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1 (1872) Recueil de compositions françaises pour préparer au discours latin les candidats au baccalauréat ès-lettres. Première série
qu’Antigone notre ennemi l’a ambitionné en vain au milieu de tant de guerres et de combats ? Eh quoi ? N’était-ce pas un assez
sous le poids de ses maux intérieurs, ou qu’il ne fût épuisé par les guerres étrangères. » Traduit de Paulus Æmilius, histori
n’en sont pas moins des brigands. Quelle est pour eux la cause de la guerre  ? Leur unique but est de piller les temples, de d
mené par la main au travers des naufrages, des terres inconnues, des guerres sanglantes et de tous les maux qui peuvent éprouv
poser son plan et son but. « Soldats, vous qui avez été associés aux guerres que j’ai entreprises, qui avez bravé avec moi les
donc, si nos drapeaux étaient tombés aux mains des ennemis, après des guerres malheureuses, et si les farouches peuplades de la
ffet, si vous étouffez par votre valeur ce qui reste des germes de la guerre , si vous étendez jusqu’à l’Océan les frontières d
lâchement assassiné par les ordres de Ptolémée XII. Survint alors la guerre d’Alexandrie, puis celle contre Pharnace, résumée
e L’Isle Adam, après avoir préparé toutes les choses nécessaires à la guerre , et pris toutes les mesures de précaution, convoq
inspirer ni ravir le courage. » Traduit de Jac. Fontanus de Bruges ( Guerre de Rhodes). XVI. L’Isle Adam aux habitants de
des circonstances les plus difficiles et des chances si variées de la guerre  ; faites voir à l’Espagne, à la France, à l’Itali
aiguillon, un stimulant. « Craignez-vous d’affronter les périls de la guerre  ? Mais le plus grand malheur n’est-il pas de voir
e ? Mais les souvenirs des temps passés, les chances si variées de la guerre prouvent assez que la victoire n’est pas toujours
entier sera désarmé. Mais quels sont-ils ces hommes qui préparent la guerre , qui osent affronter les glaives de César vainque
l’Afrique ? Allez, compagnons d’armes, allez, et couronnez toutes vos guerres par un succès éclatant. » Traduit de Thomas May
és ou de toi, ou de leur patrie ? Pour moi, je n’attendrai pas que la guerre m’impose cette cruelle condition, de mon vivant ;
eras seul responsable devant les deux nations. Sans doute l’issue des guerres est toujours douteuse ; mais ce qui est bien cert
« Compagnons d’armes, « Il faut changer complètement notre système de guerre  : ce qu’il y a de plus urgent est d’interdire aux
nce, parce que les peuplades sur les frontières desquelles se fait la guerre , sont disposées à vous venir en aide. Quant aux R
u de les tuer ou de les dépouiller de leurs bagages, sans lesquels la guerre est impossible. Il faut incendier toutes les plac
ort qui malheureusement est réservé aux vaincus. » Traduit de César ( Guerre des Gaules). XXIV. Un évêque fait l’éloge des
n que vous ayez plus de force pour étouffer les derniers germes de la guerre , si par hasard il en subsiste encore. On se plair
térité imitera le vôtre. Espérez le succès dans l’achèvement de cette guerre , comptez sur la protection de l’Être suprême, si
tance et donnera lieu à de fâcheuses présomptions pour l’avenir de la guerre . » Alexandre répliqua : « Je comprends et j’appré
ait une proposition tendant à conférer à Pompée le commandement de la guerre contre les pirates. Pompée, bien que brûlant du d
ux. Avez-vous oublié toutes les souffrances que j’ai endurées dans la guerre contre Cinna, étant encore bien jeune ? Combien j
ne périsse pas épuisé de fatigue. Chargez donc un autre général de la guerre contre les pirates ; parmi ceux qui sont plus jeu
seul qui vous aime, je ne suis pas le seul qui ait l’expérience de la guerre  ; mais il y a un tel et un tel qui sont assurémen
n faveur des prisonniers Athéniens. [Première partie (exorde).] La guerre du Péloponnèse, écrite par Thucydide, et qui dura
a part (et elle n’est pas faible assurément) dans les malheurs que la guerre actuelle a causés. Père de deux fils, je n’ai pas
lle a accablé de calamités inattendues ceux qui avaient entrepris des guerres injustes, et qui n’ont pas su supporter, comme il
envahi la Sicile avec deux cents galères, et avoir envoyé pour cette guerre plus de quarante mille soldats, éprouveraient d’a
ait tous ses efforts pour dissuader ses concitoyens d’entreprendre la guerre , et a entouré de soins les Syracusains qui ont sé
aitement rigoureux, et si, au contraire, Alcibiade, l’auteur de cette guerre désastreuse, échappe à notre vengeance et à celle
pleurent eux aussi des enfants ayant succombé dans le cours de cette guerre  ! » À ces mots, un frémissement se répandit parm
ici la ruine et la désolation ? Puisqu’ils ont voulu entreprendre une guerre injuste, qu’ils en supportent les disgrâces sans
éduire les habitants en esclavage. N’est-il pas indigne d’apporter la guerre chez des peuples qui n’ont rien fait pour la prov
ause des Syracusains, et qui ait dissuadé ses concitoyens de faire la guerre  ! Bien : nous entendons ce qui a été dit à Athène
disposé si favorablement à votre égard, il a ordonné de continuer la guerre , d’y persévérer, quand Démosthène et les autres g
rté des secours sans hésitation ? Ne se sont-ils pas associés à cette guerre , uniquement par intérêt pour vous ? Et cela, quan
mon fils, réclame pour toi cette gloire ! Fais serment d’allumer une guerre qui portera la ruine chez les Latins. Puisse la j
longue paix, nous avons été dispersés par les premières fureurs de la guerre  ; maintenant, les membres désunis reprennent leur
al. Enfin on ne peut douter qu’il ne soit plus avantageux de faire la guerre dans un pays étranger que dans le sien, et nous a
engage les Lacédémoniens à user de modération et à ne se décider à la guerre contre Athènes qu’après un mûr examen. Première p
Première partie. « Lacédémoniens, j’ai déjà l’expérience de bien des guerres , et j’en vois plusieurs parmi vous qui, ayant le
un grand nombre de citoyens, qui, étant peu expérimentés, désirent la guerre , se figurant qu’elle est avantageuse et sans dang
que la plupart habitent des îles. Quelle sera donc la nature de cette guerre  ? Si nous n’avons pas la supériorité sur mer, si
hostilités. » Traduit de Thucydide, historien grec (420 av. J.-C.) ( Guerre du Péloponèse.) XLVI. Discours du roi Archidam
curer de l’argent, et ne nous laissons pas entraîner aveuglément à la guerre par les discours de nos alliés. Prenons au moins
mporisation qu’on nous reproche. En vous hâtant trop, vous finirez la guerre à une époque plus éloignée, parce que vous l’aure
s adversaires. » XLVII. Discours de Sthénélaïdas, en faveur de la guerre . Sthénélaïdas, un des éphores en charge, prend
a parole après Archidamus : il engage les Lacédémoniens à décréter la guerre sans ajournement. « Quant à moi, Lacédémoniens,
songent à outrager les autres, de délibérer longtemps. Votez donc la guerre , Lacédémoniens, comme il est digne de Sparte ; ne
l’élite de la noblesse ; ils s’expriment en ces termes : « Dans les guerres extérieures entreprises par les Romains, Marseill
es menaçantes, confie-toi à nos murs, et permets-nous de repousser la guerre , tout en accueillant César. Qu’il reste un endroi
Samnites, dont les fils, les pères, les frères ont succombé dans les guerres contre Rome, qui, en un mot, ont perdu tout ce qu
et la nature semblait en avoir déterminé les limites. Mais puisque la guerre a éclaté d’abord à propos de la Sicile et ensuite
l’Espagne : qu’à propos de ces contrées, Carthage ne fasse jamais la guerre à Rome : de même, toutes les îles situées entre l
 Vous le savez, Annibal : les Romains n’ont pas été les auteurs de la guerre faite en Sicile et en Espagne. Les dieux immortel
ses actes passés : il sollicite un décret qui l’autorise à porter la guerre chez les Parthes. « Sénateurs, si je n’avais rec
on me forçait de réclamer le fer à la main les récompenses dues à mes guerres  ; quand, au lieu de me décerner les triomphes que
nfiées de nouveau, si la fureur de quelques insensés n’eût déclaré la guerre à la patrie, Babylone dépouillée des trophées lat
rait tremblé sous les haches de l’Ausonie. Les dieux m’ont laissé ces guerres à terminer : oui, Sénateurs, j’irai chez les Part
e déclare à son conseil assemblé le projet qu’il a formé de porter la guerre en Grèce : il demande l’avis de chacun. « Grands
mis le pied sur leur territoire. J’ai donc résolu de leur déclarer la guerre  ; et en y réfléchissant, je trouve dans mon proje
nt, si quelqu’un de vous désire savoir quel doit être le terme de nos guerres , qu’il songe que peu de terres nous restent à con
, vaincu par les Carthaginois forme le hardi projet de transporter la guerre en Afrique. Pas un des soldats ne connaissait les
e faire souffrir à nos ennemis ce que nous souffrions nous-mêmes. Les guerres ne se font pas au-dedans comme au dehors ; à l’in
Carthage même, prouveront à ce peuple qu’on peut apporter chez lui la guerre qu’il porte chez les autres. Ainsi, non seulement
e Syracuse. Croyez-moi, soldats : nulle part ne peut se présenter une guerre plus facile, et en même temps un plus riche butin
e, seuls entre tous les hommes, vous avez transporté chez l’ennemi la guerre qu’il vous était impossible de soutenir dans votr
nc mon avis ? d’imiter la conduite que tinrent nos ancêtres, dans une guerre moins terrible, celle des Cimbres et des Teutons.
liberté, et de le transmettre à nos descendants. » Traduit de César ( Guerre des Gaules). LXIV. Discours de Suréna, général
Xerxès qui se prépare à envahir la Grèce, sur l’issue probable de la guerre , lui répond avec franchise. Cette foule innombrab
autels et de leurs foyers. Première partie. Lorsque Xerxès déclara la guerre à la Grèce, ses courtisans ne manquèrent pas d’in
s vos propres forces. On a raison de dire que cet immense attirail de guerre ne tiendra pas dans les pays que vous voulez enva
scours de Thémistocle dans l’assemblée des Lacédémoniens. Quand la guerre contre Xerxès fut terminée, les Athéniens entourè
sement ? N’y a-t-on pas transporté avec les dépouilles conquises à la guerre , les mœurs des peuples étrangers ? Romulus n’a-t-
ier, les glorieuses récompenses et la conquête du monde que promet la guerre  ; le second, les avantages certains de la paix et
nts plus doux : faites-lui comprendre que vous ne pouvez continuer la guerre , sans vous exposer aux plus grandes pertes ; et q
parole et à l’honneur. Je suis d’ailleurs vivement peiné de faire la guerre à un peuple avec qui je voudrais avoir des, relat
à rendre aux particuliers l’argent prêté par eux pour les frais de la guerre . Après avoir ainsi négligé les occasions de m’enr
tenant, quelles que soient tes belles actions dans la paix et dans la guerre , ta réputation est égalée par celle de plusieurs
nd. Appelé par le roi dans le Conseil où se discutait le projet de la guerre contre les Romains, le général Carthaginois s’exp
tés. Non, ce n’est pas la Grèce qu’il faut choisir pour théâtre de la guerre , quand l’Italie en offre un bien plus favorable.
s voulez combattre ont un caractère tout à fait particulier. Dans les guerres ordinaires, il est fort important d’avoir saisi l
’Afrique, la fortune a changé aussitôt pour moi avec le théâtre de la guerre . » Traduit de Justin. LXXXII. Entrevue d’Andr
ends les maîtres les plus habiles, et à leur école étudie l’art de la guerre . Crois-moi, Hercule, suis mes conseils ; car rien
u légitime héritier, que de faire mourir une innocente prisonnière de guerre par un supplice digne de votre cruauté ? Celui mê
vernement d’une ville qui était née et qui avait grandi au sein de la guerre . « Il est peu de changements dans la vie de l’ho
7. Traduction de la matière. Xerxès vient de déclarer ses projets de guerre contre la Grèce : Artaban, oncle du roi, recomman
autre. J’avais aussi conseillé à mon frère Darius de ne pas porter la guerre chez les Scythes, peuplade nomade ; mais lui, esp
ombre de braves guerriers. Pour toi, tu as l’intention de déclarer la guerre à un peuple bien supérieur aux Scythes et illustr
uve. Seulement, j’ordonne à mes soldats de vous enlever vos habits de guerre et de vous arracher toutes les décorations que vo
variété des pays, ou la rapidité de l’exécution, ou la diversité des guerres  ; c’est que jamais un voyageur n’a traversé avec
our du prisonnier. Marius avait brigué en vain le commandement de la guerre contre Mithridate : il se vit obligé de quitter e
2 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Napoléon Ier , 1769-1821 » pp. 428-446
, Vous êtes une des ailes de l’armée d’Angleterre. Vous avez fait la guerre de montagnes, de plaines, de siéges ; il vous res
guerre de montagnes, de plaines, de siéges ; il vous reste à faire la guerre maritime. Les légions romaines3, que vous avez qu
ingts drapeaux, sept cents pièces de bataille, cinq grandes places de guerre , sont en notre pouvoir. L’Oder, la Wartha, les dé
ourdissaient sous le masque de l’amitié et de l’alliance. Des cris de guerre se sont fait entendre à Berlin ; depuis deux mois
re connaître le désir qu’a le peuple français de mettre un terme à la guerre qui désole nos pays1. L’astuce des Anglais a empê
le cœur de Votre Majesté ma démarche à la fois simple et franche2. La guerre a eu lieu. Des milliers de Français et d’Autrichi
ser Votre Majesté, puisque je suis plus près qu’elle du théâtre de la guerre  : son cœur ne peut être si vivement frappé que le
l’Église ? Pourquoi ne conseille-t-on pas à Votre Majesté de faire la guerre aux Anglais, aux Moscovites, aux Prussiens ? ils
rmanique, les États mêmes du roi d’Angleterre, seul instigateur de la guerre , sont en paix avec la République française4. Un a
utionnaires ? Si Votre Majesté veut se rendre compte des effets de la guerre , elle verra qu’ils seront de révolutionner1 l’Eur
écontentement des peuples. En obligeant le peuple français à faire la guerre , on l’obligera à ne penser qu’à la guerre, à ne v
peuple français à faire la guerre, on l’obligera à ne penser qu’à la guerre , à ne vivre que de la guerre, et les légions fran
uerre, on l’obligera à ne penser qu’à la guerre, à ne vivre que de la guerre , et les légions françaises sont nombreuses et bra
pour se battre, eh bien ! elles apprendront, après quelques années de guerre , à devenir sages et à vivre en paix4. Je pouvais
e, objet qui me tient d’autant plus à cœur, qu’élevé et nourri par la guerre , on pourrait me soupçonner d’être plus accoutumé
franchement, elle serait, aux yeux du monde, seule responsable de la guerre . Je prie Votre Majesté de lire cette lettre avec
demandé mon déshonneur2, elle devait être certaine de ma réponse. La guerre est donc faite entre nous, l’alliance rompue pour
st maîtresse de sauver à ses sujets les ravages et les malheurs de la guerre  ; à peine commencée, elle peut la terminer, et el
voulaient prendre Paris, et qui aujourd’hui l’ont embarquée dans une guerre , et immédiatement après dans des plans offensifs
contre Votre Majesté ; je ne veux rien et n’ai rien voulu d’elle. La guerre actuelle est une guerre impolitique4. Je sens qu
je ne veux rien et n’ai rien voulu d’elle. La guerre actuelle est une guerre impolitique4. Je sens que peut-être j’irrite dan
ue les États de Votre Majesté. Je ne lui ai donné aucun sujet réel de guerre . Qu’elle ordonne à cet essaim de malveillants et
n moi un allié, elle retrouvera un homme désireux de ne faire que des guerres indispensables à la politique de ses peuples, et
uls, un sénat. « On dirait ici un jeune Romain du temps de la seconde guerre punique. Il en avait les traits sévères, les gran
2. Le 25 décembre 1799, lorsque l’Autriche méditait une nouvelle guerre contre la France ; le premier consul avait en vai
lendemain d’une révolution dévorante, à travers les invasions et les guerres plus dévorantes peut-être ? Conciliez avec tant d
3 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section quatrième. Genre Démonstratif. Les Panéryriques. — Chapitre III. Éloges de Pompée et de César, par Cicéron. »
ilius avait porté une loi pour choisir Pompée, qui terminait alors la guerre contre les pirates. D’illustres personnages s’opp
ppuyer la loi Manilia, et faire donner à Pompée le commandement de la guerre contre Mithridate. La nature de cette guerre, la
ée le commandement de la guerre contre Mithridate. La nature de cette guerre , la nécessité de n’en confier la conduite qu’à un
, 31 et 32). Cette transition mène naturellement la description de la guerre des pirates ; et de quelles couleurs l’orateur se
ssés sur le choix de celui qu’il faut mettre à la tête d’une pareille guerre  ! Mais puisque Pompée est le seul dont la vertu a
ans le camp de son père pour faire l’apprentissage des armes dans une guerre difficile, et contre des ennemis belliqueux ? un
eunesse, lui-même général d’une grande armée ? — Est-il une espèce de guerre où la fortune de la république n’ait exercé ses t
ons belliqueuses ; celle des esclaves, celle des pirates ; toutes ces guerres différentes, contre tant d’ennemis divers, je ne
ois encore l’Italie, qui implora le secours de Pompée absent, pour la guerre dangereuse et sanglante qu’elle avait à soutenir
dangereuse et sanglante qu’elle avait à soutenir contre les esclaves, guerre dont la fureur, rallentie par la seule terreur du
oguer sur une mer infestée de pirates ? Qui eût osé se flatter qu’une guerre si invétérée, si honteuse pour nous, pût être ter
ez si souvent admiré à cette tribune, etc. » 94. « Puis donc que la guerre actuelle est tellement indispensable, qu’il est i
me, sans aucun commandement, il faudrait toujours le choisir pour une guerre si importante, et l’envoyer en Asie : mais puisqu
s-nous ? Pourquoi, sous les auspices des immortels, ne pas confier la guerre présente au même homme à qui nous en avons confié
97. « Vous seul, César, pouvez réparer les maux inévitables que la guerre a causés à l’état, et qui en ont ruiné la sage co
es parties du corps politique ébranlées. Au milieu des horreurs de la guerre , dans la fermentation des esprits, dans le tumult
ein de la paix. Vous devez à présent, César, fermer ces plaies que la guerre nous a faites : vous seul pouvez les guérir ». 9
4 (1867) Rhétorique nouvelle « Première partie. L’éloquence politique » pp. 34-145
-à-dire la force persuasive. Que Démosthène pousse les Athéniens à la guerre en déclamant ses Philippiques, ou qu’un Timpabach
les-ci le souvenir d’un affront, elles pousseront aussi-tôt le cri de guerre et vous suivront au combat. Tous les y pousse en
roissent, le Sioux a toujours rencontré le Paunie sur le chemin de la guerre . Comme le cougar aime le daim, le Sioux aime son
es procédés oratoires moins sommaires. Il devra, avant de déclarer la guerre , établir aux yeux des autres puissances la légiti
tralité. Il devra, pour échauffer son peuple, faire répéter le cri de guerre à tous les échos de la presse. Il devra convoquer
s et ennemies de l’imprévu : ils leur remontreront la nécessité de la guerre , l’état prospèré des finances qui permet de la so
’Homère, et nous sommes loin des siècles de Périclès et de Platon. La guerre de Troie n’est que l’aube de la civilisation grec
emnon a eu un songe trompeur qui lui annonçait l’heureuse issue de la guerre et la chute prochaine de Troie. Mais les Grecs so
près nous que le peuple des Grecs si brave, si puissant, ait fait une guerre inutile, et qu’aux prises avec des ennemis moins
rti pris, il n’hésite plus, il devient le partisan le plus zélé de la guerre , l’âme de l’expédition. Au camp, il trouve des ch
lle, qui boude Agamemnon dans sa tente et refuse de prendre part à la guerre . Le héros le reçoit cordialement et le fait asseo
mais songe aux autres Grecs, songe au malheureux peuple foulé par la guerre . Aie pitié de lui, et il t’honorera comme un dieu
eraineté, le droit de rendre la justice, celui de faire la paix et la guerre . Ses chefs, nommés et révoqués par elle, n’ont d’
Ce n’est pas tout encore. Ils avaient hérité de leurs ancêtres de la guerre de Troie un goût exquis de la mesure et de la con
aux, un bon citoyen qui sait parler. S’il dit : — Il faut déclarer la guerre aux Lacédémoniens ; il faut arracher une ville io
r contre Sparte, il leur dit qu’il voit déjà du fond du Péloponèse la guerre qui se lève et qui se met en marche. Le peuple, e
exalte ses exploits récents pour rabaisser ceux des héros des grandes guerres Médiques, Thémistocle jette cet apologue, que je
non des antithèses, mais des conclusions. Faut-il faire la paix ou la guerre  ? accepter ou rejeter telle alliance ? absoudre o
iens avec l’or qui alimentait jadis leurs fêtes et leurs plaisirs. La Guerre Sacrée lui donne un prétexte d’intervention qu’il
tournait à ses plaisirs, jusqu’à ce que Philippe eût répondu. à cette guerre de décrets par une nouvelle conquête. Si quelquef
alter au souvenir du rôle désintéressé qu’elle avait joué pendant les guerres Médiques. C’est à ces grandes passions que Démost
punissait de mort la simple proposition d’affecter aux besoins de la guerre les fonds destinés aux spectacles. Démosthène exé
bains hostiles, ni les Phocidiens appauvris ne sauront l’arrêter ; la guerre , dont vous n’avez encore entendu que le grondemen
guerre, dont vous n’avez encore entendu que le grondement lointain la guerre franchira les limites de l’Attique et viendra s’a
et rejeté sur le parti national la responsabilité des malheurs de la guerre . Démosthène voit le danger de cette tactique : el
de la discussion. — On nous accuse, dit-il, d’être les auteurs de la guerre . Si la paix est possible, si elle dépend de nous,
s. Mais s’il n’en est pas ainsi, si je vous prouve que nous sommes en guerre avec Philippe et que Philippe est l’agresseur, ne
vigoureuse ? — Philippe, disent ses partisans, n’a jamais déclaré la guerre à Athènes, et ils en concluent que nous sommes en
ez-vous être assez simples pour croire qu’il vous déclarera jamais la guerre  ? L’a-t-il déclarée aux peuples qu’il a soumis ?
om des dieux, vous qui criez si haut que Philippe ne vous fait pas la guerre , dites, est-ce sur les paroles ou sur les faits q
sur les paroles ou sur les faits qu’on juge si l’on est en paix ou en guerre avec quelqu’un ? Or il est évident que Philippe a
ayé les Athéniens en leur prouvant qu’ils n’ont pas le choix entre la guerre et le repos, et qu’ils sont perdus s’ils n’agisse
t : Êtes-vous en paix, Athéniens ? — Non, diriez-vous, nous sommes en guerre avec Philippe. En effet, vous avez nommé plus de
aux. Mais que font-ils, ces braves gens ? Vous en avez envoyé un à la guerre , et les autres passent leur temps à conduire des
u’il n’y a pas place pour la négligence. Mais pour ce qui concerne la guerre et ses préparatifs, ce n’est que désordre, anarch
der l’adversaire en face, ils n’y songent pas. Voilà votre système de guerre . » Est-ce un orateur qui s’exprime ainsi, ou n’e
Il lui reprocha son administration, il lui imputa les malheurs de la guerre et l’asservissement de son pays. Démosthène retou
5 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — De Maistre, 1753-1821 » pp. 377-387
s, patriarcales. Sa correspondance le fait aimer et respecter. La guerre 1 Les fonctions du soldat sont terribles ; ma
nous qui rendons nécessaires tous les maux physiques, mais surtout la guerre  : les hommes s’en prennent ordinairement aux souv
er les rois. » Observez de plus que cette loi déjà si terrible de la guerre n’est cependant qu’un chapitre de la loi générale
la dernière goutte du sang qu’il aura versé injustement1 » ? C’est la guerre qui accomplira le décret. N’entendez-vous pas la
lois. Si la justice humaine les frappait tous, il n’y aurait point de guerre  ; mais elle ne saurait en atteindre qu’un petit n
rgne, sans se douter que sa féroce humanité contribué à nécessiter la guerre , si, dans le même temps surtout, un autre aveugle
teindre l’expiation dans le monde. La terre n’a pas crié en vain : la guerre s’allume. L’homme, saisi tout à coup d’une fureur
iendront l’offrir ; et bientôt une rare jeunesse se fera raconter ces guerres désolatrices produites par les crimes de ses père
r ces guerres désolatrices produites par les crimes de ses pères3 La guerre est donc divine en elle-même, puisque c’est une l
traité dans les formes3. 1. Comparer une leçon de M. Cousin Sur la guerre . 1. Arbre gigantesque du nouveau monde. 2. Gra
lusion à un vers d’Horace. 4. De Maistre dit encore : « Il y a des guerres qui avilissent les nations, et les avilissent pou
roissante au milieu des combats les plus meurtriers ; mais il y a des guerres vicieuses, des guerres de malédictions, que la co
combats les plus meurtriers ; mais il y a des guerres vicieuses, des guerres de malédictions, que la conscience reconnaît bien
us iste, conjuratio est. » (Isaie, VIII, 12.) 3. Bélier, machine de guerre en usage dans l’antiquité. 1. Le frère Martin de
ne les esprits. Si elle n’a plus la conquête, cette domination par la guerre , elle a l’initiative, cette domination par la pai
6 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre V. Ouvrages historiques. »
Il haïssait les femmes autant que Louis les aimait. Louis faisait la guerre en roi, et Guillaume en soldat. Il avait combattu
205 ans avant J.-C, fut du nombre de ces mille Achéens qui, durant la guerre des Romains contre Persée, roi de Macédoine, fure
e. Il y composa, en grec, une Histoire universelle qui commençait aux guerres puniques et finissait à celle de Macédoine. Il ne
s capitaines à qui il avait appris à ne respirer que l’ambition et la guerre . Il prévit à quels excès ils se porteraient quand
pas le même sujet, mais le continua, pour ainsi dire, en écrivant la Guerre du Péloponnèse ; et Xénophon, plus tard, fit la m
les des anciens. Celles-ci ne retraçaient à peu près que la suite des guerres , et des négociations relatives à la guerre. Les n
peu près que la suite des guerres, et des négociations relatives à la guerre . Les nôtres doivent contenir une multitude de dét
d’une manière instructive et attachante : il a raconté l’histoire des guerres des Perses et des Grecs depuis le règne de Cyrus
n, en lui une vive émulation : il écrivit, en effet, l’Histoire de la guerre du Péloponnèse. Xénophon, né vers l’an 450 avant 
s courts, mais extrêmement précieux, la Conjuration de Catilina et la Guerre de Jugurtha. Tite-Live, né à Padoue l’an 59 avant
ent à Carthage, l’une voulait toujours la paix et l’autre toujours la guerre , de façon qu’il était impossible d’y jouir de l’u
e d’y jouir de l’une, ni d’y bien faire l’autre. Pendant qu’à Rome la guerre réunissait d’abord tous les intérêts, elle les sé
, le peuple voulait tout faire par lui-même. Carthage, qui faisait la guerre avec son opulence contre la pauvreté romaine, ava
rs, calculant sans cesse la recette et la dépense, firent toujours la guerre sans l’aimer. Des batailles perdues, la diminutio
is son parti. « Messieurs, dit-il, j’ai résolu de ne jamais faire une guerre injuste, mais de n’en finir une légitime que par
spérer moins que lui, ils reçurent avec admiration ses ordres pour la guerre . On fut bien plus surpris encore quand on le vit
ts les plus innocents de la jeunesse. Du moment qu’il se prépara à la guerre , il commença une vie toute nouvelle dont il ne s’
ables Commentaires 61 qu’il nous a laissés sur la guerre civile et la guerre des Gaules. Pour nous, nos écrivains de mémoires
oires sont aussi nombreux que remarquables. Ceux qui ont écrit sur la guerre et l’époque de la Fronde sont particulièrement es
7 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section première. La Tribune politique. — Chapitre II. Application des principes à la première Philippique de Démosthène, et à la seconde Catilinaire de Cicéron. »
tral. Après avoir convaincu les Athéniens de la nécessité de faire la guerre au roi de Macédoine, l’orateur leur représente ce
ous ne veuille considérer, en reportant ses yeux sur le passé, que la guerre actuelle n’a été entreprise de notre part, que po
mer l’insolence de Philippe, et qu’elle n’est plus aujourd’hui qu’une guerre défensive, pour nous mettre à l’abri de ses insul
de ressources qu’en nous-mêmes, et que si nous balançons à porter la guerre au-dehors, nous serons forcés de la faire chez no
e ne l’avoir point fait, et d’avoir ainsi exposé Rome au hasard d’une guerre . Ceux qui réfléchissent et raisonnent autrement q
. Il s’agit maintenant de rassurer le peuple sur les suites de cette guerre devenue inévitable, et l’objet des alarmes du mom
e. Le voilà donc vaincu sans éclat, sans résistance, le chef de cette guerre intestine. Son poignard ne nous poursuivra plus a
pour nous : ce n’est plus qu’un ennemi déclaré, à qui nous ferons une guerre légitime, sans que personne s’y oppose. Il a été
’écouter et ne suivre que la voix de la raison. » Dans le cours de la guerre que nous fîmes à Persée, roi de Macédoine, Rhodes
lée des Romains, ne rougit point de se déclarer contre nous. Quand la guerre fut terminée, et que l’on mit en discussion la co
t armé leurs mains, plutôt que le ressentiment d’un outrage. Dans les guerres puniques, Carthage viola souvent la paix et les t
sidéraient plutôt ce qui était digne d’eux, que ce que le droit de la guerre pouvait leur permettre contre leurs ennemis. » Im
ue magnifiques. Ils ont fait une longue énumération de tout ce que la guerre entraîne de calamités : ils nous ont peint les je
oup parlé sur les peines à infliger à des monstres qui ont déclaré la guerre à leur patrie, à leurs parents, à leurs dieux et
rtez-vous au temps de nos ancêtres : un Manlius Torquatus, pendant la guerre des Gaules, fit mettre à mort son propre fils, po
eunesse de Céthégus, si ce n’est pas la seconde fois qu’il déclare la guerre à sa patrie. Quant à Gabinius, Statilius et Cépur
8 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section I. Des Ouvrages en Prose. — Chapitre III. Du Genre historique. »
res si fréquents et si furieux alors dans les montagnes ; de faire la guerre au ciel, à la terre, à tous les éléments ; de tra
t éloigné avec les meilleures troupes de la république, attaché à une guerre importante mais opiniâtre : Rome est remplie de g
ple, et tantôt même sublime. S’agit-il de crayonner les ravages de la guerre , et les suites déplorables des discordes civiles 
 : Nos princes ont-ils eu des soldats plus fidèles ? Furieux dans la guerre , ils souffrent nos bourreaux, Et lions au combat,
e nom de Père du mensonge. Son ouvrage contient, outre l’histoire des guerres des Perses contre les Grecs depuis le règne de Cy
talent pour ce genre d’ouvrages. Il écrivit en effet l’Histoire de la guerre du Péloponèse, qu’il ne conduisit que jusqu’à la
vant Jésus-Christ, fut du nombre de ces mille Achéens, qui, durant la guerre des Romains contre Persée, roi de Macédoine, fure
t composé, mais en grec, une Histoire universelle, qui commençait aux guerres puniques, et finissait à celle de Macédoine. Elle
e notes historiques et critiques, où toutes les grandes parties de la guerre sont expliquées et démontrées. Je dois remarquer
ier, ne peut que donner les plus grandes connaissances de l’art de la guerre . Le lecteur est conduit, comme par la main, dans
re dans son Histoire de la conjuration de Catilina, et dans celle-des Guerres de Jugurtha, une justesse d’idées, et une profond
me, l’an 98 avant Jésus-Christ, nous a laissé le détail de toutes ses guerres dans ses Commentaires. Le style de ce capitaine h
l a moins, fait à la vérité, l’histoire de la nation que celle de ses guerres . Mais il a exclusivement le mérite d’avoir débrou
lle Histoire du traité de Westphalie, à laquelle on a réuni celle des guerres et des négociations qui précédèrent ce traité. Ce
et d’envie, parlant d’autrui ». Ceux de Henri, duc de Rohan, sur la guerre de la Valteline sous Louis XIII ; importants pour
vec beaucoup d’énergie et de vérité. Ceux du cardinal de Retz pour la guerre de la Fronde. Le style en est inégal ; mais il y
9 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section première. La Tribune politique. — Chapitre III. De la partie oratoire dans les Historiens anciens. Historiens grecs. »
iscipliné. Après Hérodote parut Thucydide, historien de cette fameuse guerre du Péloponèse, qui divisa si longtemps Athènes et
, qui divisa si longtemps Athènes et Lacédémone. Le seul nom de cette guerre réveille dans l’esprit du lecteur le souvenir de
de sa longue administration. On sait que la seconde campagne de cette guerre célèbre devint funeste aux Athéniens, par les rev
si tristement fidèles. Découragés, abattus par le double fléau de la guerre et de la peste, les Athéniens murmuraient hauteme
ardaient comme l’auteur de leurs maux, parce qu’il avait conseillé la guerre . Ils envoyèrent donc à Lacédémone, pour accepter
reprocher à vous-même, aussi injustement qu’à moi, les malheurs d’une guerre que nous avons déterminée ensemble ». C’était là
es Athéniens à Périclès, était de les avoir entraînés dans cette même guerre , le meilleur moyen de s’en disculper était de leu
férence à mes avis, pourquoi donc me faire un crime aujourd’hui d’une guerre que vous avez jugée indispensable ? » Il y aurait
culières, pour ne voir et ne chercher que le bien général. Quant à la guerre actuelle, dont vous redoutez et la durée et l’iss
u’avec un puissant armement, bien convaincus que vous allez porter la guerre loin de vos foyers, et dans un pays où votre tact
en Europe ; et si tu avais soumis tout le genre humain, tu ferais la guerre aux forêts, aux montagnes, aux fleuves et aux bêt
ouvert un chemin jusqu’en Égypte. Mais toi, qui te vantes de faire la guerre aux brigands, es-tu autre chose que le voleur de
10 (1863) Discours choisis ; traduction française par W. Rinn et B. Villefore. Première partie.
ns, porte tes armes contre ta patrie, abandonne-toi aux fureurs d’une guerre impie, d’une guerre de brigands. Alors on ne pour
contre ta patrie, abandonne-toi aux fureurs d’une guerre impie, d’une guerre de brigands. Alors on ne pourra plus dire que je
t’ont préparé, la fortune a préservé tes jours ! Ennemi du repos, la guerre elle-même, si elle n’était sacrilège, n’eut jamai
l : ton impie attentat pourra s’appeler une attaque de brigands ; une guerre , jamais. XI. Maintenant, pères conscrits, i
omme que tu as reconnu être mon ennemi ; que tu vois prêt à porter la guerre dans mon sein ; que des rebelles attendent, tu le
rait une coupable faiblesse ? Ah ! quand l’Italie sera désolée par la guerre , que les villes seront saccagées, les maisons en
te sont unis par les liens du crime et du parricide ; pars pour cette guerre impie et sacrilège. Et toi, Jupiter Stator, dont
e de la ville, à la perte de la ville. C’était l’unique chef de cette guerre intestine, et le voilà vaincu sans conteste. Nous
a dû quitter Rome. C’est maintenant ouvertement, contre un ennemi de guerre , que nous allons, sans que personne s’y oppose, e
t on les tolérerait. Mais comment supporter que la lâcheté déclare la guerre au courage, la sottise à la sagesse, l’ivrognerie
nde de nation que nous puissions craindre, de roi en état de faire la guerre au peuple romain. Au-dehors, la vertu d’un héros
os a, sur terre et sur mer, rétabli partout la paix. Il nous reste la guerre domestique ; c’est au-dedans que sont les embûche
bauche, la folie, le crime qu’il nous faut lutter. Voilà, Romains, la guerre pour laquelle je me déclare votre chef ; j’assume
our la suivante, les plans qu’il avait adoptés pour la conduite de la guerre , je fis tout connaître. Puis, le voyant interdit,
crimes. J’envoyais en exil celui que je savais avoir déjà commencé la guerre  ? Et en effet, je le crois, ce Mallius, un simple
nu camper près de Fésules, c’est en son propre nom qu’il a déclaré la guerre au peuple romain ; cette armée, ce n’est pas Cati
et injuste prévention, pourvu que j’éloigne de vous le péril de cette guerre horrible et sacrilège. Qu’on dise, si l’on veut,
accroître d’autant votre crédit ? Sur quoi donc comptez-vous ? sur la guerre  ? Mais, dans la dévastation générale, pouvez-vous
tude qu’ils ont de danser nus dans les festins. XI. Ô la triste guerre , où Catilina, pour garde prétorienne, aura cette
es plus grands n’exciteront pas le moindre tumulte ; pour apaiser une guerre intestine et domestique, la plus cruelle, la plus
et je n’aurai pas besoin de quitter la toge pour tout pacifier. Cette guerre , Romains, je la conduirai de telle sorte que, s’i
douceur naturelle, je ferai du moins, je m’y engage, ce que, dans une guerre si redoutable et si menaçante, on n’oserait à pei
s pas menacés si la conjuration, d’où devait surgir la guerre civile, guerre plus horrible que toutes les guerres étrangères,
ù devait surgir la guerre civile, guerre plus horrible que toutes les guerres étrangères, n’eût été étouffée à sa naissance ! I
aissa les complices de son crime, les chefs les plus ardents de cette guerre sacrilège, je n’ai cessé de veiller, de prendre d
es avaient été travaillés par Lentulus, qui les excitait à allumer la guerre au-delà des Alpes et à soulever les Gaulois ; en
préservé Rome de l’incendie, les citoyens du massacre, l’Italie de la guerre . Si l’on compare, citoyens, le texte de ce décret
inaire. VII. Maintenant, Romains, que les chefs impies de cette guerre sacrilège et redoutable sont entre vos mains, mai
e seul peuple au monde qui puisse encore et paraisse vouloir faire la guerre au peuple romain, aient dédaigné l’empire et les
lles ne purent s’éteindre que dans le sang des citoyens. Mais dans la guerre actuelle, la plus redoutable, la plus cruelle don
redoutable, la plus cruelle dont les hommes aient gardé le souvenir, guerre telle que jamais peuplade barbare n’en vit dans s
erre telle que jamais peuplade barbare n’en vit dans son propre sein, guerre où Lentulus, Catilina, Cassius, Céthégus s’étaien
e commune, au fléau de l’incendie ; enfin, l’Italie tout entière à la guerre et à la dévastation ; quel que soit le sort que m
impuissante à les dompter, la clémence à les désarmer. C’est donc une guerre éternelle qu’il me faudra soutenir contre les mau
Nous avons eu dans la Sicile, soit en temps de paix, soit en temps de guerre , tant de préteurs, tant de consuls, tant de magis
Quelle autre image se faire de cette désolation ? Si dans un temps de guerre , ou dans une alarme subite, on oblige les particu
r mère Sélène avaient des prétentions ; les circonstances et les deux guerres fâcheuses qui occupaient alors la république n’ay
les trois ans qu’il l’a gouvernée, on eût dit qu’il avait déclaré la guerre non seulement aux hommes, mais encore aux dieux i
t toujours entretenues avec le peuple romain. Cette ville, faisant la guerre aux Carthaginois en son nom et avec ses seules fo
s chez un peuple ennemi. Quelques siècles après, pendant la troisième guerre punique, Carthage fut prise par la valeur de P. S
villes, a deux fois été sauvée du fer et du feu, et des ravages de la guerre  ; qui, après la victoire des Carthaginois, transp
montoire. Il a toujours été si respecté, que non seulement durant les guerres puniques, que les armées navales ont presque term
de cette ville par M. Marcellus. Comparez la paix actuelle avec cette guerre  ; l’arrivée du préteur avec la conquête du généra
d’un ennemi vainqueur, et de la licence du soldat, et des lois de la guerre , et des droits de la victoire : j’oublie toutes l
Marcellus après sa mort ; mais comparez trois ans de paix avec cette guerre , les lois avec la force, la conduite du gouverneu
l y a faits paraissent, non l’ouvrage d’un ennemi qui observe dans la guerre le droit des gens et de la religion, mais celui d
ailles, dont les ornements avaient duré tant de siècles au milieu des guerres , furent laissées nues et toutes défigurées. Marce
uxin, quoique cette mer ait été ou la source ou le théâtre de tant de guerres , elle s’est conservée jusqu’ici, sans que jamais
eté et par une vigilance unique, préservé la Sicile des dangers de la guerre et des maux qu’elle pouvait souffrir de la part d
Hortensius va déployer son éloquence. Il rappellera les périls de la guerre , la situation fâcheuse de la république, la diset
par quels travaux, par quels exploits vous vous êtes signalé dans la guerre . Direz-vous que, dans la guerre des déserteurs, l
ploits vous vous êtes signalé dans la guerre. Direz-vous que, dans la guerre des déserteurs, la Sicile dut son salut à votre c
uel combat avez-vous sauvé cette province ? Nous savons que depuis la guerre terminée par Aquilius la Sicile n’a pas vu de nou
puis la guerre terminée par Aquilius la Sicile n’a pas vu de nouvelle guerre d’esclaves. Mais il en a éclaté une en Italie ; j
edoutable. Revendiquez-vous donc quelque part dans l’honneur de cette guerre , et prétendez-vous être associé pour la gloire du
upes en état de leur en fermer l’entrée ? III. Mais, dit-on, la guerre qui se faisait alors en Italie, quoiqu’elle fût s
oint dans cette province. Qu’y a-t-il de surprenant ? Lorsqu’il y eut guerre en Sicile, à la même distance, il n’en pénétra no
jusqu’au promontoire de Pélore. Quant à la contagion d’une semblable guerre , pourquoi nous l’objectez-vous, plutôt que ceux q
res provinces ? Est-ce parce qu’il y avait eu déjà dans la Sicile une guerre suscitée par des déserteurs ? C’est pour cela pré
Aussi, grâce aux sages mesures de l’autorité, dans le temps que cette guerre des fugitifs mettait en feu toute l’Italie, Cn. N
t de la voir s’affaiblir ou changer. De plus, comme les dangers d’une guerre d’esclaves ont été prévenus, et par les ordonnanc
s que Verrès tienne toujours la même conduite. Dans les alarmes d’une guerre , peut-on trouver le temps de voler ? S’il en a eu
s que vous saviez dans le dessein de prendre les armes et de faire la guerre en Sicile, que vous aviez jugés avec votre consei
l voyait dans la Sicile les esprits des esclaves agités à cause de la guerre des déserteurs en Italie, quelle terreur n’a-t-il
gare ? VII. Quoi ! ce mouvement des esclaves, ces alarmes d’une guerre prochaine, ont-ils excité votre vigilance pour la
que l’on vante comme un excellent général. Lorsque l’on craignait la guerre des esclaves, il faisait supplicier les maîtres s
it perdu des biens très considérables si les fugitifs avaient fait la guerre en Sicile, sous prétexte de cette guerre est jeté
les fugitifs avaient fait la guerre en Sicile, sous prétexte de cette guerre est jeté en prison, sans qu’on l’ait entendu ; et
laves que Verrès, avec son conseil, a jugés avoir conspiré pour cette guerre , il les délivre de toute punition, de son propre
troupeaux, en maisons de campagne, en argent prêté, un tumulte ou une guerre en Sicile lui serait plus préjudiciable qu’à tout
er. Je crois avoir déjà rapporté fidèlement tous ses exploits dans la guerre des esclaves fugitifs, et je n’ai rien omis avec
vous ôtant toute ressource pour votre défense, vous avez recours à la guerre des esclaves fugitifs, bien convaincu maintenant
la guerre des esclaves fugitifs, bien convaincu maintenant que cette guerre , loin de vous être favorable, fait surgir contre
r contre vous une foule d’accusations. Citeriez-vous les restes de la guerre des déserteurs en Italie, et cette guerre peu imp
eriez-vous les restes de la guerre des déserteurs en Italie, et cette guerre peu importante de Temsa ? La fortune vous offrait
ubliquement et unanimement condamné. XVII. Je le veux bien : la guerre des déserteurs, ou la crainte qu’on en pouvait av
a fourni à Verrès aucune occasion de paraître, parce qu’il n’y eut ni guerre ni danger d’une guerre en Sicile, et qu’il n’a po
e occasion de paraître, parce qu’il n’y eut ni guerre ni danger d’une guerre en Sicile, et qu’il n’a point pris de mesures pou
province fut vigoureusement défendue. Eh bien ! je parlerai de cette guerre de pirates, de cette flotte sicilienne ; mais de
des villes, pour l’impartialité et pour les services rendus ? Quelle guerre avons-nous faite en Sicile, que nous n’ayons eu l
our leur marine et après des efforts réitérés dans un grand nombre de guerres , n’avaient jamais pu approcher : où la puissance
ple romain, toujours victorieuse jusqu’à votre préture, après tant de guerres puniques et siciliennes, n’a jamais pu pénétrer !
s pas au nombre des dix-sept provinces de la Sicile : dans toutes les guerres puniques et siciliennes, nous avons toujours rech
le romain ; nous lui avons toujours fourni tous les secours durant la guerre , toutes les commodités durant la paix. » Certes,
e la fortune ? que je vous reproche et vous objecte les hasards de la guerre , quoique pour l’ordinaire on ne veuille pas enten
s, et non dans les repas, qu’on se trouve exposé aux événements de la guerre  ; mais nous pouvons dire que, dans ce fatal événe
s, préteur dans une province du peuple romain, lorsque vous aviez une guerre maritime à conduire, vous avez exempté pendant tr
main, l’État ne s’en vengerait-il pas ? ne leur déclarerait-on pas la guerre  ? pourrions-nous laisser impuni l’outrage fait à
t à notre nom ? Combien croyez-vous que nos ancêtres ont entrepris de guerres importantes sur le rapport que des citoyens romai
rès, poussé par l’audace et la fureur la plus coupable, a déclaré une guerre impie et sacrilège, si, dans cette cause et contr
11 (1858) Exercices latins adaptés à la Grammaire latine d’après Lhomond. Deuxième partie : Cours gradué de versions latines sur la syntaxe, à l’usage des classes de sixième, cinquième et quatrième. Livre du maître pp. -370
se. Les fils de Jupiter et de Junon furent : Mars, qui présidait à la guerre et aux armes, et Vulcain, inventeur de l’art de f
rchimède de Syracuse était admirable dans l’invention des machines de guerre . — 8. Les perroquets imitent la voix de l’homme. 
arius fut toujours hostile à la noblesse. — 18. La tempérance fait la guerre aux passions. — 19. Le rhinocéros est ennemi de l
 9. Je ne préfère rien à la paix. — 10. Les Espagnols aiment mieux la guerre que le repos. — 11. Les enfants aiment mieux les
n homme fort instruit du droit divin ; il aimait mieux la paix que la guerre  ; on vantait sa justice et sa religion ; son règn
e aux dieux ; en effet personne ne fut jamais ou plus heureux dans la guerre , ou plus modéré dans la paix. De tous les empereu
es hommes. — 6. Thémistocle rendit les Athéniens très-habiles dans la guerre navale. — 7. Varron, dans son consulat, eut pour
arque de lui faire couper la langue. — 10. Les Macédoniens eurent des guerres continuelles avec les Thraces et les Illyriens. —
apprit sous la discipline d’Annibal tout ce qui concerne l’art de la guerre . — 5. César cachait toujours ses desseins à l’enn
ésar cachait toujours ses desseins à l’ennemi. — 6. César, faisant la guerre en Gaule, demandait du blé aux Éduens. — 7. Les T
 11. Bien des gens aiment les camps, et le son de la trompette, et la guerre abhorrée des mères. Récapitulation. v
, qui le premier l’avait salué du nom de roi. Ensuite il entreprit la guerre contre les Perses, projetée par son père. Sur ces
de Némée. — 13. Les Titans ou Géants, enfants de la Terre, firent la guerre aux dieux ; mais ils furent foudroyés par Jupiter
donnait peu aux arts libéraux. Ils s’appliquaient principalement à la guerre . Ils ressemblaient aux Latins par la langue et le
untèrent en grande partie aux Samnites leurs armes et leurs traits de guerre , aux Étrusques les insignes de leurs magistrats.
la science du droit et l’éloquence avec la gloire militaire. Dans la guerre , il fut d’abord un soldat très-brave, puis un gén
d’avoir dit la vérité. — 18. Les hommes ne rougissent pas de faire la guerre et de verser avec plaisir le sang humain. — 19. A
roi de Thèbes, vint assiéger sa patrie. — 2. Mithridate, méditant la guerre contre les Romains, envoya demander du secours au
es bornes du monde. — 7. Beaucoup d’hommes ont la passion de faire la guerre . — 8. Saturne le premier fit connaître l’usage de
tat de liberté ; mais après la mort de César, il s’éleva de nouvelles guerres civiles ; ces guerres terminées, le souverain pou
après la mort de César, il s’éleva de nouvelles guerres civiles ; ces guerres terminées, le souverain pouvoir revint à Octave C
urrit de nombreux troupeaux, et ce sont leurs seules richesses. A la guerre , le principal déshonneur est d’avoir abandonné so
uisait les enfants des principaux citoyens. Il avait coutume avant la guerre de mener ses élèves jouer et s’exercer hors de la
la ville. N’ayant pas suspendu cette habitude pendant le temps de la guerre , il mena un jour tous les enfants au camp romain
s défense, mais contre les hommes armés. Nous avons appris à faire la guerre non moins loyalement que courageusement. C’est pa
te devint de berger chasseur, de chasseur brigand, de brigand chef de guerre et général ; bientôt il se rendit maître de toute
Mithridate régna soixante ans, il en vécut soixante-douze ; il fit la guerre aux Romains pendant quarante-six ans avec des suc
ri en Italie et en Sicile durant quelques siècles. — 14. La troisième guerre punique fut achevée en quatre ans. version 86
nt soigneusement du grain pour l’hiver. — 12. Les Romains ont fait la guerre en Espagne pendant près de deux cents ans, depuis
ns accomplis. Le prophète Moïse vécut environ sept cents ans avant la guerre de Troie. Il gouverna le peuple Hébreu pendant qu
t entretenue par l’air qu’ils respirent. — 2. Les Athéniens firent la guerre en Sicile pendant deux ans avec plus d’acharnemen
agne, je n’écris rien, mais je lis très-volontiers. — 17. Préparer la guerre et ménager en même temps le trésor public, pourvo
nt aucune mesure d’intérêt public, ni en temps de paix ni en temps de guerre , sans avoir pris les auspices. — 19. Dans la prem
temps de guerre, sans avoir pris les auspices. — 19. Dans la première guerre punique, les Carthaginois furent vaincus sur mer,
îles Égates, par Caïus Lutatius, consul Romain ; pendant la deuxième guerre punique, le préteur Marcellus battit à Nole l’arm
. — 9. Philon, le chef de l’Académie, s’enfuit de son pays pendant la guerre de Mithridate, et vint à Rome. — 10. Tarquin le S
consuls, investis du pouvoir suprême en temps de paix et en temps de guerre  ; leur pouvoir durait un an ; ils entraient en ch
uns militaires. Les affaires du peuple Romain dans la paix et dans la guerre furent administrées pendant quelques années par c
ersonne n’a jamais assez d’amis. — 5. Métellus, devant partir pour la guerre contre Jugurtha, préparait des armes, des traits,
une quantité suffisante de vivres, et toutes les autres choses que la guerre a coutume d’exiger. — 6. Le soleil a moins de for
es chefs troyens, s'écrie : « Voici Priam ! » — 15. Après la première guerre punique, les Romains eurent à peine quatre ans de
s eurent à peine quatre ans de repos ; et voilà aussitôt une nouvelle guerre , moins longue il est vrai, mais plus terrible par
pienne. — 4. Il n’y eut pas de boulangers à Rome jusqu’au temps de la guerre contre Persée. — 5. L’Arménie, depuis la Cappadoc
corps, mais d’un esprit mauvais et pervers. Dès son adolescence, les guerres intestines, le meurtre, les rapines, la discorde
romaine ne fut jamais plus florissante, si l’on fait abstraction des guerres civiles, dans lesquelles ce prince ne fut jamais
refoula même ce peuple au-delà du fleuve de l’Elbe. Il dirigea cette guerre par son beaufils Drusus. Il fit dirigea par Tibèr
on beaufils Drusus. Il fit dirigea par Tibère, son autre beaufils, la guerre contre les Pannoniens, dans laquelle quarante mil
uslibet victima. corrigé. 1. Quel est le peuple qui a fait une guerre cruelle en Italie ? Les Carthaginois. — 2. Les ho
en Italie ? Les Carthaginois. — 2. Les hommes naviguent, ils font la guerre  : malheureux, que cherchez-vous ? La mort. — 3. Q
 8. Quoique tu aies accompli, César, de grandes actions en paix et en guerre , cependant c’est une gloire que tu partages avec
és à Delphes, pour piller le temple d’Apollon, comme s’il eût fait la guerre non-seulement aux Grecs, mais encore aux dieux im
anilius, tribun du peuple, rendit une loi pour que la direction de la guerre contre Mithridate fût confiée à Pompée. — 4. Tout
ens legatio. Hanc quoque fœdè violant : exhinc bellum. corrigé. Guerre des Romains contre Pyrrhus. Tarente, colonie L
es de Romè ; elle est à son tour ignominieusement insultée : de là la guerre . version 144. Sequitur de bello adversùs Py
sis cervicibus victores equos sequebantur. corrigé. Suite de la guerre contre Pyrrhus. Une foule de peuples se lèvent
Fabius Maximus, qui fatigua Annibal par ses lenteurs, prolongeait la guerre à dessein, pour rester plus longtemps en charge. 
voir s’emparer de toute la Gaule. — 12. Les Gaulois, ayant déclaré la guerre aux Romains, avaient juré de ne pas détacher leur
e Jason. — 10. Je n’ai jamais, disait Bocchus, fait ni voulu faire la guerre au peuple Romain. — 11. Scipion Nasica, sur le po
c’est être menteur. — 11. On peut s’illustrer, soit en paix, soit en guerre . — 12. C’est le propre d’un grand cœur d’être cal
dæ causâ fieri prædicant. corrigé. Passion des Germains pour la guerre . Lorsqu’on livre bataille, c’est une honte pou
ont spontanément se joindre aux tribus qui ont pour le moment quelque guerre , parce que le repos est insupportable à cette nat
les Romains étaient puissants, consulta Apollon sur les chances de la guerre . Celui-ci lui fit une réponse qui présentait ce d
nformément à ses vœux, il vint au secours des Tarentins et déclara la guerre aux Romains. version 157. Diluvium. Deus
pportent que Cécrops d’Athènes ou Linus de Thèbes, et aux temps de la guerre de Troie, le Grec Palamède, inventèrent les forme
caverunt. corrigé. Bonne foi de Régulus. Pendant la première guerre punique, Atilius Régulus, après avoir remporté un
arts et métiers, que Jupiter gouverne le ciel, que Mars préside à la guerre . Lorsqu’ils ont résolu de combattre, ils font vœu
aut rang. — 2. Marcus Porcius Caton conseilla au sénat de déclarer la guerre aux Carthaginois. — 3. A quoi sert l’instruction 
ndirent auprès de lui, et le conjurèrent vainement de ne pas faire la guerre à sa patrie ; mais sa mère Véturie et Volumnie so
nt par ambassadeurs de cesser les hostilités. — 4. Pendant la seconde guerre punique, les Carthaginois écrivirent à Magon de p
ébranler leur courage. — 13. Démétrius poussa Philippe à déclarer la guerre aux Romains. — 14. Le dictateur Sylla ne put par
de revenir en Afrique, où Scipion portait le ravage. — 4. Pendant la guerre contre les Gaulois, Titus Manlius Torquatus fit m
nseilla l’épargne à tous les citoyens, pensant que les fatigues de la guerre deviendraient plus légères par une habitude const
ir de pourceau. — 5. Porsenna, roi des Clusiniens, ayant entrepris la guerre en faveur des Tarquins, et étant arrivé jusqu’au
ut des suites de l’ivrognerie ou par le poison. — 3. A l’époque de la guerre punique, le genre humain était en suspens, incert
it aux Romains ou aux Carthaginois. — 4. Je ne sais si le temps de la guerre avec les Gaulois a été pour le peuple Romain ou p
modifier. — 5. Il n’est pas douteux que l’Espagne, pendant la seconde guerre punique, ne se fût soulevée en masse, si le préte
rcia de n’avoir pas désespéré de la République. — 5. Dans la première guerre punique, on combattit vingt-quatre ans contre les
nt les champs. Ainsi, ni l’agriculture, ni l’art et la pratique de la guerre ne souffrent d’interruption. Chez eux, il n’y a p
s eût perdu la bataille, Thémistocle, craignant qu’il ne continuât la guerre , le fit avertir qu’il était question de rompre le
ésar, se donnèrent eux-mêmes la mort. — 6. Le peuple Romain, dans les guerres civiles, se déchira lui-même de ses propres mains
ropres mains ; ils apportaient à leurs semailles le même soin qu’à la guerre , et alignaient leurs sillons en aussi bon ordre q
jamais malheureux, pas même dans les tortures. — 11. César déclara la guerre aux Bretons, qui, avant lui, ne connaissaient pas
nom Romain ; il ne laissa jamais passer l’occasion d’entreprendre une guerre , même injuste et périlleuse. — 12. L’armée d’Appi
gloire des armes, résolut de l’exposer aux dangers. Aussi, pendant la guerre contre Numance, comme il fournissait aux Romains
est nécessaire que l’un ou l’autre ait lieu. — 13. Annibal dit que la guerre entre Rome et Carthage ne finirait que lorsque l’
sa attaquer les Albains, peuple redoutable. Il s’agissait, dans cette guerre , de décider lequel des deux peuples donnerait des
vre, et en triomphe. Ainsi la victoire (honneur rare dans toute autre guerre ) fut gagnée par le bras d’un seul homme. § 21
Carthage, qui se fût attendu que les Romains auraient encore quelque guerre en Afrique ? — 7. Je ne sais que vous écrire. — 8
voyé en mission à Rome par Métellus, dont il était lieutenant dans la guerre contre Jugurtha. Il en profita pour accuser son g
user son général devant le peuple Romain, en disant qu’il traînait la guerre en longueur, et que si on le faisait lui-même con
il soit, je ne la compte pas au nombre des biens. — 12. Il existe une guerre en quelque sorte naturelle entre le milan et le c
euple Romain leur envoyait une lance et un caducée, double symbole de guerre ou de paix ; qu’ils pouvaient choisir celui des d
orrigé. 1. Scipion l’Africain prétendait qu’il était honteux, à la guerre , de dire : « Je ne m’y attendais pas. » — 2. Il n
lles auraient été, pour les destinées de Rome, les conséquences d’une guerre avec Alexandre de Macédoine. Certes, je ne nie pa
avoir subjugué l’Asie, tourné ses armes contre l’Europe et déclaré la guerre aux Romains, qui, dans mon opinion, ne lui étaien
sûr la perte d’une seule bataille eût décidé contre lui du sort de la guerre . version 219. Quid vitandum sapienti. Qu
mère, que l’usage de la trompette était encore inconnu au temps de la guerre de Troie. — 10. On accorda à Duilius, après sa vi
d’une torche et au son de la flûte. — 11. Le consul Sulpicius fit la guerre contre Philippe avec l’aide du roi Attale et des
u roi Pyrrhus. — 8. Il s’écoula soixante-trois ans depuis la première guerre punique jusqu’à la fin de la seconde. — 9. Scipio
Eumène que la noblesse de la naissance. — 12. On doit entreprendre la guerre de manière à paraître n’avoir désiré que la paix.
uvent la vengeance coûte cher. — 14. Je sens combien il importe, à la guerre , que toutes les troupes soient réunies. — 15. Ale
us, quoiqu’il ne fût douteux pour personne qu’il ne fallût traîner la guerre en longueur, attendu que l’ennemi souffrait de la
une habileté consommée, tant dans le droit civil que dans l’art de la guerre . Il était si libéral que, possédant en plusieurs
e pour César. — 6. Après le meurtre de César, il s’éleva de nouvelles guerres civiles : en effet, le sénat favorisait les meurt
s la plaine de Marathon. C’était Miltiade qui avait la conduite de la guerre , et qui leur avait conseillé de ne pas attendre l
ons aux dieux. — 7. Xerxès mit cinq ans à faire les préparatifs de la guerre contre la Grèce, projetée par son père. — 8. Ce f
un acquéreur pour un terrain occupé et possédé par lui du droit de la guerre , lui parut une bravade si insolente qu’il fit app
ser.. — 4. Comme Livius Salinator sortait de Rome pour aller faire la guerre contre Asdrubal, Fabius Maximus l’avertit de ne p
it ses concitoyens. — 3. Quelle démence nous agite ? pour courir à la guerre , nous mettons à la voile ; nous affrontons les in
i révéler les desseins de Catilina. — 2. Comme Alexandre préparait la guerre contre les Perses, on lui annonça que les Athénie
. Eumène, assiégé dans un fort, et craignant de perdre ses chevaux de guerre , parce qu’il manquait d’espace pour les faire cou
cythie des peuplades farouches et incultes. Elles ne respirent que la guerre et le carnage. Les combattants ont coutume de boi
m. (2). C’est-à-dire eam Vulcani effigiem. (1). Hector, héros de la guerre de Troie, était mort depuis plus de mille ans. (
12 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section quatrième. Genre Démonstratif. Les Panéryriques. — Chapitre VII. Éloge funèbre des officiers morts dans la guerre de 1744, par Voltaire. »
Chapitre VII. Éloge funèbre des officiers morts dans la guerre de 1744, par Voltaire. Voltaire nous a laissé
i lui conviennent, dans son Éloge funèbre des officiers morts dans la guerre de 1744. C’est un des ouvrages, en prose, qui fon
et à notre langue. C’est là que l’on trouve ce fameux morceau sur la guerre , et cette définition de la véritable valeur de l’
ui ; né pour les douceurs de la société, comme pour les dangers de la guerre  ; aussi poli que fier, orné souvent par la cultur
u soin d’assembler et de faire contraster des mots ? Au tableau de la guerre et de ses fatigues, Voltaire oppose l’oisive opul
13 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Voltaire. (1694-1778.) » pp. 140-145
bition voulut encore renouveler les opinions humaines ; il déclara la guerre aux plus saintes, aux plus inébranlables vérités.
us à conserver les troupes de son maître qu’à vaincre : il faisait la guerre avec adresse, et les deux rois1, avec vivacité. I
axonne du roi Auguste, il devait encore s’illustrer longtemps dans la guerre  : mort en 1747. 3. Deuxième du nom, électeur de
e brèche. 3. C’est ce dont on ne peut plus douter, après les grandes guerres qui ont signalé le commencement de ce siècle et l
aton attribuait à la nation gauloise au même degré que le génie de la guerre . » Quant au passage que nous avons choisi, il suf
14 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Montesquieu, 1689-1755 » pp. 235-252
; chaque consul levait une armée ; et d’autres citoyens allaient à la guerre sous celui qui succédait. Le nombre de troupes n’
Mais, lorsque les légions passèrent les Alpes et la mer, les gens de guerre , qu’on était obligé de laisser pendant plusieurs
uement la grandeur de la république qui fit le mal, et qui changea en guerres civiles les tumultes populaires1. Il fallait bien
érés au dedans. Demander, dans un État libre, des gens hardis dans la guerre et timides dans la paix, c’est vouloir des choses
modéré, il y a toujours une division réelle. Le laboureur, l’homme de guerre , le négociant, le magistrat, le noble, ne sont jo
se fit livrer les armes et les vaisseaux, et ensuite leur déclara la guerre . Par les choses que fit le désespoir dans Carthag
qui n’ont pu s’en défendre. » (Tite-Live.) (Note de Montesquieu.) 4. Guerre Sociale, qui dura trois ans (661 de la fondation
, les Japyges, les Lucaniens, les Samnites, et autres. (Appian, De la Guerre civile, livre I, chap. xxxix.) (Note de Montesqui
rement la terreur causée soit par une invasion gauloise, soit par une guerre en Italie ou sur les frontières de l’Italie. Dans
15 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Racine. (1639-1699.) » pp. 83-90
u’il fallait voir, toujours fait ce qu’il fallait faire. Avant que la guerre fût commencée, il avait aguerri ses troupes dès l
l’engagea à demeurer toujours son ami. Il a appelé aux emplois de la guerre les hommes qui étaient les plus dignes, et n’a ja
e précaution. Cependant il est merveilleux que, parmi les soins d’une guerre qui a dû, ce semble, l’occuper tout entier, ce pr
la navigation ; ils pouvaient à peine mettre en mer six vaisseaux de guerre et quatre galères : maintenant la France compte d
ien ni de l’air grossier de nos pères, ni de la rudesse qu’une longue guerre apporte d’ordinaire avec soi : on y voit briller
avait agréé le projet d’un ouvrage où les événements mémorables de la guerre que cette paix venait de terminer seraient représ
16 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Napoléon 1696-1821 » pp. 234-237
ars 1797). Monsieur le Général en chef, Les braves militaires font la guerre et désirent la paix ; celle-ci ne dure-t-elle pas
e avait fait connaître à S. M. l’Empereur le désir de mettre fin à la guerre qui désole les deux peuples ; l’intervention de l
ur les intérêts ou les passions d’une nation étrangère aux maux de la guerre , que nous continuïons à nous entr’égorger ? Vous,
la force des armes ; mais, dans la supposition que les chances de la guerre vous deviennent favorables, l’Allemagne n’en sera
17 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Notes pour l’intelligence des exemples cités dans ce premier volume. » pp. 365-408
remier à planter la vigne, et fut adoré comme le dieu du vin. Dans la guerre des Géants, il se transforma en lion pour les dév
llone, sœur du dieu Mars, selon la fable, et déesse, comme lui, de la guerre et des combats. On la représente armée d’un casqu
ontre Énée, qui voulait s’établir en Italie. Elle fut tuée dans cette guerre par un Troyen nommé Arruns. Carthage, ville d’Af
elle se déclara la rivale de Rome, contre laquelle elle soutint trois guerres , fameuses dans l’histoire, sous le nom de Punique
gité par différentes factions, rempli de révoltes, de trahisons et de guerres intestines, ce monarque infortuné fut condamné pa
es plus habiles capitaines de l’Europe, dans un siècle où l’art de la guerre fut approfondi plus qu’il ne l’avait jamais été.
nomie et son caractère pacifique les grandes pertes de l’État, que la guerre de la succession et les opérations de la régence
endue. Les habitants étaient nommés Germains, c’est-à-dire, hommes de guerre , suivant plusieurs modernes qui font dériver ce m
s qui font dériver ce mot de gerra, qui, en langue celtique, signifie guerre , et de man qui signifie homme. D’autres prétenden
rre. C’est alors que les Titans, géants terribles, lui déclarèrent la guerre , et entassèrent plusieurs montagnes ; pour escala
état. Mars, fils, selon la fable, de Jupiter et de Junon, Dieu de la guerre , et l’arbitre des combats. Les anciens le représe
l’appelle encore Pallas, et on la regarde aussi comme la déesse de la guerre . Elle est toujours représentée avec le casque sur
abrielle d’Estrées, et frère de ce fameux duc de Vendôme qui, dans la guerre de la succession, affermit, par ses victoires, la
18 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Buffon, 1707-1788 » pp. 282-302
e barbarie pendant lesquels tout périt, sont toujours préparés par la guerre et arrivent avec la disette et la dépopulation. L
ée ! Qu’elle soit dans le silence ! qu’à votre voix la discorde et la guerre cessent de faire retentir leurs clameurs orgueill
’homme ; le fer homicide n’armera plus sa main, le feu dévorant de la guerre ne fera plus tarir la source des générations ; l’
la terre, l’aigle et le vautour dans les airs, ne règnent que par la guerre , ne dominent que par l’abus de la force et par la
rts. Au reste, il n’a que ce fier ennemi ; tous les autres oiseaux de guerre le respectent, et il est en paix avec toute la na
est trop voyant et trop fastueux. 2. Voici une belle page contre la guerre écrite par Jean Bodin (1530-1596) l’auteur de la
uceur de paix et de la vraye tranquillité d’esprit. Or, est-il que la guerre est du tout contraire à ce que j’ay dit, et les h
paix très-haute et assurée, qui toutefois est la ruine des hommes de guerre , desquels on ne sait ny mise ny receptes, non plu
que les fois ? Car le plus grand plaisir que reçoivent les hommes de guerre , c’est de fourrager le plat païs, voler les païsa
t fouler aux pieds tout droit divin et humain. Voilà les fruits de la guerre plaisants et agréables aux hommes guerriers, abom
19 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Fléchier. (1632-1710.) » pp. 69-75
ipline du prince d’Orange2, son oncle maternel, il apprit l’art de la guerre en qualité de simple soldat, et ni l’orgueil ni l
tendait le succès d’une entreprise qui, selon toutes les règles de la guerre , était infaillible. Hélas ! nous savions tout ce
rnelle paix à celui qui l’a sauvé des désordres et des cruautés de la guerre . Ici l’on offre le sacrifice adorable de Jésus-Ch
it craindre à l’iniquité le jugement et la censure ; vaillant dans la guerre , savant dans la paix ; respecté, parce qu’il étai
féminin lorsqu’il se prend dans le sens d’armoiries ou d’enseignes de guerre . 2. Ce passage a été étudié d’une manière exacte
20 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Voltaire. (1694-1778.) » pp. 277-290
des rives de l’Eure2 Est un champ fortuné, l’amour de la nature : La guerre avait longtemps respecté les trésors Dont Flore e
empire du Croissant. A la cour de Louis, guidé par son courage, De la guerre sous lui j’ai fait l’apprentissage : Ma fortune e
d’une nature paisible et heureuse, opposé aux scènes de douleur et de guerre qui suivent, un contraste d’un effet puissant sur
un contraste d’un effet puissant sur l’imagination. 3. Le cheval de guerre a été représenté en traits admirables dans le liv
u moindre mouvement, Il frappe du pied la terre, Et semble appeler la guerre Par un fier hennissement. 1. Réticence imitée
ay, qui a laissé aussi des Mémoires curieux sur les événements et les guerres auxquels sa vie a été mêlée, se montra même sur l
21 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Montesquieu. (1689-1755.) » pp. 130-139
XIV ; lorsqu’il mourut, Louis XVI était dans sa première année, et la guerre désastreuse de Sept ans allait éclater : déjà fer
ormant des desseins qui ne pouvaient être exécutés que par une longue guerre  : ce que son royaume ne pouvait soutenir. Ce n’ét
renverser, mais un empire naissant. Les Moscovites se servirent de la guerre qu’il leur faisait comme d’une école. A chaque dé
art il marche contre les Triballiens et les Illyriens, vous voyez une guerre comme celle que César fit depuis dans les Gaules.
qu’après sa mort, dans le trouble et la confusion des plus affreuses guerres civiles, après que les Grecs se furent, pour ains
22 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Guizot. Né en 1787. » pp. 469-478
, eut l’autorité de l’âge mûr. Dès le premier jour, il aimait dans la guerre , bien plus que le plaisir du combat, ce grand emp
d, le succès ne pouvait manquer. Pour conquérir l’indépendance par la guerre , il fallut neuf ans ; pour fonder le gouvernement
éblouissant, nul n’a été soumis à une plus complète épreuve : dans la guerre et dans le gouvernement, résister, au nom de la l
tard, lorsque de cette France, qui l’avait si bien soutenu pendant la guerre , lui arrivent, pendant sa présidence, des embarra
ant sa présidence, des embarras et des périls plus redoutables que la guerre , lorsque l’Europe bouleversée pèse sur lui comme
23 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Malherbe 1555-1628 » pp. 302-309
-1628 [Notice] Né à Caen, sous Henri II, témoin attristé des guerres civiles, et sujet reconnaissant d’un souverain qu
excrément de la terre3, Monstre qui dans la paix fais les maux de la guerre ,   Et dont l’orgueil ne connaît point de lois ; E
noms de maîtres de la terre, D’arbitres de la paix, de foudres de la guerre  ; Comme ils n’ont plus de sceptre, ils n’ont plus
s vers. 4. Voyons ici l’écho de la colère publique. On était las de guerres civiles. Voici des vers inédits, composés à la mê
24 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section I. Des Ouvrages en Prose. — Chapitre II. Des différentes espèces de Discours Oratoires. »
Saint, faire servir sa sainteté à sa dignité. Il a été grand dans la guerre et dans la paix, grand dans l’adversité, grand da
angers ; et c’est à quoi lui a servi sa sainteté. » 1º. Grand dans la guerre et dans la paix. Il n’a point aimé la paix, pour
int aimé la paix, pour vivre dans l’oisiveté, et il n’a point aimé la guerre , pour satisfaire son ambition. Qui le rendait si
ie, produisait des divinités, l’aurait fait passer pour le Dieu de la guerre  ; tant il avait d’avantage au-dessus de ceux qui
s ordres de la milice, qui se sont depuis signalés dans nos dernières guerres , et qui n’ont acquis tant d’honneur au nom frança
re à ce que vous attendiez de moi. Au lieu des prodigieux exploits de guerre , au lieu des victoires et des triomphes, au lieu
on peut assurer au rapport de Thucydide, qui a écrit l’histoire de la guerre de Péloponèse jusqu’à la vingtième année, c’est q
Athènes des obsèques publiques aux citoyens qui avaient été tués à la guerre de Samos, l’an 441 avant Jésus-Christ, et que Pér
ués, sont le Discours dans lequel il excite tous les Grecs à faire la guerre aux Perses, et sa Harangue sur les devoirs de la
étorique, à cinq chefs généraux, qui sont les finances, la paix et la guerre , la sûreté des frontières, le commerce et l’établ
les finances. Les hommes d’état qui délibèrent sur la paix ou sur la guerre , doivent non seulement connaître les forces du ro
unes aux autres. Il leur est aussi essentiel de savoir l’histoire des guerres de leur pays, et même de celles des autres peuple
25 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Notes pour l’intelligence des exemples cités dans ce second volume. »
et Cn. Corn. Scipion, que Cicéron et Virgile appellent des foudres de guerre , y commandaient alors l’armée romaine. Il se livr
es à ses états. Mais Cyrus, roi des Perses, à qui il avait déclaré la guerre , lui enleva tout son royaume, l’an 544 ayant Jésu
énéralissime des armées de l’empereur. Dans cette longue et sanglante guerre de la succession à la couronne d’Espagne, il gagn
signée en 1714, il soutint parfaitement sa gloire, dans une nouvelle guerre contre les Turcs, Mais la fin de sa carrière ne f
le deuxième fils de François de Lorraine, duc de Guise, qui dans nos guerres de religion fut assassiné au siège d’Orléans, par
condamné à une amende pour avoir engagé les Athéniens à continuer la guerre contre les Lacédémoniens : mais le peuple ne tard
l avant l’âge requis par les lois. Il termina glorieusement plusieurs guerres importantes en Afrique et en Asie, où périt le cé
s armées contre les Grecs. Mais Thémistocle, loin de vouloir faire la guerre à sa patrie, termina ses jours par le poison. On
s du Ciel et de la Terre. Ce sont les mêmes géants qui déclarèrent la guerre à Jupiter. Voyez le mot Etna dans les notes, à la
26 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Chapitre » pp. 169-193
ur d’autres que pour vous, Qu’au milieu des basards n’osait verser la guerre , Rodrigue en votre cour vient d’en couvrir la ter
larice, Cliton. Clarice. Quoi ! vous avez donc vu l’Allemagne et la guerre  ? Dorante. Je m’y suis fait quatre ans craindre
e attaquèrent les eaux, Qu’on crut que, pour leur faire une plus rude guerre , Tout l’élément du feu tombait du ciel en terre.
avec respect. Pauvre esprit !Je le perds Quand je vous ois3 parler de guerre et de concerts. Vous voyez sans péril nos bataill
rand maître à faire des romans. Ayant si bien en main le festin et la guerre , Vos gens en moins de rien courraient toute la te
néraux de l’empereur d’Allemagne Ferdinand III, qui prirent part à la guerre de Trente ans. 3. Termes de fortifications et de
nt part à la guerre de Trente ans. 3. Termes de fortifications et de guerre . 4. Contes que l’on fait à quelqu’un pour se mo
27 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « Introduction » pp. -
apprirent neuf cents mots environ, soit des termes militaires, comme guerre (werra), heaume (helm), haubert (halsberc), auber
plebeius sermo), qui datait de loin, (car il remontait aux premières guerres puniques), se propagea rapidement dans les couche
riptions gracieuses ; on sent que les mœurs s’adoucissent. L’homme de guerre est devenu chevalier ;son épée semble moins lourd
l’invasion normande, soit par le souvenir de Charlemagne, soit par la guerre sainte, comme la Chanson d’Antioche 1, se mêlent
ces pousses maladroitement attardées en plein hiver. Il faudra que la guerre contre les Anglais fasse saigner la France au cœu
ns fécondes entre l’Orient et l’Occident. Mais éclatèrent ensuite des guerres séculaires et des discordes civiles qui devaient
28 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Thiers. Né en 1797. » pp. 513-521
rendre comment elles se sont accomplies ; diplomatie, administration, guerre , marine, on met ces objets si divers à la portée
ommes avec justesse, à éclaircir les secrets de la politique et de la guerre , à narrer avec un ordre lumineux, à être équitabl
plusieurs fleuves, en bravant les flots et les feux ennemis. Quand la guerre est une routine purement mécanique, consistant à
plus sur l’Adige, mais sur Vienne. Il avait par ses succès ramené la guerre sur son véritable théâtre, celui de l’Italie, d’o
29 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section II. De l’Art d’écrire agréablement. — Chapitre I. Du style. » pp. 181-236
rofondes. C’est Louis XIV qui commande à la fortune : le destin de la guerre dépend de lui : sa présence rend ses soldats invi
n seul trait dans l’esprit. Les villes d’Albea et de Romeb étaient en guerre  ; et les armées, rangées en bataille, n’attendaie
neille, Sabine, native d’Albe, et femme d’un citoyen de Rome, voit la guerre allumée entre ces deux villes. Ces sentiments que
n cher pays et mon premier amour, Lorsqu’entre nous et toi je vois la guerre ouverte, Je crains notre victoire autant que notr
donné bataille, Sil en avait voulu tâter. Il parlait fort bien de la guerre , Des cieux, du globe de la terre, Du droit civil,
se modérer dans la prospérité, ou se soutenir dans les malheurs de la guerre (troisième membre) : son âme fut toujours égale »
et que la nature force à se venger ; ces troncs pourris, qui font la guerre au reste des vivants, ont été regardés comme une
Oraison funèbre de Turenne a, par Mascaron : « Les dehors même de la guerre , le son des instruments, l’éclat des armes, l’ord
des Dieux du paganisme, on prend Vulcain, pour le feu : Mars, pour la guerre  ; Neptune, pour la mer ; Apollon, pour la poésie,
30 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section cinquième. La Tribune académique. — Chapitre VII. Fontenelle. »
0, le czar, soutenu de l’alliance d’Auguste, roi de Pologne, entra en guerre avec Charles XII, roi de Suède, le plus redoutabl
uvenir de leur histoire. Aussi le czar disait-il, en commençant cette guerre  : Je sais bien que mes troupes seront longtemps b
our la gloire ; Alexiowitz ne fuyant point le péril, et ne faisant la guerre que pour ses intérêts : le monarque suédois libér
31 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre VIII. Petites pièces anciennes. »
eurs qui coulent de mes yeux. Tonne, frappe, il est temps : rends-moi guerre pour guerre. J’adore en périssant la raison qui
lent de mes yeux. Tonne, frappe, il est temps : rends-moi guerre pour guerre . J’adore en périssant la raison qui t’aigrit. Ma
donné bataille S’il en avait voulu tâter. Il parlait fort bien de la guerre , Des cieux, du globe de la terre, Du droit civil,
32 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Thiers Né en 1797 » pp. 265-270
ire ; il faut surtout qu’il connaisse les hommes, car les hommes à la guerre ne sont pas des machines ; au contraire, ils y de
grands capitaines. A toutes ces connaissances supérieures, l’homme de guerre ajoutera les connaissances plus vulgaires, mais n
s vie militaire, si vous ne dévorez pas les livres et les plans de la guerre , si vous ne baisez pas les pas des vieux soldats,
33 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Voiture, 1598-1648 » pp. 21-25
sont convertis par le dernier miracle qu’il vient de faire ; et si la guerre peut finir, comme il y a apparence de l’espérer,
upé jusqu’à présent qu’à songer aux moyens de fournir aux frais de la guerre , à lever de l’argent et des hommes, à prendre des
re nos marchandises et à tenir la mer libre, et nous n’aurons plus la guerre qu’avec les corsaires. Alors les ennemis de M. le
34 (1853) Exercices de composition et de style ou sujets de descriptions, de narrations de dialogues et de discours
n que son père cesse d’être malheureux. Ce fait est arrivé pendant la guerre de sept ans (de 1756 à 1763). Les Abenakis s’étai
peu de ressources. 40. Les chaînes d’argent (1544). Pendant les guerres de François Ier et de Charles-Quint en Italie, In
et animé, quelquefois gai et plaisant. Ce fait a eu lieu pendant les guerres de Charles V contre les Anglais. Les seigneurs de
généreux dévouement. Le jeune prince Léopold s’était signalé, dans la guerre de sept ans, par son courage et par son humanité.
ire, Le jeune homme fait son choix. 64, 65 et 66. Le prisonnier de guerre . Sujet et plan. 1ère partie. Jules, officier f
nçais, âgé de vingt-cinq ans, est déjà chef de bataillon ; pendant la guerre de 1812, on l’envoie dans un bois faire une recon
Aurèle et était resté son ami. 70. Sylla et Célius. (Épisode des guerres civiles de Rome.) Sujet et plan. L’impitoyable
et qui paraissaient capables de supporter un jour les fatigues de la guerre . Les enfants délicats et faibles étaient jetés da
uite à la place de son oncle. 73. Justice et grâce. Pendant les guerres de Charles-Quint et de François en Italie. Pescai
lors très-redoutables, et où ce malheureux pays était déchiré par des guerres continuelles. 75. La dot de Fanchette. Suje
à Saint-Florent, sur la rive gauche de ce fleuve. Les prisonniers de guerre appartenant à l’armée républicaine, au nombre de
ond jusqu’à la mort. Les Anglais, furieux, sortent de la salle, et la guerre contre l’Angleterre est proclamée. Cette guerre f
nt de la salle, et la guerre contre l’Angleterre est proclamée. Cette guerre fut heureuse. Robert Bruce parvint à délivrer l’É
nie. La Lithuanie, alors barbare et païenne, était continuellement en guerre avec la Pologne. Jagellon promettait, si on lui a
e roi d’Aragon, Pierre III, accepte la couronne de Sicile et entre en guerre avec Charles d’Anjou, à qui le royaume de Naples
mes, Henri voudrait rendre le jour aux Français qu’ont moissonnés les guerres civiles. Comment prouvera-t-il aux Français qu’il
on frère aîné. Arthur réclama ses droits et trouva des défenseurs. La guerre entre l’oncle et le neveu avait duré quatre ans,
ni. Qui s’en chargera ? Ce ne sera pas le Gouvernement français ; les guerres civiles l’en empêchent : d’ailleurs, les protesta
otestants lui sont suspects, et il ne voudrait pas s’engager dans une guerre avec l’Espagne pour les venger. Ce sera de Gourgu
ette entreprise les dispensera pour quelque temps de prendre part aux guerres civiles qui probablement vont recommencer : ils a
lsques étaient un peuple belliqueux, voisin des Romains et souvent en guerre avec eux. Leur ville principale était Antium, auj
horrible résolution. Conradin doit être considéré comme prisonnier de guerre et traité comme tel ; la justice le veut ; l’huma
euple, surtout des Parisiens, aspirait au trône. Il avait profité des guerres de religion et de la faiblesse de Henri III pour
armé et un lâche assassinat. Ce prélat qui, dès le commencement de la guerre , avait supporté leurs fatigues et partagé leurs d
t. On lit dans la Gazette des Tribunaux du 24 juin 1836 : Conseil de guerre de Paris. « Un jeune homme au teint brun foncé, c
onomie des plus intéressantes, est amené devant le premier conseil de guerre sous la prévention de désertion. Les causes qui o
tent cette affaire hors de ligne de toutes celles que les conseils de guerre sont appelés à juger. Pierre Huc, jeune soldat de
r et traduire comme prévenu de désertion devant le premier conseil de guerre Le président, au prévenu. Pourquoi avez-vous dése
35 (1885) Morceaux choisis des classiques français, prose et vers, … pour la classe de rhétorique
am les nombreux citoyens, Enrichis dans la paix, triomphaient dans la guerre  ; Mais les hymnes troyens Ne retentiront pas sur
lligence diminuent l’inégalité parmi les hommes. Alors commence cette guerre intestine, et toujours subsistante dans les socié
quels étaient ces soldats ? Des aventuriers, rebut de républiques en guerre les unes contre les autres, des gens perdus de de
’est l’ancien et intime ami de l’empereur, le compagnon de toutes ses guerres , l’agent de toutes ses négociations, son représen
et ses aspirations suprêmes. C’est là, selon le langage des hommes de guerre , la base d’opération de la religion chrétienne ;
s petits avantages : or, comme son génie est puissant et heureux à la guerre , il trouva l’armée d’Espagne le vingt-unième jour
d, le succès ne pouvait manquer. Pour conquérir l’indépendance par la guerre , il fallut neuf ans ; pour fonder le gouvernement
éblouissant, nul n’a été soumis à une plus complète épreuve : dans la guerre et dans le gouvernement, résister, au nom de la l
t aux Américains était en réalité peu de chose : son expérience de la guerre n’était pas grande ; sa fortune n’était que celle
r, dont le monde est jaloux. Les nobles autrefois allaient seuls à la guerre  ; Aujourd’hui je suis noble, et je défends ma ter
noms de maîtres de la terre, D’arbitres de la paix, de foudres de la guerre  : Comme ils n’ont plus de sceptre, ils n’ont plus
erté meurt sur le fumier des villes. Oui, vous qui la plantez sur vos guerres civiles, Vous la semez en vain, même sur vos tomb
arvenus Ni les troubles, Zénobie, qui agitent votre empire, ni la guerre que vous soutenez virilement contre une nation pu
sthène n’a point de jolies pensées, quand il anime les Athéniens à la guerre  ; s’il en avait il serait un rhéteur, et il est u
jà du tyran fatiguaient les hauteurs, Se voient poussés à bout par la guerre aux Rutules, Dont les énormes frais dévorent leur
ourné du côté du butin. C’est dans ce but secret que Tarquin fait ses guerres  : Il se gagne le peuple en lui gagnant des terres
e ; Je n’ai pour ennemis que ceux du bien commun ; Je leur fais bonne guerre , et n’en proscris pas un. C’est un asile ouvert q
elle est toute où je suis. Est-ce être tout Romain qu’être chef d’une guerre Qui veut tenir aux fers les maîtres de la terre ?
x de me cacher, J’attende en ces déserts qu’on me vienne chercher. La guerre a ses faveurs ainsi que ses disgrâces : Déjà plus
é ; Il voit plus que jamais ses campagnes couvertes De Romains que la guerre enrichit de nos pertes. Des biens des nations rav
ourront-ils m’arrêter ?     Marchons, et dans son sein rejetons cette guerre Que sa fureur envoie aux deux bouts de la terre.
ins, que de projets, que de secrets, que d’intérêts à démêler, que de guerres commencées, que d’intrigues, que de beaux coups d
t de maux, qu’à garder quelques places de la frontière qui causent la guerre  ? Quelle réponse à cela, sire ?… Mais pendant qu’
mille moustaches à mon service, je ne prétends point du tout faire la guerre . Je ne songe qu’à déserter honnêtement, à prendre
leur privation ; il passe même dans le parti des gens qui lui font la guerre , il entre dans leurs desseins, et, ce qui est adm
Du Duel Le duel n’est pas un cas de défense naturelle, c’est une guerre déclarée entre deux individus, dans laquelle chac
s de la terre et les trésors du ciel. Saint-Marc Girardin. La Guerre Si vous voyez deux chiens qui s’aboient, qui
ge, et elle est personne d’un grand fracas107. La Bruyère. La Guerre . Il suffit de jeter les yeux sur la situation
orce y a opérés pendant ces dernières années, pour reconnaître que la guerre n’a rien perdu de son empire sur les affaires hum
re, aujourd’hui comme hier, la dernière raison des États. Mais, si la guerre règne encore parmi les hommes, c’est comme un sou
édit tous les jours davantage. Cette recrudescence d’aversion pour la guerre vient de la multiplication des richesses, de l’ac
l’accroissement inouï dans notre siècle des intérêts matériels que la guerre met en souffrance ou en péril, et aussi de l’adou
d’autrui. Qui d’ailleurs ne ferait des vœux pour la disparition de la guerre  ? qui ne souhaiterait de voir inaugurer entre les
eur grandeur ; il faut se soumettre à la nécessité, et, sans aimer la guerre , sans cesser de l’éviter de toutes nos forces et
rendre la triste grandeur. Il est trop facile d’abaisser l’idée de la guerre en montrant seulement ce qu’elle a de brutal et d
raisons, et toutes celles qu’il est si aisé d’employer pour avilir la guerre , font habilement perdre de vue la mort qui plane
lane sur tout champ de bataille, grand ou petit, et qui accompagne la guerre de sa funèbre mais imposante image. C’est en effe
et à la grandeur de l’intérêt en jeu, pour ajouter à la dignité de la guerre . Mais il ne faut pas, comme il est aujourd’hui d’
erreur. Enfin ceux qui nous invitent à n’avoir que du mépris pour la guerre oublient encore un des traits qui en ennoblissent
la présence de l’art et l’intervention du génie qui apportent dans la guerre le calcul, la combinaison, la fermeté, la prévoya
eté, la prévoyance tranquille au milieu du péril, et font ainsi de la guerre une épreuve décisive pour les plus hautes faculté
qualités de son caractère. Prévost-Paradol 108. Morale de la Guerre Si la guerre est soumise, comme tout le reste
caractère. Prévost-Paradol 108. Morale de la Guerre Si la guerre est soumise, comme tout le reste des institutions
 ? En d’autres termes, quelle doit être l’influence du progrès sur la guerre  ? On résout aisément cette question, en songeant
sur la guerre ? On résout aisément cette question, en songeant que la guerre fait partie de ces arts qui reposent sur une infi
able consisterait dans leur suppression même. Si la suppression de la guerre est l’idéal inaccessible sur lequel il convient d
irement que le progrès en cette matière consiste surtout à réduire la guerre à son minimum, c’est-à-dire à ne faire intervenir
erre à son minimum, c’est-à-dire à ne faire intervenir l’emploi de la guerre que dans le cas de nécessité absolue, et à l’enfe
es yeux cette maxime qui résume la loi du progrès en ce qui touche la guerre  : réduire la guerre à son minimum, et nous allons
qui résume la loi du progrès en ce qui touche la guerre : réduire la guerre à son minimum, et nous allons voir avec quelle ri
eront la plupart des conseils utiles qu’on peut donner au sujet de la guerre . La guerre est, à proprement parler, l’emploi de
upart des conseils utiles qu’on peut donner au sujet de la guerre. La guerre est, à proprement parler, l’emploi de la force pa
ar conséquent assez chanceux pour ne pouvoir être accompli que par la guerre  ; si c’est pour se défendre, c’est-à-dire pour sa
mé, le gouvernement qui est réduit à employer le suprême remède de la guerre , ne doit prendre ce parti qu’à la dernière extrém
nos yeux le chef politique d’une nation, lorsque, appelant l’homme de guerre à son aide, il est réduit à lui dire : « Je ne pu
dre de plus en plus rares que consiste le progrès en ce qui touche la guerre  ; réduire la guerre au minimum dans ses causes es
rares que consiste le progrès en ce qui touche la guerre ; réduire la guerre au minimum dans ses causes est donc le devoir et
se fit livrer les armes et les vaisseaux, et ensuite leur déclara la guerre . Par les choses que fit dans le désespoir Carthag
e les compagnies franches du moyen âge étaient aux rois ; ils font la guerre pour leur propre compte, alors même qu’ils porten
uments et leur autorité ? L’un114 me montre ici-bas deux principes en guerre , Qui, vaincus tour à tour, sont tous deux immorte
-Rusand édit.) 106. Discours. (Lecoffre édit.) 107. « Quant à la guerre , qui est la plus grande et pompeuse des actions h
36 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — La Bruyère. (1646-1696.) » pp. 91-100
lheur. Ni les troubles, Zénobie 1, qui agitent votre empire, ni la guerre que vous soutenez virilement contre une nation pu
pour ses biens ni pour sa vie, respire le feu et le sang, s’occupe de guerres , de ruines, d’embrasements et de massacres ; souf
es fautes ; je sais bien ce que je dis, je suis du métier. J’ai vu la guerre , et l’histoire m’en a beaucoup appris. Il parle l
nous. 2. Cette ville fut prise en 1636 par les Impériaux, dans la guerre de Trente ans. 3. Autrefois à Paris les rues se
37 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Pascal. (1623-1662.) » pp. 35-39
Lutte de la violence contre la vérité. C’est une étrange et longue guerre que celle où la violence essaye d’opprimer la vér
res, ciel, terre, élément, plantes, animaux, insectes, fièvre, peste, guerre , famine, vices4. Et depuis qu’il a perdu le vrai
ù cet écrivain décrit avec une admirable énergie la longue et étrange guerre de la violence et de la vérité… Démosthène, Chrys
38 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — V — article » p. 425
ent la suite de cette victoire, il termina cette fameuse et sanglante guerre de la Succession. Les dernières années de Villars
es dernières années de Villars furent encore utiles à l’état. Dans la guerre de 1733, il fut envoyé en Italie, où le duc de Sa
39 (1881) Morceaux choisis des classiques français des xvie , xviie , xviiie et xixe siècles, à l’usage des classes de troisième, seconde et rhétorique. Prosateurs
eu des incendies, des pendaisons et des massacres, de ses effroyables guerres civiles et religieuses, avait conservé du vieux s
gaulois la folie du rire et la passion des contes. Les siècles de la guerre des Albigeois, de la guerre de cent ans, avaient
la passion des contes. Les siècles de la guerre des Albigeois, de la guerre de cent ans, avaient écrit les fabliaux ; le plus
s, comme Palma Cayet, Régnier de la Planche, L’Étoile, qui ont vu les guerres de religion et Henri IV. Au-dessus d’eux les homm
911) : … Ces craintes trop subtiles Qui m’ôtent tout le fruit de nos guerres civiles Où l’honneur seul m’engage, et que pour t
osophie, morale, législation, histoire, médecine, astronomie, marine, guerre , jeux, gymnastique, curiosités bibliographiques ;
iques ; esprit d’examen, de critique, d’émancipation intellectuelle ; guerre à l’intolérance, au fanatisme, à la scolastique e
nd les aultres paissent ? le n’y sçay rien. C’est ung tour de vieille guerre . Que t’en semble, frere Iean ? — Tout bien de vou
vé maulvais, sinon qu’il me semble qu’ainsi comme iadis on souloit en guerre , au iour de bataille ou assault, promettre aux so
quelque jour vous soubvienne. Et si iamais peste au monde, famine, ou guerre , voraiges78, cataclismes, conflagrations, malheur
ar il n’est rien qu’on ne feist du jargon de nos chasses et de nostre guerre , qui est un genereux terrain à emprunter ; et les
Sparte, preparez d’une belle et longue oraison, pour l’esmouvoir à la guerre contre le tyran Polycrates ; aprez qu’il les eut
tes si grand qu’il est, pour lequel vous allez si courageusement à la guerre , pour la grandeur duquel vous ne refusez point de
z vos enfans, à fin qu’il les mene, pour le mieulx qu’il face, en ses guerres , à la boucherie154, qu’il les face les ministres
sainct Concile ? Cependant ne remuons rien legerement, ne mettons la guerre à nostre royaume par sedition, ne brouillons et c
août 1563.) Faire la paix avec les calvinistes Le but de la guerre , c’est la paix ; laquelle s’acquiert ou par compo
rallier et reprendre nouvelle intelligence pour dresser une nouvelle guerre , tellement qu’au lieu d’ensevelir ceste dissensio
hydre espouvantable en une petite faction… Doncques la longueur de la guerre ne peult remplir que de ravages et massacres cett
z et assemblez ; et depuis s’estoit accreuë et fortifiee par armes et guerres continuelles, tout ainsi que les pilotis que l’on
e de quarante et trois ans entiers, tant estoient toutes occasions de guerres et par tout esteintes et amorties ; à cause que n
d’Antonius, et les autres du costé de ce ieune Cæsar, et les gens de guerre vendans leur service, ne plus ne moins qu’à un en
ary Hector, ainsi qu’il sortoit de la ville de Troye, pour aller à la guerre , et comment Hector lui rebailloit son petit enfan
de Pavie à Calais, de Marseille à Naples, et aussi comment, dans les guerres civiles et religieuses, on se fait un renom de « 
isté que je n’ay jamais esté deffaict ni surprins en quelque faict de guerre où j’aye commandé, ains tousjours rapporté victoi
bien faire que de bien dire : lesquelz contiennent tous les faicts de guerre ausquelz je me suis trouvé, ou qui se sont execut
e maréchal de Brissac, en Afrique dans l’armée espagnole ; il fit les guerres religieuses et civiles contre les huguenots, il f
le grand maistre de l’eveque de Liege leur avoit fait aultresfois la guerre , et estoit tenu d’eulx pour mortel ennemy. Cette
la paix à coudes et à mains joinctes ; n’ayant point de part en leur guerre , vous n’en avez point en leur paix : voilà Monsie
e conversions dans un pays qui n’avait pas oublié les atrocités de la guerre des Vaudois. C’est à la demande de Henri IV qu’il
ouvert dès 1608 aux honnêtes gens de la cour et de la ville, que les guerres religieuses du siècle précédent dispersaient ou d
que vous soyez au premier conclave et que vous vous trouviez à cette guerre , qui ne laissera pas d’être grande pour être comp
ce sur laquelle on pouvoit juger que tomberoit tout l’effort de cette guerre , et qui, étant conservée ou étant reprise, devoit
sont convertis par le dernier miracle qu’il vient de faire. Et si la guerre peut finir comme il y a apparence de l’espérer, i
upé jusqu’à présent qu’à songer aux moyens de fournir aux frais de la guerre , à lever de l’argent et des hommes, à prendre des
ys ni de mes livres. J’étois alors313 en Allemagne, où l’occasion des guerres qui n’y sont pas encore finies m’avoit appelé ; e
e lui-même avec la plus entière sincérité. Enfin il intervint dans la guerre du Cid par une lettre fière au plus acharné de se
enant des gardes de la reine349 ; qu’il seroit défendu à tous gens de guerre , sous peine de la vie, de prendre des commissions
ation, et leurs ligues offensives et défensives, aussi bien que leurs guerres d’esprit et leurs combats de prose et de vers. LY
eux ! La monarchie ébranlée jusqu’aux fondemens, la guerre civile, la guerre étrangère378, le feu au dedans et au dehors ; les
et pour résister à vos ennemis, et pour conserver vos alliés. Mais la guerre qui oblige Votre Majesté à de si grandes dépenses
sans que Votre Majesté en profite, tant par les désordres des gens de guerre , que par les frais qui se font à lever la taille,
s choses ; mais comme la nécessité de faire et de soutenir une grande guerre exige aussi qu’on s’applique à ménager les forces
manquer de quoi vivre ; si, nonobstant les dépenses effroyables de la guerre , du mariage de Votre Majesté et de la conclusion
; si les compagnies souveraines, quoique au milieu des tumultes de la guerre , au milieu presque des mouvemens de l’État, et en
ment donné de Dieu pour la restauration de la France, fut grand en la guerre , grand en la paix. Il effaça, par son application
acquitter ; toujours une soif et un besoin d’argent, en paix comme en guerre  ; c’est un abîme de je ne sais pas quoi, car il n
ins, que de projets, que de secrets, que d’intérêts à démêler, que de guerres commencées, que d’intrigues, que de beaux coups d
ne » Ni les troubles, Zénobie450, qui agitent votre empire, ni la guerre que vous soutenez virilement contre une nation pu
eu des soins multiples de l’administration d’un diocèse ravagé par la guerre , où il prodigue ses soins aux blessés des armées
ns n’osèrent souffler, ni faire sentir les rigueurs de l’hiver. Ni la guerre altérée de sang, ni la cruelle envie qui mord d’u
t de maux, qu’à garder quelques places de la frontière qui causent la guerre  ? Quelle réponse à cela, Sire ? Les émotions popu
vous mettez au désespoir en leur arrachant, par vos impôts pour cette guerre , le pain qu’ils tâchent de gagner à la sueur de l
de la pastorale de salons et des Églogues sur sa théorie ; qui fit la guerre aux anciens contre les Boileau et les Racine ; — 
fois d’un palais vraiment épiscopal ; et toujours beaucoup de gens de guerre distingués, et beaucoup d’officiers particuliers 
03) dont le Parallèle des anciens et des modernes fut le signal d’une guerre fameuse dans les lettres, et dont les Contes sont
ar un nom honorable entre tous, celui de Vauban (1633-1707), homme de guerre , ingénieur, le « grand patriote » (Saint-Simon),
n’avois pas eu grand peur. Cette princesse me faisoit une continuelle guerre de ma poltronnerie : si bien qu’elle me fit l’hon
is dans ce Paris, le séjour du délice et des douceurs, on pût voir la guerre ou des barricades autre part que dans l’histoire
agréablement. Il avoit le génie admirable et particulièrement pour la guerre  : le jour du combat, il étoit fort doux à ses ami
it une figure malheureuse. Il s’étoit trouvé en tant d’occasions à la guerre , qu’avec un bon jugement qu’il avoit et une appli
te. Son véritable talent, qui est, à mon avis, le plus estimable à la guerre , étoit de rétablir une affaire en méchant état. Q
mère qu’il rendroit bon compte de ma personne dans les dangers de la guerre . J’espère qu’il tiendra mieux sa parole à l’égard
art il marche contre les Triballiens et les lllyriens, vous voyez une guerre comme celle que César fit depuis dans les Gaules.
qu’après sa mort, dans le trouble et la confusion des plus affreuses guerres civiles, après que les Grecs se furent, pour ains
obligé de sortir de Rome, je me conduisis de même : j’allai faire la guerre Mithridate ; et je crus détruire Marius à force d
râces aux dieux des succès dont je le désespérois. Je lui faisois une guerre de réputation plus cruelle cent fois que celle qu
e ; un courage contre les misères, qui est patience ; un courage à la guerre , qui est valeur ; un courage dans les entreprises
écipices, bravoit des périls éminens566 ; mais la mort, présente à la guerre , ébranloit son âme. Un nombre innombrable de Roma
, depuis neuf ans, sans espérance, dans les emplois subalternes de la guerre , avec une foible santé, je me mets aux pieds de V
lé sous les boucliers des Samnites. Mais, c’est une plaisante ruse de guerre que de dire, comme le comte de la Blache : cette
qui plus d’une fois avez calmé mes passions, puissent les cris de la guerre ne troubler jamais vos résonnantes clairières ! N
ritudo nominis. Suspect Enfin s’était-on acquis de la réputation à la guerre  ; on n’en était que plus dangereux par son talent
destal de Sidney et de Jean de Witt615 ? qu’est-ce, dans un moment de guerre où j’ai eu mes deux frères hachés pour la liberté
s avoue que je fus saisi d’étonnement… Je n’avois jamais tiré qu’à la guerre sur des animaux qui parlent. « Je n’en ferai rien
ace un temps ! qui nous rapproche de celui où nous n’existerons plus. Guerre , plaisirs, succès d’autrefois, lieux où nous les
lieu des coups de fusil, et jugeant néanmoins de tout à merveille. La guerre ne l’enivre pas, mais il y est ardent d’une jolie
, étaient forcés de saluer un vieux roi, invalide du temps, non de la guerre , surveillés qu’ils étaient par une armée de Russe
alyse narrative, critique et technique : il fait connaître l’homme de guerre . C’est surtout dans les proclamations et les entr
i 1797). « Monsieur le général en chef, les braves militaires font la guerre et désirent la paix. Cette guerre ne dure-t-elle
chef, les braves militaires font la guerre et désirent la paix. Cette guerre ne dure-t-elle pas depuis six ans ? Avons-nous as
it fait connaître à Sa Majesté l’Empereur le désir de mettre fin à la guerre qui désole les deux peuples. L’intervention de la
ur les intérêts et les passions d’une nation étrangère aux maux de la guerre , que nous continuions à nous entr’égorger ? Vous,
la force des armes ; mais, dans la supposition que les chances de la guerre vous deviennent favorables, l’Allemagne n’en sera
a trempe la plus forte, et avoir une bien haute idée de sa science en guerre , celui qui, interpellé par son jeune vainqueur n’
l’étendue de leurs succès. Ils n’ont cessé de faire constamment de la guerre une véritable science. C’est à ce titre seul qu’i
diait les hommes ; on ne les voit nulle part comme ici. Homère fit la guerre  ; gardez-vous d’en douter. C’était la guerre sauv
comme ici. Homère fit la guerre ; gardez-vous d’en douter. C’était la guerre sauvage. Il fut aide de camp, je crois, d’Agamemn
le. Ma foi, écrive qui voudra, je vais aider à Stroltz. Adieu. La guerre en Italie À Madame… À Reggio, en Calabre, le
est un jeune homme, à ce que je puis voir, dont les aïeux ont fait la guerre , et qui daigne être colonel. Il veut me protéger
une ni les grandeurs du sang. Il rapportait aux siens vingt années de guerre , des grades obtenus lentement l’un après l’autre,
ire d’Espaing du Lion, homme habile dans les négociations et dans les guerres . Il l’accoste, et, tout en chevauchant de concert
lles des arts, les palais, les fêtes, la solennité des sacrifices, la guerre avec ses terribles images et sa sanglante parure,
e pontife, dans l’éloge de la princesse Palatine et dans le récit des guerres sauvages de Pologne, ou le poëte, dans sa joie tr
des Perses aux arcs recourbés ? Ce n’est pas seulement le même cri de guerre , je même accent d’une âme belliqueuse ; le vêteme
jeune que son âge, non pas fatigué ou refroidi, mais cicatrisé par la guerre , le général Foy, avec son front large et chauve,
t la fatigue de cinq ans de tribune, succédant à plus de vingt ans de guerre continue, était fort sensible en lui, et mêlait p
e battait sous les murs de Prague et de la Rochelle. Il avait fait la guerre en amateur, il philosophait de même. Il était ass
de monuments superbes, n’est jamais troublé que par les ravages de la guerre ou par l’oppression de l’homme en pouvoir, il n’e
pouvoir, il n’est pas tenté de croire que la nature ait eu aussi ses guerres intestines, et que la surface du globe ait été bo
de la flotte normande (1066) Guillaume787 fit publier son ban de guerre dans les contrées voisines : il offrit une forte
coururent à grandes journées ; les uns étaient chevaliers et chefs de guerre , les autres simples piétons et sergents d’armes,
……………………………………………………………………… Le rendez-vous des navires et des gens de guerre était à l’embouchure de la Dive, rivière qui se j
heureuse ; mais un jour la chance devint contraire, et le flot de la guerre amena l’invasion sur la terre des envahisseurs790
s, s’assemblaient en conseil, se décrétaient les lois de police et de guerre , sans plus songer à Jacques que si Jacques n’eût
opprimèrent ; plus d’une fois des factions opposées se livrèrent une guerre intestine. Jacques porta toujours le poids de ces
place, attendu qu’on avait besoin de lui. Jacques, qui, depuis cette guerre , porta le surnom de Jacques Bonhomme, se rétablit
té et de liberté. Le pouvoir capitula, puis il se rétracta ; il y eut guerre , et Jacques fut vainqueur, parce que plusieurs am
’inspiration le commandement au milieu du feu, l’exerçant en homme de guerre supérieur, et, après la victoire, rentrant dans s
es. Son esprit solide et profondément cultivé, son intelligence de la guerre , son application à ses devoirs, son désintéressem
ère supérieure et persévérante une politique toujours compliquée, des guerres sans cesse renaissantes. On le vit à plusieurs re
et Henri II, au prix de trente-quatre ans d’efforts, de cinq longues guerres , dans lesquelles, presque toujours victorieux, il
adémique Didier et Cie.) État de la France au commencement de la guerre de la Succession d’espagne Le grand siècle ve
générations remuées par le besoin d’indépendance et par l’action des guerres civiles. Pascal, Molière, Corneille, La Fontaine,
de Louvois, affaibli l’administration de l’armée ; et de trop longues guerres avaient enlevé à l’agriculture ses bras et ses re
l’air de la liberté pour grandir. C’est dans ces circonstances que la guerre de la succession s’ouvrit. (Notices et Mémoires
e brigands ; elle s’impose à la cour de Charles VII, se jette dans la guerre  ; et dans les camps qu’elle n’a jamais vus, dans
fils de laboureurs, dont les grands-pères avaient fait les dernières guerres de religion, Ces guerres de partisans, ces escarm
les grands-pères avaient fait les dernières guerres de religion, Ces guerres de partisans, ces escarmouches a coups de pistole
e homme, les ponts d’Arcole et de Lodi830. Depuis Gustave-Adolphe, la guerre s’était inspirée d’un plus libre génie. On croyai
ngers, femmes de lettres, hommes de lettres, hommes d’État, hommes de guerre , savants, voyageurs, etc., tous s’y suivent, et y
tion naturelle de l’esprit humain, les souvenirs encore ardents de la guerre et de la Révolution, le goût des aventures, le re
e qui fait que, dans les Mémoires du xvie  siècle, dans des récits de guerres de religion, les idées et les opinions tiennent m
leçon apprise aux écoles. L’impulsion première vint de l’Italie. Nos guerres dans ce pays nous apportaient, avec le mal de l’i
, de huniers, de triples évantails de rames, de tours, de machines de guerre et d’échelles renversées entraînant leurs grappes
Ain-Mahdy, vendredi, juillet 1853. Les cavaliers étaient armés en guerre et costumés, parés, équipés comme pour un carrous
Il avait fait entendre pour la première fois à l’armée le bruit de la guerre et éprouvé le patriotisme français au feu de cent
ur. Nous nous soutenions mutuellement dans les travaux pénibles de la guerre  ; nous buvions dans la même coupe ; nous couchion
nous une nouvelle patrie. Je l’ai vu en butte à tous les périls de la guerre , et d’une guerre désastreuse. — La mort semblait
patrie. Je l’ai vu en butte à tous les périls de la guerre, et d’une guerre désastreuse. — La mort semblait épargner l’un pou
malgré nous, et fait que nous attendons toujours un événement ou une guerre . Je ne sais (et je venais vous en parler) s’il ne
quets d’infanterie et de cavalerie. On peut dire que la majesté de la guerre éclatait là dans toute sa splendeur. De ce sommet
oir. Sa taille était haute, mais un peu voûtée, et les fatigues de la guerre avaient imprimé sur son front chauve plus de ride
Octave Piccolomini, de Sienne, un des généraux de l’Empire pendant la guerre de Trente ans. 307. En 1597. 308. Détournée. De
V, électeur palatin. 378. La Fronde, guerre civile (1648-1652) ; la guerre étrangère avec l’Espagne, terminée en 1659. 379.
fils Louis XIV. 384. L’éloignement de madame de Montespan. 385. La guerre de Hollande, commencée en 1672. 386. Plonger dan
r. (Note de l’auteur). On prend sur le fait, dans ce petit détail, la guerre que se faisaient l’exilée et le gouvernement impé
les attribuées à l’abbé de Cîteaux, généralissime des Croisés dans la guerre des Albigeois (sac de Béziers, 22 juillet 1209).
ueillir sur l’organisation des poissons, sur leurs habitudes, sur les guerres que les hommes leur livrent, sur le parti qu’ils
Cf. Michelet : « Il était pourtant bien tard pour commencer une telle guerre . Il y avait 57 ans qu’il régnait. Il avait vieill
852. Saint Luc, chap. xv. 853. Voyez le xvie  siècle : « Que de guerres civiles ! que de meurtres et de crimes ! C’est al
s, flanqués de tours qui dntent de 1431. — Le traité qui mit fin à la guerre de Charles de Blois, contre Jean de Montfort, fut
40 (1862) Cours complet et gradué de versions latines adaptées à la méthode de M. Burnouf… à l’usage des classes de grammaire (sixième, cinquième, quatrième) pp. -368
n de sa personne arrête le courroux d’un ennemi (lorsqu’il faisait la guerre , quatre ans avant, à Antiochus) ; des pirates le
e peuple, autrefois immense, avait été réduit par la multiplicité des guerres , ou par la captivité ! Version XVIII. Ruine
XX. Des prodiges chez les Romains. 20. Les Romains, après une guerre longue et opiniâtre, avaient réduit les Véiens à
on enfonce les portes, on brise les verroux. Si quelquefois, dans une guerre ou dans une alarme soudaine, on demande aux parti
a victoire, cyrus, ayant fait rentrer dans l’ordre Babylone, porte la guerre en Lydie, et dissipe facilement l’armée de Crésus
up affreux dont il était menacé. Jusque-là, il ne se faisait point de guerre , que le jeune prince n’y fût envoyé : on le retin
utées par Trajan à la domination romaine. Jamais il ne suscita aucune guerre  ; et celles qui furent suscitées par d’autres, il
n concurrent à l’empire, travaillait plus que jamais à recommencer la guerre , quand les vaincus, tout récemment soumis, voyaie
ssait trop bien l’ennemi, pour ignorer l’issue que devait avoir cette guerre  ; il avait d’ailleurs l’âme trop haute, pour serv
le tient le premier rang. Ils tirent de son sein les généraux pour la guerre , et les magistrats pour la paix. Leur langue tien
cheval [illisible chars][texte coupé]t à tirer de l’arc. En temps de guerre , les plus riches fournissent au roi le plus de ca
sitôt une occasion d’assurer ses jours. Version LVIII. Première guerre Punique. 58. Le peuple romain, vainqueur de l
es envelopper de mystère ; qui, tout occupé qu’il est à repousser les guerres du dehors, [illisible chars][texte coupé]uisse, p
ent promptement, mais néanmoins avec inquiétude sur les dangers d’une guerre lointaine et hasardeuse. Quand ils furent prêts,
e sortant des rochers qui hérissaient le sol, un de vos compagnons de guerre étendit sous vous son manteau ? — Comment l’aurai
dieux, les esclaves nommèrent Straton roi de Tyr. Version LXX. Guerre des Pirates. 70. Pompée, voulant détruire d’u
se porta en personne vers la Cilicie, point de départ et foyer de la guerre . Les ennemis ne refusèrent point le combat ; et c
du monde : ainsi l’ordonne le ciel. Qu’ils cultivent donc l’art de la guerre  ; qu’ils sachent et qu’ils lèguent à leurs descen
érents ordres de l’Etat : il attribua aux rois le pouvoir de faire la guerre  ; aux magistrats celui de juger, en rendant leurs
hameaux élancés, ils errent çà et là, en temps de paix ou en temps de guerre . Aucun d’eux ne manie [illisible chars][texte cou
ontagne pour marquer leurs limites respectives. Ce fut le motif d’une guerre longue et sanglante. Déjà, des deux côtés, des ar
fuir, si nous sommes repoussés. Tout est épuisé derrière nous par une guerre si longue : les villes n’ont plus d’habitants ; l
e du discours de Darius à ses soldats. 87. « … Et le succès de la guerre dépend pour nous du succès de cette bataille : ca
ique, dans la circonstance la plus importante, où il s’agissait de la guerre avec un ennemi acharné, si célèbre par ses talent
nir : énergie, probuté, haute capacité militaire, une âme grande à la guerre , simple dans la paix, supérieure aux voluptés et
Entretien de Xerxès et de Démarate. 8. Lorsque Xerxès déclara la guerre à la Grèce, il n’y eut personne qui n’excitât cet
e confiait. L’un disait qu’on ne tiendrait pas contre l’annonce de la guerre , et qu’on tournerait le dos au premier bruit de s
le chars][texte coupé]’hommes soutiendra le formidable poids de cette guerre , et celui de presque tout le genre humain tombant
s forces. « Il est vrai, comme on le dit, que cet immense attirail de guerre ne tiendra pas dans les pays que tu te proposes d
peine entré en fonctions, Métellus dirigea toutes ses pensées vers la guerre dont il allait être chargé contre Jugurtha. Compt
res en abondance ; en un mot, tout ce qui sert ordinairement dans une guerre compliquée, où les besoins se multiplient. D’aill
vivement les esprits à Rome, Métellus résolut de ne pas commencer la guerre , avant d’avoir plié les soldats aux laborieuses p
e empire de Rome, ne brillèrent point par leur opulence, mais par les guerres terribles qu’ils ont soutenues ; qu’ils n’étaient
nir. Aussi ne tarda-t-il pas à s’illustrer. Ce fut à l’occasion de la guerre de Corcyre, qu’il débuta dans le gouvernement. Le
édition, il rendit Athènes plus belliqueuse, non-seulement pour cette guerre , mais pour l’avenir. En effet, comme il voyait le
héniens, et leur fit acquérir en même temps une grande habitude de la guerre navale. Version XXIV. Comment le philosophe
dans sa santé. Pendant les ravages mêmes de cette peste, qui, dans la guerre du Péloponnèse, désola particulièrement la capita
]le pour y acquérir cette instruction. Les Druides ne vont point à la guerre , et ne payent aucun des tributs imposés aux autre
’avénement d’un nouvel empereur était toujours le signal de nouvelles guerres au dehors, de nouveaux troubles au dedans : car l
son prix également. On peut se distinguer dans la paix, comme dans la guerre . Beaucoup de gens sont cités avec honneur, les un
énates et du foyer domestique, et alléger pour eux les fatigues de la guerre par les charmes de cette union. Il songeait d’ail
la variété des pays, la célérité de l’exécution, et la diversité des guerres , ne sauraient entrer en comparaison avec les vôtr
Rome, les Romains ne soient toujours sortis de son sein pour faire la guerre . Mais alors ils n’étaient point énervés par les d
les jours pendant la paix, ne leur paraissent pas pénibles pendant la guerre . Ainsi, qu’ils fassent partie des légions ou des
les amis les plus dévoués de sa famille, et la plupart des hommes de guerre qui avaient servi sous Germanicus, une foule même
abattre : car, voisine des travaux, et épargnée au commencement de la guerre , elle élevait entre des monts dépouillés son épai
du butin sur l’étranger, et d’user en quelque sorte des droits d’une guerre légitime, en enlevant dans ses champs une ample m
vit ne fut point ensanglantée, et la clémence compensa les maux de la guerre . Le pouvoir ne fit point de victimes, excepté Afr
es, et partagé entre une foule de soins aussi pénibles que ceux de la guerre , il examinait avec une conscience scrupuleuse com
é, trouvait moins de force dans sa multitude. Dans la paix et dans la guerre , tout se traitait au gré de quelques hommes ; c’é
vertus. Et comme un Etat que tiennent continuellement en haleine des guerres avec ses voisins, se fortifie et retrempe son cou
t la mer qui déjoue ainsi les projets des hommes. L’un, en faisant la guerre , est trahi par les armes ; l’autre, acquittant de
us de son amitié. 100. L’ancien Scipion, qui le premier rejeta la guerre punique des rivages latins aux lieux d’où elle ét
r son père, l’autre, pour venger sa patrie) ; lorsqu’enfin, après une guerre longue et meurtrière, il poussait devant son char
aits de fidélité des esclaves envers leurs maîtres. 104 58. Première guerre punique. 106 59. Portrait d’un bon roi. 106 60.
rois. 122 69. Straton est élu par les esclaves roi de Tyr. 124 70. Guerre des Pirates. 126 71. Des philosophes qui ne le s
a composé plusieurs poëmes, entre autres, les Annales, et la Seconde Guerre punique. Il ne reste de ses ouvrages qu’un petit
41 (1853) Éléments de la grammaire française « Éléments de lagrammaire française. — Chapitre VII. Septième espèce de mots.  » pp. 41-42
ger avec ses amis ; il est parti avec la fièvre. Pendant. Pendant la guerre . Durant. Durant la guerre. Outre. Compagnie de
parti avec la fièvre. Pendant. Pendant la guerre. Durant. Durant la guerre . Outre. Compagnie de cent hommes, outre les offi
42 (1868) Morceaux choisis des écrivains contemporains à l’usage des classes supérieurs de l’enseignement classique et spécial. Prose et poésie
délibérez6. Discours sur l’exercice du droit de la paix et de la guerre . (Extraits) L’assemblée nationale, au mois de
ion doit-elle déléguer au roi l’exercice du droit de la paix et de la guerre  ? Après plusieurs jours de tumultueux débats, Mir
et réclama pour le corps législatif le droit exclusif de déclarer la guerre et la paix et de conclure des traités. Ce discour
urs de la volonté royale dans l’exercice du droit de la paix et de la guerre est parricide de la liberté publique ; on répand
et au conflit des deux pouvoirs : Vous avez dit : Une déclaration de guerre n’est qu’un acte de volonté ; donc c’est au corps
as différents. Première question. Entendez-vous que la déclaration de guerre soit tellement propre au corps législatif que le
-vous avec l’intérêt public ? Vous aurez autant de provocateurs de la guerre que d’hommes passionnés. Y a-t-il, ou non, de gra
au roi le pouvoir exécutif suprême, donnerait un moyen de déclarer la guerre sans que le roi en provoquât la délibération par
tion, le roi, par le fait, n’aura aucun concours à une déclaration de guerre . Si l’initiative du roi consiste, au contraire, d
de raisonner avec moi. Entendez-vous que, le roi se décidant pour la guerre , le corps législatif puisse délibérer la paix ? J
e que, le roi voulant la paix, le corps législatif puisse ordonner la guerre et la lui faire soutenir malgré lui ? Je ne puis
nt des inconvénients auxquels il est impossible de remédier. De cette guerre délibérée malgré le roi résulterait bientôt une g
dier. De cette guerre délibérée malgré le roi résulterait bientôt une guerre d’opinion contre le monarque, contre tous ses age
des battements de mains à leurs agents. Il a cité Périclès faisant la guerre pour ne pas rendre ses comptes : ne semblerait-il
la tribune, par ses largesses ou celles de ses amis, a entraîné à la guerre du Péloponnèse… qui ? l’assemblée nationale d’Ath
exécutif à l’expression de la volonté générale en fait de paix et de guerre , comme la constitution le lui a attribué dans tou
que l’un des délégués possède exclusivement la faculté du droit de la guerre , comme si, lors même que le pouvoir exécutif sera
ale, nous avions à délibérer sur le seul fait de la déclaration de la guerre , et que l’exercice du droit n’entraînât pas une s
ïques représentés par les Dioscures, la république par les lions, les guerres civiles par Marius, et les beaux temps des empere
u sifflement des flèches et des dards, du gémissement des machines de guerre , on n’entend plus la voix des chefs. Mérovée59 av
hamp de l’honneur, ils ne pouvaient s’empêcher de pousser des cris de guerre et d’amour ; ils ne se lassaient point d’admirer
qui bondissent ou s’abattent sur des cadavres ; quelques machinas de guerre abandonnées brûlent çà et là comme les torches de
a demandé mon déshonneur, elle devait être certaine de ma réponse. La guerre est donc faite entre nous, l’alliance rompue pour
st maîtresse de sauver à ses sujets les ravages et les malheurs de la guerre  ; à peine commencée, elle peut la terminer, et el
voulaient prendre Paris, et qui aujourd’hui l’ont embarquée dans une guerre , et immédiatement après dans des plans offensifs
contre Votre Majesté ; je ne veux rien et n’ai rien voulu d’elle ; la guerre actuelle est une guerre impolitique. Je sens que
e ne veux rien et n’ai rien voulu d’elle ; la guerre actuelle est une guerre impolitique. Je sens que peut-être j’irrite dans
ue les États de Votre Majesté. Je ne lui ai donné aucun sujet réel de guerre . Quelle ordonne à cet essaim de malveillants et d
n moi un allié, elle retrouvera un homme désireux de ne faire que des guerres indispensables à la politique de mes peuples, et
s victorieuses de Blake, tout ce tableau de l’Angleterre rassasiée de guerres civiles et de destruction, quoique révolutionnair
pour obtenir rie nouveaux subsides qui lui permissent de continuer la guerre contre l’Écosse, se décida à convoquer le célèbre
t César, se perd lui-même, et replonge le monde dans l’anarchie et la guerre . Et cependant si Brutus, nourri dans les traditio
nds, les limites de leur territoire variaient selon les chances de la guerre . Les guerres des Franks contre les Romains, depu
tes de leur territoire variaient selon les chances de la guerre. Les guerres des Franks contre les Romains, depuis le milieu d
es Romains, depuis le milieu du troisième siècle, ne furent point des guerres défensives. Dans ses entreprises militaires, la c
conquête, lorsque le roi Théodebert passa les Alpes et alla faire la guerre en Italie. La garde du roi avait seule des chevau
tait celui de tous les croyants à la divinité d’Odin. Ils aimaient la guerre avec passion, comme le moyen de devenir riches da
d’hommes un fond de rudesse sauvage qui se montrait en paix comme en guerre , soit dans les actions, soit dans les paroles. Ce
le qu’à travers toutes les fluctuations causées par les chances de la guerre , un instinct de bon sens ramenait toujours les pe
t le plus conforme à leur division naturelle. Dès le commencement des guerres civiles entre l’empereur Lodewig ou Louis214 et s
guerres civiles entre l’empereur Lodewig ou Louis214 et ses enfants, guerre où le père et les fils étaient poussés à leur ins
ébattit à main armée entre les frères ; et, dès le commencement de la guerre , les Franks orientaux, les Alamans, les Saxons et
ridionaux, sous des chefs indigènes. Afin de prouver au peuple que la guerre où ils étaient engagés de nouveau ne serait pas u
ou d’insulté, comme il arrive si souvent dans des réunions de gens de guerre peu nombreux et qui se connaissent220. » Pendant
s d’Harold d’exécuter sa promesse, le duc de Normandie lui déclara la guerre  : il débarqua sans rencontrer de résistance à Pev
réunirent pour prier et chanter des litanies, pendant que les gens de guerre préparaient leurs armes. Ceux-ci, après ce premie
nseils de Frédegonde, la fit étrangler. Ce fut le signal d’une longue guerre entre les deux frères, Chilpéric et Frédegonde en
et, à la nouvelle du 31 mai, elle résolut de venger ses orateurs. La guerre du Calvados commençait263 ; elle crut que la mort
torieux et vengeur de nos rois, L’audace de Cador, nos discordes, nos guerres , Donalbain expirant sous des mains meurtrières ?
une faible escorte. Il s’asseoit où me voilà, S’écriant : Oh ! quelle guerre  ! Oh ! quelle guerre ! — II s’est assis là, grand
l s’asseoit où me voilà, S’écriant : Oh ! quelle guerre ! Oh ! quelle guerre  ! — II s’est assis là, grand’mère ! Il s’est assi
, Faisant signe aux canons qui vomissent les flammes, De son âme à la guerre armant six cent mille âmes, Grave et serein avec
t la peinture : une irrésistible vocation l’appelait à être poète. La guerre entre les romantiques et les classiques était déc
arguments et leur autorité ? L’un me montre ici-bas deux principes en guerre , Qui, vaincus tour à tour, sont tous deux immorte
caractères de la poésie du Nord. 12. Un Français, dans la dernière guerre , commandait le château Saint-Ange ; les troupes n
r les soldats. Le premier centurion de l’armée siégeait au conseil de guerre , et ne recevait d’ordre que du général ou des tri
Dans son enthousiasme il marchait à grands pas, répétant le chant de guerre des barbares : « Pharamond ! Pharamond ! nous avo
ire peut reprendre de la vie et de la couleur. 51. Voir le cheval de guerre dans Virgile, Géorg., l. III. 52. Mille Franc
ortique avait été construit avec les dépouilles remportées durant les guerres médiques, et tous les chefs de l’armée des Perses
met dans la bouche de Périclès célébrant les premières victimes de la guerre du Péloponnèse, est en effet absolument étrangère
ch. vii, dit dans un de ses cantiques spirituels : Mon Dieu, quelle guerre cruelle ! Je trouve deux hommes en moi ; L’un veu
et le petit Saint-Bernard et le mont Cenis. 272. Ainsi commençait la guerre qui « fut à la fois, a dit M. Thiers, la plus lég
43 (1867) Rhétorique nouvelle « Deuxième partie. L’éloquence du barreau » pp. 146-
s artistes : les travaux de la campagne, les dangers continuels de la guerre endurcissent leurs nerfs, émoussent leur sensibil
uple semble créé pour deux choses uniquement : l’administration et la guerre . Il a le sens droit, mais borné aux choses pratiq
créanciers ; c’est Fabius qui, devant le Sénat de Carthage, secoue la guerre des plis de son manteau ; c’est le malheureux Var
sé d’émigrer à Véies, rentre dans ses sept collines, le sénat vote la guerre à outrance contre Pyrrhus, renonce au rachat des
té qui n’a avec les autres peuples que des rapports de commerce ou de guerre , l’Athénien concentre toutes ses facultés dans l’
44 (1892) La composition française aux examens du baccalauréat de l’enseignement secondaire moderne, d’après les programmes de 1891, aux examens de l’enseignement secondaire des jeunes filles et aux concours d’admission aux écoles spéciales pp. -503
progrès du patriotisme et de l’autorité royale en France, pendant la guerre de Cent ans. (Clermont, août 1890.) La Renaissanc
l des Invalides. 1° Désir du roi d’améliorer la condition des gens de guerre  : cet établissement remplira ses intentions. 2° C
irement à son fils, officier dans l’armée française, les causes de la guerre qui vient d’éclater entre l’Amérique et l’Anglete
Il rappellera le rôle joué par Washington, soit comme général dans la guerre de l’Indépendance, soit comme homme public et che
emphase et sans fausse sensibilité, les arts de la paix et ceux de la guerre . (Lille, novembre 1890.) Un de vos amis vous a éc
ne et Condé. Vous rappellerez ce qu’ont été ces deux grands hommes de guerre  ; à quels événements ils ont été mêlés ; quel éta
e. Les villes qui ont vu naître des écrivains de génie, des hommes de guerre illustres, des savants et des inventeurs dont les
enser de Mazarin ? – Quels ont été pour la France les résultats de la guerre de Trente ans ? A qui les devons-nous ? – Cromwel
iquer le système de Law et faire l’histoire de cette tentative. – Les guerres de Louis XV ont-elles été utiles à la France ? – 
 Washington et Franklin. – Quel a été le rôle de la France pendant la guerre d’indépendance en Amérique ? – Quelles étaient le
e les seigneurs. Son autorité a été contestée et méconnue pendant les guerres de religion. Sous Louis XIII, et grâce à Richelie
mène à bonne fin. On peut croire qu’il eût hésité à se jeter dans la guerre de Trente ans, mais on peut croire aussi que Rich
faut pas oublier que leur attention était sans cesse tournée vers des guerres difficiles. Si Richelieu a fait peser sur la Fran
eilles haines. M. de Choiseul qui s’efforce de réparer les maux de la guerre et qui ne rejette point toutes les idées des réfo
tinées des peuples ; elle cherchait matière à de grands tableaux. Les guerres de nation à nation et les guerres civiles, les co
t matière à de grands tableaux. Les guerres de nation à nation et les guerres civiles, les compétitions de l’agora ou du forum,
ous Louis XIV, que nous avons sous les yeux. Il y a une place pour la guerre et il y en a une aussi pour la paix. Les arts qui
. Vous avez formé des alliances, préparé des traités, vous avez vu la guerre , écrivez vos mémoires et vous serez utile à vos s
rque, demande à Louis XV de porter surtout ses efforts sur la mer. La guerre continentale aura peu de résultats. Une guerre ma
efforts sur la mer. La guerre continentale aura peu de résultats. Une guerre maritime lui permettra de fonder deux grands empi
réparer glorieusement les défaites qu’elle a subies dans la dernière guerre . Votre Majesté a voulu que les flottes de la Fran
miral Boscawen qui capturait nos vaisseaux avant toute déclaration de guerre , a attiré sur l’Angleterre un juste châtiment. El
drais vous demander de mettre son courage à de nouvelles épreuves. La guerre continentale va s’engager ; je me rappelle les vi
onneur à la France, ne lui rapportent que de médiocres avantages. Une guerre maritime contre l’Angleterre serait plus féconde
maritime contre l’Angleterre serait plus féconde en résultats. Cette guerre n’est point au-dessus de nos forces ; elle ne dép
sseaux, la France a plus de soldats. Qu’elle se contente de faire une guerre défensive sur le Rhin ; qu’elle laisse à ses alli
ane. L’Angleterre ne l’ignore pas et si elle nous fait aujourd’hui la guerre , c’est parce que notre prospérité lui est odieuse
i nécessaire. La tâche qui m’incombe est particulièrement lourde. Les guerres du dernier règne et la mauvaise administration de
des esclaves n’est pas une utopie, pas plus que la disparition de la guerre , cette autre grande iniquité ! Sans doute, les pa
en Racine, et touchée, comme lui, des maux causés à la patrie par la guerre , lui conseille de rédiger, pour Louis XIV, un mém
seul le motif est plus ridicule et plus mesquin. C’est une véritable guerre  : aujourd’hui les Jobelins, par une contre-marche
e ressusciter du milieu des orages politiques et des lassitudes de la guerre , avec le spiritualisme, avec le sentiment plus vi
e l’on montre aux curieux, qui n’est pas d’usage, qui ne sert ni à la guerre , ni à la chasse, non plus qu’un cheval de manège,
es femmes en général dans la défense nationale en temps de paix et de guerre  ? Leurs devoirs. Comment les remplir ? Donner des
ées des fastes artistiques. Parfois ce sont de grands événements, des guerres , des expéditions lointaines, qui fournissent la m
de rédaction. (Section d’architecture, mars 1883.) Qu’est-ce que les guerres médiques ? Dans quel siècle ont-elles eu lieu ? Q
tres y trouve-t-on ? N. B. – Il ne s’agit pas de raconter toutes les guerres médiques ; il suffit qu’on montre en choisissant
avaient fait peindre sur les murs d’un portique quelques épisodes des guerres contre les Perses. Décrire ou raconter trois des
e avait pu choisir. On devra donner à part la date approximative des guerres médiques. (Section de peinture, février 1888.) l
antes, celles qui résument le mieux, de la façon la plus vivante, les guerres médiques. Il faudra aussi qu’elles aient un carac
t exécuter les fresques. C’est son frère Panénos qui les peignit. Les guerres médiques étaient alors encore toutes présentes à
e ses amis. – Il voyageait en Algérie, au moment de la déclaration de guerre en 1870. Il était dispensé du service militaire e
ose la nécessité : 1° D’occuper une population qui, depuis la fin des guerres médiques, est en grande partie inactive et sans m
une bataille livrée par eux. – Que savez-vous sur Mazarin ? A quelles guerres a-t-il participé ? Quels traités a-t-il signés ?
mais contre les Anglais devenus menaçants, et, d’alliés, ennemis. La guerre s’étend sur les mers. Les flottes ont un rôle aus
qu’il est à la veille de découvrir. Il veut apporter la paix, non la guerre , la doctrine d’amour enseignée par Jésus-Christ,
porter à un nombre plus élevé, soit quarante-cinq grands vaisseaux de guerre , l’état maritime du pays. Pour construire une par
dans son commerce avec les philosophes. Dans la deuxième année de la guerre du Péloponèse, Périclès s’embarque sur sa trirème
l se dirige alors en personne vers la Cilicie, origine et foyer de la guerre  ; puis, de concert avec ses lieutenants, il envel
une idée de l’histoire grecque, et ne confondent pas entre elles les guerres médiques. Il s’agit de raconter le premier acte d
les vaisseaux, revenir en Asie. Que Darius cesse de poursuivre cette guerre qui pourrait attirer sur la Perse de terribles da
; son sommeil est calme comme celui de l’innocence. Elle rêve, non de guerre et de désastres, mais de son pays natal : elle re
u sifflement des flèches et des dards, du gémissement des machines de guerre , on n’entend plus la voix des chefs. IV. La légio
qui bondissent ou s’abattent sur les cadavres ; quelques machines de guerre abandonnées brûlent çà et là comme les torches de
ale, – Sauvés ! – Quels sont les grands ports de la France – ports de guerre et de commerce, – quels avantages et quels inconv
– Les mousses illustres : Jean-Bart, Ruyler, Duguay-Trouin, etc. – La guerre maritime hier et aujourd’hui. – L’abordage et le
tour du monde, etc. – Une victoire de Jean Bart. – Au plus fort de la guerre de la ligue d’Augsbourg, huit vaisseaux hollandai
lyre à la main, chante l’embrasement de Troie. – Pendant la dernière guerre , un pauvre garçon, Hornus, extrèmement disgracié
qualités, il acquit leur sympathie et l’estime de ses chefs. Après la guerre , il vit arriver avec effroi le jour de la grande
rasbourg.) un duel chez les romains. César, dans ses mémoires sur la guerre des Gaules, raconte comment deux centurions de so
. Organisation sociale. Religion. Politique. (Toulouse.) l’art de la guerre . Malgré les réclamations, d’ailleurs fort louable
lamations, d’ailleurs fort louables, de la philanthropie, l’art de la guerre fait tous les jours de nouveaux progrès : les mac
us puissants de l’antiquité ont été les plus savants dans l’art de la guerre  ; les Grecs, les Romains. – Les grands hommes don
temps vienne où toute rivalité hostile cessant entre les peuples, la guerre soit désormais inutile ; mais jusqu’à ce moment,
ormais inutile ; mais jusqu’à ce moment, il faut cultiver l’art de la guerre , sous peine d’être anéanti à la première collisio
sauvé l’Église du Christ….. Non moins grand dans la paix que dans la guerre , vous avez assuré à vos peuples les bienfaits d’u
r, comme ses amis politiques, et qui n’avaient pas l’expérience de la guerre . Fuite des uns qui demandent des congés sous dive
le dévouement de cédicius. Vous raconterez que, pendant la première guerre punique, en Sicile, les Romains se trouvèrent un
rable état de la France en 1429 : elle est en proie aux ravages de la guerre , de la peste et de la famine. Les trois quarts de
andeur et de la vie d’un peuple. Concours de 1859. l’art de la guerre . Même sujet qu’au concours de 1851 (Angoulême.)
ourrait la détourner de son but. Concours de 1873. l’art de la guerre . Même sujet qu’au concours de 1851 (Angoulême).
prend son rôle : d’après Carnot, toutes les obligations d’un homme de guerre , chargé de la défense d’une place, se réduisent à
romaine et de la puissance des Arabes. – Difficultés spéciales à une guerre contre des peuplades nomades. – Vertus militaires
t de l’acier, de la fonte, des fusils, des canons, des instruments de guerre . La houille mettra en activité la machine qui faç
des établissements industriels capables de lui créer un outillage de guerre . Mais il devient faible si, en raison de la prosp
dans les armées, sur les flottes ; elle a perfectionné les arts de la guerre et de la paix ; elle gouverne l’industrie, elle c
sa nécessité, ses avantages dans la société, en prenant des exemples, guerre , épidémies, incendie. – Une loi du 2 juillet 1850
lly. 1° Le montrer comme le compagnon d’armes de Henri IV pendant les guerres de religion, et lui conseillant d’abjurer, en 159
83, triste et découragé de voir toutes ses économies épuisées par les guerres de Louis XIV. Examens de 1882. Première se
r, en montant sur le trône, trouva la France divisée, épuisée par les guerres civiles ; néanmoins, à la fin de son règne, l’agr
le siècle de Périclès ; mais malgré les sages réformes de Colbert, la guerre et les dépenses fastueuses du roi épuisent les re
’avènement personnel. 2° Paragraphe. – Henri IV a fait seulement des guerres défensives. Louis XIV des guerres d’ambition ; à
he. – Henri IV a fait seulement des guerres défensives. Louis XIV des guerres d’ambition ; à sa mort, Henri IV est à la veille
direct), augmentation des aides payées par tous les ordres. Mais les guerres ruinent le royaume. Les projets de Colbert sont a
rillant, Louis XIV trop personnel, trop autoritaire, trop épris de la guerre , des constructions fastueuses. Henri IV laisse le
mps que les langues ont été les unes vis-à-vis des autres à l’état de guerre . Depuis Babel, elles se livrent une bataille acha
r les récits militaires les Biographies d’hommes illustres (hommes de guerre , diplomates, savants et artistes), par Julien Jor
45 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre IV. — Du Style. »
les annales de notre histoire. Elle est marquée par les fléaux de la guerre et de la famine, l’invasion de nos provinces par
s’égorge en mourant de faim. Les peuples, accablés à la fois par une guerre malheureuse, par les impôts et par le besoin, son
ar de sévères règlements, la discipline militaire et les ordres de la guerre , que son successeur, Ancus Marcius ; accompagna d
éparable de son nom, ne voulait recevoir de loi que de lui-même ; les guerres et les conquêtes modérèrent souvent, mais d’autre
égorgés ou chassés. Dès lors tout est perdu ; partout île sanglantes guerres civiles, partout d’effroyables massacres. L’empir
t et chassant toujours ; car il avait cette coustume de leur faire la guerre la plus honneste du monde et la plus courtoise ;
camp mesme qu’il avait combattu, ainsi qu’il convenait à un homme de guerre et qui avait toujours désiré de mourir armé. Sur
ucune racaille de soldats qui ne sçavent encore les courtoisies de la guerre , ou bien des grands marauts de goujats qui sont e
46 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre XI. Grands poèmes. »
re acteur principal : tels étaient Scipion et Annibal dans la seconde guerre punique. Dans l’action d’un particulier, tout un
était de Smyrne, en Ionie, et qu’il vivait trois générations après la guerre de Troie. Suivant ce calcul, il pouvait avoir app
Ilion, et l’Odyssée, ou le retour d’Ulysse dans sa patrie après cette guerre . La critique a relevé, dans l’Iliade et dans l’Od
e, né à Naples vers l’an 50, a fait la Thébaïde, dont le sujet est la guerre odieuse que se firent Étéocle et Polynice, les de
65 de Jésus-Christ, a pris un sujet plus national : c’est la deuxième guerre punique. Il suit pas à pas Tite-Live pour les dét
Gama, qu’il intitula les Lusiades. Le sujet de ce poème n’est ni une guerre , ni le monde en armes pour une femme ; c’est un n
47 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Michel de Montaigne, 1533-1592 » pp. -
el de Montaigne était fils d’un loyal écuyer qui avait servi dans les guerres d’Italie et d’Espagne. Dès la plus tendre enfance
en ce manoir du Périgord où il s’enferma prudemment au plus fort des guerres civiles. Lorsque tant d’autres allaient droit à l
mme le meilleur des guides, on peut lui savoir gré d’avoir fait bonne guerre à l’orgueil des docteurs infatués. N’a-t-il pas d
ousiours de mesme visage. Ie ne voyage sans livres, ny en paix, ny en guerre  ; toutesfois il se passera plusieurs iours et des
48 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Amyot, 1513-1593 » pp. -
emy, en 1572. Sa vieillesse fut tristement troublée par la fureur des guerres civiles qui ne respectèrent pas sa retraite pacif
vivre honestement et correctement. Car ainsi comme les citez qui par guerres ordinaires avec leurs proches voisins, et continu
Sylla, puis par Lucullus, enfin par Pompée. Il voulait recommencer la guerre , quand ses sujets le détrônèrent ; alors il se fi
49 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Voltaire, 1694-1778 » pp. 253-281
gner des empires pour les donner1. Sa passion pour la gloire, pour la guerre et pour la vengeance, l’empêcha d’être bon politi
onversation, parce que, s’étant donné tout entier aux travaux et à la guerre , il n’avait jamais connu la société2. Le goût
is pas le même secours chez les Missouris ; secondement, parce que la guerre est portée dans ce pays-là, et que les exemples d
ormant des desseins qui ne pouvaient être exécutés que par une longue guerre  : ce que son royaume ne pouvait soutenir. « Ce n’
renverser, mais un empire naissant. Les Moscovites se servirent de la guerre qu’il leur faisait comme d’une école. À chaque dé
de Prusse. On respecte d’ordinaire les dames dans les horreurs de la guerre  ; mais le conseiller Smith et le résident Freytag
dans Francfort que l’empereur. Nous fûmes douze jours prisonniers de guerre , et il nous fallut payer cent quarante écus par j
50 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre I. — Défauts et qualités de la phrase »
e ce fier et fougueux animal, qui partage avec lui les fatigues de la guerre et la gloire des combats : aussi intrépide que so
a police et reformé l’état ; Puis de là s’embarquant dans la nouvelle guerre , À vaincu la Hollande ou battu l’Angleterre. Boi
endre. » Une mère en donnant le bouclier son fils qui partait pour la guerre , lui dit ces courtes paroles : « Dessus ou dessou
teur avant d’être conquérant ; et, lorsque l’ambition l’entraîne à la guerre , ses armes heureuses et rapides paraissent justes
tes à la France éblouie. La pompe des fêtes se mêle aux travaux de la guerre  ; les jeux du carrousel aux assauts de Valencienn
51 (1843) Nouvelle rhétorique, extraite des meilleurs auteurs anciens et modernes (7e éd.)
te ceux qui délibèrent à prendre tel ou tel parti sur la paix, sur la guerre , sur l’administration des gouvernements ou des co
rme. Si l’on veut prouver que ce soit un mal pour Athènes de faire la guerre aux Thébains, on pose en principe que c’est un ma
ains, on pose en principe que c’est un mal pour un peuple de faire la guerre à ses voisins ; et c’est ainsi, ajoute-t-on, que
si, ajoute-t-on, que les Thébains se sont mal trouvés d’avoir fait la guerre aux peuples de Phocide. Cet argument a peu de for
uissance. Ailleurs (liv. X), invitant Nestor à rompre le projet de la guerre contre Idoménée, il lui tient un bien autre langa
a longue vie : « Ô Nestor, sage Nestor, vous n’ignorez pas combien la guerre est funeste à ceux même qui l’entreprennent avec
el point d’arrogance il est monté : cet homme vous ôte le choix de la guerre ou de la paix ; il vous menace ; il tient, dit-on
uence, l’éloquence des passions. Les Romains, occupés des lois, de la guerre , de l’agriculture et du commerce, suivirent assez
nt à traiter, dans l’oraison funèbre du grand Condé, l’article de ses guerres civiles, dit qu’il y a une pénitence aussi glorie
, c. 2.) Dans la harangue pour la loi Manilia, où il s’agissait de la guerre contre Mithridate, roi de Pont, et contre Tigrane
d’Arménie, Cicéron entreprend de prouver trois choses : « 1º que la guerre est nécessaire ; 2º qu’elle est dangereuse et dif
ires ? Louis le reconnut ; il le dit : J’avais autrefois entrepris la guerre légèrement, et Dieu avait semblé me favoriser ; j
ère. Nestor, rangeant ses troupes84, met à la tête ses chars armés en guerre , qui en étaient l’élite ; à la queue, une brave e
ra : Chez les anciens, la parole était le grand ressort en paix et en guerre . De là viennent tant de harangues qui sont rappor
avocat, homme d’esprit, qui, voyant que son adversaire parlait de la guerre de Troie et du Scamandre, l’interrompit en disant
osthène n’a point de jolies pensées quand il anime les Athéniens à la guerre  ; s’il en avait, il serait un rhéteur, et il est
ictoria posset uti, frui maluit (II, 6). Il nous représente toute la guerre de Macédoine, quand il dit : « Ce fut vaincre que
si Horace (Od., I, 14) se représente sa patrie exposée à de nouvelles guerres civiles, sous l’image d’un vaisseau qui va braver
le ils présidaient. On dit les travaux de Mars pour les travaux de la guerre , les Muses pour les beaux-arts ; Virgile a dit un
’il a vaincus, afin de tempérer par sa magnanimité les rigueurs de la guerre , et d’ajouter par sa clémence aux douceurs de la
et le vaincu ; et nous retrouvons dans ce tableau toute l’horreur des guerres civiles de Marius et de Sylla, dont le jeune aute
ce du corps et de l’âme, mais un esprit méchant, un cœur pervers. Les guerres civiles, les meurtres, les brigandages, les facti
fois. J’en rougis pour vous, Crassus : quoi ! après avoir terminé une guerre formidable, vous avez demandé au sénat, avec tant
orité du sénat ? Ennemis même ? Non, vous avez violé les droits de la guerre , et ceux des ambassadeurs, et ceux de l’humanité.
mple remarquable dans le plaidoyer pour Ligarius, c. 31 : « César, la guerre était commencée, elle était presque terminée, lor
us tard le péripatéticien Phormion (ibid., II, 18) osait parler de la guerre devant Annibal. Cicéron, qui, dans ses dialogues
queurs, Athènes n’eût point reconnu Miltiade, ni Sparte, Léonidas. La guerre du Péloponnèse est commencée ; les Athéniens vien
ous les yeux le contemplent, dont tous les cœurs l’adorent. Puisse la guerre ne jamais troubler celui qui a tout pacifié ! pui
égislateur Solon et d’autres sages s’indigner de leur cruauté dans la guerre et de leurs funérailles sanglantes, de leurs vict
e. La colère des dieux a mis sur la terre deux fléaux inexorables, la guerre et la mort, qui sans cesse moissonnent les peuple
e j’ai vaincu le monde, si je ne puis reposer après huit cents ans de guerre  ! Peuple infatigable de Mars, laissez respirer ma
es des armes devenues invincibles par la concorde ; vous expierez vos guerres sacrilèges à force de vaincre les barbares, et vo
ome de Titus, heureuse, libre et florissante : épuisée, moins par les guerres du dehors que par la tyrannie qui la dévorait, el
e me demandez-vous ? que veulent ces soldats qui poussent des cris de guerre autour de ma tente ? Quoi ! on veut que je comman
as expiées par tant de maux ? Voyez ces prisonniers que le sort de la guerre a fait tomber entre nos mains ; voyez leur maigre
ité suis-je donc réduit à combattre mon peuple et à faire toujours la guerre dans mon pays ! Combien de sang français a déjà c
pulsions étrangères et de perfides conseils ne les avaient égarés, la guerre serait finie ; nous sommes faits pour nous aimer,
uccès certain et nous soumettre de nouveau à toutes les chances de la guerre et de la fortune ; je sais que le duc de Parme av
52 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — De Retz. (1614-1679.) » pp. 20-28
eutenant des gardes de la reine ; qu’il serait défendu à tous gens de guerre , sous peine de la vie, de prendre des commissions
s anciens soldats de Bernard, duc de Saxe-Weimar. Ce général, dans la guerre de Trente ans, acquit, malgré quelques revers, be
dans ce Paris, le séjour des délices et des douceurs, on pût voir la guerre , ni des barricades, autre part que dans l’histoir
53 (1867) Rhétorique nouvelle « Troisième partie. la rhétorique » pp. 194-
I socrate Ils trouvèrent aussi des ennemis, Socrate leur fit une guerre acharnée. Ce terrible dialecticien s’en allait le
s’il a usurpé le bien d’autrui ; du respect des lois et du danger des guerres civiles, s’il est factieux ; de la validité du té
ondé se repose de ses campagnes en lisant celles des grands hommes de guerre qui l’ont précédé, qui osera prétendre que cette
on. Voici un cadet de Gascogne qui n’a jamais eu d’autre école que la guerre et qui, pour son coup d’essai, va en remontrer à
ler devant un roy soldat, et non devant un roy qui n’a jamais esté en guerre . Avant qu’estre appelé à cette grande charge que
u vous a donnée, et depuis, vous avez autant cherché la fortune de la guerre que roy qui jamais aist esté en France, sans avoi
tombe dans un sommeil plein : il l’est aussi qu’un génie fait pour la guerre , agissant sans inquiétude, laisse au corps assez
plus praticable et la plus sûre. Car il en est au barreau comme à la guerre , où souvent les batailles se perdent par un excès
54 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre second. Définition et devoir de la Rhétorique. — Histoire abrégée de l’Éloquence chez les anciens et chez les modernes. — Chapitre IV. De l’Éloquence chez les modernes. »
ins. En Allemagne, les lettres ne commencèrent à fleurir, qu’après la guerre de trente ans ; en Angleterre, sous Charles II, a
en France enfin, après les troubles de la ligue et les agitations des guerres civiles. Il est triste, sans doute, pour les amis
55 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Racan. (1589-1670.) » pp. 165-168
son tonnerre Tremblent la terre et les cieux, Ces grands appareils de guerre Disparaissent de nos yeux ; Le fier tyran d’Assyr
ie de son grand succès à son opportunité. Les temps d’agitation et de guerre ramènent toujours les imaginations vers les ouvra
56 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Voltaire 1694-1778 » pp. 445-463
i retentit De cent décharges de tonnerre, Et, dans ces horreurs de la guerre , Le Français chante, boit et rit. Bellone va rédu
endre l’état qui vous plaira le plus. — J’aurais aimé le métier de la guerre . — Qui vous retient ? allez : déjà l’hiver A disp
sous leur ombre on voit de vils serpents, Se livrer, en sifflant, des guerres intestines, Et de leur sang impur arroser leurs r
t de tactique, et elle a été saisie d’épouvante ; car le secret de la guerre est dans les jambes. Mais si les Français marchen
57 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section I. Des Ouvrages en Prose. — Chapitre I. Du Discours oratoire. »
vec peine dans les malheurs de sa patrie, sembla s’échauffer dans les guerres étrangères ; et l’on vit redoubler sa valeur N’en
hose de plus formidable qu’à Rocroi15 ; et pour éprouver sa vertu, la guerre va épuiser toutes ses inventions et tous ses effo
différentes, on vit tout ce qu’on peut soutenir et entreprendre à la guerre . Nos troupes semblent rebutées autant par la rési
Quelques auteurs ont prétendu qu’il avait profité d’un ouvrage sur la guerre de Troie, composé par Hélène, fille du poète Musé
ù il anime les Athéniens par l’espérance d’un meilleur succès dans la guerre contre Philippe, si, à l’exemple de ce Prince, il
, ne peuvent être comparés aux vôtres ; qu’on examine la grandeur des guerres , ou la multitude des batailles, ou la variété des
is sur vos louanges. Mais lorsqu’on lit, ou qu’on entend le récit des guerres et des batailles, il arrive, je ne sais comment,
ne tendent qu’à conserver à la république tout ce que la fureur de la guerre a épargné ; par quelles louanges, par quelles dém
Capitaines., que ses exemples ont élevés aux premiers honneurs de la guerre . Son ombre eût pu encore gagner des batailles ; e
58 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section II. Des Ouvrages en Vers. — Chapitre I. Des Poésies fugitives. »
eurs qui coulent de mes yeux ; Tonne, frappe, il est temps, rends-moi guerre pour guerre. J’adore en périssant la raison qui
lent de mes yeux ; Tonne, frappe, il est temps, rends-moi guerre pour guerre . J’adore en périssant la raison qui t’aigrit. Ma
à Jupiter même, et ses ennemis, aux géants réduits en poudre dans la guerre qu’ils osèrent déclarer au maître des Dieux. Quan
uit ! quels feux étincelants ! Jupiter185 aux mortels déclare-t-il la guerre  ?              Veut-il encore par son tonnerre   
59 (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « PREMIÈRE PARTIE. DE L'ÉLÉGANCE LATINE. — CHAPITRE IV. Des Figures. » pp. 144-262
æ, discordia civilis, grata fuere. Sall. Dès sa jeunesse, il aima les guerres intestines, les meurtres, les rapines, les discor
itions, et qu’il a fait ces demandes pour empècher nos préparatifs de guerre . 3° On sous-entend aussi l’infinitif du verbe pri
se des moissons, que Bacchus était le dieu du vin, Mars le dieu de la guerre , etc. ; c’est pourquoi ils donnaient au blé le no
s donnaient au blé le nom de Cérès, au vin le nom de Bacchus, et à la guerre le nom de Mars. Ainsi Virgile a dit : Tum cerere
grasse venaison. On disait les travaux de Mars pour les travaux de la guerre , les Muses pour les beaux arts. Nous faisons auss
inces de la poésie grecque et latine, sont pleins de cette figure. La guerre , la paix, les lances, les javelots, les villes, l
ui, sed amicissimi. — Hostis se prend ordinairement pour un ennemi de guerre . Hostes mœnia obsident. XIV. — Adulari, assen
assiéger. Carthaginem Romani expugnaverunt. — Debellare, terminer la guerre par des victoires. Debellatum est cum Græcis. La
, terminer la guerre par des victoires. Debellatum est cum Græcis. La guerre avec les Grecs est terminée. Au figuré : Debellar
Gerere rempublicam, gouverner la république. Gerere bellum, faire la guerre . LXXVIII. — Facultas, ops, divitiæ, copia.
er en apportant des raisons plausibles. Bellum suadere, conseiller la guerre . — Convincere (synonyme de persuadere), convaincr
èce de saye rouge que l’on mettait sur la tunique. C'était l’habit de guerre . — Chlamys, tunique de guerre. C'était aussi la r
tait sur la tunique. C'était l’habit de guerre. — Chlamys, tunique de guerre . C'était aussi la robe que portaient les enfants.
us, crates, testudo. Vineæ, mantelets. C'étaient des machines de guerre faites de bois et de claies, et garnies de terre 
en sûreté saper les murs des ennemis. — Pluteus, espèce de machine de guerre en forme de casque, faite d’osier et recouverte d
60 (1866) Morceaux choisis des classiques français, à l’usage des classes supérieures : chefs d’œuvre des prosateurs et des poètes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouvelle édition). Classe de seconde
des mouvements soudains. Ils ne se servent point de leur raison à la guerre  ; mais recueillant toute leur vigueur ensemble, e
emain6. Ils ne songent point à vaincre : ils ne songent qu’à finir la guerre et à sortir des incommodités présentes, voire par
ir pas assez de courage et pour ne pouvoir endurer les fatigues de la guerre . En un autre endroit des mêmes écrits, on peut vo
ce sur laquelle on pouvait juger que tomberait tout l’effort de cette guerre , et qui, étant conservée all étant reprise, devai
sont convertis par le dernier miracle qu’il vient de faire. Et si la guerre peut finir comme il y a apparence de l’espérer, i
upé jusqu’à présent qu’à songer aux moyens de fournir aux frais de la guerre , à lever de l’argent et des hommes, à prendre des
et les périls et les peines où ils s’exposent, dans la cour, dans la guerre , d’où naissent tant de querelles, de passions, d’
se divertit. De là vient que le jeu et la conversation des femmes, la guerre , les grands emplois, sont si recherchés. Ce n’est
à notre malheureuse condition, qu’on recherche, ni les dangers de la guerre , ni la peine des emplois, mais c’est le tracas qu
d’autre chose que de la grandeur du nom romain. Il fallait aller à la guerre quand la république l’ordonnait, et là travailler
git de tous côtés par l’impression de sa vertu. Jamais on n’a fait la guerre avec une force plus inévitable, puisque, en mépri
e de tenir la paix avec sûreté dans son sein, mais aussi de porter la guerre partout où il faut et de frapper de près et de lo
Saint Louis s’est sanctifié en grand roi254 : il était intrépide à la guerre , décisif dans les conseils, supérieur aux autres
orsqu’il mourut (1755), Louis XVI était dans sa première année, et la guerre désastreuse de Sept ans allait éclater : déjà fer
s’érigea en tribunal, qui jugea tous les peuples : à la fin de chaque guerre , il décidait des peines et des récompenses que ch
coup d’avoir différé sa ruine. Lorsque l’on était occupé à une grande guerre , le sénat dissimulait toutes sortes d’injures, et
éril ne voulait pas s’en approcher. Par là ils recevaient rarement la guerre , mais la faisaient toujours dans le temps, de la
ent maltraités : ce qui était un prétexte sûr pour faire une nouvelle guerre . Comme ils ne faisaient jamais la paix de bonne f
ssives ou un tribut, sous prétexte de lui faire payer les frais de la guerre  : nouveau genre de tyrannie qui le forçait d’oppr
ssent pour l’obtenir. Lorsqu’ils voyaient que deux peuples étaient en guerre , quoiqu’ils n’eussent aucune alliance ni rien à d
eur puissance ; mais leur personne propre était attaquée. Risquer une guerre , c’était s’exposer à la captivité, à la mort, à l
mais ils restaient si bien les maîtres, que, lorsqu’ils faisaient la guerre à quelque prince, ils l’accablaient, pour ainsi d
bition voulut encore renouveler les opinions humaines ; il déclara la guerre aux plus saintes, aux plus inébranlables vérités.
et la finesse331. Bataille de Rocroy332 (1643). Le fort de la guerre était du côté de la Flandre333. Les troupes espag
ont devenus tels par degrés. Ce prince était né général ; l’art de la guerre semblait en lui un instinct naturel : il n’y avai
suite dans un sommeil plein ; il l’est aussi qu’un génie fait pour la guerre , agissant sans inquiétude, laisse au corps assez
uvaise fortune. Luxembourg341 était l’élève de Condé dans l’art de la guerre  ; et il obligea, à force de mérite, le roi, qui n
eur général, devint si traitable, qu’il accepta publiquement après la guerre une grosse pension et le grade de lieutenant géné
et ses aides de camp. On ne lui voyait point, dans les travaux de la guerre , ce courage emporté de François Ier et de Henri I
e barbarie pendant lesquels tout périt, sont toujours préparés par la guerre et arrivent avec la disette et la dépopulation. L
ée ! Qu’elle soit dans le silence ! qu’à votre voix la discorde et la guerre cessent de faire retentir leurs clameurs orgueill
’homme, le fer homicide n’armera plus sa main ; le feu dévorant de la guerre ne fera plus tarir la source des générations ; l’
la terre, l’aigle et le vautour dans les airs, ne règnent que par la guerre , ne dominent que par l’abus de la force et par la
rts. Au reste, il n’a que ce fier ennemi ; tous les autres oiseaux de guerre le respectent, et il est en paix avec toute la na
lambeau Dont ils désolèrent leur terre, Les deux frères445, de qui la guerre Ne cessa point dans le tombeau446. C’est en la p
vage des champs, le pillage des villes, « Et les proscriptions et les guerres civiles, « Sont les degrés sanglants dont Auguste
; S’il est doux, pour timide et partisan du vice ; S’il se porte à la guerre , il fait des malheureux ; S’il entretient la paix
nter550? Les loups et les brebis551. Après mille ans et plus de guerre déclarée, Les loups firent la paix avecque les br
a.         Nous pouvons conclure de là Qu’il faut faire aux méchants guerre continuelle.         La, paix est fort bonne de s
ts le condamnait au feu ; L’autre, fougueux marquis, lui déclarant la guerre , Voulait venger la cour immolée au parterre. Mais
hez ses successeurs la Discorde insolente, Allumant le flambeau d’une guerre sanglante, Énerva leur puissance en corrompant le
i montre un peuple entier, par ses nobles bienfaits, Indompté dans la guerre , opulent dans la paix ; Son beau nom remplissant
un des plus distingués de ceux qui commandèrent les Impériaux dans la guerre de Trente ans. 19. Elle eut lieu en 1597, et sur
beaux ! Le même fonds qui avait produit des hommes illustres dans la guerre produisit des génies sublimes dans les lettres, d
gente Anne d’Autriche, avec les embarras d’une minorité agitée, cette guerre formidable à terminer. 333. Ce pays, divisé en d
portes cochères de Paris à fournir chacune un laquais pour aller à la guerre et pour repousser les ennemis des portes de la ca
oncitoyens de faire la paix avec Lacédémone ; Euripide voulait que la guerre fût poussée avec vigueur. Le chef de l’ancienne c
en forme le charme principal. Dans cette pièce, Molière continuait la guerre qu’il avait faite plusieurs années auparavant, da
Ce Romain est Jules César, qui franchit le Rhin pour aller porter la guerre en Germanie, 55 ans avant J.-C. : voy. de Bello g
és dont la France, dès 1697, commençait à être assaillie par suite de guerres trop prolongées. 703. Rousseau a dit à peu près
61 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section deuxième. La Tribune du Barreau. — Chapitre III. Analyse et extraits des Harangues d’Eschine et de Démosthène, pour et contre Ctésiphon. »
s principales, qu’il parcourt successivement. La première renferme la guerre contre Philippe jusqu’à la paix, et à l’alliance
nt au peuple assemblé les orphelins dont les pères étaient morts à la guerre , et qui étaient tous revêtus d’une armure complèt
le d’exciter à la vertu : Ces enfants, dont les pères sont morts à la guerre , en combattant avec courage, le peuple les a élev
62 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Deuxième partie. Rhétorique. — Chapitre III. — Disposition »
de Flandre et d’Allemagne. — 3° Comment le prince de Condé faisait la guerre , ses fautes, son repentir, sa dignité, sa généros
hènes. Celui-ci fait espérer aux Athéniens un meilleur succès dans la guerre contre Philippe. Si vous êtes résolus d’imiter P
més capitaines que ses exemples ont élevé aux premiers honneurs de la guerre  ! Son ombre eût pu encore gagner des batailles :
63 (1867) Rhétorique nouvelle « Introduction » pp. 2-33
s se civilisent, les camps se transforment en cités ; au fracas de la guerre succède l’harmonie bienfaisante des lois. Une lon
donc apprendre l’art de l’éloquence comme on apprend le métier de la guerre , et le proverbe ancien n’a pas tort qui dit : « O
ue oratoire. C’est l’exercice en attendant le combat, c’est la petite guerre en attendant la grande. Liez-vous, si vous pouvez
64 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section II. Des Ouvrages en Vers. — Chapitre II. Des petits Poèmes. »
x Coqs vivaient en paix : une Poule survint,              Et voilà la guerre allumée. Amour200, tu perdis Troie201 ; et c’est
ls avaient des rois, leurs champs étaient exposés aux malheurs que la guerre entraîne. Il était donc naturel qu’ils se plaigni
215 en ravageant la terre, Cherche, parmi l’horreur, le tumulte et la guerre  ? Possédé d’un ennui qu’il ne saurait dompter, Il
i retentit De cent décharges de tonnerre ; Et dans ces horreurs de la guerre , Le Français chante, boit, et rit. Bellonne246 va
premier siècle de l’ère chrétienne, fait dans toutes ses satires une guerre ouverte au vice. Il ne cache jamais la vérité, qu
ont ces fils de la terre, Dont les fières légions Devaient allumer la guerre Au sein de nos régions ? La nuit les vit rassembl
une vive peinture des excès auxquels ils s’étaient portés durant nos guerres civiles. Il reprend ensuite sa première idée, et
ris de le voir prendre un nouvel essor, et décrire en vers pompeux la guerre des géants303 contre les Dieux de l’Olympe ! On l
ans, et le monarque sous celle de Jupiter304. La description de cette guerre , qui paraît d’abord un hors-d’œuvre, est un effet
65 (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « PREMIÈRE PARTIE. DE L'ÉLÉGANCE LATINE. — CHAPITRE II. Du choix et de la délicatesse des expressions. » pp. 9-77
Elle les attaque, elle les poursuit sans relâche, elle leur livre une guerre continuelle ; et si elle ne peut venir à bout de
res noms précédés en français de la préposition de ou des, comme : la guerre des esclaves, bellum servile ; le pouvoir des tri
réposition de. Ex. : Malade d’inquiétudes, œger curis ; fatigué de la guerre , fessus militiâ, etc. XIII Après les adject
ence est aussi puissante en temps de paix, que le courage en temps de guerre . La phrase a une grâce particulière quand il y a
Non suscipi bellum oportuit. T. L. On n’aurait pas dû entreprendre la guerre . Longé utilius fuit angustias occupare. Q. C. Il
epti adversùs Romanos. T. L. Hannon se repentait d’avoir entrepris la guerre contre les Romains. VI Au lieu d’un substan
m. Ex. : Longe aliter ac prœvidebam belli fuit eventus. L'issue de la guerre a été tout autre que je ne le prévoyais. Felici a
que) ; in consulatu meo, in prœturâ ; in bello quod gessimus, dans la guerre que nous avons faite, etc. 3° In avec l’ablatif a
nce de la fortune est très-grande en toutes choses, mais surtout à la guerre . Remarque. Si la conjonction quùm, au premier me
66 (1886) Recueil des sujets de composition française donnés à la Sorbonne aux examens du baccalauréat ès lettres (première partie), de 1881 à 1885
ériclès, le principal foyer intellectuel et artistique, après que les guerres Médiques avaient déjà montré sa supériorité sur l
on des autres, la langue commune de la Grèce. C’est enfin pendant les guerres Médiques qu’on voit éclore deux genres nouveaux e
degré la véracité et l’esprit philosophique, dans son Histoire de la guerre du Péloponnèse. Xénophon, qui vient après, est pl
ement comparable à celle qui suivit, pour la Grèce, le dénouement des guerres Médiques, et pendant laquelle les lettres redevin
aient dans ses rangs ; la parole était le grand ressort en paix et en guerre , et quiconque avait le talent de persuader la mul
re seulement aux Jésuites, Pascal n’hésite pas à porter à son tour la guerre dans leur camp, et à faire le siège en règle de l
plus fin et peut-être le plus profond des moralistes qui ont fait la guerre à l’orgueil de l’homme » ‌(Prévost-Paradol). La B
, il se retire sur ses vaisseaux et jure de ne plus prendre part à la guerre . Ce serment, qu’il a prononcé sous l’empire de la
ains : la valeur, la constance nécessaires à « une nation toujours en guerre et par principe de gouvernement » ; « l’amour de
n cher pays et mon premier amour, Lorsqu’entre nous et toi je vois la guerre ouverte, Je crains notre victoire autant que notr
sang et qu’un peuple en deux villes ; Pourquoi nous déchirer par des guerres civiles ? Il va même jusqu’à laisser croire qu’i
on. Le plan est trop analytique ; Voltaire raconte d’abord toutes les guerres , puis les anecdotes, puis le gouvernement intérie
sa parole ardente et inspirée ; il n’hésite pas à engager, dans cette guerre sainte, jusqu’à son honneur même, et reçoit l’or
es victimes du patriotisme. [2] (6 août 1885) Après la première guerre punique, Livius Andronicus ouvrit à Rome une écol
es expressions comme la toux ronge-poumon, le soleil brûle-champs, la guerre verse-sang, Bacchus aime-pampre, et mille autres
t que telle et telle puissance se disputaient une province, et que la guerre ayant éclaté, une tierce puissance les mit toutes
son heureuse audace qui égalait son sang-froid dans les dangers de la guerre  : il est amené à décrire la journée de Senef, le
rent recours à la mauvaise foi, et, critiques impuissants, firent une guerre sourde aux chefs-d’œuvre dont ils étaient incapab
ène par ses héros. 5. Boileau sait que l’État est obéré ; les longues guerres ont épuisé les finances ; mais Corneille n’est pa
67 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre III. — Ornements du Style, qui consistent dans les Mots ou Figures »
chose à laquelle ils présidaient : Vulcain pour le feu, Mars pour la guerre , Neptune pour la mer, les Muses pour les beaux-ar
du monde d’amour, d’admiration ou de frayeur. Les dehors mêmes de la guerre , le son des instruments, l’éclat des armes, l’ord
on, j’ai perdu quelques soldats, n’est-ce pas le sort ordinaire de la guerre  ? Trouverez-vous des généraux qui veuillent se ch
es, Bat du pied, mord le frein, sollicite les rênes. À ces apprêts de guerre , au bruit des combattants, Le cerf frémit, s’éton
le et profond dans les affaires politiques, de grands talents pour la guerre  ; tous deux furent redevables de l’empire à leur
? Allez tarir la source de leurs trésors. Ignorez-vous que toutes les guerres de l’Europe ne sont plus que des guerres de comme
Ignorez-vous que toutes les guerres de l’Europe ne sont plus que des guerres de commerce. Qu’on achète des armées et des victo
68 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Molière. (1622-1673.) » pp. 29-34
t rien faire. Le maître de musique. Tous les désordres, toutes les guerres qu’on voit dans le monde, n’arrivent que pour n’a
ir danser. M. Jourdain. Comment cela ? Le maître de musique. La guerre ne vient-elle pas du manque d’union entre les hom
69 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Retz 614-1679 » pp. 22-26
rit aussi grand que le cœur. La fortune, en le donnant à un siècle de guerre , a laissé au second toute son étendue. La naissan
et ajustant souvent après coup les moyens aux événements. « Il fit la guerre au roi ; mais le personnage de rebelle était ce q
70 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Madame de Sévigné 1626-1696 » pp. 52-64
’acquitter. Toujours une soif et un besoin d’argent, en paix comme en guerre  ! c’est un abîme de je ne sais pas quoi ; car il
présentement en mon cœur ? Le péril extrême où se trouve mon fils, la guerre qui s’échauffe5 tous les jours, les courriers qui
ins, que de projets, que de secrets, que d’intérêts à démêler, que de guerres commencées, que d’intrigues, que de beaux coups d
71 (1912) Morceaux choisis des auteurs français XVIe, XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles
amment la dernière partie de cette histoire, remplie par le récit des guerres de religion. Aussi peut-on le regarder comme le p
ait alors à Bordeaux. Les Espagnols, l’ayant autrefois pris durant la guerre de Sienne514, lui avaient fait mille outrages et
6, il équipe trois vaisseaux, armés seulement de deux cents hommes de guerre , avec lesquels, feignant de vouloir aller au Brés
ormant des desseins qui ne pouvaient être exécutés que par une longue guerre  : ce que son royaume ne pouvait soutenir1080. Ce
renverser, mais un empire naissant. Les Moscovites se servirent de la guerre qu’il leur faisait comme d’une école. À chaque dé
s de tant d’officiers et de soldats sont innombrables dans toutes les guerres  ; mais il y en a eu de si singulières, de si uniq
ire de Brunswick1133 assiégeait Vésel1134, dont la prise eût porté la guerre sur le bas Rhin et dans le Brabant ; cet événemen
rvantes. (Études de la nature, XIII.) Probité Bans la dernière guerre d’Allemagne1295, un capitaine de cavalerie est co
autrefois ; mais, d’une autre part, le paysan est plus sédentaire. La guerre l’appelait sous la bannière de son seigneur, et l
Il avait été marmiton au service du général Rochambeau1378 pendant la guerre d’Amérique. Demeuré à New-York après le départ de
st en cette qualité qu’il assista au siège d’Anvers et prit part à la guerre d’Afrique. Il mourut en 1854 ; mais ce n’est qu’e
as la moitié de ceux qui auraient pu profiter des ponts. Beaucoup, de guerre lasse, se jetaient dans l’eau, d’autres y étaient
eau (1856), l’Insecte (1857), la Mer (1861), la Montagne (1868). La guerre des mercenaires Le grand Hamilcar Barca avait
sponsables de la honteuse issue que leurs patrons avaient donnée à la guerre . Ces hommes de fer, vivant toujours au milieu des
’on leur devait au prix exorbitant où ils s’étaient vendus pendant la guerre  ; puis ils demandèrent je ne sais combien d’autre
con, sur lui, sur ses Carthaginois et ils les chargent de fers. Toute guerre qui éclatait en Afrique, que l’ennemi fût Agathoc
arthage, lui prirent les deux îles, et la menacèrent, en outre, de la guerre , si elle n’ajoutait au traité stipulé douze cents
étant serrés de près dans leur ville, le parti de Barca, celui de la guerre , reprit le dessus, et Hamilcar eut le commandemen
se faire ainsi entendre du plus grand nombre ; car la longueur de la guerre faisait peu à peu du phénicien la langue commune,
onde sanguinaire des successeurs d’Alexandre, dans cet âge de fer, la guerre des mercenaires fit pourtant horreur à tous les p
tant horreur à tous les peuples, Grecs et Barbares, et on l’appela la guerre inexpiable. (Histoire romaine 1571, livre II, c
age de l’artillerie ne pouvait étouffer entièrement l’air sublime des guerres fraternelles. Le cœur du jeune homme, saisi de ce
épandant sur les soldats qui ont supporté les fatigues de nos longues guerres sans en recevoir la récompense, et surtout sur le
ux pour aller dire, de but en blanc : Grand-papa racontez-moi donc la guerre  ! Mais lorsque par bonheur j’obtenais la permissi
connu de plus généreux, de plus désintéressé, de plus grand que cette guerre défensive, telle que je la vois encore à travers
ait, commandé ou permis rien de tel ; les Dumont ne confondent pas la guerre avec l’assassinat ; mais il faut passer quelque c
coups de poing qui rapprochent les camarades, comme on prétend que la guerre rapproche les nations. Cependant, au bout de l’an
e grand ne doit rien ignorer. Il ne doit seulement savoir l’art de la guerre , De garder les cités, ou les ruer1973 par terre,
s sujets par rançons ni par tailles1999, Ne prenez2000 sans raison ni guerres , ni batailles ; Gardez le vôtre2001 propre et vos
ployé cultivera la terre, Et le peuple qui tremble aux frayeurs de la guerre , Si ce n’est pour danser, n’orra2044 plus de tamb
e attaquèrent les eaux, Qu’on crut que, pour leur faire une plus rude guerre , Tout l’élément du feu tombait du ciel en terre.
qu’à leurs blés Les gens n’étant plus occupés Feront aux oisillons la guerre  ; Quand reginglettes2155 et réseaux Attraperont p
arge à la cour ? Tout au monde est mêlé d’amertume et de charmes : La guerre a ses douceurs, l’hymen a ses alarmes. Si je sava
d que son cœur ne souhaite. » (Ah2263 !) « Mais quel est l’état où la guerre l’a mis ? Que dit-il ? que fait-il ? Contente un
Ou, d’un plomb qui suit l’œil et part avec l’éclair, Je vais faire la guerre aux habitants de l’air. Une table au retour, prop
x de me cacher, J’attende en ces déserts qu’on me vienne chercher. La guerre a ses faveurs, ainsi que ses disgrâces. Déjà plus
lé. Il voit plus que jamais ses campagnes couvertes De Romains que la guerre enrichit de nos pertes Des biens des nations ravi
s pourront-ils m’arrêter ? Marchons ; et dans son sein rejetons cette guerre Que sa fureur envoie aux deux bouts de la terre.
’enfer a vomi sur la terre Pour faire aux gens dormants une éternelle guerre , Commence son vacarme, et nous lutine tous. Albe
pide joie.... Ciel ! quels propos ! Ce pédant du palais2517 Blâme la guerre et se plaint de la paix. Ce vieux Crésus, en sabl
tincelle ; Il les combat de toutes parts. L’airain2523 lui déclare la guerre . Le fer, fonde, la flamme entourent ses héros. Sa
t à coup entre dans la volière Comme un mineur qui prend une place de guerre . Les oiseaux effrayés se pressent en fuyant. Lui
v.) Les soldats de la République O soldats de l’an deux2699 ! ô guerres  ! épopées ! Contre les rois tirant ensemble leurs
leurs corps2822 pour les garder à Dieu. (Pernette, épilogue.) La guerre Exhortation aux mères Ah ! quand le citoy
e poésies, Pages intimes (1866), Poèmes populaires (1871), Pendant la guerre (1872), En voyage (1882). Toutes les pièces qui l
t moi vieux volontaire, Pour les venger, je serai seul ! (Pendant la guerre , x.) Le codicille2901 de Maitre Moser « Eh
ait, Me dira simplement : « Moser ! Moser ! c’est fait ! » (Après la guerre , XXV.) Le retour de Morin L’ouvrier Morin a
ue, le grand drame historique en vers ; le souvenir ineffaçable de la guerre de 1870-1871 n’a d’ailleurs pas peu contribué à a
t à pas lents vers Gérald. Sire Gérald, pardon !… moi, vieil homme de guerre , Je vous dirais trop mal… mes larmes, ce n’est gu
jamais. 461. Allusion aux souvenirs les plus glorieux de la seconde guerre médique. Arrêté un instant au défilé des Thermopy
t-fils de Mme de Sévigné, né en 1671, avait suivi, dès le début de la guerre de la Ligue d’Augsbourg (1688), le dauphin au siè
orte l’historien grec Thucydide (né vers 465) dans son Histoire de la guerre du Péloponnèse (I, 138). 759. L’amour de la pat
ne illustre famille, dont plusieurs membres s’étaient distingués à la guerre et à laquelle appartinrent, au xive siècle, les
ne de Gramont (voir page 82, note 1), s’était lui-même distingué à la guerre , quand il fut, à la suite d’intrigues de cour, ex
Frédéric II, roi de Prusse, contre l’Autriche et la France coalisées ( guerre de Sept Ans (1756-1763). 1134. Vêsel (Wesel), a
35. Le marquis de Castries (1727-1801) prit part aux opérations de la guerre de Succession d’Autriche et de la guerre de Sept
it part aux opérations de la guerre de Succession d’Autriche et de la guerre de Sept Ans ; il devint plus tard, sous Louis XVI
avie. Vauvenargues avait fait la campagne de Bohême (1742) pendant la guerre de la succession d’Autriche. 1242. Aujourd’hui c
que Bernardin de Saint-Pierre fait allusion ici. 1295. La dernière guerre d’Allemagne. La guerre de Sept Ans (1756-1765), L
-Pierre fait allusion ici. 1295. La dernière guerre d’Allemagne. La guerre de Sept Ans (1756-1765), Les Etudes de la nature
te (54-119), à la Vie de Marius de Plutarque (vers 40-vers 120), à la Guerre des Gaules de César (100-44 av. J.-C.). 1427. Le
t avec une émotion communicative ce dramatique épisode de nos grandes guerres  ; et c’est bien le lieu de faire remarquer ici to
ien ne manquait au général de Marbot pour intéresser aux scènes de la guerre les auditeurs les plus indifférents ou les plus s
aix signée précipitamment en 241 par Carthage, dans la crainte que la guerre , en se prolongeant, ne devint trop coûteuse. Cett
ngeant, ne devint trop coûteuse. Cette paix mettait fin à la première guerre punique (264-241). — Rappelons qu’Hamilcar Barca,
s qu’Hamilcar Barca, le père d’Hannibal, était le chef du parti de la guerre  ; le chef du parti de la paix était Hannon. 1560
60. C’est la Sicile qui avait été le principal théâtre de la première guerre punique. 1561. Du soleil, adoré sous le nom de
la direction du N.-O., entre Carthage et Hippone Zaryte (Bizerte). —  Guerre des mercenaires, 238 av. J.-C. 1569. Euboïques,
me de son attachement à l’empereur, le traduisit devant un conseil de guerre . Il fut acquitté et vécut depuis dans la retraite
oir. Sa taille était haute, mais un peu voûtée, et les fatigues de la guerre avaient imprimé sur son front chauve plus de ride
eurs. 1717. Saverne, ville d’Alsace-Lorraine, qui faisait, avant la guerre de 1870, partie du département du Haut-Rhin. L’au
e du Rhin, reliée à Strasbourg par un pont célèbre ; c’était avant la guerre la première station située sur le territoire alle
mpagné le duc d’Alençon, conduisant vers les Pays-Bas, au début de la guerre qui venait d’éclater entre François Ier et Charle
s à tes pieds abattus... Ont connu ta fortune, et que (a) l’art de la guerre A moins d’enseignements que tu n’as de vertus 2
res. 2064. Nos pertes. En 1593, Henri IV avait pu enfin déclarer la guerre à l’Espagne, qui n’avait cessé d’entretenir, par
t cessé d’entretenir, par ses intrigues, nos discordes civiles. Cette guerre , mêlée de succès et de revers, se termina par le
07. En, de régner. 2108. Le fut bien de son frère. En 190, dans la guerre contre Antiochus, Publius Scipion fut lieutenant
 aller à l’Amérique » et « aller en Alger ». 2210. Mars, dieu de la guerre dans la mythologie latine. 2211. République, Ét
que Racine a utilisées dans ce long morceau lui sont fournies par la Guerre de Mithridate de l’historien grec Appien (iie si
-C.). 2431. Se déborder. Voir page 20, note 7. 2432. Allusion à la guerre sociale (contre les socii, alliés italiens), 90-8
la guerre sociale (contre les socii, alliés italiens), 90-88. 2433. Guerre de Spartacus. 73-71. 2434. Darius, fils d’Hystas
06. Plaisance. Le maréchal de Maillebois y avait été défait en 1746 ( guerre de la succession d’Autriche). 2507. Vous, à pe
ède, les échecs. Palamède est un des rois grecs qui prirent part à la guerre de Troie. — On voit bien ici comment Delille affe
nument que les anciens élèves du lycée de Lyon consacrèrent, après la guerre de 1870-1871, à la mémoire de leurs camarades mor
ute, ainsi qu’il l’a écrit plusieurs fois, que les Français, avant la guerre de 1870, ont eu trop de penchant à célébrer et à
on climat et la mollesse de sa civilisation. 2877. Arès, dieu de la guerre , que les Romains ont identifié avec le dieu latin
l pas de doux chants ? » 2899. Composée en janvier 1871, pendant la guerre franco-allemande. 2900. Sa croix, la croix d’ho
testament. 2902. Cette pièce a été écrite en 1880, dix ans après la guerre de 1870-1871 et l’annexion de l’Alsace à l’empire
72 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Bernardin de Saint-Pierre. (1737-1814.) » pp. 153-158
avec une foi persévérante1 Un acte de vertu. Dans la dernière guerre d’Allemagne, un capitaine de cavalerie est comman
qui plus d’une fois avez calmé mes passions, puissent les cris de la guerre ne troubler jamais vos résonnantes clairières ! N
73 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Fléchier 1632-1710 » pp. 84-88
tendait le succès d’une entreprise qui, selon toutes les règles de la guerre , était infaillible. Hélas ! nous savions tout ce
rnelle paix à celui qui l’a sauvé des désordres et des cruautés de la guerre . Ici l’on offre le sacrifice adorable de Jésus-Ch
74 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Retz, 1614-1679 » pp. 38-42
rit aussi grand que le cœur. La fortune, en le donnant à un siècle de guerre , a laissé au second toute son étendue. La naissan
et ajustant souvent après coup les moyens aux événements. « Il fit la guerre au roi ; mais le personnage de rebelle était ce q
75 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre V. — Qualités particulières du Style »
semblé pour délibérer sur le sort des prisonniers athéniens, après la guerre de Sicile. Vous voyez, s’écrie-t-il, un père inf
i a senti plus qu’aucun autre Syracusain les funestes effets de cette guerre , qui lui a ravi deux fils, la consolation et l’es
ne point haïr et délester les Athéniens, auteurs de cette malheureuse guerre , comme les homicides et les meurtriers de mes enf
toutes sortes de mauvais traitements et des supplices pour l’injuste guerre qu’ils nous ont déclarée ; mais les dieux, justes
son crédit et toute son éloquence pour les détourner de vous faire la guerre . Une sentence de mort, prononcée contre ce digne
t parvenu jusqu’à nous. Parmi les hommes de goût qui lui ont fait une guerre acharnée, nous devons mentionner les louables eff
76 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Bossuet, 1627-1704 » pp. 89-123
és capitaines que ses exemples ont élevés aux premiers honneurs de la guerre  ! Son ombre eût pu encore gagner des batailles :
et pour résister à vos ennemis, et pour conserver vos alliés. Mais la guerre qui oblige Votre Majesté à de si grandes dépenses
sans que Votre Majesté en profite, tant par les désordres des gens de guerre , que par les frais qui se font à lever la taille1
s choses ; mais comme la nécessité de faire et de soutenir une grande guerre exige aussi qu’on s’applique à ménager les forces
me de Montespan. Remarquez l’euphémisme. 5. « Au milieu d’une grande guerre . » La guerre de Hollande, commencée en 1672. 1.
an. Remarquez l’euphémisme. 5. « Au milieu d’une grande guerre. » La guerre de Hollande, commencée en 1672. 1. La taille. C
77 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section quatrième. Genre Démonstratif. Les Panéryriques. — Chapitre IX. Parallèle des Oraisons funèbres de Condé, par Bossuet et de Turenne, par Fléchier et Mascaron. »
différentes, on vit tout ce qu’on peut soutenir et entreprendre à la guerre . — Voyez comme tout s’ébranle : Philipsbourg est
e du monde d’amour, d’admiration ou de frayeur. Les dehors même de la guerre , le son des instruments, l’éclat des armes, l’ord
78 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — La Satire Ménippée, 1594 » pp. -
ingere à parler de paix, je le courray9 comme un loup gris10. Vive la guerre  ! il n’est que d’en avoir, de quelque part qu’il1
tailles, aydes et subsides les pauvres sujects affligez d’une longue guerre , introduisirent une nouvelle dace (contribution)
79 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — La Rochefoucauld, 1613-1680 » pp. 32-37
ns ses rêves et précipité du faîte de ses espérances, malheureux à la guerre , dupe de ses amis et victime de ses ennemis, trah
leur privation ; il passe même dans le parti des gens qui lui font la guerre , il entre dans leurs desseins, et, ce qui est adm
80 (1845) Leçons de rhétorique et de belles-lettres. Tome II (3e éd.)
de quatre. Le premier est le siècle des Grecs ; il s’étend depuis la guerre du Péloponnèse jusqu’au règne d’Alexandre le Gran
evant les Grecs rassemblés, et on lui décernait une couronne. Dans la guerre du Péloponnèse, lorsque les Athéniens furent défa
ériode ou d’une portion particulière de temps, comme l’histoire de la guerre du Péloponnèse, par Thucydide ; celle des guerres
mme l’histoire de la guerre du Péloponnèse, par Thucydide ; celle des guerres civiles de France, par Davila ; celle des guerres
ucydide ; celle des guerres civiles de France, par Davila ; celle des guerres civiles d’Angleterre, par Clarendon. L’historien,
er l’unité dans leur récit, qu’ils sont inexcusables d’y manquer. Les Guerres de Catilina et de Jugurtha, par Salluste ; la Cyr
in de force et de noblesse, n’a pas ce mérite dans son Histoire de la guerre du Péloponnèse. L’auteur n’a pas en vue un objet
eau de l’histoire dans la Conjuration de Catilina, et surtout dans la Guerre de Jugurtha ; son style cependant n’est pas à l’a
u toujours se défendre. Bentivoglio, dans son excellente Histoire des guerres de Flandre, a peut-être employé un style trop pom
moins d’être placés au premier rang parmi les historiens modernes. La Guerre de Flandre, écrite en latin par Famien Strada, es
nt avoir d’attraits pour des peuples sauvages uniquement occupés à la guerre ou à la chasse. La force des passions, le pouvoir
ont : « La discorde cruelle, l’envie odieuse, les chefs puissants, la guerre sanglante, l’ombre ténébreuse, les scènes lamenta
également instructif ; mais comme il préféra des héros, il choisit la guerre de Troie pour être le théâtre de sa fable ; il su
mère, aucun événement n’avait plus de grandeur et d’importance que la guerre de Troie. Une si belle réunion des États de la Gr
rappelait les exploits des héros qui s’étaient signalés pendant cette guerre mémorable. Ce fut d’après ces traditions qu’Homèr
on l’opinion commune, que deux ou trois siècles seulement après cette guerre , comme aucun historien n’en avait alors consacré
c la vérité historique. Il n’a pas embrassé, dans son sujet, toute la guerre de Troie ; il n’en a très judicieusement choisi q
sept jours ; mais ils forment la partie la plus intéressante de cette guerre . Par ce moyen, le poète a su donner à son sujet p
ns poètes, il se conforma aux traditions de son pays. Le siècle de la guerre de Troie se rapprochait de celui des dieux et des
t des demi-dieux de la Grèce. La plupart des héros engagés dans cette guerre passaient pour avoir une origine divine ; aussi l
combats, et présentent au poète l’occasion de mêler aux détails de la guerre ceux des travaux et des plaisirs des peuples paci
s que le sujet semble présenter dans la dernière partie du poème. Les guerres avec les Latins n’ont plus la dignité et l’intérê
lame un établissement dans le Latium, livre le pays aux fureurs de la guerre , tue l’amant de la princesse, et cause la mort de
choix. Je trouve dans ce sujet deux défauts essentiels : d’abord des guerres civiles, et surtout des guerres aussi cruelles et
deux défauts essentiels : d’abord des guerres civiles, et surtout des guerres aussi cruelles et aussi sanglantes que celles des
e intervenir les dieux et les déesses dans les différends et dans les guerres entre César et Pompée : au lieu de donner de l’im
le pressait de consulter l’oracle de Jupiter Ammon sur l’issue de la guerre  ; il renferme la morale la plus sublime que l’ant
sujet n’offre pas de ces scènes terribles et féroces qu’enfantent les guerres civiles et qui révoltent dans Lucain ; il ne prés
dans la Pharsale, c’est-à-dire que l’action n’est fondée que sur des guerres civiles, et ne nous offre que des images dégoûtan
douces occupations d’une vie paisible ; les entreprises de Satan, la guerre entre les anges rebelles et les célestes légions,
tière de six pièces différentes ; dix-sept au moins sont tirées de la guerre de Troie et des événements qui l’ont suivie ; une
vernement et la conduite des généraux et des hommes d’État pendant la guerre du Péloponnèse. Elles sont tellement remplies d’a
uve un mélange bizarre de discours héroïques, d’incidents sérieux, de guerres , de meurtres, de satires et de bouffonnerie. L’on
et la peinture ; on dit la charrue et l’épée, pour le labourage et la guerre  ; on dit des voiles pour des vaisseaux, et cela s
u parlement d’Angleterre, en 1739, quand il s’agissait de déclarer la guerre à l’Espagne. L’esprit de Démosthène et de Cicéron
enus d’approuver souvent le bizarre sous le nom de merveilleux. « Les guerres civiles d’Angleterre ôtèrent longtemps à Milton l
r un de ses membres. Mais il ne garda point cette neutralité dans les guerres civiles du roi et du parlement : il fut un des pl
malgré l’ennui que doit causer cet amas de folies désagréables. « La guerre entre les bons et les mauvais anges a paru aussi
81 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section II. De l’Art d’écrire agréablement. — Chapitre II. Des différentes Espèces de Style, et des Figures de Pensées. » pp. 238-278
glée par ses droits. Il n’attirera point sur ses États le fléau de la guerre , parce qu’il regardera comme un crime de la porte
’avoir sacrifié à cette ambition le repos de l’État, en perpétuant la guerre pour perpétuer son autorité ; la vie de ses ennem
eureusement enchaîné à celui de sa fortune et de ses passions. Car la guerre qu’il entretint si longtemps par ambition, fut la
tout cacher ; également actif et infatigable dans la paix et dans la guerre  ; qui ne laissait rien à la fortune de ce qu’il p
82 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre cinquième. De l’Éloquence des Livres saints. — Chapitre II. De l’emploi des figures dans les écrivains sacrés. »
terre Forment-ils ce concours soudain ? Pourquoi tous ces conseils de guerre Où tant de rois parlent en vain ? 138 … Celui q
’un amas d’ossements blanchis, Qui du joug de la mort accablés par la guerre ,             N’en seront jamais affranchis.     
et s’écrient à son aspect : Est-ce lui, dont la voix commandait à la guerre  ! Lui, qui d’or et de sang épuisait les états ; E
83 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre premier. Éléments généraux du Goût et du Style. — Chapitre VIII. Des Figures en général. »
pour le feu, Neptune pour la mer et les eaux en général, Mars pour la guerre , etc. 2º L’effet pour la cause. Nec habet Pelion
re, et va comme Jupiter 35. Pollion s’occupait d’une tragédie sur les guerres civiles dont Rome venait d’être le théâtre. Horac
e de la poésie, se distingue surtout par l’emploi de cette figure. La guerre , la paix, les dards, les fleuves, tout vit, tout
re de nos provinces ; et, au lieu d’être la source malheureuse de nos guerres , tu serais aujourd’hui le fruit paisible de nos v
m they mediate to the throne above. (Book ix. v. 624). 40. Dans la Guerre des Dieux anciens et modernes, poème, où la poési
84 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Pascal, 1622-1662 » pp. 44-51
ui ne peut résister à cette montre4 si authentique. Les seuls gens de guerre en sont pas déguisés de la sorte, parce qu’en eff
univers n’en sait rien. La vérité C’est une étrange et longue guerre que celle où la violence essaye d’opprimer la vér
85 (1881) Rhétorique et genres littéraires
nt ? des animaux qui tremblent devant moi ! Je suis donc un foudre de guerre  ? (La Fontaine, Le Lièvre et les Grenouilles, II,
père, toujours en paix, est toujours prêt, dans le besoin, à foire la guerre  ; le fils est toujours en guerre, toujours prêt à
urs prêt, dans le besoin, à foire la guerre ; le fils est toujours en guerre , toujours prêt à donner la paix à ses ennemis et
re partie, xe  époque.) Mithridate peint les Romains enrichis par la guerre  : Des biens des nations ravisseurs altérés, Le b
l’effet : Cérès pour le blé ; — Bacchus pour le vin ; — Mars pour la guerre  ; — la plume, le pinceau pour les écrits et la pe
ble d’enrichir en un jour l’Achéron,           Faisait aux animaux la guerre . (La Fontaine, Les Animaux malades de la peste, V
t en vers élégiaques que Callinus et Tyrtée ont écrit leurs chants de guerre . Toutefois il est possible qu’à l’origine le mot
chanter, comme l’a fait Homère, les actions héroïques des rois et les guerres sanglantes : Res gestæ regumque ducumque et tris
ent digne de ce nom, il faut trois conditions : 1° Un grand sujet, la guerre de Troie, par exemple, qui met aux prises l’Asie
d’Aubigné qui contiennent plus de neuf mille vers, et la Dunciade ou Guerre des sots de l’Anglais Pope, poème en quatre chant
yen-Âge, la poésie pastorale renaît au seizième siècle, au milieu des guerres politiques et religieuses qui ensanglantent la pl
on des lois, etc. Ex. Discours de Mirabeau sur le droit de paix et de guerre  ; — celui de l’abbé Maury sur la constitution civ
Ex. l’Oraison funèbre de Périclès en l’honneur des soldats tués à la guerre de Samos (441 av. J.-C.). Chez les Romains, l’ora
celui qu’a prononcé Voltaire en l’honneur des officiers morts dans la Guerre de la succession d’Autriche (1741). 5° Éloque
à cette règle dans son Siècle de Louis XIV on traitant isolément des guerres , de l’administration, des finances, des beaux-art
s, une critique attentive et pénétrante dans leur appréciation. Lois, guerre , finances, institutions administratives et politi
86 (1870) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices par Gustave Merlet,... à l'usage de tous les établissements d'instruction. Cours moyens, grammaire et enseignement spécial. Première partie : prose
le printemps, qui commence les sièges ou les autres entreprises de la guerre , ne nous fait jamais rien voir de nouveau que des
elle sût combattre100 ; et ce grand courage, qui n’avait encore vu la guerre que dans les livres, effaça tout ce qu’il y avait
et de la Fronde, ambitieux trompé par ses espérances, malheureux à la guerre , dupe de ses amis, et victime de ses ennemis, tra
ne peut résister à cette montre290 si authentique. Les seuls gens de guerre ne se sont pas déguisés de la sorte, parce qu’en
et les périls, et les peines où ils s’exposent, dans la cour, dans la guerre , d’où naissent tant de querelles, de passions, d’
oue et qui se divertit. De là vient que le jeu et la conversation, la guerre , les grands emplois sont si recherchés. Ce n’est
l’univers n’en sait rien. La vérité C’est une étrange et longue guerre que celle où la violence essaye d’opprimer la vér
vous ne soyez pas venus à cette dernière campagne ; vous auriez vu la guerre , et votre voyage n’eût pas été long. » Racine lui
tement    en    mon cœur ? Le péril extrême où se trouve mon fils, la guerre qui s’échauffe470 tous les jours, les courriers q
impitoyable520. La satire sort bientôt des premières bornes, et d’une guerre de mots elle passe à des libelles diffamatoires,
rrêtée ? Plus tôt on verra le froid et le chaud cesser de se faire la guerre , que les philosophes convenir entre eux de la vér
d’autre chose que de la grandeur du nom romain. Il fallait aller à la guerre quand la république l’ordonnait, et là travailler
t moi, Sire, pendant ce temps, je songe secrètement en moi-même à une guerre bien plus importante, et604 à une victoire bien p
t de son application au service, échappent toujours aux dangers d’une guerre aussi vive et aussi longue que celle-ci. Leur vie
rez, par cela même, la plus malheureuse681. Sur les malheurs de la guerre A M. Le Duc de Noailles A Saint-Cyr, ce 24
t de maux, qu’à garder quelques places de la frontière qui causent la guerre  ? Quelle réponse à cela, Sire ? Mais pendant qu’i
rouver des revers, et en éprouveront peut-être encore : le sort de la guerre pourra changer encore pour elle ; mais le sort de
eur puissance ; mais leur personne propre était attaquée. Risquer une guerre , c’était s’exposer à la captivité, à la mort, à l
mais ils restaient si bien les maîtres, que, lorsqu’ils faisaient la guerre à quelque prince, ils l’accablaient pour ainsi di
tacle des choses humaines. Qu’on voie dans l’histoire de Rome tant de guerres entreprises, tant de sang répandu, tant de peuple
e ce fier et fougueux animal, qui partage avec lui les fatigues de la guerre et la gloire des combats1197. Aussi intrépide que
dès que le son du cor ou la voix du chasseur a donné le signal d’une guerre prochaine, brûlant d’une ardeur nouvelle, le chie
ionné. Mécontent de lui-même et des autres, il aima mieux déclarer la guerre à l’ordre social que de réformer son caractère ou
rs 1797). Monsieur le Général en chef, Les braves militaires font la guerre et désirent la paix : celle-ci ne dure-t-elle pas
e avait fait connaître à S. M. l’Empereur le désir de mettre fin à la guerre qui désole les deux peuples ; l’intervention de l
ur les intérêts ou les passions d’une nation étrangère aux maux de la guerre , que nous continuions à nous entr’égorger ? Vous,
la force des armes ; mais, dans la supposition que les chances de la guerre vous deviennent favorables, l’Allemagne n’en sera
e et l’activité des armées, leur donnent un grand désavantage dans la guerre contre les hommes du Nord et de l’Occident. Le pu
déric, gardé ses conquêtes et affermi sur la paix un état créé par la guerre  ; mais sa gloire sera bien plus grande en étendue
la prise du pouvoir, au 18 brumaire, de la journée de Marengo et des guerres d’Allemagne, expliqueront à jamais, directement,
. De Göttingen à Berlin Sortie de Magdeburg. Pays désolé par la guerre , et où lion rencontre à chaque pas la trace encor
ncore venu1686, il faut bien se contenter d’espérance, et songer à la guerre , à la politique, et aux sciences plutôt qu’aux ar
en chef On persuaderait difficilement aux hommes, que l’art de ] a guerre est celui de tous peut-être qui donne le plus d’e
ire ; il faut surtout qu’il connaisse les hommes, car les hommes à la guerre ne sont pas des machines ; au contraire, ils y de
grands capitaines. A toutes ces connaissances supérieures, l’homme de guerre ajoutera les connaissances plus vulgaires, mais n
dre ; puis ramené tout à coup en Occident par le renouvellement de la guerre européenne, après avoir essayé d’imiter Alexandre
succombe pour la dernière fois à Waterloo, et après avoir soutenu des guerres plus grandes que celles de l’empire romain, s’en
nsemble, et comme par un commun accord, ils poussèrent une clameur de guerre pour s’étourdir, et ne pas entendre les gémisseme
ajustant souvent après coup les moyens aux événements. « Il fit la guerre au roi ; mais le personnage de rebelle était ce q
’énergique familiarité de ce style. 314. Il s’agit ici de l’homme de guerre . 315. Les autres sont les moralistes, les philo
ropres au commandemant, étaient mieux disciplés et plus entendus à la guerre . Et avec cette discipline que quelqu’un a nommée
. Elle a fait voir la première au monde des armées judicieuses et des guerres sages ; elle a su mêler, comme il faut, l’art ave
ont devenus tels par degrés. Ce prince était né général ; l’art de la guerre semblait en lui un instinct naturel : il n’y avai
suite dans un sommeil plein ; il l’est aussi qu’un génie fait pour la guerre , agissant sans inquiétude, laisse au corps assez
ans l’armée française, et venait d’être tué, la cinquième année de la guerre de la succession d’Espagne. 641. Fléchier s’adre
était neveu de l’archevêque de Reims ; il avait le portefeuille de la guerre , bien qu’âgé de 25 ans. Sa haute position lui ava
hez lui ni sécheresse ni amertume. Sa table était ouverte, pendant la guerre , à tous les officiers ennemis ou nationaux que sa
ttre de Bossuet à Louis XIV (1er recueil). 804. C’était l’époque des guerres désastreuses par lesquelles Louis XI V expiait le
qui jadis esclave sur la terre A ses sens révoltés faisait en vain la guerre , Triomphante aujourd’hui de leurs vœux impuissant
corresp., t.II, Corresp. de famille, p.132.) 902. C’était pendant la guerre de Flandres, en 1710 ; le Cambresis faillit être
« Je supplie qu’on me permette de détourner les yeux des horreurs des guerres de Marius et de Sylla ; on en trouvera dans Appia
nde l’apparence d’un service public. On était alors dans le feu de la guerre de Sept Ans. 1162. Rosbach est un village Prussi
pour la peine. 1238. Encore un trait philanthropique. 1239. À la guerre  ; pourquoi ne pas dire, à la chasse, et nommer le
les    détails de    cette phrase sont déterminés    par    le    mot guerre    qui précède. Le fort signifie la tanière, le r
it ; Qui croira ton débris l’ouvrage d’une nuit ? 1540. Machine de guerre qui servait à battre en brèche les murailles, et
01), et celui d’Amiens avec l’Angleterre (1802), terminent la seconde guerre de la Révolution. Il profita de la paix pour ferm
87 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — La Bruyère, 1646-1696 » pp. 155-177
vifs, hardis et décisifs avec ceux qui ne savent rien. Ils parlent de guerre à un homme de robe, et de politique à un financie
vent sur les provinces sans les appauvrir ; de grands talents pour la guerre  ; être vigilant, appliqué, laborieux ; avoir des
nistres que ses ministres ; une profonde sagesse qui sait déclarer la guerre , qui sait vaincre et user de la victoire, qui sai
cence Ni les troubles, Zénobie 2, qui agitent votre empire, ni la guerre que vous soutenez virilement contre une nation pu
88 (1867) Morceaux choisis des classiques français, à l’usage des classes supérieures : chefs d’œuvre des prosateurs et des poètes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouvelle édition). Classe de rhétorique
océdé, vous ne manquerez jamais de Philippe, et quand la fièvre ou la guerre vous défera aujourd’hui de celui-ci, vous en fere
surance en cette vie22. J’étais alors en Allemagne, où l’occasion des guerres qui n’y sont pas encore finies m’avait appelé ; j
ix-septième siècle. Né à Paris en 1613, il fut homme d’intrigue et de guerre pendant les désordres de la régence d’Anne d’Autr
Louis XIV. Commencements de la Fronde. La France avait déclaré la guerre en l’année 1635 à la maison d’Autriche, et la for
a fameuse bataille de Nordlingue : le Milanais était le théâtre de la guerre d’Italie ; et du côté de l’Espagne, nos conquêtes
sans admiration que dans un temps de minorité, d’ordinaire exposé aux guerres civiles et domestiques, l’on eût remporté des ava
s petits avantages : or, comme son génie est puissant et heureux à la guerre , il trouva l’armée d’Espagne le vingt-unième jour
ins, que de projets, que de secrets, que d’intérêts à démêler, que de guerres commencées, que d’intrigues, que de beaux coups d
out cacher179, également actif et infatigable dans la paix et dans la guerre , qui ne laissait rien à la fortune de ce qu’il po
ux ! La monarchie ébranlée jusqu’aux fondements, la guerre civile, la guerre étrangère, le feu au dedans et au dehors ; les re
royales, sa piété, son courage, son grand génie, principalement à la guerre , que ce qu’en disait ce grand prince avec aussi p
s capitaines, que ses exemples ont élevés aux premiers honneurs de la guerre  : son ombre eût pu encore gagner des batailles ;
doivent avoir la même espérance ; et si elle propose quelquefois des guerres et des combats, ce sont des guerres qui se termin
t si elle propose quelquefois des guerres et des combats, ce sont des guerres qui se terminent toutes dans le cœur, et des comb
t de moi des leçons de pitié que de valeur, et des avis pour faire la guerre saintement que des exhortations pour la bien fair
eurs étendards, sinon pour empêcher que le tumulte et l’agitation des guerres ne fit oublier ce qu’on doit aux dieux qui y prés
re par des prières de paix et de charité ces signes déplorables de la guerre et de la dissension ; sinon pour vous faire souve
la guerre et de la dissension ; sinon pour vous faire souvenir que la guerre même est une manière de culte religieux ; que c’e
d sa source dans la religion et dans la piété ; et qu’après tout, les guerres et les révolutions des États ne sont que des jeux
rtyrs, ont péri et expié par une mort funeste et tragique283, par des guerres et des calamités qui ont enfin renversé leur empi
serviteurs. Votre justice a soufflé au milieu d’eux la division et la guerre  ; vos fidèles n’ont pas eu besoin de s’assembler
orsqu’il mourut (1755), Louis XVI était dans sa première année, et la guerre désastreuse de Sept Ans allait éclater : déjà fer
obligé de sortir de Rome, je me conduisis de même : j’allai faire la guerre à Mithridate ; et je crus détruire Marius à force
râces aux dieux des succès dont je le désespérais. Je lui faisais une guerre de réputation plus cruelle cent fois que celle qu
bition voulut encore renouveler les opinions humaines ; il déclara la guerre aux plus saintes, aux plus inébranlables vérités.
quité attirèrent son attention. Elle ne se ralentit pas même dans les guerres qu’il soutenait contre l’Europe ; car, en bâtissa
sthène n’a point de jolies pensées, quand il anime les Athéniens à la guerre  ; s’il en avait, il serait un rhéteur, et il est
Ou d’un plomb qui suit l’œil, et part avec l’éclair, Je vais faire la guerre aux habitants de l’air. Une table au retour, prop
r jusqu’à vous. Et que reproche aux Juifs sa haine envenimée ? Quelle guerre intestine avons-nous allumée ? Les a-t-on vus mar
eux établirait sa domination, Ferait cesser partout la discorde et la guerre , Et verrait à ses pieds tous les rois de la terre
quoi, Mathan ! d’un prêtre est-ce là le langage ? Moi, nourri dans la guerre , aux horreurs du carnage, Des vengeances des rois
rois690 ; Mais quel soin vous conduit en ce pays barbare ? Est-ce la guerre enfin que Néron me déclare ? Qu’il ne s’y trompe
es grands succès de Corneille. Le sujet en est tiré d’Appien, fin des guerres de Syrie, et de Justin. On assure que Corneille p
is il n’en faut pas moins tenir tête aux méchants et surtout faire la guerre aux vices. La philosophie de Philinte semble, en
Pont, sans être abattu par de récentes défaites, songeait à porter la guerre en Italie comme Annibal, lorsqu’il périt victime
beaux esprits du xvie  siècle : Trois ans déjà passés, théâtre de la guerre , etc. 628. À la différence des autres personna
phaltite. 639. C’est-à-dire le roi de Syrie, Adad, fort longtemps en guerre avec le père d’Athalie, Achab, qui avait trouvé l
rébillon. 691. Silius Italicus a dit, dans son poème de la Seconde guerre punique, I, 230 : Atque atros chalybis fetus hum
eption à l’Académie française (1760) fut notamment une déclaration de guerre à la philosophie alors régnante. 738. En particu
89 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Montluc, 1503-1577 » pp. -
 mettre des ailes au talon, du cœur au ventre ». Il est déjà homme de guerre dans le sens moderne du mot. Il sentit l’importan
les ennemis les thuoient, et peu s’en sauva…… Ce sont des lois de la guerre  : il fault estre cruel bien souvent, pour venir à
90 (1882) Morceaux choisis de prosateurs et de poètes des xviii e et xix e siècles à l’usage de la classe de rhétorique
, de la mort de Louis XIV au traité d’Aix-la-Chapelle, qui termine la guerre de la succession d’Autriche. — La seconde époque,
rains eux-mêmes qui marquent l’intervalle entre la paix de 1749 et la guerre de Sept ans comme le moment décisif du siècle. Un
et, des Délices, puis de Ferney, il entretient par ses pamphlets une guerre chaque jour plus violente contre le christianisme
et de diriger vers un même but tous ceux qui ont déclaré au passé une guerre sans merci. Les encyclopédistes reprochent à Mont
il était juste de nommer l’abbé de Saint-Pierre, que le spectacle des guerres ne put décourager de ses rêves de paix perpétuell
n péril. La situation de ses États était admirable pour leur faire la guerre . Ils touchaient au pays inaccessible du Caucase,
it à la liberté. Cette disposition des choses produisit trois grandes guerres , qui forment un des beaux morceaux de l’histoire
omains145. Dans l’abîme où il était, il forma le dessein de porter la guerre en Italie, et d’aller à Rome avec les mêmes natio
de Saturninus ; s’il ne veut « pas tenir sa parole, je lui déclare la guerre  ; s’il ne le peut pas, et qu’il soit dans cet éta
punition suivant qu’il convenait à ses intérêts, ne faisant jamais la guerre quand la paix pouvait lui donner assez d’avantage
se fit livrer les armes et les vaisseaux, et ensuite leur déclara la guerre . Par les choses que fit le désespoir dans Carthag
pour la gloire, Alexiowitz ne fuyant point le péril et ne faisant la guerre que pour ses intérêts ; le monarque suédois libér
omme, son royaume était ruiné : il fallait un prince qui sût faire la guerre et la paix, connaître toutes les blessures de son
ir à tant de besoins, pour faire à la fois tant de traités et tant de guerres , Henri convoqua dans Rouen une assemblée des nota
ernelle du duc de Sully, et celle du roi, qui osa choisir un homme de guerre pour rétablir les finances de l’État, et qui trav
pas les mêmes secours chez les Missouris ; secondement, parce que la guerre est portée dans ces pays-là, et que les exemples
iant sa noblesse il sacrifia sa liberté pour se réunir aux autres, la guerre , l’âge de fer, prirent la place de l’or et de la
farouchent, et les habitants des villes gagnent les campagnes : « Une guerre là ; » et les nations courent aux armes et s’entr
nt du roi, il fit la campagne d’Italie en 1734 ; et, en 1741, dans la guerre de la Succession, il était à la retraite de Pragu
ie ; tout n’est pas clair dans son rôle commercial et politique de la guerre d’Amérique, et nous savons que sa conscience étai
urs de la volonté royale dans l’exercice du droit de la paix et de la guerre est parricide de la liberté publique ; on répand
ds Hommes pour l’année 1788. C’était, a dit Sainte-Beuve, « porter la guerre dans un guêpier, » et plusieurs, en effet, vengèr
appelés à contempler que dans l’histoire les grandes révolutions, les guerres générales, les fièvres de l’opinion, les fureurs
u sifflement des flèches et des dards, du gémissement des machines de guerre , on n’entend plus la voix des chefs. Les Martyrs
e devant Mayence. En 1805, il prend part, comme chef d’escadron, à la guerre d’Italie sous le commandement du général Gouvion
On ne reprochera pas à Courier d’avoir, dans ses lettres, idéalisé la guerre . Il se plaît, au contraire, par des tableaux d’un
ne voir qu’une livrée dans l’uniforme qu’il porte, et sans élever la guerre , comme le fait Joseph de Maistre, à la hauteur d’
ent longtemps échappé à la curiosité publique402. Les ravages de la guerre .A M. Chlewaski403. Rome, le 8 janvier 1799404.
s victorieuses de Blake, tout ce tableau de l’Angleterre rassasiée de guerres civiles et de destruction, quoique révolutionnair
pour obtenir de nouveaux subsides qui lui permissent de continuer la guerre contre l’Écosse, se décida à convoquer le célèbre
t César, se perd lui-même, et replonge le monde dans l’anarchie et la guerre . Et cependant si Brutus, nourri dans les traditio
s d’Harold d’exécuter sa promesse, le duc de Normandie lui déclara la guerre  : il débarqua, sans rencontrer de résistance, à P
réunirent pour prier et chanter des litanies, pendant que les gens de guerre préparaient leurs armes. Ceux-ci, après ce premie
longtemps au milieu de vous, ajouter peut-être la guerre civile à la guerre étrangère, et je n’ai pu me résoudre à déchirer p
ens, tout le peuple de robe recommençait dans Paris la maligne petite guerre qu’ils lui avaient faite au temps du Bien public.
u plaisir ; un gouvernement facile et indulgent par insouciance ; des guerres , les unes glorieuses, mais promptement terminées
France, fort différent du temps que racontait Tacite, temps plein de guerres cruelles, de massacres, d’empereurs assassinés, d
me connaissais pas. Qui donc est aimé des grands hommes ? Qui dans la guerre  ? Est-ce Alexandre, César, Charlemagne ? Qui- dan
que le plus étendu et à la maturité d’un grand État, après la seconde guerre punique, sans posséder encore rien qui ressemblât
ends se grossir et se former les nations du Nord avec leurs chants de guerre ou de festin, leur mythologie, leurs légendes. Je
rois591 ; Mais quel soin vous conduit en ce pays barbare ? Est-ce la guerre enfin que Néron me déclare ? Qu’il ne s’y trompe
n vers sur l’Homme, 2e Discours : De la Liberté. Les Français à la guerre . Épître a M… Du camp de Philippsbourg, le 3 j
i retentit De cent décharges de tonnerre, Et, dans ces horreurs de la guerre , Le Français chante, boit et rit. Bellone va rédu
une faible escorte. Il s’asseoit où me voilà, S’écriant : Oh ! quelle guerre  ! Oh ! quelle guerre ! — Il s’est assis là, grand
l s’asseoit où me voilà, S’écriant : Oh ! quelle guerre ! Oh ! quelle guerre  ! — Il s’est assis là, grand’mère ! Il s’est assi
leux souvenir de l’épopée militaire du premier Empire, la haine de la guerre et l’illusion d’une paix universelle fondée sur l
montas botté sur son dos. Alors, comme elle aimait les rumeurs de la guerre , La poudre et les tambours battants, Pour champ d
t la peinture : une irrésistible vocation l’appelait à être poète. La guerre entre les romantiques et les classiques était déc
arguments et leur autorité ? L’un me montre ici-bas deux principes en guerre , Qui, vaincus tour à tour, sont tous deux immorte
régulier. Bar est un préfixe qui indique ici obliquité. 136. Dans la guerre impolitique que le Régent fit à Philippe V, roi d
our punir de mort celui qui proposerait de convertir aux usages de la guerre l’argent destiné pour les théâtres. » (Montesquie
voyée de Rome à Carthage pour accuser Annibal de concerter un plan de guerre avec le roi Antiochus. 165. Rapprocher de ce mot
tion doit-elle déléguer au Roi l’exercie du droit de la paix et de la guerre  ? Après plusieurs jours de tumultueux débats, Mir
et réclama pour le corps législatif le droit exclusif de déclarer la guerre et la paix et de conclure des traités. Ce discour
a marquise de Costa pour la consoler de la perte de son fils tué à la guerre . La vie du marquis de Costa a été dernièrement pr
Dans son enthousiasme, il marchait à grands pas, répétant le chant de guerre des barbares : « Pharamond ! Pharamond ! nous avo
re peut reprendre de la vie et de la couleur. 376. Voir le cheval de guerre dans Virgile, Georgiques, liv. III. 377. Mille
profondes fendaces, incapable d’y recevoir nulle conduite des gens de guerre en ordonnance ; le terroir nu, sans arbres, une b
ce ; mais rien n’est moins prouvé que cette accusation. 400. Dans la guerre de succession de Bretagne, qui dura jusqu’en 1365
et dans la bouche de Périclès, célébrant les premières victimes de la guerre du Péloponèse, est, en effet, absolument étrangèr
hap. vu, dit, dans un de ses Cantiques spirituels : Mon Dieu, quelle guerre cruelle ! Je trouve deux hommes en moi : L’un veu
rendre comment elles se sont accomplies ; diplomatie, administration, guerre , marine, on met ces objets si divers à la portée
en Angleterre sous le nom du colonel Duroc. 507. Ainsi commençait la guerre qui « fut à la fois, a dit Thiers, la plus légiti
, n’est plus qu’un thème de collège ! » 535. Écrit en 1858, après la guerre de Crimée (1855). 536. Voir une note ajoutée à l
ez Garnier ; les Nouveaux Lundis, chez Michel Lévy. 538. La deuxième guerre punique dure dix-huit années, de 219 à 201 av. J.
et La Fontaine le goûtèrent. — Benserade (1612-1691), qui excita une guerre littéraire par son sonnet sur Job, comparé à celu
pression de Crébillon. 592. Silius Italicus a dit, dans la Seconde Guerre punique, I, 230 : Atque atros chalybis fetus hum
91 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Première partie. Principes de composition et de style. — Principes de rhétorique. — Chapitre IV. »
erminable, elle manquera d’intérêt et de précision. « Pour chanter la guerre de Troie, dit Horace, il ne faut pas remonter à l
la que consistent les contraires. « Voulez-vous la paix, préparez la guerre , dit un historien latin (Tite-Live). » Le vrai s
92 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie —  Vauvenargues, 1715-1747 » pp. 336-343
, depuis neuf ans, sans espérance, dans les emplois subalternes de la guerre , avec une faible santé, je me mets aux pieds de V
atriotique. 2. Vauvenargues n’a pas ce courage intéressé qui aime la guerre pour l’avancement, pour ce qu’elle rapporte, et p
93 (1839) Manuel pratique de rhétorique
rnelle paix à celui qui l’a sauvé des désordres et des cruautés de la guerre . Ici, l’on offre le sacrifice adorable de Jésus-C
vec peine dans les malheurs de sa patrie, sembla l’échauffer dans les guerres étrangères, et l’on vit redoubler sa valeur. N’en
« La jeune vierge s’est exercée à supporter les rudes travaux de la guerre , et à devancer à la course les vents : elle eût v
chose de plus formidable qu’à Rocroy ; et pour éprouver sa vertu, la guerre va épuiser toutes ses inventions et tous ses effo
e tout cacher, également actif et infatigable dans la paix et dans la guerre , qui ne laissait rien à la fortune de ce qu’il po
de ce fier et fougueux animal qui partage avec lui les fatigues de la guerre et la gloire des combats : aussi intrépide que so
; « Le parti le plus juste est celui du vainqueur, « Et le dieu de la guerre est la seule valeur. » Il dit ; et d’un regard en
té par laquelle il termine le tableau des exploits de Turenne dans la guerre formée par la ligue de presque toute l’Europe :
s capitaines, que ses exemples ont élevés aux premiers honneurs de la guerre . Son ombre eût pu encore gagner des batailles, et
tendait le succès d’une entreprise qui, selon toutes les règles de la guerre , était impossible, etc. » Prosopopée. C’es
94 (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « PREMIÈRE PARTIE. DE L'ÉLÉGANCE LATINE. — CHAPITRE III. De la disposition des mots qui composent le discours. » pp. 78-143
imo, collega nostro Antoine, bellum gerimus. Cic. Nous faisons ici la guerre avec Antoine, notre collègue, le plus infàme des
um, ejus belli in Italiam pars ulla pervasit. Cic. Quand on a fait la guerre en Sicile, il n’est pas même arrivé que la moindr
re en Sicile, il n’est pas même arrivé que la moindre partie de cette guerre se fût communiquée à l’Italie. VII Equidem
tùm te non existimas invidiæ incendio conflagraturum ? Cic. Quand la guerre dévastera l’Italie, quand les villes seront sacca
t. Cic. Et parce que l’autorité influe beaucoup sur la conduite de la guerre . Et quoniam auctoritas multùm in bellis administ
t. Cie. Et parce que l’autorité influe beaucoup sur la conduite de la guerre . Ac primùm silici scintillam excudit Achates. Vi
95 (1865) De la Versification française, préceptes et exercices à l’usage des élèves de rhétorique. Première partie. Préceptes. Conseils aux élèves.
x de me cacher, J’attende en ces déserts qu’on me vienne chercher. La guerre a ses faveurs, ainsi que ses disgrâces : Déjà plu
: Il voit, plus que jamais, ses campagnes couvertes De Romains que la guerre enrichit de nos pertes. Des biens des nations rav
s, pourront-ils m’arrêter ? Marchons, et dans son sein rejetons cette guerre Que sa fureur envoie aux deux bouts de la terre.
’ai pris pour sujet la prise de Namur, comme la plus grande action de guerre qui se soit faite de nos jours, et comme la matiè
96 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre premier. Éléments généraux du Goût et du Style. — Chapitre VII. De l’Harmonie imitative. »
et le cliquetis des armes ? Voyez-vous tout un peuple s’apprêter à la guerre  ? Ut belli signum Laurenti Turnus ab arce Extuli
éclatante, À peine sur les tours de l’antique Laurente Turnus a de la guerre arboré les drapeaux, Frappé son bouclier, animé s
97 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre premier. de la rhétorique en général  » pp. 13-23
t étendue en passant de l’antiquité aux âges modernes. Jusqu’après la guerre du Péloponèse, la Grèce ne connut et n’employa gu
de omni re scibili, et qu’un Phormion osait discourir de l’art de la guerre devant Annibal. Les Romains s’aperçurent bien vit
98 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Montesquieu 1666-1755 » pp. 148-157
tacle des choses humaines. Qu’on voie dans l’histoire de Rome tant de guerres entreprises, tant de sang répandu, tant de peuple
« Je supplie qu’on me permette de détourner les yeux des horreurs des guerres de Marius et de Sylla ; on en trouvera dans Appia
99 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Fléchier, 1632-1710 » pp. 124-132
tendait le succès d’une entreprise qui, selon toutes les règles de la guerre , était infaillible. Hélas ! nous savions tout ce
rnelle paix à celui qui l’a sauvé des désordres et des cruautés de la guerre . Ici l’on offre le sacrifice adorable de Jésus-Ch
100 (1882) Morceaux choisis des prosateurs et poètes français des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles. Cours supérieur. Poètes (2e éd.)
de telle sorte Qu’il semble que ses reins et son épaule torte Fassent guerre à sa tête, et par rébellion, Qu’ils eussent entas
oyé, cultivera la terre, Et le peuple, qui tremble aux frayeurs de la guerre , Si ce n’est pour danser, n’orra49 plus de tambou
nature            En sa jeune saison ! De quel péril extrême est la guerre suivie, Où je ne fisse voir que tout l’or du Leva
noms de maîtres de la terre, D’arbitres de la paix, de foudres de la guerre  ; Comme ils n’ont plus de sceptre, ils n’ont plus
l un cœur présomptueux, Que soutiennent en l’air quelques exploits de guerre , Et qu’un coup d’œil sur moi rabat soudain à terr
s efforts, L’avait, tu t’en souviens, rappelé de ces bords ; Et cette guerre , Arcas, selon toute apparence, Aurait dû plus lon
x de me cacher, J’attende en ces déserts qu’on me vienne chercher. La guerre a ses faveurs ainsi que ses disgrâces : Déjà plus
é ; Il voit plus que jamais ses campagnes couvertes De Romains que la guerre enrichit de nos pertes. Des biens des nations rav
s, pourront-ils m’arrêter ? Marchons, et dans son sein rejetons cette guerre Que sa fureur envoie aux deux bouts de la terre.
à partie un vice ou un ridicule, le personnifie, lui donne un nom de guerre , et c’est sur les épaules de ce personnage de con
s de la médiocrité alors régnante en littérature ; d’avoir déclaré la guerre au faux goût et de l’avoir poussé avec une consta
que la terre Connaisse en moi vos bienfaits ; Vous ne m’avez fait la guerre Que pour me donner la paix. Heureux l’homme à qui
tique.   Poèmes. — La loi naturelle. — Le Désastre de Lisbonne. — La Guerre de Genève. — Voltaire composa la Loi naturelle en
et de Leibnitz est décevant, le pessimisme de Voltaire est cruel. La Guerre de Genève est un autre poème très négligé et peu
orgueilleux de trente ans de combats, Et qui, dans les horreurs de la guerre cruelle, Reprend, malgré son âge, une force nouve
leurs mains le fatal cimeterre. La Discorde accourut ; le Démon de la guerre , La Mort pâle et sanglante étaient à ses côtés. M
r a brillé sur la terre Par les lois, par les arts, et surtout par la guerre  ; Le temps de l’Arabie est à la fin venu. Ce peup
n coup d’aiguillon L’abeille en tous les temps repoussa le frelon. La guerre est au Parnasse, au conseil, en Sorbonne. Allons,
endre l’état qui vous plaira le plus. — J’aurais aimé le métier de la guerre . — Qui vous retient ? Allez ; déjà l’hiver A disp
verne la cervelle. Ciel ! quels propos ! Ce pédant du Palais Blâme la guerre , et se plaint de la paix ; Ce vieux Crésus, en sa
L’ardent coursier hennit, et vingt meutes barbares, Près de porter la guerre au monarque des bois, En rapides abois162 font éc
e la renouveler. Le premier quart du siècle, absorbé par les idées de guerre et de conquête, fut languissant et infécond. La R
ne faible escorte. Il s’assoit où me voilà, S’écriant : « Oh ! quelle guerre  ! « Oh ! quelle guerre ! » — Il s’est assis là, g
’assoit où me voilà, S’écriant : « Oh ! quelle guerre ! « Oh ! quelle guerre  ! » — Il s’est assis là, grand’mère ! Il s’est as
rois élégies patriotiques qu’il appela Messéniennes, par souvenir des guerres héroïques que les habitants d’Ithôme soutinrent j
ès spécieuse, mais trop factice. Dans ce manifeste, la déclaration de guerre à Aristote, à Horace, à Boileau, à Racine, s’acce
es Le beau fruit de ses vallons ; Grenade, la bien nommée, Lorsque la guerre enflammée Déroule ses pavillons, Cent fois plus t
rté meurt sur le fumier des villes ! Oui, vous qui la plantez sur vos guerres civiles, Vous la semez en vain même sur vos tombe
ue, Et mon cœur apaisé vit d’espoir et d’oubli. Mais l’homme fait la guerre aux forêts pacifiques, L’ombrage sur les monts re
Mais mon génie obscur est loin de tant d’audace ;         Fuyant la guerre et les combats, J’aime mieux, sur les pas de Virg
ela suffit. Mais l’Agamemnon d’Homère, le roi des rois, le chef d’une guerre sacrée, le prince allié aux dieux de l’Olympe, pe
Crémille, lieutenant général, était chargé alors du département de la guerre sous le maréchal de Belle-Isle. 137. Abbé de cou
la Morée, au sud sur la côte est du golfe de Messénie. 229. Dans ses guerres contre les Turcs. 230. Autrefois Præneste, ville
la garde du roi Joseph Bonaparte, suivit ce prince en Espagne, fit la guerre avec une grande bravoure, devint général de divis
Du hongrois huszar, le vingtième, de huz, vingt, parce que, dans les  guerres contre les Turcs, chaque village devait fournir,
C’est Tyrtée, qui chanta le combat terrible de Stényclaros, dans les guerres de Messénie. 278. Études littéraires, 1865. 27
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