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1 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 341 » p. 242
rd, lui reprochait de la repousser, alors qu’elle voulait devenir son amie . « Ce n’est pas à moi qu’il faut t’en prendre, re
renard, mais à ta nature, qui fait que j’ignore si j’aurai en toi une amie ou un ami. » Ceci vise l’homme ambigu.
s à ta nature, qui fait que j’ignore si j’aurai en toi une amie ou un ami . » Ceci vise l’homme ambigu.
2 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XXII. L’Aloüette et ses petits, avec le Maistre d’un champ. » p. 325
p vient avecque son fils. Ces bleds sont mûrs, dit-il, allez chez nos amis Les prier que chacun apportant sa faucille, Nous
’un commence. Il a dit que l’Aurore levée, L’on fist venir demain ses amis pour l’aider. S’il n’a dit que cela, repartit l’A
, tout s’endort ; les petits et la mere. L’aube du jour arrive ; et d’ amis point du tout. L’Aloüette à l’essor, le Maistre s
’à l’ordinaire. Ces bleds ne devroient pas, dit-il, estre debout. Nos amis ont grand tort, et tort qui se repose Sur de tels
Dit-il, de nous attendre à d’autres gens que nous. Il n’est meilleur ami ni parent que soy-même. Retenez bien cela, mon fi
3 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XVII. Parole de Socrate. » p. 500
aison pour luy ! L’on y tournoit à peine. Pleust au Ciel que de vrais amis Telle qu’elle est, dit-il, elle pût estre pleine 
t raison De trouver pour ceux-là trop grande sa maison. Chacun se dit ami  ; mais fol qui s’y repose ; Rien n’est plus commu
4 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — D’un seul grain de lentille qu’Esope fit cuire en un Pot, et de quelques autres choses facetieuses. Chapitre X. »
s, Xanthus s’en estant allé aux estuves, y trouva quelques-uns de ses amis , qu’il voulut traicter, et commanda pour cét effe
’une lentille. Apres donc que Xanthus se fust bien baigné avecque ses amis , ils les pria de prendre un mauvais disner, avecq
Philosophe, si n’osa-t’il pourtant en faire semblant, à cause de ses amis , qui estoient là presens : mais il luy commanda d
is point à blâmer, ce me semble ». Xanthus se tournant alors vers ses amis  : « à ce que je vois », leur dit-il, « je n’ay pa
ste fourbe despleut grandement à Xanthus, qui pour s’en excuser à ses amis  : « Jugez, Messieurs », leur dit-il, « si cét hom
5 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 245 » pp. 352-352
Codd. Ch 88 Cg 13 Ca 121 Cd 88 Mb 116. Un rat des champs avait pour ami un rat de maison. Le rat de maison invité par son
amps avait pour ami un rat de maison. Le rat de maison invité par son ami s’empressa d’aller dîner à la campagne. Mais comm
avait à manger que de l’herbe et du blé, il dit : « Sais-tu bien, mon ami , que tu mènes une vie de fourmi ? Moi, au contrai
des champs, oubliant la faim, soupira et dit à l’autre : « Adieu, mon ami , tu manges à satiété et tu t’en donnes à cœur joi
6 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIV. Du Lion affoibly de vieillesse. »
nt d’ennemis, et l’ay encore esté d’avantage de m’estre fié à de faux amis  ». Discours sur la quatorziesme Fable. Ce Li
et ceux qu’il a le plus cheris dans le monde. Cependant, ses premiers amis qui le voyent affligé, ne viennent aucunement à s
e desplaisir de les voir bandez contre luy ; Et quoy que possible ses amis ne luy seroient pas plus charitables durant sa vi
s c’est bien une chose execrable, et toutesfois tres-commune, que nos amis nous tournent le dos sur le declin, et sont les p
7 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope instruit Ennus, et luy donne des preceptes pour vivre en homme de bien. Chapitre XXVII. »
mis, de peur qu’ils ne te mesprisent : mais traicte courtoisement tes amis , leur estant doux et affable, pour les obliger à
ne te puissent nuire ; mais sur tout souvienne toy de prier pour tes amis . Ne te separe jamais d’avecque ta femme, de peur
, et laisser du bien à ses ennemis, que vivre, et avoir besoin de ses amis . Saluë volontiers ceux que tu rencontres, et te r
8 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXII. D’un Malade, et d’un Medecin. »
e ; « C’est vostre santé », continua ce Charlatan. A la fin un de ses amis l’estant allé voir, pour apprendre s’il ne se tro
ses illegitimes. De pareille nature sont encore ceux qui voyant leurs Amis malades à l’extremité, n’osent toutesfois leur pa
sprit ceste humeur servile, et faisons plus d’estat du proffit de nos amis , que de leurs chagrins. Preferons la verité à la
9 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 179 » pp. 328-328
d. La 133 Mg 20. Un homme préparait un dîner pour traiter un de ses amis et familiers. Son chien invita un autre chien. « 
aiter un de ses amis et familiers. Son chien invita un autre chien. «  Ami , lui dit-il, viens céans dîner avec moi. » L’invi
is qu’il parlait ainsi à part lui, tout en remuant la queue, comme un ami qui a confiance en son ami, le cuisinier le voyan
rt lui, tout en remuant la queue, comme un ami qui a confiance en son ami , le cuisinier le voyant tourner la queue de-ci, d
te d’autres chiens ; l’un d’eux lui demanda : « Comment as-tu dîné, l’ ami  ? » Il lui répondit : « À force de boire je me su
10 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCII. De deux Amis, et de l’Ours. »
FABLE XCII. De deux Amis , et de l’Ours. Deux Amis rencontrerent un Ours
FABLE XCII. De deux Amis, et de l’Ours. Deux Amis rencontrerent un Ours en leur chemin, comme ils v
versité sont les deux pierres de touche où s’épreuvent les veritables Amis . Il s’en trouve assez qui se rendent nos familier
s me confessent aussi, que l’évenement en est si rare, qu’entre mille Amis que plusieurs se vantent d’avoir, à peine en trou
infamie, et acquerir de la loüange, qu’ils ne nous sont veritablement Amis . Mais qu’en une occasion pareille à ce que j’ay d
11 (1180) Fables « Marie de France, n° 71. Le loup et le hérisson » p. 675
bois fuiant ; le* heriçun leist entrepris. Quant il l’apele e dit : «  Amis , pur amur Deu, vien mei eider, tu ne me deiz mie
ist devant les chiens, sil defendist. Li hyriçuns li respunt tant : «  Amis  », fet il, « va t’en avant, si te joïs de tun aig
12 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 255 » pp. 65-65
δοκιμάζουσιν. Codd. Pa 64 Pb 65 Pc 32 Pe 32 Pg 42 Ma 46 Mb 36. Deux amis cheminaient sur la même route. Un ours leur appar
s lui avait dit à l’oreille. « De ne plus voyager à l’avenir avec des amis qui se dérobent dans le danger », répondit l’autr
robent dans le danger », répondit l’autre. Cette fable montre que les amis véritables se reconnaissent à l’épreuve du malheu
13 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 299 » p. 239
Pf 110 Ma 128 Me 157 Mf 131. Un homme qui avait reçu un dépôt d’un ami projetait de l’en frustrer. Comme cet ami l’appel
ui avait reçu un dépôt d’un ami projetait de l’en frustrer. Comme cet ami l’appelait à prêter serment, pris d’inquiétude, i
14 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 301 » pp. 265-265
partit l’homme, puisque tu veux prendre au piège tes camarades et tes amis . » Cette fable montre que l’homme qui trame des m
Cette fable montre que l’homme qui trame des machinations contre ses amis tombera lui-même dans les embûches et le danger.
15 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 17 » pp. 6-6
ir les protestations d’amitié de ceux qui nous font passer, nous, les amis de fraîche date, avant les, vieux amis. Disons-no
ui nous font passer, nous, les amis de fraîche date, avant les, vieux amis . Disons-nous que, quand notre amitié aura pris de
aura pris de l’âge, s’ils se lient avec d’autres, c’est ces nouveaux amis qui auront leurs préférences. Chambry 17.2
16 (1180) Fables « Marie de France, n° 64. L’homme, le cheval et le bouc » p. 674
dre voleit, e un sun buc tut a un pris. Pur vient souz ceo dist a ses amis [que] chescun d’eus voleit duner, si nul les vous
17 (1180) Fables « Marie de France, n° 77. Le loup et le hérisson » p. 686
e bien afïez. Puis avient si que li lus fu pris. Al hyriçun a dit : «  Amis , aïe mei, si Deus te aït ! » Li hyriçun respunt e
18 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LIX. Du Lion, et de l’Homme. »
flattent presque tousjours les Grands, ou les personnes qui leur sont amies , soit pour l’esperance du gain, soit par une mani
qu’ils representent, ou apres. Si c’est du temps mesme, ils sont, ou amis , ou ennemis, ou indifferents aux Roys et aux Peup
u indifferents aux Roys et aux Peuples, dont ils font mention. Estant amis , ils nous seront quant et quant suspects de compl
e pour rendre l’Histoire suspecte de flatterie, quand on parle de ses amis , ou de sa nation, la peut aussi faire accuser de
et trouvera-t’on à la fin qu’ils viennent ordinairement de personnes amies ou ennemies : veu que les indifferentes ne se pei
19 (1180) Fables « Marie de France, n° 10. Le renard et l’aigle » p. 1
gle sun ni aveit. Li egles vit le fu espris ; al gupil prie e dit : «  Amis , estein le feu ! Pren tun chael ! Ja serunt ars t
20 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXV. Du Renard, trahy par le Coq. »
que une foiblesse d’esperer un vray service de ceux qui se disent nos amis , veu la grande tromperie qui se trouve d’ordinair
ance, et de fausse conduite, et cela s’appelle proprement traicter en amis ceux à qui nous avons donné sujet de ne le plus e
21 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XIV. Simonide préservé par les Dieux. » p. 522
bonne vie.
 Les conviez sont gens choisis,
 Mes parens, mes meilleurs amis .
 Soyez donc de la compagnie.
 Simonide promit. P
s font grace.
 Jadis l’Olympe et le Parnasse
 Estoient freres et bons amis .
22 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — IV. Les deux Mulets. » p. 491
et qui me suit, du danger se retire,
 Et moy j’y tombe, et je peris.
 Ami , luy dit son camarade,
 Il n’est pas toujours bon
23 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 132 » p. 110
dérables, le demi-dieu lui apparut la nuit, et lui dit : « Cesse, mon ami , de dilapider ton bien ; car, si tu dépenses tout
24 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 160 » p. 130
’ils portaient même l’estomac. À quoi celui-ci répondit : « Mais, mes amis , si je ne vous fournissais pas de nourriture, vou
25 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 161 » p. 126
lui en demanda la raison. Quand il en fut instruit : « Tu as tort, l’ ami , dit-il, de t’attacher à une espérance ; l’espéra
26 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — IX. Le Rat de Ville, et le Rat des Champs. » p. 352
ouvert se trouva mis. 
Je laisse à penser la vie
 Que firent ces deux amis .

 Le regal fut fort honneste :
 Rien ne manquoi
27 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 135 » pp. 114-114
e vin et avait pris des lavements, ne serait pas mort. — Hé ! mon bel ami , reprit l’un d’eux, ce n’est pas à présent qu’il
c’est au moment où ils en ont besoin qu’il faut prêter son aide à ses amis , au lieu de faire l’habile homme, quand leurs aff
28 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLVI. Du Ventre, et des autres Membres. »
lle dépendance qu’a le Senat avecque la populace. Car, disoit-il, mes amis , ne pensez pas que les Senateurs, quoy qu’ils soi
qui travaillent bien plus pour vous-mesme. Ne vueillez donc pas, mes amis , affoiblir ceste partie de telle sorte, par vos f
29 (1180) Fables « Marie de France, n° 3. La souris et la grenouille » p. 384
eit issi mestre, si li acuntast de sun estre. La suriz li respunt : «  Amie , pieça k’en oi la seignurie ; bien est en ma subj
n wascel fussums ore, que mut est bel : la est la meie mansïun ; bele amie , kar i alum ! Tant i averez joie e deduit, jamés
30 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 339 » pp. 374-374
ra. » Cette fable confond les gens ingrats et qui veulent voler leurs amis . Chambry 339.2 Aliter — Autre version.
31 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 183 » pp. 136-136
mordre ou de me baiser, afin que je sache si tu es mon ennemi ou mon ami . » Cette fable s’applique à l’homme équivoque.
32 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — III. Le Loup plaidant contre le Renard pardevant le Singe. » p. 474
nstruit de leur malice, Leur dit : Je vous connois de long-temps, mes amis  ; Et tous deux vous payrez l’amende : Car toy, Lo
33 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Ennus est adopté par Esope, qui en reçoit une grande injure. Chapitre XXVI. »
il arriva de bonne fortune, qu’Hermippus, qui lui avoit toujours esté ami , témoigna qu’il l’estoit encore à ce besoin, car
lles l’attristerent extrémement, pource qu’il n’y avoit pas un de ses amis qui fust capable d’entendre la question de la Tou
34 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 204 » p. 338
si, mettant fin à leur inimitié, ils dirent : « Il vaut mieux devenir amis que de servir de pâture à des vautours et à des c
35 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 272 » p. 189
illes du marais, ayant entendu ses gémissements, lui dirent : « Hé, l’ ami  ! qu’aurais-tu fait, si tu étais resté ici aussi
36 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 2 » p. 99
iens et de profits. Un de ceux qui se trouvaient là lui dit : « Hé, l’ ami , s’il est si bienfaisant, pourquoi le vends-tu, a
37 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 65 » p. 40
nts, s’approcha, et apprenant ce qui était arrivé, lui dit : « Hé ! l’ ami , tu veux voir ce qu’il y a dans le ciel, et tu ne
38 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 303 » pp. 202-202
ondité. Une corneille ayant entendu ses vanteries, lui dit : « Hé ! l’ amie , cesse de te vanter de cela ; car plus tu feras d
39 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XVIII. Le Renard et la Cicogne. » p. 426
emps de là la Cicogne le prie :
 Volontiers, luy dit-il, car avec mes amis 
 Je ne fais point ceremonie.
 A l’heure dite il c
40 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XV. Le Coq et le Renard. » p. 671
és ce soir. Et cependant vien recevoir Le baiser d’amour fraternelle. Ami , reprit le Coq, je ne pouvois jamais Apprendre un
41 (1180) Fables « Marie de France, n° 20. Le voleur et le chien » p. 403
eit le pain bailler, ki la faude deveit guaiter. Li chiens li dit : «  Amis , pur quei prend[e]rai jeo cest pain de tei ? Jeo
42 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XI. De l’Aigle, et de la Corneille. »
n’employent leur peine ou leur pouvoir, qu’à l’avantage de leurs faux amis  ? Ceux-cy trament des menées artificieuses avec u
e cela suffise pour la preuve de ceste verité, à sçavoir que les bons amis ne sont pas compatibles avecque les desseins merc
43 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 226 » p. 154
r à entendre le bruit de ses dents. Le cheval lui répondit : « Hé ! l’ ami , si les loups pouvaient user de l’orge comme nour
44 (1180) Fables « Marie de France, n° 14. Le lion malade » p. 481
rent nule rien, que des autres que jeo mesfis : li nunpuissant ad poi amis . » Par me[is]mes ceste reisun pernum essample del
45 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 71 » pp. 372-372
vivre en sûreté, défie-toi de tes ennemis, mais aie confiance en tes amis , et conserve-les. Chambry 71.2 Aliter — Aut
46 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 277 » p. 264
ien cherchait, celui-ci reprit la parole : « Jette ce papier à terre, ami  ; car il est tout à fait insignifiant. »
47 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 309 » p. 78
un danger inattendu. Alors le pilote, esprit solide, leur dit : « Mes amis , réjouissons-nous, mais comme des gens qui reverr
48 (1180) Fables « Marie de France, n° 35. L’âne et le lion » p. 151
departirent, tel poür eurent, sil fuïrent. Li asnes dit : « Veiz tu, amis , ceo que jeo te aveie pramis ? » Li lïuns li ad r
49 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 203 » p. 145
lui proposa une alliance. « Il nous sied tout à fait, dit-il, d’être amis et alliés, puisque toi, tu es le roi des animaux
50 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 228 » pp. 347-347
n se mit à rire et dit : « Toi, en effet, tu l’as reçu justement d’un ami  ! » Pillards et brigands insatiables qui, en butt
51 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 325 » pp. 213-213
s’animait, une ronce qui les écoutait de la haie voisine, dit : « Mes amis , cessons enfin de nous quereller. » C’est ainsi q
52 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLVII. Du Singe, et du Renard. »
est la reprehension des demandeurs impertinents, qui exigent de leurs amis beaucoup de choses indiscretement, quoy qu’à la v
53 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXIV. Du Charbonnier, et du Foullon. »
plus proche, tout de mesme que l’honneur touche en quelque façon les amis de la personne honnorée, par un rayon qu’il eslan
54 (1180) Fables « Marie de France, n° 44. La femme et son amant » p. 661
jeo veü ! » Dunc li ad la femme respundu : « Quei avez vus, beau sire amis  ? » — « Un autre humme, ceo m’est avis, sur le li
55 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXI. Du Geay. »
des Paons, emprunta le plumage de l’un d’entr’eux, qui estoit de ses amis  ; et cela faict, il s’alla jetter inconsiderément
ieux. Ils s’endebtent de tous costez chez les Artisans, et chez leurs amis  : Ils font la roüe dans des estoffes empruntées.
56 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 28 » p. 25
arde contre leurs ennemis, tombent, sans qu’ils s’en doutent, sur des amis beaucoup plus dangereux que leurs ennemis.
57 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 70 » pp. 45-45
Comme l’essieu grinçait, ils se retournèrent et lui dirent : « Hé ! l’ ami , c’est nous qui portons toute la charge, et c’est
58 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 273 » p. 263
elui-ci tournant les yeux vers son camarade lui dit : « Eh bien ! mon ami , ne trouves-tu pas juste qu’on m’honore d’une dou
59 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Xanthus voulant tromper Esope, est trompé luy-mesme. Chapitre XI. »
 ». Xanthus bien fâché qu’Esope luy avoit joüé ce tour là, devant ses amis . « Hé bien », leur dit-il, « Messieurs, me suis-j
60 (1180) Fables « Marie de France, n° 98. Le renard et le chat » p. 605
s engins* se defendera la u il erent entrepris. E li gupil li dit : «  Amis , cent engins sai, u mut me crei, e pleine puche e
61 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 169 » pp. 324-324
qui se sont fait beaucoup d’ennemis dans leur vie ne trouveront pas d’ amis , dans le besoin. Chambry 169.2 Aliter — Aut
62 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 171 » pp. 125-125
rnèrent, effrayés ; mais l’un d’eux prenant la parole dit : « Allons, amis , continuons notre chemin : ce n’est qu’une cornei
63 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 236 » pp. 72-72
ar ignorance on ne se méfie pas de ses ennemis, et qu’on repousse ses amis , les tenant pour suspects. Chambry 236.2 Al
64 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope découvre le derriere de sa Maistresse. Chapitre XX. »
ertes ». « Infame Boufon », dit Xanthus, « tu peux bien remercier mes amis  : car n’estoit le respect que je leur porte, et q
65 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CVI. Du Satyre, et du Voyageur. »
un glaive tranchant des deux costez, qui peut nuire aussi bien à ses amis qu’aux autres, et qui s’accommode tantost à nos s
66 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — VI. L’Aigle, la Laye, et la Chate. » p. 488
d tout droit
 A l’endroit
   Où la Laye estoit en gesine.
   Ma bonne amie et ma voisine,
 Luy dit-elle tout bas, je vous do
67 (1180) Fables « Marie de France, n° 9. La souris des villes et la souris des bois » p. 352
la regarda, par grant duçur li demanda : « Quel semblant fet ma duce amie  ? » — « Jeo sui », fet ele, « maubaillie pur la p
68 (1180) Fables « Marie de France, n° 16. Le lion et la souris » p. 150
vera cunseiller a sun busuin, s’il est suppris, que li meudres de ses amis .
69 (1180) Fables « Marie de France, n° 53. L’ermite » p. 664
olie vus fust pardonee. » — « Tost », fet il, « me fu eschapee. » — «  Ami  », fet il, « or les ester ! Ne voilez mes Adam bl
70 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 257 » pp. 67-67
e fable montre que, si l’on n’a point de part aux heureux succès d’un ami , on ne lui est pas non plus fidèle dans le malheu
71 (1180) Fables « Marie de France, n° 45. Encore la femme et son amant » p. 
e abeïe. » Li vileins l’ot, merci li crie. « Lesser ester », fet il «  amie  ! Ne departez de mei einsi ! Mençunge fu quan que
72 (1180) Fables « Marie de France, n° 47. Le paysan et son cheval » p. 653
ien e doctriner, ki quë unc se sent entrepris e n’eit od sei ses bons amis ki [li] sacent cunseil doner, que bien [se] deit
73 (1180) Fables « Marie de France, n° 65. Les loups et l’escarbot » p. 
cumpainie e ceus que te sunt en aïe, e jeo asemblerai mes genz e mes amis e mes parenz ; demain tenum une bataille ! En mi
74 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 84 » pp. 61-61
ette faveur. Mais la Fortune lui apparut et lui dit : « Pourquoi, mon ami , imputes-tu à la Terre les dons que je t’ai faits
75 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 291 » pp. 196-196
e à propos des hommes qui pendant leur vie sont méchants envers leurs amis en leur rendant service après leur mort. Cham
76 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCIII. De deux pots flottans sur l’eau. »
p de prudence ; ce qui ne procede que de l’extrême inégalité des deux Amis , et par consequent il faut necessairement qu’il y
77 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 31 » pp. 19-19
er, et tu m’as mis plus mal en point. — Eh bien ; tu t’es fourvoyé, l’ ami , dit la ronce, en voulant t’accrocher à moi qui a
78 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 68 » pp. 43-43
trèrent alors un puits profond. En le voyant, l’une dit à l’autre : «  Amie , descendons ensemble dans ce puits. — Mais, répon
79 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 234 » pp. 161-161
des gens qui se trouvaient là, le voyant courir, lui cria : « Hé ! l’ ami , toi qui te piquais de prévoir ce qui doit arrive
80 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — FABLE I. Contre ceux qui ont le goust difficile. » p. 
is aux mensonges d’Esope : Le mensonge et les vers de tout temps sont amis . Mais je ne me crois pas si cheri du Parnasse, Qu
81 (1570) Cento favole morali « CENTO FAVOLE MORALI. raccolte, et trattate in varie maniere di versi da m. gio. mario verdizoti. — [89.]. DEL LEONE INNAMORATO, E DEL CONTADINO. » p. 222
ispose.     Se vuoi per moglie haver la mia figliuola, Che cotanto ami , et mio genero farti, Ti convien prima assicurarm
82 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CV. Du Laboureur, et du Taureau. »
urcissement d’esprit, qui nous fait tenir pour suspects nos meilleurs amis , jusques à les accuser de perfidie, combien qu’il
83 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 150 » pp. 84-84
liquer cette fable à ceux qui poussent l’amitié jusqu’à régaler leurs amis , mais pas plus loin, et qui refusent de leur rend
84 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 225 » pp. 156-156
osier du loup, retira l’os, puis réclama le salaire convenu. « Hé ! l’ ami , répondit le loup, ne te suffit-il pas d’avoir re
85 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 247 » pp. 168-168
périr. La mer, ayant pris la forme d’une femme, lui dit : « Mais, mon ami , ce n’est pas à moi, c’est aux vents qu’il faut a
86 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 262 » pp. 174-174
la Fortune, s’étant approchée de lui, l’éveilla et lui dit : « Hé, l’ ami  ! si tu étais tombé, ce n’est pas ton imprudence,
87 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 306 » pp. 73-73
parler d’un homme, dit que oui, et que c’était même un de ses intimes amis . Indigné d’un tel mensonge, le dauphin le plongea
88 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope ne laisse entrer qu’un seul de tous ceux que son Maistre avoit conviez. Chapitre XXI. »
uy demanda, pour quelle raison il avoit ainsi honteusement chassé ses amis . « Mon Maistre », luy dit Esope, « ne m’as-tu poi
89 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LVI. Du Lion, et du Renard. »
l ne devoit point entrer en défiance de luy, qu’ils avoient esté bons amis de tout temps, et que pour cela il desiroit fort
90 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXVII. De deux Escrevices. »
cilement. Que si toutes ces veritez se rencontrent en la personne des Amis qui essayent à nous exhorter ; à plus forte raiso
91 (1180) Fables « Marie de France, n° 70. Le lion malade » p. 336
nt lur parlement. Mandez i fu, n’i vient n[i]ent ; kar si parent e si ami l’en aveint devant garni. Un’ autre fez i fu mand
92 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIII. Du Corbeau, et du Renard. »
à nous, de crainte de se rabaisser par l’égalité necessaire entre les amis  ; dans les inclinations des petites gents n’y a t
e de s’arrester aux complaisances des flatteurs ? Les Livres sont des amis qui ne trompent point ; on y peut voir l’Image de
93 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE C. Du Pescheur, et d’un petit Poisson. »
nces, et que ce ne sera pas un homme seul, mais une race entiere. Les amis de ceste race, et les amis de leurs amis vous cou
un homme seul, mais une race entiere. Les amis de ceste race, et les amis de leurs amis vous courront sus, ausquels, commen
, mais une race entiere. Les amis de ceste race, et les amis de leurs amis vous courront sus, ausquels, comment pourrez-vous
94 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 23 » pp. 13-13
l’un d’eux, un vieillard, leur dit : « Cessons de nous affliger, mes amis  ; car la joie parait-il, a pour sœur le chagrin ;
95 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 13 » pp. 79-79
n des rats sortant la tête pour regarder, l’aperçut et dit : « Hé ! l’ ami , quand tu serais sac, je ne t’approcherais pas. »
96 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XVIII. De l’Arondelle, et des autres Oyseaux. »
; D’autres, par une fausse impression qu’ils ont conçeuë contre leurs amis , les tenans suspects d’envie, ou de malignité, et
97 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXIV. D’un vieil Chien, et de son Maistre. »
qui tombent en ceste prodigieuse mescognoissance. Nous voyons que les Amis , et les Dames, deviennent aussi quelquesfois de c
98 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE X. Du Rat de Ville et de celuy de Village. »
Martial loüent à tout propos certaines maisons de plaisance de leurs amis , voire les leurs propres. En un mot, quelque part
, d’avoir de la peine pour son Maistre, pour ses Ennemis, et pour ses amis , de ne voir point d’heure ny d’occasion où le dan
99 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 345 » pp. 225-225
et s’étant informé du motif, lui dit : « Ne te désespère pas ainsi, l’ ami  ; car, tout en ayant de l’or, tu n’en avais pas.
100 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE III. Du Rat, et de la Grenoüille. »
r commun ennemy de les ruyner par brigues, ou par procez. Jamais deux amis ne tombent en dissention, qu’un tiers ne s’appres
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