habites-tu le désert ? » Elle répondit : « Parce que, dans les temps
anciens
, le mensonge ne se rencontrait que chez un petit
Le rossignol répondit : « Je ne veux point raviver le souvenir de mes
anciens
malheurs : voilà pourquoi j’habite les lieux dése
essaya de l’attraper. Zeus, indigné de sa conduite, le remit dans son
ancien
état. Cette fable montre que les gens de rien ont
fitable dans le monde, et reputé leur loüange à blasme, comme fist un
ancien
Philosophe, qui sçachant qu’un homme fort desbord
obligea d’y avoir recours. Nous ne sçaurions aller plus avant que les
Anciens
: ils ne nous ont laissé pour nostre part que la
de Plutarque ; et pour le dire en un mot, toutes les persuasions des
Anciens
et des Modernes, ne sont pas si capables de touch
ses, et devient grand à mesure qu’il est abreuvé. Pour cela mesme les
Anciens
l’ont presque tous comparée à la soif de l’Hydrop
, à cause que l’un des deux estoit obligé de visiter la maison de son
ancien
hoste, et de laisser son amy dans une hostellerie
. Que s’il estoit question de confirmer ceste verité par des exemples
anciens
, il faudroit dépoüiller l’Histoire de l’Histoire
e nouveaux exemples, sans qu’il soit besoin de mandier la memoire des
anciens
. Nous avons veu de nostre âge des Freres égorger
thresors de Cresus. A quoy je n’ay qu’à leur opposer ceste verité des
Anciens
, que Pybrac a ainsi tournée en François. De peu
up mieux policez, que nous ne sommes, comme les Lacedemoniens, et les
anciens
habitans de Rome, qui se contentoient d’une simpl
ection pour avoir demandé secours à quelque puissant voisin contre un
ancien
et dangereux Ennemy. Cela se verifie par l’exempl
si. En voicy une entre les autres, que j’allegueray pour exemple. Les
anciens
Poëtes ont feint que Celius, Dieu par dessus tous
ile de rapporter icy, pour vous faire voir les hauts mysteres que les
Anciens
ont cachez dessous le voile des fables ; où je po
candeur et la sincerité dont elle est pleine. Ce fût pour cela qu’un
ancien
Roy, à qui l’on vint rapporter qu’il avoit esté t
este que Cesar fist de l’Egypte, et en une infinité d’autres exemples
anciens
, que je pourrois rapporter icy. Mais il est mieux
éprises de toutes voluptez superfluës. C’est ce qu’ont voulu dire les
Anciens
, en nous representant les Muses chastes et sobres
ition, et la repaistre d’une contentieuse amour de gloire. Ce que les
anciens
Sages sçeurent remarquer fort judicieusement, lor
rejetter le refus sur son incapacité. Pour cela mesme je trouve qu’un
Ancien
Philosophe eût fort bonne grace, lors que sollici
e expliquer comment j’ai été conduit à l’assumer. De tous les auteurs
anciens
qui guident les premiers pas de l’enfant dans l’é
étudié, je ne suis pas immédiatement passé à celui qui était le plus
ancien
après lui ; j’ai préalablement abordé l’étude des
de son devancier, et, avant de passer au fabuliste après lui le plus
ancien
, j’étudierai les imitations de son œuvre, tant en
ude historique et critique sur les fables latines de Phèdre et de ses
anciens
imitateurs directs et indirects, Et sur les Manus
ls ont voulu justifier leur thèse et pour cela ils ont fait appel aux
anciens
auteurs. Le Père Desbillons cite d’abord un passa
l suffit, pour la connaître, de bien comprendre ce vers. Dans la plus
ancienne
des traductions françaises, publiée en 164727, Is
ts contemporains qu’il expose, il raconte des anecdotes plus ou moins
anciennes
et plus ou moins véridiques ; telles sont celles
crits. Chapitre II. Manuscrits de Phèdre. Il est peu d’auteurs
anciens
, dont les manuscrits soient aussi rares que ceux
ivre Phèdre était réservé à l’illustre Pierre Pithou, que, suivant un
ancien
bibliothécaire de l’Oratoire, le Père Adry68, son
’accueillirent sans méfiance, et sa droiture était trop connue de ses
anciens
coreligionnaires, pour lui attirer leur inimitié.
nsentit, autant par dévouement pour Henri III que par amitié pour son
ancien
condisciple Loysel, à y remplir les fonctions de
à sa signature, on est porté à les attribuer à une main beaucoup plus
ancienne
. J’ai relevé plusieurs de ces notes ; mais, dans
ue suisse Orelli pour l’édition qu’en 1831, à Zurich, il a donnée des
anciennes
fables de Phèdre. Il faut pourtant reconnaître qu
la mort de son père, Pierre Leullier, sire de Montigni, d’une famille
ancienne
dans la Chambre des Comptes. Marie, la cadette, f
, qui doivent leur servir à déterminer le véritable auteur des fables
anciennes
, à mon tour, en signalant les lacunes du manuscri
d’écrire vous jugerez aisément qu’il avait sous les yeux un manuscrit
ancien
. Ainsi, par exemple, donnant au c le son du q, et
ni dans les bibliothèques publiques, ni chez les marchands de livres
anciens
. En l’absence de l’édition de la veuve Brocas, ce
inquiéter des vers, l’autre n’a pas eu la même préoccupation. Le plus
ancien
des deux, seul sans doute, a voulu ménager l’espa
altération. Orelli en conclut que le manuscrit de Reims était le plus
ancien
; mais, s’il s’est arrêté à cette conséquence, il
». Il semblerait en résulter qu’il est de cent ans environ le moins
ancien
. Mais les spécimens que je publie ne présentent p
uscrit le plus récent peut être celui qui présente l’écriture la plus
ancienne
. Pour parvenir à se créer une opinion raisonnable
qui l’a vue, ne mérite pas de l’être… On pourrait aussi examiner si l’
ancienne
comédie jointe au Phèdre, ne serait point le Quer
tand du Méril en 1854, soit enfin dans le volume de la collection des
anciens
poètes français, qui contient la chanson de geste
inspiré. « Parmi ces manuscrits, écrit-il en parlant des livres de l’
ancienne
abbaye de Saint-Benoît-sur-Loire, il s’en trouvai
Pithou, déclare que « ce n’est qu’un fragment qui ne paraît pas très
ancien
, et qui ne présente qu’un peu plus de la deuxième
plus récent que le xie siècle, c’est-à-dire qu’il est presque aussi
ancien
que celui de Pithou. Ensuite il ne comprend que l
pages d’écriture. On y trouve onze extraits empruntés aux œuvres des
anciens
auteurs latins. Ce recueil, qui est de la main de
eant les fables nouvelles, de signaler les variantes qu’offraient les
anciennes
dans le manuscrit de Perotti. Sa dernière édition
es du texte de Perotti, publié que celles qui concernaient les fables
anciennes
de Phèdre. Il me semble que, si Philippe avait eu
it quelque allusion. Or, il n’en dit pas un mot. Et, quant aux fables
anciennes
, il peut reproduire plus ou moins fidèlement les
libraire Giuseppe Dura, qui possède une immense collection de livres
anciens
. Elle n’a qu’une valeur de curiosité bibliographi
admettre que, composées au temps où il versifiait lui-même ses fables
anciennes
, elles ne peuvent être sorties que de sa plume. I
publia une nouvelle édition qui ne contenait que les fables de Phèdre
anciennes
et nouvelles. Mais elles n’offraient plus de lacu
re, contenant le texte des fables nouvelles, et la seconde, celui des
anciennes
. Les unes et les autres sont accompagnées de note
on ami Contrario180, les compliments les plus hyperboliques, et cette
ancienne
fable de Phèdre qui porte généralement pour titre
le manuscrit une fable intitulée : Pulcher modus judicandi. C’est l’
ancienne
fable de Phèdre, ordinairement désignée par ces m
rdre dans ce chaos, on s’aperçoit qu’il y a : 1º Trente-deux fables
anciennes
, ci 32 2º Trente-deux fables nouvelles, ci 32
ttre, il se montre absolument opposé à toute interpolation des textes
anciens
. Enfin, suivant lui, on ne comprendrait pas qu’ap
tendu, non pas, en philologue, reproduire dans leur pureté les textes
anciens
, mais, en simple ecclésiastique, les mettre d’acc
aximum à la véritable leçon. En étudiant les variantes que les fables
anciennes
présentent dans ses manuscrits, on pourra d’aille
’autres. On remarquera alors que ce qu’il a fait à l’égard des fables
anciennes
, il a dû le faire à l’égard des nouvelles, et que
ils ignoraient l’existence. Vers 1830, à l’époque où il publiait les
anciens
classiques d’après les manuscrits du Vatican, le
cace poétique à Pirrho Perotti. Ensuite viennent les fables de Phèdre
anciennes
et nouvelles, celles d’Avianus et les poésies de
qu’il porte même la note, qui, dans ce dernier, figure en marge d’un
ancien
oracle de Delphes et que Jannelli a eu soin de pu
mière, c’est-à-dire des fables primitivement découvertes dites Fables
anciennes
, et de la seconde, c’est-à-dire des fables postér
stérieurement découvertes dites Fables nouvelles. Section I. Fables
anciennes
. De tous les ouvrages que l’antiquité nous a l
n’en est pas un seul, dont l’authenticité ait, autant que les fables
anciennes
, donné lieu à des controverses longues et passion
xvii du livre III, il faudrait admettre que toutes les autres fables
anciennes
sont son œuvre. Car leur identité d’origine est é
rigine est évidente. En revanche, si l’on prouve que l’une des fables
anciennes
n’est pas son œuvre, aucune ne doit lui apparteni
tion de Perotti ne pouvait pas être exacte et que dès lors les fables
anciennes
n’étaient pas son œuvre. Schryver n’y regarda pas
s de Phèdre, avait déclaré qu’il les avait tirées d’un manuscrit fort
ancien
, et Rigault, qui avait ensuite, dans ses éditions
r Étienne Zamoyski, à Wissembourg en Transylvanie, sur la pierre d’un
ancien
tombeau, publiée par lui à Padoue, en 1593, dans
tile ; je ne l’entreprendrai pas. Seulement, puisque j’ai parlé d’une
ancienne
fable de Phèdre que Perotti a copiée deux fois, j
connectas. » Pierre Pithou était trop versé dans l’étude des auteurs
anciens
, pour que l’affirmation de Sénèque pût lui échapp
aisons, qui, suivant lui, ne permettaient pas d’attribuer à un auteur
ancien
les fables de Phèdre. Comme l’examen de ses argum
é en partie reproduite par Vincent de Beauvais, ne saurait être moins
ancienne
que le xiiie siècle. Mais c’est à tort que le ma
prétendit que les fables de Phèdre étaient l’œuvre, non d’un écrivain
ancien
, mais de l’archevêque de Siponte224. Quant au Phè
e peu de connaissance que nous avons de lui et le silence de tous les
anciens
écrivains à son égard, on ne saurait pourtant poi
ompétente ne conteste l’authenticité, et dont cependant aucun ouvrage
ancien
ne fait mention. Il est vrai que Sénèque ne se bo
e inscription gravée à Wissembourg en Transylvanie sur la pierre d’un
ancien
tombeau. Mais il s’appuie surtout sur l’âge des m
les respirent en outre une connaissance des temps et des lieux, qu’un
ancien
seul pouvait avoir. Qu’on lise, par exemple, la f
si le manuscrit de P. Pithou se retrouvait dans la bibliothèque de l’
ancien
président du Parlement de Paris, devait en faire
existait dans la bibliothèque de M. Le Peletier de Rosanbo, fils de l’
ancien
président du parlement de Paris, et bientôt après
ibuées à cet auteur, suivant eux, imaginaire, n’étaient pas une œuvre
ancienne
, et qu’elles étaient dues à la plume presque mode
comment il apprécie le fameux passage de Sénèque : « Le silence des
anciens
sur Quinte-Curce, Velleius Paterculus, les Astron
u’elle s’est conservée. Née dans l’Inde, elle.se trouve dans les plus
anciens
monuments de la langue sanscrite. Elle a passé en
ant les discussions auxquelles a donné lieu l’authenticité des fables
anciennes
. Ce qui en ressort, c’est que Phèdre fut l’auteur
Fables nouvelles. Les fables nouvelles ont eu le même sort que les
anciennes
; elles sont passées par les mêmes péripéties, av
leté, la pureté et la concision qui font les principales qualités des
anciennes
. Sous ces rapports elles sont les mêmes ; or il e
s que par le même auteur. Il est vrai qu’après avoir, dans les fables
anciennes
, fait l’éloge de la littérature grecque, il trait
ur les dire, de bien grandes précautions248. 5º Comme dans les fables
anciennes
, on rencontre dans les nouvelles des anecdotes, t
e Pompée et de son soldat249. 6º Ésope, souvent mis en scène dans les
anciennes
, reparaît plus souvent encore dans les nouvelles,
te n’a recouru à ce procédé littéraire250. 7º Phèdre, dans ses fables
anciennes
, emploie quelquefois des expressions abstraites,
aient concrètes ; ainsi, pour ne citer qu’un exemple, il dit dans les
anciennes
fables : Gulæque credens colli longitudinem, et
es furent considérées comme se prêtant mieux que les autres monuments
anciens
à l’instruction de la jeunesse. Mais les maîtres
e, l’autre par Nilant au commencement du xviiie avec des fables plus
anciennes
qu’il adjuge à un auteur anonyme. Salon de Parme2
s, ne rencontrant pas ces particularités dans les ouvrages connus des
anciens
, n’ont pas pu les reproduire, que l’origine antiq
es trois dissertations, une année s’était-elle écoulée qu’en France l’
ancien
oratorien, nommé Adry, dans un opuscule aussi pau
fonde. Mais d’abord, le savant allemand reconnaît que l’auteur est un
ancien
, un émule de Phèdre ; c’est déjà beaucoup, et, s’
raison révèle le parti pris. Si c’est parce qu’elles ressemblent aux
anciennes
qu’elles ne doivent pas être du même auteur, il n
ogue. » Or, c’est là un reproche qui pourrait s’adresser à plus d’une
ancienne
. Il trouve absolument ridicule la fable iv, Mercu
st pas plus ridicule que celle qui se trouve développée dans la fable
ancienne
Canum legati ad Jovem. Adry trouve que la fable v
s il est incontestable qu’elle ressemble beaucoup sous ce rapport aux
anciennes
, dans lesquelles Phèdre fait intervenir Ésope. En
iennes, dans lesquelles Phèdre fait intervenir Ésope. En sa qualité d’
ancien
moine facile à offusquer, Adry donne la qualifica
la хiiie , il n’y voit qu’une réflexion très sensée. Bien des fables
anciennes
ne contiennent pas autre chose. N’est-ce pas d’ai
ui lui est familier ; on le trouve appliqué par exemple dans la fable
ancienne
, Gallus ad Margaritam. La fable xv, Mulier vidua
t répondu en citant des fables de la même nature dans le livre IV des
anciennes
. Adry n’est pas touché de cette comparaison, et c
sur ce qu’on y rencontre un vers qui en rappelle un autre des fables
anciennes
, il n’hésite pas à combattre son opinion. « Il me
rs vers lui ont paru calqués trop exactement sur ceux qui terminent l’
ancienne
fable de Simonide préservé par les Dieux. Phèdre,
vident qu’il a copié le fragment tel qu’il existait dans le manuscrit
ancien
. J’affirmerais pourtant que c’était l’épimythion
savants de ce pays qui n’avaient pas cru à l’authenticité des fables
anciennes
, les nouvelles aient dû inspirer moins de confian
mpilation ; on aurait pu voir que cet écrivain s’est permis, dans les
anciennes
fables, des changements plus ou moins maladroits.
mployée par M. L. Müller, les fables nouvelles ressemblent aux fables
anciennes
, comme un œuf ressemble à un œuf269. Mais, lorsqu
Phèdre ont toutes été traitées par lui de la même manière. Ainsi aux
anciennes
comme aux nouvelles il a enlevé le titre, qui, n’
opérations uniformes, se trouvent dans son manuscrit les fables soit
anciennes
, soit nouvelles, on demeure convaincu qu’elles on
itude absolue, les sceptiques devraient contester à Phèdre les fables
anciennes
aussi bien que les nouvelles. Les unes et les aut
e celles de cet auteur sont en vers élégiaques. Si, à côté des fables
anciennes
appartenant incontestablement à Phèdre et des fab
ui émanent de lui. Il est encore vrai qu’il a mis en tête de la fable
ancienne
: Muli et Latrones, qui dans les éditions de Phèd
ims, il a du moins, comme ce dernier, été copié sur un troisième plus
ancien
, duquel malheureusement bien des feuillets avaien
ignaler que quelques-uns. Il y a d’abord une remarque, que les fables
anciennes
suggèrent à première vue : c’est que Phèdre ne se
e vue : c’est que Phèdre ne se borne pas, comme les autres fabulistes
anciens
, à tirer ses fictions des traditions ésopiques ;
origine commune ? Mais ce n’est pas la seule ; les autres fabulistes
anciens
se renferment dans leur rôle. Phèdre, dans ses fa
ulistes anciens se renferment dans leur rôle. Phèdre, dans ses fables
anciennes
, se sépare encore d’eux. Par une habitude qui lui
re ils n’ont pas cessé de publier les fables nouvelles à la suite des
anciennes
, mais qu’ils ont encore continué à faire des nouv
e qui doit leur être le plus utile (par Depons, professeur de langues
anciennes
à l’école centrale du Puy-de-Dôme). Riom et Clerm
m Agnelli Successorem Marelli. In-12 de 96 pages contenant les fables
anciennes
de Phèdre et les cinq restituées par Gude. 18
s contenant la vie de Phèdre par Schwabe et le texte latin des fables
anciennes
et nouvelles. 1831. Phædri Aug. lib. fab
typis calasanctianis (1855). In-12 de 144 pages, contenant les fables
anciennes
de Phèdre, une partie des nouvelles et les Publii
tion De eo quod pvlchrvm est in Phædro, le texte des fables de Phèdre
anciennes
et nouvelles, les 34 fables restituées par Gude e
angue italienne sur la Fable et les Fabulistes et le texte des fables
anciennes
de Phèdre enrichi de nombreuses notes. 1842.
. In-12 de 6 feuilles un sixième. 1847. Fables de Phèdre tant
anciennes
que nouvelles publiées par Angelo Maï et les fabl
e, Felice Le Monnier. In-8º de 103 pages ne renfermant que les fables
anciennes
. Phædri fabularum libri V, cum fabellis novis. A
i, Roma-Torino-Milano-Firenze. In-8º de 96 pages contenant les fables
anciennes
et vingt-deux des nouvelles. 1882. Fables
es 7 à 95) ; 2º Le Poesie, comprenant seulement une partie des fables
anciennes
(pages 97 à 138). Section II. Éditions des tr
dés de 10 et suivis de 6 non numérotés, contenant le texte des fables
anciennes
et la traduction en prose en regard. 1683.
vec la traduction interlinéaire par M. Maugard, professeur de langues
anciennes
et modernes. Paris, 1º C. Joyant, 2º Tardieu-Dene
es de Phèdre, traduction nouvelle avec des notes, par M. l’abbé Paul,
ancien
professeur d’éloquence de l’Académie de Marseille
de Phèdre comparées avec celles de La Fontaine, par M. Beuzelin père,
ancien
chef d’Institution à Paris ; ouvrage revu et cont
runot-Labbé. In-12 de 8 feuilles 5 sixièmes. 1827. Fables
anciennes
et nouvelles de Phèdre, traduites en français ave
Phèdre, latin-français en regard. Traduction nouvelle par A. Lebobe,
ancien
professeur. Paris, Jules Delalain et fils. In-12
ris, C. Lévy. In-18 de viii-184 p. 1881. Fables de Phèdre
anciennes
et nouvelles, éditées d’après les manuscrits et a
aliana). In-8º de xvi-237 pages, contenant, pages 2 à 145, les fables
anciennes
de Phèdre et les cinq restituées par Gude, avec l
sans texte latin, la traduction en vers italiens des fables de Phèdre
anciennes
et nouvelles. Delle favole Esopiane di Fedro Libe
º de x-246 pages, contenant la traduction en vers italiens des fables
anciennes
, des fables restituées par Gude et Burmann et des
enant, sans le texte latin, la traduction en vers italiens des fables
anciennes
de Phèdre, dans un premier appendice celle des ci
qu’elles sont loin de se rapporter toutes au texte connu de l’auteur
ancien
. Sur 67 il n’y en a dans ce cas que 37, de sorte
lande, imprimés à Oxford en 1697, en deux volumes in-folio287, dans l’
ancien
catalogue des livres de la Bibliothèque de l’Univ
le premier de la table dressée par M. du Rieu, et les 27 autres, des
anciens
feuillets en parchemin. Premier quaterne. Table
nimo, si vis intendere sensum..... Fol. xv b à xix b. — Gloses sur l’
Ancien
Testament. Elles paraissent d’une autre main que
ntre ce dernier membre de phrase et le mot Pisces , un copiste moins
ancien
qu’Adémar a écrit ce titre d’une liste de moines
. Le manuscrit, qui forme un volume in-4º, se compose de 57 feuillets
anciens
, dont plusieurs sont blancs. Le relieur en a ajou
fameux manuscrit de Wissembourg aujourd’hui à Wolfenbüttel et la plus
ancienne
de celles auxquelles a été donné le nom de Romulu
à l’aide du manuscrit de Wissembourg qu’il avait cherché à rétablir l’
ancien
texte. Là encore tous les manuscrits étaient en d
e s’était efforcé de démontrer qu’en effet il n’existait pas dans les
anciens
manuscrits, et notamment dans ceux qui, tout en p
s toujours élégantes et très semblables à celles que présente le très
ancien
Virgile des Médicis, reproduit, à l’aide de la ty
les personnes compétentes savent usuel dans tous les manuscrits très
anciens
. Le manuscrit se compose de 124 feuillets, dont l
rrait servir d’argument, que si celles des fables connues de l’auteur
ancien
qui s’y retrouvent appartenaient aux mêmes livres
es de Phèdre ; elles s’en rapprochent même beaucoup plus que les plus
anciens
manuscrits de Romulus. C’est bien certainement, n
railler ; car leur erreur ne manquait pas de points d’appui. Le plus
ancien
était le texte du Romulus de Nilant, dans lequel
dans le Supplementum supplementi Chronicarum, ouvert une des éditions
anciennes
de la traduction latine de la vie d’Ésope par Ran
à le résoudre. Dans le manuscrit Burnéien, c’est-à-dire dans le plus
ancien
de ceux contenant les fables du Romulus ordinaire
is rien n’indique que la copie qu’il renferme, quoique beaucoup moins
ancienne
que l’œuvre elle-même, ne soit pas parfaitement f
tait permis de supposer qu’il avait existé à une époque beaucoup plus
ancienne
; mais il lui était impossible de dire à quelle l
nom, voici comment il s’exprime sur son âge : « La découverte du plus
ancien
manuscrit de Romulus a modifié la question relati
erai le nom de Romulus à une collection, il s’agira, sinon de la plus
ancienne
de celles auxquelles il a été appliqué, au moins
itation prosaïque. Encore aurai-je soin, s’il est question de la plus
ancienne
, de la qualifier de Romulus originaire ou de Romu
ur les 20 fables du livre II, il y en a 16 qui ont été empruntées aux
anciennes
de Phèdre ; ce sont celles qui portent les numéro
dernier embrasse 44 fables, dont quatorze seulement existent dans les
anciennes
de Phèdre. Elles portent les numéros 7, 12, 14, 1
u Romulus primitif, qui ne correspondent à aucune de celles de Phèdre
anciennes
ou nouvelles, sont au nombre de 32. Ce sont celle
t-à-dire à celui du Romulus ordinaire, et cela, en me servant du plus
ancien
des manuscrits qui l’a conservé, c’est-à-dire du
es. On le voit, ce ne sont pas seulement les expressions de l’auteur
ancien
, ce sont encore les lambeaux de ses ïambes qu’on
le manuscrit de Wissembourg et le manuscrit Burnéien, une œuvre plus
ancienne
due à un précédent compilateur relativement habil
un mauvais potier, qui de nos jours voudrait reproduire des faïences
anciennes
, et toute son habileté a consisté à introduire le
anuscrit Burnéien, qui, je le rappelle encore une fois, étant le plus
ancien
de ceux connus, est vraisemblablement celui qui c
bulæ antiquæ on retrouve les expressions et presque les vers du poète
ancien
; dans la même fable des deux autres collections,
presque acquis la conviction que nos Fabulæ antiquæ, comme étant plus
anciennes
et plus pures que les autres, avaient été tirées
tres, avaient été tirées de Phèdre par quelque amateur de fables très
ancien
, mais pourtant chrétien, pour en former un petit
. Oesterley la soutenir dans sa préface. « Bien plus éloignés du plus
ancien
manuscrit, dit-il, sont les deux textes donnés pa
, dans le Limousin, avait été introduit dans le manuscrit par le plus
ancien
relieur et collé par lui sur la face interne du p
rits, on voit que celui du Romulus Burnéien, qui est pourtant le plus
ancien
, n’est pas antérieur au xe siècle. Il est vrai q
ns relativement lettrés aient pu avoir l’idée de transformer le poète
ancien
. Quant à la collection de Wissembourg, comme le m
ection que j’appelle Romulus ordinaire a été considérée comme la plus
ancienne
de toutes celles auxquelles le nom de Romulus peu
uscrit, et, d’autre part, celui qu’on trouve aussi bien dans les plus
anciens
manuscrits que dans les plus anciennes éditions,
trouve aussi bien dans les plus anciens manuscrits que dans les plus
anciennes
éditions, c’est le Romulus ordinaire qu’on devait
e Romulus ordinaire qu’on devait être dès lors induit à juger le plus
ancien
de tous. Plusieurs indices m’ont fait comprendre
ctuel permettra à ceux qui le désireront de comparer ensemble le plus
ancien
texte et le plus récent. Cela expliqué, je vais d
mulus, qui en fait partie, porte le nº 59, et, comme sous ce numéro l’
ancien
catalogue imprimé en donne une analyse exacte, il
s faire connaître que la bibliothèque publique ne possède pas le plus
ancien
manuscrit des fables de Romulus, et j’ai de grave
se trouvait, au temps du docte Gude qui le copia (1660-1663), dans l’
ancienne
bibliothèque de l’abbaye de Saint-Bénigne de Dijo
rouvant probablement trop longs les titres qui existent dans les plus
anciens
manuscrits et devaient exister dans son modèle, s
lus ordinaire, sinon par le même copiste, du moins par un autre aussi
ancien
. Il a été donné aux deux collections un seul et m
s date. L’édition la plus célèbre et vraisemblablement la plus
ancienne
du Romulus ordinaire fut celle d’Ulm, que Schwabe
aphique permet d’affirmer que l’édition d’Ulm, sans date, est la plus
ancienne
de toutes et que celles qui ont été imprimées dan
près les deux éditions de Sorg, l’édition gothique qui paraît la plus
ancienne
est celle que Hain a mentionnée sous le nº 327 de
ularum. À la dernière page (q. viii b), comme dans les éditions plus
anciennes
de Sorg, la fable De Vulpe et Gallo porte par err
valeur d’une vieille toile, une œuvre nouvelle avait été ajoutée à l’
ancienne
. L’auteur de cette addition était un littérateur
mulus ordinaire fut presque oublié. Gude l’avait bien retrouvé dans l’
ancien
manuscrit de Dijon et s’était donné la peine d’en
Günther Zainer. De toutes les éditions purement allemandes la plus
ancienne
paraît être celle qui, selon Hain340, fut publiée
Ve livre du très illustre fabuliste et maître Ésope et commencent les
anciennes
fables courantes que l’on attribue à Ésope. » Fo
ville library n’a pas hésité à considérer cette édition comme la plus
ancienne
. Aussi à la cote qu’il donnait à l’exemplaire 780
ui en somme est à peu près certain, c’est qu’elles sont les deux plus
anciennes
, et ce qui est probable, c’est qu’elles sont sort
ion de 1489. Des éditions du xve siècle celle de 1489 est la plus
ancienne
. Elle forme un volume in-folio, dont les feuillet
r ; titre courant. — (« Liber beate Marie Pontigniaci. S. Edmundus. »
Ancien
162.) 4º Bibliothèque de Chalon-sur-Saône.
emin. 379 feuillets. 390 sur 270 millim. Rel. mod. (Jumièges, G. 5. —
Ancien
nº U. 43.) 7º Bibliothèque de Troyes. A
on modèle. Si, comme cela est supposable, les fables ne sont pas plus
anciennes
que le manuscrit qui les renferme, elles ne peuve
e compose, accompagnées de leur corrélation avec les collections plus
anciennes
qui en ont été les principales sources. Romulu
t plus vraisemblable que celles du second sont au contraire les moins
anciennes
et qu’il faut les considérer comme un abrégé des
5337, qui renferme la collection du Romulus de Munich, provient de l’
ancienne
bibliothèque épiscopale de Chiemsee (Bavière supé
t spécial. D’abord, par la forme s’éloignant beaucoup des fables plus
anciennes
dont elles sont issues, elles deviennent, pour ai
icus, avait chaudement revendiqué la paternité des fables pour Salon,
ancien
magistrat de Parme. Il est vraisemblable que c’es
ien l’auteur. C’est là ce qu’attestent non seulement des inscriptions
anciennes
, mais encore un vieux manuscrit de la vie d’Ésope
ues. Après avoir rappelé que Névelet lui avait donné le nom d’Anonyme
ancien
, il ajoutait : « Je lui ai substitué celui de Gal
confiance que les fables et les fabliaux me semblent, dans ces temps
anciens
, plus propres aux goûts des peuples du Nord, chez
t enfin M. Oesterley ont fait à tort remonter au xiie siècle le plus
ancien
des manuscrits des fables élégiaques, conservé à
oins vrai que ce manuscrit, qui appartient au xiiie siècle, est trop
ancien
pour que son contenu soit l’œuvre du cardinal rom
re du ive siècle, sinon antérieure à celle d’Avianus, au moins aussi
ancienne
. Section III. Nomenclature des fables de Walth
fable de la collection, et que, même dans les manuscrits et dans les
anciennes
éditions qui contiennent les deux fables compléme
dois faire observer que cette fable se trouve justement dans le plus
ancien
des manuscrits de Walther, dans celui qui est con
concluante ; en effet, on ne trouve cette fable dans aucun manuscrit
ancien
; on ne la rencontre que dans ceux du xve siècle
jusqu’à la marge de la suivante. Cette écriture paraît presque aussi
ancienne
que celle du texte. Au lieu du distique suivant q
i, etc. Quant à l’ouvrage lui-même, on le rencontre souvent dans les
anciens
manuscrits. Je ne puis mieux indiquer ce qu’il es
che : Finito libro sit laus et gloria Christo. Une main moins
ancienne
avait écrit au-dessous deux lignes, dans lesquell
. Manuscrit 11392. Le manuscrit 11392, qui, dans le supplément à l’
ancien
fonds, portait le nº 597, est un volume in-8º, qu
e sur le recto du premier feuillet cette mention écrite par un de ses
anciens
propriétaires : Jo. Bap. Ponzonus Clericus, poss
nferme une copie des fables de Walther faite par Pierre Pithou sur un
ancien
manuscrit. C’est là ce qui ressort de cette menti
ention qui les précède : Ex vetusto codice sumptum. Quel était cet
ancien
manuscrit, d’où provenait-il, et à qui appartenai
nes réguliers de Saint-Victor, rue des Fossés Saint-Victor, est aussi
ancienne
que leur maison, qui fut fondée en 1113. Elle éta
Théologiques et Ecclésiastiques ; on y trouve un assez grand nombre d’
anciennes
éditions. Elle contient aussi plusieurs manuscrit
t du fonds Saint-Victor, sur lequel il porte les nos 266 et 175, l’un
ancien
, l’autre plus récent, en donne l’analyse suivante
t du fonds Saint-Victor, sur lequel il porte les nos 793 et 548, l’un
ancien
, l’autre plus récent, en donne l’analyse suivante
er porte au haut du verso cette mention qui remonte à une époque très
ancienne
: Histoires et liures en frācois pulto 1o contre
court. Le second porte au milieu du verso cette autre mention moins
ancienne
: A mon entrée à la librairie du Roy, j’ai trouv
s amer sus toute auoir. Et pour ce dit Iustiniens Qui fist les livres
anciens
: Je veuil mes cheualiers adrois, Plus sachent ar
arabes, il y en a un en chiffres romains, qui paraît être d’une main
ancienne
et qui, s’il était une date, serait celle de l’an
hypothèse de M. Robert ; car ce nombre n’est pas une date ; c’est une
ancienne
cote. En regardant de plus près le manuscrit, il
4º, dont l’écriture est du xve siècle. Il se compose de 38 feuillets
anciens
en parchemin, précédés d’un premier feuillet neuf
’une jolie miniature, qui orne, au recto, le haut du premier feuillet
ancien
, et représente un moine instruisant trois personn
24310. Il forme un volume de 92 feuillets, savoir : quatre-vingt-dix
anciens
et deux feuillets de garde entièrement blancs, l’
même ordre, on est, au premier abord, porté à en induire que le moins
ancien
des deux, c’est-à-dire celui qui porte le nº 2431
opie exacte de l’autre. Pourtant il n’en est pas ainsi. Dans le moins
ancien
le texte a été rajeuni, et beaucoup de mots déjà
llœul sépara les fables des Varia carmina, laissa à ces derniers leur
ancienne
reliure qu’il fit restaurer, et en tête du volume
les d’Ugobard, et celui de la ville de Douai serait à la fois le plus
ancien
et le plus complet. Cependant il doit en exister
llet. Elles ne portent pas de titre général ; mais, en tête, une main
ancienne
a écrit cette sorte d’invocation : Alanii assit
scrit lui-même : « Les caractères mixtes de ce volume, l’un des plus
anciens
de la bibliothèque, datent du xiiie siècle. Les
a été écrite dans le dialecte franc-comtois, et qui, d’un siècle plus
ancienne
, présente davantage des expressions rappelant cel
première syllabe du mot fecit a été grattée. Plus bas une main moins
ancienne
a écrit : Fecit transferi (sic) de latino in rom
. Dou corbel et de laigle. 15. Dou corbel et dou uulpil. 16. Dou lion
ancien
. 17. Dou chien et de lasne. 18. Dou mercheant et
terre qui anfante la rate. 28. Dou lou et de laigneal. 29. Dou chien
ancien
. 30. Des lieures et des renoilles. 31. De la chie
dans les premières. En ce qui touche le titre général, une main moins
ancienne
, pour combler la lacune, a écrit, en tête du rect
alyse. 2º Bibliothèque communale de Trèves. Formée des fonds d’
anciens
couvents supprimés, la bibliothèque de Trèves pos
trente-neuf feuillets en parchemin précédés d’un autre beaucoup moins
ancien
. Sur ce feuillet le contenu du manuscrit est indi
agnifique ampleur de forme. La reliure en bois, qui est presque aussi
ancienne
que le contenu, en est digne par son élégance ; s
nombre de 134 ; mais, le premier ayant disparu, il n’en reste que 133
anciens
, augmentés de deux neufs laissés blancs. La premi
de Bourgogne dans l’épilogue du traducteur français a trompé quelque
ancien
possesseur de ce manuscrit, et l’a induit à attri
a grande dimension et couvert sur les deux faces d’une écriture aussi
ancienne
que celle qui précède. Cette pièce est intitulée
été ajouté par le relieur. Au verso du feuillet 132, une main moins
ancienne
que celle du copiste primitif a écrit ce qui suit
e est la même que celle des épigrammes. En tête une main un peu moins
ancienne
a écrit ce titre : Garicii prologus , dont il a
ti (sic), que suit le mot Amen . Cette souscription, due à une main
ancienne
, démontre que les feuillets qui portaient la fin
r aux manuscrits de la bibliothèque palatine et aux éditions les plus
anciennes
. C’est lui-même qui nous l’apprend dans sa dédica
et dont les écritures sont les unes du ixe siècle, les autres moins
anciennes
. En voici le contenu : 1º Fol. 1ª à 24b. — Persi
rouge et de nombreuses gloses marginales ajoutées par une main moins
ancienne
. Elles sont au nombre de soixante-deux, comprenan
supr. nº 3 forme un volume in-4º de grand format pourvu d’une reliure
ancienne
dont les plats sont en bois. Il se compose de 90
omposé de deux cahiers en parchemin de huit feuillets chacun dans une
ancienne
reliure à plats en bois, ne possède que les fable
lets sont en parchemin et dont l’écriture est du xive siècle. De son
ancienne
cote N. CXVI qui est rappelée au Catalogue il res
double feuillet qui en est indépendant et qui, ayant appartenu à une
ancienne
couverture, lui a survécu. On y lit : Iste gramm
iber est domini Sebastiani de domo baduaria nobilis Venetarum. De l’
ancienne
cote A.Z. nº 434 que le Catalogue rappelle, il re
s e Græco in latinum traducta. Tel est le titre de l’édition la plus
ancienne
que je connaisse. Elle a été imprimée à Rome en 1
le pouvoir de rendre aux fables de Walther à notre époque leur vogue
ancienne
: aujourd’hui on ne croit plus à leur valeur litt
traductions dans les manuscrits des bibliothèques publiques. La plus
ancienne
et en même temps la plus intéressante est, ainsi
ction que ce manuscrit renferme est la même que celle d’un autre plus
ancien
appelé Mocenigo par M. Ghivizzani, du nom de la f
s manuscrits et probablement écrites par Smunto ou par Annebiato, ses
anciens
possesseurs, dont les noms figurent en tête. M
tres sur 212, composé de 86 feuillets en papier chiffrés par une main
ancienne
, dont le cinquante-sixième et les deux derniers s
s, il y a lieu de passer en revue les imprimés. 1496. La plus
ancienne
édition des Favole di Esopo volgarizzate est cell
jouter au texte du manuscrit de la Laurentienne trois autres versions
anciennes
, en langage vulgaire, des fables ésopiques. Mais
le texte de 97 fables en prose italienne puisé dans divers manuscrits
anciens
, de la page 263 à la page 267 quelques additions
mme qui avec un zèle pieux les réforme, en les ramenant à leur figure
ancienne
. C’est ainsi que je reparais corrigé. — J’ai été
7. Après les deux éditions qui viennent d’être analysées, la plus
ancienne
est une édition de 1487 imprimée en caractères go
rivée de Walther porte à la Bibliothèque nationale le nº 14961. Sur l’
ancien
catalogue du fonds Saint-Victor auquel il a appar
xxvie des Fabulæ antiquæ de Nilant ; je ne connais pas de collection
ancienne
qui contienne les sujets de la deuxième et de la
Mentel ; il porte le nº 8471, qui a remplacé le nº 6609 beaucoup plus
ancien
, mais encore apparent. Il forme un petit volume i
on plus récente, qui va du nº 1 au nº 19, a-t-elle été substituée à l’
ancienne
. Il avait été inscrit au catalogue imprimé des ma
du Méril par une indication des Archives de la Société pour fonder l’
ancienne
histoire de l’Allemagne 485, le manuscrit de la b
is, et il en a été fait deux traductions, dont l’une même en est plus
ancienne
, et par suite plus voisine de l’époque où l’ouvra
élevé que celui du manuscrit précédent, ce dernier étant un peu plus
ancien
, j’ai trouvé naturel de l’examiner le premier. Le
t elle ne s’est révélée à moi que par trois manuscrits beaucoup moins
anciens
qui ne l’ont pas conservée dans toute sa pureté.
gardé dans toute sa pureté une œuvre de trois cents ans au moins plus
ancienne
. Parmi eux, cependant, il en est un qui, à tort o
’abord, quoique du même siècle, le manuscrit 901 m’a paru un peu plus
ancien
. Ensuite, quoique ne comprenant que cinquante fab
u texte primitif du Romulus de Vienne conservé dans un manuscrit plus
ancien
que la collection du manuscrit 901 a été emprunté
ssu, non du manuscrit de Vienne 303, mais d’un texte plus pur et plus
ancien
. Il est très vraisemblable qu’il en est de même d
de Vienne 303, il est probable que, puisées dans des manuscrits plus
anciens
et sans doute plus purs, elles sont les vraies et
re remarquer qu’il est en harmonie avec cette solution. Dans les plus
anciens
manuscrits du Romulus ordinaire, la fable du Rena
découvrir deux, qui avaient sur celui de Leyde l’avantage d’être plus
anciens
et plus complets, de sorte que dans la publicatio
d’où Nilant a tiré son Romulus, n’était qu’un second exemplaire moins
ancien
des Fabulæ antiquæ, et, ce qui est peu flatteur p
uscrit 18270 de la Bibliothèque nationale étant à la fois un peu plus
ancien
et aussi complet que le plus ancien et le plus co
onale étant à la fois un peu plus ancien et aussi complet que le plus
ancien
et le plus complet des deux autres, c’est celui d
résulte de cette mention inscrite sur le premier feuillet ajouté aux
anciens
: « A la Bibliothèque de l’église de Paris. » Cet
et, comme les manuscrits dans lesquels on lit Henris sont tout aussi
anciens
et ne doivent pas inspirer moins de confiance que
uscrits no 1830, fonds de l’abbaye Saint-Germain ; nos 7615 et 79892,
ancien
fonds ; M. no 17, M. no 18, E. no 6, N. no 2, fon
blement augmenté, d’autre part légèrement amoindri, d’un Romulus plus
ancien
, sur lequel le roi anglo-normand avait fait sa tr
exceptionnellement 24 vers. Les 13 derniers sont d’une écriture moins
ancienne
que le reste. Ils occupent la moitié de la premiè
ur deux colonnes est du xiiie siècle. Il se compose de 250 feuillets
anciens
, auxquels le relieur a ajouté quatre feuillets no
le relieur a ajouté quatre feuillets nouveaux, en parchemin comme les
anciens
, savoir : deux au commencement et deux à la fin.
u de M. de Roquefort, forme un volume in-4º, composé de 145 feuillets
anciens
en parchemin, que le relieur a fait précéder de d
rogation ainsi figuré : 5. Je ne l’ai pas vu en d’autres textes aussi
anciens
. Voyez fo 56 ro. Le copiste suit le dialecte du n
oici la traduction de la seconde : « Selon toute probabilité, la plus
ancienne
partie de ce volume a été écrite à l’abbaye de Re
ges divers. Il forme un fort volume in-fol., composé de 385 feuillets
anciens
en papier, eux-mêmes précédés de 2 feuillets cont
lyser le manuscrit 347 B ; mais, comme le manuscrit 347 C est le plus
ancien
, c’est lui que j’examinerai le premier. 1º Manu
e, si cette traduction n’avait pas déjà été faite sur un Romulus plus
ancien
, et qu’il a dû emprunter ses fables à ce Romulus
non seulement n’est pas issu du Romulus Roberti, mais encore est plus
ancien
que lui. Ce qui, au premier abord doit ou peut po
Roberti est postérieur à son co-dérivé, dans lequel les appellations
anciennes
ont au contraire été maintenues543. § 2. — Man
i par lequel je commence mon analyse, d’abord parce que c’est le plus
ancien
, ensuite parce que la collection du Dérivé comple
in sur lequel se trouvent le prologue et la première fable, est moins
ancien
que les autres. Il a été substitué au premier feu
er feuillet primitif, qui sans doute avait été détruit. Quoique moins
ancienne
que celle qu’elle a remplacée, l’écriture du prem
Viggerts dans la Deuxième Série des éléments pour la connaissance des
anciens
écrits et de l’ancienne langue allemande (Magdebo
me Série des éléments pour la connaissance des anciens écrits et de l’
ancienne
langue allemande (Magdebourg, 1836) et qui a été
du Romulus de Marie. Cette seconde version, probablement un peu moins
ancienne
que la précédente, se trouve dans un manuscrit de
ue née de la prose du Romulus de Nilant. Il en existe une autre moins
ancienne
que j’ai déjà publiée et dont j’avais cru à tort
Romulus ordinaire, il a fait en même temps quelques emprunts au poète
ancien
. Quant à moi, je ne partage pas ce sentiment. San
is Dominici Sangiacomo. Præsidum veniâ. In-8º. 25. Fables de Phèdre
anciennes
et nouvelles, éditées d’après les manuscrits et a
sur mes malheurs que j’en fis quelques-unes. 30. Fables de Phèdre
anciennes
et nouvelles, éditées d’après les manuscrits et a
et mourut le 20 mars 1818. Il a publié plusieurs éditions d’ouvrages
anciens
et modernes, et notamment, en 1807, une édition d
oyez Dissertation sur les quatre manuscrits de Phèdre par J.-F. Adry,
ancien
bibliothécaire de l’Oratoire, dans le Magasin enc
Phèdre. Paris, 1813, in-8º. (Voyez page 295.) 174. Fables de Phèdre
anciennes
et nouvelles, accompagnées d’une traduction litté
près Angelo Maï par Orelli à Zurich en 1832.) 204. L’édition la plus
ancienne
ou tout au moins la première des éditions connues
Voyez Disput. I, p. xiv et xv. 228. Manuel de Littérature classique
ancienne
,… traduit de l’allemand de M. Eschenburg, avec de
. Köln, 1865, Heberle, in-8º. 280. Biographie universelle (Michaud)
ancienne
et moderne. Tome I. Paris, chez Mme C. Desplaces,
le service qu’ils en tiroient ; mais comme dit un des plus sages des
anciens
, pour voir reluire en elles quelque image des fac
ns offices, que de la parenté, et une infinité d’autres de l’histoire
ancienne
et de la moderne, qui non seulement ont sçeu peu
ntion des Arts estant un droit d’aînesse,
Nous devons l’Apologue à l’
ancienne
Grece.
Mais ce champ ne se peut tellement moisso
en l’esprit une opinion que j’ay presque tous-jours euë touchant les
Anciens
; à sçavoir, que les plus sages d’entr’eux n’ont
gression de la Loy, qui les rendoit sujets au supplice. Or comme en l’
ancienne
decision des inimitiez, on ne faisoit point de du
il arriva que le malheureux Androde fût recogneu, et reconduit à son
ancien
Maistre, qui apres plusieurs inhumanitez exercées
pentier, pour le recouvrement de sa coignée, et à quelle occasion les
Anciens
tenoient ce Dieu pour tutelaire des Artisants. Ma
en l’assistance des foibles. Aussi fust-ce pour cela qu’au temps des
anciens
Roys de France, et de la grand’ Bretagne, les Ord
ne espece d’oppression trop inégale. Tel fût encore Eumenés parmy les
Anciens
, et tel a esté naguere dans les troubles d’Allema
eux, que ceux qui ont fuy les delicatesses, comme souloient faire les
anciens
Romains ? ny des nations plus débauchées, que cel
; par le moyen de laquelle il y a long-temps qu’il a fait perdre à l’
ancienne
Rome , le nom d’Eternelle, pour le perpetuer à Ve
attrapé la mine avant que l’espuiser. Car comme dit fort à propos un
ancien
Poëte, En ce malheureux siecle on ne donne qu’au
st une des plus foibles marques de nostre esprit, témoing ce dire des
Anciens
, On adjouste aisément aux choses inventées. Tou