/ 166
1 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Lacordaire 1802-1861 » pp. 279-285
Sulpice. Son éloquence, qui s’était déjà signalée dans le procès de l’ École libre devant la Chambre des pairs, se révéla plus
ui rien épargner des devoirs et des gênes de leur maison. Rentré de l’ école ou du collége, il lui fallait porter le pain chez
jeunesse se pressait, à Châlons-sur-Marne 1, dans une des salles de l’ École d’artillerie. Le célèbre La Place 2 y faisait, au
eune homme, et lui annonce qu’il est le premier de la promotion 5 ; l’ École se lève tout entière, et accompagne en triomphe d
ambre publique, c’est-à-dire la boutique. 1. Châlons avait alors une école d’artillerie d’où sortit aussi P.-L. Courier. 2.
4. Par curiosité. 5. Promotion. L’ensemble des élèves admis à une école spéciale du gouvernement. 6. Drouot (1774-1847),
2 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Brizeux, 1803-1858 » pp. 557-563
x légère, Vous chantiez à la messe auprès de votre mère, Et la petite école , où traînant chaque pas1, Vous alliez le matin ;
re en paix aux lieux qui l’ont vu naître2 ! Les fondements d’une école 1 De l’église du bourg sondez les fondements
p peu des règles du métier : Maçons, si vous voulez que votre blanche école Ne tombe pas au vent, comme un jouet frivole, Dès
dans les airs… » 1. Le poëte veut dire que l’enfant ne va guère à l’ école d’un pas empressé. 2. Quand la mer est calme, da
regrette, où il languit. 1. Un jour, comme on bâtissait une maison d’ école dans son village, l’idée vint à Brizeux de compar
nt à Brizeux de comparer la blanche maison qui s’élevait à ces autres écoles qui durent depuis tant de siècles ; en souhaitant
3 (1892) La composition française aux examens du baccalauréat de l’enseignement secondaire moderne, d’après les programmes de 1891, aux examens de l’enseignement secondaire des jeunes filles et aux concours d’admission aux écoles spéciales pp. -503
des plans, des développements, des devoirs d’élèves, et, pour chaque école , la plupart des sujets qui ont été proposés aux c
sensiblement de ceux qu’on propose à l’agrégation, ou à l’entrée des écoles du Gouvernement. On est plus ou moins exigeant se
es sujets s’adressent donc à tous. On en peut dire autant des grandes écoles scientifiques et des écoles de commerce. Ce qui c
tous. On en peut dire autant des grandes écoles scientifiques et des écoles de commerce. Ce qui convient à l’une convient aus
Qualités essentielles du style épistolaire. (Clermont, août 1884.) L’ école romantique. – Sa naissance, ses théories. – Ses p
e Voltaire a voulu dire quand il a appelé le théâtre de Corneille une école de grandeur d’âme. (Poitiers, août 1891.) Vauvena
t, octobre 1877.) Montrer comment Corneille a fait de la tragédie une école de grandeur d’âme. (Clermont, octobre 1878.) Quel
cu ? Quelle est aujourd’hui l’opinion la plus suivie ? L’une des deux écoles a-t-elle cédé à l’autre ? ou bien l’accord s’est-
ctrine Régnier a-t-il défendue dans son épitre contre Malherbe et son école  ? – Faire connaître, d’après Boileau, la réforme
la haine d’un sot livre ». Il avait formé son esprit et son goût à l’ école des anciens, il devait donc mépriser les auteurs
inspire à ses contemporains l’amour de la nature et il crée toute une école d’écrivains descriptifs ; Chateaubriand et la plu
olière des attaques injustes et ridicules que l’envie dirige contre l’ Ecole des Femmes, il le proclame un maître en l’art d’é
s se sent toujours des bassesses du cœur. Jeune il s’était formé à l’ école des anciens et il avait blâmé tout ce qui s’éloig
différentes, aussi opposées que possible : décider entre les diverses écoles , se montrer même éclectique, c’est donner son goû
ncours et examens de l’enseignement secondaire des jeunes filles Écoles spéciales Nous avons tenu à rédiger pour cett
Nous avons tenu à rédiger pour cette seconde partie qui a trait aux Écoles spéciales un Manuel pratique qui fût à la fois un
sujets proposés qui sont appropriés exactement au caractère de chaque école . Il est facile de se rendre compte que nous avons
latés dans les Conseils généraux que nous avons mis en tête de chaque école . Mais tout se tient et s’enchaîne dans ce recueil
miné peuvent être utiles à des candidats qui se préparent à une autre école . Il y a corrélation entre eux. Connaître les extr
’enseignement moderne, et réciproquement. Telle narration traitée à l’ École navale peut être dictée à un candidat au baccalau
l’École navale peut être dictée à un candidat au baccalauréat, à une école d’agriculture, etc. École normal de Sèvres
tée à un candidat au baccalauréat, à une école d’agriculture, etc. École normal de Sèvres Conseils généraux Les as
ttéraire, de présenter une analyse d’auteur, d’exposer les théories d’ écoles relatives à un problème de morale. Elles ne doive
de la légèreté. Il est indispensable de s’initier, avant d’aborder l’ École de Sèvres, à la langue de la critique littéraire.
ettre de Voltaire : « Je regarde la tragédie et la comédie comme des écoles de vertu, de raison et de bienséance. Corneille,
bienséance. Corneille, ancien Romain parmi les Français, a établi une école de grandeur d’âme, et Molière a fondé celle de la
ée et la seconde. La vertu s’applique à la Tragédie – et à Corneille ( école de grandeur d’âme) – La Comédie correspond à rais
me) – La Comédie correspond à raison et à bienséances – et à Molière ( école de la vie civile). 1 er Paragraphe. – A. Montrer
a vie civile). 1 er Paragraphe. – A. Montrer que la tragédie est une école de vertu. En effet, dans le théâtre classique, to
définition. La grandeur d’âme n’est-elle pas enseignée, comme en une école où constamment se donnent mêmes leçons, mêmes exe
le à sa patrie ? 2 e Paragraphe. – A. Montrer que la comédie est une école de raison et de bienséances. Définir la raison :
pour les conseils généraux à ceux que nous donnons aux aspirantes à l’ Ecole de Fontenay-aux-Roses. Nous signalons d’une façon
de l’écrivain d’où le texte était pris. Seules, plusieurs élèves de l’ école de Sèvres et deux institutrices d’un mérite disti
’institutrice a dit ses secrets, et quelques élèves de nos meilleures écoles , surtout de celle de Sèvres ; esprits jeunes, mai
fficile ; une, entre les meilleures, signée d’un des jeunes noms de l’ École de Sèvres, s’est distinguée par un heureux et pre
en l’appliquant à propos à certains vers, à tels vers de la nouvelle école , éblouissants, prestigieux, mais, à le bien prend
peine d’être sauvés ; pour les autres, le vieux poète les met à rude école mais combien saine ! oui, il est chimérique et se
littéraire la forte discipline scientifique. X., Ancienne Élève de l’ École de Fontenay-aux-Roses. Agrégation de l’ensei
confirmé en moi cette conviction, qu’on ne saurait accorder dans les écoles normales trop d’importance à l’étude sérieuse de
n certain nombre de copies, et plus particulièrement dans celles de l’ École normale de Sèvres, dont plusieurs élèves ont fait
spirantes qui n’ont point passé par cette discipline d’une excellente École ont montré, en général, moins de netteté dans les
ui plaît la grammaire, et qui en ont fait une étude spéciale depuis l’ école primaire, ne sont pas en mesure d’en attester la
core bien belle. X., Élève du Collège Sévigné. (Cours du soir.) École normale de fontenay-aux-roses Section des le
n. J. Simon L’École. Compayré Œuvres diverses. Anthoine A travers nos écoles . Vessiot De l’éducation à l’école. – De l’enseign
s diverses. Anthoine A travers nos écoles. Vessiot De l’éducation à l’ école . – De l’enseignement à l’école. O. Steeg L’honnêt
nos écoles. Vessiot De l’éducation à l’école. – De l’enseignement à l’ école . O. Steeg L’honnête Homme. Legouvé Une élève de s
Janet. La Famille. De Laprade Poèmes civiques. E. Manuel Poésies de l’ école et du foyer. Mlle Jeanne Vaudouer… Lectures moral
nne Vaudouer… Lectures morales et littéraires. E. Petit Alentour de l’ école . L’École moderne. Gausseron Comment élever nos e
uer… Lectures morales et littéraires. E. Petit Alentour de l’école. L’ École moderne. Gausseron Comment élever nos enfants ?
velopper chez vos élèves ? Littérature. On ne lit pas assez dans nos écoles . Comment développeriez-vous le goût de la lecture
mment développeriez-vous le goût de la lecture chez les élèves de nos écoles normales ? Lecture : Legouvé. – L’Art de la lectu
Dans quelle mesure et par quels moyens le travail des enfants dans l’ école peut-il ou doit-il être rendu attrayant ? Compos
les raisons vous attirent vers la carrière de l’enseignement dans les écoles normales, et quelles difficultés vous attendez-vo
avez reçue ? Pédagogie. Entre les différentes matières d’études des écoles normales, en est-il une pour laquelle vous vous s
. Que pensez-vous du pensum, employé comme moyen de punition dans les écoles primaires ? Exposez avec le plus de précision po
Pédagogie. Des qualités que doit avoir un bon livre de lectures à l’ école primaire. Concours de 1888. Littérature. É
ture ou grammaire. I. – Un jeune homme, qui se prépare à l’une de nos écoles savantes, exprime dans une lettre adressée à sa s
périté de l’État. La jeune fille, qui se destine à l’enseignement des écoles normales, lui répond. Vous avez à composer cette
ser des cailloux sur le bord de la route. » (Anthoine, A travers nos écoles .) – La Bruyère dit (chap. V, De la société et de
es vient de vous écrire : pendant tout le temps qu’elle a fréquenté l’ école , elle n’a jamais eu de goût pour les travaux à l’
dait à une de ses amies qui lui demandait les causes du succès de son école  : « J’aime mes élèves ! » – Développez cette répo
e chose à sa place. » Faites-en l’application à la jeune fille dans l’ école et dans la famille. – Que faut-il penser de l’emp
sante des bons soins et de la bonne direction que sa fille reçoit à l’ école , écrit à l’institutrice pour l’en remercier. Elle
règle de conduite à l’une de vos amies chargée de la direction d’une école rurale. Prouvez-lui qu’une institutrice manquerai
ns cette partie du service scolaire. – Une jeune fille qui sort d’une école primaire supérieure avec le certificat d’études,
er et les motifs de ses préférences. – Examiner, en l’appliquant aux écoles normales d’institutrices, cette maxime : « La cho
sein, cette poétique sans dissertation, cette rhétorique sans règle d’ école , seraient un livre unique. Voltaire parle des cho
spirantes auront tout intérêt à étudier de près les sujets donnés aux écoles scientifiques comprises dans le présent travail.
s sciences physiques et naturelles, les promenades scolaires dans les écoles primaires de jeunes filles ? Concours de 1889
rs spécial aux aspirantes au certificat d’aptitude a la direction des écoles normales) 1re Composition. Le respect. – Analys
ucation. 2e Composition. L’enseignement, tel qu’il se donne dans les écoles normales, vous paraît-il propre à former des inst
Simon : « Chaque fois que l’on instruit une femme, c’est une petite école qu’on fonde. » – Une de vos amies, qui vient d’o
le à l’examen du brevet supérieur ou au concours d’admission dans une école normale d’institutrices ? Faites la réponse en dé
stitutrice, appelée pour la première fois à faire la classe, dans une école nombreuse, vient de se mettre à l’œuvre, non sans
s avez visité une exposition scolaire où les travaux à l’aiguille des écoles de filles vous ont particulièrement intéressée. V
rses sortes d’ouvrages qui y sont étalés. L’exposition d’une certaine école vous a paru supérieure aux autres (indiquez les r
vous venez d’employer le temps des vacances. – Dans le programme des écoles primaires figurent, sous le titre d’éducation mor
nstruction et de son éducation. – La famille est, dit-on, la première école de toutes les vertus. Montrer la vérité de cette
e des autres qu’un peu au-dessous de ce que tu ferais pour eux. École normale de Saint-Cloud Section des lettres
us traçons le plan de quelques devoirs – et nous renvoyons aux autres écoles pour le complément. Concours de 1881. Pédag
uoi les différentes études littéraires qui composent le programme des écoles normales contribuent à former le jugement. Litté
e manière et dans quelles conditions peut-on utilement interroger à l’ école primaire ? PLAN Préambule. – Utilité de l’interr
un pur bavardage. Littérature. Exposez à des élèves qui entrent à l’ école normale les principaux traits distinctifs de la p
insisteriez surtout dans l’explication de cette fable à une classe d’ école primaire (cours supérieur). Concours de 1884.
 » Application à une ou plusieurs branches de l’enseignement dans les écoles normales primaires. Littérature. Expliquer comme
Du rôle et de l’utilité des exemples dans l’étude de la grammaire à l’ école primaire. – Comment pensez-vous qu’ils doivent êt
. » Morale. Est-il utile, est-il possible d’enseigner la morale à l’ école primaire, et comment ? Concours de 1890. L
ssité de la politesse dans toutes les actions. Moyens à employer, à l’ école primaire, pour donner aux enfants l’habitude de l
ttre qu’il adresse à un de ses anciens élèves récemment attaché à une école comme stagiaire, un instituteur explique et dével
e à l’instituteur de sa commune à quoi l’enseignement qu’on donne à l’ école pourra servir à ses enfants, destinés à vivre com
ponse de l’instituteur. – Un instituteur, dont le fils est sorti de l’ École normale, lui écrit pour le mettre en garde contre
 Un instituteur vous écrit qu’il enseigne pas la gymnastique dans son école parce qu’il n’a pas d’agrès. – Faites la réponse.
ce qu’il n’a pas d’agrès. – Faites la réponse. – On a donné congé aux écoles , le lendemain du 14 Juillet. – Si vous étiez dire
x écoles, le lendemain du 14 Juillet. – Si vous étiez directeur d’une école , comment feriez-vous profite vos élèves de cette
n père de famille pour l’engager à envoyer régulièrement son fils à l’ école . – Il fait ressortir les avantages de l’instructi
gnement qu’entre le vice et la vertu. » – On a prétendu que dans nos écoles normales les instituteurs reçoivent une instructi
ducation. Examiner en particulier le rôle de la famille et celui de l’ école dans l’éducation de la conscience morale. – Déve
le sa source. La vie aussi a ses affluents. » – On dit souvent que l’ école est l’image de la société. – Montrez en quoi cela
ontrez en quoi cela est vrai et comment les enfants peuvent faire à l’ école l’apprentissage de la vie, s’y préparer à la prat
s d’un caractère scientifique ont dû être traités. Nous renvoyons aux écoles scientifiques pour les conseils, plans et dévelop
i les différentes études scientifiques qui composent le programme des écoles normales contribuent à former le jugement. Con
e. Montrer le parti que l’instituteur peut tirer du jardin annexé à l’ école communale pour l’enseignement de la botanique.
téraire est nécessaire à un professeur de l’ordre des sciences. École des Beaux-Arts Conseils généraux Les cand
École des Beaux-Arts Conseils généraux Les candidats à l’ École des beaux-arts ont besoin absolument pour réussir
auront intérêt à suivre le Cours d’histoire générale, institué dans l’ École même et où, avec les élèves, les candidats sont a
juillet 1888.) Supposer un monument comme le château de Gaillon, à l’ École des Beaux-Arts. En déduire les caractères de la R
rs œuvres les plus connues. – Quels sont les grands peintres : – de l’ école espagnole, – de l’école hollandaise ? Citez leurs
es. – Quels sont les grands peintres : – de l’école espagnole, – de l’ école hollandaise ? Citez leurs principales œuvres. – Q
rticipé ? Quels traités a-t-il signés ? A-t-il protégé les arts ? École Navale Conseils généraux Les sujets de co
elle du mot responsabilité. Il conclura que le quart est la véritable école du bon marin. (Centre d’examen : Lorient.) sur l
a situation, des événements contemporains. Les candidats aux diverses écoles feront donc bien de se tenir à peu près au couran
us engageons les candidats à traiter quelques-uns de ces sujets. École Polytechnique1 Concours de 1851. la cré
humains. » Que faut-il penser de cette diversité de jugements ? École des mines de Saint-Étienne Conseils généraux
ines de Saint-Étienne Conseils généraux Les sujets donnés à l’ École des Mines de Saint-Étienne ont pour la plupart un
s. Ils auront intérêt à consulter les conseils donnés pour les autres Ecoles scientifiques, pour le baccalauréat de l’enseigne
dans une lettre les raisons qui vous ont décidé à vous présenter à l’ École de Saint-Etienne. – Fontenelle disait que s’il av
cette pensée. – On vous a proposé, à la veille de vous présenter à l’ École , de faire un voyage en France et on vous a demand
ues de sa vie et souvent aux dépens de sa santé. J.-J. Rousseau. École de physique et de chimie industrielles de Paris
t du concours. – Il y aura également profit à lire ce qui a trait aux écoles commerciales, agricoles, des mines, au certificat
les raisons qui vous ont déterminé à vous présenter au concours de l’ école de physique et de chimie industrielles ? Concour
s élevé à partir de 1891. Le sujet est plus difficile pour les quatre écoles . Au dernier concours d’admission aux trois écoles
ile pour les quatre écoles. Au dernier concours d’admission aux trois écoles nationales, il a été tout littéraire, – pour bien
ter les sujets que nous leur proposons et que nous indiquons pour les écoles vétérinaires. Car il est probable que la plupart
e : voir c’est savoir. Voir l’Utilité des voyages. Conseils et plans ( écoles commerciales). Concours de 1890. 2e Session
vailler la terre, à chasser et à courir les bois. Voir la Vie rurale ( École de Montpellier). 2e Session. Comment je voudrais
ter le reproche de notre fabuliste : « Cet âge est sans pitié. » École de Grignon Examen de 1874. Description so
issements dans lesquels le candidat a passé avant de se présenter à l’ École , ses études et les titres ou diplômes obtenus. – 
ou diplômes obtenus. – Raisons qui l’ont décidé à désirer entrer à l’ Ecole . – Impressions qu’il a ressenties en y arrivant. 
il a pu voir et observer. Voir : Les Deux Fermes ; conseils et plans ( écoles vétérinaires). École du Grand-Jouan Exam
Voir : Les Deux Fermes ; conseils et plans (écoles vétérinaires). École du Grand-Jouan Examen de 1882. Quelles so
pour lui indiquer les raisons qui vous ont déterminé à venir dans une école d’agriculture et lui conter vos impressions de vo
i vous ont déterminé à vous faire agriculteur et à vous présenter à l’ École du Grand-Jouan ? Résumer ce que vous savez sur vo
, à l’époque de la moisson. – Notes et impressions. Fermes-écoles et écoles pratiques. – Culture de la betterave. Place de ce
ions que suggèrent l’explication et le développement du proverbe. École de Montpellier Examen de 1889. LA VIE RU
ustifié une fois de plus le respect dont elle doit être entourée. Écoles de Grignon Grand-Jouan et Montpellier Concou
utre est encore élève au collège du chef-lieu. Le troisième sort de l’ école primaire supérieure avec le certificat d’études.
daigner l’humanité, sous prétexte d’aimer trop nos concitoyens. Écoles nationales vétérinaires Conseils généraux
de la copie, ils se reporteront à ce que noudisons aux candidats aux écoles commerciales, d’agriculture, etc. Pour un plus gr
supposerez que vous venez de réussir dans vos examens d’admission à l’ École vétérinaire et que vous écrivez à vos parents pou
n lui disant qu’il ne met pas en pratique les excellentes leçons de l’ école sur les dangers de l’oisiveté, la nécessité, la d
gueur et peut exercer une influence efficace. Citer des exemples. Écoles supérieures de commerce École des hautes études
ce efficace. Citer des exemples. Écoles supérieures de commerce École des hautes études commerciales Écoles supérieures
Écoles supérieures de commerce École des hautes études commerciales Écoles supérieures de commerce Institut commercial
aurait trop recommander. Elle est profitable à tous les aspirants aux Ecoles . Les candidats auront bien soin d’éviter les déve
– l’Histoire du commerce français, par Ch. Périgot (Maurice, éd.). École des hautes études commerciales Examens de 18
ont eu à faire une composition d’histoire. Concours de 1890 École supérieure de commerce de Paris Expliquer pour
ntages de son emplacement et les causes de sa prospérité actuelle. École supérieure de commerce de Bordeaux Lettre. T
se fait enfin entendre… on vient à leur secours… leur délivrance. École supérieure de commerce du Havre François Ier
onsentira jamais à une bassesse qui justifierait son mauvais sort. École supérieure de commerce de Lyon Faire voir que
tu, un peu de dévouement, un peu de solidarité sociale à dépenser. École supérieure de commerce de Marseille Quelle uti
t de son admiration pour le grand ministre. Concours de 1891 École des hautes études commerciales écoles supérieures
istre. Concours de 1891 École des hautes études commerciales écoles supérieures de commercé institut commercial Du
érité commerciale de la France ? – Pourquoi vous présentez-vous à une Ecole commerciale ? – Pourquoi le siècle de Louis XIV
ur le former. – Comparer l’industriel et le commerçant. – Utilité des Ecoles commerciales. – Le chef d’une usine vient d’être
marine prospères… Quels services un agent consulaire sorti d’une école commerciale est-il appelé à rendre ? PLAN Pr
s objets dont elles ont besoin. La plupart des consuls formés par les écoles de droit sont des théoriciens. Ils n’ont pas l’es
rière consulaire doit donc être ouvert de plus en plus aux élèves des écoles commerciales. Ils seront des agents commerciaux, 
ous parlais tantôt, Dieu la garde même de jamais devenir une langue d’ école , à la façon du latin ! Nous voulons qu’elle ne me
gens à peine font l’apprentissage de leur difficile métier, dans dix écoles encore à peu près inconnues1. Sortie enfin de sa
85 Devoirs d’élèves 131 ENSEIGNEMENT SECONDAIRE DES JEUNES FILLES École normale de Sèvres. Conseils généraux 157 Sujets
et ordre des sciences) 227 Sujets proposés 256 Copies d’élèves 259 ÉCOLES SPÉCIALES Ecole normale de Fontenay-aux-Roses.
ces) 227 Sujets proposés 256 Copies d’élèves 259 ÉCOLES SPÉCIALES Ecole normale de Fontenay-aux-Roses. Section des Lettr
Conseils généraux 296 Sujets de concours 296 Sujets proposés 298 Ecole normale de Saint-Cloud. Section des Lettres. Con
Section des Sciences. Conseils généraux 316 Sujets de concours 317 Ecole des Beaux-Arts 318 Sujets proposés 328 Ecole N
ets de concours 317 Ecole des Beaux-Arts 318 Sujets proposés 328 Ecole Navale 331 Sujets proposés 371 Ecole Polytechn
ts 318 Sujets proposés 328 Ecole Navale 331 Sujets proposés 371 Ecole Polytechnique 381 Ecole des mines de Saint-Etie
8 Ecole Navale 331 Sujets proposés 371 Ecole Polytechnique 381 Ecole des mines de Saint-Etienne 417 Sujets proposés 4
que 381 Ecole des mines de Saint-Etienne 417 Sujets proposés 422 Ecole de Physique et de Chimie industrielles de Paris 4
strielles de Paris 427 Sujets proposés 432 Institut Agronomique et Ecoles nationales d’Agriculture 445 Sujets proposés 451
nomique et Ecoles nationales d’Agriculture 445 Sujets proposés 451 Ecoles nationales Vétérinaires 460 Sujets proposés 462
posés 451 Ecoles nationales Vétérinaires 460 Sujets proposés 462 Ecoles supérieures de Commerce 468 Sujets proposés 481
la rime.(Note de l’Élève) 1. Voir certains des sujets proposés à l’ École de physique et chimie, etc. 1. Nous recommandons
Belin, éditeur). C’est un livre indispensable pour la préparation aux écoles féminines. 2. De Sacy, préface de la dernière éd
res d’histoire ancienne (Hachette). 1. Le même sujet a été donné à l’ Ecole navale en 1838, sous ce titre : Une éclipse de so
vec les nouveaux programmes des baccalauréats, tous les candidats à l’ école polytechnique arriveront en mathématiques spécial
4 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section troisième. La Tribune sacrée. — Chapitre III. Idée de l’Éloquence des Saints-Pères. »
ngers : mais bientôt l’église compta ses orateurs, et il se forma des écoles où l’on enseigna publiquement l’éloquence sacrée.
connaissances lui avaient attiré un grand nombre de disciples, et les écoles d’Alexandrie ont consacré à jamais son nom et sa
u grand homme dont nous venons de parler, dans la place de maître des écoles d’Alexandrie : c était alors la fonction la plus
ec succès la carrière imposante de l’éloquence sacrée. Voilà à quelle école respectable s’étaient formés les hommes qui ont l
5 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section cinquième. La Tribune académique. — Chapitre VI. Analyse du discours sur l’esprit philosophique, par le P. Guénard. »
e les opinions bizarres des peuples, les dogmes souvent absurdes de l’ école , l’esprit des corps avec tous ses préjugés, le gé
nie puissant et hardi qui entreprit de secouer le joug du prince de l’ école . Cet homme nouveau vint dire aux autres hommes qu
it pas de croire, mais qu’il fallait penser. À ces paroles toutes les écoles se troublèrent. Une vieille maxime régnait encore
ciple de la lumière, au lieu d’interroger les morts et les dieux de l’ école , il ne consulta que les idées claires et distinct
n’est qu’un docteur ennuyeux qu’on laisse tout seul au milieu de son école . Vous n’apportez que des vérités tranquilles, un
6 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Molière, 1622-1673 » pp. 43-55
ne chose qu’on ne peut pas nier. Demande-lui ce qu’il lui semble de l’ École des Femmes, tu verras qu’il te dira qu’elle ne lu
r au public, il l’eût trouvée la plus belle du monde1. (Critique de l’ École des Femmes.) Contre l’abus des règles Ly
experts. Lysidas. Enfin, monsieur, toute votre raison, c’est que l’ École des Femmes a plu ; et vous ne vous souciez point
le ne pèche contre aucune des règles dont vous parlez. (Critique de l’ Ecole des Femmes, sc. vii.) 1. Platon disait : « On
on Juan est incurable dans sa froide perversité. 3. Cette comédie, l’ École des femmes.. 4. Ce marquis représente ces gens d
mène fait si bien le portrait. (Voir le Misanthrope, acte II.) 2. L’ Ecole des femmes. 3. Les poëmes comiques. 1. « Je sa
7 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — De Laprade Né en 1812 » pp. 576-582
Font leur moisson d’ivraie, et de pavot vermeil. Une maitresse d’ école Prnette 2 Elle aimait entre tous, de son
mais magister ne s’était implanté, Son foyer souriant fut la première école  ; Elle y prenait l’enfance au miel de sa parole ;
génie de Guérin. » 2. L’héroïne de ce poëme s’est faite maîtresse d’ école , par esprit de charité. 3. Aux cheveux en brouss
que l’on passait à chanter ! 2. Ah ! je comprends l’attrait de son école . 3. Comparez Jocelyn, le maître d’école, le past
8 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Descartes, 1596-1650 » pp. 11-20
n plus mon ignorance. Et néanmoins j’étais en l’une des plus célèbres écoles de l’Europe1, où je pensais qu’il devait y avoir
s pas toutefois d’estimer les exercices auxquels on s’occupe dans les écoles . Je savais que les langues que l’on y apprend son
s’impose pas : il se propose et veut être discuté. 1. Cette célèbre école de l’Europe était le collége de la Flèche, où il
ie puissant et hardi, qui entreprit de secouer le joug du prince de l’ école . Cet homme nouveau vint dire aux autres hommes qu
t pas de croire, mais qu’il fallait penser. À cette parole toutes les écoles se troublèrent ; une vieille maxime régnait encor
9 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section III. De l’Art d’écrire pathétiquement. — Observations générales sur l’Art d’écrire les Lettres » pp. 339-364
tres, dans celle-ci de Mademoiselle de Barry, à son frère, Élève de l’ École Royale Militaire. Je l’ai trouvée dans le Mercure
ut entière. « J’apprends, mon cher frère, que vous allez sortir de l’ École Militaire, pour entrer dans la carrière des armes
ntrer dans la carrière des armes. Vous êtes un des premiers que cette École ait formés ; et comme étant parmi ses enfants du
ol en reçut. « Voilà, mon cher frère, deux Barry qui n’ont point eu d’ École Militaire pour berceau, et qui ont été pourtant b
moins de crainte que de courage. « Entrez donc, mon cher frère, de l’ École dans la carrière militaire. Portez les armes que
is le souvenir de ce que vous devez à ceux qui vous ont dirigé dans l’ École que vous quittez, et principalement à ce Citoyen
10 (1867) Rhétorique nouvelle « Introduction » pp. 2-33
nt dans la tête et qui, depuis des siècles, se transmettent dans leur école par la tradition et s’y perpétuent par la routine
is il change de direction et passe des sanctuaires des dieux dans les écoles des philosophes. L’intelligence est comme une ter
pas bâti en un jour ; on ne monte pas d’un saut, à pieds joints, de l’ école au Panthéon, et il faut avoir perdu vingt causes
es de loisir, ne les passez pas dans votre cabinet : le cabinet est l’ école des pédants, la vie est l’école des hommes pratiq
dans votre cabinet : le cabinet est l’école des pédants, la vie est l’ école des hommes pratiques. Qu’est-ce aujourd’hui qu’un
11 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre IV. Genre dramatique. »
ils flattent les passions au lieu de les réprimer. Le théâtre est une école dangereuse ; il ne faut pas s’étonner que l’Églis
rvation des unités a-t-elle été l’objet d’une lutte très vive entre l’ école classique, imitatrice des anciens, et l’école rom
lutte très vive entre l’école classique, imitatrice des anciens, et l’ école romantique moderne. Les romantiques rejettent sur
sensibilité, et attendrit l’âme aux souffrances de l’humanité. Cette école de l’adversité nous fortifie par une épreuve anti
ec esprit. Cependant la comédie ne doit point s’ériger directement en école de morale ; son effet est indirect : en montrant
présenter un seul dominant, comme Molière dans les Femmes savantes, l’ École des Maris et l’École des Femmes : c’est alors une
inant, comme Molière dans les Femmes savantes, l’École des Maris et l’ École des Femmes : c’est alors une comédie mixte. Une c
12 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « Étude littéraire et philologique sur la langue du XVIe siècle » pp. -
mpérament. L’Italie et l’antiquité grecque ou latine, voilà les trois écoles dont relevèrent plus ou moins les poëtes ou les p
frir des exemplaires immuables à l’admiration non d’un temps ou d’une école , mais de tous les âges et de l’humanité même. Aus
Malherbe allait enfin venir. Cette grandeur et cette décadence d’une école qui s’éclipsa si vite, après avoir brillé d’un si
ent indispensable dans le travail d’épuration auquel se livrèrent les écoles , les salons ou les Académies qui passèrent au cri
s traditions ? Dans les plus belles années de notre siècle, toute une école , poètes et prosateurs, a tenté cette restauration
es qui ne relevant que du latin vulgaire, n’étaient point sortis de l’ Ecole ou des livres. Cette révolution fut surtout opéré
qui eurent leurs inconvénients. C’est ce qui nous explique pourquoi l’ école érudite eut gain de cause, en dépit des bons espr
gues » ; et Malherbe renvoyer les Pindarisans et les Latinisans « à l’ école des crocheteurs du port à foin ». Mais en attenda
able, une distraction d’érudits, un ornement des cours, un exercice d’ école ou une parade académique. Elle n’exprimait pas d’
13 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature à l’usage des séminaires et des colléges rédigé d’après les meilleurs critiques anciens et modernes par M. l’abbé A. Piron. Chanoine, Vicaire général, Membre de l’Académie des Arcades, ancien Professeur de littérature. » pp. 1-12
Évêché de Bâle. Monsieur le Professeur, Menacé d’ostracisme dans les écoles officielles par la bifurcation des études, pour e
se exprimée, l’enseignement des belles-lettres s’est réfugié dans les écoles ecclésiastiques ; et vous lui avez donné pour vot
. Bien que l’on cultive particulièrement la langue allemande dans les écoles ecclésiastiques de mon diocèse, je ne désire pas
guide et un répertoire bien utile pour les maîtres et les élèves des écoles secondaires, ainsi qu’un agréable vade-mecum pour
14 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Préface » pp. -
les renouveler avec les générations qui passent sur les bancs de nos écoles . Je n’en veux pour preuve que l’air un peu fané d
es beautés voisines de nous, et qui sont pour la plume une excellente école . Elles lui apprennent à aimer par-dessus tout la
irréfléchi lira sans critique, si l’on s’obstine à les proscrire des écoles , au lieu d’apprendre, par une direction tout ense
15 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Préface » pp. -
les renouveler avec les générations qui passent sur les bancs de nos écoles . Je n’en veux pour preuve que l’air un peu fané d
es beautés voisines de nous, et qui sont pour la plume une excellente école . Elles lui apprennent à aimer par-dessus tout la
nt irréfléchi lira sans critique, si on s’obstine à les proscrire des écoles , au lieu d’apprendre par une direction tout ensem
16 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « Introduction » pp. -
ttéraire régnait alors parmi les hautes classes, et dans les célèbres écoles d’Autun, de Bordeaux ou de Lyon, le latin des cam
ngue vulgaire profita du progrès des études qui florissaient dans les écoles . Plus disciplinée, elle tend à prendre des habitu
les ballades, où s’exerçait alors l’adresse des ingénieux, furent une école de facture, et assouplirent la rigidité du vers p
s institutions. Fondateur de l’université de Paris ou du moins de ces écoles qui en furent le germe, protecteur des savants, p
fait la chaîne entre Villon et La Fontaine. Mais les héritiers de son école ne tarderont pas à tourner ces qualités en défaut
17 (1867) Rhétorique nouvelle « Deuxième partie. L’éloquence du barreau » pp. 146-
sthène, l’éloquence, bannie de la place publique, se réfugia dans les écoles . Il y eut des rhéteurs à Athènes, il n’y eut plus
Lysias un peu maigre ; nous, dont l’éloquence s’est formée aussi à l’ école du pathétique, nous pensons comme les Romains. Et
. De même les orateurs de la vieille Rome s’étaient formés à la seule école de la vie publique et de l’expérience : ils étaie
tiles. Nos pères préféraient le soleil du champ de Mars à l’ombre des écoles , et faisaient plus de cas d’un bon fermier que d’
rement. Il visite Athènes, la cité mère de l’éloquence, et se met à l’ école des rhéteurs qui l’enseignent. De là il passe en
18 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « PRÉFACE. » pp. -12
et j’en appelle ici aux souvenirs de tous ceux qui ont passé par les écoles publiques, c’est que l’immense majorité de ces je
omme cependant l’ouvrage est rédigé, avant tout, pour la jeunesse des écoles , j’ai voulu aussi avant tout qu’il fût moral et f
ont été pour eux-mêmes les habitudes de travail sérieux et retiré. L’ école gâte la jeunesse, en faisant la part encore trop
19 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Définition et division. »
me sied nullement de rejeter de ma propre autorité les divisions de l’ école adoptées par de bons rhéteurs, je les placerai en
des pages4. 2. Tome second. 3. Tome troisième. 4. Division de l’ Ecole . Les rhéteurs divisent leurs traités en quatre pa
20 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Delille 1738-1813 » pp. 464-472
ques fragments de ses poëmes sur les Jardins et l’Imagination. Mais l’ école descriptive dont il fut le chef n’est plus de mod
s Qui déjà recevaient les buveurs sous leurs ombres. Le maitre d’ école … Le voici ; son port, son air de suffisance
sait, le fait est sûr, lire, écrire et compter4 ; Sait instruire à l’ école , au lutrin sait chanter ; Connaît les lunaisons1
21 (1881) Morceaux choisis des classiques français des xvie , xviie , xviiie et xixe siècles, à l’usage des classes de troisième, seconde et rhétorique. Poètes
parts et qui l’avait pénétré comme les autres. Ronsard, et avec lui l’ école à laquelle il donna son nom, répudia hardiment et
et ne fait que montrer Malherbe au siècle finissant : son rôle et son école appartiennent, à l’âge suivant. I. École de Mar
inissant : son rôle et son école appartiennent, à l’âge suivant. I. École de Marot Rien ne s’improvise ou ce monde. La R
ment pour son maître et ami et pour lui-même contre Sagon et contre l’ école de Ronsard ; — puis : l’imprimeur-poète Corrozet,
ort en 1558, qui ne ménagea pas les épigrammes aux jeunes poètes de l’ école nouvelle, se réconcilia avec eux en souriant, et
éclatante fortune à côté des genres renouvelés de l’antiquité. II. École de Ronsard L’antiquité avait déjà pénétré de t
les Odes de l’autre. Le public, la cour, les poètes applaudissent. L’ école nouvelle commence triomphalement son règne de qua
e de Baïf, qui survécut de quatre ans au chef et aux beaux jours de l’ école , et produisit sans fin, et, souvent aussi, sans g
avant lui, le « gentil » Belleau, la grâce et la « mignardise » de l’ école  ; — enfin Pontus de Thyard, ne en 1511, mort en 1
ur-Saône pendant, vingt ans (1573-1598), un des derniers adeptes de l’ école de Marot, une des premières conquêtes de l’école
erniers adeptes de l’école de Marot, une des premières conquêtes de l’ école de Ronsard, le dernier survivent de la pléiade, q
t connaître par bon nombre d’œuvres, qui, tout en se rattachant à son école , attestaient une inspiration plus personnelle. Va
épigrammes où il excellait contre la jeune, brillante et belliqueuse école qui rajeunissait la poésie à la cour de Henri II.
la gloire d’écrire et de signer le programme éloquent de la nouvelle école , la Deffense et illustration de la Langue françoi
er venu publiait, avec un volume de vers, le manifeste de la nouvelle école . En 1550, celui qui l’y avait conquis en fut du p
il Olivier Basselin du xve  siècle. Son vers plus sobre que ceux de l’ école de Ronsard, plus châtié, et naturellement déjà mo
ard, plus châtié, et naturellement déjà moins archaïque que ceux de l’ école de Marot, n’est d’aucune école. Passerat est un i
ent déjà moins archaïque que ceux de l’école de Marot, n’est d’aucune école . Passerat est un indépendant qui va de sa vive et
Il a trop bien entendu l’appel que, dans son éclectisme, le chef de l’ école faisait à l’imitation de l’Italie comme de l’anti
minte du Tasse, pouvait-il reprocher à Régnier son accointance avec l’ école italienne de la poésie plaisante, burlesque, ou p
n et sous la garantie de Richelieu, fut, sans acception de genre ni d’ école , un « réduit d’honneur » où se rencontraient dès
holique comme Ronsard, naquit à Caen, six ans après le manifeste de l’ école qu’il devait combattre et remplacer. Son père aya
s Italiens, qu’il dut de venir·à Paris fonder contre eux une nouvelle école de poésie. Signalé à Henri IV comme « excellent p
t, grammairien-poète, dit Sainte-Beuve, il mit la langue poétique à l’ école  ; entêtée du vin fameux de Ronsard, et affadie pa
nous la faire aimer avant J.-J. Rousseau. Quand il tenait encore à l’ école du brillant et de l’esprit, il décrivait ; dans s
la comédie à tiroirs (les Fâcheux), — jusqu’à la comédie de mœurs (l’ École des Maris, l’École des Femmes, Sganarelle et Geor
rs (les Fâcheux), — jusqu’à la comédie de mœurs (l’École des Maris, l’ École des Femmes, Sganarelle et Georges Dandin, qui son
s Maris, l’École des Femmes, Sganarelle et Georges Dandin, qui sont l’ école des jaloux, les Femmes Savantes, le Bourgeois Gen
s de tout temps Fort propres à former l’esprit des jeunes gens ; Et l’ école du monde en l’air dont il faut vivre Instruit mie
nna ; il n’a pas trouvé Regnard « médiocrement gai » ; il a défendu l’ École des Femmes contre la cour, l’Avare contre Racine,
r moins de mots que de sens967.     Juvénal, élevé dans les cris de l’ école , Poussa jusqu’à l’excès sa mordante hyperbole. Se
 ; Boileau (Lettre à Perrault, 1700) et Sainte-Beuve (Malherbe et son école , Causer. du Lundi, VIII) ont associé ces trois no
u’un peu prolixe, être rattaché par sa correction et son harmonie à l’ école de Malherbe. Il fut un de ses bons disciples, dit
visation continue, négligée, mais alerte, était une réaction contre l’ école antique et savante des Grévin et des Garnier. — J
ans ton état, d’aller ainsi vêtu ? Dans quelle compagnie, dans quelle école es-tu ? DAMIS. Dans la vôtre, mon oncle. Un peu d
xclue d’un Recueil classique ; d’autres, par exemple, des poètes de l’ école descriptive, des poètes bucoliques, et même le re
s ses œuvres. Il appartenait à ce groupe, ou, si l’on veut, à cette «  école  », comme dit M. Saint-Marc Girardin (Cours de lit
ue tu deviennes mon gendre. Desmahis (1722-1761) n’est pas de cette école . Il fut encouragé par Voltaire, avec lequel il éc
onne humeur, dont M. Nisard a dit avec indulgence : « C’est bien de l’ école de Regnard et des Mémoires de Gramont, que lisait
ique. Plusieurs d’entre eux verront l’aurore rapide et brillante de l’ école romantique ; ils en seront éblouis sans en être é
otique par ses chants des Messéniennes (1818), continua avec talent l’ école de la tragédie classique par ses Vêpres Sicilienn
), et préluda par sa comédie des Comédiens (1819) à son triomphe de l’ École des Vieillards (1824). Alexandre Soumet (1786-184
drins, en vers de toute mesure et de toute allure. Ainsi se forma une école nouvelle, dont Mme de Staël avait par anticipatio
e nouvelle, dont Mme de Staël avait par anticipation trouvé le nom, l’ école « romantique », nom qui résumait, par opposition
éface des Odes), mais, comme les classiques l’infligeaient à la jeune école comme une raillerie, elle le releva comme un honn
amartine, qui, poète, historien, orateur, fut toujours à lui seul son école et son parti, continuait à planer, la lyre en mai
r y bat en brèche la plus haute forteresse, deux fois séculaire, de l’ école du passé, le théâtre, sur tous les points à la fo
n’y fit : le roi s’excusa, le public applaudit. Sous le drapeau de l’ école romantique se rangèrent ou furent rangés par le p
57). l’enfant terrible du romantisme, à vingt ans, comme le chef de l’ école en avait été, à quinze, « l’enfant sublime », et
det, a dû sa renommée équivoque. Toujours sur la brèche, le chef de l’ école donnait poèmes sur poèmes (les Feuilles d’automne
définitives sont celles qui font le moins de bruit. C’est parce que l’ école romantique avait fait accepter ce qu’elle avait d
le avait de bon et de nécessaire qu’elle s’est fondue dans une grande école de poésie française où elle a perdu jusqu’à son n
laboureurs et les marins, et Victor de Laprade, le plus renommé de l’ école de Lamartine, qui chante les bois et les montagne
ont fait un nom. L’esprit de rénovation et d’indépendance qui, par l’ école romantique avait soufflé sur la littérature, a co
gnaler. Le théâtre peut flotter entre la tragédie comme l’entendait l’ école classique, le drame comme l’entendait V. Hugo, le
le plus complètement la servitude et l’intolérance qu’elle fut pour l’ école romantique « l’ennemie », d’où « venait tout le m
antique « l’ennemie », d’où « venait tout le mal ». C’est parce que l’ école romantique qui, comme toute école révolutionnaire
it tout le mal ». C’est parce que l’école romantique qui, comme toute école révolutionnaire, même celle de la liberté, a eu s
frère aîné, un novateur, mais seulement un brillant continuateur de l’ école classique de la tragédie. Ses œuvres dramatiques
lateur de Mme de Staël (De l’Allemagne) et le manifeste prochain de l’ école romantique, disciple de Shakespeare, de Schiller,
ur berceaux, Pour jeux et pour plaisirs l’écume et les cordages, Pour école la mer, pour maîtres les orages : Hydra n’a point
es siciliennes, 1819 ; le Paria, 1821), écrites avant l’éclosion de l’ école romantique, appartiennent à l’école classique. Il
1), écrites avant l’éclosion de l’école romantique, appartiennent à l’ école classique. Il n’aida ni ne prévit la révolution q
volution qui se fit, et quand elle fut faite il essaya entre les deux écoles rivales un compromis (il s’en explique dans la pr
C. Delavigne a donné des comédies heureuses : les Comédiens (1820), l’ École des Vieillards (1823), la Princesse Aurélie (1828
oète à quatre-vingts ans, il remplit le siècle. Il a créé en France l’ école romantique que Byron avait créée et développait e
vec Lamartine, renouvelé la poésie lyrique ; il a donné à la nouvelle école dramatique, fille de Shakespeare, de Goethe et de
de Tarbes, a pris une des premières places, après les maîtres, dans l’ école romantique qu’il a défendue par sa propagande et
s bancs où pâlit l’enfance prisonnière, Nous aurions fait tous deux l’ école buissonnière1461 Dans les bois pleins de chants,
la variété de ses sujets et par un judicieux usage des droits dont l’ école rivale avait assuré au théâtre la conquête et l’e
1. Voici les noms des genres poétiques pratiqués par Marot et son école  ; Ballade. — Pièce de vers coupée en trois stanc
s que satur). Complainte. — L’étymologie en explique le caractère. L’ école de Ronsard a pratiqué ce genre de l’ancienne poés
ées par des gens déguisés et masqués. — Marot n’en écrivit point. Son école la légua à celle de Ronsard, qui la cultiva fort.
roi sont de 1525 à 1526. — On remarquera que Marot, non plus que son école , ne s’astreignait à une alternative régulière de
cle, qui a plus d’un rapport avec le temps de Ronsard ? Je parle de l’ Ecole romantique et du cenacle de 1826, Avec quel charm
lencieux. Régnier vengea son oncle par cette satire, dirigée contre l’ école nouvelle et son chef. — Sur Rapin, voir des Poète
 ; instruit, entendu, avisé. D’ou : bien appris, mal appris. Molière, École des maris, I, 3 : Allez, langue maudite, et des
. Traces du paganisme latin, resté dans notre langue qui se remit à l’ école de l’antiquité au xvie  siècle. De même, on dit e
Racan, préférer Théophile. Voyez plus haut leurs Notices. 896. L’ École des Maris (1661) est à peu près faite sur le patr
tuteur qui lui laisse une honnête liberté. La charmante comédie de l’ École des Femmes (1662) pourrait aussi être appelée une
comédie de l’École des Femmes (1662) pourrait aussi être appelée une école des maris. La déconvenue d’Arnolphe, qui tient da
lomnier. Il leur répondit et en appela au public par la Critique de l’ École des Femmes (1663). Voir nos Morceaux choisis des
s les comédies de Molière, représentent le bon sens, Chrysalde dans l’ École des Femmes, Cléante dans Tartufe, Béralde dans le
vicomte du Broussin, son ami, qui sortit en effet au second acte de l’ École des Femmes en se récriant contre la « violation d
Molière met en scène les ennemis de sa comédie dans la Critique de l’ École des Femmes. 960. Les vers excellents de Boileau
le avait été recueillie par des bergers et avait sur vécu. (Voir, à l’ École des beaux-arts, les tableaux, prix du concours po
Voir, à l’École des beaux-arts, les tableaux, prix du concours pour l’ École de Rome, de MM. Baudry et Bouguereau.) La tragédi
gne Sainte-Geneviève », sur laquelle s’échelonnaient au moyen âge les écoles et collèges. (Voir dans notre Recueil de Prosateu
it le moule du temps : quarante ans plus tard il eût été de la grande école de poésie lyrique et intime des Lamartine, des Br
de l’ait, sans doute avec une conviction réfléchie, dans la voie de l’ école romantique. Les Enfants d’Édouard en marquent un
second. Un rapprochement fera juger de la différence de ton des deux écoles . Dans Britannicus (II, 2), Néron dit de Junie à N
nt par Chateaubriand, et par Senancour dans Obermann, et qui ont fait école pendant un quart de siècle, ont eu trop souvent p
? Et A. de Musset ne prétendait-il pas lui-même relever de la vieille école française de Régnier, de Molière et de La Fontain
, l’autre aux oreilles. 1461. Cette locution, appliquée d’abord aux écoles tenues par les hérétiques dans les liens écartés,
aphore, aux enfants qui courent les buissons au lieu de se rendre a l’ école , s’harmonise ici heureusement aux idées et aux ex
22 (1867) Rhétorique nouvelle « Troisième partie. la rhétorique » pp. 194-
mais un peuple à qui on proposerait des hommes d’État sortis de votre école vous dirait : — J’aime encore mieux périr de mon
s de la cité athénienne. Les jeunes gens allaient chercher dans leurs écoles et dans leurs cahiers des leçons qu’ils ne tardai
s, il se flatta avec raison d’avoir réduit au silence Isocrate et son école . Il établit que l’éloquence est un art pratique ;
rayer. La méthode de Cicéron n’a rien de didactique, rien qui sente l’ école et le pédantisme : c’est la conversation d’un hon
e ces thèses bizarres qu’on donnait autrefois comme exercice dans les écoles , mais une question pratique, une de celles que le
nce maîtresse, celle qui contient toutes les autres. N’est-ce pas à l’ école de Platon que s’inspira l’éloquence de Démosthène
n et délié, mais un rhéteur qui a fait ses études à Athènes, dans les écoles où on apprend à plaider le pour et le contre, et
de déclamation. Voici un cadet de Gascogne qui n’a jamais eu d’autre école que la guerre et qui, pour son coup d’essai, va e
23 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Saint François de Sales, 1567-1622 » pp. -
ment pour la morale et la philosophie jusqu’alors renfermées dans les écoles , parmi les docteurs rébarbatifs. Il « emmiella »
être honorés et respectés du monde, comme si chacun devait aller à l’ école chez eux et les tenir pour maîtres : c’est pourqu
24 (1811) Cours complet de rhétorique « Notes. »
et s’il reste démontré que leur imitation introduirait parmi nous une école d’autant plus dangereuse qu’elle s’appuierait d’u
ieu de l’enrichir. Craignons donc de laisser ou de voir s’établir une école nouvelle, qui, en confondant tous les genres et t
ouvrages. Racine avait ouvert et fermé en même temps sa brillante école , en plaçant l’art des vers à une hauteur désespér
ins de l’influence des circonstances. Partisans tous deux de la bonne école , et admirateurs passionnés des grands maîtres ; a
manière, si heureuse entre les mains de M. Delille, devient jamais l’ école dominante. Mais que la critique se rassure ; ce g
25 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Joubert 1754-1824 » pp. 214-217
ablit : « — Que me demandes-tu ? — Une recommandation pour entrer à l’ École normale. — Bon ! à l’École normale ? Entre plutôt
-tu ? — Une recommandation pour entrer à l’École normale. — Bon ! à l’ École normale ? Entre plutôt à mon service ; je te fera
26 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Regnard. (1655-1709.) » pp. 242-253
toute déployée). Valère, se promenant. Hé ! la voilà, monsieur.Une école maudite Me coûte, en un moment, douze trous tout
nom vient de ce que, pour les marquer, on met un fichet dans un trou. École , dans le même jeu, est l’oubli que l’on fait de m
ints qu’on avait gagnés : de la cette locution proverbiale, faire une école . 1. Cette expression, alors familière, est deven
27 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Guizot. Né en 1787. » pp. 469-478
s. Né dans les premiers rangs de la société coloniale, élevé dans les écoles publiques, au milieu de ses compatriotes, il arri
avez vécu tranquilles et studieux, renfermant dans l’enceinte de nos écoles vos pensées comme vos travaux, uniquement occupés
t s’abaisserait dans ce contact prématuré. Vous vivez, au sein de nos écoles , dans une région élevée et sereine, où l’élite se
28 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Préface. »
é Delaporte a publié lui-même dans le siècle dernier, sous le titre d’ École de littérature tirée de nos meilleurs écrivains,
s auteurs qui l’ont illustrée. Aux Facultés des lettres seules et aux écoles supérieures appartient l’étude systématique et co
29 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Guizot Né en 1787 » pp. 247-250
avez vécu tranquilles et studieux, renfermant dans l’enceinte de nos écoles vos pensées comme vos travaux, uniquement occupés
t s’abaisserait dans ce contact prématuré. Vous vivez, au sein de nos écoles , dans une région élevée et sereine, où l’élite se
30 (1868) Morceaux choisis des écrivains contemporains à l’usage des classes supérieurs de l’enseignement classique et spécial. Prose et poésie
ction publique. C’était justice, par exemple, de donner une place à l’ école qui précède la renaissance poétique de 1820 et fo
t volontiers les détails expressifs, s’ils manquaient de dignité. Les écoles historiques de la restauration eurent ce mérite c
es études historiques, M. Guizot peut être regardé comme le chef de l’ école philosophique, celle qui s’applique moins à donne
e Staël avait la première offert d’admirables modèles. Cette nouvelle école sut éviter les deux obstacles qui avaient si long
rtait que des jugements sans hauteur, sans équité et sans autorité. L’ école critique de Mme de Staël et de M. Villemain s’agr
nce. Les philosophes de la Grèce énoncèrent, dans l’enceinte de leurs écoles , quelques grandes vérités morales ; et Platon ava
rand sujet de débat, messieurs ! c’est le précepte qu’on reproche à l’ école classique, et qu’on a trop méconnu depuis elle. M
anque à son talent ; il recommence de sérieuses éludes au moins sur l’ école française. Une ambition ardente lui impose trois
s couronnées par le prix d’honneur de rhétorique, entrait en 1811 à l’ école normale, où se développa rapidement sa double voc
30, membre du conseil royal de l’instruction publique, directeur de l’ école normale, pair de France, il profita de cette haut
l’enthousiasme dont il était lui-même animé ; et si parfois, dans une école qui relevait de la libre pensée, il se montra jal
l’œuvre philosophique de M. Cousin. Tout d’abord il continue contre l’ école sensualiste du dix-huitième siècle la réaction co
et relever le spiritualisme, il eut l’ambition de fonder lui-même une école et proclama l’Éclectisme (ἐκλέγω, choisir), qui e
ion ; supposons, par exemple, une fondation charitable, un asile, une école , une maison pénitentiaire, ou tout autre établiss
collège de Dijon par d’heureuses dispositions ; mais ce ne fut qu’à l’ École normale, où il entra en 1814, que M. Cousin, alor
seur au collège Bourbon, et charge bientôt après d’une conférence à l’ École normale, M. Jouffroy ne démentit pas les justes e
re, comme par la pureté d’un spiritualisme élevé et généreux. Quand l’ École normale fut fermée en 1822, l’auditoire se reform
evée parmi les philosophes et les écrivains de notre temps. Rendu à l’ École normale sous le ministère de M. de Martignac, et
es de Reid. Sa préface, d’une sévérité quelquefois excessive contre l’ école écossaise, portait aussi l’empreinte d’un doute t
lités et plaça dès lors M. Mignet au premier rang des historiens de l’ école philosophique. Engagé dans les mêmes voies politi
e faire dans la préface de ses Études historiques, à la tête de cette école fataliste qui ne croyant pas à la liberté humaine
ux expliquer que juger et condamner ; il n’estime pas, comme certaine école critique, que l’on puisse enfermer un homme dans
amenant aux scrupuleuses exigences du goût français formé à la sévère école de Corneille et de Racine. Une pareille tentative
ériphrase. Aussi Delille n’a pas échappé aux reproches que mérite son école . Sa poésie, on peut le dire, est impersonnelle :
pagne. Delille a rarement dépassé ce cadre restreint où s’enfermait l’ école descriptive. Mais, ces réserves faites, il est ju
et heureuse qui n’ont pas vieilli. Delille mourut à Paris en 1813. L’ école descriptive ne devait pas lui survivre longtemps.
es, l’unité de l’intérêt, le pathétique des situations : de la grande école du dix-septième siècle il ne s’est plus conservé
ubergiste à Péronne ; il suivit même dans cette ville les cours d’une école établie selon les principes de Rousseau, et qui p
ains inhabiles des derniers élèves de Racine, la froide élégance de l’ école descriptive, la première révélation du génie tend
alheurs. C. Delavigne ne tarda pas à revenir à la comédie de mœurs. L’ École des vieillards (1823) est regardée par de bons ju
ne œuvre d’un dessin plus libre et plus hardi la conciliation entre l’ école classique et l’école romantique. C. Delavigne vou
plus libre et plus hardi la conciliation entre l’école classique et l’ école romantique. C. Delavigne voulait fonder le tiers-
t que M. V. Hugo eut l’ambition de faire triompher les principes de l’ école romantique, qui l’avait pris pour chef et dont il
u milieu du murmure435. Cette réaction contre l’esprit exclusif de l’ école classique eut sans doute d’heureux résultats : el
dit le goût moins timide et plus impartial ; enfin, la barrière que l’ école classique avait élevée entre la langue poétique e
ditions classiques. Après les excès de couleurs et d’expressions de l’ école romantique, les yeux se reposaient avec plaisir s
lavigne les traditions classiques. On l’a souvent appelé le chef de l’ école du bon sens. Chez plusieurs, il se cachait une ir
cupations de thèses politiques ou philosophiques. Les poètes de cette école qui méritent cependant un souvenir sont, avec Jos
apprécier et classer les différents arts, mais encore les différentes écoles  : de là un fort beau développement sur l’art fran
ritique de l’ouvrage. M. Augustin Thierry passe en revue les diverses écoles historiques qui se sont succédé depuis le quinziè
écoles historiques qui se sont succédé depuis le quinzième siècle, l’ école populaire au moyen âge l’école italienne ou class
succédé depuis le quinzième siècle, l’école populaire au moyen âge l’ école italienne ou classique au seizième siècle, enfin
moyen âge l’école italienne ou classique au seizième siècle, enfin l’ école philosophique au dix-huitième siècle. Ces chapitr
ux côtés, sans les isoler ni les séparer, comme le fait aujourd’hui l’ école qui proclame la morale indépendante. 244. On ser
eux), hémistiches d’un tour prosaïque, ce sont là chez Delille et son école des faiblesses trop fréquentes pour qu’il soit ut
it « qu’il n’avait que sa place au parterre ». 410. La Critique de l’ École des femmes, sc. VII. 411. La librairie Didier a
èvera chez C. Delavigne le goût de la périphrase, qui le rattache à l’ école classique de l’Empire. Ces quatre vers ont le déf
qui une autre fois inspirera au poète ces deux vers souvent cités (l’ École des Vieillards, act. 1, sc. 5), et que Delille lu
pinosa. 456. « Locke. » — Le vers du poète s’appliquerait plutôt à l’ école de d’Holbach et des encyclopédistes. 457. « Kant
31 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Cousin, 1792-1867 » pp. 492-503
-1867 [Notice] Prix d’honneur de rhétorique (1810), élève de l’ École normale où l’enseignement de la Romiguière et de
ième siècle ; il rompt avec cette tradition, et commence une nouvelle école , que l’on peut juger diversement, mais qui évidem
, Il a fallu s’en faire un autre, et l’inventer. 2. C’est ce que l’ école romantique appelle la couleur locale. Il est bon
32 (1867) Rhétorique nouvelle « Première partie. L’éloquence politique » pp. 34-145
on, vous sentez encore que l’éloquence a dû se former toute seule à l’ école de l’ambition. Aussi toutes les peuplades (sauf p
de leurs armées. « — Aux jours et heures où Thémistocles, encore à l’ école , avoit vacation de l’estude et congé de s’esbattr
econd lieu Périclès avait un génie bien supérieur aux subtilités de l’ école  ; son éloquence grave, majestueuse, était celle d
a pratique des affaires et dans les luttes de la tribune. L’ombre des écoles produit des sophistes ; c’est au soleil de la pla
fendre ? — Oui. — Changeons de supposition. S’il arrive que, dans vos écoles , vous ayez une réclamation à adresser à vos chefs
e flatter sans corrompre ; art naturel, qui ne s’apprend pas dans les écoles , et dont toute la formule peut se résumer en un m
a jeunesse avait été nourrie aux leçons de l’Académie. A cette grande école de Platon, il avait appris qu’il n’y a qu’une mor
33 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre second. Définition et devoir de la Rhétorique. — Histoire abrégée de l’Éloquence chez les anciens et chez les modernes. — Chapitre II. De l’Éloquence chez les Grecs. »
les trésors du plus grand monarque ne suffiraient pas pour fonder une école d’éloquence semblable à celle que formait naturel
n’étaient point des orateurs de profession : ce n’est point dans les écoles des rhéteurs qu’ils s’étaient formés à l’art de b
34 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Balzac. (1594-1655.) » pp. 2-6
humilié l’orgueil du Portique, qui a décrédité le Lycée et les autres écoles de la Grèce. Il a fait voir qu’il y avait de l’im
qui faisaient profession d’un doute universel. 5. Platon, chef de l’ école philosophique nommée plus haut l’Académie. 1. Il
35 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Bernardin de Saint-Pierre. (1737-1814.) » pp. 153-158
études ; il cultiva même les mathématiques avec succès, fut reçu à l’ école des ponts et chaussées, et un an après obtint du
ons de cette sanglante époque. Nommé en 1794 professeur de morale à l’ école normale, qui venant d’être fondée, appelé bientôt
36 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Nisard. Né en 1806. » pp. 585-597
tre subtile, la sensibilité, la raison, pourvu qu’elle ne sente pas l’ école , le caprice même à l’occasion, le fini du détail,
’une justesse et d’une finesse exquises, tracé l’histoire des grandes écoles et appelé sur l’œuvre du plus doux et du plus exp
t ils ont peur ; toute la basse-cour, où ils se plaisent mieux qu’à l’ école . Ils y retrouvent ce que leur mère leur a dit des
37 (1882) Morceaux choisis de prosateurs et de poètes des xviii e et xix e siècles à l’usage de la classe de rhétorique
aison Jules DELALAIN et Fils DELALAIN FRÈRES, Successeurs 56, rue des écoles Introduction. Caractères généraux de la lit
rit de pure logique et de déduction abstraite qui sera la marque de l’ école révolutionnaire, comme moraliste, il est l’advers
tragédies, fut à quelque degré novateur dans ses Préfaces. C’est à l’ école dramatique de Voltaire que se rattache Saurin, l’
que sa puissance. De plus, cette philosophie ne s’enferme plus dans l’ école  ; elle prend une forme populaire pour pénétrer pa
ait trop rigoureuse à quelqu’un, je lui dirai : Les théâtres sont les écoles primaires des hommes éclairés et un supplément à
e : il y eut comme un redoublement d’activité productrice. La vieille école classique allait disparaître : son œuvre était te
t difficile, par la raison que la philosophie se partage en plusieurs écoles nationales, où l’esprit de chaque peuple s’accuse
la France reste le centre du mouvement philosophique ; mais il y aune école anglaise, une école allemande, et même, si l’on v
entre du mouvement philosophique ; mais il y aune école anglaise, une école allemande, et même, si l’on veut, une école itali
aune école anglaise, une école allemande, et même, si l’on veut, une école italienne. Ce caractère national se prononce bien
mière période, le mouvement philosophique est représenté par diverses écoles , entre lesquelles l’école spiritualiste tient le
philosophique est représenté par diverses écoles, entre lesquelles l’ école spiritualiste tient le premier rang, avec Royer-C
iècle et continue la tradition cartésienne du dix-septième. A côté, l’ école théologique, celle qui appuie le spiritualisme su
entale. Cette méthode commune laisse, d’ailleurs, subsister entre les écoles de grandes différences. C’est une sorte d’anarchi
trop nombreux oublis. Il y aurait ici, bien entendu, à distinguer les écoles historiques, qui sont diverses et parfois opposée
essinés ; mais ils tournent vite à un certain idéal qui rentre dans l’ école de Rousseau, et qui touche au systématique. Ses p
oussole. Le souffle inspirateur manquait à notre littérature, quand l’ école romantique alla le chercher à des sources nouvell
ue la liberté affermissait au lieu d’ébranler, par malheur aussi, une école philosophique où le scepticisme était raisonneur
ettre à l’Académie, ce fut Voltaire qui les appliqua le premier, et l’ école moderne relève de lui, même quand elle le combat.
faibles du discours de Rivarol sont celles qui portent la trace de l’ école de Condillac. Mais il est impossible de mieux ana
t dans la littérature de l’époque nouvelle où nous entrons. Certaines écoles du dix-huitième siècle se prolongent ; mais la vi
t des nations (1796), elle ne paraît pas encore assez affranchie de l’ école sensualiste du dix-huitième siècle. En 1801, paru
éclaire aussi les parties élevées et généreuses, elle est pour lui l’ école du courage et du dévouement. Les meilleures parti
oral (1825), où il soutenait sans tempérament les idées absolues de l’ école théocratique. L’Église, avec sagesse, sépara sa c
e des études historiques, Guizot peut être regardé comme le chef de l’ école philosophique, celle qui s’applique moins à donne
e dont Mme de Staël avait la première donné l’exemple. Cette nouvelle école sut. éviter les obstacles qui avaient si longtemp
nce. Les philosophes de la Grèce énoncèrent, dans l’enceinte de leurs écoles , quelques grandes vérités morales ; et Platon ava
s couronnées par le prix d’honneur de rhétorique, entrait en 1811 à l’ École normale supérieure. Appelé peu d’années après (18
30, membre du conseil royal de l’instruction publique, directeur de l’ École normale, pair de France, il profita de cette haut
l’enthousiasme dont il était lui-même animé ; et si parfois, dans une école qui relevait de la libre pensée, il se montra jal
e l’œuvre philosophique de Cousin. Tout d’abord, il continue contre l’ école sensualiste du dix-huitième siècle la réaction co
défendre le spiritualisme ; il eut l’ambition de fonder lui-même une école , et proclama l’Éclectisme εκλέγω, choisir), qui e
ion ; supposons, par exemple, une fondation charitable, un asile, une école , une maison pénitentiaire, ou tout autre établiss
collège de Dijon par d’heureuses dispositions ; mais ce ne fut qu’à l’ École normale, où il entra en 1814, que Cousin, alors m
seur au collège Bourbon, et chargé bientôt après d’une conférence à l’ École normale, Jouffroy plaisait à la jeunesse par la p
gante et sobre, comme par la pureté d’un spiritualisme élevé. Quand l’ École normale fut fermée en 1822, l’auditoire se reform
evée parmi les philosophes et les écrivains de notre temps. Rendu à l’ École normale sous le ministère de M. de Martignac, et
es de Reid. Sa préface, d’une sévérité quelquefois excessive contre l’ école écossaise, portait aussi l’empreinte d’un doute t
lités et plaça dès lors M. Mignet au premier rang des historiens de l’ école philosophique. Engagé dans les mêmes voies politi
ubriand dans la Préface de ses Études historiques, à la tête de cette école fataliste qui, ne croyant pas à la liberté humain
r au collège. Professeur d’histoire au collège Sainte-Barbe, puis à l’ École normale, il donnait, en 1827, un Précis de l’Hist
cette idée est même devenue un principe de composition dans certaines écoles romantiques. Personne n’eût moins que Michelet ad
médecine. Pendant trois ans, de 1824 à 1827, il suivit les cours de l’ école  ; il fit même à l’hôpital Saint-Louis une année d
pour soutien et pour patron à demi-fabuleux ? Leçon d’ouverture à l’ Ecole normale (1858). Le classique et le romantique5
t de l’art. Perrault, à sa manière, observe le précepte ; il est de l’ école de Boileau (sans que ni l’un ni l’autre ne s’en d
t 1830, au Journal des Débats, il défendait les poètes de la nouvelle école , à un moment où ceux-ci étaient encore contestés.
nce, « Sur ce dernier ouvrage, a-t-il écrit dernièrement, la nouvelle école ne se méprit pas. Elle devina sans peine que, pou
enue, j’étais allé chercher, dans l’histoire des lettres latines, une école de novateurs, à qui je pusse dire, par-dessus leu
ous, qui porte un nom générique, celui d’homme de talent. Il sort des écoles , ayant fait de bonnes études. Mais les études rou
ruit trop amer des égards de nos sœurs. On juge bien qu’étant à telle école , Point ne manquait du don de la parole L’oiseau d
eare, en le ramenant aux exigences du goût français formé à la sévère école de Corneille et de Racine. Une pareille tentative
ériphrase. Aussi Delille n’a pas échappé aux reproches que mérite son école . Il aimait, d’ailleurs, la campagne, comme on le
pagne. Delille a rarement dépassé ce cadre restreint où s’enfermait l’ école descriptive. Mais, ces réserves faites, il est ju
aits d’une touche fine et heureuse, Delille mourut à Paris en 1813. L’ école descriptive ne devait pas lui survivre longtemps.
s : s’il n’a pas pour le mot propre les dédains et les timidités de l’ école descriptive, il n’irait pas jusqu’à dire avec M.
azur. André Chénier est un ancien, bien plutôt qu’un précurseur de l’ école romantique. Son lexique, on Ta remarqué, est pur
tte époque la vérité des caractères, l’unité d’intérêt : de la grande école du dix-septième siècle il ne s’est plus conservé
ubergiste à Péronne ; il suivit même dans cette ville les cours d’une école établie selon les principes de Rousseau, et qui p
ins inhabiles des derniers élèves de Racine ; la froide élégance de l’ école descriptive ; la première révélation du génie rêv
alheurs. C. Delavigne ne tarda pas à revenir à la comédie de mœurs. L’ École des Vieillards (1823) est regardée par de bons ju
ne œuvre d’un dessin plus libre et plus hardi la conciliation entre l’ école classique et l’école romantique. C. Delavigne vou
plus libre et plus hardi la conciliation entre l’école classique et l’ école romantique. C. Delavigne voulait fonder le tiers
âtre surtout, il eut l’ambition de faire triompher les principes de l’ école romantique, dont il traça le manifeste dans la cé
u milieu du murmure798. Cette réaction contre l’esprit exclusif de l’ école classique eut sans doute un résultat heureux : el
leurs jeux ses charmantes leçons. Son foyer souriant fut la première école  ; Elle y prenait l’enfance au miel de sa parole ;
marquable, et qui a son unité. La mer, écrivait Autran, a produit une école de peinture qui rappelle avec orgueil les Backuys
ditions classiques. Après les excès de couleurs et d’expressions de l’ école romantique, les yeux se reposaient avec plaisir s
lavigne les traditions classiques. On l’a souvent appelé le chef de l’ école du bon sens. Chez plusieurs, il se cachait une ir
x sont au Louvre. — Boucher (1704-1770) est, en effet, le maître de l’ école maniérée du dix-huitième siècle. 257.  . Né à Av
ppré­cier et classer les différents arts, mais encore les différentes écoles  : de là un fort beau développement sur l’art fran
ubriand exagère quand il appelle Tbiers et M. Mignet « les chefs de l’ école politique fataliste, » et qu’il leur prête un sys
récieuse à recueillir. Visiblement, en 1813, il était tout entier à l’ école , ou, si l’on veut, sous le charme de Racine. Tout
t « qu’il n’avait que sa place au parterre. » 768. La Critique de l’ Ecole des Femmes, scène vii. 769. La librairie Didier
èvera chez C. Delavigne le goût de la périphrase, qui le rattache à l’ école classique de l’Empire. Ces quatre vers ont le déf
qui une autre fois inspirera au poète ces deux vers souvent cités (l’ Ecole des Vieillards, acte I, scène, v), et que Delille
pinosa. 831. « Locke. » — Le vers du poète s’appliquerait plutôt à l’ école de d’Holbach et des encyclopédistes. 832. « Kant
38 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Cours complet de littérature à l’usage des séminaires et des colléges rédigé d’après les meilleurs critiques anciens et modernes par M. l’abbé A. Piron. Chanoine, Vicaire général, Membre de l’Académie des Arcades, ancien Professeur de littérature. » pp. 1-8
« Bien que l’on cultive particulièrement la langue allemande dans les écoles ecclésiastiques de mon diocèse, dit le savant Évê
a nature générique des choses et leurs spécifiques, comme s’exprime l’ École , elles renferment la division des matières et les
39 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Bossuet. (1627-1704.) » pp. 54-68
thènes, et le plus savant de ses sénateurs passera de l’aréopage en l’ école de ce barbare2. Il poussera encore plus loin ses
ù ils se croyaient élevés, pour apprendre à bégayer humblement dans l’ école de Jésus-Christ, sous la discipline de Paul. Aimo
qui devrait le faire appeler, ajoute-t-il, si l’on donnait des noms d’ école , comme au moyen âge, le docteur infaillible. (Des
40 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Amyot, 1513-1593 » pp. -
à Mitylène. Il fit l’éducation d’Alexandre, puis fonda à Athènes une école péripatéticienne dans une promenade nommée Lycée.
s voyagea. Revenu à Athènes, il ouvrit dans un faubourg de la ville l’ école nommée Académie. Il mourut en 348 ou 347. 6. Lou
41 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre V. — Qualités particulières du Style »
té considérable des figures et des mouvements de style ; c’est à leur école que les écrivains modernes se sont formés, qu’ils
notre siècle. C’est à détruire cette haute réputation qu’une nouvelle école , connue sous le nom de Romantique, travaille avec
nom de Romantique, travaille avec plus d’ardeur que de succès. Cette école a pris subitement la résolution de rester sans ad
, les esprits fantastiques. Puis, d’autres fois, les adeptes de cette école se voyaient en imagination assis autour de l’imme
présentèrent des idées neuves avec des termes impropres. La nouvelle école , faussa, tortura notre belle prose et notre poési
42 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « À mes anciens élèves de l’école militaire de Paris. » pp. -
À mes anciens élèves de l’ école militaire de Paris. Mes chers anciens Élèves,
43 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Avis du libraire sur cette nouvelle édition » pp. -
nt l’adopta en 1784, pour l’instruction des Cadets Gentilshommes de l’ École Royale Militaire, du nombre desquels était Sa Maj
44 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre II. Les Oraisons ou discours prononcés. »
stions sans fin, que d’opinions différentes ont partagé autrefois les écoles de la philosophie païenne ! Et ne croyez pas que
son ouvrage. Que sais-je ? car je ne prétends pas tout dire, autant d’ écoles , autant de sentiments sur un point si essentiel.
’atomes ; là, un feu subtil ; ailleurs, un air délié ; dans une autre école , une portion de la Divinité. Les uns la faisaient
qui, de part et d’autre, n’étaient destinés qu’à amuser le loisir des écoles et la vanité des sophistes ; des questions oiseus
e fondateur de cette éloquence ; Isocrate, un peu plus tard, tint une école de rhétorique qui fut très suivie, et compta parm
45 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Préface de la première édition. » pp. -
enseigner les Belles-Lettres Françaises aux Cadets Gentilshommes de l’ École Royale Militaire, je me suis attaché à leur donne
46 (1863) Précis de rhétorique : suivi des règles auxquelles sont assujettis les différents ouvrages de littérature pp. 1-100
e arrêté ; Le temps, cette image mobile De l'immobile éternité. Une école . — Qu'est-ce qu'une école ? — C'est une troupe de
image mobile De l'immobile éternité. Une école. — Qu'est-ce qu'une école  ? — C'est une troupe de petits mutins, armés de l
et plus que des choses dans les choses. Un littérateur de l'ancienne école , Hoffmann, a dit : « Si vous lisez une pièce de t
t celle de Victor Hugo qui a pour titre Hernani. Les poëtes de cette école chantent, dans la même pièce, les démons et les a
ut dire devait séduire les jeunes écrivains du siècle, et la nouvelle école , représentée par Châteaubriand, Lamartine, Victor
artufe de Molière, le Méchant de Gresset, la Métromanie de Piron et l' École des vieillards de C. Delavigne. Le drame.
47 (1843) Nouvelle rhétorique, extraite des meilleurs auteurs anciens et modernes (7e éd.)
doit pas s’étonner qu’elles aient régné de tout temps dans toutes les écoles . Nous l’avons dit ailleurs5 : on ne peut enseigne
n’est donc pas ici une de ces divisions inventées seulement pour les écoles  ; c’est l’expression même de la nature des choses
enthymème ne se montre pas non plus d’ordinaire sous l’extérieur de l’ école . Que diriez-vous d’un homme qui prouverait la vér
ciété, des excès dont on n’oserait parler ; les plaisirs publics, des écoles de lubricité : notre siècle voit des horreurs que
êt. » Aristote, au sujet des contraires, donne un conseil qui sent l’ école et la dispute : « Si l’on vous allègue les lois,
ndait de la parole. La Grèce, qui fut la première et la plus parfaite école de l’éloquence, produisit de nombreux orateurs, é
r la médecine : est-ce bien raisonner ? Ce sophisme est appelé dans l’ école fallacia accidentis. « Un fait isolé, rare et sa
toutes les grâces de l’élocution et de l’esprit, et qui a passé de l’ école des sophistes dans les discours publics, paraît c
ns et des modernes aux sujets que traitent les jeunes rhéteurs de nos écoles . Les maîtres ont eu à vaincre, dans tous les temp
res anciens ont rassemblées. Longtemps la poésie régna seule dans les écoles des Grecs, comme dans leur littérature. Homère, d
i avaient autrefois parcouru la Grèce, ils donnèrent accès dans leurs écoles à toutes les sciences naturelles et philosophique
our exprimer tant de pensées ingénieuses, touchantes ou sublimes. Les écoles des rhéteurs grecs, même quand on s’y occupa dava
de la république, s’alarmèrent ; le sénat, les censeurs fermèrent ces écoles , où la jeunesse, disaient-ils, passait les jours
ces maîtres ( ad quos juventus conveniat ), remplit de nouveau leurs écoles . Cicéron lui-même, quoique préteur, se dédommagea
, on en pourra juger par cet argument d’une cause usitée alors dans l’ école , in ludo, et que Cicéron (de Orat., II, 24) donne
aut accuser ; car cette méthode fut suivie dès qu’il y eut à Rome des écoles de rhétorique, et l’on déclamait déjà du temps de
e Néron s’amuse à parodier d’une manière si plaisante l’éloquence des écoles  : Hæc vulnera pro libertate publica excepi ; hun
mes et les choses étaient changés. Juvénal, élevé dans les cris de l’ école , faisait parler, sous la dictée de ses maîtres,
ndeur qu’elle ne concevait pas. À la place du déclamateur qui, dans l’ école de Sénèque ou de Quintilien, balbutiait des mots
en de faux, et voilà pourquoi les sujets historiques adoptés dans nos écoles sont bien préférables aux sujets bizarres et imag
cesse la curiosité de cet âge avait été porté trop loin dans quelques écoles de France ; on y faisait des énigmes, des logogri
48 (1882) Morceaux choisis des prosateurs et poètes français des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles. Cours supérieur. Poètes (2e éd.)
s Louis XIII, et durant la première époque du règne de Louis XIV, une école qui continua simplement l’ère antérieure, et qui
inrent un moment de vogue extraordinaire. Les opposants à la nouvelle école poétique qui venait introduire une réforme radica
osèrent à la langue et à la littérature leur forme et leur manière. L’ école de Ronsard et de Baïf, par le calque des composit
us redonner la haute poésie d’Homère, de Pindare, de Sophocle. Avec l’ école de Malherbe et de ses successeurs classiques, la
pour la cause qui avait remporté une si glorieuse victoire. C’est à l’ école des anciens que s’étaient formés et perfectionnés
et étaient flattés d’avoir servi de modèles au grand comique. Dans l’ École des femmes (1662), en cinq actes, il combattit le
es besoins, ne donna que des pièces en prose. Mais quatre ans après l’ École des femmes, il produisit enfin sur la scène un vé
est de ceux cents pistoles. C’est une dupe, il fait en un tour vingt écoles . Il ne faut plus qu’un coup. Géronte, lui donna
phants, Et fait en lettres d’or afficher sur sa porte :        Petite école d’éléphants. Constantinople y vole, on s’étouffe
is) (1733-1816) Ducis, poète dramatique qui ne relève d’aucune des écoles du dix-huitième siècle, ni de celle de Crébillon,
’ennui plane trop souvent sur ce poème didactique hérissé de termes d’ école et d’expressions purement techniques ; cependant
u dans la poésie champêtre un progrès analogue à celui de notre jeune école de paysagistes sur ses prédécesseurs au temps du
açant, en se décolorant, en s’amaigrissant. Les poètes de la nouvelle école essayèrent de la retremper, de lui rendre de la c
en littérature192 ». La plupart des écrivains dont se glorifie cette école , avec des talents divers et inégaux, ont apporté
fauts et l’abus qu’ils ont fait de talents hors ligne. Les excès de l’ école romantique rappellent, comme tant d’autres choses
e Ducis, mérite de figurer avec quelque honneur parmi les poètes de l’ école descriptive et sentimentale du commencement du di
se montra disposé à braver, avec les aventureux chefs de la nouvelle école , le génie des tempêtes qui garde les mers inconnu
înent partout. Pas de chaleur, pas de verve, un style très faible. L’ École des vieillards, représentée pour la première fois
Hugo (Victor) (né en 1802) Voici le vrai chef de la nouvelle école poétique, l’un des hommes dont l’exemple a été le
antastiques. Par ce merveilleux féerique, Victor Hugo se jette dans l’ école du romantisme allemand. La transition fut brusque
qui avaient institué ce qu’ils appelaient modestement le cénacle de l’ école romantique française, Victor Hugo y prit la premi
eptième siècle. Ponsard a nommé Victor Hugo et les auteurs de la même école , des « Campistrons de Shakespeare ». Ce terme nou
nt la critique qui lui avait été si sévère. La critique, le chef de l’ école romantique en niait absolument les droits. Il est
un des poètes les plus distingués, et aussi les moins exagérés, de l’ école romantique. Son principal titre d’honneur est le
té dans la pensée et dans la forme pour devenir l’un des maîtres de l’ école romantique. Il débuta à l’abri du pseudonyme en d
quelque chose de neuf en poésie et d’original, même dans la nouvelle école . Le premier, il nous ouvrait une source où n’avai
ympathies également vives. Joseph Delorme appartient « à cette jeune école de poésie qu’André Chénier légua au dix-neuvième
la pièce et l’entrée des princes, traités avec une simplicité dont l’ école romantique avait désappris l’usage, une langue pl
ce qui décida la fortune de Lucrèce et fit nommer l’auteur chef de l’ École du bon sens. Mais cette tragédie est loin d’être
le (Né en 1820) Leconte de Lisle a recherché la gloire d’un chef d’ école . Dans ses Poèmes antiques, il a voulu renouveler
ntitulé le Parnasse contemporain ; en réalité il n’appartient à cette école ni par les sujets qu’il traite, ni par la facture
49 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre VII. Satire. »
nfermer m’oins de mots que de sens. Juvénal, élevé dans les cris de l’ école , Poussa jusqu’à l’excès sa mordante hyperbole. Se
50 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Sainte-Beuve. Né en 1804. » pp. 566-577
ëte, en serait, et il achèverait d’ôter à ce coin charmant tout air d’ école littéraire. La Fontaine s’y oublierait, et, désor
le des prolétaires. 1. Pope, poëte anglais, mort en 1744, chef de l’ école classique. 1. Trouvons-nous la raison dans le iv
51 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XXII. » pp. 122-123
 61. Euclide l’ancien.] C’est peut-être le célèbre Euclide, chef de l’ École de Mégare, qui paraît avoir eu peu de goût pour l
52 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXV. des figures. — figures par développement et par abréviation  » pp. 353-369
ième siècle a tué la périphrase par l’étrange abus qu’il en a fait. L’ école de Boileau et de Racine la lui avait léguée, mais
eut blâmer, pour le même motif, l’ellipse de Casimir Delavigne dans l’ Ecole des vieillards : J’ai voulu par le luxe en impos
53 (1881) Morceaux choisis des classiques français des xvie , xviie , xviiie et xixe siècles, à l’usage des classes de troisième, seconde et rhétorique. Prosateurs
tion. XVIe siècle. Les prosateurs du XVIe siècle C’est à l’ école de l’antiquité que le xviie  siècle fixa la langu
fs-d’œuvre ; c’est le xvie  siècle qui ouvrit à la langue française l’ école de l’antiquité. Le xvie  siècle a eu le mérite et
n’entre que comme épisode dans notre cadre. Pendant un demi-siècle, l’ école de Marot représente l’esprit gaulois ; pendant l’
de Marot représente l’esprit gaulois ; pendant l’autre demi-siècle, l’ école de Ronsard représente l’esprit nouveau. Mais déjà
pte de la Réforme, contemporaine et auxiliaire de la Renaissance. À l’ école dite de Marot (1495-1544) se rattachent, avec bea
1466-1502), et Mellin de Saint-Gelais qui lui survit (1492-1558). — L’ école de Ronsard (1524-1585), sur l’invitation de Du Be
s les genres de la poésie antique, hors l’épopée laissée au chef de l’ école , qui y échoua misérablement. C’est surtout dans l
de Charles IX et père de la chirurgie moderne, dont le génie eut pour école l’Hôtel-Dieu et les champs de bataille, auteur de
commença à Bourges, où l’appela François Ier, et continua en Italie l’ école nouvelle du droit romain, qu’illustra le Toulousa
, de Paris, élève, comme tant d’autres hommes éminents du siècle, des écoles de droit d’Orléans et de Bourges, quitta la robe
an après, lui, le dernier venu, il publia le manifeste de la nouvelle école poétique sous le titre de : La Défense et illustr
n279 ; Descartes, par son Discours de la Méthode (1637), qui crée une école de bon sens et de raison, d’où sont sortis l’espr
me aussi de réformer le corps des sciences ou l’ordre établi dans les écoles pour les enseigner ; mais que, pour toutes les op
es experts. LYSIDAS. Enfin, monsieur, toute votre raison, c’est que l’ École des femmes a plu ; et vous ne vous souciez point
thènes, et le plus savant de ses sénateurs passera de l’aréopage en l’ école de ce barbare. Il poussera encore plus loin ses c
ù ils se croyoient élevés, pour apprendre à bégayer humblement dans l’ école de Jésus-Christ, sous la discipline de Paul.   Ai
oire, né et mort à Paris, le plus célèbre métaphysicien français de l’ école cartésienne, puisque chez Bossuet et Fénelon d’au
Je me remis auprès de lui pour l’étudier : il jouoit tout de travers, écoles sur écoles, Dieu sait ! Je commençois à me sentir
auprès de lui pour l’étudier : il jouoit tout de travers, écoles sur écoles , Dieu sait ! Je commençois à me sentir quelques r
rejouai une autre ; la chance tourna, le dé lui devint favorable, les écoles cessèrent ; je perdis partie, revanche et le tout
rite d’y arriver, parce qu’il a eu le bon sens de mettre à profit ses écoles . Toutes les scènes du roman, où défilent nombre d
ns de la critique régénérée, et qui a fait oublier ses tragédies de l’ école de Voltaire et son Histoire des Voyages ; — avec
ifférences. Le xvie  siècle s’était affranchi du moyen âge et mis à l’ école des anciens ; le xixe s’est affranchi des entrav
s et profondes de sa psychologie ; Royer-Collard (1763-1846) révèle l’ école écossaise, première base qu’élargira M. Cousin po
liste, dont il fait, par la puissance de son éloquence brillante, une école nouvelle, fortifiée par le talent de M. Jouffroy
er Scott crée en Angleterre le roman historique et descriptif, et son école fait fortune en France. Mais bientôt, à côté du C
, qui l’a augmentée, a développé ou accru les moyens d’y satisfaire : écoles datant de toute époque et de tout régime, associa
a polémique journalière de ces feuilles volantes. Deux d’entre elles, école de critique et foyer d’intelligence sous l’Empire
urait eu ce sens si vrai, si profond ; cela ne s’apprend pas dans les écoles . Comparez, je vous prie, Salluste et Tite-Live. C
stinct. Agé de trois ans, il allait frapper à la porte des Frères des écoles chrétiennes et, comme on lui en refusait l’entrée
ui rien épargner des devoirs et des gênes de leur maison. Rentré de l’ école ou du collège, il lui fallait porter le pain chez
nte jeunesse se pressait à Châlons-sur-Marne dans une des salles de l’ école d’artillerie. Le célèbre La Place731 y faisait, a
le jeune homme et lui annonce qu’il est le premier de la promotion. L’ école se lève tout entière, et accompagne en triomphe d
Buffon est plus égal, plus élevé, plus pur. Pline appartenait à cette école d’imagination plutôt que de goût, qui produisit d
nce. Les philosophes de la Grèce énoncèrent, dans l’enceinte de leurs écoles , quelques grandes vérités morales ; et Platon ava
âme vive et très susceptible d’exaltation. Quoique élevé à la sévère école de l’armée du Rhin, il s’était enthousiasmé pour
es-Augustin), de Boulogne-sur-Mer, commença par jouer son rôle dans l’ école romantique, d’abord par son Tableau historique et
utres. M. Nisard a de bonne heure fait l’essai de son criterium sur l’ école romantique dans une sorte de contre-manifeste (18
eurs études sur la fin de leur vie, et allaient en cheveux blancs aux écoles où l’on enseignait la langue d’Homère et celle de
urs qu’ils semblaient réciter de mémoire, comme une leçon apprise aux écoles . L’impulsion première vint de l’Italie. Nos guerr
destie de parler de vos maîtres, vous n’avez été le disciple d’aucune école  ; c’est par cela sans doute que vous n’avez pas e
mains à votre gloire, sous prétexte de travailler à la fortune d’une école . Vous n’avez pas eu de camarades866, mais vous av
res, proclamer tout haut qu’il regardait comme non avenues toutes les écoles , toutes les traditions académiques et autres, se
ibrairie nouvelle, Calmann Lévy, éditeur.) La salle des prix à l’ école des Beaux-Arts871 Peinture murale par P. De
espérances de la peinture française : ce regard du Poussin sur notre école , regard paternel, mais sévère, est en quelque sor
ue pour l’honneur du lion de Saint-Marc, et pour la suprématie de son école . Paul Veronèse, au contraire, a l’air plus modest
Théophile Gautier, de Tarbes, a marqué, après les grands maîtres de l’ école romantique, dans la poésie et le roman ; il a écr
par son premier roman (Han d’Islande), héraut, à vingt-cinq ans, de l’ école romantique par la préface de son drame de Cromwel
Pyrénées, avant d’éclore. En 1826, il donna un roman historique de l’ école de Walter Scott, Cinq-Mars, dont le style a plus
aractères n’ont de vérité. De 1829 à 1835, il marqua dans la nouvelle école dramatique par trois œuvres applaudies. Peut-être
ent. » (Cardinal de Retz.) 357. Il défend Molière et sa comédie de l’ École des Femmes (1662). 358. Dans le sens du siècle,
861. On appelle de ce nom la philosophie qui s’enseignait dans les écoles du moyen âge. 862. Le cardinal de Retz, Fouquet.
composition du peintre est aussi connue sous le nom de Hémicycle de l’ École des Beaux-Arts. Elle a été popularisée par la gra
(de son vrai nom Baccio della Porta), moine dominicain, peintre de l’ école florentine (1469-1517). — Le Dominiquin (Domenico
ole florentine (1469-1517). — Le Dominiquin (Domenico Zampieri), de l’ école bolonaise (1581-1641). — A. Dürer (1471-1528), de
o (de son nom Giovanni da Fiesole), né à Fiesole, moine, peintre de l’ école florentine (1387-1455). — M. Ange Buonarotti (147
rgian (1477-1521), Vénitien. — Paul Véronèse (1528-1508), de Vérone ; école Vénitienne. — Antonio Allegri, dit le Corrége (14
e. — Antonio Allegri, dit le Corrége (1494-1534), né près de Reggio ; école de Parme. 874. « Je suppose qu’on ait à lire qu
Tournelle. 925. On appelait ainsi, géographiquement, le quartier des écoles de l’Université, situé sur la rive gauche, et occ
nts pauvres de même nation ou de même province, suivant les cours des écoles de l’Université, établie et dotée par des fondate
rd’hui au Musée de Cluny. 929. Détruit par l’ouverture de la rue des Écoles . 930. Où se tint le Club de la Révolution, entre
54 (1881) Rhétorique et genres littéraires
’analyse raisonnée des œuvres des grands écrivains est une excellente école de goût. Pour faire une bonne analyse, il faut sa
e, une langue et un esprit mûris par de longs efforts ; 3° Enfin, une école de poètes privilégiés, personnifiée dans l’un de
aisemblance, point d’intérêt ; sans unité, dispersion de l’intérêt. L’ école classique des xviie et xviiie  siècles, exagéran
théâtre rempli. (Boileau, Art poétique, chant III, vers 45 et 46.) L’ école romantique n’a conservé avec raison de ces trois
s caractères opposés entre eux, mais dont aucun n’est le principal (L’ École des maris). 2° La comédie d’intrigue consiste dan
s un vif éclat. Tragédie et drame en France En France, ce fut l’ école de Ronsard qui restaura la tragédie. Jodelle, qui
e l’anglais Thompson et de l’allemand Gessner, naît et se développe l’ école descriptive. Son véritable chef, Delille, auteur
passer tranquille et sans être décrit. Fausse et antipoétique, cette école se prolongea jusqu’à l’Empire et la Restauration.
e témoin des temps, la lumière de la vérité, l’histoire du présent, l’ école de la vie, la révélatrice du passé ». Testis temp
x-neuvième (Histoire des ducs de Bourgogne), etc., représentent cette école , qui a pour devise ces mots de Quintilien : Scri
ommaire et l’appréciation des opinions professées par les différentes écoles . Philosophes proprement dits (tableau synoptiq
55 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XV. » pp. 109-111
la collection de Boissonade, et dans les Lyrici græci de Bergk) et l’ école d’Aristophane jusqu’à Molière, en passant par Éra
56 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Michel de L’Hospital, 1505-1573 » pp. -
matin, nous dit-il, on se levait pour la prière ; puis on allait aux écoles jusqu’à onze heures ; on ne revenait pour discute
57 (1879) L’art d’écrire enseigné par les grands maîtres
discours ? Vous êtes riche ; laissez-nous travailler à le devenir. L’ école de Zénon pensait, comme Socrate, que toute espèce
nt, le plus profond de tous les arts. Mais quelle en est la véritable école  ? La Grèce en avait deux, celle des philosophes,
sagesse et 1’éloquence ne faisaient qu’un ; le même homme, à la même école , était exercé, comme Achille, à la parole et à l’
rhétoriciens : les philosophes appelaient les orateurs formés à cette école , des ouvriers de paroles à la langue légère. Ils
aborentur. in quo etiam ipse Ulysses errasset. (De Orat. lib. III.) L’ école de Zénon (je l’ai déjà dit) méprisa l’éloquence c
e comme un artifice également indigne de la vérité et de la vertu ; l’ école d’Aristippe la rejeta comme impliquée dans les af
(De Orat. 1. I.) Et en dépit de la philosophie, c’était encore à ses écoles qu’ils allaient prendre les éléments de cette élo
ève. On distingue dans Cicéron les études qu’il avait faites dans les écoles de rhétorique, et dont nous avons un extrait, d’a
le dire, lorsqu’il a comparé ses disciples aux petits des oiseaux : l’ école est comme un nid, où il faut les nourrir, et leur
avant de peindre. Je ne veux, pas qu’on l’accoutume aux arguties de l’ école , mais qu’on lui apprenne à manier le raisonnement
utiles dont on fatigue les enfants. Cet exercice commencerait, dans l’ école assemblée, par la lecture, à haute voix, d’un mor
me fait illusion ; mais je crois voir le jeune élève sortir de cette école avec une force d’appréhension, une vigueur de jug
à dominer par la parole ; et pour cette étude, la véritable, la seule école , c’est le monde : nulle spéculation ne peut y sup
, la convenance et l’à-propos. Que les jeunes gens sachent donc que l’ école n’a été pour eux qu’une lice obscure et paisible,
très-moderne qui nous vient de la scolastique. B. Je conviens que l’ école est un méchant modèle pour l’éloquence ; mais que
r les divisions, elles n’aident que les gens qui ont étudié, et que l’ école a accoutumés à cette méthode ; et si le peuple re
médiocres, que Raphaël et Michel-Ange avaient formés, composaient une école infiniment supérieure à celle que ces deux grands
lorsqu’elle n’aurait pour objet que le soin de plaire, comme dans les écoles des sophistes et dans les harangues publiques des
éblouira qu’un moment ; et à cette enluminure rhétoricienne, dont nos écoles et nos académies ont fait vanité si longtemps, j’
tragédies argumentent alors avec les tournures et les subtilités de l’ école , et s’amusent à faire des jeux frivoles de raison
n 1672 par Donneau de Visé. H. G., du mot Hermes. 35. Lulli, et son école , sa famille. 36. Sédition, dénoûment vulgaire d
rang, et ses admirateurs les plus vifs et les plus sincères sont de l’ école de Voltaire, qui ainsi défendait Corneille contre
58 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre second. Définition et devoir de la Rhétorique. — Histoire abrégée de l’Éloquence chez les anciens et chez les modernes. — Chapitre premier. Idée générale de l’Éloquence. »
, il l’était devenu dans les promenades de l’académie, et non pas à l’ école des rhéteurs. Mais il est indispensable d’observe
59 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XXV. » pp. 131-134
s.] Προϐλήματα ou ὰπορίαι, et λύσεις, expressions consacrées dans les écoles grecques depuis Aristote, et qu’on retrouve à cha
60 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — La Boétie, 1530 1563 » pp. -
tre toutes par la passion d’apprendre. Elle venait d’appeler dans ses écoles une colonie de savants qui secondaient l’élan d’u
61 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — De Maistre 1753-1821 » pp. 210-213
’album de Mme Swetchine : « Esclave dans les murs du cloître et de l’ école , La raison n’osait rien ; je vins briser ses fers
62 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre cinquième. De l’Éloquence des Livres saints. — Chapitre III. Beautés de sentiment. »
ait efficacement à adoucir le tableau des misères humaines. C’est à l’ école de Bossuet que M. Treneuil me semble avoir contra
une belle ode. Partout on reconnaît l’homme vraiment formé à la bonne école , mais jaloux aussi d’établir la sienne et de pren
63 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Voltaire, 1694-1778 » pp. 158-174
uer des curiosités. Titien est un des peintres les plus éminents de l’ école vénitienne. 4. C’est-à-dire des tableaux de l’éc
us éminents de l’école vénitienne. 4. C’est-à-dire des tableaux de l’ école flamande. C’est une allusion à ce mot de Louis XI
64 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Précis des quatre âges de la Littérature. »
s, de la famille des empereurs de Nicée, ne dédaigna pas d’ouvrir une école de grammaire latine et grecque. Les chefs-d’œuvre
65 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Madame de Staël 1766-1817 » pp. 218-221
aire, mademoiselle Necker, depuis baronne de Staël, eut pour première école les graves entretiens d’un monde animé par le voi
66 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Cousin 1792-1867 » pp. 257-260
867 [Notice] Prix d’honneur de rhétorique (1810), élève de l’ École normale où l’enseignement de La Romiguière et de
67 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre cinquième. De l’Éloquence des Livres saints. — Chapitre IV. Beautés morales et philosophiques. »
ns l’un par l’autre chassés ! On raisonne, on dispute, on remplit les écoles Du souffle de l’erreur et du bruit des paroles. C
mbition de tout connaître et de tout vouloir juger, il avait abordé l’ école des sophistes, et en avait rapporté la conviction
68 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section deuxième. La Tribune du Barreau. — Chapitre VI. D’Aguesseau et Séguier. »
est digne d’attention. « Ce ne sont point des armes préparées dans l’ école d’un déclamateur : ces foudres, ces éclairs sont
69 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Malherbe. (1555-1628.) » pp. 160-164
d : Malherbe inaugura, non plus la poésie de telle province, de telle école , de tel homme, mais la véritable poésie française
70 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Nisard Né en 1806 » pp. 296-300
t ils ont peur ; toute la basse-cour, où ils se plaisent mieux qu’à l’ école . Ils y retrouvent ce que leur mère leur a dit des
71 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Villemain 1790-1870 » pp. 251-256
sans être timide, exact sans être borné3 ; qu’il passe à travers les écoles moins pures de quelques nations étrangères, pour
72 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Thiers Né en 1797 » pp. 265-270
té d’une montre bien réglée. 1. Pour M. Thiers, la politique a été l’ école de l’historien. En cela, il rappelle les maîtres
73 (1912) Morceaux choisis des auteurs français XVIe, XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles
53 la joie, l’allégresse, et Flora454 et les Grâces, comme fit en son école le philosophe Speusippus455. Où est leur profit,
, et dont les plus célèbres sont : les Précieuses ridicules (1659), l’ Ecole des maris (1661), les Fâcheux (1661), l’Ecole des
ses ridicules (1659), l’Ecole des maris (1661), les Fâcheux (1661), l’ Ecole des Femmes (1662), Don Juan (1665), le Misanthrop
s Moscovites se servirent de la guerre qu’il leur faisait comme d’une école . À chaque défaite, ils s’approchaient de la victo
olin Plusieurs personnes dignes de foi ont vu Jeannot et Colin à l’ école dans la ville d’Issoire1119 en Auvergne, ville fa
e, et qui, ayant acheté un marquisat au bout de six mois, retira de l’ école M. le marquis son fils pour le mettre à Paris dan
z grande influence sur quelques-uns des plus illustres écrivains de l’ école romantique. Histoire du chien de Brisquet En
à Paris en 1708, mort en 1874, Jules Michelet, qui fut professeur à l’ Ecole Normale, à la Sorbonne et au Collège de France, s
feux ne peut pas toujours nourrir un magister, ils ont des maîtres d’ école payés par toute la vallée, qui parcourent les vil
que, Alexandre Dumas fut peut-être le champion le plus actif de cette école romantique dont Victor Hugo fut le chef le plus a
à Dieuze1711 en 1828, mort en 1885, Edmond About alla, au sortir de l’ école normale, passer deux ans en Grèce comme élève de
sortir de l’école normale, passer deux ans en Grèce comme élève de l’ école d’Athènes (1851-1853). Il en rapporta, outre un m
M’en a-t-il fait commettre des crimes avec ses canots ! Je manquais l’ école , je vendais mes livres. Qu’est-ce que je n’aurais
tait pleine de chimères. Les enfants de son âge qu’il fréquentera à l’ école lui donneront l’expérience du monde. Il apprendra
Noziére est allée trouver une vieille demoiselle qui tient une petite école , Mlle Lefort. II La première journée d’école
qui tient une petite école, Mlle Lefort. II La première journée d’ école Mlle Lefort, qui tenait dans le faubourg Saint
ssa sagement réconcilier avec ses jeunes vainqueurs. Le triomphe de l’ école nouvelle était dès lors définitif. D’un charlat
e réformer la poésie française. Il révéla au public les théories de l’ école nouvelle, de la Pléiade 1926, dans un écrit en pr
, tentèrent de renouveler la poésie française et formèrent la célèbre école de la Pléiade1955. Il a laissé, outre les quatre
rs comédies et tragédies, représentées presque toutes avec succès : l’ École des vieillards (1823), Don Juan d’Autriche (1835)
l’auteur cherchait à concilier, en les tempérant, les hardiesses de l’ école romantique2634 avec les traditions du théâtre cla
827, le drame de Cromwell. On le regarda dès lors comme le chef d’une école nouvelle, l’école romantique, qui prétendait reno
romwell. On le regarda dès lors comme le chef d’une école nouvelle, l’ école romantique, qui prétendait renouveler la poésie e
s bancs où pâlit l’enfance prisonnière, Nous aurions fait tous deux l’ école buissonnière Dans les bois pleins de chants, de p
rituellement provocante, et composés tout à fait dans la manière de l’ école romantique2756. Sa verve est déjà plus réglée dan
mais magister ne s’était implanté, Son foyer souriant fut la première école  ; Elle y prenait l’enfance au miel de sa parole ;
je entendu quelque bonne parole ? Je n’ai jamais connu le chemin de l’ école  ; Je lis, c’est tout au plus ; j’écris tout juste
d’efforts pour donner des maîtres à ton fils, On ne te mit jamais à l’ école primaire ; Car, petit-fils d’un serf2947 et fils
. Souvenirs d’enfance i La fin du monde Sur les bancs de l’ école un bruit avait couru : « Demain la fin du monde !
 » Et moi qui l’avais cru, Lorsque tinta la cloche, à l’heure où de l’ école La troupe des enfants avec des cris s’envole, Je
e est tout près de terre, au bas des cieux !2955 » Puis, songeant à l’ école , à l’air grave du maître : « Encor si cette fin d
« Encor si cette fin du monde pouvait être Un jeudi ! Mais aller à l’ école en prison, Pour mourir ! et peut-être en disant m
ait-on ce matin ? Travaille, si tu veux qu’on te mette au latin ! A l’ école  !… » — Il faut partir, coûte que coûte ; Je parti
où s’était formée, autour de la reine Éléonore d’Aquitaine, toute une école de poètes écrivant en français. Nous avons d’elle
aine. 455. Philosophe grec (393-339), neveu de Platon et chef de son école après sa mort. 456. [Je voudrais, plût à Dieu] q
situé sur le quai Malaquais (n° 15 et 17), est aujourd’hui annexé à l’ École des Beaux-Arts, qui s’ouvre, d’une part, sur le q
Marot, voir ci-après, p. 469. 1826. Sur Ronsard et les poètes de son école , voir page 477, note 2, et page 481 et suivantes.
Jodelle et Pontus de Thyard, évêque de Chalon-sur-Saône. Toutefois l’ école comprenait dans le principe un plus grand nombre
Atropos coupait le fil, — Malherbe blâmait volontiers Ronsard et son école d’abuser des souvenirs et des allusions mythologi
rs trouver place dans la galerie de ses personnages (la Critique de l’ École des femmes, l’Impromptu de Versailles, le Misanth
ode était alors de les porter courts, et, dans la première scène de l’ École des maris, on voit Sganarelle pester précisément
lique. 2449. Sénèque (2-65 ap. J.-C.) est un philosophe romain de l’ école stoïcienne (voir la note 1 de la page 635), dans
quartier d’Athènes où Zénon, fondateur do la secte, avait établi son école , dans le premier quart du iiie siècle avant J.-C
e Louis Boulanger (1806-1867), l’un des artistes les plus en vue de l’ école romantique, et des amis les plus chers de Victor
74 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre second. Définition et devoir de la Rhétorique. — Histoire abrégée de l’Éloquence chez les anciens et chez les modernes. — Chapitre III. De l’Éloquence chez les Romains. »
nt en tous les disciples, les admirateurs et les tyrans. C’est à leur école qu’ils s’instruisirent ; mais ils leur furent tou
75 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre XIV. Genre historique. »
e de la vertu : c’est ainsi seulement que l’histoire peut devenir une école de morale. Loin de nous ce système fataliste, pré
76 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Supplément aux exemples. »
un bât, son régal un chardon ; Pour lui Mars n’ouvre pas sa glorieuse école  : Il n’est point conquérant, mais il est agricole
77 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Gresset. (1709-1777.) » pp. 291-296
trop amer des égards de nos sœurs.     On juge bien qu’étant à telle école , Point ne manquait du don de la parole L’oiseau d
78 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Bossuet, 1627-1704 » pp. 89-123
alèrent en lui dès l’abord un des princes de la jeunesse, l’ange de l’ école , un de ces élus qui font miracle par un don de na
thènes, et le plus savant de ses sénateurs passera de l’aréopage en l’ école de ce barbare. Il poussera encore plus loin ses c
ù ils se croyaient élevés, pour apprendre à bégayer humblement dans l’ école de Jésus-Christ, sous la discipline de Paul. Aimo
79 (1863) Principes de rhétorique et de littérature appliqués à l’étude du français
re habilement en œuvre. Ce qui est au-delà ne s’acquiert pas dans les écoles , et s’apprend toute la vie. Deuxième partie de l
que, elle attaque les arguments de l’adversaire par les procédés de l’ école , en démontrant qu’il est tombé dans les vices de
das fait contre Molière un sophisme de ce genre dans la Critique de l’ École des femmes : « Arnolphe ne donne-t-il pas trop li
a conversation. Au barreau, dans la chaire, à la tribune comme dans l’ école , dans les livres comme dans les discours, dans un
s qu’on laisse trop dédaigneusement se rouiller dans la poussière des écoles . On pourrait même aller plus loin, et dire presqu
courte revue, que les lieux communs, ramenés des formules arides de l’ école à l’expression animée et vraie de la vie, sont d’
ion, solidité, vigueur. — A côté des Précieuses et de l’Académie, une école sévère portait, dans les matières les plus sérieu
80 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Seconde section. Des grands genres de poésie — Chapitre IV. Du genre dramatique. » pp. 252-332
à l’imité nécessaire au drame. Parmi les critiques, les uns suivant l’ école classique, c’est-à-dire les Grecs, les Latins, et
’à la fin le théâtre rempli. Les autres, formant ce qu’on a appelé l’ école romantique ou moderne, rejettent les unités de te
, qui est regardée comme essentielle par h plus grand nombre. C’est l’ école des Anglais, des Allemands, des Espagnols, et d’u
and poids et des objections sérieuses. Longtemps avant notre nouvelle école littéraire, le drame romantique était connu en Eu
81 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre VII. des passions  » pp. 89-97
ges de la Fontaine, de madame de Sévigné, de J. J. Rousseau et de son école . Ces écrivains passionnent toute chose, et l’inté
82 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre XVI. Genre du roman. »
quatorzième siècle en Allemagne dans les curieux ouvrages du maitre d’ école Hugo de Trimberg, qui semble annoncer de loin, Ad
83 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Molière, (1622-1673.) » pp. 205-211
Une pleine lumière ici nous est offerte ; Et ce dôme pompeux est une école ouverte Où l’ouvrage, faisant l’office de la voix
84 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — D’Aubigné, 1550-1630 » pp. -
s. L’homme n’oublia jamais le serment de l’enfant. Élevé à la robuste école de la Renaissance, il fit ses études au pas de co
85 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Nicole. (1625-1695.) » pp. 40-47
Nicole, qui fut l’un des maîtres de Racine, représente une excellente école d’éducation et de style, celle de Port-Royal. Né
86 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Montluc, 1503-1577 » pp. -
ampagnes d’Italie furent, sous Charles VIII et Louis XII, sa première école militaire. En 1523, nous le voyons conduire une p
87 (1854) Éléments de rhétorique française
ents de rhétorique française PAR A. FILON Maître de conférences à l’ école normale supérieure, professeur d’histoire au lycé
ibrairie de L. Hachette et Cie Rue Pierre-Sarrazin, N° 14 (Près de l’ École de Médecine) Avertissement. Cet ouvrage n
. En général, j’ai supprimé ce qui sentait encore la déclamation de l’ école  ; car nous vivons dans un temps où la jeunesse a
pays, et les colonies romaines dont il fut couvert devinrent autant d’ écoles où les Gaulois apprirent les lois, les mœurs, et
is. Ceux qui ont reçu un tel privilège n’ont guère besoin d’aller à l’ école des rhéteurs ; cependant, comme on l'a souvent di
de ses élèves un sujet de déclamation, comme on disait alors dans les écoles . Apres de longues heures de réflexion, le jeune h
prêtres couraient encenser leurs dieux, et des rhéteurs ouvrir leurs écoles . « Que de fois j’ai visité ces thermes ornés de b
ple. Jeannot et Colin. Argument. Jeannot et Colin avaient été à l’ école ensemble dans la ville d’Issoire, en Auvergne : J
marquis, sous le nom de M. de La Jeannotière, et retira son fils de l’ école pour le produire dans le monde, à Paris. Le petit
tion. « Plusieurs personnes dignes de foi ont vu Jeannot et Colin à l’ école , dans la ville d’Issoire, en Auvergne. Ils étaien
e ; et, ayant acheté un marquisat au bout de six mois, il retira de l’ école M. le marquis son fils, pour le mettre à Paris da
adresse, c’est-à-dire à cette foule d’individus qui, au sortir de nos écoles , doivent se partager les diverses professions de
88 (1870) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices par Gustave Merlet,... à l'usage de tous les établissements d'instruction. Cours moyens, grammaire et enseignement spécial. Première partie : prose
les renouveler avec les générations qui passent sur les bancs de nos écoles . Je n’en veux pour preuve que l’air un peu fané d
es beautés voisines de nous, et qui sont pour la plume une excellente école . Elles lui apprennent à aimer par-dessus tout la
irréfléchi lira sans critique, si l’on s’obstine à les proscrire des écoles , au lieu d’apprendre, par une direction tout ense
qui ait fait plus de bruit que lui dans toutes les disputes de notre école . Il s’y est rendu redoutable ; il ne s’y passe po
déjà six mois qu’il avait acheté un marquisat, lorsqu’il retira de l’ école M. le marquis son fils, pour le mettre à Paris da
nouveauté dans notre littérature. Formé tout seul, sans maîtres, à l’ école de la souffrance, son génie se compose d’imaginat
ablit : « — Que me demandes-tu ? — Une recommandation pour entrer à l’ École normale. — Bon ! à l’École normale ? Entre plutôt
-tu ? — Une recommandation pour entrer à l’École normale. — Bon ! à l’ École normale ? Entre plutôt à mon service ; je te fera
aire, mademoiselle Necker, depuis baronne de Staël, eut pour première école les graves entretiens d’un monde animé par le voi
rs de toute imitation, n’écouta que la muse intérieure, et devint à l’ école des malheurs publics et domestiques, l’éloquent i
Cousin 1792-1867 Prix d’honneur de rhétorique (1810), élève de l’ École Normale oit l’enseignement de la Romiguière et de
ui vient demander à l’ancienne royauté l’éducation dispensée dans les écoles militaires1713 à la noblesse pauvre ; qui, à pein
écoles militaires1713 à la noblesse pauvre ; qui, à peine sorti de l’ école , acquiert dans une émeute sanglante1714, le titre
-Sulpice. Son éloquence qui s’était déjà signalée dans le procès de l’ École libre devant la chambre des pairs, se révéla plus
nous mettre bien avec notre esprit. C’est ce moi, non pas celui de l’ école , mais le moi modeste dont Rollin s’était rendu la
ez M. Jourdain, vous tous, s’il en est, qui passez sur les bancs de l’ école , sans profiter de l’enseignement. 244. Oui ; to
Molière se moque ici du jargon barbare qui régnait dans les anciennes écoles .    248. Il a du bon sens, M. Jourdain, quand il
s et des guerriers ; celui du peuple et du savant, du village et de l’ école , du sanctuaire et du barreau ; le vieux et le nou
eter ou troquer des curiosités. 1148. C’est-à-dire des tableaux de l’ école flamande. C’est une allusion à ce mot de Louis XI
es magots. 1149. Titien est un des peintres les plus éminents de l’ École vénitienne. 1150. Ce sont les titres de deux tra
n bât, son régal un chardon. Pour lui Mars n’ouvre point sa glorieuse école  ; Il n’est point conquérant, mais il est agricole
e noble goût oriental pour le chant de Bulbul, on voit parfois de ces écoles . Le maître rossignol, dans sa cage suspendue au c
l’album de Mme Swetchine : « Esclave dans les murs du cloître et de l’ école , La raison n’osait rien ; je vins briser ses fers
 Discours à l’Académie.) 1709. Pour M. Thiers, la politique a été l’ école de l’historien. En cela, il rappelle les maîtres
olino. 1713. Par le crédit du comte de Marbeuf, il entra en 1779 à l’ école militaire de Brienne, d’où, en 1781, il passa à l
a en 1779 à l’école militaire de Brienne, d’où, en 1781, il passa à l’ école militaire de Paris, et fut sous-lieutenant d’arti
s emprunts qu’il fait à l’histoire. 1756. Ces mots font allusion aux écoles philosophiques de Zénon, père du stoïcisme, et de
89 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XVII. les qualités essentielles du style. — propriété, précision, naturel  » pp. 230-239
candeur que de confiance, plus de raison que de chaleur. Sans doute l’ école qui s’est nommée romantique, avec son ridicule ab
90 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — A. Chénier. (1762-1794.) » pp. 304-312
de la versification comme pour la pensée, A. Chénier a été un chef d’ école parmi nous. 3. Pyrénées, en vers comme en prose
91 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Alfred de Vigny 1799-1863 » pp. 530-539
rées de son inspiration. Eloa, Moïse et Dolorida le classèrent dans l’ école romantique où il se distingua, non par l’audace m
92 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Mignet. Né en 1796. » pp. 504-512
Rousseau.) « L’histoire, quand elle est bien enseignée, devient une école de morale pour tous les hommes. Elle décrie les v
93 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Prosper Mérimée. Né en 1803. » pp. 558-565
s meilleures armes alors en usage et la connaissance approfondie de l’ école de bataillon. Au contraire, les Perses, avec leur
94 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Fénelon, 1651-1715 » pp. 178-204
n’apprend rien. Les autres maîtres nous ramènent toujours dans cette école intime où il parle seul. C’est là que nous recevo
e la raison, pour voir si ce qu’on lui dit y répugne. Il y a donc une école intérieure où l’homme reçoit ce qu’il ne peut ni
95 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Madame de Staël, 1766-1817 » pp. 399-408
aire, mademoiselle Necker, depuis baronne de Staël, eut pour première école les graves entretiens d’un monde animé par le voi
96 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — [Notice] Maurice de Guérin, 1810-1839. » pp. 598-606
que ; mais, étranger à tout artifice, il n’apprit son art dans aucune école . Ses descriptions touchantes lui échappent comme
97 (1886) Recueil des sujets de composition française donnés à la Sorbonne aux examens du baccalauréat ès lettres (première partie), de 1881 à 1885
ne s’improvisent pas et ne sauraient être l’œuvre d’un homme un d’une école  ; ce sont, comme on l’a dit, des terrains d’alluv
raille la médiocrité de ses compatriotes, se déclare pour la nouvelle école littéraire, et se montre injuste envers les vieux
ariées, et l’on ne pouvait mieux le caractériser qu’en l’appelant une école de grandeur d’âme. Mais si le sentiment qu’il exc
excellent en principe, ou doit dire qu’il est très scabreux et que l’ école de Ronsard se repentit d’en avoir usé. Pour le qu
Après la première guerre punique, Livius Andronicus ouvrit à Rome une école pour enseigner le grec et expliquer Homère. Vous
ur tant que je ne puis tolérer ce tic ; idée d’envoyer les poètes à l’ école des crocheteurs. Malherbe — Mon Dieu, c’est là u
qui, selon la belle expression de Voltaire, « a établi parmi nous une école de grandeur d’âme. » Accourez donc à cette fête
98 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XVI. des qualités essentielles du style. — clarté, pureté  » pp. 217-229
ou s’il marque une nuance de simplicité dans les mœurs, comme dans l’ Ecole des femmes, par exemple, où il sert à distinguer
99 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Montesquieu. (1689-1755.) » pp. 130-139
s Moscovites se servirent de la guerre qu’il leur faisait comme d’une école . A chaque défaite ils s’approchaient de la victoi
100 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — L. Racine. (1692-1763.) » pp. 267-276
passions de quelques tyrans ambitieux. Il emprunta sa philosophie aux écoles d’Epicure, etc. » 2. La Harpe cite les dix-huit
/ 166