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1 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 64 » p. 38
bord à lécher les côtés intérieurs du joug, puis peu à peu, sans s’en apercevoir , il descendit son cou dedans, et, ne pouvant l’en
dégager, il traîna la charrue dans le sillon. Le laboureur revenant l’ aperçut et dit : « Ah ! tête scélérate ! si seulement tu
2 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 138 » pp. 115-115
renant avec lui de la glu et ses gluaux, partit pour la chasse. Ayant aperçu une grive sur un arbre élevé, il se mit en tête d
te son attention. Tandis qu’il levait ainsi la tête en l’air, il ne s’ aperçut pas qu’il mettait le pied sur un aspic endormi, q
eux que je suis ! je voulais attraper une proie, et je ne me suis pas aperçu que je devenais moi-même la proie de la mort. » C
3 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 33 » p. 268
Pc 115. [Il y avait un figuier près d’une route.] Un renard, ayant aperçu un dragon endormi, envia sa longueur, et, voulant
4 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 194 » p. 139
r éclata et elle resta étendue morte sur le rivage. Un milan, l’ayant aperçue , dit : « Tu n’as que ce que tu mérites, puisque,
5 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 168 » p. 128
71 Lf 104 Me 88 Mf 74 Mg 95 Ml 84. Un corbeau à court de nourriture aperçut un serpent qui dormait au soleil ; il fondit sur
6 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 281 » pp. 360-360
Un âne broutait la chevelure piquante d’un paliure. Un renard l’ayant aperçu lui adressa ces railleuses paroles : « Comment av
7 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 268 » p. 188
une peau de lion, faisait le tour du pays, effrayant les animaux. Il aperçut un renard et voulut l’effrayer aussi. Mais le ren
8 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 318 » pp. 365-365
table, allait enfermer avec eux un loup, si son chien, qui s’en était aperçu , ne lui eût dit : « Comment toi, qui tiens à la v
9 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 244 » pp. 235-235
par le courant, elle était en train de se noyer. Une colombe, l’ayant aperçue , détacha un rameau d’un arbre et le jeta dans la
avec ses gluaux ajustés pour prendre la colombe. La fourmi s’en étant aperçue , mordit le pied de l’oiseleur, qui, sous le coup
10 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 275 » p. 190
dit à lui-même : « Malheureux que nous sommes ! il suffit qu’on nous aperçoive , pour qu’on nous donne la chasse ; mais que ceux-
11 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 258 » p. 175
heure de midi, deux voyageurs, fatigués par l’ardeur du soleil, ayant aperçu un platane, se réfugièrent sous ses branches et,
12 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 304 » pp. 266-266
t résulté que les hommes voient d’emblée les défauts d’autrui, mais n’ aperçoivent pas les leurs. On peut appliquer cette fable au b
13 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 188 » pp. 132-132
d 67 Me 94 Mf 79 Mh 63 Mj 87 Mm 81 Ch 70. Un chien de chasse, ayant aperçu un lion, s’était mis à sa poursuite. Mais le lion
14 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 302 » pp. 201-201
Mb 179 Me 146 Mf 121 Ca 160. Une colombe pressée par la soif, ayant aperçu un cratère d’eau peint sur un tableau, crut qu’il
15 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 151 » pp. 116-116
mer sur le rivage, cherchait sa vie solitairement. Un renard affamé l’ aperçut  ; comme il n’avait rien à se mettre sous la dent,
16 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 232 » pp. 160-160
tu sur le sol. Comme il était hors d’état de se procurer à manger, il aperçut une brebis et la pria de lui apporter à boire de
17 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 314 » pp. 209-209
rien à craindre et commencèrent par ravager son troupeau. Quand il s’ aperçut du désastre, il gémit et dit : « Je l’ai bien mér
18 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 147 » pp. 117-117
coup de gens qui, par cupidité, regardent les autres avec envie, ne s’ aperçoivent pas qu’ils perdent leurs propres avantages. C
19 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 298 » pp. 211-211
qui se baignait dans une rivière se vit en danger d’être noyé. Ayant aperçu un voyageur, il l’appela à son secours. Le voyage
20 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 45 » pp. 32-32
eut peur et monta sur un arbre de la rive, ou il se cacha. Mais là il aperçut un dragon qui montait vers lui ; alors il se lais
21 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 130 » pp. 316-316
odd. Ba 26 Mg 50. Le long d’une route étroite Hercule cheminait. Il aperçut à terre un objet qui ressemblait à une pomme, et
22 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 299 » p. 239
iétude, il partit pour la campagne. Arrivé aux portes de la ville, il aperçut un boiteux qui sortait et lui demanda qui il étai
23 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 106 » pp. 75-75
ger. Mais voilà que des gens qui naviguaient le long de cet endroit l’ aperçurent , l’ajustèrent et l’abattirent. Tout en rendant l’
24 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 164 » pp. 129-129
ὰ προσόντα ἀφαιρεῖται. Codd. Pa 121 Pb 128 Ph 69. Un choucas, ayant aperçu dans un pigeonnier des pigeons bien nourris, blan
25 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 249 » pp. 169-169
igue, ayant mangé son patrimoine, ne possédait plus qu’un manteau. Il aperçut une hirondelle qui avait devancé la saison. Croya
26 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 186 » pp. 133-133
Un chien tenant un morceau de viande traversait une rivière. Ayant aperçu son ombre dans l’eau, il crut que c’était un autr
27 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 6 » pp. 275-275
vre dans ses serres et le lui rapporta en présent. Un renard, l’ayant aperçu , lui dit : « Ce n’est pas à celui-ci qu’il faut l
28 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 30 » pp. 24-24
ιαλύει. Codd. Pa 27 Pb 24 Pc 8 Pd 19 Ma 21. Un renard affamé, ayant aperçu dans le creux d’un chêne des morceaux de pain et
29 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 243 » pp. 112-112
, et les mettait en réserve pour s’en nourrir en hiver. Un escarbot l’ aperçut et s’étonna de la voir si laborieuse, elle qui tr
30 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 317 » pp. 208-208
a 165. Un berger, ayant conduit ses moutons dans un bois de chênes, aperçut un gros chêne chargé de glands ; il étendit son m
31 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 8 » pp. 4-4
nol perché sur un chêne élevé chantait à son ordinaire. Un épervier l’ aperçut , et, comme il manquait de nourriture, il fondit s
32 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 111 » pp. 89-89
augure au sujet du vol, et il pria Hermès de lui dire l’oiseau qu’il apercevrait . Hermès vit d’abord un aigle qui passait en volan
33 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 306 » pp. 73-73
le monde se sauva à la nage, le singe comme les autres. Un dauphin l’ aperçut , et, le prenant pour un homme, il se glissa sous
34 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 246 » pp. 384-384
il surnageait, attaché à la patte de la grenouille. Un milan, l’ayant aperçu , l’enleva dans ses serres, et la grenouille encha
35 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 284 » pp. 193-193
iseleur dressait des pièges aux oiseaux. Une alouette huppée, l’ayant aperçu de loin, lui demanda ce qu’il faisait. Il répondi
36 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 13 » pp. 79-79
contrefit le mort. Mais un des rats sortant la tête pour regarder, l’ aperçut et dit : « Hé ! l’ami, quand tu serais sac, je ne
37 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 166 » pp. 124-124
t volé un morceau de viande, s’était perché sur un arbre. Un renard l’ aperçut , et, voulant se rendre maître de la viande, se po
38 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 17 » pp. 6-6
ltera pars Pg 4. Un chevrier, ayant mené ses chèvres au pâturage, s’ aperçut qu’elles étaient mêlées à des chèvres sauvages, e
39 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 103 » pp. 74-74
cerf pressé par la soif arriva près d’une source. Après avoir bu, il aperçut son ombre dans l’eau. Il se sentit fier de ses co
40 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 34 » pp. 22-22
2 Pc 7 Pd 18 Pg 16 Ma 19. Un renard qui fuyait devant des chasseurs aperçut un bûcheron, et le supplia de lui trouver une cac
41 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 40 » pp. 9-9
é d’y rester. Or un bouc pressé par la soif étant venu au même puits, aperçut le renard et lui demanda si l’eau était bonne. Le
42 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
é le texte, et, quand je l’ai eu sous les yeux, je n’ai pas tardé à m’ apercevoir qu’aucun d’eux ne nous avait conservé dans son in
deux raisons m’ont empêché d’y recourir. D’abord je me suis bien vite aperçu qu’il était impraticable ; en effet, il ne faut p
à ce que j’avais déjà publié, et ce regard en arrière me fit bientôt apercevoir , dans mes deux premiers volumes, des erreurs qui,
era, je l’espère, que ce n’est pas à un pareil âge qu’un homme peut s’ apercevoir pour la première fois de son génie poétique. Dans
s. Mais il est vraisemblable que la note de Pierre Burmann ne fut pas aperçue des traducteurs postérieurs, qui tour à tour fire
préhensible qu’en somme, si l’on recherche sur quoi il le fonde, on s’ aperçoit que la seule qualité qu’il s’attribue, c’est la b
é. D’abord, sur le frontispice, au-dessus de la vignette centrale, on aperçoit la signature de Grosley, puis à droite apparaît c
e des manuscrits ; mais, en reconnaissant leur erreur, il n’avait pas aperçu la véritable division, qui pourtant était facilem
it qu’à partir de la cinquième les variantes du manuscrit ; sans s’en apercevoir , il avait omis toutes celles qui s’appliquaient a
’œil sur l’imprimé qui portait les variantes écrites de sa main, il s’ aperçut de son omission, et au bas de la page 3, sur laqu
s signalées par Dom Vincent. On ne tarde pas, en procédant ainsi, à s’ apercevoir que ces variantes se réduisent à peu de chose. En
ante forte et dans la fable xi la variante ut ipse, Dom Vincent a cru apercevoir forti et ipse ut. Quand on est obligé d’opter ent
fable à une autre sans indiquer la transition et probablement sans l’ apercevoir  ; c’est ainsi qu’à la suite des premiers vers de
ciel ne saurait laisser le moindre doute. Au premier abord, lorsqu’on aperçoit le nombre considérable des variantes relevées par
le. Le copiste, à qui est dû le manuscrit de Reims, n’a pas davantage aperçu ces lacunes, et, comme l’autre, il a ajouté, sans
re la ligne, et le second, s’étant servi de cette copie, ne s’est pas aperçu qu’il copiait des ïambes et les a écrits comme de
ment opter pour l’hypothèse qui me semble la plus probable, il laisse apercevoir qu’il penche vers elle. Ainsi il fait observer qu
que la reine de Suède le communiqua à Gérard-Jean Vossius117. Il ne s’ aperçoit pas qu’il confond ainsi le père avec le fils. En
nel dont je parlerai tout à l’heure, on conçoit qu’ils ne l’aient pas aperçue . Au moins auraient-ils dû lire exactement les tit
t l’erreur inverse, et, n’y jetant qu’un coup d’œil superficiel, il n’ aperçut que sept fables. En 1830, le consciencieux éditeu
el des mots qu’il avait dû tirer d’une autre source142. Puis, s’étant aperçu de son erreur, il avait, dans ses deux dernières
copie. Mais, si l’on en croit Cassitto, ni l’un ni l’autre n’avaient aperçu qu’il contenait de nouvelles fables de Phèdre, et
temps n’avait pas calmé son dépit, et, pour avoir attendu, Cassitto s’ aperçut qu’il n’avait rien perdu. Les trois dissertations
ent comme fort opportune, mais même comme absolument nécessaire. Je m’ aperçus que les fables publiées par Cassitto s’écartaient
pourrais donner l’analyse de chacune de ces conversations ; mais je m’ aperçois que je me suis déjà trop occupé de la querelle de
sujets. Quand on cherche à mettre un peu d’ordre dans ce chaos, on s’ aperçoit qu’il y a : 1º Trente-deux fables anciennes, ci
En effet, si l’on a oublié une première composition et que, sans s’en apercevoir , on la recommence, il est impossible que la secon
ependant il avait pris la peine de réfléchir, il aurait tout de suite aperçu que l’archevêque de Siponte se trompait. Comment
t éclairé la question, il était facile, avec un peu d’attention, de s’ apercevoir que l’affirmation de Perotti ne pouvait pas être
e la dédicace de Perotti les trois citations qui précèdent, et l’on s’ apercevra que l’archevêque de Siponte ne s’est donné que la
e probablement, s’il avait pu publier lui-même son ouvrage, il aurait aperçue et rectifiée. Malheureusement son commentaire sur
En effet, lorsque Martial parle des jeux de Phèdre, qui est-ce qui n’ aperçoit pas clairement qu’il fait allusion à ce vers : F
avaient été successivement invoqués par les précédents critiques, cet aperçu aura l’avantage de les faire connaître en quelque
latin ; ces nombreuses inégalités de style que Pithou lui-même avait aperçues et corrigées, tout en un mot démontre que les fab
ées en prose. L’ensemble en était grossier ; mais dans les détails on apercevait des lambeaux de vers, disjecti membra poetæ. Deux
Et quod prudenti vitam consilio monet. Je ne sais pas où le critique aperçoit cette contradiction. Le fabuliste donne son opini
e renferme « qu’un trait d’histoire naturelle » sans intérêt. Il ne s’ aperçoit pas qu’elle se termine par cette conclusion moral
, 51, 52, 53, 56, 58, 59, 60, 61, 65 et 67. Je termine ici ce premier aperçu des Fabulæ antiquæ. Pour mieux en faire apprécier
, le savant Jacob Gronovius, au commencement du siècle dernier, avait aperçu le manuscrit Vossianus Latinus, in-8º, 15, et l’a
sur Phèdre ce qu’il avait dû en dire, et bientôt il me fut possible d’ apercevoir que la collection du manuscrit de Wissembourg dif
Phèdre. La voici d’abord avec ses leçons primitives telles qu’on les aperçoit sous les corrections de la seconde main : Ne qu
it. Mais en même temps, dès qu’on entre un peu dans les détails, on s’ aperçoit que malheureusement cette valeur réelle est amoin
’aurais pu faire que de vaines recherches. Je m’en suis tout de suite aperçu et je ne les ai pas tentées. Lorsqu’on examine qu
ait pas dû le lire ; car il n’aurait pu en prendre connaissance, sans apercevoir la diversité d’origine. Cela m’autorise à ajouter
es hommes vraiment savants, j’ai le devoir d’en présenter au moins un aperçu rapide. Le nom de Romulus rappelle involontaireme
transtuli de græco sermone in latinum. » Mais M. du Méril aurait pu s’ apercevoir qu’elle était aussi fantaisiste que le reste de l
tence à ces versions corrigées et conservées par les professeurs. On aperçoit dans cet Æsopus, lorsqu’à laide du Romulus ordina
nions qui ont été exprimées sur l’origine des trois collections, d’en apercevoir la fausseté et de découvrir la vraie solution. É
tif, au moins du Romulus ordinaire qui s’en éloigne peu, il n’ait pas aperçu les différences profondes qui devaient empêcher d
t par son ancienneté être placé qu’au second rang. Je me suis d’abord aperçu qu’il lui manquait deux fables heureusement conse
Voilà ce que tout de suite un premier examen superficiel m’a permis d’ apercevoir . Dans un second voyage, j’ai, par l’entremise obl
é que la copie. En effet, lorsqu’on jette les yeux sur les autres, on aperçoit que la faute d’impression non seulement a été rep
. Quoique les exemplaires de cette édition soient fort rares, j’en ai aperçu plusieurs dans les grandes bibliothèques de l’All
. ii b). — Commencement des Fabulæ collectæ. Ici encore des erreurs s’ aperçoivent dans les titres courants. Les fol. 100 b et 101 a
tait aucune cote. Enfin à la bibliothèque royale de Bruxelles j’en ai aperçu un dernier portant le nº 2486. 5º Édition de S
1501. Toutes les éditions du xve  siècle sont, ainsi qu’on a pu l’ apercevoir , des copies tantôt directes, tantôt indirectes, m
ils n’ont jamais existé ; ce qui me le fait croire, c’est que je n’ai aperçu aucune lacune dans les signatures. Les feuillets 
dernière édition allemande qui me reste à signaler est celle que j’ai aperçue dans la Bibliothèque publique de Grætz. Elle a ét
um transtulit. » Il est impossible de lire de pareils contes sans en apercevoir l’insanité. Il est probable que, quoique contempo
prétendait avoir trouvé le nom de Galfred. Mais je n’ai pas tardé à m’ apercevoir que le nom de Gauffredus ne figurait dans aucun d
demande le manuscrit latin 303, et, quand il est dans mes mains, je m’ aperçois que le nom d’Hildebert n’y figure pas. En revanch
d on l’examine et quand on le compare à celui des autres fables, on y aperçoit le même style et la même versification, le même e
ue, la déduction fort irréfléchie que j’ai rappelée. Mais, s’il avait aperçu cette phrase qu’il eût pour lui mieux valu ne pas
ésignation que Haenel a aveuglément reproduite. Peut-être en avait-il aperçu l’inexactitude, et n’avait-il, dans sa publicatio
Deo gracias. Amen. Le texte manque de pureté et les fautes qu’on y aperçoit démontrent que le copiste ne devait avoir aucune
s avoir fait connaître l’auteur, je dois, en quelques mots, donner un aperçu de ses fables. On ne peut, quand on les compare à
nt dans la collection de Neckam la fable du Loup et de l’Agneau, je m’ apercevais que, si l’on retranchait les deux distiques de Wa
peut-être encore aujourd’hui, si M. E. du Méril ne l’avait pas enfin aperçue . Les fables occupent les quinze premiers feuillet
antit davantage sur les documents que le moyen âge nous a laissés, on aperçoit mieux les lacunes résultant de l’absence de ceux
plusieurs des collections du moyen âge qui nous sont parvenues. On y aperçoit successivement les fables élégiaques de l’anonyme
rapprochant par le mot quærit des leçons du Romulus primitif, laisse apercevoir nettement que c’est du vrai texte du Romulus de V
tions d’un texte comme constitutives d’une œuvre distincte, j’ai dû y apercevoir l’intention clairement manifestée par leur auteur
u flatteur pour le savant critique, il ajoute que Nilant ne s’est pas aperçu qu’il publiait deux fois la même œuvre. J’avoue l
e paraphrase du Romulus ordinaire. Comme Lessing, Schwabe n’avait pas aperçu le véritable intérêt qu’offrait le Romulus de Ley
n de savoir si le Romulus anglo-latin existait encore, j’avais cru en apercevoir un fragment dans cette collection de vingt-deux f
m’ont spontanément éclairé, j’aurais été tout naturellement conduit à apercevoir le lien intime qui existait entre le Romulus de N
ue du Dérivé de cent trente-six fables et de l’épilogue de Marie sans apercevoir que le Romulus de Nilant, s’il ne doit pas être c
asse, comprend un prologue et 136 fables. En lisant le prologue, on s’ aperçoit qu’il est absolument conforme à la partie prélimi
e du dérivé que M. Oesterley avait sous les yeux, aurait dû lui faire apercevoir la fausseté de la première de ces deux hypothèses
niel, et, s’il en avait pris connaissance, il n’avait pas pu ne pas s’ apercevoir que les fables de Phèdre étaient écrites en vers
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