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1 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Préface » pp. -
dire qu’il ne suffit plus à notre goût littéraire ; car en lisant ces pages où apparaît comme un revenant habillé à la mode d
de rhéteur. En revanche, notre plus vif plaisir a été de signaler les pages où l’homme se montre sous l’écrivain, où le style
connaisseur. Et pourtant, quoique nous ayons disséminé au bas de nos pages beaucoup de citations ou de remarques dont la nou
fervent gardien de la tradition, n’a-t-il pas écrit dans la dernière page de sa belle histoire littéraire : « Les soixante
e la circonspection qui nous a constamment inspiré, dans le choix des pages que nous soumettons au jugement bienveillant de n
urs de notre recueil comprennent bien cette leçon écrite à toutes ses pages , à savoir que le goût et la conscience se confond
aine. Gustave Merlet. 1. L’esprit de ce livre est contenu dans la page que voici, et que j’emprunte à un de nos maîtres
2 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Préface » pp. -
dire qu’il ne suffit plus à notre goût littéraire ; car en lisant ces pages , où apparaît comme un revenant habillé à la mode
de rhéteur. En revanche, notre plus vif plaisir a été de signaler les pages où l’homme se montre sous l’écrivain, où le style
connaisseur. Et pourtant, quoique nous ayons disséminé au bas de nos pages beaucoup de citations ou de remarques dont la nou
fervent gardien de la tradition, n’a-t-il pas écrit dans la dernière page de sa belle histoire littéraire ? « Les soixante
e la circonspection qui nous a constamment inspiré, dans le choix des pages que nous soumettons au jugement bienveillant de n
urs de notre recueil comprennent bien cette leçon écrite à toutes ses pages , à savoir que le goût et la conscience se confond
aine. Gustave Merlet. 1. L’esprit de ce livre est contenu dans la page que voici, et que j’emprunte à un de nos maîtres
3 (1912) Morceaux choisis des auteurs français XVIe, XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles
mme nous l’avions toujours fait, sous les yeux de nos enfant quelques pages de notre ancienne littérature, de la Chanson de R
jugement (cdlvi). La Fontaine (1621-1695) Pour la notice, voir page 516. Une journée de voyage Lettre de la Fo
vaient prononcer une parole ; ses valets de chambre, ses laquais, ses pages , ses trompettes, tout était fondu en larmes et fa
, Xe entretien, 1, 2.) Racine (1639-1699) Pour la notice, voir page 572, Lettres a son fils810 Au camp devant N
moins de peine à l’auteur, que celles qui remplissent les meilleures pages des Mémoires : c’est à ce titre qu’il faut garder
ui les complète, les Rêveries du promeneur solitaire. Les plus belles pages de Rousseau lui ont été inspirées par son amour a
ne sont pas également recommandables, mais où l’on rencontre quelques pages pleines de charme et d’intérêt. Souvenirs d’enf
t à ses amis 1495.) Lamartine (1790-1869) Pour la notice, voir page 644. La mort de Wilberforce1496 On a pronon
t, chap. xi.) Alfred De Vigny (1797-1863) Pour la notice, voir page 607. Prisonnier sur parole Jamais aucun homm
e du général Drouot.) Victor Hugo (1802-1885) Voir la notice, page 677. Les enseignements de l’évêque Dans ces
pas très profondément étudiés et qu’on trouve dans ses œuvres peu de pages d’un style vraiment achevé1599. Un calligraphe
ent de Louis XIV s’était efforcé par des exécutions exemplaires (voir page 105, note l), de détruire définitivement. — Le ré
chap. iii.) Alfred de Musset (1810-1857) Pour la Notice, voir page 715. Oncle et neveu Van Buck, Valentin
couvertures étaient toujours en lambeaux, quelquefois il manquait des pages . Jacques1752 faisait bien de son mieux pour me le
Nous convînmes que nous commencerions le lendemain matin, malgré une page du De Viris 1792 que nous avions à apprendre. — T
andeur a de vains équipages, D’habillements de pourpre et de suite de pages , Quand le terme est échu n’allonge point nos jour
utre à ne rien faire. Molière (1622-1673) Pour la Notice, voir page 55. Un fâcheux2218 Sous quel astre, bon Die
irs d’Andromaque Pyrrhus, répondant à la prière d’Andromaque (voir pages 572-573), lui a, pour la dernière fois, demandé d
’épouser : c’est à cette condition seule qu’il sauvera Astyanax (voir page 572, note l). Céphise, confidente d’Andromaque, l
eligion, chant Ier.) Voltaire (1694-1778) Pour la notice, voir page 178. Discours de potier de Blancménil aux états
n 1755, mort à Sceaux en 1794, Jean-Pierre Claris de Florian, qui fut page , officier, puis gentilhomme ordinaire du duc de P
hymne de la nuit Fragment. O nuits, déroulez en silence Les pages du livre des cieux ; Astres, gravitez en cadence
chefs du parti victorieux, un général du parti des Montagnards (voir page 752, note 4), vient d’entendre des muscadins (voi
fut éclatant (1870), et l’Absent (1873), quatre recueils de poésies, Pages intimes (1866), Poèmes populaires (1871), Pendant
Et fait passer dans mon jardin Comme un souffle de l’autre monde ! ( Pages intimes, VIII.) La chanteuse La pauvre enfa
meurée comme participe et comme nom. 59. Vert. Voir la note 5 de la page 468. 60. Il y a une pièce, un morceau, un interv
ns l’édition publiée par Aug. Longnon (Paris, 1892, in-8°). 64. Voir page 557, note 1. 65. Ne. Dans les propositions néga
résentaient en avant une tête à pointes multiples. — Sur dedans, voir page 496, note 5. 107. Davantaige, de plus. 108. O
opposé de à l’arrière. 136. Fut avisé, reçut avis. 137. Eudémon, page de Gargantua. 138. Voir la note 5 de la page 496
t avis. 137. Eudémon, page de Gargantua. 138. Voir la note 5 de la page 496. 139. Des ennemis, qui avaient été défaits
es ennemis, qui avaient été défaits dans un récent combat. 140. Voir page 3, note 16. 141. Je n’ai rien à dire. 142. Rib
a langue populaire sous la forme bâfrer. 162. Voir la note 10 de la page 2. 163. Viande, qui vient d’un mot bas-latin (
it : s’évaporait. Fait de langage réciproque de celui qui est signalé page 20, note 7. 167. D’une manière ou d’une autre.
l sujet est fréquente dans la langue du xvie siècle. Sur dedans, voir page 496, note 5. 170. Il n’était pas obligé. 171.
e s’emploie plus aujourd’hui que comme un archaïsme voulu. 203. Voir page 4, début de la note 6. 204. C’étaient les deux p
a rue de l’Arbre-Sec et de la rue Saint Honoré. Voyez la note 1 de la page 49. 206. L’enseignait, enseignait où il se vend
Frayant, frottant. 234. [Ce] dont. — Sur le mélange des temps, voir page 2, note 10. 235. Chère vient du mot de basse la
u’il faille le faire remonter à une quinzaine d’années plus tôt (voir page 13, note 8). — On suivra avec le plus grand profi
251. Tâtonne. 252. Sur ces pièces. — Sur dessus, préposition, voir page 496, note 5. 253. Y ayant fait une marque, pour
eintures, des majoliques italiennes » (Ernest Dupuy, Bernard Palissy, page 79.) 257. Ores, alors même. 258. Aucunes fois
. Aucunes fois, quelquefois. 259. Combien que, quoique. 260. Voir page 496, note 5. 261. Au hasard. 262. . De sorte qu
. Ce dernier point va se trouver expliqué par ce qui suit. 291. Voir page 470, note 10. 292. Terre, entendez les travaux
ndez les travaux en terre, l’art du potier. 293. De plus. 294. Voir page 21, note 4. 295. Au lieu de a prévalu. 296. P
s. 330. Voir p. 4, note 15. 331. Fussent fondus,… se portait. Voir page 4, note 15. 332. Que tu y prennes garde. 333.
i est restée l’émail propre de Palissy. (Voir Ern. Dupuy, ouvr. cité, pages 88-89, et Alb. Jacquemart, Hist. de la céramique,
une seule est restée, fondue eu un seul mot (auparavant). 373. Voir page 512, note 4. 374. Entendez : même lorsque mes ém
pli et non en train de s’accomplir. Sur l’emploi de l’indicatif, voir page 15, note 4. 389. Par, pendant. 390. Étroit, s
Au palais, au temple où se tenait le sénat, à la curie. 402. Voy. page 43, note 4. 403. Estomac. Fréquent jusque dans
s œuvres, est né vers l’an 50 et mort vers 120 après J.-C. 419. Voir page 27. 420. Récita, raconta. 421. Le duché de Gui
— dont. 438. Ainsi Guzman à Zamore, dans l’Alzire de Voltaire (voir page 604). Des dieux que nous servons connais la diffé
ie siècle, n’est pas resté dans la langue. 449. Voir la note 7 de la page 20. 450. Au moment où ils (maîtres et élèves) fo
icile (470), achevèrent d’assurer le triomphe de la Grèce. 462. Voir page 32, note 4. 463. Estour, combat. Mot, d’origine
marchés extravagants, et l’on verra par un passage de La Bruyère cité page 117 que la mode des tulipes était encore vivace à
On dit plus ordinairement aujourd’hui déborder. Voir la note 7 de la page 20. 474. A la campagne, c’est-à-dire dans la ca
mes de sa terre de Balzac, près d’Angoulême. Voir notamment ici même, pages 35-37. 479. . Ce sont les termes mêmes de Balzac
même, pages 35-37. 479. . Ce sont les termes mêmes de Balzac : voir page 36, note 4. 480. Amsterdam. Descartes s’était fi
que nous appelons aujourd’hui le service de l’intendance. 488. Voir page xxvi et page 178. 489. Jean Ribaud, ou de Ribau
elons aujourd’hui le service de l’intendance. 488. Voir page xxvi et page 178. 489. Jean Ribaud, ou de Ribault. – De la n
t dans la langue de la marine. 503. S’y campa. Voir la note 7 de la page 20. 504. Qui. Ce relatif n’amène après lui aucu
s, un transfuge français. 506. Qu’il ait fait, qu’il ait paru. Voir page 39, note 3. 507. De parole, de vive voix, verba
En. Nous disons plutôt : il lit voile pour la France. 518. Tome III, pages 147 et 148 de l’édition de 1683 (Paris, in-folio)
us dirions aujourd’hui : commençaient à grossir. Voir la note 7 de la page 20. 531. Barrière des Sergents. On appelait ain
e de Louis XIV. 540. Conseiller des enquêtes : voir la note 1 de la page 47. 541. Lettres de cachet, lettres scellées du
res, occasions, événements fortuits. 552. Sur les Grands Jours, voir page 105, note 1. Les Grands Jours se sont tenus à plu
elon, se plaignent du même scandale (voir le recueil du second cycle, page 228, note 1) : la scène que nous citons, et dans
au morceau au célèbre passage du Menteur de Corneille que nous citons page 512. — Don Juan est le « grand seigneur méchant h
ité : comparer harpie, harpon, harponner. 579. Voir la note 1 de la page 545. 580. Remarquez la solennité de l’expression
n’a pas échappé. 583. Dame Claude sort. 584. Voir la note 4 de la page suivante. 585. Vous ressouvenez. Le xviie sièc
Dieu (parbleu ! morbleu !). 591. Bonne chère. Voir la note 5 de la page 9. 592. Épée de chevet se dit d’une arme, d’un
d un objet, qu’on a toujours sous la main. 593. Voir la note 2 de la page 82. 594. Factoton. On écrivait quelquefois ains
des raisons particulières de flatter ses manies. 597. Viandes. Voir page 3, note 10. 598. D’un ancien. La maxime citée p
gloire. 620. Impertinents, dénués de bon sens. Voir la note 2 de la page 82. 621. L’art s’exerce d’après des prescription
tainement souvenu dans cette scène du chapitre de Don Quichotte (voir page 443, note 3), où Cervantès fait tenir à la femme
tous les gens du peuple, comme Sancho Pança, dans Don Quichotte (voir page 444, note 1), comme Petit-Jean, dans les Plaideur
que Molière — ainsi que La Fontaine (voir, plus bas, la note 5 de la page 76) — dirige contre elles suffirait à prouver qu’
de comment. 649. Commerce, relation, entente (voir la note 2 de la page 28). 650. Dans la même disposition. Entendez :
un puits (II, xiii), que nous citons dans le recueil du second cycle, page 853 : « En quoi, dit-il dans cette dernière, En q
personnes, qui ne lait pas ce qui conviendrait. Voir la note 5 de la page 603. 677. Fat, homme à la fois dépourvu de juge
r Mme du Housset, nommée plus haut. 681. Sur Mme de la Fayette, voir page 89, note 2. 682. Sur La Rochefoucauld, voir page
de la Fayette, voir page 89, note 2. 682. Sur La Rochefoucauld, voir page 51. 683. Degré, escalier. 684. Votre pauvre p
promenade publique alors très fréquentée. 687. Voir la note 1 de la page 87. 688. Des nouvelles sur ce qui se passe soit
, oncle de Mme de Sévigné, et de Philippe-Emmanuel de Coulanges (voir page 87, note 1) était abbé ; aussi y fit-elle de fréq
l’un des plus célébres messieurs de Port-Royal (voir la note 1 de la page 77). Arnauld d’Andilly était le frère du célèbre
a de la surprise, mais : me frappa d’admiration. Voir la note 2 de la page 547. 694. Me convertir, délaisser les plaisirs
ne lettre ou des lettres confiées à la poste. 698. La Fontaine (voir page 516) venait de faire paraître quelques poésies av
poésies avec huit fables nouvelles. 699. Sur La Rochefoucauld, voir page 51. 700. Le Singe et le Chat, fable xvi du livr
après que je l’aurai été voir, elle viendra ici. Voir la note 1 de la page 72. 715. Que les poètes ont célébrée. Nous ne s
hef-d’œuvre, la Princesse de Clèves (voir le recueil du second cycle, page 196). 718. Tout son train, toute la maison de T
735. Chausses : entendez ici haut-de-chausses (voir la note 6 de la page 62). 736. L’on n’oserait rien proposer. On n’os
et plus tard duc de Gramont (1672-1723), petit fils du maréchal (voir page 82, note 1). 740. Être un peu de travers. Jeu d
On appelle ainsi ceux qui professent les doctrines de Descartes (voir page 28). 803. Grand comme le Péloponnèse. C’était l
nture. 820. Théodecte et, plus bas, Euthydème. Voir la note 1 de la page 116. 821. Au temps, aux circonstances. 822. A
it avoir du moins quelques égards. 826. A soi. Voir la note 1 de la page 109. 827. Les viandes, les mets, la nourriture
, etc., noms de certaines variétés de tulipes. — Voir la note 3 de la page 36. 830. Aussi est-elle, c’est qu’en effet elle
ses comédies. 838. Giton et, plus bas, Phédon. Voir la note 1 de la page 116. 839. Pendantes, sous le poids de la graiss
istres, en faveur des ministres. 853. Sur soi. Voir la note 1 de la page 109. 854. Ni salut ni compliment. Allusion au s
lier Philibert de Gramont, frère du maréchal Antoine de Gramont (voir page 82, note 1), s’était lui-même distingué à la guer
France pour son élégante frivolité. 875. Que. Voir la note 6 de la page 66. 876. Péri. Ce participe, qu’on n’emploie pl
itre, manger, apaiser sa faim. On a dit repaître et se repaître (voir page 20, note 7) ; mais le pronominal a prévalu. 882.
her ? 893. Allusion à l’étrange récit de Termes, qu’on a vu rapporté page 128. 894. Diable, substantif pris comme interje
e. 907. Étonne, frappe comme d’un coup de tonnerre, paralyse. (Voir page 547, note 2.) 908. Succès est pris ici (voir la
r page 547, note 2.) 908. Succès est pris ici (voir la note 2 de la page précédente) dans le sens restreint de résultats h
la mythologie gréco-romaine. 923. Bonne chère. Voir la note 5 de la page 9. 924. Ridiculement, de manière à faire rire.
s’adresse particulièrement à l’élève de Fénelon (voir la note 1 de la page précédente). 927. Mercure, suivant la mythologi
ns le style familier, dramatique ou oratoire. 929. Domestique. Voir page xxviii, note 2. — Sur Commines, voir page xxvi. —
re. 929. Domestique. Voir page xxviii, note 2. — Sur Commines, voir page xxvi. — Les deux personnages sont supposés conver
s’oindre de cette huile. – Sur les derniers moments de Louis XI, voir page xxvi et page 661, note 1. 933. Barrette, espèce
ette huile. – Sur les derniers moments de Louis XI, voir page xxvi et page 661, note 1. 933. Barrette, espèce de petit bon
our le jeune duc de Bourgogne (nous avons déjà dit, à la note 1 de la page 139, la même chose des Fables), à qui Fénelon ens
repu. 996. Bonne chère. Voir, sur cette expression, la note 5 de la page 9. 997. Baie, mystification qui fait bayer. — B
doit pas être confondu avec bâiller. 998. Je. Voir la note 3 de la page 155. 999. Licencié, théologien pourvu du second
chère : second sens de ce mot, dont nous avons expliqué l’étymologie ( page 158 note 3). 1013. Voir la note 6 de la page pré
expliqué l’étymologie (page 158 note 3). 1013. Voir la note 6 de la page précédente. 1014. Spécifique, remède exactement
ement : pour qu’on pût, au lieu de pour pouvoir (voir la note 1 de la page 72). 1021. Un garçon bleu. On appelait garçons
Suppôt, employé en sous-ordre. 1065. Mortier ; Voir la note 3 de la page 49. 1066. Je. Montesquieu suppose que deux Pers
ariées des Parisiennes. 1068. Comparer avec le Bavard de La Bruyère, page 116. 1069. Je. Voir la note 2 de la page précéd
c le Bavard de La Bruyère, page 116. 1069. Je. Voir la note 2 de la page précédente. 1070. Décisionnaire, mot hasardé pa
apitale est maintenant Téhéran. 1073. Me dit. Voir la note 2 de la page 173. 1074. Produire, amener au grand jour, fai
roisième personne du singulier : il vêt, et non : il vêtit. Mais voir page 648, note 2. 1152. Plus triste que l’ombre de l
causer dans les salons, dans les ruelles (sur le sens de ce mot, voir page 168, note 3), et rien de plus. 1167. Cabinet, n
ollaborateur de Buffon. 1170. Chaise de poste. Voir la note 2 de la page 189. 1171. Un jour, en 1765. — La Robaila (ou R
pour prendre les oiseaux. 1193. Voir l’expression du même sentiment page 212, note 1. 1194. Sans le compter. Pour que la
levée des impôts (avec une nuance péjorative) : voir la note 4 de la page suivante. 1227. De lisières, formé de petites b
ue Marmontel avait composés pour l’Encyclopédie (voir la note 1 de la page 220). 1244. Mauriac, aujourd’hui sous-préfectur
ion de forcer quelqu’un à payer un impôt. 1267. Voir la note 2 de la page suivante. 1268. L’usage qui veut que les plaide
Impliqueraient : impliqueraient contradiction : voir la note 3 de la page précédente. 1289. Aujourd’hui même. 1290. On se
ance. » — On sait que, d’une manière générale, La Rochefoucauld (voir page 51) soutient que les actions qu’on regarde comme
Rousseau vivait en effet de métier de copiste de musique. 1323. Voir page 219, note 2. 1324. J.-J. Rousseau, comme composi
aguère pour Mme de Pompadour. 1330. Sur Jean-Baptiste Rousseau, voir page 590. 1331. Négligé, pour : ou d’un autre auteur.
s vulgaire du mot. 1347. Cette statue est l’œuvre de Falconet (voir page 222, note 2). — Saint-Pétersbourg a été fondé par
Navarre espagnole, célèbre par l’histoire de la mort de Roland (voir page 673, note 3). 1370. Le réal est une petite monn
aie d’argent espagnole, qui vaut 0 fr 23. 1371. Voir la note 2 de la page 222. 1372. Homère est représenté, on le sait, so
e imaginaire, héroïne des Martyrs, comme Eudore en est le héros (voir page 283, note 4 et page 287, note 4). 1405. Dictame
e des Martyrs, comme Eudore en est le héros (voir page 283, note 4 et page 287, note 4). 1405. Dictame, plante aromatique.
-dire : je te parie une bouteille de vin. 1452. Voir la note 4 de la page 8. 1453. Demoiselle se disait, sous l’ancien ré
nsées, édit. Brunschvicg, sect. vi, 353) Sur Pascal (1623-1662), voir page 77. 1495. Hachette et Cie, éditeurs. 1496. Will
r Marie clandestinement. — Les Puritains sont des presbytériens (voir page 317, note 2), qui affectent l’austérité la plus r
t par conséquent selon le rite catholique. — Sur l’anglicanisme, voir page 317, note 2. 1528. Ce sont les psaumes LVI, LXX
bat d’aujourd’hui. » (Vers 386-405.) 1580. Sur la Marseillaise, voir page 395. 1581. Flammarion, éditeur. 1582. Le livre
oire. 1597. Œuvres publiées chez Calmann Lévy, éditeur. 1598. Voir page 677 la notice sur Victor Hugo. 1599. Alexandre D
(Commentaires, édition de la Société de l’Histoire de France, tome V, page 305, tome III, pages 366-369) que les reîtres rav
on de la Société de l’Histoire de France, tome V, page 305, tome III, pages 366-369) que les reîtres ravagèrent tout le pays,
revenants. 1656. Calmann Lévy, éditeur. 1657. Voir la note 1 de la page 77. 1658. Puritanisme y doctrine des puritains
s : Molière les met aux prises dans une scène célèbre que nous citons page 555. 1663. Précieuse. On appela d’abord précieu
t d’originalité dans l’expression. — Voir le recueil du second cycle, page 990. 1668. Sur Casimir Delavigne, voir page 659.
recueil du second cycle, page 990. 1668. Sur Casimir Delavigne, voir page 659. 1669. Journal des Débats, l’un des journau
Bouillotte, espèce de jeu de cartes. 1680. Lettres de change. Voir page 225, note 5. 1681. Soixante louis, douze cents
. L’Église célèbre le 2 juin la fêle des « martyrs de Lyon ». — Voir, page 282, un beau fragment des Martyrs, de Chateaubria
ce-Lorraine, sur la frontière même de la France. 1721. Dieuse. Voir page 125, note 1. 1722. Sans songer que je me rendai
présentant le Passage de la Bérézina (sur cet épisode militaire, voir page 350). 1790. Bouclier carré. 1791. Bouclier rond
— Le ris est la partie de voile qui est au-dessous de la vergue (voir page 445, note 2). 1801. Cape, grande voile du grand
ci-après, p. 469. 1826. Sur Ronsard et les poètes de son école, voir page 477, note 2, et page 481 et suivantes. 1827. Si
26. Sur Ronsard et les poètes de son école, voir page 477, note 2, et page 481 et suivantes. 1827. Si, ainsi, aussi, c’est
n’était pas encore fort usuel. 1831. Oyez-vous, entendez-vous (voir page 494, note 1). — La plaisanterie consiste ici dans
tre Champagne et du Hainaut, possession de Charles-Quint. 1841. Voir page 468, note 5. 1842. Foudroyant. Le mot ne s’est c
, ne se trouve plus après les premières années du xviie . 1853. Voir page xxv, note 1. 1854. Gloire. Le mot parait aujourd
ec. 1863. Le composé remercier est resté dans la langue. 1864. Voir page 468, note 5. 1865. Saillit, s’élança. — Sur deh
Voir page 468, note 5. 1865. Saillit, s’élança. — Sur dehors, voir page 496, note 5. 1866. Siège, séjour. 1867. Dont,
st au nom du roi que procèdent (on les appelle les gens du roi : voir page 398, note 1) les différents magistrats chargés d’
pourquoi, — Suppli, licence pour le vers. 1920. Voir la note 5 de la page 468. 1921. Très humblement requérant. Marot aff
n dans la langue, n’a pas subsisté après le xvie siècle. 1923. Voir page 21, note 4. 1924. La plaisanterie se comprend d’
qui sont à peu près tombées en désuétude. Voir encore la note 2 de la page 492. 1935. Du Bellay avait passé plusieurs année
dant de son parent le cardinal du Bellay. 1955. Voir la note 2 de la page 477. 1956. Odet de Coligny, cardinal de Châtill
et de Coligny, cardinal de Châtillon, frère de l’amiral Coligny (voir page 387, note 3), l’un des protecteurs de Ronsard. 1
4 de la p. 21. |     1960. Pen-sé-es : trois syllabes. 1961. Voir page 3, note 16. 1962. Chef, tête. 1963. Perruque,
une petite. 1993. Faut, manque, se trompe (de faillir). 1994. Voir page 496, note 5. 1995. Le mot a admis les deux genre
e mot ne s’emploie plus qu’au sens moral et métaphorique. 1999. Voir page 189, note 1. 2000. Entreprenez. 2001. Ce qui es
raiment forts ont gardé leur empire. 2003. François Ier. 2004. Voir page 478, note 5. 2005. Entendez : qui jouit d’un ren
note 5. 2005. Entendez : qui jouit d’un renom immortel. 2006. Voir page 468, note 5. 2007. Malveillants. 2008. Adjectif
oquerel, chanoine de Notre-Dame d’Amiens. 2015. Voir la note 2 de la page 477. 2016. Imité d’une fable d’Esope, avec laque
t, dégoûtât, importunât. Sens jadis très fréquent du mot. 2021. Voir page 492, note 2. 2022. Écharde droite, ses épines h
réciant. — Avecque est un souvenir de l’ancienne forme avecques (voir page 478, note 5), que le dix-septième siècle n’a cons
sez souvent lui adresser le même reproche. 2036. Sur le Louvre, voir page 499, note 4. 2037. Qui nous met en repos. Après
asser. 2040. Les soleils, les journées. 2041. Voir la note 5 de la page précédente. 2042. Repos, endroits où l’on se re
ment terminée. 2051. Passeront, surpasseront. — André Chénier (voir page 450), tout jeunet encore, avait rédigé pour lui-m
c. Mais le xviie siècle n’a pas connu cette distinction. 2057. Voir page 492, note 2. 2058. Exemplaire, modèle. Le mot n
processionnellement. 2069. Il y allait tenir les Grands Jours (voir page 105, note 1), septembre 1605. 2070. La pastorale
ant la confection des gerbes. 2082. Et semble. Voir la note 6 de la page précédente. 2083. Il soupire (employé activemen
ue cas de cette éducation. 2098. En, d’Attale. Voir la note 9 de la page 495. 2099. En : de ce rôle de roi qu’on lui des
lle appelle à tort Flaminius. 2106. . Discords. Voir la note 4 de la page 497. 2107. En, de régner. 2108. Le fut bien d
tenant de son frère Lucius, alors consul. 2109. Voir la note 2 de la page précédente. 2110. Dessus. Voir la note 5 de la
la note 2 de la page précédente. 2110. Dessus. Voir la note 5 de la page 496. 2111. Que, dans lequel. 2112. Elle, Rome
ce et jardin qui y était attenant. — Sur dedans, voir la note 5 de la page 496. 2121. . Aux royaumes du Code, à la Faculté
Honnêtes gens, gens du monde, gens distingués. Voir la note 2 de la page 157. 2125. S’y fait de mise, s’y fait accueilli
ille met ici dans la bouche de Géronte (voir, dans le présent volume, page 59). 2139. Étant sorti ne se rapporte à aucun s
e voi. Voir la note précédente. 2142. Dedans. Voir la note 5 de la page 496. 2143. Surpris, trompé par surprise ; car j
lui-même dans sa Vie de M. de Malherbe. — Sur Malherbe et Racan, voir pages 491 et 498. 2186. Horace (65-8 av. J.-C.), illus
doit échapper, qui devez tout savoir. S’éclata. Voir la note 7 de la page 20. 2188. Où buter, à quel but, à quelle fin j
notamment l’avaient racontée. 2191. S’éclata. Voir la note 7 de la page 20. 2192. Connaît, reconnaît. 2193. Cure, sou
s spectateurs du parterre. 2222. Ouï, entendu. Voir la note 1 de la page 494. 2223. Canons. On appelait ainsi des espèce
grand poète d’une familiarité un peu hautaine. — Sur Corneille, voir page . 502. 2233. Jusques à des vers… il me les récit
etc..., et ne s’emploie que dans le style familier. — Sur chère, voir page 9, note 5. 2246. Sorte, rang, qualité. 2247.
des compliments, des cérémonies. 2248. Succès. Voir la note 2 de la page 135. 2249. A me faire = capable de me faire. Tr
en français avec le même sens. 2266. Se campèrent : campèrent. Voir page 20, note 7. 2267. Un haut, une hauteur. Le mot
 : es-tu Sosie à présent ? 2281. A soi, à lui. Voir la note 1 de la page 109. 2282. Quelque conte frivole [que tu me fas
ux exemples. 2287. Port Persique. Molière a emprunté à Plaute (voir page 548, note 3) plusieurs détails de cette scène et
un peu. 2294. Action, les gestes. 2295. Voi. Voir la note 5 de la page 512. 2296. Etonne. Ce verbe, qui signifie propr
tails : par exemple le dialogue si amusant de Sosie avec sa lanterne ( pages 535 et suiv.) est tout entier de son invention. —
’émeut ; terme familier (étymologie douteuse). 2309. Soi-même. Voir page 109, note 1. 2310. Bénéfice, revenus attachés à
nesse à peindre les gens. 2313. Honnête homme. Voir la note 2 de la page 157. 2314. Dont, ce dont. 2315. Guindé, élevé
onom personnel de lui-même, au lieu du réfléchi. Voir la note 1 de la page 109. 2325. La chose alla. Entendez : j’allai ju
ent sa figure avant de l’avoir jamais vu. 2326. Voir la note 1 de la page suivante. 2327. Le Palais. La galerie du Palais
titulée la Galerie du Palais. 2328. Au Cours. Voir la note 8 de la page 531. 2329. Aux ruelles. La ruelle du lit est le
g poème. (Art poétique, chant ii, 94.) 2338. Voir la note 1 de la page suivante. 2339. Le madrigal est une petite pièce
extension, pédant encrassé. 2347. Philaminte (voir la note 1 de la page 553) assiste, avee sa fille Armande et sa belle-s
s une assez longue route. 2349. L’auteur des Satires. Boileau (voir page 564. On sait que Boileau a plusieurs fois, dans s
poche. 2358. Je prévoi. Sur cette orthographe, voir la note 5 de la page 512. 2359. Pour le marquis un tel, et non : pou
(1677). Il devint plus tard président à mortier (voir la note 3 de la page 49) : il était l’ami de plusieurs des grands écri
ent le seigneur dont le poète va parler. 2386. Sur les Parques, voir page 493, note 1. 2387. Construi. Sur cette manière
387. Construi. Sur cette manière d’écrire la première personne, voir page 512, note 5. 2388. Appas. Dans le sens où Boile
nt du Mogol (Fables, livre XI, iv). 2392. Voi. Voir la note 5 de la page 512. 2393. Arpent, ancienne mesure agraire de v
x donner : celui que tu me conseilles d’épouser (voir la note 1 de la page 572). 2417. Andromaque s’est résolue à épouser P
417. Andromaque s’est résolue à épouser Pyrrhus (voir la note 1 de la page 572) et à se tuer aussitôt après qu’elle lui aura
rien grec Appien (iie siècle après J.-C.). 2431. Se déborder. Voir page 20, note 7. 2432. Allusion à la guerre sociale (
est un philosophe romain de l’école stoïcienne (voir la note 1 de la page 635), dans les écrits duquel il est souvent quest
les rois, ils sont ce que nous sommes. 2470. Voir la note 1 de la page 77. 2471. La première traduction du Paradis perd
puissance de Dieu révélée par les merveilles de l’astronomie, voyez, page 653, un beau développement de Lamartine. 2475. C
extuellement le mot de François de Guise rapporté par Montaigne (voir page 32, note 2). 2501. Cet agréable et satirique tab
e tend à prévaloir. La même observation s’applique au mot soupe (voir page 604, note 3). — Le dîner, jusque dans les premièr
assion de l’argent. 2516. Soupé (substantif) : voir la note 2 de la page 602. 2517. Du palais (de justice). Ce pédant es
erme très familier. 2519. Tailles. Sur ce mot, voir la note 1 de la page 189. 2520. L’équivoque est ce qu’on a appelé de
re Convient à ma douleur et plait à mes regards, dit Lamartime. Voir page 644 toute la pièce, qu’il y a lieu de comparer au
rrondi : c’est le jeu de billard que le poète décrit ici. 2537. Voir page 602, fin de la note 2. 2538. Il n’est pas inutil
x-mêmes. 2543. Comparer la Méditation de Lamartine, l’Automne (voir page 644). 2544. Aujourd’hui chef-lieu de canton du d
uite d’une épigramme (Épigr. descriptives, 122) de l’Anthologie (voir page 629, note 6). Toutefois le vers 10 traduit un ver
m changée en rossignol). 2589. Dans ces lieux. Voir la note 2 de la page suivante. 2590. Déesse des bergers, prise ici po
du second cycle) et d’un passage de Louis Racine que nous avons cité page 593. 2621. Enfants. Tout ce développement est m
énomène bien connu du mirage que le poète veut ici parler 2634. Voir page 677 la notice sur Victor Hugo. 2635. Campéador,
traits des chroniqueurs français, publié par Gaston Paris et Jeanroy, page 405, note 3.) 2639. Homme, Louis XI a été, comme
eprise touchant de la pièce d’André Chénier, la Jeune Tarentine (voir page 629). Elle tombe, elle crie, elle est au sein des
aux vers, la doctrine même exposée par Bossuet dans ses Sermons (voir page 96, note 1). 2683. Un général ancien. Le père d
1791, avait atteint en 1809 le grade de général (voir la note 3 de la page 689). — Le poète place tout ce développement dans
sion à la fille et au fils ainés du poëte Léopoldine et Charles (voir page 683, notes 1 et 5). 2685. Nue, dépouillée de to
 ; — Marceau sur le Rhin, 1795-1796. 2703. Sur la Marseillaise, voir page 395, note 2. 2704. Kléber, à l’armée du nord, p
’homme, le pêcheur, le marin. 2717. Sur Roland, voir la note 3 de la page 673. 2718. Destrier, voir la note 2 de la page
voir la note 3 de la page 673. 2718. Destrier, voir la note 2 de la page 675. 2719. Léon, le royaume de Léon ou des Astu
eux éperons (afin de l’exciter). 2723. Roidit, voir la note 2 de la page 300. — Sur paladin, voir la note 1 de la page 672
t, voir la note 2 de la page 300. — Sur paladin, voir la note 1 de la page 672. 2724. Chanfrein, pièce d’armure qui couvra
). 2728. Du préfixe péjoratif mé..., et d’une forme dialectale (voir page 104, note 2) du participe présent du verbe croire
s à la sûreté et prescrites par les règlements. 2752. Albion, voir page 606, note 1. 2753. Laissant ne se rapporte pas
Et ramenons les bœufs chez nous. S’il me fallait, etc. 2756. Voir, page 677, la notice sur Victor Hugo. 2757. Cette pièc
l aux dormeurs de la maison ? » 2784. Roidir. Voir la note 2 de la page 300. 2785. Irus, personnage de fantaisie, comme
labes, contrairement à l’usage ordinaire. 2787. Voir la note 4 de la page 556. 2788. Le duc Laërte a deux filles jumelles,
rc), bonnets de laine rouge à gland bleu. 2801. Voir la note 1 de la page précédente. 2802. Balbek (Héliopolis), ville de
ot « Des ailes » sert d’épigraphe au livre de Michelet l’Oiscau (voir pages 366 et 368), 2809. Courtines, rideaux de lit.
ait demandé qu’on l’enterrât à côté de son mari (voir la note 2 de la page 651). 2821. Devant, avant. 2822. Leurs corps 
le pièce de Sully Prudhomme, insérée dans le recueil du second cycle, page 1150. Ce noble poète, lui aussi, ramène, dit-il,
ui s’était terminé par l’acquittement d’Eschyle (voir la note 2 de la page précédente) celui-ci avait été défendu par Sophoc
r la notice sur Jean-Jacques Rousseau et les extraits de cet écrivain pages 203 et suivantes. 2858. Mon mari. Tarquin Colla
905. Gérald, fils du comte Amaury, aime Berthe, fille de Roland (voir page 673, note 3), et il en est aimé. Justement il vie
3), et il en est aimé. Justement il vient de conquérir Durandal (voir page 697, note 2), que les Sarrasins détenaient depuis
age est d’ailleurs inconnu. 2909. Messire, monseigneur. 2910. Voir page 674, note 5. 2911. Taillé les marbres, fendu le
de la haute noblesse en Hongrie. 2940. Steppe. Voir la note 1 de la page 757. 2941. Turquoise, pierre précieuses de coul
la côte (littéralement de cap en cap, cabo en espagnol). 2967. Voir page 63, notre 1. 2968. Haut est ici pris substantiv
ris, 1839-1842), et dont Littré a donné l’analyse dans le tome XXIII ( page 216) de l’Histoire littéraire de la France. L’aut
4 (1845) Les auteurs latins expliqués... Horace. Art poétique pp. -72
. Tant qu’il n’a pas vu le jour, on peut, à son aise, revenir sur des pages inédites : une fois parti, le mot ne revient plus
chera point la peau, 1377si-ce-n’est gorgée de sang. Notes. Page 2. — 1. Ars poetica. Ce sont les premiers éditeur
rendre intelligible. — 4. Species, — imagines, en grec εἴδη, idées. Page 4. — 1. Qui pingitur. C’était un usage chez les a
fracta te in trabe pictum Ex humero portes…. (Sat. I, v. 86 et 87.) Page 6. — 1. Potenter, κατὰ δύναμιν. — 2. Et prœsens
de notre préférence est celui que nous avons exposé en premier lieu. Page 8. — 1. Catonis. C’est de Caton l’Ancien qu’il es
nte, le second à Rudies, près de Tarente, et le troisième à Brindes. Page 10. — 1. Debemur morti, nos nostraque. Considérés
ar maculis, quas aut incuria fudit, Aut humana parum cavit natura…. Page 12. — 1. Chremes, dans la pièce de Térence, intit
nent plus bas : Tua me infortunia lædent, Telephe, vel Peleu, etc. Page 14. — 1. Si vis me flere, dolendum est, primum ip
sensibles ; il y a les larmes comiques, et celles-là nous font rire. Page 16. — 1. Honoratum si forte reponis Achillem…. Pa
dent exactement à l’idée abstraite et générale qu’on a du caractère. Page 18. — 1. C’est le début de l’Odyssée dans Homère.
l’idée du verbe ἔγνω : Πολλῷν δ’ἀνθρώπων ἴὸευ ἄστεα καὶ νόον ἔγνω. Page 20. — 1. Aulœa. On appelait ainsi la toile qui se
si rapide, et pourtant si philosophique, des quatre âges de la vie. Page 22. — 1. Dilator, spe lentus, iners, pavidusque f
φοϐητικοί, dit Aristote, meticulosi et de omnibus futuris paventes. Page 24. — 1. Intus digna geri. La scène représentait
par un sorcier, malgré le ciel, ne plaira jamais qu’à la populace. » Page 26. — 1. Sortilegis non discrepuit sententia Delp
se piquait pas d’être bien fervent en fait de croyances religieuses. Page 34. — 1. Hic et in Acci nobilibus trimetris. Hic
ire V du liv. i er, où se trouve la description du voyage à Brindes. Page 36. — 1. Successit Vetus his Comœdia. Les grammai
les Calphurnii ou Calpurnii Pisones prétendaient tirer leur origine. Page 38. — 1. Tribus Anticyris. Il y avait, en effet,
hie historique ancienne, par F. Ansart ; Grèce septentrionale, § 737, page 238, 3e édition.) Malgré ce renseignement positif
nateur, et qui fut, à ce que l’on pense, exclu du sénat par Auguste. Page 42. — 1. Poteras dixisse ? — Triens… C’est le tie
e tête et une poitrine de femme, terminée par le corps d’un serpent. Page 44. — 1. Celsi Rhamnes. Les Chevaliers dédaigneux
ait le nom d’un des trois corps de chevaliers institués par Romulus. Page 46. — 1. Qui mullum cessat, fit Chœrilus ille…. C
n lui le désir d’en avoir. (Livre XVIII, ode ii, au prince Eugène.) Page 48. — 1. Sardo cum melle papaver. On mêlait avec
vers 57 : Si quadringentis sex, septem millia desunt. Plebs eris…. Page 50. — 1. In Metii descendat judicis aures…. Métiu
ère jeunesse, concurremment, sans doute, avec quelques odes latines. Page 52. — 1. Nunc satis est dixisse. Au lieu de nunc,
e est parfaitement sensible. Nunc est dans les meilleurs manuscrits. Page 54. — 1. Ut, qui conducti plorant in funere. Allu
France, mais il s’y était maintenu jusque dans les dernières années. Page 56 — 1. Quintilio si quid recitares. Quintilius V
oins, on croit généralement qu’elle ne fut publiée qu’après sa mort. Page 58. — 1. Morbus regius. Ce n’est pas l’épilepsie,
servari nolit), qui réagit sur la première partie de la proposition. Page 60. — 1. An triste bidental moverit incestus. Bin
5 (1852) Précis de rhétorique
s, ou avec le premier du vers suivant. Nous en avons cité un exemple, page 121. Rime fausse. — C’est celle qui est formée p
ouvent dans la préface du tome Ier de ma Rhétorique appliquée, et aux pages 1 à 17, 32, 33 et 34 2. Développements, tome Ier
quée, et aux pages 1 à 17, 32, 33 et 34 2. Développements, tome Ier, pages 20 à 25. 3. Développements, pages 26 à 31. 4. D
t 34 2. Développements, tome Ier, pages 20 à 25. 3. Développements, pages 26 à 31. 4. Développements, pages 32 à 43. 5. D
pages 20 à 25. 3. Développements, pages 26 à 31. 4. Développements, pages 32 à 43. 5. Développements, pages 44 à 52. 6. D
pages 26 à 31. 4. Développements, pages 32 à 43. 5. Développements, pages 44 à 52. 6. Développements, pages 52 à 62. 7. D
pages 32 à 43. 5. Développements, pages 44 à 52. 6. Développements, pages 52 à 62. 7. Développements, pages 62 à 72. 8. D
pages 44 à 52. 6. Développements, pages 52 à 62. 7. Développements, pages 62 à 72. 8. Développements, pages 73 à 78. 9. D
pages 52 à 62. 7. Développements, pages 62 à 72. 8. Développements, pages 73 à 78. 9. Développements, pages 78 à 86. 10.
pages 62 à 72. 8. Développements, pages 73 à 78. 9. Développements, pages 78 à 86. 10. Développements, pages 86 à 98. 11.
ages 73 à 78. 9. Développements, pages 78 à 86. 10. Développements, pages 86 à 98. 11. Développements, pages 99 à 109. 12
ges 78 à 86. 10. Développements, pages 86 à 98. 11. Développements, pages 99 à 109. 12. Développements, pages 110 à 120.
es 86 à 98. 11. Développements, pages 99 à 109. 12. Développements, pages 110 à 120. 13. Développements, pages 120 à 127.
99 à 109. 12. Développements, pages 110 à 120. 13. Développements, pages 120 à 127. 14. Développements, pages 127 à 119.
110 à 120. 13. Développements, pages 120 à 127. 14. Développements, pages 127 à 119. 15. Développements, pages 149 à 162.
120 à 127. 14. Développements, pages 127 à 119. 15. Développements, pages 149 à 162. 16. Développements, pages 163 à 181.
127 à 119. 15. Développements, pages 149 à 162. 16. Développements, pages 163 à 181. 17. Développements, pages 181 à 188.
149 à 162. 16. Développements, pages 163 à 181. 17. Développements, pages 181 à 188. 18. Développements, pages 188 à 191.
163 à 181. 17. Développements, pages 181 à 188. 18. Développements, pages 188 à 191. 19. Développements, pages 192 à 198.
181 à 188. 18. Développements, pages 188 à 191. 19. Développements, pages 192 à 198. 20. Développements, pages 311 à 336.
188 à 191. 19. Développements, pages 192 à 198. 20. Développements, pages 311 à 336. 21. Développements, pages 199 à 217.
192 à 198. 20. Développements, pages 311 à 336. 21. Développements, pages 199 à 217. 22. Voir mon Cours de style épistolai
tolaire à l’usage des demoiselles. 2 vol. in-12. 23. Développements, pages 208 à 217. 24. Développements, pages 218 à 231.
ol. in-12. 23. Développements, pages 208 à 217. 24. Développements, pages 218 à 231. 25. Développements, pages 231 à 261.
208 à 217. 24. Développements, pages 218 à 231. 25. Développements, pages 231 à 261. 26. Développements, pages 261 à 266.
218 à 231. 25. Développements, pages 231 à 261. 26. Développements, pages 261 à 266. 27. Développements, pages 266 à 277.
231 à 261. 26. Développements, pages 261 à 266. 27. Développements, pages 266 à 277. 28. Développements, pages 277 à 298.
261 à 266. 27. Développements, pages 266 à 277. 28. Développements, pages 277 à 298. 29. Développements, pages 298 à 314.
266 à 277. 28. Développements, pages 277 à 298. 29. Développements, pages 298 à 314. 30. Les rhéteurs disent que l’hémist
6 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Avertissement de la deuxième édition. » pp. -
s sur Aristote avait rendues nécessaires. Comme on le verra plus bas, page 58, c’est à titre d’éclaircissement que j’ai cru
oëmes didactiques d’Horace et de Boileau. Il y a dans la Poétique des pages qui ne peuvent être utilement discutées qu’entre
tre utilement discutées qu’entre les savants de profession  mais, ces pages mises à part, combien il en reste d’excellentes p
7 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Brizeux, 1803-1858 » pp. 557-563
e et précis. 3. Ces accents rappellent par leur simplicité certaines pages de Jocelyn. 4. Ces vers réjouissent l’œil. Un co
un poëte comme lui. 1. Béni soit le bouvreuil ! 2. Comparez cette page de Xavier de Maistre pleurant la mort d’un ami :
au brille et se détache, comme une vignette en miniature au bas d’une page de Buffon. On y sent la plainte secrète du Breton
te des ouvriers, M. Saint-René Taillandier, qui venait de citer cette page , ajoutait : « Quel est l’auteur de ces beaux vers
8 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Canevas
u’il est exposé. Guyet. Lettres → Préceptes du genre, tome 1er, page 199. § I. Lettres de Compliments. → Précepte
§ I. Lettres de Compliments. → Préceptes particuliers, tome 1er, page 203. Compositions. N° 11 Au nom d’une mère,
II. Lettres de Félicitations. → Préceptes particuliers, tome 1er, page 205. N° 4. — Une mère à sa fille La mère fél
III. Lettres de Condoléances. → Préceptes particuliers, tome 1er, page 207. N° 7. — A une dame veuve Une dame perdi
§ IV. Lettres de Demandes. → Préceptes particuliers, tome 1er, page 208. N° 10. — A un ami. Un officier d’artill
§ V. Lettres de Remerciements. → Préceptes particuliers, tome 1er, page 210. N° 15. — A M. le duc de Noailles. Je vi
. § VI. Lettres d’Excuses. → Préceptes particuliers, tome 1er, page 211. N° 16. - Racine à sa cousine Il voulait
§ VII. Lettres de Nouvelles. → Préceptes particuliers, tome 1er, page 212. N° 19. — A Mme de Grignan. Mandez-lui l
I. Lettres de Recommandations. → Préceptes particuliers, tome 1er, page 213. N° 21. — Voiture à M. le président de Mais
ère. Lettres de Reproches. → Préceptes particuliers, tome 1er, page 215. N° 27. — Saint Ambroise à l’empereur Théod
Reprochez-lui ses torts. Décompositions. → Modèles, tome 1er, page 216. N° 30. — Voiture au prince de Condé. Mo
gue votre analyse. Définitions → Préceptes du genre, tome 1er page 219. COMPOSITIONS. N° 34. — L’Esprit Qu’est-
x états de la société à faire. DÉCOMPOSITIONS. → Le modèle, tome ler, page 222. N° 42. — Le Héros. Est-on héros pour
laire. Portraits et caractères → Préceptes du genre, tome 1er, page 223, COMPOSITIONS N° 44 — Le Coq. Le coq est
ous un peu de mauvaise humeur. DÉCOMPOSITIONS. → Le modèle, tome 1er, page 226. N° 55. — Le Cheval. C’est Dieu qui pa
qualités du chien. Parallèles → Préceptes du genre, tome 1er, page 229. COMPOSITIONS. N° 59. — Le Riche et le Pauv
chrétien que vous ferez parler, DÉCOMPOSITION. Le modèle, tome 1er, page 230. N° 63. — Turenne et condé. Ç’a été, da
-il digne d’éloges ? Dialogues → Préceptes du genre, tome 1er, page 251. COMPOSITIONS. N° 64 — Le connétable de Bou
nte de la part de M. Dimanche. DÉCOMPOSITIONS. → Le modèle, tome 1er, page 255. N° 70. — Dieu et Abraham Note. Le Sei
et un dénouement ? Allégories → Préceptes du genre, tome 1er, page 242. COMPOSITIONS. N° 72. — Le Tigre. Je va
agination. C’est la matière de plusieurs volumes. N’employez que deux pages . N° 75. — Le chasseur Un chasseur est renco
légorie. Cette cuve, c’est Paris. DÉCOMPOSITIONS → Modèles, tome 1er, page 245. N° 85. L’Ange mystérieux Au milieu du
et simple. Fables et apologues → Précepte du genre, tome 1er, page 246. COMPOSITIONS. N° 87. — La Goutte d’eau et
tieux et contiendra la morale. DÉCOMPOSITIONS. → Le modèle, tome 1er, page 249. N° 98. — Les Animaux malades de la peste
gnes. Tableaux et descriptions → Préceptes du genre, tome 1er, page 255. COMPOSITIONS. N° 100. — Le Déluge Tous
ouement. Narrations historiques. → Préceptes du genre, tome 1er, page 261. COMPOSITIONS. NOTE. Les canevas des narratio
femme — … Narrations poétiques → Préceptes du genre, tome 1er, page 265. COMPOSITIONS N°150. — L’Ange exilé Exp
diction — … Narrations badines → Préceptes du genre, tome 1er, page 265. COMPOSITIONS Note. Les canevas des narratio
n pèlerinage. Narrations mixtes →Préceptes du genre, tome 1er, page 266. COMPOSITIONS. N° 184. — L’hôpital Auffrédi
oésie. Narrations épistolaires → Préceptes du genre, tome 1er, page 269. COMPOSITIONS N° 204. — L’Hospitalité Calab
ionné — … Narrations. Légendes → Préceptes du genre, tome 1er, page 270. COMPOSITIONS N° 212. — La Couronne de Mari
ent au-dessus de l’échafaud.   DÉCOMPOSITIONS. → Le modèle, tome 1er, page 273. N° 222. — Mort de Polyphonte La victi
pe. Exhortations et harangues → Préceptes du genre, tome 1er, page 298. COMPOSITIONS N° 224. — Fénelon au Duc de B
il doit voir une telle cruauté. DÉCOMPOSITIONS. →Le modèle, tome 1er, page 502. N° 242. — Lusignan à sa Fille Lusignan
anecdote. Narrations oratoires → Préceptes du genre, tome 1er, page 306. COMPOSITIONS N° 244. — Bataille de Rocroi
te ce grand prince. Plaidoyers → Préceptes du genre, tome 1er, page 215. COMPOSITIONS Note. Une famille opulente viv
nne propre. Versification → Les préceptes du genre, tome 1er, page 537.   COMPOSITIONS N° 252. — Le Temple Quan
ié ! Passion du sage, idole d’un cœur juste, que ton nom couronne ces pages  ; il règne en souverain dans mon cœur, qu’il prés
9 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie —  Vauvenargues, 1715-1747 » pp. 336-343
ans déguisement. Pour moi, je pleurais de joie, lorsque je lisais ces pages  ; je ne passais point de nuit sans parler à Alcib
tion stérile, enlevé au seuil de la maturité, et déposant dans chaque page qu’il écrit sa protestation contre la fortune, il
3. Ceci est déjà du Rousseau. 4. Rapprochez de ces accents quelques pages des Confessions de J. J. Rousseau et des Mémoires
thique aux Ménalques ; voulez-vous voir son idéal secret, lisez cette page  : « Quand je trouve dans un ouvrage une grande i
10 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Cousin 1792-1867 » pp. 257-260
térieur qui s’appelle la conscience et la raison humaine. Aussi cette page paraît-elle une nouveauté piquante. Voilà pourquo
yage de vacances philosophiques. 4. Notons l’aveu. 5. Lisez cette page de Voltaire raconiant son voyage à Berlin : « Bie
de l’âme intérieure qui donne aux objets leur physionomie. 2. Cette page termine une lettre adressée à M. le prince de la
11 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — De Laprade Né en 1812 » pp. 576-582
nature semble être une médiatrice entre l’âme et Dieu. Il y a là des pages qui rappellent Poussin et Lucrèce, mais un Lucrèc
ue. L’épisode auquel appartiennent ces vers est emprunté à une triste page de l’Histoire contemporaine, celle qui raconte le
1815, défendent leurs foyers et leurs familles contre l’étranger. Ces pages , vraiment patriotiques, sont de celles qui honore
12 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Pascal, 1622-1662 » pp. 44-51
’il sorte de lui-même, pour se distraire. 4. Il y a dans toute cette page une tristesse éloquente, celle d’un penseur qui c
bien il est plus vraisemblable que… 8. Il y a dans Pascal plus d’une page qu’on ne peut lire sans éprouver comme une sorte
é se ressemblent. 3. Comparez un passage de Fléchier. (Même recueil, page  138.) 4. En peine de, c’est-à-dire embarrassés
13 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre III. Lettres missives. Genre épistolaire. »
ommerce, on la met le plus ordinairement en haut. Vers le quart de la page , à partir du haut, on écrit seuls sur la ligne le
le respect qu’on doit à la dignité. On doit aussi, au bas de la même page , laisser un intervalle convenable, et, au revers,
n peu au-dessous ; et puis, en descendant toujours vers le coin de la page , on met : Votre très humble et très obéissant ser
14 (1882) Morceaux choisis de prosateurs et de poètes des xviii e et xix e siècles à l’usage de la classe de rhétorique
nt, et Leibniz, dès 1704, en résume presque toute l’histoire dans une page qui atteint à la clairvoyance d’une prophétie7. T
qu’avait éprouvée le génie simple et libre de notre langue19. » Cette page nous avertirait au besoin que dans ce tableau c’e
e Gueneau de Montbelliard, il suffit de rappeler que plusieurs de ses pages furent confondues par le public avec celles de so
champêtre, qui repose. Enfin, dans la critique littéraire, malgré les pages supérieures de Voltaire et de Vauvenargues, le di
is par la polémique, chacun vivant au jour le jour et improvisant des pages fugitives, que dictait la circonstance ou l’intér
hétiqne de Hégel, elle n’a pas laissé d’enrichir notre littérature de pages brillantes et fines : les noms de Raoul-Rochette,
t les lois qui ne sont que des faits généralisés. » M. Caro, dans une page pleine de gravité, a montré avec force ce que pro
1-1741.) Nous ne saurions mieux ouvrir ce recueil que par quelques pages empruntées à Rollin, au plus éclairé et au plus a
détachées de Montesquieu, il faut compter au nombre de ses meilleurs pages le Dialogue de Sylla et d’Eucrate et Lysimaque. L
table de ses œuvres que nous voulons nous arrêter, c’est-à-dire à ces pages de causeries qui ont véritablement, selon Sainte-
orrespondance inédite avec le marquis de Mirabeau ont ajouté quelques pages rares à l’œuvre littéraire de Vauvenargues. ‘ La
chis, Vauvenargues cependant a laissé, comme critique littéraire, des pages qui, on en jugera, méritent d’être placées à côté
n succès, d’autres causes en justifient la durée. Il y avait dans ces pages un sentiment vrai et profond de la nature, de ses
dans l’histoire littéraire. Il était resté cependant de lui quelques pages supérieures qui méritaient de survivre. Sainte-Be
liberté sereine du jugement fût déjà possible ; mais ce qui dans les pages du comte de Maistre avait frappé l’attention publ
l, tourmenté par la maudite ambition de mettre tout un livre dans une page , toute une page dans une phrase, et cette phrase
la maudite ambition de mettre tout un livre dans une page, toute une page dans une phrase, et cette phrase dans un mot, c’e
ensées, où il a atteint son but : « être ingénieux et sensé, » et ces pages trop rares ont suffi cependant pour lui assurer u
Syrie et de la Judée, les vues du désert et de la mer Morte, sont des pages qui vivront autant que la langue française. Dans
moi de quelque explication. « C’est, répondit-il, un écrit de peu de pages comme le vôtre, d’une feuille ou deux seulement.
12 septembre 1874, au Val-Richer, en dictant à sa fille les dernières pages du quatrième volume de l’Histoire de France racon
ésigner ainsi Guéneau de Montbéliard446, mort trop jeune, et dont les pages brillantes furent confondues par le public avec c
e plus que de la science, mais desquels il est facile de détacher des pages pleines de sensibilité, d’éclat ou de grâce513.
ans l’histoire de l’opposition libérale. Plus tard, en réunissant ces pages dans les Souvenirs et Réflexions politiques d’un
les œuvres d’un écrivain, il va droit à la citation expressive, à la page où l’homme s’est trahi et peint lui-même sans y p
s volumes de Mélanges historiques et littéraires, où il n’est pas une page , on peut le dire, qui ne soit lue sans plaisir et
premiers excès qui la souillèrent, il rompit le silence, et, dans des pages où parfois semble revivre la tristesse éloquente
morts avec leurs équipages ! L’ouragan de leur vie a pris toutes les pages , Et d’un souffle il a tout dispersé sur les flots
. Chez ceux, en effet, que nous présentons groupés dans ces dernières pages , c’est l’inspiration patriotique qui nous touche
Eugène Manuel, dans plusieurs recueils très justement remarqués, les Pages intimes, les Poèmes populaires, dans le drame des
23. Sainte-Beuve, Premiers Lundis, tome III : Origines de la Langue, pages 105 et suivantes. 24. Villemain, Tableau de la L
ne a donné une édition des Œuvres de Rollin. On lira avec intérêt les pages que lui a consacrées M. Patin dans ses Mélanges d
on inextinguible de Saint-Simon. » Voir Causeries du lundi, tome III, page 288. 104. Henri de Joyeuse, né en 1567, mort en
bâtards de Louis XIV à leur simple rang de pairs, il faut lire cette page étonnante et voir tous ces nuages d’un brun sombr
Faugère, à la fin du tome II des Écrits inédits de Saint-Simon. Voir page 484 et suivantes. C’est une ébauche rapide, mais
r à ce sujet Bourdaloue, sa prédication et son temps, par A. Feugère, page 492 et suivantes. 127. Familiarités particulièr
lus en penseur. » Voir Histoire de la Littérature française, tome IV, page 71 et suivantes. 140. On peut appliquer ici à Mo
1 » de l’Histoire de la Littérature française de M. Nisard (tome IV, page 78 et suivantes, et page 357 et suivantes). Saint
Littérature française de M. Nisard (tome IV, page 78 et suivantes, et page 357 et suivantes). Sainte-Beuve a consacré à Volt
d’hui Dniéper. 176. A propos de ce chapitre, on pourra lire quelques pages piquantes de Sainte-Beuve sur « les vicissitudes
Saint-Simon et Saint-Simon lui-même. Voir particulièrement le tome I, pages 184 et 224 de l’édition de Saint-Simon dans les G
avec le morceau de Rollin sur le même sujet et donné dans ce volume, page 5. 189. Les réflexions fines et justes de Voltai
opéra comique et du vaudeville dramatique qui l’a précédé, » tome IX, page 217. 197. Sainte-Beuve a repris à son compte que
e marcher à quatre pattes. » — Cet éloge des lettres rappelle une des pages les plus brillantes de Prévost-Paradol : « Salut,
ue vous avez trompé ! » 206. Discours sur les Révolutions du Globe, page 17, édition Didot. 207. Essais, livre II, chapi
douter que Buffon n’ait ici en vue J. J. Rousseau. Nous avons donné, page 83, une lettre de Voltaire qui touche à la même q
eint et corrige sa thèse. Voir sa réponse au roi de Pologne, tome XV, page 181 (édit. de 1790). Saint-Marc Girardin a très b
, c’est tout un, et qu’il n’y a pas lieu de les distinguer. 220. Ces pages de Buffon offrent le modèle d’une discussion bien
du Discours sur le Style. Si l’on voulait renouveler l’intérêt de la page que nous détachons, on pourrait chercher à quels
ter la verve, exclure la peinture à fresque, aussi charmante dans les pages d’un livre que sur les murs d’une coupole. » 227
series du Lundi, de Sainte-Beuve, tomes II, III et XV. 230. Dans ces pages Rousseau s’est particulièrement inspiré de Montai
omi quem pertæsum est, subitoque revertit, etc. On relira aussi les pages célèbres de Pascal sur le Divertissement (Pensées
ot avait écrit sur Vernet dans le Salon de 1763 (éd. Assézat, tome X, page 200). 263. L’édition la plus complète des œuvres
mais sa volonté perverse. Le tort de Vauuvenargues, dans cette belle page , est de paraître trop resserrer le libre arbitre,
ptième siècle. 268. Fénelon. 269. Rapprocher de ce morceau quelques pages de M. D. Nisard au tome Ier des Études sur les Po
Nisard au tome Ier des Études sur les Poètes latins de la décadence, page 37 et suivantes, et particulièrement le développe
dans leur petitesse que les autres par leur étendue.  » 300. « Cette page , dit Sainte-Beuve, est, à l’avance, du pur et du
divers rangs de broches.«  (Dict. de l’Art épistolaire, par Dézobry, page 999.) 314. Le service du gobelet du roi se compo
t étendu sur la place il le couche. 318. Hegel a, sur ce point, une page curieuse et fine que l’on peut lire dans son Esth
age curieuse et fine que l’on peut lire dans son Esthétique, tome II, page 139 de la traduction française (2e édit.) de M. C
C’est là une de ces questions qui ne reçoivent jamais de solution. La page de Rivarol est spirituelle et contestable. Une re
is l’expression ne laisse pas d’être obscure. 321. Comparez à cette page de Rivarol les vers d’un écrivain contemporain (M
irrévocable de l’espèce humaine. » Voir Lettres et Opuscules, tome I, page 54. 323. La principale objection faite à J. de M
es ou excessifs, il y a une leçon à recueillir de la lecture de cette page . C’est que les étrangers ont souvent mieux parlé
nversation de Gœthe, citée par Sainte-Beuve, Nouveaux Lundis, tome X, page 14. 333. C’est là un mot remarquable, surtout qu
mpossible à rétablir que les murs de Babylone (Corr. Diplom., tome I, page 230). Consulté en 1804 sur un projet d’adresse qu
un moment que nous sommes en 1804, l’ouvrage serait manqué. » (Ibid., page 129.) 334. J. de Maistre adresse ce discours à l
ne source, le goût a le droit d’être quelque peu surpris. 348. Cette page , au besoin, nous avertirait que Chateaubriand ava
ion entre Bernardin de Saint-Pierre et Chateaubriand, lire encore une page de Sainte-Beuve, au tome VI des Causeries du Lund
de rapprochements trop faciles et trop nombreux, relisez, après cette page de Mme de Staël, les fines observations de La Bru
aud. Voir le 2e et le 3e volume (1876). 438. On reconnaît dans cette page la pensée qui avait inspiré l’ouvrage de madame d
nus exstruxerit. » 444. Il serait intéressant de rapprocher de cette page ce que Villemain dit encore de Bossuet dans son E
s ses modes d’expression. 457. Sur ce même sujet, on pourra lire des pages fines et élevées dans le livre de M. Caro : Probl
élevées dans le livre de M. Caro : Problèmes de Morale sociale. Voir page 391 et suivantes. 458. La 10e leçon du même ouvr
fait la nature Sur la foi de son Dieu. On pourra rapprocher de cette page le Discours prononcé par Jouffroy à la distributi
t de l’Empire, par la librairie L’heureux, en 20 vol. in-8°. 501. La page est essentielle à connaître : « C’est cette quali
u’il faut ici relever. On pourrait établir un rapprochement entre ces pages de l’historien français et le passage des Alpes p
frères ; les Lettres à des Jeunes gens, chez J. Gervais. 534. Cette page rappelle une des plus célèbres conversations de N
se chez Homère et chez Hésiode. » 540. Il faudra rapprocher de cette page un article de Sainte-Beuve intitulé : Qu’est-ce q
lemain dans le Tableau de l’Eloquence chrétienne au quatrième siècle, page 155 et suiv. 542. Sainte-Beuve avait écrit un pr
Voyages de M. Nisard (1881). 548. Préface des Souvenirs de Voyages, page xlv. 549. Causeries du Lundi, tome XV. 550.
érature française, chez Firmin Didot. 552. Il y aurait bien d’autres pages charmantes à détacher de ces Souvenirs de Voyages
éclat d’expressions, une poésie même d’imagination, qui donnent à ces pages un véritable caractère de beauté durable. 553.
bler quand Le Kain le prononçait : tout se réunit pour donner à cette page une grande beauté dramatique. Ajoutons que la ver
rature de La Harpe une analyse étendue de la pièce d’Alzire (tome VI, page 79 et suiv.) Le critique a défendu le dénouement
n Essai sur les Moralistes français, Prévost-Paradol a écrit quelques pages remarquables sur le sentiment de la tristesse. No
e M. Saint-René Taillandier intitulé Études littéraires (Pion. 1881), page 279 et suivantes. La lettre de Voltaire et les be
s l’Éden leur chemin solitaire. » 757. Revoir, dans le même volume, page 288, le morceau de Jouffroy sur le problème de la
cité dans le livre de M. Legouvé : La Lecture en action. On trouvera, page 259 et suivantes, des réflexions délicates sur la
le que Shakespeare lui donne dans le’ Songe d’une Nuit d’Été quelques pages de M. A. Mézières dans le livre : Shakespeare, se
A. Mézières dans le livre : Shakespeare, ses Œuvres et ses Critiques, page 524 et suivantes (3e édit., 1882). 795. « Bonapa
mots, l’essaim blanc des idées… 800. Doudan (Pensées et Fragments, page 14) écrivait : « L’amour maternel dans Notre-Dame
m. 813. Études littéraires, La Renaissance de la Poésie provençale, page 202. 814. Les œuvres de Brizeux ont été éditées
stoire de la Réunion de la Bretagne à la France, par M. Dupuy (1880), pages 353 et suivantes, d’intéressants détails sur cett
abandonné par tous les passagers. « Que s’il y peut demeurer un seul page , et, que plus est, le chien, chat ou coq du navir
ge de la mort se présente souvent dans les poèmes de Brizeux. Une des pages les plus citées est celle où le poète accompagne
a prière ? 839. On ne saurait citer dans la poésie contemporaine une page plus belle-Quelle souplesse, et en même temps que
a peinture des choses et l’expression des sentiments humains. Voir la page de Saint-Marc Girardin citée dans ce même volume,
er Morte. Les vers d’Autran paraissent lui avoir été inspirés par les pages de Chateaubriand. 851. « Le flot chargé de sel r
ues-unes de leurs opinions sont rapportées par Chateaubriand dans les pages citées plus haut. 853. « Strabon parle de treize
15 (1873) Principes de rhétorique française
aroles, il s’agit de ne rien dire qui soit superflu. Un récit de deux pages est court, s’il ne contient que ce qui est nécess
orrespond à la cinquième leçon relative aux arguments. (Voir leçon V, page 23.) 2. Objet de la confirmation. — La Confirmat
que se place d’une façon profitable l’emploi des lieux communs. (Voir page 32.) De même qu’il faut un apprentissage, une étu
ites toujours fixes et déterminées. Telle fable de La Fontaine, telle page de Bossuet ou de Racine nous les présente tous le
is. 2. Modèle de développement historique. — Voici, par exemple, une page de M. Guizot où l’élévation du style est digne de
QUE. 1. Voir Morceaux choisis des Classiques français, 3e année, page 465. 2. Voir Morceaux choisis des Classiques fra
élémentaire, 3e édition, p.164. 5. Voir Morceaux choisis, 2e année, page 94. 6. Voir Morceaux choisis, 3e année, page 474
eaux choisis, 2e année, page 94. 6. Voir Morceaux choisis, 3e année, page 474. 7. Voir ive leçon, page 17. 8. Voir Morce
. 6. Voir Morceaux choisis, 3e année, page 474. 7. Voir ive leçon, page 17. 8. Voir Morceaux choisis, 2e année, page 103
4. 7. Voir ive leçon, page 17. 8. Voir Morceaux choisis, 2e année, page 103. 9. Voir page 77. 10. Voir page 164. 11. V
çon, page 17. 8. Voir Morceaux choisis, 2e année, page 103. 9. Voir page 77. 10. Voir page 164. 11. VoirMorceaux choisis
oir Morceaux choisis, 2e année, page 103. 9. Voir page 77. 10. Voir page 164. 11. VoirMorceaux choisis, 2e année, page 5.
oir page 77. 10. Voir page 164. 11. VoirMorceaux choisis, 2e année, page 5. 12. Voir Morceaux choisis, 3e année, page 32.
eaux choisis, 2e année, page 5. 12. Voir Morceaux choisis, 3e année, page 32. 13. Voir mon Précis de Philosophie élémentai
, 3e année, page 32. 13. Voir mon Précis de Philosophie élémentaire, page 207. 14. Voir mon Précis de philosophie élémenta
émentaire, page 207. 14. Voir mon Précis de philosophie élémentaire, page 282. 15. V. Morceaux choisis, 3e année, page 169
hilosophie élémentaire, page 282. 15. V. Morceaux choisis, 3e année, page 169. 16. Voir Leçon XXXV, page 239. 17. Voir Mo
. 15. V. Morceaux choisis, 3e année, page 169. 16. Voir Leçon XXXV, page 239. 17. Voir Morceaux choisis, 3e année, page 2
16. Voir Leçon XXXV, page 239. 17. Voir Morceaux choisis, 3e année, page 23. 18. Voir Morceaux choisis, 3e année, page 30
aux choisis, 3e année, page 23. 18. Voir Morceaux choisis, 3e année, page 300. 19. V. Morceaux choisis, 2e année, p. 103.
nnée, page 300. 19. V. Morceaux choisis, 2e année, p. 103. 20. Voir page 75. 21. Voir Morceaux choisis3e année page 210
année, p. 103. 20. Voir page 75. 21. Voir Morceaux choisis3e année page 210 22. Voir Morceaux choisis, 3e année, page 28
rceaux choisis3e année page 210 22. Voir Morceaux choisis, 3e année, page 287. 23. Voir page 49. 24. Voir Morceaux choisi
ée page 210 22. Voir Morceaux choisis, 3e année, page 287. 23. Voir page 49. 24. Voir Morceaux choisis, 3e année, page 26
e, page 287. 23. Voir page 49. 24. Voir Morceaux choisis, 3e année, page 267. 25. Voir page 104. 26. Voir page 89. 27.
ir page 49. 24. Voir Morceaux choisis, 3e année, page 267. 25. Voir page 104. 26. Voir page 89. 27. Voir Morceaux choisi
r Morceaux choisis, 3e année, page 267. 25. Voir page 104. 26. Voir page 89. 27. Voir Morceaux choisis, 2e année, pages 2
ir page 104. 26. Voir page 89. 27. Voir Morceaux choisis, 2e année, pages 27 et suiv. ; 3e année, pages 33 et suiv. 28. Co
. 27. Voir Morceaux choisis, 2e année, pages 27 et suiv. ; 3e année, pages 33 et suiv. 28. Comparez un beau portrait tracé
portrait tracé par M. de Sainte-Autaire. Morceaux choisis, 3e année, page 208. 29. Voir pages 104, 164 et Morceaux choisis
M. de Sainte-Autaire. Morceaux choisis, 3e année, page 208. 29. Voir pages 104, 164 et Morceaux choisis, 3e année, page 327.
ée, page 208. 29. Voir pages 104, 164 et Morceaux choisis, 3e année, page 327. 30. Voir 7e leçon, page 37, et 18e leçon, p
104, 164 et Morceaux choisis, 3e année, page 327. 30. Voir 7e leçon, page 37, et 18e leçon, page 104. 31. Voir Morceaux ch
oisis, 3e année, page 327. 30. Voir 7e leçon, page 37, et 18e leçon, page 104. 31. Voir Morceaux choisis, 3e année, page 2
age 37, et 18e leçon, page 104. 31. Voir Morceaux choisis, 3e année, page 233. 32. Voir Morceaux choisis, 3e année, page 2
ux choisis, 3e année, page 233. 32. Voir Morceaux choisis, 3e année, page 243. 33. Voir Morceaux choisis, 3e année., page
x choisis, 3e année, page 243. 33. Voir Morceaux choisis, 3e année., page 23. 34. Voir plus haut, leçon XXVI, page 151. 3
orceaux choisis, 3e année., page 23. 34. Voir plus haut, leçon XXVI, page 151. 35. Voyez Morceaux choisis, 2e année, page
us haut, leçon XXVI, page 151. 35. Voyez Morceaux choisis, 2e année, page 101. 36. Voyez Morceaux choisis, 3e année, p.143
sis, 3e année, p.143, 145, 150. 37. Voir Morceaux choisis, 3e année, page 3. 38. Voir Leçon XXIV, page 137. 39. Voyez Mor
. 37. Voir Morceaux choisis, 3e année, page 3. 38. Voir Leçon XXIV, page 137. 39. Voyez Morceaux choisis. 6e année, pages
38. Voir Leçon XXIV, page 137. 39. Voyez Morceaux choisis. 6e année, pages 38, 128. 3e année, page 223. 40. Voir Morceaux c
137. 39. Voyez Morceaux choisis. 6e année, pages 38, 128. 3e année, page 223. 40. Voir Morceaux choisis, 2e année, pages
es 38, 128. 3e année, page 223. 40. Voir Morceaux choisis, 2e année, pages 13, 14, 17. – 3e année, page 23 et suivantes. 4
. 40. Voir Morceaux choisis, 2e année, pages 13, 14, 17. – 3e année, page 23 et suivantes. 41. Voir Leçon IX, page 50. 4
es 13, 14, 17. – 3e année, page 23 et suivantes. 41. Voir Leçon IX, page 50. 42. Voir Morceaux choisis, 3e année, page 25
. 41. Voir Leçon IX, page 50. 42. Voir Morceaux choisis, 3e année, page 253 et suiv. 43. Voir Leçon XVI, page 92. 44. V
ir Morceaux choisis, 3e année, page 253 et suiv. 43. Voir Leçon XVI, page 92. 44. Voir Morceaux choisis, 2e année, page 10
. 43. Voir Leçon XVI, page 92. 44. Voir Morceaux choisis, 2e année, page 106 ; 3° année, page 191
, page 92. 44. Voir Morceaux choisis, 2e année, page 106 ; 3° année, page 191
16 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section III. De l’Art d’écrire pathétiquement. — Observations générales sur l’Art d’écrire les Lettres » pp. 339-364
, on la place ordinairement au haut de la lettre. Vers le quart de la page , à commencer en haut, on écrit le mot Monseigneur
u’on appelle donner la ligne. On doit laisser aussi au bas de la même page un espace un peu considérable, et, au revers, com
t avoir soin de le répéter le plutôt qu’on peut, quand on a tourné la page . On finit tout uniment une lettre par ces mots qu
us ; et puis, en s’écartant et descendant toujours vers le coin de la page , on met, votre très humble et très obéissant serv
17 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Fénelon 1651-1715 » pp. 118-132
et spirituel. 1. On peut comparer Bossuet (Même recueil), et cette page de M. Jouffroy : « Qu’importe aux autres et à no
e des conseils donnés sous forme de causerie. 2. L’éloquence de ces pages est une sorte de mépris irrité contre le vice que
ins, il fut effrayé de son naturel bouillant et rebelle : toute cette page est un portrait du jeune prince, dont il devait d
2. Il y a du sourire dans ces rudes vérités. Fénelon fit lire cette page à son élève ; c’était lui présenter un miroir. 3
18 (1811) Cours complet de rhétorique « Préface. »
ment rappelés ici ; mais des yeux exercés les y retrouveront à chaque page , et c’est surtout ce que je me suis proposé. Voil
eur a point échappé ; c’est qu’ils ont retrouvé, sans doute, à chaque page , à chaque ligne de ce Cours, l’intention bien pro
19 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XXV. » pp. 131-134
, et cependant si plein de minutieux détails, qu’il faudrait bien des pages pour le commenter, si je ne me bornais aux explic
dans les écoles grecques depuis Aristote, et qu’on retrouve à chaque page des commentaires Alexandrins extraits par le scho
20 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — La Bruyère. (1646-1696.) » pp. 91-100
tulé « de la Conversation », et que nous avons donné dans ce recueil, page  16. 1. Cette reine de Palmyre, veuve d’Odénat, s
des contrastes dans le style ». 2. M. Helleu, dans l’édition citée, page 90, rapproche judicieusement ce célèbre passage d
y dans ce volume le morceau de Retz, intitulé : Une sédition à Paris, page 25. 4. Pour coalition. 5. Ou le Diable. Fils d
21 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — La Fontaine (1621-1695.) » pp. 194-204
omme ce maître de notre théâtre, il nous a laissé aussi d’excellentes pages de prose, dont on peut lire quelques-unes dans le
u les exemplaires qu’il en avait ; ils sont notés de sa main à chaque page , et j’ai pris garde que la plupart de ses notes é
pitre de Boileau (Morceaux choisis à l’usage de la classe de sixième, page 135). 4. C’est-à-dire le roi de Perse, aujourd’h
22 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Chateaubriand 1768-1848 » pp. 222-233
minuit à Londres, le dernier jour du dix-huitième siècle. — Dernière page du Génie du Christianisme. (Note de Chateaubriand
e page du Génie du Christianisme. (Note de Chateaubriand.) 3. Cette page fut écrite à l’époque où une crise morale le rame
mer la cantate en romance, est une pure invention du poëte. Voici une page de M. Michelet sur le Rossignol : (L’Oiseau.) Ar
23 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Joubert, 1754-1824 » pp. 388-398
é même. On peut affirmer qu’il collabora indirectement aux meilleures pages du Génie du christianisme. (M. Sainte-Beuve.) 2.
. » 1. Joubert n’aurait-il pas fait son oraison funèbre dans cette page que je détache de ses pensées ? « Il est des esp
écrit avec une simplicité touchante par son parent M. de Raynal. Ces pages qui donnent du prix aux moindres détails nous fon
24 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre VI. » pp. 89-94
on a pour principal appui le témoignage d’Aristote lui-même, dans une page de sa Politique qu’on trouve ici réimprimée à la
e  de même Mme Dacier, dans la Préface de sa traduction de l’Odyssée, page 28, éd. de 1716. Mais Aristote fait précisément h
25 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section troisième. La Tribune sacrée. — Chapitre V. Des sermons de Bossuet. »
ervira d’avoir tant écrit dans ce livre, d’en avoir rempli toutes les pages de beaux caractères, puisqu’enfin une seule ratur
de l’éloquence, que l’orateur qui aurait profondément senti une seule page de ces discours. Peut-être le zèle pour la gloire
26 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Thiers Né en 1797 » pp. 265-270
pour l’esprit peu étendu, mais sage de sir Arthur Wellesley1. Une page de nos révolutions Je suis ici, je le sais, n
mie.) 1. Par exemple aussi, le lavis, le lever des plans. 1. Cette page m’en rappelle une autre du prince de Ligne, sur l
27 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — De Maistre, 1753-1821 » pp. 377-387
t profonde raison que le titre de dieu des armées brille à toutes les pages de l’Écriture sainte. Coupables mortels, et malhe
e de Balzac, L’homme s’agite et Dieu le mène, p. 9 de ce recueil. Ces pages écrites en 1794, au milieu de l’anarchie et des r
. 3. Rapprochons de ce témoignage rendu par un étranger cette belle page de M. Victor Hugo sur le rôle de la France dans l
28 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Silvestre de Sacy. Né en 1801. » pp. 522-533
assez dire qu’il y a en lui l’étoffe d’un moraliste. Plusieurs de ses pages ont l’onction de Fénelon ou la gravité de Nicole.
fraîcheur, au contentement qui pénètre l’âme à la lecture des divines pages de Platon. Les Lois de Platon ! je les ai relues
ucoup d’urbanité dans cette réserve. 2. Peut-être est poli. 1. Ces pages sont tirées du Discours préliminaire qui ouvre av
29 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre IV. — Du Style. »
ui a été dit sur la clarté de la phrase, dans les leçons précédentes, page  1 [Première partie, chapitre I, section I]. La cl
ticle intitulé : Précision, dans les qualités générales de la phrase, page 14 de ce volume. Caractère des sept Rois de Rome.
actions des sept premiers rois de Rome. On remarquera que dans cette page , il n’y a ni expression ni phrase inutile : chaqu
n que l’auteur met en scène avec Maître Jacques. On pourra lire cette page dans le deuxième volume. Lecture. — Maître Jacqu
titulé : Causes de la décadence de l’empire romain, nous présente une page où sont réunies ces différentes qualités. C’est u
onie, l’une des plus agréables qualités du style, nous renvoyons à la page  17 [Première partie, chapitre I, section IV]. Nou
30 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Boileau, (1636-1711.) » pp. 212-225
un fat s’applaudir d’un ouvrage Où la droite raison trébuche à chaque page , Ne s’écrie aussitôt : L’impertinent auteur ! L’e
eau vanter le roi dans vos ouvrages Et de ce nom sacré sanctifier vos pages  : Qui méprise Cotin n’estime point son roi, Et n’
— Il est seulement fâcheux que cette expression soit répétée dans la page suivante. 4. Ici on signalera, pour parler la la
31 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Lebrun Né en 1785 » pp. 498-505
la popularité va de préférence aux œuvres de théâtre ; car ses autres pages ne sont pas moins dignes d’attention. Il rappelle
ns parfois, de nous-même étonnés, Que, d’instant en instant, quelques pages froissées ; Ou l’insensible bruit des plumes empr
32 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Buffon, 1707-1788 » pp. 282-302
ou de plaisir qu’il en peut tirer. Peintre d’animaux, il a tracé des pages accomplies. Marqués dans toute sa personne, l’élé
vante essayé par Camper et Blumenbach, accompli par Cuvier. 1. Cette page justifie par son air grandiose ce mot appliqué à
eaux qu’il n’a pas vus. 1. Le même sentiment se retrouve dans cette page de Lacordaire : « Souvent, dans ma jeunesse, j’a
ne ses pensées est trop voyant et trop fastueux. 2. Voici une belle page contre la guerre écrite par Jean Bodin (1530-1596
33 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre III. du choix du sujet. » pp. 38-47
une fois la lecture commencée, on ne pût la quitter qu’à la dernière page . Distribuaient-ils leur récit en feuilletons, une
a composition littéraire, M. Francis Wey, a consacré plus de soixante pages de son livre aux préceptes sur le choix du sujet,
34 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre VII. des passions  » pp. 89-97
locuteurs opposés de sentiment comme d’intérêts ; le romancier, d’une page à l’autre, peint avec une égale énergie deux pass
onnables sont excellentes ici. Parcourez de ce point de vue certaines pages de la Fontaine, de madame de Sévigné, de J. J. Ro
35 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre VI. Contes, romans, nouvelles. »
plus longues ; le roman ne se dit que de celles-ci. Un conte de trois pages ne s’appellera jamais un roman ; tandis qu’un rom
Donnons ici, comme un modèle de l’art de faire ces petits récits, la page que La Harpe consacre au mesmérisme dans sa Corre
36 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Malherbe 1555-1628 » pp. 302-309
ndeur a de vains équipages, D’habillements de pourpre, et de suite de pages , Quand le terme est échu, n’allonge point nos jou
ngés des vers. 6. Nos affections, nos amitiés. 1. Comparez cette page de Xavier de Maistre : « J’avais un ami ; la mort
37 (1870) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices par Gustave Merlet,... à l'usage de tous les établissements d'instruction. Cours moyens, grammaire et enseignement spécial. Première partie : prose
dire qu’il ne suffit plus à notre goût littéraire ; car en lisant ces pages , où apparaît comme un revenant habillé à la mode
de rhéteur. En revanche, notre plus vif plaisir a été de signaler les pages où l’homme se montre sous l’écrivain, où le style
connaisseur. Et pourtant, quoique nous ayons disséminé au bas de nos pages beaucoup de citations ou de remarques dont la nou
fervent gardien de la tradition, n’a-t-il pas écrit dans la dernière page de sa belle histoire littéraire : « Les soixante
e la circonspection qui nous a constamment inspiré, dans le choix des pages que nous soumettons au jugement bienveillant de n
urs de notre recueil comprennent bien cette leçon écrite à toutes ses pages , à savoir que le goût et la conscience se confond
Henri IV 1853-1610 Il nous paraît intéressant d’ajouter à ces pages où parle Louis XIV quelques extraits empruntés au
la société qu’il éblouit sans la rendre meilleure. En condamnant les pages où il fit de son génie un emploi pernicieux, nous
mière indienne (1791) et les Harmonies de la nature (1796) mêlent aux pages les plus riantes la fadeur d’un ton trop sentimen
is, tes occupations et tes désirs ; avec cela, on peut remplir quatre pages . Pour moi, il me suffit de quatre mots, en suivan
’elles viennent fermer pour moi le livre de la Poésie et m’ouvrir les pages de l’histoire. J’ai consacré l’âge des illusions
s mots faits pour électriser la valeur française. Dans ces glorieuses pages de notre histoire, il a toujours l’à-propos grand
st à ce titre qu’il a prononcé de nombreux éloges, qui sont autant de pages accomplies. L’histoire est chez lui une science e
ttendre et désirer leurs œuvres, les polir à loisir, et compter leurs pages , comme d’autres comptent leurs volumes. Il est le
usqu’à la curiosité, et s’il entrevoit du coin de l’œil, à côté de la page prescrite parle programme, quelque chose dont la
a tracé le plan, lié les parties, pesé les mots, ce ne sont plus des pages , c’est quelqu’un que je vois ; je ferais son port
u lycée Bonaparte.) 1. L’esprit de ce livre est contenu dans la page que voici, et que j’emprunte à un de nos maîtres
C’est le proverbe bien connu, Larmes de crocodile. 149. Dans cette page que nous avons abrégée, pour la rendre moins somb
e forme est un latinisme. Illud… quoa… 325. Il y a dans toute cette page une tristesse éloquente, celle d’un penseur qui c
n il est plus vraisemblable que… 335. Il y a dans Pascal plus d’une page qu’on ne peut lire sans éprouver comme une sorte
va courant partout, et attrapant de tous côtés ! » 417. Comparer la page où la Bruyère nous représente Irène qui va consul
s signifie dans cette phrase desseins prudents. 498. Comparez à une page de Louis XIV sur la royauté. (Recueil de prose, c
st d’une impayable naïveté. 631. On peut comparer l’ironie de cette page à une lettre où Fénélon s’amuse aux dépens des or
cipliné, qui n’obéit pas aux lois, à la règle. 635. Voyez une belle page de M. Thiers sur les aptitudes d’un général eu ch
e de costume ou de perruque. 705. Il est impossible de voir dans ces pages autre chose qu’une charmante description physique
me satisfais d’aucunes conjectures. (Corneille.) 762. Comparez une page de madame de Staël (même recueil). 763. Le poëte
On peut comparer Bossuet (Recueil des classes supérieures), et cette page de M. Jouffroy : « Qu’importe aux autres et à no
ns, il fut effrayé de son na­turel bouillant et rebelle : toute cette page est un portrait du jeune prince, dont il devait d
9. Il y a du badinage dans ces rudes vérités : Fénelon fit lire cette page à son élève ; c’était lui présenter un miroir. 8
t mouraient avec les arbres d’où dépendait leur destinée. 854. Cette page est comme détachée d’un poëme antique. 855. Ce
pensée brille dans les yeux. 1195. Il convient de lire après cette page celle de Bossuet que voici : «  L’homme a presqu
t flamme sur tout sujet. 1291. Il était trop exalté. De là, bien des pages déclamatoires. 1292. Ces grands mots sont ironiq
tion stérile, enlevé au seuil de la maturité, et déposant dans chaque page qu’il écrit sa protestation contre la fortune, il
. Pourquoi ne pas dire Dieu ? 1406. Vauvenargues se peint dans cette page . On dirait un miroir où se reflète sa physionomie
XII.) 1493. Cette description nous offre l’occasion de citer cette page de Voltaire sur la fondation de Saint-Pétersbourg
ssion de la sensation vive, et de l’émotion immédiate. Comparez cette page de M. de Lamartine : « Au-delà des deux mosquées
rmer la cantate en romance, est une pure invention du poëte. Voici un page de M. Michelet sur le Rossignol : (L’Oiseau) « A
mêle à cette scène des souvenirs personnels. 1573. Il écrivit cette page au lendemain de nos grands désastres. 1574. Allu
up de minuit à Londres, le dernier jour du xviiie siècle. – Dernière page du Génie du Christianisme. (Note de Chateaubriand
age du Génie du Christianisme. (Note de Chateaubriand). 1584. Cette page fut écrite à l’époque où une crise morale le rame
1657. Didier. — Méditations et Études morales, p. 312. Comparez aux pages de la Rochefoucauld sur l’amour-propre. M. Guizot
signalé l’influence littéraire des idées religieuses dans cette autre page  : « Sans doute, à quelque époque et en quelque p
térieur qui s’appelle la conscience et la raison humaine. Aussi cette page parait-elle une nouveauté piquante. Voilà pourquo
e vacances philosophiques. 1691. Notons l’aveu. 1692. Lisez cette page de Voltaire racontant son voyage à Berlin : « Bi
aisir des grandes études. 1699. Le 18 février 1587. Comparez à cette page le 6e acte du drame de Schiller. Aux prises avec
1710. Par exemple aussi, le lavis, le lever des plans. 1711. Cette page m’en rappelle une antre du prince de Ligne, sur l
e bien réglée. 1718. C’est-à-dire chaque jour. 1719. Allusion à une page célèbre de Pline l’ancien. 1720. Qu’il se vêtis
onter plus haut. » 1729. Profitons de l’occasion pour citer cette page de Mme Sand sur ses lectures d’enfance. « Je sui
se perdait dans l’éloignement ? Oh ! que la nuit tombait vite sur ces pages divines ! que le crépuscule faisait cruellement f
ux hurlement de regret et de gourmandise ! » 1730. Comparez cette page du bibliophile Jacob, (Paul Lacroix) : « Le bibl
de l’honneur, du devoir, de la responsabilité. 1754. Comparez cette page tirée des actes des apôtres : « Pendant quelques
trahissent par leur style. 1786. Fogelberg. 1787. Lisez les belles pages que lui consacre M. Nisard. (Recueil des classes
compagnie. 1836. Me fruor. 1837. Meque Deoque fruor. 1838. Ces pages furent prononcées en 1856 devant les élèves du ly
rent d’être présidées par M. Nisard. Nous sommes heureux de citer une page dont l’éloquence est comme la voix même de l’Univ
par les lycées, et dans nos maisons par nos enfants. » 1841. Cette page est animée par l’accent d’une conviction, d’une f
38 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Saint-Marc Girardin. Né en 1801. » pp. 534-541
apable d’en sentir le prix. (M. de Sacy.) 1. Il faut lire les belles pages que M. Martha consacre à Perse et au stoïcisme da
rend l’esprit souple, délié, modeste, et maniable. » 1. Comparer les pages écrites par M. Nisard sur l’Art d’écrire. (Même r
39 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre V. — Qualités particulières du Style »
ois genres ; ils se mêlent souvent et se trouvent réunis dans la même page  : les fables de La Fontaine nous en offrent plus
a concision, et surtout la simplicité. Nous citerons pour exemple une page de La Bruyère, prise dans son chapitre : De la mo
iodique ou développé Pour l’explication du style périodique, voyez page  23 de ce volume [Première partie, chapitre I, sec
eu ses causes dans les siècles précédents. On lira avec intérêt une page de Chateaubriand, intitulée : Les Forêts de l’Amé
, des Rousseau, etc. Toutes ces qualités se trouvent réunies dans une page des plus éloquentes qui nous devons à la plume de
40 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section cinquième. La Tribune académique. — Chapitre VI. Analyse du discours sur l’esprit philosophique, par le P. Guénard. »
te ébauche imparfaite d’un grand ouvrage, n’en contient pas moins des pages achevées, que le cri seul de l’admiration peut lo
lectique, et l’éloquente énergie de la diction, ce sont les dernières pages de ce même discours. Elles rappellent les écrits
41 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Thiers. Né en 1797. » pp. 513-521
olume du Consulat et de l’Empire 1. Édition Lheureux et Cie.) Une page de nos révolutions Je suis ici, je le sais, n
et né dans les rangs nouveaux, n’a pas senti un jour, en lisant cette page , un battement de cœur et une larme. » (Sainte-Beu
42 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Seconde partie. Moyens de former le style. — Chapitre Ier. Des exercices préparatoires à la composition » pp. 209-224
sser d’un livre à l’autre sans raison, et que l’on évite de courir de page en page et de sauter du commencement à la fin d’u
n livre à l’autre sans raison, et que l’on évite de courir de page en page et de sauter du commencement à la fin d’une compo
43 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Bernardin de Saint-Pierre, 737-1814 » pp. 357-367
mière indienne (1791) et les Harmonies de la nature (1796) mêlent aux pages les plus riantes des rêves chimériques et la fade
franche un ouragan à l’île Bourbon. (T. Ier, p. 79.) Voici encore une page qu’on peut rapprocher de celle qui précède ; elle
44 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Avertissement de la cinquième édition. » p. 
fois par M. Bernays dans sa dissertation sur ce sujet (voy. plus bas, page 88). On le trouvera reproduit à la suite des Extr
45 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre XVII. Genre épistolaire. »
; nous avons traité cette matière au complet dans la première partie ( page  108 [1re partie, chapitre VII, § II]).
46 (1866) Morceaux choisis des classiques français, à l’usage des classes supérieures : chefs d’œuvre des prosateurs et des poètes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouvelle édition). Classe de seconde
à la gloire de Pascal comme écrivain. L’empreinte du génie marque ces pages inachevées ; dans ces pierres d’attente, dans ces
rages : jamais il n’écrivit que pour remplir un devoir. Entre tant de pages , également inspirées par la vertu et le génie, no
ésies diverses et sa traduction de l’Imitation offrent de très belles pages que la postérité a retenues ; et tel est le nombr
t excellent juge des ouvrages d’esprit, lisait chaque soir, après une page de Tacite, quelque lettre de Mme de Sévigné. Cont
ains. (Voy. les morceaux choisis à l’usage de la classe de troisième, page 4.) 107. « On a souvent nommé Bossuet, dit M. P
es de l’homme, dans les morceaux choisis pour la classe de quatrième, page  81. 123. Régulière, calme… 124. Saint Augustin,
cinquième, p. 45. On rapprocherait aussi avec intérêt quelques belles pages de S. Jean Chrysostome sur l’aumône, et traduites
cène de la Critique de l’École des Femmes citée dans le même recueil, page  20. 192. Ellipse heureuse, pour : qui sentent, a
e fut anéantie pour des siècles. Voir l’ouvrage cité de M. Villemain, page  496, in-12, 1854. 280. C’est ainsi que Bossuet,
ont été donnés dans les Morceaux choisis pour la classe de quatrième, pages  68 et 69. 300. C’est-à-dire vous vous préparez :
de Bossuet cité dans les Morceaux choisis de la classe de quatrième, page  32. 316. L’histoire des Fourches Caudines est l’
. On peut revoir dans les Morceaux choisis de la classe de quatrième, page  94, les extraits que nous avons donnés de cette t
n de Reiske : Dionysii Halicarnassensis Opera, Lipsiæ, 1773, tom. IV, page  2331. 320. Florus, III, 9. 321. Consternés, in
e, et que nous avons donné dans le recueil de la classe de troisième, page  135. 325. Rapprochez de ces paroles le discours
que Voltaire aurait pu jouer… » 331. Vauvenargues a écrit une belle page sur Voltaire, où il le célèbre « comme ayant port
er les ennemis des portes de la capitale. » 335. « Torstenson était page de Gustave-Adolphe en 1624. Le roi, prêt d’attaqu
j’ai donné un ordre contraire.” Le roi ne dit mot ; mais le soir, ce page servant à table, il le fit souper à côté de lui e
Rocroy fait par Bossuet (Morceaux choisis de la classe de troisième, page  59), l’orateur parle aussi du profond sommeil de
l’autre en vers latins : tom. XI de ses Œuvres, édit. Lefèvre, 1824, pages  167 et 372. Relativement à la Franche-Comté, on t
ve de la force. On peut lire notamment, dans le troisième volume, les pages  12, 19, 26. 344. C’est ce qui arriva en 1661, co
on intitulé : De la perfection du goût, et donné dans le même volume, page  97. 359. « Exemplis brevius iter quam per præce
ature dramatique de M. Saint-Marc Girardin (tom. III, ch. l) quelques pages pleines d’intérêt sur madame Deshoulières. 362.
evoir ce passage dans les Morceaux choisis de la classe de troisième, page  81. 365. Maxime aussi équitable que sensée, très
Natura, lib. V, v. 1366 et suiv. 374. C’est là une des plus belles pages que l’on puisse emprunter à Buffon : avec quelle
t plus admise dans le style noble. 483. Revoir sur ce mot la note 1, page  179 des Morceaux choisis de la classe de troisièm
538. Un exemple de cette inversion, autrefois très usitée, a été vu page  188, note 4. 539. Créance est ici synonyme de c
d’hui, il ne faut que fermer les yeux sur la rouille qui recouvre ces pages un peu surannées. De là vint à Marmontel, au mili
omme ce maitre de notre théâtre, il nous a laissé aussi d’excellentes pages de prose, dont on peut lire quelques-unes dans le
propre et dans le principe, dire d’un jeune homme qu’il était hors de page , c’était marquer qu’il avait accompli le temps de
c’était marquer qu’il avait accompli le temps de son service dans les pages et qu’il était par conséquent maître de lui. 645
let commentaire de la satire de Boileau. 670. Revoir la note 1 de la page 171 du même recueil. 671. Célèbre comédienne.
n se bornât, pour l’apprécier, à ces mots placés au bas de toutes les pages , « beau, pathétique, harmonieux, admirable, subli
de la lettre citée plus haut. 790. Élision dure, déjà condamnée à la page  218, 791. « La Harpe, qui a été souvent sévère p
47 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Première partie. Principes de composition et de style. — Principes de rhétorique. — Chapitre VI. De l’élocution et du style. »
en est de même des ouvrages de littérature ; il suffit d’entendre une page d’Homère, de Tacite, de Pascal, de Molière ou de
on. Buffon, ce grand maître en l’art d’écrire, nous en offre à chaque page des modèles. Relisez cette belle description du c
ncore en voir un exemple remarquable dans le fragment cité plus haut, page  52, du plaidoyer de Lally-Tollendal [chapitre V,
parlons du sublime en général dans la seconde partie de cet ouvrage ( page 165 [2e partie, chapitre premier, § IX]) ; il ne
48 (1853) Éléments de la grammaire française « Éléments de lagrammaire française. — Chapitre II. Seconde espèce de mots. » p. 7
(’) qu’on appelle apostrophe. (Voyez chapitre XI, au mot Orthographe, page 52. Deuxième remarque. Pour joindre un nom à un
49 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XIV. de la fin  » pp. 189-202
t fait la règle. A leur dernière ligne, vous êtes tenté de tourner la page pour chercher la suite ; l’esprit est dérouté, dé
ls l’étude des modèles et six mois de pratique valent mieux que vingt pages de préceptes, je dirai : La péroraison, comme l’e
50 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Cousin, 1792-1867 » pp. 492-503
e aujourd’hui. Pardonnons beaucoup à celui qui a écrit tant de belles pages sur la liberté, sur la vertu et sur Dieu ; mais r
ux caractères de son talent, la grandeur et la passion. » 2. Cette page termine une lettre adressée à M. le prince de la
51 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XX. des qualités accidentelles du style. — élégance, finesse, naiveté, enjouement  » pp. 274-288
Fléchier, Massillon, M. Villemain, Casimir Delavigne, dans ses bonnes pages , sont les meilleurs modèles de l’élégance du styl
s Vauvenargues, dans MMmes de Sévigné et de la Fayette, dans quelques pages de Bernardin de Saint-Pierre, de Florian, de Coll
52 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Sainte-Beuve. Né en 1804. » pp. 566-577
st dans la jeunesse qu’il faut apprendre à lire les Anciens. Alors la page de l’esprit est toute blanche, et la mémoire boit
lassiques ont tué la foi par la superstition ! 2. Il est une belle page du docteur Arnold que je veux soumettre à la réfl
53 (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « SECONDE PARTIE. DE LA VERSIFICATION LATINE. — CHAPITRE VI. De l’emploi et du mélange des différentes sortes de vers. » pp. 339-342
tit alcaïque (deux dactyles et deux trochées). Voir strophe alcaïque, page 334. Vides ut altâ stet nive candidum Soracte ;
54 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Bonaventure Desperriers. Mort en 1544 » pp. -
a de son épée dans un accès de désespoir. Sauvons de l’oubli quelques pages agréables qui représentent un genre tout à fait g
55 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XIX. des qualités accidentelles du style. — noblesse, richesse, énergie, sublime  » pp. 257-273
ux ni continu : l’ostentation déplaît, l’uniformité fatigue. Quelques pages de Cicéron, de Florus, de Fléchier, de Bernardin
sidera testor : Tantum infelicem nimium dilexit amicum87. Plusieurs pages de Démosthène dans les Philippiques et le Pro Cor
56 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Michel de Montaigne, 1533-1592 » pp. -
e d’observation et d’expérience, son livre, ouvert à n’importe quelle page , nous offre partout et toujours des pensées profo
e. Pour goûter la saveur de son style, il suffira de lire la première page venue : car il n’est aucun sujet qu’il n’égaye et
57 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Vauvenargues 1715-1747 » pp. 196-198
tion stérile, enlevé au seuil de la maturité, et déposant dans chaque page qu’il écrit sa protestation contre la fortune, il
58 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — J. Racine. (1639-1699.) » pp. 226-241
n se bornàt, pour l’apprécier, à ces mots placés au bas de toutes les pages , « beau, pathétique, harmonieux, admirable, subli
ile (liv. III). 1. Pour ce mot, déjà rencontré, voir la note 2 de la page 221. Ainsi, d’après l’ancienne prononciation, ang
59 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Victor Hugo Né à Besançon en 1802 » pp. 540-556
e de la gracieuse autorisation qui nous a permis d’emprunter quelques pages à ses œuvres. 1. Si, par impossible, des puriste
cabinet. 1. Ce paysage a une mélancolie éloquente. Rapprochez les pages où Xavier de Maistre pleure la mort d’un ami ; el
60 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Jean-Jacques Rousseau, 1712-1778 » pp. 313-335
écrits que j’ai publiés jusqu’à ce jour. Mais, monsieur, comparez ces pages avec celles qui datent de ma solitude : ou je sui
est imprimé en nos âmes.” » 1. C’est le lieu de citer cette belle page de Lacordaire sur la conscience du genre humain :
quand il croit n’être plus homme. » On nous saura gré de citer cette page de Lacordaire. (Ed. Poussielgue.) « La félicité,
61 (1845) Leçons de rhétorique et de belles-lettres. Tome II (3e éd.)
se, sont comme des caractères italiques dont on couvrirait toutes les pages d’un livre ; ces caractères, à force de beaucoup
ils soient intitulés Lettres à un ami, l’ami disparaît après quelques pages d’introduction, et l’on voit que l’écrivain ne s’
tent en campagne pour redresser tous les torts, mais ce sont à chaque page des magiciens, des dragons, des géants, des homme
çons de Rhétorique et de Belles-Lettres. Nous avons consacré quelques pages à ce rapprochement. Il eût été trop long, et l’on
sentent la question sous un autre point de vue. Le goût. Tome I, page  29. « Le goût est la faculté de recevoir une agr
et du vrai, le sentiment des convenances . Le sublime. Tome I, pages  55 et suiv. Blair, avant de passer au sublime da
a dernière partie de la Milonienne. » Langue anglaise. Tome I, page  161. Il est assez curieux de placer à côté de l’
ion, et Milton le plus d’énergie. » Du langage figuré. Tome I, page  241. Marmontel a donné, dans ses Éléments de lit
e et prudence, et de s’en servir à propos. » Du style. Tome I, page  320. Il doit toujours exister un rapport très int
ent admiré dans tous les temps. » Démosthène, Cicéron. Tome I, page  375. « Les critiques ont fait du parallèle entre
qui aimera beaucoup Cicéron. » De l’éloquence moderne. Tome I, page  381. Hume et Blair s’étonnent de ce que l’éloque
sceau de l’immortalité aux bons ouvrages. » Massillon. Tome l, page  447. Nous n’avons pas cru devoir couper le texte
iv.) » Du mérite comparé des anciens et des modernes. Tome II, page  51. Voltaire a traité trois fois cette question
anciens, du moins en philosophie. Nous allons rapporter les premières pages de cet article, parce qu’elles sont pleines de ra
 ; mais dix vers du Tasse valent mieux. » De la rime. Tome II, page  120. On sait que la plupart des poètes anglais,
que le mérite de la difficulté surmontée. » L’épopée. Tome II, page  185. Blair définit le poème épique, « le récit p
et que qui a vu Versailles a tout vu. » Télémaque . Tome II, pages  188 et 253. Blair, d’après la définition qu’il d
donner aux esclaves des habits gris-brun…” » Milton. Tome II, page  239. Nous croyons devoir transcrire ici le jugem
e jugement de Voltaire sur Milton : pourrait-on lire sans intérêt les pages que l’auteur de la Henriade a consacrées à ce gra
heter les défauts. » Du merveilleux dans la tragédie. Tome II, page  248. La tragédie ne saurait admettre le merveill
réclame parmi nous. Origine et progrès de la tragédie. Tome II, page  249. La tragédie est-elle arrivée chez nous à so
ceptions près, qu’un très médiocre succès. Shakspeare. Tome II, page  286. « Ses deux chefs-d’œuvre, dit Blair, les de
voir de plus bas et de plus détestable. » La comédie. Tome II, page  390. Si le Cours de Littérature de La Harpe n’éta
me d’une plus rapide secousse.” » Comédie larmoyante. Tome II, page  307. C’est, je crois, Voltaire qui a le premier d
62 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Racan. (1589-1670.) » pp. 165-168
é et le charme naïf, Racan, né en 1589 à la Roche-Racan, en Touraine, page dès sa plus tendre jeunesse et qui porta les arme
63 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Préface. »
ile de faire un cours de Rhétorique c’est-à-dire un volume de 3 à 400 pages  ; mais quand on aura composé un nouvel ouvrage, a
64 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Napoléon 1696-1821 » pp. 234-237
s mots faits pour électriser la valeur française. Dans ces glorieuses pages de notre histoire, il a toujours l’à-propos grand
65 (1892) La composition française aux examens du baccalauréat de l’enseignement secondaire moderne, d’après les programmes de 1891, aux examens de l’enseignement secondaire des jeunes filles et aux concours d’admission aux écoles spéciales pp. -503
grande abondance. Celui qui sur un sujet difficile écrit sept ou huit pages en trois heures, montre plus de facilité que de j
e lui-même Cloué sur un ouvrage, Retouchant un endroit, effaçant une page , Enfin passant sa vie en ce triste métier, car l
mais plus heureux que dans ses heures d’enthousiasme, et la meilleure page d’un bon livre est, le plus souvent, celle qui a
du xviie siècle et la description des plaines de la Pologne sont des pages vraiment nouvelles. Il ne nous laisse ignorer rie
le poète à la mode. Chateaubriand lui-même à qui nous devons maintes pages de forte critique, fut séduit comme les autres ;
des premiers parm nos critiques littéraires. Quand on a lu certaines pages exquises du Dictionnaire où il traite des sujets
disparate en apparence. Les sujets et développements insérés dans les pages consacrées à un concours déterminé peuvent être u
é avec intelligence de solides lectures. Le meilleur esprit anime les pages où réponse est donnée sur ces points intéressants
, le mot de valeur (comme on dit) à dégager dans la phrase ou dans la page , ait été trop faiblement accusé et laissé dans l’
t tirer de ce supplément d’études. »   Le rapport se termine sur une page charmante que nous nous reprocherions de ne pas o
la connaissance des règles peut suffire ; mais l’analyse d’une belle page classique demande ou suppose une étude un peu app
observer, bien raisonner et bien conclure, qu’il s’agisse de quelques pages ou d’un livre entier, c’est là le travail toujour
ire, bien que l’on puisse rarement détacher de leurs compositions une page entière vraiment écrite ; mais embrasser un sujet
phrases, des mots heureux, des vues ingénieuses ; presque jamais une page entière, ni même un paragraphe entier, à citer, à
à la pensée, c’est elle ; impossible de ne pas la reconnaître ! Cette page parfaite est doublée d’une parfaite grammaire. »
ore, cette galté de style ; il faut renoncer à citer, on citerait des pages entières. Tel est, je crois, le véritable sens de
r des observations personnelles. Ne reproduisez pas sur le papier les pages d’un cours. Montrez que vous avez regardé autour
heval de manège, quoique le mieux instruit du monde. » Portez sur la page que vous venez de lire, tirée d’un de nos classiq
lié les joies de l’âme, les plaisirs moraux. Tracer rapidement en une page la contre-partie de la maxime émise par Philémon.
e correspondant assez peu au contenu du volume, donnent d’excellentes pages empruntées à des comptes-rendus, à des rapports,
e de l’intérêt qu’elles présentent. La copie peut ne pas dépasser une page ou une page et demie, mais elle doit être très so
êt qu’elles présentent. La copie peut ne pas dépasser une page ou une page et demie, mais elle doit être très soigneusement
ve à laquelle l’événement se passait. La copie doit être courte, une page ou une page et demie au plus. Il ne s’agit pas de
e l’événement se passait. La copie doit être courte, une page ou une page et demie au plus. Il ne s’agit pas de citer tous
heure et demie pour composer et que la copie ne saurait dépasser deux pages , il est impossible de dire quels artistes, quelle
n la haine fratricide… pierre guttierez a sa mère. Pierre Guttierez, page de la reine Isabelle, était auprès de Christophe
solennel… Le héros pleure… Paroles échangées entre Colomb et le jeune page de la reine… Tout à coup la vigie confirme l’hypo
s-nous sur un vaisseau armé en course, d’un Adonis plus propre à être page à la cour qu’à supporter les fatigues de la mer ?
ssance de l’histoire est indispensable. Il faut tirer trois ou quatre pages d’une matière qui est très laconique. Il faut se
upplie Guillaume. (Court dialogue.) – La première partie comporte une page environ. 2e Paragraphe. – Deux moines saxons, Osg
de mer français ? Citer leurs principaux exploits. – Quelles sont les pages les plus brillantes de nos annales maritimes ? – 
time (1852). On trouvera des sujets de littérature et de morale de la page 44 à la page 56. Nous engageons les candidats à t
On trouvera des sujets de littérature et de morale de la page 44 à la page 56. Nous engageons les candidats à traiter quelqu
exemples empruntés à diverses professions. Lecture. Cuvier, dans la page suivante, a rendu avec force l’idée exprimée par
olution française 1790.) Concours de 1888. Écrire une lettre de deux pages dans laquelle le candidat racontera, à son choix,
ls agréments et quels profits me procurerait ce voyage. Lire la jolie page si connue sur les voyages à pied, par J.-J. Rouss
la vous a un aspect tout à fait propret et engageant. Nous donnons la page comme modèle du genre. La contre-partie serait ét
s et au mouvement des idées dans le monde ? Traiter ce sujet en trois pages au plus. DEUXIÈME SESSION Expédition d’égypte pa
66 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Voltaire 1694-1778 » pp. 445-463
re. Il s’éleva hautement contre le matérialisme de son siècle, et ces pages qui honorent son talent doivent nous rendre plus
. » Puisque le sujet nous y invite, citons, chemin faisant, une belle page du général Foy sur l’armée française : « Demandez
67 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre IV. » pp. 78-81
servation dans les Problèmes, XXX, 6. Cf Problèmes, XVIII, 3  XIX, 5, page 65 de cette édition, et la note, p. 138  Rhétoriq
68 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — De Maistre 1753-1821 » pp. 210-213
ttre de Balzac, l’Homme s’agite et Dieu le mène, dans ce recueil. Ces pages écrites en 1494, au milieu de l’anarchie et des r
69 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Mignet Né en 1796 » pp. 261-264
st à ce titre qu’il a prononcé de nombreux éloges, qui sont autant de pages accomplies. L’histoire est chez lui une science e
70 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Préface. »
d’essentiel, et dont le nom des auteurs primitifs, cité à toutes les pages , garantirait d’ailleurs les excellents principes.
71 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Chateaubriand, 1768-1848 » pp. 409-427
fut exécuté Charles Ier. Sa statue s’y trouve aujourd’hui. 1. Cette page me rappelle ces réflexions élevées de M. Prévost-
d a cru les y voir. (Sainte-Beuve.) 1. Contraste prémédité. 2. Ces pages sont le prologue d’Atala. M. de Chateaubriand pei
72 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Napoléon Ier , 1769-1821 » pp. 428-446
s mots faits pour électriser la valeur française. Dans ces glorieuses pages de notre histoire, il a toujours l’à-propos grand
la discussion, à la vérité, à la raison. » Citons en terminant cette page de M. de Salvandy : « Napoléon Bonaparte, le hér
73 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Lacordaire, 1802-1861 » pp. 542-557
e la peine à fleurir. 1. Je lis dans M. Saint-Marc Girardin cette page spirituelle sur la gloire humaine ; je la cite, p
lante. — Si l’on vent en lire la contre-partie, on devra comparer une page de Massillon, tirée des Paraphrases des Psaumes,
74 (1867) Rhétorique nouvelle « Deuxième partie. L’éloquence du barreau » pp. 146-
recueilli les souvenirs de ses luttes oratoires. On peut dire que les pages qu’il nous a laissées sur ce sujet sont les mémoi
ont les mémoires de l’éloquence. Nous allons lire ensemble ces belles pages , et, si nous sommes assez heureux pour en bien co
75 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. —  Voiture. (1598-1648.) » pp. 7-11
urd’hui presque aucun charme ; mais, comme prosateur, il a laissé des pages dignes encore d’être relues. « Je ne sais, a dit
76 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Malherbe. (1555-1628.) » pp. 160-164
andeur a de vains équipages, D’habillements de pourpre et de suite de pages , Quand le terme est échu, n’allonge point nos jou
77 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Prosper Mérimée Né en 1803 » pp. 286-290
ttendre et désirer leurs œuvres, les polir à loisir, et compter leurs pages , comme d’autres comptent leurs volumes. Il est le
78 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Nisard Né en 1806 » pp. 296-300
1. Rappelez-vous le portrait de la Jeunesse, par Bossuet. 1. Cette page est animée par l’accent d’une conviction, d’une f
79 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section première. La Tribune politique. — Chapitre IV. Continuation du même sujet. Historiens latins. »
e, et fait peut-être mieux connaître ce hardi conspirateur, que vingt pages de l’histoire la plus scrupuleusement fidèle. Mai
. x). Cet éloge est grand, sans doute ; mais il est justifié à chaque page . Voyez, entre autres, le beau discours de Pacuviu
80 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre I. — Défauts et qualités de la phrase »
donnent de l’obscurité à la phrase. Prenons pour modèle de clarté une page de M. le comte de Ségur ; elle est intitulée : l’
eux mélange de ces deux styles dans le Combat du Taureau. Cette belle page , dont le style est soutenu périodique et noble, n
81 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Molière 1622-1672 » pp. 379-400
t gloire veut dire le ciel entr’ouvert. 4. Je lis dans Balzac cette page piquante : « Toutefois, puisque je vous l’ai prom
les a faits, et celui qui les a inspirés. Citons, en terminant, cette page de M. de Lamennais : « Pendant que Corneille et R
82 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Supplément aux exemples. »
, par instants, sous les fermoirs de cuivre, Frissonner vaguement les pages du vieux livre ! Le devoir fait, légers comme de
83 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Pascal. (1623-1662.) » pp. 35-39
à la gloire de Pascal comme écrivain. L’empreinte du génie marque ces pages inachevées ; dans ces pierres d’attente, dans ces
84 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Voltaire. (1694-1778.) » pp. 140-145
nnaissance. Lettres, mars 1739. 1. Vauvenargues a écrit une belle page sur Voltaire, où il le célèbre « comme ayant port
85 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Bernardin de Saint-Pierre. (1737-1814.) » pp. 153-158
. » 1. Bernardin de Saint-Pierre parle de l’ouvrage même dont cette page est la préface éloquente. C’était une noble récla
86 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Fléchier 1632-1710 » pp. 84-88
discipline, qui n’obeit pas aux lois, à la règle. 4. Voyez une belle page de M. Thiers sur les aptitudes d’un général en ch
87 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Florian 1755-1794 » pp. 473-479
Florian 1755-1794 [Notice] Page chez le duc de Penthièvre, officier de dragons, l
88 (1867) Morceaux choisis des classiques français, à l’usage des classes supérieures : chefs d’œuvre des prosateurs et des poètes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouvelle édition). Classe de rhétorique
à la gloire de Pascal comme écrivain. L’empreinte du génie marque ces pages inachevées ; dans ces pierres d’attente, dans ces
rages : jamais il n’écrivit que pour remplir un devoir. Entre tant de pages , également inspirées par la vertu et le génie, no
e par les paroles que j’ai récitées, après en avoir rempli toutes les pages du mépris des choses humaines, veut enfin montrer
est un grand charme, l’homme dans l’écrivain ; on reconnaît, dans les pages qu’il a laissées, l’accent d’une belle âme, qui s
ésies diverses et sa traduction de l’Imitation offrent de très belles pages que la postérité a retenues ; et tel est le nombr
deux siècles. » (Petit traité de la dissertation, par M. Ch. Bénard, page  180.) 59. Madame de Sévigné a souvent parlé de
ynonyme de raison. 103. Ces pensées ont inspiré à Diderot une belle page , dans laquelle il prouve avec une éloquence lumin
t excellent juge des ouvrages d’esprit, lisait chaque soir, après une page de Tacite, quelques lettres de madame de Sévigné.
t de périssable (voy. l’Histoire de Bossuet, par M. de Bausset, t. I, pages  24 et 141) : il devait, quarante ans après, répét
ceau de Pascal intitulé : Contre les indifférents et l’impie, et cité page  46 du même volume. 226. Libertin était alors sy
Église. 284. Sur eux-mêmes. 285. On peut lire à ce sujet de belles pages de Fénelon dans ses Entretiens sur la religion :
ffort, un sacrifice. 333. On peut lire sur Mithridate une fort belle page de Montesquieu dans l’Esprit des Lois, liv. XXI,
que Voltaire aurait pu jouer… » 338. Vauvenargues a écrit une belle page sur Voltaire, où il le célèbre « comme ayant port
première faveur. 345. Formé par ces modèles, Louis XIV a laissé des pages supérieurement écrites dans notre langue : c’est
ien Alfieri. 358. On pourra comparer ce morceau du Voltaire avec les pages excellentes de Fénelon sur la perfection du goût.
éfigura ses traits. 387. Nous opposerons avec confiance cette belle page de Vauvenargues à l’allégation de Suard qui, dans
risent ! » 388. Ce livre, incomplet sans doute, offre de nombreuses pages où se retrouvent également le style et la morale
Tour inusité : aux yeux de, pour, faudrait-il dire ici, comme dans la page suivante. 390. C’est-à-dire les désordres causés
omme ce maître de notre théâtre, il nous a laissé aussi d’excellentes pages de prose, dont on peut lire quelques-unes dans le
e de la marine. 550. Molière est de l’école de Boileau. Revoir à la page  218 : Ce style figuré, dont on fait vanité Sort
ut lire le discours de Corneille sur les unités, dans le même volume, page  16. 569. Définition parfaite de ce qu’Aristote a
n se bornât, pour l’apprécier, à ces mots placés au bas de toutes les pages , « beau, pathétique, harmonieux, admirable, subli
89 (1881) Morceaux choisis des classiques français des xvie , xviie , xviiie et xixe siècles, à l’usage des classes de troisième, seconde et rhétorique. Poètes
ard était secrétaire de Lazare de Baïf, son père, puis précepteur des pages du roi ; — Du Bellay, mort en 1560, à trente-six
able dans : Sitôt que m’apparut le chef-d’œuvre des cieux. À chaque page de Desportes il souligne des cacophonies. Hélas 
ts qu’il a ridiculisés, puis était successivement clerc de procureur, page chez M. de Villeroy, valet de chambre de la sœur
ent Marot : « C’est Villon à la cour, valet de chambre d’une reine et page d’un roi. Sorti du peuple, le service de la cour
et l’esprit, les qualités de mâle énergie qui nous frappent à chaque page des Antiquités et des Regrets. Voir l’édition de
ns le Vendômois, d’une famille originaire de Hongrie, après avoir été page de cour auprès du duc d’Orléans, troisième fils d
outes diaprées de vives couleurs, ne le portent pas si haut. A chaque page les épithètes jolies, les diminutifs mignards qu’
re L’admirable artifice on lit en grosse lettre. Chaque œuvre est une page , et d’elle chaque effet Est un beau caractere en
esquipage, Ses piqueurs, ses veneurs, ses limiers, ses valets, Et ses pages montez pour se mettre aux relais ; Une belle nobl
élève, Mmede Sévigné : le P. Lemoyne (1602-1671), que sauve une belle page de son Saint Louis (1653-1657) ; Desmarets de Sai
sin et tuteur le duc de Bellegarde le fit entrer à seize ans dans les pages du roi ; qu’il fut brave capitaine, et, dit Talle
t peut- être rabattre, mais ne l’entendons que du style ; lisons deux pages des Bergeries, et nous comprendrons que Boileau a
t sur ses brodequins ne put plus se tenir. (Épîtres, VII.) Une page d’histoire littéraire par Boileau960. Villon, Mar
son avis et son mot sur tout, jugeant, critiquant, réhabilitant. Ces pages vives et charmantes, véritables petits poèmes de
déguisa en berger blanc et rose pour réciter des vers à Mlle Clairon. Page du duc de Penthièvre à seize ans, puis capitaine
de mille odeurs divines, et tout ce qu’on trouvera dans la première page venue de Chénier, et tout ce qui nous charme aujo
t pourtant à d’autres genres moins cultivés qu’elle doit les quelques pages qui se lisent encore. La plus vivace de ces renom
firmament, dépouillé de nuages, De ce livre de feu rouvre toutes les pages  ! Sur le dernier sommet des monts, d’où le regard
omme tant d’autres en ce siècle, écrit au hasard de l’inspiration des pages isolées sur quelque coin de la nature ou quelques
à n’y pas fermer obstinément les yeux, Rien qu’à toucher du doigt les pages de ce livre, En écoutant le maître1489 avec le cœ
t plusieurs pièces des recueils antérieurs, nous rencontrons à chaque page , gravés et peints, des tableaux saisissants de la
yer son seing privé, billet. Étymol. : schedula, de scheda, feuillet, page , venant de σχίδη, σχίζειν. 46. Laus. 47. On di
de France, de sa Response aux calomnies des prédicans, etc., bien des pages d’un mouvement entraînant, d’une contexture ferme
de ces étrangetés plus que bizarres qui arrêtent le lecteur à chaque page dans la lecture des passages de Du Bartas, où le
n petit livret des Quatrains de Pibrac, dont on nous donnoit quelques pages à apprendre par jour. » Il écrivit aussi les Plai
piller Horace et Juvénal. Et de fait, il les imite tous deux en cette page . Cf. Juvénal, Sat. I, 1 sqq. Semper ego auditer
nt un air de simplicité et de sincérité. Rarement La Harpe, qui a des pages brillantes et judicieuses, et des analyses parfai
on, jugeant, riant, grondant ; et l’on trouve épars, presque à chaque page de ses poésies, ce qu’il a rassemblé une fois dan
leau (Sat. IX) sur Chapelain : « Mais que pour un modèle, etc. » Voir page 263. 1169. Qu’est-ce qui a trouvé grâce devant
Dieux ! que je suis aise ! Oui, c’est la bonne édition : Voilà bien, pages neuf et seize, Les deux fautes d’impression Qui n
1. Altière n’est-il pas pour la rime ? 1312. À peu près synonyme de page . Même étymologie que valet (primitivement vaslet)
re vie. Le Lac est celui du Bourget, près de Chambéry. (Voir Raphaël, pages de la vingtième année). Cette pièce, une des plus
l’harmonie des tableaux de la nature et des œuvres de l’art. À chaque page , la lumière qui se joue sur la crête d’une vague
366. Les premiers vers ont inspiré à un peintre, M. Cormon, la grande page qu’il a exposée au salon de 1880. (La voir au Mus
etient sont indiqués, avec sens, précision, force et finesse. — Voyez page 579, note 1. 1484. Voilà des idées qui ont un c
cette dernière partie du poème des rapports frappants avec plusieurs pages de Jocelyn. Dans ce roman M. de Laprade a donné u
ir en Afrique. 1496. Expression roide et terne, qui détonne en cette page , émue et colorée. 1497. Cette terminaison frança
compas, Après avoir passé, ne repasseront pas. Du firmament entier la page intarissable Ne renfermerait pas le chiffre incal
90 (1881) Morceaux choisis des classiques français des xvie , xviie , xviiie et xixe siècles, à l’usage des classes de troisième, seconde et rhétorique. Prosateurs
notre recueil est destiné. Pourquoi, par exemple, y faire entrer des pages du Discours sur l’Histoire universelle et de la G
ttés à mon occasion, commençant dés mes premiers ans que je sortis de page , pour monstrer à ceux que je laisse aprés moy, qu
chercher la vérité dans les sciences, son œuvre capitale, écrit de 40  pages , qui fonda la philosophie spiritualiste moderne,
et le beau style de Calvin est souillé de toutes ces ordures à chaque page  : Catholiques et Luthériens, rien n’est épargné.
es plus pures d’Homère, de Virgile, de Démosthène, de Térence sur les pages improvisées de ce chef-d’œuvre court et exquis. I
ncent la leur ; Chateaubriand revient d’Amérique avec les trois mille pages de manuscrit dont il tirera plus d’un tableau pou
s forêts ;   mais la Critique, ayant lu par malheur pour lui quelques pages de son Enéide en vers français, le renvoya assez
feuillets. Voiture et Sarrasin n’ont pas à eux deux plus de soixante pages . Enfin on nous fit passer dans l’intérieur du san
dans cette sorte d’hallucination maladive, il écrivit les admirables pages de ses Rêveries d’un promeneur solitaire. Musicie
et majestueuse régularité de la nature même qui était son objet, ces pages d’un style noble, élevé, nombreux, riche sans cli
ans déguisement. Pour moi, je pleurois de joie, lorsque je lisois ces pages  ; je ne passois point de nuit sans parler à Alcib
mâles injures ; vous nous argumentez dans cinquante-quatre mortelles pages , comme un docteur ès-lois, sans vous soucier plus
, etc., etc., etc. ; je l’aurai déjà resserré d’une bonne douzaine de pages . En faisant évanouir par une seule remarque cette
aux choses qu’il entend prouver, etc. Alors, il nous restera quelques pages , au plus, sur l’affaire, et qui, loin de résoudre
terreur déchaînée, il essaya de l’arrêter ; c’est le temps des belles pages de son Vieux Cordelier où il s’élève jusqu’à l’él
quelquefois au duc de Marlborough tombé en enfance et jouant avec ses pages  ; et un jour qu’un de ses portraits, devant leque
s déserts de l’exil, au fond des prisons, à la veille de périr, telle page d’un auteur sensible652 a relevé peut-être une âm
ux, moi qui vous fais, pour quelques lignes que vous m’écrivez, trois pages de cette taille ? Vous vous piquerez d’honneur, j
moi de quelque explication. « C’est, répondit-il, un écrit de peu de pages comme le vôtre, d’une feuille715 ou deux seulemen
à grand déshonneur d’avoir dit vrai dans un écrit de quinze ou seize pages  ; car tout est mal dans ce peu. Seize pages, vous
écrit de quinze ou seize pages ; car tout est mal dans ce peu. Seize pages , vous êtes pamphlétaire, et gare Sainte-Pélagie.
arce qu’il y faut plus de prévision et de foi. Quand je lis une belle page de l’antiquité, j’admire ce que peut l’homme si l
ette physionomie de l’âme, rapproche tellement ces deux hommes qu’une page de l’évêque de Meaux est le plus fidèle crayon du
à que nous avions tracé avec le fer et le sang l’une des plus grandes pages de notre histoire ; quelques débris le disaient e
r cette terre des anges : on ne voudrait plus en sortir. »   Dans ces pages de Ducis, on sent comme la saveur de la solitude 
i-lien et les Gédoyn, et voilà ce qu’on vérifie en lisant les simples pages de Mme de Caylus, (Causeries du Lundi, t. III :
là le prix que la nature impitoyable lui fait payer ce peu de belles pages qu’il écrit dans les courtes trêves de ses souffr
rtes trêves de ses souffrances. C’est un dur marché que celui-là, une page pour une heure d’angoisses ! Mais la crise passe
i-là, une page pour une heure d’angoisses ! Mais la crise passe et la page reste ; il sait cela ; il y a foi, et il ne se pl
le. Debout à ses côtés, Antonio de Messine semble faire l’office d’un page soumis et docile ; on voit que depuis longtemps l
groupes fastueux de sénateurs, d’hommes d’armes, de patriciens et de pages , personnel ordinaire des tableaux vénitiens. Dans
, avec des guerriers pour valets et des vieillards à barbe grise pour pages  ; puis je considérai assez tristement la tenue du
re-Dame de Paris (1831) est une résurrection du moyen âge ; certaines pages des Misérables, pour ne citer que ces deux romans
e dans l’armée russe. Comme son frère aîné, il écrivit, mais quelques pages . Fines et délicates, avec une pointe de sel, de f
ayer un passage jusqu’à une vaste antichambre remplie d’écuyers et de pages , qui, bien qu’ils n’eussent d’autres armes que le
Cf. Juvénal. VII, 52, 99. 186. Cf. Montaigne, supra, p. 45. 187. «  Page célèbre et qui rassemble, dans un exemple sensibl
é d’office et lui avait gagné cent pistoles » (Géruzez). 301. « Ces pages égalent sur ce grand sujet ce qu’on a pu dire de
3. Cf. Pascal, Pensées, article I, dans le présent recueil. 374. Cf. page 125, note 1. 375. I ad Cor. vii, 31. 376. Fille
t en hébreu, puis en latin. La Fontaine l’a cité et imité. 519. Voir page 14, note 4. 520. Officier de police en Espagne.
nive candidum Soracte… 591. Pharsale, 1, 399, 199. 592. « Cette page est, à l’avance, du plus pur et du meilleur Chate
714. Procureur du roi, qui avait requis contre lui. 715. Nombre de pages d’imprimerie, déterminé selon la différence du fo
erie, déterminé selon la différence du format. La feuille, in-12 a 24 pages . 716. Prison. 717. Pétition à la Chambre des D
e tour biblique et évangélique que Lamennais donne à son style en ces pages . 720. Cf. Chateaubriand, Génie du Christian., p.
à la fin du xve siècle. — L’auteur a conservé à la rédaction de ces pages d’un cours public leur caractère d’improvisation.
sages de la chevalerie : avoir accompli son temps de service dans les pages . De là, métaphoriquement, être affranchi de toute
e du pittoresque, et un juge difficile, aisément mécontent ; voici la page que je choisirais » (Sainte-Beuve). 875. Chaîne
d et Sainte-Beuve et des publications posthumes de leurs trop courtes pages  ; par Rodolphe Töpffer (1799-1846), le Charles No
91 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — La Rochefoucauld, 1613-1680 » pp. 32-37
’ingénieuse raillerie et la morale austère. » Il faut comparer à ces pages le chapitre de La Bruyère sur la Société et la Co
92 (1868) Morceaux choisis des écrivains contemporains à l’usage des classes supérieurs de l’enseignement classique et spécial. Prose et poésie
res1. La tâche délicate de choisir chez des auteurs contemporains les pages les plus dignes d’être placées sous les yeux de l
s aussi apporté une extrême réserve dans les notes placées au bas des pages . Mais il nous est impossible de partager les prév
t leur prix, si quelques notes explicatives ne viennent rattacher ces pages à l’ensemble dont on les a détachées ? Un tel tra
ésigner ainsi Guéneau de Montbéliard153, mort trop jeune, et dont les pages brillantes furent confondues par le public avec c
femme belle et spirituelle, d’une Grecque164. Il est resté d’elle des pages élégantes, ingénieuses, où le goût français, qu’e
nçaise depuis 1789, on reste surpris de lire signées d’un tel nom des pages empreintes d’une modération équitable et bienveil
rop de poésie. Son Histoire des Girondins (1847), malgré d’admirables pages , offre plutôt le charme et les émotions d’un roma
ns les régions plus sereines de la poésie et citons, en terminant, la page qu’un éminent critique écrivait naguère sur M. de
regret que nous terminons ici nos extraits de Corinne. Que de belles pages à détacher encore ! que d’admirables tableaux bie
vii, xviii, xix et xx de la IIe partie. 33. On pourra lire de belles pages de Schiller sur la vocation du poète et de l’arti
. Chap. XLI. 88. On peut lire sur cette poétique tradition une belle page de Buffon dans les Morceaux choisis à l’usage des
s les Morceaux choisis à l’usage des classes supérieures (16e édit.), page 411. C’est dans le Phédon de Platon que se trouve
monument. » 151. Il serait intéressant de rapprocher de cette belle page ce que M. Villemain dit encore de Bossuet dans so
s français (Prose) pour les classes supérieures, par M. Léon Feugère, page vi. 220. Voir Nithard, Histoire, livre III, chap
ls donnèrent les traits… On pourra aussi rapprocher avec intérêt les pages consacrées à Charlotte Corday dans l’Histoire des
t ici relever. On pourrait établir un curieux rapprochement entre ces pages de l’historien français et le passage des Alpes p
ssai sur les moralistes français, M. Prévost-Paradol a écrit quelques pages remarquables sur le sentiment de la tristesse. No
stoire : on lira avec intérêt sur la mort de Germanicus les dernières pages du chapitre Ier. Peut-être oserait-on reprocher à
litaire. » 400. Revoir dans le même volume le morceau de Jouffroy ( page 166) sur le problème de la destinée humaine. 401
a prière ? 464. On ne saurait citer dans la poésie contemporaine une page plus belle. Quelle souplesse, et en même temps qu
465. Mélanges d’histoire et de littérature (première série), 1868, page 353. 466. Les œuvres dramatiques de M. Ponsard o
93 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre V. » pp. 82-88
e la chose allait d’elle-même. Il fait pourtant, à cet égard, quelque pages plus haut, un aveu curieux à recueillir. « Mais u
94 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Mme de Sévigné. (1626-1696.) » pp. 48-53
t excellent juge des ouvrages d’esprit, lisait chaque soir, après une page de Tacite, quelque lettre de madame de Sévigné. C
95 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Bernardon de Saint-Pierre 1737-1814 » pp. 203-209
mière indienne (1791) et les Harmonies de la nature (1796) mêlent aux pages les plus riantes la fadeur d’un ton trop sentimen
96 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section cinquième. La Tribune académique. — Chapitre III. Discours académiques de Racine, de Voltaire et de Buffon. »
x lu dans ce grand livre, et qui en a traduit avec tant de succès les pages les plus intéressantes pour nous. Nous en demando
97 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Buffon. (1707-1788.) » pp. 146-152
les Fâcheux, II, 7. Ce dernier passage se trouve dans le même volume, page 208. 1. Ce monument, auquel Buffon consacra envi
98 (1886) Recueil des sujets de composition française donnés à la Sorbonne aux examens du baccalauréat ès lettres (première partie), de 1881 à 1885
le est une morale triste et profondément sceptique : on sent à chaque page des Maximes un honnête homme désabusé, devenu mis
r, moins d’anxiété, moins de ces tortures intimes empreintes à chaque page des Pensées, et qui en font un drame vivant ! Enf
it prince a des ambassadeurs,             Tout marquis veut avoir des pages . La Laitière et le pot au lait, sujet traité av
celles qui sont d’ordinaire les moins recherchées et qu’on laisse aux pages et gens du même bord n’étaient occupées que par d
ace de oiseux et venger, pagine, plague, perfect, peregrin au lieu de page , plaie, parfait, pèlerin ? N’étaient-ce pas là de
s d’avance ; aux plus mauvaises même, fréquentées d’ordinaire par les pages , j’ai aperçu plus d’un courtisan. Quant à nous, n
osés par les Facultés en 1881, 1882 et 1883. 1 fort vol. in-8º de 604  pages , Paris, librairie Croville-Morant et Foucart, 6 f
V. Précis d’un cours de Littérature, p. Ch. Urbain, chap. I, art. 4, page  156. Paris, Croville-Morant et Foucart, 20, rue d
99 (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « SECONDE PARTIE. DE LA VERSIFICATION LATINE. — CHAPITRE IV. De la composition des vers. » pp. 295-331
llis ; fractus membra labore. (Voir, dans le Traité d’élégance, à la page 156, l’article concernant les hellénismes.) 2
la description poétique ; il suffit, pour en juger, de lire quelques pages de leurs écrits. Nous ne citerons ici pour exempl
100 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Montluc, 1503-1577 » pp. -
it dans toute l’Europe. Il est regrettable qu’il y ait aussi d’autres pages dans sa vie. Lorsqu’en 1362, Catherine de Médicis
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