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1 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 260 » p. 355
habites-tu le désert ? » Elle répondit : « Parce que, dans les temps anciens , le mensonge ne se rencontrait que chez un petit
2 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 9 » pp. 277-277
Le rossignol répondit : « Je ne veux point raviver le souvenir de mes anciens malheurs : voilà pourquoi j’habite les lieux dése
3 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 120 » p. 107
essaya de l’attraper. Zeus, indigné de sa conduite, le remit dans son ancien état. Cette fable montre que les gens de rien ont
4 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXII. Du Loup, et de la Truye. »
fitable dans le monde, et reputé leur loüange à blasme, comme fist un ancien Philosophe, qui sçachant qu’un homme fort desbord
5 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XVI. La mort et le Buscheron. » p. 60
obligea d’y avoir recours. Nous ne sçaurions aller plus avant que les Anciens  : ils ne nous ont laissé pour nostre part que la
6 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXVII. De deux Escrevices. »
de Plutarque ; et pour le dire en un mot, toutes les persuasions des Anciens et des Modernes, ne sont pas si capables de touch
7 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CI. De l’Avare, et de l’Envieux. »
ses, et devient grand à mesure qu’il est abreuvé. Pour cela mesme les Anciens l’ont presque tous comparée à la soif de l’Hydrop
, à cause que l’un des deux estoit obligé de visiter la maison de son ancien hoste, et de laisser son amy dans une hostellerie
. Que s’il estoit question de confirmer ceste verité par des exemples anciens , il faudroit dépoüiller l’Histoire de l’Histoire
e nouveaux exemples, sans qu’il soit besoin de mandier la memoire des anciens . Nous avons veu de nostre âge des Freres égorger
thresors de Cresus. A quoy je n’ay qu’à leur opposer ceste verité des Anciens , que Pybrac a ainsi tournée en François. De peu
up mieux policez, que nous ne sommes, comme les Lacedemoniens, et les anciens habitans de Rome, qui se contentoient d’une simpl
8 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LIII. Du Cerf, et du Cheval. »
ection pour avoir demandé secours à quelque puissant voisin contre un ancien et dangereux Ennemy. Cela se verifie par l’exempl
9 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « AU LECTEUR. Sur le sujet des Fables. »
si. En voicy une entre les autres, que j’allegueray pour exemple. Les anciens Poëtes ont feint que Celius, Dieu par dessus tous
ile de rapporter icy, pour vous faire voir les hauts mysteres que les Anciens ont cachez dessous le voile des fables ; où je po
10 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XI. De l’Aigle, et de la Corneille. »
candeur et la sincerité dont elle est pleine. Ce fût pour cela qu’un ancien Roy, à qui l’on vint rapporter qu’il avoit esté t
11 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE III. Du Rat, et de la Grenoüille. »
este que Cesar fist de l’Egypte, et en une infinité d’autres exemples anciens , que je pourrois rapporter icy. Mais il est mieux
12 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLIX. De la Belette, et du Renard. »
éprises de toutes voluptez superfluës. C’est ce qu’ont voulu dire les Anciens , en nous representant les Muses chastes et sobres
13 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXVIII. Du Chien envieux, et du Bœuf. »
ition, et la repaistre d’une contentieuse amour de gloire. Ce que les anciens Sages sçeurent remarquer fort judicieusement, lor
14 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXIII. Du Renard, et du Buisson. »
rejetter le refus sur son incapacité. Pour cela mesme je trouve qu’un Ancien Philosophe eût fort bonne grace, lors que sollici
15 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
e expliquer comment j’ai été conduit à l’assumer. De tous les auteurs anciens qui guident les premiers pas de l’enfant dans l’é
étudié, je ne suis pas immédiatement passé à celui qui était le plus ancien après lui ; j’ai préalablement abordé l’étude des
de son devancier, et, avant de passer au fabuliste après lui le plus ancien , j’étudierai les imitations de son œuvre, tant en
ude historique et critique sur les fables latines de Phèdre et de ses anciens imitateurs directs et indirects, Et sur les Manus
ls ont voulu justifier leur thèse et pour cela ils ont fait appel aux anciens auteurs. Le Père Desbillons cite d’abord un passa
l suffit, pour la connaître, de bien comprendre ce vers. Dans la plus ancienne des traductions françaises, publiée en 164727, Is
ts contemporains qu’il expose, il raconte des anecdotes plus ou moins anciennes et plus ou moins véridiques ; telles sont celles
crits. Chapitre II. Manuscrits de Phèdre. Il est peu d’auteurs anciens , dont les manuscrits soient aussi rares que ceux
ivre Phèdre était réservé à l’illustre Pierre Pithou, que, suivant un ancien bibliothécaire de l’Oratoire, le Père Adry68, son
’accueillirent sans méfiance, et sa droiture était trop connue de ses anciens coreligionnaires, pour lui attirer leur inimitié.
nsentit, autant par dévouement pour Henri III que par amitié pour son ancien condisciple Loysel, à y remplir les fonctions de
à sa signature, on est porté à les attribuer à une main beaucoup plus ancienne . J’ai relevé plusieurs de ces notes ; mais, dans
ue suisse Orelli pour l’édition qu’en 1831, à Zurich, il a donnée des anciennes fables de Phèdre. Il faut pourtant reconnaître qu
la mort de son père, Pierre Leullier, sire de Montigni, d’une famille ancienne dans la Chambre des Comptes. Marie, la cadette, f
, qui doivent leur servir à déterminer le véritable auteur des fables anciennes , à mon tour, en signalant les lacunes du manuscri
d’écrire vous jugerez aisément qu’il avait sous les yeux un manuscrit ancien . Ainsi, par exemple, donnant au c le son du q, et
ni dans les bibliothèques publiques, ni chez les marchands de livres anciens . En l’absence de l’édition de la veuve Brocas, ce
inquiéter des vers, l’autre n’a pas eu la même préoccupation. Le plus ancien des deux, seul sans doute, a voulu ménager l’espa
altération. Orelli en conclut que le manuscrit de Reims était le plus ancien  ; mais, s’il s’est arrêté à cette conséquence, il
 ». Il semblerait en résulter qu’il est de cent ans environ le moins ancien . Mais les spécimens que je publie ne présentent p
uscrit le plus récent peut être celui qui présente l’écriture la plus ancienne . Pour parvenir à se créer une opinion raisonnable
qui l’a vue, ne mérite pas de l’être… On pourrait aussi examiner si l’ ancienne comédie jointe au Phèdre, ne serait point le Quer
tand du Méril en 1854, soit enfin dans le volume de la collection des anciens poètes français, qui contient la chanson de geste
inspiré. « Parmi ces manuscrits, écrit-il en parlant des livres de l’ ancienne abbaye de Saint-Benoît-sur-Loire, il s’en trouvai
Pithou, déclare que « ce n’est qu’un fragment qui ne paraît pas très ancien , et qui ne présente qu’un peu plus de la deuxième
plus récent que le xie  siècle, c’est-à-dire qu’il est presque aussi ancien que celui de Pithou. Ensuite il ne comprend que l
 pages d’écriture. On y trouve onze extraits empruntés aux œuvres des anciens auteurs latins. Ce recueil, qui est de la main de
eant les fables nouvelles, de signaler les variantes qu’offraient les anciennes dans le manuscrit de Perotti. Sa dernière édition
es du texte de Perotti, publié que celles qui concernaient les fables anciennes de Phèdre. Il me semble que, si Philippe avait eu
it quelque allusion. Or, il n’en dit pas un mot. Et, quant aux fables anciennes , il peut reproduire plus ou moins fidèlement les
libraire Giuseppe Dura, qui possède une immense collection de livres anciens . Elle n’a qu’une valeur de curiosité bibliographi
admettre que, composées au temps où il versifiait lui-même ses fables anciennes , elles ne peuvent être sorties que de sa plume. I
publia une nouvelle édition qui ne contenait que les fables de Phèdre anciennes et nouvelles. Mais elles n’offraient plus de lacu
re, contenant le texte des fables nouvelles, et la seconde, celui des anciennes . Les unes et les autres sont accompagnées de note
on ami Contrario180, les compliments les plus hyperboliques, et cette ancienne fable de Phèdre qui porte généralement pour titre
le manuscrit une fable intitulée : Pulcher modus judicandi. C’est l’ ancienne fable de Phèdre, ordinairement désignée par ces m
rdre dans ce chaos, on s’aperçoit qu’il y a : 1º Trente-deux fables anciennes , ci 32 2º Trente-deux fables nouvelles, ci 32
ttre, il se montre absolument opposé à toute interpolation des textes anciens . Enfin, suivant lui, on ne comprendrait pas qu’ap
tendu, non pas, en philologue, reproduire dans leur pureté les textes anciens , mais, en simple ecclésiastique, les mettre d’acc
aximum à la véritable leçon. En étudiant les variantes que les fables anciennes présentent dans ses manuscrits, on pourra d’aille
’autres. On remarquera alors que ce qu’il a fait à l’égard des fables anciennes , il a dû le faire à l’égard des nouvelles, et que
ils ignoraient l’existence. Vers 1830, à l’époque où il publiait les anciens classiques d’après les manuscrits du Vatican, le
cace poétique à Pirrho Perotti. Ensuite viennent les fables de Phèdre anciennes et nouvelles, celles d’Avianus et les poésies de
qu’il porte même la note, qui, dans ce dernier, figure en marge d’un ancien oracle de Delphes et que Jannelli a eu soin de pu
mière, c’est-à-dire des fables primitivement découvertes dites Fables anciennes , et de la seconde, c’est-à-dire des fables postér
stérieurement découvertes dites Fables nouvelles. Section I. Fables anciennes . De tous les ouvrages que l’antiquité nous a l
n’en est pas un seul, dont l’authenticité ait, autant que les fables anciennes , donné lieu à des controverses longues et passion
 xvii du livre III, il faudrait admettre que toutes les autres fables anciennes sont son œuvre. Car leur identité d’origine est é
rigine est évidente. En revanche, si l’on prouve que l’une des fables anciennes n’est pas son œuvre, aucune ne doit lui apparteni
tion de Perotti ne pouvait pas être exacte et que dès lors les fables anciennes n’étaient pas son œuvre. Schryver n’y regarda pas
s de Phèdre, avait déclaré qu’il les avait tirées d’un manuscrit fort ancien , et Rigault, qui avait ensuite, dans ses éditions
r Étienne Zamoyski, à Wissembourg en Transylvanie, sur la pierre d’un ancien tombeau, publiée par lui à Padoue, en 1593, dans
tile ; je ne l’entreprendrai pas. Seulement, puisque j’ai parlé d’une ancienne fable de Phèdre que Perotti a copiée deux fois, j
connectas. » Pierre Pithou était trop versé dans l’étude des auteurs anciens , pour que l’affirmation de Sénèque pût lui échapp
aisons, qui, suivant lui, ne permettaient pas d’attribuer à un auteur ancien les fables de Phèdre. Comme l’examen de ses argum
é en partie reproduite par Vincent de Beauvais, ne saurait être moins ancienne que le xiiie  siècle. Mais c’est à tort que le ma
prétendit que les fables de Phèdre étaient l’œuvre, non d’un écrivain ancien , mais de l’archevêque de Siponte224. Quant au Phè
e peu de connaissance que nous avons de lui et le silence de tous les anciens écrivains à son égard, on ne saurait pourtant poi
ompétente ne conteste l’authenticité, et dont cependant aucun ouvrage ancien ne fait mention. Il est vrai que Sénèque ne se bo
e inscription gravée à Wissembourg en Transylvanie sur la pierre d’un ancien tombeau. Mais il s’appuie surtout sur l’âge des m
les respirent en outre une connaissance des temps et des lieux, qu’un ancien seul pouvait avoir. Qu’on lise, par exemple, la f
si le manuscrit de P. Pithou se retrouvait dans la bibliothèque de l’ ancien président du Parlement de Paris, devait en faire
existait dans la bibliothèque de M. Le Peletier de Rosanbo, fils de l’ ancien président du parlement de Paris, et bientôt après
ibuées à cet auteur, suivant eux, imaginaire, n’étaient pas une œuvre ancienne , et qu’elles étaient dues à la plume presque mode
comment il apprécie le fameux passage de Sénèque : « Le silence des anciens sur Quinte-Curce, Velleius Paterculus, les Astron
u’elle s’est conservée. Née dans l’Inde, elle.se trouve dans les plus anciens monuments de la langue sanscrite. Elle a passé en
ant les discussions auxquelles a donné lieu l’authenticité des fables anciennes . Ce qui en ressort, c’est que Phèdre fut l’auteur
Fables nouvelles. Les fables nouvelles ont eu le même sort que les anciennes  ; elles sont passées par les mêmes péripéties, av
leté, la pureté et la concision qui font les principales qualités des anciennes . Sous ces rapports elles sont les mêmes ; or il e
s que par le même auteur. Il est vrai qu’après avoir, dans les fables anciennes , fait l’éloge de la littérature grecque, il trait
ur les dire, de bien grandes précautions248. 5º Comme dans les fables anciennes , on rencontre dans les nouvelles des anecdotes, t
e Pompée et de son soldat249. 6º Ésope, souvent mis en scène dans les anciennes , reparaît plus souvent encore dans les nouvelles,
te n’a recouru à ce procédé littéraire250. 7º Phèdre, dans ses fables anciennes , emploie quelquefois des expressions abstraites,
aient concrètes ; ainsi, pour ne citer qu’un exemple, il dit dans les anciennes fables : Gulæque credens colli longitudinem, et
es furent considérées comme se prêtant mieux que les autres monuments anciens à l’instruction de la jeunesse. Mais les maîtres
e, l’autre par Nilant au commencement du xviiie avec des fables plus anciennes qu’il adjuge à un auteur anonyme. Salon de Parme2
s, ne rencontrant pas ces particularités dans les ouvrages connus des anciens , n’ont pas pu les reproduire, que l’origine antiq
es trois dissertations, une année s’était-elle écoulée qu’en France l’ ancien oratorien, nommé Adry, dans un opuscule aussi pau
fonde. Mais d’abord, le savant allemand reconnaît que l’auteur est un ancien , un émule de Phèdre ; c’est déjà beaucoup, et, s’
raison révèle le parti pris. Si c’est parce qu’elles ressemblent aux anciennes qu’elles ne doivent pas être du même auteur, il n
ogue. » Or, c’est là un reproche qui pourrait s’adresser à plus d’une ancienne . Il trouve absolument ridicule la fable iv, Mercu
st pas plus ridicule que celle qui se trouve développée dans la fable ancienne Canum legati ad Jovem. Adry trouve que la fable v
s il est incontestable qu’elle ressemble beaucoup sous ce rapport aux anciennes , dans lesquelles Phèdre fait intervenir Ésope. En
iennes, dans lesquelles Phèdre fait intervenir Ésope. En sa qualité d’ ancien moine facile à offusquer, Adry donne la qualifica
la хiiie , il n’y voit qu’une réflexion très sensée. Bien des fables anciennes ne contiennent pas autre chose. N’est-ce pas d’ai
ui lui est familier ; on le trouve appliqué par exemple dans la fable ancienne , Gallus ad Margaritam. La fable xv, Mulier vidua
t répondu en citant des fables de la même nature dans le livre IV des anciennes . Adry n’est pas touché de cette comparaison, et c
sur ce qu’on y rencontre un vers qui en rappelle un autre des fables anciennes , il n’hésite pas à combattre son opinion. « Il me
rs vers lui ont paru calqués trop exactement sur ceux qui terminent l’ ancienne fable de Simonide préservé par les Dieux. Phèdre,
vident qu’il a copié le fragment tel qu’il existait dans le manuscrit ancien . J’affirmerais pourtant que c’était l’épimythion
savants de ce pays qui n’avaient pas cru à l’authenticité des fables anciennes , les nouvelles aient dû inspirer moins de confian
mpilation ; on aurait pu voir que cet écrivain s’est permis, dans les anciennes fables, des changements plus ou moins maladroits.
mployée par M. L. Müller, les fables nouvelles ressemblent aux fables anciennes , comme un œuf ressemble à un œuf269. Mais, lorsqu
Phèdre ont toutes été traitées par lui de la même manière. Ainsi aux anciennes comme aux nouvelles il a enlevé le titre, qui, n’
opérations uniformes, se trouvent dans son manuscrit les fables soit anciennes , soit nouvelles, on demeure convaincu qu’elles on
itude absolue, les sceptiques devraient contester à Phèdre les fables anciennes aussi bien que les nouvelles. Les unes et les aut
e celles de cet auteur sont en vers élégiaques. Si, à côté des fables anciennes appartenant incontestablement à Phèdre et des fab
ui émanent de lui. Il est encore vrai qu’il a mis en tête de la fable ancienne  : Muli et Latrones, qui dans les éditions de Phèd
ims, il a du moins, comme ce dernier, été copié sur un troisième plus ancien , duquel malheureusement bien des feuillets avaien
ignaler que quelques-uns. Il y a d’abord une remarque, que les fables anciennes suggèrent à première vue : c’est que Phèdre ne se
e vue : c’est que Phèdre ne se borne pas, comme les autres fabulistes anciens , à tirer ses fictions des traditions ésopiques ;
origine commune ? Mais ce n’est pas la seule ; les autres fabulistes anciens se renferment dans leur rôle. Phèdre, dans ses fa
ulistes anciens se renferment dans leur rôle. Phèdre, dans ses fables anciennes , se sépare encore d’eux. Par une habitude qui lui
re ils n’ont pas cessé de publier les fables nouvelles à la suite des anciennes , mais qu’ils ont encore continué à faire des nouv
e qui doit leur être le plus utile (par Depons, professeur de langues anciennes à l’école centrale du Puy-de-Dôme). Riom et Clerm
m Agnelli Successorem Marelli. In-12 de 96 pages contenant les fables anciennes de Phèdre et les cinq restituées par Gude. 18
s contenant la vie de Phèdre par Schwabe et le texte latin des fables anciennes et nouvelles. 1831. Phædri Aug. lib. fab
typis calasanctianis (1855). In-12 de 144 pages, contenant les fables anciennes de Phèdre, une partie des nouvelles et les Publii
tion De eo quod pvlchrvm est in Phædro, le texte des fables de Phèdre anciennes et nouvelles, les 34 fables restituées par Gude e
angue italienne sur la Fable et les Fabulistes et le texte des fables anciennes de Phèdre enrichi de nombreuses notes. 1842.
. In-12 de 6 feuilles un sixième. 1847. Fables de Phèdre tant anciennes que nouvelles publiées par Angelo Maï et les fabl
e, Felice Le Monnier. In-8º de 103 pages ne renfermant que les fables anciennes . Phædri fabularum libri V, cum fabellis novis. A
i, Roma-Torino-Milano-Firenze. In-8º de 96 pages contenant les fables anciennes et vingt-deux des nouvelles. 1882. Fables
es 7 à 95) ; 2º Le Poesie, comprenant seulement une partie des fables anciennes (pages 97 à 138). Section II. Éditions des tr
dés de 10 et suivis de 6 non numérotés, contenant le texte des fables anciennes et la traduction en prose en regard. 1683.
vec la traduction interlinéaire par M. Maugard, professeur de langues anciennes et modernes. Paris, 1º C. Joyant, 2º Tardieu-Dene
es de Phèdre, traduction nouvelle avec des notes, par M. l’abbé Paul, ancien professeur d’éloquence de l’Académie de Marseille
de Phèdre comparées avec celles de La Fontaine, par M. Beuzelin père, ancien chef d’Institution à Paris ; ouvrage revu et cont
runot-Labbé. In-12 de 8 feuilles 5 sixièmes. 1827.     Fables anciennes et nouvelles de Phèdre, traduites en français ave
Phèdre, latin-français en regard. Traduction nouvelle par A. Lebobe, ancien professeur. Paris, Jules Delalain et fils. In-12
ris, C. Lévy. In-18 de viii-184 p. 1881.     Fables de Phèdre anciennes et nouvelles, éditées d’après les manuscrits et a
aliana). In-8º de xvi-237 pages, contenant, pages 2 à 145, les fables anciennes de Phèdre et les cinq restituées par Gude, avec l
sans texte latin, la traduction en vers italiens des fables de Phèdre anciennes et nouvelles. Delle favole Esopiane di Fedro Libe
º de x-246 pages, contenant la traduction en vers italiens des fables anciennes , des fables restituées par Gude et Burmann et des
enant, sans le texte latin, la traduction en vers italiens des fables anciennes de Phèdre, dans un premier appendice celle des ci
qu’elles sont loin de se rapporter toutes au texte connu de l’auteur ancien . Sur 67 il n’y en a dans ce cas que 37, de sorte
lande, imprimés à Oxford en 1697, en deux volumes in-folio287, dans l’ ancien catalogue des livres de la Bibliothèque de l’Univ
le premier de la table dressée par M. du Rieu, et les 27 autres, des anciens feuillets en parchemin. Premier quaterne. Table
nimo, si vis intendere sensum..... Fol. xv b à xix b. — Gloses sur l’ Ancien Testament. Elles paraissent d’une autre main que
ntre ce dernier membre de phrase et le mot Pisces , un copiste moins ancien qu’Adémar a écrit ce titre d’une liste de moines
. Le manuscrit, qui forme un volume in-4º, se compose de 57 feuillets anciens , dont plusieurs sont blancs. Le relieur en a ajou
fameux manuscrit de Wissembourg aujourd’hui à Wolfenbüttel et la plus ancienne de celles auxquelles a été donné le nom de Romulu
à l’aide du manuscrit de Wissembourg qu’il avait cherché à rétablir l’ ancien texte. Là encore tous les manuscrits étaient en d
e s’était efforcé de démontrer qu’en effet il n’existait pas dans les anciens manuscrits, et notamment dans ceux qui, tout en p
s toujours élégantes et très semblables à celles que présente le très ancien Virgile des Médicis, reproduit, à l’aide de la ty
les personnes compétentes savent usuel dans tous les manuscrits très anciens . Le manuscrit se compose de 124 feuillets, dont l
rrait servir d’argument, que si celles des fables connues de l’auteur ancien qui s’y retrouvent appartenaient aux mêmes livres
es de Phèdre ; elles s’en rapprochent même beaucoup plus que les plus anciens manuscrits de Romulus. C’est bien certainement, n
railler ; car leur erreur ne manquait pas de points d’appui. Le plus ancien était le texte du Romulus de Nilant, dans lequel
dans le Supplementum supplementi Chronicarum, ouvert une des éditions anciennes de la traduction latine de la vie d’Ésope par Ran
à le résoudre. Dans le manuscrit Burnéien, c’est-à-dire dans le plus ancien de ceux contenant les fables du Romulus ordinaire
is rien n’indique que la copie qu’il renferme, quoique beaucoup moins ancienne que l’œuvre elle-même, ne soit pas parfaitement f
tait permis de supposer qu’il avait existé à une époque beaucoup plus ancienne  ; mais il lui était impossible de dire à quelle l
nom, voici comment il s’exprime sur son âge : « La découverte du plus ancien manuscrit de Romulus a modifié la question relati
erai le nom de Romulus à une collection, il s’agira, sinon de la plus ancienne de celles auxquelles il a été appliqué, au moins
itation prosaïque. Encore aurai-je soin, s’il est question de la plus ancienne , de la qualifier de Romulus originaire ou de Romu
ur les 20 fables du livre II, il y en a 16 qui ont été empruntées aux anciennes de Phèdre ; ce sont celles qui portent les numéro
dernier embrasse 44 fables, dont quatorze seulement existent dans les anciennes de Phèdre. Elles portent les numéros 7, 12, 14, 1
u Romulus primitif, qui ne correspondent à aucune de celles de Phèdre anciennes ou nouvelles, sont au nombre de 32. Ce sont celle
t-à-dire à celui du Romulus ordinaire, et cela, en me servant du plus ancien des manuscrits qui l’a conservé, c’est-à-dire du
es. On le voit, ce ne sont pas seulement les expressions de l’auteur ancien , ce sont encore les lambeaux de ses ïambes qu’on
le manuscrit de Wissembourg et le manuscrit Burnéien, une œuvre plus ancienne due à un précédent compilateur relativement habil
un mauvais potier, qui de nos jours voudrait reproduire des faïences anciennes , et toute son habileté a consisté à introduire le
anuscrit Burnéien, qui, je le rappelle encore une fois, étant le plus ancien de ceux connus, est vraisemblablement celui qui c
bulæ antiquæ on retrouve les expressions et presque les vers du poète ancien  ; dans la même fable des deux autres collections,
presque acquis la conviction que nos Fabulæ antiquæ, comme étant plus anciennes et plus pures que les autres, avaient été tirées
tres, avaient été tirées de Phèdre par quelque amateur de fables très ancien , mais pourtant chrétien, pour en former un petit
. Oesterley la soutenir dans sa préface. « Bien plus éloignés du plus ancien manuscrit, dit-il, sont les deux textes donnés pa
, dans le Limousin, avait été introduit dans le manuscrit par le plus ancien relieur et collé par lui sur la face interne du p
rits, on voit que celui du Romulus Burnéien, qui est pourtant le plus ancien , n’est pas antérieur au xe  siècle. Il est vrai q
ns relativement lettrés aient pu avoir l’idée de transformer le poète ancien . Quant à la collection de Wissembourg, comme le m
ection que j’appelle Romulus ordinaire a été considérée comme la plus ancienne de toutes celles auxquelles le nom de Romulus peu
uscrit, et, d’autre part, celui qu’on trouve aussi bien dans les plus anciens manuscrits que dans les plus anciennes éditions,
trouve aussi bien dans les plus anciens manuscrits que dans les plus anciennes éditions, c’est le Romulus ordinaire qu’on devait
e Romulus ordinaire qu’on devait être dès lors induit à juger le plus ancien de tous. Plusieurs indices m’ont fait comprendre
ctuel permettra à ceux qui le désireront de comparer ensemble le plus ancien texte et le plus récent. Cela expliqué, je vais d
mulus, qui en fait partie, porte le nº 59, et, comme sous ce numéro l’ ancien catalogue imprimé en donne une analyse exacte, il
s faire connaître que la bibliothèque publique ne possède pas le plus ancien manuscrit des fables de Romulus, et j’ai de grave
se trouvait, au temps du docte Gude qui le copia (1660-1663), dans l’ ancienne bibliothèque de l’abbaye de Saint-Bénigne de Dijo
rouvant probablement trop longs les titres qui existent dans les plus anciens manuscrits et devaient exister dans son modèle, s
lus ordinaire, sinon par le même copiste, du moins par un autre aussi ancien . Il a été donné aux deux collections un seul et m
s date.     L’édition la plus célèbre et vraisemblablement la plus ancienne du Romulus ordinaire fut celle d’Ulm, que Schwabe
aphique permet d’affirmer que l’édition d’Ulm, sans date, est la plus ancienne de toutes et que celles qui ont été imprimées dan
près les deux éditions de Sorg, l’édition gothique qui paraît la plus ancienne est celle que Hain a mentionnée sous le nº 327 de
ularum. À la dernière page (q. viii b), comme dans les éditions plus anciennes de Sorg, la fable De Vulpe et Gallo porte par err
valeur d’une vieille toile, une œuvre nouvelle avait été ajoutée à l’ ancienne . L’auteur de cette addition était un littérateur
mulus ordinaire fut presque oublié. Gude l’avait bien retrouvé dans l’ ancien manuscrit de Dijon et s’était donné la peine d’en
Günther Zainer. De toutes les éditions purement allemandes la plus ancienne paraît être celle qui, selon Hain340, fut publiée
Ve livre du très illustre fabuliste et maître Ésope et commencent les anciennes fables courantes que l’on attribue à Ésope. » Fo
ville library n’a pas hésité à considérer cette édition comme la plus ancienne . Aussi à la cote qu’il donnait à l’exemplaire 780
ui en somme est à peu près certain, c’est qu’elles sont les deux plus anciennes , et ce qui est probable, c’est qu’elles sont sort
ion de 1489. Des éditions du xve  siècle celle de 1489 est la plus ancienne . Elle forme un volume in-folio, dont les feuillet
r ; titre courant. — (« Liber beate Marie Pontigniaci. S. Edmundus. » Ancien  162.) 4º Bibliothèque de Chalon-sur-Saône.
emin. 379 feuillets. 390 sur 270 millim. Rel. mod. (Jumièges, G. 5. —  Ancien nº U. 43.) 7º Bibliothèque de Troyes. A
on modèle. Si, comme cela est supposable, les fables ne sont pas plus anciennes que le manuscrit qui les renferme, elles ne peuve
e compose, accompagnées de leur corrélation avec les collections plus anciennes qui en ont été les principales sources. Romulu
t plus vraisemblable que celles du second sont au contraire les moins anciennes et qu’il faut les considérer comme un abrégé des
 5337, qui renferme la collection du Romulus de Munich, provient de l’ ancienne bibliothèque épiscopale de Chiemsee (Bavière supé
t spécial. D’abord, par la forme s’éloignant beaucoup des fables plus anciennes dont elles sont issues, elles deviennent, pour ai
icus, avait chaudement revendiqué la paternité des fables pour Salon, ancien magistrat de Parme. Il est vraisemblable que c’es
ien l’auteur. C’est là ce qu’attestent non seulement des inscriptions anciennes , mais encore un vieux manuscrit de la vie d’Ésope
ues. Après avoir rappelé que Névelet lui avait donné le nom d’Anonyme ancien , il ajoutait : « Je lui ai substitué celui de Gal
confiance que les fables et les fabliaux me semblent, dans ces temps anciens , plus propres aux goûts des peuples du Nord, chez
t enfin M. Oesterley ont fait à tort remonter au xiie  siècle le plus ancien des manuscrits des fables élégiaques, conservé à
oins vrai que ce manuscrit, qui appartient au xiiie  siècle, est trop ancien pour que son contenu soit l’œuvre du cardinal rom
re du ive  siècle, sinon antérieure à celle d’Avianus, au moins aussi ancienne . Section III. Nomenclature des fables de Walth
fable de la collection, et que, même dans les manuscrits et dans les anciennes éditions qui contiennent les deux fables compléme
dois faire observer que cette fable se trouve justement dans le plus ancien des manuscrits de Walther, dans celui qui est con
concluante ; en effet, on ne trouve cette fable dans aucun manuscrit ancien  ; on ne la rencontre que dans ceux du xve  siècle
jusqu’à la marge de la suivante. Cette écriture paraît presque aussi ancienne que celle du texte. Au lieu du distique suivant q
i, etc. Quant à l’ouvrage lui-même, on le rencontre souvent dans les anciens manuscrits. Je ne puis mieux indiquer ce qu’il es
che :       Finito libro sit laus et gloria Christo. Une main moins ancienne avait écrit au-dessous deux lignes, dans lesquell
. Manuscrit 11392. Le manuscrit 11392, qui, dans le supplément à l’ ancien fonds, portait le nº 597, est un volume in-8º, qu
e sur le recto du premier feuillet cette mention écrite par un de ses anciens propriétaires : Jo. Bap. Ponzonus Clericus, poss
nferme une copie des fables de Walther faite par Pierre Pithou sur un ancien manuscrit. C’est là ce qui ressort de cette menti
ention qui les précède : Ex vetusto codice sumptum. Quel était cet ancien manuscrit, d’où provenait-il, et à qui appartenai
nes réguliers de Saint-Victor, rue des Fossés Saint-Victor, est aussi ancienne que leur maison, qui fut fondée en 1113. Elle éta
Théologiques et Ecclésiastiques ; on y trouve un assez grand nombre d’ anciennes éditions. Elle contient aussi plusieurs manuscrit
t du fonds Saint-Victor, sur lequel il porte les nos 266 et 175, l’un ancien , l’autre plus récent, en donne l’analyse suivante
t du fonds Saint-Victor, sur lequel il porte les nos 793 et 548, l’un ancien , l’autre plus récent, en donne l’analyse suivante
er porte au haut du verso cette mention qui remonte à une époque très ancienne  : Histoires et liures en frācois pulto 1o contre
court. Le second porte au milieu du verso cette autre mention moins ancienne  : A mon entrée à la librairie du Roy, j’ai trouv
s amer sus toute auoir. Et pour ce dit Iustiniens Qui fist les livres anciens  : Je veuil mes cheualiers adrois, Plus sachent ar
arabes, il y en a un en chiffres romains, qui paraît être d’une main ancienne et qui, s’il était une date, serait celle de l’an
hypothèse de M. Robert ; car ce nombre n’est pas une date ; c’est une ancienne cote. En regardant de plus près le manuscrit, il
4º, dont l’écriture est du xve  siècle. Il se compose de 38 feuillets anciens en parchemin, précédés d’un premier feuillet neuf
’une jolie miniature, qui orne, au recto, le haut du premier feuillet ancien , et représente un moine instruisant trois personn
 24310. Il forme un volume de 92 feuillets, savoir : quatre-vingt-dix anciens et deux feuillets de garde entièrement blancs, l’
même ordre, on est, au premier abord, porté à en induire que le moins ancien des deux, c’est-à-dire celui qui porte le nº 2431
opie exacte de l’autre. Pourtant il n’en est pas ainsi. Dans le moins ancien le texte a été rajeuni, et beaucoup de mots déjà
llœul sépara les fables des Varia carmina, laissa à ces derniers leur ancienne reliure qu’il fit restaurer, et en tête du volume
les d’Ugobard, et celui de la ville de Douai serait à la fois le plus ancien et le plus complet. Cependant il doit en exister
llet. Elles ne portent pas de titre général ; mais, en tête, une main ancienne a écrit cette sorte d’invocation : Alanii assit
scrit lui-même : « Les caractères mixtes de ce volume, l’un des plus anciens de la bibliothèque, datent du xiiie  siècle. Les
a été écrite dans le dialecte franc-comtois, et qui, d’un siècle plus ancienne , présente davantage des expressions rappelant cel
première syllabe du mot fecit a été grattée. Plus bas une main moins ancienne a écrit : Fecit transferi (sic) de latino in rom
. Dou corbel et de laigle. 15. Dou corbel et dou uulpil. 16. Dou lion ancien . 17. Dou chien et de lasne. 18. Dou mercheant et
terre qui anfante la rate. 28. Dou lou et de laigneal. 29. Dou chien ancien . 30. Des lieures et des renoilles. 31. De la chie
dans les premières. En ce qui touche le titre général, une main moins ancienne , pour combler la lacune, a écrit, en tête du rect
alyse. 2º Bibliothèque communale de Trèves. Formée des fonds d’ anciens couvents supprimés, la bibliothèque de Trèves pos
trente-neuf feuillets en parchemin précédés d’un autre beaucoup moins ancien . Sur ce feuillet le contenu du manuscrit est indi
agnifique ampleur de forme. La reliure en bois, qui est presque aussi ancienne que le contenu, en est digne par son élégance ; s
nombre de 134 ; mais, le premier ayant disparu, il n’en reste que 133  anciens , augmentés de deux neufs laissés blancs. La premi
de Bourgogne dans l’épilogue du traducteur français a trompé quelque ancien possesseur de ce manuscrit, et l’a induit à attri
a grande dimension et couvert sur les deux faces d’une écriture aussi ancienne que celle qui précède. Cette pièce est intitulée 
été ajouté par le relieur. Au verso du feuillet 132, une main moins ancienne que celle du copiste primitif a écrit ce qui suit
e est la même que celle des épigrammes. En tête une main un peu moins ancienne a écrit ce titre : Garicii prologus , dont il a
ti (sic), que suit le mot Amen . Cette souscription, due à une main ancienne , démontre que les feuillets qui portaient la fin
r aux manuscrits de la bibliothèque palatine et aux éditions les plus anciennes . C’est lui-même qui nous l’apprend dans sa dédica
et dont les écritures sont les unes du ixe  siècle, les autres moins anciennes . En voici le contenu : 1º Fol. 1ª à 24b. —  Persi
rouge et de nombreuses gloses marginales ajoutées par une main moins ancienne . Elles sont au nombre de soixante-deux, comprenan
supr. nº 3 forme un volume in-4º de grand format pourvu d’une reliure ancienne dont les plats sont en bois. Il se compose de 90 
omposé de deux cahiers en parchemin de huit feuillets chacun dans une ancienne reliure à plats en bois, ne possède que les fable
lets sont en parchemin et dont l’écriture est du xive  siècle. De son ancienne cote N. CXVI qui est rappelée au Catalogue il res
double feuillet qui en est indépendant et qui, ayant appartenu à une ancienne couverture, lui a survécu. On y lit : Iste gramm
iber est domini Sebastiani de domo baduaria nobilis Venetarum. De l’ ancienne cote A.Z. nº 434 que le Catalogue rappelle, il re
s e Græco in latinum traducta. Tel est le titre de l’édition la plus ancienne que je connaisse. Elle a été imprimée à Rome en 1
le pouvoir de rendre aux fables de Walther à notre époque leur vogue ancienne  : aujourd’hui on ne croit plus à leur valeur litt
traductions dans les manuscrits des bibliothèques publiques. La plus ancienne et en même temps la plus intéressante est, ainsi
ction que ce manuscrit renferme est la même que celle d’un autre plus ancien appelé Mocenigo par M. Ghivizzani, du nom de la f
s manuscrits et probablement écrites par Smunto ou par Annebiato, ses anciens possesseurs, dont les noms figurent en tête. M
tres sur 212, composé de 86 feuillets en papier chiffrés par une main ancienne , dont le cinquante-sixième et les deux derniers s
s, il y a lieu de passer en revue les imprimés. 1496. La plus ancienne édition des Favole di Esopo volgarizzate est cell
jouter au texte du manuscrit de la Laurentienne trois autres versions anciennes , en langage vulgaire, des fables ésopiques. Mais
le texte de 97 fables en prose italienne puisé dans divers manuscrits anciens , de la page 263 à la page 267 quelques additions
mme qui avec un zèle pieux les réforme, en les ramenant à leur figure ancienne . C’est ainsi que je reparais corrigé. — J’ai été
7. Après les deux éditions qui viennent d’être analysées, la plus ancienne est une édition de 1487 imprimée en caractères go
rivée de Walther porte à la Bibliothèque nationale le nº 14961. Sur l’ ancien catalogue du fonds Saint-Victor auquel il a appar
xxvie des Fabulæ antiquæ de Nilant ; je ne connais pas de collection ancienne qui contienne les sujets de la deuxième et de la
Mentel ; il porte le nº 8471, qui a remplacé le nº 6609 beaucoup plus ancien , mais encore apparent. Il forme un petit volume i
on plus récente, qui va du nº 1 au nº 19, a-t-elle été substituée à l’ ancienne . Il avait été inscrit au catalogue imprimé des ma
 du Méril par une indication des Archives de la Société pour fonder l’ ancienne histoire de l’Allemagne 485, le manuscrit de la b
is, et il en a été fait deux traductions, dont l’une même en est plus ancienne , et par suite plus voisine de l’époque où l’ouvra
élevé que celui du manuscrit précédent, ce dernier étant un peu plus ancien , j’ai trouvé naturel de l’examiner le premier. Le
t elle ne s’est révélée à moi que par trois manuscrits beaucoup moins anciens qui ne l’ont pas conservée dans toute sa pureté.
gardé dans toute sa pureté une œuvre de trois cents ans au moins plus ancienne . Parmi eux, cependant, il en est un qui, à tort o
’abord, quoique du même siècle, le manuscrit 901 m’a paru un peu plus ancien . Ensuite, quoique ne comprenant que cinquante fab
u texte primitif du Romulus de Vienne conservé dans un manuscrit plus ancien que la collection du manuscrit 901 a été emprunté
ssu, non du manuscrit de Vienne 303, mais d’un texte plus pur et plus ancien . Il est très vraisemblable qu’il en est de même d
de Vienne 303, il est probable que, puisées dans des manuscrits plus anciens et sans doute plus purs, elles sont les vraies et
re remarquer qu’il est en harmonie avec cette solution. Dans les plus anciens manuscrits du Romulus ordinaire, la fable du Rena
découvrir deux, qui avaient sur celui de Leyde l’avantage d’être plus anciens et plus complets, de sorte que dans la publicatio
d’où Nilant a tiré son Romulus, n’était qu’un second exemplaire moins ancien des Fabulæ antiquæ, et, ce qui est peu flatteur p
uscrit 18270 de la Bibliothèque nationale étant à la fois un peu plus ancien et aussi complet que le plus ancien et le plus co
onale étant à la fois un peu plus ancien et aussi complet que le plus ancien et le plus complet des deux autres, c’est celui d
résulte de cette mention inscrite sur le premier feuillet ajouté aux anciens  : « A la Bibliothèque de l’église de Paris. » Cet
et, comme les manuscrits dans lesquels on lit Henris sont tout aussi anciens et ne doivent pas inspirer moins de confiance que
uscrits no 1830, fonds de l’abbaye Saint-Germain ; nos 7615 et 79892, ancien fonds ; M. no 17, M. no 18, E. no 6, N. no 2, fon
blement augmenté, d’autre part légèrement amoindri, d’un Romulus plus ancien , sur lequel le roi anglo-normand avait fait sa tr
exceptionnellement 24 vers. Les 13 derniers sont d’une écriture moins ancienne que le reste. Ils occupent la moitié de la premiè
ur deux colonnes est du xiiie  siècle. Il se compose de 250 feuillets anciens , auxquels le relieur a ajouté quatre feuillets no
le relieur a ajouté quatre feuillets nouveaux, en parchemin comme les anciens , savoir : deux au commencement et deux à la fin.
u de M. de Roquefort, forme un volume in-4º, composé de 145 feuillets anciens en parchemin, que le relieur a fait précéder de d
rogation ainsi figuré : 5. Je ne l’ai pas vu en d’autres textes aussi anciens . Voyez fo 56 ro. Le copiste suit le dialecte du n
oici la traduction de la seconde : « Selon toute probabilité, la plus ancienne partie de ce volume a été écrite à l’abbaye de Re
ges divers. Il forme un fort volume in-fol., composé de 385 feuillets anciens en papier, eux-mêmes précédés de 2 feuillets cont
lyser le manuscrit 347 B ; mais, comme le manuscrit 347 C est le plus ancien , c’est lui que j’examinerai le premier. 1º Manu
e, si cette traduction n’avait pas déjà été faite sur un Romulus plus ancien , et qu’il a dû emprunter ses fables à ce Romulus
non seulement n’est pas issu du Romulus Roberti, mais encore est plus ancien que lui. Ce qui, au premier abord doit ou peut po
Roberti est postérieur à son co-dérivé, dans lequel les appellations anciennes ont au contraire été maintenues543. § 2. — Man
i par lequel je commence mon analyse, d’abord parce que c’est le plus ancien , ensuite parce que la collection du Dérivé comple
in sur lequel se trouvent le prologue et la première fable, est moins ancien que les autres. Il a été substitué au premier feu
er feuillet primitif, qui sans doute avait été détruit. Quoique moins ancienne que celle qu’elle a remplacée, l’écriture du prem
Viggerts dans la Deuxième Série des éléments pour la connaissance des anciens écrits et de l’ancienne langue allemande (Magdebo
me Série des éléments pour la connaissance des anciens écrits et de l’ ancienne langue allemande (Magdebourg, 1836) et qui a été
du Romulus de Marie. Cette seconde version, probablement un peu moins ancienne que la précédente, se trouve dans un manuscrit de
ue née de la prose du Romulus de Nilant. Il en existe une autre moins ancienne que j’ai déjà publiée et dont j’avais cru à tort
Romulus ordinaire, il a fait en même temps quelques emprunts au poète ancien . Quant à moi, je ne partage pas ce sentiment. San
is Dominici Sangiacomo. Præsidum veniâ. In-8º. 25. Fables de Phèdre anciennes et nouvelles, éditées d’après les manuscrits et a
sur mes malheurs que j’en fis quelques-unes. 30. Fables de Phèdre anciennes et nouvelles, éditées d’après les manuscrits et a
et mourut le 20 mars 1818. Il a publié plusieurs éditions d’ouvrages anciens et modernes, et notamment, en 1807, une édition d
oyez Dissertation sur les quatre manuscrits de Phèdre par J.-F. Adry, ancien bibliothécaire de l’Oratoire, dans le Magasin enc
Phèdre. Paris, 1813, in-8º. (Voyez page 295.) 174. Fables de Phèdre anciennes et nouvelles, accompagnées d’une traduction litté
près Angelo Maï par Orelli à Zurich en 1832.) 204. L’édition la plus ancienne ou tout au moins la première des éditions connues
Voyez Disput. I, p. xiv et xv. 228. Manuel de Littérature classique ancienne ,… traduit de l’allemand de M. Eschenburg, avec de
. Köln, 1865, Heberle, in-8º. 280. Biographie universelle (Michaud) ancienne et moderne. Tome I. Paris, chez Mme C. Desplaces,
16 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « A MONSIEUR. MONSIEUR. DE SAINCT SYMON, premier Gentil-homme de la Chambre. du Roy, et son premier Escuyer. »
le service qu’ils en tiroient ; mais comme dit un des plus sages des anciens , pour voir reluire en elles quelque image des fac
17 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE VII. Du Loup, et de la Gruë. »
ns offices, que de la parenté, et une infinité d’autres de l’histoire ancienne et de la moderne, qui non seulement ont sçeu peu
18 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — FABLE I. Le Meusnier, son Fils, et l’Asne. » p. 721
ntion des Arts estant un droit d’aînesse,
 Nous devons l’Apologue à l’ ancienne Grece.
 Mais ce champ ne se peut tellement moisso
19 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXIV. De l’Homme, et d’une Idole. »
en l’esprit une opinion que j’ay presque tous-jours euë touchant les Anciens  ; à sçavoir, que les plus sages d’entr’eux n’ont
20 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XC. De deux Chiens. »
gression de la Loy, qui les rendoit sujets au supplice. Or comme en l’ ancienne decision des inimitiez, on ne faisoit point de du
21 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XVI. Du Lion, et du Rat. »
il arriva que le malheureux Androde fût recogneu, et reconduit à son ancien Maistre, qui apres plusieurs inhumanitez exercées
22 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXI. Du Dieu Mercure, et d’un Charpentier. »
pentier, pour le recouvrement de sa coignée, et à quelle occasion les Anciens tenoient ce Dieu pour tutelaire des Artisants. Ma
23 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CVII. Du Taureau, et du Rat. »
en l’assistance des foibles. Aussi fust-ce pour cela qu’au temps des anciens Roys de France, et de la grand’ Bretagne, les Ord
24 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCVII. Du Tygre, et du Renard. »
ne espece d’oppression trop inégale. Tel fût encore Eumenés parmy les Anciens , et tel a esté naguere dans les troubles d’Allema
25 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIX. De la femelle du Singe, et de ses deux Enfants. »
eux, que ceux qui ont fuy les delicatesses, comme souloient faire les anciens Romains ? ny des nations plus débauchées, que cel
26 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « A MONSEIGNEUR. MOROSINI, AMBASSADEUR. ORDINAIRE DE LA. SERENISSIME REPUBLIQVE. DE VENISE, PRES DE SA MAJESTÉ. TRES-CHRESTIENNE. »
 ; par le moyen de laquelle il y a long-temps qu’il a fait perdre à l’ ancienne Rome , le nom d’Eternelle, pour le perpetuer à Ve
27 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCIX. Du Sapin, et du Buisson. »
attrapé la mine avant que l’espuiser. Car comme dit fort à propos un ancien Poëte, En ce malheureux siecle on ne donne qu’au
28 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
st une des plus foibles marques de nostre esprit, témoing ce dire des Anciens , On adjouste aisément aux choses inventées. Tou
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