ait tousjours accroire qu’il a failly, et mesme on impute à crime des
actions
fort vulgaires, dont ses Accusateurs, ny ses Juge
abandonné, qui ne trouve un pretexte à ses malices, et ne colore ses
actions
par une assez specieuse apparence. Cela procede e
s Vices, ou de leur donner le sien propre, pour colorer une meschante
action
. Ainsi nous appellons souvent l’Avarice un tresbo
, à cause de sa noblesse, ou de son argent, on alleguera simplement l’
action
, et là dessus on le fera servir d’exemple, quoy q
ux, n’a pas laissé de mettre quelque difference en la facilité de nos
actions
, et a doüé particulierement les uns d’une chose,
c’est qu’il n’y a point d’homme en qui la Nature n’ait fait naistre l’
action
qui luy est la mieux seante, et la plus utile. Ce
l’inclination. D’ailleurs, estant vray ce que dit Aristote, que nulle
action
naturelle n’est sans volupté, il semble que là où
de la naissance un certain instinct, qui nous porte ordinairement aux
actions
où nous sommes le plus propres, qui se fortifient
us suivions cét instinct, si nous voulons reüssir agreablement en nos
actions
; comme au contraire, c’est une chose peu judicie
nous fait voir évidemment en la Bouffonnerie, plus qu’en toute autre
action
. Car quant aux Arts et aux Sciences, il arrive qu
i le devroient estre ? Est-il bien possible que nous ayons oublié nos
actions
jusques-là, que de ne nous souvenir plus du sujet
quand mesme il y auroit des hommes assez heroïques pour une semblable
action
, nous ne pourrions les employer, sans chocquer la
ur remettre en memoire les déplaisirs du passé, D’ailleurs, c’est une
action
toute pleine d’inconstance, et de fausse conduite
nt ne le peut aucunement noircir d’infamie. Car le des-honneur suit l’
action
, et ne s’attache point à la personne offensée : a
deration par les gents de bien. Si elle s’attache donc simplement à l’
action
, celle-cy estant mauvaise, ne doit faire rougir q
pas si dépourveu de Vertueux, qu’on ny condamne encore les mauvaises
actions
; et qu’on ny mette la constance au nombre des ch
sé d’attirer sur soy plus d’horreur qu’il n’en avoit auparavant, en l’
action
qu’il a faite contre moy, combien plus serois je
en la mienne, puis que je ne pense pas avoir jamais donné lieu à des
actions
scandaleuses, et dignes de la hayne publique ? Vo
e ressentimens contre son ennemy, ce qui me semble la plus dangereuse
action
que puissent faire les offencez. Quant au moyen d
a qu’il endure patiemment la mort, et il s’affligera pour la mauvaise
action
d’un simple homme ? En quoy luy peut nuire un Enn
es raisonnables auroient grande honte d’entreprendre, et de faire des
actions
pour lesquelles, ny les oyseaux, ny les autres an
et qui ne mit pas tant la Philosophie dans les paroles, que dans les
actions
, fut de condition servile, et natif d’Ammorion, v
fense un Prince plus cruel que leur Ennemy mesme. Quant à la premiere
action
qu’elles firent, à sçavoir de se mettre volontair
omme il n’y a celuy, qui pour confirmé qu’il soit dans l’exercice des
actions
vertueuses, n’y puisse faillir quelquefois, la pl
nt, sans doute, de ce que nous nous rassasions facilement d’une mesme
action
, ou d’un mesme object, et de ce que nostre entend
pour trouver le desordre en cherchant la perfection, pour-rendre les
actions
libres moins heureuses que les volontaires, et br
ssession de leurs Maistresses, et ne peuvent toutesfois accomplir les
actions
qu’elles leur permettent, peine insupportable à c
. Ainsi passa ses vieux jours le grand Tamberlan, oublieux des belles
actions
qu’il avoit faites, et tellement perdu apres ses
a praticque de leurs remonstrances, comme si c’étoit quelque mortelle
action
? Certes, il n’y a rien de si éloquent que le bon
arquer visiblement les paroles mesme, l’accent, les reparties, et les
actions
exterieures de la personne : d’où il est aisé d’i
sant vivre ; à plus forte raison devons-nous imputer à poltronnerie l’
action
de ceux qui surprennent leurs Ennemis, sous le ma
bles par la Nature, et susceptibles de bien-veillance, se servent des
actions
les plus humaines en apparence pour executer des
avoir leu dans les Histoires de Naples, le conte de ceste effroyable
action
, dont il est meilleur de se taire, que d’en parle
dite cy dessus en la Fable du Serpent et du Laboureur, c’est bien une
action
charitable de luy pardonner, mais elle seroit imp
vanger. Comme au contraire ; si elle vient de ta lascheté, c’est une
action
qui ne merite pas la mort, mais une infamie perpe
veille incessamment la memoire de son supplice, et prend en horreur l’
action
qui le luy a pû causer. Voylà donc ce perfide ani
garde de m’en aller, comme tu dis, sans te remercier, si ta main, tes
actions
, tes mœurs, et ta vie, eussent esté semblables à
mesurée tristesse, et qu’on peust dire d’ailleurs, qu’une si mauvaise
action
s’estoit faite de son consentement, pour avoir re
rsuade visiblement. Car quelle apparence y auroit-il qu’une meschante
action
demeurast cachée, puis que Dieu a donné pour une
mes, au lieu de ne s’appliquer qu’à la juste loüange qui est deuë à l’
action
de mediocrité, pource que la Vertu ne consiste qu
nde, et de n’avoir que des arbres et des rochers pour témoins de leur
action
; soit que la vaillance leur semblast trop aisée,
tirer vanité du crime, et à faire passer pour belles et loüables des
actions
sanguinaires et forcenées. En un mot, plus un hom
e les gens hardis et lâches, j’entends hardis en paroles et lâches en
actions
.
s Dieux. Tout ce que l’homme fait, il le fait à leurs yeux ; Même les
actions
que dans l’ombre il croit faire. Un Payen qui sen
r en arriere toutes considerations, et se porter opiniastrément à une
action
eslevée au dessus de leur pouvoir, qui est en cel
ent d’exemple au reste du peuple, afin de le détourner des meschantes
actions
, pource qu’en leur mort il y a peu de gents inter
sans accompagner pour plus grand ornement De son chant gracieux cette
action
hardie. Oh oh ! quelle caresse, et quelle mélodie
l’emporte en sa demeure ; Et sans considerer quel sera le loyer D’une
action
de ce merite, Il l’étend le long du foyer, Le réc
pays avec larmes et gémissements et leur promettait des offrandes en
actions
de grâces, s’ils sauvaient le vaisseau. Mais la t
aux jours de sa vie en l’Escolle Academique, n’entreprit la genereuse
action
qu’il executa, que bien avant sur le declin de so
ile le tirast derechef de son repos, pour le conduire aux plus belles
actions
, qu’homme de sa nation eût jamais executées. Mais
Seneque en sa mort. Bref, il n’y a point de si grands hommes dont les
actions
n’ayent esté soüillées de quelque tache difforme.
raison, tant Alciat qu’Esope, ont fort judicieusement attribué ceste
action
au grossier animal d’Arcadie, pour nous donner à
œur, par maniere de dire, sur les lévres, la parole libre et nuë, les
actions
irreprochables, et les surpasser eux-mesmes, s’il
esence. Quant à leurs affaires particulieres, je trouve que c’est une
action
de prudence, de ne s’y entre-mettre pas aisément,
pliquer en termes plus exprés, le seul instinct, est capable de ceste
action
, au moins dans les temperaments vigoureux et deli
le de resistance. Il est temps maintenant de faire voir comment ceste
action
procede de la raison, bien que toutesfois il me s
ue nous portons à la gloire, qui nous empesche de nous arrester à des
actions
faciles et ravalées, pource que la vraye nature d
ris de dire un mensonge, mais encore de faire un homicide, ou quelque
action
plus tragique et plus extraordinaire. A cela l’on
de la contraincte, pource qu’il n’y a rien de si volontaire que ceste
action
, par laquelle on se dessaisit de ses propres comm
ut obliger les meschants, mais seulement à dessein de faire une bonne
action
, et de respecter en eux, le mesme Dieu qu’ils ont
le mesme Dieu qu’ils ont commun avecque nous. C’est en luy que nostre
action
doit estre bornée ; c’est en qualité de ses Creat
ous avons en butte en ceste Fable ceux qui s’attribuënt la gloire des
actions
d’autruy, quoy que de leur nature ils soient stup
sont ordinaires dans les Estats, autant de fois qu’il se fait quelque
action
guerriere et advantageuse à quelque Royaume. Car
. D’ailleurs, la Vengeance n’est pas un bien solide : ce n’est qu’une
action
que vous appellez douce, et qui vous remplit mill
ere, à sçavoir la certitude, ne voyez-vous pas une infinité de bonnes
actions
à qui l’on ne donne aucune loüange ; au lieu qu’i
umains ? Combien a-t’on supprimé de mots remarquables, et d’illustres
actions
? Certes, il n’est pas à croire que de tant de mi
rs, les brigues et les parties qui se font, pour estouffer les belles
actions
, l’envie des Concurrents, les corruptions des His
chants, mais se mesfier tous-jours d’eux, et interpreter toutes leurs
actions
à mal, quand mesme elles seroient plaines d’une a
t ainsi en ses paroles ». Discours sur la cent-sixiesme Fable. L’
action
de ce Satyre nous advise de n’admettre à nostre t
s que nous userons de Clemence, et de joindre une sottise à une belle
action
. Que si quelqu’un me vient objecter, que c’est av
par consequent on n’en aura terminé qu’une fausse, qui n’est pas une
action
meschante ny malheureuse, mais plustost judicieus
t aussi. Car ou ils se mocquent en paroles, ou en effect ; ou par les
actions
de ceux qu’ils jugent comtemptibles et ridicules.
tre maniere de se mocquer, à sçavoir, en effect, et par de veritables
actions
, elle retombe tout de mesme au desadvantage du Mo
üillent dans les troubles d’une puissante Maison, jusques à faire des
actions
indignes de leur naissance ; Et tout cela pour un
nduire à la bonne fortune du Vainqueur. D’ailleurs, toutes les autres
actions
de sa vie avoient esté si pleines de cruauté, qu’
perdent en la durée de leur vigueur. L’on peut dire le semblable des
actions
morales, en matiere desquelles nous apprenons par
e, l’Amour ; Mais quant à la Prudence, c’est à dire à la conduite des
actions
, on l’attribuë justement à une Déesse, et encore
t au Roy de Perse, decedé depuis six mois, au fort de ses plus belles
actions
. Que s’il arrive à tels Conquerants de venir à bo
ous pas déchoir et ramollir dans les delices, ternissant leurs belles
actions
par de trop vicieuses voluptez ; comme il arriva
u monde qui a le plus d’habitude au vice, ne soit pas incapable d’une
action
vertueuse, si est-ce qu’il deshonore en quelque f
contraire luy faire des submissions, et le flatter doucement avec une
action
de suppliant, jettant de temps en temps de hauts
y de l’Assemblée qui ne fût saisi d’un soudain estonnement, de voir l’
action
de ce genereux animal, qui au lieu d’esgorger l’E
Christ, c’est à dire, le faux imitateur de ses divines et fructueuses
actions
? Mais nostre Seigneur n’a-t’il pas un Singe perp
ue chacun pretend avoir en la praticque des Arts, et en toute sorte d’
actions
, soit de l’intelligence, soit de la main. En quoy
la Fureur met les armes à la main, et les porte indiscrettement à des
actions
precipitées et dommageables. Telles violences tom
reparation des injures, délivrer les esclaves, et faire mille autres
actions
memorables, qui servoient de but à la gloire de c
d’épouser une jeune Chambriere, luy qui avoit fait tant d’excellentes
actions
? Aristote ne faisoit-il pas une œuvre digne d’un
re Nature, c’est le Vieillard amoureux ». Cela estant, ô la glorieuse
action
que d’épouser une femme qu’on aime passionnément
mour, sans faire beaucoup d’excez, ny sans joüer de leur reste en des
actions
pleines d’effort, y employant ce peu de vigueur n
les communiqueront tous à la personne qu’ils ont dessein d’espouser ;
action
d’autant plus odieuse, que c’est une chose contre
certain, qu’il ne manquera point de rapporter et tes paroles, et tes
actions
. Ne fay rien qui te puisse attrister et garde toy
des Anciens, On adjouste aisément aux choses inventées. Toutes ces
actions
ne tombent point sous la faculté des Animaux, et
tre. Ne semble-t’il pas que cét Animal usoit de raisonnement en ceste
action
, et qu’il avoit quelque chose par dessus l’ordina
en mesme estat, en mesme circonstance, et en mesme progrez toutes les
actions
de la vie. Ceste fantasie donc a donné suject de
iciens, que le seul homme est capable de discourir, et que toutes les
actions
que nous admirons aux animaux, procedent de l’ins
s. Car il n’est pas incompatible qu’il n’eust veu souvent faire ceste
action
à son Maistre, pour esprouver si un Vaisseau esto
les deux, ils se forment, l’un à plaire l’homme, l’autre à imiter ses
actions
, qui est plustost la marque d’une facile imaginat
à Diomede, quand il l’envoye dans le camp des Troyens, pour faire une
action
de consequence, qu’il avoit imaginee. Par où, san
que nous faisons de grand et de memorable, que sans elles toutes nos
actions
seroient imparfaites. Passons maintenant à un aut
ils se font. Mais ceste remarque estant assez ordinaire en toutes les
actions
de la vie, ne manque presque jamais dans les trai
oit suffire à l’homme bien advisé, de prendre soigneusement garde aux
actions
de ceux qu’il soupçonne, y procedant de telle sor
lieu qu’en discours ils n’ont merité que des risées, en de semblables
actions
, ils sont dignes de recevoir des coups de pied, c
vertueux, et bien conditionné. Car il se figure assez que la premiere
action
qu’il feroit en ce cas là, seroit de le chasser d
de la Vertu qui luy est proche, comme d’appeller la prodigalité, une
action
liberale, la complaisance timidité, la valeur, pr
rbeille pleine de pain, que deux personnes devoient porter. Par ceste
action
il appresta d’abord à rire à ses compagnons, qui
urs dans le succés de ceste vie, qu’un meurtrier paye la peine de ses
actions
par la main d’un autre meurtrier ? Qu’un adultere
convient aux hommes, et aux fabuleuses Deïtez, en ce qui regarde les
actions
. A quoy principalement ont accoustumé d’avoir esg
tillesse de leurs inventions. L’on appelle Fables de speculation et d’
action
ensemble celles qui peuvent estre expliquées selo
s enseigne la Loy naturelle, il n’y a point de blasme ny de honte aux
actions
necessitées. Son intention n’est donc autre, que
us grande qu’ils ne l’ont faite, on ne peut nier que cela ne soit une
action
injuste et mesprisable. Ce qui arrive necessairem
spondit Esope, « que tu as voulu que je te donnasse ». Bien que ceste
action
irritast d’abord le Philosophe, si n’osa-t’il pou
donc des parents et des Precepteurs qui prestent leur jugement à nos
actions
, et sont les guides prevoyantes de nos mouvements
moins vicieux. En un mot, qu’il jette les yeux sur la lascheté de son
action
, qui n’est digne d’aucune sorte de loüange, pourc
s ressentiments de charité ; car c’est un ouvrage du cœur, et non des
actions
. Toutesfois il arrive par la permission de Dieu,
changer de sentiments ; aussi résolut-il de leur donner une leçon en
action
, Il leur dit de lui apporter un fagot de baguette
illants à demeurer dans la moderation, et faire plustost parler leurs
actions
, que leurs injures.
tablirent des jeux publics, pour émouvoir les jeunes gents aux belles
actions
, par une honneste jalousie de leurs semblables. D
tivée, a de tout temps rendu merveilleuses, et comme incroyables, les
actions
des hommes extraordinaires. Dequoy, ce me semble,
samment à la nouveauté. Ce qui estant ordinaire en la pluspart de nos
actions
, arrive sur tout en matiere de Gouvernement, où n
jusques à la teste : On compte leurs Predecesseurs : On examine leurs
actions
. La moindre parole qu’ils ont ditte pendant leurs
sir de mentir, l’on perd une chose bien precieuse, à sçavoir la Foy ;
Action
certes d’un tres-mauvais mesnager, et d’un imprud
s objects, pour se transformer en eux, et pratiquent incessamment les
actions
de la Vertu, pource qu’elle est la meilleure de t
llardise, d’envie, d’intemperance, de violements, et d’une infinité d’
actions
honteuses et sales ? Comment les autres Poëtes, e
onner à un homme le nom de meschant, ils examinent s’il en a fait les
actions
, et s’il les a reduittes en habitude. En ceste pr
mple des Estats et des Monarchies. Ce qui est tellement vray dans les
actions
moralles, qu’il passe aussi jusques dans les Phys
u. S’il advient doncques au Pere, ou bien à la Mere, de commettre une
action
vicieuse devant leur Enfant, asseurément il l’imi
les defauts des autres, en se mocquant de leurs paroles, ou de leurs
actions
, defaut qui est certes beaucoup moins supportable
d’une forte et loüable proposition. Ils pourroient dire encore, que l’
action
du Vertueux estant posée entre les deux extrêmes,
et dangereuses, est incomparablement plus à craindre qu’une suitte d’
actions
vertueuses. La principale raison est tirée de la
oir s’il ne se leveroit point de table, pour l’empescher de faire une
action
si temeraire. Mais luy se tenant tousjours dans l
r. » C’est ainsi que les hommes sensés ne doivent entreprendre aucune
action
, avant d’en avoir examiné la fin. Chambry 40.
me. Vous avez, comme le Lion un Cœur genereux, porté de luy-mesme aux
actions
magnanimes ; et comme l’Aigle une Inclination aux
ette sa faute sur une extrême necessité, prenant pour pretexte de son
action
la Charité paternelle, elle ne trouvera non plus
eintres, et de tous ceux à qui l’on commet le soing de l’Eternité des
actions
. Mais ce ne sont pas tant seulement ces gens-là q
’il s’en trouve parmy eux qui disent, que le mépris des biens est une
action
bonne et honneste de soy-mesme, ils l’estiment to
s Vaillants et les Doctes, et qui porte nos Esprits non seulement à l’
action
vertueuse, mais encore à la perfection de toute V
Ses fables sont courtes, faciles à comprendre et intéressantes par l’
action
qui en quelques vers s’y déroule. Plaisir sans fa
attaché une grande importance et qu’il n’avait pas donné suite à son
action
en justice ; car on ne voit pas que Phèdre ait ét
i d’une fable qui ne s’y rapporte pas ; celle qui en était la mise en
action
est absente. Le manuscrit de Pithou offrait des p
aire qu’à celui des Fabulæ antiquæ, c’est, encore par la façon dont l’
action
se déroule dans ses fables et par la répartition
▲