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1 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XVI. Le Loup, la Mere et l’Enfant. » p. 158
un coup. Le Biquet soupçonneux par la fente regarde. Montrez-moy pate blanche , ou je n’ouvriray point, S’écria-t-il d’abord (pa
-moy pate blanche, ou je n’ouvriray point, S’écria-t-il d’abord (pate blanche est un point Chez les Loups comme on sçait rareme
2 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XVII. L’Homme entre deux âges, et ses deux Maistresses. » p. 31
que son amant en fust plus à sa guise. 
La Jeune saccageoit les poils blancs à son tour.
 Toutes deux firent tant que nostre t
3 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIII. Du Corbeau, et du Renard. »
’avantage par dessus les Cygnes, et que tu és plus beau que du lierre blanc . Que si ta voix estoit aussi excellente que tes p
cela au Renard de ceste Fable, qui ose bien dire au Corbeau qu’il est blanc , et démentir en luy l’experience de tout le monde
lieu de faire comme le Corbeau, qui se persuade non seulement d’estre blanc , mais encore de bien chanter, et laisse tomber la
4 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 216 » p. 343
et pareille pour tous : les uns sont noirs, les autres roux, d’autres blancs ou cendrés. Comment pourrais-je mener à la guerre
5 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De quelle façon Esope nourrit, et dressa quatre Poussins d’Aigle. Chapitre XXVIII. »
it le Roy, commanda que ses Conseillers eussent à se vestir de robbes blanches  ; et pour luy il en prit une rouge, se mettant su
’habiller au contraire de la journée precedente, à sçavoir d’une robe blanche , il en fit prendre de rouges à ses amis ; puis qu
6 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 51 » pp. 33-31
reculant à l’idée d’avoir un vieux pour amant, lui enlevait ses poils blancs . Il arriva ainsi qu’épilé tour à tour par l’une e
7 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXI. De la Fourmy, et de la Cigale. »
maginer, pource qu’elle ne leur apporta que des rides, et des cheveux blancs . Voylà combien peu les toucherent les delices et
8 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIII. D’un Homme qui avoit deux femmes. »
s soigneuse de son costé de ce qui la regardoit, luy tiroit aussi les blancs  ; De sorte qu’à force de continuër, elles luy arr
9 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
eron doct. medici Trecis. » Le frontispice est précédé d’un feuillet blanc , qui a été ajouté par le relieur et sur lequel on
ns aucune lettre. Je suis même porté à croire que c’était un feuillet blanc , et voici pourquoi. « Il semble, à la dernière pa
qu’au bas de la page ce qui lui restait à copier. Il a même laissé en blanc la fin des deux dernières lignes de l’avant-derni
elieur de Pithou a fait disparaître la trace, n’était pas un feuillet blanc . Lorsque j’aurai à examiner le manuscrit de Wisse
ent commise. Après avoir émis la pensée que le feuillet disparu était blanc , il ajoute : « Quoi qu’il en soit de cette conjec
û, il a servi à utiliser la dernière page qui autrement serait restée blanche . Enfin, un peu plus bas, a été tracé ce singulier
titieuse attention. Au commencement et à la fin, Perotti avait laissé blanches quelques pages, destinées à d’autres fables qu’il
Jannelli avait publié le manuscrit tel qu’il l’avait lu, laissant en blanc les mots ou fragments de mots indéchiffrables et
ue j’ai entre les mains, de l’édition Petronj, se trouve, sur la page blanche en regard du titre, une note manuscrite ainsi con
ans le manuscrit. Les quatre derniers feuillets du cahier sont restés blancs . La deuxième partie du manuscrit comprend soixant
uscrit comprend soixante-quatorze feuillets, savoir : 57 écrits et 17  blancs . Elle commence par un prologue, ou dédicace adres
miner longtemps pour se convaincre que c’est un autographe. Les pages blanches , qui se trouvent tant à la suite de l’index qu’à
nte. S’il était dû à la plume d’un copiste, le premier de ces espaces blancs n’existerait pas. Le copiste n’eût pas manqué de
mière. Il est probable aussi que les trente-quatre pages, laissées en blanc à la fin, n’existeraient pas davantage. Il aurait
ysen populo Dei precepta dantem , etc. Fol. xxxv b à xxxvi b. — Pages blanches . L’écriture de ce quaterne paraît étrangère à Adé
e est entier ; il se termine au recto du fol. cvi. Fol. cvi b. — Page blanche . Dix-septième quaterne (Fol. cvii à cxiv). Ce qu
En tête du verso du feuillet cxli, Adémar ayant laissé une demi-page blanche , un moine de Saint-Martial, au xie  siècle, en a
volume in-4º, se compose de 57 feuillets anciens, dont plusieurs sont blancs . Le relieur en a ajouté trois au commencement et
Leo et Mus. 18. À la suite de ces 17 fables il y a plusieurs pages blanches qui montrent que le copiste avait l’intention de
uand il a été laissé entre les fables, ce qui est fréquent, un espace blanc de 5 lignes et même davantage. La couverture du l
son concours, il m’engagea à l’aller trouver et à lui faire signer en blanc un des bulletins de la bibliothèque, me disant qu
en partie du xve . Les quatre premiers feuillets seraient totalement blancs , si le recto du premier ne portait cette courte t
ire qu’il était formé de dix feuillets dont les deux derniers étaient blancs . Mais ces deux feuillets blancs, s’ils ont existé
illets dont les deux derniers étaient blancs. Mais ces deux feuillets blancs , s’ils ont existé, ne se voient plus dans les exe
ni date. Elle forme un petit in-folio de 72 feuillets. Le premier est blanc et les trois suivants contiennent, sous forme de
pose de huit feuillets ; ce dernier cahier ne comprend aucun feuillet blanc . La disposition est la même pour les cahiers de s
nombreux. La deuxième partie, séparée de la première par un feuillet blanc , commence au feuillet 125 et ne renferme plus que
nde341. Voici au surplus l’analyse de leur contenu : Fol. 1 a. — Page blanche . Fol. 1 b. — Gravure sur bois représentant Ésope
gravures sur bois. Voici le détail de son contenu : Fol. 1 a. — Page blanche . Fol. 1 b. — Portrait d’Ésope aussi grand que la
petit volume in-12 imprimé en caractères de civilité, existe une page blanche sur laquelle a été écrite au crayon la mention su
dessous gravure sur bois représentant Ésope en pied. Fol. 1 b. — Page blanche . Fol. 2 a, col. 1. — Répétition du titre général,
̄ xcviij. den xxvij. | dach inden april. Fol. 99 b à 100 b. — Pages blanches . J’ai trouvé deux exemplaires de cette rare éditi
 feuillets ; mais il n’y en a en réalité que 120, dont le dernier est blanc . En effet, les cahiers a, A, et K comprennent cha
désigné par les mots Alexander magnus. Fol. 120 (K 8). — Feuillet blanc . Gomme dans les éditions allemandes du même temps
et quinientos | y cinquenta y tres an̄os. Fol. 72 (i 8). — Feuillet blanc . Il existe, à la Bibliothèque de l’Escurial, un e
6 vº. Initiales rouges et bleues. Titres rouges. Reliure en parchemin blanc . B. Manuscrit 1015 (114 H. L.). Le même ca
Miles de Voisins, garde pour le Roi de la prévôté de Sens. Rel. peau blanche , aux armes de Cîteaux. — (Citeaux.) 6º Bibli
lement imprime a Paris. Le surplus, sauf le dernier feuillet qui est blanc , est occupé par la table et le répertoire des cah
est en assez mauvais état. Sur le verso du second des deux feuillets blancs qui précède les feuillets numérotés, la cause en
in moderne, et suivis d’un dernier feuillet qui est resté entièrement blanc . Le manuscrit est presque totalement rempli par l
oir : quatre-vingt-dix anciens et deux feuillets de garde entièrement blancs , l’un en tête, l’autre à la fin. Ce volume, dont
. Le copiste, au-dessus de chaque fable, avait ménagé un grand espace blanc , qui devait être occupé par une miniature, mais q
gnée : « Le présent manuscrit, composé de 92 feuillets, y compris les blancs . Paris, le 1er Mai 1822. B. Gail. » E. Tablea
dans une belle reliure du temps. Il comprend 103 feuillets écrits, 3  blancs qui les précèdent et 3 autres blancs qui les suiv
comprend 103 feuillets écrits, 3 blancs qui les précèdent et 3 autres blancs qui les suivent. Il renferme 43 fables écrites en
inairement intitulée De Capone et Accipitre. Le reste du feuillet est blanc  ; ce qui montre que le scribe avait l’intention d
nt été faites. Les vingt et un derniers feuillets, qui sont en partie blancs , contiennent diverses pièces que le Catalogue ana
rit est un petit volume in-4ºde 131 feuillets. Les deux premiers sont blancs  ; il en est de même de ceux qui portent les nos 1
tion : Amen. Pax dei sit semper vobiscum. Amen. Le feuillet 79 est blanc . Les feuillets 80 à 126 sont remplis par un ouvra
lle des Membres et de l’Estomac. À la suite viennent quatre feuillets blancs qui avaient été ménagés pour les 5 dernières. Le
uelle : Explicit esopus. deo gracias. Amen. Le reste de la page est blanc . C. Manuscrit 185 Helmst. Ce manuscrit, du
partie en papier, qui se compose de 229 feuillets écrits et de quatre blancs à la suite. Les fables élégiaques, qui sont le hu
ande, de sorte qu’à la suite quatre feuillets sont restés entièrement blancs . En somme, malgré ses lacunes, le manuscrit 4409
de miniatures par un artiste spécial, avait été à cet effet laissé en blanc par le copiste. Mais à la fin des fables qui se t
sparu, il n’en reste que 133 anciens, augmentés de deux neufs laissés blancs . La première partie du manuscrit comprend 63 fabl
hemin portant une belle écriture du xive  siècle et de deux feuillets blancs et neufs, également en parchemin, que le relieur
Au-dessous de ce galimatias dont elle n’est séparée que par une ligne blanche , vient cette souscription : Explicit liber Exop
les feuillets 2 à 19. Aucun titre général ne les précède, et l’espace blanc laissé pour le titre entre chacune d’elles n’a pa
es lignes est du xive  siècle. Le premier feuillet et le dernier sont blancs . Le volume ne contient que les fables de Walther
criture du xve  siècle. Il comprend 226 feuillets écrits et 6 laissés blancs . Les 60 fables de Walther qu’il renferme, commenc
compose de 134 feuillets. Dans ce nombre sont compris deux feuillets blancs , qui le terminent et dont le second a été ajouté
après coup et non paginé. Le relieur a en outre placé trois feuillets blancs en papier au commencement du volume et trois à la
ont dû disparaître de bonne heure. Le relieur a placé deux feuillets blancs en tête du volume et trois à la fin. 2º Bibli
ntibus. Enfin viennent quatre derniers feuillets, les deux premiers blancs et les deux autres portant au verso des écritures
Explicit liber Exopi. Deo gracias. Amen. Les feuillets 58 et 59 sont blancs . Si prolixe que soit la glose qui accompagne les
mières sont pourvues de titres particuliers à l’encre rouge. L’espace blanc qui, en tête des suivantes, avait été ménagé pour
cune d’un titre particulier écrit à l’encre rouge. Toutefois l’espace blanc destiné à le recevoir n’a pas été rempli pour les
iter incipit. Les titres spéciaux à chaque fable, laissés d’abord en blanc par le copiste, n’ont pas tous été remplis : il e
vers on lit : Et sic finitur Æsopus. Après viennent deux feuillets blancs dont le premier a été coupé et un cahier de 12 ff
recto du premier feuillet est consacré au frontispice ; le verso est blanc . Les fables de Walther, accrues d’un commentaire,
M || cccc. xcij. tercio kalendas Octobris. Le verso du feuillet est blanc . Cette édition avait sans doute été tirée à un no
apparaît un écu surmonté d’un casque empanaché. Dans l’espace laissé blanc par la vignette on lit : M. Lenoir , et l’encadr
|ni M. ccccc ipso die Sancti Seuerini ep̄i. Le dernier feuillet est blanc . C’est encore une réimpression de l’édition publi
t trois enfants à genoux devant lui. Le verso du premier feuillet est blanc . Les soixante fables élégiaques auxquelles le vol
Amen , suivi de la date de : M. D. VIII. Le verso de ce feuillet est blanc . Un exemplaire de cette édition est conservé, sou
Bellonis anno Domini || m.ccccc.lvii. Fol. 44 b (f iiii b ). Page blanche . À Madrid, la Bibliothèque nationale, sous la cot
feuillets 61, 81 b, 82, 96 b, 97, 98, 99 et les quatre derniers sont blancs . La traduction des fables en langue vulgaire comm
lement défectueux. Le copiste ayant laissé au bas des pages un espace blanc destiné à les recevoir, c’est là qu’elles se trou
re. Amen. Le tout se termine au feuillet 62. Les deux derniers sont blancs . Le catalogue in-fol. des manuscrits de la biblio
ne main ancienne, dont le cinquante-sixième et les deux derniers sont blancs . En outre, il existe en tête quatre feuillets non
s, dont les deux premiers renferment la table et les deux autres sont blancs . Au bas de la première page de la table se trouve
onnes est de plusieurs copistes. Les feuillets 35 à 38, 49 et 85 sont blancs . À la fin, on lit : die xxvi ianuarij hora terti
nte scriptura , etc. Elles ne portent pas de titre général. L’espace blanc qui, au-dessus du prologue, avait été ménagé pour
gha qualche || frutto. Amen. Le soixantième et dernier feuillet est blanc . H. — Bibliothèque Phillips. Manuscrit 2
fables de Walther. Il y a d’abord, en tête du volume, deux feuillets blancs ou presque blancs. Puis, au recto du troisième, v
. Il y a d’abord, en tête du volume, deux feuillets blancs ou presque blancs . Puis, au recto du troisième, vient la nomenclatu
ffres, réclames ni signatures. Le volume présente d’abord un feuillet blanc  ; au recto du second commence la table comprenant
Registrum. Le verso du quatre-vingt-deuxième et dernier feuillet est blanc . Il existe un exemplaire de cette édition à la Bi
qui n’en a que quatre, soit cent au total. Fol. 1 a (a 1 rº). — Page blanche . Fol. 1 b (a 1 vº). — Sonnet italien commençant p
ne présentent ni réclames, ni signatures. Il commence par un feuillet blanc  ; puis au recto du deuxième feuillet on lit ce pr
traduction italienne. À la suite de la vie d’Ésope il y a un feuillet blanc . Puis commencent les fables sur le recto d’une pa
d’un large encadrement à fond noir, dont les arabesques ressortent en blanc . Voici la disposition adoptée pour chacune des fa
6, comprenant la dédicace, l’épître, la vie d’Ésope et deux feuillets blancs placés, l’un au commencement et l’autre à la fin
ant ce qu’ils contiennent : Fol. 1 a (a. i a). — La première page est blanche . Fol. 1 b (a. i b). — Le verso du premier feuille
citer finit. sequuntur fabule. Fol. 44 (f. iiii). — Le feuillet est blanc . Fol. 45 a (g. i a). — Au recto du feuillet 45, q
gistre des cahiers. Fol. 168 (y. iiiiiiii). — Le dernier feuillet est blanc . La bibliothèque royale de Munich sous la cote In
s et le titre de la septième. Le reste n’a pas été perdu, et l’espace blanc qui suit ce titre démontre que le copiste n’a pas
e. Les fables commencent au feuillet 171 a. Le titre a été laissé en blanc  ; mais, si on le cherche à la table des matières,
, on le voit formulé par le simple mot Ysopet. Au-dessous de l’espace blanc réservé par le copiste à l’artiste qui devait pei
uvrages sont séparés par les feuillets 55 et 56, qui sont entièrement blancs . Le manuscrit est surtout remarquable par les bel
, qui sont séparés du commencement de la fable suivante par l’espace blanc jugé nécessaire à son achèvement, et la fable 50,
em in itinere , qui sont également suivis d’un grand espace laissé en blanc pour permettre de la compléter. Dans la liste que
c’est la voire, Ia n’eüst geü lez sa hanche, Mes ele cuidoit que fust blanche . Tant que par auenture auint Que li preudom du la
l’oposa[s]se, Et la raison li demandasse Por quoy est plus noire que blanche . Et cil sa parole li trenche, Et dit : Biau sire,
oille et por noir vit ; (Car) autant de force a une noire Comme a une blanche por voire. Le manuscrit 2173 n’a pas été connu
te du feuillet 31 a. Au-dessus du prologue avait été ménagé un espace blanc , qui était destiné à recevoir une miniature et qu
ui ont été écrits par la même main que le titre général dans l’espace blanc sans doute destiné par le copiste primitif à être
i est composé de 120 feuillets en parchemin, savoir : 117 écrits et 3  blancs , et dont l’écriture à deux colonnes est du xiiie
ints qui est la première des œuvres réunies, et suivis de 4 feuillets blancs , dont le premier (f. 386) porte seulement en tête
es par ces mots : Expliciūt apologi auiani. Sans le moindre espace blanc qui les précède, et, comme si elles appartenaient
pour l’illustration de la première fable, avait été ménagé un espace blanc non rempli. Les fables sont au nombre de 136, c’e
tairement commise, les feuillets 32 b et 33 a sont restés entièrement blancs . 2º Manuscrit 1107 de la bibliothèque communal
anuscrit 1107, qui sans doute ignorait le latin, a laissé des espaces blancs pour les mots qu’il ne pouvait pas lire, et cepen
le du recueil, intitulée De Viatore et Satyro, présente trois espaces blancs destinés à trois mots omis. 4º Dans d’autres endr
s les yeux un modèle difficile à lire, laissait quelquefois un espace blanc à la place des mots qu’il ne pouvait déchiffrer,
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