xerce ordinairement les humanistes, et qui sont des descriptions, des
narrations
et des lettres. Article Ier. De la composit
euvent se réduire à trois : la description, qui peint les objets ; la
narration
, qui raconte les faits ; la lettre, qui sert à co
historique est l’exposé des choses telles qu’elles existent, comme la
narration
historique est l’exposé des faits tels qu’ils ont
stration ou description du fait se rapproche, comme on le voit, de la
narration
; aussi quelques critiques lui ont-ils donné le n
e la narration ; aussi quelques critiques lui ont-ils donné le nom de
narration
descriptive. Un des morceaux les plus frappants e
la constituent, c’est que le plus souvent les verbes employés dans la
narration
sont au présent, tour d’élocution qui peint les c
proche, se brise…, etc. Racine… Phèdre. Article III. De la
narration
391. Qu’est-ce que la narration en général ?
dre. Article III. De la narration 391. Qu’est-ce que la
narration
en général ? La narration (narratio, de narus po
De la narration 391. Qu’est-ce que la narration en général ? La
narration
(narratio, de narus pour gnarus) est l’exposé ou
tion, son nœud et son dénoûment. 392. Expliquez cette définition. La
narration
est l’exposition d’un seul événement, d’un fait u
posé depuis son origine jusqu’à son achèvement. Il est évident qu’une
narration
composée de traits isolés, ou présentant un milie
e imagination puissante et vivement frappée par l’objet à décrire, la
narration
, qui est l’exposé des faits, exige beaucoup de na
aphes : dans le premier, nous exposerons les qualités générales de la
narration
; dans le second, nous parlerons des différentes
acré aux ornements et au style. § I. — Des qualités générales de la
narration
. 395. Quelles sont les qualités nécessaires à
s de la narration. 395. Quelles sont les qualités nécessaires à la
narration
? Le narrateur, comme tout écrivain, doit avoir
ue agrément et un fonds d’instruction, peuvent faire la matière d’une
narration
. De plus, les faits qui méritent d’être racontés
s de manière à plaire et à persuader. Si le fait doit être choisi, la
narration
doit donc aussi posséder certaines qualités. Or,
claire et vraisemblable. 396. Montrez la nécessité de l’unité dans la
narration
. L’unité, qui est le principe fondamental de tou
s simplex duntaxat et unum, Horace n’est pas moins nécessaire à la
narration
qu’au drame et à l’épopée. Sans cette qualité, qu
ans rien omettre d’important. 397. En quoi consiste la brièveté de la
narration
? La brièveté de la narration consiste, non pas
97. En quoi consiste la brièveté de la narration ? La brièveté de la
narration
consiste, non pas précisément à raconter le fait
ns quelques mots, d’après ce principe : Soyez vif et pressé dans vos
narrations
. 398. Éclaircissez cette question par des exempl
question par des exemples. Le moyen de paraître court, même dans la
narration
la plus longue, c’est d’y semer à propos quelques
is d’intérêt. Pour se faire une idée de la brièveté qui convient à la
narration
, on peut comparer deux fables composées sur le mê
e pour la perfection du tableau. 399. Qu’est-ce que l’intérêt dans la
narration
? Dans la narration, on entend par intérêt ce qu
du tableau. 399. Qu’est-ce que l’intérêt dans la narration ? Dans la
narration
, on entend par intérêt ce qui est propre à excite
prit du lecteur le désir de connaître le dénoûment. Il y a dans toute
narration
deux sortes d’intérêt : l’intérêt du sujet ou int
ou de personnes, et le style. L’agrément est surtout nécessaire à la
narration
poétique qui, sans cette qualité, ne pourra réuss
urs vifs, élégants et variés. 401. La clarté est-elle nécessaire à la
narration
? La narration, ayant pour but d’instruire en mê
ts et variés. 401. La clarté est-elle nécessaire à la narration ? La
narration
, ayant pour but d’instruire en même temps que d’i
doit être facile à comprendre, et par conséquent très claire. Or, la
narration
sera claire, si on y marque si distinctement les
? Pour instruire complètement, pour persuader, il faut encore que la
narration
porte l’empreinte de la vérité, qu’elle soit vrai
s et ses motifs, ainsi que les circonstances qui l’ont accompagné. La
narration
possédera les couleurs de la vraisemblance, dit C
ages des différents peuples. § II. — Des différentes parties de la
narration
. 403. Combien y a-t-il de parties dans une nar
parties de la narration. 403. Combien y a-t-il de parties dans une
narration
? On compte trois parties dans toute narration :
l de parties dans une narration ? On compte trois parties dans toute
narration
: l’exposition, le nœud et le dénoûment. Ces troi
que l’exposition ? L’exposition est le commencement, le début de la
narration
. C’est là que l’écrivain, pour faciliter l’intell
ordinaire. Destinée à répandre la lumière et l’intérêt dans toute la
narration
, l’exposition doit surtout se faire remarquer par
e brève ou rapide, parce qu’elle n’est qu’une partie accessoire de la
narration
. Ainsi, on n’y admettra point de longs détours et
u’est-ce que le nœud ? Le nœud ou corps du récit est la partie de la
narration
où sont mis en rapport les différents personnages
omplication d’incidents que réside l’intérêt toujours croissant de la
narration
, et que se manifeste le talent du narrateur. Pour
onnaître l’issue de l’action. Ainsi, le dénoûment est la partie de la
narration
où l’on fait connaître le résultat heureux ou mal
’auteur. Sans cela, le dénoûment, qui est une partie importante de la
narration
, n’est plus digne de ce qui précède. Parturient
que. 418. Le dénoûment doit-il être rapide ? Des trois parties de la
narration
, le dénoûment est celle qui demande le plus de ra
’ait encore à exposer quelque circonstance importante qui complète la
narration
. La Fontaine n’a pas toujours observé cette règle
rs observé cette règle. Ainsi, dans la Laitière et le Pot au lait, la
narration
est terminée après ce beau vers qui contient un d
é d’un poids qui l’accablait. § III. — Des différentes espèces de
narration
. 420. Combien peut-on distinguer d’espèces de
espèces de narration. 420. Combien peut-on distinguer d’espèces de
narration
? La définition de la narration, en faisant ment
bien peut-on distinguer d’espèces de narration ? La définition de la
narration
, en faisant mention de faits véritables et d’évén
bles et d’événements supposés, indique les deux principales sortes de
narration
: la narration historique et la narration fabuleu
ments supposés, indique les deux principales sortes de narration : la
narration
historique et la narration fabuleuse. A ces deux
deux principales sortes de narration : la narration historique et la
narration
fabuleuse. A ces deux genres de récits se rattach
A ces deux genres de récits se rattachent plusieurs autres espèces de
narration
, parmi lesquelles nous citerons la narration mixt
sieurs autres espèces de narration, parmi lesquelles nous citerons la
narration
mixte, la narration oratoire, la narration badine
s de narration, parmi lesquelles nous citerons la narration mixte, la
narration
oratoire, la narration badine, et la narration lé
esquelles nous citerons la narration mixte, la narration oratoire, la
narration
badine, et la narration légende. Nous dirons quel
la narration mixte, la narration oratoire, la narration badine, et la
narration
légende. Nous dirons quelques mots de chacune de
s de chacune de ces variétés du récit. i. 421. Qu’est-ce que la
narration
historique ? La narration historique est l’expos
s du récit. i. 421. Qu’est-ce que la narration historique ? La
narration
historique est l’exposé exact et fidèle d’un évén
pas exact ; et s’il le rend autrement, il n’est pas fidèle. Ainsi la
narration
historique n’admet pas la fiction. 422. Quel est
rration historique n’admet pas la fiction. 422. Quel est le but de la
narration
historique ? Le but de l’histoire, et par conséq
narration historique ? Le but de l’histoire, et par conséquent de la
narration
historique, est de démêler la vérité dans les fai
t la vérité intéressante. 423. Quelles sont les qualités propres à la
narration
historique ? Outre les qualités générales de la
opres à la narration historique ? Outre les qualités générales de la
narration
, et surtout la clarté, l’ordre et la liaison, néc
outre la gravité du ton et du style dont nous parlerons plus loin, la
narration
historique demande la vérité exposée avec intérêt
impartialité et la moralité. 424. Quel est le style qui convient à la
narration
historique ? La narration historique demande gén
. 424. Quel est le style qui convient à la narration historique ? La
narration
historique demande généralement un style grave, s
laire et d’une diction ambitieuse et affectée, moins véhémente que la
narration
oratoire et moins colorée que la narration fabule
ée, moins véhémente que la narration oratoire et moins colorée que la
narration
fabuleuse, la narration historique a cependant sa
la narration oratoire et moins colorée que la narration fabuleuse, la
narration
historique a cependant sa couleur et sa lumière,
n prince qui aura été la honte du trône et le fléau de son peuple. La
narration
historique admet comme ornement des réflexions ti
nt ressortir l’action principale. 425. Où trouve-t-on les plus belles
narrations
historiques ? Après les inimitables modèles que
évigné dont le talent de narrer est connu de tout le monde. Parmi les
narrations
historiques les plus remarquables, nous citerons
t la peste d’Athènes, par Barthélemy. II. 426. Qu’est-ce que la
narration
fabuleuse ? La narration fabuleuse ou poétique e
Barthélemy. II. 426. Qu’est-ce que la narration fabuleuse ? La
narration
fabuleuse ou poétique est l’exposé d’un événement
est l’exposé d’un événement feint, mais vraisemblable. Tandis que la
narration
historique ne prend que la vérité pour guide, la
dis que la narration historique ne prend que la vérité pour guide, la
narration
fabuleuse ne vit que de fictions et ne connaît d’
la disposition, la forme, tout est à la disposition de l’écrivain. La
narration
fabuleuse n’est pas pour cela affranchie de toute
ur cela affranchie de toute règle. Outre les qualités générales de la
narration
, elle demande une vraisemblance frappante, un int
les ornements et les richesses du langage. 427. Comment le but de la
narration
fabuleuse peut-il être atteint ? La narration fa
. Comment le but de la narration fabuleuse peut-il être atteint ? La
narration
fabuleuse cherche à plaire au lecteur en excitant
es variétés du style que le goût peut permettre. Le plus souvent, les
narrations
fabuleuses sont écrites dans le style tempéré. 42
ns fabuleuses sont écrites dans le style tempéré. 428. Citez quelques
narrations
fabuleuses ? Nous citerons, parmi les plus belle
uelques narrations fabuleuses ? Nous citerons, parmi les plus belles
narrations
fabuleuses, l’intéressante histoire de Philémon e
ce qui en est l’objet ; cependant il restera comme un chef-d’œuvre de
narration
fabuleuse. Nous mentionnerons encore la mort de L
guerrier gaulois, par Chateaubriand. III. 429. Qu’est-ce que la
narration
mixte ? La narration mixte ou amplifiée est le r
Chateaubriand. III. 429. Qu’est-ce que la narration mixte ? La
narration
mixte ou amplifiée est le récit d’un événement vé
ns, des tableaux imaginaires, mais vraisemblables et intéressants. La
narration
mixte, consistant à embellir, à agrandir un fait
nt à embellir, à agrandir un fait réel, tient comme on le voit, de la
narration
historique et de la narration fabuleuse. Nous mon
ait réel, tient comme on le voit, de la narration historique et de la
narration
fabuleuse. Nous montrerons plus loin que les qual
emande participent de ces deux genres. 430. Quel est l’avantage de la
narration
mixte ? Cette narration est très utile pour exer
deux genres. 430. Quel est l’avantage de la narration mixte ? Cette
narration
est très utile pour exercer les jeunes gens à la
ofit les études qu’ils ont faites. 431. Quel doit être le style de la
narration
mixte ? La narration mixte ayant pour objet d’em
ont faites. 431. Quel doit être le style de la narration mixte ? La
narration
mixte ayant pour objet d’embellir un fait réel et
e nature à rendre le récit intéressant et agréable. Participant de la
narration
historique et de la narration fabuleuse, la narra
éressant et agréable. Participant de la narration historique et de la
narration
fabuleuse, la narration amplifiée portera la marq
rticipant de la narration historique et de la narration fabuleuse, la
narration
amplifiée portera la marque de cette double origi
ité et à la gravité de l’histoire. Nous mentionnerons en ce genre les
narrations
suivantes : l’élévation d’Esther, par Racine ; la
tempête au désert, par Chateaubriand. IV. 432. Qu’est-ce que la
narration
oratoire ? La narration oratoire est l’exposé d’
ateaubriand. IV. 432. Qu’est-ce que la narration oratoire ? La
narration
oratoire est l’exposé d’un fait dans la marche du
odieuses ou choquantes. 433. Quelles doivent être les qualités de la
narration
oratoire ? La narration oratoire demande surtout
433. Quelles doivent être les qualités de la narration oratoire ? La
narration
oratoire demande surtout la brièveté. Par conséqu
ort du duc d’Enghien, par Frayssinous. V. 434. Qu’est-ce que la
narration
badine ? La narration badine est l’exposé d’un f
ar Frayssinous. V. 434. Qu’est-ce que la narration badine ? La
narration
badine est l’exposé d’un fait amusant, véritable
t cachées sous les fleurs. Le conte en prose n’est autre chose qu’une
narration
badine. 435. En quoi consiste le mérite de la nar
chose qu’une narration badine. 435. En quoi consiste le mérite de la
narration
badine ? Le mérite de la narration badine consis
En quoi consiste le mérite de la narration badine ? Le mérite de la
narration
badine consiste dans la forme, dans l’art de dire
our exciter l’attention, piquer la curiosité et amuser le lecteur, la
narration
badine demande des traits heureux et spirituels,
gence douce et facile, mais sans trivialité et sans incorrection. Les
narrations
badines les plus remarquables sont, outre les con
et le chapeau, par le vicomte Walsh. VI. 436. Qu’est-ce que la
narration
légende ? La narration légende est l’exposé d’un
icomte Walsh. VI. 436. Qu’est-ce que la narration légende ? La
narration
légende est l’exposé d’un événement religieux, ch
t celle du Juif-Errant. 437. Quel est le devoir de l’écrivain dans la
narration
légende ? Le sujet de la narration légende telle
t le devoir de l’écrivain dans la narration légende ? Le sujet de la
narration
légende telle que nous l’entendons ici, se compos
ne pas les expressions vieillies. 438. N’y a-t-il pas encore d’autres
narrations
? On distingue encore la narration familière et
. N’y a-t-il pas encore d’autres narrations ? On distingue encore la
narration
familière et la narration poétique. Ce que nous e
autres narrations ? On distingue encore la narration familière et la
narration
poétique. Ce que nous entendons ici par narration
ion familière et la narration poétique. Ce que nous entendons ici par
narration
familière, et ce que Marmontel appelle conte dans
tion, est le récit bref et rapide de quelque chose de plaisant. Cette
narration
, qui ne diffère guère de la narration badine que
uelque chose de plaisant. Cette narration, qui ne diffère guère de la
narration
badine que parce qu’elle est un entretien et non
ébillon, Marmontel et le baron de Grimm ont excellé dans ce genre. La
narration
poétique, que nous distinguons ici de la narratio
dans ce genre. La narration poétique, que nous distinguons ici de la
narration
fabuleuse, est l’exposé brillant et animé d’un fa
int raconté dans ses détails suivant l’ordre des temps, comme dans la
narration
historique. Il n’est pour le poète, qui se jette
force et la hardiesse. — On pourra se faire une idée de ce qu’est la
narration
poétique et de ce qui la distingue de la narratio
ée de ce qu’est la narration poétique et de ce qui la distingue de la
narration
historique, en comparant le récit du passage de l
nœud et du dénoûment, dans quelle proportion ces trois parties de la
narration
doivent être développées. Dans l’exposé du fait,
en d’habiles transitions. Parmi les développements et ornements de la
narration
, on compte les épisodes, les réflexions, les disc
entend par épisodes, dit Blair, certains incidents introduits dans la
narration
et liés à l’action principale, mais qui ne sont p
du cheval de Clodion. 442. Les réflexions sont-elles permises dans la
narration
? Non seulement les réflexions sont permises dan
ns la narration ? Non seulement les réflexions sont permises dans la
narration
, mais elles sont très propres à faire naître et à
re sur les discours et les dialogues dans le récit ? La nature de la
narration
indique qu’il faut faire plus agir que parler dan
e sujet les comporte et qu’ils sont amenés avec art. Ils donnent à la
narration
un tour plus dramatique et la préservent de la mo
ns qui les dirigent. 444. Que faut-il penser des descriptions dans la
narration
? Employées avec art et avec réserve, les petite
nnages, la peinture des lieux où ils agissent font très bien dans une
narration
, pourvu qu’ils ne soient pas des hors-d’œuvre et
ux. 445. A quelles conditions l’amplification est-elle admise dans la
narration
? L’amplification est un très bon moyen d’embell
s sont indispensables pour que tout soit harmonieusement lié dans une
narration
, c’est-à-dire pour qu’il y ait de l’ordre, de l’u
rentes pensées. 447. Quel est, en général, le style qui convient à la
narration
? La narration demande, en général, une marche g
447. Quel est, en général, le style qui convient à la narration ? La
narration
demande, en général, une marche grave, une éloque
rconstances et aux événements, comme nous l’avons vu en parlant de la
narration
historique. Suivant la différence du pays qu’il p
se les vallons, tourne aux pieds des montagnes. Ainsi le style de la
narration
sera tantôt plus élevé, tantôt plus simple. On ne
plus élevé, tantôt plus simple. On ne donnera point le même ton à une
narration
historique, à une narration fabuleuse ou poétique
le. On ne donnera point le même ton à une narration historique, à une
narration
fabuleuse ou poétique, et à une narration badine.
narration historique, à une narration fabuleuse ou poétique, et à une
narration
badine. Dans le même récit, le style varie aussi
communs et les expressions basses ne devront jamais paraître dans une
narration
, à moins qu’on ne parvienne à les rendre supporta
el, de dégagé, de spirituel et d’intéressant. Les descriptions et les
narrations
épistolaires suivent les règles de ces compositio
Chapitre second. De la
narration
. On donne le nom générique de narration à toute
Chapitre second. De la narration. On donne le nom générique de
narration
à toutes ces compositions de médiocre étendue, qu
i n’admettent qu’accessoirement le discours direct et le dialogue. La
narration
en général est l’exposé d’un fait vrai ou supposé
t l’exposé d’un fait vrai ou supposé vrai. On distingue six sortes de
narrations
; 1° narration historique ; 2° narration poétique
fait vrai ou supposé vrai. On distingue six sortes de narrations ; 1°
narration
historique ; 2° narration poétique ou fictive, 3°
On distingue six sortes de narrations ; 1° narration historique ; 2°
narration
poétique ou fictive, 3° narration badine ; 4° nar
ions ; 1° narration historique ; 2° narration poétique ou fictive, 3°
narration
badine ; 4° narration mixte ; 5° narration épisto
storique ; 2° narration poétique ou fictive, 3° narration badine ; 4°
narration
mixte ; 5° narration épistolaire ; 6° narration l
on poétique ou fictive, 3° narration badine ; 4° narration mixte ; 5°
narration
épistolaire ; 6° narration légende, il y a encore
narration badine ; 4° narration mixte ; 5° narration épistolaire ; 6°
narration
légende, il y a encore la narration oratoire ; ma
e ; 5° narration épistolaire ; 6° narration légende, il y a encore la
narration
oratoire ; mais elle appartient au discours et no
er les autres genres de compositions que l’on comprend sous le nom de
narration
. Ils sont au nombre de sept : 1° la définition ;
ie et ses productions au créateur de toutes les perfections. § 8.
Narration
historique. Préceptes du genre. Il n’entre poi
aient point les développements nécessaires. Nous ne parlons que de la
narration
historique, c’est-à-dire du récit particulier d’u
ans l’histoire ; or, trois qualités sont indispensables à ce genre de
narration
: la vérité, l’impartialité, l’unité. La vérité.
r l’histoire universelle, à plus forte raison faut-il dans une simple
narration
avoir un but unique auquel on rapportera tous les
ariées. (Voyez variété, page 166.) Voir Canevas n° 140 à 149. § 9.
Narration
poétique ou fictive. Préceptes du genre. Dans
§ 9. Narration poétique ou fictive. Préceptes du genre. Dans la
narration
historique, la vérité règne seule, immuable et in
du fait, puisqu’on dispose à son gré des événements ; 3° donnez à la
narration
l’unité la plus parfaite, ne vous plaignez point
les placer à propos et avec goût. Voir Canevas n° 150 à 163. § 10.
Narration
badine. Préceptes du genre. La narration badin
as n° 150 à 163. § 10. Narration badine. Préceptes du genre. La
narration
badine ou conte est le récit d’un événement dont
dispense de recourir aux prodiges et aux enchantements, il rendra sa
narration
vraisemblable et intéressera plus vivement l’ enf
ue tout écrivain ne doit jamais perdre de vue. On peut rapporter à la
narration
badine, du moins pour la forme légère et familièr
ère, l’historiette et l’anecdote. Voir Canevas n° 165 à 183. § 11.
Narration
mixte La narration mixte, dit l’abbé Anastase
’anecdote. Voir Canevas n° 165 à 183. § 11. Narration mixte La
narration
mixte, dit l’abbé Anastase Capot, occupe le milie
à la fois de l’un et de l’autre, et c’est pourquoi on a pu la nommer
narration
mixte. C'est l’espèce la plus usitée pour les ess
des ouvrages, tels que la Gaule poétique, par Marchangy, où abonde la
narration
mixte. On peut encore classer dans ce genre une f
arration mixte. On peut encore classer dans ce genre une foule de ces
narrations
qui se trouvent aujourd’hui dans plusieurs public
t aujourd’hui dans plusieurs publications périodiques. Ainsi dans la
narration
mixte on s’empare d’un fait dont le fond appartie
’ils ont vraisemblablement prononcées. Ensuite donc les règles de la
narration
historique pour le fond et pour les détails ainsi
s détails ainsi que pour la forme, on se conforme aux préceptes de la
narration
poétique. La narration mixte me semble plus étend
r la forme, on se conforme aux préceptes de la narration poétique. La
narration
mixte me semble plus étendue que ne le pense l’es
st la pierre de touche du génie. Voir Canevas n° 184 à 203. § 12.
Narration
épistolaire. Préceptes du genre. La
. § 12. Narration épistolaire. Préceptes du genre. La
narration
épistolaire raconte un fait dans une lettre. Elle
ais Madame de Sévigné en racontant la même événement, fait une petite
narration
épistolaire, charmante, récréative et pittoresque
de naturel ; un choix de détails intéressants, feront le mérite d’une
narration
épistolaire. Voir Canevas n° 204 à 211. § 13.
rite d’une narration épistolaire. Voir Canevas n° 204 à 211. § 13.
Narration
Légende. Préceptes du genre. La légende est le
ensée (M. A. Capot.) Voir Canevas n° 212 à 221. Décomposition de la
narration
. En général : Forme.— On détaillera les princ
° On examinera les trois parties de la disposition ; 2° on réduira la
narration
à une ou deux phrases ; 3° on dira auquel des six
à une ou deux phrases ; 3° on dira auquel des six genres indiqués la
narration
appartient. En particulier : On fera remarquer 1°
appartient. En particulier : On fera remarquer 1° si dans la forme la
narration
historique est grave, sérieuse, soutenue ; si la
a forme la narration historique est grave, sérieuse, soutenue ; si la
narration
fictive et la narration mixte sont ornées, élégan
torique est grave, sérieuse, soutenue ; si la narration fictive et la
narration
mixte sont ornées, élégantes, si la narration bad
narration fictive et la narration mixte sont ornées, élégantes, si la
narration
badine et la narration épistolaire sont familière
narration mixte sont ornées, élégantes, si la narration badine et la
narration
épistolaire sont familières, simples et enjouées
la narration épistolaire sont familières, simples et enjouées ; si la
narration
légende fait respirer le parfum du style et de la
pirer le parfum du style et de la foi de nos pères. 2° Si au fond les
narrations
fictives, mixtes, et la légende sont vraisemblabl
es, mixtes, et la légende sont vraisemblables et intéressantes. Si la
narration
historique est une, vraie et impartiale, si les n
ntes. Si la narration historique est une, vraie et impartiale, si les
narrations
badine et épistolaire sont rehaussées par ces dét
mérite principal. Canevas n° 222 et 223. Modèle de décomposition de
narration
. MATIÈRE. Combat entre Mérovée et un chef gaul
de pitié. Chateaubriand. ANALYSE. Le commencement de cette belle
narration
fait connaître la situation du principal personna
e ainsi, c’est écrire en poète plutôt qu’en narrateur. Fond. — Cette
narration
appartient au genre mixte, l’auteur s’est emparé
Chapitre XI. du corps de l’ouvrage. —
narration
, description L’écrivain a exposé le sujet, il
e roman, mais quelques préceptes sur la disposition et la forme de la
narration
en général, qu’elle constitue le livre lui-même,
que les rhéteurs, uniquement occupés de l’art oratoire, appellent la
narration
, la confirmation et la réfutation. Ce sont là pre
l’exorde. Mais le plus souvent, comme nous l’avons dit, c’est par la
narration
ou par la thèse que l’on entre en matière. J’appe
tière. J’appelle thèse, dans les ouvrages didactiques, ce qu’on nomme
narration
dans l’art oratoire. Dans la thèse, l’écrivain ét
de la doctrine que la suite est destinée à développer, comme dans la
narration
l’orateur établit les faits de la cause. De là l’
os, enfin comme il sait en même temps faire servir à l’ornement de la
narration
tout ce qu’il emploie pour l’éclaircir. La vraise
res dans les choses, par l’analyse des caractères dans les hommes, la
narration
ou la thèse prévient les objections, répond d’ava
oileau a dit encore à propos du récit : Soyez vif et presse dans vos
narrations
; et Horace à propos de la thèse : Quicquid præ
quelle qu’elle soit. Vous comprenez donc que, par son importance, la
narration
ou thèse appelle au plus haut degré l’attention d
nt, c’est de bien saisir ce que j’appellerai le point culminant d’une
narration
ou d’une thèse. Tout est là, et ce précepte, bien
vous n’avez que deux questions à vous faire : Tous les détails de la
narration
ou de la thèse se rapportent-ils au point culmina
anière satisfaisante à ces deux questions, le but est atteint ; votre
narration
ne sera peut-être pas un chef-d’œuvre, mais vous
ral devient vertu dans l’espèce. Examinez de ce point de vue toute la
narration
de la Milonienne ; c’est un chef-d’œuvre. Passez
uger de leur mérite. Encore une fois, saisir le point culminant d’une
narration
ou d’une thèse est d’une aussi puissante influenc
nce judiciaire. Tantôt il faut prémunir l’une ou l’antre partie de la
narration
par une discussion préalable, ou l’appuyer d’argu
e le récit, soit dans la confirmation, soit dans la réfutation. Si la
narration
est l’exposé des faits, la description est l’expo
escription, par sa nature et par son but, se rattache intimement à la
narration
. La plupart des rhétoriques n’insistent pas assez
atiser, de passionner la description. Il correspond à l’intérêt de la
narration
. Pour y parvenir, l’écrivain rattachera la descri
le style, et de favoriser le développement des idées. Ce sont : 1° La
Narration
; 2° La Lettre ou le Style oratoire ; 3° La Disse
° La Lettre ou le Style oratoire ; 3° La Dissertation. Section I. —
Narration
La Narration est l’exposition d’un fait accomp
e Style oratoire ; 3° La Dissertation. Section I. — Narration La
Narration
est l’exposition d’un fait accompagné de toutes l
i en dépendent. On distingue ordinairement plusieurs parties dans une
narration
; les unes sont essentielles, et constituent le f
stinction des Parties principales et des Détails qui entrent dans une
narration
, il est un autre point de vue d’après lequel on p
en faciliter le développement. Nous appliquerons nos réflexions à la
narration
précédente. Nous voyons d’abord que le fait princ
é de faire le tour du monde. En second lieu nous remarquons que cette
narration
se compose de trois parties bien distinctes, renf
avec succès les élèves dans leurs compositions. § I. Qualités de la
narration
Une Narration, pour être bonne, doit renfermer
lèves dans leurs compositions. § I. Qualités de la narration Une
Narration
, pour être bonne, doit renfermer les quatre quali
toute composition : elle doit donc être recherchée ici avec soin. La
narration
sera claire, selon Cicéron, si l’on emploie un st
t des digressions et des épisodes inutiles. 2° Vraisemblance La
narration
sera Vraisemblable, si les faits sont vrais ou du
voit s’évanouir en un instant tout son bonheur. 3° Complète Une
narration
ne doit rien contenir de superflu ; mais aussi el
es effets et rendent les événements naturels. C’est ainsi que dans la
narration
: le Tour du monde impromptu, le caractère de Bou
ances concourent à rendre le sujet complet. 4° Intéressante Une
narration
claire, vraisemblable et complète, pourrait être
ller à y répandre de l’intérêt ; l’intérêt fait trouver du charme aux
narrations
sérieuses, tout aussi bien qu’aux narrations plai
it trouver du charme aux narrations sérieuses, tout aussi bien qu’aux
narrations
plaisantes : tous les sujets n’ont pas le même ca
a manière dont on sait traiter les détails. § II. Ornements de la
Narration
Parmi les ornements que l’on peut faire entrer
Parmi les ornements que l’on peut faire entrer avec succès dans une
narration
, on peut nommer les portraits des personnages don
par leur justesse. Ces différents moyens répandent du charme dans la
narration
et sont recherchés par les écrivains en prose et
: Le matin incrédule, on est dévot le soir. § III. Du Style de la
Narration
La narration demande en général un style plutô
dule, on est dévot le soir. § III. Du Style de la Narration La
narration
demande en général un style plutôt composé de pet
ndrieux dans son Meunier Sans-Souci qui peut nous servir de modèle de
narration
agréablement racontée ; Frédéric veut causer lui-
se plaindre : Et Jupin de leur dire………….. Lorsque dans la
narration
, on emploie la forme de dialogue, on peut retranc
s soins les plus grands que nous recommandons d’avoir, c’est, dans la
narration
comme dans toute composition, de rechercher la va
qui nous expliquent ce que l’on entend par la Couleur locale dans une
narration
: « Le plus grand mérite de la narration, mais a
la Couleur locale dans une narration : « Le plus grand mérite de la
narration
, mais aussi le plus difficile à acquérir, c’est c
me la couleur locale est un des cachets les plus précieux d’une bonne
narration
, nous présentons les deux sujets suivants aux jeu
pourront lire avec fruit et comparer avec leurs compositions ces deux
narrations
qu’ils trouveront développées dans le deuxième vo
et la Naïade. Vol. II, nº 116. Section II. — Différents genres de
Narrations
La narration prend différents tons suivant les
. II, nº 116. Section II. — Différents genres de Narrations La
narration
prend différents tons suivant les divers sujets q
ortance des faits et des personnages que l’on met en la scène. § I.
Narration
dans le genre Simple Suivant notre coutume, no
Suivant notre coutume, nous ne présentons ici que le sommaire des
narrations
, voulant laisser aux élèves la possibilité de dév
— Réflexions. Lecture. — Le Porteur d’eau, vol. II, nº 117. § II.
Narration
dans le genre Tempéré La Providence. Argument.
e de l’ouvrier. Lecture. — La Providence. Vol. II, nº 118. § III.
Narration
dans le genre Élevé Vengeance de Jean V, duc d
c’est un champ très vaste à parcourir, et qui est plus sérieux que la
narration
. Pour bien faire comprendre en quoi consiste cet
ne bonne dissertation doit avoir à peu près les mêmes qualités que la
narration
. Elle doit être claire, rigoureuse, complète et a
un jeune homme. Vol. II, nº 136. 11° Des Lettres anecdotiques, de
Narrations
et de Nouvelles Le titre de ces lettres indiqu
ues ! 12. La composition ayant deux branches principales, qui sont la
narration
et le discours, l’invention a des préceptes spéci
omposition ? (3e Leçon) — § I. Invention narrative3 1. Dans la
narration
, on expose un fait, ou vrai ou supposé vrai. 2. L
action principale. 7. Ce n’est pas qu’on ne puisse introduire dans sa
narration
cette action incidente qu’on appelle épisode ; ma
est frivole, trivial ou subtil. Questionnaire. 1. Que fait-on dans la
narration
? — 2. Où est puisé le fait ? — 3. Quels sont ces
7. Les autres préceptes de disposition ne sont pas les mêmes pour la
narration
que pour le discours. § I. Disposition narrativ
le discours. § I. Disposition narrative. 8. La disposition d’une
narration
veut que le fait ait une exposition un nœud et un
ud et un dénouement. 9. On entend par l’exposition cette partie de la
narration
qui a pour but de préparer l’esprit au fait qu’on
du sujet comme une fleur de sa tige. 10. Le nœud est la partie de la
narration
où l’on voit les personnages à l’œuvre. Il doit a
narrative, telle que je viens de l’exposer, se trouve dans toutes les
narrations
. Il n’y a pas d’exception. Questionnaire. 1°. Qu’
andes branches de la composition ? — 8. Que veut la disposition d’une
narration
? — 9. Qu’entend-on par exposition ? — 10. Qu’est
, Cette disposition se retrouve-t-elle sans exception dans toutes les
narrations
? (6e Leçon) — § II. Disposition oratoire6.
de la disposition oratoire concernent : l’exorde, la proposition, la
narration
oratoire, la confirmation, la réfutation et la pé
té, l’orateur fait une division et quelquefois une subdivision. 8. La
narration
oratoire est l’exposé des faits nécessaires à l’i
e panégyrique. 9. Après l’exorde et la proposition, ainsi qu’après la
narration
(si toutefois il y en a une dans le discours), vi
èces d’exorde ? — 7. Qu’énonce la proposition ? — 8. Qu’est-ce que la
narration
oratoire ? — 9. Quelle est la partie du discours
ns naïves ou malicieuses. On l’emploie dans la lettre, la fable et la
narration
badine. — Lorsqu’on en bannit tout ce qui prête à
dans la jeunesse se réduisent à trois, qui sont : 1° la Lettre, 2° la
Narration
, 3° le Discours. Chapitre Ier. De la lettre.
tre II. De la narration24. 1. On comprend sous le nom générique de
narration
toutes ces compositions de médiocre étendue, qui
, 5° l’Allégorie, 6° la Fable, 7° les Tableaux et Descriptions, 8° la
Narration
proprement dite. [Sortes de narrations.] §
bleaux et Descriptions, 8° la Narration proprement dite. [Sortes de
narrations
.] § I. — De la Définition. 3. La définiti
antithèse. Questionnaire. 1. Que comprend-on sous le nom générique de
narration
? — 2. De combien de sortes sont ces compositions
il ne développe une vérité. En ce cas, le dialogue contient, comme la
narration
, une exposition, un nœud et un dénouement. 4. Le
écomposer les tableaux et descriptions ? (26e Leçon) — [Genres de
narrations
.]26 1. La Narration proprement dite se divise
descriptions ? (26e Leçon) — [Genres de narrations.]26 1. La
Narration
proprement dite se divise en six genres, qui sont
e mixte ; 5° le genre épistolaire ; 6° le genre merveilleux. § I. —
Narration
historique. 2. La narration historique est le
re ; 6° le genre merveilleux. § I. — Narration historique. 2. La
narration
historique est le récit d’un fait puisé dans l’hi
L’histoire, à son point de vue le plus restreint, n’est qu’une longue
narration
des événements accomplis par l’homme. Dans ces év
, par exemple une bataille, un fait héroïque, etc., pour en faire une
narration
historique. 4. Ce genre de narration exige trois
éroïque, etc., pour en faire une narration historique. 4. Ce genre de
narration
exige trois qualités indispensables : la vérité,
s qualités indispensables : la vérité, l’impartialité, l’unité. 5. La
narration
sera vraie, si le fait est incontesté, puisé à de
ces indiquées, se rapportent au fait qu’on raconte. 6. Le style de la
narration
historique sera grave, rarement abondant, assez s
ntôt courtes, tantôt périodiques, pour obtenir la variété. § II. —
Narration
poétique. 7. La narration poétique ou fictive
ues, pour obtenir la variété. § II. — Narration poétique. 7. La
narration
poétique ou fictive n’a qu’une seule règle, celle
es personnages soient soutenus et que le sujet soit moral. 9. Dans la
narration
poétique, il est permis de ne pas commencer par l
du style ; il s’agit de les placer à propos et avec goût. § III. —
Narration
badine. 11. La narration badine ou conte est l
placer à propos et avec goût. § III. — Narration badine. 11. La
narration
badine ou conte est le récit d’un événement propr
i le conteur se dispensait de recourir au merveilleux, il rendrait sa
narration
vraisemblable et intéresserait plus vivement l’en
enir par son but une composition sérieuse. 14. On peut rapporter à la
narration
badine, du moins pour la forme légère et familièr
égère et familière, l’historiette et l’anecdote. Questionnaire. 1. La
narration
proprement dite ne se divise-t-elle pas en plusie
e ne se divise-t-elle pas en plusieurs genres ? — 2. Qu’est-ce que la
narration
historique ? — 3. Il me semble que l’histoire n’e
narration historique ? — 3. Il me semble que l’histoire n’est qu’une
narration
; comment donc avec l’histoire ferai-je une narra
re n’est qu’une narration ; comment donc avec l’histoire ferai-je une
narration
historique ? Il y a sans doute ici confusion dans
ici confusion dans les mots. — 4. Quelles qualités exige ce genre de
narration
? — 5. À quelles conditions la narration posséder
s qualités exige ce genre de narration ? — 5. À quelles conditions la
narration
possédera-t-elle ces qualités ? — 6. Quel sera le
rration possédera-t-elle ces qualités ? — 6. Quel sera le style de la
narration
historique ? — 7. La narration poétique a-t-elle
alités ? — 6. Quel sera le style de la narration historique ? — 7. La
narration
poétique a-t-elle plusieurs règles ? — 8. Cette r
s doute des devoirs sérieux au narrateur ? — 9. Est-il permis dans la
narration
poétique de ne pas suivre exactement les règles d
10. Quels ornements reçoit le récit poétique ? — 11. Qu’est-ce que la
narration
badine ? — 12. Quelle sorte de style le conte exi
merveilleux ? — 14. Quel genre de composition peut-on rapporter à la
narration
badine ? (27e Leçon) — § IV. — Narration mixte
on peut-on rapporter à la narration badine ? (27e Leçon) — § IV. —
Narration
mixte27. 1. La narration mixte est ainsi nommé
rration badine ? (27e Leçon) — § IV. — Narration mixte27. 1. La
narration
mixte est ainsi nommée parce qu’elle tient à la f
ne presque tous les détails aux caprices de l’imagination. 2. Dans la
narration
mixte l’écrivain tire son sujet de l’histoire ; i
t de là qu’il faut : 1° se conformer pour le fond aux préceptes de la
narration
historique, c’est-à-dire observer la vérité, l’im
our la forme et dans l’arrangement des circonstances les règles de la
narration
poétique. § V. — Narration épistolaire. 4.
ment des circonstances les règles de la narration poétique. § V. —
Narration
épistolaire. 4. La narration épistolaire est l
s de la narration poétique. § V. — Narration épistolaire. 4. La
narration
épistolaire est le récit d’un événement exposé da
arrivée, et avec quelles circonstances remarquables. 5. Le fond de la
narration
épistolaire doit réunir, comme les lettres de nou
style familier, rempli d’aisance, de grâce et de naturel. § VI. —
Narration
merveilleuse. 6. Par le mot merveilleux on ent
aturels dans un poème épique ou dramatique ; mais, quand il s’agit de
narration
, ce mot prend un sens plus restreint, et s’appliq
olontiers par une foi simple et pure. C’est ce qui a fait donner à la
narration
merveilleuse le nom de légende. 7. La légende éta
emps primitifs ou du moyen âge, l’écrivain doit s’identifier, dans sa
narration
, à l’esprit de l’époque naïve à laquelle il l’emp
pour un lecteur instruit. Décomposition. 9. En décomposant les
narrations
, il faudra considérer d’abord la narration en gén
9. En décomposant les narrations, il faudra considérer d’abord la
narration
en général, voir dans la forme quels sont les orn
ments du style, et dans le fond examiner la disposition et réduire la
narration
à quelques lignes. 10. Il faudra préciser ensuite
ues lignes. 10. Il faudra préciser ensuite à quel genre appartient la
narration
analysée, et dire si elle est conforme pour le fo
ix genres dont nous venons de parler. Questionnaire. 1. Parlons de la
narration
mixte. Pourquoi la nommez-vous ainsi ? — 2. D’où
tire-t-il son sujet ? — 3. Que suit-il de là ? — 4. Qu’est-ce que la
narration
épistolaire ? — 5. Quelles sont les qualités de c
narration épistolaire ? — 5. Quelles sont les qualités de ce genre de
narration
dans le fond et dans la forme ? — 6. Il nous rest
ion dans le fond et dans la forme ? — 6. Il nous reste à parler de la
narration
merveilleuse ; qu’entendez-vous par le mot mervei
légende ? — 9. Instruisez-nous des préceptes de la décomposition des
narrations
. — 10. Que faudra-t-il faire ensuite ? (28e
t qui ne semblerait point faire partie d’un bel ensemble. Si dans une
narration
vous mêlez une seule réflexion contraire au but d
mot, du but de l’écrivain. Les deux grands genres de composition, la
narration
et le discours, ont leurs préceptes spéciaux en f
ns les exposer. § 1. Disposition narrative. La disposition d’une
narration
veut que le fait choisi ait une exposition, un nœ
on, un nœud et un dénouement. On nomme exposition cette partie de la
narration
qui a pour but de préparer l’esprit au fait qu’on
omme une fleur de sa tige. Le nœud est la partie intermédiaire de la
narration
où l’on voit les personnages à l’œuvre, où l’acti
Lafontaine va nous servir d’exemple de la disposition régulière d’une
narration
. EXPOSITION. La cigale ayant chanté tout
-même. Résumons en quelques lignes les règles de la disposition de la
narration
. L’Exposition est claire et simple ; elle présen
isposition. Ces règles ont pour objets : L’exorde, la proposition, la
narration
, la confirmation, la réfutation, et la péroraison
partage en plusieurs points d’une partie de la division générale.
Narration
. La narration oratoire est l’exposé des faits
eurs points d’une partie de la division générale. Narration. La
narration
oratoire est l’exposé des faits nécessaires à l’i
à l’intelligence de la cause ; elle se place après la proposition. La
narration
oratoire aura en général toutes les qualités du g
e, si même il ne passe pas sous silence entièrement ces dernières. La
narration
oratoire veut de la passion et de l’entraînement
ait, qu’il croie voir les choses au lieu de les entendre. Ce genre de
narration
par ses mouvements d’éloquence, mérite plutôt d’ê
utôt d’être défini : une action en récit, que récit d’une action. La
narration
oratoire n’est d’usage que dans le plaidoyer, l’o
isser deviner. » Veut-on voir l’esprit de madame de Sévigné dans une
narration
pleine de vivacité et d’enjouement ? lisons la le
re, à se trouver seule devant Dieu. » Chateaubriand. § IV. De la
narration
. La narration est le récit d’un fait, accompag
seule devant Dieu. » Chateaubriand. § IV. De la narration. La
narration
est le récit d’un fait, accompagné de toutes les
é de toutes les circonstances qui en dépendent. Avant de commencer la
narration
, il faut se bien rendre maître du fait à raconter
pare l’enchaînement du récit, qui est la première qualité d’une bonne
narration
. Si la narration est historique, il faut, avant d
nt du récit, qui est la première qualité d’une bonne narration. Si la
narration
est historique, il faut, avant d’écrire, étudier
étails qui s’y rattachent, pour ne pas s’écarter de la vérité ; si la
narration
est fictive, l’imagination a un libre champ pour
ujet, mais pourtant sans jamais s’écarter de la vraisemblance : si la
narration
est mixte, c’est-à-dire si le fond est vrai mais
aractère, de mœurs et de croyances. La condition première d’une bonne
narration
, c’est l’unité. Toute narration, petite ou grande
es. La condition première d’une bonne narration, c’est l’unité. Toute
narration
, petite ou grande, roman ou conte, histoire ou fa
s’y rapporte qu’indirectement : ainsi l’on interrompt quelquefois la
narration
pour faire des rapprochements entre les époques,
t pas amenée naturellement, qui ne fait pas corps avec le reste de la
narration
, qui se prolonge outre mesuré, ne sert qu’à jeter
ieux aborder le sujet sans détours et aller droit, au fait. Une bonne
narration
doit être claire et brève, vraie ou vraisemblable
style net et précis. Rien n’est plus fatigant et plus ennuyeux qu’une
narration
où les faits ne s’expliquent pas l’un par l’autre
le de digressions, de sentences, de descriptions déplacées. Une telle
narration
manque aussi de brièveté ; car un récit est bref,
ble. La vérité est la première condition d’un récit historique. Si la
narration
est fictive en tout ou en partie, on ne doit pas
peut rendre vraisemblables les choses les plus extraordinaires. Si la
narration
est fabuleuse ou mêlée de merveilleux, il y a pou
e vraisemblance de convention qu’on ne peut négliger. 3° Complète. La
narration
est complète quand elle contient tout ce qui est
ent l’impression. 4° Intéressante. L’intérêt, c’est la vie même de la
narration
, c’est le but que doit atteindre l’écrivain : mal
ère, et il tient l’esprit du lecteur enchaîné jusqu’au dénouement. La
narration
admet tous les tons, depuis le plus simple, comme
ton, il faut le soutenir fidèlement jusqu’à la fin. Comme exemple de
narration
, nous citerons trois morceaux de genres et de sty
tation. La dissertation est plus sérieuse et plus difficile que la
narration
; c’est un examen raisonné de quelque point de mo
e, etc. Qu’en étudiant Racine il porte une attention particulière aux
narrations
et aux principaux discours : ceux de Burrhus, de
moyen du questionnaire suivant, applicable à toute œuvre littéraire,
narration
, portrait, parallèle, discours, tragédie, comédie
la rédaction d’anecdotes piquantes, de traits de moralité, de petites
narrations
historiques, de billets, de lettres dont le profe
rties essentielles du discours. — Exorde ; ses différentes espèces. —
Narration
. — Confirmation. — Différentes sortes d’arguments
ion, péroraison ou conclusion. À ces trois parties il faut ajouter la
narration
, dans les causes qui roulent sur des faits ; la r
que les différents moyens par lesquels on prouvera la proposition.
Narration
. La narration, en général, est le récit d’un f
s moyens par lesquels on prouvera la proposition. Narration. La
narration
, en général, est le récit d’un fait avec ses circ
récit d’un fait avec ses circonstances. Il y a différentes sortes de
narrations
: la narration historique, dont le caractère prin
avec ses circonstances. Il y a différentes sortes de narrations : la
narration
historique, dont le caractère principal est la vé
dmet d’ailleurs les ornements qui peuvent la rendre intéressante ; la
narration
poétique, dans laquelle la fiction, mêlée adroite
itement à la vérité, produit l’intérêt et la vraisemblance ; enfin la
narration
oratoire, qui peut se trouver dans les trois diff
résenter dans leur plus beau jour. Mais il est surtout question de la
narration
judiciaire, qui est la plus difficile et pour laq
et pour laquelle on donne particulièrement des règles. On définit la
narration
judiciaire : l’exposé d’un fait et de ses circons
fait ; celles qui l’ont accompagné ; celles enfin qui l’ont suivi. La
narration
judiciaire est-elle toujours nécessaire ? Oui, qu
ublic, quand même il aurait déjà été exposé par l’accusateur ; car la
narration
ne se fait pas tant pour donner connaissance du f
ésenter d’une manière favorable à la cause. Quelle est la place de la
narration
? Naturellement elle vient après l’exorde et préc
’esprit des juges des préventions qui auraient empêché de recevoir la
narration
. Quelles sont les qualités de la narration judici
ent empêché de recevoir la narration. Quelles sont les qualités de la
narration
judiciaire ? Elle doit être courte, claire, vrais
aire ? Elle doit être courte, claire, vraisemblable, intéressante. La
narration
aura la brièveté convenable, si elle dit tout ce
nécessaires à l’intelligence du fait et à l’instruction des juges. La
narration
doit être claire de deux manières : 1° dans l’arr
n et qui permettent facilement le récit. Il y a vraisemblance dans la
narration
, lorsqu’il y a un rapport aisé à apercevoir entre
ion à croire la chose telle qu’on la lui présente. Par là même que la
narration
a les trois qualités précédentes, elle a déjà un
es saillies, pourvu qu’elles n’aient rien de trop ingénieux. Moins la
narration
a de ressources du côté du style, plus il faut la
peut offrir sans affectation et sans trop de recherche. Le but de la
narration
est de préparer la preuve ; c’est pour cela qu’el
it donc y avoir un accord parfait entre les différentes parties de la
narration
et celles de la preuve ; c’est ce qu’on peut obse
rration et celles de la preuve ; c’est ce qu’on peut observer dans la
narration
de la Milonienne qui, seule, suffit pour modèle e
ilonienne qui, seule, suffit pour modèle et pour précepte d’une bonne
narration
. Confirmation. La confirmation est la parti
L’exorde est fait pour préparer les esprits à recevoir la preuve ; la
narration
en contient les germes ; la réfutation en écarte
pompeux ? — L’exorde véhément ? — Qu’est-ce que la proposition ? — La
narration
? — Combien de sortes de narrations ? — Quel est
u’est-ce que la proposition ? — La narration ? — Combien de sortes de
narrations
? — Quel est le caractère principal de la narrati
ien de sortes de narrations ? — Quel est le caractère principal de la
narration
historique ? — Définissez la narration judiciaire
t le caractère principal de la narration historique ? — Définissez la
narration
judiciaire. — Dites les qualités de la narration
ue ? — Définissez la narration judiciaire. — Dites les qualités de la
narration
judiciaire. — Quelle doit être l’étendue de la na
alités de la narration judiciaire. — Quelle doit être l’étendue de la
narration
? — La narration est-elle indispensable ? — Défin
ation judiciaire. — Quelle doit être l’étendue de la narration ? — La
narration
est-elle indispensable ? — Définissez la confirma
es n’ont rien de bien mystérieux. Mais est-il juste de nous donner la
narration
pour un élément nécessaire du discours ? N’est-il
la fin, d’autres au commencement et à la fin. Les uns veulent que la
narration
soit courte, les autres qu’elle soit longue. Il e
la passion l’œuvre du raisonnement. L’exorde prépare les preuves, la
narration
et la péroraison les confirment. Si on a divisé l
ù commence celui de l’expérience. VIII analyse du discours. — la
narration
Voilà le tribunal disposé à accepter vos raiso
’il connaisse les faits de la cause. L’exposition des faits s’appelle
narration
. La narration est le centre de la toile, le point
les faits de la cause. L’exposition des faits s’appelle narration. La
narration
est le centre de la toile, le point d’où partent
n dialecticien qu’on chicane sur ses prémisses. N’oublions pas que la
narration
n’est, comme l’exorde, qu’un affluent du discours
vont droit au but sans s’amuser à battre les buissons de la route, la
narration
n’est qu’un moyen. Si les faits sont connus, ils
théâtre, son intrigue et son dénoûment. Quelquefois ils remplacent la
narration
par le débat contradictoire des faits et des preu
de toutes les preuves. Supposons une cause vaste et importante, où la
narration
doit se développer dans toute son ampleur, et ess
but par des routes différentes. Vous voyez donc ce qui distingue la
narration
oratoire de la narration historique : c’est que t
rentes. Vous voyez donc ce qui distingue la narration oratoire de la
narration
historique : c’est que tandis que celle-ci expose
oint. C’est pourquoi je ne proposerais pas pour modèle à l’orateur la
narration
de Bossuet, si éloquente qu’elle soit. L’art, en
s adroitement sur les côtés faibles et sur les côtés avantageux de la
narration
; il faut, ce qui est plus difficile encore, que
e votre client, votre bonne foi sera d’autant plus suspecte que votre
narration
aura été plus habile, et votre éloquence même dev
t qui fait illusion : imitez leur savante simplicité. Que, dans votre
narration
, les preuves s’abritent derrière les faits comme
s discrètes et des modulations caressantes ; souple et variée dans la
narration
, elle prend tous les tons des scènes qu’elle expo
uver, enfin de combattre les opinions opposées : c’est ce qu’on nomme
narration
ou thèse, confirmation et réfutation. La narratio
est ce qu’on nomme narration ou thèse, confirmation et réfutation. La
narration
doit être claire, précise, vraisemblable, intéres
vue le point culminant, c’est-à-dire le but, l’objet principal de la
narration
ou thèse. A la narration qui est l’exposé des fai
c’est-à-dire le but, l’objet principal de la narration ou thèse. A la
narration
qui est l’exposé des faits, il faut ajouter la de
est l’exposé des choses. En général, la description se rattache à la
narration
et ne doit s’y montrer que lorsqu’elle y est util
phie et éthopée, La description vive, colorée, animée, hypotypose, La
narration
ou description dans laquelle l’auteur s’exalte ju
énéral, une sorte de dialogue par écrit. Enfin, quand on veut, par la
narration
ou la description, remuer vivement l’âme et déter
lle qui agrandit, et celle qui atténue. Chapitre XIII. Quand la
narration
et les genres que nous y avons rattachés ne forme
ire de superflu dans le récit des faits : c’est le moyen de rendre la
narration
vive, rapide, pleine de force et de dignité ; c’e
es mieux placés, pour la perfection de son histoire. Que le fil de la
narration
ne soit jamais rompu : que tous les faits y soien
s à la naissance de Jésus-Christ, sont appelés l’ancien testament. La
narration
des quatre évangélistes et les actes des apôtres
’on donna le nom des neuf muses aux neuf livres qui la composent ; La
narration
d’Hérodote est en effet coulante, le style plein
facile, et un bon jugement. Mais il est quelquefois traînant dans sa
narration
. Le P. Le Jay, jésuite, l’a traduit. Historien
même. Il y a de très beaux morceaux, et des peintures très vives. La
narration
de cet historien est nette, la morale sage, et le
rien est pur, simple, précis, et peut-être trop dénué d’ornements. Sa
narration
unie et rapide enchaîne le lecteur. D’Ablancourt
Cet écrivain est quelquefois un peu crédule, verbeux et lent dans sa
narration
, quoique libre et aisée. Mais en général, son sty
s son Histoire du Bas-Empire, qui commence à Constantin. Le style, la
narration
, les détails, les portraits, les réflexions, tout
storiques. On y admire un style noble, élégant et orné avec goût, une
narration
nette, rapide et pleine de chaleur : c’est le tab
hes. Mais elles sont un chef-d’œuvre pour le style et la marche de la
narration
. Ses Révolutions de Suède sont écrites d’un style
it Montaigne, le langage doux et agréable d’une naïve simplicité, une
narration
pure, et en laquelle la bonne foi de l’auteur rel
joute pas à ce premier effet, l’affaiblit nécessairement. 2º De la
Narration
. Quand l’exorde a suffisamment préparé l’audit
des faits sur lesquels il va avoir à prononcer : c’est l’objet de la
Narration
. Quintilien veut qu’elle soit courte, claire et p
de la chaire, l’explication du sujet que l’on va traiter, remplace la
narration
judiciaire, et exige à peu près les mêmes qualité
les choses, élégance et correction dans le style. Mais au barreau la
narration
est une partie essentielle du discours, et celle
grand art plus loin que Cicéron ; et il n’y a presque pas une de ses
narrations
oratoires qui ne soit un modèle à citer. Mais nou
aturel des idées amène immédiatement la confirmation à la suite de la
narration
. Il faut prouver en effet ce que l’on vient d’av
on, et mon père celles de l’honneur. Développez. Deuxième partie.
Narrations
. 11. Les deux pommiers. Sujet et plan. Un
de ce récit. Style simple, mais animé. Outre le sens littéral, cette
narration
a encore un sens allégorique : un jeune homme ne
a description du naufrage. Ce qui fait le plus grand intérêt de cette
narration
c’est la leçon morale qu’elle contient. Or, cette
et lui déclare qu’il ne sera jamais son ministre. L’intérêt de cette
narration
consiste surtout dans le détail des deux entrevue
ant ; il lui recommande la plus grande discrétion. Cette partie de la
narration
doit être détaillée : dialogue. André s’est retir
de nuit doit être très-développée ; c’est la partie importante de la
narration
. Le lendemain, le comte envoie chercher André ; A
s y perdirent plus de 15, 000 hommes. Pour donner plus d’intérêt à la
narration
, nous avons légèrement altéré, à la fin, le fait
t revint au château dans la nuit, apportant la tête du loup. Plan. La
narration
doit commencer au moment où le prince, fatigué d’
de l’assemblée entière ; paroles du prince. On pourra terminer cette
narration
par quelques phrases qui feront allusion à la glo
le contraste qu’elles formeront l’une avec l’autre, composeront cette
narration
: la première, touchante et pathétique ; la secon
eaux. Cette dernière catastrophe, qui est le principal incident de la
narration
, devra être surtout développée. 54. Saint Luci
deux fois prisonnier par lui. Il mourut en 1377. 58. Almanzor. (
Narration
allégorique.) Sujet et plan. Accablé de malheu
urs qu’Almanzor avait éprouvés ne doivent pas être mentionnés dans la
narration
; elle doit commencer au moment où il ose murmure
dité, et la leçon que l’ange lui adresse, suffisent pour composer une
narration
étendue et intéressante. 59. Menzikoff et Dolg
s le désert de Bérésoff. Menzikoff était mort en 1729. Pour rendre la
narration
plus intéressante, nous supposons qu’il vécut un
nis sous le sceptre de la maison d’Este. Pour l’intelligence de cette
narration
, il faut ne pas oublier que le peuple, en Italie,
on perpétuelle. Ce fait est antérieur à celui qui fait le sujet de la
narration
et sert à l’expliquer. On pourrait cependant fair
e la narration et sert à l’expliquer. On pourrait cependant faire une
narration
divisée en deux parties : la première partie sera
prononce la grâce de Gaëtano et la destitution du porte-clefs. Cette
narration
devra consister surtout en dialogues entre le pri
suivre l’ordre des faits tel qu’il est tracé plus haut, et couper la
narration
en deux parties, dont l’une sera le développement
éveloppement du troisième et du quatrième. On peut aussi commencer la
narration
au moment où la dame bienfaisante et ruinée, cher
t périr. Plan. Le récit du meurtre de Géta ne doit pas entrer dans la
narration
. Elle commence au moment où le crime vient d’être
es bornes : « il faut obéir ou mourir. » Papinien préfère la mort. La
narration
doit s’arrêter là et laisser entrevoir, sans le r
doute son épouse, laisse partir Salvator sans exiger de rançon. Cette
narration
peut se diviser en deux parties : Salvator tomban
jamais au monde et fit don de sa principauté à la France. Plan. Cette
narration
se divise naturellement en deux parties. Dans la
nom donné à la province. Humbert II, dont il est question dans cette
narration
, fut le dernier dauphin de Vienne. En cédant sa p
éperdus, tombe englouti dans un gouffre enflammé. Pour donner à cette
narration
un intérêt dramatique, vous pouvez supposer que d
la conscience ; le second, de celle de la passion. Le style de cette
narration
doit être animé et même poétique. 87 et 88. Mo
il exige leur grâce ; il l’obtient et rend le dernier soupir Plan. La
narration
commence au moment où les Vendéens, accablés de d
rer l’Écosse, qui le choisit pour son roi. Le fait raconté dans cette
narration
peut être rapporté à l’année 1306. L’Écosse, qui,
amis. C’est ce fait, donné par l’histoire, qui sera le sujet de votre
narration
. Vous nommerez ce Français Delmance15, vous donne
accusateur est confondu : Flavio est absous d’une voix unanime. Cette
narration
, dont le sujet est suffisamment expliqué par celu
te narration, dont le sujet est suffisamment expliqué par celui du la
narration
précédente, doit consister en paroles rapidement
eance du nouveau roi. Plan. Deux grandes scènes doivent remplir cette
narration
. Première scène : aux premières lueurs de l’auror
nom de Louis le Débonnaire. 100. Charlemagne et Lothaire. Cette
narration
est la suite de la précédente, qui suffit pour l’
Discours de Fédor à Ivan. Voir, pour l’explication de ce sujet, la
narration
intitulée Owinisko, formant le 82e exercice. Suje
ande en faveur d’un enfant de quatorze ans. (Discours contenant une
narration
.) Le sol de la Hollande est presque partout au
qui vient de provoquer l’attendrissement général. Il fera ensuite une
narration
vive et animée de tout ce qui s’est passé ; il fe
egret que l’orateur accuse un citoyen recommandable par ses talents.
Narration
: Il a entendu Mélanthe qui, etc. Cette narration
e par ses talents. Narration : Il a entendu Mélanthe qui, etc. Cette
narration
doit être courte. Confirmation : Mélanthe demand
an. Exorde : Enfin la vérité peut se faire entendre. Proposition et
narration
: L’orateur énonce la demande qu’il adresse aux j
devant les tribunaux. Plan. Après un exorde convenable et une courte
narration
, l’avocat de Flavianus, dans la première partie d
à Maxence, qui étaient beaux-frères, l’explicatif qui précède la 102e
narration
, intitulée Fausla. 7. Ce pont se nommait le po
circonstances merveilleuses. La légende qui fait l’objet de cette
narration
est célèbre sur les bords du Rhin. 14. Son nom
descriptif, épistolaire, didactique, et nous devons parler ici de la
narration
, de la description, de la lettre, de la dissertat
ertation morale ou littéraire. § II. De la narration15. 298. La
narration
est l’exposé d’un seul fait, réel ou supposé, dep
disant réel ou supposé, nous indiquons les deux principaux genres de
narration
, la narration purement historique, et la narratio
u supposé, nous indiquons les deux principaux genres de narration, la
narration
purement historique, et la narration poétique. No
incipaux genres de narration, la narration purement historique, et la
narration
poétique. Nous ne parlons pas ici de la narration
t historique, et la narration poétique. Nous ne parlons pas ici de la
narration
badine, qui rentre dans le conte, ni de la narrat
ns pas ici de la narration badine, qui rentre dans le conte, ni de la
narration
oratoire, qui appartient à la rhétorique. Nous do
rtient à la rhétorique. Nous donnerons d’abord quelques règles sur la
narration
en général, et nous exposerons ensuite celles qui
elles qui sont particulières à chaque genre. Règles générales de la
narration
. 299. Toute narration comprend l’exposition, l
res à chaque genre. Règles générales de la narration. 299. Toute
narration
comprend l’exposition, le nœud de l’action, et le
ot de ces trois parties pour indiquer les règles essentielles à toute
narration
. 300. L’exposition a pour but de préparer les esp
ne peut prévoir si l’issue sera heureuse ou funeste. L’intérêt de la
narration
dépend presque toujours de la manière dont le nœu
vers qui n’ont plus aucun intérêt. 308. Les qualités générales de la
narration
sont l’unité, la clarté, la brièveté, l’intérêt e
, la clarté, la brièveté, l’intérêt et l’agrément. 309. L’unité de la
narration
consiste en ce que tous les détails et tous les f
qui fatiguent le lecteur. 311. La brièveté consiste à mettre dans la
narration
ce qu’il faut et rien que ce qu’il faut. On sera
ans le dénouement. Ce caractère général de rapidité qui convient à la
narration
se modifie suivant la diversité des sujets à trai
principe de Boileau est toujours vrai : Soyez vif et pressé dans vos
narrations
. 312. L’intérêt consiste à attacher le lecteur a
sont pour ainsi dire fondues dans le récit. Différentes espèces de
narration
. 314. Comme on peut raconter ou des faits réel
es ou des événements feints et supposés, on distingue deux espèces de
narration
: la narration historique et la narration fabuleu
ments feints et supposés, on distingue deux espèces de narration : la
narration
historique et la narration fabuleuse ou poétique.
n distingue deux espèces de narration : la narration historique et la
narration
fabuleuse ou poétique. De la narration historiq
a narration historique et la narration fabuleuse ou poétique. De la
narration
historique. 315. La narration historique est l
ation fabuleuse ou poétique. De la narration historique. 315. La
narration
historique est l’exposé exact et fidèle d’un évén
ue est l’exposé exact et fidèle d’un événement réel. Dans ce genre de
narration
, il faut exposer les faits tels qu’ils sont, sans
tester le crime. 317. Outre les qualités qui sont nécessaires à toute
narration
, la narration historique doit encore réunir la vé
e. 317. Outre les qualités qui sont nécessaires à toute narration, la
narration
historique doit encore réunir la vérité, l’impart
ribué beaucoup à ruiner la morale et la religion parmi nous. De la
narration
poétique. 322. La narration poétique ou fabule
le et la religion parmi nous. De la narration poétique. 322. La
narration
poétique ou fabuleuse est l’exposé d’événements f
l’exposé d’événements feints, mais vraisemblables. Elle diffère de la
narration
historique par le fond et par la forme. Celle-ci
ple et plus modeste, et n’emploie les ornements qu’avec sobriété ; ia
narration
poétique cherche à plaire au lecteur en excitant
que le goût peut lui permettre. 323. Les qualités particulières à la
narration
poétique sont la vraisemblance et l’intérêt progr
s usages déjà connus. L’intérêt progressif convient spécialement à la
narration
poétique. L’historien est dominé par les faits, e
et Chateaubriand d’excellents modèles de récits poétiques. Quant aux
narrations
historiques, Hérodote, Thucydide, Tite-Live, Sall
e la chose paraît se passer sous nos yeux. Elle tient à la fois de la
narration
et de la description, et c’est pour cela qu’on l’
et de la description, et c’est pour cela qu’on l’appelle quelquefois
narration
descriptive. Dans ces descriptions, il faut évite
n dit que l’apologue est mixte. 557. L’apologue n’est qu’une sorte de
narration
poétique ou de petite épopée, et il doit suivre à
de, horrible, informe, M’accable de sa pesanteur. (L. Racine.) X.
Narration
historique. Massacre des prêtres dans l’église de
rnons à l’Abbaye, nous y trouverons du gibier. (De Barante.) XI.
Narration
poétique. Jeanne d’Arc devant ses juges. Prin
principaux genres de compositions littéraires ? 298. Qu’est-ce que la
narration
? 299. Combien de parties comprend une narration
98. Qu’est-ce que la narration ? 299. Combien de parties comprend une
narration
quelconque ? 300. Quel est le but de l’exposition
e dénouement est connu 308. Quelles sont les qualités générâtes de la
narration
? 309. En quoi consiste l’unité de la narration ?
lités générâtes de la narration ? 309. En quoi consiste l’unité de la
narration
? 310. En quoi consiste la clarté de la narration
siste l’unité de la narration ? 310. En quoi consiste la clarté de la
narration
? 311. En quoi consiste la brièveté de la narrati
e la clarté de la narration ? 311. En quoi consiste la brièveté de la
narration
? 312. En quoi consiste l’intérêt de la narration
e la brièveté de la narration ? 312. En quoi consiste l’intérêt de la
narration
? 313. Quels sont les ornements qui forment l’agr
arration ? 313. Quels sont les ornements qui forment l’agrément de la
narration
? 314. Combien distingue-t-on d’espèces de narrat
l’agrément de la narration ? 314. Combien distingue-t-on d’espèces de
narrations
? 315. Qu’est-ce que la narration historique ? 31
ombien distingue-t-on d’espèces de narrations ? 315. Qu’est-ce que la
narration
historique ? 316. Quel est le véritable but de l’
but de l’histoire ? 317. Quelles sont les qualités particulières à la
narration
historique ? 318. En quoi consiste la vérité de l
res à la narration historique ? 318. En quoi consiste la vérité de la
narration
historique ? 319. En quoi consiste l’impartialité
ien ? 321. Qu’exige la moralité de l’histoire ? 352. Qu’est-ce que la
narration
poétique ou fabuleuse, et en quoi diffère-t-elle
e la narration poétique ou fabuleuse, et en quoi diffère-t-elle de la
narration
historique ? 323. Quelles sont les qualités parti
ration historique ? 323. Quelles sont les qualités particulières à la
narration
poétique ? 324. Quels sont les écrivains qui prés
324. Quels sont les écrivains qui présentent les meilleurs modèles de
narration
? 325. Qu’est-ce que la description, et quel tale
Qu’est-ce que la topographie ? 336. Qu’est-ce que la démonstration ou
narration
descriptive ? 337. Qu’est-ce que la prosopographi
littérature, IIIe part., leç. 14, 15 et 16 ; De Calonne, Traité de la
narration
, IIIe part. 10. Auteurs à consulter : Longin, Tr
lter : Blair, Leçons de rhétorique, leç. 35, 36, 37 ; Marmontel, art.
Narration
; Collombet, Cours de littérature, sect. Ire, ch.
t, Cours de littérature, sect. Ire, ch. vi ; De Calonne, Traité de la
narration
; Fresse-Montval, Traité de la narration et de l’
i ; De Calonne, Traité de la narration ; Fresse-Montval, Traité de la
narration
et de l’analyse littéraire. 16. Auteurs à consul
Un discours peut renfermer six parties ; l’exorde, la proposition, la
narration
, la confirmation, la réfutation, la péroraison.
t la grandeur des vertus dont je suis engagé de vous parler. » 3°
Narration
. La narration se place ordinairement à côté de
vertus dont je suis engagé de vous parler. » 3° Narration. La
narration
se place ordinairement à côté de la proposition :
t ; mais ce récit peut se placer ailleurs, si on le juge à propos. La
narration
oratoire diffère de la narration historique ; cel
ailleurs, si on le juge à propos. La narration oratoire diffère de la
narration
historique ; celle-ci ne recherche que le vrai ;
qui pourraient nuire. On cite toujours comme un modèle d’habileté la
narration
de la mort de Claudius, dans le plaidoyer de Cicé
l’Oraison funèbre du prince de Condé, par Bossuet, est une admirable
narration
, pleine de mouvement et de grandeur. « À la nuit
ations ; 2° la harangue historique ; 3° la harangue militaire ; 4° la
narration
oratoire ; 5° enfin, le plaidoyer non légal malgr
corrobore la majeure, et le quatrième énonce la conséquence. § 2.
Narration
oratoire. Préceptes du genre. Voir page 55. Vo
44 et 245. Décomposition. Nota. Les procédés de décomposition de la
narration
oratoire sont plus compliqués que ceux des autres
ons oratoires, dans la disposition ils s’appliquent spécialement à la
narration
en général, puis reviennent dans l’élocution aux
formes plutôt oratoires que narratives. Modèle de décomposition de
narration
oratoire. MATIÈRE. Récit de la bataille de Fri
ns un guet-apens. Que faire ? Ici donc, durant huit jours , etc. La
narration
paraît arrêtée dans ces mouvements tout comme l’a
avec l’action. Mais, comme un autre Machabée , etc., comparaison. La
narration
se relève, l’orateur personnifie le courage et l’
a perte assurée , etc. Hypotypose. La vie et le mouvement colorent la
narration
; La nuit, les pluies, le courage, l’art, la nat
hin en fugitif. Voyez comme tout s’ébranle , etc, communication. La
narration
s’arrête, la transition est brusque, la phrase se
la mer. Il n’est personne qui, n’ayant pas lu préliminairement cette
narration
, et l’entendant réciter à haute voix et lentement
ment où Merci abandonne les bords du Rhin. Là pourrait se terminer la
narration
, et on ne doit regarder ce qui suit que comme un
bre et le genre historique, mais qui serait superflu dans toute autre
narration
. On peut réduire la narration à ces mots : le Pri
is qui serait superflu dans toute autre narration. On peut réduire la
narration
à ces mots : le Prince de Condé rencontra Merci d
t modestie. Cette dernière position est celle qui doit accompagner la
narration
ordinaire. La tête, par ses mouvements divers, de
mots et de tropes. Or, cet emploi des figures concerne aussi bien les
narrations
et les petits genres de composition que l’art ora
ébut d’un discours s’appelle ordinairement exorde ; le récit se nomme
narration
; la proposition garde son nom. Les preuves à l’a
oirs de l’orateur : on a dit que l’exorde était destiné à plaire ; la
narration
ou la proposition, la division, la confirmation e
anler ! § 8. Parties destinées à instruire. — Genres de causes. —
Narration
. Après l’exorde, il faut passer aux parties de
es parties du discours destinées à instruire sont, avons-nous dit, la
narration
ou la proposition, la confirmation, la réfutation
onfirmation, la réfutation et la division, quand il y a lieu. Mais la
narration
, étant un récit, ne convient qu’aux choses passée
de ces diverses parties qui suivent l’exorde ; et d’abord étudions la
narration
. La narration est un récit par lequel on fait con
s parties qui suivent l’exorde ; et d’abord étudions la narration. La
narration
est un récit par lequel on fait connaître à l’aud
s favorables et les plus frappantes. Les rhéteurs recommandent que la
narration
soit simple et claire, vraisemblable, intéressant
montre les causes et les moyens des principaux faits qu’on avance. La
narration
doit être intéressante. Les hommes n’écoutent vol
toujours prêt à se laisser distraire par quelque objet extérieur. La
narration
doit être courte. La brièveté ne consiste pas à e
inutieuses ; il embellira celles qui méritent d’être développées. Une
narration
de deux lignes peut être trop longue, si elle con
es peut être trop longue, si elle contient des détails inutiles ; une
narration
de dix pages sera courte, si elle ne contient auc
rattache précisément au sujet. Il n’y a rien à dire de général sur la
narration
, la confirmation et la réfutation : recommander l
ortunité et mesure. 1° Exorde. 2° 1° Proposition ; 2° Division ; 3°
Narration
; 4° Confirmation ; 5° Réfutation : Sophismes et
° Geste ; 3° Physionomie. Mémoire. APPENDICE Exercices de rhétorique.
Narration
, Description, Tableau, Portrait, Parallèle, Éloge
n discours : 1° l’exorde ; 2° la proposition ; 3° la division ; 4° la
narration
; 5° la confirmation ; 6° la réfutation ; 7° la p
Manilla, etc.), — dans Massillon (Sermon sur la Passion), etc. 4°
Narration
La narration est l’exposition d’un fait. Elle
— dans Massillon (Sermon sur la Passion), etc. 4° Narration La
narration
est l’exposition d’un fait. Elle doit être claire
it le combat entre Clodius et Milon. Le modèle de la brièveté dans la
narration
sera toujours le bulletin laconique de César : «
t d’Henri IV : « Je vins, vis et vainquis. » Il y a trois espèces de
narration
: 1° oratoire, 2° historique, 3° poétique. La nar
is espèces de narration : 1° oratoire, 2° historique, 3° poétique. La
narration
oratoire doit être vraie, bien que les grands ora
surtout dans le genre judiciaire et dans l’éloquence de la chaire. La
narration
historique est l’exposé pur et simple des faits.
it être vraie, fidèle et complète, car on ne plaide pas comme dans la
narration
oratoire, et il n’est permis sous aucun prétexte
es textes sûrs et des documents authentiques. L’art du style, dans la
narration
historique, ne doit jamais nuire à la vérité. Ex
t jamais nuire à la vérité. Ex. On saisira mieux la différence de la
narration
oratoire et de la narration historique en lisant
Ex. On saisira mieux la différence de la narration oratoire et de la
narration
historique en lisant le récit de la bataille de R
ui de Voltaire sur le même sujet (Siècle de Louis XIV, chap. iii). La
narration
poétique orne le récit, l’enrichit de traits et d
e la vérité des faits annoncés dans la proposition et exposés dans la
narration
. C’est la partie la plus essentielle du discours,
rupto, 3° Simple, 4° Grave ou Sublime. Proposition et Division.
Narration
: 1° Oratoire, 2° Historique, 3° Poétique. Co
ts exercices de rhétorique. On peut classer ainsi les principaux : 1°
Narration
, 2° Description, 3° Tableau, 4° Portrait, 5° Para
rt, 11° Dialogue, 12° Dissertation, 13° Analyse littéraire, etc. 1°
Narration
La narration est l’exposé d’un fait vrai ou su
, 12° Dissertation, 13° Analyse littéraire, etc. 1° Narration La
narration
est l’exposé d’un fait vrai ou supposé, accompagn
du tableau par le mouvement dramatique. Il ne s’agit point ici de la
narration
comme partie essentielle du discours. Nous avons
la Rhétorique (p. 18 [Division de la Rhétorique, II. Disposition, 4°
Narration
]) que cette sorte de narration se divise en narra
de la Rhétorique, II. Disposition, 4° Narration]) que cette sorte de
narration
se divise en narration oratoire, historique et po
Disposition, 4° Narration]) que cette sorte de narration se divise en
narration
oratoire, historique et poétique ; nous en avons
caractères, les ressemblances et les différences. Considérons ici la
narration
comme œuvre séparée et constituant à elle seule u
ition littéraire. Elle est à peu près soumise aux mêmes règles que la
narration
oratoire. On donne plus particulièrement le nom d
, t. I, livre IV, p. 365, édit. Paulin, 1845), et tous les modèles de
narration
historique dus à la plume d’Augustin Thierry, de
nd ; — La Prise d’une redoute, par Mérimée, etc. Comme tout drame, la
narration
se compose de trois, parties essentielles : 1° l’
e, brève et intéressante. Cf. Boileau : Soyez vif et pressé dans vos
narrations
, etc. (Art poétique, chant III, vers 257.) À la
dans vos narrations, etc. (Art poétique, chant III, vers 257.) À la
narration
ou peinture des faits on peut rattacher naturelle
’exactitude. Les qualités de la description doivent être celles de la
narration
. Son but est de produire sur l’imagination du lec
Agneau, — Le Lièvre et la Tortue, etc. Le nœud de l’intrigue dans une
narration
est quelquefois traité sous forme de dialogue, ma
t-à-dire juger son style. Exercices de rhétorique (Appendice)
Narration
. Allégorie . apologue, parabole, etc. Descri
te place dans notre littérature. Le conte est soumis aux règles de la
narration
(unité, clarté, vraisemblance). Ses qualités esse
Leurs différences sont celles qui séparent la poésie de la prose, la
narration
régulière et élevée de la composition familière o
’Exorde ; 2° la Proposition où la Division se trouve comprise ; 3° la
Narration
; 4° la Confirmation ou la Preuve ; 5° la Réfutat
l’orateur est assuré de la bienveillance de son auditoire. § III.
Narration
Après la division, vient la Narration qui est
de son auditoire. § III. Narration Après la division, vient la
Narration
qui est le récit des faits. Dans l’Oraison funèbr
est le récit des faits. Dans l’Oraison funèbre du prince de Condé la
narration
comprend tout le récit de la vie du prince. On po
omposent, sont : 1° l’Exorde ; 2° l’Exposition et la Division ; 3° la
Narration
; 4° la Confirmation ; 5° la Réfutation, et 6° la
proprement dit contient tous les genres de composition : description,
narration
, portrait, dissertation, dialogue, etc. ; il comp
ns vifs et pressants, employez les sentiments qui conviennent à cette
narration
et à cette démonstration, mais n’épuisez pas vos
étorique sont l’exorde, la proposition, qui comprend la division ; la
narration
, la confirmation, la réfutation et la péroraison.
a proposition et la division, la confirmation renfermera peut-être la
narration
et la réfutation ; mais, ces trois parties sont i
es faits étant la plus solide de toutes les bases d’argumentation, la
narration
vient à propos, avant la confirmation et la réfut
der aux circonstances. L’écrivain ou l’orateur peut commencer par une
narration
ou par quelque argument solide ; il peut encore f
t encore faire suivre l’exorde de la preuve, et renvoyer plus loin la
narration
. Ce sont des modifications qu’il essayera suivant
discours complet sont l’exorde, la proposition avec la division ; la
narration
et la confirmation, la réfutation et la péroraiso
doit être entière, opposée, graduée et naturelle. Leçon XV. De la
narration
. 1. Objet de la narration. — 2. Caractère prop
raduée et naturelle. Leçon XV. De la narration. 1. Objet de la
narration
. — 2. Caractère propre de la narration oratoire.
a narration. 1. Objet de la narration. — 2. Caractère propre de la
narration
oratoire. — 3. Rapports avec la confirmation. — 4
ation oratoire. — 3. Rapports avec la confirmation. — 4. Clarté de la
narration
. — 5. Vraisemblance. — 6. Brièveté. — 7. Intérêt
5. Vraisemblance. — 6. Brièveté. — 7. Intérêt et agrément. — 8. De la
narration
dans le genre démonstratif. — 9. Rôle de la narra
ent. — 8. De la narration dans le genre démonstratif. — 9. Rôle de la
narration
. — 10. Règles a suivre. 1. Objet de la narrati
. — 9. Rôle de la narration. — 10. Règles a suivre. 1. Objet de la
narration
. — La narration est l’exposition du fait sur lequ
a narration. — 10. Règles a suivre. 1. Objet de la narration. — La
narration
est l’exposition du fait sur lequel porte le disc
à la cause, de source à l’argumentation. 2. Caractères propres à la
narration
oratoire. — L’historien et l’orateur ont l’un et
oratoire. — L’historien et l’orateur ont l’un et l’autre à faire des
narrations
; mais dans des conditions morales qui mettent
n exemple fera bien sentir la différence du récit historique et de la
narration
oratoire : l’historien ayant à raconter le meurtr
rraient être choquantes. 3.Rapports avec la confirmation. — Ainsi la
narration
étant déjà un moyen de preuve, un premier argumen
Quintilien cite comme un modèle dans l’art de disposer ces détails la
narration
présentée par Cicéron pour la défense de Milon. L
les faits sous un jour favorable est la première qualité d’une bonne
narration
oratoire, littéraire ou morale. Toutes les autres
nvient à tou le discours ; mais elle est la qualité essentielle de la
narration
qui pose le fait et dont l’obscurité compromettra
t est mal exposé, les preuves manqueront de base et l’obscurité de la
narration
répandra les ténèbres sur tout le discours. Il f
nce comme les auteurs probables du crime. 6. De la brièveté. — La
narration
est courte, quand elle ne dit que ce qu’elle doit
u récit ! Mais Quintilien ajoute avec raison que pour être courte la
narration
ne doit pas être privée d’ornements ; autrement e
court, mais rude et escarpé. 7. De l’intérêt et de l’agrément. — La
narration
est intéressante lorsqu’elle éveille l’émotion da
i lit. Cette qualité résulte tout naturellement des trois autres. Une
narration
appropriée au sujet, claire, vraisemblable et cou
Une composition qui réunit clarté, vraisemblance et intérêt c’est la
narration
du meurtre de Clodius dans la défense de Milon :
; voilà pour conclure une périphrase de génie ! C’est à propos de la
narration
qu’on a pu dire que l’écrivain doit être peintre
rte l’émotion de l’âme de l’écrivain dans l’âme du lecteur, 8. De la
narration
dans le genre démonstratif. — Dans le genre démon
e démonstratif et dans toutes les compositions qui s’y rattachent, la
narration
joue un rôle très-considérable ; elle est le fond
bile offre de si parfaits modèles, donne le meilleur exemple de cette
narration
ornée, dans l’oraison funèbre de Louis XIV ; il f
e son auguste front rassurait les frayeurs publiques. 9. Rôle de la
narration
. — La narration ainsi considérée est d’un grand p
ont rassurait les frayeurs publiques. 9. Rôle de la narration. — La
narration
ainsi considérée est d’un grand poids dans toute
discussions stériles ou dans des querelles de mots. 10. Règles de la
narration
. — Il est donc essentiel de méditer et d’observer
le les règles qui résument toutes les observations précédentes. I. La
narration
doit être appropriée aux besoins du sujet. II. Po
6. Règles pour la description. 1. Objet de la description. — A la
narration
c’est-à-dire à la peinture des faits se rattache
est au même titre que les détails descriptifs ajoutés par Racine à la
narration
de la mort d’Hippolyte sont autre chose que de fr
Dans le plus heureux, le plus éloquent mélange, Cicéron associe à la
narration
de la mort de Tibérius Gracchus les portraits viv
it-elle une éloquence plus vive et plus touchante que cette admirable
narration
, aurait-elle plus d’animation et de mouvement que
— La description des lieux et des personnes doit faire corps avec la
narration
, s’y mêler et en faire partie, car c’est le conco
e faire connaître le lieu, le temps et les personnes ; le début de la
narration
est donc la place la plus favorable pour la descr
ou tableau des traits et du caractère donne ta vie et l’intérêt à la
narration
. III. La description des lieux vient fournir le
détails superflus qui nuisent au lieu de servir. VI. Le début de fa
narration
est la place qui convient le mieux pour la descri
es modes peuvent souvent permuter. Par exemple dans la vivacité de la
narration
, le présent remplace avec avantage le passé..Boss
apostrophe donne une vivacité toute dramatique à l’exposition et à la
narration
. IV. La prosopopée ne convient qu’à l’expression
mphatique et ridicule. V. Le dialogisme donne à l’exposition ou à la
narration
toute la vivacité de l’action sous la forme du dr
méritent d’être analysées. Le genre simple, qui convient surtout à la
narration
, a pour caractères principaux une naïveté de pens
jetée sur la toile. 4. Usage du style simple. — C’est surtout à la
narration
et l’argumentation que le style simple paraît con
à tour et sans confusion vos preuves dans l’esprit des auditeurs. La
narration
exige des inflexions plus variées, qui représente
ons naturellement de ceux que nous voulons instruire et persuader. La
narration
admet volontiers l’attitude et la physionomie qui
urtrier de sa sœur. Ces travaux étaient préparés et complétés par des
narrations
, des lieux communs, des parallèles, etc. Sans dou
e fable comme celui de Menenius Agrippa ; presque tous renferment une
narration
. Le portrait, le parallèle, l’éloge ou la critiqu
on suivante : 1° Compositions littéraires. Descriptions — Tableaux —
Narrations
— Fables — Lettres — Rapports — Discours — Dialog
Leçon XLVII. Compositions littéraires. — Descriptions. Tableaux. —
Narrations
. — Fables. 1. De la description. — 2. Du table
2. Du tableau. — 3. Exemples de description et de tableau. — 4. De la
narration
. — 5. Modèle de narration. — 6. De la fable. — 7.
es de description et de tableau. — 4. De la narration. — 5. Modèle de
narration
. — 6. De la fable. — 7. Modèle de fable, — 8. Rés
tu sois, à genoux ! prie pour ton frère qui prie pour toi. 4. De la
narration
. — La narration est la peinture d’une action. Ell
x ! prie pour ton frère qui prie pour toi. 4. De la narration. — La
narration
est la peinture d’une action. Elle se distingue d
mouvement dramatique dont elle ne saurait se passer. En effet, toute
narration
est comme un drame qui a son nœud, ses péripéties
n essentielle d’intérêt pour tout récit. Soyez vif et pressé dans vos
narrations
. C’est par là que le narrateur entraîne son lecte
lecteur jusqu’au dénoument, sans fatigue et sans ennui. 5. Modèle de
narration
. — Voici par exemple un sujet de narration histor
sans ennui. 5. Modèle de narration. — Voici par exemple un sujet de
narration
historique, traité avec une vivacité d’imaginatio
i résument tout ce qui se rapporte ù la description, au tableau, à la
narration
et à la fable : I. Choisir pour tes faîte entrer
u tableau un mouvement dramatique. IV. Discerner dans le sujet d’une
narration
le nœud, les péripéties et le dénoument. V, Le n
être clair, les péripéties vives, le dénoument vraisemblable. VI. La
narration
n’est intéressante que si elle évite toutes les l
annales des concours, c’est un discours heureusement encadré dans une
narration
historique. 6. Modèle de discours. Dion Chrysosto
Sans cette sobriété, qui dépend du tact et du goût de l’historien, la
narration
devient prolixe et diffuse : tout ce qui ne va pa
séparés et multiples, ne peuvent tous être conduits de front. § V.
Narration
historique. Style. La narration historique veu
us être conduits de front. § V. Narration historique. Style. La
narration
historique veut être vive et rapide ; elle doit m
toire peut avoir six parties, qui sont : l'exorde, la proposition, la
narration
, la confirmation, la réfutation et la péroraison.
ue. La proposition peut être renfermée dans l'exorde, ou terminer la
narration
; elle indique aux juges l'objet de la discussion
s propositions doit être entière, une, précise, claire et graduée. La
narration
est l'exposition d'un fait : elle doit être assor
de la cause. Narrer, c'est raconter une chose vraie ou fausse, et la
narration
doit être claire, courte, vraie ou vraisemblable.
rièveté consiste à ne rien dire de trop où de déplacé. Le style de la
narration
varie suivant le sujet que l'on traite : la tragé
doit prouver clairement la vérité du fait présenté par l'exorde et la
narration
: les preuves doivent être appuyées sur des lois
a voix. L'exorde veut, ordinairement, un ton naturel et peu élevé. La
narration
doit être prononcée distinctement et sans affecta
ns ? Quelle doit-être la division des propositions ? Qu'est-ce que la
narration
? Quel est l'objet de la confirmation ? Quel est
poëte ni le grand orateur. L'heureux enchaînement de l'exorde, de la
narration
et des autres parties du discours oratoire ; la p
age, ne se ressente point d'un travail quelquefois pénible, et que la
narration
des faits particuliers ou épisodes ne fasse point
s plantes, etc, L'instruction ou moralité peut être renfermée dans la
narration
on en être détachée. Ce qui rend la fable si sédu
emps de l'action principale, depuis le point d'où part le héros ou la
narration
, ne peut être de plus d'un an, mais le poëme peut
a vérité des événements et des caractères ; elle inspire par une pure
narration
la plus solide morale, sans moraliser ; sa dictio
comptaient six parties du discours : Exorde, Proposition et Division,
Narration
, Confirmation, Réfutation et Péroraison. Cette di
prévenir les moindres commencements de division et de trouble. » 3°
Narration
. — La Narration est le récit des faits. Elle n’es
indres commencements de division et de trouble. » 3° Narration. — La
Narration
est le récit des faits. Elle n’est guère une part
d les faits sont connus, il n’y a plus de récit. Dans le discours, la
narration
, qui devient un moyen de persuasion et presque un
terminées par l’intérêt de l’orateur et de la cause. Trois sortes de
narrations
. — Narration historique. La narration de l’histor
l’intérêt de l’orateur et de la cause. Trois sortes de narrations. —
Narration
historique. La narration de l’historien n’est don
de la cause. Trois sortes de narrations. — Narration historique. La
narration
de l’historien n’est donc pas la même que celle d
ces deux maîtres de l’histoire, qui ont été des peintres immortels.
Narration
poétique. — Le poëte et l’orateur ont la liberté,
t, l’un ce qui ne plaît pas, l’autre ce qui peut nuire à la cause. La
narration
poétique orne ou imagine les événements. Elle sup
iter nos grands poëtes tragiques, auxquels on a reproché l’abus de la
narration
: combat de Rodrigue contre les Maures, des Horac
t autres ! Est-il besoin de rappeler, dans la comédie, les brillantes
narrations
des Fâcheux et du Menteur ? Narration oratoire.
ns la comédie, les brillantes narrations des Fâcheux et du Menteur ?
Narration
oratoire. — Il n’est pas permis à l’orateur d’ima
à l’orateur d’imaginer les faits et de créer, comme fait le poëte. La
narration
oratoire doit être vraie, quoique les grands orat
ervent à convaincre et à persuader. En un mot, elle plaide, ce que la
narration
historique ne fait pas. Hors du barreau, dans le
storique ne fait pas. Hors du barreau, dans le genre démonstratif, la
narration
oratoire change de caractère. Il ne s’agit pas de
fantaisies du dernier. On comprendra mieux encore la différence de la
narration
historique et de la narration oratoire, si l’on c
rendra mieux encore la différence de la narration historique et de la
narration
oratoire, si l’on compare ce récit de Bossuet à c
et la substance. L’exorde a préparé l’auditeur ; la proposition et la
narration
l’ont instruit et éclairé ; la confirmation lui m
hommes. « Le genre simple paraît convenir plus particulièrement à la
narration
et à la preuve. Son caractère principal est la cl
à peu près réunies. Cicéron en fournit un exemple remarquable dans la
narration
et la confirmation de son discours pour Milon.
fermer jusqu’à six parties différentes : l’exorde, la proposition, la
narration
, la confirmation, la réfutation et la péroraison.
dant ces six parties ne se rencontrent pas dans tous les discours. La
narration
et la réfutation conviennent principalement au ba
sentées avec affectation et mauvais goût. Article troisième. De la
narration
oratoire18. 183. La narration oratoire est l’e
is goût. Article troisième. De la narration oratoire18. 183. La
narration
oratoire est l’exposé d’un ou de plusieurs faits
t l’exposé d’un ou de plusieurs faits à l’appui d’une proposition. La
narration
oratoire diffère beaucoup de la narration histori
appui d’une proposition. La narration oratoire diffère beaucoup de la
narration
historique. « L’historien, dit Crevier, uniquemen
les passe même entièrement sous silence. » 184. Dans un discours, la
narration
peut se présenter sous trois formes différentes.
pportent. D’autres fois, le discours tout entier n’est qu’un tissu de
narrations
accompagnées des réflexions convenables au but qu
causes judiciaires, comme le plaidoyer contre Verrès. Dans ce cas, la
narration
constitue le fond perpétuel de tout l’ouvrage, et
ut entier sur un fait, comme dans les causes judiciaires, et alors la
narration
fait vraiment une partie distincte qui a ses règl
une partie distincte qui a ses règles à part. C’est là proprement la
narration
judiciaire dont nous allons expliquer le caractèr
aire dont nous allons expliquer le caractère et les qualités. 185. La
narration
judiciaire se place naturellement après l’exorde,
ur la Couronne et Cicéron dans sa Milonienne. 186. Le grand art de la
narration
judiciaire consiste à préparer l’esprit des juges
de tous les moyens qui seront employés dans la suite du discours. Une
narration
ainsi faite produira plus d’effet et d’impression
ffet et d’impression que les arguments les plus solides. Car, dans la
narration
, l’auditeur tire lui-même la conséquence et s’y a
e manière démonstrative, les rhéteurs exigent quatre qualités pour la
narration
judiciaire : la clarté, la brièveté, la vraisembl
té, qui est nécessaire dans toutes les parties, l’est surtout dans la
narration
, parce que c’est de là que doit partir la lumière
ur sera perdu. Narratio obscura totam obcæcat orationem (Cic.). « La
narration
sera claire, dit Quintilien, si l’orateur disting
it dans un seul mot. 190. La vraisemblance, dit Cicéron, exige que la
narration
s’accorde avec le caractère et les intérêts des p
e vrai peut quelquefois n’être pas vraisemblable. 191. Pour rendre la
narration
intéressante, l’orateur s’efforcera d’attacher so
ais désagréable et escarpé. Tous les rhéteurs ont cité pour modèle la
narration
de la Milonienne, et il est vrai qu’elle est un c
ue doivent se former de jeunes chrétiens. Nous aimons mieux citer une
narration
de Lally-Tollendal (Voir le nº xv). Article qu
ts qu’on peut employer, sur les idées qu’on veut faire entrer dans la
narration
, la réfutation et la péroraison, voir non seuleme
le style simple s’emploie dans la proposition et la division, dans la
narration
judiciaire, dans la discussion des preuves et des
homme puissant qui sauvait le peuple d’Israël ! » (Fléchier.) XV.
Narration
oratoire. — Lally-Tollendal raconte le procès et
n’a-t-il pas de grandes autorités contre lui ? 183. Qu’est-ce que la
narration
oratoire, et en quoi diffère-t-elle de la narrati
Qu’est-ce que la narration oratoire, et en quoi diffère-t-elle de la
narration
historique ? 184. Sous combien de formes la narra
re-t-elle de la narration historique ? 184. Sous combien de formes la
narration
peut-elle se présenter dans un discours ? 185. Où
rration peut-elle se présenter dans un discours ? 185. Où se place la
narration
judiciaire ? 186. En quoi consiste le grand art d
ce la narration judiciaire ? 186. En quoi consiste le grand art de la
narration
judiciaire ? 187. Quelles sont les autres qualité
la narration judiciaire ? 187. Quelles sont les autres qualités de la
narration
judiciaire ? 188. Qu’est-ce que la clarté de la n
lités de la narration judiciaire ? 188. Qu’est-ce que la clarté de la
narration
, et quelle est sa nécessité ? 189. En quoi consis
et quelle est sa nécessité ? 189. En quoi consiste la brièveté de la
narration
? 190. Que demande la vraisemblance dans la narra
brièveté de la narration ? 190. Que demande la vraisemblance dans la
narration
? 191. En quoi consiste l’intérêt de la narration
aisemblance dans la narration ? 191. En quoi consiste l’intérêt de la
narration
judiciaire ? 192. Qu’est-ce que la confirmation,
artie, ch. I, art. ii ; Blair, 4e partie, leç. xxxi ; Marmontel, art.
Narration
; Leclerc, 2e partie, art. iii ; Lefranc, Rhétori
ire de superflu dans le récit des faits ; c’est le moyen de rendre la
narration
vive, pleine de force et de dignité ; c’est le mo
constamment le lecteur toujours distrait ou volage. Que le fil de la
narration
ne soit jamais rompu, mais que tous les faits y s
ujet plus que de l’historien. Les images vives, les descriptions, les
narrations
animées figurent avec plus de succès dans l’histo
rs à la naissance de Jésus-Christ sont appelés l’Ancien Testament. La
narration
des quatre évangélistes et les Actes des apôtres,
ants sont traités avec la même simplicité que les récits sublimes. La
narration
du Nouveau Testament a le même caractère. En un m
de plus grand, de plus noble, de plus vif, de plus varié, dans aucune
narration
. Celle-ci contient les principes et les développe
ant l’instruction au récit de ces vertus. La morale doit naître de la
narration
des faits, sans l’interrompre, sans l’étouffer so
eilleux. Ce moyen, employé avec art et discernement dans l’exorde, la
narration
ou la péroraison, est souvent plus puissant que l
rs du barreau et les plaidoyers ont deux parties de plus, savoir ; la
narration
qu’on place après l’exorde, et la réfutation qu’o
’être. Cicéron, dans son plaidoyer pour Milon, ne fait pas marcher la
narration
immédiatement après l’exorde. Il insère entre deu
orable au but que l’orateur s’est proposé. Chapitre V. De la
Narration
. Définition de la narration. Son importanc
proposé. Chapitre V. De la Narration. Définition de la
narration
. Son importance. La narration judiciaire, la s
la Narration. Définition de la narration. Son importance. La
narration
judiciaire, la seule dont il soit ici question, e
fons est narratio. (Cic., de Orat., l. II, n°. 330.) Qualités de la
narration
. Quintilien enseigne que la narration doit être
II, n°. 330.) Qualités de la narration. Quintilien enseigne que la
narration
doit être courte, claire et vraisemblable. Brevis
mais à dire tout ce qu’il faut et rien de plus. » (Loc. cit.) « La
narration
sera courte, si elle ne remonte pas plus haut, et
tant, dans un autre endroit, que les détails sont bien placés dans la
narration
, lorsqu’ils ajoutent à la clarté, à la probabilit
s ajoutent à la clarté, à la probabilité et à l’intérêt du fait. « La
narration
, dit-il, est plus vraisemblable et plus facile à
int à la brièveté du récit. Voulez-vous paraître court, même dans les
narrations
les plus longues, semez-y à propos quelques ornem
narrations les plus longues, semez-y à propos quelques ornemens. « La
narration
, pour être courte, ne doit pas manquer de grâces
a certains artifices qui servent à dissimuler quelques parties d’une
narration
qui se prolonge, tels que la figure appelée prété
clarté doit régner dans tout le discours, mais principalement dans la
narration
. Celle-ci est la base du plaidoyer ; c’est d’elle
io obscura totam obcœcat orationem. (De Orat., l. II, n. 329.) « La
narration
sera claire, dit Quintilien, si l’orateur disting
entendue, c’est moins à cause de l’obscurité que de la longueur de la
narration
. » (De inv. Rh., loc. cit.) L’ordre que Cicéron
ute matière pour la clarté des idées, appartient essentiellement à la
narration
. La vraisemblance. 3°. Quand on dit que le réci
e des auditeurs. (Cic., de inv. Rh. loc. cit.) Le moyen de rendre la
narration
vraisemblable, dit Quintilien, c’est de se consul
irer le désir du succès de la cause. Selon Quintilien, « le but de la
narration
n’est pas moins de persuader que d’instruire. »
l’intérêt qui vient de la manière de raconter, Quintilien veut que la
narration
soit ce qu’il appelle jucunda, c’est-à-dire, qu’e
roraison. » (Loc. cit.) Il faut cependant excepter de cette règle les
narrations
où il s’agit de choses si petites et si peu impor
rté et la précision sont les seuls ornemens qui leur conviennent. La
narration
doit présenter les faits d’une manière favorable
est un art qu’on pourrait regarder comme une cinquième qualité de la
narration
; une certaine adresse à arranger les circonstanc
s’il n’y a rien de plus difficile et de plus important dans toute la
narration
. Quand l’historien raconte un fait, il n’a pour b
tout ce que l’action de Milon pouvait avoir d’odieux. L’art dans la
narration
doit être caché. Mais l’art n’est jamais plus pa
lorsqu’il est dissimulé. Quintilien cite à ce sujet un endroit de la
narration
du plaidoyer pour Milon. Son défenseur voulait qu
ssinat ! Évitez donc que l’art se montre ; mettez du naturel dans vos
narrations
. Votre but est de vous rendre croyable ; or n’est
ne paraître occupé que du désir de briller et de plaire ? Toutes les
narrations
de Cicéron sont pleines de naturel et d’adresse.
tout dans les deux qui ont pour titre De Signis et De Suppliciis. La
narration
est-elle nécessaire ? Faut-il qu’il y ait une na
pliciis. La narration est-elle nécessaire ? Faut-il qu’il y ait une
narration
dans un plaidoyer ? doit-elle suivre immédiatemen
aît déjà le fait par l’exposé de l’adversaire, il n’y a pas matière à
narration
. Doit-elle suivre l’exorde ? Si des préventions
ir forment des questions préalables, et demandent un préliminaire, la
narration
sera utilement différée. C’est ainsi qu’en use Ci
t différée. C’est ainsi qu’en use Cicéron, dans la milonienne. De la
narration
dans le panégyrique et les discours de la tribune
discours de la tribune. Nous avons parlé jusqu’ici uniquement de la
narration
judiciaire ; il est bon de savoir qu’on peut en a
bon de savoir qu’on peut en appliquer les principes à toute sorte de
narration
oratoire. En général, la narration doit se traite
uer les principes à toute sorte de narration oratoire. En général, la
narration
doit se traiter dans le goût du genre auquel elle
iscours à chacun de ces trois genres de style : l’exorde au moyen, la
narration
et la preuve au genre simple ; la péroraison au g
ge quelconque, puisqu’on peut placer un trait sublime dans une simple
narration
, puisqu’on peut et qu’on doit même écrire des mor
ans la louange, où il s’agit d’amplifier avec magnificence ; dans une
narration
qui demande plus de pompé et de dignité que de ch
e sont point l’expression des passions énergiques. Il s’ensuit que la
narration
tranquille admet des comparaisons fréquentes ; qu
qui veut persuader ne se contente point d’indiquer les faits par une
narration
froidement exacte, mais par le prestige de l’éloq
art et de pompe Fénélon trouve que rien n’est moins naturel que cette
narration
. (Lett. à l’Acad. franç.) Au reste, cette faute,
Selon Quintilien, les différentes parties du discours, l’exorde, la
narration
, la preuve et la péroraison, se prononcent différ
point d’équivoque sur le choix des moyens propres à y parvenir. A la
narration
, La narration se prononce communément d’un ton s
ue sur le choix des moyens propres à y parvenir. A la narration, La
narration
se prononce communément d’un ton simple et famili
Les parties du discours qui en demandent le moins sont l’exorde et la
narration
. Celle-ci surtout, car il n’y a point de raison p
n des preuves ibid. Chap. IV. De la péroraison 163 Chap. V. De la
narration
167 Chap. VI. De la réfutation 175 Appendice.
Dans les discours du barreau. Précepte fondamental. Définition de la
narration
. Son importance. Qualités de la narration. La bri
ndamental. Définition de la narration. Son importance. Qualités de la
narration
. La brièveté. La clarté. 1. M. Delamalle a très-
s oratoires. (L. II, c. 3.) La vraisemblance. Intérêt et agrément. La
narration
doit présenter les faits d’une manière favorable
présenter les faits d’une manière favorable à la cause. L’art dans la
narration
doit être caché. Le ministère public ne narre pas
seur. Une cause trop chargée doit se partager en plusieurs récits. La
narration
est-elle nécessaire ? Doit-elle suivre l’exorde ?
La narration est-elle nécessaire ? Doit-elle suivre l’exorde ? De la
narration
dans le panégyrique et les discours de la tribune
que partie du discours n’est pas le même. Ton propre à l’exorde, A la
narration
, A la preuve, A la péroraison. Ton qui convient a
velles, il est important de se souvenir qu’une lettre n’est point une
narration
. Il faut raconter avec simplicité et allier dans
piquants, on n’écrira plus une lettre de nouvelles, mais on fera une
narration
épistolaire dont nous parlerons à l’article de la
fera une narration épistolaire dont nous parlerons à l’article de la
narration
. Les réponses aux lettres de nouvelles sont des
eux ; et ce moyen, employé avec art et discernement dans l’exorde, la
narration
ou la péroraison, est souvent plus puissant que l
est susceptible. Mais le pathétique n’est pas exclus pour cela de la
narration
ni de la confirmation. Si, dans tout le corps de
de la manière de le traiter. Si donc le fait que vous exposez dans la
narration
est grand, atroce, digne de pitié, si les moyens
ir : l’exorde, la proposition (où la division se trouve comprise), la
narration
, la preuve ou confirmation, la réfutation, la pér
tances. L’orateur peut, selon le besoin de sa cause, commencer par la
narration
, ou par quelque argument solide, ou par la lectur
ssitôt après l’exorde, il arrive à la preuve, et la fait suivre de la
narration
; il peut se permettre quelques autres changement
s pouvez revenir à l’idée principale de cet exorde supprimé. Quand la
narration
vous paraîtra peu favorable à la cause, vous mett
être encore, ou trop brillant, ou trop long, ou peu d’accord avec la
narration
; enfin, il est défectueux toutes les fois qu’il
ceux qui font tant d’efforts pour se rendre ridicules ? III. De la
narration
. La narration, dans le discours, est l’exposit
t d’efforts pour se rendre ridicules ? III. De la narration. La
narration
, dans le discours, est l’exposition du fait assor
aidoyer de Lysias sur le meurtre d’Ératosthène72 : Le grand art de la
narration
consiste donc à présenter le germe de tous les mo
lorsqu’il est dissimulé. Quintilien cite à ce sujet un endroit de la
narration
du plaidoyer pour Milon. Son défenseur voulait qu
faits sous un point de vue favorable, est la principale qualité de la
narration
oratoire. Les rhéteurs en assignent quatre autres
rièveté, et, si la matière le permet, l’intérêt et l’agrément. 1º. La
narration
doit être claire. La clarté est un devoir de tout
tout le discours ; mais elle est particulièrement nécessaire dans la
narration
, parce que c’est de là que doit partir la lumière
st indispensable à la clarté, à la vraisemblance, à l’intérêt. 2º. La
narration
doit être vraisemblable. Le vrai même, pour être
actions surtout qu’il convient de caractériser les personnes. 3º. La
narration
doit être courte. Mais Aristote dit avec raison q
dit avec raison que ce n’est pas une qualité qui convienne plus à la
narration
qu’à l’exorde ou à la preuve77. La brièveté qu’on
s néanmoins traiter de superflus des ornements placés à propos : « La
narration
, dit Quintilien79, pour être courte, ne doit pas
ait grave, d’une action qui fixe tous les regards, vous rendrez votre
narration
attachante en peignant avec chaleur et vérité ; v
n style pompeux et des ornements recherchés ne conviennent point à la
narration
judiciaire. C’est surtout à notre barreau, c’est
ège tendu à son intégrité. Que le naturel fasse donc le charme de vos
narrations
: le naturel est tout ; toujours vrai, toujours a
ne paraître occupé que du désir de briller ? (Quintilien, IV, 2.) La
narration
milonienne nous donnera encore un exemple d’un ré
ses, est comme l’âme de l’éloquence. Nous avons supposé jusqu’ici une
narration
unique dans la cause. Mais il est des causes char
isément. Cicéron en présente d’excellents modèles dans les nombreuses
narrations
des Verrines et dans le plaidoyer pour Cluentius.
if, lorsque celui qui propose de délibérer a rendu compte du fait, la
narration
devient inutile. Mais comme les exemples sont d’u
t il prétende s’autoriser ; et il y suivra les règles générales de la
narration
oratoire. Dans le genre démonstratif, les discour
ns le genre démonstratif, les discours ne sont souvent qu’un tissu de
narrations
accompagnées des réflexions et des sentiments qui
du genre les exige même, et les rend nécessaires82. Un beau modèle de
narration
oratoire est le morceau suivant de l’oraison funè
sur le ton du discours les morceaux de dignité, de démonstration, de
narration
, de plaisanterie… Le ton de la dispute peut être
à tour et sans confusion vos preuves dans l’esprit des auditeurs. La
narration
exige des inflexions plus variées, qui représente
ons naturellement de ceux que nous voulons instruire et persuader. La
narration
admet volontiers la même attitude, la même physio
ait composer, comme on le voit dans ses Exercices, des apologues, des
narrations
, des chries ou développements, des sentences, des
). Les exercices recommandés par Quintilien (II, 5 ; X, 5, etc.), les
narrations
, les lieux communs, les parallèles, les thèses, l
re quelques-uns des genres que repoussait la gravité romaine. Fables,
narrations
, discours mêlés de récits, lettres, portraits, pa
d’antiquités, ne les trouvez-vous pas épars dans la harangues ou les
narrations
dramatiques des historiens d’Athènes ou de Rome ?
reste de la phrase. 5. Toutes les fois qu’on pourra insérer dans une
narration
, un petit discours, un court dialogue, il faudra
Tout le monde en est affligé — … Avis. Une nouvelle n’est point une
narration
. Soyez court. N° 20. — Le maréchal de Luxembou
bassadeur de France, m’a tout raconté — … « Il reprenait le fil de sa
narration
… quand un convié lui dit. « Vous parlez à Séthon.
Voyez si jusqu’au dernier mot vous avez été intéressé et recréé.
Narrations
. Avis. Dans les canevas qui vont suivre, l’él
er. Par le travail qu’il a déjà fait, il aura bientôt remarqué que la
narration
est un composé des divers genres qu’il a étudies.
apprendre à bien distinguer l’exposition, le nœud et le dénouement.
Narrations
historiques. → Préceptes du genre, tome 1er, p
tes du genre, tome 1er, page 261. COMPOSITIONS. NOTE. Les canevas des
narrations
historiques devant exposera peu près complètement
Les païens admirèrent tant de courage, surtout dans une femme — …
Narrations
poétiques → Préceptes du genre, tome 1er, page
imé, et le misérable s’engloutit en me jetant une malédiction — …
Narrations
badines → Préceptes du genre, tome 1er, page 2
tes du genre, tome 1er, page 265. COMPOSITIONS Note. Les canevas des
narrations
badines seront plus secs que les précédents. L’él
et parut devant le tyran — … celui-ci raconte son songe -… NOUVELLE
NARRATION
. (Forme épistolaire) Exposition. Je dormais — …
— … et atteignis avec la fin du jour le terme de mon pèlerinage.
Narrations
mixtes →Préceptes du genre, tome 1er, page 266
se. Puis ils se jettent à la mer. L’orage s’apaise. Avis. Dans cette
narration
, comme dans la précédente et dans les suivantes,
ions te généreux chevalier. Avis. Pour donner plus d’intérêt à cette
narration
, vous ferez, avant l’exposition, une petite descr
le, vous reproduirez une partie de cette note dans l’exposition de la
narration
suivante. Le jeune peintre Robert voulant visiter
trie d’Euripide sera sauvée, et celle gloire est due à la poésie.
Narrations
épistolaires → Préceptes du genre, tome 1er, p
ui amputa le bras, et ce brave homme demanda à être pensionné — …
Narrations
. Légendes → Préceptes du genre, tome 1er, page
les passants de rebrousser chemin — … Avis. Vous suivrez pour cette
narration
la disposition dramatique en commençant par le nœ
e c’est un des secrets du style. Fond. A quel genre appartient cette
narration
? Considérez là sous le rapport de l’invention et
e et se rendre à la cour de Thésée. BALLANCHE Fils. Avis. Voilà une
narration
un peu longue ; il ne faut pas songer à donner la
ez aucune attention aux tropes, car vous avez sous les yeux moins une
narration
qu’une suite de mouvements oratoires. Vous vous a
é l’esprit à ta disparition d’Œdipe. Fond. Quel genre réclame cette
narration
, ou commence, où finit le nœud ? Le dénouement es
rayeur. Tour finir votre analyse, vous raconterez cette anecdote.
Narrations
oratoires → Préceptes du genre, tome 1er, page
allez pas annoncer, en répétant cette expression, le dénouement de la
narration
. 109. Ne touchez pas à ces deux phrases. 110. V
qui forme une composition à part, une œuvre distincte. C’est donc la
narration
ou le récit qui forme le fondement et la base de
stingue le genre épique des autres poèmes ? Le genre épique ayant la
narration
ou le récit pour base essentielle, se distingue p
certaines actions secondaires, certains incidents introduits dans la
narration
, et liés à l’action principale, qui ont pour but
cain, dans l’enceinte de la vérité historique, au risque de rendre sa
narration
sèche et aride ; ou, s’il ose aller au delà, comm
orde généralement à dire que depuis le moment où le poète commence sa
narration
, ce temps ne doit pas s’étendre au delà d’une ann
l’action soit arrêtée dans sa marche : Soyez vif et pressé dans vos
narrations
. Ainsi le style du poète, se resserrant tout à c
s que par la nature des devoirs à faire. On faisait des thèmes ou des
narrations
en seconde, on fera ici des discours latins et de
orer. Comment ! un élève quittera le collège connaissant l’exorde, la
narration
, la confirmation et la péroraison, ou sachant trè
éduire à ses plus simples éléments. J’ai placé ensuite des modèles de
narrations
, de dissertations et de discours, les différents
er la nature de l’exorde. De l’exposition, de la division et de la
narration
. Quand l’orateur s’est assuré la bienveillance
enté pour les prévenir. À côté de l’ exposition se place également la
narration
, c’est-à-dire, le récit des faits qui se rattache
ans les autres parties du discours. Nous citerons, comme un modèle de
narration
oratoire, un passage de Bossuet où se trouve raco
voir pratiqué. Le premier exercice qui se présente, c’est celui de la
narration
. Il faut habituer les jeunes gens à bien voir les
s et donner des exemples de ces trois espèces d’exercices. I. De la
narration
. La narration est l’exposition d’un fait, acco
xemples de ces trois espèces d’exercices. I. De la narration. La
narration
est l’exposition d’un fait, accompagné de toutes
utes les circonstances qui en dépendent. Il ne s’agit point ici de la
narration
qui fait une partie essentielle du discours ; mai
de la narration qui fait une partie essentielle du discours ; mais la
narration
considérée comme œuvre séparée, comme constituant
seule une composition, est soumise à peu près aux mêmes règles que la
narration
oratoire. Aussitôt que les élèves ont sous les ye
nalogue à son sujet, il doit coordonner les différentes parties de sa
narration
. Ce second travail exige la plus grande attention
nature du sujet, simple, élégant, familier, véhément, etc. Une bonne
narration
doit être : 1° Claire. C’est la loi suprême de to
peine d’écrire ou de parler, si l’on ne veut point être compris, « La
narration
sera claire, dit Cicéron, si l’on emploie un styl
contre Paris, ou que Minerve s’entendît avec Hélène. 3° Complète. Une
narration
ne doit rien contenir de superflu ; mais elle ne
sion, et qu’il soit complet sans être minutieux. 4° Intéressante. Une
narration
pourrait être claire, vraisemblable, complète, et
s le premier mot jusqu’au dernier. Nous distinguerons trois genres de
narrations
: le genre élevé, le genre tempéré et le genre si
ue l’on met en scène. Nous allons présenter aux élèves des modèles de
narration
dans les trois genres ; et, afin de bien montrer
qui présenteront en peu de mots l’analyse des faits développés. I.
Narration
dans le genre élevé. La bataille de Rocroy. A
incus, il rend grâces à Dieu de la victoire qu’il vient de remporter.
Narration
. « À la nuit qu’il fallut passer en présence des
aincre celui de pardonner. Ce qui ajoute encore à la beauté de cette
narration
, c’est la simplicité énergique et majestueuse du
tré poëte et guerrier, sans cesser d’être orateur et chrétien. II.
Narration
dans le genre tempéré. L’incendie d’Ancône. Ar
r à la reconnaissance publique, et disparaît avec le comte d’Erfeuil.
Narration
. « Lord Nelvil avait fixé son départ pour Rome au
à la poste. » (Madame de Staël, Corinne ou l’Italie, liv. I.) III.
Narration
dans le genre simple. Jeannot et Colin. Argum
de Colin, et trouva le bonheur dans le travail et dans la médiocrité.
Narration
. « Plusieurs personnes dignes de foi ont vu Jeann
II. De la dissertation ou pensée à développer. L’exercice de la
narration
est très-propre à former l’imagination des jeunes
s un mode d’exercice plus grave, mais aussi important que celui de la
narration
. C’est un service à rendre aux élèves, que de les
ncipes solides dont ils puissent un jour se servir, et de joindre aux
narrations
quelques dissertations sur les principales vérité
avance les objections qu’on pourrait y faire. Mais ici, comme dans la
narration
, le bon sens nous avertit d’être complets sans êt
ouronné par l’Académie française en 1755.) Nous allons, comme pour la
narration
, confirmer par des exemples les principes que nou
e plus difficile et le plus important des exercices de rhétorique. La
narration
développe surtout l’imagination ; la dissertation
remis de la gaieté qu’elle inspire, j’appellerai l’attention sur une
narration
d’un genre opposé, sur un récit aussi triste, aus
ssant pour reposer l’esprit et non pour lui faire perdre le fil de la
narration
. Ils doivent aussi offrir des objets différents d
égnait plus. Ce n’était plus ce prince, etc. C’est là le début de la
narration
. Le récit épique parcourt alors les temps, les li
s inventions, il doit toujours conserver les qualités générales de la
narration
, savoir la brièveté, la clarté, la vraisemblance
les tours, les allusions, les allégories, etc. Mais ce qui rend cette
narration
particulièrement difficile, c’est le genre de sty
faire connaître l’art du poète dans les choses ; puis son art dans la
narration
, puis son art dans son style et dans ses vers 139
u corps de l’ouvrage. — argumentation, confirmation, réfutation La
narration
et les genres que nous y avons rattachés, descrip
nœud de la controverse ou de la cause. Toute discussion, comme toute
narration
, a son point culminant. C’est là que doivent se c
lement à tous les trois. Il est évident, en effet, que les lois de la
narration
ou de la description ne sont pas celles de l’argu
ies de l’art oratoire. Il n’a pas un seul plaidoyer, peut-être, où la
narration
ne soit traitée avec une supériorité qu’on ne sau
raitée avec une supériorité qu’on ne saurait trop admirer. Mais si la
narration
exige ici plus de concision, l’argumentation, dev
le. 1. C’est le nom d’une petite ville d’Indre-et-Loire. 2. Cette
narration
est vivement menée ; mais, en général, il ne faut
on air ouvert, sa pointe de vanité. 1. Cette lettre est un modèle de
narration
habilement composée. Remarquez-y l’art de choisir
que le dialogue narratif ou dramatique doit, ainsi que le drame et la
narration
elle-même, avoir un objet, tendre à un but, aller
rêter sur l’épistolographie, terminons ce que nous avons à dire de la
narration
et des formes qui s’y rattachent, par quelques re
t avec raison M. Gouniot (Nouvel exposé de la composition littéraire,
narration
et description), est insuffisant ; le portrait mo
on esprit. Les discours de Tite-Live diffèrent considérablement de sa
narration
, et cela doit être ainsi ; il en est de même de T
ers, dans ces circonstances, une manière plus libre et plus large. La
narration
historique peut être belle, soit que le génie de
juges favorables, l’arrangement distinct des faits, l’agrément de sa
narration
, la conduite et l’exposition de ses arguments, of
rtout sa vigueur. Il a eu soin de l’annoncer dans l’exorde et dans la
narration
. Quand, après les moyens, il résout les difficult
les appuis de sa cause sont écartés ou repoussés. » À l’égard de la
narration
et de l’argumentation, j’en parlerai par la suite
iscours régulier. Je me bornerai actuellement à faire observer que la
narration
des faits au barreau doit être aussi concise que
Construction du discours dans toutes ses parties. Introduction,
narration
, explication. J’ai traité dans les chapitres p
de six : l’exorde ou introduction, le sujet ou division du sujet, la
narration
ou explication, l’argumentation pour établir ou r
par les paroles de l’orateur. La quatrième partie du discours est la
narration
ou explication du sujet ; je les réunis parce qu’
pour émouvoir les passions de ses auditeurs. Dans les plaidoiries, la
narration
est souvent une partie très importante du discour
as toujours facile de narrer avec grâce et lucidité, il y a, dans les
narrations
du barreau, une difficulté particulière. L’orateu
ut ce qui peut lui préjudicier, sont les conditions nécessaires de la
narration
: elles exigent beaucoup de sagacité et d’habilet
videantur. Une autre difficulté qu’éprouve souvent l’avocat dans la
narration
des faits, est de rendre compte, d’une manière cl
ui peuvent seuls enseigner les moyens de dissimuler la longueur de la
narration
, ou de la rendre moins fastidieuse. La clarté, la
ont les conditions que les critiques demandent principalement dans la
narration
; chacune d’elles entraîne suffisamment avec elle
les parties du discours ; mais elle est surtout indispensable dans la
narration
, lui doit jeter de la lumière sur tout ce qui sui
e tous les arguments et de tous les raisonnements de l’orateur. Si la
narration
est invraisemblable, le juge n’y fera pas attenti
arté, outre l’étude des règles générales que nous avons indiquées, la
narration
exige une attention particulière pour fixer clair
x et chaque circonstance naturelle des faits racontés. Pour rendre la
narration
probable, il est nécessaire d’entrer dans quelque
te les circonstances superflues ; par cela seul vous donnerez à votre
narration
plus de nerf et plus de clarté Toutefois la brièv
e clarté Toutefois la brièveté, qui est une qualité essentielle de la
narration
, ne doit être que relative. « Si l’on appelle bri
vérité du précepte de ce grand maître. Cicéron est un modèle dans la
narration
. Ses discours en offrent mille exemples remarquab
la narration. Ses discours en offrent mille exemples remarquables. La
narration
du célèbre discours pro Milone a été souvent et j
e voyage à la campagne. Quelle adresse dans le passage qui termine la
narration
. Les esclaves de Milon furieux, et voulant venger
avec beaucoup d’art ; on peut voir particulièrement un bel exemple de
narration
dans son mémoire pour M. le marquis d’Hautefort.
ort. Dans les oraisons de la chaire où il y a bien rarement matière à
narration
, l’explication du sujet la remplace ; elle doit a
Cicéron le prouve, par le récit même du fait, par ce chef-d’œuvre de
narration
dont nous avons déjà parlé, et qu’il nous tardait
et qu’il nous tardait de mettre sous les yeux de nos lecteurs. 2º
Narration
. 117« Interim quùm sciret Clodius (neque enì
ouvé le modèle nulle part, c’est l’art admirable qui règne dans cette
narration
. Comme toutes les circonstances y sont habilement
ion ; mais l’art de composer a deux branches principales, qui sont la
narration
et le discours. Considérée relativement à ces deu
autres préceptes de l’invention. 1. Invention narrative. Dans la
narration
on expose un fait, ou vrai ou supposé vrai. On pe
complir. Car, d’une part, si l’origine du fait n’était pas connue, la
narration
serait obscure ; mais il ne faut pas prendre cett
tales à la saine littérature, ils n’oubliaient jamais de suspendre la
narration
au moment où la curiosité était le plus vivement
le roman et l’histoire, la prose et la poésie, la dissertation et la
narration
, soit qu’il y ait disparate entre le genre d’espr
ce fondamentale entre le conte et le roman : l’un et l’autre sont des
narrations
mensongères ou regardées comme telles. Tout ce qu
t que conte est le terme générique, puisqu’il s’applique à toutes les
narrations
fictives, depuis les plus courtes jusqu’aux plus
s régulier, nous avons déjà examiné l’introduction, la division et la
narration
ou l’explication. Nous allons actuellement nous o
toutes les affaires de la vie. L’histoire n’est donc point une simple
narration
, faite pour plaire au lecteur en flattant son ima
uerre du Péloponnèse. L’auteur n’a pas en vue un objet principal ; sa
narration
est sans cesse coupée ; son histoire se divise pa
tiquité, en a fait une censure si sévère. L’historien, pour rendre sa
narration
plus agréable, ne doit pas s’écarter de l’ordre c
e comme épisodes, elles interrompent moins l’unité que ne le fait une
narration
toujours décousue. Parmi les modernes, le préside
rit, laisse soupçonner au lecteur qu’il ne cherche qu’à appuyer de sa
narration
quelque système particulier qu’il s’est formé d’a
éralement partagées ; c’est alors que l’historien peut interrompre sa
narration
pour se montrer, et se livrer quelques instants à
té. Examinons maintenant quelles sont les qualités essentielles d’une
narration
historique. Il est évident que la manière de raco
qu’à quel point telle manière peut être préférable à telle autre. Une
narration
historique doit être, avant tout, claire, bien di
toire est un genre de composition plein de noblesse et de dignité, la
narration
doit s’y soutenir constamment sur un ton grave. E
quelques phrases trop familières en l’intercalant dans le cours de la
narration
. Un historien qui n’est que profond, clair et gra
tôt même on ne lira plus du tout. Il doit donc s’attacher à rendre sa
narration
intéressante, et c’est là ce qui distingue princi
lui, et nous pourrions lui emprunter un grand nombre d’exemples d’une
narration
parfaite. Au commencement du neuvième livre (ch.
érie ; mais elles sont écrites avec tant d’esprit et de vivacité, les
narrations
y sont si agréables et si heureusement variées, o
e furent en général, tant en France qu’en Angleterre, que de frivoles
narrations
dans lesquelles l’instruction et la morale n’entr
nts du poète ; il écrivit en prose, et borna ses efforts à donner des
narrations
fidèles et judicieuses des événements dont il vou
de Rome, dont les comparaisons, par leur extrême étendue, coupent la
narration
d’une manière trop sensible, et laissent aisément
ujet ou l’action, ensuite les personnages ou les caractères, enfin la
narration
. L’action qui fait le sujet d’un poème épique doi
aussi vivement le lecteur et fixer autant son attention, qu’une seule
narration
où tout est lié, où les incidents se tiennent tou
bornes étroites de l’exacte vérité, au risque de ne présenter qu’une
narration
pleine de sécheresse ; car si, comme Voltaire, il
nées ; mais si nous mesurons seulement le temps compris dans la seule
narration
du poète, c’est-à-dire depuis l’époque où le héro
de réalités qui détruirait entièrement la vraisemblance du récit. La
narration
est le dernier objet qui nous reste à examiner. I
de son sujet, et de passer rapidement sur les autres dans une courte
narration
. Cette méthode est surtout préférable lorsque l’a
plir l’attente du lecteur. Ce qui est surtout bien important dans une
narration
, c’est qu’elle soit claire, animée et embellie de
e ; nous en examinerons successivement l’action, les caractères et la
narration
. Il est évident qu’on ne saurait mettre en questi
e peignit avec les sons d’une manière plus heureuse et plus vraie. La
narration
d’Homère est toujours concise, ce qui lui donne b
y sont trop nombreuses et souvent même elles coupent brusquement une
narration
ou interrompent mal à propos une description. La
que lui offrait naturellement son sujet, il interrompt le cours de sa
narration
pour introduire le long épisode de Marius et de S
onologique, ce qui l’a souvent contraint à interrompre le cours de sa
narration
, et transporter brusquement son lecteur d’un lieu
in ne consiste ni dans l’art de raconter ni dans l’art de décrire. Sa
narration
est souvent sèche et dure ; ses descriptions, don
s unes des autres les parties de son poème, et en coupant toujours la
narration
d’un incident par un autre incident, sans attendr
ventures à Calypso, sont la partie de l’ouvrage la mieux exécutée. La
narration
en est vive et intéressante ; elle devient ensuit
quelques épisodes ont sans doute une étendue suffisante, cependant la
narration
y est en général trop rapide ; les événements y s
discours. Les principales parties qui le composent, sont l’exorde, la
narration
, la confirmation et la péroraison. I. De l’Exor
lus hautement sa sagesse : ce sera la seconde partie ». II. De la
Narration
. Après l’exorde, vient la narration, qui consi
econde partie ». II. De la Narration. Après l’exorde, vient la
narration
, qui consiste à instruire l’auditeur du fond du s
faisant entrevoir le germe des preuves qu’il a dessein d’employer. La
narration
oratoire considérée comme le récit d’un fait, ou
de soin, en un mot, le style pompeux et magnifique. Un beau modèle de
narration
oratoire est le morceau suivant de l’Oraison funè
ait trouver parmi nous de la fidélité et de la justice ». Quoique la
narration
doive être simple, il y a cependant des occasions
ée, de chaque période, il trace celui de la douceur. Et ainsi pour la
narration
, la dissertation, le discours. Par là il se famil
modifier la pensée et le style, selon le caractère des genres divers.
Narrations
historiques ou fictives, mêlées parfois d’allocut
crit. Vous composez, par exemple, un roman. La forme naturelle est la
narration
; mais pour donner plus d’animation à votre style
e commence : début, exorde, exposition, prologue ; elle se poursuit :
narration
, confirmation, réfutation, nœud, développement ;
ître d’hôtel Villanova qui l’ont réalisée. J’excuse pourtant dans les
narrations
infinies du xviie et du xixe siècles, quand de
s autres membres dont se compose le corps de l’écrit ou du discours :
narration
ou thèse, description des choses, description des
entendez-vous bien ? ni plus ni moins) : l’exorde, la proposition, la
narration
, la confirmation, la réfutation, la péroraison, e
nce y étouffe. Aussi ai-je glissé légèrement sur la proposition et la
narration
. Arrivé à la confirmation… Le Juge. — Ah ! c’est
du récipiendaire, et enfin sa réception au sein de l’Académie. Cette
narration
est un petit chef-d’œuvre de brièveté, de goût et
yle au sujet. Chaque sujet a un style qui lui est propre. 1° Dans les
narrations
, par exemple, le style doit être uni, facile, nat
é ; rapide, quand il attache et entraîne. (Domairon.) Telle est cette
narration
empruntée de madame de Genlis, et intitulée : l’H
Minimes. Brantôme. La couleur locale répand un grand charme sur la
narration
, que nous signalons ici, et que nous devons à M.
aurais-je fait fidèle ? L’ellipse ajoute infiniment de vivacité à la
narration
, surtout à la narration familière. Ecoutez le com
L’ellipse ajoute infiniment de vivacité à la narration, surtout à la
narration
familière. Ecoutez le commencement d’un petit réc
stolaire. Enfin, après avoir posé les règles de la description, de la
narration
et de la dissertation, nous avons parlé de l’anal
res de style ; de la disposition et des parties du discours : exorde,
narration
, confirmation, péroraison. Ce n’est donc que dans
’en sépare d’abord en ce qu’elle a un mètre simple21 et que c’est une
narration
, puis par l’étendue, car la tragédie s’applique,
développant avec des personnages qui agissent, et non au moyen d’une
narration
, et opérant par la pitié et la terreur la purgati
ints, comme, par exemple, qu’est-ce que doit contenir l’exorde, ou la
narration
, ou chacune des autres parties d’un discours ; ca
urd’hui (les rhéteurs) établissent des distinctions ridicules, car la
narration
n’appartient, en quelque sorte, qu’au seul discou
t admettre que, pour le genre démonstratif et pour les harangues, une
narration
, telle qu’ils l’entendent, soit ou bien ce que l’
l’on établit de telles distinctions, ce que fait Théodore, on aura la
narration
, la narration additionnelle, la narration prélimi
e telles distinctions, ce que fait Théodore, on aura la narration, la
narration
additionnelle, la narration préliminaire, la réfu
e fait Théodore, on aura la narration, la narration additionnelle, la
narration
préliminaire, la réfutation et la réfutation addi
y avait à dire sur l’imputation calomnieuse. Chapitre XVI De la
narration
. I. La narration, dans les discours démonstrati
l’imputation calomnieuse. Chapitre XVI De la narration. I. La
narration
, dans les discours démonstratifs, ne se développe
(actions) célèbres ; aussi beaucoup de discours peuvent se passer de
narration
: par exemple, si tu veux louer Achille ; car tou
est ridicule de dire, comme quelques-uns le font aujourd’hui, que la
narration
doit être rapide. C’est comme cet individu à qui
e bien ? » Il en est de même ici. Il ne faut pas être prolixe dans la
narration
, pas plus qu’il ne faut l’être dans l’exorde, ni
ntraire dans le cas opposé. V. Il (te) faut intercaler, sous forme de
narration
, tout ce qui peut mettre en relief ton mérite. Ex
encore tout récit fait pour plaire aux juges. VI. Dans la défense, la
narration
est moins importante. Le point discuté alors c’es
trouve dans l’Énée 697. VIII. Les mœurs doivent jouer un rôle dans la
narration
. C’est ce qui aura lieu si nous voyons ce qui lui
tre chose que ce qui lui est avantageux. X. De plus, il faut, dans la
narration
, tirer parti des effets de pathétique, déduire le
us nous en faisons déjà pourtant une certaine idée. Il faut placer la
narration
sur plusieurs points de son discours et, quelquef
ême, au début. XI. Dans la harangue, il y a très peu de place pour la
narration
, parce que l’on n’a rien à raconter quand il s’ag
l’on n’a rien à raconter quand il s’agit de l’avenir ; mais, s’il y a
narration
, elle prendra son texte dans des événements passé
porte ni mœurs, ni intention. IX. Les sentences sont de mise dans une
narration
et dans la preuve ; car c’est un élément moral :
à plaire ; c’est surtout une forme d’instruction et de critique, une
narration
qui doit signifier clairement la vérité que l’on
s la fable ? Les qualités du récit dans l’apologue sont celles de la
narration
en général et principalement la brièveté et la cl
ncement de la fable, le lecteur a le plaisir, en suivant le fil de la
narration
, de juger si chaque trait se rapporte exactement
ur ce qui peut se faire, il bastit son ouvrage, laissant la véritable
narration
aux Historiographes qui poursuivent de fil en esg
s lois qui régissent les compositions secondaires. La description, la
narration
et la lettre ont été l’objet d’études très approf
Si, dans les sujets graves, austères, abstraits, comme les discours,
narrations
historiques, les définitions et portraits, son tr
’emphatique ; si enfin, dans les sujets légers, comme les fables, les
narrations
badines et les lettres, il sait saisir ces traits
jeune âge, comme les définitions philosophiques, les caractères, les
narrations
historiques, etc. Enfin par la troisième méthode
éthode on présente à l’élève un sommaire, dans lequel les faits d’une
narration
, les motifs d’un discours sont réduits à leur plu
. Je l’ai employée exclusivement pour les discours et quelques belles
narrations
. Puis, pour ne pas mettre à la torture l’esprit
a aussi que j’ai toujours séparé en trois paragraphes les canevas des
narrations
, pour indiquer clairement les trois parties de la
robe de chambre d’omelette . Cette image, un peu grotesque, égaie la
narration
. On peut regarder cette lettre comme une nouvelle
re comme une nouvelle. Elle serait digne, par ses détails, d’être une
narration
épistolaire. Guyet. Définitions. Modèl
et qui ne m’a caché aucune circonstance. » Il reprenait le fil de sa
narration
avec plus de confiance qu’il ne l’avait commencée
ion a été recréée jusqu’au dernier mot du dernier vers. Guyet.
Narrations
historiques. Modèles. N° 140. — Bat
rt une si étrange et si longue suite de tourments. St Eusèbe.
Narrations
poétiques. Modèles N° 150. L’Ange exi
ntendis pas, et qui retomba avec lui dans l’abîme. Victor Hugo.
Narrations
badines. Modèles. N° 164. — Le Chapea
our le terme de mon pèlerinage. Herder, trad. de M. Truenthal.
Narrations
mixtes. Modèles. N° 184. — L’hôpital A
on qu’elle avait accordée à son talent. Un Professeur de Paris.
Narrations
épistolaire. Modèles. N° 204. — L’hos
e ici : je pense que je suis folle : à quoi peut servir une si grande
narration
? Vraiment, j’ai bien satisfait le désir que j’av
e nourrir. » Je crois que vous me pardonnerez le peu d’ordre de cette
narration
, mais assurez-vous qu’elle est fort vraie. Racin
sus de l’échafaud. Louis Veuillot. Modèles de Décompositions de
Narrations
. N° 222. — Mort de Polyphonte. Forme. —
222. — Mort de Polyphonte. Forme. — Le tableau qui commence cette
narration
a un caractère sévère et grandiose. Il s’agit d’u
, et cet effet saisissant est dû à l’accumulation. Fond. Cette belle
narration
appartient au genre poétique ou fictif. Le récit
un gros de nos amis , et commence à : vous eussiez vu soudai. La
narration
peut se réduire ainsi : Au moment où Polyphonie
ste et la reine. Guyet. N° 223. — Mort d’OEdipe. Forme. Cette
narration
est surtout remarquable par les mouvements oratoi
e figurer à côté des plus beaux morceaux oratoires de l’antiquité. La
narration
ne pouvait se soutenir à cette hauteur. Le style
éparerait à la disparition complète de l’infortuné roi. Il y a peu de
narrations
aussi vigoureusement exposées. L’orateur s’y mont
triomphe du talent. Fond. Le genre poétique ou fictif réclame cette
narration
; à part les noms, tout est de l’invention de l’a
es que par la plus haute éloquence, l’éloquence sacrée. _ Guyet.
Narrations
oratoires. - Modèles. N° 244. — Batail
i la termine d’où la conclusion ou péroraison. » Il faut y joindre la
narration
qui, au besoin, narre les faits, la réfutation, q
de la lecture de quelque pièce. À la confirmation il fera succéder la
narration
, ou il commencera par la réfutation ; mais ces ch
pas que l’orateur n’échauffe et ne remue. » Chapitre III. De la
narration
. La narration, dans le discours, est le récit
r n’échauffe et ne remue. » Chapitre III. De la narration. La
narration
, dans le discours, est le récit ou l’exposé du fa
de Orat., II, 81). Le genre délibératif n’admet que par exception la
narration
: il en est autrement du genre judiciaire et du g
u genre démonstratif. Ses qualités. Les qualités générales de la
narration
sont la clarté, la brièveté, la vraisemblance. El
à qui on les attribue. Enfin, une qualité spéciale que doit avoir la
narration
, consiste en ce que les ornements, les agréments
r la vérité énoncée dans la proposition ou les faits racontés dans la
narration
. Elle est la partie la plus importante du discour
umante salo, quelle rapidité dans ces mots ! Jamque arva tenebant, la
narration
se presse avec les serpents. Ardentesque oculos,
ppées les preuves ; c’est, en d’autres mots, celui de l’exorde, de la
narration
, de la confirmation. 2º L’accent de la dispute :
amatique ; mais cette dénomination rigoureuse ne peut convenir ni aux
narrations
, ni aux descriptions10. 10. Le fonds de ces qua
, cette habile ordonnance de l’intrigue, ce ton naturel et vrai de la
narration
, cette satire de bon goût qui devait chasser de l
é. » 1. Ce courage, il faut bien l’avouer, n’est que déplorable. La
narration
de madame de Sévigné est excellente ; mais, quant
des différentes espèces de styles, et de l’application du style à la
narration
, à la dissertation et aux lettres. Il se termine
et il ne faut manquer à aucune convenance. Il n’y a rien à dire de la
Narration
et de la Description ; ce sont des exercices qu’o
ies et des ouvrages philosophiques, il préparait des chefs-d’œuvre de
narration
historique et il faisait connaître les découverte
arvenir en France, il raconte à son ami, dans une brève et pathétique
narration
, les événements qui se sont écoulés entre ces deu
oire de Charles XII est-elle, comme on le prétend, un chef-d’œuvre de
narration
? Et quelles sont les qualités d’une bonne narrat
chef-d’œuvre de narration ? Et quelles sont les qualités d’une bonne
narration
historique ? – Faire d’après Voltaire un portrait
ercher le vrai, il trouve le beau par surcroît. Nous n’avons point de
narration
plus aisée et plus rapide que l’Histoire de Charl
s au baccalauréat de l’enseignement moderne, et réciproquement. Telle
narration
traitée à l’École navale peut être dictée à un ca
bien que ce qu’il a ressenti lui-même ? – Montrer la différence de la
narration
historique et de la narration oratoire. – Que sav
ui-même ? – Montrer la différence de la narration historique et de la
narration
oratoire. – Que savez-vous de l’Académie français
érents genres, car la composition peut leur être donnée sous forme de
narration
, discours, dialogue, portrait, développement de p
eil, à son apparition, par des cris d’allégresse. Une partie de cette
narration
doit être faite en dialogue et en allocution. (Ce
mme un coquin. Vous direz la réponse du batelier. Une partie de cette
narration
est dialoguée. (Centre d’examen : Dunkerque.) le
d’examen : Rennes.) CONSEILS ET PLAN CONSEILS. Le sujet comporte une
narration
et un discours. Il doit donc être divisé en deux
qui mette la scène sous les yeux du lecteur. PLAN 1er Paragraphe. –
Narration
. – Décrire le groupe formé par les compagnons de
une allusion aux défaites des Autrichiens. fornoue. CORRIGÉ Voici la
narration
par M. J. Zeller dans son étude sur l’Italie et l
quand on se trouve en présence, non d’un récit imaginaire, mais d’une
narration
qui repose sur des événements réels. On s’expose
l avait, dans le texte, tous les éléments nécessaires pour rédiger sa
narration
. Il fallait se figurer un champ de bataille, l’am
e faire un devoir d’histoire, au lieu de rédiger une composition, une
narration
historiques. Le règne de Charles-Quint était conn
conduire l’armée contre les Germains. On pourra ne faire commencer la
narration
qu’au moment où les soldats en sont venus à senti
n pénétrer, les mettre en présence les uns des autres. Le style de la
narration
, du discours qui comporte certains ornements sera
induits souvent en erreur. Il indique que l’on aura à développer une
narration
ou une lettre le plus souvent historique, et, en
on nombre de jeunes gens qui après avoir tourné des descriptions, des
narrations
, des scènes, portraits et dialogues pendant toute
chine à vapeur de Denis Papin à nos jours. Insister sur James Watt. –
Narration
. – Franklin et l’électricité. 1° Idée préconçue,
e la civilisation ; langue morte des hiéroglyphes à retrouver, etc. –
Narration
. – Le 3 août 1794, Carnot monta à la tribune tena
l’histoire. Auguste Laugel. (Extrait de la Revue des Deux Mondes.)
narration
Raconter une visite faite dans le cabinet d’
composition ont un caractère un peu spécial. Ce sont des lettres, des
narrations
, des descriptions qui se rapportent à un ordre d’
des préceptes et des exemples sur tous les genres, sur l’apologue, la
narration
, les sentences, les éloges, les lieux communs, et
ux en quelque genre que ce soit, etc. Quel intérêt n’acquiert pas une
narration
des circonstances du lieu et du temps où la scène
ressources, la majesté dans le ton, la vigueur-, la richesse dans les
narrations
et les tableaux, la force, la dignité dans le sty
dont ils se sont engendrés les uns les autres, a découvert l’ordre de
narration
le plus beau, parce que c’est le plus naturel ; e
langue morte des hiéroglyphes à retrouver, etc. (1 er août 1883).
Narrations
et sujets historiques. • Récit de la première
gé avec ses légions dans les marais de la Frise, on entrevoit dans sa
narration
l’horizon brumeux et le ciel grisâtre de la Germa
ns sèches que celles d’Ésope ; il possède un certain agrément dans la
narration
, mais il met quelque subtilité dans le langage qu
onvient de citer : récit de la bataille de Rocroy, à comparer avec la
narration
oratoire de Bossuet dans l’oraison funèbre de Con
plation des belles choses. III. — Lettres, discours, dialogues et
narrations
. [1] (8 août 1885) Faire l’éloge du patri
arquera dans mes Annales une sobriété et une rapidité plus grandes de
narration
que dans mes Histoires, car je serai plus maître
des descriptions exactes, mais des portraits vivants. La plus courte
narration
que nous fait M. de La Fontaine vaut toutes les a
s partie ; du discours, ou plutôt le discours tout entier, sentences,
narration
, confirmation, etc. Quoi qu’il en soit, voici le
rationem mendaciunculis aspergere, semer de petits mensonges dans une
narration
. En ipse capellas protenùs æger ago. Virg. Je con
souvent usage du temps présent au lieu du temps passé pour rendre la
narration
plus animée, en présentant l’évènement comme se p
onner plus de rapidité au récit. (C'est ce qu’on nomme l’infinitif de
narration
.) Ex. : Tum Catilina hortari milites, prælium acc
s l’occasion de coudre, d’une manière quelconque, un lieu commun à sa
narration
; et si l’on retranchait de ses discours les plus
dans la situation même du personnage qu’on fait parler. Si c’est une
narration
, une description, il faut se figurer que l’on voi
l consiste principalement dans le trait final. Telle est cette petite
narration
de notre vieux Saint-Gelais : Un charlatan disai
crier et à pleurer cette grande perte. » 1. Il faut comparer cette
narration
à celle qui a été faite par Voltaire (Siècle de L
aisse rien à deviner. Rien n’est même plus fatigant que d’écouter une
narration
où, comme on le dit vulgairement, les points sont
e le fracas du tonnerre. Personne n’ignore ce détail, il eût rendu la
narration
moins rapide. On remarque ce changement brusque d
le de remarquer que l’hypotypose se présente à chaque instant dans la
narration
comme dans le discours. On l’emploie d’instinct p
cieuses. On ne l’emploie que dans la lettre familière, la fable et la
narration
badine. Quand on en bannit tout ce qui prête à la
ne l’est de lui-même, etc. Comme le style simple convient aussi aux
narrations
, nous en donnons, dans le deuxième volume, un exe
us est raconté par J.-J. Rousseau. Le jeune Trompette. Nous devons la
narration
suivante à M. Capelle, inspecteur de la librairie
p de bossus, ce qui lui inspira cette fantaisie. 3. Cet infinitif de
narration
donne de la vivacité au récit. 4. Les se rapport
de la rhétorique. Son exorde n’a pas été insinuant : il n’a usé ni de
narration
, ni de confirmation ; il va finir par une digress
des tableaux, des portraits, des parallèles, une grande partie de la
narration
, de la confirmation et de la réfutation oratoires
utant que pour gagner la bienveillance, en prévenant la crainte d’une
narration
infinie, qu’Horace conseille au poëte de ne point
e convient pas à tous les genres. D’une part le style épistolaire, la
narration
historique ou romanesque, la plaisanterie, la sat
utant que son indépendance, il avait « le style trop privé » pour une
narration
« équable et suivie ». Il fit donc « des Essais,
admirant la noblesse de ce sentiment. » 1. Il faut comparer cette
narration
à celle qui a été faite par Voltaire (Siècle de L
tyle bizarre ou affecté ; une histoire régulière et bien suivie à des
narrations
obscures ou décousues ; un dénouement touchant et
ction dans le style, une proportion plus exacte dans les parties, une
narration
plus savamment conduite ; c’est au milieu de scèn
l’étude de la composition. Car, dans un poème épique, dans une haute
narration
, dans un discours, dans quelque ouvrage de génie
t à tenir sans cesse son esprit tendu pour ne pas perdre le fil de la
narration
. Voyez, par exemple, comme cette métaphore est be
ement et a besoin d’un guide, étendez et développez votre pensée. Une
narration
historique peut être belle dans l’un et l’autre s
on de faire connaître les règles qui s’appliquent à la conduite de la
narration
et à la disposition des arguments. Je ferai seule
tion des arguments. Je ferai seulement observer ici qu’au barreau les
narrations
doivent être aussi concises que la nature des fai
e XXXI. De la composition générale d’un discours. — Exorde, division,
narration
, explication. Dans les quatre Lectures précéd
secondement, l’exposition ou la division du sujet ; troisièmement, la
narration
ou l’explication ; quatrièmement, les raisons ou
rès l’exorde et la division viennent, comme je l’ai dit plus haut, la
narration
et l’explication. Je les réunis toutes les deux,
quelques efforts pour soulever les passions. Dans les plaidoyers, la
narration
est souvent une partie fort importante du discour
n’est pas toujours aisé de raconter convenablement et avec grâce, les
narrations
ont, au barreau, une difficulté particulière. L’a
incte, vraisemblable et concise, sont les qualités essentielles d’une
narration
, et chacune de ces qualités renferme, dans sa déf
oute l’étendue du discours ; mais elle est surtout nécessaire dans la
narration
, destinée à répandre le jour sur tout ce qui suit
uge, peut détruire tout l’effet des raisonnements d’un orateur. Si la
narration
n’est pas vraisemblable, le juge ne daignera pas
lus frappant et plus clair. Cicéron montre beaucoup de talent pour la
narration
, et, sous ce rapport, l’étude de ses harangues pe
de faire un récit, mais l’exposition du sujet y occupe la place de la
narration
dans un plaidoyer, et doit être écrite sur le mêm
a sur elles : Ossements secs, vous revivrez. Le prophète continue sa
narration
: 152Il dit ; et je répète à peine Les oracles
’évêque de Clermont offrent plus d’agréments dans le style et dans la
narration
, plus d’art dans l’enchaînement des faits avec la
e de n’y rien dire, qui ne soit entièrement tiré du fond du sujet. La
narration
sera également courte ; mais vive et agréable. L’
les yeux. Il est à remarquer que le plus communément les verbes de la
narration
sont au présent : ce qui rend le style plus rapid
eut connaître quelques beaux exemples d’hypotypose, on pourra lire la
narration
simple et touchante intitulée : Martyre de trois
e nous venons de citer. Après ce court préambule, Florian commence sa
narration
: 168Lorsqu’autrefois un juge, au nom de l’Éter
ns les poésies de Lamartine de riches et brillantes descriptions, des
narrations
suaves et touchantes, des morceaux lyriques aussi
es sont également violées. À quoi bon couper tout à coup le fil de la
narration
, suspendre la marche des événements, pour nous fa
étouffés, mais vibrants et mâles, conviendra davantage au roman, à la
narration
et à l’épopée. L’espace nous manque pour nous occ
de ce règne mémorable. Le style coupé convient particulièrement aux
narrations
, aux sujets agréables, pour reproduire rapidement
’élocution. 482. La tragédie n’admet-elle pas les descriptions et les
narrations
? Les descriptions font un très bel effet dans l
. 3), et celle que fait Andromaque de la prise de Troie (III. 8). Les
narrations
que lait le poète pour instruire le spectateur de
ne survenait heureusement pour déranger le cercle et faire oublier la
narration
? Il y a des gens qui parlent un moment avant que
nt toutes les figures qui font l’ornement du langage. Peu propre à la
narration
, sur laquelle il répand du froid et de la séchere
ique. On se sert de ces rimes dans des pièces légères, pour rendre la
narration
plus rapide, et pour exprimer avec plus de force
il sut se couronner ; Enfin voilà l’époux que tu veux me donner. Les
narrations
que fait le poëte, pour instruire le spectateur d
iques s’accordent à dire que depuis l’endroit où le poëte commence sa
narration
, ce temps ne doit pas s’étendre au delà d’une ann
-estimable, n’en a pas rendu toutes les beautés. A ce chef-d’œuvre de
narration
dans le genre terrible, le poëte latin en a fait
jugement, et sait bien mieux orner la raison. Son plan est exact, sa
narration
rapide et jamais interrompue, sa diction toujours
int à une certaine régularité, et s’attacha principalement à semer sa
narration
d’images et de descriptions. Elles sont de la plu
soutienne mieux que lui les métaphores et les mots étrangers. Car la
narration
épique est de toutes les poésies la plus hardie d
ncement de la fable, le lecteur a le plaisir, en suivant le fil de la
narration
, de juger si chaque trait s’y rapporte exactement
eprendre la peinture de la période Mérovingienne. Mais, au lieu d’une
narration
suivie, il choisit la méthode plus libre des réci
la mort de saint Martin, vers la fin du quatrième siècle, commence la
narration
originale de Grégoire de Tours, et le double but
actère d’une époque. 231. C’est là, on peut le dire, le modèle de la
narration
historique : aucune circonstance inutile ne vient
de lui rendre le contre-échange. » Il serait curieux de rapprocher la
narration
de M. Mignet de celle de notre vieil annaliste da
u Consulat et de l’Empire, est avec raison regardé comme un modèle de
narration
historique ; il est, en outre, très propre à donn
par la vie sociale dont il est le tableau, par la marche rapide de la
narration
, par l’ironie légère qui y circule, par la grâce
e les matériaux de l’Histoire de Charles XII, roi de Suède. Modèle de
narration
simple, rapide, élégante, l’ouvrage de Voltaire (
eprendre la peinture de la période Mérovingienne. Mais, au lieu d’une
narration
suivie, il choisit la méthode plus libre des réci
e Michelet. « Augustin Thierry, a-t-il écrit, avait appelé l’histoire
narration
, Guizot, analyse ; je l’appelle résurrection. » C
de lui rendre le contre-échange. » Il serait curieux de rapprocher la
narration
de M. Mignet de celle de notre vieil annaliste da
dont ils se sont engendrés les uns les autres, a découvert l’ordre de
narration
le plus beau, parce que c’est le plus naturel ; e
grand. » 502. Ce morceau est avec raison regardé comme un modèle de
narration
historique. Clarté parfaite d’exposition, enchaîn
l’exposition, par la clarté d’une division régulière et complète ; la
narration
, par son adresse et son air d’ingénuité ; la preu
si son exorde doit être véhément ou timide ; si son exposition ou sa
narration
exige la simplicité, la modestie, ou la magnifice
vous surprendra plus ; ce sont presque les mêmes coutumes, les mêmes
narrations
, les mêmes images des grandes choses, les mêmes m
▲