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1 (1886) Recueil des sujets de composition française donnés à la Sorbonne aux examens du baccalauréat ès lettres (première partie), de 1881 à 1885
icite d’avoir exhorté Virgile à entreprendre après les Géorgiques une œuvre capable de grandir sa renommée. / II. — Il a lu a
à un ami, en lui annonçant la mort de Ronsard (1583). Il apprécie les œuvres et le talent de ce poète et fait l’histoire somma
gérer la portée, ni prêter à ceux qui l’emploient la pensée que toute œuvre épique postérieure à Homère, ait dû nécessairemen
ins, à force d’art réfléchi et de conscience profonde, faire de cette œuvre artificielle un poème national et vraiment romain
poèmes épiques du genre artificiel ne sont pas, pour la plupart, des œuvres qu’un esprit sérieux et impartial puisse dédaigne
e n’ai fait jusqu’ici que te décrire la représentation de cette belle œuvre , et le donner les détails curieux que mes observa
s qu’il ne nous en reste de lui. Les seuls que nous ayons, sont : les Œuvres et les Jours, la Théogonie, le Bouclier d’Hercule
cylide, Pythagore, et qui se sont servis du distique élégiaque. Leurs œuvres sont mutilées. Nous avons surtout à cette époque,
miques, Phèdre avec ses fables. Dans la littérature française, aucune œuvre ne mérite l’attention, dans le genre didactique,
s Boileau ; son Art poétique, où il suit les traces d’Horace, est une œuvre de premier ordre, parsemée de vers devenus prover
de plus en plus délaissé par les contemporains, et ne produit plus d’ œuvres dignes de mention. [4] (30 juillet 1884) et
la voyons se développer lentement, et elle ne commença à produire des œuvres de valeur que lorsque le génie grec eut pénétré e
Rome : tant qu’il resta original et national, il ne produisit que des œuvres sans valeur littéraire : vers fescennins, saturæ,
es trop fidèles de la société où a vécu Pétrone font du Satyricon une œuvre où l’esprit satirique est malheureusement gâté pa
ndeur à la tenter et à l’accomplir. C’est, du reste, la partie de son œuvre qui lui a survécu ; la poésie française, lancée p
clamaient les genres élevés qu’il venait d’importer, et il se mit à l’ œuvre pour créer de toutes pièces une langue épique, ly
n erreur, car les langues ne s’improvisent pas et ne sauraient être l’ œuvre d’un homme un d’une école ; ce sont, comme on l’a
e. Elle périt sous les coups répétés de Malherbe, qui apporta à cette œuvre de destruction autant d’étroite obstination que d
l’esprit. Autrefois, la critique était dogmatique, car on jugeait les œuvres littéraires en elles-mêmes ; aujourd’hui, on se p
a critique, devenue, historique, étudie l’homme en même temps que son œuvre . Parmi les ouvrages de critique littéraire, antér
ire aussi que la plupart des discours judiciaires de Cicéron sont des œuvres de cabinet, où les effets à produire pouvaient êt
relatives à la fondation de Rome ; mais, plus préoccupé de faire une œuvre historique que d’être poète, l’auteur des Annales
peu sensible ; or, la littérature romaine ne commença à produire des œuvres de génie qu’à partir du moment où elle se fit l’é
et une originalité tels que sa pièce est digne de figurer à côté de l’ œuvre de Tacite. Les Histoires, aussi bien que les Anna
fin des longueurs et des périodes embrouillées ; ce sont là, dans une œuvre aussi considérable que la sienne, des fautes légè
nt Marot, dont les lettres sont écrites en vers comme le reste de ses œuvres , mais ce qui doit être une lettre en prose, pour
t au contraire appliqués à rendre justice à Euripide, en dépréciant l’ œuvre de son imitateur. Mais c’est là une double erreur
int trouver dans Euripide, ceux-ci s’irritent de le rencontrer dans l’ œuvre de Racine. C’est ainsi qu’ils reprochent à ce der
sme, de dévouement. Mais parmi ceux qui ont ainsi glorifié dans leurs œuvres le caractère romain, Corneille mérite, entre tous
s remplies, on voit l’épopée devenir plus rare ou ne produire que des œuvres avortées. À mesure que la raison s’est développée
me et la divinité ; la Henriade, faite sur le modèle antique, est une œuvre qu’on voudrait presque pouvoir rayer parmi celles
ui auraient pu s’en tirer honorablement, mais qui auraient laissé une œuvre inutile. [12] (27 juillet 1885) Distribuer
des chefs-d’œuvre avec des sujets qui n’avaient fourni jamais que des œuvres médiocres. Prenons quelques exemples. Ésope, dont
sa langue est pure, et c’est peut-être là le plus grand mérite de son œuvre . Combien La Fontaine est supérieur à ces deux fab
ans le cadre restreint et réduit de la moindre de ses fables, il fait œuvre de poète comique, et rencontre souvent des traits
l’en ont blâmé ; Ésope en moins de mots s’est encore exprimé, etc. L’ œuvre de La Fontaine n’est pas moins admirable et supér
é avec un discernement parfait, sa valeur vraie et son prix, à chaque œuvre et à chaque écrivain du xviie  siècle, et d’avoir
essentiels subsistent impérissables, en sorte qu’on a pu assimiler l’ œuvre de Boileau en littérature à celle de Descartes en
préceptes sur la Comédie, la Tragédie, l’Épopée. L’influence de cette œuvre sur celle de Boileau n’est pas douteuse : on sait
éclectisme assez large, c’est une critique encore toute dogmatique. L’ œuvre que Boileau semble avoir imitée de plus près est
) ; les Poetices libri VII de Scaliger sont une imitation ingénieuse, œuvre d’érudit ; quant à la Poétique de La Mesnardière,
et l’on peut suffisamment expliquer les ressemblances entre les deux œuvres par la source commune où elles ont puisé, Vauquel
d’honneur lui restera toujours, à cause du caractère si français de l’ œuvre , qui lui donne une incontestable originalité : le
dite ; elle ne saurait répondre aux épopées nationales et populaires, œuvres de foi sincère et d’ardent patriotisme que compos
lle reproduisait fidèlement les croyances, elle ne peut être dans les œuvres modernes qu’une allégorie déplacée, et l’on a bie
terre ; malheureusement la jeune princesse mourut sans voir jouer les œuvres qu’elle avait inspirées, et Bossuet eut à déplore
qu’à citer Bajazet (1672), pièce qui occupe une place à part dans les œuvres de notre poète, car il l’a puisée dans l’histoire
ond obligé de toute comédie. L’imitation italienne défraie toutes les œuvres de cette époque : Turnèbe, François Amboise, Char
l est le père de la tragédie moderne ; mais il manque à ces premières œuvres de génie le caractère essentiel de toute vraie co
te d’observation, toute psychologique, où le poète disparaît, et où l’ œuvre seule vit devant nous. La farce peut donc fort bi
ut a eu une influence considérable sur la physionomie générale de son œuvre . C’est donc en observant, finement et profondémen
i ont donné à la comédie son véritable ton. Lorsqu’on examine ainsi l’ œuvre entière de Molière, on voit quelle révolution déc
de ses dernières années, que de tristes souvenirs dans la nation ; l’ œuvre de Voltaire a été une réhabilitation. On a accusé
e. 1º De l’Ordre. — Nécessité du plan. L’unité fait la perfection des œuvres de la nature ; elle doit faire aussi le prix des
erfection des œuvres de la nature ; elle doit faire aussi le prix des œuvres de l’homme. Il faut que le plan soit si fortement
regards, nous voyons la société du xviie  siècle se refléter dans les œuvres des grands écrivains. La Fontaine fait repasser d
nt le nom de poètes, parce qu’ils ont senti vivement, qu’ils ont fait œuvre d’imagination et se sont exprimés dans une langue
ient pas de résultats. Avant de produire, il faut lire, apprendre les œuvres des maîtres, anciens et modernes ; mais Ronsard,
tion, ou peut la définir, l’effort de la réflexion se portant sur les œuvres de l’esprit pour y chercher la réalisation de l’i
admettre que la critique ait pour effet d’affaiblir l’émotion que les œuvres de l’art nous communiquent ; car, ce serait mettr
uissance la plus pure et la plus noble que puissent nous procurer les œuvres de l’Art. Aussi, si c’est bien contre lui, et non
loient indifféremment les mots Annales et Histoires pour désigner les œuvres des historiens primitifs, on doit faire une disti
mes et les choses en me préoccupant modérément de déployer dans cette œuvre les qualités du style et les ressources de l’éloq
r rang des auteurs dramatiques, ne sont que des badinages à côté de l’ œuvre considérable, du chef-d’œuvre dont il vient de do
issez-moi du moins emporter dans la tombe l’espoir qu’il achèvera mon œuvre commencée, et ratifiez le choix que je vous propo
hus aime-pampre, et mille autres semblables que j’ai biffées dans vos œuvres  ? Ronsard. — Oui, je sais que vous avez pris la
ration ; on peut dire que l’interprétation des rôles était digne de l’ œuvre et de son auteur. Il faut vous dire que l’intrigu
i enseigneront. Je crois donc, pour tous ces motifs, que je ferai une œuvre utile en essayant de traduire dans notre langue,
en lui le moraliste qui connaît le cœur humain. On a cherché dans son œuvre de perpétuelles allusions à la société qu’il obse
2 (1881) Rhétorique et genres littéraires
r. — Mais il peut rarement suppléer à la nature, et pour produire une œuvre qui ait du nerf, de la passion, de la noblesse et
nombreuses pensées et observations sur ce sujet dans ses différentes œuvres Lucien 125 ? — 200 ? De la manière d’écrire l’
rands principes de la composition. Ils sont les mêmes pour toutes les œuvres de l’esprit humain. Quelle que soit la forme qu’u
le style donne à l’écrivain son originalité. Le style fait vivre les œuvres de l’esprit : Les ouvrages bien écrits, a dit Bu
ur pour l’oreille ; c’est la qualité générale du style qui couronne l’ œuvre . Les rhéteurs distinguent trois espèces d’harmoni
me fait mesnager : Ne suis-je pas [Morel] le plus chétif du monde ? ( Œuvres françaises, Les Regrets, XXXIX, Édit. Marty-Lavea
étaphores. Elles plaisent surtout à condition de ne pas enlever à une œuvre littéraire la simplicité et le naturel, qualités
ressemblances et les différences. Considérons ici la narration comme œuvre séparée et constituant à elle seule une compositi
L’analyse littéraire est un compte rendu plus ou moins court d’une œuvre écrite en vers ou en prose. Il y en a de deux sor
ssortir les intentions de l’auteur, les beautés et les défauts de son œuvre . Elle ajoute l’appréciation au résumé. Ex. les a
euve (Nouveaux Lundis, t. VII, p. 199 à 307). L’analyse raisonnée des œuvres des grands écrivains est une excellente école de
le plus étendu du mot, la théorie générale et l’histoire critique des œuvres de l’esprit humain. Elle comprend donc : 1° l’Étu
l’Histoire littéraire, c’est-à-dire le tableau et l’appréciation des œuvres composées par les écrivains dans les différents g
Les productions littéraires se divisent en deux grandes classes : les œuvres poétiques, et les œuvres en prose. Dans l’ordre d
es se divisent en deux grandes classes : les œuvres poétiques, et les œuvres en prose. Dans l’ordre des faits généraux de l’hu
la première forme littéraire de l’esprit humain. Conditions d’une œuvre littéraire ; classification des écrivains Pour
il faut certaines qualités spéciales, sans lesquelles il n’y a pas d’ œuvre véritablement littéraire : le génie, l’imaginatio
tude naturelle ou acquise à disposer avec habileté les éléments d’une œuvre littéraire et à les revêtir d’une forme élégante
st un discernement, vif, net, précis des beautés et des défauts d’une œuvre littéraire. C’est un sentiment qui guide dans la
sus des choses vulgaires et lui permet de concevoir et d’exécuter une œuvre , pour ainsi dire, tout d’un trait ; 2° L’enthousi
n l’expression de Montaigne. La poésie est une création du génie et l’ œuvre des grands maîtres ; la versification est l’ensem
s princes, Après être venus          Nus De leurs provinces. (Panard, Œuvres , t. III, p. 21, édit. Gouffé, — Vaudeville en éch
ment a repris faveur, et souvent il produit beaucoup d’effet dans les œuvres d’André Chénier, de Lamartine, de Victor Hugo, d’
e la poésie. Plus tard, la critique a séparé les genres et classé les œuvres des poètes. Critique des anciennes classificati
de côté les anciennes classifications, qui consistaient à diviser les œuvres poétiques en grands genres et en petits genres, g
genres Nous nous sommes bornés à diviser d’une façon générale les œuvres poétiques en cinq genres : 1° lyrique, 2° épique,
 ! J’ai perdu ma tourterelle, Je veux aller après elle. (J. Passerat, Œuvres , édit. 1606.) 4° Rondel Le rondel est un p
. Ma foy, c’est trop : allez-vous faire             Panser. (Voiture, Œuvres , rondeau xliii, t. II, p. 326, édit. Charpentier.
t la bière, La femme qui pleurait sourit au nouveau-né ! (J. Soulary, Œuvres poétiques, — Sonnets.) La forme du sonnet est un
plus personnel pour exprimer les sentiments de l’âme humaine dans les œuvres de Catulle, de Tibulle, de Properce et d’Ovide. R
tion principale et qu’on pourrait supprimer sans nuire à l’unité de l’ œuvre . On ne doit l’y laisser que si elle n’est pas con
images vives, pensées nobles et sentiments élevés. Pour composer une œuvre épique durable et vraiment digne de ce nom, il fa
rable d’imagination et de langue chez le peuple qui voit naître cette œuvre , c’est-à-dire une imagination poétique empreinte
plus une production essentiellement primitive comme l’épopée, c’est l’ œuvre d’un art plus habile et d’un âge plus mûr. Le spe
es idées et tous les sentiments. Mimodrame Le mimodrame est une œuvre scénique dans laquelle les acteurs ne parlent pas
érieuse, souvent aussi le travestissement satirique et plaisant d’une œuvre littéraire quelconque. Revue La revue est u
orme un peu surannée de la tragédie purement fictive, malgré quelques œuvres estimables de Casimir Delavigne (Louis XI, — Les
seule forme littéraire qui existe encore sur nos théâtres. Malgré les œuvres , remarquables à des degrés différents, de Ponsard
s préceptes de bon sens et des règles de goût pour la composition des œuvres littéraires (Art poétique). Après eux, chez les R
t l’échafaud est venu interrompre la composition, nous dédommager des œuvres peu poétiques que nous ont laissés les successeur
stinée à périr, si elle ne trouve un renouvellement nécessaire dans l’ œuvre d‘un poète de génie qui chantera les grandes conq
ce moderne. Poésie philosophique, ses diverses formes Outre les œuvres dont la forme est purement didactique ou descript
être, en un mot, une satire en abrégé. Ex. Ce monde-ci n’est qu’une œuvre comique Où chacun fait ses rôles différents. Là,
ylles de Théocrite (iiie siècle av. J. C.). Simple et naïve dans ses œuvres un peu factices, elle s’éloigne tout à fait de la
la double influence de l’Espagne et de l’Italie, elle charme dans des œuvres froides et maniérées les hommes si rudes de cette
a poésie pastorale, du moins le goût des tableaux champêtres dans des œuvres en prose : Ex. les scènes bretonnes d’E. Souvestr
lorsque l’écriture n’existait pas encore, on a dû, pour conserver les œuvres de la pensée, les revêtir d’une forme qui put les
ablement jamais été prononcées telles qu’elles se trouvent dans leurs œuvres , mais leur conformité avec les mœurs du temps mon
s abandonner sa forme primitive, on passe en revue et on apprécie les œuvres de l’académicien : décédé. Éloge L’éloge, p
par des historiens tels qu’Hérodote, Thucydide, elle est devenue une œuvre littéraire, grâce à leur curiosité, à leur esprit
travail incessant de la critique et de l’érudition est avant tout une œuvre de science. Elle appuie ses récits sur des docume
et le tableau littéraire d’une époque, mais lorsqu’elle apprécie les œuvres qu’ils ont produites, d’après les règles rigoureu
de forme sont secondaires ; on étudie plutôt ce qui est la vie d’une œuvre littéraire, ce qui en fait l’âme. On la replace d
1° les traités, c’est-à-dire les livres purement didactiques ; 2° les œuvres variées, qui, sans être des traités proprement di
e, défaire une classification absolue, et surtout une énumération des œuvres variées qui, sans être des traités proprement dit
caractères, de maximes et pensées, etc. — Les formes que revêtent les œuvres qui ne sont pas purement didactiques, varient à l
 ; elles se multiplient tous les jours de plus en plus. Les auteurs d’ œuvres variées sont appelés polygraphes. Ex. Lucien dans
rtes d’auteurs didactiques Les auteurs de traités didactiques ou d’ œuvres variées qui s’y rattachent plus ou moins directem
rage de Vacherot sur la métaphysique et la science, etc. Auteurs d’ œuvres variées et de traités didactiques On doit ajou
adol, Rémusat, John Lemoinne, Ed. About, etc., ont étudié, dans leurs œuvres ou leur articles, les lois générales des peuples,
ctères de La Bruyère, au dix-septième siècle ; — au dix-huitième, les œuvres de Vauvenargues, Maximes et Réflexions ; — au dix
son domaine et ses éléments Le genre romanesque est l’ensemble des œuvres en prose qui nous intéressent au récit d’aventure
ène et Chariclée), ce peuple si artiste n’a laissé en ce genre aucune œuvre qui vaille la peine d’être remarquée. Le véritabl
ui la forme de littérature la plus populaire et la plus goûtée. Ex. l’ œuvre irrégulière, mais vivante de Rabelais au seizième
. On rencontre aussi le mélange de la prose et des vers dans quelques œuvres célèbres de notre littérature. Ex. la Satire Méni
téraires, 4° artistiques, 5° scientifiques. Dialogue philosophique. Œuvres variées des : 1° philosophes, 2° savants, 3° publ
res : 1° familières, 2° philosophiques. Appendice. Genre mixte. Œuvres mêlées de prose et de vers [Bibliographie]
3 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre premier. Division générale. »
Chapitre premier. Division générale. Les œuvres littéraires peuvent choisir entre deux formes bie
Quand les hommes, dans leurs travaux, imitent la nature en créant une œuvre quelconque où brille l’imagination, ils font de l
nd et sublime, l’homme sent le besoin de manifester sa pensée par des œuvres  : il crée, il devient réellement poète. Ainsi le
présente les objets sous de vives couleurs, et les reproduit dans ses œuvres par des images frappantes. L’imagination est comm
ou du génie. Appliquée à la littérature ou aux arts, elle produit ces œuvres qui captivent l’admiration des hommes, et vont év
dmiration qu’il conçoit pour elle ; il cherche à la réaliser dans son œuvre , à la faire descendre du ciel sur la terre : il n
l’architecture et la peinture se traduisent réciproquement dans leurs œuvres , et la seconde est souvent appelée à orner la pre
’infini. Dieu en est l’origine et le centre ; il l’a imprimé dans ses œuvres , comme un reflet de lui-même, comme le cachet sub
l’est pas. Car on peut être poète par le sentiment, sans produire des œuvres de poésie. Il est des personnes qui resteront fro
4 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Première partie. Principes de composition et de style. — Chapitre II. Moyens de se préparer à la composition. »
pensons : il faut avoir en soi-même quelque confiance, se mettre à l’ œuvre sans trop craindre de mal faire, et se persuader
ussi les critiques célèbres, pour vous habituer à juger avec goût les œuvres littéraires ; ne dédaignez pas les orateurs et le
ont tiré les plus grands fruits. Une bonne traduction n’est jamais l’ œuvre d’un écrivain médiocre. Cette lutte des mots cont
s la direction d’un guide éclairé. En passant en revue les meilleures œuvres littéraires d’une nation, le jugement et la sensi
doit l’être infailliblement ; le nier, ce serait nier la lumière. Les œuvres d’Homère, de Raphaël, de Michel-Ange, de Racine,
ans un travail quelconque. En littérature, il consiste à produire des œuvres qui satisfassent le goût. Le talent dépend sans d
is non le donner. Le propre du génie, c’est de créer, de produire des œuvres originales, de s’élever au sublime. (Voir, dans l
it du ciel une inspiration sacrée qui le pousse à produire de grandes œuvres . Il dépasse les forces de la puissance humaine or
5 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Notions préliminaires » pp. 2-15
des principes, qui doivent régir la composition ou l’appréciation des œuvres de l’esprit ; c’est l’art d’exprimer, de rendre s
re dont la connaissance approfondie est nécessaire pour le succès des œuvres littéraires. 3. Qu’est-ce que le beau ? Le beau
’esprit et à le régler dans la composition et dans l’appréciation des œuvres littéraires. Le goût fait aussi usage de l’imagin
n demande à l’écrivain, et les grandes choses qu’en s’attachant à son œuvre il peut accomplir. 22. Sous combien de chefs peut
œuvre il peut accomplir. 22. Sous combien de chefs peut-on ranger les œuvres littéraires ? Les œuvres littéraires se divisent
2. Sous combien de chefs peut-on ranger les œuvres littéraires ? Les œuvres littéraires se divisent naturellement en deux gra
6 (1892) La composition française aux examens du baccalauréat de l’enseignement secondaire moderne, d’après les programmes de 1891, aux examens de l’enseignement secondaire des jeunes filles et aux concours d’admission aux écoles spéciales pp. -503
. On n’y réussit qu’à la condition d’avoir étudié de près les grandes œuvres classiques inscrites au programme. Il faut se fai
etour à la langue poétique de l’antiquité ? 2° La mythologie dans les œuvres classiques du xvii e et du xviii e siècles. 3° Ce
es raisons. (Dijon, juillet 1891.) Le sentiment de la nature dans les œuvres littéraires du xviii e et du xviii e siècle. (Ren
u public ce qu’il m’a prêté. » – Expliquez cette pensée et dites si l’ œuvre de l’écrivain la justifie. (Grenoble, août 1891.)
Le drame. (Dijon, juillet 1890.) Caractériser les principaux types d’ œuvres dramatiques qui se sont succédé en France (les my
dont le Cid est devenu l’objet, ne peuvent rien contre le mérite de l’ œuvre . (Montpellier, octobre 1890.) Etudier et appréci
férence, la noblesse des passions et la dignité du caractère font des œuvres principales de notre théâtre classique un enseign
ns. 1° Il a conscience de s’être maintenu, d’un bout à l’autre de son œuvre , dans les limites de la satire honnête et permise
de Paris pour lui annoncer la mort de Molière. Il résume brièvement l’ œuvre du grand comique et déplore cette mort qui, bien
mande. (Clermont, août 1891.) Boileau-Despréaux. – Son caractère, son œuvre , son rôle littéraire, ses amis et ses ennemis au
) Les deux grands ministres de Louis XIV : Colbert et Louvois ; leur œuvre et leur rôle. (Chambéry, juillet 1888.) Mettre en
r beaucoup de Français l’occupation définitive de l’Algérie était une œuvre impossible ou dangereuse. Lui-même a partagé ce p
français pour pénétrer dans une des régions de l’Afrique centrale. L’ œuvre à laquelle il s’associe est civilisatrice et patr
ndez-vous par économistes ? Quelle est la part des économistes dans l’ œuvre de la Révolution française ? (Poitiers, avril 189
le a excellé, tant en prose qu’en vers ? Vous citerez des noms et des œuvres . (Paris, octobre 1882.) Qu’appelle-t-on les quatr
jet ? Que faut-il penser, en général, de l’emploi des songes dans les œuvres dramatiques ? – Apprécier le caractère de Félix e
i e et ceux du xviii e siècle ? Histoire – Donner une idée de l’ œuvre de Richelieu. – Que faut-il penser de Mazarin ? –
pensez-vous de leurs projets ? – Portrait de Pierre le Grand.  – Son œuvre . – Parler des tentatives de réforme qui eurent li
e ? – Quel était le but de Ronsard et des poètes de la Pléiade ? Leur œuvre a-t-elle été utile ? – Le théâtre s’est-il élevé
elle manière Et chaque acte en sa pièce est une pièce entière. Toute œuvre dramatique est astreinte à cette loi. Analyse
on a emprunté cette mélancolie prétentieuse qui nous a valu certaines œuvres d’un ridicule achevé, et aussi la croyance en la
d’influences si diverses ; je l’essayerai pourtant et j’apprécierai l’ œuvre de M. Corneille avec toute l’impartialité dont je
l a été le rôle de Boileau parmi ses contemporains et dire par quelle œuvre il a perpétué son influence. Malherbe avait en
les règles de son art, c’était pour Boileau achever et perpétuer son œuvre . Il avait mis au premier rang des écrivains ceux
it trop de ces modèles accomplis, homme mûr il a fait passer dans son œuvre les préceptes essentiels d’Aristote et d’Horace.
iels d’Aristote et d’Horace. L’Art poétique explique donc et résume l’ œuvre de Boileau. L’homme qui avait décrié les mauvais
n’est point un caprice, un tour de force, un jeu de société, c’est un œuvre sérieuse. Je regrette qu’il ne vous ail point par
ons-les parler. La Fontaine n’était encore qu’un conteur, il va faire œuvre de poète dramatique. Le financier veut voir ce ch
zac le nombre et l’harmonie ; elle était toute prête pour les grandes œuvres . Bossuet arrivait donc à point. Les critiques les
e, polie, et il en a fait un diamant rare par le fini du travail. Son œuvre est bien à lui. Apprécier Saint-Simon comme é
renchérir sur les défauts, et la Henriade n’est plus pour nous qu’une œuvre froide, semée çà et là de morceaux brillants et d
mouvement lui a fait défaut. L’enthousiasme qui engendre les grandes œuvres et la patience qui les achève manquaient à Voltai
avec la perspicacité du génie, comprenait tout ce qui manquait à ses œuvres tragiques ; il osait parfois se l’avouer à lui-mê
lace parmi nos plus grands poètes, il le doit surtout à celles de ses œuvres qu’il écrivait comme en se jouant. La Henriade ne
nt plus d’honneur à son esprit qu’à son caractère. C’est pourtant son œuvre la plus parfaite. Il n’a, nulle part, dépensé plu
int que la correspondance de Voltaire soit au premier rang, parmi ses œuvres . Clarté et concision dans l’histoire, élégance et
ugitive, va-t-elle corrompre tout son plaisir ? Et s’il s’agit même d’ œuvres moins parfaites, mais où étincellent souvent des
e raillerie qui ne prouve rien que l’esprit étroit du railleur. Toute œuvre qui dépasse la mesure commune a d’abord mis en ve
l a fait, avec des ressources médiocres, est incroyable. Reprenez son œuvre , faites soutenir la Compagnie par vos vaisseaux e
au si séduisant que je n’ai pas cru devoir refuser mon concours à une œuvre si grande et si nécessaire. La tâche qui m’incomb
e crois nécessaires. J’ai besoin de votre concours pour me mettre à l’ œuvre  ; si mes projets vous paraissent bons, je suis sû
re de La Fontaine a fait tomber dans un oubli immérité la plupart des œuvres de ses devanciers. On a trop oublié que la nature
t les approchent de la perfection, enfin paraît un grand génie dont l’ œuvre résume et complète celle de ses devanciers et don
une forme définitive. Ceux-là sont les vrais génies créateurs, leurs œuvres semblent défier les imitateurs et décourager tous
ractérise les Orientaux. Plus pâles sont les fables d’Ésope. Dans son œuvre , plus de complaisants récits, plus de rapides et
langage de toutes les conditions et de tous les personnages. Ce fut l’ œuvre de La Fontaine. Il a défini la fable une ample co
aine. Il a défini la fable une ample comédie à cent actes divers. Son œuvre est à la fois dramatique par la vérité et la puis
loup toujours féroco et toujours brutal, l’ours toujours grossier. L’ œuvre de La Fontaine est une épopée en ce qu’elle est l
l aime les humbles et les faibles et c’est pour eux qu’il a écrit son œuvre . Ajoutons encore que La Fontaine a découvert le s
ahit l’effort dans le style de La Fontaine, c’est là le caractère des œuvres parfaites. La Fontaine aimait la nature dans un s
e son siècle, sa vie et son génie étaient si dépourvus de règles, son œuvre se présentait sous des dehors si modestes que les
écrit une petite fable, La Mort et le Bûcheron, s’il a placé dans son œuvre l’histoire de l’hultre et des plaideurs, c’est à
s, c’est à titre d’ornement ou en guise d’épigramme et non pour faire œuvre de fabuliste. Du reste, ces deux fables sont si f
est si lourde qu’elles méritent à peine d’être mentionnées parmi les œuvres de Boileau. Il appartenait au contemplateur, au g
e de bel esprit, ne reconnaît-il pas les incomparables beautés de son œuvre  : l’intense vérité des sentiments, la noble simpl
urs simple ; mais un souffle héroïque, grandiose, épique traverse ses œuvres  ; il a pu tomber jusqu’au ridicule, mais que de f
poésie, peinture, sculpture ou musique, d’esprit exclusif. Les belles œuvres romantiques choquent violemment ses idées. Il les
traires, tous deux pourront s’entendre pour trouver médiocre certaine œuvre plate, incolore, qui sera au-dessous de la critiq
ous sommes intéressés, sinon charmés ; et cela, moins peut-être par l’ œuvre elle-même, que par l’échantillon humain qu’elle n
t ; j’entends le chant des oiseaux, mélodie sans égale ; j’admire les œuvres de l’art véritable dans la délicatesse de la feui
stime que l’intelligence se développe surtout par la connaissance des œuvres d’intelligences plus grandes ; enfin, que le plai
ndissolubles liens aux hommes qui sous d’autres cieux poursuivent une œuvre semblable à la nôtre, et qui, à travers les mêmes
velle humanité ! Associons-nous une fois de plus, Messieurs, à cette œuvre de lumière, que nous avons déjà puissamment secon
ant William Wilberforce citoyen français l’Assemblée Législative fera œuvre de haute justice et s’honorera elle-même en même
civilisé ; que l’Assemblée Législative réclame aussi sa part de cette œuvre de justice en saluant du plus beau nom qui fut ja
ans les sentiments exprimés la démonstration de l’excellence de cette œuvre . PLAN Préambule. – Esquisser rapidement et disc
ure qui, déjà était contenu en germe, et même parfois éclos, dans les œuvres de ses contemporains. 3 e Paragraphe. – Mais c’e
deux questions posées. 1 er Paragraphe. – Mentionner rapidement les œuvres en vers et en prose les plus remarquables. Montre
les œuvres en vers et en prose les plus remarquables. Montrer que les œuvres en prose ont plus d’audience, exercent plus d’inf
upera le premier rang dans la hiérarchie grâce à la perfection de ses œuvres . 1 er Paragraphe. – L’écrivain classique traduit
ite soit-elle. 3 e Paragraphe. – Le nécessaire, c’est l’ensemble des œuvres consacrées par le temps. Ce sont les idées généra
moins en partie sous peine de confesser sa misère intellectuelle. Ces œuvres -là Mme du Deffand les négligeait. En citer quelqu
du monde, elle se préparera par l’exercice de la piété et des bonnes œuvres à paraître devant Dieu. – Comparer les caractères
être comparées. Aussi, si nous étudions, dans leur vie et dans leurs œuvres , la manière dont elles envisagent l’existence, do
 ? Il est évident que son témoignage est suspect, qu’attaqué dans ses œuvres et ses amitiés littéraires, il est à la fois juge
er qui lui lance la plus grosse malice : « La Pucelle est encore une œuvre bien galante Et je ne sais pourquoi je baille en
moqueries de Boileau, ce qu’il attaque dans ses satires. Relisons ses œuvres  : il traite, tantôt des sujets purement littérair
’est que Boileau s’est attaqué aux écrivains, non aux personnes ; aux œuvres , non aux caractères ; aux défauts de l’esprit, no
ttérature, le souci de la dignité des poètes. Et si parfois, dans son œuvre , il semble faire exception à son habitude, à son
ours des bassesses du cœur. » On peut déshonorer les lettres par ses œuvres  ; on le peut aussi par sa vie : Saint-Amand, Fare
lecteur en a le droit, que tout poète, par cela seul qu’il publie son œuvre , s’expose à la censure publique ? Boileau est tro
ur faisait. Que signifie donc cette question ? Bien des fois dans son œuvre , Boileau revient sur cette idée que le goût publi
assagère, c’est possible ; elle n’en existe pas moins, au moment où l’ œuvre parait, où chacun s’en occupe, lorsque la réussit
rées qui forcent l’étonnement du lecteur. On sent dans leurs moindres œuvres un labeur immense que l’on déplore parce qu’il n’
i sont la vie de l’âme, les seuls qui fassent durer éternellement les œuvres , parce que, seuls, ils sont éternels ? Ont-ils se
viii e siècle recevait du xvii e, et dont il avait lui-même, dans son œuvre d’écrivain, si bien connu et mis à profit les res
ive dans la langue, sous le contrôle de l’Académie, sont en réalité l’ œuvre de tout le monde ; tout autres, par leur origine
r le caractère et l’accent du langage, et de faire, en telle matière, œuvre personnelle d’intelligence, de tact moral et de t
’avoir pas l’âme poétique ». On n’a pas manqué de mettre en cause son œuvre de poète, comme répondant trop souvent, par l’ind
ois ordres de travaux, et le mutuel concours qu’ils se prètent dans l’ œuvre générale de la civilisation, particulièrement à n
ns les deux cas de la même vérité ? En quoi consiste le vrai dans les œuvres d’imagination, dans l’éloquence ? Comparer la rec
ère plus complexe et plus difficile, qui se rapportait non plus à une œuvre limitée, mais à tout un genre de poésie, pour les
e siècle, où les sentiments intimes, si discrètement voilés dans les œuvres des poètes, même hors du théâtre, n’avaient guère
que la langue ait été gênée et appauvrie au xvii e siècle ? A quelles œuvres , à quels auteurs pouvait bien songer Fénelon ? De
exact des beautés antiques et une saine appréciation des plus belles œuvres du xvii e siècle, le problème de la loi du progrè
s vivant ce vêtement couvre, et combien la forme et le fond, dans les œuvres les plus accomplies, sont adhérents et inséparabl
nomie propre, ses idées, ses sentiments, ses passions ; enfin, si les œuvres poétiques sont assez bien connues, si les tragiqu
et pour des motifs pareils, un monument, une statue, un tableau, une œuvre de poésie ou de musique, quelque diverses qu’elle
rt à la pensée, c’est croire que l’outil n’a point de relation avec l’ œuvre , quand l’œuvre ici crée son outil, est outil elle
c’est croire que l’outil n’a point de relation avec l’œuvre, quand l’ œuvre ici crée son outil, est outil elle-même. La plus
dans le travail de quelques années de la jeunesse ; l’éducation est l’ œuvre de la vie entière. » (O. Gréard.) – Que pensez-vo
fs à sa manière d’écrire, vous paraît-elle applicable aux plus belles œuvres de l’esprit français au XVIIe siècle, fût-ce dans
gaîté de style que Balzac demandait, nous la trouverons dans bien des œuvres du xvii e siècle. Mais puisque nous l’étudions, c
blir une distinction, on ne peut plus naturelle d’ailleurs, entre les œuvres gaies et les œuvres non pas tristes, mais sérieus
, on ne peut plus naturelle d’ailleurs, entre les œuvres gaies et les œuvres non pas tristes, mais sérieuses. Pour les premièr
table sens de la pensée de Balzac ; elle s’applique naturellement aux œuvres dont le sujet, dont le fond, gai en soi, communiq
u’il leur a donné, pourrons-nous à ce prix en faire l’application aux œuvres sérieuses du xvii e siècle ? Je crains que non ;
l’antique distinction du fond et de la forme, nous cherchons dans les œuvres graves une galté de style existant par elle-même,
e époque où la distinction des genres avait toute sa valeur) dans des œuvres qui n’en comportaient pas. Le xvii e siècle, en o
es caractères du genre traité, une unité savante dans l’ensemble de l’ œuvre , un ordre rigoureux dans ses différentes parties,
et polissant, et repolissant leur style, enlevant par là même à leur œuvre tout air de verve et d’impromptu ? La Bruyère pre
utier. Aucun d’eux, ou presque aucun (je parle toujours des auteurs d’ œuvres graves), n’a cette liberté, cette vivacité d’allu
nent au style de ce temps, dans presque tous les genres et toutes les œuvres , un caractère général de paix et de sérénité qui
ce temps ne me paraît gai ; il me donnerait bien plutôt, le style des œuvres graves, une impression de tristesse paisible, com
ai que le xviii e siècle a été médiocre tant qu’il a voulu imiter les œuvres de ces grands écrivains, mais il a fait aussi œuv
voulu imiter les œuvres de ces grands écrivains, mais il a fait aussi œuvre originale et pour l’apprécier il faut voir ce qu’
e mauvaises tragédies, de mauvaises odes, mais il peut se glorifier d’ œuvres en prose comme l’ Esprit des lois, le Contrat soc
e s’explique par la nature des sujets que traitent les écrivains, les œuvres de polémique ne se prêtent pas à la poésie ; elle
éclamant des réformes au nom de la liberté civile et politique. Cette œuvre de destruction et de réédification, ce furent les
ttéraires concourent au même but, tous adoptent ce style si utile à l’ œuvre de propagande qu’on se propose. Mais était-ce don
ntés aux manuels et aux précis trop connus. Elles chercheront à faire œuvre personnelle. Pour la Composition littérature, il
s questions littéraires, les biographies des écrivains, l’analyse des œuvres que l’on n’a pas à étudier précisément, mais qu’o
n indispensable. Non qu’il ne faille pas lire. Mais lisez surtout les œuvres de ceux qui ont vu, de ceux qui sont du métier, q
ssiques français, à quel poète donnez-vous la préférence, et à quelle œuvre de ce poète ? Exposez vos raisons. SESSION D’OCTO
e. Expliquer, avec des exemples à l’appui, ce qu’on appelle, dans une œuvre dramatique, l’exposition, le nœud, les péripéties
 – L’étude est un soulagement, un soutien, un réconfort. La lecture d’ œuvres fortes élève l’esprit, inspire des sentiments qui
ien-être. Ce n’est pas tout : il prépare en ce moment une édition des Œuvres de Corneille, dont le produit doit servir à la do
d en littérateurs. Il connaît tous les auteurs, il connaît toutes les œuvres . Ses épîtres sont toutes fournies d’anecdotes, de
ité, c’est la violence. » (Dupanloup.) Or la violence n’a jamais fait œuvre durable, elle peut imposer l’étude à l’enfant, el
s à faire la classe, dans une école nombreuse, vient de se mettre à l’ œuvre , non sans émotion, mais de grand cœur. Dans une l
ue, où, en regard du texte, soient mises l’image, la reproduction des œuvres . Leur vue recevra son éducation comme leur esprit
incipaux écrivains et artistes qui ont illustré son siècle. Citer les œuvres d’une importance capitale. II. – Faire la géograp
autant que possible dans l’ordre chronologique, et en indiquant leurs œuvres les plus célèbres. Il faut traiter une des deux
r les écrivains les plus célèbres du siècle d’Auguste. Indiquer leurs œuvres principales. II. – Parler d’Alexandre le Grand.
ivre en un temps, en un milieu où s’épanouit une si riche floraison d’ œuvres et de grands hommes ! Choisir dans la première cr
’agit d’établir. Il fallait éviter les énumérations de monuments et d’ œuvres littéraires, tout ce qui pouvait ressembler à une
épasser deux pages, il est impossible de dire quels artistes, quelles œuvres ils ont aidé à produire. Il suffit de s’en tenir
ont les grands maîtres italiens, peintres et sculpteurs ? Citez leurs œuvres les plus connues. – Quels sont les grands peintre
l’école espagnole, – de l’école hollandaise ? Citez leurs principales œuvres . – Quels sont les artistes de l’antiquité grecque
de l’antiquité grecque que vous connaissez ? Citez leurs principales œuvres . – Quels sont les grands voyageurs français qui o
est dans la troisième, la réponse du futur marin, que l’on doit faire œuvre d’invention, donner libre carrière à son imaginat
tre. Tel détail qui, présenté sous une forme narrative, ferait hors d’ œuvre , deviendra d’une grande utilité dans le corps de
faut tout tirer de soi-même. Le plan n’est pas indiqué. Il faut faire œuvre de composition – partant de réflexion. Il faut se
u, le feu, – connus, étudiés, utilisés, – deviennent ses aides dans l’ œuvre du progrès. 2e Paragraphe. – Au sens particulier
e du jour : Allocution du président exposant l’utilité et le but de l’ œuvre , ses ressources, etc. – Vous rédigerez une lettre
’il y a de noble, de vrai, d’utile. Donner des exemples empruntés aux œuvres des grands écrivains, des grands artistes, des gr
le. Il comptait, avec les débris de sa fortune, y mener à bonne fin l’ œuvre entreprise. On supposera qu’un de ses proches, ch
és abstraites qui sont les bases de nos connaissances, qu’on fait une œuvre véritablement scientifique ; mais ce n’est qu’en
ècles littéraires de la France ? – Citez les plus grands noms, et les œuvres principales des écrivains. Sujets proposés
ffon. Ils feront bien de se procurer un ou deux volumes pris dans les œuvres de II. Fabre, de préférence les Souvenirs d’un En
cette pensée. – Expliquer cette pensée : « Chacun est le fils de ses œuvres . » Est-elle plus vraie et d’une application plus
tère de l’épreuve qu’ils ont à subir. On ne leur demande pas de faire œuvre de rhétoriciens. Ils ont intérêt à oublier quelqu
ts tout faits, appris d’avance, les clichés qui tantôt forment hors d’ œuvre , tantôt jurent avec ce qui précède et ce qui suit
antes. Elle le rend utile à la société qui vit non pas seulement de l’ œuvre des grands et des heureux, mais du travail collec
7 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre XVI. Genre du roman. »
bord chez les Orientaux, peuples ingénieux qui donnaient à toutes les œuvres de l’imagination la forme de l’allégorie et du sy
érité, par la simplicité naïve et touchante qui fait de son livre une œuvre de génie ! La chevalerie du moyen-âge a fait naît
es au nord de la France. Mais ces romans chevaleresques et poétiques, œuvres d’une époque d’enthousiasme, ne sont pas encore l
es classes de la société, tant il est profondément national : c’est l’ œuvre de tout le monde, c’est la peinture de la vie hum
, etc. L’Espagne produit, au commencement du dix-septième siècle, une œuvre étincelante de verve, de gaieté, d’esprit et de r
8 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature à l’usage des séminaires et des colléges rédigé d’après les meilleurs critiques anciens et modernes par M. l’abbé A. Piron. Chanoine, Vicaire général, Membre de l’Académie des Arcades, ancien Professeur de littérature. » pp. 1-12
e est sûrement un des meilleurs que nous ayons. Il aura le succès des œuvres sérieuses, lent peut-être, mais assuré. — Toutes
eur le Professeur, de la persévérance avec laquelle vous poursuivez l’ œuvre de votre Cours complet de littérature, qui doit ê
t jamais être que la splendeur du vrai. En somme, cet ouvrage est une œuvre de science, de talent et de foi. Les jeunes human
si haut. Mais j’ai reconnu qu’on avait trouvé avec raison dans votre œuvre plus de méthode, d’ordre, de netteté, de précisio
d’ordre, de netteté, de précision et d’esprit chrétien, que dans les œuvres de même nature destinées à servir de manuel. En e
9 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Silvestre de Sacy. Né en 1801. » pp. 522-533
ve davantage dans l’heure qui passe ; féconde et inépuisable dans ses œuvres , capable de fournir à la consommation de tout un
achever un petit volume. Chaque année, chaque mois doit suffire à son œuvre . On ne vit pas d’une pension de la cour ou des re
industrie, la première et la plus noble de toutes par son objet1. À l’ œuvre  ! la machine souffle, la roue tourne, à l’œuvre !
s par son objet1. À l’œuvre ! la machine souffle, la roue tourne, à l’ œuvre  ! À la vérité, ces tissus brillants se faneront v
a peut-être2, sa vie sera moins douce, sa renommée moins durable. Les œuvres individuelles périront, l’œuvre générale ne périr
ouce, sa renommée moins durable. Les œuvres individuelles périront, l’ œuvre générale ne périra pas ! L’élite des esprits sera
10 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Sainte-Beuve. Né en 1804. » pp. 566-577
ssure à sa critique l’intérêt impérissable qui s’attache à toutes les œuvres où l’homme apprend à se connaître. Il sait pénétr
e sert pour parler de lui. Savoir lire, voilà son art inimitable. Ses œuvres sont une encyclopédie qui embrasse la philosophie
mour du bruit, l’exagération de notre importance, l’enivrement de nos œuvres . Prémunis par là contre bien des agitations insen
blime, demandons-nous comment Homère ou Démosthène écouteraient notre œuvre , quel jugement ils feraient de nous. Que ces héro
ne revient qu’en remontant à force de rames le courant passé : « Les œuvres des grands poëtes, dit-il, demandent qu’on les ap
lutôt que la voix unanime du public. C’est le propre des plus grandes œuvres du génie en tout genre qu’à la première vue on es
11 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Brizeux, 1803-1858 » pp. 557-563
pour ainsi dire les senteurs vivifiantes qui s’exhalent de toutes ses œuvres . La religion, la patrie, la nature et l’art, voil
ustes bras tout recouverts de houille ! Au travail ! au travail ! à l’ œuvre  ! aux ateliers ! Et vous, de la pensée habiles ou
l’œuvre ! aux ateliers ! Et vous, de la pensée habiles ouvriers, A l’ œuvre  ! travaillez tous dans votre domaine La matière d
qualité rare, mais il a trop l’affectation de la simplicité. » — Ses œuvres , publiées par MM. Michel Lévy, ont été éditées pa
12 (1882) Morceaux choisis de prosateurs et de poètes des xviii e et xix e siècles à l’usage de la classe de rhétorique
évolte contre leur matérialisme. J. J. Rousseau surtout, qui, par ses œuvres , appartient tout entier à cette période, rompt d’
le maître avec une aveugle et déplorable obstination. Le fond de ses œuvres avait été la peinture de l’amour : la peinture de
re commun que présentent, dans la diversité de leur génie et de leurs œuvres , les poètes dramatiques, depuis la mort de Racine
iècle resta, d’ailleurs, assez chétif dans sa doctrine comme dans ses œuvres . En bannissant du théâtre des rois et les grands,
e du dix-huitième siècle a son expression exacte dans l’Encyclopédie, œuvre qui n’est pas sans grandeur, malgré ses erreurs,
ives, les partis trop animés, pour que l’histoire soit simplement une œuvre de recherche libre et désintéressée. Le plus souv
’abbé Raynal, enfin, l’auteur de l’Histoire de la Conquête des Indes, œuvre de colère et de parti qu’il désavoua loyalement,
En parcourant les autres genres, il y aurait à nommer sans doute des œuvres remarquables ; mais les genres eux-mêmes, dans le
e de l’homme et les conditions de l’état social. Ses idées, comme ses œuvres , ont contracté la souillure de ses vues. Mais, ce
vité productrice. La vieille école classique allait disparaître : son œuvre était terminée. Les procédés, les recettes de com
aisé que de jeter dans les moules officiels d’un genre quelconque une œuvre quelconque. De là l’abondance des productions ; d
uelle il tire son origine et sa force, l’autre prétendant reprendre l’ œuvre du dix-huitième siècle et en ressusciter toutes l
ur tous les points, il sortira, nous n’en voulons pas douter, une des œuvres les plus glorieuses pour le dix-neuvième siècle.
la critique des arts n’a pas produit, comme en Allemagne, une de ces œuvres philosophiques comparables à l’Esthétiqne de Hége
on, le roman occupe une place secondaire, malgré l’éclat de certaines œuvres , comme Delphine et Corinne, de madame de Staël, A
ci de citer des noms ? Balzac, le plus illustre de tous, a laissé une œuvre immense, inégale, tableau souvent amer et cruel d
bien que dans celle-ci plusieurs d’entre eux aient encore produit des œuvres qui ont illustré leur vieillesse. M. Jules Sandea
istoires de Rollin en des termes qui peuvent s’appliquer à toutes ses œuvres  : a Un honnête homme a, par ses ouvrages d’histoi
le roi Louis XV, âgé de huit ans. Ce fut l’origine du Petit Carême, l’ œuvre de Massillon la plus populaire. Reçu en 1719 à l’
remplir scrupuleusement ses devoirs d’évêque. Il mourut en 1742. Les œuvres de Massillon comprennent, outre le Petit Carême,
de vos Saints, enrichie de vos dons, et par eux capable de faire des œuvres dignes de l’éternité ! Quelle vie qu’une vie qui
a fortune à Louis XIII, Saint-Simon a raconté presque au début de son œuvre que la lecture de Bassompierre "l’invita à écrire
rofondies ; mais dans ses hautes parties, dans ses idées générales, l’ œuvre de Montesquieu n’a pas fléchi, et c’est encore lu
nres à la fois et excelle dans plusieurs. Mais, on le comprend, sur l’ œuvre de Voltaire, comme sur le siècle dont elle exprim
tiente qu’il estimait une partie au moins du génie, Buffon commença l’ œuvre immense à laquelle est attaché son nom, et qui ho
ement que parurent, dans le dernier volume, les Époques de la Nature, œuvre de génie, où Buffon, corrigeant et complétant la
us de grandeur que de mouvement et de variété208. L’homme, dernière œuvre de la création. L’existence de l’homme a-t-ell
crits inédits. Mais ici c’est à la partie la moins contestable de ses œuvres que nous voulons nous arrêter, c’est-à-dire à ces
édite avec le marquis de Mirabeau ont ajouté quelques pages rares à l’ œuvre littéraire de Vauvenargues. ‘ La partie morale es
les sieurs de Goëzmann, Lablache, Marin et d’Arnaud (1774 et 1775) : œuvre de polémique spirituelle et passionnée, où Beauma
ation. Il mourut à Paris le 21 janvier 1814, M. Nisard a bien dit des œuvres de Bernardin de Saint-Pierre : « Tout ce qui est
actère frileux, » dit-il de lui-même, Joubert n’était pas né pour les œuvres de longue haleine et de bruyante publicité. Il ap
’on peut faire de meilleur, et sa tâche sera remplie. Le reste sera l’ œuvre de la religion. Si la poésie et la philosophie pe
e qu’elle fit en Italie (1804) lui inspira le roman de Corinne. Cette œuvre de Mme de Staël, où, à certains égards, elle traç
ez quelle immobilité, quelle durée les mortels peuvent donner à leurs œuvres , tandis qu’eux-mêmes ils passent si rapidement, e
contient des fragments précieux, et enfin une Vie de Rancé, dernière œuvre , où se marquait visiblement l’extrême fatigue de
sa gloire. Et cependant le prince et le sujet viennent à bout de leur œuvre  : ils battent l’étranger, rétablissent l’ordre, f
gnement primaire (1833). Après la révolution de 1848, Guizot acheva l’ œuvre commencée. l’Histoire de la Révolution d’Angleter
s, la force et la gravité du style, restent égales dans ses dernières œuvres  : les Mémoires pour servir à l’histoire de mon te
juger et de conclure : c’est là ce que l’on retrouve dans les autres œuvres de Villemain : dans l’étude sur Pindare, comme da
la vie privée après 1848, il s’occupa de la révision complète de ses œuvres philosophiques, rassembla et condensa dans son li
in est mort à Cannes en 1867. Nous devons dire ici quelques mots de l’ œuvre philosophique de Cousin. Tout d’abord, il continu
êmes, car ils prennent la poésie pour la mesure de la beauté de leurs œuvres  ; ils les estiment à proportion qu’elles se rappr
leur nom définitif : Récit des Temps mérovingiens. C’est peut-être l’ œuvre la plus achevée d’Augustin Thierry. Nulle part l’
t en Italie, pendant l’hiver de 1835, qu’il termina la traduction des Œuvres de Reid. Sa préface, d’une sévérité quelquefois e
données de l’observation intérieure, et, quoiqu’il n’ait pas laissé d’ œuvre complète et de système arrêté, plusieurs de ses a
vité et de son unité comme force pensante. L’Esthétique de Jouffroy, œuvre posthume et incomplète, se distingue cependant pa
décrit avec profondeur et vérité. Telles sont les grandes lignes de l’ œuvre philosophique de Jouffroy. Il resterait à parler
n 1852, forment un ensemble précieux d’études variées et solides. Des œuvres plus vastes et d’une grande valeur sont venues co
de François Ier et de Charles-Quint. Malgré des titres si divers, l’ œuvre de M. Mignet offre une grande unité de méthode. S
matériel qu’il fallait faire passer avec les divisions. On se mit à l’ œuvre pendant que les troupes se succédaient. On fit d’
jugement de tous, la partie la plus durable et la plus précieuse de l’ œuvre de Michelet. « Augustin Thierry, a-t-il écrit, av
, mais aussi la plus élevée, celle de juge. Longtemps détourné de son œuvre principale par des polémiques ardentes, Michelet
a déterminé des vocations plus qu’il ne les a dirigées. A côté de ses œuvres historiques se place toute une série de livres [l
tinua à s’intéresser aux questions politiques de son temps, et de son œuvre de publiciste, sans parler de bien des articles d
s théories de tout genre, qui s’entrecroisent et se contredisent. Les œuvres d’imagination portent elles-mêmes la trace de ces
t descendre, il put exprimer la pensée qu’il croyait avoir achevé son œuvre et répondu à sa vocation. Les Conférences de Laco
ons grossières ou raffinées. En 1837, Sainte-Beuve commençait une des œuvres les plus considérables de sa vie littéraire : 1 H
’a plus vivement éclairée. Avec quelle sûreté, quand il interroge les œuvres d’un écrivain, il va droit à la citation expressi
te question : « Si la nation grecque n’avait jamais existé, ou si ses œuvres de génie avaient été anéanties par la grandeur de
fonds sur lequel s’élèvent ensuite, palais et temples réguliers, les œuvres harmonieuses. Quand on vit dans une perpétuelle i
le reconnaît tout d’abord) ne sont pas de ceux qui sentent en rien l’ œuvre individuelle. Ils sont d’une tout autre étoffe, d
persévérance et la sévérité de travail que l’auteur a apportée à son œuvre , « L’histoire de notre littérature par M. Nisard,
et beaucoup plus de soin à faire valoir l’harmonie imitative dans les œuvres des poètes, qu’à en expliquer le sens pratique, l
ssocier dans les regrets qu’on donne à leur mort prématurée et à leur œuvre interrompue, en pleurant l’un, et en plaignant l’
Discours prononcé à une distribution de prix (1857.). Chefs-d’ œuvre de poésie. J. B. Rousseau.(1671-1741). Né
s, des Odes profanes et celui des Cantates, c’est là seulement dans l’ œuvre poétique de Rousseau ce que le temps a respecté.
issante, La nature languissante Se ranime et se nourrit. Oh ! que tes œuvres sont belles, Grand Dieu ! quels sont tes bienfait
France, comme à Rome sous les Césars, l’épopée ne pouvait être qu’une œuvre artificielle, assujettie aux procédés classiques,
tie morale n’a pas suffi à porter le poème de Voltaire au rang de ces œuvres que les retours du goût ne sauraient plus atteind
lation à la cour de Frédéric II (1729-1750), est celle qui compte les œuvres les plus brillantes du théâtre de Voltaire : Zaïr
études qu’il entreprenait avec l’heureuse confiance de la jeunesse l’ œuvre si périlleuse et vainement tentée plusieurs fois
le Mendiant, la Jeune Tarentine, la Liberté, etc. Il médite aussi des œuvres plus étendues, et qu’il se flatte d’achever : les
oète, et non à la langue. On hésite, devant les diverses parties de l’ œuvre d’André Chénier, à marquer une préférence. Faut-i
irent qu’irriter le curiosité publique et assurèrent la fortune d’une œuvre qui, malgré une forme souvent ferme et éclatante,
et d’en découvrir les sombres replis, cela suffit pour assurer à une œuvre une légitime durée. La malveillance s’empressa de
d’autre titre que celui de chansonnier. Béranger mourut en 1857. Ses œuvres posthumes ne seront pas pour sa mémoire un titre
et dont le succès égala celui du Génie du Christianisme, resteront l’ œuvre la plus belle de notre grand poète contemporain75
tira tout de soi se doit tout à soi-même. Jouis, grand artisan, de l’ œuvre de tes mains : Je suis pour accomplir tes ordres
onidas. Aussi, quelle que soit la célébrité que lui aient acquise ses œuvres dramatiques, C. Delavigne restera avant tout le p
fois déserter les traditions du dix-septième siècle, essayer dans une œuvre d’un dessin plus libre et plus hardi la conciliat
ie en un acte, une Famille du temps de Luther (1836), fut la dernière œuvre dramatique de C. Delavigne. Sa santé, toujours me
vie ! ah ! prolongez ma vie ! FRANÇOIS DE PAULE. Dieu n’a pas mis son œuvre au pouvoir d’un mortel. Vous seul, quand tout pér
que réservée, on doit rendre justice à l’interêt dramatique d’une des œuvres les plus brillantes du théâtre contemporain. A pa
 ; Toute la mer brûlait. Mais quand le jour revint, chacun connut son œuvre . Les trois vaisseaux flottaient démâtés, et si la
ire l’opinion publique, toujours remise en éveil par une succession d’ œuvres variées, d’inspiration et de mérite inégal, mêlée
ue autant qu’elles vous ravissent. Quand on considère l’ensemble de l’ œuvre de M. Victor Hugo, ce qui frappe, mais aussi ce q
rète passionné, toujours puissant ; et, par ses contrastes mêmes, son œuvre immense, inégale, qui peut enchanter et repousser
célébrité et sa gloire peut-être la moins contestée. Ses principales œuvres lyriques sont, avec les Odes et Ballades, les Ori
infini la forme et le mouvement. Mais, on le comprend, une étude de l’ œuvre lyrique de M. Victor Hugo dépasserait de beaucoup
littéraire de notre siècle. Et ce n’est là encore qu’une partie de l’ œuvre de M. Victor Hugo. Au théâtre surtout, il eut l’a
tagne et à ses premiers horizons. L’épopée rustique des Bretons est l’ œuvre de Brizeux qui a le plus de fermeté et de souffle
ura un anachronisme d’imagination et de langage presque inévitable, l’ œuvre du poète fait honneur au sentiment qui l’a inspir
ns de l’école romantique, les yeux se reposaient avec plaisir sur une œuvre composée avec mesure et sagesse ; l’oreille était
l fallait combattre, Quand nous avons vaincu, nous devons consommer L’ œuvre républicaine en la faisant aimer. Elle aura tous
cherché la poésie à ses hautes sources. Il méritait de couronner son œuvre par cette belle création de la Fille de Roland, v
. 235. 12. Saint-Marc Girardin, Jean-Jacques Rousseau, sa Vie et ses Œuvres II t., p. 290. 13. Causeries du lundi, tome Ier
a Rerum, liv. II, vers 1122. 40. M. Letronne a donné une édition des Œuvres de Rollin. On lira avec intérêt les pages que lui
section ii, chap. i), et pour la partie biographique. : La Vie et les Œuvres de Montesquieu, par M. L. Vian (1878). 132. On s
a main pour combattre leurs blasphèmes ou leurs erreurs ; j’abordai l’ œuvre de la Cité de Dieu. » 149. Symmaque, né à Rome v
mesquinerie des draperies de Raphaël. » 190. Lebrun (1619-1690). Ses œuvres capitales sont les Batailles d’Alexandre et la gr
contient l’histoire conjecturale du premier âge de l’humanité. 210. Œuvre , dans le style soutenu, était autrefois masculin.
e bisannuelles à partir de 1751. 251. L’édition la plus complète des Œuvres de Diderot a été donnée par M. As-sézat, chez Gar
(éd. Assézat, tome X, page 200). 263. L’édition la plus complète des œuvres de Vauvenargues est celle qui a été donnée par M.
tomes III et XIV ; Suard, Notice sur Vauvenargues (dans l’édition des Œuvres choisies de Vauvenargues donnée par Garnier) ; Pr
ainte-Beuve, Causeries du Lundi, tome V. — M. de Lescure a publié les Œuvres choisies de Rivarol, en 2 vol. in-12. Jouaust, 18
teur allemand est d’accord avec Rivarol :« Si le texte, dit-il, comme œuvre de poésie, est en soi d’une valeur indépendante,
s que le livre le plus utile à consulter, avant de mettre la main à l’ œuvre , c’est l’Almanach : car, si on oubliait un moment
es du Lundi, tome I, et la notice de M. Paul Raynal, mise en tête des œuvres de Joubert, publiées sous ce titre : Pensées, Ess
iter aux Allemands « plus d’esprit et moins de consonnes. » 361. Les Œuvres complètes de Mme de Staël ont été publiées par so
e même pensée dans le Discours sur l’Histoire universelle. 402. Les œuvres complètes de P. L. Courier ont été publiées, avec
spondance de Lamennais a été publiée en 2 vol. par M. Forgues, et ses Œuvres inédites par M. Blaize. On consultera aussi avec
pas voulu les entendre, et que je me suis soustrait au fardeau de mes œuvres . » 423. Les ouvrages historiques de Guizot ont é
rairie Didier. Chaque ouvrage se vend séparément. Les mémoires et les œuvres philosophiques ont paru à la librairie Michel Lév
es séances de la Chambre des pairs n’étaient pas publiques. 436. Les œuvres de Villemain ont été publiées dans les formats in
ression est ce quelque chose d’immatériel que l’artiste imprime à son œuvre . C’est la pensée invisible et idéale cachée derri
espéré de Lucrèce, aimant mieux nier les dieux que leur attribuer une œuvre indigne de leur puissance et de leur bonté. Chez
me des drames terribles dont la grandeur efface les crimes. 490. Les œuvres historiques de M. Mignet ont été publiées à la li
en Sorbonne, au tome II des Essais de Littérature et de Morale. — Les œuvres de Saint-Marc Girardin ont été publiées par les l
tième siècle (2e leçon). M. Manuel a donné une édition bien faite des Œuvres lyriques de J. B. Rousseau, avec notes historique
es que Rousseau a traduits ou.imités, aux principales éditions de ses Œuvres . 569. On a remarqué, avec raison, qu’il y avait
ragédie, sans refroidir l’action dramatique, tel est le fond de cette œuvre , qui seule assurerait à son auteur une place légi
gence, a dit Thompson, que Dieu a prêtée aux hommes pour pénétrer ses œuvres infinies, d’après une loi d’une simplicité sublim
embre depuis 1748. 636. L’académicien Campenon a donné, en 1823, ses Œuvres choisies, qu’il a fait précéder d’un travail biog
âteauvieux, publié au mois d’avril 1792 dans le Journal de Paris. Ses œuvres poétiques étaient restées dans un grand désordre.
ts passèrent entre les mains de M. Dannou, et la première édition des œuvres poétiques d’André Chénier ne fut publiée qu’en 18
ré Chénier, édition critique par M. Becq de Fouquières, 1872 ; 2° les Œuvres poétiques d’André de Chénier, avec une notice et
nesse, sous ce titre : Le Béranger des Familles ; 1 vol. in-18. — Les Œuvres complètes de Béranger ont été publiées chez Garni
aître qu’elles apportaient avec elles le souffle nouveau. » 752. Les œuvres de Lamartine ont été éditées chez Hachette, Furne
oires (1790-1815) et des Poésies inédites. Dans l’étude critique de l’ œuvre de Lamartine, les Poésies inédites donneraient qu
l’Ecole des Femmes, scène vii. 769. La librairie Didier a publié les œuvres complètes de Casimir Delavigne, en 4 vol. in-12 e
mes destinées Vous amener à moi de dix en dix années Attentifs à mon œuvre , et pour moi c’est assez. — Les œuvres complètes
en dix années Attentifs à mon œuvre, et pour moi c’est assez. — Les œuvres complètes d’Alfred de Vigny ont été éditées chez
Été quelques pages de M. A. Mézières dans le livre : Shakespeare, ses Œuvres et ses Critiques, page 524 et suivantes (3e édit.
de la statuaire antique, même dans l’imitation de la douleur. » — Les œuvres de M. Victor Hugo ont été publiées par les librai
es parts sa jeune âme à la vie Et sa bouche aux baisers ! 809. Les œuvres d’Auguste Barbier ont été publiées chez E. Dentu.
téraires, La Renaissance de la Poésie provençale, page 202. 814. Les œuvres de Brizeux ont été éditées chez Masgana, Garnier
. de Laprade, Discours de réception à l’Académie française. 824. Les œuvres d’Alfred de Musset ont été publiées par la librai
termes, qui croit à Dieu créateur, et non à Dieu conservateur de son œuvre . 829. Allusion à la doctrine de la métempsycose.
s ses Essais de Politique et de Littérature (2e série, p. 317). — Les œuvres de M. de Laprade ont été publiées chez Charpentie
la mère de son fiancé Pierre, du docteur et du vieux curé. 846. Les œuvres complètes de J. Autran ont été publiées chez Calm
nges d’Histoire et de Littérature (première série), p. 353. 855. Les œuvres de Ponsard ont été publiées par Michel-Lévy frère
tune d’autant mieux acquise qu’il ne la doit qu’à lui-même. 865. Les œuvres de M. de Bornier ont été publiées chez Dentu. L’e
est celui-ci qui renonce volontairement à celle qu’il aime. 866. Les œuvres de M. E. Manuel ont été publiées chez Calmann Lév
œuvres de M. E. Manuel ont été publiées chez Calmann Lévy. 867. Les œuvres de M. Sully-Prudhomme ont été publiées chez Lemer
œuvres de M. Sully-Prudhomme ont été publiées chez Lemerre. 868. Les œuvres de M. Paul Déroulède ont été publiées chez Calman
es de M. Paul Déroulède ont été publiées chez Calmann Lévy. 869. Les œuvres de M. François Coppée ont été publiées chez Lemer
13 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre V. » pp. 82-88
d. 1612) : Or comme eux l’héroïc, suivant le droit sentier, Doit son œuvre comprendre au cours d’un an entier  Le tragic, le
ouvrage intitulé De la Littérature allemande (vol. III, p. 92 de ses Œuvres , Berlin, 1781) : « Vous entrez dans un de ces spe
d’Andrieux (Revue encyclopédique, t. XXI et XXII, réimprimée dans les Œuvres de cet auteur), où il démontre que d’Aubignac sur
trois unités. Métastase, dans ses Extraits de la Poétique d’Aristote ( Œuvres , 1782, t. XII, ch. 5) attaque les deux unités de
14 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Introduction »
de même que les jeunes artistes prennent pour modèles les meilleures œuvres des grands peintres ou des grands musiciens, afin
de leur demander si, après avoir interprété la veille avec succès les œuvres musicales des plus habiles compositeurs, ils écri
econnaissons donc que les mots dont nous nous servons ne sont point l’ œuvre du hasard, mais l’effet d’un accord heureux avec
incipale, ex. : [Avant que le sommeil te ferme la paupière], Sur les œuvres du jour jette un regard sévère ; ou la principal
15 (1865) Cours élémentaire de littérature : style et poétique, à l’usage des élèves de seconde (4e éd.)
tres. C’est elle qui rappelle les préceptes dictés par le goût et les œuvres des grands écrivains ; c’est elle qui fournit au
trois éléments, la sensibilité, l’imagination et le jugement, la même œuvre , dit un critique, jugée par trois esprits, peut ê
u moins à l’être plus sûrement. Les préceptes ont été puisés dans les œuvres de ceux qui parlaient ou qui écrivaient de manièr
ner une méthode infaillible pour bien composer. Mais, loin d’être une œuvre mécanique, l’art de bien écrire demande une longu
ns être un grand écrivain, on peut exceller dans la critique. 32. Les œuvres littéraires se partagent en divers genres, mais i
trois opérations de l’esprit forme ce qu’on appelle le style. 33. Les œuvres littéraires peuvent se diviser en deux genres pri
ui nous lassent le plus vite si elles sont prodiguées avec excès. Les œuvres de l’homme sont d’autant plus parfaites qu’elles
s pour la guerre, Cérès pour le blé ; lisez Cicéron, c’est-à-dire les œuvres de Cicéron. 2º L’effet pour la cause : Non habet
type du beau se trouve d’abord en Dieu lui-même, et ensuite dans les œuvres de ses mains où reluisent le mieux sa sagesse et
un moyen infaillible de découvrir le vide et le mensonge de certaines œuvres médiocres et longtemps prônées par l’aveuglement
n, il y a aussi trois choses à considérer pour celui qui soumet cette œuvre à son examen : la substance, l’ordre et la forme.
Quand il aura pris l’habitude de pénétrer et de décomposer ainsi les œuvres d’autrui, il ne se laissera pas séduire par les b
, toutes ces choses sont du ressort de l’analyse littéraire. Depuis l’ œuvre la plus légère jusqu’à la composition la plus éle
t on se plaît à savoir raisonner son admiration ou sa censure sur une œuvre qui est soumise à notre étude. § III. De la tr
anslation commande la lenteur et la réflexion nécessaires pour qu’une œuvre littéraire laisse de profondes impressions. La le
but. D’autres la définissent d’une manière trop vague peut-être : une œuvre de l’esprit conforme en tout aux préceptes de l’a
animer, il suffit de faire un effort et de se mettre sérieusement à l’ œuvre . Si l’on reprend un ouvrage interrompu, Quintilie
ous a fournies votre première inspiration, laissez donc reposer votre œuvre . Le lendemain, ou même plus tard, quand l’enthous
avez écrit ; oubliez que vous en êtes l’auteur, et devenez pour cette œuvre , que vous regardez comme étrangère, un censeur in
s soi-même en état de juger la valeur et d’apprécier le mérite de son œuvre . Il faut donc s’estimer très heureux lorsqu’on po
a correction elle-même doit avoir un terme, et qu’on peut nuire à son œuvre à force de la retoucher. « Il est des gens, dit Q
partageant, l’intérêt s’évanouit. Ce principe s’applique à toutes les œuvres littéraires, mais il est d’une nécessité d’autant
à la patrie, à la morale, à la religion ; ce serait dépouiller votre œuvre de tout intérêt, de toute élévation ; ce serait m
et, si la justesse et la solidité doivent se trouver au fond de toute œuvre littéraire, même de celle où domine le sentiment
’imagination, à plus forte raison, elles sont indispensables dans une œuvre de science et de raisonnement. Que le jeune homme
en résument bien les préceptes seront toujours assez rares. 360. Les œuvres de polémique ont pour but de défendre la vérité e
et la valeur. Mais ils peuvent du moins soumettre à leur critique des œuvres de peu d’étendue et des compositions ou des fragm
ésie en général20. 372. Le mot poésie (ποίησις) signifie création, œuvre par excellence. Il vient du mot grec ποίεν, faire
vers points de vue, et c’est d’après ces divers points de vue que les œuvres vraiment poétiques se classent en trois genres pr
eu une grande influence sur une nation ou sur le monde entier, votre œuvre est un récit merveilleux, c’est la parole par exc
vénements, vous faites parler et agir votre héros devant nous ; votre œuvre est une action, un drame (δράω) ; voilà le genre
is hymne ou cantique, a pour objet de célébrer les perfections et les œuvres de Dieu, la gloire et la vertu des saints. Pour a
s talents et leurs passions pour concourir à l’accomplissement de son œuvre . Les personnages accessoires seront des agents pl
le but que le héros se propose et les obstacles qui s’opposent à son œuvre . Cette proposition doit être simple, courte, sans
ue nous venons de dire, un bon poème épique doit être regardé comme l’ œuvre la plus difficile, le monument le plus sublime du
du malheur et de l’opprobre qui s’attachent au crime. Dans toutes les œuvres de ce genre, le poète doit se proposer de former
connaît ce que les saints Pères et nos orateurs sacrés ont pensé des œuvres dramatiques. Mais on ignore parfois ce qu’en ont
un homme les idées d’un autre homme ; donnez-lui tout : le plan d’une œuvre , l’ensemble et les détails, les matériaux, tout,
et les détails, les matériaux, tout, jusqu’aux mots, jamais les deux œuvres ne se ressembleront. Le grand écrivain et l’autre
s principes communs à toute composition ? 33. Comment se divisent les œuvres littéraires ? Première partie. Du style. 34
lle lenteur faut-il corriger son travail ? 295. Faut-il soumettre son œuvre à la correction d’un maitre ou d’un ami ? 29G. Le
dactique ? 357. Que demandent principalement les dissertations et les œuvres de raisonnement ? 358. Quelles sont les principal
rage élémentaire ? 360. Quels sont les caractères qui conviennent aux œuvres de polémique ? 361. Quel est le but des critiques
la critique d’un outrage ? 363. Les jeunes gens peuvent-ils juger une œuvre littéraire ? 364. Dans quel sens peut-on entendre
présenter la morale ? 478. Faut-il regarder le poème épique comme une œuvre bien difficile ? 479. Quels sont les poèmes que l
39. Quel fut le sentiment de plusieurs grands hommes du monde sur les œuvres dramatiques ? 540. Que comprend-on sous le titre
16 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XIV. de la fin  » pp. 189-202
lques exemples de ce procédé, et je le crois fort admissible dans les œuvres de peu d’importance, dans les badinages, dans les
a qu’il compare au dénoûment dramatique la péroraison qui termine les œuvres oratoires. A la tribune, en effet, au barreau, à
re par ces résumés, ces récapitulations plus convenables en effet aux œuvres qui s’adresent à l’esprit et à la raison qu’à cel
’ils donnent ou les résultats qu’ils promettent à l’avenir ; dans les œuvres philosophiques ou didactiques, dans certains disc
par la méditation un plan qui embrasse l’ensemble et les détails de l’ œuvre , et le suivre fidèlement. De l’ordre naissent la
17 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Ponsard 1814-1868 » pp. 583-600
un souffle d’honnêteté vengeresse et indignée. Sans parler des autres œuvres de M. Ponsard, (Horace et Lydie, Homère, Ulysse,
e pas se réserver un jour pour l’imprévu, Et gaspiller le temps d’une œuvre sérieuse Dans cette oisiveté rude et laborieuse4 
l fallait combattre, Quand nous avons vaincu, nous devons consommer L’ œuvre républicaine en la faisant aimer. Elle aura tous
a faveur de choisir dans leur catalogue si littéraire les noms et les œuvres appropriés à notre dessein. 1. MM. Michel Lévy o
a faveur de choisir dans leur catalogue si littéraire les noms et les œuvres appropriés à notre dessein. 1. Au lever du ridea
’auditoire rentrait dans la douce lumière, dans la belle harmonie des œuvres antiques. C’était une impression semblable à cell
18 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Première partie. Principes de composition et de style. — Chapitre premier. De l’art de la composition en général. »
s vers faciles. La légèreté dans le travail ne produit jamais que des œuvres faibles et médiocres. Les discours de Démosthène
rincipales sont : 1° l’unité, 2° l’ordre, 3° la convenance. 1° Aucune œuvre n’est parfaite si elle ne possède l’unité, c’est-
’est cet ensemble qui constitue l’harmonie. Ce qui rend admirable les œuvres du Créateur, c’est l’unité harmonieuse qui y bril
19 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre lII. »
rable que celui d’Homère. « L’Énéide de Virgile ne fut pas à Rome une œuvre native et inspirée : c’est une admirable copie de
s et merveilleuses. L’intérêt est la condition première de toutes les œuvres imagination. Dans l’épopée, l’intérêt dépend de b
s étaient de son temps, et c’est là un des plus grands mérites de ses œuvres . La vérité des caractères et des mœurs peut seule
t imaginaires, le poète doit se régler d’après les convenances de son œuvre . Les caractères doivent être soutenus et variés e
20 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « Introduction » pp. -
que nous avons accommodé à notre génie. Cette métamorphose, qui fut l’ œuvre de l’instinct, eut pourtant la sûreté d’un calcul
i par la fantaisie de ceux qui se le passaient de mains en mains. Ces œuvres où l’art individuel jouait un moindre rôle que la
nt dans le voisinage de Saint Louis que se ralentit la production des œuvres animées du pur esprit chevaleresque. Alors, et pe
se dessèche, la forme se dégage, s’épure et s’affine. C’est en cette œuvre que se rencontre pour la première fois le croisem
s. Tel fut le continuateur du Roman de la Rose, Jean de Meung, dont l’ œuvre résume les doléances plébéiennes, les sourdes ran
le juste avec l’utile. Son livre est un monument qui nous rappelle l’ œuvre principale du xve  siècle, l’unité de la France c
21 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Thiers. Né en 1797. » pp. 513-521
. Thiers mérite d’être appelé notre historien national ; car dans les œuvres monumentales que nous devons à sa plume infatigab
ue toute histoire où se montre une seule de ces qualités nous est une œuvre appréciable, et hautement appréciée des génératio
, comprend, s’il est enfant ce qu’on lui enseigne, s’il est ouvrier l’ œuvre qu’on lui donne à exécuter, s’il est homme d’État
ur sur le Borysthène. Il tombe enfin, laissant le monde rempli de ses œuvres , l’esprit humain plein de son image, et le plus a
22 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie —  Lamennais, 1782-1854 » pp. 455-468
il avait adoré, M. de Lamennais nous offre dans sa vie comme dans ses œuvres les douloureuses contradictions d’une âme altière
car, s’il se recherche à quelque degré, si, pour persévérer dans son œuvre , il a besoin d’en voir le fruit, il ne tardera pa
t pas l’homme qui le fait ; il ignore même comment s’est opérée cette œuvre merveilleuse. Il a semé, voilà tout ; et de jour,
us les événements heureux ou malheureux y servent également. Et cette œuvre dépend en entier de nous, quelle que soit notre s
ervage de ceux au-dessus desquels il doit s’élever pour accomplir son œuvre . Celui qui se soumet aux hommes s’est auparavant
23 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Sainte-Beuve 1804-1870 » pp. 291-295
ssure à sa critique l’intérêt impérissable qui s’attache à toutes les œuvres où l’homme apprend à se connaître. Nul ne s’insin
re de chaque écrivain l’encre dont il se sert pour parler de lui. Ses œuvres sont une encyclopédie qui embrasse la philosophie
s sont des sceptiques ; plaignons-les. 10. Pascal possédait à fond l’ œuvre de Montaigne. 11. Ce fragment est détaché de l’h
24 (1882) Morceaux choisis des prosateurs et poètes français des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles. Cours supérieur. Poètes (2e éd.)
soin moins scrupuleux qu’aux vastes travaux de philologie qui sont l’ œuvre de notre vie ! Dix-septième siècle Aperçu
lement les plus rares comme les plus grands monuments. Passionnée des œuvres de Ronsard, de du Bellay, de Desportes, de Bertau
ault, tout ce groupe d’écrivains immortels qui, dans leurs meilleures œuvres , parurent obéir à une même inspiration. Quels fur
r prostitué les muses. Assurément le cynisme n’est pas le fond de ses œuvres  ; au lieu du poète licencieux, elles nous montren
précurseur de Molière, c’était mettre sur le même rang l’ébauche et l’ œuvre achevée. Description d’un repas ridicule. (Sati
raison, et l’autre n’a point d’ordre, L’autre avorte avant temps des œuvres qu’il conçoit ; Or il vous prend Macrobe, et lui
de mots dans un ordre tout de convention. En résumé, le meilleur de l’ œuvre de Malherbe, c’est la partie toute négative et cr
isque de n’y rencontrer ni les mêmes honneurs ni la même fortune. Son œuvre poétique se partage entre les poésies bucoliques
en publia un certain nombre d’autres, et bientôt fit entrer dans son œuvre tout le psautier, à l’exception de deux psaumes q
t mondain et il y apporte toutes les qualités qui ont brillé dans ses œuvres profanes : une versification ferme, soutenue, et
de plagiat. Il répondit à ces reproches en produisant Horace (1639), œuvre dans laquelle tout, excepté le sujet et le nom de
specter, quels que soient mes desseins, Ou le choix de mon cœur, ou l’ œuvre de mes mains. Je l’ai fait votre égal ; et, quoiq
fait représenter de suite devant lui à Versailles, en octobre 1676. ( Œuvres diverses)     Est-il vrai, grand monarque, et
chœurs, un chef-d’œuvre lyrique. Nous avons passé en revue toutes les œuvres dramatiques de l’émule de Corneille. Il ne nous r
it en recueil, tant d’insensibilité affligerait. Cependant, il a fait œuvre d’une moralité haute et courageuse en attaquant l
laisir auraient détruit ses charmes ; Mais, n’osant attenter contre l’ œuvre des cieux, Le soleil se chargeait de ce crime pie
re au dix-septième siècle. Quelque nom qu’il ait donné à ses diverses œuvres , partout son génie est essentiellement satirique,
auteur « de mouiller de larmes un ouvrage de pure plaisanterie ». Les œuvres de Boileau vivront surtout par la langue, quoique
pie presque toujours. Le poète J.-B. Rousseau, dans l’ensemble de ses œuvres comme dans l’ensemble de sa vie, prête à un doubl
spiration grecque. Mais dans tout cela il n’y a pas une incontestable œuvre de génie. Un grand poète devait cependant se révé
taquer l’origine même de toute religion ; mais il ne produisit qu’une œuvre dénuée de vérité et de conscience. Cet ambitieux
re une note différente. Il osa rire, sur le théâtre de la foire, de l’ œuvre tant vantée. Aujourd’hui il ne faut pas beaucoup
es de sujets. C’est la fleur de l’esprit et du goût. Cette partie des œuvres poétiques de Voltaire est la seule qui gagne à l’
u de modèle et n’a pas été imité depuis. On n’aurait point cru qu’une œuvre si exquise pût être écrite par un jeune religieux
-unes de méchanceté. Nous ne disons rien de ses poésies licencieuses, œuvres de sa jeunesse, qui, jointes à ses habitudes cyni
ve Jusqu’au règne obscur de la nuit. Seigneur, Être parfait, que tes œuvres sont belles ! Tu fais servir l’accord qui les uni
it et de verve. Ces épigrammes sont la partie la plus piquante de ses œuvres , et, comme l’a dit Sainte-Beuve, elles forment, d
e tout ce dont il était capable et qu’il ne laissa rien d’achevé. Ses œuvres se réduisent aux Odes, rarement lyriques, couronn
l’art grec. Revenant, en 1783, à Shakespeare, il donna le Roi Lear, l’ œuvre la plus hardie et la plus romanesque qu’on eût en
leurs du drame anglais autant qu’il lui fut possible sans énerver son œuvre . Son héros n’est point un homme féroce, c’est un
s chants de liberté sentent le travail. Il n’y a qu’une partie de ses œuvres que nous puissions recommander, ici — non sans ré
ps les Géorgiques françaises. Mais ce n’est nullement un pendant de l’ œuvre virgilienne. Ce qu’il y a de plus saillant dans l
Il appartient pleinement au dix-huitième siècle ; car la plupart des œuvres publiées par lui à partir de 1800, il les avait c
té du vœu, et que l’on peut sans trop rougir confronter le total de l’ œuvre avec les premières espérances. Les poètes lyrique
go, ni Alfred de Vigny, ni Alexandre Dumas ne produisirent une de ces œuvres privilégiées, vraiment achevées, qui attestent un
paysagistes sur ses prédécesseurs au temps du premier Empire190. Les œuvres de ces descriptifs parlent à l’âme moins qu’à non
algré toutes les beautés de détails ou d’ensemble dont brillent leurs œuvres , Henri Étienne les aurait appelés des gâte-frança
er les accents de l’âme pour chanter l’amour maternel. Le recueil des œuvres complètes de Millevoye offre bien des pauvretés,
ellé et flétri jusqu’au sang des vices honteux220. Que ce soit là son œuvre , sa vie véritable, sa gloire, nous l’accorderons,
osité du sujet soutinrent, dans un temps de disette dramatique, cette œuvre froide et ennuyeuse. Le public fit un accueil gla
p sur le dramatiste, les tirades de haut style abondent toujours. Ces œuvres mixtes, semi-classiques, semi-romantiques, ont fa
ntrigue et la langueur de l’action en rendent la lecture pénible. Les œuvres de Casimir Delavigne se terminent par des pièces
ie ! ah ! prolongez ma vie ! François de Paule. Dieu n’a pas mis son œuvre au pouvoir d’un mortel. Vous seul, quand tout pér
l contenu par la religion. Cependant, le sens moral est absent de son œuvre . Le héros, après le sacrifice magnanime qu’il a f
p écrit, trop parlé, trop agi, pour avoir pu condenser dans une seule œuvre capitale et durable le talent dont la nature l’av
laient croître librement, et pour ainsi dire au hasard. C’est par une œuvre théâtrale, par Cromwell (1857), qu’il passa fière
stère profond, impénétrable ; elle n’est plus à ses yeux qu’une belle œuvre dont il cherche l’auteur perdu pour lui : il semb
sentiment de la personnalité s’y développe d’une manière qui nuit à l’ œuvre et en rend souvent la lecture fatigante, même mal
a muse. Trois ans après les Contemplations, il donna une autre grande œuvre , la Légende des siècles (1859). En formant ce rec
ugo nous dit s’être proposé « de peindre l’humanité dans une espèce d’ œuvre cyclique, de la peindre successivement et simulta
e les faits voilés. La force, l’audace, la violence caractérise cette œuvre  ; l’amour du courage et de la justice, la haine d
taël ne croyait pas qu’on pût faire passer dans le vers français. Son œuvre de ce genre la plus importante est le poème de Ro
énération littéraire de la Restauration. Sa part a été notable dans l’ œuvre des jeunes écrivains qui s’appliquèrent alors ave
able caractère d’originalité. Ce qu’il y a le plus à louer dans cette œuvre , c’est le talent merveilleux avec lequel l’auteur
dans Éleusis, il chanta les mythes du polythéisme grec ; dans Hermia, œuvre toute de fantaisie et d’imagination, le panthéism
de Nicomède. On ne saurait décerner les mêmes louanges à la dernière œuvre de Ponsard. Galilée, représentée trois mois seule
rd ose moins que les romantiques et plus que les classiques. Mais ses œuvres ne vivront pas autant que celles des classiques :
ue de dégoûts et de déconvenues ! Les plus forts voient souvent leurs œuvres méconnues ; Prud’hon et Géricault ont eu ce même
ndues : son vers reste toujours le même, tranquille et vigoureux. Les œuvres de Leconte de Lisle révèlent plutôt une poésie d’
facent. Sully-Prudhomme (Né en 1839) Si l’on cherche dans les œuvres multiples de M. Sully-Prudhomme : Stances et poèm
préjuger que son but suprême serait de faire retentir dans le cœur l’ œuvre accomplie par le déploiement des plus hautes facu
e la mort détruit sans violence, Et calmes poursuivaient au jour leur œuvre impur. Tel un corps de Titan qui pourrit sous l’a
 : La peur fugitive est leur Dieu. (Gabriel de Chénier, édit. des Œuvres complètes d’André Chénier, t. III, p. 369, p. 288
a pensée la justesse qui lui manquait. (Gabriel de Chénier, édit. des Œuvres complètes d’André de Chénier, t. III, p. 369-370,
Delorme, 1861, p. 162. 182. Sainte-Beuve. Delille avait composé une œuvre touchante sur la Pitié. 183. Delille ici n’a pu
rs têtes, d’après la légende populaire. 233. Barbey d’Aurevilly, les Œuvres et les Hommes, 3e vol. 234. Il a pourtant rendu
à Hippolyte Fortoul, 6 avril 1836. 244. Loc. cit. 245. Préface des Œuvres complètes. 246. L’ange déchu. 247. Préface des
bou. 267. À V. Hugo, décembre 1829. 268. Voir la pièce XVI. 269. Œuvres complètes de M. Sainte-Beuve, Préface. 270. Lama
25 (1873) Principes de rhétorique française
l’étude des rapports entre la parole et la pensée ; cette étude est l’ œuvre propre de la rhétorique. Et comme l’intelligence
it pour en faire profiter son développement réfléchi ; c’est encore l’ œuvre de la rhétorique. Voilà pourquoi cet art de la pa
ivent ses détracteurs est son plus bel éloge. En attendant, c’est une œuvre utile que de présenter à l’étude de nos enfants e
er ; mais, chose non moins évidente, le génie est l’exception, et ses œuvres sont la leçon des hommes ordinaires, c’est-à-dire
de la philosophie : c’est l’application de l’esprit philosophique aux œuvres de l’imagination oratoire et littéraire. Quoi ! l
lles études, quelle patience, quelle assiduité sans relâche ! C’est l’ œuvre de la vie tout entière. 2. De l’éloquence. — Dan
monnaires du dix-septième siècle ? Non, il y a encore dans ces belles œuvres de la réflexion, de l’étude, c’est-à-dire de la r
re compte des choses ; c’est une des applications de la réflexion aux œuvres spontanées de l’intelligence. La rhétorique est u
sophe et le moraliste. Si donc le discours est comme le type de toute œuvre de l’intelligence et de la parole, les conseils q
euvent donner à l’orateur, s’appliquent également à toutes les autres œuvres de l’esprit ; et dans les règles de la rhétorique
mais il n’en reste pas moins vrai que cette division loin d’être une œuvre factice, une création de l’école, est l’expressio
— Bien que les qualités morales doivent se manifester dans toutes nos œuvres , cependant c’est au début surtout qu’il importe d
té de cette étude. — 13. Règles. 1. Des arguments. — Prouver est l’ œuvre principale de l’orateur et de l’écrivain. Aristot
forme rigoureuse ne convient qu’au logicien et au géomètre. Dans une œuvre littéraire, cette forme a besoin d’être brisée ou
s moins vrai que l’argumentation fait la force et l’autorité de toute œuvre de l’esprit. Les preuves sont les armes essentiel
aime encore mieux vous être utile. Plaire est la première qualité des œuvres destinées au public. On devra se préoccuper du mê
osition.. III. Les mœurs et les passions conviennent surtout dans les œuvres gui s’adressent aux êtres faibles et passionnés.
le plus vite possible l’objet de la composition. En effet, dans toute œuvre il y a deux parties essentielles : d’abord annonc
appellent le problème et la démonstration ; la remarque vaut pour les œuvres littéraires tout comme pour les travaux scientifi
tacher, vivre selon ses lois et rendre sa foi certaine par ses bonnes œuvres , Dans un assez grand nombre de circonstances, bi
elle que d’une phrase, sert à indiquer que le sujet est traité, que l’ œuvre est complète. Ainsi, tout compte fait, un exorde,
es arguments qui nous sont opposés. — Enfin, la péroraison couronne l’ œuvre en excitant les passions de l’auditeur ou du lect
fixées. 5. Utilité de la disposition. — La disposition accomplit une œuvre moins brillante que celle de l’invention. Il ne s
’ardeur des passions en vue de toucher les âmes. Mais il s’agit d’une œuvre non moins sérieuse et non moins utile, car toutes
e peuvent s’étendre à toute composition littéraire, et il n’est pas d’ œuvre si modeste et si simple par son objet et son cadr
de la plus haute consé­quence; favorable, elle étend son bienfait à l’ œuvre tout entière, mauvaise, elle réagit contre toutes
humaine ; la probité et la modestie attachent à la personne et à son œuvre , elles provoquent une attention favorable ; enfin
nous appelons leur attention. Qui ne porterait un intérêt sérieux à l’ œuvre d’un homme à la fois modeste et éclairé ? Ovide a
il est fait pour y préparer, autrement il ne serait plus qu’un hors d’ œuvre . C’est une observation ingénieuse de Cicéron reno
iques : I. Apporter le plus grand soin à duquel dépend le succès de T œuvre tout entière, II. Y montrer les mœurs, c’est-à-di
aut profiter au lieu de la laisser languir ; tout retard, tout hors d’ œuvre , toute longueur dans l’exorde pourrait en faire p
ntend plus que ceux qu’il fait parler. L’appréciation est digne de l’ œuvre et du critique, de Virgile et de Fénelon. C’est a
citant dans l’âme les émotions propres au sujet ; ainsi se complète l’ œuvre de l’écrivain ou de l’orateur. 2. Des deux parti
souvenir de.son commencement. C’est ce rapport qui fait l’unité de l’ œuvre et qui laisse le lecteur ou l’auditeur dans un ét
ales auxquelles ils répondent. Par suite, ce n’est guère que dans les œuvres de nos poëtes tragiques ou dans les élans les plu
ême que Tite Live, à propos de la ruine d’Albe. : Une heure fit de l’ œuvre de quatre siècles un monceau de ruines et de cend
dire de toi à ces ancêtres dont tu vois passer les images ? De quelle œuvre , de quelle gloire, de quelle vertu te dira-t-elle
ardente à    nous servir    que nous-mêmes, veuille bien achever son œuvre  ; sachez    qu’étant    prêts à saisir le moment
st ainsi qu’un artiste ne trouve pas de matière trop précieuse pour l’ œuvre qu’il a conçue et qu’il veut réaliser ; voilà pou
rai mon langage. Chaque genre d’écrire a son style propre comme toute œuvre artistique : l’architecture d’un théâtre diffère
pliqua même à la prose, et l’on put lui donner un soin qui en fît une œuvre littéraire. La prose est donc le langage affranch
es de la prose, toutes les nuances du style doivent concourir à cette œuvre difficile et délicate ; aussi peut-on répéter le
ppliquent à discerner le bien et le mal, le vrai et le faux, dans les œuvres littéraires. Les critiques et les publicistes se
mesure que s’accroissait le nombre des esprits qui s’intéressent aux œuvres de la pensée, à mesure que grandissait le rôle de
sécurité aux mouvements de débit et de geste qui doivent donner à son œuvre là vie, l’intérêt et l’apparence d’une inspiratio
-dire le culte de la moralité, de la justice et de la vertu. Ce fut l’ œuvre de Socrate d’apprendre à mettre au-dessus de tout
ons, et par suite est incapable de porter un jugement éclairé sur son œuvre . C’est le conseil d’Horace reproduit par Quintili
par les expressions les plus vives ; elle cherche à rivaliser avec l’ œuvre du dessinateur ou du peintre. Platon, au début du
à l’homme de charité devançant l’aurore, a recommencé le cours de ses œuvres bienfaisantes. Il a soulagé le pauvre, visité le
s les sens. La fin de ces deux hommes a été le juste salaire de leurs œuvres . Développement. — Washington n’appartient pas c
ne sur son dernier champ de bataille. Chacun est récompensé selon ses œuvres  : Washington élève une nation à l’indépendance ;
tion, l’opinion publique l’abandonne ; il reste seul et tombe. De son œuvre il ne survit que la première partie. Développem
voulu seul, toute la partie purement personnelle et arbitraire de scs œuvres tombe avec lui. 3. Du développement littéraire.
é, parce qu’ils pourraient donner l’apparence d’une déclamation à une œuvre qui doit ressembler plutôt à une exposition presq
nt littéraire. De la critique. Sujet. — La critique est l’examen des œuvres de l’esprit ; mais elle procède du sentiment auss
; elle en fait une partie essentielle. Non seulement elle examine les œuvres de l’esprit, elle essaye d’en déduire des règles
r à se rendre compte des mérites qui provoquent l’admiration pour les œuvres des grands écrivains. En effet, l’analyse raisonn
nds maîtres est la meilleure école du goût. L’étude critique de leurs œuvres est soumise à un ordre méthodique dont le bon sen
l’achèvement de l’homme selon le plan tracé par la Providence. Cette œuvre s’accomplit par le développement élevé, libre, gé
26 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Cousin, 1792-1867 » pp. 492-503
nte aux plus grands génies de la philosophie ancienne et moderne. Ses œuvres , où circule le feu de sa parole, sont un vaste ta
a Renaissance, imité l’antiquité, l’Espagne, l’Italie, et produit des œuvres charmantes, égales dans leur genre à toutes celle
me, qui a tout fait et tout ordonné avec poids et mesure, et dont les œuvres sont excellentes, dont les fins sont adorables, a
avait pas produit d’écrivain supérieur à lui. » 2. En parlant des œuvres historiques de M. Cousin, son successeur disait d
27 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — De Laprade Né en 1812 » pp. 576-582
tre ; Haut les cœurs Dans Eleusis et Psyché, qui furent ses premières œuvres , et font revivre des légendes antiques, la nature
plus de joyeux propos ; Il est temps que midi sonne enfin le repos. L’ œuvre languit ; la main, en essuyant la tempe, Retombe
le plaisir3 3. Pernette. Didier, librairie académique. 4. Les œuvres de M. de Laprade ont été éditées par MM. Michel L
28 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Cours complet de littérature à l’usage des séminaires et des colléges rédigé d’après les meilleurs critiques anciens et modernes par M. l’abbé A. Piron. Chanoine, Vicaire général, Membre de l’Académie des Arcades, ancien Professeur de littérature. » pp. 1-8
ant, les encouragements les plus précieux se sont déjà réunis sur son œuvre . L’auteur a pu déjà produire au public les lettre
ut donc que faire des vœux pour le succès toujours croissant de cette œuvre excellente. Dom Prosper Guéranger, Abbé de Soles
e est sûrement un des meilleurs que nous ayons. Il aura le succès des œuvres sérieuses, lent peut-être, mais assuré. Ayez la b
29 (1865) De la Versification française, préceptes et exercices à l’usage des élèves de rhétorique. Première partie. Préceptes. Conseils aux élèves.
er tout seuls. II. Et vous-mêmes, à votre tour, mettez-vous à l’ œuvre  : Essayez de faire des vers français. — Deviendre
. (Boileau, Art p., I, v. 171.) IV. L’auteur doit mettre à son œuvre tant de travail, tant d’art, que l’art et le trav
ileau. — Avec un millier seulement de rimes supplémentaires, pour les œuvres principales de Corneille et de Molière (soit, en
s rimes en AS, ATS, 262 vers. Ainsi, 131 vers (ou la 144e partie de l’ œuvre de notre poète) se terminent par le mot pas ; aut
ter les négligences ci-dessous, qui sont, d’ailleurs, extraites d’une œuvre moins parfaite que les Méditations. Et bondissa
durs. Qu'il me soit permis de signaler, ici quelques taches dans les œuvres de Boileau lui-même. Ainsi, les passages défectue
es les règles de l’art, et même avec une perfection digne d’une autre œuvre , à composer un poème, ce ne sera qu’un poème héro
30 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre III. du choix du sujet. » pp. 38-47
lutôt que la tête de Jupiter ? Avant que l’écrivain mette la main à l’ œuvre , ne se rappelle-t-il pas le monologue du sculpteu
peine de mentir à sa nature, il doit offrir, comme conséquence de ses œuvres , la vérité, la moralité, la beauté. En vain nous
? par quels moyens s’en tireront-ils ? Questions secondaires dans les œuvres de l’intelligence, pauvre mérite quand il est seu
31 (1885) Morceaux choisis des classiques français, prose et vers, … pour la classe de rhétorique
arer aux dangers d’une instruction malsaine et corruptrice ; plus les œuvres de l’esprit se multiplient, plus on doit choisir
voulu seul, toute la partie purement personnelle et arbitraire de ses œuvres tombe avec lui. Je ne me refuserai point à emprun
x produisent des systèmes, des écoles. La religion chrétienne est une œuvre pratique, non une étude scientifique ; au fond de
ble, les bienfaits qu’elle répand à pleines mains sur les hommes, les œuvres de miséricorde qu’elle inspire, et qu’elle seule
de résistance, ces grands hommes épurent, fertilisent, affermissent l’ œuvre des révolutions, parce qu’ils n’en laissent arriv
le, et de rétablir l’ordre dans les finances. Pour réussir dans cette œuvre patriotique, l’Assemblée nationale avait des ress
ne sur son dernier champ de bataille. Chacun est récompensé selon ses œuvres  : Washington élève une nation à l’indépendance ;
dérable, et obtenu le succès le plus franc, le plus incontesté qu’une œuvre collective de ce genre eût jamais rencontré chez
strictions ni réticences, ils avaient fait de notables progrès dans l’ œuvre malaisée d’acclimater chez nous cette virilité, c
et un seul rôle noblement rempli dans l’histoire. Mignet 21. Œuvres du XIXe siècle Si j’avais à faire l’apologie
er, une formidable concurrence à la comédie. J-J. Ampère 22. L’ Œuvre de l’Avenir Que d’œuvres à finir ! que d’œuvr
ce à la comédie. J-J. Ampère 22. L’Œuvre de l’Avenir Que d’ œuvres à finir ! que d’œuvres commencées Lèguent au lend
 Ampère 22. L’Œuvre de l’Avenir Que d’œuvres à finir ! que d’ œuvres commencées Lèguent au lendemain nos mourantes pen
t chacun veut son jour et crie au temps : À moi ! Voilà de l’avenir l’ œuvre où la peine abonde. Lamartine 23. La Pres
découvrir les premières ébauches de la création et les plus anciennes œuvres de Dieu. On s’élance vers les espaces jusqu’ici i
donc, si tu veux, ô poète, Vivant miroir de l’univers, Qu’animant ton œuvre imparfaite, Le vrai soleil brille en tes vers ;
, et que pour eux il n’y a jour de fête que celui où ils achèvent une œuvre nouvelle, ne regardant pas la tranquillité sans t
vie ! ah ! prolongez ma vie ! FRANÇOIS DE PAULE. Dieu n’a pas mis son œuvre au pouvoir d’un mortel. Vous seul, quand tout pér
tas de boue est pour vous l’univers ; Pour moi sur tous les points l’ œuvre divine éclate ; Vous la rétrécissez, et moi, je l
yrannie. RICHELIEU. Si je ne vous avais toujours forcé la main, Notre œuvre à moitié faite avortait en chemin. Dans les temps
plans récolter le fruit mûr, Et j’aurai la douleur de voir tomber mon œuvre Entre les mains d’un traître ou celles d’un manœu
mme qui veut rester dans un poste mortel ? Mais ne m’arrachez pas mon œuvre inachevée. Sire ! mon existence à ma tâche est ri
l fallait combattre ; Quand nous avons vaincu nous devons consommer L’ œuvre républicaine en la faisant aimer : Elle aura tous
l fallait combattre ; Quand nous avons vaincu nous devons consommer L’ œuvre républicaine en la faisant aimer : Elle aura tous
ne action — car je veux bien y croire — N’est qu’un commencement de l’ œuvre expiatoire. La vertu me paraît comme un temple sa
est, d’où elle vient, où elle va ; elle mentirait. Je la juge par ses œuvres . Voilà qu’elle vous propose la destruction de la
es qu’il a fallu fausser pour les rendre originales. Au milieu de ces œuvres bizarres d’une poésie mensongère, nous avons prod
bizarres d’une poésie mensongère, nous avons produit, je le sais, des œuvres admirables, mais à quelle condition ? C’est en dé
eurs si belles, qui suffirent alors à revêtir d’un éclat immortel les œuvres du génie antique. Dupanloup 74. La Beauté
pte, le beau idéal de la peinture est un trompe-l’œil, et son chef- d’ œuvre sont ces raisins de Zeuxis que les oiseaux venaie
leur propre mesure ; ils estiment et ils demandent qu’on estime leurs œuvres , à proportion qu’elles se rapprochent davantage d
uquel nul ne peut atteindre. Quand les autres arts veulent imiter les œuvres de la poésie, la plupart du temps ils s’égarent,
es fameux ; mais rien qui soit proprement d’eux ; nul monument, nulle œuvre de leur intelligence qui les représente aux homme
ocrités qui savent leur manœuvre Évitent avant tout de se montrer à l’ œuvre  ; Car dans ce bon pays indocile au devoir, Où tou
nent à cette alliance ; et elle se trouve marquée dans la plus grande œuvre qui ait occupé son génie. Personne, dans le même
ouleur qu’on laisse après soi, par la perpétuité de son nom et de ses œuvres , jusqu’à ces derniers et tristes débris qu’elle p
ulentes, cette nation de poètes et d’orateurs, avec tous ses chefs- d’ œuvre et tous ses trophées, va se perdre dans le gouffr
ue tous ses contes, et déchirait les trois quarts d’un gros recueil d’ œuvres posthumes, imprimées par ces éditeurs qui vivent
leste ? Ô quêteuses ! soyez belles, par charité, Car c’est une bonne œuvre aussi que la beauté ; Les grâces, les atours sont
pour éprouver notre justice et notre charité, et nous sauver par nos œuvres . Alors l’assistance devient honorable, parce qu’e
ne lui a pas été possible d’atteindre. Qu’il s’agisse, en effet, des œuvres de la politique ou des plus humbles travaux de l’
is qu’un effort violent est nécessaire pour accomplir ou poursuivre l’ œuvre commencée, c’est que l’art véritable a manqué. On
Il est seul, il est un, il est juste, il est bon ; La terre voit son œuvre et le ciel sait son nom ! Heureux qui le connaît,
bsolu, vers un autre monde, et qui en même temps lui enseigne que son œuvre et ses devoirs sont en ce monde et sur cette terr
ord. Pour moi, la philosophie n’est qu’une science, c’est- à-dire une œuvre d’homme, limitée, comme l’esprit humain lui-même,
gure de l’impitoyable Caron dans la fresque du Jugement dernier. 3. Œuvres . (Didier édit.) 4. Discours. (Didier édit.) 5.
Discours. (Didier édit.) 5. Recueillements. (Hachette édit.) 6. Œuvres . (Garnier et Didier édit.) 7. Œuvres d’Horace.
lements. (Hachette édit.) 6. Œuvres. (Garnier et Didier édit.) 7. Œuvres d’Horace. (Charpentier édit.) 8. Méditations. (
d édit.) 36. La Civilisation au ve  siècle. (Lecoffre, édit.) 37. Œuvres . (Gide, édit.) 38. Poésies. (Charpentier, édit.
Didier édit.) 76. Du Vrai, du Beau et du Bien. (Didier édit.) 77. Œuvres . (Didot édit.) 78. Poésies diverses. (Mich. Lév
blime, demandons-nous comment Homère et Démosthène écouteraient notre œuvre , quel jugement ils feraient de nous Que ces héros
de nos écrits. » (Longin.) 92. Causeries. (Charpentier édit.) 93. Œuvres d’Horace. (Janet et Cotelle édit.) 94. Les Obser
96. Le cardinal de Richelieu. 97. Père jésuite, auteur de diverses œuvres latines, professeur de rhétorique au collége Loui
rique d’Aristote, I, 13, 15. Cicéron, Pour Milon, ch. i, p. v. 104. Œuvres d’Horace. (Janet et Cotelle édit.) 105. Œuvres
ch. i, p. v. 104. Œuvres d’Horace. (Janet et Cotelle édit.) 105. Œuvres choisies. (Poussielgue-Rusand édit.) 106. Disco
32 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — André de Chénier 1762-1794 » pp. 480-487
que la terreur fit périr sur l’échafaud1. Le jeune malade Ses œuvres ont été publiées par M. Charpentier. Nous le reme
hui, mon malheur importune.  Vivez, amis ; vivez en paix3. 1. Ses œuvres ont été publiées par M. Charpentier. Nous le reme
harpentier. Nous le remercions d’avoir autorisé nos emprunts. 1. Ses œuvres ont été publiées par M. Charpentier. Nous le reme
33 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre X. du commencement  » pp. 131-145
fice ou le temple. » Sa forme même se réglera sur celle du reste de l’ œuvre , car le meilleur style de début est celui qui est
use simplicité disposent notre esprit en faveur de l’auteur et de son œuvre  ; nous devenons les amis de l’écrivain qui ne met
e de cet exorde. Aux yeux de l’apôtre, la science humaine est aussi l’ œuvre de Dieu, il ne dédaigne pas de s’y conformer ; il
s méditations. Après un tel exorde qui promet généralement plus que l’ œuvre ne donnera, celle-ci devient froide et décevante.
34 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Mignet. Né en 1796. » pp. 504-512
chez les peuples le dernier en date des arts de l’esprit. Elle est l’ œuvre de leur intelligence parvenue à toute sa maturité
procuré le solide avantage des lois ? Sachons continuer, messieurs, l’ œuvre de nos devanciers, et ne laissons pas dépérir dan
découvrir les premières ébauches de la création et les plus anciennes œuvres de Dieu. On s’élance vers les espaces jusqu’ici i
35 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Jean-Baptiste Rousseau 1670-1741 » pp. 441-444
t, sur le tout, aux salons complaisant. Que si jamais, pour faire une œuvre en forme3, Sur l’Hélicon Phébus permet qu’il dorm
s sot qui l’admire. épigramme 1653Ce monde-ci n’est qu’une œuvre comique Où chacun fait2 des rôles différents. Là,
36 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Racine. (1639-1699.) » pp. 83-90
nos premiers prosateurs : on le reconnaîtra par ses lettres, quelques œuvres polémiques et des fragments d’histoire, fort bien
. 3. La correspondance de Louis XIV donnée en grande partie dans ses Œuvres publiées en 1806, confirme en tout point cet élog
on peut voir l’avertissement mis en tête du t. V, dans l’édition des Œuvres de Racine donnée par M. Aimé Martin.
37 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — J. B. Rousseau. (1671-1741.) » pp. 254-266
sante, La nature languissante Se ranime et se nourrit. Oh ! que tes œuvres sont belles, Grand Dieu ! quels sont tes bienfait
ra novum… Rousseau, d’ailleurs, dit lui-même, dans la préface de ces Œuvres , « qu’il avait tâché de se former sur Horace, com
es que Rousseau a traduits ou imités, aux principales éditions de ses Œuvres . 2. On a remarqué, avec raison, qu’il y avait qu
38 (1881) Morceaux choisis des classiques français des xvie , xviie , xviiie et xixe siècles, à l’usage des classes de troisième, seconde et rhétorique. Poètes
u plan d’un poème, et en particulier du sujet et de la conduite d’une œuvre dramatique, est le plus souvent indispensable à l
nnaître le sujet, l’ensemble et quelquefois le caractère général de l’ œuvre tout entière. Ces notes compléteront dans une cer
formes de sa poésie. Un enthousiasme indiscret et précipité gâta son œuvre . Malherbe reprit sur de nouvelles bases la consti
les François « patriotes » (le mot lui est attribué) à accomplir une œuvre nationale en faisant de la langue maternelle une
s satires à la manière antique, d’ailleurs la plus personnelle de ses œuvres  ; — sonnets par centaines, importation de l’Itali
1573, après avoir, a l’âge de vingt et un ans (1553), accompli dans l’ œuvre commune la tache, applaudie avec enthousiasme, de
poètes s’était formée et s’était déjà fait connaître par bon nombre d’ œuvres , qui, tout en se rattachant à son école, attestai
eurs, généreux sans danger, jetèrent sur sa tombe. Voir l’édition des Œuvres de Melin de Saint-Gelais par M. Blanchemain, 3 vo
Voyage d’Hercueil, Arcueil), et Épigrammes. À l’apparition de chaque œuvre nouvelle c’était un nouvel applaudissement ; poèt
, outrant l’orgueil ordinaire aux poètes, écrivit en tête de la seule œuvre qui pouvait faire hésiter l’admiration, la Franci
C’est un fin artiste qui aime tout ce qui brille et chatoie dans les œuvres de la nature et de l’art. Il excelle à chanter av
on de Saint-Victor, et que visitait Henri III. — Il publia (1873) ses œuvres en quatre volumes. Elles comprennent neuf livres
acieux, Qu’il ait toujours l’honeur de Dieu devant les yeux (Qui sont œuvres de paix) ; son renom et sa gloire Seront dignes a
: Et l’Enfer est partout où l’Éternel n’est pas ; en ses Sepmaines, œuvre de théologie, d’érudition scientifique, zoologiqu
ureusement celui de Virgile (Géorgiq. III, 75 sqq.). Dieu dans ses œuvres O Pere358, done moy359 que d’une vois faconde
ne peut tomber ès lours sens des humains369, Se rend come visible ès œuvres de ses mains… Le monde est un grand livre, où du
souverain Mètre L’admirable artifice on lit en grosse lettre. Chaque œuvre est une page, et d’elle chaque effet Est un beau
Il les renia lui-même ; il ne les réimprima pas dans l’édition de ses œuvres qu’il donna deux ans avant sa mort. Elle contient
s. L’abeille toutesfois, ouvriere sacree, En tire la liqueur dont son œuvre est sucree ; De mesme on void plusieurs s’abuser
n poème de la Création en vingt-cinq chants, publié en 1874. Voir les Œuvres complètes de Théodore Agrippa d’Aubigné publiées
complaintes, chansons ; ses Élégies sont suivies de Mascarades ; ses Œuvres chrestiennes comprennent des prières, des psaumes
ion des grands Écrivains de la France, tome IV, ses Remarques sur les Œuvres de Desportes : il a, à l’exception des Psaumes, t
coches sur moi trop d’ardentes sagettes535. Que me demandes-tu ? mes œuvres imparfaites, Au lieu de t’adoucir, aigriront ton
sa période en font un précurseur du réformateur de notre poésie. Les œuvres de Bertaut parurent successivement de 1602 à 1623
eux, comme le Roy l’a fait aux vieux guerriers ; Qu’ils composent une œuvre  : on verra si leur livre, Aprés mille et mille an
cessa jamais qu’il n’eut fait sa legende629. Me voyant froidement ses œuvres advoüer630, Il les serre, et se met luy-mesme à s
mier recueil complet est de 1621. Ménage annota et publia en 1666 ses œuvres réunies. La Collection des grands écrivains de la
grands écrivains de la France contient une édition définitive de ses œuvres de vers et de prose, en cinq volumes in-8° : le p
c un charme pénétrant. Voilà de piquants et touchants contrastes. Son œuvre poétique est courte et de prix. A vingt-neuf ans,
s défauts sont de son temps, le reste est de lui. Il faut oublier les œuvres de sa vieillesse où les défauts que j’impute au t
joutons une Pastorale comique, deux « farces » qui sont deux chefs- d’ œuvre de naturel, de gaieté et d’esprit, les Fourberies
d’un beau style, et sa prose est coulante. La Pucelle est encore une œuvre bien galante, Et je ne sais pourquoi je baille en
        Quoi ! déjà, je vous prie, Vous repentiriez-vous d’avoir fait œuvre pie ? Une fille nubile, exposée au malheur, Qui v
oulu croire ! CRISPIN, toujours à genoux. Ne vous repentez pas d’une œuvre méritoire. Voulez-vous, démentant un généreux eff
dit Sainte-Beuve, et il l’a apprécié judicieusement (Discours sur les œuvres de Malherbe, 1629). Il passa de l’hôtel de Rambou
ton en parle Scudéry, qui publia en 1632 la troisième édition de ses œuvres . « … Pour moy, je me picque d’aimer jusques en la
articulière de presque tous ces genres nous rencontrerons le nom, les œuvres et la gloire éclatante de Voltaire ; au terme de
pas le poème de Voltaire de dormir honorablement aujourd’hui dans ses œuvres complètes, où l’on ne va guère le chercher que po
ent et de décadence poétique. Avant d’y arriver il produit encore des œuvres régulières et estimables : la Grâce (1726) et la
Métromanie (1738), Gresset (1709-1771) son Méchant (1747). Malgré ces œuvres capitales auxquelles la tragédie, à part le théât
ait retenues. C’est peut-être ce qu’on relit le plus souvent dans son œuvre poétique. La satire s’y glisse volontiers comme d
ssais ou des fragments, mais dans quelques-uns des plus purs chefs- d’ œuvre de notre langue, la poésie élégiaque et la poésie
ni se rajeunir ni se vivifier. A. Chénier, qui commence avec éclat l’ œuvre nécessaire de la rénovation, est arrêté par la mo
poésie. Laissons le prosateur. Voltaire, poète, n’a pas laissé de ces œuvres où les forces du génie se ramassent et se concent
contes, stances, billets, épigrammes, madrigaux, impromptus. De cette œuvre considérable et multiple qu’est-il resté ? Des po
les héros de la tradition tragique ou en créer de nouveaux, c’est une œuvre qui prend un homme entier. Voltaire ne lui donna
richesses de l’univers, et il appelait les nobles esprits à tenter l’ œuvre avec lui. « Osons », s’écrie-t-il encore dans ce
cheraient le nôtre de les goûter. Nous choisirons seulement, dans les œuvres lyriques, quelques strophes dont le temps n’a pas
ues, quelques strophes dont le temps n’a pas effacé l’éclat, dans les œuvres d’un genre moins sévère quelques passages où l’on
isé et naturel, le bon sens des maximes morales qui abondent dans ses œuvres . Il appartenait à ce groupe, ou, si l’on veut, à
Crac dans son petit Castel en 1791, le Vieux Célibataire, son chef- d’ œuvre , en 1792. Ne séparons pas de lui son ami Andrieux
deux poètes, leurs contemporains, morts jeunes tous deux, et dont les œuvres d’ordre secondaire respirent une émotion honnête
tive, la tragédie de l’Empire nous a transmis des noms plutôt que des œuvres . Je laisse ceux dont la renommée lui est antérieu
empereur : la pièce n’eut qu’une représentation ; Tibère, son chef- d’ œuvre , ne fut pas représenté, Baour-Lormian (1770-1854)
llevoye (1788-1816), mort jeune, est l’image même de l’élégie par les œuvres et les regrets qu’il a laissés. Arnault est estim
epuis Mme de Girardin. C’est en ces années que la publication de deux œuvres éclatantes révéla ou popularisa deux noms qui rep
chaque jour son âme. Mais il n’a plus reparu sur la scène que par les œuvres presque demi séculaires qu’on s’est repris à appl
à l’imagination de ses lecteurs dans des récits dramatiques comme une œuvre de théâtre, elle le montre sur la scène aux yeux
ent un brillant continuateur de l’école classique de la tragédie. Ses œuvres dramatiques sont aujourd’hui mortes avec elle, co
icain du passé ni au résigné du présent, qu’il écrivit ce qui, de ses œuvres , restera, non pas une tragédie de Philippe II, ni
explique dans la préface de Marino Faliero) qui a valu au public des œuvres de talent, pleines de ressources dramatiques, de
avec les traditions du style dit classique. Il en est résulté de ces œuvres de demi-caractère que le temps efface, ou au moin
e Shakespeare, de Goethe et de Schiller, un code, un manifeste et des œuvres , contestées souvent, mais considérables, et rajeu
adoue (1835), en prose.) Sa langue, à la juger dans l’ensemble de son œuvre immense, a une variété infinie de tours et de mou
u Proverbes, jouées tard, mais toujours jouées depuis, complètent son œuvre . Génie capricieux et charmant, plein de feu, de v
ctère propre, celui qui fera vivre la partie la plus originale de son œuvre , ses tableaux de voyages, est un art achevé de pe
ête la loupe en main. Il excelle à marier les effets pittoresques des œuvres de l’art humain à ceux des œuvres de la nature. C
marier les effets pittoresques des œuvres de l’art humain à ceux des œuvres de la nature. Comme Victor Hugo, il aime les « vi
la cité, le temple) compléta par un essai théorique l’ensemble de ses œuvres . Souvenir du pays. La maison du Moustoir1450
lles Il a monté la herse et le sac des semailles. Le sol même est son œuvre . Au grain blond et vermeil Dieu n’a rien pour sa
tragédie de la Fille d’Eschyle (1848), trois mots peuvent résumer son œuvre poétique : matelots, paysans et soldats, héros de
eine de poésie militaire. Ainsi se forme et se lie le faisceau de son œuvre , œuvre d’inspiration sincère, œuvre de bonne foi.
poésie militaire. Ainsi se forme et se lie le faisceau de son œuvre, œuvre d’inspiration sincère, œuvre de bonne foi. Le
orme et se lie le faisceau de son œuvre, œuvre d’inspiration sincère, œuvre de bonne foi. Le monde sous-marin Qui de v
êt partout des idées et des sentimeuts purs. Charlotte Corday est son œuvre la plus puissante ; Lucrèce restera son œuvre ori
harlotte Corday est son œuvre la plus puissante ; Lucrèce restera son œuvre originale. Les temporisations de Brutus J
ers l’unité. Il sait que de lui seul dépend le sort du monde Et que l’ œuvre des rois sans lui n’est pas féconde. Quand des so
peuples opprimés ! — Quels beaux destins pour nous ! Quelles superbes œuvres  ! Quoi ! lorsque nous avons, ô débiles manœuvres 
! Seul tu glorifias dignement le grand Être. C’est que tu regardais l’ œuvre du créateur De l’œil d’un homme libre, adorant so
rté, Par les crimes commis sous ton nom emprunté ! S’il est une belle œuvre , elle est toute la tienne ; Mais les iniquités n’
de boue est pour vous l’univers1532 ; Pour moi sur tous les points l’ œuvre divine éclate : Vous la rétrécissez, et moi, je l
-mêmes éveillent en lui les souvenirs de la patrie ou du cœur. (Voyez Œuvres complètes, édit. A. Lemerre). Christ mort
) est transformé en adjectif. 208. L’Iliade et l’Odyssée. 209. Les œuvres enfantées par… 210. Une voix chantante et gazoui
isceau ou bouquet d’épîtres au roi de France. — sont la partie de ses œuvres la moins connue et la plus digne de l’être. Il fa
’Euripide, de Toutain, et des poètes dramatiques, dont on va voir les œuvres . 306. Trompeur. Étym. : pipare, siffler, pour p
adresse son Chien courant, suivi de Adonis ou la chasse au sanglier ( œuvres poétiques). — En 1625, fut publié le Livre de la
fable, Des mœurs du temps un portrait véritable, Pour consommer cette œuvre du démon. (Le Pauvre Diable.) Sur Fénelon :
rdinaire : le dernier a un puissant essor. — N. B. M. J.-V. Le Clerc ( Œuvres de Cicéron, t. 35) fait remarquer que Voltaire a
 ; je suis encor moi-même. 1146. Abufar ou la famille arabe est l’ œuvre dramatique la plus personnelle de Ducis. Sans dou
on, ch. IV), la Grèce comme Chateaubriand. Il n’en est resté dans ses œuvres que quelques traces pâles et effacées : « aspects
stoire, l’ombre grandie du héros. — C’est ainsi qu’il a semé dans son œuvre les fragments épars et grandioses d’une épopée na
d’Automne, Ce qu’on entend sur la montagne, peuvent aussi résumer son œuvre , telle qu’elle se déploie dans la suite de ses re
Je sentiment très vif de l’harmonie des tableaux de la nature et des œuvres de l’art. À chaque page, la lumière qui se joue s
is quoi d’achevé » que la vétusté ajoute par la main de la nature aux œuvres sorties de la main de l’homme (Les Voix Intér., I
s tempêtes, Tenir tête à l’Europe et marcher aux conquêtes, C’est une œuvre inouïe. Cf. Émile Augier. Dans la Jeunesse, comé
39 (1912) Morceaux choisis des auteurs français XVIe, XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles
stoit l’aube crevee. Renart a la teste levee : Il se regarde, les iex œuvre  : « Frere », fait-il, « car lessiez œuvre ! Alons
ee : Il se regarde, les iex œuvre : « Frere », fait-il, « car lessiez œuvre  ! Alons nous en, biaus dous amis, Assez avons de
es gardes et ouvre les yeux. —  « Frère, fait-il, or çà laissez votre œuvre  ; — allons-nous-en, beau doux ami ; — nous avons
ébut du Roman de la Rose 27, dont le cadre, comme celui de beaucoup d œuvres poétiques du moyen âge, est le récit d’un songe.
pierre, sans aucun aide et sans aucun repos. Ce fait, je fis cuire l’ œuvre susdite en première cuisson, et puis, par emprunt
e ma fournée se portait bien. Le lendemain, quand je vins à tirer mon œuvre , ayant premièrement ôté le feu, mes tristesses et
es vents, pluies et gouttières me gâtaient la plus grande part de mon œuvre aupavarant qu’elle fût cuite ; tellement qu’il me
de Plutarque et les petits traités de cet auteur connus sous le nom d’ Œuvres morales ; cette traduction, qui rendait populaire
rsa pas du vin ni de l’huile dedans, ains416 seulement de l’eau417. ( Œuvres morales de Plutarque 418 : Du trop parler.)
férences ; enfin à réconcilier ceux qui seront divisés. C’est faire l’ œuvre de Dieu et se montrer ses enfants en imitant sa b
lin de la Chine (1755), Tancrède (1760). Les plus remarquables de ses œuvres en prose, pendant la même période de sa vie, sont
ntière de la France et de la Suisse, il donna encore quelques grandes œuvres historiques et dramatiques, et des romans satiriq
informer ; envoyez-le-nous de panier en panier ; vous ferez une bonne œuvre . J’aime mieux élever un Pichon que servir un roi,
e les écrivains, si nombreux au xixe siècle, qui ont donné dans leur œuvre une grande place à l’expression de ce sentiment.
iment dans la composition et l’interprétation des œuvres d’art et des œuvres littéraires, la brillante fantaisie du Neveu de R
ir ses Mémoires d’un père pour servir à l’instruction de ses enfants, œuvre dont toutes les parties ne sont pas également rec
n 1815, elle y composa son intéressant récit Dix Années d’exil et son œuvre la plus fortement conçue peut-être, Considération
tyrs (1809). Après sa mort furent publiés ses Mémoires d’outre-tombe, œuvre inégale, mais dont certaines parties sont peut-êt
ngiens (1840), écrits selon le même système, sont, en leur genre, des œuvres parfaites, et il faut encore citer d’Augustin Thi
ns une attitude droite et avec le glaive. Les deux maîtres des hautes œuvres l’avertirent de son erreur, et l’aidèrent à poser
t glorieuse place dans l’histoire politique du xixe siècle. Ses deux œuvres les plus célèbres1539 sont une Histoire de la Rév
naient à rétablir le pont, et sa vertu fut écoutée. Ils se mirent à l’ œuvre avec un zèle admirable. Le général Lauriston1555,
ale, à la Sorbonne et au Collège de France, s’est immortalisé par ses œuvres historiques. Histoire romaine (1831), Précis de l
ons et gratifications qu’il reçut sous l’Empire passèrent à de bonnes œuvres , et il leur affecta constamment son traitement de
héros ne sont pas très profondément étudiés et qu’on trouve dans ses œuvres peu de pages d’un style vraiment achevé1599. Un
; rentré en France en 1870, il fut de nouveau élu député en 1871. Son œuvre est multiple : d’une manière générale, on peut di
1860) ; d’autres en vers : Napoléon (1835), Prométhée (1838) ; et des œuvres historiques : Marnix de Sainte-Aldegonde, la Révo
— à quoi ? je ne saurais le dire — que, malgré le réel mérite de ses œuvres , ce qu’il était l’emportait beaucoup sur ce qu’il
rs noms, qu’il est impossible de distinguer l’apport de chacun dans l’ œuvre commune. C’est dans la région rhénane que se pass
897, Alphonse Daudet publia d’abord un recueil de poésies et quelques œuvres dramatiques. Son Petit Chose (1868) et ses Lettre
livre et du géant ! Que de fois, sur le point de commencer une grande œuvre ou de conduire une vaste entreprise, je fus arrêt
ble, oyez-vous bien1831, Ouvrir sa bourse et ne rien voir dedans. » ( Œuvres poétiques, édit. Prosper Blanchemain. Tome I, p. 
être maistre de soi1837, Que commander au demeurant des hommes1838. ( Œuvres poétiques, édit. Prosper Blanchemain, tome II, p.
, mon petit chat gris : Belaud, qui fut par aventure1932 Le plus bel œuvre que nature Fit onc1933 en matière de chats : C’ét
compte de l’importance des réformes de ce dernier. Racan a laissé une œuvre de longue haleine, les Bergeries, pastorale2070 e
témoins de mon inquiétude, Soyez-le désormais de mon contentement. ( Œuvres , édit. Tenant de Latour, t. I, p. 196). Corne
omédie héroïque de Don Sanche d’Aragon (1650). La plus importante des œuvres de Corneille après ses œuvres dramatiques est une
d’Aragon (1650). La plus importante des œuvres de Corneille après ses œuvres dramatiques est une traduction en vers de l’Imita
tte (1671-1743), son ami, qui se fit, après sa mort, l’éditeur de ses œuvres . La modération dans les désirs L’argent, l’a
égories, des épîtres et d’assez bonnes épigrammes, a dû surtout à ses œuvres lyriques, odes et cantates, une renommée qui ne s
ivité, quelques poésies politiques d’une extrême violence. Ses autres œuvres comprennent des pièces antiques, où l’on retrouve
n ; l’invention de la fable et des caractères dans les deux dernières œuvres est médiocre, et il faut reconnaître en général q
férents recueils de poésies, quelques pièces touchantes, et, dans ses œuvres dramatiques, des scènes pathétiques, pleines de m
vie ! ah ! prolongez ma vie ! François De Paule. Dieu n’a pas mis son œuvre au pouvoir d’un mortel. Vous seul, quand tout pér
ient été publiés isolément et dont le plus ancien remonte à 1839. Son œuvre poétique est donc de peu d’étendue : encore plusi
: Toute la mer brûlait. Mais, quand le jour revint, chacun connut son œuvre . Les trois vaisseaux flottaient démâtés, et si la
en Dieu. Comme prosateur, Musset a laissé des Comédies et Proverbes, œuvres pleines à la fois de fantaisie et de sensibilité,
casse (1863)2792. Premier sourire du printemps Tandis qu’à leurs œuvres perverses Les hommes courent haletants, Mars qui
oire, ils ont fait leur devoir ! Leur nom n’est pas signé sur quelque œuvre éphémère2834 ; Nul titre étincelant ne luit sur l
tique en cinq actes (1848), mit le sceau à sa renommée. Ses premières œuvres sont entrées depuis dans la composition de recuei
rèce (1843), et une comédie, l’Honneur et l’Argent (1853). Ses autres œuvres furent moins heureuses, malgré les beaux vers qui
Seul tu glorifiais dignement le Grand Être. C’est que tu regardais l’ œuvre du Créateur De l’œil d’un homme libre, adorant so
s tempêtes, Tenir tête à l’Europe et marcher aux conquêtes, C’est une œuvre inouïe, et que ces gens mal nés Surpassent en vig
e la famille, l’amour des humbles, l’amour de la patrie. Aussi, peu d’ œuvres poétiques sont-elles et resteront-elles plus popu
est surtout comme auteur dramatique qu’il est célèbre : sans parler d’ œuvres moins importantes, comédies, à-propos, le succès
urs pas peu contribué à assurer la sympathie du public français à une œuvre moitié légendaire, moitié symbolique, dans laquel
Lorraine, André Theuriet a su peindre avec un rare bonheur, dans ses œuvres en prose et en vers, les aspects, les charmes, le
rées, Et leur parfum discret embaume le palier ; Les ciseaux sont à l’ œuvre et les grappes lustrées Tombent comme les grains
es, et fait représenter des drames et des comédies en vers. Quoique l’ œuvre de ce poète délicat soit très varié, c’est par to
martine (1883). Comme auteur dramatique, M. Jean Aicard, entre autres œuvres , a fait représenter deux drames en vers qui reste
849) Né à Médéah, en Algérie, M. Jean Richepin, dont les premières œuvres ont été publiées dès 1872, s’est surtout fait con
shérités, des déclassés, des vagabonds des champs et de la ville. Les œuvres qui ont suivi, plus virulentes d’abord, plus assa
uses. Ces mérites paraissent peut-être plus éclatants encore dans les œuvres dramatiques de M. Richepin, parmi lesquelles nous
r à la cause de l’éducation populaire et toutes ses publications, ses œuvres personnelles comme ses éditions fragmentaires des
Loire (aujourd’hui chef-lieu de canton du département du Loiret). Son œuvre principale est la suite (environ 18 000 vers) qu’
ncouragea, en s’y mêlant, leurs tournois poétiques. Le recueil de ses œuvres se compose de plus de six cents petites pièces, b
ien de lui. Mais ce vilain homme se trouvait être un grand poète. Son œuvre la plus importante, le Grand Testament, appartien
hesse de l’image, par la sincérité et la profondeur du sentiment, une œuvre sans pair dans notre ancienne littérature. — Nous
nt, devanture, étalage. 159. Ouvroir, endroit où l’ouvrier fait son œuvre  ; ici, boutique. 160. Portefaix. C’est le premie
Plutarque. Rappelons que cet écrivain grec, dont Amyot a traduit les œuvres , est né vers l’an 50 et mort vers 120 après J.-C.
s tard Voltaire a fait de même dans quelques lettres et dans quelques œuvres légères. Certaines lettres de la jeunesse de Raci
de la haute médecine, par allusion au nom d’ «  exécuteur des hautes œuvres de la justice », qu’on donne souvent au bourreau.
de toute production, où il semble que la nature n’ait point fait son œuvre . 1155. Entre les derniers mois de 1722 et les p
, à les entendre, au sens vulgaire du mot. 1347. Cette statue est l’ œuvre de Falconet (voir page 222, note 2). — Saint-Péte
de agitée de la vie de Schiller, qui est surtout représentée dans ses œuvres par son premier drame, les Brigands (1780). 1356
ème Récit, que nous citons dans le recueil du Deuxième cycle. 1517. Œuvres publiées chez Perrin, éditeur. 1518. Marie Suart
eur. 1582. Le livre d’où ce fragment est tiré n’est pas exactement l’ œuvre de Michelet lui-même : il a été rédigé par sa veu
forme à notre misérable situation. 1588. Flammarion, éditeur. 1589. Œuvres publiées par Poussielgue frères. 1590. Né en 177
es : sa sœur, Mlle Baptistine ; et sa servante, Mme Magloire. 1597. Œuvres publiées chez Calmann Lévy, éditeur. 1598. Voir
ue la république de Gênes avait cédé la Corse à la France. 1607. Ses œuvres sont publiées par l’éditeur Calmann Lévy. 1608.
ois de Coligny, le plus jeune frère de l’Amiral (1521-1569). 1627. Œuvres publiées chez Hachette et Cie, éditeurs. 1628. L
n accent très énergique sur les syllabes abreuve et sillons. 1642. Œuvres publiées par la librairie Calmann-Lévy. 1643. On
l’hébreu, le samaritain, le syriaque, l’arabe et l’éthiopien. 1691. Œuvres publiées chez Calmann Lévy, éditeur. 1692. Léga
ssé de dialogues ; mais on trouve de piquantes conversations dans les œuvres de cet homme du monde, qui fut un excellent écriv
voir page 105, note 1), septembre 1605. 2070. La pastorale, espèce d’ œuvre dramatique qui mettait en scène des bergers, fut
joindre son Ariane et son Comte d’Essex à l’édition qu’il publia des œuvres de Pierre. On doit encore à Thomas Corneille quel
le passage que va lire Hector ne se trouve pas littéralement dans ses œuvres . 2450. De mon sort,… Valère se lève en prononça
u moins calomnieuses dont il avait été l’objet de la part et dans les œuvres de ceux mêmes de qui il croyait n’avoir à attendr
torique fut en proie. 2600. Façon populaire de dire : mourir. 2601. Œuvres publiées par Hachette et Cie, Jouvet et Cie. 260
’été). 2647. La neige, l’amas blanc comme un tapis de neige. 2648. Œuvres publiées chez Calmann-Lévy, éditeur. 2649. Le 1e
nant à la fois l’ivoire et l’instrument formé de cette matière 2681. Œuvres éditées par Hetzel et Cie et par la maison Quanti
n’inventez même pas, mais que vous tirez de quelque almanach. 2792. Œuvres publiées chez Fasquelle, éditeur. 2793. Poudrer
que veut faire entendre Gautier dans cette fable si poétique. 2816. Œuvres publiées chez Lemerre. 2817. Pernette est l’héro
tères ne voudraient consacrer qu’à des divinités plus graves). 2838. Œuvres publiées par Calmann-Lévy. 2839. Semblables à d
dit La Fontaine dans sa célèbre fable la Cigale et la fourmi. 2855. Œuvres publiées chez Calmann Lévy. 2856. Charlotte Cord
isciple enthousiaste de Jean-Jacques Rousseau, c’est un volume de ses œuvres qu’elle tient entre les mains en prononçant ce mo
2872. Scipion l’Africain (iie siècle avant l’ère chrétienne). 2873. Œuvres publiées chez Lemerre, éditeur. 2874. Les beaux
ècle, notamment par Théophile Gautier et par Leconte de Lisle. 2887. Œuvres publiées chez Lemerre, éditeur. 2888. Reines-de
dises sur les fleuves. 2892. Coque, le corps même du bateau. 2893. Œuvres publiées chez Calmann Lévy. 2894. La sauge et la
légende donne à l’épée de Charlemagne. 2915. Dentu, éditeur. 2916. Œuvres publiées chez Lemerre 2917. Fléau. On sait qu’o
ACUNAIRE 2924. Spatule, espèce de palette arrondie au bout. 2925. Œuvre , ordinairement féminin quand il désigne une produ
a vie et des campagnes lorraines : aussi trouve-t-on souvent dans ses œuvres l’expression des sentiments que lui inspirèrent l
des Choses, l’un des plus beaux monuments de la poésie latine. 2928. Œuvres éditées chez Lemerre. 2929. Arme traditionnelle
e poête compare à un œil qui surveillerait les pas du paysan. 2931. Œuvres éditées chez Lemerre. 2932. Crésus, un riche qu
de l’Aveyron et certaines parties de celui de Tarn-et-Garonne. 2946. Œuvres publiées par Lemerre. 2947. Un serf. Le servage
lire se trouve également insérée dans les Poèmes de Provence. 2960. Œuvres publiées chez Fasquelle, éditeur. 2961. Baluch
40 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Saint François de Sales, 1567-1622 » pp. -
à cinquante-cinq ans, consumé par un zèle que sanctifia l’Église. Son œuvre principale fut l’Introduction à la vie dévole, qu
aissait être toute hérissée d’épines. Aussi ne cherchez plus dans les œuvres de l’aimable prélat les aspérités de la controver
41 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Bossuet. (1627-1704.) » pp. 54-68
s mains de ses parents pour les affaires de son père céleste ? Quelle œuvre fit-il alors, si ce n’est l’œuvre du salut des ho
faires de son père céleste ? Quelle œuvre fit-il alors, si ce n’est l’ œuvre du salut des hommes ? Et tu dis : Je n’ai rien à
pas l’affaire de ton salut, qui est pour chacun de nous la véritable œuvre de Dieu ? Va au temple ; échappe-toi1, s’il le fa
sang, et dis avec Jésus : « Ne faut-il pas que nous travaillions à l’ œuvre que Dieu notre père nous a confiée2 ? » Tremblons
42 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Mignet Né en 1796 » pp. 261-264
procuré le solide avantage des lois ? Sachons continuer, messieurs, l’ œuvre de nos devanciers, et ne laissons pas dépérir dan
découvrir les premières ébauches de la création et les plus anciennes œuvres de Dieu. On s’élance vers les espaces jusqu’ici i
43 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Préface de la première édition » pp. -
out des lettres chrétiennes ; d’apprécier toute l’importance de notre œuvre , et d’appeler sur elle les bénédictions les plus
e ne peuvent que nous obliger à redoubler d’ardeur pour achever notre œuvre , et pour la rendre de plus en plus digne de si ém
44 (1868) Morceaux choisis des écrivains contemporains à l’usage des classes supérieurs de l’enseignement classique et spécial. Prose et poésie
pour le talent. Donner à la jeunesse le sens de l’admiration est une œuvre meilleure que d’éveiller chez elle le goût de la
e qu’elle fit en Italie (1804) lui inspira le roman de Corinne. Cette œuvre de Mme de Staël, qui parut à quelques égards la c
otre terre actuelle, qui ait le genre de grandeur qui caractérise les œuvres immédiates de la création. Corinne jouissait de l
ez quelle immobilité, quelle durée les mortels peuvent donner à leurs œuvres , tandis qu’eux-mêmes ils passent si rapidement, e
e merveilleux de l’épopée antique, et de n’avoir ainsi produit qu’une œuvre artificielle, sans vraie originalité ; mais, malg
nt des fragments d’un grand prix, et enfin une Vie de Rancé, dernière œuvre où se marquait visiblement l’extrême fatigue de c
Chez les anciens, l’éloquence militaire ne fut le plus souvent que l’ œuvre curieuse et méditée des historiens ; les harangue
L’histoire chez les anciens était une œuvre d’art plus encore qu’une œuvre de vérité et de science ; l’historien se contenta
isirs, M. Guizot, dans le calme honoré de la vie privée, a repris son œuvre et l’a achevée. L’Histoire de la Révolution d’Ang
euse, est devenue le tableau complet de cette grande époque. D’autres œuvres importantes sont venues presque chaque année cons
poésie lyrique (1859). S’il fallait placer une épigraphe au début des œuvres de M. Villemain, volontiers nous lui appliquerion
s la vie privée après 1848, il consacra à la révision complète de ses œuvres philosophiques les premières années d’une vieille
in est mort à Cannes en 1867. Nous devons dire ici quelques mots de l’ œuvre philosophique de M. Cousin. Tout d’abord il conti
êmes, car ils prennent la poésie pour la mesure de la beauté de leurs œuvres  ; ils les estiment à proportion qu’elles se rappr
leur nom définitif : Récits des temps mérovingiens. C’est peut-être l’ œuvre la plus achevée de M. Augustin Thierry. Nulle par
t en Italie, pendant l’hiver de 1835, qu’il termina la traduction des Œuvres de Reid. Sa préface, d’une sévérité quelquefois e
données de l’observation intérieure, et quoiqu’il n’ait pas laissé d’ œuvre complète et de système arrêté, plusieurs de ses a
té et de son unité comme force pensante. L’Esthétique de M. Jouffroy, œuvre posthume et incomplète, se distingue cependant pa
décrit avec profondeur et vérité. Telles sont les grandes lignes de l’ œuvre philosophique de M. Jouffroy. Il resterait à parl
n 1852, forment un ensemble précieux d’études variées et solides. Des œuvres plus vastes et d’une grande valeur sont venues co
ns doute bientôt réunies en un volume. Malgré des titres si divers, l’ œuvre de M. Mignet offre une grande unité de tendance e
s une attitude droite et avec le glaive. Les deux maîtres des hautes- œuvres l’avertirent de son erreur et l’aidèrent à poser
matériel qu’il fallait faire passer avec les divisions. On se mit à l’ œuvre pendant que les troupes se succédaient. On fit d’
études, qu’il entreprenait avec l’heureuse confiance de la jeunesse l’ œuvre si périlleuse et vainement tentée plusieurs fois
irent qu’irriter la curiosité publique et assurèrent la fortune d’une œuvre qui, malgré une forme souvent ferme et éclatante,
et d’en découvrir les sombres replis, cela suffit pour assurer à une œuvre une légitime durée. La malveillance s’empressa de
d’autre titre que celui de chansonnier. Béranger mourut en 1857. Ses œuvres posthumes ne seront pas pour sa mémoire un titre
0, et dont le succès égala celui du Génie du christianisme, restera l’ œuvre la plus belle et la plus parfaite de notre grand
tira tout de soi se doit tout à soi-même. Jouis, grand artisan, de l’ œuvre de tes mains : Je suis pour accomplir tes ordres
itoyen. Aussi, quelle que soit la célébrité que lui aient acquise ses œuvres dramatiques, C. Delavigne restera avant tout le p
fois déserter les traditions du dix-septième siècle, essayer dans une œuvre d’un dessin plus libre et plus hardi la conciliat
ie en un acte, une Famille du temps de Luther (1836), fut la dernière œuvre dramatique de C. Delavigne. Sa santé, toujours me
vie ! ah ! prolongez ma vie ! FRANÇOIS DE PAULE. Dieu n’a pas mis son œuvre au pouvoir d’un mortel. Vous seul, quand tout pér
ire l’opinion publique, toujours remise en éveil par une succession d’ œuvres infiniment variées, d’inspiration et de mérite in
e célébrité, et, l’on peut ajouter, sa gloire la moins contestée. Ses œuvres lyriques sont, avec les Odes et ballades, les Ori
ns de l’école romantique, les yeux se reposaient avec plaisir sur une œuvre composée avec mesure et sagesse ; l’oreille était
de son Cours de littérature française au dix-huitième siècle. 4. Les œuvres oratoires de Mirabeau ont été publiées en 2 vol.
un légiste appliqué, studieux, d’un esprit vraiment pratique. 8. Les œuvres complètes de Mme de Staël ont été publiées par so
écrits, son influence littéraire et politique sur son temps. 39. Les œuvres de Chateaubriand ont été publiées en 19 vol. in-1
rairie Didier. Chaque ouvrage se vend séparément. Les mémoires et les œuvres philosophiques ont paru à la librairie Michel Lév
t nier la morale et l’histoire. 145. Discours sur la critique, — Les œuvres de M. Villemain ont été publiées dans les formats
ssion est ce quelque chose d’immatériel que l’artiste imprime sur son œuvre . C’est la pensée invisible et idéale cachée derri
désespéré de Lucrèce préférant nier les dieux que leur attribuer une œuvre indigne de leur puissance et de leur bonté. Chez
ans murmure, Comme fait la nature Sur la foi de son Dieu. 251. Les œuvres historiques de M. Mignet ont été publiées à la li
. Histoire de la littérature française, t. IV. Conclusion. 394. Les Œuvres de M. de Lamartine ont été publiées en plusieurs
e l’École des femmes, sc. VII. 411. La librairie Didier a publié les œuvres complètes de Casimir Delavigne, en 4 vol. in-12.
V. Hugo sur l’enfance : c’est la perle la plus pure de son écrin. Ses œuvres ont été publiées par les Librairies Hachette et P
se. 449. La librairie Charpentier a publié une édition populaire des œuvres d’Alfred de Musset en 10 vol. in-32. Ses diverses
opulaire des œuvres d’Alfred de Musset en 10 vol. in-32. Ses diverses Œuvres ont été également publiées en 9 vol. in-12, qui s
s termes, qui croit à Dieu créateur et non à Dieu conservateur de son œuvre . 454. Allusion à la doctrine de la métempsycose.
istoire et de littérature (première série), 1868, page 353. 466. Les œuvres dramatiques de M. Ponsard ont été publiées à la l
45 (1863) Principes de rhétorique et de littérature appliqués à l’étude du français
es les sentiments honnêtes et les pensées généreuses. La poésie est l’ œuvre du génie employé, dit encore Fénelon, « à transpo
ique, aidée de l’observation et de l’expérience, sépare et classe les œuvres des poëtes. Les caractères naturels tournent en r
t comment il se distingue de la poésie. Celle-ci est la création et l’ œuvre des maîtres. L’art poétique, qui exige encore che
lbid., 256. L’unité d’action est une condition commune à toutes les œuvres de l’art ; mais Boileau la prescrit au poëte épiq
tères et divisions du genre. — La poésie dramatique est d’ordinaire l’ œuvre d’un âge plus mûr et d’un art plus habile. Elle n
Cyclope d’Euripide. C’est d’ordinaire par ce nom que l’on désigne les œuvres immortelles de Shakespeare. L’unité d’action est
lique est la peinture dramatique des mœurs et des beautés champêtres. Œuvre d’une époque savante et d’une civilisation raffin
é de l’art pour livrer avec avantage de pareils combats. Si, dans les œuvres d’imagination, les poëtes dramatiques fournissent
er les idées, mais ils donnent les moyens de les mettre habilement en œuvre . Ce qui est au-delà ne s’acquiert pas dans les éc
es passions s’appliquent à toutes les compositions littéraires. Toute œuvre où l’homme met quelque chose de ses sentiments et
application la plus haute. C’est la conscience que le génie a de ses œuvres , de sa puissance, des secrets par lesquels il écl
s le travail se cache, la réflexion s’efface, et ne laisse voir que l’ œuvre de l’écrivain, du poëte ou de l’artiste : « L’art
n modernes sont moins capables que les âges précédents de traits et d’ œuvres sublimes. Au reste, l’habileté de l’orateur et de
ualités du style se rencontrent à des degrés très-différents dans les œuvres littéraires. Elles varient selon le goût des peup
ail. Ces noms qui nous semblent singuliers désignent les actes et les œuvres de l’esprit, comme d’autres noms scientifiques dé
s ne le faisiez pas par vos paroles, pourquoi le faisiez-vous par vos œuvres  ? ou pourquoi avez-vous marché dans mes voies d’u
46 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Bourdaloue 1632-1704 » pp. 89-93
’intéressés ! combien de vraies vertus contestées ! combien de bonnes œuvres censurées ! combien d’intentions droites mal expl
iant toutes les choses du monde, je repasserai devant Dieu toutes les œuvres de ma vie, dans l’amertume de mon âme4. 1. C’
47 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Première partie. Principes de composition et de style. — Principes de rhétorique. — Chapitre VI. De l’élocution et du style. »
nres de littérature. C’est la partie importante, essentielle de toute œuvre littéraire ; c’est la forme extérieure et sensibl
de Raphaël, de Michel-Ange, de Rembrandt ou de Rubens ? C’est que les œuvres de ces grands peintres ont une touche particulièr
à plus. Esther. Le sublime de conception peut s’étendre à toute une œuvre littéraire, à l’invention d’une idée, à la créati
: il a vécu, il n’est plus, pour il est mort ; l’exécuteur des hautes œuvres pour le bourreau. § VII. Des tropes. Les t
te concordance des pensées est essentielle, si l’on ne veut avoir une œuvre décousue et pleine de disparates. Les pensées doi
ots ; il manquerait de ce naturel, qui est le principe vital de toute œuvre littéraire. Voici les figures de pensées dont nou
48 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Voltaire, 1694-1778 » pp. 253-281
informer ; envoyez-le-nous de panier en panier ; vous ferez une bonne œuvre J’aime mieux élever un Pichon que servir un roi,
ourgeoise que vous redemandez ? — C’être, monsir, répondit Freytag, l’ œuvre de poéstie du roi mon gracieux maître. — Oh ! je
llet : « “Monsir, sitôt le gros ballot de Leipsick sera ici, où est l’ œuvre de poëshie du roi mon maître, que Sa Majesté dema
st l’œuvre de poëshie du roi mon maître, que Sa Majesté demande, et l’ œuvre de poëshie rendu à moi, vous pourrez partir où vo
résident du roi mon maître.” J’écrivis au bas du billet : Bon pour l’ œuvre de poëshie du roi votre maître, de quoi le réside
nt rendus plus légers de moitié. On ne pouvait payer plus chèrement l’ œuvre de poëshie du roi de Prusse. » 1. Kœnig eut a
49 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Lacordaire, 1802-1861 » pp. 542-557
paise point à ce prix. Le temps est une limite qui l’effraye pour ses œuvres , et les ruines accumulées le long des âges lui di
’éternel ; et nous l’avons. Nous l’avons par la vertu. Ouvriers d’une œuvre commencée par Dieu, nous y apportons une pierre q
ée, parce qu’elle avait servi, ils regardaient, le soir, de combien l’ œuvre s’était avancée vers Dieu, et, lorsque, après vin
qu’il fasse, pour son bonheur ou son malheur, la parole achèvera son œuvre  ; elle en fera une victime de l’orgueil ou de la
50 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Première partie - Préceptes généraux ou De la composition littéraire. — Chapitre second. De la disposition. »
us ne puissiez pas radicalement détruire, vous introduisez dans votre œuvre un élément de destruction, vous violez la loi de
partie intermédiaire de la narration où l’on voit les personnages à l’ œuvre , où l’action se complique et rencontre des diffic
ntion d’un sujet fécond, heureux. 2° Il fait un dessin général de son œuvre . — C’est le plan de la composition. 3° Il se pro
51 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Joubert, 1754-1824 » pp. 388-398
’on peut faire de meilleur, et sa tâche sera remplie. Le reste sera l’ œuvre de la religion. Si la poésie et la philosophie pe
ellence, le très-humble et très-obéissant serviteur1. 1. Voir ses œuvres . Librairie académique, Didier : Pensées et Lettre
té où une fine ironie se concilie d’ailleurs avec le respect. 1. Les Œuvres de Joubert sont de celles qu’un lettré doit néces
52 (1867) Rhétorique nouvelle « Introduction » pp. 2-33
e même par l’habitude à le faire sans compas, mais on ne fait pas une œuvre d’art1. Remarquez bien qu’Aristote, qui n’était p
e de sa fécondité. Bientôt le travail de production se ralentit : les œuvres originales n’apparaissent plus que de loin en loi
Voulez-vous avoir une idée de la puissance du courant qui emporte les œuvres humaines, jetez les yeux sur votre siècle et arrê
53 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Préface » pp. -
rtoires classiques, à savoir tout ce qui est amplification, tirade et œuvre de rhéteur. En revanche, notre plus vif plaisir a
qui commence dès aujourd’hui pour plus d’un nom illustre, tirons des œuvres qui nous ont charmés le plaisir ou le profit que
54 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Préface » pp. -
rtoires classiques, à savoir tout ce qui est amplification, tirade et œuvre de rhéteur. En revanche, notre plus vif plaisir a
qui commence dès aujourd’hui pour plus d’un nom illustre, tirons des œuvres qui nous ont charmés le plaisir ou le profit que
55 (1867) Rhétorique nouvelle « Troisième partie. la rhétorique » pp. 194-
ition. J’entends par unité la concordance de toutes les parties d’une œuvre avec le but qu’on se propose en y travaillant. Qu
raisons. Pourquoi l’émeut-il ensuite ? Pour achever par la passion l’ œuvre du raisonnement. L’exorde prépare les preuves, la
pour ne laisser parler que sa cause : chaque développement, dans une œuvre ainsi conçue, répandra sur l’ensemble une lumière
de l’éloquence sera complet. Regardez autour de vous : tout dans les œuvres de la nature semble élever la voix et vous rappel
analyse du discours. — l’exorde Entrons dans le détail de cette œuvre de persuasion, si belle dans son unité, qu’on app
ns l’exécution, c’est la loi de la nature, c’est la loi de toutes les œuvres humaines. Je ne reviendrai pas sur ce que j’ai di
ceci par un exemple. M. Mérimée, dans son étude de Colomba, une belle œuvre qui rappelle l’Électre de Sophocle, explique ains
56 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Thiers Né en 1797 » pp. 265-270
Thiers mérite d’être appelé notre historien national ; car, dans ses œuvres monumentales, nous retrouvons toutes les joies ou
ur sur le Borysthène. Il tombe enfin, laissant le monde rempli de ses œuvres , l’esprit humain plein de son image, et le plus a
57 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XII. du corps de l’ouvrage. — portrait, dialogue, amplification  » pp. 161-174
elon qu’ils sont destinés à une histoire, à des Mémoires ou à quelque œuvre d’éloquence. Comparez le Catilina de Salluste et
, semblent, sous le rapport de la forme, une imitation, plutôt qu’une œuvre originale. Au reste, pastiche ou création, le dia
tres ; je veux parler de l’ amplification. Il est, en effet, dans une œuvre didactique ou oratoire, certaines preuves, certai
58 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Pascal. (1623-1662.) » pp. 35-39
r c’est par le style seul qu’a vécu et que demeurera immortelle cette œuvre de polémique religieuse, qui autrement eût péri d
l’art se joignait à la nature dans une juste mesure pour produire des œuvres accomplies. Avant lui et après lui, cette parfait
59 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — D’Aguesseau. (1668-1751.) » pp. 124-129
ce magistrat par Thomas. — Parmi les éditions qui ont été données des Œuvres de d’Aguesseau, on signalera particulièrement la
V, 27, et ses Lettres, XI, I : t. I, p. 138, et t. II. p. 289, de ses Œuvres choisies, Didot, 1849. — « La mercuriale, dit aus
60 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre V. — Qualités particulières du Style »
s et figures agréables, arrangement nombreux et périodique. C’est une œuvre dans laquelle l’auteur ne peut enlever les suffra
n termes élevés d’imiter la nature, lorsque nous voulons produire une œuvre de style. La nature travaille sur un plan éternel
rnel, avec une sage lenteur, et sait ainsi donner la perfection à ses œuvres . Imitons la nature dans sa marche et dans son tra
ns de tous, et il serait superflu de citer ici quelques-unes de leurs œuvres pour justifier leur réputation si solidement étab
nières : l’homme alors sort pour le travail du jour, et accomplit son œuvre jusqu’au soir. Une des plus précieuses qualités
est privée de lumières ; sans la charité, le cœur est vide de bonnes œuvres  : sans l’espérance, la vie n’a point d’objet, et
61 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XVIII. des qualites essentielles du style. — harmonie  » pp. 240-256
a à M. Pinard, l’un de nos plus habiles typographes, l’impression des Œuvres de M. de Chateaubriand, l’artiste fit fondre un c
gles infaillibles de l’expérience. « Les compositeurs se mirent à l’ œuvre , et au bout de peu de jours le plus actif et le p
80. Turgot, sur la versification allemande, tom. IX, p. 227 de ses Œuvres complètes. 81. « Remède très-simple pour guérir
62 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Nisard. Né en 1806. » pp. 585-597
eler national ; car nul sujet n’intéresse plus vivement notre gloire. Œuvre de talent, de science et de volonté courageusemen
finesse exquises, tracé l’histoire des grandes écoles et appelé sur l’ œuvre du plus doux et du plus expressif de nos peintres
se avec esprit, et sermonne nos défauts en souriant. 5. Allusion aux œuvres de M. Saint-Marc Girardin, intitulées Cours de li
63 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Mme de Maintenon. (1635-1719.) » pp. 76-82
ise) profita de sa brillante situation pour réaliser plusieurs belles œuvres de charité : la principale fut la création de Sai
Théophile Lavallée, l’Histoire de la maison de Saint-Cyr, et sur ses œuvres , une série d’articles de M. Saint-Marc Girardin d
64 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Calvin, 1509-1564 » pp. -
l’année 1564, époque de sa mort. Il ne nous appartient pas de juger l’ œuvre du docteur qui, selon l’expression de Bossuet, « 
igure ne ressemble point à celle de Luther. Ne cherchons pas dans ses œuvres les accents d’une mélancolie parfois touchante, l
65 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Lebrun Né en 1785 » pp. 498-505
ragédie de Marie Stuart, c’est que la popularité va de préférence aux œuvres de théâtre ; car ses autres pages ne sont pas moi
Livres, par Gustave Merlet, on peut lire une étude sur M. Lebrun. Les œuvres de M. Lebrun ont été publiées par la librairie ac
66 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Résumé. » pp. 388-408
ne se produire qu’à propos quand il n’est pas lui-même le sujet de l’ œuvre . Le dialogue didactique et philosophique peut s’e
s que nous y avons rattachés ne forment pas eux-mêmes l’ensemble de l’ œuvre , celle-ci se trouve alors presque tout entière da
rs de l’action, et n’être jamais l’effet du hasard. La conclusion des œuvres d’éloquence se nomme péroraison. La péroraison es
67 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — J. Racine. (1639-1699.) » pp. 226-241
            Et ne changes jamais. Ta sagesse, grand Dieu, dans tes œuvres tracée,             Débrouilla le chaos ; Et fixa
s d’abnégation, n’ait jamais voulu lui-même rassembler et reviser ses œuvres . Parmi ceux qui l’ont bien jugé, il faut signaler
ces premiers essais, on y retrouve encore ce qui est le caractère des œuvres lyriques de Racine, la pureté et l’harmonie du st
68 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — D’Aubigné, 1550-1630 » pp. -
ts de ses haines, ces vers furent donc forgés en pleine fournaise1. L’ œuvre est divisée en sept livres qui rappellent les cer
c’est un morceau de Roy. A M. de Mayerne, 26 mars 1623. Tome Ier des Œuvres complètes. (Lettres d’affaires personnelles, p. 3
69 (1883) Poétique et Rhétorique (trad. Ruelle)
t entrepris à la fin du dernier siècle une édition grecque-latine des œuvres d’Aristote, interrompue par sa mort après la publ
les poètes, il a compris ce qui convient et ne convient pas dans une œuvre poétique. » (De Orator., l. III, ch. v.) Ce chef-
t. Du reste, l’appréciation du mérite d’Aristote et l’apologie de son œuvre auront leur complément naturel dans ce que nous a
erdu), les Théodectes (si l’on admet, comme Schmidt, que c’est là une œuvre aristotélique), la Poétique et la Politique. Leon
élemy Saint-Hilaire s’est imposé la tâche immense de traduire toute l’ œuvre aristotélique. Quinze volumes ont été publiés jus
on, à ceux de Xénarque9, et aux discours socratiques, pas plus qu’aux œuvres d’imitation composées en trimètres, en vers élégi
n, plutôt qu’un poète. Supposé, semblablement, qu’un auteur fasse une œuvre d’imitation en mélangeant divers mètres, comme Ch
nnages en action. II. De là le nom de drames (δράματα), donné à leurs œuvres , parce qu’ils imitent en agissant (δρῶντες). De l
les imitations. III. La preuve en est dans ce qui arrive à propos des œuvres artistiques ; car les mêmes choses que nous voyon
ce ne serait pas là ce que nous disions tout à l’heure constituer une œuvre tragique ; on le ferait beaucoup mieux en composa
ource dans la constitution même des faits, ce qui vaut mieux et est l’ œuvre d’un poète plus fort. II. En effet, il faut, sans
l’on prenait pour sujet toute l’Iliade. Dans ce cas87, l’étendue de l’ œuvre fait que les parties reçoivent chacune leur grand
bles. II. En effet, chacun de ces deux poèmes constitue, l’Iliade une œuvre simple et pathétique, l’Odyssée une œuvre complex
mes constitue, l’Iliade une œuvre simple et pathétique, l’Odyssée une œuvre complexe — les reconnaissances s’y rencontrent pa
IX. Les autres poètes se mettent en scène d’un bout à l’autre de leur œuvre  ; ils imitent peu et rarement ; mais lui, après u
mme dans les peintures de Zeuxis, mais aussi le mieux possible, car l’ œuvre doit surpasser le modèle. (Pour l’opinion), s’il
able (dans l’épopée), ou bien elle est exposée brièvement, et alors l’ œuvre paraît écourtée, ou bien on s’accommode à la long
ges qui nous sont rendus270, nos enfants ; car nos enfants sont notre œuvre . Il est encore agréable de compléter une opératio
son application il consacre la plus grande partie de chaque jour à l’ œuvre dans laquelle il se trouve être supérieur à lui-m
ie aux jeunes gens. X. Ceux qui ont fait de grandes dépenses pour une œuvre portent envie à ceux qui ont obtenu le même résul
ion. Exemple : « Le démon417 n’est rien autre chose qu’un dieu ou une œuvre de dieu ; or, du moment où l’on croit que c’est u
dieu ou une œuvre de dieu ; or, du moment où l’on croit que c’est une œuvre de dieu, on croit nécessairement qu’il existe des
ar rapport à certain fait, dans certaines conditions », que l’on fait œuvre de calomniateur, dans le cas présent aussi, ce qu
dans les drames, et les poètes dans leurs interprètes. Ceux dont les œuvres se prêtent à la lecture ont une renommée soutenue
ceux des orateurs, qui font bon effet à la tribune, semblent être des œuvres d’apprentis661 dans les mains des lecteurs. Cela
sont désapprouvées, à bon droit, dans un écrit ; tandis que, dans une œuvre faite pour le débat, les orateurs même peuvent re
’exorde de l’Hélène, d’Isocrate. Car il n’y a aucun rapport entre les œuvres de controverse et l’Hélène 669. Et en même temps,
, il faut comprendre qu’ils jouent le même rôle que les prologues des œuvres dramatiques et les préambules des poèmes épiques,
aussi à titre d’ornement ; en effet, le discours a l’apparence d’une œuvre sans art, s’il n’y en a pas. Tel sera l’éloge des
Corpus juris attici, nos 922-927. 19. Où ce genre a fourni certaines œuvres d’une forme arrêtée. 20. Où dominaient les attaq
à ses trilogies ; mais chacune des pièces qui les composent forme une œuvre à part, instituée conformément aux règles que for
xiv, 54. 333. Avec quelque arrière-pensée. 334. § 2. 335. Hésiode, Œuvres et jours, vers 25. Ce vers est encore cité, chap.
x, § 3. 362. Le scoliaste attribue ce vers à Eschyle. 363. Hésiode, Œuvres et Jours, vers 25. 364. La santé ne profitant qu
innové dans le dithyrambe. 585. Ce vers est un souvenir d Hésiode. ( Œuvres et Jours, v. 263.) 586. Cette phrase ressemble à
70 (1867) Rhétorique nouvelle « Première partie. L’éloquence politique » pp. 34-145
nce. Le génie d’un peuple artiste ne se montre pas seulement dans ses œuvres , il éclate dans tous les détails de sa vie. A voi
e peuple porte en germe dans son intelligence tout un monde de belles œuvres poétiques, comme Jupiter portait Minerve dans son
rt en attendant des nouvelles, soit à applaudir dans les théâtres les œuvres de leurs poëtes et de leurs musiciens. Ils ont la
leusis, cette Longue Muraille, cet Odéon, ce Pœcile, et tant d’autres œuvres , ne sont à leurs yeux que des trophées de leurs l
oposant, il répond à leurs vœux, il rend un service à l’État, il fait œuvre de bon citoyen. Si je vous fais admirer cette hab
rs après avoir éclairé les esprits ; il faut achever par la passion l’ œuvre du raisonnement. C’est sur ce point que Démosthèn
71 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section II. De l’Art d’écrire agréablement. — Chapitre I. Du style. » pp. 181-236
tique qu’a faite Eugène d’un ouvrage d’Ariste, dans le recueil de ses œuvres  ; ce pronom, ses, formerait une équivoque, qui me
le lecteur dans l’impossibilité de juger si c’est dans le recueil des œuvres d’Eugène, ou dans celui des œuvres d’Ariste. Il f
juger si c’est dans le recueil des œuvres d’Eugène, ou dans celui des œuvres d’Ariste. Il faudrait, suivant le sens qu’on voud
marquer, dire à peu près : nous ne trouvons point dans le recueil des œuvres d’Eugène, la critique qu’il a faite d’un ouvrage
un ouvrage d’Ariste ; ou ; nous ne trouvons point dans le recueil des œuvres d’Ariste, la critique d’un de ses ouvrages, qui a
72 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Amyot, 1513-1593 » pp. -
aumônier de France par Charles IX, son élève favori, il lui dédia les Œuvres morales de Plutarque, aux approches de la Saint-B
. Il est le premier qui ait su développer un talent original dans une œuvre de science laborieuse, sans perdre le charme du n
73 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Madame de Maintenon, 1635-1719 » pp. 138-145
plutôt qu’un État. C’était sa vocation. Aussi se dévoua-t-elle à son œuvre avec un cœur vraiment maternel. Elle fut la plus
e de bien sur2 les jeunes filles qu’elle gouverne. Il y a donc dans l’ œuvre de Saint-Louis, si elle est bien faite et avec l’
74 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — A. Chénier. (1762-1794.) » pp. 304-312
’associer son nom à celui d’A. Chénier. Ils furent ensuite joints aux Œuvres de Marie-Joseph, 12 vol. in-8°, Guillaume, 1826 ;
le czar Pierre le Grand (chant II de la France), a rappelé aussi ces œuvres glorieuses de la paix. 1. Philibert de Trudaine,
75 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Alfred de Vigny 1799-1863 » pp. 530-539
oute la mer brûlait4. Mais, quand le jour revint, chacun connut son œuvre . Les trois vaisseaux flottaient démâtés, et si la
mes destinées Vous amener à moi de dix en dix années, Attentifs à mon œuvre , et pour moi c’est assez2 ! (Les Destinées.)
76 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Prosper Mérimée. Né en 1803. » pp. 558-565
x économiser l’emploi de leur talent, faire attendre et désirer leurs œuvres , les polir à loisir, et compter leurs pages, comm
atériaux, et, pour ainsi parler, les instruments indispensables à son œuvre  ; ce ne sera rien encore tant qu’il n’aura pas co
77 (1852) Précis de rhétorique
e nœud est la partie de la narration où l’on voit les personnages à l’ œuvre . Il doit aller en se serrant afin d’augmenter l’i
our objet l’examen attentif de toutes les parties constitutives d’une œuvre littéraire. 2. Toutes les œuvres littéraires ont
outes les parties constitutives d’une œuvre littéraire. 2. Toutes les œuvres littéraires ont deux parties bien distinctes : 1°
n, on commence toujours par analyser la forme, afin de dépouiller une œuvre de tous les ornements qui la couvrent, pour en ex
continue la décomposition par l’analyse du fond, en recherchant si l’ œuvre est conforme aux préceptes de l’art, tels que nou
re. 10. Ces trois sortes d’arguments ne se présentent jamais dans une œuvre littéraire sous ces dehors arides. On les orne de
’objet de l’analyse ? — 2. Quelles sont les parties constitutives des œuvres littéraires ? — 5. Par où commence-t-on dans la d
lemme ! — 10. Ces trois sortes d’arguments se présentent-ils dans une œuvre littéraire sous ces dehors arides ? — 11. Déguise
de ses mœurs et qualités ; le portrait littéraire, ou description des œuvres d’un écrivain ; et le portrait historique, ou des
78 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Seconde partie. Moyens de former le style. — Chapitre II. De l’exercice du style ou de la composition » pp. 225-318
a disposition est l’arrangement convenable des diverses parties d’une œuvre littéraire, la coordination judicieuse de tous le
locution à celui de l’architecte, quand il met la dernière main à son œuvre et la retouche avec soin dans toutes ses parties.
; c’est de montrer dans les objets de cette nature que l’on décrit, l’ œuvre de Dieu, le miroir de sa grandeur et de sa provid
e caractère ? Le portrait a un caractère différent selon qu’il est l’ œuvre de l’historien, de l’orateur ou du poète. Comme l
r réussir en ce genre, il faut avoir étudié attentivement la vie, les œuvres , l’influence du personnage que l’on veut peindre.
ornes que celles de la possibilité et de la vraisemblance. Elle est l’ œuvre de l’imagination : le fond des choses, la disposi
nt tous les nobles sentiments de l’âme, comme l’enthousiasme pour les œuvres de Dieu, pâles reflets de sa grandeur et de sa pu
79 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Alfred de Musset 1810-1857 » pp. 564-575
bien voulu nous accorder l’autorisation de faire notre choix dans les œuvres d’Alfred de Musset. 2. Il y a dans ces vers une
le livre éloquent de M Caro (de l’Institut) sur l’Idée de Dieu. Cette œuvre est un modèle de controverse émue, vaillante, cou
80 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — [Notice] Maurice de Guérin, 1810-1839. » pp. 598-606
Morvonnais, au château du Val ; c’était un poëte distingué. Voir ses œuvres (Didier). 1. Nom familier qu’on donnait à M. de
r dans le sanctuaire du travail garantissent bien mieux la bonté de l’ œuvre . Si nous jouons à la renommée, que ce soit en jou
81 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « Étude littéraire et philologique sur la langue du XVIe siècle » pp. -
Bellay ; un poëte, ce fut Ronsard. Tous deux valurent mieux que leurs œuvres . Nous dirons même qu’il serait injuste de ne voir
…  — Qui l’arbre transforme, greffe en nouvelle sorte… Pour mieux son œuvre commencer. » Ou je me trompe fort, ou nous avons
besoin de simplicité qui est une de nos aptitudes natives. Dans cette œuvre logique, les maîtres du grand siècle eurent une p
s plumes secondaires qui firent alors plus que dans les âges suivants œuvre d’utiles auxiliaires. Car l’initiative personnell
82 (1881) Morceaux choisis des classiques français des xvie , xviie , xviiie et xixe siècles, à l’usage des classes de troisième, seconde et rhétorique. Prosateurs
a, dans la mesure modeste que limite un seul volume, à des histoires, œuvres de science littéraire et de critique, dont la lec
, dont la lecture serait pour eux prématurée, et à une bibliothèque d’ œuvres complètes qui ne peut être mise à leur dispositio
uvres d’art, dont la connaissance, s’alliant heureusement à celle des œuvres littéraires, entre de plus en plus dans l’éducati
onuments. Le nombre et l’étendue des passages que nous empruntons aux œuvres d’un écrivain se mesurent nécessairement à l’impo
ivain se mesurent nécessairement à l’importance et à la valeur de ces œuvres . Cette règle qui s’imposait à nous a dû cependant
eur des poètes de la seconde partie du siècle est d’avoir compromis l’ œuvre commencée dans la première et continuée dans la s
rtis. — Un seul des pamphlets politiques du temps est resté comme une œuvre originale et durable : c’est celui qui porta le d
de ses historiens, qui sont eux-mêmes une partie considérable de son œuvre littéraire. Le temps n’est plus où la main du gen
Marguerite de Valois (1553-1615), sa femme, dont les Mémoires sont l’ œuvre charmante d’une « après-dînée ». Enfin l’histoire
re. Tel fut le xvie  siècle. Sa destinée a été aussi complexe que son œuvre . De sa fermentation bruyante et féconde il est so
ve. Il n’a reçu de ses mains avec reconnaissance et confiance que son œuvre d’érudition qu’il a vaillamment continuée ; mais
qu’il a vaillamment continuée ; mais il a feuilleté avec froideur son œuvre littéraire, et en prenant dans sa succession, sou
st point ministre de peché, qui est venu pour rompre et destruire les œuvres du diable. Et quant à nous, nous sommes injusteme
rverses, et que les hommes, enivrés par la confiance funeste en leurs œuvres , cherchaient leur salut ailleurs qu’au Christ ; q
, où l’on montre encore sa maison ; traducteur précoce de différentes œuvres grecques de Xénophon, d’Aristote et de Plutarque 
Que le naturel n’est suffisant à celuy qui en poésie veut faire œuvre digne de l’immortalité … Qu’on ne m’allegue p
translatées du grec en françois, mdlviii), et, en 1574, celle de ses Œuvres morales et meslées ; — écrites d’un « style coula
pierre, sans aucun ayde et sans aucun repos. Ce fait, je fis cuire l’ œuvre susdite en premiere cuisson, et puis par emprunt
ue ma fournee se portoit bien. Le lendemain quand je vins à tirer mon œuvre , ayant premierement osté le feu, mes tristesses e
s vents, pluyes et gouttieres me gastoyent la plus grande part de mon œuvre , au paravant qu’elle fut cuite : tellement qu’il
on verra les combatz où je me suis trouvé, on jugera que c’est de ses œuvres . Aussi l’ay-je tousjours invoqué en toutes mes ac
gers, et divers ouvrages anecdotiques. La première publication de ses œuvres est de 1666. — Il suffira de dire, pour donner un
ut manuscrite en 1593, et parut antidatée l’année suivante. C’est une œuvre collective. Dans un petit logis du quai des Orfèv
son temps, parce que la charité arrousant une ame produit en elle les œuvres vertueuses chacune en sa saison. La musique, tant
de goût et de bon sens.   Quand Louis XIV reprit, à partir de 1661, l’ œuvre de Richelieu et établit l’autorité absolue de la
ue de la royauté battue par les orages de la Fronde, Boileau reprit l’ œuvre de Malherbe et établit le premier l’autorité du b
ssujettit plus que la protection du roi » (M. Guizot)285. Il achève l’ œuvre de Richelieu, qui avait décrété et fait signer de
bien conduire sa raison et chercher la vérité dans les sciences, son œuvre capitale, écrit de 40 pages, qui fonda la philoso
ns ont été publiés pour la première fois en 1772. Des éditions de ses œuvres complètes ont été données dans le xviiie  siècle,
mérite ce titre. L’homme et le roi se retrouvent dans le style de ses Œuvres (6 vol. 1806) ou mémoires, instructions, lettres,
mesure qui étaient celles de son esprit et de son caractère. Voir ses œuvres publiées à nouveau en quatre recueils divers (10
 Sainte-Beuve, la partie la plus considérable et la plus belle de son œuvre oratoire ». Le Petit Carême doit sa renommée tant
s que je vous ai entendu, j’ai été très mécontent de moi-même. » Les œuvres de Massillon ne furent publiées qu’après sa mort,
e, elle a écrit de courts souvenirs (publiés par Voltaire en 1769), «  œuvre d’une après-dînée », selon l’expression qu’appliq
e génie » (Villemain), une Histoire ancienne et une Histoire romaine, œuvres de morale plus que d’érudition. Voltaire lui a re
ntéresse plus à la gloire qu’il eut pendant sa vie d’avoir doublé les œuvres de la création ; mais les hommes aiment à rendre
r leurs ouvriers et leur récolte, mettant le plus souvent la main à l’ œuvre avec eux ; et souvent des Bernois qui me venoient
formé par des méditations d’une « longue patience », grandit avec son œuvre et s’éleva progressivement jusqu’aux hautes conce
s Rameaux. Du reste, ces deux morceaux sont, à mon sens, des chefs- d’ œuvre de composition : point d’attitudes tourmentées ni
xplosion du sentiment de la nature qui éclate avec éloquence dans les œuvres de J.-J. Rousseau, au milieu du siècle, qui se dé
provinces distinctes surtout la poésie, sont abolies en fait par des œuvres éclatantes avant d’être discutées, révisées, et d
t, un Français, M. Henri Martin, ajoute le sien (Histoire de France), œuvre d’érudit et de patriote. M. Thiers écrit avec son
raconte les deux Restaurations (1814-1830). M. Wallon débute par une œuvre considérable, l’Histoire de l’esclavage dans l’an
, le frère de l’illustre général républicain, et M. Doudan, que leurs œuvres posthumes, bagage léger, mais de haut prix, ont r
ieuse. La critique littéraire, qui, avec La Harpe, ne jugeait que les œuvres , s’éclaire de l’histoire, avec M. Villemain, et r
éminents travaux de MM. J. V. Le Clerc et Renan. Si nous passons aux œuvres d’imagination, l’esprit d’analyse fait souvent au
r Hugo, commence, pour ne citer dans la foule toujours croissante des œuvres de ce genre, que celles des maîtres, la vaste Com
u xviie  siècle. Tel est, dans sa fécondité et la multiplicité de ses œuvres , le xixe  siècle. L’activité intellectuelle est u
entre l’indépendance intellectuelle et la liberté littéraire dans les œuvres d’imagination, d’une part, et de l’autre, la disc
t, fait pour occuper l’esprit bien plus que l’oreille. Qu’importe à l’ œuvre que les instruments sachent ce qu’ils font ? ving
ral de Correspondance de Napoléon Ier les lettres (vol. 1-28) et les œuvres de Sainte-Hélène (vol. 29-32). Les lettres sont u
s capitaines Il n’est pas de grandes actions suivies qui soient l’ œuvre du hasard et de la fortune ; elles dérivent toujo
celle-là… Il n’y avait que vous, mon général, capable de cette bonne œuvre dans toute l’armée ; car, outre que mes camarades
ité, je vous le dis, quiconque dit dans son cœur que Dieu méprise ses œuvres blasphème Dieu. Il en est d’autres qui disent : À
pas voulu les entendre, et que je me suis soustrait au fardeau de mes œuvres . » Du rôle des Barbares dans la civilisation e
n artiste consommé, que ses grands et authentiques dialogues sont des œuvres profondément travaillées et de tout point accompl
idée du génie, dont il a, comme Buffon, résumé l’exposition dans une œuvre capitale, courte et pleine : le Discours sur les
son mari. Ce n’est que par l’homme de confiance employé à cette bonne œuvre , que l’on en a appris le secret. Un de ses employ
’Histoire de la conquête de l’Angleterre par les Normands (1825), son œuvre capitale, fruit de cinq années d’un labeur de bén
lat et de l’Empire, 20 vol., 1845-1862). Il déploie avec éclat dans l’ œuvre historique de sa maturité précoce, avec autorité
nt les plus piquants. Comme cet ouvrage, ses livres sur la vie et les œuvres de Jean-Jacques Rousseau, sur La Fontaine et les
elle lui dit aujourd’hui : Amusez-moi. Alors l’imagination se met à l’ œuvre , et elle fait seule tous les frais de la littérat
e, chaque jour, l’art y trouve moins de place ; la littérature, à ses œuvres chaque jour plus frivoles et plus vaines, parce q
e titre qu’il se fût fait accepter, le grand homme avait accompli son œuvre , et, après quinze ans d’efforts et de patience (c
il a porté l’un et l’autre dans ses descriptions de la nature et des œuvres d’art. Sa plume peint et grave sur le papier. Son
’Homère889 ; Alexandre présente la cassette d’or où il renfermait les œuvres du poète. Plus bas s’étagent en descendant vers l
me littéraire qu’il a fait triompher par l’éclat et l’autorité de ses œuvres . L’homme, ses sentiments et ses idées, ses joies,
t une réputation que défendent contre l’oubli, pour choisir entre ses œuvres , Trilby et la Fée aux miettes, les plus populaire
De 1829 à 1835, il marqua dans la nouvelle école dramatique par trois œuvres applaudies. Peut-être son œuvre la plus originale
nouvelle école dramatique par trois œuvres applaudies. Peut-être son œuvre la plus originale, à part le fragment épique de M
) Notice Honoré de Balzac naquit à Tours et mourut à Paris. L’ œuvre de Balzac est une autre « comédie à cent actes di
éclat du coloris font de Colomba et de la Chronique de Charles IX des œuvres parfaites et durables. La Ballata953 Mon
dans la poésie avec Lamartine. C’est là le charme impérissable de ses œuvres . Ce charme fera vivre les romans de passion où il
e, Géorg., IV, 194. 138. Depuis la traduction d’Amyot ; Vies, 1559 ; Œuvres morales, 1574. 139. Quand, au jeu de paume, la b
tique ; dans les marines du second, la vérité de la nature ; dans les œuvres de tous deux, l’application des deux lois fondame
83 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Fénelon. (1651-1715.) » pp. 101-109
me de tous les vices. Le Télémaque fut composé pour concourir à cette œuvre dont les fruits, par l’effet d’une mort prématuré
devise de la comédie : Castigat ridendo mores ; on dit qu’elle fut l’ œuvre du poëte Santeul. Horace lui-même, dans son Art p
84 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre IV. Genre dramatique. »
e doit avoir un but et un résultat moral, comme toute poésie et toute œuvre d’imagination. Nous savons que ce but n’est pas s
lt, de Métastase et de Scribe. D’ailleurs, le musicien se règle sur l’ œuvre du poète : la beauté des vers, la vivacité des pa
et dans tous les pays : c’est ce qui assure l’immortalité aux grandes œuvres de Molière. Quand la comédie peint les mœurs part
85 (1866) Morceaux choisis des classiques français, à l’usage des classes supérieures : chefs d’œuvre des prosateurs et des poètes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouvelle édition). Classe de seconde
, et en recommander l’usage à MM. les proviseurs et principaux. Cette œuvre modeste, qui n’a pas paru inutile, se complète pa
r c’est par le style seul qu’a vécu et que demeurera immortelle cette œuvre de polémique religieuse, qui autrement eût péri d
me de tous les vices. Le Télémaque fut composé pour concourir à cette œuvre dont les fruits, par l’effet d’une mort prématuré
ent de perdre leur père. Mes sujets sont heureux, et je le suis329. Œuvres diverses. Voltaire (1694-1778.) [Notice.
r leurs ouvriers et leur récolte, mettant le plus souvent la main à l’ œuvre avec eux ; et souvent des Bernois qui me venaient
de couleuvres444, Peste fatale aux potentats, Ne finit ses tragiques œuvres Qu’en la fin même des États. D’elle naquit la fré
églé que lui dans sa marche, sans avoir moins de verve, il compléta l’ œuvre de réforme entreprise par Malherbe, Balzac et Vau
pour un tas grossier de frivoles esprits, Admirateurs zélés de toute œuvre insipide, Que, non loin de la place où Brioché pr
r développement régulier. 4. Nous avons suivi l’édition in-folio des Œuvres de Balzac, 2 vol., Paris, 1665. — Parmi ceux qui
un choix (1807). M. Ubicini, et en outre M. A. Roux ont réimprimé ses œuvres (1855). 16. Cette lettre a été écrite après la r
Ajoutons, pour ne pas laisser dans l’ombre une partie importante de l’ œuvre de Richelieu, que ce grand ministre eut un troisi
l’art se joignait à la nature dans une juste mesure pour produire des œuvres accomplies. Avant lui et après lui cette parfaite
et qu’il croyait lui pouvoir servir un jour dans la composition de l’ œuvre qu’il méditait. » 68. Sur cette femme qui fut,
us vive encore et plus entraînante, s’il se peut, que dans ses autres œuvres plus étudiées. 140. Lactance, Divin. Instit., li
x, se trouve en tête de la belle édition que M. Letronne a donnée des Œuvres de Rollin. M. Patin, Mélanges de littérature anci
es Considérations ont été justement signalées, de nos jours, comme l’ œuvre la plus parfaite, sinon la plus extraordinaire ,
ille, l’une en vers français, l’autre en vers latins : tom. XI de ses Œuvres , édit. Lefèvre, 1824, pages 167 et 372. Relativem
1678). Cet auteur n’affirme pas, du reste, que la conquête ait été l’ œuvre exclusive de la force. On peut lire notamment, da
est pas un mal pour lui : I, 19. 394. On lira avec intérêt, dans ses Œuvres morales, le traité « contre la secte d’Épicure ».
qu’il modifie ou abolit, sans toutefois que son pouvoir s’étende aux œuvres qu’a consacrées le génie. 515. Auguste, lorsqu’
plusieurs parties de ses ouvrages. De nos jours aussi, sa vie et ses œuvres ont été le sujet des travaux de nombreux critique
’ancienne littérature, détrônée par Boileau. 632. Pour déprécier les œuvres achevées de Boileau, de Molière et de Racine, les
dure, est le bienvenu. 638. Ici, de nouveau, on pourra recourir aux Œuvres de Cotin, qui renferment le madrigal suivant. Ce
prose rédigée par Boileau pour la dernière édition qu’il donna de ses œuvres poétiques (1701). C’est un morceau dont on ne sau
s d’abnégation, n’ait jamais voulu lui-même rassembler et reviser ses œuvres . Parmi ceux qui l’ont bien jugé, il faut signaler
nne la raison : pour apprécier la pureté énergique et sévère de cette œuvre , il fallait la méditer comme on médite Tacite. Au
-huitième siècle, par M. Villemain (13e leçon). Une belle édition des Œuvres de Destouches a été donnée par son fils à l’Impri
781. 1732. — On connait le gracieux hommage que Voltaire a rendu à l’ œuvre de Destouches dans ces vers qu’il lui adressait :
e (1784). 804. Voltaire lui-même, dans les meilleures parties de ses œuvres , ou plutôt tous nos grands écrivains ont pris soi
’associer son nom à celui d’A. Chénier. Ils furent ensuite joints aux Œuvres de Marie-Joseph, 12 vol. in-8°, Guillaume, 1826 ;
eune Captive ? Avec deux vers de Tibulle, André Chénier a composé une œuvre dont personne ne voudra ni ne pourra contester l’
Le Brun vers la même époque, voulait expliquer la nature des choses : œuvre que le premier grand maître de l’Université, M. d
emble descriptive, lyrique et philosophique, a de nos jours enrichi d’ œuvres remarquables la littérature française. Il faut il
86 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Avant-propos de la première édition. » pp. -
roduite ici d’après le texte qui fait partie de la grande édition des Œuvres d’Aristote, publiée à Berlin, en 1831, par M. Imm
87 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre IX. de la disposition. — proportions, digressions, transitions, variété  » pp. 118-130
uvés ! C’est alors seulement, c’est après cette préparation oratoire, œuvre de génie plus encore que d’art, qu’éclate tout l’
ouvrage. Il est temps d’entrer dans le détail des diverses parties. L’ œuvre commence : début, exorde, exposition, prologue ;
88 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XVII. » p. 114
doute, et pourtant ce n’est point assez  si le cœur ne s’y ajoute, l’ œuvre demeure imparfaite : le feu sacré n’y est pas. Su
89 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Chapitre » pp. 169-193
lle et ne fait rien pour moi ? O cruel souvenir de ma gloire passée ! Œuvre de tant de jours en un jour effacée ! Nouvelle di
puisque l’Evangile n’en vient pas », Relativement à l’auteur de cette œuvre , il faut consulter la préface de Corneille adress
critiques de l’Académie naissante, on peut consulter le tome XII des OEuvres de Corneille, édition Lefèvre (in-8°, 1824, colle
90 (1883) Morceaux choisis des classiques français (prose et vers). Classe de troisième (nouvelle édition) p. 
arer aux dangers d’une instruction malsaine et corruptrice ; plus les œuvres de l’esprit se multiplient, plus on doit choisir
lui son petit-fils, une maison abondante et témoignait sa foi par ses œuvres , répandant si largement sa charité sur les pauvre
argent surtout est chose nécessaire. Si demandez combien en vérité L’ œuvre en requiert, tant que soit accomplie, Dix mille é
       La voix bruyante et le cœur vain, Chacun bourdonne autour de l’ œuvre politique,            Chacun y veut mettre la mai
es plus hautes, Mon âme entière… hormis ses erreurs et ses fautes ; L’ œuvre en est donc à vous, ma mère, plus qu’à moi. Car,
arité, devançant l’aurore, a recommencé le cours de ses bienfaisantes œuvres  : il a soulagé le pauvre, visité le malade, essuy
nt fait pour occuper l’esprit bien plus que l’oreille. Qu’importe à l’ œuvre que les instruments sachent ce qu’ils font : ving
, que les juges n’étaient pas en droit de rejeter. Il se mit donc à l’ œuvre , et la sentence fut exécutée. Vous frémissez, mes
leur propre mesure ; ils estiment et ils demandent qu’on estime leurs œuvres en proportion qu’elles se rapprochent davantage d
uquel nul ne peut atteindre. Quand les autres arts veulent imiter les œuvres de la poésie, la plupart du temps ils s’égarent ;
procuré le solide avantage des lois ? Sachons continuer, Messieurs, l’ œuvre de nos devanciers, et ne laissons pas dépérir dan
a en petit, c’est le fléau de Dieu dans son voisinage. Vous ferez une œuvre méritoire, ou plutôt une action de charité héroïq
je vous dis que le bruit a couru qu’après sa mort on avait trouvé les Œuvres du philosophe de Sans-Souci dans sa cassette ? Si
le de suivre ma façon de penser ? Le plus grand mal qu’aient fait vos œuvres , c’est qu’elles ont fait dire aux ennemis de la p
’on peut faire de meilleur, et sa tâche sera remplie. Le reste sera l’ œuvre de la religion. Si la poésie et la philosophie pe
argent. Je ne suis point assez riche pour dépenser beaucoup en bonnes œuvres  ; il me faut donc user de malice, et tirer d’une
nc supérieur à la nature, puisqu’il ne l’imite point. La nature est l’ œuvre de Dieu ; l’homme est donc le rival de Dieu ? La
fidélité de la copie. Et quel travail plus stérile que de calquer des œuvres essentiellement inimitables par la vie dont elles
Michel-Ange imprimait son ciseau sur le marbre docile, il en tire des œuvres qui n’ont pas de modèle dans la nature, qui n’imi
ur mieux dire, l’immensité de son ambition morale. On a souvent mis l’ œuvre morale chrétienne en regard de celle des grands h
sants des réformateurs moralistes n’ont entrepris et accompli que des œuvres très limitées et très incomplètes ; tantôt ils se
ou établi une discipline ; ils ont fondé des écoles ou des sectes. L’ œuvre chrétienne a été tout autre. Jésus-Christ n’est p
de la destinée humaine ? Et cette ambition n’a pas été chimérique ; l’ œuvre chrétienne a été poursuivie et se poursuit dans l
’est au nom et avec les seules armes de la foi et de la liberté que l’ œuvre chrétienne a commencé à conquérir l’homme et le m
son génie historique (Voyez la Préface des Récits mérovingiens). 5. Œuvres diverses. (Pagnerre édit.) 6. Poèmes. (Dentu éd
estera toujours quelque chose. » 77. Théâtre. (Didier édit.) 78. Œuvres complètes. (Charpentier édit.) 79. Variétés lit
91 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XX. des qualités accidentelles du style. — élégance, finesse, naiveté, enjouement  » pp. 274-288
e qualité essentielle. Nous ne l’exigeons pas rigoureusement dans les œuvres d’entrain, de spontanéité, quand l’idée est si va
et inventeur qu’on ne l’a cru et qu’on ne l’a dit, à l’époque où ses œuvres furent réimprimées. Il a été plus justement appré
92 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXIII. des figures. — tropes d’invention et tropes d’usage  » pp. 323-338
nos Jasons sortis du sein des mers ; Homère, pour la collection des œuvres de ce poëte ; Athalie, pour la tragédie dont cett
hrase et la métalcpse. Vous nommez le bourreau l’exécuteur des hautes œuvres , euphémisme ; autrefois, quand un pauvre demandai
93 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section III. De l’Art d’écrire pathétiquement. — Chapitre II. De l’Éloquence. » pp. 318-338
té commence ; que Jésus-Christ va paraître, pour nous juger selon nos œuvres , et que nous sommes tous ici, pour attendre de lu
pécheurs ? Croyez-vous que, s’il faisait maintenant la discussion des œuvres du grand nombre qui est dans cette Église, il tro
94 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XXI. » pp. 120-121
ori, adoptée par Batteux, par Hermann et Ritter, et par l’éditeur des œuvres d’Aristote dans la bibliothèque Firmin Didot. Bek
95 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre IV. des topiques ou lieux. — lieux applicables a l’ensemble du sujet. » pp. 48-63
laisser en blanc, pour ainsi dire, les noms et les circonstances. Les œuvres complètes de Démosthène contiennent un certain no
, dans les chroniques, les mémoires, les pamphlets, les journaux, les œuvres philosophiques et littéraires du pays et du siècl
96 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Voltaire. (1694-1778.) » pp. 277-290
e admirable de facilité et de richesse ; et la versification de cette œuvre , au jugement de La Harpe, qui l’a analysée avec b
ec elle des points de comparaison. Au nombre des annotateurs de cette œuvre , on peut encore citer M. Daunou. On peut voir enf
97 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre IV. Genre didactique. »
s faire bien juger du poème épique et des pièces de théâtre. Dans les œuvres de Lucien, né, vers la fin du premier siècle de n
. On trouve souvent dans leurs ouvrages des jugements motivés sur les œuvres des contemporains ou sur quelque point de littéra
98 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Rabelais, 1483-1553 » pp. -
tes sont aussi étranges que les caprices de son imagination. Oui, ses œuvres ressemblent à la vie même de leur auteur qui, tou
in et le rire aux lèvres, versant à tous le délire ou la sagesse. Son œuvre rappelle cette fontaine magique dont les eaux ava
99 (1866) Cours élémentaire de rhétorique et d’éloquence (5e éd.)
à une multitude assemblée. Elle se montre aussi fort souvent dans les œuvres de l’historien, du philosophe et du poète. Quelqu
, et elle sert à tous pour apprécier les discours d’un orateur ou les œuvres d’un écrivain. Aristote la définit : le moyen de
est très rare que l’enthymème et le syllogisme se présentent dans une œuvre littéraire avec la forme exacte de l’école. D’ord
aussi beaucoup de savoir ce que prescrivent les bienséances dans une œuvre oratoire. Il est même impossible de soumettre cet
is court en vain après une émotion qui lui échappe. Laisser ainsi son œuvre imparfaite, c’est ne pas connaître le cœur humain
anmoins, pour développer ce talent, certains discours de Cicéron, les œuvres d’Horace, de Boileau et de La Fontaine, qui saven
e. Ce mot est emprunté à l’architecture et il s’applique à toutes les œuvres littéraires. 238. Le plan du discours est donc l’
crivez en parlant à votre auditoire, déclamez en composant. Que votre œuvre soit naturelle et animée, qu’elle ne sente pas le
teur à discerner les tons qui conviennent à. chaque endroit. 259. Les œuvres de l’homme sont d’autant plus parfaites qu’elles
rendus célèbres. C’est une grande erreur d’attacher la sainteté à des œuvres extraordinaires, et de n’estimer que les saints d
les qu’elles sont présentées dans leurs histoires : le plus souvent l’ œuvre tout entière est de l’écrivain lui-même ; quelque
t une pensée qui sont encore présents partout. Après avoir accompli l’ œuvre de Dieu sans y croire, il disparut, cette œuvre a
près avoir accompli l’œuvre de Dieu sans y croire, il disparut, cette œuvre achevée, et se coucha comme un astre éteint dans
ans des temples bâtis par les hommes ; Qui n’est point honoré par les œuvres des mortels, comme s’il avait besoin de quelque c
tacher, vivre selon ses lois et rendre sa foi certaine par ses bonnes œuvres . XXIV. Extrait d’une conférence. — Avantages
lus de déterminations généreuses, plus d’héroïques sacrifices, plus d’ œuvres utiles ou sublimes, que les inspirations du génie
ur pour héritage et qui préférez à toutes les gloires et à toutes les œuvres de la terre la lumière et le service du Ciel ; vo
2e part., ch. iii ; Broeckaert, sect. iii, ch. ii ; Marcel, Chefs-d’ œuvre d’éloquence, — Barreau ; Berryer, Éloquence judic
100 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section quatrième. Genre Démonstratif. Les Panéryriques. — Chapitre II. Éloge de Démosthène par Lucien. »
il n’eut ni la patience, ni peut être le talent de mettre lui-même en œuvre .
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