en bouche par les bat
à la voix de la patrie animant elle-même ses premiers défenseurs. Ce
cri
de toute une armée, prolongé pendant plus d’un qu
à travers une vaste fumée déchirée çà et là. Pêle-mêle de casques, de
cris
, de sabres, bondissement orageux des croupes des
’empare de l’âme à l’aspect du danger, auraient peut-être empêché ses
cris
d’aller jusqu’à mon cœur. — Sa mort eût été utile
s dans les derniers ébats de leur fête. Les oiseaux font entendre des
cris
étouffés au lieu des joyeuses fanfares de l’été.
vu sur ses rivages Les noirs habitans des déserts Insulter par leurs
cris
sauvages L’astre éclatant de l’univers, Cris impu
serts Insulter par leurs cris sauvages L’astre éclatant de l’univers,
Cris
impuissans, fureurs bizarres ! Tandis que ces mon
it cruelle, Qui fut pour tout un peuple une nuit éternelle, Songe aux
cris
des vainqueurs, songe aux cris des mourants, Dans
n peuple une nuit éternelle, Songe aux cris des vainqueurs, songe aux
cris
des mourants, Dans la flamme étouffés, sous le fe
ous redise tous les jours : ceux qui nous l’ont acquise, sensibles au
cri
de l’honneur, à la voix de l’opinion, savaient br
e poésie antique était la plus vraie et la plus complète ; c’était un
cri
d’amour et de reconnaissance envers Dieu, un tran
ragon, Déroula ses anneaux et ses replis de fange ; Tu dédaignas ses
cris
, ses bonds tumultueux, Et, d’un brodequin d’or fo
ssant des gémissements auxquels toutes les autres répondirent par des
cris
et des plaintes. Cette antique coutume s’observai
remblaient déjà de peur. M. de Turenne se jeta en bas du carrosse aux
cris
de Madame de Choisi. Je crus que c’étaient des vo
hurlaient plutôt qu’elles ne criaient. Vous connaissez peut-être les
cris
aigus de Madame de Choisi ; Mademoiselle de Vendô
ient que nous étions aux mains avec tous les diables, firent un grand
cri
, et ce ne fut pourtant pas eux qui eurent le plus
trois heures après minuit, j’entendis crier au voleur, au feu, et ces
cris
si près de moi et si redoublés, que je ne doutai
it, dans nos cours441, une clarté qui faisait horreur : c’étaient des
cris
, c’était une confusion, c’étaient des bruits épou
’or, pierreries, brasiers de feu et de fleurs, embarras de carrosses,
cris
dans la rue, flambeaux allumés, reculements et ge
ons, et par des évanouissements, et par un silence mortel, et par des
cris
étouffés, et par des larmes amères, et par des él
de malades dans Metz ! Il semble que j’entends tout autour de moi un
cri
de misère. Ne voulez-vous pas avoir pitié ? Leur
r les plus vifs transports ; il annonce par ses mouvements et par ses
cris
l’impatience de combattre, et le désir de vaincre
et aspect, la prudence nous abandonna ; nous nous mîmes à pousser des
cris
de joie qui firent retourner M. Lambercier ; et c
se recueillir dans un silence que ne trouble aucun autre bruit que le
cri
des aigles, le ramage entrecoupé de quelques oise
pe, arrache, entraîne, éclate et tonne, et devient, grâce au ciel, un
cri
général, un crescendo public, un chorus universel
jeté sur les rochers à une demi-encâblure du rivage. Ce ne fut qu’un
cri
de douleur parmi nous. Paul1472 allait s’élancer
ussant avec dignité, détourna de lui sa vue. On entendit aussitôt ces
cris
redoublés des spectateurs : « Sauvez-là ! sauvez-
i de nous n’a mené le deuil autour d’un tombeau, n’a fait retentir le
cri
des funérailles ? C’en est fait, ô Muse ! encore
x qui les attendaient dehors. Après une longue scène de tumulte et de
cris
, dix personnes demeurent arrêtées : c’était tout
uffrent, quand ils craignent, ou quand ils ont faim, ils poussent des
cris
plaintifs. Ces cris sont la prière qu’ils adresse
raignent, ou quand ils ont faim, ils poussent des cris plaintifs. Ces
cris
sont la prière qu’ils adressent à Dieu, et Dieu l
eillards gémissants1663 paraissent sur le tillac et saluent, avec des
cris
de douleur, la rive prochaine. Ils descendent, et
ssant des gémissements auxquels toutes les autres répondirent par des
cris
et des plaintes. Cette antique coutume s’observai
ors à la porte du hangar, qu’il trouve fermée, et appelle vainement à
cris
redoublés le vieux syndic, qui, sourd et profondé
la petite semence où, sans le soin vigilant de la conscience, sans le
cri
de l’honneur éveillé par l’éducation, pourraient
oïne en proie à une sorte de frénésie convulsive, quand j’entends ses
cris
et ses sanglots, quand elle se tord les mains et
pour nous le sifflement des vents, les mugissements de l’orage et les
cris
des passagers désespérés, s’il en est qui soient
un profond sentiment de reconnaissance, et l’on y répondit par trois
cris
de joie. Le vaisseau signalé était un brick angla
nctuaire Apparut vide et nue au peuple confondu. L’enfer eut un grand
cri
, le ciel un grand silence ; La mort même, étonnée
enveloppa la tour, et monta jusqu’au sommet. Bientôt on entendit des
cris
lamentables en sortir. Le toit était en flammes,
eux taureau d’airain inventé par Phalaris. Le malheureux poussait des
cris
épouvantables, et agitait vainement les bras comm
t de finir comme Rollin, entre lui-même et Dieu. Ces conseils sont le
cri
commun de tous ceux qui vous aiment. Oui, la Fran
ierre n’est pas plus dure que ce maudit vieillard. Il jette les hauts
cris
, s’imagine qu’il a tout perdu, et croit qu’on lui
gination, quand l’idée de Dieu cesse d’être notre lumière. 329. Ces
cris
du cœur sont familiers à Pascal ; ses pensées ont
tant toute la chambre et semblant aux murs même, Par ses bonds et ses
cris
, annoncer ce qu’il aime ; Puis sur mon sac poudre
en. Lion vit les caractères se tremper, l’héroïsme se produire, et un
cri
d’admiration s’éleva du monde vers la postérité,
même tout à fait impossibles. Il y a plus que de la hardiesse dans ce
cri
de l’orgueilleux Lucifer : Ascendam super altitu
pouvant contenir les vifs sentiments de son âme, la laisse éclater en
cris
soudains et en interjections. llla subit mediæqu
vêques se voilent la tête de leurs robes, les confesseurs poussent un
cri
, la coupe tombe des mains d’Eudore ; il renverse
usqu’à la fin. On frémit lorsqu’il demande les aigles ; mais quand le
cri
des confesseurs a rappelé le héros à ses devoirs
des mains de Dieu, les merveilles de la nature durent lui arracher un
cri
d’admiration et de reconnaissance pour son bienfa
nt laissé de fort belles. À quoi bon tant d’efforts, de larmes et de
cris
, Cotin, pour faire ôter ton nom de mes ouvrages ?
L’injuste fortune Me les a ravis, En vain j’importune Le ciel par mes
cris
; Il rit de mes craintes, Et, sourd à mes plainte
terre s’est reposée en silence ; elle s’est réjouie ; elle a jeté des
cris
d’allégresse. Les sapins et les cèdres du Liban o
d’un coup de fusil. Entrés dans l’orangerie, ils demandèrent à grands
cris
l’archevêque d’Arles. Aucun ne le désignait ; lui
s portes avaient été fermées, et la population effrayée entendait les
cris
des victimes et les clameurs des assassins, sans
nous cacher, Et du toit paternel deux fois nous arracher. Partout des
cris
, du sang, d’éternelles alarmes, Et je vis bien so
retentit sur l’acier ; L’Olympe épouvanté résonne Des
cris
du vaincu, du vainqueur ; Autour de moi l
Là, jamais entière allégresse : L’âme y souffre de ses plaisirs : Les
cris
de joie ont leur tristesse, Et les voluptés leurs
des coups redoublés, il ne faisait entendre d’autre plainte, d’autre
cri
que celui-ci : Je suis citoyen romain. Il croyait
romain avait gratuitement honoré des haches et des faisceaux ? Si les
cris
douloureux, les vives supplications de ce malheur
t est mort cet homme puissant, qui sauvait le peuple d’Israël ! À ces
cris
Jérusalem58 redoubla ses pleurs ; les voûtes du T
l’admiration qu’elles excitent, est en quelque sorte troublée par le
cri
tumultueux des soldats, et par le son éclatant de
le courage que donne la vertu, et l’héroïsme que n’intimident ni les
cris
de la fureur aveugle, ni la certitude que la mort
e solitude, qui plus d’une fois avez calmé mes passions, puissent les
cris
de la guerre ne troubler jamais vos résonnantes c
comme si en voyant son cercueil on l’eût perdu une seconde fois, les
cris
et les larmes recommençaient. »
bruit de la renommée ? ne sont-ce pas là les applaudissements et les
cris
de joie qui composent ce que les hommes appellent
onsterné, excepté le cœur de cette princesse4 : partout on entend des
cris
; partout on voit la douleur et le désespoir, et
ays de France. (Marie Stuart.) 4. Il y a dans ce passage comme des
cris
qui échappent involontairement. 5. Lorsque sur
ie avec force. Exemple : Je ne vous peindrai point le tumulte et les
cris
, Le sang de tous côtés ruisselant dans Paris ; Le
Car je n’ai plus que vous, à qui ma voix, hélas ! Puisse adresser des
cris
que l’on n’écoute pas), Témoins accoutumés de ma
tus et sæva sonare Verbera ; tum ferri stridor tractæque catenæ. Le
cri
de la scie et de la lime. Tum ferri rigor atque
chemin montant… par La Fontaine ; la mort d’Hippolyte : un effroyable
cri
… ; le commencement de l’Oraison funèbre de la rei
t est mort cet homme puissant, qui sauvait le peuple d’Israël ! À ces
cris
, Jérusalem redoubla ses pleurs ; les voûtes du te
ons, et par des évanouissements, et par un silence mortel, et par des
cris
étouffés, et par des larmes amères, et par des él
vieux mot pour appeler) les chiens. 5. Mauvais chiens de chasse. 6.
Cri
en usage pour exciter une meute. 7. Exemple d’h
solitudes, qui plus d’une fois avez calmé mes passions, puissent les
cris
de la guerre ne troubler jamais vos résonnantes c
e que l’éloquence. La renommée est, selon les intérêts différents, le
cri
de la vérité ou du mensonge ; c’est un vain bruit
consterné, excepté le cœur de cette princesse. Partout on entend des
cris
; partout on voit la douleur et le désespoir, et
est mort cet homme puissant qui sauvait le peuple d’Israël ? » À ces
cris
, Jérusalem redoubla ses pleurs, les voûtes du tem
écipitation qui marque leur dépit. Ils n’ont d’autre voix qu’un petit
cri
fréquent et répété ; ils le font entendre dans le
imagination, quand l’idée de Dieu cesse d’être notre lumière. 2. Ces
cris
du cœur sont familiers à Pascal ; ses pensées ont
penchante, Dormait au bruit flatteur de son onde naissante, Lorsqu’un
cri
, tout à coup suivi de mille cris, Vient d’un calm
teur de son onde naissante, Lorsqu’un cri, tout à coup suivi de mille
cris
, Vient d’un calme si doux retirer ses esprits. Il
de vous descharger des bouches inutiles ; estouppés5 les oreilles aux
cris
: si j’eusse creu mon courage6, je l’eusse faict
s Rome avec son armée ; alors je me représente les mères poussant des
cris
lamentables, les jeunes filles et les enfants fuy
une rare beauté : il le menace, tout absent qu’il est ; il pousse des
cris
et des hurlements ; quelquefois à peine peut-il r
rait se représenter le tumulte que cet ordre causa dans la ville, les
cris
et les lamentations des femmes ! Ceux qui en aura
des vases d’or pour garnir plusieurs buffets, sans s’inquiéter ni des
cris
des Siciliens ni des poursuites judiciaires qui l
vant plus soutenir la vue d’un si indigne traitement, forçât, par ses
cris
, le sénat de promettre au préteur cette statue de
ent avec des leviers la statue pour l’ôter de sa place. Cependant les
cris
des sentinelles ont été entendus de toute la vill
écence qui règne d’ordinaire à la table d’un magistrat. C’étaient des
cris
violents et confus ; quelquefois même des paroles
ue, et vous l’avouez ; on entend, à ce récit, des gémissements et des
cris
: cependant le peuple romain s’abstient de vous p
r le sommeil et la débauche. À sa vue, la multitude fait entendre des
cris
si pleins de fureur, que l’image du péril qui l’a
e est cette nouvelle précaution ? pourquoi l’avez-vous imaginée ? Les
cris
que la douleur arrachait à Flavius et aux autres
e m’en tiens satisfait : car ces jours passés, quand, effrayé par les
cris
et le transport du peuple romain, vous vous êtes
aux extrémités des Indes, vous étiez conduit au supplice, quel autre
cri
, Verrès, feriez-vous entendre que celui-ci : Je s
On lui a fait un service militaire dans le camp, où les larmes et les
cris
faisaient le véritable deuil : tous les officiers
un coup ; les piques traînantes et les mousquets renverses : mais ces
cris
de toute une armée ne se peuvent pas représenter,
passions, troupe mutine et emportée, font retentir de toutes parts un
cri
séditieux, où l’on n’entend que ces mots : « Appo
aisirs plus exquis à cet appétit dégoûté par son abondance. Parmi les
cris
furieux de ces pauvres impudents et insatiables,
oce assassin soutient un homme tombant en défaillance396. On parle du
cri
des remords, qui punit en secret les crimes caché
se recueillir dans un silence que ne trouble aucun autre bruit que le
cri
des aigles, le ramage entrecoupé de quelques oise
u’elles ne sortent : Leur amour importun viendrait avec éclat Par des
cris
et des pleurs troubler notre combat ; Et ce qu’el
te, sans me troubler, l’oreille à mes discours ; D’aucun mot, d’aucun
cri
, n’en interromps le cours ; Tiens ta langue capti
, fab. 8570. Élégie aux nymphes de Vaux571. Remplissez l’air de
cris
en vos grottes profondes, Pleurez, nymphes de Vau
hante, Dormait au bruit flatteur de son onde naissante 654, Lorsqu’un
cri
tout à coup suivi de mille cris Vient d’un calme
r de son onde naissante 654, Lorsqu’un cri tout à coup suivi de mille
cris
Vient d’un calme si doux retirer ses esprits. Il
de leur haine et de leur mauvais sens, Ris du bruit passager de leurs
cris
impuissants. Que peut contre tes vers une ignoran
us doux. Vous lui pourrez plutôt ramener son époux : Les menaces, les
cris
, le rendront plus farouche. AGRIPPINE. Ah ! l’on
evelée, Du temple fait mugir la demeure ébranlée, Par ses
cris
impuissants759 : Tel aux premiers accès d’une sa
e773 ; Vainement un mortel se plaint et le fatigue De ses
cris
superflus : L’âme d’un vrai héros, tranquille, co
ang confondu j’ai vu couler les flots. Déjà la garde accourt avec des
cris
de rage. Sa mère… Ah ! que l’amour inspire de cou
e reine, Ce sein qui l’a nourri, ces flancs qui l’ont porté ! » À ces
cris
douloureux, le peuple est agité : Une foule d’ami
le ; entendez son tonnerre : Sa voix qui se déclare et se joint à mes
cris
, Sa voix rend témoignage et dit qu’il est mon fil
ur dans le précédent : après le citoyen, c’est l’homme qui parle ; au
cri
de l’honneur échappé de la bouche du premier, suc
hrace, errant sur les montagnes, Remplit les bois et les campagnes Du
cri
perçant de ses douleurs ; Les champs de l’air en
ant qu’ils m’eussent pris, N’eussiez armé pour moi les pierres et les
cris
. — Mon père, il est donc vrai, tout est devenu pi
ère dans la Henriade : « Je ne vous peindrai point le tumulte et les
cris
, « Le sang de tous côtés ruisselant dans Paris, «
ments du supplice, tu n’étais point, touché de ses plaintes et de ses
cris
lamentables, comment pouvais-tu être insensible a
te baissée, Semblaient se conformer à sa triste pensée. Un effroyable
cri
, sorti du sein des flots, Des airs en ce moment a
Et du sein de la terre une voix formidable Répond, en gémissant, à ce
cri
redoutable. Jusqu’au fond de nos cœurs notre sang
fraie. Ils courent. Tout son corps n’est bientôt qu’une plaie. De nos
cris
douloureux la plaine retentit. Leur fougue impétu
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