étude de la doctrine qu’elle enseigne, et qui est ou l’objet de notre
foi
ou la règle de notre conduite. L’une et l’autre s
t l’autre sont absolument nécessaires à tout homme qui veut avoir une
foi
éclairée et rendre à Dieu ce culte spirituel, cet
raisonnement, ne doit jamais être confondue ni même comparée avec la
foi
, qui est un don de Dieu, une grâce singulière qu’
n voulu prévenir en nous la lumière de la raison même par celle de la
foi
. Mais quoique cette conviction et cette espèce de
par celle de la foi. Mais quoique cette conviction et cette espèce de
foi
humaine qu’on acquiert par l’étude des preuves de
es preuves de la religion chrétienne soient d’un ordre inférieur à la
foi
divine, qui est le principe de notre sanctificati
itable religion. Non-seulement cette étude affermit et fortifie notre
foi
, mais elle nous remplit d’une juste reconnaissanc
’incrédulité est infiniment plus difficile à soutenir que celui de la
foi
, puisque les incrédules sont réduits à oser dire,
a doctrine que la religion nous enseigne, et qui est l’objet de notre
foi
ou la règle de notre conduite, c’est l’étude de t
a plus assurée pour découvrir la vérité, c’est d’écouter plutôt notre
foi
que notre raison, et tendre à Dieu, non tant par
i depuis le péché sont toutes languissantes, que par le secours de la
foi
, par laquelle seule Dieu veut nous conduire dans
du monde N’entraînent plus nos cœurs Fais briller de ta
foi
les lumières propices A nos yeux écla
cès le sort garde à mes armes ; Je te laisse mon fils pour gage de ma
foi
: S’il me perd, je prétends qu’il me retrouve en
ie. Andromaque. Hé bien ! va l’assurer… Céphise. De quoi ? de votre
foi
? Andromaque. Hélas ! pour la promettre est-elle
ma chère Céphise, Ce n’est point avec toi que mon cœur se déguise. Ta
foi
dans mon malheur s’est montrée à mes yeux ; Mais
rifie, Assurer à Pyrrhus le reste de ma vie ; Je vais, en recevant sa
foi
sur les autels, L’engager à mon fils par des nœud
tu deviens nécessaire. Veille auprès de Pyrrhus ; fais-lui garder sa
foi
: S’il le faut, je consens qu’on lui parle de moi
s, Céphise ; et souviens-toi Que le sort d’Andromaque est commis à ta
foi
. Cependant Hermione, qui avait dû épouser Pyrrh
il l’a posé lui-même : « Je vous donne, a-t-il dit, ma couronne et ma
foi
; Andromaque, régnez sur l’Epire et sur moi. Je v
pas de Washington, dans cette longue carrière. Mais pas un moment sa
foi
et son espérance ne furent ébranlées1. La même én
iction, dans un état de doute et de fluctuation continuelle. Il avait
foi
en Dieu et en lui-même1. C’est qu’il joignait, à
découvert le nouveau monde, mais d’être parti pour le chercher sur la
foi
d’une idée. » Que l’occasion fût grande ou petite
Washington, convaincu, n’hésitait jamais à se porter en avant, sur la
foi
de sa conviction. On eût dit, à sa résolution net
r et s’adoucir. L’équité, je ne veux pas dire la tolérance, envers la
foi
religieuse ou politique des autres, est venue pre
nue prendre place et grandir à côté de ma tranquillité dans ma propre
foi
. C’est la jeunesse, ce sont ses ignorances nature
fût marqué du caractère propre de vos élus : vous avez récompensé sa
foi
par des tribulations et par des disgrâces. L’usag
t d’événements divers pour rendre gloire à Dieu et s’affermir dans la
foi
des biens immuables. Ces grands objets passent de
s, notre pieux héros s’exerçait à combattre un jour les ennemis de la
foi
. Il voyait avec douleur les armes des princes chr
prince a été dignement loué par ce peu de mots de Montesquieu : « La
foi
, la justice et la grandeur d’âme montèrent sur le
r et de nos larmes ; et la plus sûre marque que nous n’avons point de
foi
, et que nous ne nous connaissons pas nous-mêmes,
ut entière ! Voilà les raisons insurmontables que l’impie oppose à la
foi
de tout l’univers ; voilà cette évidence qui l’em
indre de chercher dans une affreuse incertitude sur les vérités de la
foi
, la plus douce espérance de sa destinée : qu’il e
u’il est à plaindre de ne pouvoir vivre tranquille, qu’en vivant sans
foi
, sans culte, sans Dieu, sans confiance : qu’il es
: qu’il est à plaindre, s’il faut que l’évangile soit une fable ; la
foi
de tous les siècles, une crédulité ; le sentiment
eux désespoir : cherchez votre bonheur, non en secouant le joug de la
foi
, mais en goûtant combien il est doux : pratiquez
comme de la morale, le premier pas vers la pratique du bien, c’est la
foi
au bien, brevis est institutio vitœ honestœ beat
bien, brevis est institutio vitœ honestœ beatœque, si credas. Cette
foi
au travail vous rendra avares de ce trésor de vot
lui seul qui donne la solide gloire et les palmes toujours vivantes.
Foi
au travail, espoir du succès, amour de l’idéal, d
éraire, comme la doctrine religieuse, se résume dans ces trois mots :
foi
, espoir et amour. 1. Histoire de la littératur
e, les attaquent, les combattent, les terrassent avec les armes de la
foi
, du sentiment et de la raison. Voilà l’idée juste
loin encore. Il ne suffit pas même, dit-il, qu’il ait à cet égard une
foi
spéculative, il faut qu’il soit vivement et profo
énétré du désir ardent de communiquer à ses auditeurs la pureté de sa
foi
et la chaleur de son zèle.
fragments de correspondance, recueillir des renseignements dignes de
foi
, retracer quelques faits, et exprimer des sentime
, je l’accepte d’avance, je le bénis. Oui, telle est mon inébranlable
foi
, et cette foi est mon appui, mon asile, ma consol
d’avance, je le bénis. Oui, telle est mon inébranlable foi, et cette
foi
est mon appui, mon asile, ma consolation, ma douc
ec peu d’argent ? Valère. Oui. Maître Jacques (à Valère). Par ma
foi
, monsieur l’intendant, vous nous obligerez de nou
ur conduire à la foire… Maître Jacques. Vos chevaux, monsieur ! Ma
foi
, ils ne sont point en état de marcher. Je ne vous
li, pour fautes, erreurs. On disait aussi manquement (pour manque) de
foi
, de mémoire : voy. Molière, Ec. des fem., IV, 8,
de partie ce reste de doute, ce trouble, cette anxiété secrète que la
foi
la plus assurée ne parvient pas toujours à dompte
fragments de correspondance, recueillir des renseignements dignes de
foi
, retracer quelques faits, et exprimer des sentime
a je l’accepte d’avance, je le bénis. Oui, telle est mon inébranlable
foi
, et cette foi est mon appui, mon asile, ma consol
d’avance, je le bénis. Oui, telle est mon inébranlable foi, et cette
foi
est mon appui, mon asile, ma consolation, ma douc
ts d’une école 1 De l’église du bourg sondez les fondements : La
foi
, la paix du cœur en furent les ciments. Dix siècl
un jouet frivole, Dès la première assise, à côté du savoir, Mettez la
foi
naïve, et l’amour, et l’espoir2. Le travail
s ainées, il donna ce conseil aux architectes. 2. Autrement dit : la
Foi
, l’Espérance et la Charité. 3. Dans un discours
est imposé, l’initiation de la jeunesse chrétienne aux vérités de la
foi
et à la pratique des devoirs qu’impose l’Évangile
de contraire aux principes de la saine doctrine en ce qui concerne la
foi
et les bonnes mœurs. Mais il a encore d’autres mé
Vous nous révélez la sublimité poétique des monuments écrits de notre
foi
; c’est là un grand service rendu à la religion,
Les quatre rimes fois, lois, rois et voix 96 id. ; Les cinq rimes
foi
, loi, moi, roi et toi 186 id. ; Les trois rime
rière entre mon fils et moi ? Ne l’osez-vous laisser un moment sur sa
foi
? Entre Sénèque et vous disputez-vous la gloire ?
au champ de Mars nomme ses magistrats ; César nomme les chefs sur la
foi
des soldats ; Thraséas au sénat, Corbulon dans l’
range est venu jusqu’à moi, Seigneur ; je l’ai jugé trop peu digne de
foi
. On dit, et sans horreur je ne puis le redire, Qu
sseins odieux, Je vous laisse immoler votre fille à mes yeux ? Que ma
foi
, mon amour, mon honneur y consente ? AGAMEMNON. M
seule dépositaire Content de son hymen, vaisseaux, armes, soldats, Ma
foi
lui promit tout, et rien à Ménélas. Qu’il poursui
VIII.) Oui mais de quoi lui sert que sa voix le rappelle, Si, sur la
foi
des vents tout prêt à s’embarquer, Il ne voit poi
nd nombre ; donc, tandis que vous vivez comme la multitude, il est de
foi
que vous ne devez pas prétendre au salut. Car, si
ue ce que vous faites. Or, que tous les hommes presque se sauvent, la
foi
nous défend de le croire. Il est donc de foi que
s presque se sauvent, la foi nous défend de le croire. Il est donc de
foi
que vous ne devez rien prétendre au salut, tandis
ture, parce qu’il explique tout le mécanisme de ce petit poème : Ma
foi
c’est fait de moi ; car Isabeau M’a conjuré de lu
nt Brodeau, Et puis mettons par quelque stratagème Ma
Foi
, c’est fait. Si je pouvais encor de mon cerveau T
s le douzième, En voilà treize ajustés de nouveau. Ma
foi
, c’est fait. Mentionnons encore le rondeau de Cl
s ballade ne promette ! Dussé-je entrer au fond d’une tour, Nenni, ma
foi
, car je suis déjà court. Si que je crains que n’a
ruel, pour être ainsi traitée4, Et pour me reprocher, au mépris de ma
foi
, Un amour si puissant5 que j’ai vaincu pour toi ?
Sévère, ou mourez avec moi. Je ne méprise point vos pleurs, ni votre
foi
; Mais, de quoi que pour vous notre amour m’entre
aison trop pure pour ne pas reconnaître la vérité de la profession de
foi
qu’elle vient d’entendre. 2. Du premier coup de
en parlait alors beaucoup, même dans les salons. 2. Il viendra. La
foi
, l’espérance et la charité. Il a le calme de la c
voulu que sa fille fit un mariage de raison. 6. Déchire. Jamais la
foi
conjugale n’a mieux dit. 7. Père. Félix est un
ie Qui m’a fait des chrétiens persécuter la vie ; Leur créance est ma
foi
, leur espoir est le mien ; C’est leur Dieu que j’
es Tuileries vous voyez le faubourg Saint-Germain ; le canal n’est ma
foi
guère plus large. Mais pas une seule barque, et v
e l’argent, la hausse et la baisse, les faillites, la bouillotte ; ma
foi
, votre Paris est un autre coupe-gorge, et vous ne
i-même, et si je l’admire, c’est avec pleine connaissance, non sur la
foi
des traditions. Raphaël respire encore et parle d
de contraire aux principes de la saine doctrine en ce qui concerne la
foi
et les bonnes mœurs, mais encore est très propre
é : Poétique. Même exactitude au point de vue des enseignements de la
foi
, même netteté dans le plan de l’ouvrage, même cla
vrai. En somme, cet ouvrage est une œuvre de science, de talent et de
foi
. Les jeunes humanistes y trouveront dans un style
tte autorité, qui veut captiver toute intelligence sous le joug de la
foi
, et qui ordonne aux philosophes mêmes, à bien des
curcir et son flambeau s’éteindre ? C’est là qu’il faut s’arrêter. La
foi
lui laisse tout ce qu’il peut comprendre ; elle n
r sans voir, et remettre l’homme avec confiance entre les mains de la
foi
. La religion ressemble à cette nuée miraculeuse q
lève le voile ; le perpétuel combat du bien et du mal, dans lequel la
foi
chrétienne vient interposer sa morale divine et s
le tonne contre le vice, ou qu’elle annonce les grandes vérités de la
foi
. Cependant, l’éloquence de la chaire ne s’appuie
et dans les esprits. La qualité essentielle à un prédicateur est une
foi
ardente et profonde ; l’étude, la science, lui so
mouvements des ennemis. Il relève le courage de alliés. Il ménage la
foi
suspecte et chancelante des voisins. Il ôte aux u
t de sa piété, en se soumettant aux ordres de Dieu, mais encore de sa
foi
et de sa confiance, en voyant presque évidemment
sa vie ; elles vous rendront sa mort précieuse, par le souvenir de sa
foi
, de sa résignation, de son courage. Les pères doi
ngulières, hardie, agile et rude au combat, depuis peu convertie à la
foi
catholique, libre d’hérésie, lorsqu’elle était en
rempée, Et de l’autre à nos yeux montrant avec fierté De notre sainte
foi
le signe redouté, Criant à haute voix : « Françai
ndre d’héroïque dans une guerre si fameuse par ses malheurs et par sa
foi
? Tantôt, arrivé au port de Damiette, impatient d
par la fierté de sa contenance, et Damiette devient la conquête de sa
foi
et de sa valeur. Tantôt, courant partout où le pé
afin de prouver au monde comment l’homme peut se transfigurer par la
foi
et l’amour. Quel cœur chrétien pourrait ne pas tr
nd, courtisan frivole, mobile, avide de plaisirs et d’argent ; peu de
foi
, peu de capacité, peu de mœurs ; il avait brigué
t, a dit de lui son petit-fils, une maison abondante et témoignait sa
foi
par ses œuvres, répandant si largement sa charité
tes labeurs d’où la Fiance A tiré sa délivrance, Sont écrits avec que
foi
, Qui sera si ridicule Qu’il ne confesse qu’Hercul
Où le héros ne l’est qu’un jour ; Un temps où les serments et la
foi
politique Ne soulèvent plus que des ri
il est à vous, ma mère ! J’y mets tout ce que j’ai d’espérance et de
foi
, Ma plus ferme raison, mes ardeurs les plus haute
sur les cœurs avec l’autorité d’une mission divine et l’empire d’une
foi
toute faite… Le christianisme est une philosophie
ntinué un dogme immortel, il a servi d’anneau à une chaîne immense de
foi
et de vertu, et laissé aux générations qui vont n
angoisses, sans l’environner des consolations de l’espérance et de la
foi
, sans prier à ses côtés le Dieu qui mourut pour e
s le sort garde à mes armes ; « Je te laisse mon fils pour gage de ma
foi
: « S’il me perd je prétends qu’il me retrouve en
rière entre mon fils et moi ? Ne l’osez-vous laisser un moment sur sa
foi
? Entre Sénèque et vous disputez-vous la gloire À
au Champ-de-Mars nomme ses magistrats ; César nomme les chefs sur la
foi
des soldats ; Thraséas au sénat, Corbulon dans l’
it naître, Où déjà sa bonté, prête à me couronner, Daigne éprouver la
foi
qu’il vient de me donner. Néarque. Ce zèle est tr
sembler dure ? Je suis chrétien, Néarque, et le suis tout à fait ; La
foi
que j’ai reçue aspire à son effet. Qui fuit croit
’ai reçue aspire à son effet. Qui fuit croit lâchement, et n’a qu’une
foi
morte. Néarque. Ménagez votre vie, à Dieu même el
nier, dans son âme le nie : Il croit le pouvoir faire, et doute de sa
foi
. Néarque. Qui n’appréhende rien présume trop de s
e chère avec peu d’argent ! Valère. Oui. Me Jacques, à Valère. Par ma
foi
, monsieur l’intendant, vous nous obligerez de nou
rêts pour conduire à la foire… Me Jacques. Vos chevaux, monsieur ? Ma
foi
, ils ne sont point du tout en étal de marcher. Je
ion des Plaideurs Petit-Jean, traînant un gros sac de procès. Ma
foi
, sur l’avenir bien fou qui se fîra : Tel qui rit
comme le bras ! Mais, sans argent l’honneur n’est qu’une maladie, Ma
foi
: j’étais un franc portier de comédie, On avait b
t ne fais que bâiller. Mais veille qui voudra, voici mon oreiller. Ma
foi
, pour cette nuit il faut que je m’en donne ; Pour
« Et, dit-elle, il se répandit dans mon cœur une joie si douce et une
foi
si sensible, qu’il n’y a point de paroles capable
iracle qu’elle attendait est arrivé ; elle croit, elle qui jugeait la
foi
impossible ; Dieu la change par une lumière souda
seule, aux pieds du tribunal redoutable. Massillon. Profession de
foi
en 1789 Qu’ai-je donc fait de si coupable ? j
dit : « Or çà ! sire Grégoire, Que gagnez-vous par an ? — Par an, ma
foi
! monsieur, Dit avec un ton de rieur Le gai
ses yeux une dernière flamme Révèle un saint espoir, né d’une ardente
foi
, Je recommande à Dieu de recevoir son âme,
Sait de l’homme d’honneur distinguer le poète. Qu’on vante en lui la
foi
, l’honneur, la probité ; Qu’on prise sa candeur e
n dit que je conserve encore ; car je devins stoïcien de la meilleure
foi
du monde, mais stoïcien à lier ; j’aurais voulu q
oiselle de… Mademoiselle… devinez le nom : il épouse Mademoiselle, ma
foi
! par ma foi ! ma foi jurée ! Mademoiselle, la gr
ademoiselle… devinez le nom : il épouse Mademoiselle, ma foi ! par ma
foi
! ma foi jurée ! Mademoiselle, la grande Mademois
le… devinez le nom : il épouse Mademoiselle, ma foi ! par ma foi ! ma
foi
jurée ! Mademoiselle, la grande Mademoiselle ; Ma
oin du lit les funèbres flambeaux ; Et, d’un œil que la
foi
rassure, Regarde sans pâlir le crucifix de bois Q
épart, Et pour quitter ce monde attends au moins ta mère. » Ainsi la
foi
l’anime et l’espoir la soutient ; Mais par quels
lus prendre le long de la mer pour faire plus de diligence ; mais, ma
foi
, l’on dit bien vrai, qu’il n’est rien tel que le
Leur effet avait été rapide, quoique gradué. Déjà j’étais rendu à la
foi
, je voyais une lumière nouvelle, mais elle m’épou
evenus à sa place les représentants de l’honneur, ils chanteront avec
foi
le symbole du devoir, qui est aussi le symbole de
on âme est immortelle, et la mort va venir. A. de Musset. Acte de
foi
et d’espérance Salut, principe et fin de toi-
ans ton sein à jamais absorbe ma pensée. Lamartine. Profession de
foi
chrétienne J’aime la pauvreté, parce que Jésu
siècles de l’entreprise, c’est au nom et avec les seules armes de la
foi
et de la liberté que l’œuvre chrétienne a commenc
avec les mêmes armes et avec celles-là seulement, c’est au nom de la
foi
et de la liberté que, sous le coup de nouvelles e
selle de…. mademoiselle ; devinez le nom. Il épouse Mademoiselle ; ma
foi
, par ma foi, ma foi jurée, Mademoiselle, la grand
ademoiselle ; devinez le nom. Il épouse Mademoiselle ; ma foi, par ma
foi
, ma foi jurée, Mademoiselle, la grande Mademoisel
lle ; devinez le nom. Il épouse Mademoiselle ; ma foi, par ma foi, ma
foi
jurée, Mademoiselle, la grande Mademoiselle, Made
e sa confidente lui dit : Votre pays vous hait, votre époux est sans
foi
: Contre tant d’ennemis, que vous reste-t-il ? M
’objet de son amour, la fin de son espoir. Mais il n’a plus besoin de
foi
ni d’espérance : Un éternel amour en est la récom
s sur l’histoire universelle, iii e partie, les Empires.) Acte de
foi
Vous êtes tout-puissant, ô Dieu de gloire ! J
encé à en débrouiller toutes les pensées. Quand vous commencez par la
foi
à y faire poindre la lumière, qu’elle est encore
les uns ni les autres n’ont donné au but, et qu’il n’y a plus que la
foi
qui puisse expliquer une si grande énigme. Vous v
Voilà le mot de l’énigme, voilà le dégagement de tout l’embarras : la
foi
nous a rendus à nous-mêmes, et nos faiblesses hon
e victoire, celle qui met sous nos pieds le monde entier, c’est notre
foi
. » Jouissez, prince, de cette victoire ; jouissez
est bien malaisé de régler ses désirs : Le plus sage s’endort sur la
foi
des zéphyrs. (La Fontaine, Élégie aux nymphes de
2. Ces mouvements partent du cœur. Il y a de l’enthousiasme dans la
foi
de Bossuet. 1. L’accident, c’est à-dire ce qui
r et s’adoucir. L’équité, je ne veux pas dire la tolérance, envers la
foi
religieuse ou politique des autres, est venue pre
nue prendre place et grandir à côté de ma tranquillité dans ma propre
foi
. C’est la jeunesse, ce sont ses ignorances nature
nt, sur les eaux, que la voix du Seigneur, et celle de l’homme que la
foi
unit à Dieu. Cette voix de Dieu domine pour nous
que ne l’avait été contre le désespoir de la mort le sentiment de la
foi
et de la prière. « Dans quel ordre les officiers
es grands mouvements, et de nous ramener aux éternelles vérités de la
foi
et de la raison, à travers les ruines même entass
livres saints pouvait inspirer le morceau suivant : Digne prix de ma
foi
, quelle auguste merveille Vint charmer tout à cou
l’abandon de ses biens. « Je vous donne à jamais, » Et ma main et ma
foi
; le plus saint hyménée » Aujourd’hui va m’unir à
le vieillard, vos cris attendrissants ; » Prêts à nous séparer que la
foi
nous soutienne, » Et pleurez en chrétiens, si ma
suré de ces maximes, et les avoir mises à part avec les vérités de la
foi
, qui ont toujours été les premières en ma créance
sert au contraire à rétablissement de ses principales vérités. Car la
foi
chrétienne ne va principalement qu’à établir ces
ôt les erreurs où les derniers de ses pères, déserteurs de l’ancienne
foi
, l’avaient engagé. Heureux présages pour la maiso
e victoire, celle qui met sous nos pieds le monde entier, c’est notre
foi
. » Jouissez, prince, de cette victoire ; jouissez
erdu la charité ; morts secondement, parce qu’ils ont même arraché la
foi
: « arbres infructueux et déracinés228 », qui ne
elle s’égare, ou elle succombe230 Cependant vous ne voulez pas que la
foi
vous prescrive ce qu’il faut croire. Aveugle231,
s pas qu’en attendant que Dieu se montre à découvert ce qu’il est, la
foi
vienne à votre secours, et vous apprenne du moins
cherons à la vie, plus la fin en sera amère. Nous savons qu’il est de
foi
que tous ceux qui ne vivront pas dans la vigilanc
ibles comparaisons pour nous effrayer. En ce point l’expérience et la
foi
sont d’accord ; nous le savons, et rien ne peut g
ler une alliance avec Rome et avec Sparte, sans déclarer en esprit de
foi
qu’elle ne s’appuie que sur les promesses de son
èles n’ont pas eu besoin de s’assembler pour les détruire. Hélas ! la
foi
et la patience étaient le seul glaive que vous le
ever son couper sans l’interrompre et sans l’avertir de rien : sur la
foi
de Fagon et le silence public, il croyait Monseig
es forteresses étant rares, le premier rempart de l’autorité était la
foi
promise et la foi reçue. On sent quel échec l’aut
nt rares, le premier rempart de l’autorité était la foi promise et la
foi
reçue. On sent quel échec l’autorité souveraine r
e en lui que tempérée par la douceur383. Vanité du bonheur sans la
foi
chrétienne. Heureux sont ceux dont l’esprit s
n paternel ; vous faites briller à leurs yeux le flambeau sacré de la
foi
; l’envie n’entre pas dans leur cœur ; l’ambition
ttendent rien ; ils n’ont pas mis en eux leur dernière ressource ; la
foi
seule est leur saint asile, leur inébranlable sou
it naître, Où déjà sa bonté, prête à me couronner, Daigne éprouver la
foi
qu’il vient de me donner404. NÉARQUE. Ce zèle est
sembler dure ? Je suis chrétien, Néarque, et le suis tout à fait, La
foi
que j’ai reçue aspire à son effet : Qui fuit croi
’ai reçue aspire à son effet : Qui fuit croit lâchement et n’a qu’une
foi
morte. NÉARQUE. Ménagez votre vie, à Dieu même el
er, dans son âme le nie ; Il croit le pouvoir faire406 et doute de sa
foi
. NÉARQUE. Qui n’appréhende rien présume trop de s
t’en mets plus en peine…416 Acte V, scène III. Profession de
foi
de Polyeucte. Félix, Polyeucte, Pauline. POLYEUC
je consens qu’il périsse. Acte V, scène V. Pauline embrasse la
foi
chrétienne. Félix, Pauline, Albin. PAULINE. Père
re : Mais je vous ai laissé désarmer mon courroux. À Rodogune. Sur la
foi
de ses pleurs je n’ai rien craint de vous, Madame
r ouvert de tout jeter sur moi, Son récit s’est trouvé digne de votre
foi
. Vous l’accusiez pourtant, quand votre âme alarmé
fat. Quel avantage a-t-on qu’un homme vous caresse, Vous jure amitié,
foi
, zèle, estime, tendresse, Et vous fasse de vous u
parler, Tant ce raisonnement est plein d’impertinence ! PHILINTE. Ma
foi
, vous ferez bien de garder le silence. Contre vot
roi je fais quelque figure ; Il m’écoute, et dans tout il en use, ma
foi
, Le plus honnêtement du monde avecque moi. Enfin
Mais, mon petit monsieur, prenez-le532 un peu moins haut. ALCESTE. Ma
foi
, mon grand monsieur, je le prends comme il faut.
préparé la plus noire ! Ne vous souvient-il plus, cœur ingrat et sans
foi
, Plus que tous les Romains conjuré contre moi, De
fils insolent que vous ne verrez plus. Sans vous parer pour lui d’une
foi
qui m’est due, Perdez-en la mémoire aussi bien qu
jours présent à ma pensée ; Toujours je vous croirais incertain de ma
foi
: Et le tombeau, seigneur, est moins triste pour
n’en perdrait que l’amour de son père, Il en mourra587, seigneur. Ma
foi
ni mon amour Ne seront point le prix d’un si crue
s ce secret courroux, Cette oisive vertu, vous en contentez-vous ? La
foi
qui n’agit point, est-ce une foi sincère ? Huit a
e vertu, vous en contentez-vous ? La foi qui n’agit point, est-ce une
foi
sincère ? Huit ans déjà passés627, une impie étra
s ? ABNER. Mais sur la
foi
d’un songe. Dans le sang d’un enfant voulez-vous
e apprend que son premier fiancé, à qui elle avait librement donné sa
foi
, Zamore, l’un des chefs américains qui combattent
Non : je revis pour toi ; Je réclame à tes pieds tes serments et ta
foi
. Ô moitié de moi-même ! idole de mon âme ! Toi qu
le crime ; Frappe. ZAMORE. Que me dis-tu ? Quoi, tes vœux ! quoi, ta
foi
. ALZIRE. Frappe, je suis indigne et du jour et de
oi, lorsque l’amour m’accuse. Tu vis, il me suffit. Je t’ai manqué de
foi
; Tranche mes jours affreux, qui ne sont plus pou
ire, est la loi d’un Dieu même. J’ai connu l’amitié, la constance, la
foi
; Mais tant de grandeur d’âme est au-dessus de mo
s il lui reprochait « de n’avoir pas marqué dans ses Maximes assez de
foi
à la vertu. » C’est ce qui fait que J.-J. Roussea
. » 222. Alors ce terme avait une signification plus étendue et plus
foi
le qu’aujourd’hui. 223. Saint Jean, 1re Épître,
ment rappelé. 232. Qui vous refusez (à vous-même) la conduite (de la
foi
). 233. Cf. Massillon, Carême, mardi de la quatr
nous avoir désespérés, en nous faisant entrevoir les espérances de la
foi
. 272. Le prince Joseph-Clément de Bavière, évêqu
que cet enthousiasme qui porte Polyeucte à confesser généreusement sa
foi
: c’est le néophyte qui court au-devant du martyr
croit pouvoir se défier de sa force, et véritablement il doute de sa
foi
» ; mais il faut avouer que l’expression trop con
n’est pas seulement Pauline, c’est Félix lui-même qu’il engendre à la
foi
chrétienne. La conversion de celui-ci termine la
tienne. La conversion de celui-ci termine la tragédie. Il proclame sa
foi
nouvelle et convie ceux qui l’entourent à recueil
et tel fut mon devoir ; De ce monde opprimé Zamore était l’espoir Sa
foi
me fut promise, il eut pour moi des charmes, Il m
Ici commencent l’égoïsme et le rêve : pendant quelque temps et sur la
foi
de ce qu’il a déjà fait, on suit le grand homme d
pas de Washington, dans cette longue carrière. Mais pas un moment sa
foi
et son espérance ne furent ébranlées. La même éne
iction, dans un état de doute et de fluctuation continuelle. Il avait
foi
en Dieu et en lui-même. C’est qu’il joignait à ce
découvert le nouveau monde, mais d’être parti pour le chercher sur la
foi
d’une idée. » Que l’occasion fût grande ou petite
Washington, convaincu, n’hésitait jamais à se porter en avant, sur la
foi
de sa conviction. On eût dit, à sa résolution net
Dieu visible à l’ombre des symboles, Dans l’esprit grandissant où sa
foi
veut grandir, Au lieu de le voiler, le faire resp
s la religion elle-même, n’attire vers Dieu, ne révèle Dieu, comme la
foi
et la bonne foi de l’enfant, comme son cœur, sa v
range est venu jusqu’à moi, Seigneur ; je l’ai jugé trop peu digne de
foi
. On dit, et sans horreur je ne puis le redire, Qu
sseins odieux, Je vous laisse immoler votre fille à mes yeux ? Que ma
foi
, mon amour, mon honneur y consente ? AGAMEMNON. M
ule dépositaire : Content de son hymen, vaisseaux, armes, soldats, Ma
foi
lui promit tout, et rien à Ménélas. Qu’il poursui
igneur, vous servez comme un autre ; Et nous, qui jugeons tout sur la
foi
de nos yeux, Et laissons le dedans à pénétrer aux
mple à la fois m’instruit et m’autorise ; Je juge, comme vous, sur la
foi
de mes yeux, Et laisse le dedans à pénétrer aux D
us, il a fallu me rendre. Je ne veux point encore, en lui manquant de
foi
, Donner à sa vertu des armes contre moi. J’oppose
, rentre chez toi. (En le conduisant jusqu’à son appartement.) Sur la
foi
d’un ami, dors d’un sommeil tranquille. (Après av
juste et cruelle envers moi. Seule, sans défiance, en vous mettant ma
foi
, Comme une suppliante enfin, j’étais venue ; Et v
gré les saintes lois de l’hospitalité, Malgré le droit des gens et la
foi
réclamée, Dans les murs d’un cachot vous m’avez e
os travaux depuis leur origine ; Je puis entièrement m’assurer sur sa
foi
, Car, en un mot, monsieur, ce successeur c’est mo
lace ! je suis des vôtres. Vous, monsieur, vous n’avez ni principe ni
foi
, Et votre avancement est votre seule loi ; Touche
, c’est ainsi que je voi ; Qui vend son cœur vendra son honneur et sa
foi
; Et si tu consommais l’acte où l’on te convie, J
ions les plus solennelles ne garantissaient pas notre respect pour la
foi
publique, notre horreur pour l’infâme mot de banq
miers aux nations le spectacle d’un peuple assemblé pour manquer à la
foi
publique ? Je ne vous dis plus. Eh ! quels titres
e loi qui nie la morale est une loi athée ; une loi qui se joue de la
foi
donnée et reçue est le renversement de la société
réalité, ceux que les peuples suivent en tout genre, parce qu’ils ont
foi
en eux et qu’ils les considèrent comme leurs inte
i-même, et si je l’admire, c’est avec pleine connaissance, non sur la
foi
des traditions. Raphaël respire encore et parle d
n’était pas son métier, et qu’il aimait mieux s’en aller à Paris. Ma
foi
! la colère me monte à la tête : je songeai que c
is rassurée. Vous êtes philosophe, disait-il ; je le suis de même. Ma
foi
, sire, nous ne le sommes ni l’un ni l’autre. Ma c
tout pour moi, que m’importe le reste ! Horace Vernet 99. La
Foi
catholique Nous étions sûrs de voir un jour o
se tourner à votre bien, et votre âme revenir à la tranquillité de la
foi
. Qui sait si le moment n’est pas venu ! Vous avez
ouillé bien des fois mon chevet de larmes de désespoir, j’ai assis ma
foi
sur un raisonnement qui peut se proposer au maçon
ilà, mon cher ami, le court raisonnement qui m’ouvre les portes de la
foi
; mais, une fois entré, je suis tout éclairé d’un
le ainsi cette expérience de chaque jour, qui me fait trouver dans la
foi
de mon enfance toute la lumière de mon âge mûr, t
cider ; rendez-vous à ce Sauveur qui vous sollicite. Livrez-vous à la
foi
comme s’y sont livrés vos amis : vous y trouverez
el sur votre volonté chancelante. Ayez ce courage, cher ami, et cette
foi
, que vous admirez chez notre pauvre ami L…, qui l
ont-ils reçu les nobles principes : Qu’il est plus beau de garder la
foi
donnée que de la trahir ; qu’il y a de la dignité
s amis… Sachons-le pourtant, il ne faut pas se croire dispensé par la
foi
de la fatigue et des veilles. Le travail, châtime
la vie quelqu’une de ces âmes énervées qui se plaignent de manquer de
foi
, qui ne savent où se prendre, et vont cherchant p
upière ; Et l’espoir près de toi rêvant sur un tombeau, Appuyé sur la
foi
, m’ouvre un monde plus beau ! Viens donc, viens d
éanmoins le genre humain, défendu contre le prestige des sens par une
foi
puissante et par un sentiment invincible, ne vit
s et non leurs intérêts. C’est le despotisme qui peut se passer de la
foi
, mais non la liberté. La religion est beaucoup pl
e. Absorber la philosophie dans la religion n’a donné à Pascal qu’une
foi
pleine de contradictions et d’angoisses ; absorbe
consens. — Où sont-ils, ces faiseurs de systèmes, Qui savent, sans la
foi
, trouver la vérité, Sophistes impuissants qui ne
r jusqu’aux cieux il vous fallait des ailes ; Vous aviez le désir, la
foi
vous a manqué. Je vous plains ; votre orgueil par
ous releva de notre emploi, et se mit à frapper sur l’instrument ; ma
foi
! j’aurais voulu être peintre, cela aurait fait u
ns persuasives. Nul n’a plus contribué à raviver sans superstition la
foi
classique, et à convertir les indifférents à la r
ssuet. 1. Cette page est animée par l’accent d’une conviction, d’une
foi
littéraire et morale. Il faut retenir ces fortes
leur, la procession d’une Fête-Dieu champêtre, ou qui prend part avec
foi
et ferveur, le long des blés courbés ou desséchés
remblant espoir du chrétien, et redisant volontiers, comme lui, d’une
foi
brûlante et soupirante : « O bienheureux purgatoi
t donc vous ? c’est vous que je revois ! Martyr, ainsi que moi, de la
foi
de nos pères, Le Dieu que nous servons finit-il n
ng sont un don de ce roi, Si grand par sa valeur et plus grand par sa
foi
. Je le suivis, seigneur, aux bords de la Charente
eux… C’est ton père, c’est moi, C’est ma seule prison qui t’a ravi ta
foi
. Ma fille, tendre objet de mes dernières peines,
est devenue ce qu’elle devait devenir. Semez donc, mais en esprit de
foi
; semez, mais en sachant que vous semez pour un t
à sa traduction des Évangiles : « Après l’esprit de dévouement et de
foi
, d’inébranlable foi, la première condition de l’a
Évangiles : « Après l’esprit de dévouement et de foi, d’inébranlable
foi
, la première condition de l’apostolat est l’indép
beau, plus elle se montre pure et brillante aux mortels consolés. La
foi
et la charité lui disent : Ma sœur ! Elle se nomm
e nous montre le ciel, séjour du bonheur parfait. C’est la sœur de la
foi
et de la charité. Cette image, plus sensible que
rance, ses moyens de plaire, et ses effets. Le genre est à la fin, La
foi
et la charité lui disent : ma sœur ! C’est donc u
le plus ordinairement un événement religieux, qu’admet volontiers une
foi
simple et pure. L’écrivain doit s’identifier ici
s ; si la narration légende fait respirer le parfum du style et de la
foi
de nos pères. 2° Si au fond les narrations fictiv
elle Chrysé, t’abandonnant aux voiles, T’éloigner de nos bords sur la
foi
des étoiles ? Dieux ! je t’ai vue en songe, et, d
André Chénier fut philosophe et moraliste. Il eut les lumières et la
foi
en tous les progrès ; la barbarie, sous quelque f
avec peu d’argent ! Valère. Oui. Maître Jacques, à Valère. Par ma
foi
, monsieur l’intendant, vous nous obligerez de nou
our conduire à la foire… Maître Jacques. Vos chevaux, monsieur ! Ma
foi
, ils ne sont point en état de marcher. Je ne vous
se ? Le maître de philosophie. Oui, monsieur. M. Jourdain. Par ma
foi
! il y a plus de quarante ans que je dis de la pr
, que son esprit s’est égaré dans la considération de l’avenir, et sa
foi
affaiblie par la longueur d’un temps qui ne venai
n’était pas son métier, et qu’il aimait mieux s’en aller à Paris. Ma
foi
! la colère m’a monté à la tête : je songeai que
nzague116 convertie par une vision. En cet état, chrétiens, où la
foi
même est perdue, c’est-à-dire où le fondement est
« Et, dit-elle, il se répandit dans mon cœur une joie si douce et une
foi
si sensible, qu’il n’y a point de paroles capable
attiré à lui le monde devenu chrétien. Nous devons trembler si notre
foi
résiste aux effets du miracle incontestable et to
la vertu de Dieu pour tous ceux qui sont éclairés des lumières de la
foi
: Non erubesco Evangelium ; virtus enim Dei est o
seul est plus que suffisant pour soumettre les gentils au joug de la
foi
et pour les faire renoncer à toutes la sagesse mo
; il s’agit d’y trouver l’établissement et l’affermissement de notre
foi
: et c’est, avec la grâce de mon Dieu, ce que j’e
et ce qui demande toute la soumission et toute l’obéissance de notre
foi
; mais aussi est-ce dans ce grand mystère que not
ance de notre foi ; mais aussi est-ce dans ce grand mystère que notre
foi
a triomphé du monde : Et hæc est victoria quæ vin
uger que le voyant descendre de la croix ils eussent été de meilleure
foi
, et plus disposés à lui rendre la gloire qui lui
est arrivé : ce qui fut pour les chrétiens de ce temps-là un point de
foi
a cessé en quelque façon de l’être pour nous, pui
chrétien, le monde sanctifié par sa croix ; nous le voyons, et notre
foi
, malgré ce miracle, est toujours languissante et
souvenez-vous que son sang coule dans vos veines, et que l’esprit de
foi
qui l’a sanctifié doit être la vie de votre cœur.
nie271. (Fragment.) Conversion du monde barbare, propagation de la
foi
évangélique au-delà des mers ; triste sort de bea
nts de ses desseins ; ainsi l’homme s’agite, mais Dieu le mène275. La
foi
plantée dans l’Amérique, parmi tant d’orages, ne
ent que prier, se cacher, souffrir, espérer. Ô aimable simplicité ! ô
foi
vierge ! ô joie pure des enfants de Dieu ! ô beau
mes frères, des yeux baignés de larmes sur ces vastes régions d’où la
foi
s’est levée sur nos têtes, comme le soleil. Que s
son cours et ne laisse dans l’ancien canal que des sables arides. La
foi
ne s’éteindra point, je l’avoue ; mais elle n’est
e porte ses rayons à des yeux plus purs. Que ferait plus longtemps la
foi
chez des peuples corrompus jusqu’à la racine, qui
les de Jésus-Christ. Ô Évangile ! est-ce là ce que vous enseignez ? Ô
foi
chrétienne ! vengez-vous ; laissez une éternelle
dommage : Cruelle occasion du souci qui me nuit ! Quand j’avais de ma
foi
l’innocence première, Si la nuit de la mort m’eût
Ils avaient averti leurs gens secrètement. Les chiens, qui, sur leur
foi
, reposaient sûrement, Furent étranglés en
J’en conviens : mais de quoi sert-elle Avec des ennemis sans
foi
? Liv. III, fab. 13. Les deux pigeons.
est bien malaisé de régler ses désirs : Le plus sage s’endort sur la
foi
des zéphyrs576. Jamais un favori ne borne sa carr
BÉLISE. C’est par un désespoir où j’ai réduit leurs feux. ARISTE. Ma
foi
, ma chère sœur, vision toute claire. CHRYSALE, à
t ? CHRYSALE, bas. Ma
foi
, je ne sais pas. PHILAMINTE. Elle est d’humeur en
ARTINE. Ma
foi
! Qu’il vienne de Chaillot, d’Auteuil ou de Ponto
e instance, Doit être à le nourrir du suc de la science. CHRYSALE. Ma
foi
, si vous songez à nourrir votre esprit614, C’est
rière entre mon fils et moi ? Ne l’osez-vous laisser un moment sur sa
foi
? Entre Sénèque et vous disputez-vous la gloire À
au champ de Mars nomme ses magistrats ; César nomme les chefs sur la
foi
des soldats ; Thraséas au sénat, Corbulon dans l’
-je ? à son épouse724 on donne une rivale ; On affranchit Néron de la
foi
conjugale : Digne emploi d’un ministre ennemi des
leur erreur. On verra d’un côté le fils d’un empereur Redemandant la
foi
jurée à sa famille, Et de Germanicus on entendra
us, il a fallu me rendre. Je ne veux point encore, en lui manquant de
foi
, Donner à sa vertu des armes contre moi. J’oppose
n. Cher comte !… Nous voilà grands amis, ce me semble783. LISIMON. Ma
foi
, je suis ravi que nous logions ensemble. LE COMTE
D’éprouver désormais toute votre bonté. LISIMON, à Lycandre. Il a, ma
foi
, raison. Par ce qu’il vient de faire Je jugerais,
l’homme sur l’abîme où sa demeure flotte, Vogue avec volupté, sur la
foi
du pilote… 242. Me préoccupe… 243. Ainsi La B
subjugue les esprits et leur impose par le raisonnement le joug de la
foi
, Massillon les attire à la religion par tout ce q
, c. i et suiv.).Les Romains n’avaient guère le droit de parler de la
foi
punique avec tant d’indignation. 317. Corneille,
l’infini. Quelle belle et vaste carrière pour le génie du poète ! La
foi
religieuse, en animant ses récits, leur donne une
ait pas l’opinion de Boileau, qui dit, dans-son Art poétique : De la
foi
d’un chrétien les mystères terribles D’ornements
elle s’égare, ou elle succombe ! Cependant vous ne voulez pas que la
foi
vous prescrive ce qu’il faut croire5 ! Aveugles,
c pas qu’en attendant que Dieu se montre à découvert ce qu’il est, la
foi
vienne à votre secours et vous apprenne du moins
est bien malaisé de régler ses désirs : Le plus sage s’endort sur la
foi
des zéphyrs. (La Fontaine, Élègie aux nymphes de
ritannicus, acte II, se. iii.) Monologue de petit jean 3 Ma
foi
! sur l’avenir bien fou qui se fiera, Tel qui rit
ne fais que bâiller. Mais, veille qui voudra, voici mon oreiller. Ma
foi
! pour cette nuit, il faut que je m’en donne. Pou
r. Dandin. Aux galères. Léandre. Un chien Aux galères ! Dandin. Ma
foi
, je n’y conçois plus rien ; De monde, de chaos, j
émonie : « Quoi ! vous ennuyez-vous en notre compagnie ? Non, non, ma
foi
, dit-il, il n’ira pas ainsi11, Et puisque je vous
veurs au mérite données Feront ressusciter l’excellence des arts. La
foi
de ses aïeux, ton amour et ta crainte, Dont il po
fère plus tes bonnes destinées ; Mon Apollon t’assure, et t’engage sa
foi
Qu’employant ce Tiphys51, Syrtes et Cyanées52
on sans le secours de l’amour humain sanctifié par les lumières de la
foi
. Comme l’a dit l’auteur lui-même, les transports
bons yeux ; Et qui n’adore pas de vaines simagrées, N’a ni respect ni
foi
pour les choses sacrées. Allez, tous vos discours
t ajuster leur zèle avec leurs vices, Sont prompts, vindicatifs, sans
foi
, pleins d’artifices, Et, pour perdre quelqu’un, c
Hector. N’allez pas sur les points vous débattre ;
Foi
d’honnête garçon, je n’en puis rien rabattre. Les
IV.) Le Marquis, Nérine. Le Marquis. Homme de cour, moi ! non. Ma
foi
, la cour m’ennuie. L’esprit de ce pays n’est qu’e
, La mort viendra prendre sur soi Le soin de dégager ma
foi
, Et réduira sous sa puissance L’élé
seulement pour interpréter les chants divins de David ! Il n’a pas de
foi
, pas de passion, pas d’inspiration : c’est un fai
i-Jules-Armand- Philogène-Louis… M. Josse. Oh ! quelle kyrielle ! Ma
foi
, sur tant de noms ma mémoire chancelle. (Il répèt
e la religion l’emporte sur les vertus de la nature. Il rend ici à la
foi
un hommage franc et énergique. Le principal perso
poésie. Il manque à la Henriade l’âme, la chaleur, la conviction, la
foi
, l’enthousiasme. L’inspiration est affectée, le s
aîté de l’épaisse opulence ; Tant de petits talents où je n’ai pas de
foi
; Des réputations on ne sait pas pourquoi ; Des p
d’une vaine fumée, Le monde entier se réveille pour eux. Mais, sur la
foi
de l’onde pacifique, À peine ils sont mollement e
teur. Tout s’achète. Il est riche ; il fera des merveilles ; Mais, ma
foi
, ce bonnet, n’en déplaise au payeur, Sera diablem
oint dur, insolent ni fier, Et me rappellerai ce que j’étais hier. Ma
foi
, j’aime déjà ma ferme à la folie. Moi, gros fermi
loin du lit les funèbres flambeaux, Et, d’un œil que la
foi
rassure, Regarde sans pâlir le crucifix de bois Q
art ; Et, pour quitter ce monde, attends du moins ta mère. » Ainsi la
foi
l’anime et l’espoir la soutient. Mais par quels s
spoir, de pureté ! Tant d’aspirations vers son Dieu répétées, Tant de
foi
dans la mort, tant de vertus jetées En
la vie féodale et imprégnée d’un délicieux parfum de chevalerie et de
foi
. Enfin, en 1820, il donne un recueil qui annonce
contemporains. Le poète des Orientales n’a plus l’enthousiasme et la
foi
du poète des Odes et Ballades. Il a peur même du
(1837), il continue à fuir le jour de la pensée et les clartés de la
foi
. Sa poésie, égarée par l’indépendance littéraire
de l’âme. Ses défauts nous apparaissent agrandis, lorsque, poète sans
foi
, il veut aborder le monde surnaturel pour l’affir
858), les Voix du silence (1865), marquent un progrès continu dans la
foi
comme dans le talent du poète. Les Symphonies cél
les, Des idoles qu’encense un vulgaire hébété ; Vous dressez, pour ma
foi
qui se perd dans les villes, Deux autels : l’un à
u’ici-bas l’homme ne peut connaître. Mais il avait une ancre dans sa
foi
, Qui le gardait des écueils de la route, Et le me
de l’entendre. » Il se remet en marche, et dans son cœur, Qu’avec la
foi
l’espérance illumine, De ses bontés rendant grâce
e plus grande part de la Divinité. » Ce n’est pas là, on le voit, la
foi
bretonne. Paris avait effacé les traces de Lorien
contraignant le sceptre et le glaive à s’humilier sous le joug de la
foi
chrétienne. On rencontre dans ce drame des scènes
tis, Si je ne leur offrais que des faits travestis. Gardez tous votre
foi
; la foi, c’est l’héroïsme ; Je ne conseille pas
e ne leur offrais que des faits travestis. Gardez tous votre foi ; la
foi
, c’est l’héroïsme ; Je ne conseille pas l’impuiss
ille pas l’impuissant scepticisme. Mais le seul examen fait la solide
foi
; Si vous osez juger, Français, regardez-moi. »
le habitude. George. Je comprends tout cela, monsieur ; mais j’ai la
foi
. Les longs travaux n’ont rien de rebutant pour mo
George réplique : George. Je la connais, monsieur, et réponds de sa
foi
. Le Notaire. Je le veux ; mais le père imposera
Bernard-Derosne, que cette liberté fût discrète et n’offensât aucune
foi
; mais le doute est violent comme toute angoisse,
s De tes mauvais discours ; et tes impertinences… Hector, à part. Ma
foi
! la vérité répond aux apparences. Valère. Ma ro
es prendrais-je, dis ? Hector. >Où les prendrais-je, dis ?>Ma
foi
, je n’en sais rien. Pour nippes nous n’avons qu’u
ions les plus solennelles ne garantissaient pas notre respect pour la
foi
publique, notre horreur pour l’infâme mot de banq
miers aux nations le spectacle d’un peuple assemblé pour manquer à la
foi
publique ? Je ne vous dis plus : Eh ! quels titre
— ressemble à une ligne de prose : tels sont les vers suivants : Ma
foi
, j’étais un franc—portier de comédie. Racine.
un terminé par une voyelle, l’autre par une consonne, ne riment pas :
foi
et exploit ; songea et orgeat. Un mot qui finit p
mbeau, plus elle se montre pure et brillante aux mortels consolés. La
Foi
et la Charité lui disent : « Ma sœur », et elle s
. Cette page fut écrite à l’époque où une crise morale le ramena à la
foi
; il disait ailleurs : « Ma mère, après avoir ét
long. Tout petits, vous aimiez les contes de fées avec l’ardeur d’une
foi
naïve ; plus grands, l’ogre vous trouvait incrédu
us égarer dans les broussailles de la rhétorique, nous allons, sur la
foi
de cet excellent guide, suivre la marche de l’élo
que et destructive, c’était un siècle ardent et sincère, un siècle de
foi
et de désintéressement. Il avait foi dans la véri
ardent et sincère, un siècle de foi et de désintéressement. Il avait
foi
dans la vérité, car il a demandé pour elle le dro
, car il a demandé pour elle le droit de régner en ce monde. Il avait
foi
dans l’humanité, car il lui a reconnu le droit de
astes, époque de poésie et de science, de mélancolie découragée et de
foi
dans le progrès, sa littérature recevra son carac
du vrai dans tous les systèmes. Cette critique est née surtout de la
foi
au progrès, de sorte que tous les systèmes, selon
oquence de la chaire subissait, en effet, une transformation, et leur
foi
, comme leur goût, s’en inquiétait. Bossuet avait
. Déjà, chez Bourdaloue, la place faite au mystère qui s’adresse à la
foi
, avait été restreinte au profit de la morale qui
our un peu de temps, peut suppléer à la vertu. Mais les combats de la
foi
sont des combats de tous les jours : on a affaire
vertu : un prince de ce caractère est le plus grand spectacle que la
foi
puisse donner à la terre ; une seule de ses journ
mme les plus grossiers, les plus infidèles comme les plus soumis à la
foi
. Car, remontez jusqu’à la naissance des siècles,
à mes dépens. Chacun me lança son trait et le capitaine me dit : « Ma
foi
, Gil Blas, je te conseille en ami de ne plus te j
on dit que je conserve encore, car je devins stoïcien de la meilleure
foi
du monde, mais stoïcien à lier ; j’aurais voulu q
a quelques observations à faire sur ce qu’elle vient d’entendre. » Ma
foi
, non, monsieur, répond-elle en souriant au magist
miers aux nations le spectacle d’un peuple assemblé pour manquer à la
foi
publique ? Je ne vous dis plus : Eh ! quels ti
es de Chateaubriand. Sans doute, dans le retour de Chateaubriand à la
foi
chrétienne il ne faut pas diminuer la part qui es
ses. Il fut aisé de montrer qu’en déprimant la raison au profit de la
foi
, en cherchant autre part que dans la raison le cr
criterium de la vérité, Lamennais renversait le fondement même de la
foi
. Comment concilier son hautain mépris pour la rai
igée est légitime et nécessaire ? C’est là conduire les âmes non à la
foi
mais au scepticisme. Dans le même temps, Lamennai
lible du vrai415. Il ne fait pas une démarche qui ne prouve sa pleine
foi
en quelque vérité, dont il n’a d’autre certitude
8. Faible chrétien, sursum corda ! attache à ton cœur les ailes de la
foi
aussi bien que celles de l’amour, afin qu’il s’en
C’est par là qu’à certaines époques de la vie des peuples, lorsque la
foi
religieuse n’est ni conquérante ni menacée, lorsq
histoire des armes nouvelles pour la cause qu’il avait embrassée avec
foi
et ardeur. Un problème surtout passionnait sa cur
Mais le duc refusa durement, et dit que l’homme qui avait menti à sa
foi
et à sa religion n’aurait d’antre sépulture que l
nonce le terme de mes misères. » Se regardant comme une victime de la
foi
religieuse, elle ressentit la joie pure du martyr
à l’Église. Il avait moins à démontrer qu’à exposer les vérités de la
foi
, à faire suivre leur enchaînement, à dégager surt
lors à rester en France, il se consacra tout entier au triomphe de sa
foi
. Avec Montalembert, il voulut fonder la liberté d
’il n’est plus sensation et imagination, il aborde les contrées où la
foi
commence, où se forme l’alliance divine de toutes
adversités de sa vie. Détruisez l’intime accord de la raison et de la
foi
dans les profondeurs de l’intelligence ; poussez
Et fait briller la sagesse Dans les plus faibles enfants. Soutiens ma
foi
chancelante, Dieu puissant ; inspire-moi Cette cr
e apprend que son premier fiancé, à qui elle avait librement donné sa
foi
, Zamore, l’un des chefs américains qui combattent
?Non : je revis pour toi ; Je réclame à tes pieds tes serments et ta
foi
. O moitié de moi-même ! idole de mon âme ! Toi qu
e ; Frappe. ZAMORE. Frappe.Que me dis-tu ? Quoi, tes vœux ! quoi, ta
foi
… ALZIRE. Frappe, je suis indigne et du jour et de
oi, lorsque l’amour m’accuse. Tu vis, il me suffit. Je t’ai manqué de
foi
; Tranche mes jours affreux, qui ne sont plus pou
ire, est la loi d’un Dieu même. J’ai connu l’amitié, la constance, la
foi
; Mais tant de grandeur d’âme est au-dessus de mo
uvante et la fuite. Puissent tous ces sept chefs, qui t’ont juré leur
foi
, Par un nouveau serment s’armer tous contre toi !
peinture, Brûlait de visiter cette demeure obscure, De notre antique
foi
vénérable berceau. Un fil dans une main et dans l
Et l’homme sur l’abîme où sa demeure flotte Vogue avec volupté sur la
foi
du pilote ! Soleils ! mondes errants qui voguez a
éfléchi et exprimé les plus divers aspects et les plus contraires. La
foi
monarchique et chrétienne, la passion de la liber
es qui le condamnent et celles qui l’honorent, les révoltes contre la
foi
et les regrets de l’avoir perdue, les railleries
ieuses : elles ont beaucoup pardonné à un poète qui, « à défaut de la
foi
, avait le don des larmes823. » Né à Paris en 1810
consens. — Où sont-ils, ces faiseurs de systèmes, Qui savent, sans la
foi
, trouver la vérité, Sophistes impuissants qui ne
r jusqu’aux cieux il vous fallait des ailes ; Vous aviez le désir, la
foi
vous a manqué. Je vous plains ; votre orgueil par
vangéliques (1852) marquaient, chez M. de Laprade, non un retour à la
foi
chrétienne, mais un redoublement de ferveur pour
rappé d’une balle dans un engagement. A son lit de mort, il a reçu la
foi
de Pernette. Celle-ci désormais restera et vieill
naire ! Pourquoi pas portefaix ou commissionnaire ? RODOLPHE. Eh ! Ma
foi
, j’en connais qui te valent. — Enfin, Il faut pre
lace ! Je suis des vôtres. Vous, monsieur, vous n’avez ni principe ni
foi
, Et votre avancement est votre seule loi ; Touche
c’est ainsi que je voi ; Qui vend son coeur vendra son honneur et sa
foi
; Et si tu consommais l’acte où l’on te convie, J
ntentement de l’esprit en possession de la vérité. 78. Vous aurez la
foi
qui enseigne l’immortalité de l’âme. Cette conclu
si : « Louis s’humilia sous la main qui s’appesantissait sur lui : sa
foi
ôta même à ses malheurs la nouvelle amertume que
martine, et fera jaillir du cœur et des lèvres du chrétien un acte de
foi
envers la Providence, qui n’a entouré d’ombre ce
arde qui je suis, et marche sans murmure, Comme fait la nature Sur la
foi
de son Dieu. On pourra rapprocher de cette page
public n’est pas assez persuadé. Je sais de personnes bien dignes de
foi
et de respect, qui l’ont connu de près à Bruxelle
t tel fut mon devoir : De ce monde opprimé Zamore était l’espoir : Sa
foi
me fut promise, il eut pour moi des charmes, Il m
, bene vixit… 650. Revoir à l’acte ii, scène i, la profession de
foi
du méchant lui-même : On me craint, on m’estime,
e et se rapproche presque à son insu du sombre génie qui a révolté sa
foi
, mais fasciné son imagination. Quelle tristesse,
N° 27. — À l’empereur Théodose. Prince, vous avez du zèle pour la
foi
, vous avez la crainte du Seigneur : Je suis bien
ain ; le plus puissant mobile pour porter l’homme au bien, puisque la
foi
le met sans cesse sous l’œil de la Divinité, et q
angoisses, sans l’environner des consolations de l’espérance et de la
foi
, sans prier à ses côtés le Dieu qui mourut pour e
en sorte que le pauvre, dans l’ordre de la Providence, est tout à la
foi
; un juge qui tient dans sa main le sort des gran
CAPIN, tendant toujours la main. Oui. GÉRONTE, de même. Un homme sans
foi
, un voleur ! SCAPIN. Laissez-moi faire ! GÉRON
terre, et pendant que le vieillard se pénétrait de vifs sentiments de
Foi
, d’Espérance et de Charité, il le toucha délicate
s les plus fidèles et sur qui l’homme doit compter davantage, sont la
foi
, l’espérance, l’amour de Dieu, la charité, la bie
violence sans nuire à sa liberté, et est par conséquent la mère de la
foi
. C’est pourquoi Jésus-Christ dit : Demandez et il
e rassemblent et se pressent en frissonnant. Les oiseaux, qui, sur la
foi
du jour, ont pris leur essor dans les airs, surpr
t de ralliement la reine Marte ; les parlementaires, fermes dans leur
foi
, marchaient, en chantant : Dieu est avec nous. Le
er, en apercevant ces joyaux appendus au cou du prince.... — Tu as ma
foi
raison, » dit l’autre… Et aussitôt sa main s’avan
t le cadi, il a appris d’un certain marchand que tu es un homme sans
foi
, que la justice punira comme il le mérite, s’il l
oi ; tu es mon ami, et je suis le tien. On m’avait fait soupçonner ta
foi
; il me fallait éprouver ton honnêteté, pour m’as
peinture, Brûlait de visiter cette demeure obscure, De notre antique
foi
vénérable berceau, Un fil dans une main et dans l
e leurs mains. J’avais pour compagnon un jeune homme d’une figure… ma
foi
comme ce monsieur que nous vîmes au Raincy, vous
e croyait au Père, au Fils et au Saint-Esprit, et si elle tenait à la
foi
de la sainte Église. Elle répondit à toutes ces q
race princière à Sulgen, petite ville de Souabe, un de ces hommes de
foi
sublime, comme Dieu en faisait naître en ce temps
doutes cruels que l’on pourra inspirer à d’autres sur la pureté de ma
foi
! Je veux que vous n’ayez pas à vous tenir en gar
èvent dans quelques-uns de vos rangs. Pour moi, tel est le cri que la
foi
m’inspire : je suis chrétien ; chrétien, je serai
acré la mémoire par un culte religieux. Aussi inébranlables dans leur
foi
qu’incapables de se révolter contre leurs princes
erons un abri derrière un bouclier dont l’airain plus puissant que la
foi
protégera nos vies. Et vous vous dites chrétiens,
ides dans les batailles ; vous n’en êtes pas moins des lâches dans la
foi
, vous qui reculez devant la preuve du martyre, vo
our heureux où elles pourront se reposer de leur long travail dans la
foi
, sous la protection de nos armes victorieuses : l
s chrétiens ! Laissez donc là ces armes menaçantes ; le courage et la
foi
suffiront ici pour assurer votre triomphe. Vous ê
résistance. Apprenez aux générations à venir, qu’intrépides dans leur
foi
, les chrétiens peuvent braver les menaces d’une p
nom, à son honneur le plus grand de tous les malheurs, la perte de la
foi
. Ah ! mon fils, à ces mots j’eusse expiré sans t
le. C’est ton père, c’est moi, C’est ma seule prison qui t’a ravi ta
foi
. Ces premières paroles à sa fille ne servent pas
des raisons d’un ordre surnaturel, qui vont inspirer l’héroïsme de la
foi
à cette âme naïve, si elle chancelle encore. Ton
son Dieu. La conséquence est qu’elle doit s’empresser de revenir à la
foi
de ses pères. Toutes ces preuves se résument dans
uvement soudain, en poussant un cri sourd et lugubre de frayeur et de
foi
, comme si la foudre fût tombée tout-à-coup au mil
mouvements des ennemis. Il relève le courage des alliés. Il ménage la
foi
suspecte et chancellante des voisins. Il ôte aux
ine et le but de notre existence ; elle élève nos cœurs à Dieu par la
foi
, elle les touche et les enflamme par la charité,
créé l’architecture gothique, à laquelle il a donné l’empreinte de sa
foi
; et cet art, d’après l’opinion commune aujourd’h
dénigrement, cet aveugle qui regarde, je crois en l’humanité et j’ai
foi
en mon siècle ; n’en déplaise à l’esprit de doute
t de doute et d’examen, ce sourd qui écoute, je crois en Dieu et j’ai
foi
en sa providence. « Rien donc, non, rien n’a dégé
’ils veulent être jugés : que de grands prêtres classiques ont tué la
foi
par la superstition ! 2. Il est une belle page
grands poëtes, dit-il, demandent qu’on les approche au début avec une
foi
entière en leur excellence ; le lecteur doit être
e des premières. Il y a même des vérités, comme les mystères de notre
foi
, qui ne peuvent être établies que par des preuves
érêts publics, et l’orateur sacré dont la mission est de venger notre
foi
contre le mensonge, tous ont besoin du raisonneme
uves de la vérité catholique, et qu’il sache distinguer ce qui est de
foi
de ce qui ne l’est pas. Pour traiter un point de
ne à des résolutions utiles à leur salut. L’onction est un mélange de
foi
et de charité qui nous pénètre des vérités de la
-ci s’adresse généralement à des hommes qui croient les vérités de la
foi
, tandis que la conférence est destinée à éclairer
ucoup de réserve, devant certains auditoires, pour ne pas ébranler la
foi
au lieu de l’affermir. 340. Comme il s’agit dans
tait un ornement, eut à parler de Jésus-Christ dans une profession de
foi
où il voulait résumer tout ce que ses méditations
la justice par celui qu’il a destiné à en être le juge, confirmant la
foi
de tous en le ressuscitant d’entre les morts. (x
ier ; le troisième se tire de ce que la religion a de plus sacré : la
foi
des traités, l’hospitalité, la reconnaissance. Vo
qu’il y ait aucune circonstance omise, aucun mot qui ne porte : 1º la
foi
des traités confirmés par les serments et par les
e victoire, celle qui met sous nos pieds le monde entier, c’est notre
foi
. » Jouissez, prince, de cette victoire : jouissez
ur des faits miraculeux, éclatants, publics ; sur le témoignage de la
foi
de l’univers entier. Conclusion de la 1re partie
vraie ; donc il faut s’y attacher, vivre selon ses lois et rendre sa
foi
certaine par ses bonnes œuvres. XXIV. Extrait
n voici l’analyse : Sujet. Dieu l’a fait saint par l’efficace de sa
foi
et de sa douceur. C’est l’éloge que l’Écriture fa
agne les cœurs. De là, double instruction. 1º Apprenons à estimer la
foi
par laquelle saint François de Sales a si digneme
rations moins solennelles ne garantissaient pas notre respect pour la
foi
publique, notre horreur pour l’infâme mot de banq
miers aux nations le spectacle d’un peuple assemblé pour manquer à la
foi
publique ? Je ne vous dis plus : Eh ! quels titre
curcir et son flambeau s’éteindre ? C’est là qu’il faut s’arrêter. La
foi
lui laisse tout ce qu’il peut comprendre ; elle n
r sans voir, et remettre l’homme avec confiance entre les mains de la
foi
. La religion ressemble à cette nuée miraculeuse q
dit : « Or çà, sire Grégoire, Que gagnez-vous par an7 ? — Par an, ma
foi
, monsieur, Dit avec un ton de rieur Le gaillard1
s que j’ai parcourus avant d’être à votre service, j’en ai vu, par la
foi
que je vous dois, d’une taille bien plus grande,
loi du premier occupant lui serait également favorable. 13. Il a la
foi
du paysan chicaneur dans l’homme de loi ; c’est p
int dur, insolent, ni fier, Et me rappellerai ce que j’étais hier. Ma
foi
, j’aime déjà ma ferme à la folié. Moi, gros fermi
ie de l’art : ils formaient le fond même de la mythologie païenne. La
foi
populaire les fournissait au poëte, qui n’avait i
a plus touchante de la douleur de l’âme, tempérée par les élans de la
foi
et de l’espérance religieuse : telle est entre au
Sait de l’homme d’honneur distinguer le poëte1 Qu’on vante en lui la
foi
, l’honneur, la probité ; Qu’on prise sa candeur e
éprise Cotin n’estime point son roi, Et n’a, selon Cotin, ni Dieu, ni
foi
, ni loi. Le Lutrin1 Chants II et III (frag
e avec peu d’argent ! valère. Oui. maître jacques, A Valère. Par ma
foi
, monsieur l’intendant, vous nous obligerez de nou
pour conduire à la foire… maître jacques. Vos chevaux, monsieur ! Ma
foi
, ils ne sont point en état de marcher. Je ne vous
hoire d’en bas de celle d’en haut, A, E. m. Jourdain. A, E, A, E. Ma
foi
, oui. Ah ! que cela est beau ! l e maître de phi
ose ? l e maître de philosophie. Oui, monsieur. M. Jourdain. Par ma
foi
! il y a plus de quarante ans que je dis de la pr
de l’humanité. Il avait conçu l’ambition de donner aux vérités de la
foi
la rigueur de la certitude scientifique ; mais, f
selle de... Mademoiselle… devinez le nom : il épouse Mademoiselle, ma
foi
! par ma foi ! ma foi jurée ! Mademoiselle, la gr
ademoiselle… devinez le nom : il épouse Mademoiselle, ma foi ! par ma
foi
! ma foi jurée ! Mademoiselle, la grande Mademois
le… devinez le nom : il épouse Mademoiselle, ma foi ! par ma foi ! ma
foi
jurée ! Mademoiselle, la grande Mademoiselle ; Ma
était pas son métier, et qu’il aimait mieux s’en aller à Paris486. Ma
foi
! la colère m’a monté à la tête ; je songeai que
elle s’égare, ou elle succombe ! Cependant vous ne voulez pas que la
foi
vous prescrive ce qu’il faut croire540 ! Aveugles
c pas qu’en attendant que Dieu se montre à découvert ce qu’il est, la
foi
vienne à votre secours et vous apprenne du moins
s la retraite, et enfonce l’âme plus profondément dans les vues de la
Foi
. Il me souvient de David, qui, touché vivement de
juges, dans une société brillante et voluptueuse qu’il exhortait à la
foi
et à la pénitence. Nous admirons en lui un accent
je ne distingue point les princes, pour être notre plus beau titre :
Foi
de gentilhomme !), par mes peines et labeurs, je
: « Il a néanmoins, ô mon Dieu ! cru et espéré en vous. » Un fonds de
foi
et des principes de religion qui dorment au bruit
connaît intimement le cœur humain, met la passion aux prises avec la
foi
, et sait dire aux grands de courageuses vérités.
n’est pas seulement contre la mort qu’on peut tirer des forces de la
foi
; elle nous est d’un grand secours dans toutes le
mbeau, plus elle se montre pure et brillante aux mortels consolés. La
Foi
et la Charité lui disent : « Ma sœur, » et elle s
e leurs mains. J’avais pour compagnon un jeune homme d’une figure… ma
foi
, comme ce monsieur que nous vîmes au Raincy1616;
e souvent. Il y a bien avant dans l’âme, jusqu’au fond, une racine de
foi
qui ne sèche point. La parole qui nie Dieu brûle
es ont-ils reçu les nobles principes qu’il est plus beau de garder la
foi
donnée que de la trahir, qu’il y a de la dignité
nonce le terme de mes misères. » Se regardant comme une victime de la
foi
religieuse, elle ressentit la joie-pure du martyr
nt, sur les eaux, que la voix du Seigneur, et celle de l’homme que la
foi
unit à Dieu. Cette voix de Dieu domine pour nous
que ne l’avait été contre le désespoir de la mort le sentiment de la
foi
et de la prière. « Dans quel ordre les officiers
remblant espoir du chrétien, et redisant volontiers, comme lui, d’une
foi
brûlante et soupirante : « O bienheureux purgatoi
leur, la procession d’une fête-dieu champêtre, ou qui prend part avec
foi
et ferveur, le long des blés courbés ou desséchés
ns persuasives. Nul n’a plus contribué à raviver sans superstition la
foi
classique, et à convertir les indifférents à la r
ouloir mal de tout ce qu’il pourra vous faire ; c’est de la meilleure
foi
du monde qu’il vous expédiera ; et il ne fera, en
ne les voit plus colorés. Quand on regarde le monde par la vue de la
foi
, il nous parait sans éclat et sans l’agrément qui
e. C’est une assez belle image de ce que produit en nous la vue de la
foi
. Sans qu’il arrive rien de nouveau dans le monde,
ntemple dans sa propre vue, je n’y aperçois que des désordres ; si la
foi
me le fait regarder par rapport au jugement derni
septembre 1703. 711. Il se croit directement inspiré par Dieu. Il a
foi
en lui-même. 712. La phrase est elliptique et ve
u d’être un riche. Il n’y a qu’une chose qu’il oublie de la meilleure
foi
du monde, ce sont ses plaintes d’hier sur la cond
de ne point laisser s’éteindre dans votre âme cette espérance que la
foi
et la philosophie allument et qui rend visible, p
tal d’aller au fond de la plaie. Voilà un temps précieux d’exercer la
foi
, de sentir la fragilité de toutes choses, et de s
ance du cœur humain et de ce terrible dialogue entre la passion et la
foi
qui fait le fond de tous ses discours. Massillon
ans en être jaloux, Content de ses chardons, et secouant la tête : Ma
foi
, non plus que nous, l’homme n’est qu’une bête ! C
par la sobriété et le travail plutôt que par les remèdes ; garder sa
foi
, ne haïr que ce qui est haïssable ; n’aimer que c
. Cette page fut écrite à l’époque où une crise morale le ramena à la
foi
; il disait ailleurs : « Ma mère, après avoir ét
it à fond l’œuvre de Montaigne : mais il y portait les lumières de la
foi
. 1819. Ce fragment est détaché de l’histoire de
» 1841. Cette page est animée par l’accent d’une conviction, d’une
foi
littéraire et morale. Retenons ces fortes pensées
miers aux nations le spectacle d’un peuple assemblé pour manquer à la
foi
publique ? Je ne vous dis plus : Eh ! quels titre
elle avait été le témoin. Malgré tout ce qui aurait pu déconcerter sa
foi
politique, elle ne renia aucune des généreuses as
me dans beaucoup d’esprits élevés, une juste réaction en faveur de la
foi
chrétienne. La nouvelle imprévue de la mort de sa
De l’impiété et de l’insouciance140 L’esprit d’autorité et de
foi
dominait puissamment au dix-septième siècle ; l’e
on divine de notre nature. Que les amis de la vie religieuse et de la
foi
chrétienne ne se fassent pas illusion : c’est là
a résistance ; la lutte amène le déploiement des forces diverses ; la
foi
savante ne craint pas d’entrer dans l’arène contr
histoire des armes nouvelles pour la cause qu’il avait embrassée avec
foi
et ardeur. Un problème surtout passionnait sa cur
n règne possible, ne figure pas dans les histoires les plus dignes de
foi
. C’est au nom de Chlodio que se rattachèrent, dan
ngulières, hardie, agile et rude au combat, depuis peu convertie à la
foi
catholique, libre d’hérésie lorsqu’elle était enc
il protège l’armée ; qu’il leur accorde des signes qui attestent leur
foi
, les joies de la paix et de la félicité ; que le
Mais le duc refusa durement, et dit que l’homme qui avait menti à sa
foi
et à sa religion n’aurait d’autre sépulture que l
nonce le terme de mes misères. » Se regardant comme une victime de la
foi
religieuse, elle ressentit la joie pure du martyr
uvante et la fuite. Puissent tous ces sept chefs, qui t’ont juré leur
foi
, Par un nouveau serment s’armer tous contre toi !
peinture, Brûlait de visiter cette demeure obscure, De notre antique
foi
vénérable berceau. Un fil dans une main et dans l
, rentre chez toi. (En le conduisant jusqu’à son appartement.) Sur la
foi
d’un ami, dors d’un sommeil tranquille. (Après av
ma colombe, De prier pour tous les mortels, Pour les vivants dont la
foi
tombe, Pour tous ceux qu’enferme la tombe, Cette
! Ce n’est pas moi, dont l’âme est vaine, Pleine d’erreurs, vide de
foi
, Qui prierais pour la race humaine, Puisque ma vo
élire des sens livrés à eux-mêmes, et ensuite les regrets amers de la
foi
perdue, les tristesses de la vie découronnée de s
levées : elles ont beaucoup pardonné à un poète qui, « à défaut de la
foi
, avait le don des larmes448 ». Né à Paris en 1810
ces horizons voilés à l’orgueil, et que le chrétien découvre dans sa
foi
! Le poète avait épuisé toutes les promesses de l
consens. — Où sont-ils, ces faiseurs de systèmes, Qui savent, sans la
foi
, trouver la vérité, Sophistes impuissants qui ne
r jusqu’aux cieux il vous fallait des ailes ; Vous aviez le désir, la
foi
vous a manqué. Je vous plains ; votre orgueil par
naire ! Pourquoi pas portefaix ou commissionnaire ? RODOLPHE. Eh ! ma
foi
, j’en connais qui te valent. — Enfin Il faut pren
lace ! je suis des vôtres. Vous, monsieur, vous n’avez ni principe ni
foi
, Et votre avancement est votre seule loi ; Touche
, c’est ainsi que je voi ; Qui vend son cœur vendra son honneur et sa
foi
; Et si tu consommais l’acte où l’on te convie, J
tait, dit M. Augustin Thierry, un homme de civilisation autant que de
foi
chrétienne, une de ces natures délicates à qui la
arde qui je suis, et marche sans murmure, Comme fait la nature Sur la
foi
de son Dieu. 251. Les œuvres historiques de M.
e et se rapproche presque à son insu du sombre génie qui a révolté sa
foi
mais fasciné son imagination. Quelle tristesse en
lus tendres années, nous servira de guide dans toutes les matières de
foi
. Mais une étude simplement spéculative de la mora
truire les injustes soupçons que la calomnie avoit voulu jeter sur sa
foi
, crut devoir déclarer qu’il n’avoit jamais douté
ments de ses desseins ; ainsi l’homme s’agite, mais Dieu le mène6. La
foi
plantée dans l’Amérique, parmi tant d’orages, ne
Souvenez-vous que son sang coule dans vos veines, et que l’esprit de
foi
qui l’a sanctifié doit être la vie de votre cœur.
L’Amérique : elle fut plutôt conquise par la soif de l’or que par la
foi
chrétienne et la charité évangélique. 6. Compare
t l'Achéron : — Ramez donc, dit-il à Caron ; Que faites-vous ? — Ma
foi
, j'écoute ! L'agrément des pensées vient des ob
le rang, Le devoir, l'intérêt attache à votre sang. (Laharpe.) Que ma
foi
, mon amour, mon honneur y consente ! (Racine.) E
riand et Lamartine, ne s'ést pas écrié : Ici, pour nous toucher, la
foi
parle à nos cœurs, Et son accent si doux charme e
x !… C'est ton père, c'est moi, C'est ma seule prison qui t'a ravi ta
foi
. Ma fille, tendre objet de mes dernières peines,
Que l'on doit tout à sa bonté. Prions : heureux l'homme qui prie ! Sa
foi
le sauve du péché ; Du crime, enfant de cette vie
le christianisme puisse se prêter au merveilleux de l’épopée : De la
foi
d’an chrétien les mystères terribles, D’ornements
us vient à son secours. Le but des Portugais est la propagation de la
foi
; et Vénus se charge du succès de l’entreprise. 3
oduira ces heureux effets qu’autant que le poète se montrera plein de
foi
dans la divinité qu’il implore. 386. Qu’est-ce qu
de contraire aux principes de la saine doctrine en ce qui concerne la
foi
et les bonnes mœurs, mais encore est très propre
19-1605), l’orateur calviniste du colloque de Poissy, a écrit pour sa
foi
, en prose et en vers, en latin et en français, de
— Mais, dist Panurge, vendez m’en ung, et ie vous le payeray en roy,
foi
de pieton43. Combien ? — Nostre amy, respondit le
iques, a la franchise, la force, l’éloquence de l’honnêteté. « Une
foi
, une loi, un roi » Ceux qui veulent planter l
re cbose si inaudite que de manquer à la parole de sa majesté et à la
foi
publique, annullant une déclarant si authentique
ne âme de Feu, dans l’étude, dans les plaisirs, dans la défense de sa
foi
par la parole, la plume et l’épée. Il sait l’hébr
e donner le nom de suffisante à une grâce que vous dites qu’il est de
foi
de croire qu’elle est insuffisante en effet ? Vou
t communes à ceux qui n’en méritent pas ; enfin l’on détruit toute la
foi
du langage, et l’on brouille toutes les idées des
pas trouvé le mot pour rire dans tout ce que j’ai vu. LE MARQUIS. Ma
foi
, ni moi non plus. DORANTE. Pour toi, marquis, je
pas, c’est que tu n’y as point trouvé de turlupinades359. LYSIDAS. Ma
foi
, monsieur, ce qu’on y rencontre ne vaut guère mie
accord, et je suis, comme on voit, le premier à les fronder, mais, ma
foi
, il y en a un grand nombre parmi les beaux esprit
clésiastique, il a donné, entre autres ouvrages, une Exposition de la
foi
catholique, qui contribua à la conversion de Ture
qui peut être perfectionné dans notre vie, et par la raison et par la
foi
, se rapporte à trois choses : à nos passions, à n
brouilloit un peu, ses pensées confuses y étoient toutes de grâce, de
foi
, de docilité, de patience, et d’abandon à Dieu. J
présenter point ma tristesse sans vous faire part de cette joie de la
foi
dont parle saint Augustin, et que Dieu m’a fait s
s ; si tout ce qu’on y voit, qu’on y entend, élève à Dieu, nourrit la
foi
, réveille la piété, sert de soutien à la grâce, j
re que le mot ne m’en fût prononcé par quelqu’un à qui on pût ajouter
foi
. Le hasard me lit rencontrer M. d’O, à qui je le
rit, une force de jugement et une facilité sans égale. Il avoit de la
foi
et de la probité aux grandes occasions, et il éto
de la frange et de l’inégalité de l’impôt Je dis de la meilleure
foi
du monde que ce n’a été ni l’envie de m’en faire
e culte de la monarchie et de la religion, ne discute ni le roi ni la
foi
; le xviiie siècle, affranchi de ce double lien
Émile, traité ou roman sur l’éducation, qui contient la Profession de
foi
du vicaire savoyard, etc. Condamné par les pouvoi
n dit que je conserve encore ; car je devins stoïcien de la meilleure
foi
du monde, mais stoïcien à lier ; j’aurois voulu q
ions les plus solennelles ne garantissaient pas notre respect pour la
foi
publique, notre horreur pour l’infâme mot de banq
miers aux nations le spectacle d’un peuple assemblé pour manquer à la
foi
publique ? Je ne vous dis plus : Eh ! quels titre
s et des sciences vint se mêler à leur zèle pour la propagation de la
foi
, et tempérer leur ardeur pour les conquêtes. Ils
és après sa mort. Chateaubriand, sous l’aurore du consulat, raviva la
foi
par son Génie du Christianisme ; sous l’étouffeme
se lève, on signe, on s’en va jouer au billard. Maire me disait : Ma
foi
, commandant, vous parlez comme Cicéron ; mais pou
as un morceau de pain. Que mangerons-nous ? Cette idée me trouble. Ma
foi
, écrive qui voudra, je vais aider à Stroltz. Adie
es Tuileries vous voyez le faubourg Saint-Germain ; le canal n’est ma
foi
guère plus large ; et pour le passer, cependant,
e l’argent, la hausse et la baisse, les faillites, la bouillotte ; ma
foi
, votre Paris est un autre coupe-gorge, et vous ne
n mouvement oratoire des plus beaux, quand, se tournant vers moi qui,
foi
de paysan, ne songeais à rien moins, il m’apostro
, qui trompent un ami, mentent à tout venant, trahissent, manquent de
foi
, et tiendraient à grand déshonneur d’avoir dit vr
le royalisme de Chateaubriand, des révoltes amères, les ardeurs d’une
foi
nouvelle, qui a eu aussi ses violences chagrines
ve ; protégé quelque temps par l’ordre même qu’il viole, il vit de la
foi
sociale et des biens qui en sont le fruit, comme
du de tous les peuples ?… Qu’on nous montre un peuple sans Dieu, sans
foi
, sans culte. On ne le tentera même pas. Depuis l’
du vin, nous disons la fureur du jeu. (Ibid.) La science et la
foi
Si vous sortez des sciences particulières pou
bre qui obscurcit la lumière, le chemin et la borne, la science et la
foi
. (Conférences de Paris, XIIe. — Poussielgue frè
si les circonstances intérieures de sa vie lui eussent laissé la même
foi
et la même ardeur qu’au commencement de cette gig
des autels du Dieu véritable, devant les images et les réalités d’une
foi
qui vous lut commune avec nous. Il nous eût été f
struire quelque chose de ferme. Là où l’on ne croit pas au Christ, la
foi
du reste est faible, vacillante et sans fondement
cillante et sans fondement. Or, nous ne pouvons pas espérer que cette
foi
divine reprenne subitement son empire. Les plus g
té, et un champ plus beau, parce qu’il y faut plus de prévision et de
foi
. Quand je lis une belle page de l’antiquité, j’ad
ur pour dompter sa propre liberté et se soumettre à ce que voulait sa
foi
. Mais le sentiment de l’indépendance personnelle,
de la société, et commandé par la nécessité plutôt qu’établi dans la
foi
publique. Des esprits éminents et de nobles carac
e dans les situations élevées et actives, des opinions arrêtées et la
foi
du devoir. Il se trompa beaucoup, et commit ou pe
glent les devoirs mutuels des hommes quand il s’agit de Dieu et de la
foi
en Dieu. Personne aujourd’hui ne frappe plus et n
église de Berlin, vint lui dire un jour : La religion est perdue, la
foi
n’a plus de bases, le cœur ne se laisse plus émou
la vie quelqu’une de ces âmes énervées qui se plaignent de manquer de
foi
, qui ne savent où se prendre, et vont cherchant p
son visage et sa contenance redevenaient tristes. Soit par un acte de
foi
sincère, soit pour fournir quelque distraction au
hef couronné du Saint-Empire romain, auquel l’ardeur religieuse de sa
foi
comme l’entraînement politique de son rôle interd
el n’a droit d’émouvoir davantage un bon et digne cœur. La vérité, la
foi
et la patrie ont eu leurs martyrs, et en foule. L
au présent, et doucement à l’avenir. » Quel vif et pur sentiment de
foi
à l’immortalité dans ce mot : doucement à l’aveni
hefs du peuple de Dieu, comme dans ceux d’Agamemnon et d’Idoménée, la
foi
domine la tendresse paternelle, et le père dispar
oisses ! Mais la crise passe et la page reste ; il sait cela ; il y a
foi
, et il ne se plaint pas du marché. (Mélanges, E
Gésir (jacere), être étendu pour mettre bas. 43. Parodie du serment,
foi
de chevalier. 44. . Clerc ou apprenti clerc. Le
ition. 335. Est-ce par orgueil qu’on meurt pour un principe, pour sa
foi
, pour sa patrie ? 336. Que se supprime aujourd’
omble. Fête, n. f. jour consacré, cérémonie, joie, réjouissance. 34.
Foi
, n. f. croyance, fidélité. Foie, n. m. viscère d
juges, dans une société brillante et voluptueuse qu’il exhortait à la
foi
et à la pénitence. Nous admirons en lui un accent
au dix-septième siècle, dans Corneille et Bossuet. 1. Louis XIV eut
foi
dans sa royauté. Un prince qui douterait de lui-m
des avaient eu des conséquences imprévues. Suscitées par l’élan de la
foi
, recrutées par le malaise des peuples que rançonn
ant de ses agitations civiles une émotion sans trouble, et fort de sa
foi
politique, aura cette heureuse proportion, ce par
justice et l’habitant des âmes. Il l’adore en esprit, il le prie avec
foi
. Le soleil ne passe plus sur sa tête comme un feu
stice, ni de l’ingratitude ; qu’ils gardent un cœur ferme et pur, une
foi
inébranlable à la science, et j’ose leur prédire
e leurs mains. J’avais pour compagnon un jeune homme d’une figure… ma
foi
, comme ce monsieur que nous vîmes au Raincy7 ; vo
int Ambroise lui reproche ce crime. Prince, vous avez du zèle pour la
foi
, vous avez la crainte du Seigneur. J’en conviens
r l’orgueil de l’esprit humain d’une part de l’autre l’humilité de la
foi
chrétienne. N° 35. — Le Flatteur. Qu’est-ce
odes, dont tous les articles sont divins. — Avis. 1º Prouvez par la
foi
comment la Religion porte l’homme au bien. 2º La
mande de dire au turc que c’est un scélérat, un infâme, un homme sans
foi
, etc., etc., puis il remet la bourse dans sa poch
’envoyé d’en haut était accompagné de trois de ses frères, Espérance,
Foi
, Charité : tels sont leurs noms que le ciel a rév
iques des anges — … N° 214. — Le Trépas d’Amour À une époque de
foi
où les pèlerinages étaient en honneur parmi les c
et ordre lui a été donné parce qu’on a des doutes sur la pureté de sa
foi
. Le prélat ne veut point quitter son royal élève,
u ; mais Fénelon tient à bien convaincre le prince de la pureté de sa
foi
, et à lui dire qu’il pourra toujours unir en sûre
nne à César ?… Vous êtes forts ! ’… Non, vous êtes des lâches dans la
foi
— … Mais la Gaule et l’Italie seront bien aises d
tienne ; il la questionne et apprend avec douleur qu’elle a abjuré sa
foi
. Que la foudre en éclats ne tombe que sur moi !
x !… C’est ton père, c’est moi, C’est ma seule prison qui t’a ravi ta
foi
. Ma fille, tendre objet de mes dernières peines,
n fait-il l’aveu de son amour pour Aricie. Son père n’y ajoute aucune
foi
et l’exile. Phèdre touchée de repentir vient trou
it-il, cette pratique infâme. Ariste dit qu’il veut s’abandonner à la
foi
de celle qu’il aura épousée, et qu’il prétend viv
et, qui montre tant de flamme. Ajustez, pour couvrir un manquement de
foi
, Ce que je m’en vais lire….. Célimène. Il ne me
de grâce. Martine. Qu’est-ce donc que j’ai fait ? Chrisale bs. Ma
foi
, je ne sais pas. Philaminte. Elle est d’humeur e
re-sens par toi ; Et je t’ai déjà dit d’où vient ce mot. Martine. Ma
foi
, Qu’il vienne de Chaillot, d’Auteuil, ou de Ponto
rois de l’amour pour ta chienne de face ? Moi, je te chercherois ? Ma
foi
, l’on t’en fricasse Des filles comme nous. Gros-
rien. Gros-René. Ni moi non plus. Marinette. Ni moi. Gros-René. Ma
foi
, nous ferons mieux de quitter la grimace. Touche,
ur le point d’attaquer une reine homicide, A l’aspect du péril, si ma
foi
s’intimide ; Si la chair et le sang se troublant
ccès le sort garde à mes armes. Je te laisse mon fils pour gage de ma
foi
; S’il me perd, je prétends qu’il me retrouve en
et quelle complaisance Tous les cœurs en secret l’assuroient de leur
foi
! Parle ; peut on le voir sans penser, comme moi,
ait naître, Où déjà sa bonté prête à me couronner, Daigne éprouver la
foi
qu’il vient de me donner. Néarque. Ce zèle est t
sembler dure ? Je suis chrétien, Néarque, et le suis tout-à-fait. La
foi
que j’ai reçue, aspire à son effet. Qui fuit, cro
i reçue, aspire à son effet. Qui fuit, croit lâchement, et n’a qu’une
foi
morte. Néarque. Ménagez votre vie, à Dieu même e
t usage, en se renfermant dans les bornes des idées que nous donne la
foi
, ne sont pas les morceaux les moins frappans de l
ient reçus dans toute l’Europe, et regardés presque comme un point de
foi
par le peuple superstitieux d’Italie. Cette raiso
us vient à son secours. Le but des Portugais est la propagation de la
foi
; et Vénus se charge du succès de l’entreprise. Q
d-il compte des Philippiques de Cicéron ? N’y a-t-il que dès élans de
foi
religieuse dans les grandes compositions oratoire
ain ; le plus puissant mobile pour porter l’homme au bien, puisque la
Foi
le met sans cesse sous l’œil de la Divinité, et q
nes, si sa valeur et sa prudence n’avaient été animées d’un esprit de
foi
et de charité… je laisserais à la vanité le soin
is, grâces à J. C., je parle d’un chrétien éclairé des lumières de la
foi
. Il a puisé encore à la même source dans le pass
Pellico dit, avec la double autorité du martyre patriotique et de la
foi
religieuse : Si un homme fait outrage aux autels
vraie ; donc il faut s’y attacher, vivre selon ses lois et rendre sa
foi
certaine par ses bonnes œuvres, Dans un assez gr
méritée. Il s’humilia sous la main qui s’appesantissait sur lui ; sa
foi
ôta même à ses malheurs la nouvelle amertume que
e-sens par toi, Et je t’ai déjà dit d’où vient ce mot. Martine. Ma
foi
Qu’il vienne de Chaillot, d’Auteuil ou de Pontois
la vie quelqu’une de ces âmes énervées qui se plaignent de manquer de
foi
, qui ne savent où se prendre, et vont cherchant p
rrive dans cette phrase : Il faut se conduire par les lumières de la
foi
qui nous apprennent que l’insensibilité est d’ell
. Nicole aurait pu dire : Il faut se conduire par les lumières de la
foi
; elles nous apprennent que l’insensibilité est d
e n’opposa jamais aux persécutions que la patience et la fermeté ; la
foi
fut le seul glaive avec lequel elle vainquit les
s égorgés. Ils prouvèrent, non en combattant, mais en mourant pour la
foi
, la vérité de leur mission. Les vérités philosop
opres : On verra d’un côté le fils d’un empereur, Redemandant la
foi
jurée à sa famille, Et de Germanicus on entendra
Sait de l’homme d’honneur distinguer le poëte. Qu’on vante en lui la
foi
, l’honneur, la probité, Qu’on prise sa candeur et
bien malaisé de régler ses désirs, Le plus sage s’endort sur la
foi
des zéphirs ! Un prosateur peut reprendre et dév
ouvements des ennemis, il relève le tou rage des alliés, il ménage la
foi
suspecte et chancelante des Voisins ; il ôte aux
t le sort vous a réduite : Votre pays vous hait, votre époux est sans
foi
; Dans un si grand revers, que vous reste-t-il !
: Barbazan, à la rescousse ! Scales, Scales, mort aux Français ! Ah !
foi
de héraut d’armes, voici un glorieux combat ! Les
angoisses, sans l’environner des consolations de l’espérance et de la
foi
, sans prier à ses côtés le Dieu qui mourut pour e
t. Ici commencent l’égoïsme et le rêve. Pendant quelque temps, sur la
foi
de ce qu’il a déjà fait, on suit le grand homme d
nce simple, mâle et variée, ajoutons à cela homme de conscience et de
foi
ardente, dévoué à sa religion jusqu’au sacrifice
ls pas sur ceux qui se rendirent ! Quoiqu’ils leur eussent donné leur
foi
de parole507 et par écrit, ils les poignardèrent
t contenant : Non comme Espagnols, mais comme pirates et fausseurs de
foi
. Il rasa ensuite tous les forts et porta les muni
e chère avec peu d’argent ! Valère. — Oui. Maître Jacques. — Par ma
foi
, monsieur l’intendant, vous nous obligerez de nou
conduire à la foire.... Maître Jacques. — Vos chevaux, monsieur ? Ma
foi
, ils ne sont point du tout en état de marcher. Je
h, oh ! Attendez, ne vous en allez pas. A moi « Votre Grandeur ! » Ma
foi
, s’il va jusqu’à l’Altesse611, il aura toute la b
é par plusieurs découvertes et travaux scientifiques, emporté par une
foi
ardente, il se livra tout entier à la méditation
n’était pas son métier, et qu’il aimait mieux s’en aller à Paris. Ma
foi
! la colère me monte à la tête. Je songeai que c’
ulus prendre le long de la mer pour faire plus de diligence : mais ma
foi
, l’on dit bien vrai qu’il n’est rien tel que le g
8 juillet 1757.) Jeannot et Colin Plusieurs personnes dignes de
foi
ont vu Jeannot et Colin à l’école dans la ville d
eurs mains. J’avais pour compagnon un jeune homme d’une figure..., ma
foi
, comme ce monsieur que nous vîmes au Raincy1440 ;
comme l’un des plus vigoureux et des plus brillants apologistes de la
foi
catholique, ne tarda pas à inquiéter les évêques
bouche comme l’expression vivante et poétique des sentiments et de la
foi
populaires, on devenait pensif, et l’on pleurait
moi n’étions point dans le même cas. Cela lui parut trop subtil. « Ma
foi
, je ne suis pas casuiste1536, me dit-il, et, si t
aile du petit si novice encore… Des deux côtés, Dieu exige un acte de
foi
, de courage. Noble et sublime point de départ !…
t par les orages, fort de cette première épreuve où il a volé dans la
foi
. (L’Oiseau 1575, deuxième partie : Éducation.)
té réchauffée d’enthousiasme, cuirassée de fanatisme1577, vêtue de sa
foi
. Car enfin, ils étaient pieds nus, ou peu s’en fa
travailler deux fois plus que les autres pour être leur égal, et, ma
foi
! le petit Chose se mit à travailler de tout son
i long, si frêle, et le Rhône a tant de largeur à cet endroit que, ma
foi
! vous comprenez… Tartarin de Tarascon préférait
tous les détails. Nous la commençâmes, cette histoire. Je ne sais, ma
foi
, plus pourquoi nous la commençâmes par le roi Teu
eurs aux mérites données Feront ressusciter l’excellence des arts. La
foi
de ses aïeux2046, ton2047 amour et ta crainte, Do
fait un grand roi ; Mais c’est trop que d’en croire un Romain sur sa
foi
. Par quelque grand effet voyons s’il en2107 est d
eul qu’ils ont tous ces lumières, Dont la grâce par eux éclaire notre
foi
, Tu peux bien sans eux tous me les donner entière
u’importe qu’en tous lieux on me traite d’infâme ? Dit ce fourbe sans
foi
, sans honneur et sans âme ; Dans mon coffre tout
rge d’une aune2405, Et que, les yeux fermés, tu baisses le menton. Ma
foi
, le plus sûr est de finir ce sermon. Aussi bien j
tu deviens nécessaire. Veille auprès de Pyrrhus ; fais-lui garder sa
foi
: S’il le faut, je consens qu’on lui parle de moi
dénichons au plus tôt, s’il vous plaît. lisette, riant. Ah ! par ma
foi
, vous nous la donnez bonne2461, De croire qu’en q
ire, est la loi d’un Dieu même. J’ai connu l’amitié, la constance, la
foi
; Mais tant de grandeur d’âme est au-dessus de mo
ne pouvaient rien voir : L’appartement, le mur, tout était noir. « Ma
foi
, disait un chat de toutes les merveilles Dont il
, si je puis me voir maître, Je serai dur, méchant, intraitable, sans
foi
, Sanguinaire, cruel, comme on l’est avec moi. Le
gronde, Où tu veilles sur moi, Ces accents, ces soupirs animés par la
foi
, Vont chercher d’astre en astre un Dieu qui me ré
t compter, Mondes où la pensée ose à peine monter, Nous enseignait la
foi
par la reconnaissance, Et faisait admirer à notre
dès le mois de novembre, Vous l’allez changer contre un bon logis, ma
foi
, Où vous serez chez vous, bien qu’en étant chez m
première et sombre patrie ! Mais souvent, au déclin du jour, Quand la
foi
rêve, ou bien le doute, Seul, je m’approche avec
le dernier fils du baron Angelier, Au champ de Roncevaux mort pour la
foi
chrétienne : Permets qu’en ce moment ma main serr
une seconde, Et les fusils couchés se sont relevés droits : Alors, ô
foi
sublime ! un bras qui sort de l’onde Ébauche dans
rétiens qui, sans crain [...] supplices, confessaient, avouaient leur
foi
en Jésus-Christ. 1410. La prison de Saint-Pierr
orps. On avait essayé, par d’affreuses tortures, […] ore à abjurer sa
foi
. 1415. Un front de diamant, d’une dureté, d’un
r à ses propres regards, sans écouter ses propres craintes, il ajoute
foi
aux enseignements de sa mère, aux assurances qu’e
rines religieuses ou philosophiques dans l’excellence desquelles on a
foi
: il s’agit ici de l’attachement des soldats fran
ui combattent contre les bêtes. 1697. Confession, affirmation de la
foi
. 1698. Le premier jour du mois d’août, consacré
ir dire que Henri IV aime tellement Dieu, est tellement pénétré de la
foi
de ses ancêtres, qu’il ne sera jamais rassasié d’
e la page 572) et à se tuer aussitôt après qu’elle lui aura engagé sa
foi
devant les autels. Ainsi le salut d’Astyanax sera
is faite prisonnière dès sa plus tendre enfance, a été élevée dans la
foi
musulmane et elle va bientôt épouser Orosmane, so
je n’avais pas voulu vivre du moins pour toi. 2487. Qui t’a ravi ta
foi
. Entendez : c’est à cause de moi, de la captivité
dez : c’est à cause de moi, de la captivité où j’ai été réduit que ta
foi
première a pu t’être ravie. 2488. En ces lieux
llade je promette ! Dussé-je entrer au fin fond d’une tour, Nenni, ma
foi
! car je suis déjà court ; Si que je crains que n
ir besoin : ce qui, joint à ses Maximes, qui ne marquent pas assez de
foi
à la vertu2, et à sa pratique, qui a toujours été
arité même, portent un caractère de grandeur. Le goût n’exige pas une
foi
intolérante2. Vous éprouverez qu’il adopte de lui
juges, dans une société brillante et voluptueuse qu’il exhortait à la
foi
et à la pénitence. Nous admirons en lui un accent
é souvent dans la composition du recueil tout entier, comme en feront
foi
plus d’une des notes qui accompagnent nos citatio
er la rive, ayant la loi pour voile, Pour vent le Saint Esprit, et la
foi
pour Étoile… Echele366 qui voudra les étages
le confident journalier des fureurs, des douleurs, des transports de
foi
et des ardeurs de vengeance de l’âpre huguenot. I
ie Qui m’a fait des chrétiens persécuter la vie ; Leur créance est ma
foi
, leur espoir est le mien ; C’est leur Dieu que j’
est bien malaisé de régler ses désirs : Le plus sage s’endort sur la
foi
des zéphyrs. Jamais un favori ne borne sa carrièr
ffon plaisant : Mais je ne trouve rien de beau dans ce Voiture943. Ma
foi
, le jugement sert bien dans la lecture ! À mon gr
Sait de l’homme d’honneur distinguer le poëte. Qu’on vante en lui la
foi
, l’honneur, la probité ; Qu’on prise sa candeur e
aphnis trompeur et perfide ! je croi Qu’en l’univers n’habite plus de
foi
. Daphnis trompeur ! Homme qui vive au monde Ne m’
p légitime, Percer ce traître cœur que je t’offre en victime ; Que ma
foi
démentie a trahi ton dessein. MANLIUS. Et je n’en
peut-être en un sort misérable, Ou dans une querelle, en signalant ma
foi
Pour quelque ami nouveau, perfide comme toi ? Die
! Quel sera contre moi l’éclat de leur colère ! Je leur ai garanti ta
foi
ferme et sincère ; J’ai ri de leurs soupçons, j’a
seurs, vierges, anachorètes, Et ceux qui par leur sang ont cimenté la
foi
, L’adorent à genoux, saint peuple du saint roi… A
rois un nid de tourterelles : Je vous les veux donner pour gage de ma
foi
; Car on dit qu’elles sont fidèles comme moi1031.
rtrière ; Et considère après sur quoi tu peux fonder Et l’amour et la
foi
que j ai dû te garder. Il est vrai que, sensible
ire, est la loi d’un Dieu même. J’ai connu l’amitié, la constance, la
foi
; Mais tant de grandeur d’âme est au-dessus de mo
uin. Cher comte !… Nous voilà grands amis, ce me semble. LISIMON. Ma
foi
, je suis ravi que nous logions ensemble. LE COMTE
ne pouvoient rien voir, L’appartement, le mur, tout étoit noir. « Ma
foi
, disoit un chat, de toutes les merveilles Dont il
euse de Paris, le Verger, le Jour des Morts à la campagne, mélange de
foi
, d’attendrissement poétique, religieux et philoso
s, effusions du cœur, rêves de l’esprit, fantaisies de l’imagination,
foi
ou doute, Dieu, nature, humanité, il versera tout
juste et cruelle envers moi. Seule, sans défiance, en vous mettant ma
foi
, Comme une suppliante, enfin, j’étais venue : Et
ssant la majesté, Malgré les saintes lois de l’hospitalité, Malgré la
foi
des gens et la foi réclamée, Dans les murs d’un c
algré les saintes lois de l’hospitalité, Malgré la foi des gens et la
foi
réclamée, Dans les murs d’un cachot vous m’avez e
honte. Noms purs, nobles talents, c’est sur eux que je compte ! J’ai
foi
dans leur puissance et j’en bénis l’emploi ; Car
, à toutes les harmonies de la nature, à tous les enthousiasmes de la
foi
, sa poésie, puisée à ces trois sources, a ruissel
autres, l’inspiration de M. de Laprade dérive d’une double source, la
foi
chrétienne et la nature : il monte toujours de la
mps antiques et de l’ère chrétienne, les tableaux que la nature et la
foi
offraient à son pinceau. — Les Symphonies (1855),
puissante à contraindre la force. Le seul nœud des États est une même
foi
; Il faut monter à Dieu pour retrouver la loi1506
es périls arme-moi, soutiens-moi ; Élève ma constance au niveau de ma
foi
! Et puisse le bûcher expier mon génie Avant que
une ampleur toute nouvelle. Il est simple et élevé quand il défend sa
foi
; il a des accents qui annoncent le Saint-Genest
avec La Fontaine. — La satire suivante, qui contient la profession de
foi
poétique de Régnier, en provoque une avec Boileau
Genest, touché de la grâce, fait en son propre nom une profession de
foi
chrétienne (acte IV, sc. 4e et tic) ; il est cond
théâtre, comme polyeucte par sa femme, de rétracter sa profession de
foi
chrétienne. — Rotrou, par un anachronisme touchan
onisbe : Est-ce là cet amour que tu m’ayois promis ? Est-ce là cette
foi
que tu m’avois donnée ? Cf. Pauline dans Polyeuc
tre, et, remis a sa place, a le bon sens de dire : (À part.) Il a ma
foi
raison : je retombe toujours. (À Lycandre.) Mais,
souffrance. Le sentiment passionné de la nature et l’exaltation de la
foi
en sont chez lui le contre-poids et le remède, et
pas aux trois mots de leur titre : elles sont un hymne à Dieu que la
foi
du croyant fait chanter à toute la nature par la
s des effusions de l’âme, dans des cris du cœur, dans des élans de la
foi
. On est quelquefois haletant et ébloui au sortir
e souvient, de quoi ? d’un ami perdu ? de ses jours de jeunesse et de
foi
? des siècles de foi que regrettait Rolla ? — L’e
d’un ami perdu ? de ses jours de jeunesse et de foi ? des siècles de
foi
que regrettait Rolla ? — L’expression est vague,
nné un corps à ces idées de pureté, de force et de santé morale et de
foi
religieuse, inspirées par la nature, qu’il avait
de bontés vous voulez qu’on réponde, Et qu’on demande aussi, dans une
foi
profonde, Les choses dont on a besoin.
ui crut aux progrès de l’humanité et poursuivit ce noble but avec une
foi
persévérante1 Un acte de vertu. Dans la de
mouvements des ennemis. Il relève le courage des alliés. Il ménage la
foi
suspecte et chancelante des voisins. Il ôte aux u
e pouvaient rien voir : L’appartement, le mur, tout était noir. « Ma
foi
, disait un chat1, de toutes les merveilles Dont i
oir besoin : ce qui, joint à ses Maximes qui ne marquent pas assez de
foi
à la vertu2, et à sa pratique, qui a toujours été
st, qu’en effet, le culte chrétien n’était, surtout à cette époque de
foi
naïve et sincère, qu’un long et divin spectacle ;
u théâtre religieux du moyen âge. Aux approches de la Renaissance, la
foi
des premiers âges diminua, et avec elle disparut
ieux, et l’on sait combien de tortures et d’angoisses accompagnent sa
foi
ardente et opiniâtre. Tout autre est la physionom
ur que l’épopée soit possible à une certaine époque, que le poète ait
foi
dans le merveilleux qu’il met en jeu, qu’il ait d
ait un beau modèle à suivre. Mais la raison nous semble celle-ci : la
foi
dans un merveilleux quelconque n’existe plus guèr
ption de « l’animal léger », confiance persistante de la tortue qui a
foi
dans ses efforts persévérants et dans la sécurité
e ne saurait répondre aux épopées nationales et populaires, œuvres de
foi
sincère et d’ardent patriotisme que composent, av
ve, qui a eu le bonheur d’assister au règne glorieux d’Auguste, avait
foi
dans l’avenir ; pour moi, je n’ai ni son enthousi
ive par les applaudissements de mes contemporains, je m’égarai sur la
foi
de leur admiration. J’ai compris, depuis lors, à
ui dit : Or çà, sire Grégoire, Que gagnez-vous par an ? — Par an ! ma
foi
, monsieur, Dit avec un ton de rieur Le
-dessus de tout autre : les trois grandes vertus du christianisme, la
Foi
, l’Espérance et la Charité respirent dans les psa
c’est là ce qui rendra toujours ce recueil si précieux : car, sans la
foi
, l’âme est privée de lumières ; sans la charité,
ces mêmes Juifs et aux Gentils la nécessité du retour à Dieu et de la
foi
en J.-C. » Je pars pour Jérusalem : j’ignore quel
u moitiés qu’on nomme hémistiches, comme dans ce vers de Racine : Ma
foi
! sur l’avenir, — bien fou qui se fiera. Les ver
sumé que je lui fis du psaume. 6. Tenue, c.-à-d. obligée. 1. De ma
foi
chrétienne. 2. Des exhortations me confirment da
connaît intimement le cœur humain, met la passion aux prises avec la
foi
, et sait dire aux grands de courageuses vérités.
s évangéliques où abondent les beaux vers animés par le souffle de la
foi
. En les lisant, on est ému comme en face des fres
ne martyr a déjà souffert d’horribles tourments pour la défense de la
foi
; il est même disposé à subir le dernier supplice
nde est l’exposé d’un événement religieux, choisi dans les siècles de
foi
simple et naïve où les esprits avaient une propen
us l’entendons ici, se composant de tout ce que le peuple des âges de
foi
vive avait recueilli dans ses souvenirs ou poétis
la douce influence de la religion et les consolantes espérances de la
foi
peuvent seules ranimer nos forces et relever notr
Sanche, remettez Chimène en sa maison. Don Diègue aura ma cour et sa
foi
pour prison. Qu’on me cherche son fils. Je vous f
de lui je fasse plus de compte, Et que ton père même, en doute de ta
foi
, Donne plus de croyance à ton valet qu’à toi2. Ec
uvements des ennemis ; il relève le courage des alliés ; il ménage la
foi
suspecte et chancelante des voisins ; il ôte aux
« Soyez donc pleins de confiance et d’espoir : persévérez dans cette
foi
que vous avez montrée depuis tant d’années, au mi
t à mon égard le peuple chez qui je me suis réfugié ; il m’a donné sa
foi
, je lui ai donné la mienne ; il m’a inscrit au no
éprouver jamais les retours imprévus de la fortune, tu n’ajoutes pas
foi
à mes paroles, bien qu’elles méritent d’être écou
ulées ; les Carthaginois y avaient consenti, ensuite ils ont violé la
foi
jurée. Si donc aujourd’hui nous imposions des con
onne ne trouvera jamais une trace d’imposture, voici ma profession de
foi
. La Grèce est un pays où la pauvreté a toujours é
, sans avoir recours à la trahison, aux faux serments, sans violer la
foi
jurée ! Et les Thébains ! vous savez comment je m
ière ; Et l’espoir, près de toi, rêvant sur un tombeau, Appuyé sur la
foi
, m’ouvre un monde plus beau. Viens donc, vient dé
èles des bons écrivains. Le goût des élèves se forme en partie sur la
foi
du maître et sur celle des critiques dont ils fon
entiment chrétien aurait pu lui communiquer cette douce haleine de la
foi
, qui donne tant de charme aux Méditations de Lama
écessité indispensable, pour qu’il distingue exactement ce qui est de
foi
, d’avec ce qui n’est que d’opinion. Les ouvrages
propagation de l’évangile, ce zèle pour l’intégrité et l’unité de la
foi
, ce zèle pour la discipline de l’Église, ce zèle
secret de son cœur il ne l’abandonna jamais ; il ne perdit jamais la
foi
; il ne douta jamais de nos mystères. Au milieu m
de l’humanité. Il avait conçu l’ambition de donner aux vérités de la
foi
la rigueur de la certitude scientifique. Mais, fr
n’inspirent pas tous le même degré de confiance. « Pour être digne de
foi
, dit Cicéron, il faut jouir d’un certain crédit.
me ; le troisième, de ce que la religion a de plus sacré, à savoir la
foi
des traités, l’hospitalité et la reconnaissance :
rments, pressant sa main dans les nôtres, nous lui avons engagé notre
foi
; et ces mains consacrées par la religion du serm
ur Annibal auprès de mon fils ? Mais, qu’il n’y ait rien de sacré, ni
foi
, ni religion, ni piété, osons-le, cet affreux att
comme tes exploits, étonnant les lecteurs, Seront à peine crus sur la
foi
des auteurs, Si quelque esprit malin les veut tra
cre, sans que sa valeur et sa prudence fussent animées d’un esprit de
foi
et de charité ; content de le mettre au rang des
sa confidente lui dit : Votre pays vous liait, votre époux est sans
foi
, Dans un si grand revers, que vous reste-t-il ? M
tous chrétiens comme moi, C’est le sang des héros, défenseurs de leur
foi
; C’est le sang des martyrs. Ô fille encor trop c
champ ; mais un appareil d’idées brillantes aurait rendu suspecte la
foi
de l’écrivain. On aurait pu croire qu’il s’occupa
des usages, des privilèges de l’Église ; ses oracles, ses dogmes, sa
foi
, son autorité, l’étendue et les bornes de sa juri
▲