rd, lui reprochait de la repousser, alors qu’elle voulait devenir son
amie
. « Ce n’est pas à moi qu’il faut t’en prendre, re
renard, mais à ta nature, qui fait que j’ignore si j’aurai en toi une
amie
ou un ami. » Ceci vise l’homme ambigu.
s à ta nature, qui fait que j’ignore si j’aurai en toi une amie ou un
ami
. » Ceci vise l’homme ambigu.
p vient avecque son fils. Ces bleds sont mûrs, dit-il, allez chez nos
amis
Les prier que chacun apportant sa faucille, Nous
’un commence. Il a dit que l’Aurore levée, L’on fist venir demain ses
amis
pour l’aider. S’il n’a dit que cela, repartit l’A
, tout s’endort ; les petits et la mere. L’aube du jour arrive ; et d’
amis
point du tout. L’Aloüette à l’essor, le Maistre s
’à l’ordinaire. Ces bleds ne devroient pas, dit-il, estre debout. Nos
amis
ont grand tort, et tort qui se repose Sur de tels
Dit-il, de nous attendre à d’autres gens que nous. Il n’est meilleur
ami
ni parent que soy-même. Retenez bien cela, mon fi
aison pour luy ! L’on y tournoit à peine. Pleust au Ciel que de vrais
amis
Telle qu’elle est, dit-il, elle pût estre pleine
t raison De trouver pour ceux-là trop grande sa maison. Chacun se dit
ami
; mais fol qui s’y repose ; Rien n’est plus commu
s, Xanthus s’en estant allé aux estuves, y trouva quelques-uns de ses
amis
, qu’il voulut traicter, et commanda pour cét effe
’une lentille. Apres donc que Xanthus se fust bien baigné avecque ses
amis
, ils les pria de prendre un mauvais disner, avecq
Philosophe, si n’osa-t’il pourtant en faire semblant, à cause de ses
amis
, qui estoient là presens : mais il luy commanda d
is point à blâmer, ce me semble ». Xanthus se tournant alors vers ses
amis
: « à ce que je vois », leur dit-il, « je n’ay pa
ste fourbe despleut grandement à Xanthus, qui pour s’en excuser à ses
amis
: « Jugez, Messieurs », leur dit-il, « si cét hom
Codd. Ch 88 Cg 13 Ca 121 Cd 88 Mb 116. Un rat des champs avait pour
ami
un rat de maison. Le rat de maison invité par son
amps avait pour ami un rat de maison. Le rat de maison invité par son
ami
s’empressa d’aller dîner à la campagne. Mais comm
avait à manger que de l’herbe et du blé, il dit : « Sais-tu bien, mon
ami
, que tu mènes une vie de fourmi ? Moi, au contrai
des champs, oubliant la faim, soupira et dit à l’autre : « Adieu, mon
ami
, tu manges à satiété et tu t’en donnes à cœur joi
nt d’ennemis, et l’ay encore esté d’avantage de m’estre fié à de faux
amis
». Discours sur la quatorziesme Fable. Ce Li
et ceux qu’il a le plus cheris dans le monde. Cependant, ses premiers
amis
qui le voyent affligé, ne viennent aucunement à s
e desplaisir de les voir bandez contre luy ; Et quoy que possible ses
amis
ne luy seroient pas plus charitables durant sa vi
s c’est bien une chose execrable, et toutesfois tres-commune, que nos
amis
nous tournent le dos sur le declin, et sont les p
mis, de peur qu’ils ne te mesprisent : mais traicte courtoisement tes
amis
, leur estant doux et affable, pour les obliger à
ne te puissent nuire ; mais sur tout souvienne toy de prier pour tes
amis
. Ne te separe jamais d’avecque ta femme, de peur
, et laisser du bien à ses ennemis, que vivre, et avoir besoin de ses
amis
. Saluë volontiers ceux que tu rencontres, et te r
e ; « C’est vostre santé », continua ce Charlatan. A la fin un de ses
amis
l’estant allé voir, pour apprendre s’il ne se tro
ses illegitimes. De pareille nature sont encore ceux qui voyant leurs
Amis
malades à l’extremité, n’osent toutesfois leur pa
sprit ceste humeur servile, et faisons plus d’estat du proffit de nos
amis
, que de leurs chagrins. Preferons la verité à la
d. La 133 Mg 20. Un homme préparait un dîner pour traiter un de ses
amis
et familiers. Son chien invita un autre chien. «
aiter un de ses amis et familiers. Son chien invita un autre chien. «
Ami
, lui dit-il, viens céans dîner avec moi. » L’invi
is qu’il parlait ainsi à part lui, tout en remuant la queue, comme un
ami
qui a confiance en son ami, le cuisinier le voyan
rt lui, tout en remuant la queue, comme un ami qui a confiance en son
ami
, le cuisinier le voyant tourner la queue de-ci, d
te d’autres chiens ; l’un d’eux lui demanda : « Comment as-tu dîné, l’
ami
? » Il lui répondit : « À force de boire je me su
FABLE XCII. De deux
Amis
, et de l’Ours. Deux Amis rencontrerent un Ours
FABLE XCII. De deux Amis, et de l’Ours. Deux
Amis
rencontrerent un Ours en leur chemin, comme ils v
versité sont les deux pierres de touche où s’épreuvent les veritables
Amis
. Il s’en trouve assez qui se rendent nos familier
s me confessent aussi, que l’évenement en est si rare, qu’entre mille
Amis
que plusieurs se vantent d’avoir, à peine en trou
infamie, et acquerir de la loüange, qu’ils ne nous sont veritablement
Amis
. Mais qu’en une occasion pareille à ce que j’ay d
bois fuiant ; le* heriçun leist entrepris. Quant il l’apele e dit : «
Amis
, pur amur Deu, vien mei eider, tu ne me deiz mie
ist devant les chiens, sil defendist. Li hyriçuns li respunt tant : «
Amis
», fet il, « va t’en avant, si te joïs de tun aig
δοκιμάζουσιν. Codd. Pa 64 Pb 65 Pc 32 Pe 32 Pg 42 Ma 46 Mb 36. Deux
amis
cheminaient sur la même route. Un ours leur appar
s lui avait dit à l’oreille. « De ne plus voyager à l’avenir avec des
amis
qui se dérobent dans le danger », répondit l’autr
robent dans le danger », répondit l’autre. Cette fable montre que les
amis
véritables se reconnaissent à l’épreuve du malheu
Pf 110 Ma 128 Me 157 Mf 131. Un homme qui avait reçu un dépôt d’un
ami
projetait de l’en frustrer. Comme cet ami l’appel
ui avait reçu un dépôt d’un ami projetait de l’en frustrer. Comme cet
ami
l’appelait à prêter serment, pris d’inquiétude, i
partit l’homme, puisque tu veux prendre au piège tes camarades et tes
amis
. » Cette fable montre que l’homme qui trame des m
Cette fable montre que l’homme qui trame des machinations contre ses
amis
tombera lui-même dans les embûches et le danger.
ir les protestations d’amitié de ceux qui nous font passer, nous, les
amis
de fraîche date, avant les, vieux amis. Disons-no
ui nous font passer, nous, les amis de fraîche date, avant les, vieux
amis
. Disons-nous que, quand notre amitié aura pris de
aura pris de l’âge, s’ils se lient avec d’autres, c’est ces nouveaux
amis
qui auront leurs préférences. Chambry 17.2
dre voleit, e un sun buc tut a un pris. Pur vient souz ceo dist a ses
amis
[que] chescun d’eus voleit duner, si nul les vous
e bien afïez. Puis avient si que li lus fu pris. Al hyriçun a dit : «
Amis
, aïe mei, si Deus te aït ! » Li hyriçun respunt e
flattent presque tousjours les Grands, ou les personnes qui leur sont
amies
, soit pour l’esperance du gain, soit par une mani
qu’ils representent, ou apres. Si c’est du temps mesme, ils sont, ou
amis
, ou ennemis, ou indifferents aux Roys et aux Peup
u indifferents aux Roys et aux Peuples, dont ils font mention. Estant
amis
, ils nous seront quant et quant suspects de compl
e pour rendre l’Histoire suspecte de flatterie, quand on parle de ses
amis
, ou de sa nation, la peut aussi faire accuser de
et trouvera-t’on à la fin qu’ils viennent ordinairement de personnes
amies
ou ennemies : veu que les indifferentes ne se pei
gle sun ni aveit. Li egles vit le fu espris ; al gupil prie e dit : «
Amis
, estein le feu ! Pren tun chael ! Ja serunt ars t
que une foiblesse d’esperer un vray service de ceux qui se disent nos
amis
, veu la grande tromperie qui se trouve d’ordinair
ance, et de fausse conduite, et cela s’appelle proprement traicter en
amis
ceux à qui nous avons donné sujet de ne le plus e
bonne vie.
Les conviez sont gens choisis,
Mes parens, mes meilleurs
amis
.
Soyez donc de la compagnie.
Simonide promit. P
s font grace.
Jadis l’Olympe et le Parnasse
Estoient freres et bons
amis
.
et qui me suit, du danger se retire,
Et moy j’y tombe, et je peris.
Ami
, luy dit son camarade,
Il n’est pas toujours bon
dérables, le demi-dieu lui apparut la nuit, et lui dit : « Cesse, mon
ami
, de dilapider ton bien ; car, si tu dépenses tout
’ils portaient même l’estomac. À quoi celui-ci répondit : « Mais, mes
amis
, si je ne vous fournissais pas de nourriture, vou
lui en demanda la raison. Quand il en fut instruit : « Tu as tort, l’
ami
, dit-il, de t’attacher à une espérance ; l’espéra
ouvert se trouva mis.
Je laisse à penser la vie
Que firent ces deux
amis
.
Le regal fut fort honneste :
Rien ne manquoi
e vin et avait pris des lavements, ne serait pas mort. — Hé ! mon bel
ami
, reprit l’un d’eux, ce n’est pas à présent qu’il
c’est au moment où ils en ont besoin qu’il faut prêter son aide à ses
amis
, au lieu de faire l’habile homme, quand leurs aff
lle dépendance qu’a le Senat avecque la populace. Car, disoit-il, mes
amis
, ne pensez pas que les Senateurs, quoy qu’ils soi
qui travaillent bien plus pour vous-mesme. Ne vueillez donc pas, mes
amis
, affoiblir ceste partie de telle sorte, par vos f
eit issi mestre, si li acuntast de sun estre. La suriz li respunt : «
Amie
, pieça k’en oi la seignurie ; bien est en ma subj
n wascel fussums ore, que mut est bel : la est la meie mansïun ; bele
amie
, kar i alum ! Tant i averez joie e deduit, jamés
ra. » Cette fable confond les gens ingrats et qui veulent voler leurs
amis
. Chambry 339.2 Aliter — Autre version.
mordre ou de me baiser, afin que je sache si tu es mon ennemi ou mon
ami
. » Cette fable s’applique à l’homme équivoque.
nstruit de leur malice, Leur dit : Je vous connois de long-temps, mes
amis
; Et tous deux vous payrez l’amende : Car toy, Lo
il arriva de bonne fortune, qu’Hermippus, qui lui avoit toujours esté
ami
, témoigna qu’il l’estoit encore à ce besoin, car
lles l’attristerent extrémement, pource qu’il n’y avoit pas un de ses
amis
qui fust capable d’entendre la question de la Tou
si, mettant fin à leur inimitié, ils dirent : « Il vaut mieux devenir
amis
que de servir de pâture à des vautours et à des c
illes du marais, ayant entendu ses gémissements, lui dirent : « Hé, l’
ami
! qu’aurais-tu fait, si tu étais resté ici aussi
iens et de profits. Un de ceux qui se trouvaient là lui dit : « Hé, l’
ami
, s’il est si bienfaisant, pourquoi le vends-tu, a
nts, s’approcha, et apprenant ce qui était arrivé, lui dit : « Hé ! l’
ami
, tu veux voir ce qu’il y a dans le ciel, et tu ne
ondité. Une corneille ayant entendu ses vanteries, lui dit : « Hé ! l’
amie
, cesse de te vanter de cela ; car plus tu feras d
emps de là la Cicogne le prie :
Volontiers, luy dit-il, car avec mes
amis
Je ne fais point ceremonie.
A l’heure dite il c
és ce soir. Et cependant vien recevoir Le baiser d’amour fraternelle.
Ami
, reprit le Coq, je ne pouvois jamais Apprendre un
eit le pain bailler, ki la faude deveit guaiter. Li chiens li dit : «
Amis
, pur quei prend[e]rai jeo cest pain de tei ? Jeo
n’employent leur peine ou leur pouvoir, qu’à l’avantage de leurs faux
amis
? Ceux-cy trament des menées artificieuses avec u
e cela suffise pour la preuve de ceste verité, à sçavoir que les bons
amis
ne sont pas compatibles avecque les desseins merc
r à entendre le bruit de ses dents. Le cheval lui répondit : « Hé ! l’
ami
, si les loups pouvaient user de l’orge comme nour
rent nule rien, que des autres que jeo mesfis : li nunpuissant ad poi
amis
. » Par me[is]mes ceste reisun pernum essample del
vivre en sûreté, défie-toi de tes ennemis, mais aie confiance en tes
amis
, et conserve-les. Chambry 71.2 Aliter — Aut
ien cherchait, celui-ci reprit la parole : « Jette ce papier à terre,
ami
; car il est tout à fait insignifiant. »
un danger inattendu. Alors le pilote, esprit solide, leur dit : « Mes
amis
, réjouissons-nous, mais comme des gens qui reverr
departirent, tel poür eurent, sil fuïrent. Li asnes dit : « Veiz tu,
amis
, ceo que jeo te aveie pramis ? » Li lïuns li ad r
lui proposa une alliance. « Il nous sied tout à fait, dit-il, d’être
amis
et alliés, puisque toi, tu es le roi des animaux
n se mit à rire et dit : « Toi, en effet, tu l’as reçu justement d’un
ami
! » Pillards et brigands insatiables qui, en butt
s’animait, une ronce qui les écoutait de la haie voisine, dit : « Mes
amis
, cessons enfin de nous quereller. » C’est ainsi q
est la reprehension des demandeurs impertinents, qui exigent de leurs
amis
beaucoup de choses indiscretement, quoy qu’à la v
plus proche, tout de mesme que l’honneur touche en quelque façon les
amis
de la personne honnorée, par un rayon qu’il eslan
jeo veü ! » Dunc li ad la femme respundu : « Quei avez vus, beau sire
amis
? » — « Un autre humme, ceo m’est avis, sur le li
des Paons, emprunta le plumage de l’un d’entr’eux, qui estoit de ses
amis
; et cela faict, il s’alla jetter inconsiderément
ieux. Ils s’endebtent de tous costez chez les Artisans, et chez leurs
amis
: Ils font la roüe dans des estoffes empruntées.
arde contre leurs ennemis, tombent, sans qu’ils s’en doutent, sur des
amis
beaucoup plus dangereux que leurs ennemis.
Comme l’essieu grinçait, ils se retournèrent et lui dirent : « Hé ! l’
ami
, c’est nous qui portons toute la charge, et c’est
elui-ci tournant les yeux vers son camarade lui dit : « Eh bien ! mon
ami
, ne trouves-tu pas juste qu’on m’honore d’une dou
». Xanthus bien fâché qu’Esope luy avoit joüé ce tour là, devant ses
amis
. « Hé bien », leur dit-il, « Messieurs, me suis-j
s engins* se defendera la u il erent entrepris. E li gupil li dit : «
Amis
, cent engins sai, u mut me crei, e pleine puche e
qui se sont fait beaucoup d’ennemis dans leur vie ne trouveront pas d’
amis
, dans le besoin. Chambry 169.2 Aliter — Aut
rnèrent, effrayés ; mais l’un d’eux prenant la parole dit : « Allons,
amis
, continuons notre chemin : ce n’est qu’une cornei
ar ignorance on ne se méfie pas de ses ennemis, et qu’on repousse ses
amis
, les tenant pour suspects. Chambry 236.2 Al
ertes ». « Infame Boufon », dit Xanthus, « tu peux bien remercier mes
amis
: car n’estoit le respect que je leur porte, et q
un glaive tranchant des deux costez, qui peut nuire aussi bien à ses
amis
qu’aux autres, et qui s’accommode tantost à nos s
d tout droit
A l’endroit
Où la Laye estoit en gesine.
Ma bonne
amie
et ma voisine,
Luy dit-elle tout bas, je vous do
la regarda, par grant duçur li demanda : « Quel semblant fet ma duce
amie
? » — « Jeo sui », fet ele, « maubaillie pur la p
vera cunseiller a sun busuin, s’il est suppris, que li meudres de ses
amis
.
olie vus fust pardonee. » — « Tost », fet il, « me fu eschapee. » — «
Ami
», fet il, « or les ester ! Ne voilez mes Adam bl
e fable montre que, si l’on n’a point de part aux heureux succès d’un
ami
, on ne lui est pas non plus fidèle dans le malheu
e abeïe. » Li vileins l’ot, merci li crie. « Lesser ester », fet il «
amie
! Ne departez de mei einsi ! Mençunge fu quan que
ien e doctriner, ki quë unc se sent entrepris e n’eit od sei ses bons
amis
ki [li] sacent cunseil doner, que bien [se] deit
cumpainie e ceus que te sunt en aïe, e jeo asemblerai mes genz e mes
amis
e mes parenz ; demain tenum une bataille ! En mi
ette faveur. Mais la Fortune lui apparut et lui dit : « Pourquoi, mon
ami
, imputes-tu à la Terre les dons que je t’ai faits
e à propos des hommes qui pendant leur vie sont méchants envers leurs
amis
en leur rendant service après leur mort. Cham
p de prudence ; ce qui ne procede que de l’extrême inégalité des deux
Amis
, et par consequent il faut necessairement qu’il y
er, et tu m’as mis plus mal en point. — Eh bien ; tu t’es fourvoyé, l’
ami
, dit la ronce, en voulant t’accrocher à moi qui a
trèrent alors un puits profond. En le voyant, l’une dit à l’autre : «
Amie
, descendons ensemble dans ce puits. — Mais, répon
des gens qui se trouvaient là, le voyant courir, lui cria : « Hé ! l’
ami
, toi qui te piquais de prévoir ce qui doit arrive
is aux mensonges d’Esope : Le mensonge et les vers de tout temps sont
amis
. Mais je ne me crois pas si cheri du Parnasse, Qu
ispose. Se vuoi per moglie haver la mia figliuola, Che cotanto
ami
, et mio genero farti, Ti convien prima assicurarm
urcissement d’esprit, qui nous fait tenir pour suspects nos meilleurs
amis
, jusques à les accuser de perfidie, combien qu’il
liquer cette fable à ceux qui poussent l’amitié jusqu’à régaler leurs
amis
, mais pas plus loin, et qui refusent de leur rend
osier du loup, retira l’os, puis réclama le salaire convenu. « Hé ! l’
ami
, répondit le loup, ne te suffit-il pas d’avoir re
périr. La mer, ayant pris la forme d’une femme, lui dit : « Mais, mon
ami
, ce n’est pas à moi, c’est aux vents qu’il faut a
la Fortune, s’étant approchée de lui, l’éveilla et lui dit : « Hé, l’
ami
! si tu étais tombé, ce n’est pas ton imprudence,
parler d’un homme, dit que oui, et que c’était même un de ses intimes
amis
. Indigné d’un tel mensonge, le dauphin le plongea
uy demanda, pour quelle raison il avoit ainsi honteusement chassé ses
amis
. « Mon Maistre », luy dit Esope, « ne m’as-tu poi
l ne devoit point entrer en défiance de luy, qu’ils avoient esté bons
amis
de tout temps, et que pour cela il desiroit fort
cilement. Que si toutes ces veritez se rencontrent en la personne des
Amis
qui essayent à nous exhorter ; à plus forte raiso
nt lur parlement. Mandez i fu, n’i vient n[i]ent ; kar si parent e si
ami
l’en aveint devant garni. Un’ autre fez i fu mand
à nous, de crainte de se rabaisser par l’égalité necessaire entre les
amis
; dans les inclinations des petites gents n’y a t
e de s’arrester aux complaisances des flatteurs ? Les Livres sont des
amis
qui ne trompent point ; on y peut voir l’Image de
nces, et que ce ne sera pas un homme seul, mais une race entiere. Les
amis
de ceste race, et les amis de leurs amis vous cou
un homme seul, mais une race entiere. Les amis de ceste race, et les
amis
de leurs amis vous courront sus, ausquels, commen
, mais une race entiere. Les amis de ceste race, et les amis de leurs
amis
vous courront sus, ausquels, comment pourrez-vous
l’un d’eux, un vieillard, leur dit : « Cessons de nous affliger, mes
amis
; car la joie parait-il, a pour sœur le chagrin ;
n des rats sortant la tête pour regarder, l’aperçut et dit : « Hé ! l’
ami
, quand tu serais sac, je ne t’approcherais pas. »
; D’autres, par une fausse impression qu’ils ont conçeuë contre leurs
amis
, les tenans suspects d’envie, ou de malignité, et
qui tombent en ceste prodigieuse mescognoissance. Nous voyons que les
Amis
, et les Dames, deviennent aussi quelquesfois de c
Martial loüent à tout propos certaines maisons de plaisance de leurs
amis
, voire les leurs propres. En un mot, quelque part
, d’avoir de la peine pour son Maistre, pour ses Ennemis, et pour ses
amis
, de ne voir point d’heure ny d’occasion où le dan
et s’étant informé du motif, lui dit : « Ne te désespère pas ainsi, l’
ami
; car, tout en ayant de l’or, tu n’en avais pas.
r commun ennemy de les ruyner par brigues, ou par procez. Jamais deux
amis
ne tombent en dissention, qu’un tiers ne s’appres
▲