ux7. Et s’y veut contenter de la fausse pensée Qu’ont tous les autres
gens
que nous sommes heureux. Vers la retraite enfin l
rlons-en2, et d’estoc et de taille, Comme oculaire témoin. Combien de
gens
font-ils des récits de bataille Dont ils se sont
érité, Aussi grande quasi que Thèbe. La rivière est comme là. Ici nos
gens
se campèrent ; Et l’espace que voilà, Nos ennemi
pensant nous tailler des croupières2, Firent trois pelotons de leurs
gens
à cheval ; Mais leur chaleur par nous fut bientôt
cor plus plein d’extravagance. Acaste. Parbleu ! s’il faut parler de
gens
extravagants, Je viens d’en essuyer un des plus f
nt rien des ouvrages du temps, Il se met au-dessus de tous les autres
gens
. Aux conversations même il trouve à reprendre : C
son portrait véritable. Clitandre, à Célimène. Pour bien peindre les
gens
vous êtes admirable. Alceste. Allons ferme ! pou
l’on voit les humains se répandre. Philinte. Mais pourquoi pour ces
gens
un intérêt si grand, Vous qui condamneriez ce qu’
Témoigner l’amitié que pour vous a mon cœur. Hier3, j’étais chez des
gens
de vertu singulière, Où sur vous du discours on t
éclats, Madame, eut le malheur qu’on ne la loua pas4. Cette foule de
gens
dont vous souffrez visite, Votre galanterie, et l
. En un lieu, l’autre jour, où je faisais visite, Je trouvai quelques
gens
d’un très-rare mérite3, Qui, parlant des vrais so
? Elle est à bien prier exacte au dernier point ; Mais elle bat ses
gens
et ne les paye point. Dans tous les lieux dévots
arder soi-même un fort long temps Avant que de songer à condamner les
gens
; Qu’il faut mettre le poids d’une vie exemplaire
faire bien, du grenier de céans Cette longue lunette à faire peur aux
gens
, Et cent brimborions dont l’aspect importune ; Ne
l’esprit de ses enfants, Faire aller son ménage, avoir l’œil sur ses
gens
, Et régler la dépense avec économie, Doit être so
être son étude et sa philosophie1. Nos pères, sur ce point, étaient
gens
bien sensés, Qui disaient qu’une femme en sait to
chercher si loin, On ne sait comme va mon pot, dont j’ai besoin. Mes
gens
à la science aspirent pour vous plaire, Et tous n
mme j’ai dit, à vous que je m’adresse, Je n’aime point céans tous vos
gens
à latin, Et principalement ce monsieur Trissotin
les sots ne sont pas plus sûrs de faire fortune dans le monde que les
gens
d’esprit. Ils ont cependant quelques chances de p
aucune jalousie. Le monde est volontiers sévère pour les défauts des
gens
d’esprit, et indulgent pour les défauts des sots.
eur petitesse. Loué, exalté et porté jusqu’aux cieux par de certaines
gens
qui se sont promis de s’admirer réciproquement, i
l’infanterie, et accomplit ses plus belles prouesses à la tête « des
gens
de pied », qu’il entraînait par son exemple. Dans
s l’avoit servy, la maistresse sa chambriere, et ung monde de pouvres
gens
qui ne vivoient que du travail de leurs bras ; et
ras ; et par trois jours ceste desolation et pleurs dura. Ces pouvres
gens
s’en alloient à travers des ennemis, lesquels les
e que nous accorsismes4 nostre pain à douze onces, les soldatz et les
gens
de la ville à neuf. Cependant peu à peu nous perd
e sortoient au long des murailles ; mais je vis que j’y perdois force
gens
, et ne volsis7 plus laisser sortir personne…… En
ne leur y peux nyer, chargeant de maledictions ceux qui engagent les
gens
de bien, et puis les laissent là1. Je n’entendois
à noz ennemys1, et que vous ferés tous vostre devoir. Ce ne sont que
gens
ramassés, gens qui ont desjà accoustumé d’estre b
, et que vous ferés tous vostre devoir. Ce ne sont que gens ramassés,
gens
qui ont desjà accoustumé d’estre battus, et qui o
avant d’en venir aux mains. 1. Marchèrent à côté des nôtres. 2. Les
gens
d’armes sont à cheval.
s réflexions. Je suis presque aussi content avec des sots qu’avec des
gens
d’esprit : car il y a peu d’hommes si ennuyeux qu
s fussent dans un état florissant. J’ai cru trouver de l’esprit à des
gens
qui passaient pour n’en point avoir. Je n’ai pas
ntif à l’histoire, mais à la manière de la faire. Pour la plupart des
gens
, j’aime mieux les approuver que de les écouter. Q
sprit pour m’appuyer que des sots pour m’approuver. Il n’y a point de
gens
que j’aie plus méprisés que les petits beaux espr
ça comme un homme d’esprit, et je reçu un accueil assez favorable des
gens
en place : mais lorsque par le succès des Lettres
s, et que j’eus obtenu quelque estime de la part du public, celle des
gens
en place se refroidit ; j’essuyai mille dégoûts.
’habite ici une terre étrangère, et je n’y connais personne. Bien des
gens
me font de pareilles questions ; mais vous voyez
homme n’a tant été vu que moi. Je souriais quelquefois d’entendre des
gens
qui n’étaient presque jamais sortis de leur chamb
pas excessif, on avait attention à ne recevoir dans la milice que des
gens
qui eussent assez de bien pour avoir intérêt à la
devoir. Mais, lorsque les légions passèrent les Alpes et la mer, les
gens
de guerre, qu’on était obligé de laisser pendant
nt pas être bien modérés au dedans. Demander, dans un État libre, des
gens
hardis dans la guerre et timides dans la paix, c’
ous soyez content de l’Esprit des lois. Les éloges que la plupart des
gens
pourraient me donner là-dessus flatteraient ma va
n peu de miel, cela me suffit, et je me résigne au destin de tous les
gens
modérés, que le grand Cosme de Médicis comparait
on vous l’ôte à coups d’épingle ; vous élevez-vous un peu, voilà des
gens
qui prennent leur pied ou leur toise, dressent la
Comme le reste de la France : De quoi la ville d’Orléans, Pleine de
gens
heureux, délicats, fainéants, Qui voulaient mar
place, Et monts de déloger des champs. Tout ne put tenir sur les
gens
: Si bien que la troupe céleste, Ne sachant q
il fonde sa cuisine1 Garde-toi, tant que tu vivras, De juger des
gens
sur la mine2. » Le lièvre et la tortue
ir le pays. Volontiers on fait cas d’une terre étrangère ; Volontiers
gens
boiteux haïssent le logis1 Deux canards, à qui l
udra-t-il faire ? — Presque rien, dit le chien : donner la chasse aux
gens
Portants6 bâtons, et mendiants ; Flatter ceux du
bien, que mal, elle arriva1 Sans autre aventure fâcheuse. Voilà nos
gens
rejoints ; et je laisse à juger De combien de pla
urs peines2 Le paysan du Danube Il ne faut point juger des
gens
sur l’apparence3 Le conseil en est bon ; mais il
urs temples, D’avarice qui va jusques à la fureur. Rien ne suffit aux
gens
qui nous viennent de Rome : La terre et le travai
t Que la mollesse et que le vice ; Les Germains comme eux deviendront
Gens
de rapine et d’avarice1 C’est tout ce que j’ai v
r le nez du cocher. Aussitôt que le char chemine, Et qu’elle voit les
gens
marcher, Elle s’en attribue uniquement la gloire,
oit Un sergent de bataille allant en chaque endroit Faire avancer ses
gens
, et hâter la victoire. La mouche, en ce commun be
espirons maintenant ! dit la mouche aussitôt : J’ai tant fait que nos
gens
sont enfin dans la plaine. Çà, messieurs les chev
ne. Çà, messieurs les chevaux, payez-moi de ma peine. Ainsi certaines
gens
, faisant les empressés, S’introduisent dans les a
t que la terre Avait depuis plus de cent ans Produit pour l’usage des
gens
. Il retourne chez lui ; dans sa cave il enserre3
u berger, l’on peut dire Qu’il était digne de tous maux, Étant de ces
gens
-là qui, sur les animaux, Se font un chimérique em
, ni des autres puissances, Les moins pardonnables offenses. Tous les
gens
querelleurs, jusqu’aux simples mâtins, Au dire de
ine, d’ailleurs, me plaît beaucoup aussi. J’aurai donc à mon tour des
gens
à mon service ! Dans le commandement je serai bie
t, et souvent se nuisant à elle-même, si en voyage elle rencontre des
gens
habiles à faire des dupes, et heureux d’en trouve
e indienne, si quelqu’un s’étonnait de la voir voyager, et disant aux
gens
: « Est-ce que cela vous regarde ? — Non, milord
mais il est fanfaron et étourdi : il juge la force sur la taille des
gens
. 3. Me soucie. Se soucier se disait des choses,
Remarquez la familiarité du ton et du style. 2. Et sans cela… Les
gens
du peuple font volontiers des parenthèses dans le
est « à bout de bronze et d’encens » finit par se dire que choses et
gens
sont faits pour le servir. « Nous avons percé la
coq de village. Il est le docteur de son clocher. 6. Tel fruit. Les
gens
de la campagne parlent volontiers sentencieusemen
es de poésie, selon les objets imités I. Comme ceux qui imitent des
gens
qui agissent et que ceux-ci seront nécessairement
par la vertu), il s’ensuit nécessairement aussi que nous imitons des
gens
ou meilleurs qu’on ne l’est dans le monde, ou pir
ux qui étaient plus graves imitaient les belles actions et celles des
gens
d’un beau caractère ; ceux qui étaient plus vulga
avec la tragédie jusqu’au mètre (exclusivement), comme imitation des
gens
graves produite par le discours ; mais elle s’en
imitation a pour objet une action et qu’une action a pour auteurs des
gens
qui agissent, lesquels ont nécessairement telle o
l’imitation d’une action et, à cause de cette action, l’imitation de
gens
qui agissent. XIX. Puis, en troisième lieu, la pe
enre d’imitation), il est évident, d’abord, qu’il ne faut pas que les
gens
de bien passent du bonheur au malheur (ce qui n’e
l’embellissent par le dessin. Le poète, de même qu’il représente des
gens
colères ou calmes et de ou tel autre caractère, d
die) l’est pour l’épopée. IV. On prétend que celle-ci s’adresse à des
gens
de sens rassis, parce qu’ils n’ont pas besoin de
de ce résultat autant qu’il est en elle ; car il peut arriver que des
gens
incapables de jouir d’une bonne santé reçoivent c
remiers faits qui se présentent (car certains apparaissent même à des
gens
dénués de sens), mais sur des arguments rationnel
rties constitutives la noblesse, un grand nombre d’amis, l’amitié des
gens
honnêtes, la richesse, une descendance prospère,
recherché par tout le monde, ou par le plus grand nombre, ou par les
gens
de bien ou les hommes de sens. IX. Les honneurs s
soit dans telle circonstance, soit dans tel moment ; car beaucoup de
gens
obtiennent des honneurs pour des motifs qui parai
don d’un bien possédé et un signe d’honneur rendu. Voilà pourquoi les
gens
cupides et les ambitieux recherchent les dons. Le
s besoins. En effet, le don est une possession, ce que convoitent les
gens
cupides ; et il a en soi quelque chose d’honorifi
de la santé dans ce sens où l’on dit que sont exempts de maladie des
gens
qui gardent l’usage de leur corps ; car beaucoup
maladie des gens qui gardent l’usage de leur corps ; car beaucoup de
gens
se portent bien, comme on le dit d’Hérodicus214,
e la force et de la santé, une autre cause de longévité ; beaucoup de
gens
, dépourvus des qualités du corps, sont des exempl
pour le moment. XVI. L’amitié d’un grand nombre d’hommes et celle des
gens
honnêtes sont des avantages qui n’ont rien d’obsc
re d’hommes, et celui qui l’inspire aux hommes de bien sera l’ami des
gens
honnêtes. XVII. Le bonheur consiste dans la produ
ser) sa cruche à la porte. XXIII. On préfère aussi ce que beaucoup de
gens
recherchent et ce qui paraît digne d’être disputé
22 que ce à quoi tendent tous les hommes est un bien ; or beaucoup de
gens
font ce que tout le monde fait. XXIV. Ce qui est
ils une injure dans ce vers de Simonide : Ilion ne se plaint pas des
gens
de Corinthe223. XXV. C’est ce qui a obtenu la pr
d’une exécution aisée, ce sont celles où tout le monde, bon nombre de
gens
, nos pareils ou nos inférieurs, peuvent réussir.
sera plus vivement désirée. Il en est de même de ce que désirent les
gens
qui produisent une contestation, ou les adversair
e, la naissance et l’éducation, car il est vraisemblable que, issu de
gens
de bien, on est un homme de bien et que, tant vau
cation produit un bel effet si la personne louée a l’avantage sur des
gens
de valeur. XXXIX. L’amplification a sa raison d’ê
itions de ses auteurs ; troisièmement, la qualité et la condition des
gens
préjudiciés. III. Avant d’entrer dans ces détails
tement, prises dans les contraires. Chapitre XII Quels sont les
gens
qui font du tort, quel genre de mal font-ils, et
ous allons parler maintenant de la disposition et de la condition des
gens
qui causent un préjudice. On agit ainsi lorsque l
écouverts parce qu’on ne peut supposer qu’ils auraient agi contre des
gens
prévenus et aussi parce qu’ils peuvent dire, pour
pour qui le profit est immédiat et la punition différée, car de tels
gens
sont intempérants : or l’intempérance porte sur t
oivent leur venir plus tard et durer plus longtemps ; car ce sont les
gens
tempérés et de plus de sens qui poursuivent un te
réjudice, et en quoi consiste le préjudice causé : il y a d’abord les
gens
qui possèdent ce dont on manque soi-même, soit po
artient qu’à l’homme vigilant d’attaquer celui qui lui fait tort. Les
gens
discrets ; car ils n’aiment pas à guerroyer pour
es que l’on redoute, et l’on ne peut songer à se justifier devant des
gens
qui vous haïssent, ou vous portent envie. XXIII.
ait du mal pour ceux à qui l’on veut plaire : pour des amis, pour des
gens
qu’on admire, pour un bien-aimé, pour nos maîtres
e d’injustice. C’est ainsi que Callippe agit envers Dion279. XXX. Les
gens
qui se disposent à nous faire du mal, si nous ne
rminent. Chapitre XIII La loi naturelle et la loi écrite. — Des
gens
équitables. I. Établissons, maintenant, des div
Le fait d’être préjudicié consiste à subir l’injustice de la part de
gens
qui la font éprouver de propos délibéré ; car on
ite pas autrement que les témoignages. En effet, quels que soient les
gens
qui signent une convention ou qui veillent à son
tère véridique en plaidant contre le principe même de la torture. Les
gens
contraints par la torture, dira-t-on, ne disent p
exemple, au sujet de la colère, voir dans quel état d’esprit sont les
gens
en colère, contre quelles personnes ils le sont d
enons de dire. Chapitre II De ceux qui excitent la colère ; des
gens
en colère ; des motifs de colère. I. La colère
ceux auxquels ils font du tort. Voilà pourquoi les jeunes gens et les
gens
riches sont portés à l’insolence. Ils pensent que
nts. X. Voilà pourquoi les malades, les malheureux, les amoureux, les
gens
qui ont soif, et généralement tous ceux qui éprou
ne marque de leur mépris : les uns, comme s’ils avaient affaire à des
gens
qui leur seraient inférieurs ; les autres, comme
nférieurs ; les autres, comme si les services rendus leur venaient de
gens
au-dessous d’eux. XVIII. De même, et encore davan
its qui nous sont désavantageux ; car ils ressemblent, en cela, à des
gens
qui nous méprisent ou à des ennemis, tandis que l
pour des faits qui susciteraient ces sentiments et comme étant de ces
gens
contre lesquels on ne peut manquer d’être irrité.
calme d’esprit, il faut traiter les points suivants : quels sont les
gens
calmes ; à l’égard de qui le sont-ils, et pour qu
lleurs, ni sans déférence, soit envers qui que ce soit, ou envers les
gens
de bien ou envers les personnes de la même condit
ndamné Callisthène à la peine de mort328. XIV. De même encore, si les
gens
(qui nous ont fait tort) ont subi une condamnatio
reconnaître notre vengeance ; or c’est là le but que poursuivent les
gens
en colère. Aussi c’est avec à-propos que, au suje
s ces différentes dispositions (suivant les cas). On lui présente les
gens
contre lesquels il est irrité ou comme redoutable
ersonnes on aime et l’on hait. Pour quels motifs. I. Quels sont les
gens
qu’on aime et que l’on hait : quels sont nos moti
s, principalement ceux qui travaillent de leurs mains. X. De même les
gens
tempérants, vu qu’ils ne sont pas injustes, et, p
u’ils ont la même intention (à notre égard). Sont de ce nombre et les
gens
dont le mérite consiste dans leur vertu, et les p
ommerce et la fréquentation journalière sont agréables. Tels sont les
gens
faciles à vivre et qui ne cherchent pas à nous tr
estent des volontés contraires aux nôtres. XIII. Tels sont encore les
gens
d’assez d’esprit pour savoir manier la plaisanter
un homme de bien. XIX. De même ceux qui ne font pas d’opposition aux
gens
en colère ou très affairés, car cette opposition
vement leurs amis et qui ne les abandonnent pas ; car, entre tous les
gens
de mérite, ce sont ceux qui ont le mérite de savo
ou à Socrate, tandis que la haine peut atteindre toute une classe de
gens
; ainsi, chacun de nous a de l’aversion pour le v
. III. À cet ordre de faits appartiennent l’inimitié et la colère des
gens
qui ont une action sur nous, car il est évident q
ainte prend ses mesures en conséquence. VII. Comme il y a beaucoup de
gens
pervers, dominés par l’appât du gain et remplis d
t atteindre tous deux ensemble, car on est toujours en lutte avec les
gens
placés dans ces conditions. X. Ceux qui se renden
si pour nous-mêmes, car on pourrait plutôt nous nuire que nuire à des
gens
plus puissants que nous. Ceux qui redoutent des g
que nuire à des gens plus puissants que nous. Ceux qui redoutent des
gens
plus puissants que nous sont à craindre, pour la
our la même raison. XI. Sont encore à craindre ceux qui ont perdu des
gens
plus puissants que nous, et même ceux qui s’attaq
des gens plus puissants que nous, et même ceux qui s’attaquent à des
gens
moins puissants que nous. En effet, ils sont à cr
ou le seront quand leur puissance sera devenue plus grande. Parmi les
gens
qui ont éprouvé un préjudice (par notre fait), qu
qui sont d’un naturel calme, dissimulé et fourbe ; car ces sortes de
gens
ne laissent pas voir les coups qu’ils sont près d
uver, ni en fait d’épreuves dont on se croit exempt, ni de la part de
gens
de qui l’on n’en attend pas, ni dans les situatio
plus dans une situation désespérée. XV. Ainsi donc il faut mettre les
gens
dans une telle disposition d’esprit, lorsque l’in
ons semblables, la traversent ou l’ont déjà traversée, par le fait de
gens
desquels ils ne croyaient pas devoir l’attendre e
’assurance, sur quels objets elle porte, et comment se conduisent les
gens
qui en ont ; car l’assurance est le contraire de
qu’on a rendu des services ou qu’on en a reçu ; ou encore lorsque les
gens
intéressés à notre action sont plus nombreux, ou
r un avantage sur quelqu’un lorsqu’on l’a emporté sur lui, ou sur des
gens
plus forts que lui, ou sur ceux de sa force. XX.
e préjudice à personne, ou que ce soit seulement à un petit nombre de
gens
, ou à des gens qui ne sont pas en position de nou
ersonne, ou que ce soit seulement à un petit nombre de gens, ou à des
gens
qui ne sont pas en position de nous faire peur. X
uniaires, ou prêter un secours insuffisant et accepter des secours de
gens
qui n’ont pas autant de ressources que nous. VII.
Quant à ceux dont on veut être admiré et que l’on admire, ce sont les
gens
qui possèdent quelqu’un des biens honorables, ou
I. Nous rivalisons avec nos pareils. On se préoccupe de l’opinion des
gens
sensés comme ayant un sentiment juste des choses
divulguer. Or ceux qui sont portés à divulguer nos actes, ce sont les
gens
que nous avons lésés, attendu qu’ils sont toujour
i ne sont pas en faute et, à plus forte raison, ceux qui y sont ; les
gens
dont la vie se passe à voir les fautes du prochai
t le cas des moqueurs et des auteurs comiques ; car ce sont autant de
gens
médisants et enclins au commérage. De même encore
es n’ont jamais manqué de réussir ; car on est dans la disposition de
gens
qui se sentent admirés. Voilà pourquoi on a honte
rer les arguments pour supprimer l’idée d’une faveur et pour ôter aux
gens
tout sentiment de gratitude. En effet, ou bien on
irer d’affaire ; les vieillards, par bon sens et par expérience ; les
gens
faibles et les lâches encore davantage ; les pers
t la conséquence de ces éventualités. Celui qu’afflige la réussite de
gens
qui n’en sont pas dignes se réjouira ou, du moins
réjouira ou, du moins, ne sera pas péniblement affecté de l’échec des
gens
placés dans une situation contraire353. Par exemp
d’assassins quelconques subissant leur châtiment, personne, parmi les
gens
de bien, ne pourrait éprouver de peine ; car on d
uvoir et tels avantages dont, pour parler en général, sont dignes les
gens
de bien et ceux qui possèdent des biens naturels
la prospérité que l’on s’indigne le plus vivement357. Car la vue des
gens
nouvellement riches nous affecte plus que celle d
r la vue des gens nouvellement riches nous affecte plus que celle des
gens
qui le sont d’ancienne date et de naissance, il e
pour eux quelque autre bien encore. Et en effet, dans ce cas-là, les
gens
investis de l’autorité, s’ils sont riches depuis
vec le juste, mais avec le brave ; ni les brillants mariages avec les
gens
nouvellement enrichis359, mais avec les nobles),
leur bonheur. Les ambitieux sont aussi plus portés à l’envie que les
gens
dépourvus d’ambition. De même encore ceux qui aff
que chose sont envieux par rapport à cette même chose ; et encore les
gens
d’un petit esprit, car tout leur semble d’une gra
peu de frais. XI. On voit clairement aussi de quoi se réjouissent les
gens
de cette sorte, quelles personnes leur font plais
rétendent inspirer la pitié et obtenir ce qu’ils demandent soient des
gens
tels que nous l’avons expliqué, il est manifeste
ables dont l’acquisition pour nous est admissible, et obtenus par des
gens
dont la condition naturelle est semblable à la nô
ulation est-elle un sentiment honnête et se rencontre-t-elle chez des
gens
honnêtes, tandis que celui de l’envie est vil et
choses analogues. En effet, comme c’est un devoir pour eux d’être des
gens
de bien, c’est parce que ces sortes d’avantages r
bien, c’est parce que ces sortes d’avantages reviennent de droit aux
gens
de bien qu’ils excitent leur émulation. II. Parei
x qui possèdent un pouvoir analogue. VI. Ceux dont un grand nombre de
gens
voudraient avoir la situation365, recherchent la
ient de ce que la nature donne de la chaleur à la jeunesse, comme aux
gens
abreuvés de vin368, et, en même temps, de ce qu’i
ir, à moins que ce ne soit en vue d’un profit. C’est ce qui donne aux
gens
de cet âge l’apparence d’être tempérants, car les
ette impression, après tout, n’a rien que de naturel, car beaucoup de
gens
ont besoin de ceux qui possèdent. De là cette rép
ement riche et celles de l’homme riche d’ancienne date, que, chez les
gens
nouvellement riches, plutôt que chez les autres,
œurs dans leurs rapports avec l’âge et avec la fortune. Les mœurs des
gens
placés dans des conditions contraires sont facile
concours de la nécessité et de l’art. XIV. Ce qui est possible à des
gens
plus incapables, ou inférieurs, ou plus dénués de
car, le plus souvent, on satisfait sa passion lorsqu’on le peut : les
gens
vicieux par intempérance, et les gens honnêtes pa
passion lorsqu’on le peut : les gens vicieux par intempérance, et les
gens
honnêtes parce qu’ils n’ont que des désirs honnêt
e l’on ne possède pas, en voici une marque suffisante : c’est que les
gens
grossiers sont, plus que personne, grands faiseur
à-propos. Ainsi, par exemple, quand on exhorte à braver un danger des
gens
qui n’ont pas sacrifié : Le seul augure vraiment
ul augure vraiment bon, c’est de se battre pour son pays393 ; ou des
gens
qui sont plus faibles que l’ennemi : Mars est po
ait des choses évidentes. C’est ce qui fait que, dans les foules, les
gens
sans instruction sont plus persuasifs que ceux qu
rsuasifs que ceux qui sont instruits. Ainsi les poètes disent que les
gens
sans instruction, devant une foule, parlent avec
ou par des sages, soit tous, soit la plupart d’entre eux, ou par des
gens
de bien, ou encore par les juges eux-mêmes, ou pa
u par des gens de bien, ou encore par les juges eux-mêmes, ou par des
gens
dont les juges acceptent l’arbitrage, ou auxquels
que le logos 464 est ce qu’il y a de plus important, attendu que les
gens
de bien sont qualifiés non pas dignes de richesse
emple : si un enthymème dit qu’il faut avoir de l’indulgence pour les
gens
ivres, attendu qu’ils pèchent par ignorance, l’ob
; tel, par exemple, celui de Gorgias. Et maintenant encore, bien des
gens
dépourvus d’instruction trouvent que ceux qui le
un est honorable, et l’autre ne l’est pas. Autre exemple : il y a des
gens
qui qualifient du nom de διονυσοκόλακες516 ceux q
or ces termes sont tous deux des métaphores, appliquées l’une par des
gens
qui veulent l’avilir (la profession), l’autre par
ne par des gens qui veulent l’avilir (la profession), l’autre par des
gens
qui veulent faire le contraire. C’est encore dans
tits chiens qu’on vient de déchaîner ; que ceux-ci se jettent sur les
gens
et les mordent ; que, tout de même, Idrée, sortan
onne le change et les auditeurs sont dans la situation de beaucoup de
gens
qui vont trouver les devins. Lorsque ceux-ci pron
qui est en grand nombre, en petit nombre et à l’état d’unité : « Ces
gens
, dès qu’ils furent arrivés, se mirent à me frappe
la véhémence ; c’est pourquoi elles viennent souvent à la bouche des
gens
en colère : Non, quand il me donnerait autant (d
qualités corporelles, ils les honoraient par des présents ; mais aux
gens
vertueux ils ne donnèrent aucune récompense. » I
. Un autre consiste à voir si l’on implique (dans une imputation) des
gens
que l’on reconnaît ne pas donner prise à cette im
on doit y recourir. S’il s’agit de Critias, il le faut ; car bien des
gens
ne le connaissent pas693. IV. Il est ridicule de
thymèmes à tout propos ; sinon, tu feras ce que font quelques-uns des
gens
qui philosophent, lesquels érigent en syllogismes
us béatifions aussi les hommes les plus divins. Il en est de même des
gens
de bien ; car on ne loue pas le bonheur comme on
rsonnification divinisée de ce sentiment. 352. Les envieux comme les
gens
indignés. 353. C’est-à-dire méritant cet échec.
ui qui la possède. 365. Littéralement, ceux à qui un grand nombre de
gens
voudraient être semblables. Aristote a dit plus h
icéron et Caton ne sont pas galants ; César et Catilina n’étaient pas
gens
à se tuer pour vous. Ma chère enfant, je veux que
n’ont eu que la persécution pour récompense, je vous ferais voir des
gens
acharnés à me perdre, du jour que je donnai la tr
umain que quelques frelons pillent le miel de quelques abeilles ? Les
gens
de lettres font grand bruit de toutes ces petites
testable assassin que dans le temps où il fut privé de la société des
gens
de lettres. Avouez que Pétrarque et Boccace ne fi
erbes1. Je suis avec la plus tendre estime, etc. La condition des
gens
de lettres À M. Lefebvre 1 1732. Votre vo
Vous commencez par comparaître devant l’aréopage de vingt comédiens,
gens
dont la profession, quoique utile et agréable, es
eillissez dans l’opprobre et dans la misère. Les places destinées aux
gens
de lettres sont données à l’intrigue, non au tale
le lendemain sera oublié pour jamais3. Il n’est pas étonnant que les
gens
de lettres désirent entrer dans un corps où il y
blées, et que, dans l’autre moitié, il se trouve à peine huit ou neuf
gens
de lettres qui soient assidus. L’Académie est sou
ction est réelle. On pourrait mettre sur la tombe de presque tous les
gens
de lettres : Ci-git, au bord de l’Hippocrène, Un
donc à vous, et puis à vos amis ; buvez du vin de Champagne avec des
gens
aimables, mais faites quelque chose qui vous mett
is, il y a près d’un an, est bien vrai ; les artifices sont, pour les
gens
de lettres, la plus mauvaise des armes ; l’on se
scordantes qui crient hosanna le matin, et crucifige le soir ; de ces
gens
qui font du bien et du mal sans savoir ce qu’ils
a dit de l’Académie : « Elle est l’objet secret des vœux de tous les
gens
de lettres ; ils font contre elle des chansons et
ans l’instant que je partais, on m’arrête, moi, mon secrétaire et mes
gens
; on arrête ma nièce ; quatre soldats la traînent
renvoyé sa patente de la dignité d’académicien de Berlin. « Tous les
gens
de lettres de l’Europe furent aussi indignés des
ait mon ami ; j’avais à la fois le plaisir de défendre la liberté des
gens
de lettres avec la cause d’un ami, et celui de mo
êmes. » 3. Le 19 juin, Voltaire écrivait à la même : « Quand les
gens
de mon village ont vu Pigalle déployer quelques i
Eh ! sans sortir de la cour, n’a-t-il pas encore vingt caractères de
gens
où il n’a point touché ? N’a-t-il pas, par exempl
ntents de la cour, ces suivants inutiles, ces incommodes assidus, ces
gens
, dis-je, qui, pour services, ne peuvent compter q
t là-dessus ; car enfin j’ai ouï condamner cette comédie3 à certaines
gens
, par les mêmes choses que j’ai vu d’autres estime
ions de cerveau de nos marquis de Mascarille. J’enrage de voir de ces
gens
qui se traduisent en ridicule malgré leur qualité
e ces gens qui se traduisent en ridicule malgré leur qualité ; de ces
gens
qui décident toujours, et parlent hardiment de to
ongez qu’en ne disant mot on croira peut-être que vous êtes d’habiles
gens
. Le Marquis. Parbleu ! chevalier, tu le prends
que je parle ; c’est à une douzaine de messieurs qui déshonorent les
gens
de cour par leurs manières extravagantes, et font
oir la gloire de décider. Uranie. Il est vrai. Notre ami est de ces
gens
-là, sans doute. Il veut être le premier de son op
pèche contre les règles de l’art… Dorante. Vous êtes de plaisantes
gens
, avec vos règles, dont vous embarrassez les ignor
is. Uranie. Il est vrai ; et j’admire les raffinements de certaines
gens
sur des choses que nous devons sentir nous-mêmes.
erre Avait, depuis plus de cent ans, Produit pour l’usage des
gens
. Il retourne chez lui : dans sa cave il enserre4
rger, l’on peut dire Qu’il était digne de tous maux, Étant de ces
gens
-là qui sur les animaux Se font un chimérique
des autres puissances, Les moins pardonnables offenses. Tous les
gens
querelleurs, jusqu’aux simples mâtins, Au dire de
du cocher. Aussitôt que le char chemine, Et qu’elle voit les
gens
marcher, Elle s’en attribue uniquement la gloire,
t Un sergent de bataille2, allant en chaque endroit Faire avancer ses
gens
et hâter la victoire. La mouche, en ce commun
spirons maintenant ! dit la mouche aussitôt : J’ai tant fait que sons
gens
sont enfin dans la plaine. Çà, messieurs les chev
. Çà, messieurs les chevaux, payez-moi de ma peine. » Ainsi certaines
gens
, faisant les empressés, S’introduisent dans l
outume de certains impertinents de laquais qui viennent provoquer les
gens
et les faire aviser de6 boire, lorsqu’on n’y song
! je veux que tu me répondes. Maître Jacques. Combien serez-vous de
gens
à table ? Harpagon. Nous serons huit ou dix ; m
envie de faire crever4 tout le monde ? et monsieur a-t-il invité les
gens
pour les assassiner à force de mangeaille ! Allez
ions de cerveau de nos marquis de Mascarille. J’enrage de voir de ces
gens
qui se traduisent en ridicules, malgré leur quali
ces gens qui se traduisent en ridicules, malgré leur qualité ; de ces
gens
qui décident toujours3, et parlent hardiment de t
e dire si vous êtes gentilhomme2. Cléonte. Monsieur, la plupart des
gens
sur cette question n’hésitent pas beaucoup : on t
emblent, et vous n’avez rien fait, si vous n’y faites reconnaître les
gens
de votre siècle. En un mot, dans les pièces série
nt rien des ouvrages du temps, Il se met au-dessus de tous les autres
gens
. Aux conversations même il trouve à reprendre : C
eur petitesse. Loué, exalté et porté jusqu’aux cieux par de certaines
gens
qui se sont promis de s’admirer réciproquement, i
discrètement, et leur douleur prouva bien tout ce que cette espèce de
gens
allait perdre. Vers minuit et demi, on eut des no
eur propre. Parmi eux s’en remarquaient d’autres des plus éveillés de
gens
principaux de la cour, qui étaient accourus aux n
peu d’agitation de leur corps. Des changements de posture, comme des
gens
peu assis ou mal debout ; un certain soin de s’év
l fallut le déshabiller là même, et se précautionner de remèdes et de
gens
de la Faculté. Madame la duchesse de Berry était
, donnait ses ordres pour le soulagement des princes, pour que peu de
gens
entrassent, quoique les portes fussent ouvertes à
soin, sans empressement, sans se méprendre en quoi que ce soit ni aux
gens
ni aux choses ; vous l’auriez cru au lever ou au
puyé sur son épouse, madame de Saint-Simon avec eux et une poignée de
gens
. Je les suivis de loin pour ne pas exposer ma cur
ssent du feu de toutes parts, et qui viennent jeter sur le rivage des
gens
inconnus, tout écaillés de fer, disposant comme i
aine éclipse de soleil, qui à la vérité fut totale2 ? Une infinité de
gens
ne se tinrent-ils pas enfermés dans des caves ? E
gée elle-même. Environné et accablé dans ses audiences d’une foule de
gens
, du menu peuple pour la plus grande partie, peu i
nt général, traverser un espace de chemin occupé par les flammes. Les
gens
du port et les détachements du régiment des garde
bien1. Homère. Sans mentir, je m’étais bien douté que de certaines
gens
ne manqueraient point d’entendre finesse où je n’
er des fables allégoriques, il eût bien pu arriver que la plupart des
gens
auraient pris la fable comme une chose qui n’eût
it comme un tourbillon3 ; il croit bien être grand seigneur, mais ses
gens
le croient encore plus que lui. Ils passaient au
ras de carrosses, cris dans la rue, flambeaux allumés, reculements et
gens
roués1 ; enfin le tourbillon, la dissipation, les
intes tendres et pitoyables, elle a tout éprouvé. Elle voit certaines
gens
, elle prend des bouillons1, parce que Dieu le veu
ros, dont tout le train4 était arrivé à onze heures. Tous ces pauvres
gens
étaient en larmes, et déjà tout habillés de deuil
samedi à deux heures, après avoir mangé ; et, comme il avait bien des
gens
avec lui, il les laissa tous à trente pas de la h
s ce moment, le cheval s’arrête, le héros tombe entre les bras de ses
gens
; il ouvre deux fois de grands yeux et la bouche,
extraordinaire ? Il arrive à Saint-Denis ce soir ou demain ; tous ses
gens
l’allaient reprendre à deux lieues d’ici. Il sera
r le décret de passer à l’assemblée du peuple, remplirent le Forum de
gens
armés : Sextius et Milon rassemblèrent de leur cô
s il va vous présenter deux consuls, ses ennemis, et ceux de tous les
gens
de bien ! 82« Alter unguentis affluens, calamis
et de la négligence de ses maximes. Pourquoi faut-il qu’il y ait des
gens
qui demandent encore de nouvelles preuves, après
on desquels Sextius est accusé ? comment se comportent-ils ? Avec des
gens
armés, dont la plupart étaient des esclaves, ils
ction, des honneurs et de la gloire, c’est d’être estimé et chéri des
gens
de bien, des hommes sages, des caractères solides
mons donc la patrie, soyons soumis au sénat, prenons les intérêts des
gens
de bien ; oublions les avantages présents, pour n
l’autorité, ni du culte, ni de la politique, ni de la morale, ni des
gens
en place, ni des corps en crédit, ni de l’Opéra,
oisifs d’une grande ville en s’y prenant bien, et nous avons ici des
gens
d’une adresse !… D’abord un bruit léger rasant le
and il la croit juste, mais honorant hautement et sans envie tous les
gens
qu’il reconnaît supérieurs ; confiant sur ses int
écrie avec un orgueilleux dépit : Tandis que moi, morbleu ! — Que de
gens
se disent aussi : Et nous, morbleu ! — ce moi, mo
omme adjectif : = un homme esclave, une femme esclave. Le nom pluriel
gens
exige plusieurs remarques. 1°. Il est masculin, q
°. Il est masculin, quand il est suivi de son adjectif : = Il y a des
gens
bien cruels. Il est féminin, quand il en est préc
. Il est féminin, quand il en est précédé : = il y a de bien cruelles
gens
; = les vieilles gens sont soupçonneux. 2°. Quand
d il en est précédé : = il y a de bien cruelles gens ; = les vieilles
gens
sont soupçonneux. 2°. Quand le pronom tout précèd
soupçonneux. 2°. Quand le pronom tout précède, avec l’article, le mot
gens
, ce pronom prend le masculin : = rechercher tous
cle, le mot gens, ce pronom prend le masculin : = rechercher tous les
gens
de bien. Quand il le précède sans article, il pre
précède sans article, il prend le féminin : = s’accommoder de toutes
gens
. 3°. Quand un adjectif, qui a la même terminaison
aison au masculin et au féminin, précède, avec le pronom tout, le mot
gens
, on met ce pronom au masculin : = cet homme voit
masculin : = cet homme voit tous les honnêtes gens, tous les habiles
gens
, tous les aimables gens. Quand cet adjectif a une
voit tous les honnêtes gens, tous les habiles gens, tous les aimables
gens
. Quand cet adjectif a une terminaison différente
: = cet homme pense comme toutes les bonnes gens, toutes les petites
gens
, toutes les sottes gens. Qu’on ne demande point l
me toutes les bonnes gens, toutes les petites gens, toutes les sottes
gens
. Qu’on ne demande point la raison de ces diverses
emps auquel les études cessent) ; vacations (cessation de séances des
gens
de justice) ; vergettes (époussette) ; vitraux, e
es plus nécessaires : = Rien de si agréable que de converser avec des
gens
instruits : = Si vous venez, et que nous soyons s
outume de certains impertinents de laquais qui viennent provoquer les
gens
et les faire aviser de2 boire lorsqu’on n’y songe
je veux que tu me répondes. Maître Jacques. Combien serez-vous de
gens
à table ? Harpagon. Nous serons huit ou dix ;
envie de faire crever1 tout le monde ? et monsieur a-t-il invité les
gens
pour les assassiner à force de mangeaille ! Allez
l’esprit d’un homme aux belles choses. M. Jourdain. Est-ce que les
gens
de qualité apprennent aussi la musique ? Le maî
ue dans mon amitié : je revins entêtée de votre société. Il y eut des
gens
qui me dirent en ce temps-là : « J’ai vu votre po
ros, dont tout le train2 était arrivé à onze heures. Tous ces pauvres
gens
étoient en larmes, et déjà tout habillés de deuil
samedi à deux heures, après avoir mangé, et, comme il avait bien des
gens
avec lui, il les laissa tous à trente pas de la h
s ce moment, le cheval s’arrête, le héros tombe entre les bras de ses
gens
; il ouvre deux fois de grands yeux et la bouche,
extraordinaire ? Il arrive à Saint-Denis ce soir ou demain ; tous ses
gens
l’alloient reprendre à deux lieues d’ici. Il sera
retourner l’opinion et à gagner à l’accusé la pitié universelle. Les
gens
de lettres surtout y aidèrent puissamment, et auj
Nulle expression, nulle couleur, nulle vie dans leurs esquisses. Ces
gens
-là, pour peindre l’homme, ne se sont jamais avisé
ès, un amateur de sa collection, un sportman de son écurie : tous ces
gens
-là sont éloquents, — et cependant ils ne sont pas
té du procès ; vous allez appeler sur vous l’indulgence de ces braves
gens
, résolus d’avance à punir, je ne dirai pas le cri
là-dessus lui en remontre quelquefois. Mêlez-vous au monde, voyez des
gens
de tout métier, de toute profession. Chaque class
ait à Balzac pour écrire un roman ? Soyez lettré surtout. Je sais des
gens
de robe qui n’ont dans leur bibliothèque que des
Or vous pouvez savoir qu’ils regardèrent beaucoup Constantinople, ces
gens
qui jamais ne l’avaient vue ; [au point] qu’ils n
tue, et lors s’envoise Li papegaus et la kalandre : Lors estuet jones
gens
entendre A estre gais et amoreus Por le temps bel
sa bouche. Je le vis quelquefois, en été, lorsque, pour expédier ses
gens
, il venait au jardin de Paris39 ayant revêtu une
aisait étendre un tapis pour nous asseoir autour de lui ; et tous les
gens
qui avaient (une) affaire par-devant lui étaient
arler sur vous en nulle manière villainne. Se vous n’avés pité de ces
gens
, toutes aultres gens diront que ce sera grant cru
le manière villainne. Se vous n’avés pité de ces gens, toutes aultres
gens
diront que ce sera grant cruaultés, se vous faite
arler sur vous en aucune manière vilaine. Si vous n’avez pitié de ces
gens
, tous les autres gens diront que ce sera grande c
ne manière vilaine. Si vous n’avez pitié de ces gens, tous les autres
gens
diront que ce sera grande cruauté de faire mourir
ien que ceste fortification ne suffisoit point contre grant nombre de
gens
, ne contre une armée ; mais de cela il n’avoit po
que ce ne fust du sceu114 du Roy, excepté quelque maistre d’hostel et
gens
de ceste sorte, qui n’alloient point devers luy.
sant en soi-même : « Comment ! je ne fais que penser en mon pot ; les
gens
connaissent bien à ma façon219 qu’il y a quelque
êtes sage, prenez dorénavant en vos entreprises des conseillers plus
gens
de bien que ceux-là. » (Essais, livre I, chap. xx
Cela fait, il s’en revint en France, y492 laissant une partie de ses
gens
, auxquels il promit d’amener bientôt du secours e
lets. Mais la division et la jalousie se glissèrent bientôt parmi ses
gens
, de telle sorte qu’ils se saisirent de sa personn
es, n’a pas grande curiosité pour les sauces qu’on y apprête. Ce sont
gens
capables de faire un très méchant mets d’un très
approchez. Que je suis ravi de vous voir, et que je veux de mal à mes
gens
de ne vous pas faire entrer d’abord561 ! J’avais
sser M. Dimanche dans une antichambre, et je vous ferai connaître les
gens
. M. Dimanche. — Monsieur, cela n’est rien. Don
nde-t-il toujours aussi fort, et mord-il toujours bien aux jambes les
gens
qui vont chez vous ? M. Dimanche. — Plus que jam
e un flambeau pour conduire M. Dimanche, et que quatre ou cinq de mes
gens
prennent des mousquetons pour l’escorter568. M.
ume de certains impertinents584 de laquais qui viennent provoquer les
gens
et les faire aviser de boire lorsqu’on n’y songe
je veux que tu me répondes. Maître Jacques. — Combien serez-vous de
gens
à table ? Harpagon. — Nous serons huit ou dix ;
z envie de faire crever tout le monde ? Et monsieur a-t-il invité des
gens
pour les assassiner à force de mangeaille ? Allez
e dire si vous êtes gentilhomme. Cléonte. — Monsieur, la plupart des
gens
, sur cette question, n’hésitent pas beaucoup. On
ts invulnérables : tout cela est charmant, sans doute ; et il y a des
gens
qui n’ont aucune peine à en comprendre la possibi
(vous n’y voyez encore goutte), et, en leur place, j’envoie tous mes
gens
faner. Savez-vous ce que c’est que faner ? Il fau
nt dans une prairie ; dès qu’on en sait tant, on sait faner. Tous mes
gens
y allèrent gaiement ; le seul Picard me vint dire
me comme un rocher, et il est parti. C’est une justice de traiter les
gens
selon leurs bons ou mauvais services. Si vous le
s, et tout son train718 était arrivé à onze heures : tous ces pauvres
gens
étaient fondus719 en larmes, et déjà tout habillé
cheval à deux heures le samedi, après avoir mangé. Il avait bien des
gens
avec lui ; il les laissa tous à trente pas de la
: dans ce moment, le cheval s’arrête ; il tomba entre les bras de ses
gens
; il ouvrît deux fois de grands yeux et la bouche
extraordinaire ? Il arrive à Saint-Denis ce soir ou demain ; tous ses
gens
l’allaient reprendre à deux lieues d’ici. Il sera
multitude, ce sont des têtes de nul prix, et, comme on parle745, des
gens
de néant. Ainsi chacun ne compte que soi ; et ten
médisants dans le monde : pourquoi ? parce qu’il y aurait fort peu de
gens
qui pussent ou qui voulussent essuyer la tache qu
« L’ami de tout le monde n’est ami de personne. » Il y a en effet des
gens
de ce caractère : ils vous aperçoivent ; ils vien
mit à table, lui trente-septième. Quelques moments après, il dit aux
gens
de la maison de faire monter un gentilhomme nommé
sais comment diable894 ce nigaud895 de marié s’est rencontré chez les
gens
de la douane quand on visita ma valise à Calais ;
se hâte d’aller au-devant du mal dès la première enfance. Beaucoup de
gens
qui n’approfondissent guère concluent de ce mauva
es qu’il fait bien ; mettez en œuvre l’émulation… Faites-lui voir des
gens
timides comme lui, qui surmontent enfin leur temp
d’autrui, que la timidité et la paresse étouffent l’esprit ; que les
gens
mous et inappliqués, quelque génie909 qu’ils aien
st ce qui le rend suspect. Louis. — Pourquoi faut-il qu’il y ait des
gens
qui aient la démangeaison d’écrire ? Il faut lais
ns lorsque je parlais tout seul, toutes mes intrigues avec de petites
gens
. On dit que vous avez parlé du crédit de mon prév
use. Il est Vrai que cette méthode est bien lente pour la plupart des
gens
, qui courent naturellement à la cause et passent
vivant. Il s’entretenait volontiers avec toutes sortes de personnes,
gens
de cour, artisans, laboureurs, soldats. Il n’y a
besoin. Soyez désormais en garde contre les louanges. Défiez-vous des
gens
que vous ne connaîtrez point. Vous en pourrez ren
u bien ou du mal à personne. Il n’est donc pas surprenant que tant de
gens
si puissants en tout genre, à qui ce livre arrach
homme n’a tant été vu que moi. Je souriais quelquefois d’entendre des
gens
qui n’étaient presque jamais sortis de leur chamb
un bien mauvais naturel pour aller faire cent petites insultes à des
gens
qui venaient tous les jours chez nous nous témoig
rs cuisiniers du monde, et les ragoûts fins sont bien ridicules à des
gens
en haleine depuis le lever du soleil. Le service
et madame votre épouse, vous avez, pour toute réponse, ordonné à vos
gens
de la chasser. J’ai tâché de consoler la bonne fe
ducation ; je lui ai prouvé que ce ne serait pas la peine d’avoir des
gens
, s’ils ne servaient à chasser le pauvre quand il
fs d’une grande ville en s’y prenant bien : et nous avons ici1257 des
gens
d’une adresse !… D’abord un bruit léger, rasant l
and il la croit juste, mais honorant hautement et sans envie tous les
gens
qu’il reconnaît supérieurs ; confiant sur ses int
onsieur, que tout le monde vive ». J’ai observé aussi que beaucoup de
gens
du petit peuple ne marchandent jamais, lorsqu’ils
nge blanc, et si proprement arrangé, qu’on eût dit, quand ces pauvres
gens
lui faisaient l’aumône, que c’était lui qui la le
niversel en Italie, et prête sou vent de la noblesse aux discours des
gens
du peuple… Cependant il cherchait une manière de
chemar. Un jour, je voyageais en Calabre ; c’est un pays de méchantes
gens
, qui, je crois, n’aiment personne, et en veulent
omettre de ce qui pouvait nous perdre, il fit le riche, promit à ces
gens
, pour la dépense et pour nos guides du lendemain,
n faisait grand mal ; mais il ne fait pas bon cosser 1444 avec telles
gens
, et j’en sais des nouvelles. Je regardais et lais
le1453 : voilà pourquoi il nous tutoie et rudoie nous autres paysans,
gens
de peu, bons amis pourtant de feu son père. Il se
nt au contraire, nous caressent, et ne haïssent guère qu’une sorte de
gens
, les vilains1454 anoblis, enrichis, parvenus. Il
i : Nous dansions gaiement sur la place. Monsieur le maire envoie ses
gens
et ses chevaux caracoler tout au travers de nos
Lions ? C’était dans l’année des grandes neiges, que1459 les pauvres
gens
eurent si grand’peine à vivre. Ce fut une terribl
du secours. L’Empereur, touché du magnanime dévouement de ces braves
gens
, résolut d’essayer de les sauver, en ordonnant au
n long et sourd gémissement s’éleva autour de Whitehall ; beaucoup de
gens
se précipitaient autour de l’échafaud pour trempe
ras, en avançant dans la vie, que le principal défaut, de beaucoup de
gens
, c’est de ne pas savoir se suffire à eux-mêmes. I
nfant, et qui semble contraire à celui-là. Il faut savoir refuser aux
gens
, même aux gens qu’on aime, les choses qu’il serai
emble contraire à celui-là. Il faut savoir refuser aux gens, même aux
gens
qu’on aime, les choses qu’il serait déraisonnable
ne s’en aperçut pas, et voulut encore aller plus loin. Mais comme les
gens
qui la suivaient, grossissant beaucoup le cortège
cantons où on était dur pour les nécessiteux, il disait : « Voyez les
gens
de Briançon. Ils ont donné aux indigents, aux veu
uré le recommande au prône ; et le dimanche, après la messe, tous les
gens
du village, hommes, femmes, enfants, vont dans le
grands savants. Mais quelle honte d’être ignorants ! Faites comme les
gens
de Queyras. » Il parlait ainsi gravement et pater
ont la vente était décrétée ; après quoi, le dîner étant servi et les
gens
du roi1643 attablés, Tristan dit au greffier : «
? J’en ai reçu une ce matin : soixante louis1681 ! te railles-tu des
gens
? il te sied bien de faire le fashionable1682 (qu
goguenard et cordial qui caractérise l’esprit lorrain : « Allons, les
gens
de Dieuze, en voiture ! » Je répondis d’instinct,
ieuze, en voiture ! » Je répondis d’instinct, sans songer1722 : « Les
gens
de Dieuze ? mais j’en suis ! » On arrivait ensuit
également haïssables : l’Allemand, l’Anglais et le Russe. « Tous ces
gens
-là, disait-il, veulent avoir la France, parce qu’
rouillard, la retraite, tout augmentait mes transes, mon remords. Les
gens
qui passaient, rentrant chez eux bien tranquilles
s une bourse assez large et profonde Il leur déploie, et leur dit : «
Gens
de bien, Ouvrez vos yeux ! Voyez ! Y a-t-il rien
livre. Si1919 vous suppli, Sire, mander par lettre Qu’en liberté vos
gens
me vueillent mettre : Et, si je sors, j’espère qu
us désireux Les princes sans amis sont toujours malheureux. Aimez les
gens
de bien, ayant toujours envie De ressembler à ceu
la confusion que ce grand monde apporte, Il y vient de tous lieux des
gens
de toute sorte ; Et dans toute la France il est f
ès que vous verrez que la terre Sera couverte, et qu’à leurs blés Les
gens
n’étant plus occupés Feront aux oisillons la guer
u moins à ce qu’ils dirent. C’était le roi des ours, au compte de ces
gens
. Le marchand à sa peau2158 devait faire fortune ;
te, Trouvent l’Ours qui s’avance et vient vers eux au trot. Voilà mes
gens
frappés comme d’un coup de foudre. Le marché ne t
endit ; Puis cet homme et son fils le portent comme un lustre Pauvres
gens
, idiots, couple ignorant et rustre ! Le premier q
les vit de rire s’éclata2191 : « Quelle farce, dit-il, vont jouer ces
gens
-là ? « Le plus âne des trois n’est pas celui qu’o
te pas, une troisième troupe Trouve encore à gloser. L’un dit : « Ces
gens
sont fous ! « Le baudet n’en peut plus ; il mourr
de l’âne ou du maître est fait pour se lasser ? « Je conseille à ces
gens
de le faire enchâsser2202. « Ils usent leurs soul
meurez en province ; Prenez femme, abbaye, emploi, gouvernement : Les
gens
en parleront, n’en doutez nullement. » (Fables,
nos Français, si souvent redressés, Ne prendront-ils jamais un air de
gens
sensés, Ai-je dit, et faut-il sur nos défauts ext
venté2227. Je l’étais peu pourtant ; mais on en voit paraître, De ces
gens
qui de rien2228 veulent fort vous connaître, Dont
chance2234, Et s’est devers la fin levé longtemps d’avance ; Car les
gens
du bel air, pour agir galamment, Se gardent bien
ère, ai-je fait2245, la dose est trop peu forte Pour oser y prier des
gens
de votre sorte2246. — Non, m’a-t-il répondu, je s
eux, Et s’y veut contenter de la fausse pensée Qu’ont tous les autres
gens
, que nous sommes heureux. Vers la retraite en vai
ons-en et d’estoc et de taille2260, Comme oculaire témoin. Combien de
gens
font-ils des récits de bataille Dont ils se sont
é, Aussi grande quasi2265 que Thèbe. La rivière est comme là, Ici nos
gens
se campèrent2266 ; Et l’espace que voilà, Nos enn
nsant nous tailler des croupières2268, Firent trois pelotons de leurs
gens
à cheval ; Mais leur chaleur par nous fut bientôt
n’est pas d’une belle âme ; Et le cœur est digne de blâme Contre les
gens
qui n’en ont pas2279. Mercure. Hé bien ! es-tu S
ût, les yeux se contentaient2297, Je pris un peu de courage, Pour nos
gens
qui se battaient. Sosie. Cette preuve sans parei
cor plus plein d’extravagance. Acaste. Parbleu ! s’il faut parler de
gens
extravagants, Je viens d’en essuyer un des plus f
nt rien des ouvrages du temps, Il se met au-dessus de tous les autres
gens
; Aux conversations même il trouve à reprendre :
amne, voilà son portrait véritable. Clitandre. Pour bien peindre les
gens
vous êtes admirable. (Le Misanthrope, acte II, s
ne le point flatter son sonnet ne vaut rien. Trissotin. Beaucoup de
gens
pourtant le trouvent admirable. Vadius. Cela n’e
e là-dessus je n’en suis point du tout, Et que d’un tel sonnet peu de
gens
sont capables. Vadius. Me préserve le Ciel d’en
sent son vieux temps. Vadius. La ballade pourtant charme beaucoup de
gens
. Trissotin. Cela n’empêche pas qu’elle ne me dép
s grand, Un lutin2455, que l’enfer a vomi sur la terre Pour faire aux
gens
dormants une éternelle guerre, Commence son vacar
e. (La Légende des siècles, première série, XIII, 1.) Les pauvres
gens
Fragments Il est nuit. La Cabane est pauv
Et vous êtes sans dot comme la fleur des Champs. Cela n’amuse pas les
gens
qui sont méchants De voir que je vous prends pour
ameaux, O terre de mon cœur, ô collines chéries, Et pourtant, pauvres
gens
, pêle-mêle et nu-pieds, Sur le pont des vaisseaux
plein d’orgueil et d’envie. Mais de quel droit viens-tu troubler des
gens
de bien ? Tu hais notre métier, Judas ? et nous,
l’Europe et marcher aux conquêtes, C’est une œuvre inouïe, et que ces
gens
mal nés Surpassent en vigueur nos amis blasonnés2
ier, ces Montagnards infâmes2867 ? Il fallait affronter bien d’autres
gens
que vous ; L’Europe se ruait tout entière sur nou
, Ils tombassent par terre et qu’on pût ramasser. Certes, les pauvres
gens
ne s’en firent pas faute. Mais, quand ce fut fini
m’a sauvé la vie. Legoëz Oui, je l’accorde. N’importe ! Ces Anglais,
gens
de sac et de corde. Pierre Enfin, Anglais ou non,
s vignes ? Tes propos sont désobligeants.... Écoute bien. Beaucoup de
gens
Boivent du vin, c’est vrai ; mais tous n’en sont
u renverses les murs, tu mugis dans les rues, Noyant partout bêtes et
gens
.... Voilà de beaux exploits, dont tu peux être fi
arions-nous, commère, avec de gais murmures, Pans le verre des braves
gens
! (Poèmes et récits, d’après de vieilles chansons
u le mérite de la reconnaître le premier) du nom d’Alcibiade, que les
gens
du moyen âge, à cause de la beauté proverbiale de
de ce que.... 369. Il faut entendre sans doute : trouver (chez les
gens
de ma maison). 370. Tant bien que mal. L’express
ue le fusil, et que ce dernier a remplacée. 569. Embrassez-moi. Les
gens
du bel air s’embrassaient en se rencontrant : Don
r au-dessus de son rang, parle beaucoup par proverbes, comme tous les
gens
du peuple, comme Sancho Pança, dans Don Quichotte
rouve employé pour désigner des bêtes rapaces et féroces, symbole des
gens
de justice, dans le livre V de Rabelais, publié a
665. Les médecins portaient alors la robe, comme les théologiens, les
gens
de justice (avocats, procureurs, membres du Parle
mment de mémoire. Le vers exact est : L’on ne s’en prenait point aux
gens
du voisinage. 703. Le Gland et la Citrouille,
pas être, vous êtes, bon gré mal gré, forcée d’être ingrate : trop de
gens
vous aiment pour qu’il vous soit possible de vous
nce en lui, il lui a accordé du crédit. 779. Vous embrassent. Les
gens
du bel air s’embrassaient au dix-septième siècle,
ciation : mauvais, méchant, etc. 902. Pied-plat, homme de rien (les
gens
du peuple portaient généralement des souliers san
us belle des gloires. 1062. La nation offensée, tout l’ensemble des
gens
de robe et de finance. 1063. Il, ce serviteur,
cheter de titre de noblesse : nous sommes toujours des roturiers, des
gens
du tiers état. 1132. Je te prendrai pour associ
ent nommé Dubois. Quant à d’Assas qui le suivait, « il commanda à ses
gens
de tirer, quoiqu’il se trouvât devant eux. Une de
gitimer sa réclamation. 1201. Roturiers, dont ne se servent que des
gens
de la roture. La roture, c’est tout ce qui n’est
s, valant environ 4 grammes. 1281. On voit par tout ce débat que les
gens
d’autrefois avaient une orthographe moins rigoure
Courier feint de quereller Mme Pigalle, sa cousine, à la manière des
gens
du peuple. Mamzelle est une abréviation populaire
filles de naissance noble. 1454. Vilains, paysans (littéralement :
gens
de la ferme), et, en général, personnes non noble
n’as point de domestique pour t’attendre quand tu rentres. 1684. Les
gens
attachés aux anciennes modes se nouaient encore l
transport en commun des voyageurs. 1772. Chaine, nom par lequel les
gens
du métier désignent souvent le toueur, espèce de
arait pas antérieur à Marot. 1843. Encore en usage pour désigner les
gens
du Hainaut. 1844. L’ouest de la France, ou la Fr
. A vous : car c’est au nom du roi que procèdent (on les appelle les
gens
du roi : voir page 398, note 1) les différents ma
cq, jamais. Plaideurs désigne ici, comme souvent au xvie siècle, les
gens
de justice, juges ou avocats. 1919. Si, dans ce
imulent leurs armes sous une chemise, ou peut-être dirigée contre des
gens
en chemise. 1975. Selon l’art (de la tactique).
at, confondu dans son régiment. 2124. Honnêtes gens, gens du monde,
gens
distingués. Voir la note 2 de la page 157. 2125.
uter, à quel but, à quelle fin je dois tendre. 2189. Les miens, les
gens
de ma famille. 2190. Dans quelque endroit. L’hi
utaine. L’origine du mot est inconnue. 2226. Que je t’embrasse. Les
gens
à la mode s’embrassaient volontiers en se rencont
comme pour répondre à un qui va là ? qui lui aurait été lancé par les
gens
qu’il croit voir dans l’obscurité. 2256. Sans s
ins de Molière. Pour en goûter tout le sel, il faut songer à tous les
gens
de cour qui y trouvaient la peinture de leur cond
ue dans le langage familier. — Sans vous rien dire, sans prévenir les
gens
. 2275. Pour y faire quelque pause, pour différe
ontraire il mérite d’ètre blâmé, quand on en fait preuve à l’égard de
gens
qui n’en ont pas. 2280. So-si-e, trois syllabes
. Dans le brillant commerce, dans le commerce, dans la compagnie des
gens
qui brillent au premier rang. 2305. L’entête, o
est sa pensée dominante. — Qualité, le plus ou moins de noblesse des
gens
. 2306. Tutaye, tutoie. — L’orthographe et la pr
rouver une fois de plus, en médisant de lui, sa finesse à peindre les
gens
. 2313. Honnête homme. Voir la note 2 de la page
réalité un avantage. 2370. . En des projets si vagues. Allusion aux
gens
dont Boileau a parlé dans un autre passage de la
s, et il y eut même encore longtemps après cette époque, à Paris, des
gens
qui faisaient métier d’aller, de maison en maison
ubans, des décorations. Béranger veut dire sans doute que beaucoup de
gens
se sont disputé et se disputent encore des décora
donc à vous, et puis à vos amis ; buvez du vin de Champagne avec des
gens
aimables, mais faites quelque chose qui vous mett
n’ont eu que la persécution pour récompense, je vous ferais voir des
gens
acharnés à me perdre, du jour que je donnai la tr
umain que quelques frelons pillent le miel de quelques abeilles ? Les
gens
de lettres font grand bruit de toutes ces petites
testable assassin que dans le temps où il fut privé de la société des
gens
de lettres. Avouez que Pétrarque et Boccace ne fi
environ, ombre très-légère et très-souffrante. Je n’apparais plus aux
gens
qui sont en vie. Mon triste état m’interdit tout
» 1. Le 19 juin, Voltaire crivait à la même personne : « Quand les
gens
de mon village ont vu Pigalle déployer quelques i
e qu’en vivant avec les hommes on trouvera des humeurs fâcheuses, des
gens
qui se mettront en colère sans sujet, qui prendro
offense de n’être pas aimé, et l’on attire encore plus l’aversion des
gens
. Nous y pourrions voir aussi avec étonnement à qu
es uns aux autres les petits défauts. — Si vous observez qui sont les
gens
qui ne sont contents de personne, vous reconnaîtr
ement l’habitude, déplaît vite, parce qu’il est toujours le même. Les
gens
bizarres ne sont amusants que pendant une heure a
out le monde : c’est d’être toujours le même. J’aime encore mieux les
gens
communs que les gens monotones. J’ajoute que ce q
d’être toujours le même. J’aime encore mieux les gens communs que les
gens
monotones. J’ajoute que ce qui nuit encore à la b
, la moitié seulement de mon projet, je suis dans le petit nombre des
gens
heureux, ayant fait de ma vie la moitié ou le qua
ons dévots. En effet, combien dans le monde de scélérats travestis en
gens
d’honneur ! combien d’hommes corrompus et pleins
raine. On lie, à force de grimaces, une société étroite avec tous les
gens
du parti. Qui en choque un se les attire tous sur
qu’ils sont, ils ne laissent pas pour cela d’être en crédit parmi les
gens
, et quelque baissement de tête, un soupir mortifi
on vous l’ôte à coups d’épingle ; vous élevez-vous un peu, voilà des
gens
qui prennent leur pied ou leur toise, dressent la
’habite ici une terre étrangère, et je n’y connais personne. Bien des
gens
me font de pareilles questions ; mais vous voyez
homme n’a tant été vu que moi. Je souriais quelquefois d’entendre des
gens
qui n’étaient presque jamais sortis de leur chamb
yrannie, Tibère trouva toujours des juges prêts à condamner autant de
gens
qu’il en put soupçonner. 1. Expression famili
en-être par une fortune rapide. Nous ne manquons pas de connaître des
gens
qui y sont parvenus : c’est presque une foule. Re
tabilité nous donne la soif de la stabilité, il n’est qu’une sorte de
gens
dont on puisse dire qu’ils font leur fortune ; ce
ce sont les élèves laborieux de nos lycées. On le dit par erreur des
gens
heureux dans leurs affaires : le mot n’est vrai q
n faisons pas un reproche, dit Cicéron ; car, après tout, ce sont des
gens
de bien, et des gens heureux, puisqu’ils croient
oche, dit Cicéron ; car, après tout, ce sont des gens de bien, et des
gens
heureux, puisqu’ils croient l’être. Mais avertiss
si l’on n’a mis l’enseigne de poëte, de mathématicien, etc. Mais les
gens
universels ne veulent point d’enseigne, et ne met
guère de différence entre le métier de poëte et celui de brodeur. Les
gens
universels ne sont appelés ni poètes, ni géomètre
nous ôte celui d’être vivement touché de très-belles choses. Bien des
gens
vont jusqu’à sentir le mérite d’un manuscrit qu’o
premiers approuvé cet ouvrage, et que le public est de leur avis. Ces
gens
laissent échapper les plus belles occasions de no
eur petitesse. Loué, exalté et porté jusqu’aux cieux par de certaines
gens
qui se sont promis de s’admirer réciproquement, i
e faire entendre : et c’est du même trait et du même mot que tous ces
gens
s’expliquent ainsi ; et tous sont connaisseurs et
cette incommodité à essuyer dans la lecture des livres faits par des
gens
de parti et de cabale, qui l’on n’y voit pas touj
Je suis persuadé que le petit nombre d’habiles, ou le grand nombre de
gens
superficiels, vient de l’oubli de cette pratique.
’a-t-il pas essuyée ! et s’il n’eût trouvé de la protection parmi les
gens
polis45, n’était -il pas banni honteusement d’une
. A la jurisprudence, dit-il encore, a succédé le faste des rhéteurs,
gens
qui ont voulu plaire et éblouir : au lieu de la j
ue ces rhéteurs ont guéris de leurs mauvaises habitudes ; où sont les
gens
qu’ils ont rendus tempérants et vertueux. Ne croy
e de Gorgias contre les rhéteurs, c’est-à-dire contre cette espèce de
gens
qui s’étaient fait un art de bien parler et de pe
à mesure qu’ils veulent parler. A. C’est ce que Cicéron appelle des
gens
qui vivent au jour la journée, sans nulle provisi
n traiter solidement une en particulier. C. Cependant la plupart des
gens
qui parlent en public acquièrent beaucoup de répu
apricieuse, qui a besoin même d’être soutenue par quelque cabale. Les
gens
qui savent les règles et qui connaissent le but d
Il est bon de remarquer cela en passant, pour comprendre combien les
gens
du dernier siècle se sont trompés. Il y avait, d’
à la morale. A. De là vient ce que dit Cicéron, qu’il a vu bien des
gens
diserts, c’est-à-dire qui parlaient avec agrément
d on a parlé ou écrit en mesurant ses paroles. Au contraire, bien des
gens
font des vers sans poésie, et beaucoup d’autres s
de Dieu ; mais, les inspirations divines à part, nous voyons que ces
gens
-là s’entendaient bien autrement que nous à exprim
pas exprimer les passions par le seul effort de la voix ; beaucoup de
gens
, en criant et en s’agitant, ne font qu’étourdir.
qui a beaucoup de facilité de parler, car vous ne voulez pas que les
gens
sans talent s’en mêlent) ; un homme enfin qui méd
’eux, nous ne serions guère occupés de ces minuties. Il n’y a que les
gens
qui ne sont pas propres à discerner les grandes c
ule : c’est que vous jugez de ceci par une expérience commune. Si les
gens
qui apprennent leurs sermons par cœur prêchaient
aurait divers degrés d’orateurs. Remarquez encore que la plupart des
gens
qui n’apprennent point par cœur ne se préparent p
s conduit l’esprit ; mais, pour les divisions, elles n’aident que les
gens
qui ont étudié, et que l’école a accoutumés à cet
étour pour trouver une batterie de mots, cela est puéril. D’abord les
gens
de mauvais goût en sont éblouis ; mais dans la su
ent plus sensiblement la nature. A cause de ce grand détail, bien des
gens
, s’ils l’osaient,.trouveraient Homère trop simple
pos de faire voir un désert et des cabanes de bergers. La plupart des
gens
qui veulent faire de beaux discours cherchent san
x ; elle se modère et se proportionne aux sujets quelle traite et aux
gens
qu’elle instruit ; elle n’est grande et sublime q
’est pas régulier ; mais il est bien plus éloquent que la plupart des
gens
qui se piquent de l’être. Ce serait juger en peti
férieure à celle que vous n’avez crue que sur leur parole. Il y a des
gens
d’un goût si dépravé, qu’ils ne sentiront pas les
eu de la peine à revenir à la bonne voie ; et il y a encore bien des
gens
fort éloignés de la connaître. Il ne faut pas lai
ressemble au Temple de l’Amitié, dont tout le monde parle, où peu de
gens
vont, et que la plupart de ceux qui y voyagent n’
ot qu’ils n’entendaient pas. Là j’aperçus les Dacier, les Saumaises,
Gens
hérissés de savantes fadaises, Le teint jauni, le
oth qui sans cesse avançait. Oh ! que d’hommes considérables, que de
gens
du bel air, qui président si impérieusement à de
ns. Je fus fort étonné de ne pas trouver dans le sanctuaire bien des
gens
qui passaient, il y a soixante ou quatre-vingts a
associé A l’esprit le plus ferme un cœur facile et tendre. Parmi ces
gens
d’esprit nous trouvâmes quelques jésuites. Un jan
ceux mêmes que nous avons tenus enfermés si lâchement dans Paris, ou
gens
qui ne valent pas mieux et qui auront plus d’affa
’à son nom les baleines du Nord suaient à grosses gouttes, et que les
gens
de l’empereur pensaient le frire et le manger ave
t-elle pris, et comment l’a-t-il fait ? Corneille. Est-il parmi les
gens
de lettres quelqu’un qui ne reconnaisse le goût p
s vrai au contraire qu’il n’y a véritablement de plaisir que pour les
gens
de goût ? Ils voient, ils entendent, ils sentent
il pour l’honneur du théâtre et de l’Église anglicane ? Rareté des
gens
de goût On est affligé quand on considère, sur
ul, et surtout d’une cabale qui fait tous ses efforts, tandis que les
gens
de goût n’en font aucun. Cette cabale subsiste so
mettre aux choses leur véritable prix dans ce seul genre. Ce sont les
gens
de goût seuls qui gouvernent à la longue l’empire
tinte Plus amers qu’aloès et jus de coloquinte, Vices portant méchef.
Gens
de tel acabit, Chiffonniers, ostrogoths, maroufle
M. de Fontenelle, patriarche respectable une secte ridicule, tous ces
gens
-là sont ignorants, et n’ont point de génie. Pardo
s un peu barbare, et aussi propre aux hommes communs et bornés qu’aux
gens
d’esprit. Je ne vous croyais que beaucoup de goût
ions des grandes âmes ; Molière, dans l’humeur et les bizarreries des
gens
du commun96. L’un a joué avec un agrément inexpli
re hommage et te nommer seigneur. alors je ne doute pas que bien des
gens
n’eussent applaudi à ces paroles, et les eussent
erpétuer dans les admirateurs trop passionnés de ce grand maître. Les
gens
du métier sont plus indulgents que les autres à c
emps et pour les auteurs : et je crois qu’il serait à désirer que les
gens
de lettres voulussent bien séparer les défauts de
Puis-je me flatter en cela d’avoir contenté la délicatesse de tant de
gens
de goût et de génie qui respectent tous les écrit
toute l’économie du genre humain. Si pourtant il se trouve encore des
gens
prévenus, qui s’attachent à relever ou les erreur
s les plus propres et les plus précises qu’on puisse employer. Peu de
gens
l’ont compté parmi les orateurs, parce qu’il n’y
créateur, ont été celles des trois ou quatre mille philosophes, tous
gens
sans imagination. Les esprits subalternes n’ont p
, les Anglais écrivent tous bien, en hommes qui sont nés orateurs, en
gens
pratiques et tournés vers la réalité. Les Françai
en exercice, et éprouvent souvent que l’une agit sans l’autre. Que de
gens
ont une plume et n’ont pas d’encre ! Combien d’au
s fortunes, comédie de Baron. L’auteur peint le ridicule de certaines
gens
: « Un regard languissant, tirer son bas, peigner
: « Ah ! mon ami, vous m’avez prouvé qu’il y avait en Angleterre des
gens
d’esprit, et je trouverai peut-être l’occasion, u
re l’occasion, une autrefois, de vous prouver qu’il y a en France des
gens
de bon sens. » Je vous conte cette histoire à la
nds parler que de ce Rousseau et de ce Diderot. Conçoit-on cela ? des
gens
de rien, qui n’ont pas de maison, qui sont logés
: « J’ai relu Diderot sur la peinture ; Diderot ressemble à bien des
gens
qui trouvent la vérité par le sentiment et la dis
espoir, ennemies du jour et de la lumière. A leur dire, c’étaient des
gens
qui voulaient périr, qui s’ennuyaient en ce monde
ouaient, qui se précipitaient à la mort. Nous sommes descendus de ces
gens
-là, quoique- apparemment ils ne dussent point lai
hagrin et de fier dans la mine121 : cela fait croire à la plupart des
gens
que je suis méprisant, quoique je ne le sois poin
ucoup plus de bien que l’on n’en dit. La conversation des honnêtes129
gens
est un des plaisirs qui me touchent le plus. J’ai
il eût donné une bataille, et me dit ces paroles : « Allons voir ces
gens
-là !166 » — « Quelles gens ? » lui répondis-je,
et me dit ces paroles : « Allons voir ces gens-là !166 » — « Quelles
gens
? » lui répondis-je, et dans la vérité, je croyai
is en ce lieu, je fis deux ou trois sauts vers la procession168 ; les
gens
du carrosse, qui croyaient que nous étions aux ma
outume de certains impertinents de laquais qui viennent provoquer les
gens
et les faire aviser de176 boire, lorsqu’on n’y so
! je veux que tu me répondes. maître jacques. Combien serez-vous de
gens
à table ? harpagon. Nous serons huit ou dix ; ma
nvie de faire crever187 tout le monde ? et monsieur a-t-il invité les
gens
pour les assassiner à force de mangeaille ! Allez
à servantes, à valets, à fils, à fille, et à moi aussi ;..210 Que de
gens
assemblés ! Je ne jette mes regards sur personne
ochez. Que je suis ravi de vous voir !214 et que je veux du mal à mes
gens
de ne pas vous faire entrer d’abord ! J’avais don
sser M. Dimanche dans une antichambre, et je vous ferai connaître les
gens
. m. dimanche. Monsieur, cela n’est rien. don ju
nde-t-il toujours aussi fort, et mord-il toujours bien aux jambes les
gens
qui vont chez vous ? m. dimanche. Plus que jamai
, un flambeau pour conduire M. Dimanche, et que quatre ou cinq de mes
gens
prennent des mousquetons pour l’escorter223. m.
ons de cerveaux de nos marquis de Mascarille. J’enrage de voir de ces
gens
qui se traduisent en ridicules, malgré leur quali
ces gens qui se traduisent en ridicules, malgré leur qualité : de ces
gens
qui décident toujours225, et parlent hardiment de
dire si vous êtes gentilhomme227. c léonte. Monsieur, la plupart des
gens
sur cette question n’hésitent pas beaucoup ; on t
emblent, et vous n’avez rien fait, si vous n’y faites reconnaître les
gens
de votre siècle. En un mot, dans les pièces série
nde, qui ne peut résister à cette montre290 si authentique. Les seuls
gens
de guerre ne se sont pas déguisés de la sorte, pa
non d’être en une condition où l’on a dès le matin un grand nombre de
gens
qui viennent de tous côtés pour ne leur laisser p
nature379. Au contraire, la solitude est désagréable à la plupart des
gens
, parce qu’elle ne leur fournit pas assez de pensé
ait-on quelque chose au logis de gâté, L’on ne s’en prenait point aux
gens
du voisinage : Bertrand dérobait tout ; Raton de
des solives qui tombaient442. Je fis ouvrir ma porte, je dépêchai mes
gens
au secours. M. de Guitaut m’envoya une cassette d
aut quasi nus, Madame de Vauvineux, l’ambassadeur de Venise, tous ses
gens
, la petite de Vauvineux qu’on portait tout endorm
ras de carrosses, cris dans la rue, flambeaux allumés, reculements et
gens
roués451 ; enfin le tourbillon, la dissipation, l
intes tendres et pitoyables, elle a tout éprouvé. Elle voit certaines
gens
, elle prend des bouillons477, parce que Dieu le v
t comme un tourbillon479; il croit bien être grand seigneur, mais ses
gens
le croient encore plus que lui. Ils passaient au
nt dans une prairie ; dès qu’on en sait tant, on sait faner. Tous mes
gens
y allèrent gaiement ; le seul Picard485 me vint d
me comme un rocher, et il est parti. C’est une justice de traiter les
gens
selon leurs bons ou mauvais services. Si vous le
onnables, qui sont vains des dons de l’intelligence, les savants, les
gens
de littérature, les beaux esprits. A la vérité, c
’avec un air assuré il s’avance pour recevoir la parole de ces braves
gens
, ceux-ci, toujours en garde, craignent la surpris
les lettres qu’on s’écrit, et le commerce de société inévitable entre
gens
indifférents, sont des contraintes de sa part et
fracassa. Vous jugez bien quel spectacle ce fut. Cependant, tous les
gens
eurent le temps de se sauver, et onze chevaux s’é
ons dévots. En effet, combien dans le monde de scélérats travestis en
gens
d’honneur ? combien d’hommes corrompus et pleins
es occasions, cela n’est pas d’un homme de qualité673. Ayez pitié des
gens
plus malheureux que coupables. Ils sont dans des
feront agir leurs amis ; en un mot, ils seront dans le cas des autres
gens
de leur sorte. J’aurais cru en être quitte685 en
s d’attention à rien ; et j’eusse voulu de tout mon cœur que tous les
gens
que je voyais eussent été chacun dans leur chaumi
est votre patron, est aussi invoqué par l’Église comme le patron des
gens
qui sont en voyage, et qu’elle lui adresse pour e
Je suis persuadé que le petit nombre d’habiles, ou le grand nombre de
gens
superficiels, vient de l’oubli de cette pratique7
vit plus que de lettres d’État806 Vous êtes importuné de la foule des
gens
qui demandent et qui murmurent. C’est vous-même,
onne ; elle s’en prend sans choix à tout le monde. Il n’aime plus les
gens
, il n’en est point aimé. On le persécute, on le t
ronder un peu, mon cher neveu, sur ce que vous ne voyez pas assez les
gens
que vous devriez cultiver. Il est vrai que le pri
ersonnes élevées. On aime, par amour-propre, à passer sa vie avec les
gens
auxquels on est accoutumé, avec lesquels on est l
esoin. Soyez désormais en garde contre les louanges ; défiez-vous des
gens
que vous ne connaîtrez point962. Vous en pourrez
991 dont quantité de propriétaires se piquent, pour faire enrager des
gens
à la convenance et quelquefois à la nécessité des
yrannie, Tibère trouva toujours des juges prêts à condamner autant de
gens
qu’il en put soupçonner. Sylla1024 J’ai un
st de telle importance. Il est impossible que nous supposions que ces
gens
-là soient des hommes, parce que, si nous les supp
nsuite les auteurs des idylles et des églogues, qui plaisent même aux
gens
de cour par l’idée qu’ils leur donnent d’une cert
n peu de miel, cela me suffit, et je me résigne au destin de tous les
gens
modérés, que le grand Cosme de Médicis comparait
petits-maîtres, sociétés contre sociétés ; les cafés sont comblés de
gens
qui disputent ; la foule est dans la rue, en atte
environ, ombre très-légère et très-souffrante. Je n’apparais plus aux
gens
qui sont en vie. Mon triste état m’interdit tout
uisiniers du monde1325, et les ragoûts fins sont bien ridicules à des
gens
en haleine depuis le lever du soleil. Le service
madame votre épouse1395, vous avez, pour toute réponse, ordonné à vos
gens
de la chasser. J’ai tâché de consoler la bonne fe
ducation ; je lui ai prouvé que ce ne serait pas la peine d’avoir des
gens
, s’ils ne servaient à chasser le pauvre, quand il
est sous leurs yeux ; ils ne voient pas au-delà de leurs parents, des
gens
en place, de leurs familiers, de leur flatteurs e
ques ; le genre humain se renferme, pour eux, dans ce petit cercle de
gens
qui leur appartiennent par leur dépendance, ou qu
aires, les censeurs, et tout ce qui s’attache à la peau de malheureux
gens
de lettres, achevait de déchiqueter et sucer le p
oisifs d’une grande ville en s’y prenant bien, et nous avons ici des
gens
d’une adresse !... D’abord un bruit léger, rasant
and il la croit juste, mais honorant hautement et sans envie tous les
gens
qu’il reconnaît supérieurs ; confiant sur ses int
mar. Un jour, je voyageais en Calabre1613. C’est un pays de méchantes
gens
, qui, je crois, n’aiment personne, et en veulent
ttre de ce qui pouvait nous perdre, il fit le riche1617, promit à ces
gens
pour la dépense, et pour nos guides le lendemain,
amis, et il a constamment eu le bonheur de compter parmi eux tous les
gens
au pouvoir. On le trouve dans leur cabinet, à leu
n long et sourd gémissement s’éleva autour de Whitehall ; beaucoup de
gens
se précipitèrent au pied de l’échafaud pour tremp
sse, au fond de laquelle avait été dressé l’échafaud, on refusa à ses
gens
la consolation de l’accompagner plus longtemps. M
égiment : autrement il faudrait donner une âme et un esprit à trop de
gens
. L’homme appelé à commander aux autres sur les ch
ent le prix des livres. Vous n’aurez jamais un volume quand un de ces
gens
-là prétend l’avoir. Ils n’ont sur nous qu’on avan
ment qu’on mit à leur faire place, il était évident que c’étaient des
gens
d’importance dont la visite honorait singulièreme
ente curiosité. Orso avait eu le temps d’oublier les physionomies des
gens
de son village ; mais la vue du vieillard en lune
uelles conditions vit-il encore ? Quelle comédie jouent donc tous ces
gens
, qui la plupart furent illustres et passèrent pou
en-être par une fortune rapide. Nous ne manquons pas de connaître des
gens
qui y sont parvenus : c’est presque une foule. Re
tabilité nous donne la soif de la stabilité, il n’est qu’une sorte de
gens
dont on puisse dire qu’ils font leur fortune : ce
ce sont les élèves laborieux de nos lycées. On le dit par erreur des
gens
heureux dans leurs affaires : le mot n’est vrai q
pas aller droit, prendre des détours. 129. Les Honnêtes gens, ou les
gens
bien élevés, et de la société polie. 130. On voi
n esprit ose être ce qu’il est. Boileau, épît. ix. 137. Mille
gens
déplaisent avec des qualités aimables ; mille gen
. ix. 137. Mille gens déplaisent avec des qualités aimables ; mille
gens
plaisent avec de moindres talents ; c’est que les
nt rien des ouvrages du temps, Il se met au-dessus de tous les autres
gens
. Aux conversations même il trouve à reprendre : C
eur petitesse. Loué, exalté et porté jusqu’aux cieux par de certaines
gens
qui se sont promis de s’admirer réciproquement, i
e des réminiscences de Montaigne. 305. Le monde, autrement dit, les
gens
, les personnes. 306. Il y a quelque complicatio
t dire entendre avec attention. 357. La Bruyère a dit : « Il y a des
gens
d’une certaine étoffe, ou d’un certain caractère
raine. On lie, à force de grimaces, une société étroite avec tous les
gens
du parti Qui en choque un se les attire tous sur
u’ils sont ; ils ne laissent pas pour cela d’être en crédit parmi les
gens
, et quelque baissement de tête, un soupir mortifi
961. C’est toujours du français gau’ois. 962. « Défiez-vous des
gens
que vous ne connaîtrez point, etc. » Ce parasité
c’est le plus enragé des propriétaires. 992. Il veut dire : Bien des
gens
qui dépendent d’autrui aiment à se targuer d’un d
sements à quarante-sept légions dans divers endroits de l’Italie. Ces
gens
-là, dit Appian, regardant leur fortune comme atta
e qui pense. Les maximes de la Rochefoucauld sont les proverbes des
gens
d’esprit. Voltaire n’écrira jamais une bonne hi
aire un pas Qu’on ne voie accorder ce nom imaginaire A tout venant, à
gens
qui ne ? ont bien souvent Que des cerveaux brûlés
: « J’ai relu Diderot Sur la peinture ; Diderot ressemble à bien des
gens
qui trouvent la vérité par le sentiment, et la di
téraire à Paris : « Vous ne trouverez dans cette grande ville que des
gens
occupés d’eux-mêmes et jamais de la triste situat
porte. 1441. Il faut avouer que le comte est bon enfant. 1442. Des
gens
payés ou enrôlés pour applaudir : la claque. 14
t la plus assurée. Heureux donc mille et mille fois les justes et les
gens
de bien ! » 1580. Les œufs. 1581. C’est pein
tonné de voir qu’ils avaient tout fait pour les obtenir. Il y a des
gens
qui obligent comme d’autres insultent ; il faut y
re saints et vous cite leurs noms ; De vos amis ? les siens sont tous
gens
de mérite ; De la société c’est la brillante élit
rose). 1695. Vauvenargues disait : « On rencontre quelquefois des
gens
d’esprit qui sont plus éclairés que d’assez beaux
rois fois plus que son devoir pour le faire passablement. Malheur aux
gens
tièdes ! » Ajoutons cette autre citation : « Je
iosité qu’il montre à tous, au premier venu : peu lui importe que les
gens
sachent ce que c’est qu’un livre, et, qui plus es
mon imaige, visible en ce monde, vivant, voyant, et conversant3 entre
gens
d’honneur et mes amys, comme je souloys4. Laquell
l’artillerie, par suggestion diabolicque. Tout le monde est plein de
gens
sçavans, de precepteurs tresdoctes, de librairies
out sçavoir, publicquement envers tous et contre tous, et hantant des
gens
lettrez qui sont tant a Paris comme ailleurs. Mai
ayme comme toy mesme. Revere tes precepteurs, fuy les compaignies des
gens
esquelz tu ne veux point ressembler, et les grace
on amy, nostre voisin, comment vous sçavez bien trupher22 des paovres
gens
! Vrayement vous estes ung gentil chalant23. O le
dist ung gueux de l’hostiere74, auquel avions donné demi teston75 : «
Gens
de bien, Dieu vous doint de leans touts bien en s
ns mains. Quand feusmes devant luy presentez, ne sçay quelle sorte de
gens
tous vestuz de gibbessieres et de sacz a grandz l
etitesse. Certes, nous recognoissons assez combien nous sommes povres
gens
et de mespris, c’est asçavoir devant Dieu, misera
du costé d’Antonius, et les autres du costé de ce ieune Cæsar, et les
gens
de guerre vendans leur service, ne plus ne moins
té en votre degré, et si longuement exercé la charge de cappitaine de
gens
de pied, de maistre de camp par trois fois, et de
t à noz ennemys, et que vous feres tous vostre devoir. Ce ne sont que
gens
ramasses, gens qui ont desjà accoustumé d’estre b
, et que vous feres tous vostre devoir. Ce ne sont que gens ramasses,
gens
qui ont desjà accoustumé d’estre battus, et qui o
d artillerie. Je luy dis que, s’il luy plaisoit de marcher devant les
gens
de pied avecque l’artillerie, les trois companies
t pas encore hors des prairies ; et congneuz que à leur arrivée leurs
gens
de pied commensarent à alon-ger le pas, et dis à
stoient soubz l’arbre ? sont coureus faire advancer de chemyner leurs
gens
. Voyés-vous comme ilz » allongent le pas ? » Et a
rt je voyois venir les nostres en furie. Je voyois leurs cornettes de
gens
à cheval : les uns alloient, les autres tournoien
t, les autres tournoient. Je voyois trois ou quatre chevaux parmy les
gens
de pied, que ie congnoissois bien à leur façon qu
, que ie congnoissois bien à leur façon qu’ilz faisoient haster leurs
gens
. Alors je tournay aux nostres, et leur commençay
aller au grand trot droict à eulx. Aucuns me crioient d’attendre les
gens
de pied ; mais je respondois qu’il ne leur falloi
s’ilz feussent descendeus nous combatre, nous estions deffaictz. Nos
gens
de pied faisoient bien toute la diligence que gen
ons deffaictz. Nos gens de pied faisoient bien toute la diligence que
gens
de pied pouvoient faire. Et comme ilz veyrent qu’
jamais n’euz faict le cri, que nous voilà tous pesle-mesle dans leurs
gens
à pied et gens à cheval, sauf le cappitaine Massè
ict le cri, que nous voilà tous pesle-mesle dans leurs gens à pied et
gens
à cheval, sauf le cappitaine Massès ; car comme i
ns à cheval, sauf le cappitaine Massès ; car comme il vist tous leurs
gens
renversés, il voyoit une grande trouppe bien près
née, et là trouvay monsieur de Burie, et attendismes le retour de noz
gens
qui chassoient encores, et ralliasmes noz gens de
ismes le retour de noz gens qui chassoient encores, et ralliasmes noz
gens
de pied. Nous trouvasmes qu’il y avoit de noz gen
et ralliasmes noz gens de pied. Nous trouvasmes qu’il y avoit de noz
gens
qui avoient chassé deux grandz lieues. Et retourn
chevé, encores bien qu’il n’eust guières de forces avecques luy ; car
gens
qui s’enfuyent ne tournent guières jamais visaige
s buissons sont des escadrons. Ce qui se sauva, qui feust bien peu de
gens
de pied, se relia avecques leurs gens de cheval,
se sauva, qui feust bien peu de gens de pied, se relia avecques leurs
gens
de cheval, et chemynarent tout le demeurant du jo
ter ceste triste nouvelle. De vingt-trois enseignes qu’ils avoient de
gens
de pied, les dix-neuf nous demeurarent, et de tre
ens de pied, les dix-neuf nous demeurarent, et de treize cornettes de
gens
de cheval, les cinq, lesquelles nous envoyasmes à
nds asnes ; c’est grand’charge de conscience au roy de constituer ces
gens
-là en sa justice. » Il ne falloit pas se jouer av
sans avoir moyen de parler à aulcun d’eulx, estant tout petit peuple,
gens
brutaulx et sans raison. Le matin ils nous laissè
on. Le matin ils nous laissèrent sortir, ayants bordé toute la rue de
gens
armez. Nous allasmes de là coucher à Dinan, où pa
e les priois de me laisser entrer, moy et mes femmes et si peu de mes
gens
, dans la ville, qu’ils vouldroient pour cette nui
clerc Jacques Gillot, se réunissaient une demi-douzaine de bourgeois,
gens
d’esprit, erudits, poètes à leurs heures pour la
peur des voleurs et sacrileges. Où est la reverence qu’on portoit aux
gens
d’Eglise et aux sacrez mysteres ? Chacun maintena
é ne vous permet pas d’estre prés de moy, pour le besoing que j’ay de
gens
tels que vous. Lorsqu’elle vous le permettra, vou
ct que je dois au Colonnel de France262, soubs lequel je commande les
gens
de pieds ; mais si un excès de colère ou de valeu
complexion et santé, et que tous les vœux de la France, et plusieurs
gens
de bien hors de France, lui promettoient encore d
souveraine bonté qu’elle soit pitoyable à celui qui le fut à tant de
gens
; qu’elle pardonne à celui qui pardonna à tant d’
: de même que pour Chapelain, l’impression fut leur écueil auprès des
gens
de goût et de bon sens. Quand Louis XIV reprit,
génie qui se sent libre. Le jour où Louis XIV donna des pensions aux
gens
de lettres au nom de l’État, il les mit « hors de
là de beaux titres pour Louis XIV ; ce sont de belles années pour les
gens
de lettres, entre la servilité du passé et la lib
Bastille. La noblesse du xviie siècle paya comme des serviteurs les
gens
de lettres ; la royauté du xviiie les emprisonna
qu’elle fait par les géants, par les héros. Dieu dit lui-même de ces
gens
-là « qu’il les envoie en sa colère, et qu’ils son
es, et j’en ai connu quelques-uns, qui s’étonnent de tout. Il y a des
gens
que la confiance et le désespoir prennent et lais
Non metuens293. Ni l’audace des mauvais sujets ni la foiblesse des
gens
de bien, ni les murmures du peuple ignorant, ni l
te, aussi bien que toute l’Europe ; et vous trouverez étrange que ces
gens
que vous tenez si sages, et qui ont particulièrem
u’ils disoient être composée de nos cochers et de nos laquais. Et ces
gens
si déterminés, qui dévoient percer la France jusq
on Français, au moins vous aurez dépit de vous être affectionné à des
gens
qui ont si peu de vigueur et qui savent si mal se
ptueux, que nous voudrions être connus de toute la terre, et même des
gens
qui viendront quand nous n’y serons plus ; et nou
’est-à-dire une manière impérieuse de dire ses sentiments, que peu de
gens
peuvent souffrir, tant parce qu’elle représente l
s, lieutenant des gardes de la reine349 ; qu’il seroit défendu à tous
gens
de guerre, sous peine de la vie, de prendre des c
Savoir écouter Une des choses qui font que l’on trouve si peu de
gens
qui paroissent raisonnables et agréables dans la
irituelle qu’elle soit, n’est pas également propre à toutes sortes de
gens
d’esprit. Il faut choisir ce qui est de leur goût
cela est honteux pour la France. CLIMÈNE. Il est vrai que le goût des
gens
est étrangement gâté, et que le siècle s’encanail
mblent ; et vous n’avez rien fait, si vous n’y faites reconnoître les
gens
de votre siècle. En un mot, dans les pièces série
isions soient si justes ; et, sans mettre en ligne de compte tous les
gens
savans qui y sont, que, du simple bon sens nature
t leurs raffinemens ridicules, leur vicieuse coutume d’assassiner les
gens
de leurs ouvrages, leur friandise de louanges, le
e ne sais point les règles de l’art. DORANTE. Vous êtes de plaisantes
gens
avec vos règles, dont vous embarrassez les ignora
nçois. URANIE. Il est vrai ; et j’admire les raffinemens de certaines
gens
sur des choses que nous devons sentir par nous-mê
e me dire si vous êtes gentilhomme. CLÉONTE. Monsieur, la plupart des
gens
, sur cette question, n’hésitent pas beaucoup ; on
e voudra l’éloquence et la poésie, et traite les habiles écrivains de
gens
inutiles dans les États, nous ne craindrons point
ouffrir sans que Votre Majesté en profite, tant par les désordres des
gens
de guerre, que par les frais qui se font à lever
dans sa vie privée. Que ne puis-je vous le montrer parmi ce nombre de
gens
choisis qui formoient chez lui une assemblée que
ous témoigner l’estime que nous faisons de vous. Nous avons si peu de
gens
polis et bien tournés dans ce pays barbare, que,
ne, et son silence même est intelligible. Quand il n’est pas avec des
gens
qui lui plaisent, il demeure au dedans de lui-mêm
n de diminuer les tailles chaque année de plusieurs millions ; si les
gens
d’affaires, si les officiers même du conseil, deu
doutera longtemps si c’est une vision ou une vérité. Nous serons tous
gens
d’honneur pour être heureux, et courrons après la
s trouver cette méthode très bonne et très utile ; mais il est peu de
gens
assez sages pour la savoir bien pratiquer, et peu
re et qu’Andromaque. Bajazet est au-dessous, au sentiment de bien des
gens
, et au mien, si j’ose me citer. Racine fait des c
e les occasions ; cela n’est pas d’un homme de qualité. Ayez pitié de
gens
plus malheureux que coupables : ils sont dans les
s mystérieux ; les charges, les gouvernemens ne se donnoient qu’à des
gens
qui devoient être perdus, ou à des gens qui devoi
mens ne se donnoient qu’à des gens qui devoient être perdus, ou à des
gens
qui devoient perdre les autres. Enfin, le bien du
ent plus sensiblement la nature. À cause de ce grand détail, bien des
gens
, s’ils l’osoient, trouveroient Homère trop simple
exactitude, tantôt de la sublimité et de la véhémence. La plupart des
gens
qui veulent faire de beaux discours cherchent san
; elle se modère et se proportionne aux sujets qu’elle traite et aux
gens
qu’elle instruit ; elle n’est grande et sublime q
ésoudre à mener une vie plus active que la vôtre. Vous devez voir les
gens
de votre condition ; mais il faut être gai, libre
timide et trop composé ; donnez-vous à Dieu quand vous allez voir les
gens
, mais, pendant la conversation, ne soyez point di
ité est libre et forte. Vous n’êtes guère accoutumé à l’entendre. Les
gens
accoutumés à être flattés prennent aisément pour
et, ne vit que de lettres d’État. Vous êtes importuné de la foule des
gens
qui demandent et qui murmurent. C’est vous-même,
lez me mettre de ce nombre, vous eussiez trouvé dans votre siècle des
gens
qui nous ressembloient. Ce qui fait d’ordinaire q
est si rarement maître, et qui par là, à qui connoît la carte et les
gens
, deviennent des indications sûres des liaisons et
discrètement, et leur douleur prouva bien tout ce que cette espèce de
gens
alloit perdre. Vers minuit et demi, on eut des no
leur propre. Parmi eux se remarquoient d’autres des plus éveillés de
gens
principaux de la cour, qui étoient accourus aux n
u peu d’agitation de leur corps. Des changemens de posture, comme des
gens
peu assis ou mal deboit, un certain soin de s’évi
l fallut le déshabiller là même, et se précautionner de remèdes et de
gens
de la Faculté. Mme la duchesse de Berry étoit hor
, donnoit ses ordres pour le soulagement des princes, pour que peu de
gens
entrassent, quoique les portes fussent ouvertes à
soin, sans empressement, sans se méprendre en quoi que ce soit ni aux
gens
ni aux choses ; vous l’auriez cru au lever ou au
gnoit à Meudon. Dès que le roi en fut parti, tout ce qu’il y avoit de
gens
de la cour le suivirent et s’entassèrent dans ce
t de soin de captiver les valets que les maîtres, et les plus petites
gens
que les personnages. Il avoit pour cela des talen
ut à la fois d’un palais vraiment épiscopal ; et toujours beaucoup de
gens
de guerre distingués, et beaucoup d’officiers par
ire de cette vie pure et de cette âme délicate. Au milieu de tous ces
gens
d’esprit se signalent par un caractère très-perso
n homme de jouer une petite pistole au trictrac, en attendant que nos
gens
eussent soupé. Ce ne fut pas sans beaucoup de faç
mis qui lui demanda en tremblant où il alloit avec ce grand nombre de
gens
armés, et ce qu’il vouloit faire : « Rien autre c
s de dettes et de procès ; et que dans la dixième où je mets tous les
gens
d’épée, de robe, ecclésiastiques et laïques, tout
es et laïques, toute la noblesse haute, la noblesse distinguée et les
gens
en charges militaires et civiles, les bons marcha
mille qu’on puisse dire être fort à leur aise ; et qui en ôteroit les
gens
d’affaires, leurs alliés et adhérens couverts et
vers sur le tiers et sur le quart, lesquelles ont mis une infinité de
gens
à l’hopital et sur le pavé, et en partie dépeuplé
juger sainement des ouvrages qui paroissent, de lier société avec les
gens
d’esprit, d’entrer dans les meilleures compagnies
vrai, au contraire, qu’il n’y a véritablement de plaisir que pour les
gens
de goût ? Ils voient, ils entendent, ils sentent
… Je fus fort étonné de ne pas trouver dans le sanctuaire bien des
gens
qui passaient, il y a soixante ou quatre-vingts a
ait presque plus que dans les pieds et dans les mains. Il y avait des
gens
fort adroits qui avaient l’art de passer une jamb
r frères. Rica à ***. Le vaniteux. Je vois de tous côtés des
gens
qui parlent sans cesse d’eux-mêmes ; leurs conver
voit trouvés. Il mettoit les Macédoniens à la tête des troupes et les
gens
du pays à la tête du gouvernement : aimant mieux
si grande conséquence. Il est impossible que nous supposions que ces
gens
-là soient des hommes ; parce que, si nous les sup
la plume la plus éloquente du siècle. Lié avec les philosophes et les
gens
de lettres, il se fit une route à part. À cette s
et de ses domestiques, qui tous étoient, à la vérité, de très-bonnes
gens
et rien de plus : mais c’étoit précisément ce qu’
et madame votre épouse, vous avez, pour toute réponse, ordonné à vos
gens
de la chasser. J’ai tâché de consoler la bonne fe
ducation ; je lui ai prouvé que ce ne seroit pas la peine d’avoir des
gens
, s’ils ne servoient à chasser le pauvre, quand il
périté des hommes foibles. La fortune peut se jouer de la sagesse des
gens
vertueux ; mais il ne lui appartient pas de fléch
ires, les censeurs, et tout ce qui s’attache à la peau des malheureux
gens
de lettres, achevoit de déchiqueter et de sucer l
aisant, l’étrange morale d’Escobar, Bauni, Sanchès et Tambourin ; les
gens
sensés l’accusèrent-ils de manquer de respect à l
nd sceau de cire jaune ; qu’elle n’est pas comme celle de beaucoup de
gens
, incertaine et sur parole, et que personne n’oser
incorruptible. Néron avait tellement détruit tout ce qu’il y avait de
gens
de bien, qu’après s’être défait de Thraséa et de
même thym et le même serpolet ? — Oui. Mais ce ne sont plus les mêmes
gens
. Si tu savois avec qui je suis obligé de passer m
hiver charmant. J’avois bonne idée des hommes. La cour, la ville, les
gens
d’affaires ne m’avoient pas trompé. Mes soldats,
eau silence. On recommence à s’observer les uns les autres, comme des
gens
qui se voient pour la première fois. Nous y serio
chacune plusieurs quintaux d’écriture ronde et bâtarde, faite par des
gens
en uniforme, fumeurs de pipes, traîneurs de sabre
aujourd’hui, et que les plus grands travaux de plume se font par des
gens
d’épée. Eh bien ! qu’en dites-vous ? suis-je si p
ourd’hui, afin de faire quelque chose ; rude métier avec de certaines
gens
. Quand, par exemple, on porte les ordres de Reyni
comme je viens de vous le dire, un détachement d’une centaine de nos
gens
, en désordre. On marche à l’aventure, on n’a souc
mparable, inimitable il avait son dessein, comme m’ont dit depuis des
gens
qui le connaissent, et voulait de moi quelque cho
crits éphémères, ces papiers qui vont de main en main, et parlent aux
gens
d’à présent des faits, des choses d’aujourd’hui ;
…………………………………………………………………………………………… Le rendez-vous des navires et des
gens
de guerre était à l’embouchure de la Dive, rivièr
as de subir leur joug ; mais le joug de leurs ennemis m’effraie ; ces
gens
du Nord sont, dit-on, bien avides, et leurs hache
s de cette terre, lui dit-il, dominorum territorii, est interdite aux
gens
de votre espèce, à ceux que nous appelons liti ve
aire disait en plaisantant : Nos voleurs sont de très honnêtes gens
Gens
du beau monde…………………845 il détournait déjà un
carte de la conduite l’imagination et les caprices ; du goût pour les
gens
en disgrâce862, mais sans rancune contre les puis
nt ou des modèles agréables ou quelques beautés nouvelles. Il y a des
gens
qui cherchent encore un sonnet sans défaut ; je p
à mourir de faim. Toutefois, lorsqu’après avoir bien ri de pitié les
gens
de bonne foi s’aperçurent que l’artiste n’en étai
eux usages. Ne pourrai-je donc improviser aujourd’hui pour de pauvres
gens
qui m’en sauront gré, et que cela aidera à suppor
n), d’où cors, cort, court, résidence rurale des seigneurs. 210. Les
gens
de toute condition et de toute profession. 211.
médie de l’École des Femmes (1662). 358. Dans le sens du siècle, les
gens
éclairés et polis, de bonne compagnie et de goût.
illante. Son salon réunissait les « honnêtes gens ». gentilshommes ou
gens
de lettres. C’est chez elle qu’eut lieu la tragi-
s de mettre des coquins sur la scène, mais il est beau d’y mettre des
gens
de bien. » (Voltaire.) Ni Corneille ni Voltaire n
qui le trouvent mauvais, n’ont qu’à n’y pas aller voir. O combien de
gens
tombent des nues, quand ils voient employer des a
s une chose bien plus étrange et pourtant très-véritable, j’ai vu des
gens
qui travaillaient depuis longtemps au théâtre lir
l ne nous disait. « La finesse, dit Voltaire, est une énigme dont les
gens
d’esprit devinent tout d’un coup le mot. » Les le
le mot. » Les lecteurs savent gré à l’écrivain qui paraît les estimer
gens
d’esprit, dût-il y être trompé lui-même ; car tou
un jour que l’origine de sa grande fortune était suspecte à bien des
gens
. — « Rien de plus facile à expliquer, sire ; j’ai
s moyens sont bons pour le provoquer. Mais qu’on y prenne garde ; les
gens
de goût ne sont pas si faciles à émouvoir en cet
teurs dans ses usures, colportant les livres défendus, espionnant les
gens
qui l’admettent, écorchant les étrangers dont il
l’autorité, ni du culte, ni de la politique, ni de la morale, ni des
gens
en place, ni des corps en crédit, ni de l’Opéra,
écrie avec un orgueilleux dépit : Tandis que moi, morbleu ! — Que de
gens
se disent aussi : Et nous morbleu ! — ce moi mor
and il la croit juste, mais honorant hautement et sans envie tous les
gens
qu’il reconnaît supérieurs ; actif quand il est a
ière piquante et précise : Je définis la cour un pays où les
gens
, Tristes, gais, prêts à tout, à tout indi
s, prêts à tout, à tout indifférents, Sont ce qu’il plaît aux
gens
, ou s’ils ne peuvent l’être, Tâchent au m
ordres précis, ni prévoir les maux qui le menaçaient, ni ménager les
gens
de nt il avait le plus grand besoin. Ce n’est pas
artis extrêmes contre ses véritables intérêts, et il forçait tous les
gens
de bien à détester sa folle conduite. Effets Lo
comme à la campagne. On ne parle point à des jeunes gens comme à des
gens
d’un âge mur, à des militaires comme à des magist
ur être mis à couvert. C’étaient de toutes parts des bruits confus de
gens
qui se poussaient les uns les autres, qui ne pouv
miers cuisiniers du monde, les ragoûts fins sont bien ridicules à des
gens
en haleine depuis le lever du soleil. Lecture.
ut aussi gagnée par les flammes. Chacun alors pensa à sa sûreté : les
gens
de la suite de l’empereur s’enfuirent par la port
pontife. C’était Cinci et sa bande, qui, avertis et secondés par les
gens
du voisinage, ayant des chevaux prêts aux portes
t rois et ducs, comtes et princes de renoms, Et prélats et bourgeois,
gens
de religions, Dames et demoiselles, et petits enf
me des moines mendiants chargés de s’informer auprès des plus pauvres
gens
, s’il leur avait été fait quelque tort au nom du
ée, les villes se montrèrent favorables à tout ce qui se faisait. Les
gens
de la plaine surtout s’empressèrent de prendre pa
erment des prêtres vint accroître encore le mécontentement. Quand les
gens
du Bocage virent qu’on leur ôtait des curés auxqu
en sorte qu’ils vous soient obligés. Il n’est pas nécessaire que ces
gens
-là soient tous d’un mérite accompli ; il suffit d
ait bien. Homère. Sans mentir, je m’étais bien douté que de certaines
gens
ne manqueraient point d’entendre finesse où je n’
er des fables allégoriques, il eût bien pu arriver que la plupart des
gens
auraient pris la fable comme une chose qui n’eût
elle âme ; Et le cœur est digne de blâme Contre les
gens
qui n’en ont pas. mercure. Hé bien ! es-tu Sosie
en on dort tout debout. Charles-Quint. Hé bien ! mon frère, c’est aux
gens
de mon âge à éveiller la jeunesse trop endormie.
a guère de soin. Charles-Quint. Il est vrai qu’on oublie bientôt les
gens
qui se sont dépouillés et dégradés. Le Moine. Ne
Haïe ! je veux que tu me répondes. Me Jacques. Combien serez-vous de
gens
à table ? Harpagon. Nous serons huit ou dix ; ma
z envie de faire crever tout le monde ? et monsieur a-t-il invité des
gens
pour les assassiner à force de mangeaille ? Allez
nt là-dessus : car enfin j’ai ouï condamner cette comédie à certaines
gens
par les mêmes choses que j’ai vu d’autres estimer
ions de cerveau de nos marquis de Mascarille. J’enrage de voir de ces
gens
qui se traduisent en ridicules malgré leur qualit
ces gens qui se traduisent en ridicules malgré leur qualité ; de ces
gens
qui décident toujours et parlent hardiment de tou
ongez qu’en ne disant mot on croira peut-être que vous êtes d’habiles
gens
. Le marquis. Parbleu ! chevalier, tu le prends là
que je parle ; c’est à une douzaine de messieurs qui déshonorent les
gens
de cour par leurs manières extravagantes, et font
vis des autres, pour avoir la gloire de décider. Notre ami est de ces
gens
-là. Il veut être le premier de son opinion, et qu
lle écus ; Le cœur vivait alors, et l’on t’eût bien fait rire, Si les
gens
clairvoyants étaient venus te dire Qu’il pourrait
ez que la terre Sera couverte, et qu’à leurs blés Les
gens
n’étant plus occupés Feront aux oisillons
re Avait depuis plus de cent ans Produit pour l’usage des
gens
. Il retourne chez lui ; dans sa cave il enserre
moins à ce qu’ils dirent. C’était le roi des ours : au compte de ces
gens
, Le marchand à sa peau devait faire fortune ; Ell
e, Trouvent l’ours qui s’avance et vient vers eux au trot ; Voilà mes
gens
frappés comme d’un coup de foudre. Le marché ne t
ue mal, elle arriva Sans autre aventure fâcheuse. Voilà nos
gens
rejoints ; et je laisse à juger De combien de pla
le plus de pièges au bon sens. Ce n’est pas qu’il n’y ait beaucoup de
gens
d’esprit sans un peu de talent, ni beaucoup de gr
ent plus d’esprit que de talent en ce monde : la société fourmille de
gens
d’esprit qui manquent de talent. L’esprit ne peut
l’esprit se méfie et doute de la nature et des hommes. En un mot, les
gens
d’esprit ne sont que des voyageurs humiliés qui o
à deniers comptants comme une métairie ; la splendeur des partisans,
gens
si méprisés chez les Hébreux et chez les Grecs. L
mblent ; et vous n’avez rien fait, si vous n’y faites reconnaître les
gens
de votre siècle. En un mot, dans les pièces série
et vous l’accusez de charme et d’enchantement. Je connais beaucoup de
gens
qui feraient vanité d’une telle accusation ; et v
? et, sans sortir de la cour, n’a-t-il pas encore vingt caractères de
gens
où il n’a pas touché ? N’a-t-il pas, par exemple,
ntents de la cour, ces suivants inutiles, ces incommodes assidus, ces
gens
, dis-je, qui, pour services, ne peuvent compter q
nts généreux et les actions qu’ils peuvent inspirer. Il n’y a que les
gens
médiocres qui voudraient que le fond de tout fût
irituelle qu’elle soit, n’est pas également propre à toutes sortes de
gens
d’esprit. 11 faut choisir ce qui est de leur goût
joie que les vôtres sont encore après tant de siècles les délices des
gens
de lettres. Vous ne vous trompiez pas quand vous
d’autres tendent le cou pour se donner un air d’attention ; quelques
gens
graves froncent le sourcil et regardent si on cro
n me dit là-dessus : De quoi vous plaignez-vous ? De quoi ? Voilà mes
gens
aussitôt en courroux, Ils se moquent de moi, qui,
. C’est après trois mois d’une conduite toute miraculeuse, et que les
gens
du métier ne se lassent point d’admirer, qu’arriv
cheval à deux heures le samedi, après avoir mangé. Il avait bien des
gens
avec lui : il les laissa tous à trente pas de la
: dans ce moment, le cheval s’arrête, il tomba entre les bras de ses
gens
; il ouvrit deux fois de grands yeux et la bouche
extraordinaire ? Il arrive à Saint-Denis ce soir ou demain ; tous ses
gens
l’allaient reprendre à deux lieues d’ici ; il ser
r être à la tête de ce petit nombre. Voltaire. La Condition des
gens
de lettres Votre vocation, mon cher Lefebvre,
Vous commencez par comparaître devant l’aréopage de vingt comédiens,
gens
dont la profession, quoique utile et agréable, es
eillissez dans l’opprobre et dans la misère. Les places destinées aux
gens
de lettres sont données à l’intrigue, non au tale
i le lendemain sera oublié pour jamais. Il n’est pas étonnant que les
gens
de lettres désirent entrer dans un corps où il y
blées, et que, dans l’autre moitié, il se trouve à peine huit ou neuf
gens
de lettres qui soient si assidus. L’Académie est
ction est réelle. On pourrait mettre sur la tombe de presque tous les
gens
de lettres : Ci-git, au b
oisifs d’une grande ville en s’y prenant bien ; et nous avons ici des
gens
d’une adresse !… D’abord un bruit léger, rasant l
s le mal que de n’être pas assuré en la vertu. Il y a une infinité de
gens
qui feraient de bonnes actions, pourvu qu’elles n
tre à la décision d’une bataille, et qu’il se trouve beaucoup plus de
gens
qui se présentent de leur bon gré à la mort que d
te, aussi bien que toute l’Europe ; et vous trouverez étrange que ces
gens
que vous tenez si sages, et qui ont particulièrem
u’ils disaient être composée de nos cochers et de nos laquais. Et ces
gens
si déterminés, qui devaient percer la France jusq
on Français, au moins vous aurez dépit de vous être affectionné à des
gens
qui ont si peu de vigueur et qui savent si mal se
nt là-dessus : car enfin j’ai ouï condamner cette comédie à certaines
gens
par les mêmes choses que j’ai vu d’autres estimer
ns de cerveau de nos marquis de Mascarille37. J’enrage de voir de ces
gens
qui se traduisent en ridicules38 malgré leur qual
es gens qui se traduisent en ridicules38 malgré leur qualité ; de ces
gens
qui décident-toujours et parlent hardiment de tou
ongez qu’en ne disant mot on croira peut-être que vous êtes d’habiles
gens
. LE MARQUIS. Parbleu ! chevalier, tu le prends là
que je parle ; c’est à une douzaine de messieurs qui déshonorent les
gens
de cour par leurs manières extravagantes, et font
vis des autres, pour avoir la gloire de décider. Notre ami est de ces
gens
-là. Il veut être le premier de son opinion, et qu
39 pèche contre les règles de l’art… DORANTE. Vous êtes de plaisantes
gens
, avec vos règles dont vous embarrassez les ignora
nçais. URANIE. Il est vrai, et j’admire les raffinements de certaines
gens
sur des choses que nous devons sentir nous-mêmes.
et à leur procurer toutes sortes de plaisirs. Le roi est environné de
gens
qui ne pensent qu’à divertir le roi et l’empêchen
ici ; vous n’y voyez encore goutte ; et, en leur place, j’envoie mes
gens
faner. Savez-vous ce que c’est, faner ? Il faut q
nt dans une prairie ; dès qu’on en sait tant, on sait faner. Tous mes
gens
y allèrent gaiement ; le seul Picard me vint dire
me comme un rocher, et il est parti. C’est une justice de traiter les
gens
selon leurs bons ou mauvais services. Si vous le
. C’est après trois mois d’une conduite toute miraculeuse, et que les
gens
du métier ne se lassent point d’admirer, qu’arriv
e samedi à deux heures, après avoir mangé, et comme il avait bien des
gens
avec lui, il les laissa tous à trente pas de la h
ce moment, le cheval s’arrête ; le héros tombe entre les bras de ses
gens
; il ouvre deux fois deux grands yeux et la bouch
extraordinaire ? Il arrive à Saint-Denis ce soir ou demain ; tous ses
gens
l’allaient reprendre à deux lieues d’ici ; il ser
nous ôte celui d’être vivement touché de très belles choses. Bien des
gens
vont jusques à sentir le mérite d’un manuscrit qu
premiers approuvé cet ouvrage, et que le public est de leur avis. Ces
gens
laissent échapper les plus belles occasions de no
r petitesse : loué, exalté, et porté jusqu’aux cieux par de certaines
gens
qui se sont promis de s’admirer réciproquement, i
vous, et j’ajouterai que ce doit être la demeure de quelqu’un de ces
gens
chez qui un Nautre225 va tracer et prendre des al
se fâche ; il dirait des injures à tout le monde. Il n’aime plus les
gens
, il n’en est point aimé ; on le persécute, on le
d’éclairer les esprits, et de créer, plus encore que des savants, des
gens
de bien et des citoyens utiles. Par là il mérita
e, je vous verrai tous les jours. Si le roi vous voyait abandonné des
gens
vertueux, il n’aurait plus de remords ; il commen
On différa mon supplice, pour le faire servir de spectacle à plus de
gens
. Le jour qui le précéda, j’écrivis ces mots à Cal
discuter leurs titres : le dernier est soutenu par un grand nombre de
gens
grossiers et sans goût, qu’ont séduits les faux o
royable « De leur concorde impie, affreuse, inexorable, « Funeste aux
gens
de bien496, aux riches, au sénat, « Et, pour tout
ute. Meurs : tu ferais pour vivre un lâche et vain effort, Si tant de
gens
de cœur font des vœux pour ta mort. Et si tout ce
gnal Me doit au lieu d’encens donner le coup fatal : La moitié de tes
gens
doit occuper la porte, L’autre moitié te suivre e
rtent aux dents, dans les bois se retirent : Ils avaient averti leurs
gens
secrètement. Les chiens, qui, sur leur foi, repos
e mal561, elle arriva Sans autre aventure fâcheuse. Voilà nos
gens
rejoints ; et je laisse à juger De combien de pla
ge577 Vous n’avez pas chez vous ce brillant équipage, Cette foule de
gens
qui s’en vont chaque jour Saluer à longs flots le
t Lycidas Peuvent bien faire voir qu’on a quelques appas. ARISTE. Ces
gens
vous aiment ? BÉLISE.
ns cause légitime ? CHRYSALE Je ne dis pas cela ; mais il faut de nos
gens
. PHILAMINTE. Non, elle sortira, vous dis-je, de c
J’ai, madame, à vous dire Que je ne connais point ces
gens
-là. PHILAMINTE.
e bien, du grenier de céans618 Cette longue lunette à faire peur aux
gens
, Et cent brimborions dont l’aspect importune ; Ne
l’esprit de ses enfants, Faire aller son ménage, avoir l’œil sur ses
gens
, Et régler la dépense avec économie, Doit être so
it être son étude et sa philosophie. Nos pères, sur ce point, étaient
gens
bien sensés, Qui disaient qu’une femme en sait to
chercher si loin, On ne sait comme va mon pot, dont j’ai besoin. Mes
gens
à la science aspirent pour vous plaire, Et tous n
mme j’ai dit, à vous que je m’adresse. Je n’aime point céans tous vos
gens
à latin, Et principalement ce monsieur Trissotin
t souffrir trop longtemps ; Et je m’en vais être homme à la barbe des
gens
. Acte III, scène II. Henriette, Philamint
ête. Cette ingrate de fièvre, injuste, malhonnête, Qui traite mal les
gens
qui la logent chez eux. PHILAMINTE. Enfin les qua
nt à sa lettre. Tu ne partiras point, et c’est une bassesse, Dans les
gens
de mon rang, d’outrer la politesse. Un homme tel
sse Qui fait dire souvent ce qu’on ne pense pas. Je hais, je fuis ces
gens
qui font les délicats, Dont la fière grandeur d’u
s point. LE COMTE. Les
gens
de ma naissance Sont un peu délicats sur les dist
ait-on quelque chose au logis de gâté, L’on ne s’en prenait point aux
gens
du voisinage : Bertrand dérobait tout ; Raton, de
e l’esprit de Bossuet, dit fort bien M. Nisard, a caché à beaucoup de
gens
sa sensibilité, comme la douceur des vers de Raci
développement naturel de la pensée de La Bruyère : « Selon certaines
gens
, un pédant est un savant nourri dans les collèges
mpé par les Mages, entra dans une grande colère ; et ayant envoyé des
gens
armés, il fit tuer tous les enfants qui étaient d
re capitale n’offrent point aux yeux rien de si grave qu’une table de
gens
qui jouent un grand jeu. » (Ch. v, des Biens de l
as (voy. les Annales de Tacite, XIII, 23), ne donner des ordres à ses
gens
que par signes ou par écrit. 783. Dans cette scè
equi adempti ; jussique4 cauponias et ludicras artes exercere. Et sic
gens
, industriā quondam potens et manu strenua, effemi
toriā usus1 est unquam Romanus ; sed nec fidelior in posterum reperta
gens
ulla est. Idque prospectum singulari consilio duc
altitudinis abit, ut Euxinum et Hadriam e summo vertic ostendat. Una
gens
, Traces habitant, aliis aliisque præditi e nomini
abhorrebat, ut recordatus Virgilii versus ; Ante1 Impia quam cæsis
gens
est epulata juvencis : edicere destinaverit ne2
rcipiendi, Deus, facies ? Paulum6 abest quit tam graviter conquassata
gens
, et tantam diminutionem passa, præsentibus tristi
enu contre lui beaucoup de propos injurieux, et il ne manquait pas de
gens
qui le poussaient à la colère et à la vengeance.
iocrité, et la déclara plus d’une fois. Il se moqua même de certaines
gens
qui prétendaient rattacher son origine à un compa
ts, d’aversions, de craintes ; mais ce qu’on appelle amitié entre les
gens
de bien, est complot entre les méchants. Un homme
ptueux, que nous voudrions être connus de toute la terre, et même des
gens
qui viendront quand nous ne serons plus : et nous
uvre de verdure et prend un aspect riant, je m’étonne qu’il y ait des
gens
qui se plaisent au milieu du bruit de la ville. E
é, Pythius, à qui sa qualité de banquier donnait du crédit auprès des
gens
de toutes les professions, assembla des pêcheurs,
ns. Toutefois, dans le siècle de Cicéron, les artifices coupables des
gens
sans honneur étaient flétris, je pense, par le mé
oire. Version XXXVIII. Utilité de l’amitié. 38. Beaucoup de
gens
dédaignent les richesses : contents de peu, ils a
u, ils aiment une table frugale et de modestes vêtements. Beaucoup de
gens
font si peu de cas des honneurs, pour lesquels d’
qu’il y a de plus vide et de plus frivole. La vertu même, combien de
gens
la méprisent, en voulant la faire passer pour une
l’étude, mais pour la représentation. C’est ainsi que, chez bien des
gens
, qui n’ont pas même autant de littérature que des
erait que les dos et les titres de ses livres ? Ainsi, c’est chez les
gens
les plus oisifs que vous trouverez tout ce qu’il
les plus lointaines. Maudits soient-ils des dieux et des déesses, ces
gens
dont le luxe franchit les bornes de cet empire dé
e aimant à devancer les prières. Il souffrait sans s’offenser que les
gens
de la dernière classe lui fissent des remontrance
x qui affectent de se servir de vieilles locutions. 49. Certaines
gens
ont la manie de reproduire dans leur langage les
e différence entre l’homme instruit et l’ignorant ! Laissons donc ces
gens
qui veulent qu’on présente la vérité sans aucune
u fleuve : telle est du moins l’opinion, plutôt que la certitude, des
gens
du pays. Version LII. Repartie plaisante d’
montra (tant le courage inspire de confiance !) qu’il importe peu aux
gens
de cœur de combattre à cheval ou sur des vaisseau
’est pour les esprits bien légers eux-mêmes ; car il ne manque pas de
gens
présomptueux qui s’appliquent sérieusement à péné
a fuite. Le roi, par le conseil de Théodote et d’Achillas, envoya des
gens
pour le recevoir, et l’inviter à passer du bâtime
qui traversent tout en courant, et [illisible chars][texte coupé]omme
gens
pressés. Les aliments ne font aucun bien, et ne c
étez pas de la réputation de vos ennemis, arme bien faible contre des
gens
de cœur. Ce que vous avez redouté, jusqu’à ce jou
’on fait de si grands avantages aux vertus et aux vices. Que tous ces
gens
, appelés par leur nom, comparaissent devant vous
ent jusqu’au voleur même ; dans le second cas, ils se jettent sur les
gens
de la maison comme sur les autres. Il suffit qu’i
a génération précédente. Mais voici une nouvelle manière de piper les
gens
; et c’est moi qui le premier ai trouvé cette voi
, que, s’étant rappelé le passage de Virgile : Ante Impia quam cæsis
gens
est epulata juvencis : [illisible chars][texte
s calculs l’importance d’un si grand bienfait. Il ne défendra que les
gens
de bien : jamais il ne prêtera sciemment son mini
ants, ignoble et brutale satisfaction, que nul auditeur (je parle des
gens
estimables) n’accueille avec plaisir, et que récl
delle emportée d’assaut, et que tout est confusion, cris des ennemis,
gens
armés courant dans les rues, le fer et la flamme
un oiseau d’un climat étranger, une fleur d’une autre saison. Car ces
gens
délicats, ces gens voluptueux (comme il s’en trou
at étranger, une fleur d’une autre saison. Car ces gens délicats, ces
gens
voluptueux (comme il s’en trouva souvent dans la
abales de ceux dont l’ambition aspirait au pouvoir suprême. Aussi les
gens
les plus audacieux, Thraces, Syriens, Illyriens,
ent, et sans être attendu, se mêler à son auditoire. Aujourd’hui, les
gens
les moins occupés, qu’on a invités longtemps d’av
On peut se distinguer dans la paix, comme dans la guerre. Beaucoup de
gens
sont cités avec honneur, les uns, pour leurs expl
ible, les cœurs les plus purs. La maladie commence par le mélange des
gens
sains et des malades. Ce n’est pas que je vous re
u’alors, et les artisans des plus noirs forfaits. Aujourd’hui que les
gens
de bien sont si rares, nous devons être moins dif
hommes de guerre qui avaient servi sous Germanicus, une foule même de
gens
qui ne le connaissaient pas, accourus des villes
d’irriter son humeur irascible. « Mais, dites-vous, quelles sont ces
gens
? » Ils sont partout, et, par des causes diverses
porte sur vous, qu’un fat vous traite dédaigneusement. Choisissez des
gens
simples, faciles, modérés, qui n’éveillent pas vo
tifs sur l’emploi des leurs, et veilleront à ce qu’il n’y ait que des
gens
de mérite qui touchent l’argent versé par moi, s’
rendu notre esprit insensible ; tandis que, dans les étrangers et les
gens
que nous ne connaissons pas, les qualités et les
cultés sont affaiblies. Version XCII. Il vaut mieux obliger les
gens
de bien que les riches. 92. En obligeant les
oment où on le trouvait le plus facile, le plus bienveillant ; et les
gens
de sa maison, qui sollicitaient quelque faveur, a
42 91. Le petit bien de campagne. 344 92. Il vaut mieux obliger les
gens
de bien que les riches. 346 93. Mort du poëte Ph
ement un esprit ose être ce qu’il est. Boileau, épît. ix. 2. Mille
gens
déplaisent avec des qualités aimables ; mille gen
ît. ix. 2. Mille gens déplaisent avec des qualités aimables ; mille
gens
plaisent avec de moindres talents ; c’est que les
s disaient : « Qu’ai-je à faire d’aller me tuer à travailler pour des
gens
dont je ne me soucie point ? Je penserai uniqueme
ple cria une seconde fois famine ; mais ces misérables trouvèrent des
gens
aussi durs qu’ils l’avaient été eux-mêmes. Cepend
vait trouvés. Il mettait les Macédoniens à la tête des troupes et les
gens
du pays à la tête du gouvernement : aimant mieux
rses opinions touchant une même matière, qui soient soutenues par des
gens
doctes, sans qu’il y en puisse avoir jamais plus
jeunesse à voyager, à voir des cours et des armées, à fréquenter des
gens
des diverses humeurs et conditions, à recueillir
gion qui fasse craindre du mal après cette vie à ceux qui ont vécu en
gens
d’honneur, mais qu’au contraire l’une et l’autre
esoin. Soyez désormais en garde contre les louanges ; défiez-vous des
gens
que vous ne connaîtrez point6Vous en pourrez renc
t plus. 5. C’est toujours du français gaulois. 6. « Défiez-vous des
gens
que vous ne connaîtrez point, etc. » Ce parasite
chemar. Un jour, je voyageais en Calabre4. C’est un pays de méchantes
gens
, qui, je crois, n’aiment personne, et en veulent
omettre de ce qui pouvait nous perdre, il fit le riche1, promit à ces
gens
pour la dépense, et pour nos guides le lendemain,
lle, et me dit ces paroles : « Allons voir ces gens-là3 ! » — Quelles
gens
? » lui répondis-je ; et dans la vérité, je croya
vais en ce lieu, je fis deux ou trois sauts vers la procession1 ; les
gens
du carrosse, qui croyaient que nous étions aux ma
autres, au lieu d’en faire lui-même, n’est pas un ennemi naturel des
gens
de lettres, mais un homme de lettres moins entrep
3. Le goût est la conscience littéraire de l’âme. 4. Parfait. Que de
gens
se permettent de régenter, et devraient être récu
riers, rebut de républiques en guerre les unes contre les autres, des
gens
perdus de dettes et de crimes, et faisant métier
ar raillerie à ceux qui étaient contre les sentiments de la cour. Ces
gens
-là, étant touchés du désir d’arrêter le cours des
es liaisons qu’ils avaient avec les ministres ou par intérêt avec les
gens
d’affaires. Et le dernier était de ceux qui blâma
eur propre. Parmi eux s’en remarquaient d’autres des plus éveillés de
gens
principaux de la cour, qui étaient accourus aux n
peu d’agitation de leur corps. Des changements de posture, comme des
gens
peu assis ou mal debout ; un certain soin de s’év
gnait à Meudon. Dès que le roi en fut parti, tout ce qu’il y avait de
gens
de la cour le suivirent et s’entassèrent dans ce
convulsions nationales. Libre à vous d’admirer, et même d’imiter ces
gens
qui ont conjuré sur la France une tempête qui n’a
oyais grandir » n’était-ce pas assez ? Il prenait de la force, et les
gens
du village Aux luttes de Saint-Jean admirant son
robe ou d’épée qui se crût spécialement destinée à l’action ; plus de
gens
de lettres ou de philosophes qui se contentassent
tes et de tours ingénieux ; l’expression claire et nette suffit à ces
gens
-là. Qu’il s’agisse d’une réforme dans l’État, d’u
ens. Oh ! qu’une page pleine dans les livres est rare ! et que peu de
gens
sont capables d’en écrire dix sans sottises ! La
eux. Et s’y veut contenter de la fausse pensée Qu’ont tous les autres
gens
, que nous sommes heureux. Vers la retraite en vai
périté des hommes faibles. La fortune peut se jouer de la sagesse des
gens
vertueux ; mais il ne lui appartient pas de fléch
gnal Me doit au lieu d’encens donner le coup fatal ; La moitié de tes
gens
doit occuper la porte, L’autre moitié te suivre e
ajesté, Malgré les saintes lois de l’hospitalité, Malgré le droit des
gens
et la foi réclamée, Dans les murs d’un cachot vou
ivre ! Dans un dédain haineux mon cœur s’était serré Au spectacle des
gens
dont j’étais entouré, Et j’avais, méprisant compa
ncor plus plein d’extravagance. ACASTE. Parbleu ! s’il faut parler de
gens
extravagants, Je viens d’en essuyer un des plus f
nt rien des ouvrages du temps, Il se met au-dessus de tous les autres
gens
. Aux conversations même il trouve à reprendre : C
son portrait véritable. CLITANDRE, à Célimène. Pour bien peindre les
gens
vous, êtes admirable. ALCESTE. Allons ferme ! pou
ù l’on voit les humains se répandre. PHILINTE. Mais pourquoi pour ces
gens
un intérêt si grand, Vous qui condamneriez ce qu’
l’autorité, ni du culte, ni de la politique, ni de la morale, ni des
gens
en place, ni des corps en crédit, ni de l’Opéra,
uissons sans fracas du fruit de mes travaux, Avec de bonnes gens, des
gens
qu’on puisse entendre, Qui de leur nom pour nous
e grâce infinie En me trouvant chez moi de bonne compagnie. Voilà mes
gens
, voilà les amis que je veux, Sûr qu’ils seront po
s’étendre sur un repas magnifique que l’on vient de faire, devant des
gens
qui sont réduits à épargner leur pain ; de dire m
xcuser les défauts de l’ouvrage : qui vous pressait de le montrer aux
gens
? Mais quand les plus grands intérêts de l’État s
de sa paix, de son cours régulier et majestueux. Voltaire, entouré de
gens
de lettres, occupé de petites querelles, travaill
; vous n’y voyez encore goutte ; et, en leur place, j’envoie tous mes
gens
faner. Savez-vous ce que c’est que faner ? Il fau
nt dans une prairie ; dès qu’on en sait tant, on sait faner. Tous mes
gens
y allèrent gaiement ; le seul Picard me vint dire
me comme un rocher, et il est parti. C’est une justice de traiter les
gens
selon leurs bons ou mauvais services. Si vous le
e vit plus que de lettres d’État. Vous êtes importuné de la foule des
gens
qui demandent et qui murmurent. C’est vous-même,
n’ont eu que la persécution pour récompense, je vous ferais voir des
gens
acharnés à me perdre, du jour que je donnai la tr
umain que quelques frelons pillent le miel de quelques abeilles ? Les
gens
de lettres font grand bruit de toutes ces petites
testable assassin que dans le temps où il fut privé de la société des
gens
de lettres. Avouez que Pétrarque et Boccace ne fi
me vous gouvernez les pauvres humains ! Il est plaisant que les mêmes
gens
de lettres de Paris qui auraient voulu m’extermin
les prudents ne se peuvent raisonnablement plaire. Ils regardent les
gens
avec empire ; ils disputent avec hardiesse et con
ode des choses et de leur privation ; il passe même dans le parti des
gens
qui lui font la guerre, il entre dans leurs desse
est en même temps l’avilir. N’est pas ambitieux qui veut, et bien des
gens
reçoivent ce nom, ou même s’en défendent comme d’
usement sujets à bien des hauteurs et à bien des brusqueries avec les
gens
de métier. Mais il y a bien peu d’hommes assez dé
r la forte main de nos aïeux. De Montalembert 109. Aux Jeunes
Gens
Si vous aimez la liberté et la patrie, fuyez
ticulières. Bossuet. La Religion et la Liberté Il y a des
gens
en France qui considèrent les institutions républ
s’écrie avec un orgueilleux dépit : Tandis que moi, morbleu ! (Que de
gens
se disent aussi : Et nous, morbleu !), ce moi, mo
autres, au lieu d’en faire lui-même, n’est pas un ennemi naturel des
gens
de lettres, mais un homme de lettres moins entrep
u son indignation, tant il est sensible, exquis et prompt ! Aussi les
gens
de goût sont-ils les hauts justiciers de la litté
1. Le goût est la conscience littéraire de l’âme 2. Parfait. Que de
gens
se permettent de régenter, et devraient être récu
L’harmonie qui ne va qu’à flatter l’oreille n’est qu’un amusement de
gens
faibles et oisifs ; elle est indigne d’une républ
é de ses malheurs et quelquefois du bonheur d’autrui ; on méprise les
gens
avec lesquels on passe sa vie et on court après l
pos de faire voir un désert et des cabanes de bergers. La plupart des
gens
qui veulent faire de beaux discours cherchent san
; elle se modère et se proportionne aux sujets qu’elle traite et aux
gens
qu’elle instruit ; elle n’est grande et sublime q
s, fut remis en lumière par l’abbé Maury, qui le présenta à plusieurs
gens
de lettres, en les conviant à entendre un très-be
4. Iphicrates rei militaris peritissimus fuit. — 5. Iræ impotens est
gens
Gallorum. — 6. Præscius futurorum solus Deus est.
caput regni Syphacis erat : Syphax Masæsylorum rex fuit ; Masæsylorum
gens
erat affinis Mauris. corrigé. 1. La terre
est utilis. — 6. Homo ad virtutem genitus est. — 7. Gallorum Senonum
gens
terribilis fuit ; nata ad hominum interitum urbiu
ains. — 10. La maison d’Antoine était pleine de joueurs, encombrée de
gens
ivres. — 11. Une âme forte est exempte de soucis
férents menacent les hommes. — 16. Il arrive souvent des malheurs aux
gens
de bien. — 17. La nature a mis la discorde entre
t. — 6. Atticus ne flatta pas Antoine. — 7. Antoine menaçait tous les
gens
de bien du supplice de la croix et des plus cruel
a l’infanterie des Athéniens. — 4. La gloire a été funeste à bien des
gens
. — 5. Métellus le Numidique avait un cœur dédaign
e sénat, ni par le peuple, ni par aucun homme de bien. — 11. Bien des
gens
aiment les camps, et le son de la trompette, et l
rvatori, aquâ et igne interdictum est. corrigé. 1. Beaucoup de
gens
font un mauvais usage de la fortune, de la nobles
t son maître, seul il se souvient de son nom et reconnaît la voix des
gens
de la maison. Ulysse avait été absent de sa patri
yle se perfectionne à lire les orateurs et les poëtes. — 10. Bien des
gens
mettent du soin à acheter leurs chevaux, et sont
version 77. 1. Sine imperio nec domus ulla, nec civitas, nec
gens
, nec mundus ipse stare potest. — 2. Posteritas Ci
s bancs de marbre, disposés en plusieurs endroits, où se reposent les
gens
fatigués de la promenade. — 10. Artémise bâtit à
e sommes pas pauvres de vie, nous en sommes prodigues. — 8. Certaines
gens
se réjouissent des maux d’autrui et en sont heure
victimes. — 6. Cicéron aimait Atticus comme un frère. — 7. Certaines
gens
se réjouissent du malheur d’autrui comme de leur
euse fourberie, perd toute créance, même lorsqu’il dit vrai. — 3. Les
gens
qui courent tombent plus fréquemment que ceux qui
telle. Aimons la patrie, obéissons au sénat, prenons les intérêts des
gens
de bien. Négligeons les avantages présents, trava
, mais supportons ce qui sera arrivé. Songeons enfin que le corps des
gens
de cœur et des grands hommes est mortel, tandis q
t caché, vous ferez une mauvaise action, si vous n’avertissez pas les
gens
de ne pas s’y asseoir. — 3. Annibal, général Cart
nt blâmée. — 10. L’homme vertueux se gardera bien d’imiter jamais les
gens
vicieux. — 11. Mancinus ayant été vaincu et chass
d’agir comme il agit. — 9. Je ne puis me retenir de faire l’éloge des
gens
de bien. — 10. Il n’a pas dépendu de moi que vous
dans un tableau. version 192. De Suevorum moribus. Suevorum
gens
est maxima et bellicosissima Germanorum omnium. I
epublicâ principes sunt, tales solent esse cives. — 7. Ea erat Romana
gens
, quæ victa quiescere nesciret. — 8. Eâ misericord
nt à aller au suffrage, tous ses instruments de labour ; il amena ses
gens
de service, robustes, bien vêtus et bien nourris
atiemment la douleur. — 11. Chez les Athéniens, il ne manquait pas de
gens
pour défendre la République contre la témérité de
aucoup. — 7. Celui qui n’est pas riche veut le devenir. — 8. Bien des
gens
ont voulu éviter les atteintes de la fortune, peu
8. Bien des gens ont voulu éviter les atteintes de la fortune, peu de
gens
l’ont pu. — 9. Aucun des défauts du corps n’est p
0. Le jugement du vulgaire n’est pas toujours d’accord avec celui des
gens
d’esprit. — 11. Affranchissez-vous d’abord de la
la rencontre de Pompée, par le conseil de Théodote et d’Achillas, des
gens
chargés de le recevoir, et de l’engager à passer
ous pas qu’il est né à Athènes et du temps de Socrate des milliers de
gens
qui n’en furent pas moins ignorants et insensés ?
sser un seul jour sans parler au Forum. — 4. Vitellius condamnait les
gens
à mort sans les entendre. — 5. Alexandre, après
le ils devaient périr, qu’il leur dit : « Compagnons, dînez comme des
gens
qui doivent souper chez Pluton. » — 5. On rapport
t fait contre Cinna : « Pourquoi vivre, si ta perte importe à tant de
gens
? Quand s’arrêteront les supplices et le sang ? C
Quelle raison, en sa présence, de ne pas me croire seul ? Il y a des
gens
qui racontent au premier venu ce qui ne se doit c
plus grande et la plus sûre de toutes les fortunes. En effet, si les
gens
experts à priser les choses estiment les prairies
, du vide, amis, voilà, je pense, Le portrait de beaucoup de
gens
. Gaudy. * Le Pinson et la Pie. — Appr
s sur l’épine fleurie. — Allez, vous vous moquez, ma mie ; À
gens
de votre espèce, ah ! je gagerais bien Q
les occasions ; cela n’est pas d’un homme de qualité1. Ayez pitié des
gens
plus malheureux que coupables. Ils sont dans des
otre mignonne1 vous aime trop, et ne vous voit point comme les autres
gens
vous voient. Je ne suis point prévenue contre vou
f au lieu du gérondif et du supin. Par exemple : Audax omnia perpeti
gens
humana ruit per vetitum nefas. La race humaine, q
aillant, brave. Sin minùs fortis, attamen strenuus. Cic. LXXXIX. —
Gens
, familia. Gens (de genus) était comme le tro
minùs fortis, attamen strenuus. Cic. LXXXIX. — Gens, familia.
Gens
(de genus) était comme le tronc, la souche qui co
e, les enfants, les esclaves, etc. Ainsi, dans la race des Cornélius,
gens
Cornelia, il y avait la famille des Cornélius Sci
ts d’une maison. Convocat familiam, et plures jubet occidi. XC. —
Gens
, natio. Gens, synonyme de natio, comprend la
onvocat familiam, et plures jubet occidi. XC. — Gens, natio.
Gens
, synonyme de natio, comprend la race entière. Gen
Gens, natio. Gens, synonyme de natio, comprend la race entière.
Gens
trojana, gens romana, gens gallica. — Natio (de n
Gens, synonyme de natio, comprend la race entière. Gens trojana,
gens
romana, gens gallica. — Natio (de natus) est un p
nonyme de natio, comprend la race entière. Gens trojana, gens romana,
gens
gallica. — Natio (de natus) est un peuple particu
er sorti de la race dont on parle. Majorem Germamaniæ partem Suevorum
gens
obtinet, propriis nationibus nominibusque distinc
doniens. — Sparus (de σπείρω, spargere), espèce de dard à l’usage des
gens
de la campagne. — Lancea, lance, sorte de trait f
203 Generare 46 Generosus 88 Genitor 177 Genius 119
Gens
89 Gens 90 Gerere 77 Gestire 91 G
re 46 Generosus 88 Genitor 177 Genius 119 Gens 89
Gens
90 Gerere 77 Gestire 91 Gesum 237
affection que jamais. Mesme le jour devant1, comme elle exhortoit ses
gens
, elle dict au serviteur, puisque Dieu l’avoit con
disait, le 14 juillet 1547 : « Il y ha bien eu murmures et menaces de
gens
desbauchés qui ne peuvent supporter le châtiment.
ode des choses et de leur privation ; il passe même dans le parti des
gens
qui lui font la guerre, il entre dans leurs desse
irituelle qu’elle soit, n’est pas également propre à toutes sortes de
gens
d’esprit. Il faut choisir ce qui est de leur goût
dirait pas que l’ouvrage les fatigue. Tel est le sort de ces pauvres
gens
, une vie dure et laborieuse. Cependant après le t
et les grands, Les passions sont le premier mobile ; Tous ces
gens
animés d’intérêts différents, Qui pleins de leurs
e prends ? Et que vous revient-il des vôtres,
Gens
importants, gens affairés, Qui dupes de vos soins
Et que vous revient-il des vôtres, Gens importants,
gens
affairés, Qui dupes de vos soins, et tous les jou
ronder un peu, mon cher neveu, sur ce que vous ne voyez pas assez les
gens
que vous devriez cultiver. Il est vrai que le pri
ersonnes élevées. On aime, par amour-propre, à passer sa vie avec les
gens
auxquels on est accoutumé, avec lesquels on est l
onne ; elle s’en prend sans choix à tout le monde. Il n’aime plus les
gens
, il n’en est point aimé. On le persécute, on le t
us, mon cher auditeur, si vous voulez suivre ces exemples ; voilà les
gens
qui se sauveront. Or, ces gens-là ne forment poin
voulez suivre ces exemples ; voilà les gens qui se sauveront. Or, ces
gens
-là ne forment point assurément le plus grand nomb
rriverions le mardi, et puis tout d’un coup il l’oublie : ces pauvres
gens
attendent le mardi jusqu’à dix heures du soir ; e
intes tendres et pitoyables, elle a tout éprouvé. Elle voit certaines
gens
, elle prend des bouillons, parce que Dieu le veut
jeunesse à voyager, à voir des cours et des armées, à fréquenter des
gens
de diverses humeurs et conditions, à recueillir d
gion ne font craindre du mal, après cette vie, à ceux qui ont vécu en
gens
d’honneur, mais au contraire l’une et l’autre leu
prits auxquels elles sont proportionnées. Après que l’on voit tant de
gens
infatués des folies de l’astrologie judiciaire52
faire dire à son esprit. Ainsi le pyrrhonisme n’est pas une secte de
gens
qui soient persuadés de ce qu’ils disent, mais c’
ar raillerie à ceux qui étaient contre les sentiments de la cour. Ces
gens
-là, étant touchés du désir d’arrêter le cours des
es liaisons qu’ils avaient avec les ministres ou par intérêt avec les
gens
d’affaires. Et le dernier était de ceux qui blâma
les affaires, sans s’appliquer à son intérêt particulier ; il y a des
gens
habiles dans tout ce qui ne les regarde pas, et t
tes et d’auteurs ennuyeux, on s’en sert plus souvent pour tourner les
gens
en ridicule que pour les louer. Bien qu’il y ait
on affecte d’avoir. Une des choses qui fait que l’on trouve si peu de
gens
qui paraissent raisonnables et agréables dans la
par l’orgueil, qui les cache aux autres, et souvent à nous-mêmes. Les
gens
heureux ne se corrigent guère : ils croient toujo
ire entre les hommes, est le lien de la société et de l’amitié. Mille
gens
déplaisent avec des qualités aimables ; mille gen
de l’amitié. Mille gens déplaisent avec des qualités aimables ; mille
gens
plaisent avec de moindres talents. C’est que les
s’en mêlent se contrefont et ne sont pas tels en effet88. Ce sont des
gens
qui ont ouï dire que les belles manières du monde
les prudents ne se peuvent raisonnablement plaire. Ils regardent les
gens
avec empire ; ils disputent avec hardiesse et con
L’harmonie qui ne va qu’à flatter l’oreille n’est qu’un amusement de
gens
faibles et oisifs, elle est indigne d’une républi
est si rarement maître, et qui par là, à qui connaît la carte et les
gens
, deviennent des inductions sûres des liaisons et
r propre. Parmi eux s’en remarquaient d’autres, des plus éveillés, de
gens
principaux de la cour, qui étaient accourus aux n
peu d’agitation de leur corps. Des changements de posture, comme des
gens
peu assis ou mal debout ; un certain soin de s’év
gnait à Meudon. Dès que le roi en fut parti, tout ce qu’il y avait de
gens
de la cour le suivirent et s’entassèrent dans ce
ractère était doux, ses manières simples ; il aimait à vivre avec les
gens
de sa cour. Il mit une règle admirable dans sa dé
il hâte ses pas pour aller remplir sa place, il envoie devant lui des
gens
affidés pour arrêter ceux qui avaient contribué a
âtes-vous leur parler de vous justifier, et de prendre pour juges des
gens
qui vous devaient tant de vengeances ? « Quand t
périté des hommes faibles. La fortune peut se jouer de la sagesse des
gens
vertueux jamais il ne Lui appartient pas de faire
e force avoir cause gagnée. « Je suis bien bon, dit-il, d’écouter ces
gens
-là ! » Du sac et du serpent aussitôt il donna Con
nse ; ils se mettent en tête Que tout est né pour eux, quadrupèdes et
gens
, Et serpents.
les, x, 2.) Le paysan du Danube465. Il ne faut point juger des
gens
sur l’apparence : Le conseil en est bon, mais il
urs temples, D’avarice qui va jusques à la fureur. Rien ne suffit aux
gens
qui nous viennent de Rome : La terre et l
et que le vice ; Les Germains, comme eux, deviendront
Gens
de rapine et d’avarice. C’est tout ce que j’ai vu
, vous dis-je, et courez-vous cacher485. PHILINTE. Mais on entend les
gens
au moins sans se fâcher. ALCESTE. Moi, je veux me
e ne puis souffrir cette lâche méthode Qu’affectent la plupart de vos
gens
à la mode ; Et je ne hais rien tant que les conto
, dans ces vices du temps, Morbleu ! vous n’êtes pas pour être de mes
gens
: Je refuse d’un cœur la vaste complaisance Qui n
ans le cœur. Serait-il à propos, et de la bienséance, De dire à mille
gens
tout ce que d’eux on pense ? Et, quand on a quelq
contre les mœurs du temps Vous tourne en ridicule auprès de bien des
gens
. ALCESTE. Tant mieux, morbleu ! tant mieux, c’est
tre ; Et ses roulements d’yeux et son ton radouci N’imposent qu’à des
gens
qui ne sont point d’ici. On sait que ce pied-plat
me ; Et qu’eût-on, d’autre part, cent belles qualités, On regarde les
gens
par leurs méchants côtés. ORONTE. Est-ce qu’à mon
, faire d’aussi méchants531 ; Mais je me garderais de les montrer aux
gens
. ORONTE. Vous me parlez bien ferme, et cette suff
ne à y considérer le côté littéraire, « que ce sont les proverbes des
gens
d’esprit. » La Fontaine, dans l’une de ses Fables
it gardés sous les plus sûres serrures. Il n’a pas tenu à beaucoup de
gens
qui les redoutaient qu’ils ne parussent pas du to
sements à quarante-sept légions dans divers endroits de l’Italie. Ces
gens
-là, dit Appien, regardant leur fortune comme atta
irritable. C’était d’ailleurs une habitude ou plutôt un ridicule des
gens
de cour, que de prodiguer à cette époque de tels
r fait justice de ces honteuses flatteries que prodiguaient alors les
gens
de lettres trop peu soucieux de leur dignité. 55
monde, qui ne peut résister à cette montre4 si authentique. Les seuls
gens
de guerre en sont pas déguisés de la sorte, parce
non d’être en une condition où l’on a dès le matin un grand nombre de
gens
qui viennent de tous côtés pour ne leur laisser p
our voir les prés verdir et les bois bourgeonner. Mais aller chez des
gens
que l’on connaît à peine, Pour échanger sans but
s-pauvre, et vis pourtant fort bien, C’est parce que je vis comme les
gens
de rien. La pire pauvreté, la misère profonde Est
l n’est jamais permis de s’en dépouiller, même pour lutter contre les
gens
grossiers. « La politesse est à la bonté ce que l
= il voit des beaux esprits, des grands Seigneurs ; c’est-à-dire, des
gens
de lettres, des gens de qualité. 2°. Quant aux ad
sprits, des grands Seigneurs ; c’est-à-dire, des gens de lettres, des
gens
de qualité. 2°. Quant aux adverbes de quantité pa
ain et de bonne eau suffisent pour la nourriture du corps humain. Les
gens
de guerre sont souvent réduits à de mauvais pain
ui sait bien gouverner ; c’est-à-dire, comme un politique : = ce sont
gens
habiles qui m’ont dit cela ; c’est-à-dire, des ge
tique : = ce sont gens habiles qui m’ont dit cela ; c’est-à-dire, des
gens
habiles. Règles concernant les pronoms même, t
illiblement tombés dans ce précipice. Verbes réciproques : = bien des
gens
se sont repentis d’avoir perdu le temps de leur j
puisqu’on ne pourrait pas les changer en actifs, en disant : bien des
gens
ont repenti eux, etc ; nous avons lamenté nous, e
’on ne voit pas briller les grands talents aussi communément dans les
gens
de basse condition, comme dans les autres ; c’est
ire bien ; elle devient un roman entre ses mains ; il fait penser les
gens
à sa manière, leur met en la bouche ses petites f
nt pour déranger le cercle et faire oublier la narration ? Il y a des
gens
qui parlent un moment avant que d’avoir pensé. Il
passent. Aussi les Pamphiles sont-ils toujours comme sur un théâtre :
gens
nourris dans le faux, et qui ne haïssent rien tan
olière, Misanthrope, II, 4.) 1. Concertés, étudiés, affectés. 2.
Gens
qui affectent une grande pureté de langage. (Note
ts abstraits et métaphysiques, qui ne peuvent être saisis que par les
gens
de l’art. Une exposition méthodique et lumineuse
ait bien alors dire au critique : Voilà de vos arrêts, messieurs les
gens
de goût. L’ouvrage est peu de chose, et le seul n
te réserve aux choses plus essentielles et auxquelles on voit que les
gens
prennent plus d’intérêt ; et encore y aurait-il d
’est-à-dire une manière impérieuse de dire ses sentiments, que peu de
gens
peuvent souffrir, tant parce qu’elle représente l
on sens simple, quand il serait grossier et mal poli, plaira plus aux
gens
même du monde qu’un caractère plus délicat, mais
otre mignonne1 vous aime trop, et ne vous voit point comme les autres
gens
vous voient. Je ne suis point prévenue contre vou
t fort bien un magistrat illustre, qui, dans ce siècle où beaucoup de
gens
n’approuvent que l’étude des langues modernes, di
riers, rebut de républiques en guerre les unes contre les autres, des
gens
perdus de dettes et de crimes, et faisant métier
soi une armée de cent mille hommes, de nations différentes, mais tous
gens
mal satisfaits d’un capitaine, dont ils ne pouvai
attaché à une guerre importante mais opiniâtre : Rome est remplie de
gens
malintentionnés : les provinces voisines sont ple
it de celui-ci : Il est plus impartial et plus instruit que bien des
gens
ne l’ont cru. Le P. Griffet, jésuite, a donné un
mes du siècle dernier, en donnant un recueil d’éloges historiques des
gens
de lettres, des savants et des artistes, avec une
œur, et désarme les juges les plus sévères1. De la vie Peu de
gens
, dit-on avec Érasme2, voudraient renaître aux mêm
nnuyés de la vie, et toujours tremblants de la perdre ; peut-être des
gens
de lettres, de tous les ordres d’hommes le plus s
je vous le jure, la véritable cause de cette retraite, à laquelle nos
gens
de lettres ont été chercher des motifs d’ostentat
ent, comme les avares pour ne savoir rien perdre à propos. « Tous ces
gens
ennuyés, qu’on amuse avec tant de peine, doivent
ne, et son silence même est intelligible. Quand il n’est pas avec des
gens
qui lui plaisent, il demeure au dedans de lui-mêm
e qu’il en a toujours assez, et tout lent qu’il paraît, il y a peu de
gens
qu’il ne rattrape, quelque diligents qu’ils puiss
t son discours. On y a trouvé du pathos ; c’est assez la critique des
gens
de cette cour ; c’est le ridicule que les âmes fr
généreux et les actions qu’ils peuvent inspirer. » « Il n’y a que les
gens
médiocres qui voudraient que le fond de tout fût
s cuisiniers du monde5, et les ragoûts fins sont bien ridicules à des
gens
en haleine depuis le lever du soleil. Le service
téraire de Paris. « Vous ne trouverez dans cette grande ville que des
gens
occupés d’eux-mêmes et jamais de la triste situat
’allume, On apporte la nappe et met-on le couvert ; Et suis parmi ces
gens
comme un homme sans vert12 Qui fait en rechignan
, Pour se montrer soldats, sont les plus insolents ; Ainsi, parmi ces
gens
, un gros valet d’étable, Glorieux de porter les p
neurs mangeassent en sergents, La viande pourtant ne priait point les
gens
. Mon docteur de Ménestre, en sa mine altérée, Ava
s qui sont tant à la mode. « Ce fut, dit l’un, aux pièces de Boyer. »
Gens
pour Pradon voulurent parier. « Non, dit l’acteur
e, le misanthrope, d’en vouloir si mortellement et si brutalement aux
gens
de cour, aux femmes du grand monde, à l’humanité
re bien, du grenier de céans74 Cette longue lunette à faire peur aux
gens
, Et cent brimborions dont l’aspect importune ; Ne
l’esprit de ses enfants, Faire aller son ménage, avoir l’œil sur les
gens
, Et régler la dépense avec économie, Doit être so
it être son étude et sa philosophie. Nos pères, sur ce point, étaient
gens
bien sensés, Qui disaient qu’une femme en sait to
hercher si loin, On ne sait comment va mon pot, dont j’ai besoin. Mes
gens
à la science aspirent pour vous plaire, Et tous n
mme j’ai dit, à vous que je m’adresse. Je n’aime point céans tous vos
gens
à latin, Et principalement ce monsieur Trissotin
joue à leur gré De ce qu’ont les mortels de plus saint et sacré. Ces
gens
qui, par une âme à l’intérêt soumise, Font de dév
dit et dignités À prix de faux clins d’yeux et d’élans affectés ; Ces
gens
, dis-je, qu’on voit, d’une ardeur non commune, Pa
ue. Un gros de Sarrasins vient s’offrir à leur vue : Milice du démon,
gens
hideux et hagards, Engeance qui portait la mort d
dit là-dessus : « De quoi vous plaignez-vous ? » De quoi ? Voilà mes
gens
aussitôt en courroux ; Ils se moquent de moi, qui
autres talents, l’ode, qui baisse un peu, Veut de la patience, et nos
gens
ont du feu. Malherbe avec Racan, parmi les chœurs
ristote, Élien, Bérose, Porphyre, Appien, Et Lipse, leur écho,
gens
à Votre Excellence Peu connus, comme je le
t qu’au vizir il ait fait son rapport. Or vizirs, comme on sait, sont
gens
qui de chimères Se repaissent avidement ;
e on sait, sont gens qui de chimères Se repaissent avidement ;
Gens
qui, bouffis d’orgueil, sur des preuves légères,
à vivre. Pourtant il capitule, et l’adroit histrion Fait convenir ces
gens
que dans l’instruction D’un gradué de si g
cer sur de tout autres sujets. Tour à tour religieux pour édifier les
gens
d’Église, et licencieux pour égayer les soupers d
à tant de vanité ! Lisette, à Isabelle. C’est le faible commun des
gens
de qualité. Leurs titres bien souvent font tout l
les injures qu’il avait tant de fois débitées contre toutes sortes de
gens
. Discours envers ou discours philosophiques. — V
de espèce, Qui des mortels font le mal ou le bien ? Comment aimer des
gens
qui n’aiment rien, Et qui, portés sur ces rapides
se bien l’agrément qu’on peut y rencontrer : Trouver à chaque pas des
gens
insupportables, Des flatteurs, des valets, des pl
re fixé, Qui n’est ni complaisant, ni valet de personne, Que tous ces
gens
brillants qu’on mange, qu’on friponne, Qui, pour
ne, d’ailleurs, me plaît beaucoup aussi. J’aurais donc à mon tour des
gens
à mon service. Dans le commandement je suis un pe
à traiter… Il y a toujours eu plus de bons auteurs dramatiques que de
gens
excellant dans la chanson212. » Le recueil très
d’avance. Dans le grand monde il est aisé de deviner Quelle sorte de
gens
on rencontre à dîner : Des hommes en faveur, de g
r réunie ? Et quel plaisir pourrai-je avoir, dans un repas, Entre des
gens
si hauts et des hommes si bas ? Parlez-moi d’un f
ut croire ses yeux ; Il entre au cloître, et partout ne rencontre Que
gens
surpris, à l’air mystérieux, Parlant tout bas aus
de cette baie Qu’attriste incessamment l’aigre cri de l’orfraie, Des
gens
agenouillés ont longtemps prié Dieu ; Enfin, rasa
solé. Non, Plô-Goff n’aura pas deux fois un tel spectacle ! Tous les
gens
du pays vinrent criant miracle ! Attroupés sur le
leur contour, Un regard effronté qui provoque et défie L’horreur des
gens
de bien, dont il se glorifie, Le pas brusque et c
de consolant que le témoignage de sa conscience et l’approbation des
gens
de bien, rien de honteux que le vice. C’est la ve
), Le Sage essayait avec un rare bonheur la comédie de caractère. Les
gens
de finance étaient un sujet neuf au théâtre. Moli
Blas, je te conseille en ami de ne plus te jouer aux moines : ce sont
gens
trop fins et trop rusés pour toi. » Gil Blas, li
, plein même de dépit jusqu’à l’aveu que lui en entendirent faire les
gens
du Parlement sur son testament, et tôt après eux
e put être méconnu par ce qu’il dit et à la reine d’Angleterre et aux
gens
du Parlement, qu’il avait acheté son repos ; et q
ient de préférence à tout ; que c’était avec douleur qu’il voyait des
gens
(ce fut le mot dont il se servit), qui lui étaien
qui les occupaient se fortifièrent de plus en plus. On ne voyait que
gens
oppressés et dans une surprise qui les accablait,
u de paroles jeta dans l’assemblée est inexprimable. Je crus voir des
gens
poursuivis de toutes parts et surpris d’un ennemi
ste du discours. Villars, Besons, Effiat, ployèrent les épaules comme
gens
qui ont reçu les derniers coups : je ne pus voir
es nuits il se levait seul et travaillait ainsi plusieurs heures. Des
gens
qui ignoraient cette coutume étaient souvent très
imagination brillanté131. La manie de parler de soi. J’ai vu des
gens
chez qui la vertu était si naturelle qu’elle ne s
ités, il semblait qu’elles n’avaient pas percé jusqu’à eux. Voilà les
gens
que j’aime ; non pas ces hommes vertueux qui semb
qui déshonorerait les plus grands hommes ? Je vois de tous côtés des
gens
qui parlent sans cesse d’eux-mêmes ; leurs conver
s. Nous n’entrons pas dans des disputes qui ne « conviennent qu’à des
gens
oisifs, et nous voulons offrir « des prières et n
Vous commencez par comparaître devant l’aréopage de vingt comédiens,
gens
dont la profession, quoique utile et agréable, es
eillissez dans l’opprobre et dans la misère. Les places destinées aux
gens
de lettres sont données à l’intrigue, non au tale
blées, et que, dans l’autre moitié, il se trouve à peine huit ou neuf
gens
de lettres qui soient assidus197. L’Académie est
ction est réelle. On pourrait mettre sur la tombe de presque tous les
gens
de lettres : Ci-gît, au bord de l’Hippocrène, Un
vous, et puis songez à vos amis ; buvez du vin de Champagne avec des
gens
aimables ; mais faites quelque chose qui vous met
n’ont eu que la persécution pour récompense, je vous ferais voir des
gens
acharnés à me perdre du jour que je donnai la tra
umain que quelques frelons pillent le miel de quelques abeilles ? Les
gens
de lettres font grand bruit de toutes ces petites
testable assassin que dans le temps où il fut privé de la société des
gens
de lettres. Avouez que Pétrarque et Boccace ne fi
tre et prévenant pour ses seuls amis, il ne fait aucune attention aux
gens
indifférents, et se déclare contre ceux qui, par
sse ; ni même les défauts qu’y remarqueront peut-être de plus habiles
gens
que moi, mais les déplaisirs qui troublent en cet
lorsqu’elle blesse, ou pour la pratiquer sans qu’elle offense. Peu de
gens
ont assez de fonds pour souffrir la vérité et pou
ires, les censeurs, et tout ce qui s’attache à la peau des malheureux
gens
de lettres achevaient de déchiqueter et de sucer
est vrai que monsieur ait apporté chez moi une lettre, auquel de nos
gens
l’a-t-il remise ? » — « A un jeune laquais blondi
je me suis mal expliqué. Comme en vous mariant il est naturel que vos
gens
aient quitté votre livrée pour ne plus porter que
and il la croit juste, mais honorant hautement et sans envie tous les
gens
qu’il reconnaît supérieurs ; confiant sur ses int
n ne sait pas dépenser son talent dans la conversation ; et si peu de
gens
, même parmi les plus distingués, ont l’habitude d
re qu’aux environs de mon ermitage. J’ai vu dans les hautes Alpes ces
gens
qui vivent de lait et ignorent l’usage du pain ;
nt à moi, que je meure par la main du bourreau ou par la furie de ces
gens
-là, si cela peut leur plaire, rien ne m’est plus
ion, se réunirent pour prier et chanter des litanies, pendant que les
gens
de guerre préparaient leurs armes. Ceux-ci, après
mée se divisa en trois colonnes d’attaque : à la première étaient les
gens
d’armes venus des comtés de Boulogne et de Ponthi
ent pour conquérir « ce royaume que je suis venu ici d’outre-mer. Les
gens
de « ce pays, vous ne l’ignorez pas, sont faux et
l n’en continua pas moins de commander et de combattre. L’attaque des
gens
de pied et de cheval recommença de près, aux cris
sse, au fond de laquelle avait été dressé l’échafaud, on refusa à ses
gens
la consolation de l’accompagner plus longtemps. M
s ; les procès en seront moins longs… Je briderai, comme il faut, ces
gens
du Parlement Je mettrai une grande police dans l
r de René, que le roi avait fait son lieutenant à Paris, assembla les
gens
de la ville, et fit voter des remontrances. Le Pa
des parlementaires n’est pas bien sûre. Ce qui l’est, c est que leurs
gens
, tout le peuple de robe recommençait dans Paris l
s’écrie avec un orgueilleux dépit : Tandis que moi, morbleu ! que de
gens
se disent aussi : Et nous, morbleu ! Ce moi, morb
de talent553. C’est aux époques où l’on écrit beaucoup qu’il y a des
gens
de talent qui écrivent fort mal. L’histoire de Pe
en-être par une fortune rapide. Nous ne manquons pas de connaître des
gens
qui y sont parvenus : c’est presque une foule. Re
rôle de plaisant connaissez la misère. J’ai rencontré souvent de ces
gens
à bons mots, De ces hommes charmants, qui n’étaie
en est toujours bien. J’ai vu d’autres méchants d’un grave caractère,
Gens
laconiques, froids, à qui rien ne peut plaire. Ex
ncourage encore. Mais convenez aussi qu’avec ce mauvais ton, Tous ces
gens
dont il est l’oracle et le bouffon Craignent pour
ur du cœur est dans la confiance. Un commerce de suite avec les mêmes
gens
, L’union des plaisirs, des goûts, des sentiments,
M. de Sacy, en 1869, le recevait à l’Académie française : « Bien des
gens
, lui disait-il, ne connaissent pas M. Barbier : l
et l’heure ; Et la stupide oublie, au fond de leur demeure, Tous les
gens
de béquille, et qui n’en peuvent plus, Les porteu
la passe, Et ne peut la trouver ; et ces derniers signaux, Connus des
gens
de mer, ont traversé les eaux. Lutte affreuse ! L
lle écus : Le cœur vivait alors, et l’on t’eût bien fait rire, Si des
gens
clairvoyants étaient venus te dire Qu’il pourrait
tant moins glorieux, d’autant plus méritoire, Fi ! C’est bon pour des
gens
médiocres. — Mon cher, Écoute bien ceci : c’est l
rencontrent sous le balcon ! Dès ce premier dialogue, il y avait des
gens
qui vous disaient alors qu’il y avait trop d’espr
e d’une maison garnie qui fournissait des bains de toutes sortes. Les
gens
de bonne société, de passage à Paris ou à Versail
lein de profondes fendaces, incapable d’y recevoir nulle conduite des
gens
de guerre en ordonnance ; le terroir nu, sans arb
gricola, ch. xxx) : « Nune terminus Britanniæ patet : nulla jam ultra
gens
: nihil nisi fluctus et arma. » 480. Flèches cou
plate amitié, dont on fait tant de cas, Ne vaut pas les plaisirs des
gens
qu’on n’aime pas. Être cité, mêlé dans toutes les
issante, l’ont fortifiée. Leur opinion est une autorité pour bien des
gens
, ou méchants, ou trompés, qui, si j’avais sévi co
s décrets, tel sera le courage des chevaliers et l’accord de tous les
gens
de bien, qu’à peine Catilina sorti de Rome, vous
utable remis entre mes mains, l’intérêt de la république. Mais que de
gens
, songez-y bien, ne croyaient pas aux complots que
en justice, plutôt que d’abandonner le drapeau de la conjuration, de
gens
enfin, auxquels il me suffirait de montrer, non p
s’attendre aux châtiments qu’ils méritent. VI. Mais il y a des
gens
, Romains, qui prétendent que j’ai pris sur moi d’
menaces du consul : voilà ce que l’on dira, et il ne manquera pas de
gens
qui, s’il prend ce parti, verront en lui, non pas
cesser le combat qui s’engageait. Toutes les lettres trouvées sur les
gens
du cortège sont remises, avec les cachets intacts
temps à autre, ils échangeaient à la dérobée, on eût dit, non pas des
gens
que d’autres accusent, mais des coupables qui se
sont désormais dans l’impuissance de me faire du mal. J’ai, dans les
gens
de bien, une sauvegarde efficace, qui m’est assur
oyens, je le vois ; mais, fort de votre appui et de celui de tous les
gens
de bien, fort du souvenir de tant de périls, souv
échant, quand il est présent, ont plus de force que la protection des
gens
de bien qui sont absents ? Ce dernier trait ne ca
age des Agrigentins, et l’intervention de plusieurs citoyens romains,
gens
honnêtes et pleins de bravoure, qui vivent très u
vez point respecté ce que n’ont osé ni profaner, ni même toucher, des
gens
plus portés en tout au crime qu’à la religion ? E
nt, non l’ouvrage d’un ennemi qui observe dans la guerre le droit des
gens
et de la religion, mais celui des pirates les plu
t non une capture de pirates, traite en ennemis les vieillards et les
gens
difformes ; mais ceux qui ont ou de la jeunesse o
celui qu’il voulait faire passer pour chef des pirates, une foule de
gens
y chercheraient le véritable : il n’osa donc le c
happé, s’il avait ramassé contre le peuple romain quelques troupes de
gens
armés, diriez-vous : Il a demeuré chez moi, je le
rce que c’est un lieu pour la défense duquel il suffit de très peu de
gens
: il ne voulut donc pas en abandonner la garde à
le commerce dans la Sicile, pressé par le témoignages des Valentins,
gens
d’honneur, de tous les habitants de Rhégium, de p
intentée, je puisse désormais consacrer mes travaux à la défense des
gens
de bien plutôt qu’à la poursuite des méchants.
erait de le leur mettre entre les mains imprimé. D’un autre côté, des
Gens
de lettres ont pensé que la jeunesse, et même les
dre d’une manière plus courte et plus vive les rudes épreuves que les
gens
de bien ont à essuyer dans la prospérité ? Elle l
laît pas de déplorer la vie ; ce que beaucoup de personnes et même de
gens
instruits ont fait souvent. Erant in Torquato plu
ersion. Ubi sunt isti qui iracundiam utilem dicant ? Cic. Où sont ces
gens
qui peuvent dire que la colère est utile ? XXX
fons à naturâ constitutus. La bienveillance est nécessaire entre les
gens
de bien ; c’est une source d’amitié établie par l
e evenerit. Cic. Je ne finirais point si je voulais énumérer tous les
gens
de bien qui ont été malheureux. Quid ego his test
ur emolumentis, neque ea volunt ponderari honestate. Cic. Beaucoup de
gens
pèsent toutes choses au poids de l’intérêt et ne
riare aliquis ! C’est une opinion assez généralement reçue parmi les
gens
de lettres, que la prose de M. de La Harpe est in
t aimer. Le succès de son ouvrage eût alors été incontestable, et les
gens
de lettres eussent applaudi au talent, comme les
genre excita lui-même de nombreuses et vives contestations parmi les
gens
de lettres ; nous ne les réveillerons point ici :
poétique, I.) 1. En détournant les acceptions « L’on voit des
gens
qui, dans les conversations… vous dégoùtent… par
pas exprimer les passions par le seul effort de la voix ; beaucoup de
gens
, en criant et eu s’agitant, ne font qu’étourdir.
a guerre plaisants et agréables aux hommes guerriers, abominables aux
gens
de bien et détestables devant Dieu. » 1. Cito
u un soupir. Ceux qui l’ont connue la pleureront toujours, et tant de
gens
qui, sans la connaître, entendaient de tous côtés
que ma lettre l’introduise auprès de vous. N’est-ce pas se moquer des
gens
? Vous savez l’estime et l’amitié que j’ai pour l
qu’à ce que les actions les détruisent. On trouve quelquefois que les
gens
qu’on croit ennemis ne le sont point ; on est alo
ous et Mme votre épouse, vous avez, pour toute réponse, ordonné à vos
gens
de la chasser. J’ai tâché de consoler la bonne fe
ducation ; je lui ai prouvé que ce ne serait pas la peine d’avoir des
gens
, s’ils ne servaient pas à chasser le pauvre, quan
ractère était doux, ses manières simples ; il aimait à vivre avec les
gens
de sa cour. Ou ne dira plus qu’un mot : il ordonn
t ce qui la rend suspecte. LOUIS XI. Pourquoi faut-il qu’il y ait des
gens
qui aient la démangeaison d’écrire ! il faut lais
ns lorsque je parlais tout seul, toutes mes intrigues avec de petites
gens
. On dit que vous avez parlé du crédit de mon prév
? MOLIÈRE. J’assemblais dans un certain lieu le plus grand nombre de
gens
que je pouvais, et là je leur faisais voir qu’ils
ce après lui. SCAPIN. La justice en pleine mer ! Vous moquez-vous des
gens
? GÉRONTE. Il faut, Scapin, il faut que tu fasses
cents livres se trouve dans le pas d’un cheval ? SCAPIN. Ce sont des
gens
qui n’entendent point de raisons. GÉRONTE. Mais q
pprochez… que je suis ravi de vous voir ! et que je veux de mal à mes
gens
de ne vous avoir pas fait entrer d’abord ! J’avai
isse M. Dimanche dans une antichambre, et je vous ferai connaître les
gens
... M. DIMANCHE. Monsieur, cela n’est rien. DON JU
nde-t-il toujours aussi fort, et mord-il toujours bien aux jambes les
gens
qui vont chez vous ? M. DIMANCHE. Plus que jamais
, un flambeau pour conduire M. Dimanche, et que quatre ou cinq de mes
gens
prennent des mousquetons pour l’escorter. M. DIMA
, malgré ses griffes qui la déchirent et font ruisseler son sang. Des
gens
armés accourent de toutes parts, et le tigre est
Ne sentez-vous pas le vent qui souffle ? la bise est rude aux pauvres
gens
, le froid jette partout son manteau de glace ; j’
rant un corps d’infanterie royale que rien n’avait pu entamer : « Ces
gens
-là sont donc inabordables ? les avez-vous chargés
rnaient à jeun à l’étable. Au bout de douze ans, la ruine des pauvres
gens
fut complète, au grand étonnement d’Azaël, qui cr
tôt cent personnes entourent le monarque. Lorsque le roi vit tous ses
gens
réunis, il se tourna vers les quatre bandits rest
nation lui était comme une agréable compagne de la solitude… Bien des
gens
riront de lui, mais il était un peu comme moi, il
ine. Un jour je voyageais en Calabre ; c’est un pays de méchantes
gens
qui, je crois, n’aiment personne, et en veulent s
omettre de ce qui pouvait nous perdre, il fit le riche, promit à ces
gens
pour la dépense, et pour nos guides le lendemain,
medi à deux heures, après avoir mangé ; et, comme il y avait bien des
gens
avec lui, il les laissa tous à trente pas de la h
ns ce moment le cheval s’arrête, le héros tombe entre les bras de ses
gens
; il ouvre deux fois deux grands yeux et la bouch
onde : je vole chez mon ambassadeur je m’éveille et cours avertir les
gens
de sa suite. On met les chevaux à la voiture et n
t enfuis jusqu’à Zurich. Presqu’en même temps qu’eux y arrivaient les
gens
de Wolrau, déjà instruits du meurtre de l’ermite,
ou ceux mêmes que nous avons tenus enfermés si lâchement à Paris, ou
gens
qui ne valent pas mieux, et qui auront plus d’aff
s méchants ; les Champs-Élysées, ce séjour délicieux destiné pour les
gens
de bien, ne suffiront pas pour ma récompense. Apr
leur ôter, sans encourir le juste reproche d’avoir violé le droit des
gens
, et d’avoir déshonoré notre victoire par une barb
’avec un air assuré il s’avance pour recevoir la parole de ces braves
gens
, ceux-ci, toujours en garde, craignent la surpris
ère sans interruption que demande saint Paul : prière que beaucoup de
gens
de piété s’imaginent être impraticable, mais dont
ffense passagère » ! (Sermon du pardon des offenses). Sans doute les
gens
qui se piquent de répondre à tout, et qui ont sur
urs temples, D’avarice qui va jusques à la fureur. Rien ne suffit aux
gens
qui nous viennent de Rome : La terre et l
e et que le vice : Les Germains comme eux deviendront
Gens
de rapine et d’avarice. C’est tout ce que j’ai vu
, une bourse assez large et profonde Il leur déploie, et leur dit : «
Gens
de bien, Ouvrez vos yeux ; voyez, y a-t-il rien ?
eigneurs et magistrats, Trouvent souvent sur leur passage Des
gens
qui leur rendent hommage, Cela ne me surp
siques qui le pense et qui ose le dire. Prenez les plus connus de nos
gens
de lettres actuels, et transportez-les dans le mi
s les siècles où la littérature n’était qu’un plaisir délicat, et les
gens
de lettres que les amuseurs du grand monde ? Ne f
συγϰείμενος. Ce sens du mot φορτιϰός se trouve déjà dans Platon. Des
gens
meilleurs.] La déclamation et l’action théâtrale
se au logis de gâté, On ne s’en prenait point aux
gens
du voisinage ; Bertrand dérob
Avait, depuis plus de cent ans, Produit pour l’usage des
gens
, Il retourne chez lui : dans sa cave il enserre
la leur ôter sans encourir le juste proche d’avoir violé le droit des
gens
, et d’avoir déshonoré notre victoire par une barb
d’hommages qui leur ont été rendus jusqu’à notre époque par tous les
gens
éclairés et sensibles, n’ait suffit pour établir
uint à Jan Dodin recepueur15 du Couldray, au gué de Vede16, quand les
gens
d’armes rompirent les planches17. Rencontrant sur
feis10 à ce patelinage11. (Livre III, ch. xxxiv.) 1. Interdit aux
gens
d’Église. 2. Il fut docteur le 22 mai 1537. 1.
a lui-même approuvé ma petite dissertation polémique. Voilà comme les
gens
de lettres devraient se combattre ; voilà comme i
, on fait des couplets. Il est plaisant qu’il soit permis de dire aux
gens
par écrit ce qu’on n’oserait pas leur dire en fac
st pour vous faire ou requeste ou demande : Je ne veulx point tant de
gens
resembler39, Oui n’ont soucy autre que d’assemble
……………………………………………… De jour en jour une campaigne verte Voit on icy de
gens
toute couverte, La pique au poing, les trenchante
rs une bourse assez large et profonde Il leur desploie, et leur dit :
Gens
de bien, Ouvrez vos yeux, voyez, y a t il rien ?
e chapeau Ne lui flamboya au chef, si allant au chasteau Une suite de
gens
sa trace ne talonne ; Il vit heureusement, et la
rouver, au demeurant, Fausses raisons pour rabattre à toute heure Des
gens
d’honneur la fortune meilleure397, En élevant le
e ambition se tient close et fermee. Ni devant, ni derriere il n’a de
gens
au guet, Il marche en tous endroits, sans craindr
e à l’envers retournee443 ; Et dans sa basse cour grand nombre de ses
gens
, Chacun diversement s’employer diligens, D’ailleu
contraint, sans rien faire, en Flandre rebrosser483 ; Il a perdu ses
gens
, son temps, sa renommee, Henry, nostre grand roy
s et de ses travers en les justifiant et en riant de ceux des autres,
gens
de cour et gens de ville. Il a une satire (VIe) c
ers en les justifiant et en riant de ceux des autres, gens de cour et
gens
de ville. Il a une satire (VIe) contre l’honneur
mesprisée, Sert au peuple de fable, aux plus grands de risée ; Si les
gens
de latin des sots sont dénigrez, Et si l’on est D
re un marjollet564, qui dit avecq’ mespris, « Ainsi qu’asnes, ces
gens
sont tous vestus de gris, Ces autres, verdelets,
d’aparence. Depuis aux bons sergens j’ay porté reverence, Comme à des
gens
d’honneur par qui le ciel voulut Que je receusse
s sobres et les intempérants, se place le groupe des beaux esprits et
gens
d’esprit de cour et de ruelles : à leur tête le b
âge ! Vous n’avez pas chez vous ce brillant équipage, Cette foule de
gens
qui s’en vont chaque jour Saluer à longs flots le
n me dit là-dessus : De quoi vous plaignez-vous ? De quoi ? Voilà mes
gens
aussitôt en courroux ; Ils se moquent de moi, qui
autres talens, l’ode, qui baisse un peu, Veut de la patience, et nos
gens
ont du feu894. Malherbe avec Racan895, parmi les
se condense toujours à un moment donné dans le langage de ces sages,
gens
de cœur et de tête qui parlent d’or, les Ariste,
age personne D’un porteur de huchet906 qui mal à propos sonne, De ces
gens
qui, suivis de dix hourets907 galeux, Disent, ma
sse Qui fait dire souvent ce qu’on ne pense pas. Je hais, je fuis ces
gens
qui font les délicats, Dont la fière grandeur d’u
s point. LE COMTE. Les
gens
de ma naissance Sont un peu délicats sur les dist
plate amitié, dont on fait tant de cas, Ne vaut pas les plaisirs des
gens
qu’on n’aime pas : Être cité, mêlé dans toutes le
m’ennuie, Je m’établis ailleurs, me moquant au surplus D’être haï des
gens
chez qui je ne vais plus : C’est ainsi qu’en ce l
se bien l’agrément qu’on y peut rencontrer : Trouver à chaque pas des
gens
insupportables, Des flatteurs, des valets, des pl
re fixé, Qui n’est ni complaisant, ni valet de personne, Que tous ces
gens
brillans qu’on mange, qu’on friponne, Qui, pour v
rôle de plaisant connoissez la misère. J’ai rencontré souvent de ces
gens
à bons mots, De ces hommes charmans, qui n’étoien
ien est toujours bien. J’ai vu d’autres méchans d’un grave caractère,
Gens
laconiques, froids, à qui rien ne peut plaire. Ex
sé ! Le plus stupide obtient la même réussite : Hé ! pourquoi tant de
gens
ont-ils ce plat mérite, Stérilité de l’âme et de
ncourage encore. Mais convenez aussi qu’avec ce mauvais ton, Tous ces
gens
dont il est l’oracle et le bouffon Craignent pour
ur du cœur est dans la confiance, Un commerce de suite avec les mêmes
gens
, L’union des plaisirs, des goûts, des sentimens,
moler l’une à l’autre Chaque société, diviser les esprits, Aigrir des
gens
brouillés, ou brouiller des amis, Calomnier, flét
ouble échec dans les concours de l’Académie, par le froid accueil des
gens
de lettres en renom, par les sévérités de La Harp
eux, le Vieux Vagabond), philosophiques (Louis XI, le Dieu des Bonnes
Gens
, les Étoiles qui filent), — pour laisser de côté
, Qui se mêle au bruit des verrous Si la philosophie de ses « Bonnes
Gens
» manque d’élévation, leur poésie a de la nobless
majesté, Malgré les saintes lois de l’hospitalité, Malgré la foi des
gens
et la foi réclamée, Dans les murs d’un cachot vou
s en levez deux mille Sur d’honnêtes bourgeois, et de ma bonne ville,
Gens
que j’estime fort, pensant bien, payant bien. Reg
pique. Un navire y passait majestueusement ; Il a vu la bouteille aux
gens
de mer sacrée ; Il couvre de signaux sa flamme di
J’exècre les railleurs : Un bon mot n’a jamais rendu les
gens
meilleurs. Je parle sérieux et me contiens à pein
sonnages qui figurent dans les mascarades ou danses exécutées par des
gens
déguisés et masqués. — Marot n’en écrivit point.
de glu. D’où prendre à la pipée. — Gentil, noble, généreux, de rare (
gens
, gentis, generosus). 232. Verbe formé comme pind
que de bonne bourgeoisie ? (Bourg, Gentil., III, 12.) Vous voyez des
gens
qui entrent sans saluer que légèrement. (La Bruyè
topée exclamative. On dit huer le loup. 435. Une nombreuse troupe de
gens
. 436. Hure, tête hérissée, d’homme ou d’animal.
blia, étaient, qui magistrat, qui abbé, etc. 446. Gentil, généreux (
gens
, genus). 447. Proprium huinani animi est odisse
n’est pas un éléphant (VIII, 15). Une servante vient : adieu, mes
gens
. Raton N’étoit pas content, ce dit-on (IX, 17),
bien les fâcheries et les épigrammes du grondeur Boileau. 882. À des
gens
que rien ne touche ni ne convainc. Saint-Simon :
e goût, les yeux se contentoient, Je pris un peu de courage, Pour nos
gens
qui se battoient. SOSIE, bas, à part. Cette preuv
e duc de Louraguais, à débarrasser la scène des bancs occupés par les
gens
de cour. — Il essaya des réformes plus profondes.
ur laquelle elle n’est pas faite ; — le valet Pasquin, qui envers les
gens
mal mis et les laquais copie la morgue de son maî
r ce qu’on vaut ! (III, 6.) Que ces
gens
inconnus Sont fiers ! Voilà l’orgueil de tous nos
r les dents sans offenser ; J’ai vu des poignards admirables Tuer les
gens
sans les blesser. J’ai vu, ce qu’on ne pourra cr
il ! Adieu donc. — De nous deux Dieu sait quel est le juste. Avec les
gens
de cour, vos pareils, don Salluste, Je vous laiss
rer dans la réalité, trop souvent grossière et pénible, de la vie des
gens
de la campagne : rien n’est moins heureux ni moin
s la maison et dans la confidence d’un Prince, qui ne choisit que des
gens
de mérite ; quand il se persuade que vous voulez
mort : après trois mois d’une conduite toute miraculeuse, et que les
gens
du métier ne se lassent pas d’admirer, vous n’ave
tous la conviction de son crime, je soulevais contre moi une foule de
gens
intéressés à m’empêcher de poursuivre ses complic
te la fleur et la force de l’Italie contre cette misérable poignée de
gens
échappés au naufrage de leurs propres fortunes. V
rgne au moins notre propre sang, et qu’on n’aille pas perdre tous les
gens
de bien, pour épargner quelques scélérats. » Césa
éparties entre plusieurs journées. Aristote parle évidemment pour des
gens
qui savaient toutes ces choses. Ce n’est peut-êtr
ps, aux âges les plus reculés comme de nos jours, il se rencontra des
gens
qui eurent plus ou moins de facilité à s’exprimer
s embûches pour attenter à notre vie : la loi naturelle, le droit des
gens
, maints exemples, tout le prouve ; or Clodius a t
’auditoire est froid et calme, ressemble à un homme îvre au milieu de
gens
à-jeun ; vinolentus inter sobrios , dit Cic. (Or
l’ennemi, les privilèges sacrés des ambassadeurs, violé le droit des
gens
. Le divin Jules, d’un seul mot, comprima la sédit
uées dans la ville, ni l’effroi du peuple, ni le concours de tous les
gens
de bien, ni cette enceinte si redoutable où siège
rque et désigne de l’œil ceux de nous qu’il voue à la mort ! Et nous,
gens
de cœur, nous croyons assez faire pour la républi
entendent pas toujours, et c’est une monnaie qui n’a plus cours entre
gens
de bon ton. S’il est à propos, toutefois, de lire
dirait pas que l’ouvrage les fatigue. Tel est le sort de ces pauvres
gens
: une vie dure et laborieuse. Cependant, après le
es que je prends ? Et que vous revient-il des vôtres,
Gens
importants, gens affairés, Qui, dupes de vos soin
? Et que vous revient-il des vôtres, Gens importants,
gens
affairés, Qui, dupes de vos soins et tous les jou
tion ou l’antithèse qui ne serait qu’un jeu de mots, est puéril : les
gens
de mauvais goût seuls peuvent en être éblouis. Ma
aïf, en lui fournissant les moyens « d’entretenir aux études quelques
gens
de lettres, de régaler chez lui tous les savants
le formule : La fable montre que… ou bien : La fable s’adresse aux
gens
qui… En somme, ce recueil de fables n’a guère d’
ontaine fait une petite comparaison piquante ; Le monde est plein de
gens
qui ne sont pas plus sages ; Tout bourgeois veut
équence ; ce sont les formules d’un homme qui ne veut pas heurter les
gens
de front ; Philinte cherche aussi, en faisant la
sure de ses besoins, car il serait chimérique de remettre au goût des
gens
éclairés ou aux décisions de l’Académie le choix
e, tire ses sujets de l’histoire et n’admet comme personnages que des
gens
de haut rang ou d’une célébrité reconnue ; son bu
i sont d’ordinaire les moins recherchées et qu’on laisse aux pages et
gens
du même bord n’étaient occupées que par des perso
que leur conversation est remplie de si beaux sentiments que bien des
gens
n’ont pas remarqué ce défaut, et que ceux qui l’o
t vous l’accusez de charme et d’enchantement : je connais beaucoup de
gens
qui feraient vanité d’une telle accusation ; et v
ncèrement à cesser vos attaques contre le Cid ; croyez-moi, nombre de
gens
ne le persécutent, aujourd’hui, que pour faire le
juste assez à l’aise pour ne pas étouffer. On affirme qu’une foule de
gens
se trouvaient encore à la porte quand on a commen
ts. Si vous allez par le chemin du bel esprit, vous trouverez ici des
gens
, qui en mettront plus dans un seul couplet de cha
Mercuriales, discours dans lesquels le premier président, ou l’un des
gens
du roi s’élève contre les abus et les désordres q
e voudra l’éloquence et la poésie, et traite les habiles écrivains de
gens
inutiles dans les états, nous ne craindrons point
ses opposées, qu’un traité qui fera la destinée des nations. Quelques
gens
de lettres sont incapables de ce qu’on appelle le
la syllepse du genre, du nombre et de la personne. Ex. : Les vieilles
gens
sont soupçonneux. Tout le peuple au-devant cour
de la France, et lui dit : Je sais bien qu’il n’importe guère à des
gens
qui n’ont plus ni conscience ni foi, de ruiner le
sont fermées. Où iront-ils puiser ? Ils ne trouveront partout que des
gens
qui se détournent, des barrières qui les arrêtent
effroyable De leur concorde impie, affreuse, inexorable, Funeste aux
gens
de bien, aux riches, au sénat, Et, pour tout dire
ême et que ses châtiments commencent à nous changer. Nous serons tous
gens
d’honneur, et nous courrons après la gloire, comm
1. On dit d’un vieil avocat ou médecin : c’est un praticien. 2. Les
gens
amis de la chicane. 3. D’une aiguille (d’acucla,
’avec un air assuré il s’avance pour recevoir la parole de ces braves
gens
, ceux-ci, toujours en garde, craignent la surpris
e ingénieuse et forte d’où est sortie notre France : Duas res gallica
gens
industriosissime persequitur, rem militarem et ar
sur une matière en apparence épuisée depuis si longtemps. Oui, si les
gens
sensés, les seuls dont l’opinion puisse être de q
s lettres de bonne année, vous avez envie de souhaiter du malheur aux
gens
, pour éviter la monotonie. Mais vous ne pouvez co
t pas ma litière, que mes mulets tomberaient dans les fossés, que mes
gens
seraient mouillés et hors d’état de me secourir,
un homme d’esprit pour les sots qui l’admirent, c’est un sot pour les
gens
sensés qui l’évitent. Mais si vous connaissiez bi
nce est immense. — Par. Qu’en faisiez-vous ? — Mol. Je réunissais les
gens
et leur prouvais qu’ils étaient des sots. — Par.
rès de lui de l’avoir fait attendre ; l’ordre qu’il avait donné à ses
gens
de ne recevoir personne n’était pas pour lui. Il
que vous avez en ce moment l’empire sur ces richesses et sur tous les
gens
qui entourent votre trône. Mais il faut que vous
u berger, l’on peut dire Qu’il était digne de tous maux, Etant de ces
gens
-là qui sur les animaux Se font un chimérique empi
, ni des autres puissances, Les moins pardonnables offenses, Tous les
gens
querelleurs jusqu’aux simples malins Au dire de c
rfax tue de sa main un porte étendard et remet le drapeau à un de ses
gens
, qui se vante de cet exploit, comme s’il était le
rugissements de l’ours arrive dans le verger. Désespoir de ces braves
gens
. Désolation de la femme de Guillaume. Avis. Voil
il fera son portrait pardessus le marché — … Etonnement de ces braves
gens
. — Le chevalier termine sa lettre en disant à sa
r conserverait la vie ; la leur ôter, ce serait insulter au droit des
gens
et déshonorer la victoire, qui rend d’ailleurs mo
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