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1 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXVI. De deux Hommes, et d’un Asne. »
Compagnons, qui se debattent imprudemment pour une chose qui ne leur appartient pas, ils me remettent en memoire une infinité d’h
2 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXV. Du Pescheur. »
inquiesme Fable, que pour la matiere de celle-cy, qui semble plustost appartenir à la bien-seance exterieure, qu’à la solide scien
3 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — VI. Le Renard, le Singe, et les Animaux. » p. 81
s pas qu’autre que moy la sçache. Or tout tresor par droit de Royauté Appartient , Sire, à vôtre Majesté. Le nouveau Roy baaille ap
4 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE VI. Du Lion, et de quelques autres Bestes. »
advantages que ma force me donne par dessus vous ; et la troisiesme m’ appartient encore, pour avoir plus travaillé que tous à pren
5 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XII. Tribut envoyé par les Animaux à Alexandre. » p. 339
; La plûspart sont déja Aussi grandes que leurs meres. Le croist m’en appartient . Il prit tout là-dessus ; Ou bien s’il ne prit to
6 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LIII. Du Cerf, et du Cheval. »
a bride de la chicheté, interdit de la possession d’une chose qui luy appartient , et reduit enfin au mesme destin de ce Cheval, qu
7 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE IV. Du Cerf, et de la Brebis. »
é divine, non plus que les hommes, qui n’ont nulle part à ce qui nous appartient  ; et pour ceste raison ne se peuvent plaindre, de
8 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXX. Du Loup, et de la Teste peinte. »
ement bonnes. Cognoistre plus au vray les choses, est un avantage qui appartient aux personnes doüées d’un esprit vif, et subtil.
9 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXVII. Du Laboureur, et de la Cigongne. »
s aussi avec eux ». Discours sur la septante-septiesme Fable. Il appartient plustost aux Jurisconsultes, qu’aux Philosophes m
10 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIV. Du Singe, et du Renard. »
e vid tout auprés ; « tu sçais bien », luy dit-il, « que les thresors appartiennent aux Roys. Puis donc que tu és nostre Roy, prens t
11 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope ameine à son Maistre un homme niais, et sans soucy. Chapitre XVI. »
 : Luy cependant se mit à raisonner de cette sorte. « Certes, il leur appartient bien d’étre servis les premiers, mais puis qu’ils
12 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XVI. Du Lion, et du Rat. »
les, tant pource qu’elle est meslée de Generosité, qu’à cause qu’elle appartient à la Justice. Ainsi, quand mesme elle ne seroit s
13 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — La mort d’Esope. Chapitre XXX. »
qui je me suis refugié, quoy que son Temple soit moindre qu’il ne luy appartient . Car asseurez-vous qu’il ne laissera jamais impun
14 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « AU LECTEUR. Sur le sujet des Fables. »
ement le culte de leur Createur. Quant à l’invention des fables, elle appartient plutost aux Poëtes qu’aux Philosophes, qui ne s’a
15 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE C. Du Pescheur, et d’un petit Poisson. »
de charmes pour la preferer au Ciel ? Aymez-vous la Vengeance ? Elle appartient à Dieu. Vous sçavez qu’il se l’est reservée ; En
16 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
dans leurs imitations des mots et même des lambeaux de vers, qui lui appartiennent et qui, lorsqu’on veut l’étudier sérieusement, ne
Pimpla, le Libethrus sont autant de lieux ou de monts, qui autrefois appartenaient à la Thrace, mais qui aujourd’hui sont annexés à
intitulé Phædrus et dans lequel il avoue que la pensée de ses œuvres appartient à Ésope : Sive hoc ineptum, sive laudandum est o
esquisse. La seconde moitié du xvie  siècle, à laquelle Pierre Pithou appartient , offre à l’historien qui l’observe un singulier c
thèque de Pierre Pithou lui-même. Quant à l’exemplaire de Berne, il a appartenu à Jacques Bongars, savant bibliophile, qui, penda
nalement. Deux de ces exemplaires se trouvent au British Museum. L’un appartient au département des imprimés et figure au Catalogu
ue entières et la reliure en maroquin rouge en est splendide. L’autre appartient à un fonds spécial qu’on appelle la Grenville Lib
erleges. Suivant lui, ce vers s’explique, si les fables qui suivent appartiennent au livre IV. La fable Poeta ad Particulonem devie
fort juste ; mais en faut-il conclure que tout le reste du manuscrit appartienne au quatrième livre ? Ici, malgré ma déférence pou
e le mettre en tête du livre V, il le laisse dans le livre, auquel il appartient . Puis il fait commencer le cinquième livre par la
me partie, attribuer au cinquième livre des fables et un épilogue qui appartenaient à la deuxième partie du quatrième. Quoi qu’il en
des mains de M. de Foncemagne dans celles de M. Dacier. Il a ensuite appartenu à lord Stuart de Rothesay, et, à la vente des liv
rits sont tellement semblables que rarement une leçon tirée de l’un n’ appartient pas à l’autre. Au surplus, ce qui est prudent, c’
part qu’Adry assigne à ses pérégrinations. Le manuscrit avait ensuite appartenu à Pierre Daniel, avocat d’Orléans, et comme Pierr
ema sit. » Ce qui, d’après M. Gaston Paris115, veut dire : « Ce livre appartient à Saint-Benoît-Fleury ; si quelqu’un le dérobe, o
ns la ville et dans le temps où le manuscrit qui devait plus tard lui appartenir était soustrait au pillage. Il s’était livré cons
3. Ce feuillet et les suivants, jusques et y compris le feuillet 108, appartiennent au roman de Fier-à-bras et ont été reliés par err
vre, et les huit fables dont il se compose, sont celles du milieu, et appartiennent les unes à la première moitié, les autres à la se
it, au lieu des mots homines cum avocat , qui, dans celui de Pithou, appartiennent au premier vers de la fable xvi. Or cette fable n
pour un autre. En effet, la leçon attribuée au manuscrit de Daniel n’ appartient pas davantage à celui de Reims. Elle est sortie d
lui, contemporain de Pétrone, et, comme il a démontré que ce dernier appartenait à l’époque de Claude et de Néron, il en conclut q
t ce qui est de Cassitto est indiqué comme étant de Phèdre, et ce qui appartient à Phèdre est départi à Cassitto. « De tout cela i
nte-six fables d’Avianus, ci 36 Soit un total de 100 fables qui n’ appartiennent pas à Perotti, sur les 157 poésies dont son manus
s personne, après la lecture complète du livre, ne douta plus qu’il n’ appartînt à l’époque d’Auguste. » Il y avait vingt-quatre
ue l’une des fables anciennes n’est pas son œuvre, aucune ne doit lui appartenir . Eh bien, dans le manuscrit de Naples, sous le nº
is encore pourvu d’aucune dignité, a échappé à ma jeunesse, de ce qui appartient à mon âge actuel203. » C’est donc, suivant sa pro
dant le dessein et l’exécution, dans ces nouvelles fables, ne peuvent appartenir qu’à Phèdre268. » On voit combien la conviction
tirer aucun argument contre leur authenticité ; car elles pourraient appartenir à celles que le compilateur a négligées ; si au c
ro verbatim desumptæ. Il paraît que le manuscrit avait primitivement appartenu à l’abbaye de Saint-Martial de Limoges ; mais j’i
léments dont il se compose. J’ai dit plus haut que le manuscrit avait appartenu à l’abbaye de Saint-Martial. J’ajoute qu’il y ava
ce par un feuillet qui ne dépend pas des autres, et qui devait plutôt appartenir à la couverture. L’écriture plus récente est du x
suite le calendrier ne peut donner que l’âge des éléments auxquels il appartient , c’est-à-dire des cinq avant-derniers quaternes.
quæ a été faite, le vieux manuscrit d’où elle a été tirée devait déjà appartenir à Vossius, et cependant elle ne m’a pas paru être
permet pas de la lui attribuer. Elle est également trop récente pour appartenir à Paul Petau dont l’écriture, d’ailleurs encore p
 ; mais je dus leur donner une autre direction. Le manuscrit avait-il appartenu à Gude, et était-il entré avec les autres manuscr
ue si celles des fables connues de l’auteur ancien qui s’y retrouvent appartenaient aux mêmes livres ; et l’on verra plus loin qu’il
pt classes, basées sur leur origine. Suivant la classe à laquelle ils appartiennent , on les appelle Gudiani, Augustei, Helmstadienses
que les moines de l’abbaye des saints Pierre et Paul, à qui il avait appartenu , aient consenti à le lui donner ni même à le lui
de former avec d’autres cahiers le manuscrit auquel aujourd’hui elle appartient , les deux ou les quatre premiers feuillets, qui c
s n’a pas été une œuvre originale et qu’il existait, au siècle auquel appartiennent le manuscrit de Wissembourg et le manuscrit Burné
ujets de fables dont quarante-sept, c’est-à-dire presque la moitié, n’ appartiennent pas à la fois à l’une et à l’autre. C’est ce qui
uta à l’auteur anonyme une certaine parure de langage, je crois qu’il appartient à l’époque carlovingienne. L’âge de l’anonyme de
Avant d’entrer dans le Musée Britannique, le manuscrit Burnéien avait appartenu à un savant qui avait su se constituer une des pl
 Copie manuscrite du manuscrit de Dijon.     Le manuscrit de Dijon appartenait au couvent bénédictin de Saint-Bénigne. C’est là
de Romulus, et j’ai de graves raisons de croire qu’il ne lui a jamais appartenu . « Ce manuscrit du xiie  siècle, de grand format,
 : ceux portant les nos 1, 2, 129, 130, 165 à 167, sont en papier, et appartiennent au xve  siècle ; les autres sont en vélin et appa
papier, et appartiennent au xve  siècle ; les autres sont en vélin et appartiennent au xiiie  siècle. L’écriture est à longues lignes
elatifs à ces matières, parvenus à sa connaissance. Les deux premiers appartiennent au collège du Corpus Christi d’Oxford ; Le troisi
nt dans le même ordre, si la fable du Renard et de l’Aigle, au lieu d’ appartenir au livre Ier, où elle est la treizième, était la
autres, qui vraisemblablement ne sont pas les seuls. Le premier, qui appartient à la bibliothèque royale de Munich, porte au cata
t se traduire ainsi : « Cet exemplaire (auquel manque un feuillet) a appartenu à Lord Spencer, qui l’a conservé jusqu’au jour où
naissent pas l’organisation de la grande bibliothèque Londonienne. Il appartient à un fonds spécial qu’on appelle Grenville librar
de ceux de la première est plus pure et plus nette. L’une et l’autre appartiennent au petit format in-folio ; mais la dimension de l
Ce manuscrit, dont l’écriture du xve  siècle est sur vélin et qui a appartenu à Bigot, n’est pas exclusivement consacré aux œuv
160 feuillets en vélin, dont le dernier ne porte aucune écriture. Il appartient au xiiie  siècle. Il renferme les fables du Miroi
nt. Le manuscrit, avant d’être fondu dans la classification actuelle, appartenait au Supplément latin, dans lequel il portait le nº
hiemsee (Bavière supérieure), dans laquelle il portait la cote 37, et appartient aujourd’hui à la bibliothèque royale de Munich. I
dit en passant, que Fabricius attribue à Geoffroi de Montmouth ce qui appartient à Geoffroi Arthur417. » J’ai désiré voir à la Bi
que de Wolfenbüttel, il n’en est pas moins vrai que ce manuscrit, qui appartient au xiiie  siècle, est trop ancien pour que son co
ment sortir d’embarras ? Au moyen âge le nom de Walther ou Gauthier a appartenu à de nombreux auteurs, et, à défaut de renseignem
n et l’Épervier, l’autre : le Berger et le Loup. Pour savoir si elles appartiennent à Walther, il faut se référer à leur texte. Quand
lus dérivées de Romulus, et cependant, personne ne le conteste, elles appartiennent bien à la même collection que les 58 premières. E
ance, la Bibliothèque nationale en possède treize. Les douze premiers appartiennent au fonds latin, dans lequel ils portent les nos 8
il ressort que l’écriture du manuscrit paraît être du xve  siècle. Il appartient au format in-4º et se compose de 234 feuillets en
Dans ma première édition j’ai exprimé l’idée que le manuscrit avait appartenu à Paul Petau. Nicolas Rigault avait pris chez lui
illet 16 vº, la signature Duca di Amerfe , qui montre à qui il avait appartenu avant d’entrer dans la Bibliothèque des rois des
ait autrefois dans le supplément du fonds latin sous la cote 1749. Il appartient au format in-4º et se compose de 177 feuillets en
mptum. Quel était cet ancien manuscrit, d’où provenait-il, et à qui appartenait -il ? Voilà ce que, selon son habitude, il n’a pas
e 122 feuillets en papier et dont l’écriture est du xve  siècle. Il a appartenu à l’abbaye de Saint-Germain des Prés, ainsi qu’il
Révolution dans le grand fonds de la rue de Richelieu. Auparavant il appartenait à cette fameuse abbaye de Saint-Victor, qui a dû
de pour n’être pas ici l’objet d’une courte notice. Cette abbaye, qui appartenait à l’ordre de Saint-Augustin, avait été fondée en
erit, anathema sit. Amen. Cette note établit bien que le manuscrit a appartenu à l’abbaye de Saint-Victor. Au bas du feuillet 17
. Le volume est un in-8º écourté. L’écriture est italienne et paraît appartenir aux xiiie et xive  siècles. Elle est très fine.
n. Il se compose de 115 feuillets numérotés, dont l’écriture gothique appartient au xive  siècle. Ces feuillets sont eux-mêmes pré
st un in-folio dont l’écriture sur parchemin est du xve  siècle. Il a appartenu au collège de Navarre, où il portait le nº 85 ; i
es 18 suivantes se rapportent à celles d’Avianus, et les 49 dernières appartiennent à Marie de France. Les 59 fables qui sont la trad
élée par un manuscrit de la Bibliothèque nationale. Ce manuscrit, qui appartient au fonds français, a reçu successivement les cote
ul, le manuscrit, avant d’entrer à la bibliothèque de Douai, avait dû appartenir à l’abbaye d’Anchin, située sur le territoire de
sous les cotes 461 et 462. A. Manuscrit 461. Le manuscrit 461 a appartenu à la bibliothèque du chapitre de l’église cathédr
n stolidus doctum debet adire iocis. 5º Enfin ces deux distiques qui appartiennent à la fable xii : In mensa tenui satis est inuisa
ie des sciences, lettres et arts, dans lequel il porte le nº 57. Il a appartenu à M. Adamoli, illustre bibliophile du xviiie  siè
 CLX, est un volume in-8º de grand format, dont l’écriture sur papier appartient au xve  siècle ; il n’a pas grande importance. Si
vers par le professeur Alexandre de la Ville-Dieu. Le manuscrit avait appartenu au pape Pie VI, et avait figuré après sa mort à l
, qu’il faut lire dans ces abréviations, indiquent que le manuscrit a appartenu à Jean Galéaz, duc de Milan, pour qui il avait ét
e ces cahiers dues à des mains diverses sont à longues lignes. Toutes appartiennent au xive  siècle. L’un des cahiers renferme, fort
haut du feuillet 137 a et finit au milieu du feuillet 141 b. Il a dû appartenir à un noble personnage ; car le bas de la page est
des fables de Walther ; encore deux seulement sont-ils complets. Ils appartiennent à la bibliothèque impériale de Vienne. A. Manus
78 feuillets en papier et forme un volume du grand format in-8º. Il a appartenu au couvent de Saint-Jacques de Liège. Sur le cata
bibliothèque dans laquelle se trouvait le manuscrit, et, quoiqu’elle appartînt non pas au gouvernement de l’électeur palatin, ma
ncienne cote N. CXVI qui est rappelée au Catalogue il ressort qu’il a appartenu à la Bibliothèque de Nani, et que c’est celui que
rit se trouve un double feuillet qui en est indépendant et qui, ayant appartenu à une ancienne couverture, lui a survécu. On y li
 A.Z. nº 434 que le Catalogue rappelle, il ressort que le manuscrit a appartenu à Apostolo Zeno. 8º Bibliothèque de l’Univers
rit il en a été ajouté, à la suite, deux de dimension moindre qui ont appartenu à un autre manuscrit de Walther. Le texte commenc
st un volume in-4º de petit format, dont l’écriture sur deux colonnes appartient au xiiie  siècle. Il renferme plusieurs ouvrages
de Bâle. A. Manuscrit A. N. II. 12. Le manuscrit A. N. II. 12 appartenait déjà à la bibliothèque à l’époque où Haenel publi
obiadis, Parabolarum Alani, Fabularum Esopi, Floreti. Ce frontispice appartient à un gros volume in-4 de grand format, signé de a
o par M. Ghivizzani, du nom de la famille patricienne à laquelle il a appartenu , et, selon lui, il mérite d’être examiné à cause
| nel Priv. stabilimento nationale || di G. Antonelli ed. Le volume appartient au format in-16. Il se compose de xv-199 pages ch
(précédemment C. FF. Tab. 169. N. 52). L’exemplaire de la Colombine a appartenu à Fernand Colomb qui, de sa propre main, a écrit,
le nº 14961. Sur l’ancien catalogue du fonds Saint-Victor auquel il a appartenu , il a la cote 704 et est intitulé : Sermones div
d’après Thomas James, prétend que dans un manuscrit qui de son temps appartenait au comte d’Arundel on pouvait lire l’indication s
lé : Laus sapientiae divinae. Il se trouve dans un manuscrit, qui a appartenu à l’abbaye de Saint-Germain des Prés, et qui est
s sous une autre forme, à la perte des groupes auxquels elles avaient appartenu , et que Neckam, en ayant rencontré plusieurs, les
e 2904, il a bien porté le nº 261 ; mais la cote 2094 ne lui a jamais appartenu . Il ne contient des fables de Neckam que les six
nuscrit qui les conserve dépend du fonds de Robert Cotton, à qui il a appartenu et dont la signature figure sur le deuxième feuil
les que les deux Romulus ne sont pas issus l’un de l’autre, et qu’ils appartiennent seulement à un auteur commun. Cette communauté d
t pas dans le manuscrit de Vienne 303. Il est évident que, si elles n’ appartenaient qu’à l’un d’eux, elles pourraient être le résulta
i, la situation est différente : le manuscrit qui renferme ce Romulus appartient à la Bibliothèque Laurentienne où il m’a été faci
collections qui m’ont paru directement nées du Romulus primitif, elle appartient au livre I. Or, dans le manuscrit de Florence, el
a Laurentienne. Le manuscrit qui renferme le Romulus de Florence a appartenu au trop fameux Libri, des mains duquel il est, av
endre. Comme beaucoup des manuscrits dépendant du fonds Libri avaient appartenu à des bibliothèques françaises auxquelles ils ava
et les deux derniers ont été ajoutés tardivement aux 40 autres. Il a appartenu à Antoine Loysel ; c’est ce qui ressort de ces mo
mulus primitif. En effet, dans les deux collections, les mêmes fables appartiennent aux mêmes livres. Sauf la fable du Glaive perdu,
Dérivé, et qui, n’ayant certainement pas été ajoutée par Marie, a dû appartenir au Romulus anglo-latin, ce qui en élève le nombre
posé de 210 feuillets en parchemin. Les écritures qui le remplissent, appartiennent aux xiiie et xive  siècles ; elles sont très peu
tés par le relieur. Sur le recto du premier on lit : « Ce manuscrit a appartenu au président Fauchet, qui en a extrait beaucoup d
age 749. C. Manuscrit 1822. Le manuscrit 1822, qui paraît avoir appartenu à Colbert et qui avant la classification actuelle
rchemin, dont l’écriture sur deux colonnes est du xiiie  siècle. Il a appartenu à Baluze qui lui avait donné le nº 572. Entré dan
mposé de 97 feuillets en parchemin, dont l’écriture sur deux colonnes appartient au xiiie  siècle. Voici, d’après le catalogue imp
parchemin et dont l’écriture sur 3 colonnes est du xive  siècle. Il a appartenu au duc de Coislin qui le légua à l’abbaye de Sain
me est incomplet : il y manque un feuillet, et c’est aux fables qu’il appartenait . Cette lacune, au bas du recto du feuillet 89, a
L. Manuscrit 25545. Le manuscrit 25545, autrefois 274 bis, qui a appartenu à l’église de Paris, et qui a ensuite dépendu du
nt y ajouter l’épilogue. Quant à l’écriture qui est très nette et qui appartient au commencement du xive  siècle, elle offre, comm
des expressions, qui, communes aux deux Dérivés partiel et complet, n’ appartiennent pas au Romulus de Nilant, qu’ils ne peuvent en co
archemin et dont l’écriture à deux colonnes est du xive  siècle. Il a appartenu à plusieurs bibliothèques dans lesquelles il a re
i. Sans le moindre espace blanc qui les précède, et, comme si elles appartenaient à la même collection, sans titre général qui les
gé de reproduire. 2º Manuscrit 347 B. Le manuscrit 347 B, qui a appartenu au savant Baluze, bibliothécaire de Colbert, est,
de une expression qui n’existe pas dans le Romulus primitif, mais qui appartient au texte de Nilant, et qu’il n’offrirait pas, s’i
le Loup et le Renard sont appelés Lupus et Vulpecula, expressions qui appartiennent à la bonne latinité, le Romulus de M. Robert, dan
écrit sans doute par un des moines du couvent bénédictin auquel il a appartenu  : Codex Monasterii sancti Mathie apostoli. Sur
-latin. Cette traduction existe dans un manuscrit du xve  siècle, qui appartient à la bibliothèque de la ville de Magdebourg, qui,
n a 19 qui sont étrangères au Romulus anglo-latin et qui au contraire appartiennent toutes au Dérivé complet. En voici la liste :
raît constant, c’est que dans leur forme prosaïque les trois fables n’ appartenaient pas à une seule et même collection ; car le sujet
d’où l’une et l’autre ont été tirées, et les deux autres fables n’ont appartenu ni à ce Romulus ni à ses dérivés. Il ne faut pas
nais que deux manuscrits contenant les fables rimées. Le plus complet appartient à la bibliothèque du British Museum, où il porte
anglaises et irlandaises, publié à Oxford en 1697. Ce manuscrit, qui appartient au collège du Corpus Christi de Cambridge, porte,
17 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CI. De l’Avare, et de l’Envieux. »
e ces riches broderies. Ceste invention n’est pas de la Nature : elle appartient proprement au luxe. On void assez d’hommes sains
18 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
discours, qui est l’instrument de la cognoissance ; le discours donc appartient à l’homme, et non pas aux autres Animaux. Cela se
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