cité d’ostentation ; le cœur n’y prend presque plus de part ; le long
usage
des plaisirs les leur a rendus inutiles : ce sont
prouvent déjà les dégoûts et l’insipidité que la lassitude et le long
usage
de tout semble attacher à la vieillesse. Les
sserait dissiper faute de soins et d’attentions, et n’en ferait aucun
usage
, ou pour s’élever à des places et à des dignités
pure miséricorde ; il est entre nos mains, et c’est à nous d’en faire
usage
. Ce n’est pas pour nous élever ici-bas à des dign
s que celles de tous les siècles. Quelle folie donc de ne faire aucun
usage
d’un trésor si inestimable, de prodiguer en amuse
re source de leur autorité vient de nous, les rois n’en doivent faire
usage
que pour nous… Ce n’est donc pas le souverain, c’
le ministre et le premier dépositaire ; c’est elle qui doit régler l’
usage
de l’autorité, et c’est par elle que l’autorité n
temps ne leur pèse, pas, parce qu’il a toujours sa destination et son
usage
; elles trouvent dans l’arrangement d’une vie uni
ur en remplir le vide : nous arrivons au soir sans avoir fait d’autre
usage
du jour qu’on nous laisse, que de nous être rendu
jusques à ceste heure, qui peut espérer que sa forme présente soit en
usage
d’icy à cinquante ans ? Il escoule tous les jours
n, et l’étoufferaient sans la main qui les arrache. C’est ainsi que l’
usage
et l’abus se confondirent dans ce courant d’imita
llut bien que le dictionnaire suivit les progrès de la science ; et l’
usage
adopta baguette, arquebuse, bombe, arsenal, alarm
propres instincts. II. De l’imitation des anciens au XVIe siècle,
usage
et abus Si les littératures vivantes portent p
n. Si, avant le xv e siècle, quelques mots grecs se glissèrent dans l’
usage
, ils ne nous ont été transmis que par voie détour
-delà de frontières trop étroites, ou de s’arrêter à temps, lorsque l’
usage
résiste à la nouveauté, il sut dérober à Plutarqu
incidemment, c’est le même besoin d’agile désinvolture qui répandit l’
usage
de retrancher la conjonction devant les subjoncti
dre Dieu. » 9° A plus forte raison les ablatifs absolus étaient-ils d’
usage
quotidien, avec les participes présent ou passé.
sent ses mots, appesantissent et enfoncent leur signification et leur
usage
, luy apprenant des mouvements inaccoutumés, mais
rent ainsi une enquête qui nous eût privé des uns et des autres, si l’
usage
n’en avait sauvé bon nombre, sans en demander la
ssessif dans :mon amour et mon amie ? Il ne me déplaît pas non plus l’
usage
où l’on était de traiter indistinctement mien, ti
’avantage qu’il y a souvent à avoir un mot de moins dans l’oraison. L’
usage
a préféré par consequent à par conséquence, et en
tée, toujours indécise. » Ce plaidoyer n’est point une boutade, et l’
usage
lui a même donné raison, puisqu’il a repris plusi
pêcher). Nous ne conseillerons pas davantage de remettre en vigueur l’
usage
qui donnait un sens réfléchi à toute une famille
obéir à des lois et à des traditions d’ailleurs aussi variables que l’
usage
local, et la langue elle-même. Si au xviie siècl
ulme, il écrivait : recevoir, devoir, autre, paume. C’était obéir à l’
usage
séculaire qui, chez nous, avait, sans le vouloir,
siècle suivant, en pleine Académie, Bossuet devait aussi proclamer l’
usage
« le grand-maître des langues » ; et Malherbe ren
état civil. Soumettre la prononciation à l’écriture, c’était plier l’
usage
à des servitudes dont la raison lui échappait tro
effet, la série des échecs subis par ces législateurs qui disent à l’
usage
: « Tu n’iras pas plus loin. » Ce droit qu’ils s’
Maigret, grammairien qui publia en 1542 un Traité touchant le commun
usage
de l’écriture, et en 1550, le Tretté de la grammè
ce de la grammaire générale les formule. La sanction des autres est l’
usage
et l’assentiment des écrivains éminents ; leur co
u’ils se plient ou résistent à l’analyse, ne les admettez que quand l’
usage
ou l’autorité les justifie. Sont-ils consacrés pa
ouvelles, adoptés par la majorité intelligente de la nation ? voilà l’
usage
, l’usage, le souverain dominateur des langues, de
adoptés par la majorité intelligente de la nation ? voilà l’usage, l’
usage
, le souverain dominateur des langues, despote d’a
la grammaire spéciale, c’est-à-dire du génie de la langue fixé par l’
usage
ou par l’autorité ; je dis surtout, car, quand il
ple. Pourquoi employer, fis-je, fit-il, au lieu de dis-je, dit-il ? L’
usage
a défendu avec raison de confondre dans une seule
que les mots qu’ils créent sont presque les seuls qui s’imposent à l’
usage
, et se donnent eux-mêmes le droit de cité. Ceux-l
au bon sens et aux connaissances, dans les personnes qui ont un grand
usage
du monde. Celui-ci consiste dans des tours de phr
de. Celui-ci consiste dans des tours de phrases particuliers, dans un
usage
singulier des mots, dans l’art de relever les pet
n exagérée des plus minutieuses prescriptions de la grammaire et de l’
usage
. L’écrivain pur obéit à l’esprit, le puriste est
ttes gens. Qu’on ne demande point la raison de ces diverses règles. L’
usage
les a établies ; et cet usage est quelquefois un
int la raison de ces diverses règles. L’usage les a établies ; et cet
usage
est quelquefois un tyran, auquel il faut obéir sa
c. Dans les noms qui se terminent en ent, ou ant, c’est aujourd’hui l’
usage
de supprimer au pluriel le t, qui devrait précéde
foi, sincérité, ambition, orgueil, etc. On connaîtra les autres par l’
usage
. Les adjectifs, amical, austral, boréal, canonial
œurs, obsèques, ossemens, pierreries, pleurs, prémices, ténèbres, us (
usages
) ; vacances (temps auquel les études cessent) ; v
t les Grammairiens l’appellent verbe substantif. Un de ses principaux
usages
est de signifier l’affirmation que l’on fait, soi
ci que les verbes devenir, paraître, sembler, etc., servant à ce même
usage
que le verbe être, sont aussi regardés comme des
bibliothèque. Mais ce verbe est plus généralement employé à un autre
usage
. Il sert ainsi que le verbe être, à conjuguer en
. Celui auquel il manque certains temps, ou certaines personnes que l’
usage
n’admet pas, est appelé verbe défectueux. Je croi
enverrai ; j’enverrois. Dialoguer, suivant l’Académie, n’est guère d’
usage
qu’au passif : = cette scène est bien dialoguée.
doit les composer) font au participe tissu. Mais tistre n’est plus en
usage
qu’aux temps formés de son participe : = il a tis
. Conjugaison en ir. Alourdir, suivant l’Académie, n’a guère d’
usage
qu’au participe et aux temps composés : = j’ai la
Faillir, participe failli, et son composé défaillir, ne sont guère d’
usage
qu’à l’infinitif, au parfait défini, je faillis,
s, vous gisez, ils gisent, il gisait. Le gérondif gisant est aussi en
usage
. Haïr. Participe, haï. Présent absolu, je hais,
is, il fait. La seconde personne de l’impératif, hais, n’est guère en
usage
, non plus que le parfait défini. Ouïr. Participe
vous vêtez, ils vêtent. Mais le singulier de ce temps n’est guère en
usage
. Il l’est dans ses composés dévêtir, et revêtir,
on en oir. Choir. Participe, chu. Les autres temps ne sont pas en
usage
. Déchoir a tous les temps, excepté le gérondif e
agne, que je sache. Seoir, signifiant être convenable, n’est plus en
usage
à l’infinitif (on peut, en certaines occasions, y
ussi le gérondif seyant. Seoir, signifiant être assis, n’est plus en
usage
qu’au présent de l’infinitif ; au participe, sis
s. Présent absolu, je clos, tu clos, il clôt. Le pluriel n’est pas en
usage
. Futur, je clorrai. Conditionnel présent, je clor
lu. Reclure (renfermer dans une clôture étroite et rigoureuse), n’a d’
usage
qu’à l’infinitif, et aux temps formés de son part
ndre, s’éprendre (se laisser surprendre par une passion), n’a guère d’
usage
qu’au participe : = il est épris d’un fol amour p
i repu, je repus, je repusse. Poindre signifiant piquer, n’a guère d’
usage
, suivant l’Académie, qu’en cette phrase proverbia
isait que poindre. Les herbes commencent à poindre. Soudre, n’est en
usage
qu’au présent de l’infinitif ; et encore même est
frémi, une femme tremblée. Cette règle est généralement sûre : mais l’
usage
est ici le meilleur maître. Article III.
le les réserve pour les circonstances qui en exigent impérieusement l’
usage
. La chaire, la tribune et le barreau sont donc le
e purement didactique de l’art. Un bon ouvrage sur la rhétorique, à l’
usage
des gens de goût, manque donc à la France. « Cepe
lorsque je n’ai pas rapporté les propres paroles du maître, j’ai fait
usage
des traductions recueillies et revues par le doct
ances et la rectitude de son jugement, il sera moins capable de faire
usage
de ces richesses que celui qui en posséderait bea
s ; 2º le pathétique ; 3º l’application convenable des figures ; 4º l’
usage
des tropes et beautés d’expression ; 5º l’harmoni
rce qu’elle éveille on nous des idées de convenance de propriété et d’
usage
qui ont toujours plus d’analogie avec des formes
ssent formés sans règles et sans desseins. Les objets appliqués à nos
usages
sont généralement des corps réguliers quoique var
et qui, à raison de leurs formes simples, sont plus appropriés à nos
usages
journaliers. Mais dès que l’utile n’est plus le b
plus hardies, dans un style plus pompeux que celui dont nous faisons
usage
dans nos ouvrages poétiques. Avec les progrès du
cales et prononcées avec les inflexions et modulations qui étaient en
usage
chez ces nations, où l’harmonie des périodes étai
nds sont les signes des mots, ce sont les caractères alphabétiques en
usage
aujourd’hui, chez tous les Européens. Ces deux ma
peuples du grand empire de la Chine sont de la même nature. Ils font
usage
d’un signe pour exprimer chaque objet ; le nombre
us nos yeux ils sont aussitôt compris par toutes les nations qui font
usage
de ces chiffres, quelle que soit la différence de
binaison pouvait former toutes les variétés de mots dont nous faisons
usage
, et qu’en inventant des signes pour chacun des so
science où une logique plus profonde et plus exquise ait été mise en
usage
; l’étude de ces principes est extrêmement utile
r, Paul, Pierre, tous les autres substantifs de nom dont nous faisons
usage
ne sont pas des objets individuels, mais bien des
icle plus défini, le, la, les. Quoique les articles soient d’un grand
usage
dans le discours, il y a des langues où ils n’exi
lte même une beauté qui est propre à leur langue. C’est qu’en faisant
usage
des articles destinés à déterminer le genre des p
tribuer arbitrairement le genre qui leur plaît aux objets inanimés. L’
usage
et l’analogie ont fixé le genre de chaque chose.
t les Latins n’avaient pas adopté ce mode d’expression, ils faisaient
usage
de la désinence des terminaisons. Les modernes, a
hodes d’exprimer les relations, celle qui est le plus anciennement en
usage
dans les diverses langues, et quelle est celle qu
outes les langues-mères ou langues originaires, fut le premier mis en
usage
. Les relations des mots sont les idées les plus a
rais. Dans l’enfance des langues, il est probable qu’on suppléait à l’
usage
du pronom en montrant l’objet lorsqu’il était pré
euse ; elles admettent peu de variété dans les terminaisons ; on fait
usage
presque toujours des verbes auxiliaires dans tous
e que les prépositions, placées avant les noms, furent substitués à l’
usage
des cas, de même les auxiliaires avoir et être, u
utres. Il est évident que ces particules conjonctives sont d’un grand
usage
dans le discours, puisqu’on vient de voir qu’elle
on. Dans la plupart des langues, la force et la beauté dépendent de l’
usage
bien entendu des conjonctions, des prépositions e
cette question. En parlant des caractères généraux du style, il est d’
usage
de le diviser en nerveux, faible et animé, etc. N
arrasser dans un amas d’idées accessoires. Les écrivains faibles font
usage
d’un grand nombre de mots pour parvenir à se fair
quæ dicere volunt. La grande source de ce genre de diffusion est l’
usage
peu judicieux de ces mots appelés synonymes, qui
il comprenne parfaitement la force et la valeur des mots dont il fait
usage
. Pour parvenir à ce but, le génie naturel est néc
la vigueur du style, c’est de porter une attention scrupuleuse sur l’
usage
des particules copulatives, relatives, et de tous
e sa grâce dépend de l’emploi de ces particules. Les variétés, dans l’
usage
qu’on en fait, sont tellement multipliées qu’aucu
quelques principes dont l’observation a démontré l’utilité. Quoique l’
usage
naturel de la conjonction soit de lier divers obj
’accorde que peu de latitude à cet égard. Fléchier et Bossuet font un
usage
fréquent et heureux de ces espèces d’inversions.
ns les plus avantageuses pour chaque mot. Mais soit que nous fassions
usage
de l’inversion, soit que nous la négligions, en q
était plus fixe et plus déterminé, leurs terminaisons plus variées, l’
usage
du verbe auxiliaire moins fréquent. En second lie
cables à notre langue, et que notre prose pouvait être cadencée par l’
usage
des spondées, des trochées, des iambes, des péons
rophes et comparaisons : alors l’on peut varier les mots dont on fait
usage
, les traduire d’une langue dans une autre, sans a
es noms et les diverses ligures du discours, parce que la nature et l’
usage
nous enseignent ces figures ; mais il n’en résult
er l’expression propre à l’idée principale qu’elle conçoit, elle fait
usage
de l’idée accessoire ou correspondante. C’est par
nts. Il colore et arrondit les conceptions les plus abstraites. Par l’
usage
des figures, il présente un miroir à nos yeux, où
’ennui et peu de profit. Il nous suffira d’indiquer les tropes dont l’
usage
est le plus fréquent. Je donnerai aussi toutes le
je montrerai les abus et les erreurs qui sont la suite ordinaire de l’
usage
de ces figures. Tous les tropes sont fondés sur l
ce. C’est sur elles que repose la métaphore. Lorsque au lieu de faire
usage
du nom propre de l’objet nous employons celui d’u
par ce moyen, plus frappante et plus lumineuse que si l’on avait fait
usage
des mots propres dans leur signification littéral
pas absolument bannie des descriptions, cependant il n’en faut faire
usage
qu’avec réserve, parce que celui qui décrit est u
ésigner cette figure est celui de prosopopée. C’est une figure dont l’
usage
est fort étendu, et dont le fondement se trouve é
si Homère, le père et le prince des poètes, est-il remarquable dans l’
usage
de cette figure ; la guerre, la paix, les dards,
dictée par la passion pour paraître naturelle. Les poètes en font un
usage
fréquent. Pereunt Hypanisque, Dymasque
s plaisirs passés. Voici les règles qui doivent être observées dans l’
usage
des comparaisons : convenance dans leur introduct
je vais parler sont des figures qui appartiennent à la passion ; leur
usage
est très fréquent ; et même dans la conversation
avec propriété, à sympathiser avec les sentiments de ceux qui en font
usage
. Il résulte de ce qui précède que le grand art de
exige pas une grande véhémence ; mais il faut être circonspect dans l’
usage
de l’exclamation. Rien ne fait un plus mauvais ef
rra dissimuler la fraude ou cacher l’imposture. Enfin une figure d’un
usage
très fréquent chez les orateurs, surtout ceux du
l, il peut alors profiter de la pente favorable des esprits, et faire
usage
de quelque figure heureuse pour confirmer notre c
les beautés ni les principales beautés du discours ne dépendent de l’
usage
des tropes et des figures. La plupart des passage
3. Quiconque n’a pas le génie du langage figuré ne doit pas en faire
usage
. L’imagination n’est pas une puissance que l’on p
n longues périodes, tandis que l’écrivain précis fait le plus souvent
usage
des phrases courtes. Il ne faudrait cependant pas
un nouveau tour. De même aussi, la plupart des auteurs français font
usage
de phrases courtes ; cependant, en général leur s
ve un peu au-dessus du style sec ; un écrivain de ce genre fait peu d’
usage
des ornements de toute nature, et ne s’applique q
sa cadence est variée et musicale, et ses figures, lorsqu’il en fait
usage
, sont plutôt courtes et correctes que hardies et
clarté que l’emploi du langage figuré peut ajouter, lorsqu’on en fait
usage
avec discernement ; en un mot, un écrivain élégan
olidité de la pensée et la noble simplicité sont bien préférables à l’
usage
frivole et affecté d’ornements superflus, et l’on
me de la plupart des autres termes de la critique, on en fait souvent
usage
d’une manière vague et peu précise, ce qui résult
au style, mais ne signifie pas tant le degré d’ornement dont on fait
usage
, que la manière aisée et naturelle dont on exprim
n nous appesantissant trop longtemps sur chaque mot dont nous faisons
usage
, il y a, en certaines occasions, un vernis de com
ulement à plaire, mais à instruire et à convaincre. L’orateur en fait
usage
pour éloigner des préjugés qui s’élèvent contre l
dans quelques cas, l’orateur est réduit à argumenter sur la loi, les
usages
ou les précédents, d’où il résulte que la science
dans son utile ouvrage intitulé : Essai d’institutions oratoires et l’
usage
de ceux qui se destinent au barreau, nous apprend
et lui fait préférer la vigueur du raisonnement au pathétique et à l’
usage
des passions, mais il ne les exclut cependant pas
fin le genre judiciaire était l’éloquence du barreau, dont on faisait
usage
devant les juges qui avaient pouvoir de condamner
ste à présenter toutes les divisions et subdivisions de son discours,
usage
communément pratiqué dans les discours de la chai
ont les raisons pourquoi les larmes de la pitié sont souvent mises en
usage
comme moyens de succès ; pourquoi certains mouvem
techniques, sans cependant éviter avec trop d’affectation d’en faire
usage
lorsqu’ils sont bienséants et nécessaires, Gener
s les forcera à composer avec plus de précipitation. Au lieu que si l’
usage
d’un style négligé et lâche leur devient familier
te ? demande Marmontel : non, sans doute ! L’avocat ne doit pas faire
usage
des mauvaises raisons ; cela jetterait de la défa
des passions, la clarté de la diction, la sévérité dans le choix et l’
usage
d’ornements, l’oubli de soi-même pour ne plus s’o
nt employé, est aussi un grand ornement des sermons. On peut en faire
usage
par citation ou par allusion. Les citations direc
i universelle, qu’on peut faire ce que tous les autres font, et que l’
usage
est une voie sûre ; mais de vous convaincre que,
rbitraire. » Il rappelle que les pères de l’Église n’en firent jamais
usage
, et qu’elles prirent naissance dans les écoles lo
pas rigoureusement nécessaire doit être élagué avec sévérité. C’est l’
usage
et l’étude des modèles vivants qui peuvent seuls
use et sur chaque sujet, quoiqu’elle puisse lui être d’un merveilleux
usage
pour exprimer et arranger ceux que le sujet lui a
t les Athéniens aux armes contre Philippe, et lorsque Cicéron en fait
usage
, ils énervent ses discours. J’arrive à la seconde
il soit convenable de l’employer. Le mode de raisonnement le plus en
usage
et le mieux approprié à l’art oratoire est la syn
produiraient sur lui les diverses raisons dont il se propose de faire
usage
pour persuader. Car il ne doit pas s’attendre à p
ncluants que les autres, et dont il est néanmoins nécessaire de faire
usage
, Cicéron nous engage à les placer au milieu, comm
nces spéculatives que l’on peut acquérir relativement aux passions. L’
usage
des règles et des préceptes sur cette partie de l
um, ita vocis quoque bona, cura et negligentia minuuntur . (Quint.) L’
usage
fortifie les organes en les assouplissant, et per
ention scrupuleuse de donner à chaque mot qu’on prononce le son que l’
usage
le plus parfait lui attribue, et éviter les prono
e sensibilité le caractère des intonations propres à la situation ; l’
usage
, l’observation, la flexibilité des organes, et su
ente en public, il faille immédiatement négliger la voix dont on fait
usage
pour les habitudes de la vie, et prendre un ton é
aux jeunes praticiens que tous les miroirs dont ils pourraient faire
usage
. Quintilien, dans le dernier chapitre du onzième
de l’assemblée à laquelle il appartient ; il étudiera les formes, les
usages
, et portera une attention scrupuleuse à tous les
raité complet d’art oratoire. Les essais d’institutions oratoires à l’
usage
de ceux qui se destinent au barreau, méritent seu
re source de leur autorité vient de nous, les rois n’en doivent faire
usage
que pour nous… Ce n’est donc pas le souverain, c’
le ministre et le premier dépositaire ; c’est elle qui doit régler l’
usage
de l’autorité, et c’est par elle que l’autorité n
La source de tous les désordres qui règnent parmi les hommes, c’est l’
usage
injuste du temps. Les uns passent toute la vie da
sserait dissiper faute de soins et d’attentions, et n’en ferait aucun
usage
, ou pour s’élever à des places et à des dignités
pure miséricorde ; il est entre nos mains, et c’est à nous d’en faire
usage
. Ce n’est pas pour nous élever ici-bas à des dign
s que celles de tous les siècles. Quelle folie donc de ne faire aucun
usage
d’un trésor si inestimable, de prodiguer en amuse
r selon les vues qu’il s’est proposées en nous formant, et à régler l’
usage
des talents que nous n’avons reçus que de lui. Au
tre caprice les dons et les talents dont il voulait lui-même régler l’
usage
, nous rompons tous les liens de dépendance qui no
ur en remplir le vide : nous arrivons au soir sans avoir fait d’autre
usage
du jour qu’on nous laisse, que de nous être rendu
l prit le reste des écus, reliquos nummos abstulit. 6° On fait aussi
usage
d’un adjectif pour éviter la rencontre de deux gé
. Il en est de même après causa, genus, et quelques autres mots que l’
usage
apprendra. Ex. : Duæ sunt hujus obscuritatis caus
emière est la honte, la seconde le crime. X Le génitif est d’un
usage
plus fréquent pour désigner les qualités de l’esp
, une flotte de soixante-dix vaisseaux. XII Le génitif est d’un
usage
habituel après les verbes qui expriment le souven
ans l’affliction ; flere, pleurer ; gemere, gémir ; et d’autres que l’
usage
apprendra. Ex. : Meum casum luctumque doluerunt a
dere, se retirer ; abhorrere, s’éloigner de, et quelques autres que l’
usage
apprendra. XXI Au lieu de l’ablatif de caus
is toute la gloire des tiens. Cette tournure élégante est aussi d’un
usage
fréquent avec les verbes dare, vertere, tribuere,
porain de Lycurgue. Aux temps composés, le mode unipersonnel est d’un
usage
plus fréquent. Ex. : Memoriæ proditum est Platone
is tant d’années. XV En latin comme en français on fait souvent
usage
du temps présent au lieu du temps passé pour rend
u choix et de l’élégance des participes. Les participes sont d’un
usage
si fréquent dans la langue latine, ils donnent li
égantes et si variées, qu’il importe d’en indiquer ici les principaux
usages
. I Les participes présents s’emploient éléga
u explicative, il vaudrait mieux employer le pronom relatif, ou faire
usage
d’une conjonction. Ex. : Dimidium facti, qui cœpi
verses constructions que nous venons d’exposer et dans d’autres que l’
usage
apprendra, le participe présent a une grâce parti
élégant et plus rarement employé au nominatif. II On doit faire
usage
du participe présent et non du gérondif en do, qu
. IV Après les verbes habeo, teneo, possideo, et d’autres que l’
usage
apprendra, on emploie élégamment le participe pas
après les verbes curare, avoir soin, dare, donner, et d’autres que l’
usage
apprendra. Ex. : Conon muros reficiendos curavit.
t plus élégant et plus conforme au génie de la langue latine de faire
usage
du participe futur passif, quand il y a un nom av
XIX Il n’y a qu’un petit nombre de supins en u qui soient d’un
usage
un peu fréquent ; ce sont surtout dictu, factu, a
u difficile, digne ou indigne, honteux, incroyable, et d’autres que l’
usage
apprendra12. Ex. : Pleraque dictu quàm factu sunt
t. Sall. Il a vendu les honneurs aussi bien que les affronts. De là l’
usage
fréquent de cette conjonction en tête d’une propo
différence qu’il y a entre deux idées. Dans ce cas, on doit en faire
usage
pour rendre en latin la conjonction et, qui se tr
s pour eliam. Ex. : Nam et ratione uti decet. Car il faut aussi faire
usage
de sa raison. Enim se met après un mot, le plus
es locutions : facere non possum, fieri non potest, et d’autres que l’
usage
apprendra. Ex. : Nunquàm tam malè est Siculis, qu
pense que le soleil est un grand corps. XXIII Au lieu de faire
usage
des conjonctions, il est quelquefois plus élégant
els sont verò, autem, enim, etenim, et, atque, que, et d’autres que l’
usage
apprendra. Ex. : Nisi verò existimatis dementem A
; elle n’a pas besoin de ces ménagements, de ces artifices dont fait
usage
l’éloquence profane, et qui montrent qu’elle se d
arangue ou une proclamation. Les harangues militaires étaient fort en
usage
dans l’antiquité. Celles que les historiens mette
z-moi ; si je recule, tuez-moi ; si je meurs, vengez-moi. » Il est d’
usage
maintenant que les chefs d’armée, avant une batai
réception, prononcés par un membre nouvellement élu à l’Académie. Cet
usage
s’est introduit à l’Académie française depuis la
e, depuis, tout récipiendaire fut obligé d’en faire autant. D’après l’
usage
établi, le nouvel élu doit louer son prédécesseur
fondateur de l’Académie. Voltaire, le premier, imagina de secouer cet
usage
, et de traiter une question littéraire ; ce qu’il
des morts, et de proposer leurs vertus comme exemple. On le trouve en
usage
chez les Égyptiens, en Grèce, à Rome, chez presqu
roche, j’ai consulté sur cette matière les Institutions oratoires à l’
usage
de ceux qui se destinent au barreau, par M. Delam
titutions du nôtre, m’attacher à ce qui convient à nos besoins, à nos
usages
, à notre langue, etc…, en un mot éviter les erreu
volumineux. Je me suis attaché à ce qu’il y a de plus généralement en
usage
et je pense qu’on ne me désapprouvera point. Il n
tre les différentes formes de raisonnement dont on a coutume de faire
usage
en parlant et en écrivant ; et j’y ai joint des e
ois en avoir dit tout ce qui peut être enseigné dans un livre ; car l’
usage
du monde en apprend plus à cet égard que les préc
tificielle n’est que l’éloquence naturelle, éclairée et réglée dans l’
usage
de ses moyens. Les anciens ont défini l’éloquence
nre et au principe commun des choses. (De Orat. l. II, n°. 138.) Son
usage
. Voici comment Cicéron et Quintilien recommanden
138.) Son usage. Voici comment Cicéron et Quintilien recommandent l’
usage
des lieux : « Avec de l’application et de la prat
expression de ce qu’on éprouve : veræ voces ab imo pectore. (Cic.)
Usage
des passions. La tribune est le théâtre qui ouvr
qu’à la vertu. Cependant, comme cette vertu se montre surtout dans l’
usage
modéré qu’on fait de ces biens, il faut parler de
arrêter. Avis de Quintilien à ce sujet. Quintilien nous donne sur l’
usage
de cette méthode un avis aussi judicieux qu’impor
parlons demandent une attention particulière, comme étant d’un grand
usage
dans le genre judiciaire. Ce sont les indices, le
douce liberté dont la sagesse de mes livres m’apprend à faire un bon
usage
, qu’irai-je encore chercher parmi les hommes jalo
esse éternelle. Tout ce qu’il y a de réel dans leur grandeur, c’est l’
usage
qu’ils en doivent faire pour ceux qui souffrent ;
.) On voit que la majeure, tout ce qui pense existe, est supprimée.
Usage
de l’enthymème dans le discours oratoire. L’enth
thymématique. La sentence est, comme nous l’avons dit, d’un fréquent
usage
, car on n’emploie le raisonnement que pour trouve
i. 1°. A parì. Cicéron, toujours abondant en idées, fait un fréquent
usage
de ce moyen oratoire. Il emploie dans la plupart
t de penser, 4e. part. ch. 2.) Quelle est celle dont l’orateur fait
usage
? Quelle est celle des deux méthodes dont l’écri
sage ? Quelle est celle des deux méthodes dont l’écrivain doit faire
usage
? Je réponds qu’il doit se servir de l’une et de
il doit frapper, il en sera de même des argumens, si l’on n’a prévu l’
usage
qu’on en doit faire. Mais c’est ce que l’art n’en
nfiance dans leur intégrité et leurs lumières sont de convenance et d’
usage
. On peut les exprimer hautement, mais sans affect
eviennent néanmoins honteuses, quand on les fait ailleurs que là où l’
usage
les autorise. » (Quint., Ibidem.) On doit donc p
s commencer par déplaire à ceux qu’on veut persuader ou convaincre. L’
usage
du monde en apprend plus à cet égard que tous les
quence l’empire qu’elle a sur les cœurs. » (Quint., l. VI, c. 2.) L’
usage
des passions est legitime. Ici il peut s’élever
république, à jouir de la liberté. Ainsi, l’orateur doit observer les
usages
et l’esprit de ses auditeurs, afin de leur présen
rendre des maîtres de l’art, des leçons sur l’emploi du ridicule et l’
usage
de la raillerie. Écoutons Cicéron parlant des con
e mêlant avec lui, il achève de l’entraîner. Les modernes font moins
usage
du pathétique que les anciens. 4°. Nos orateurs
ins usage du pathétique que les anciens. 4°. Nos orateurs font moins
usage
du pathétique que les anciens. Pourquoi. L’éloq
moyens dans le reste du discours ; mais on lui recommande d’en faire
usage
particulièrement dans l’exorde, parce qu’ils y so
un aspect odieux, Cicéron nous indique le tour dont nous devons faire
usage
. Il faut présenter à l’auditoire, au lieu de l’ob
st le premier devoir des grands : l’humanité envers les peuples est l’
usage
le plus délicieux de la grandeur. » Première par
largesses. » Seconde partie : « L’humanité envers les peuples est l’
usage
le plus délicieux de la grandeur. » Subdivision :
rtels. La division de l’éloge de la reine d’Angleterre est : « Le bon
usage
de la bonne et de la mauvaise fortune. » Cicéron
s l’éloquence délibérative. 2°. Les exemples sont particulièrement d’
usage
dans l’éloquence délibérative, soit que l’on cons
a donc ici toutes ses forces pour s’assurer la victoire. Il mettra en
usage
tout ce que la passion pourra lui fournir de mouv
l’exposé des conséquences de ce que l’on a dit. L’orateur est dans l’
usage
de la traiter d’une manière pathétique ; son obje
ure ; il attendit quelque temps que sa femme fût prête, comme c’est l’
usage
(n. 28.) » Ce récit n’annonce aucun art ; il en a
ur. Nous devons faire observer qu’au barreau, le défenseur seul fait
usage
de cet art dont nous venons de parler. Le ministè
oses sont également unies par leur nature, par leur utilité, et par l’
usage
qu’on en fait. » (De Orat., n. 331.) Les mêmes pr
r devoir des grands, c’est ce qu’il a prouvé : n’est-elle pas aussi l’
usage
le plus délicieux de la grandeur ? c’est ce qu’il
embrasse mieux l’idée et la présente plus vivement, il faut en faire
usage
: « L’univers allait s’enfonçant dans les ténèbre
nt, il faut, aux connaissances grammaticales, joindre la lecture et l’
usage
: la lecture de nos meilleurs écrivains tant poët
e : la lecture de nos meilleurs écrivains tant poëtes qu’orateurs ; l’
usage
qui s’acquiert par le commerce avec ceux qui parl
ue l’orateur « évite ce qui est trivial et suranné, et qu’il ne fasse
usage
que de termes choisis et nobles. » (De Orat., l.
t les images auxquelles l’opinion attache de la bassesse ; rien que l’
usage
ait avili. § IV. Du naturel. Ce que c’est
t comprendre. Il se sert alors d’une périphrase. Enfin, les mots d’un
usage
vulgaire, quoiqu’ils n’aient rien de bas, manquen
ace de temps distinct et limité. Cicéron nous explique la nature et l’
usage
du nombre en ces termes : « Le nombre consiste da
si l’on voulait y apporter une exactitude scrupuleuse. Il faut que l’
usage
et l’exercice de l’orateur lui donnent cet heureu
l’éloquence académique. Il y a un autre genre d’éloquence qui est d’
usage
dans les académies et sociétés littéraires et qu’
fections qu’on veut faire éprouver au lecteur. Cette qualité est d’un
usage
presque général. Lors même qu’on n’a aucune résis
uelle on écrit. Comment connaît-on que des mots sont français ? Par l’
usage
, par l’emploi qu’en ont fait les meilleurs écriva
re aux premières, le dictionnaire n’étant fait que pour enregistrer l’
usage
et recueillir les expressions accréditées par les
sions accréditées par les bons auteurs. Ce qu’on doit entendre par l’
usage
. L’usage invoqué avec tant de raison quand il s’
éditées par les bons auteurs. Ce qu’on doit entendre par l’usage. L’
usage
invoqué avec tant de raison quand il s’agit de l’
and il s’agit de l’exactitude et de la pureté du langage, n’est pas l’
usage
du peuple, ni même celui de beaucoup de sociétés
i des gens instruits, des gens de goût, des bons auteurs. « J’appelle
usage
dans les langues, dit Quintilien, celui qui est r
s gens instruits ; comme aussi, dans la conduite de la vie, j’appelle
usage
celui qui est reçu par les gens de bien. » (L. I,
eut attribuer en grande partie ce vague, cette diffusion du style à l’
usage
inconsidéré des mots que l’on appelle synonymes.
et la propriété des expressions, point de meilleure règle que le bon
usage
et l’autorité des écrivains classiques. On appren
uvenargues.) « Nous n’avons pas toujours assez de raison pour faire
usage
de toute notre force. » (La Rochefoucault.) Voil
de pathétique ; dans l’amplification en général, la période est d’un
usage
plus convenable et plus fréquent. (Cic., ibid., n
coup d’œil. Il suffit que les circonstances accessoires dont on fait
usage
soient étrangères à la pensée principale, pour qu
ces mots qu’au besoin, ne pas les multiplier, et en faire toujours un
usage
conforme à leur véritable destination. On peut fa
ue des actions qui les occupent, et tout semble y être fait pour leur
usage
. Si l’expérience leur est nécessaire pour acquéri
voudrais que vous eussiez vu ce qu’elle faisait de ces douleurs, et l’
usage
qu’elle faisait de ses yeux, et des cris, et des
est aux tours qu’un écrivain préfère et dont il fait le plus fréquent
usage
, qu’on reconnaît sa manière, la tournure de son e
s appelez un pré, le séjour du frais, la patrie des zéphirs ? De cet
usage
des figures, naît ce qu’on appelle le style figur
primer trop clairement ; ils enrichissent une langue en multipliant l’
usage
d’un mot, en lui donnant plusieurs significations
eux figures. Les deux figures dont nous venons de parler « sont d’un
usage
si familier, qu’il n’y a personne qui ne s’en ser
onymie, soit par synecdoque. Il faut qu’elles soient autorisées par l’
usage
. Il faut que les expressions figurées soient auto
l’usage. Il faut que les expressions figurées soient autorisées par l’
usage
, ou du moins que le sens littéral qu’on veut fair
ens, on disait cent mâts ou cent gouvernails. C’est ici surtout que l’
usage
est l’arbitre du discours : ……………… Si volet usus
une sorte d’emphase à substituer un nom commun à un nom propre dont l’
usage
est plus ordinaire. Un Néron, pour faire entendre
yée à propos. L’emploi des métaphores est très-fréquent : on en fait
usage
à tout moment dans le discours soutenu comme dans
h ! mon ami, conte le fait tout rondement. Elle ne dépend point de l’
usage
. Nous avons dit que la métonymie et la synecdoqu
age. Nous avons dit que la métonymie et la synecdoque dépendent de l’
usage
: il n’en est pas de même de la métaphore. Plus c
plaise à l’esprit du lecteur. C’est surtout en poésie qu’on fait cet
usage
des périphrases. Voyez comme l’idée des médicamen
ots nouveaux ; ils étudient l’art de combiner heureusement ceux que l’
usage
autorise. C’est par une liaison fine et juste des
à faux n’est qu’une déclamation vaine. Énumération. L’écrivain fait
usage
de l’énumération lorsque, pour établir ou prouver
t dont il s’agit. » (L. VIII, c. 3.) Cette figure, qui est d’un grand
usage
dans les débats judiciaires, sert tout à la fois
des choses sur lesquelles néanmoins on insiste avec force. On ne fait
usage
lorsqu’entre plusieurs choses il y en a de moins
davantage. Ce tour est vif et rapide. Exemple. Bossuet fait un bel
usage
de cette figure dans l’Oraison funèbre de la duch
entendre ce qu’on ne veut pas expliquer ouvertement. Elle est fort en
usage
dans l’éloquence du barreau, qui ne néglige rien
e ; elle n’aurait plus ni charmes ni pudeur. La litote est d’un grand
usage
toutes les fois qu’il s’agit de faire des remontr
sentiment. Il y a des figures qui supposent dans ceux qui eu font
usage
, des mouvemens violens, des affections auxquelles
lité dont se forme le sage, Qui jamais moins que l’homme en a connu l’
usage
? …………………….. Ce roi des animaux, combien a-t-il d
yriques des saints, oraisons funèbres. Notre barreau en connaît peu l’
usage
. Prosopopée La prosopopée ou personnification e
ationem, tùm excitat. (Quint.) Pour cette raison, il faut en faire un
usage
très-sobre dans les compositions en prose. L’orat
ient cette figure contre un ennemi, et la flatterie en fait encore un
usage
plus fréquent. Elle convient à la passion. Cett
gage véhément et exalté. C’est une hyperbole dont J.-J. Rousseau fait
usage
lorsque, voulant faire sentir l’atrocité ridicule
e beaucoup sur les correctifs qu’on doit y mettre quand on veut faire
usage
de cette figure, par exemple, en ajoutant pour ai
quelques autres ornemens du style. Après avoir montré quel est l’
usage
des tours, des mouvemens, des figures, et comment
ques, des jeux de mots, des calembours. Discrétion nécessaire dans l’
usage
des pensées ingénieuses. L’abus des pensées ingé
de difficulté et d’obscurité. Réflexions sur les figures et sur l’
usage
du style figuré. On doit apprendre l’usage d
les figures et sur l’usage du style figuré. On doit apprendre l’
usage
des figures en lisant les bons auteurs. Il nous
iscrétion. « Comme elles embellissent le discours quand on en fait un
usage
raisonnable, aussi le rendent-elles frivole et in
tation. MM. de Port-Royal enseignent d’une manière nette et précise l’
usage
qu’on doit faire du style figuré. « Le style fig
ressentons en les concevant et en parlant. On peut juger par-là de l’
usage
que l’on en doit faire, et quels sont les sujets
eviendrait bientôt surannée. Pourquoi éviter une expression qui est d’
usage
, pour en introduire une qui dit précisément la mê
t pas besoin de prouver combien cette faculté est utile pour tous les
usages
de la vie. C’est elle qui est la gardienne et la
us les autres ont besoin d’être débités de mémoire. De la chaire. L’
usage
de réciter par cœur est généralement établi dans
moindre utilité que la première ; on peut dire même qu’elle est d’un
usage
plus général. Méthode pour apprendre facilement
prêt que le familier, un peu moins que le soutenu. C’est celui dont l’
usage
est le plus fréquent, parce qu’il est rare qu’un
des hommes qui blâmeraient une action forte et véhémente, parce que l’
usage
du monde la leur interdit à eux-mêmes. Append
Quintilien, a besoin d’acquérir un certain fonds dont il puisse faire
usage
quand l’occasion s’en présente. Ce fonds consiste
du droit civil, l’étude des lois, la connaissance de l’antiquité, des
usages
du sénat, de la discipline romaine, des droits de
Pensées, sentences, traits 358 Réflexions sur les figures et sur l’
usage
du style figuré 363 Chap. III. Des défauts les
aient chez eux les seuls qui fussent cultivés. Rarement ils faisaient
usage
du panégyrique : Laudationibus non ità multùm ut
Ce que c’est que lieux d’argumens. Objet de la méthode des lieux. Son
usage
. Différence qu’il y a entre les lieux d’argumens
lle admet les trois moyens de persuasion. Lieux qui lui sont propres.
Usage
des passions. Restriction à faire. Objet de l’élo
ains cas être passionnée. État de la cause. Sa définition. 1. Dans l’
usage
de notre barreau, on entend de deux manières ce q
l faut savoir. Or, il n’y a personne, pour peu qu’il ait de sens et d’
usage
du barreau, qui ne voie tout d’un coup ce qui fai
M. Delamalle, conseiller d’état, dans ses Institutions oratoires à l’
usage
de ceux qui se destinent au barreau, ouvrage exce
éron et de Quintilien. Nous y avons puisé tout ce qui a rapport à nos
usages
judiciaires. Preuves directes ou d’identité. Preu
1. Ẻνθυμεόμαι, je pense vivement, de ἐν, dans, et de θυμὸς, esprit.
Usage
de l’enthymème dans le discours oratoire. Enthym
u’il y a entre l’une et l’autre. Quelle est celle dont l’orateur fait
usage
? De la définition. Différence qu’il y a entre la
isent les passions. Le talent de les exciter fait le grand orateur. L’
usage
des passions est legitime. 1. Cette question, qu
l faut réunir ces deux espèces de pathétique. Les modernes font moins
usage
du pathétique que les anciens. Pourquoi. Les mouv
herchée partout. Choix des mots. Pureté. Ce qu’on doit entendre par l’
usage
. Propriété. Nécessité d’employer le mot propre. L
ortance de ces deux figures. Il faut qu’elles soient autorisées par l’
usage
. Changement de temps dans les verbes. Changement
onnage de l’Écossaisc, comédie de Voltaire. Elle ne dépend point de l’
usage
. Quand elle est trop hardie elle demande un corre
lus particulièrement aux genres simples. Discrétion nécessaire dans l’
usage
des pensées ingénieuses. On doit apprendre l’usag
nécessaire dans l’usage des pensées ingénieuses. On doit apprendre l’
usage
des figures en lisant les bons auteurs. Elles doi
Chapitre XXIII. des figures. — tropes d’invention et tropes d’
usage
Nous avons fait observer que certaines figures
finir. Ce sont celles que l’abbé de Radonvilliers105 appelle tropes d’
usage
ou de la langue, pour les distinguer des tropes d
ce, être étudiées comme formes à imiter ou à fuir. Parmi les tropes d’
usage
ou de la langue, il faut ranger bien des métaphor
es enflammées…, etc. Enfin, lorsque, en raison de sa nouveauté, de l’
usage
ou de toute autre cause, une idée n’a point ou n’
é le pourquoi de ces diverses expressions ; le vrai pourquoi, c’est l’
usage
, c’est l’habitude, cette seconde nature, plus pui
quatre ou cinq cents voiles. Il y a plus : tel est le despotisme de l’
usage
, que le trope est devenu avec le temps plus intel
j’arrive à la formule suivante : un trope étant donné, il est trope d’
usage
ou de langue, en raison directe de sa compréhensi
’une certaine conformation. L’élève connaîtra la théorie des tropes d’
usage
, parce qu’il doit savoir la technologie de la gra
s nous bornerons à faire connaître les principaux, ceux qui sont d’un
usage
plus ordinaire, et qu’il est plus facile de confi
ire, et qu’il est plus facile de confirmer par des exemples connus. L’
usage
et l’effet le plus commun des tropes est 1º de ré
re ; et tout armé s’élance le soleil ! 5º Les tropes sont d’un grand
usage
pour déguiser les idées tristes, désagréables : c
supplée aux termes qui manquent dans la langue. Mais, quel que soit l’
usage
ou l’effet des tropes, ils sont généralement fond
our un autre, etc. Les maîtres de l’art restreignent la métonymie aux
usages
suivants : 1º la cause pour l’effet, Bacchus pour
ison qui existe dans l’esprit. Il n’est point de figure qui soit d’un
usage
plus fréquent, et qui répande plus de charme et d
e on a pu l’observer, est elle-même une métaphore, sont celles dont l’
usage
est le plus fréquent dans le discours, parce qu’e
on exagère tout. Mais c’est ici surtout que l’abus touche de près à l’
usage
, et que le ridicule commence avec l’abus44. Lucai
ns pudeur de son talent, c’est insulter à l’esprit, que d’en faire un
usage
aussi déplorable. Voilà le cas où l’on affaiblit
oin à cet égard, il est facile d’éviter l’abus, et de s’en tenir à un
usage
raisonnable. L’homme fortement ému d’une passion
e nos victoires. » (Fléchier). Toutes les passions violentes font un
usage
fréquent de cette figure, et la raison en est bie
ent de larmes !48 (Delille). Il faut faire de cette belle figure un
usage
très sobre dans les compositions en prose. Le pro
té du projet d’assassiner Clodius, fortifie cette improbabilité par l’
usage
ingénieux de cette figure : « Quem igitur cum omn
our moi, venant dessus le lieu, J’ai trouvé l’action tellement hors d’
usage
, Que j’ai donné des deux à mon cheval de rage, Et
e. Pour lire avec fruit cet auteur, on fera également un très-heureux
usage
du Lexique de la langue de Molière, par M. Génin.
rs comme verbe neutre pour s’arrêter ; et c’était assez, ce semble, l’
usage
de nos aïeux que d’exprimer ou de supprimer arbit
ot pour appeler) les chiens. 5. Mauvais chiens de chasse. 6. Cri en
usage
pour exciter une meute. 7. Exemple d’hiatus, te
l y en a encore quelques-uns dans Molière et dans La Fontaine. Mais l’
usage
a, depuis lors, complétement admis la règle ainsi
ne encore. L’abbé Girard au contraire, violateur de cette règle, fait
usage
de l’article : il dit, dans ses Principes de la l
d’énergie et de grâce, qu’elle n’en aurait eu, si l’orateur, faisant
usage
de l’article, avait dit : les citoyens, les étran
on armée un pouvoir, et une autorité absolue. Il serait contre le bon
usage
de dire : un pouvoir et une autorité absolus. L’a
e construction. Mais il y a des remarques particulières à faire sur l’
usage
de la plupart des pronoms de notre langue. I.
faire sur l’usage de la plupart des pronoms de notre langue. I.
Usage
des Pronoms substantifs. Pronoms personnels
e rencontre ; elle ne laisse après elle que du sable et du gravier. L’
usage
veut aussi, qu’en parlant des plantes et des anim
s quelques-uns : j’ai parlé à quelques-uns. Un quelqu’un n’est pas d’
usage
. Quoique chacun, chacune, n’aient pas de pluriel,
réable, plus riant, et plus varié, vous plaira davantage. II.
Usage
des Pronoms adjectifs. Règle concernant les
e chose, et, désirer faire quelque chose. Mais, suivant l’Académie, l’
usage
le plus ordinaire est de mettre de avant l’infini
vos frères ont tu eux, vos sœurs ont tu elles, etc. Voilà pourquoi l’
usage
les mettant ici, en quelque façon, dans la classe
. L’emploi des modes et des temps du verbe étant assez connu par l’
usage
, je ne m’attacherai qu’à quelques remarques essen
r l’usage, je ne m’attacherai qu’à quelques remarques essentielles.
Usage
du présent de l’indicatif, du parfait défini, et
Il s’agit d’un soufflet que D. Gomés vient de donner à D. Diègue.
Usage
de l’indicatif et du subjonctif. Il est essent
tions avant, devant, dans, au travers, près, vis-à-vis, et hors. L’
usage
le plus commun aujourd’hui, est de supprimer le q
pour réussir, il employait l’artifice ; et l’adresse qu’il mettait en
usage
, le faisait venir à bout de beaucoup de choses. I
ce. Il aurait fallu, il n’a du voir l’ennemi. On connaît assez par l’
usage
les différentes manières d’employer la conjonctio
e aux règles communes de la grammaire : mais elle est autorisée par l’
usage
. = Le jour va finir, pour dire, le jour est sur l
. Il faut cependant les employer rarement et avec goût. Le trop grand
usage
deviendrait un abus, qu’on ne pourrait pas justif
éfaut, est le retranchement d’un ou de plusieurs mots, autorisé par l’
usage
: = puissiez-vous être heureux ! c’est-à-dire, je
que Racine s’est permises, la plus forte et la moins autorisée par l’
usage
. Mais, continue-t-il, ce qui rend l’ellipse, non
nous est si naturel, que les ignorants eux-mêmes en font un fréquent
usage
sans le savoir : translatio ita est ab ipsa nobis
sera facile d’en apprécier le but, d’en déterminer et d’en limiter l’
usage
, d’en saisir et d’en signaler les défauts. Remarq
omportent que certaines phrases stéréotypées, en quelque sorte, par l’
usage
, des espèces d’idiotismes dont il n’est pas permi
strictions que les progrès de la raison et de la langue apportent à l’
usage
des figures, cela ne signifie, en aucune façon, q
n la remarque consignée plus haut, que des idiotismes consacrés par l’
usage
, de simples catachrèses, n’admettant par conséque
jurieux peut éviter l’outrage, Peut-être pour ta gloire aura-t-il son
usage
. Et comme tes exploits étonnant les lecteurs, Ser
ent aussi quarrées. Il y a encore des périodes à cinq membres, dont l’
usage
cependant ne doit pas être bien fréquent, à cause
en même temps l’art de les employer, en fixant notre attention sur l’
usage
qu’en ont fait les bons écrivains. Article I.
il, employé tant de fois ? L’historien, loin de faire un si fréquent
usage
de ce pronom, aurait dû répéter plusieurs fois le
faut à leur exemple, n’employer que celles qui sont autorisées par l’
usage
. Ce n’est pas qu’on ne puisse quelquefois unir de
e style sera faible et sec. On va voir quels sont ces ornements, et l’
usage
qu’on doit en faire. Article II. Du Sty
devons pas juger des règles et des devoirs, par les mœurs et par les
usages
: mais nous devons juger des usages et des mœurs,
devoirs, par les mœurs et par les usages : mais nous devons juger des
usages
et des mœurs, par les devoirs et par les règles.
Périphrase. La Périphrase ou Circonlocution est d’un fréquent
usage
chez les Orateurs et les Poètes. Ils l’emploient
servis dans la poésie épique. Nos Poëtes tragiques en ont fait aussi
usage
. C’est ironiquement que dans le Cid, le Comte dit
is être trop hardie, et encore moins outrée. Quand vous la mettrez en
usage
, ne vous laissez jamais emporter hors des règles
s styles et à tous les tons. C’est au goût formé par l’étude et par l’
usage
à distinguer ces nuances. 78. Quelles sont les qu
reçues, parce que, en les employant, l’écrivain ne fait que suivre l’
usage
et parler sa langue, on est plus difficile pour l
aussi plus ou moins familières, suivant les mœurs, les opinions, les
usages
, les conditions, etc. Un peuple pasteur, un peupl
es ? C’est avec circonspection et sobriété que l’écrivain doit faire
usage
des images. Si l’objet de l’idée est de ceux que
91. Qu’est-ce que la pureté du langage ? La pureté consiste à faire
usage
de mots qui appartiennent véritablement à la lang
opposition aux mots étrangers ou employés dans un sens contraire à l’
usage
, ou tombés en désuétude, ou trop nouveaux ou hasa
, ou de mots altérés ou employés dans un sens contraire à celui que l’
usage
leur a donné, ou unis à d’autres qui ne peuvent s
mi les fautes contraires à la pureté du langage, nous avons compris l’
usage
des mots vieillis ou surannés, et de ceux qui ont
’après Horace et Quintilien, qu’autant qu’elles sont autorisées par l’
usage
, c’est-à-dire par la pratique des bons écrivains.
priété des mots ? La propriété consiste dans le choix des mots que l’
usage
le meilleur et le mieux établi a exclusivement ad
ets badins et légers qu’on peut l’employer. Molière en a souvent fait
usage
. Exemple : De quelle langue voulez-vous vous ser
tranche des mots et que l’autre en ajoute. Le pléonasme, qui est d’un
usage
assez fréquent, surtout chez les poètes, a lieu d
ur raison d’être dans la naïve simplicité des premiers âges, et que l’
usage
avait consacrés. Des pléonasmes de ce genre ne se
re nostros. Virg. Mais si vous désirez tant connaître nos malheurs. L'
usage
fera connaître les autres sortes d’hellénismes.
interrogation, l’apostrophe, l’exclamation, etc. Les autres sont d’un
usage
si fréquent, qu’il importe de les connaître dès q
re. Chaque langue a des métaphores particulières qui ne sont point en
usage
dans une autre langue. Les Latins disaient, en pa
equitare in arundine longâ, aller à cheval sur un bâton, il a fait un
usage
un peu exagéré de cette figure ; il est difficile
un autre mot dont le sens est plus étendu ou plus restreint. On fait
usage
de cette figure, quand on prend : 1° La cause pou
ongum. Il a dit de même : corvi stupor, pour corvus stupidus. On fait
usage
de la même figure, lorsqu’on dit à un grand : Vot
de la pensée, et dont la littérature se réserve la connaissance et l’
usage
. Mais comme la pensée est le fait de toute âme ra
veut traduire. IV de la gradation. La gradation, qui est d’un
usage
si fréquent parmi les orateurs, consiste à dispos
u moins hyperbolique. Voilà pourquoi les jeunes gens font un si grand
usage
de cette figure ; voilà aussi pourquoi elle est p
rapportons ici que les synonymes les plus fréquents, que ceux dont l’
usage
est le plus habituel, et la connaissance plus néc
mes établies. Est in patriis moribus post meridiem quiescere. — Usus,
usage
. Si velit usus, si l’usage le veut. Ce que le gra
s moribus post meridiem quiescere. — Usus, usage. Si velit usus, si l’
usage
le veut. Ce que le grand nombre pratique, consuet
eaque data sunt. — Munus se prend ordinairement pour un présent que l’
usage
, les circonstances ou des intérêts particuliers e
petit bateau qui n’a ni mâts, ni voiles. — Phaselus, bateau long à l’
usage
des Campaniens. — Cymba, barque, bateau de pêcheu
ait ni pied, ni anse. — Cupa (de caupo), vase à boire dont on faisait
usage
dans les cabarets. CLXXXII — Patruus, avunculu
e la pique. — Gesum, trait des anciens Gaulois. — Sarissa, pique à l’
usage
des Macédoniens. — Sparus (de σπείρω, spargere),
e des Macédoniens. — Sparus (de σπείρω, spargere), espèce de dard à l’
usage
des gens de la campagne. — Lancea, lance, sorte d
on. — Peplum (de πεπλος, voile d’une fine étoffe), espèce de robe à l’
usage
des dames. On en ornait les statues des dieux. El
ures et des chevaliers romains. — Pallium, longue robe ou manteau à l’
usage
des Grecs, surtout des philosophes. — Sagum, espè
de cuir dont se servaient les maîtres d’école. — Flagellum, fouet en
usage
pour punir les esclaves et les criminels. Ne scut
I. — Usurpare, nuncupare. Usurpare (quasi in usum capere), faire
usage
, employer ; par extension, s’approprier, usurper.
Solon. — Nuncupare (nomen capere), employer les mots consacrés par l’
usage
ou par les rites. Collis erat quem vulgus nomine
s de détails, les Synonym es de Gardin-Dumesnil, dont nous avons fait
usage
.
ude et de l’expérience. Ceux-là connaissent, l’art oratoire, et l’ont
usage
de la Rhétorique. L’art oratoire fait la supérior
s la poésie, à plus forte raison dans l’éloquence, quelquefois dans l’
usage
familier de la parole et du style. Les lieux comm
qui terminent le passage cité plus haut, conseils aussi utiles pour l’
usage
du monde et pour la conduite de la vie que pour l
uxième partie de la Rhétorique : disposition — La Disposition règle l’
usage
et l’économie des matériaux fournis par l’Inventi
nstamment l’attention de son auditoire. Fénelon a fortement blâmé cet
usage
des divisions, même chez les prédicateurs. « Les
’il séduit par une apparence de raison ; en ce qu’il fait préférer l’
usage
et les maximes du monde à exacte probité ; en ce
Quant aux lieux communs, malgré la défaveur que la conversation et l’
usage
ont attachée à ce nom, croira-t-on que la définit
la conversation même du monde. L’histoire, il est vrai, ne fait guère
usage
des diverses formes de la preuve ; car elle expos
partie de la science. On nous répondra peut-être que le bon sens et l’
usage
sont les meilleurs maîtres en pareille matière, e
es soient toutes obligatoires et applicables à tout. Il en est dont l’
usage
est rare, dont l’utilité se réduit à développer l
de se servir en faisant un rapport. « Cette partie, dit-il, est d’un
usage
bien plus fréquent, puisqu’elle embrasse tous les
t s’en proposer les plus parfaits modèles ; être très-réservé à faire
usage
du second genre, qui est l’orné et le tempéré, n’
Molière et de La Fontaine, il est des parties qui peuvent servir à l’
usage
même ordinaire de la vie aussi bien qu’à la plus
r de ces exemples pour être incorrect en imitant ce qui n’est plus en
usage
. 5° Pureté. — La Pureté du style est l’attention
er que les termes consacrés à la lois par l’autorité des maîtres et l’
usage
de la langue. On sent ici combien la mesure est d
combien la mesure est délicate et la limite difficile à fixer ; car l’
usage
est singulièrement capricieux et mobile, et l’aut
la période : elle semble plus artificielle et se réduit pourtant à un
usage
habile de la nature. Chez les grands écrivains, e
, magnifique ; c’est ce qu’on appelle le grand, le sublime. Il met en
usage
tout ce que l’éloquence a de plus relevé, de plus
questions de métaphysique, ces pieux solitaires firent entrer dans l’
usage
du monde une foule d’expressions qui tendaient à
es et des arts, l’exemple et l’autorité de Buffon introduisent dans l’
usage
des termes nouveaux, souvent utiles, parfois néce
termes, de trois signes propres chacun à l’idée qu’il représente. L’
usage
— seulement — fait la possession. La Fontaine.
eur des vertus des vieux âges Heurte trop notre siècle et les communs
usages
. Molière. Que le sage se demande dans de sublim
vifs et passionnés de la pensée, ces transformations du sens et de l’
usage
ordinaire des mots qui donnent au langage et au s
écits, etc. On devine combien les orateurs et surtout les poëtes font
usage
de cette figure. Écoutons Massillon décrire la mo
Un poète du xvie siècle, Jacques de la Taille, en a fait un singulier
usage
; on rapporte à Alexandre les dernières paroles d
b. I. La poésie, l’éloquence, la conversation même font un perpétuel
usage
de la métaphore, le plus riche et le plus varié d
une peur puérile. On retrouve à chaque pas dans la conversation et l’
usage
commun, les procédés, les formes, les figures emp
essives, de bien saisir l’analogie qui existe entre eux, et de voir l’
usage
qu’en ont fait les meilleurs écrivains. I De
e, air, et, par analogie, respiration, vie. Au figuré, où il est d’un
usage
si fréquent, il signifie esprit, courage, intenti
propre, quand il désigne cette partie du corps dont les oiseaux font
usage
pour voler. Le sens figuré d’un mot est celui qu’
dictionnaires, que dans les bons auteurs, les variétés de sens que l’
usage
et la progression des idées lui ont fait subir.
lus récents de l’enseignement secondaire ont établi qu’il serait fait
usage
, dans toutes les classes des lycées et des collég
, pour les classes de grammaire particulièrement, et en recommander l’
usage
à MM. les proviseurs et principaux. Cette œuvre m
asses élémentaires, convaincu qu’il fallait avant tout les former à l’
usage
de la langue de nos jours, nous avons, sans accep
t la quantité syllabique des mots, qui est invariablement fixée par l’
usage
. Cette connaissance s’acquiert surtout par la pra
du vers. Excepté le vers de onze syllabes, qui n’est pas admis par l’
usage
ni par l’oreille, on fait des vers depuis douze s
de dix syllabes est plus léger, plus doux ; celui de neuf est peu en
usage
; celui de huit peut avoir de la noblesse aussi b
ers, — suer sang et eau, etc. Ces alliances de mots, consacrées par l’
usage
, se tolèrent surtout dans les genres simples. C’e
e avec un livre. Un mot ne peut rimer avec son composé, à moins que l’
usage
n’ait établi une différence de signification qui
par l’exposition du sujet et la division de ses partie ?, sans faire
usage
de l’exorde : c’est lorsque le sujet est clair pa
de discours n’ont pas également besoin de preuves : on n’en fait pas
usage
dans ceux qui ont pour objet des remerciements, d
ondoléances ; tandis que l’oraison et le plaidoyer en font grandement
usage
. Exemple de Confirmation Voici un bel exempl
habilement manier l’arme du raisonnement en faisant particulièrement
usage
du syllogisme et de l’enthymème. Exemple de Réf
graves, l’orateur déploie toutes les ressources de son art, il met en
usage
tout ce que l’éloquence a de tours séduisants et
ute la force de cette vérité. Or, pour instruire, il faut qu’il fasse
usage
des preuves : pour plaire, il faut qu’il peigne l
parties consiste à diviser un tout en ses parties. L’orateur en fait
usage
, lorsque pour établir ou pour prouver une vérité,
ce de ses larmes ». Contraires. Les Contraires sont d’un grand
usage
dans le discours oratoire, et y font un très bel
s, exclusivement, au discours oratoire. Ils y sont d’un plus fréquent
usage
que partout ailleurs. Mais on les emploie bien so
lus grands génies de notre nation, et ceux de l’antiquité en ont fait
usage
. Racine convient qu’il a emprunté d’Euripide les
ns endroits de son modèle voici à peu près la manière dont il en fait
usage
et se les approprie. S’il imite une pensée, il lu
es bonnes ou mauvaises, les vertus, les vices des hommes, et même les
usages
et le commerce ordinaire de la vie. Ou peut consi
les plus essentiels de l’orateur est de les connaître, ainsi que les
usages
et le commerce ordinaire de la vie : c’est ce qu’
opinion des hommes. Rarement se repaissent-ils d’espérances : le long
usage
du monde et des affaires, les mauvais succès qu’i
e peuvent que rendre un homme plus estimable, lorsqu’il en ennoblit l’
usage
, par des libéralités qu’il verse dans le sein de
une représentation fidèle du caractère et du génie des hommes, ou des
usages
et du commerce de la vie. Cette peinture des mœur
n elles-mêmes ni bonnes ni mauvaises, il s’ensuit non seulement que l’
usage
n’en peut pas être répréhensible dans le discours
ge vers un objet qui de sa nature soit bon et utile. Ajoutons que cet
usage
des passions est absolument nécessaire. Ce n’est
auditeur. Il déploiera toutes les ressources de son art, il mettra en
usage
tout ce que l’éloquence a de tours séduisants et
empruntée aux poëtes grecs. Nous ne mentionnerons ici que ceux dont l’
usage
est le plus fréquent dans les auteurs classiques.
r pied. Ce vers, qui convient à la poésie légère, était d’un fréquent
usage
chez les Latins. VI vers trochaïques. L
dactyle ou un anapeste équivalent à deux longues, ils ont aussi fait
usage
de ces pieds au lieu du spondée. Les comiques son
essentiel est moins de les connaître que d’en découvrir l’esprit et l’
usage
. Si l’on manque de goût pour en faire l’applicati
donc : 1º des lieux intrinsèques, 2º des lieux extrinsèques, 3º de l’
usage
des lieux oratoires. § I. Des lieux intrinsèque
on qu’il ait fait aux humains. Les orateurs et les poètes font grand
usage
de ce lieu oratoire, et ils en tirent quelquefois
de leur bouche sont acceptés comme des oracles, et on en fait souvent
usage
dans la chaire, à la tribune et au barreau. Pour
rédicateur cite l’Écriture, les Pères et les conciles. § III. De l’
usage
des lieux oratoires et des moyens de les suppléer
D’un autre côté, il est vrai que, dans la pratique, on fait rarement
usage
de ces procédés pour composer un discours. N’alle
particuliers au général. Les orateurs et les poètes font un fréquent
usage
de ces deux arguments, et il suffit d’ailleurs de
ulin donne des conseils à un empereur aimable et vertueux, et il fait
usage
des motifs de gloire et d’honneur, toujours puiss
dont vous jouissez, si vous ne me réduisiez aujourd’hui à gémir sur l’
usage
que vous en faites. Mais vous me condamnez à ne p
nt qu’ils ne font qu’obéir à une impérieuse nécessité. Cicéron a fait
usage
de ces précautions en plaidant pour Cluentius :
us. 120. Aristote et quelques autres philosophes austères ont blâmé l’
usage
des passions dans l’éloquence ; mais c’est là une
t indifférent par lui-même et qui emprunte sa malice ou sa vertu de l’
usage
qu’on en fait. Nous avons dit qu’avant tout l’ora
re, peindre fortement aux autres ce qu’il sent, distinguer sûrement l’
usage
qu’il doit faire de cette double puissance. Ce so
connaître les autres. » 135. On entend par pathétique l’emploi ou l’
usage
des passions oratoires. Quintilien distingue deux
terreur et l’indignation. 137. Le discernement apprend à l’orateur l’
usage
qu’il doit faire de ce puissant moyen d’agir sur
il doit en sortir. 138. L’orateur ne doit ni prodiguer ni exagérer l’
usage
du prophétique, Examinez donc avant tout si le su
dextérité et de souplesse, et il en a même quelquefois abusé. 150. L’
usage
de la plaisanterie demande beaucoup de précaution
st là que l’orateur doit employer tous les moyens de plaire, et faire
usage
des précautions oratoires dont nous avons déjà pa
t fatiguer vainement son auditoire. 182. Quelques auteurs ont blâmé l’
usage
des divisions, mais il y en a un plus grand nombr
ns. 228. C’est à la tribune et au barreau qu’on fait le plus fréquent
usage
de la réfutation, et les préceptes que nous venon
La péroraison pathétique doit être employée chaque fois. qu’on a fait
usage
de mouvements passionnés dans le corps du discour
xcellunt serventur ad perorandum. 234. Les anciens ont souvent fait
usage
de la péroraison pathétique dans l’éloquence du b
s nous arrêterons peu sur cette partie, parce qu’il est aujourd’hui d’
usage
de traiter du style avant d’initier les jeunes ge
étique26. 260. On appelle style pathétique celui où l’orateur fait
usage
des passions pour émouvoir son auditoire. Quand l
st forcé ou de lire son discours, ou de le déclamer en hésitant. Si l’
usage
a fait une loi de lire les discours académiques,
royons utile de poser ici quelques principes généraux consacrés par l’
usage
. 1º Les mains tournées en dedans, c’est-à-dire la
tous les traités élémentaires. Néanmoins, dans ces derniers temps, l’
usage
a prévalu de joindre à ces règles fondamentales d
it. Il est donc à souhaiter que le pasteur des âmes fasse un fréquent
usage
de ce genre de discours. 330. Pour réussir dans l
n : aujourd’hui on se contente d’un seul, et il faut s’en tenir à cet
usage
. Si les bienséances exigent un compliment à quelq
iqué dans la première partie les diverses opinions des rhéteurs sur l’
usage
des divisions. Le sermon est de tous les discours
aints. Cette sorte de discours, dit M. Laurentie, dérive d’un antique
usage
de l’Église qui ne voyait jamais mourir un servit
ncées par un général d’armée pour enflammer le courage des soldats. L’
usage
de ces harangues était très fréquent chez les Héb
Condé, à La Rochejacquelein, à Napoléon et à quelques autres. 400. L’
usage
de haranguer les troupes se réduit aujourd’hui à
loge du prédécesseur. C’est Patru qui, en 1640, donna naissance à cet
usage
. Pour corriger la monotonie et la fadeur de ce ge
r de modèle (Voir le nº xxxv). Les plaidoyers littéraires qui sont en
usage
dans les classes de rhétorique et les discours-qu
l’instinct, ils sont éclairés par l’expérience et perfectionnés par l’
usage
. La rhétorique n’est que la théorie de cet art de
r rien l’opinion. Rarement se repaissent-ils d’espérances : d’abord l’
usage
de la vie leur a prouvé qu’il ne faut guère s’att
nt les répugnants ? 38. Comment se sert-on des circonstances, et quel
usage
en fait-on au barreau ? 39. Sur quoi reposent les
de genres d’autorités humaines communes à tous les genres ? 42. Quel
usage
fait-on des maximes et des proverbes reçus ? 43.
que ces théories sont fondées sur la nature ? 51. Fait-on beaucoup d’
usage
de ces procédés au moment de la composition ? 52.
l entendre par passions en général et par passions oratoires ? 120. L’
usage
des passions est-il légitime ? 121. Les passions
plaisanterie n’est-elle pas un moyen de calmer les passions ? 150. L’
usage
de la plaisanterie ne demande-t-il pas de grandes
La division est-elle nécessaire à toutes sortes de discours ? 182. L’
usage
des divisions n’a-t-il pas de grandes autorités c
Quel est le second devoir de l’orateur dans la péroraison ? 234. Quel
usage
a-t-on fait de la péroraison pathétique chez les
ureux chez les grands capitaines ? 400. À quoi se réduit maintenant l’
usage
des harangues militaires ? 401. Comment un offici
pour ainsi dire, en tes mains toute la nature, pour l’appliquer à tes
usages
; il t’a même permis de l’orner et de l’embellir
et de substance aux sermons de Bossuet, dit encore M. Maury, c’est l’
usage
admirable qu’il fait de l’Écriture : au lieu de c
it qu’il les crée, ou du moins qu’elles ont été conçues exprès pour l’
usage
qu’il en fait. Voici comme il débute dans un disc
s avez récompensé sa foi par des tribulations et par des disgrâces. L’
usage
chrétien des prospérités peut nous donner droit a
es : notre saint roi connut ce devoir, et jamais prince ne fit plus d’
usage
d’un si heureux privilége. Que de maisons saintes
rdinal de Retz a aussi traité ce sujet), qui ont prononcé, d’après un
usage
dont la trace a subsisté jusque dans notre siècle
t que la terre Avait, depuis plus de cent ans, Produit pour l’
usage
des gens. Il retourne chez lui : dans sa cave il
à marcher seul j’ose me hasarder. On me verra toujours pratiquer cet
usage
. Mon imitation n’est point un esclavage ; Je ne p
on peut lire quelques-unes dans le volume de nos Morceaux choisis à l’
usage
de la classe de sixième. 3. Nous avons cru inuti
et ses projets, voyez la 1re épitre de Boileau (Morceaux choisis à l’
usage
de la classe de sixième, page 135). 4. C’est-à-d
t sentir tout le poids et toute la force. Or, pour instruire, il fait
usage
de preuves ; pour plaire, il faut qu’il peigne le
un accusé, les témoignages, sont des lieux communs dont on peut faire
usage
. Quant à la loi et aux titres, ils donnent lieu à
pas exclusivement au discours oratoire. Ils y sont d’un plus fréquent
usage
que partout ailleurs ; mais on les emploie dans t
es bonnes ou mauvaises, les vertus, les vices des hommes, et même les
usages
et le commerce de la vie. Les mœurs se prennent e
sur les vérités les plus étonnantes, et qui seraient d’un plus grand
usage
pour soi ; et tout le fruit qu’on retire d’un dis
ain que quelques métaphysiciens trop austères se sont élevés contre l’
usage
des passions dans l’éloquence. C’est, disait Aris
uditeur. Il déploiera toutes les ressources de son art ; il mettra en
usage
tout ce que l’éloquence a de tours séduisants et
blique de louer les grands hommes après leur mort, et ordonna que cet
usage
serait perpétuellement observé. Il le fut, en eff
e de ce moyen avec une grande réserve ; car l’abus est tout prêt de l’
usage
; et l’on risque beaucoup de s’égarer et de perdr
de son nouveau confrère. On sent assez qu’il devait résulter d’un tel
usage
une grande monotonie et beaucoup de fadeur. Cepen
ement bonnes en soi, et qu’enfin la peur de l’abus a fait proscrire l’
usage
; c’est que, d’une autre part, le tour de phrase,
devons pas juger des règles et des devoirs par les mœurs et par les
usages
; mais nous devons juger des usages et des mœurs
devoirs par les mœurs et par les usages ; mais nous devons juger des
usages
et des mœurs par les devoirs et par les règles. D
qui changent en tourments les plaisirs qu’ils espéraient. Mais quel
usage
plus doux et plus flatteur, mes. frères, pourriez
on dévora ses livres, on voulut ses lois, et l’on adopta jusqu’à ses
usages
et ses modes. Le temps a fait justice de cet excè
et la société, à Londres, gagnerait sans doute beaucoup à prendre nos
usages
et nos mœurs. La langue anglaise, depuis dix ou d
lier ou comparer à d’autres faits : destinée d’abord par Blair à son
usage
et à celui de ses jeunes amis, elle reçut ensuite
es règles et des méthodes, elles indiquent cependant ce qui tient à l’
usage
. Elles ne peuvent pas, sans doute, inspirer le gé
i concerne les opérations de l’esprit, on doit soigneusement éviter l’
usage
des mots dont le sens n’est pas bien fixé, il ne
nature nous a appris à les sentir. J’en ai dit assez sur l’origine, l’
usage
et l’importance de la critique ; je vais maintena
de l’Iliade d’Homère. C’est ainsi que l’on confond les mots dans leur
usage
, et que l’on ne sait pas déterminer le genre ou l
que ; la troisième, l’emploi convenable des figures ; la quatrième, l’
usage
des tropes et des expressions riches ; la cinquiè
plaisent aux yeux, mais elles plaisent parce qu’étant destinées à un
usage
particulier, cette forme les rend plus propres à
s et ces gestes expressifs dont la nature seule leur avait enseigné l’
usage
. Ce n’est que plus tard que l’on inventa les mots
que tous les peuples. Ce que l’on devait au besoin fut conservé par l’
usage
, et devint même un ornement. Les nations dont le
ime. On ne saurait douter qu’à cette époque, on ne portât plus loin l’
usage
des gestes et des inflexions de voix à la tribune
qu’il fait des progrès, devient plus abondant, et perd peu à peu cet
usage
démesuré des figures qui caractérisait son enfanc
nglais en permettent davantage ; l’Italie a le plus conservé l’ancien
usage
des transpositions, et c’est à cela peut-être que
régulière et déterminée. Ces langues, en effet, n’ont pas conservé l’
usage
de ces terminaisons diverses qui, dans le grec et
u vulgaire, et que c’est pour cette raison qu’ils les préférèrent à l’
usage
des lettres alphabétiques. Mais c’est probablemen
donner un air mystérieux à leur science et à leur religion. Tel est l’
usage
auquel étaient appliqués les hiéroglyphes à l’épo
t ceux de leurs écrivains qui en firent mention crurent voir dans cet
usage
la cause pour laquelle on les avait inventés. L’a
u aiguille de fer. Dans des temps postérieurs, l’on prépara, pour cet
usage
, des peaux d’animaux dont on fit du parchemin ; l
substantifs pour indiquer leur genre. Les Italiens emploient au même
usage
leurs articles il et lo pour le masculin, et la p
re féminin. Nous sommes, à cet égard, soumis à certaines règles que l’
usage
a consacrées, et qui fixent un genre à chaque obj
peut expliquer d’une manière naturelle et satisfaisante, pourquoi cet
usage
remonte à une si haute antiquité, Les idées sur l
ngage d’un autre peuple, les prépositions firent perdre entièrement l’
usage
des cas et des déclinaisons. Lorsque la langue it
es terminaisons diverses Romæ, Romam, Carthaginis, Carthaginem, que l’
usage
des déclinaisons exigeait dans les langues ancien
us forceraient à pencher pour la méthode des anciens. Car, d’abord, l’
usage
continuel de nos prépositions a rempli notre lang
langues, embarrassent le plus les commençants, parce qu’ils sont d’un
usage
très fréquent et en outre assujettis à de fort no
pourquoi la plupart sont dérivés des mots qui furent les premiers en
usage
. Les prépositions et les conjonctions sont plus e
s qui servent aussi à lier les diverses parties du discours ; c’est l’
usage
convenable ou maladroit de ces particules qui ren
c le latin, et un très grand nombre de mots originairement latins, en
usage
chez les Normands et les Français, furent introdu
la grammaire n’aient pas une autorité suffisante pour lutter contre l’
usage
une fois établi, et que, dans le discours, comme
e une fois établi, et que, dans le discours, comme dans l’écriture, l’
usage
doive être l’étendard sous lequel il faille se ra
onstructions nécessaires, certaines analogies qui servent de base à l’
usage
, et que, dans les cas obscurs ou douteux, on peut
marquée, quoique cependant il y en ait une. La pureté consiste dans l’
usage
des mots et des constructions propres à la langue
e tournures de phrases qui appartiennent à une autre langue, ou que l’
usage
ne tolère plus, ou que l’on a récemment innovées,
té suffisante n’a consacrées. La propriété est un choix de mots que l’
usage
le meilleur et le plus généralement adopté par le
ion soit à la fois heureuse et correcte d’après les principes que cet
usage
a établis ; enfin, elle rejette ces expressions b
peut attribuer en grande partie la cause de la diffusion du style à l’
usage
inconsidéré des mots que l’on appelle synonymes,
le. « Quelques-uns, dit-il, font si bien le contraire, que, suivant l’
usage
d’économiser le temps et le papier, qu’ils ont pr
e temps et le papier qu’ils ont pris dans leurs classes, et non pas l’
usage
. Il aurait dû tourner la phrase de cette manière
’usage. Il aurait dû tourner la phrase de cette manière : « Suivant l’
usage
qu’ils ont pris à l’Université d’économiser le te
nt la place qu’on leur assigne, peuvent seules nous diriger dans leur
usage
. Je vais rapporter seulement quelques observation
ues observations particulières sur la particule copulative et, dont l’
usage
revient si fréquemment dans tous les genres de co
l’emportent de beaucoup sur toutes les autres. Soit que vous fassiez
usage
d’inversions, ou que vous suiviez l’ordre naturel
ettre à des règles précises, et ensuite parce qu’il me semble que son
usage
fréquent et sa grande importance méritaient cette
ce sujet, ils n’ont jamais pu établir de règles fixes et auxquelles l’
usage
pût se conformer. Si nous consultons l’Orateur de
i. C’est la nature, comme je l’ai observé plus haut, qui nous dicte l’
usage
des figures, et de même que, dans Molière, M. Jou
parce qu’ils étaient pris dans un sens figuré, mais qui, par un long
usage
, n’ont plus été regardés comme des figures, et so
les figures donnent au style de la dignité, tandis qu’au contraire l’
usage
trop constant de ces mots communs, auxquels l’ore
de son trône une oreille étonnée, et sourit. » Ce que j’ai dit de l’
usage
et de l’effet des figures, nous porte naturelleme
gures du discours, et surtout de celles dont on fait plus fréquemment
usage
. Je saisirai, aussi souvent que mes lumières me l
e homme avait conçu pour un objet peu digne de lui. Il est vrai que l’
usage
a fait du mot flamme une expression littérale en
te le même objet. La septième et dernière règle que j’appliquerai à l’
usage
des métaphores, c’est de prendre garde qu’elles n
t pour l’antiquité un moyen d’instruction dont on faisait un fréquent
usage
; car ce que nous appelons des fables ou des para
s latins, en adressant des compliments à leurs empereurs, ont assez l’
usage
de leur demander dans quelle partie du ciel ils v
tre langue, nous ne la nommerons pas autrement. Cette figure est d’un
usage
fort général, et c’est dans la nature même de l’h
istinction, afin de déterminer avec exactitude leur propriété et leur
usage
. Le premier degré, c’est lorsque des propriétés o
Aussi Homère, le père et le prince des poètes, est remarquable par l’
usage
qu’il a fait de cette figure. La guerre, la paix,
naturel, cependant cette espèce de personnification est celle dont l’
usage
est le plus difficile ; c’est effectivement la pl
us fortes ou des émotions les plus vives. Les poètes font un fréquent
usage
de l’apostrophe ; en voici une de Virgile :
jet de mes remarques celles qui sont les plus essentielles, et dont l’
usage
est le plus fréquent. Les règles qui les concerne
d ; c’est une figure dont les poètes et les orateurs font un fréquent
usage
pour l’ornement de leurs compositions. J’ai expli
; elles sont même si bien le langage naturel de la passion, que leur
usage
est extrêmement fréquent ; et si, dans une conver
et déguiser l’imposture. Je ne parlerai plus que d’une figure fort en
usage
parmi les orateurs, principalement ceux qui suive
alors profiter de la disposition favorable de notre esprit, et faire
usage
des figures du discours pour confirmer notre opin
evoir, avant de quitter ce sujet, ajouter quelques observations sur l’
usage
du langage figuré en général. Il est vrai que j’a
ce même peuvent se trouver dans un style uni, et l’auteur qui en fait
usage
écrira d’une manière fort agréable si ses pensées
uteurs anglais, celui qui, malgré ses défauts, a fait le plus heureux
usage
de ce style, c’est lord Bolingbroke. Bolingbroke
il serait puéril de soutenir que pour cela l’on ne doive pas en faire
usage
. Donnez à la vérité et à la vertu des armes égale
roit cherchait à les endormir sur le danger. Nous le voyons mettre en
usage
tout ce qui peut animer un peuple connu par sa ju
issance devenue bien plus importante que celle de l’art oratoire. Cet
usage
, généralement reçu en Angleterre, de lire les ser
mployer les métaphores et les comparaisons, mais il peut encore faire
usage
de la prosopopée en s’adressant aux saints, aux p
Dans les Lectures précédentes je me suis arrêté assez longtemps sur l’
usage
et l’emploi de ces sortes de figures, pour qu’il
a prononciation ou du débit. Je me contenterai de remarquer ici que l’
usage
qui a prévalu en Angleterre de lire les sermons,
i n’échappe à personne, et le préjugé généralement répandu contre cet
usage
est fondé sur la nature. Je crois que ce que l’on
orateurs68. Les défauts des sermons français en général viennent de l’
usage
que les prédicateurs ont adopté de choisir leur t
il serait avantageux de renoncer tout à fait à diviser les sermons. L’
usage
en a acquis aujourd’hui tant de poids, que lors m
» 2. Voyez Gerard’s Essay on taste. — Réflexions de d’Alembert sur l’
usage
et l’abus de la philosophie en matière de goût. —
e aussi aux inscriptions qu’on met sur un bâtiment pour en indiquer l’
usage
ou marquer le temps de sa construction, et encore
est vrai, est la source principale du style figuré ; elle enseigne l’
usage
des figures. Comme M. Jourdain avait, pendant qua
e devons pas juger des règles et des devoirs par les mœurs et par les
usages
; mais nous devons juger des usages et des mœurs
devoirs par les mœurs et par les usages ; mais nous devons juger des
usages
et des mœurs par les devoirs et par les règles. D
. III. Tropes. 206. Qu’avez-vous à dire sur la nature et sur l’
usage
des tropes ? Nous avons dit que les tropes sont
s, désagréables ou tristes, et d’enrichir une langue en multipliant l’
usage
d’un même mot. Mais, pour produire ces heureux ef
s cœurs, les remuent, les agitent, les entraînent. L’écrivain en fait
usage
pour toucher, pour émouvoir, pour maîtriser notre
de force au raisonnement. Les poètes et les orateurs font un fréquent
usage
de cette figure. Pour peindre la reine d’Angleter
rdie, et encore moins outrée. Ici, surtout, l’abus touche de près à l’
usage
; et avec l’abus commencent la boursouflure, l’ex
e de ces règles, qui s’applique aussi à l’apostrophe, est de ne faire
usage
de cette figure que lorsqu’elle est suggérée par
de l’orner, et qui font regretter souvent que l’écrivain en ait fait
usage
. Car il vaut mieux encore se passer de transition
de période, dans des locutions qui paraissent faites exprès pour cet
usage
; d’ailleurs, ajoutez à cela que… mais continuons
remier devoir des grands, (ce qu’il a prouvé), n’est-elle pas aussi l’
usage
le plus délicieux de la grandeur ! (c’est ce qu’i
arque souvent que tel ou tel caractère n’est désigné par aucun mot en
usage
, et qu’il est, par conséquent, ἀνώνυμος. Semant l
genre. Neutres.] Τὰ μεταξύ. Le mot οὐδέτερος, dans ce sens, est d’un
usage
plus récent. Voy. Denys le Thrace, chap. xiv. Pro
couches populaires où se répandirent les soldats et les colons. Or, l’
usage
de ce parler inculte ne tarda pas à prévaloir sur
mots champ, char, charie, chanter, chastel, sans exclure toutefois l’
usage
d’écrire également camp, car, carte, canter, cast
e siècle verra s’effacer ce rudiment de déclinaison, et inaugurera l’
usage
du cas unique adopté par le français moderne. Con
in, seraient aussi de provenance gauloise, comme la voyelle u, dont l’
usage
s’est perpétué au nord de l’Italie, dans l’ancien
seigneurs. Ce mot, pris dans le sens de jongleur de gestes,ne fut en
usage
que dans la seconde moitié du xiie siècle. Il dé
ochaïques, les asclépiades, les phaléciens. Le vers hexamètre est en
usage
dans l’églogue, l’épître, la satire, le poëme did
dinairement de deux ou de quatre vers. Celles de trois vers sont d’un
usage
peu fréquent. II STANCES DE DEUX VERS. Le
dans la tragédie.] Remarquer τραγῳδίᾳ, au lieu de τραγῳδίας, contre l’
usage
d’Aristote, qui est de construire ϰοινωνεῖν avec
sphonte.] Même sujet que la Mérope des modernes. Voy. Plutarque, De l’
Usage
des viandes, II, 5 Hygin, Fables 137, 184. — Vo
science à peu près étrangère. Il n’y a que nos bons écrivains à qui l’
usage
du mot propre soit familier. Il n’y a point d’écr
es figures, nous ne pouvons ouvrir la bouche sans en faire, tant leur
usage
est vulgaire et général : J’ai pris souvent pla
d’assemblée académique. Ainsi, les figures sont, je le répète, d’un
usage
universel : nous les mettons dans nos paroles dès
ne serait qu’une redite. Cette sorte d’ellipse est très belle et d’un
usage
fréquent. La vie nous paraît courte et les heure
damnée d’abord par les grammairiens, elle a été ensuite adoptée par l’
usage
: suivez ce dernier maître. Les ellipses abondent
tte figure lorsqu’ils ne pourront pas se prévaloir de l’autorité de l’
usage
ou de l’exemple d’un bon auteur. Mais il faut êtr
sans voiles. Il faut dans l’emploi de la synecdoque se conformer à l’
usage
, autrement on court le risque de ne pas se faire
se nécessaire. L’hyperbole plaît aux jeunes gens, qui en font souvent
usage
, parce que leur imagination vive aime à augmenter
voilà bien avancé ! L’ironie est piquante, mais polie et reçue par l’
usage
. Pour témoigner le mépris, on se sert encore de l
giques, et il dira par communication : nous avons vaincu l’ennemi. L’
usage
de ce trope est assez restreint ; il diffère de l
es, mais qui appris par cœur peuvent rappeler facilement à l’esprit l’
usage
de toutes ces figures. Figures grammaticales.
res simples et naturelles. La plupart des figures oratoires sont d’un
usage
aussi ordinaire que les tropes et les figures gra
effet pitoyable. 6°Les figures grammaticales et les tropes sont d’un
usage
très-fréquent, comme je l’ai déjà dit. Aussi je n
figures de mots proprement dites, la grammaire, et pour les tropes, l’
usage
. Mais les figures oratoires exigent une toute aut
être aujourd’hui regardé comme bas ; il faut sur ce point consulter l’
usage
et le goût. Remarquons qu’une pensée basse peut ê
lève d’écrire ainsi : car le plus grand nombre des écrivains qui font
usage
du style romantique le vouent plutôt au ridicule
sortes de fables : les raisonnables, dont tous les personnages ont l’
usage
de la raison, comme la Vieille et les deux Servan
comme l’Homme et la Belette 80. Cette distinction est absolument sans
usage
, et n’influe en rien sur la marche ni sur la vale
Il n’est pas possible de marquer le temps où l’on commença à faire
usage
de l’apologue. Ésope s’en servait, en Asie, pour
idylles. Toutefois, si l’on veut accepter la légère distinction que l’
usage
semble avoir établie, l’églogue veut plus d’actio
sur la terre ; Et les dieux apaisés Oublieront pour jamais l’
usage
du tonnerre. Segrais, né en 1624, est, selon Fon
llusion qui vous suit. Mais ce triomphe de passage, Effet rapide de l’
usage
, Par un autre usage est détruit93. L’Héroïde est
t. Mais ce triomphe de passage, Effet rapide de l’usage, Par un autre
usage
est détruit93. L’Héroïde est une épître sérieuse
me de l’ode est différente suivant le goût des peuples où elle est en
usage
. Chez les Grecs, elle était d’abord partagée en p
oète, c’est-à-dire pour plaire en même temps qu’il instruit, il fasse
usage
des ornements que peut fournir le langage des mus
L’influence des vents, la nature des lieux, Des anciens laboureurs l’
usage
héréditaire, Et les biens que prodigue ou refuse
. § 63. Épisodes. Merveilleux. L’unité d’action n’empêche pas l’
usage
des épisodes. On appelle ainsi dans l’épopée, com
e poète est obligé de faire de-son art le plus noble et le plus digne
usage
. Il faut donc que la marche de son action, les lo
r la fable et vit de fiction. Là, pour nous enchanter tout est mis en
usage
; Tout prend un corps, une âme, un esprit, un vis
d’un poème épique, il s’est ôté toute la liberté de l’invention et l’
usage
du merveilleux. C’est la bataille de Pharsale, re
ploie des formes spéciales dont il est utile de connaître le nom et l’
usage
. Qu’on se rappelle d’abord ce qui a été exposé pl
entes à produire sur l’auditeur avaient déterminé ici l’absence, là l’
usage
de la périphrase. « Il y en a, dit Pascal, qui ma
e, et à donner de la grâce au style. Ce sont là secrets du métier à l’
usage
exclusif des habiles. Voici une construction de R
lui d’imiation, par exemple, et y joindre les constructions hors de l’
usage
commun, mais empruntées pourtant à une époque ou
tres et les belles-lettres. L’ordre et la correction, le respect de l’
usage
et des règles sont proprement du domaine des lett
de la poétique, et enfin celles de l’éloquence. Mais, comme il est d’
usage
d’assigner à la classe d’humanités les préceptes
. Le barbarisme est un mot étranger à la langue que l’on parle ou à l’
usage
reçu. Le poète Lamartine est tombé dans cette fau
s mots et les propositions selon les règles de la langue et d’après l’
usage
reçu. C’est à la syntaxe qu’il appartient de fixe
mmes de goût et à la bonne compagnie qu’il appartient de constater un
usage
légitime. On appelle solécisme une faute contre l
propres à la langue que l’on parle, à leur donner le sens fixé par l’
usage
et à bannir les tours et les constructions qui ne
taire, qui nous paraissent encore un peu barbares, sont d’un fréquent
usage
; mais il en est d’autres qu’on citait comme exem
hardiesse et qui proscrit impitoyablement les mots et les tours que l’
usage
n’a pas consacrés. Cette intolérance a été condam
hommes du peuple aussi bien que les hommes de cour, font un continuel
usage
de cette figure ; et pour nous dire qu’il ne faut
elle se nomme l’Espérance. 177. La catachrèse (κατὰ, contre, χρᾔσις,
usage
) est une espèce de métaphore hardie et forcée à l
dait. Dans l’oraison funèbre de la reine d’Angleterre, Bossuet a fait
usage
de cette figure : Combien de fois a-t-elle remer
ésie descriptive, la louange, la haine et la passion font un fréquent
usage
de l’hyperbole et de l’exagération. La litote et
on des mêmes syllabes ; 3º une série de mots de même dimension ; 4º l’
usage
trop fréquent des consonnes. 1º L’hiatus est la r
des mots où dominent les consonnes fortes : sphinx, arx studiorum. L’
usage
trop répété des consonnes qui précèdent ou suiven
arle, et les imiter par la combinaison des sons. Mais les poètes font
usage
de ce genre d’harmonie plus fréquemment que les p
: Oui, je viens dans son temple adorer l’Éternel ; Je viens, selon l’
usage
antique et solennel, Célébrer avec vous la fameus
les rapports avec les actions, les temps, les lieux, les mœurs et les
usages
déjà connus. L’intérêt progressif convient spécia
glant. En baignant son visage Mes pleurs du sentiment lui rendirent l’
usage
, Et, soit frayeur encor, ou pour me caresser, De
est d’ailleurs aucun genre de composition qui soit d’un plus fréquent
usage
dans la vie ; bien souvent un homme est jugé par
rielle d’une lettre et aux formules introduites par la politesse et l’
usage
. C’est ce qu’on appelle le cérémonial des lettres
joint à la grâce et à la douceur la noblesse et l’énergie. On en fait
usage
dans l’ode aussi bien que dans la poésie légère.
ce : je prîrai, nous salûrons, Dans folies, devient, agréent, etc., l’
usage
ne permet pas de retrancher l’e muet, et par cons
alternativement deux vers masculins ou deux vers féminins. On en fait
usage
dans les grands poèmes. Cette marche, un peu mono
’harmonie, de la rime ou de l’élégance des vers. Elle consiste dans l’
usage
privilégié de certaines hardiesses, d’une orthogr
our donner au style plus de rapidité, de grâce et d’harmonie, on fait
usage
de la transposition ou inversion, qui consiste à
nt employer, parce qu’elles heurtent trop ouvertement la grammaire, l’
usage
et l’harmonie : Écoutons du rossignol le chant.
devoir sacré pour le poète de faire de ses fictions un noble et digne
usage
, de rappeler les hommes à la vertu, et de leur in
ormité du caractère ou des manières contrastant avec la nature ou les
usages
reçus ; le risible n’est que l’extérieur du ridic
ouver un successeur eu moi. « Mais puis-je réclamer ce noble et saint
usage
? « Je crains que mes vieux ans n’effarouchent vo
N’est-ce pas un barbarisme que d’employer des mots contrairement à l’
usage
? 90. En quoi consiste la propriété du langage ?
siste le néologisme ? 116. Ne fait-on pas, en notre temps, trop grand
usage
des mots nouveaux ? 117. D’où vient le fréquent e
elle une figure fréquemment employée ? 172. Quels sont les principaux
usages
de la métaphore ? 173. De combien de manières peu
que et latine, suivi d’études critiques sur diverses traductions, à l’
usage
des classes supérieures et des aspirants au bacca
nité de temps, on a accordé une latitude un peu plus considérable : l’
usage
de suspendre totalement le spectacle, pendant que
public. Dans notre ancien théâtre français, le prologue était fort en
usage
: celui des Mystères était ordinairement une exho
r actu Fabula quæ posci vult, et spectata reponi. Cette division, en
usage
chez les Romains, a été généralement adoptée par
e l’action. 456. Que faut-il penser de la division en cinq actes ? L’
usage
établi de donner cinq actes à la tragédie n’est n
nature, préférable à celle de l’art, sans se laisser enchaîner par l’
usage
. 457. Que doit renfermer le premier acte ? Le pr
dépourvues d’intrigue amoureuse. Voltaire s’élève avec force contre l’
usage
continuel de cette passion dans la tragédie : Vou
i eût rendu le langage de l’amour déplacé sur la scène. D’ailleurs, l’
usage
ne permettant pas aux femmes de monter sur le thé
ur, l’admiration, et en général, toutes les passions fortes, sont à l’
usage
de la dernière ; le ridicule est le seul ou le pr
ui choquera, par sa manière d’être, la raison, les bienséances ou les
usages
reçus. 509. Qu’est-ce que les anciens appelaient
ces ou de grands seigneurs. Le grand Corneille fut le premier à faire
usage
de ce nom pour Don Sanche d’Aragon. Molière a aus
ie, afin de délasser le spectateur du sérieux de la grande pièce. Cet
usage
, qui date du temps où le spectacle français était
ensées. La poésie dédaigne toute pensée triviale on rabaissée par un
usage
trop fréquent et trop vulgaire ; elle veut que, d
el coup venez-vous de frapper ? 33. Quelles sont les figures dont l’
usage
est le plus fréquent en poésie ? Les figures que
hrases sont-elles usitées dans la poésie ? Les périphrases sont d’un
usage
très fréquent chez les poètes, qui les emploient
le devant une autre voyelle ou un h non aspiré. Cette suppression, en
usage
chez les Grecs et les Latins, s’est conservée dan
nés de même et riment ensemble. Les monorimes paraissent avoir été en
usage
dans l’ancienne poésie arabe. Le goût ne voit dan
expression de Fénelon, naturelle et harmonieuse. C’est l’oreille et l’
usage
qu’il faut consulter pour l’emploi de cette licen
vicieuse lorsqu’elle est trop dure et trop ouvertement contraire à l’
usage
ainsi qu’aux lois de la grammaire et de l’harmoni
n’est pas de connaître les règles, mais d’en découvrir l’esprit et l’
usage
; il faut s’attacher à trouver les principes et l
umières et contre sa raison ? » 5º. Les contraires sont d’un grand
usage
; c’est souvent la meilleure manière d’exposer un
Telle est la force des pensées et des sentiments dont l’orateur fait
usage
, qu’il n’a pas besoin de feinte et d’artifice. La
de l’âme est un don de la nature, et non un effet de l’art. L’unique
usage
des règles est d’empêcher que l’orateur ne tombe
sévérité de notre barreau ne nous permet pas de faire un aussi grand
usage
du pathétique que les orateurs romains. Du temps
ateurs de Rome. L’éloquence de la chaire donne plus de liberté dans l’
usage
des passions. En un mot, erit ars maxima semper c
ersuader et à émouvoir les passions : le bel esprit n’y était d’aucun
usage
. Un déclamateur fleuri n’aurait eu aucune force d
chefs-d’œuvre sont très rares. Nos autres orateurs ont également fait
usage
du pathétique lorsqu’ils ont eu à traiter de gran
lois ? Il te sied bien d’oser parler de mourir, tandis que tu dois l’
usage
de ta vie à tes semblables ! Apprends qu’une mort
gaire. Il ne l’est pas moins lorsque l’adversaire en peut aussi faire
usage
, ou qu’il n’aurait besoin que de légers changemen
eu, etc. » On ne remarque pas la même symétrie dans les divisions en
usage
au barreau, parce que le plus souvent les divers
devient inutile. Mais comme les exemples sont d’un grand et fréquent
usage
dans les délibérations, il peut arriver que quelq
lui ; sa foi ôta même à ses malheurs la nouvelle amertume que le long
usage
des prospérités leur donne toujours : sa grande â
; ce sont deux choses jointes par leur nature, par leur but, et par l’
usage
que vous en faites. » On réfute, soit en détruis
ux mœurs et aux passions (commiseratio, indignatio), était d’un grand
usage
chez les Romains. « Réservez pour la péroraison,
est-à-dire, à n’employer que les locutions que la règle ou du moins l’
usage
autorise. Surtout qu’en vos écrits la langue rév
ment, il faut aux connaissances grammaticales joindre la lecture et l’
usage
: la lecture des meilleurs écrivains, tant poètes
age : la lecture des meilleurs écrivains, tant poètes qu’orateurs ; l’
usage
, qui s’acquiert par le commerce avec ceux qui par
lles qu’il s’est permises, la moins autorisée par les règles et par l’
usage
. L’exactitude grammaticale eût exigé : Je t’aimai
l’orateur. Aucune langue peut-être ne demande, dans ceux qui en font
usage
, plus de précautions minutieuses pour être entend
soient coupées et toujours faciles, et les expressions conformes à l’
usage
; que les métaphores ne soient pas trop hardies,
suet, Massillon, n’y manquent jamais. Quelquefois même l’expression d’
usage
est la plus énergique ; elle est sublime dans sa
rrait aisément s’y tromper. On doit être sobre et circonspect dans l’
usage
de la finesse. Employée trop souvent, elle annonc
ots nouveaux : ils étudient l’art de combiner heureusement ceux que l’
usage
autorise. C’est par une liaison fine et juste de
le outrage ; et il a fait voir dans cette imitation qu’il ignorait l’
usage
du mot mis à sa place. En français, l’ordre des m
aire dans une langue vivante, parce que, tant qu’elle est soumise à l’
usage
, elle peut recevoir des exceptions à ses règles,
Chaque langue a ses métaphores propres, et tellement consacrées par l’
usage
, que, si vous en remplacez les termes par les équ
cdoque : il faut que les expressions figurées soient autorisées par l’
usage
, ou du moins que le sens littéral qu’on veut fair
ens, on osait dire cent mâts ou cent avirons. C’est ici surtout que l’
usage
est l’arbitre du discours.
t beaucoup d’autres figures de mots, dont les rhéteurs enseigneront l’
usage
à ceux qui seront curieux de connaître toutes ces
and roi roule ici ses pas impérieux. Il n’y a point de figure dont l’
usage
s’étende plus loin que la périphrase, pourvu qu’o
dis dextri rara supplosio , mouvement qui serait trop contraire à nos
usages
. Le reste nous paraît fondé sur la nature et l’ex
aux délibérations publiques ; quand les tribunaux eurent renoncé à l’
usage
austère de l’ancien aréopage, qui défendait l’élo
uiv.), et l’auteur du Dialogue des Orateurs (c. 34) approuve l’ancien
usage
. Après avoir entendu les philosophes grecs, on s’
écadence de l’éloquence romaine fut alors si rapide, ce n’est point l’
usage
des suasoriæ ou harangues délibératives, et des c
fêtes de la religion et de la patrie, les coutumes de la société, les
usages
des peuples, que nos érudits ont rassemblés labor
m’étonne et ne m’irrite pas ; j’admire leur valeur, dont je déplore l’
usage
; je les combats et je les plains. Du moins, j’ac
ns physique est celle du sens intellectuel. Lui aussi s’habitue par l’
usage
à saisir des rapports inappréciables pour les mas
eurs idées et leurs impressions à leurs concitoyens assemblés. Mais l’
usage
de la voix, comme manifestation de la pensée litt
e en son chemin heurtée… etc. La plupart des règles de l’harmonie, l’
usage
des euphémismes, des litotes, de l’hyperbole, du
gue, quelque étrangère qu’elle lui fût ; il accommodait la raison à l’
usage
de ceux qui la connaissaient le moins ; il concil
un renouvellement de bail, cent mille écus qui lui étaient dus par un
usage
établi : il les fit porter au trésor royal… Autan
France, « par quelque allusion au grand jour du jugement dernier ». L’
usage
en était fort ancien et subsista jusque dans la s
les exigent la connaissance de certaines convenances établies par les
usages
de la société. Il ne convient d’en traiter que da
arents et amis, on n’ait à leur transmettre que des vœux dictés par l’
usage
. Si l’on voulait sortir des lieux communs du lang
inte, on s’imaginerait que le remercîment vient de la politesse, de l’
usage
, et non du cœur. Nous devons laisser voir que nou
l’analyse, ce serait trop demander, mais au moins des extraits à son
usage
. On relit souvent ces morceaux ; on les apprend m
sprit ou en les embellissant. 311. Rendez sensible par des exemples l’
usage
qu’on peut faire de l’imitation. Nous prendrons
roche beaucoup de l’euphémisme. Les orateurs et les poètes en font un
usage
très fréquent. Pour dire qu’il a cinquante-huit a
plus palpables. Tant de parties si bien arrangées, et si propres aux
usages
pour lesquels elles sont faites ; la disposition
s esprits ; les effets différents de la respiration, qui ont si grand
usage
dans le corps : tout cela est d’une économie, et
établi sur l’approbation publique, peut réprimer les bizarreries de l’
usage
et tempérer les déréglements de cet empire trop p
e le goût n’aurait pas chez nous une destinée plus invariable que les
usages
, s’il n’établissait des juges pour le fixer. »
re Avait, depuis plus de cent ans, Produit pour l’
usage
des gens, Il retourne chez lui : dans sa cave il
plus élevé que le style simple. On l’appelle fleuri, parce qu’il fait
usage
des ornements ; il comporte l’agrément des expres
ux dans le choix des mots, il n’admet que la fleur des expressions en
usage
, et souvent il remplace un terme familier par une
e Dumas, etc. M. Deleuze, le traducteur des Saisons de Thompson, fait
usage
de ce style pour nous présenter le tableau l’effr
considérations morales, politiques et religieuses. Il est surtout en
usage
dans les discours. Il se trouve dans la bouche de
ion : il aime particulièrement l’harmonie imitative, et fait un grand
usage
de métaphores et de comparaisons. Il convient dan
réparé la nourriture des hommes, parce que vous l’avez destinée à cet
usage
. Pénétrez son sein de la rosée, fertilisez ses ge
s grandes divisions, et que chacune d’elles se subdivise autant que l’
usage
commun le demande. C’est ici le moment de dire co
demande à être complété, il ne suffit pas, quand on renouvelle pour l’
usage
présent un ancien ouvrage, d’y opérer quelques co
les, notre champ est plus restreint. Quand un livre n’est pas à notre
usage
, il a beau être bien brillant, nous soupirons, et
lutions, dompter les puissances de la nature et les soumettre à notre
usage
ou à l’utilité de nos arts, c’est une grande chos
nne ? Vous me reprochez des forces dont je ne me sers pas : mais quel
usage
faites-vous des vôtres ? Je ne devrais pas manger
e rattache au genre déterminé par la loi. Bossuet en a fait encore un
usage
très oratoire ; pour prouver qu’il est inutile de
Telle est la force des pensées et des sentiments dont l’orateur fait
usage
qu’il n’a pas besoin de feinte et d’artifice ; la
e servit qu’à augmenter l’effet de cet admirable morceau, modèle de l’
usage
des passions : Je ne parle plus du reste des hom
négliger, c’est que dans l’antiquité l’appel aux passions était d’un
usage
fréquent et presque traditionnel. C’est un moyen
présenta aux juges pour implorer les droits sacrés de l’humanité. Nos
usages
modernes renvoient cette pratique au théâtre, et
lui ; sa foi ôta même à ses malheurs la nouvelle amertume que le long
usage
des prospérités leur dorme toujours : sa grande â
’amplification ou développement. 1. Objet de l’amplification. — 2.
Usage
et abus de l’amplification. — 3. Condition essent
rque bien la différence entre la confirmation et l’amplification. 2.
Usage
et abus de l’amplification. — C’est une grave err
; ce sont deux choses jointes par leur nature, par leur but et par l’
usage
que vous en faites. 2. Rapport de la réfutation
corps qui nous environnent..., nous les pourrions employer à tous les
usages
auxquels ils sont propres, et ainsi nous rendre c
de l’euphonie et qu’il est impossible d’apprendre autrement que par l’
usage
. Souvent la place de l’épithète est déterminée pa
ique. Mais on ne peut le faire que suivant certaines conditions que l’
usage
, détermine et qui sont plus larges pour le poëte
ination. III. Les inversions n’ont d’autres règles à respecter que l’
usage
, le goût, l’euphonie et la clarté. IV. Etudier l
Leçon XXVII. Des figures. 1. Des figures et du style figuré. — 2.
Usage
et abus des figures. — 3. Des différentes espèces
r l’expression. Les poëtes, les orateurs et les écrivains en ont fait
usage
, et les rhéteurs les ont classés sous le nom de f
ux qui l’écoutent une partie de son enthousiasme Voltaire. 2.
Usage
et abus des figures. Le but et l’objet propre des
gage du fourreau l’épée que le héros troyen destinait à un tout autre
usage
, puis regardant cette tunique phrygienne, ce lit
lant, en baignant son visage, Mes pleurs du sentiment lui rendirent l’
usage
; Et, soit frayeur encor, soit pour me caresser,
De l’allusion. — 6. Utilité de l’allusion. — 7. De l’antithèse. — 8.
Usage
et abus de l’antithèse. — 9. Du paradoxe. — 10. R
s : La jeunesse vit d’espérances ; la vieillesse, de souvenirs. 8.
Usage
et abus de l’antithèse. — Le rapprochement par co
se rapportent a la force de l’expression. 1. De la périphrase — 2.
Usage
et abus de la périphrase. — 3. De l’accumulation
, dans La Fontaine : Vous êtes le phénix des hôtes de ces bois. 2.
Usage
et abus de la périphrase. — Comme toutes les figu
on de basse Normandie. Longin a dit: Il n’y a point de figure dont l’
usage
s’étende plus loin que la périphrase, pourvu qu’o
ité dont se forme le sage, Qui jamais moi us que l’homme en a connu l’
usage
? L’interrogation s’associe aux figures les plus
le nature, Salut, pour la dernière fois. Lamartine a fait un heureux
usage
de l’apostrophe dans ce passage du Lac : O lac,
n XXXIII. Des tropes. 1. Des tropes. — 2. De la métaphore. — 3.
Usage
et abus des métaphores. — 4. De l’allégorie. — 5
prodigue ou refuse ses trésors ; l’Océan s’emporte ou se calme. 3.
Usage
et abus des métaphores. — Cette figure donne aux
vation générale doit compléter cette étude su les tropes, c’est que l’
usage
est seul juge souverain de la convenance de certa
plus généraux. VI. l’emploi de ces figures doit être subordonné aux
usages
de la langue. Leçon XXXIV. Des figures de mot
nt la pensée prend volontiers une forme sentencieuse en font un grand
usage
: Il y a des reproches qui louent et des éloges
II. L’inversion, employée sans trop contrevenir à la grammaire et à l’
usage
, donne au style de la variété et de l’expression
La correction consiste à respecter les règles de la grammaire et de l’
usage
. Boileau a dit : Surtout qu’en vos écrits la lan
rrectement, il faut joindre à l’étude de la grammaire la lecture et l’
usage
: la lecture des bons écrivains enseigne dans que
ons écrivains enseigne dans quelle mesure il est permis d’innover ; l’
usage
qui s’acquiert par le commerce de ceux qui parlen
vec attention les expressions qui semblent sortir de la règle et de l’
usage
. Ainsi Fléchier a dit : « Turenne n’abandonne ri
r que les mots et les tournures reçus par la grammaire, adoptés par l’
usage
ou autorises par l’exemple des grands écrivains.
les peuples est le premier devoir des grands, n’est-elle pas aussi l’
usage
le plus délicieux de la grandeur ? Pour récompens
xcellent à combiner d’une manière nouvelle et heureuse les mots que l’
usage
a consacrés. Horace n’autorise pas volontiers le
e sans une pensée singulière et recherchée. C’est l’abus du genre ; l’
usage
n’en doit pas pour cela être proscrit. Les traits
tout différent du premier ; il est noble, riche, abondant ; il met en
usage
tout ce que l’éloquence a de plus relevé de plus
De la concision ou brièveté et du laconisme. — 3. De la naïveté. — 4.
Usage
du style simple. — 5. Règles relatives au style
e : c’est do l’eau prise dans le ruisseau et jetée sur la toile. 4.
Usage
du style simple. — C’est surtout à la narration e
ver, dans la meilleure chambre, le meilleur lit. Il tourne tout à son
usage
; ses valets, ceux d’autrui, courent dans le même
u discours proprement dit. Nous nous conformons en agissant ainsi aux
usages
reçus dans toutes les écoles de Rhétorique depuis
l’éloquence politique dans la division des modernes. Il est autant en
usage
aujourd’hui dans les monarchies constitutionnelle
; ils sont là pour servir l’homme de bien qui saura en faire un digne
usage
, pour faire rougir le méchant qui oserait les dém
alyse de la forme, il est facile de remarquer que Bossuet, sans faire
usage
du pathétique proprement dit, nous a procuré pour
d le soin de donner à chaque syllabe le son qui lui est assigné par l’
usage
adopté par les bons grammairiens ; quand on ne fa
Oui, je viens dans son temple, adorer l’éternel ; Je viens, selon l’
usage
antique et solennel, Célébrer avec vous la fameus
rime ; c’est toute liberté que le poète se donne contre la règle et l’
usage
ordinaire. En faveur de l’harmonie, la licence au
n’est justifiée ni par les principes qui régissent ce trope, ni par l’
usage
. 25. Plusieurs rhéteurs modernes disent que la
aient exister contre sa personne. C’est l’office de l’exorde. II fait
usage
des mœurs proprement dites et des bienséances ora
tion en récit, que récit d’une action. La narration oratoire n’est d’
usage
que dans le plaidoyer, l’oraison funèbre et le pa
elle demande toute la pénétration de l’orateur. Tantôt il devra faire
usage
de la logique, en montrant, s’il y a lieu, ou que
ce fut d’achever l’éducation de notre langue et de la façonner pour l’
usage
des génies qui illustrèrent notre grand siècle. P
e du Perrier : voy. nos Morceaux choisis des Classiques français, à l’
usage
de la classe de sixième. 3. « Si tu ne m’avais p
ur tous les autres arts : l’instinct inspira, l’expérience éclaira, l’
usage
avec le temps perfectionna. Division de la rhé
l’exposé ou le développement des faits qu’on veut établir. Elle est d’
usage
dans tous les sujets où il s’agit moins de discus
mettre dans le plus grand jour possible. » Tel est, d’autre part, l’
usage
qu’on peut faire des deux sortes de preuves intri
ique rejeter, comme une contrainte déplacée, funeste à l’éloquence, l’
usage
des divisions et, reconnaissant ce que cette méth
c deux choses unies par la nature, par l’utilité qu’on en tire, par l’
usage
qu’on en fait. » Chapitre VI. De la pérorais
x doit s’épargner l’outrage, Peut-être, pour ta gloire, aura-t-il son
usage
. Et, comme tes exploits, étonnant les lecteurs, S
tours de phrase autorisés par la grammaire, l’Académie, ou du moins l’
usage
. Boileau a dit : Qu’en vos écrit
n’entrent pas de plein droit dans le domaine de la langue. Tant que l’
usage
ne les a pas consacrés, il faut se les interdire
notatio. On fait allusion à des faits historiques ou fabuleux, à des
usages
; quelquefois même on joue sur les mots : Ton ro
l’ornement du discours, et à cet égard les poètes en font un fréquent
usage
. Corneille dit dans Polyeucte : Ainsi du genre h
néide et, au deuxième, la prise de Troie. Les poètes font un fréquent
usage
de la description, et Boileau lui-même nous ensei
que les poètes, plus souvent encore que les écrivains en prose, font
usage
de cette figure, en prêtant eux-mêmes un caractèr
i te perduint, fugitive ! » dit Cicéron, pro Dejot., c. 7, en faisant
usage
de l’imprécation. Voltaire fait dire à Œdipe, dan
s phrases de suite par les mêmes termes ou locutions. Bourdaloue fait
usage
de cette figure dans le passage suivant : « Tout
us ne devons pas juger des règles et des devoirs par les mœurs et les
usages
, mais nous ne devons pas juger des mœurs et des u
s mœurs et les usages, mais nous ne devons pas juger des mœurs et des
usages
par les règles et les devoirs. C’est donc la loi
ent plus particulièrement au style soutenu. La poésie en fait souvent
usage
. Louis Racine, dans son poème de la Religion, dit
gracieuse l’expression. Ils l’enrichissent en ce qu’ils multiplient l’
usage
d’un même mot et servent à suppléer les termes qu
ntre eux quelques rapports de signification. Mais on le restreint aux
usages
suivants : 1º L’effet pour la cause. Ovide (Métam
des passages de l’Écriture Sainte, y est quelquefois peu juste, et l’
usage
de l’antithèse, quelquefois trop fréquent. Mais l
ine du mot Panégyrique, qui signifie en grec toute Assemblée. Le même
usage
fut observé à Rome. Les Panégyriques prononcés da
louer les grands hommes après leur mort, et ordonna aussitôt que cet
usage
serait perpétuellement observé. Il le fut en effe
vaincantes et les plus décisives qu’il aura développées, et mettra en
usage
, pour intéresser les Juges et se les rendre favor
son discours de remerciement, l’homme de lettres auquel il succède. L’
usage
veut aussi que le directeur de l’académie réponde
ral ou particulier, pour exciter ou soutenir la valeur des troupes. L’
usage
de les haranguer au moment d’une bataille, a été
’assaut. Ce fut, dit-on, au moyen des pétards qui furent alors mis en
usage
pour la première fois. Le discours que ce grand r
xes, qui, n’étant point destinés à devenir orateurs, ne doivent faire
usage
de l’art de parler et d’écrire que dans les relat
re une, c’est-à-dire, la faculté d’articuler des sons ; et le premier
usage
qu’ils firent de cette faculté, ce fut de se comm
ccusation dressé contre le meurtrier. Cette manière d’écrire était en
usage
au Mexique lors de la découverte du nouveau monde
ssant ; et les langues, enrichies par le temps etperfectionnées par l’
usage
, purent devenir immortelles, autant du moins qu’i
elatifs qui servent à lier les diverses parties d’une phrase. C’est l’
usage
bien ou mal entendu de ces mots qui rend le style
nt que leurs boucliers et leurs framées, se soumirent quelquefois aux
usages
de leurs nouveaux sujets. La langue germanique re
eloppait dans l’idiome vulgaire qui la rendait accessible à tous. Cet
usage
subsista dans toute l’Europe occidentale jusqu’à
es mots qui signifient les parties du corps humain ou des choses d’un
usage
journalier, et qui n’ont rien de commun avec le l
le reste est latin ; et les mots latins furent tous abrégés » scion l’
usage
et le génie des nations du Nord : ainsi de palafi
ore une consistance régulière. François Ier abolit, en 1539, l’ancien
usage
de plaider, déjuger, de contracter en latin, usag
en 1539, l’ancien usage de plaider, déjuger, de contracter en latin,
usage
qui attestait la barbarie d’une langue dont on n’
barie d’une langue dont on n’osait se servir dans les actes publics ;
usage
pernicieux aux citoyens, dont le sort était réglé
, on trouve vingt termes convenables à la poésie comique pour un d’un
usage
plus relevé ; et c’est encore une raison pour laq
rent obligés d’apprendre et d’adopter le langage d’un autre peuple, l’
usage
des prépositions fit-il perdre entièrement celui
. Nous ferons seulement observer que la suppression des cas a rendu l’
usage
des prépositions très-fréquent dans la langue fra
n régulière. Elle n’a pas en effet, comme nous l’avons vu, conservé l’
usage
de ces terminaisons diverses, qui, dans le grec e
e président, sans répliquer, va recueillir les suffrages, et, selon l’
usage
, il demande à chaque juge les motifs de son opini
dépenses, retranchez d’abord tout ce que la religion condamne dans l’
usage
de vos biens ; réglez vos tables, vos parures, vo
lant. En baignant son visage, Mes pleurs du sentiment lui rendirent l’
usage
; Et, soit frayeur encore, ou pour me caresser, D
e ? Vous me reprochez des forces dont je ne me sers pas ; mais « quel
usage
faites-vous des vôtres ? Je ne devrais pas manger
mencera à m’oublier, à m’échapper, et que je ne pourrai plus en faire
usage
, alors je me tournerai vers vous ; je vous dirai
’un mot grec qui signifie enjouement, urbanité. C’est un artifice à l’
usage
des courtisans consommes. Boileau fait indirectem
utes les tournures qui appartiennent à une autre langue, celles que l’
usage
a proscrites, ou celles qui, récemment essayées,
r aucune autorité suffisante. La propriété est un choix de mots que l’
usage
le plus généralement adopté par les bons écrivain
ession propre : il n’admet, pour ainsi dire, que la fleur des mots en
usage
, et souvent il remplace un terme familier par une
tter. « Il te sied bien d’oser parler de mourir, tandis que tu dois l’
usage
de ta vie a les semblables ! Apprends qu’une mort
moire, faculté naturelle que le travail féconde et fortifie. Il est d’
usage
, en certaines circonstances d’apparat, de lire un
ue de la rhétorique. Chapitre premier. Quels sont les différents
usages
auxquels on peut appliquer la rhétorique. On n
qu’il faut respecter dans les études une institution consacrée par l’
usage
, mais qu’une fois sorti du collège ou affranchi d
tonner que nous l’ayons placée avant la Rhétorique, contrairement à l’
usage
suivi dans les éditions générales d’Aristote. Ell
a donné à son tour une nouvelle traduction de la Poétique (1875), à l’
usage
des classes, accompagnée de rapprochements littér
ent ou mélangés. III. Ainsi l’harmonie et le rythme sont mis seuls en
usage
dans l’aulétique, la citharistique et dans les au
t qu’elle mélange ceux-ci entre eux, ou qu’elle ne vienne à mettre en
usage
qu’un seul genre de mètre, comme on l’a fait jusq
de départ, ni qu’elles finissent n’importe où, mais qu’elles fassent
usage
des formes précitées. V. De plus, comme le beau,
ncore, comme dans Tyro 73, une petite barque74. III. On peut faire un
usage
plus ou moins approprié de ces signes. Ainsi Ulys
grandeur et la petitesse92. IV. Il est évident qu’il faut aussi faire
usage
des faits, d’après les mêmes vues, lorsqu’il y a
mploie chaque peuple105, « glose » (ou mot étranger) celui qui est en
usage
chez les autres peuples. On voit qu’un même mot p
. III. Elle est élevée et s’écarte du style vulgaire lorsqu’elle fait
usage
de termes étrangers125 ; or j’appelle « termes ét
ngage ordinaire, les noms les plus convenables sont ceux dont on fait
usage
dans le discours parlé, c’est-à-dire le terme pro
des pensées et du beau style. Tous ces éléments, Homère les a mis en
usage
et pour la première fois, et dans les conditions
rs lances étaient plantées droit sur le bout151. En effet, c’était l’
usage
alors, comme font encore aujourd’hui les Illyrien
st équivoque163. XVIII. M. Ou encore les expressions consacrées par l’
usage
. C’est ainsi que de tout breuvage mélangé on dit
ours de sa parole, ressource encore plus propre à l’être humain que l’
usage
des membres. XIII. Si, maintenant, on objecte que
ance directe ceux dont il ne résulte rien d’appréciable en outre de l’
usage
qu’on en fait. La définition de la sûreté, c’est
c’est la possession, dans un cas et dans des conditions telles, que l’
usage
des biens possédés dépende uniquement du possesse
par vente. En somme, l’essence de la richesse consiste plutôt dans l’
usage
que dans la propriété, car l’exercice de la propr
que dans la propriété, car l’exercice de la propriété consiste dans l’
usage
et l’usage même est une richesse. VIII. La bonne
propriété, car l’exercice de la propriété consiste dans l’usage et l’
usage
même est une richesse. VIII. La bonne renommée, c
la préséance, les tombeaux, les images, la subsistance publique ; les
usages
des barbares, tels que les prosternations et le s
e sens où l’on dit que sont exempts de maladie des gens qui gardent l’
usage
de leur corps ; car beaucoup de gens se portent b
e à ce qui est abondant : par exemple, l’or au fer, vu qu’il est d’un
usage
plus restreint ; car la possession en est préféra
t de vue, ce qui abonde est préférable à ce qui est rare, parce que l’
usage
en est plus répandu. De là ce mot : L’eau est ce
qui le sont moins. En effet, l’avantage des premiers consiste dans l’
usage
prolongé qu’on en fait et celui des seconds dans
êtres inanimés et le premier animal venu, il faut, ici encore, faire
usage
des propositions. Insistons là-dessus, à titre d’
défend pas (en chose défendue). XXXVIII. Il faut aussi faire un grand
usage
des considérations qui augmentent l’importance du
ventions, la torture, le serment. III. Parlons d’abord des lois, de l’
usage
qu’il faut en faire dans le cas de l’exhortation,
caractère moral et leurs analogues, il n’est pas malaisé de voir quel
usage
on devra faire de la parole pour se donner à soi-
cants, de peur que vos cigales ne chantent à même la terre391. IX. L’
usage
des sentences convient au vieillard, en raison de
démonstration392. XI. Il faut employer des sentences consacrées par l’
usage
et d’une application générale, si l’on peut le fa
comment on doit s’en servir pour exprimer chaque état de l’âme, quel
usage
faire des intonations qui la rendront tour à tour
04. Aussi serait-il ridicule d’imiter ceux qui ne font plus eux-mêmes
usage
de ce genre de style. X. On le voit donc, nous n’
a présence de la poésie. Ce n’est pas qu’on ne doive en faire quelque
usage
; car elle change le terme habituel et donne au s
a hardiesse ; la métaphore, aux poètes ïambiques, car ceux-ci en font
usage
encore aujourd’hui, comme nous l’avons dit. IV. E
s tétramètres semble courir. Reste le péan572 dont Thrasymaque a fait
usage
le premier. Seulement ses imitateurs ne pouvaient
et en talents avec Athéné658. Les hyperboles sont principalement en
usage
chez les orateurs athéniens. Pour la raison donné
eu de recourir au préambule. VIL Les autres espèces (d’exorde) mis en
usage
sont des expédients d’une application commune. On
Quant à la plaisanterie (car elle me semble pouvoir être d’un certain
usage
dans les débats et Gorgias dit, et a raison de di
r Buhle, tout en conservant la division par chapitres consacrée par l’
usage
, division dont il ne se sépare d’ailleurs qu’en d
e leur éducation ; mais on peut regretter que les livres faits à leur
usage
ne soient pas encore assez solidement pourvus de
tés par l’instinct, éclairés par l’expérience, et perfectionnés par l’
usage
. Quœ sua sponte homines eloquentes fecerunt, ea q
que leur expliquer, avec plus de précision, les mots qui sont à leur
usage
? Je suis loin de vouloir fatiguer leur entendeme
ogue, un jeune homme qui ait bien fait ses études ; si, avec un peu d’
usage
de l’art oratoire, il a dans le génie quelque vig
pour modèle un discours dans lequel ces parties, distribuées selon l’
usage
, tendent au but commun de la persuasion : l’exord
écrire d’Épictète, de Montagne et de Salomon de Tultie4 est la plus d’
usage
, qui s’insinue le mieux, qui demeure plus dans la
qualité plutôt que d’une autre, hors de la nécessité de la mettre en
usage
; mais alors on s’en souvient ; car il est égalem
finesse En l’un, les principes sont palpables, mais éloignés de l’
usage
commun ; de sorte qu’on a peine à tourner la tête
ls échappent. Mais dans l’esprit de finesse les principes sont dans l’
usage
commun et devant les yeux de tout le monde. On n’
ination, qu’ils n’ont jamais vues dans le monde et tout à fait hors d’
usage
. La finesse est la part du jugement, la géométrie
la première lecture ; et enfin qu’elle est assez inutile, puisque son
usage
est presque renfermé dans les seules matières géo
nt le charme de la nouveauté, et semblent être faits seulement pour l’
usage
où elles les mettent. Il n’appartient qu’à elles
oratoire, et ne la distinguent pas de l’entassement des ligures, de l’
usage
des grands mots et de la rondeur des périodes. Il
sens. C’est faire de la pureté et de la clarté du discours un mauvais
usage
que de les faire servir aune matière aride, infru
onsumer à la recherche des langues le même temps qui est consacré à l’
usage
que l’on en doit faire, c’est borner à la science
qui ne s’entend plus. On dit curieux, dérivé de cure, qui est hors d’
usage
. Il y avait à gagner de dire si que pour de sorte
qu’il y a souvent à avoir un mot de moins à placer dans l’oraison. L’
usage
a préféré par conséquent à par conséquence, et en
er ensemble d’une égale beauté et rendre une langue plus abondante. L’
usage
a, par l’addition, la suppression, le changement
ur-veoir. promener de pourmener. et promenade de pour menade. Le même
usage
fait, selon l’occasion, d’habile, d’utile, de fac
ts. Est-ce donc faire pour le progrès d’une langue que de déférer à l’
usage
? serait-il mieux de secouer le joug de son empir
ires dont ils sont sortis, si la raison d’ailleurs veut qu’on suive l’
usage
? Si nos ancêtres ont mieux écrit que nous, ou si
la forme du gouvernement : en tout pays les règles de Socrate sont d’
usage
. R. Expliquez-les donc, s’il vous plaît. A. Il
e voyant qu’Isocrate avait transporté l’éloquence de l’action et de l’
usage
à l’amusement à l’ostentation, et qu’il attirait
et moral) contre l’utilité de l’inoculation, dit que si on mettait en
usage
la petite vérole artificielle, la mort serait bie
Oui, sans doute, quoique les hommes différent d’opinions, de mœurs, d’
usages
. Le meilleur goût en tout genre est d’imiter la n
ce qui tiendra de près à la liberté d’un Anglais, à ses droits, à ses
usages
, fera plus d’impression sur lui que sur un França
s a pénétré dans tous les états ; il ne s’agit plus que d’en faire un
usage
raisonnable : mais on veut toujours mieux dire qu
sibles ni dans la déclamation ni dans le chant. Venons maintenant à l’
usage
de la rime, dont les Italiens et les Anglais se s
é qu’on doit écrire comme on parle, pourvu qu’on ne choque pas trop l’
usage
, pourvu que l’on conserve les lettres qui font se
’à jeter tous les étrangers dans l’erreur. D’ailleurs, Monseigneur, l’
usage
et la lecture des bons auteurs en a beaucoup plus
substantif, un bel pensier, un dolce parlar, un lungo morir ; ii fait
usage
de deux épithètes sans aucune liaison expresse, s
elle-même n’a presque point de privilège ; et pour elle les lois de l’
usage
, comme celles de la syntaxe, sont presque aussi i
Italie. Dante. Pétrarque, Boccace, l’Arioste furent les maîtres de l’
usage
; Montaigne et Amyot le furent aussi parmi nous d
ité de sentiment et de génie, qui assujettit les hommes aux lois de l’
usage
, et les détourne des grandes hardiesses, sources
-les d’abord sur le papier. Quand vous n’auriez rien à gagner par cet
usage
du côté de la réflexion, ce qui est faux manifest
ours. Les interruptions, les repos, les sections, ne devraient être d’
usage
que quand on traite des sujets différents, ou lor
la dépravation. VII. Remplir un mot ancien d’un sens nouveau, dont l’
usage
ou la vétusté l’avait vidé, pour ainsi dire, ce n
ots qui est un de leurs grands avantages, et qui permet d’en faire un
usage
exact. XXXVI. Le sens caché dans les mots dont on
faire un usage exact. XXXVI. Le sens caché dans les mots dont on fait
usage
, sens souvent très-étendu et très-important, mais
s extraits de la Chrestomathie de Proclus. Chez les Agathyrses.] Même
usage
chez les Crétois, selon Élien, Histoires diverses
e, chap. xvi, d’après lequel ce fut Sappho qui apprit aux tragiques l’
usage
de l’harmonie mixolydienne, comme plus propre aux
rement sa langue et à ne se servir que des locutions autorisées par l’
usage
ou par la grammaire. Boileau, le législateur de l
§ 2. Propriété des Mots La Propriété est un choix de mots que l’
usage
le plus généralement adopté par les bons écrivain
pour moi des boyaux de père. » 2° Une réunion de mots contraires à l’
usage
, tels que ceux-ci : Jouir d’une mauvaise réputati
n l’est moins d’être frappé, parce qu’on n’est pas supposé avoir fait
usage
de ses forces pour se défendre. Battre exprime l
ttre en ordre les matériaux fournis par l’invention, et à en régler l’
usage
. Elle divise le discours d’après un plan méthodiq
ve et naturelle. Elle est nécessaire, malgré Fénelon qui en a blâmé l’
usage
, même chez les prédicateurs, dans son 2e Dialogue
qu’il séduit par une apparence de raison, en ce qu’il fait préférer l’
usage
et les maximes du monde à l’exacte probité, etc.
smes. Toutefois, s’il ne faut pas se servir de ces expressions hors d’
usage
, on doit bien se garder de critiquer à la légère
e mesure est délicate à observer, la limite difficile à fixer ; car l’
usage
varie, et bien des locutions du dix-septième sièc
issance musicale, dont nous ne pouvons guère nous faire une idée, à l’
usage
de l’accent tonique qui élevait la notation de qu
dire sans rime. Les poètes anglais, allemands et italiens en ont fait
usage
assez heureusement. La rime est masculine, c’est-
s est ajoutée, comme dans l’opéra-ballet et la comédie-ballet, peu en
usage
de nos jours. Ex. Le Mariage forcé de Molière (co
e cet animal était le prix du vainqueur dans les concours lyriques en
usage
dans ces solennités. Elle est sortie du dithyramb
sformé le fond, puisqu’elles ont presque toujours un côté tragique. L’
usage
seul lui a conservé son nom de comédie. 4° G
aques. Terminons en énumérant les rimes les plus connues autrefois en
usage
, telles que la kirielle, la batelée, la fraternis
ses soldats. Chez les anciens, ces sortes de discours étaient fort en
usage
. Dans les républiques d’Athènes et de Rome, les g
conformité avec les mœurs du temps montrent qu’elles étaient alors en
usage
. Chez les modernes, les harangues militaires ont
r Isocrate, — celui d’Agésilas par Xénophon, etc. Chez les Romains, l’
usage
des éloges en l’honneur des grandes actions ou de
èbres, dont nous avons déjà parlé, et en discours académiques, dont l’
usage
remonte au dix-septième siècle. Les plus célèbres
s rhéteurs un chapitre de leurs Traités sur l’art oratoire. De là cet
usage
des harangues chez les anciens historiens, cette
s familières roulent sur Les sujets dont il peut être question dans l’
usage
ordinaire de la vie ¡ lettres d’affaires privées
isie littéraire ; elle a pour elle l’autorité du succès et celle de l’
usage
qui fait loi, suivant l’expression d’Horace. Ex.
s tout au tour plusieurs appellations latines qui ont pris pied par l’
usage
, et existent encore. » Quant au grec, il l’étudia
large, à plain pied, ayant trouvé touts les murs montez, pour aultre
usage
, à la haulteur qu’il me fault. Tout lieu retiré r
substantivement. Héllenisme. 3. S’y exerce sans cesse. 4. Coutumes,
usages
. 5. Au delà des forces et de la condition d’un
omaine de tout le monde ; c’est un bien commun dont chacun peut faire
usage
pour exprimer par la parole ou l’écriture ses idé
ichesses, il est vivement impressionné. Il ne faut pas non plus faire
usage
dans la prose de périphrases poétiques, comme si
um frugalitatis revocaret. Pythagore vint à Crotone, pour ramener à l’
usage
de la frugalité le peuple qui s’était laissé alle
le monde. ARTICLE IV. de la disposition des verbes. I L'
usage
ordinaire des bons écrivains, dans le style tempé
. exemple : Nam et ratione uti decet. Cic. Car il faut aussi faire
usage
de sa raison. Namque, qui ajoute plus de force à
nnemis se réunissaient, César fit avancer son armée. IX On fait
usage
de nisi pour si… non, de nec ou neque pour et non
ues, le mugissement des vents, le murmure d’un ruisseau, etc. C'est l’
usage
le plus naturel de ce genre de beauté. La liaison
s au dix-septième siècle ce tour libre et rapide était autorisé par l’
usage
. 2. Elle fut nommée Amable ; et, dans la suite,
eut son principe dans sa vertu, ce moyen de parvenir trop peu mis en
usage
; car, comme elle l’a dit elle-même : « Rien n’es
ici Malherbe : voy. nos Morceaux choisis des Classiques français à l’
usage
de la classe de quatrième, p. 74. 3. Chimène, a
sont à regretter : voy., dans ses Eléments de littérature, l’article
Usage
. 2. Au sujet des sentiments qui animent don Dièg
us-entendre. 1. Pour il a fallu se contenter de : ce tour est hors d’
usage
aujourd’hui. 2. Cette formule de civilité, qui a
ais à une chose ; ou, pour mieux parler, consentir n’est plus guère d’
usage
, comme verbe actif, qu’au palais et dans le langa
au discours de Cicéron pour Milon. Au lieu de morceler, suivant l’
usage
, différents discours, pour en extraire des exempl
odieux, appartient à l’orateur Lysias, qui, le premier, en avait fait
usage
dans un plaidoyer sur le meurtre d’Ératosthène ;
nt chez lui, changea de vêtement et de chaussure, attendit, suivant l’
usage
, que sa femme eût fait tous ses préparatifs, et p
manière. Le style simple et facile est le seul qui puisse être mis en
usage
. Dans les lettres de sentiment, il doit être path
uivant les circonstances : c’est ce qu’on ne peut apprendre que par l’
usage
. Il faut laisser entre la qualification de la per
nnes prétendent le contraire. Je ne puis dire quel est sur ce point l’
usage
le plus généralement suivi. Si néanmoins ceux qui
es accidents de tous les jours, les vertus, les vices, les mœurs, les
usages
, les caractères de la vie commune ; c’est l’histo
res, à l’aide de personnages et d’événements supposés, les mœurs, les
usages
et l’esprit d’un autre âge. Walter Scott, qui a c
l semble résulter des exemples mêmes qu’ils apportent, ainsi que de l’
usage
, qu’il n’y a pas de différence fondamentale entre
ne se distingue pas, non plus, au fond, du conte ou du roman : dans l’
usage
ordinaire, c’est un roman de petite dimension, do
plus récents de renseignement secondaire ont établi qu’il serait fait
usage
, dans toutes les classes des lycées et des collèg
, pour les classes de grammaire particulièrement, et en recommander l’
usage
à MM. les proviseurs et principaux. Cette œuvre m
asses élémentaires, convaincu qu’il fallait avant tout les former à l’
usage
de la langue de nos jours, nous avons, sans accep
ent du vrai et du faux49. Toutes les autres qualités d’esprit ont des
usages
bornés ; mais l’exactitude de la raison est génér
eptes. Mais si l’on considère ce que l’expérience vous fait voir de l’
usage
que ces philosophes en font, et dans la logique,
rai point dans un détail qu’il serait impossible de bien expliquer. L’
usage
ordinaire le fait assez entendre, et en disant qu
ce que les héros se maintiennent en un état paisible, et conservent l’
usage
libre de leur raison dans les accidents les plus
s juger du mérite d’un homme d’après ses grandes qualités, mais par l’
usage
qu’il en sait faire. Nous désirerions peu de chos
ires ? qui aurait recours à lui dans ses afflictions, et enfin à quel
usage
de la vie le pourrait-on destiner ? En vérité, il
des noms pompeux, vides de sens et de choses, je regardais le mauvais
usage
que nous faisons de ces termes. Mais, pour dire l
nt le charme de la nouveauté, et semblent être faits seulement pour l’
usage
où elles les mettent. Il n’appartient qu’à elles
nde envie plus notre opulence qu’il ne l’honore : faisons-en un saint
usage
, il n’enviera plus nos richesses et il respectera
alité, dit Possidius291, une nourriture plus délicate, c’est-à-dire l’
usage
de la viande, quels honneurs ne reçut-il pas de s
té et la pauvreté évangélique de ceux qui en étaient revêtus ! De l’
usage
des revenus ecclésiastiques : deuxième réflexion.
ivage, n’ayant pour habits que des lambeaux déchirés de vêtements à l’
usage
des montagnards. Ils rencontrèrent au point du jo
s368. Les interruptions, les repos, les sections, ne devraient être d’
usage
que quand on traite des sujets différents, ou lor
st du monde, il faut bien que l’on rende Quelques dehors civils que l’
usage
demande. ALCESTE. Non, vous dis-je, on devrait ch
eur des vertus des vieux âges Heurte trop notre siècle et les communs
usages
: Elle veut aux mortels trop de perfection. Il fa
nation juive est condamnée à périr. Il faut qu’Esther, au mépris des
usages
de l’empire, paraisse devant le roi, pour obtenir
R. Oui, je viens dans son temple adorer l’Éternel ; Je viens, selon l’
usage
antique et solennel, Célébrer avec vous la fameus
au Dieu qui l’avait protégé. Peut-on les employer pour un plus noble
usage
? Venez, je veux moi-même en faire le partage. L
oldat qui le garde, Alzire le fait évader pendant la nuit. Le premier
usage
qu’il fait de sa liberté, c’est d’aller frapper s
peut découvrir par les lumières naturelles et qui peuvent servir à l’
usage
de la vie. Il n’est donc point d’étude en elle-mê
e et de Pascal, a, peu après eux, presque entièrement cessé d’être en
usage
, quoiqu’il fût plus vif et plus gracieux que trom
e style dogmatique » ; et le père Bouhours en a condamné absolument l’
usage
. Nous le regretterons quant à nous, et nous redem
t s’arrêter : Marche ! marche ! etc. » Voy. nos Morceaux choisis, à l’
usage
de la classe de cinquième, p. 38. 161. M. de Sei
tous ces beaux mots que je vois périr, opprimés par la tyrannie de l’
usage
, qui ne nous en donne point d’autres en leur plac
, Art poét., v. 1 et suiv. 247. Nicole et le P. Malebranche. 248. L’
usage
a prévalu d’écrire Montaigne. Le célèbre auteur d
on peut lire quelques-unes dans le volume de nos Morceaux choisis à l’
usage
de la classe de sixième. 447. Nous avons cru inu
ns, sans doute pour ajouter à l’autorité de la fiction dont il a fait
usage
. Montaigne a mentionné (Essais, II, 2) le Marc-Au
e. Pour lire avec fruit cet auteur, on fera également un très heureux
usage
du Lexique de la langue de Molière, par M. Génin.
e ces personnages. 490. L’expression paraît singulière ; cependant l’
usage
a consacré la même figure dans cette manière de p
t, un peu absolu, qu’exprime La Bruyère, Caract., ch. 14, de Quelques
usages
: « Celui qui sollicite son juge ne lui fait pas
l à la première personne ; ce qui n’était d’ailleurs qu’un retour à l’
usage
ancien. 541. Plutôt à l’appas, au singulier. 54
e dans certes), qui a été conservée par Boileau. Ce retour à l’ancien
usage
est une licence poétique dont on trouve des exemp
i cadencées, si riches d’élocution. » 585. Où remplace auquel. Cet
usage
de l’adverbe où était fort répandu au dix-septièm
son esprit, nous dit-il dans sa préface : c’était « de lier, selon l’
usage
des anciennes tragédies, le chœur et le chant ave
fort reçue à cette époque, et qui seulement a cessé depuis d’être en
usage
. Les Pensées de Pascal nous en offrent un exemple
mploi était jadis fréquent parmi nous, est aujourd’hui presque hors d’
usage
. Cf. Cinna, V, 3. 626. « Tout ce qu’il peut y a
cet art merveilleux d’association qui rend poétiques les termes de l’
usage
le plus vulgaire. Les consonances redoublées de p
tc. 668. Ces trois rimes féminines de suite, rapprochées contre l’
usage
, annoncent assez la présence de l’esprit prophéti
mes lieux intrinsèques. Je la comparerai aux autres roses, pour faire
usage
des semblables ; je la placerai à côté du lis, de
ir des oppositions ; je raconterai quelques anecdotes, et ferai ainsi
usage
des exemples ; enfin, pour donner plus de prix à
, et donne une idée générale du sujet. 4. On doit dans l’exorde faire
usage
des mœurs et des bienséances oratoires. 5. L’exor
posé des faits nécessaires à l’intelligence du discours. Elle n’est d’
usage
que dans le plaidoyer, l’oraison funèbre et le pa
ur résume ses moyens. 14. C’est surtout dans la péroraison qu’on fait
usage
du pathétique. Il ne suffit pas toujours de conva
inels, les réquisitoires, mercuriales, rapports et autres discours en
usage
au barreau. § IV. — Éloquence académique. 1
. Oui, je viens dans son temple adorer l’Éternel ; Je viens, selon l’
usage
antique et solennel, Célébrer avec vous la fameus
rime ; c’est toute liberté que le poète se donne contre la règle et l’
usage
ordinaire. En faveur de l’harmonie, la licence au
ements, pages 199 à 217. 22. Voir mon Cours de style épistolaire à l’
usage
des demoiselles. 2 vol. in-12. 23. Développement
n’est justifiée ni par les principes qui régissent ce trope, ni par l’
usage
. 31. Plusieurs rhéteurs modernes disent que la
incre. Partant de ce principe que l’éloquence est une dialectique à l’
usage
du peuple, il passa en revue les idées principale
ens, traités, commerce, industrie, politique, histoire, morale, lois,
usages
, que rien ne lui soit étranger. S’il ne peut embr
ps. Les idées sont un fonds commun que chacun peut s’approprier par l’
usage
qu’il en fait. Le Moïse de Michel-Ange n’était qu
e la couleur qui lui convient. L’éloquence, étant une dialectique à l’
usage
de tous, doit être comprise de tous. Elle ne doit
jeune et vigoureuse court encore dans les veines du tronc. Chez eux l’
usage
n’a pas encore altéré le sens des mots en les dét
cert. Mais cette justesse de tons, qui nous la donne ? L’éducation, l’
usage
, l’exercice : je ne connais pas d’autres maîtres.
oit-on leurs pieds, tant ils sont courts et menus : ils en font peu d’
usage
; et ils ne se posent que pour passer la nuit, et
s les quitter jamais. Il ne fait que pomper leur miel, et c’est à cet
usage
que sa langue paraît uniquement destinée : elle e
à marcher seul j’ose me hasarder. On me verra toujours pratiquer cet
usage
. Mon imitation n’est point un esclavage : Je ne p
ntit toute l’aridité de la versification descriptive et didactique en
usage
à cette époque. Un frais souffle venu de la Grèce
es bagatelles que l’on porte sur soi autant pour la vanité que pour l’
usage
; et il ne se plaint3 non plus toute sorte de par
t et ennemi de la souveraineté, s’il s’y rencontre ; qui abolisse des
usages
cruels et impies5, s’ils y règnent ; qui réforme
à cause du mot nul : c’est un latinisme qui n’est point passé dans l’
usage
; on le trouve dans Montaigne : « Nulles proposit
1. Expression bizarre. 2. Mais ceux qui de la cour ont un plus long
usage
Sur les yeux de César composent leur visage. (Rac
1. Substitution des substantifs. Les poëtes font un fréquent
usage
de la métonymie ; ainsi ils prennent souvent l’ef
stas ; c’est l’effet pour la cause. Les poètes font aussi un fréquent
usage
de la synecdoche ; ainsi, ils emploient souvent l
ns les lettres et les syllabes des altérations qui sont d’un fréquent
usage
dans la poésie. Telles sont : 1° La syncope ou su
licences, qui sont moins fréquentes, s’apprendront suffisamment par l’
usage
. II des synonymes. Quand un mot n’est
ours, c’est celui de mettre en circulation un mot frappé au coin de l’
usage
. Quand, au déclin des années, les forêts perdent
n d’autres, qui sont de mode aujourd’hui, tomberont à leur tour, si l’
usage
le veut jamais, l’usage, cet arbitre absolu, ce m
mode aujourd’hui, tomberont à leur tour, si l’usage le veut jamais, l’
usage
, cet arbitre absolu, ce maître, ce régulateur du
où doit puiser le poëte, ce qui forme et nourrit son talent, ce que l’
usage
permet, ce que le goût réprouve ; je dirai où mèn
sont 202en honneur maintenant, 203tomberont un jour, 204est si l’
usage
, au-pouvoir duquel est 205la toute-puissance, et
ui ont imaginé cette dénomination assez pompeuse d’Art poétique, et l’
usage
a prévalu. Horace n’avait donné à son œuvre que c
imagines, en grec εἴδη, idées. Page 4. — 1. Qui pingitur. C’était un
usage
chez les anciens. Les malheureux qui avaient fait
ts. Page 54. — 1. Ut, qui conducti plorant in funere. Allusion à cet
usage
antique, bien connu, d’avoir aux funérailles des
connu, d’avoir aux funérailles des pleureurs à gages (conducti). Cet
usage
a disparu en France, mais il s’y était maintenu j
u virelai, et autres petites pièces de vers, qui ne sont plus guère d’
usage
. Article I. De l’Énigme, du Logogriphe et de
de cette énigme est le secret. Ce petit genre de poésie était fort en
usage
chez les anciens. Œdipe ne monta sur le trône de
ence ma carrière Par visiter mes tonneaux, etc. Il est bon de faire
usage
de la mythologie dans les chansons bachiques et d
lus récents de l’enseignement secondaire ont établi qu’il serait fait
usage
, dans toutes les classes des lycées et des collèg
, pour les classes de grammaire particulièrement, et en recommander l’
usage
à MM. les proviseurs et principaux. Cette œuvre m
asses élémentaires, convaincu qu’il fallait avant tout les former à l’
usage
de la langue de nos jours, nous avons, sans accep
sert-il de le dissimuler ? Cette vertu, que le roi met aujourd’hui en
usage
, nous est aussi nouvelle qu’elle était inconnue à
qu’on court. On n’en voudrait pas s’il était offert. Ce n’est pas cet
usage
mol et paisible, et qui nous laisse penser à notr
s, si nous avons à les répandre, doivent être réservées pour un autre
usage
; et nous ne pouvons ignorer quel est cet usage q
servées pour un autre usage ; et nous ne pouvons ignorer quel est cet
usage
que nous en devons faire, après que Jésus-Christ
e le goût n’aurait pas chez nous une destinée plus invariable que les
usages
, s’il n’établissait des juges pour le fixer291. R
(Fragment.) Du plaisir que la bienfaisance offre aux grands. Quel
usage
plus doux et plus flatteur, mes frères, pourriez-
mployez tant qu’il vous plaira vos biens et votre autorité à tous les
usages
que l’orgueil et les plaisirs peuvent inventer :
fait porte avec lui ce tribut doux et secret dans notre âme : le long
usage
, qui endurcit le cœur à tous les plaisirs, le ren
nts : et cela se peut voir aisément ; car les maximes dont ils firent
usage
contre les plus grandes puissances furent précisé
le principal organe ; le bras et la main sont faits pour servir à des
usages
plus nobles, pour exécuter les ordres de la volon
lités du duc de Choiseul et dont il avait toujours fait le plus noble
usage
. Lui-même subit aux Madelonnettes une détention a
ce fut d’achever l’éducation de notre langue et de la façonner pour l’
usage
des génies qui illustrèrent notre grand siècle. P
e vos leçons qu’il faut que je l’apprenne : J’aurais mal profité de l’
usage
et du temps ! LADISLAS. Souffrez… VENCESLAS.
ente ! Appeler un jargon le langage Fondé sur la raison et sur le bel
usage
! MARTINE. Quand oh se fait entendre, on parle to
mettre incessamment mon oreille au supplice, Pour rompre toute loi d’
usage
et de raison Par un barbare amas de vices d’orais
Sa patrie et ses dieux. Corrigez donc pour lui vos rigoureux
usages
, Prenez tous les fuseaux qui pour les plus longs
le rare mérite de respecter son talent, et de n’en faire jamais qu’un
usage
avoué par la morale. Ses pièces se recommandent,
ne et de Pascal a, peu après eux, presque entièrement cessé d’être en
usage
, quoiqu’il fût plus vif et plus gracieux que trom
né, datée du 16 août 1675, et que renferment nos Morceaux choisis à l’
usage
de la classe de quatrième, un bel éloge des vertu
e de Dieu dans les événements humains. (Voy. les morceaux choisis à l’
usage
de la classe de troisième, page 4.) 107. « On a
Évremond, que nous avons fait connaître dans nos Morceaux choisis à l’
usage
de la classe de quatrième. 110. On peut voir : P
it qu’il les crée, ou du moins qu’elles ont été conçues exprès pour l’
usage
qu’il en fait. » 139. Le pronom elle se rapport
oème, remarque Duclos, que les mœurs y sont bien gardées, lorsque les
usages
, les coutumes, les caractères des personnages son
Bouhours, dans ses Remarques nouvelles, nous apprend même que le bon
usage
donnait la préférence à prêt de, quand il voulait
verbe consommer ne s’applique qu’aux choses usées et détruites par l’
usage
(les provisions ont été consommées). 371. L’homm
eoir, mais seulement s’asseoir. Ainsi le temps, par les caprices de l’
usage
, ne cesse de se jouer des mots qu’il modifie ou a
elques poètes, mais qu’il ne faut suivre que dans une juste mesure. L’
usage
autorise et même impose Tite-Live, Valère-Maxime,
ai tort ; mais le pronom se mettait alors dans plusieurs tours d’où l’
usage
l’a fait disparaître : tirer la raison, pour tire
on peut lire quelques-unes dans le volume de nos Morceaux choisis à l’
usage
de la classe de sixième. 550. Nous avons cru inu
e. Pour lire avec fruit cet auteur, on fera également un très heureux
usage
du Lexique de la langue de Molière, par M. Génin.
pse excellente, que nous n’avons pas été assez jaloux de retenir. Cet
usage
de l’adverbe où, que Vaugelas déclarait « élégant
qu’aux plus choquants idiotismes n’a pas manqué la consécration de l’
usage
. Cette alliance d’un verbe au pluriel avec un pro
ore un peu plus bas. 668. On peut voir dans nos Morceaux choisis à l’
usage
de la classe de cinquième, p. 20, les mêmes faits
e ne s’emploie plus qu’en bonne part, tandis que, par un caprice de l’
usage
, glorieux a conservé la double acception, favorab
03. Ces trois avantages ont justement répandu dans l’Europe entière l’
usage
de notre idiome et fondé sa prééminence, comme on
poésie et à l’éloquence, il en est quelques autres qui semblent d’un
usage
plus nécessaire et plus fréquent aux orateurs qu’
15). C’est au barreau principalement que cette figure est d’un grand
usage
, parce que c’est là qu’il importe surtout de pres
ats font souvent les diverses humeurs. Boileau, Art poét. Il est d’
usage
de placer dans le poème épique un héros qui domin
popée peut varier dans sa forme : nous ne faisons que constater ici l’
usage
général. Le poème s’ouvre par la proposition ou d
r. Dans plusieurs cantons de la Corse, surtout dans les montagnes, un
usage
extrêmement ancien, et qui se rattache peut-être
s et épais à proportion. Ajoutez à cela les meilleures armes alors en
usage
et la connaissance approfondie de l’école de bata
la mort, livré au dernier supplice ? « Après tout, qui t’arrête ? Les
usages
de nos ancêtres ? mais, plus d’une fois, de simpl
laudius, qui signala son édilité par la plus grande magnificence, fit
usage
de ce Cupidon tout le temps qu’il fit orner la pl
province ; ils vous ont permis seulement d’y acquérir les choses d’un
usage
indispensable. Pourquoi tous ces soins, ces lois
aut prix ces curiosités ? Non, elles ne sont ni de mon goût ni de mon
usage
: je crois que vous devez les apprécier d’après c
la république et même de la Sicile. C’était chez eux un devoir et un
usage
de fournir, à prix d’argent, soixante mille boiss
raint les témoins, s’il a ménagé les négociants de la Sicile. Voici l’
usage
qu’il en voulait faire. Après avoir enlevé une si
iosités. Il lui envoie une assez grande quantité de présents pour ses
usages
domestiques, des vins, des huiles autant qu’il le
à mettre du vin, formé d’une seule pierre précieuse, creusée pour cet
usage
, et à laquelle on avait ajouté un pied d’or. Vous
stât : car l’entrée de cette chapelle leur est interdite, et il est d’
usage
que les sacrifices ne s’y fassent que par les fem
quoique pendant trois ans elle ait possédé une fabrique d’étoffes à l’
usage
des femmes. Assez près de cette ville est un anci
chez qui il est prouvé qu’elle a pris naissance et trouvé l’art et l’
usage
des moissons ? Aussi, du temps de nos pères, dans
d’après ces sénateurs, comment la chose se passa. LXIV. C’est l’
usage
à Syracuse, quand on rapporte quelque affaire dan
écide de ceux qui opineront sur l’affaire agitée. Conséquemment à cet
usage
, on proposa au sénat de faire l’éloge de Verrès ;
s nous en empêcha. Quoique Péducéus ne soit plus dans le cas de faire
usage
de notre éloge, il serait injuste de ne pas statu
ontenait encore un autre article, dont l’accusé n’oserait faire aucun
usage
, et qu’un accusateur ne cesserait de faire valoir
de nouveaux services, tant d’années après cette transaction, malgré l’
usage
de notre république, qui a constamment fait valoi
n point produire un seul, que de ne pas remplir ce nombre fixé par un
usage
qui a presque force de loi. Il y a dans la Sicile
achetèrent les droits attachés à notre empire, les secours qu’un long
usage
et les traités nous assuraient. Vous venez de voi
ême. Qui n’aperçoit le motif qui vous engagea le premier à changer un
usage
observé par tous vos prédécesseurs, et à négliger
t avoir vu ce chef des pirates, quoique tout le monde, comme il est d’
usage
, courût, le cherchât des yeux et désirât le voir.
prison publique. XXX. Quel était votre droit en ce point ? Quel
usage
, quel exemple vous y autorisait ? L’ennemi le plu
main : un autre délivre une somme pour n’être pas condamné ; c’est un
usage
. Le peuple romain ne veut point que l’on porte de
former pour la première fois, j’ai cru que je n’en pourrais pas faire
usage
. Quoique persuadé de la vérité du fait je ne croy
’une du dithyrambe, l’autre des farces satiriques, qui sont encore en
usage
dans quelques-unes de nos villes ; la première se
schyle lui en donna un second ; il abrégea le chœur, et introduisit l’
usage
d’un prologue. Sophocle ajouta un troisième acteu
Médée ou dans le retour des Grecs de la petite Iliade. On peut faire
usage
de la machine pour ce qui est hors du drame, qui
intaine, où elle devient elle-même prêtresse. Dans ce pays, c’était l’
usage
de sacrifier tous les étrangers qui y arrivaient
e de plus des deux tiers : ce plus est ambigu. — Par l’abus passé en
usage
: on appelle vin du vin mêlé d’eau ; ouvriers en
onnaître le véritable esprit des lois, des règles, des décisions, des
usages
, des privilèges de l’Église, ses oracles, ses dog
a main des hommes, et en même temps celui qui nous apprend le mieux l’
usage
que nous devons faire de l’histoire. Rollin dans
faits, que par l’élégance et la pureté du style. Le caractère et les
usages
de la nation, les divers fondements de notre droi
s les pays qu’ils ont habités, et observe la religion, les mœurs, les
usages
, le goût dominant de leur siècle. Tel ouvrage jus
esprit de politesse ; l’on ne peut en fixer la pratique : elle suit l’
usage
et les coutumes reçues ; elle est attachée aux te
onsumer à la recherche des langues le même temps qui est consacré à l’
usage
que l’on en doit faire ; c’est borner à la scienc
es bagatelles que l’on porte sur soi autant pour la vanité que pour l’
usage
; et il ne se plaint2 non plus toute sorte de par
ommes privilégiés, pour qui le monde même a cru pouvoir déroger à ses
usages
; et il est beau que ce soit pour la vertu modest
des noms pompeux, vides de sens et de choses, je regardais le mauvais
usage
que nous faisons de ces termes, etc. » Toute cet
ujours à l’abri elle-même de toute responsabilité, quel que soit ou l’
usage
ou l’abus. Ne nous demandons pas plus que nous ne
ssimilia. Rien de plus fréquent dans les orateurs et les poëtes que l’
usage
des contraires et des semblables. Bourdalouc s’ad
rs ténébreux. » 1. Tour figuré et familier qui veut dire : suivant l’
usage
, à la manière… 2. Ce grade répondait à celui de
’hui. 4. Ce verbe, dérivé du latin insequi, est aujourd’hui de peu d’
usage
. 1. On peut lire le même récit, non moins animé
mage de la vie, et que nous avons donné dans les Morceaux choisis à l’
usage
de la quatrième. 5. Dieu, par la punition des pé
gique, dont il fit toutefois, à l’exemple de son temps, un trop large
usage
. Cons., pour l’histoire de Circé, l’Odyssée d’Hom
s lunaisons1, prophétise l’orage2, Et même du latin eut jadis quelque
usage
. Dans les doctes débats, ferme et rempli de cœur,
u comme cettuy-là qui conquit la toison, Et puis est retourné plein d’
usage
et raison Vivre entre ses parents le reste de son
que les Turcs s’en servirent au siége de Rhodes, en 1522. On n’en fit
usage
en France qu’en 1634, au siége de La Mothe, ville
i et la violence. Si nous ne voulons pas user de l’une, il faut faire
usage
de l’autre. Voulons-nous abolir la violence ? il
ie : la religion, le pouvoir des magistrats, l’autorité du sénat, les
usages
de nos ancêtres, les lois, les tribunaux, les for
it pas toujours à faire, de celui qui leur reste à vivre, un meilleur
usage
. La vie est un sommeil2 : les vieillards sont ceu
des chaînes de fer, dont les séditieux, en cas de troubles, faisaient
usage
pour se barricader. Voy dans ce volume le morceau
quelqu’un ? Hector. >Est-il venu quelqu’un ?>Il est, selon l’
usage
, Venu maint créancier ; de plus, un gros visage,
raver, défier le destin, la fortune. » Toutefois Molière n’a pas fait
usage
de ce mot, qui est complétement tombé en désuétud
Majesté Impériale et Royale, visitant le Prytanée de Paris, ordonna l’
usage
de ces Principes Généraux des Belles-Lettres, pou
ondit, une colonne de feu, le lever du soleil des flots de sang. « L’
usage
d’employer les mots dans un sens figuré s’étend f
i d’abord du style figuré ; mais c’est par goût qu’on en a conservé l’
usage
. » Nous diviserons les figures en six classes :
plus expressément à quelque particularité de langage, de caractère, d’
usage
, de condition, de mœurs locales, d’opinion, d’éru
es, à orner le discours. Les poètes en font particulièrement un grand
usage
; ils s’en servent pour étendre et enrichir une i
aines. Ulysse, pour déterminer Agamemnon à sacrifier sa, fille, fait
usage
de cette figure dans son discours. Cette figure c
▲