un coup. Le Biquet soupçonneux par la fente regarde. Montrez-moy pate
blanche
, ou je n’ouvriray point, S’écria-t-il d’abord (pa
-moy pate blanche, ou je n’ouvriray point, S’écria-t-il d’abord (pate
blanche
est un point Chez les Loups comme on sçait rareme
que son amant en fust plus à sa guise.
La Jeune saccageoit les poils
blancs
à son tour.
Toutes deux firent tant que nostre t
’avantage par dessus les Cygnes, et que tu és plus beau que du lierre
blanc
. Que si ta voix estoit aussi excellente que tes p
cela au Renard de ceste Fable, qui ose bien dire au Corbeau qu’il est
blanc
, et démentir en luy l’experience de tout le monde
lieu de faire comme le Corbeau, qui se persuade non seulement d’estre
blanc
, mais encore de bien chanter, et laisse tomber la
et pareille pour tous : les uns sont noirs, les autres roux, d’autres
blancs
ou cendrés. Comment pourrais-je mener à la guerre
it le Roy, commanda que ses Conseillers eussent à se vestir de robbes
blanches
; et pour luy il en prit une rouge, se mettant su
’habiller au contraire de la journée precedente, à sçavoir d’une robe
blanche
, il en fit prendre de rouges à ses amis ; puis qu
reculant à l’idée d’avoir un vieux pour amant, lui enlevait ses poils
blancs
. Il arriva ainsi qu’épilé tour à tour par l’une e
maginer, pource qu’elle ne leur apporta que des rides, et des cheveux
blancs
. Voylà combien peu les toucherent les delices et
s soigneuse de son costé de ce qui la regardoit, luy tiroit aussi les
blancs
; De sorte qu’à force de continuër, elles luy arr
eron doct. medici Trecis. » Le frontispice est précédé d’un feuillet
blanc
, qui a été ajouté par le relieur et sur lequel on
ns aucune lettre. Je suis même porté à croire que c’était un feuillet
blanc
, et voici pourquoi. « Il semble, à la dernière pa
qu’au bas de la page ce qui lui restait à copier. Il a même laissé en
blanc
la fin des deux dernières lignes de l’avant-derni
elieur de Pithou a fait disparaître la trace, n’était pas un feuillet
blanc
. Lorsque j’aurai à examiner le manuscrit de Wisse
ent commise. Après avoir émis la pensée que le feuillet disparu était
blanc
, il ajoute : « Quoi qu’il en soit de cette conjec
û, il a servi à utiliser la dernière page qui autrement serait restée
blanche
. Enfin, un peu plus bas, a été tracé ce singulier
titieuse attention. Au commencement et à la fin, Perotti avait laissé
blanches
quelques pages, destinées à d’autres fables qu’il
Jannelli avait publié le manuscrit tel qu’il l’avait lu, laissant en
blanc
les mots ou fragments de mots indéchiffrables et
ue j’ai entre les mains, de l’édition Petronj, se trouve, sur la page
blanche
en regard du titre, une note manuscrite ainsi con
ans le manuscrit. Les quatre derniers feuillets du cahier sont restés
blancs
. La deuxième partie du manuscrit comprend soixant
uscrit comprend soixante-quatorze feuillets, savoir : 57 écrits et 17
blancs
. Elle commence par un prologue, ou dédicace adres
miner longtemps pour se convaincre que c’est un autographe. Les pages
blanches
, qui se trouvent tant à la suite de l’index qu’à
nte. S’il était dû à la plume d’un copiste, le premier de ces espaces
blancs
n’existerait pas. Le copiste n’eût pas manqué de
mière. Il est probable aussi que les trente-quatre pages, laissées en
blanc
à la fin, n’existeraient pas davantage. Il aurait
ysen populo Dei precepta dantem , etc. Fol. xxxv b à xxxvi b. — Pages
blanches
. L’écriture de ce quaterne paraît étrangère à Adé
e est entier ; il se termine au recto du fol. cvi. Fol. cvi b. — Page
blanche
. Dix-septième quaterne (Fol. cvii à cxiv). Ce qu
En tête du verso du feuillet cxli, Adémar ayant laissé une demi-page
blanche
, un moine de Saint-Martial, au xie siècle, en a
volume in-4º, se compose de 57 feuillets anciens, dont plusieurs sont
blancs
. Le relieur en a ajouté trois au commencement et
Leo et Mus. 18. À la suite de ces 17 fables il y a plusieurs pages
blanches
qui montrent que le copiste avait l’intention de
uand il a été laissé entre les fables, ce qui est fréquent, un espace
blanc
de 5 lignes et même davantage. La couverture du l
son concours, il m’engagea à l’aller trouver et à lui faire signer en
blanc
un des bulletins de la bibliothèque, me disant qu
en partie du xve . Les quatre premiers feuillets seraient totalement
blancs
, si le recto du premier ne portait cette courte t
ire qu’il était formé de dix feuillets dont les deux derniers étaient
blancs
. Mais ces deux feuillets blancs, s’ils ont existé
illets dont les deux derniers étaient blancs. Mais ces deux feuillets
blancs
, s’ils ont existé, ne se voient plus dans les exe
ni date. Elle forme un petit in-folio de 72 feuillets. Le premier est
blanc
et les trois suivants contiennent, sous forme de
pose de huit feuillets ; ce dernier cahier ne comprend aucun feuillet
blanc
. La disposition est la même pour les cahiers de s
nombreux. La deuxième partie, séparée de la première par un feuillet
blanc
, commence au feuillet 125 et ne renferme plus que
nde341. Voici au surplus l’analyse de leur contenu : Fol. 1 a. — Page
blanche
. Fol. 1 b. — Gravure sur bois représentant Ésope
gravures sur bois. Voici le détail de son contenu : Fol. 1 a. — Page
blanche
. Fol. 1 b. — Portrait d’Ésope aussi grand que la
petit volume in-12 imprimé en caractères de civilité, existe une page
blanche
sur laquelle a été écrite au crayon la mention su
dessous gravure sur bois représentant Ésope en pied. Fol. 1 b. — Page
blanche
. Fol. 2 a, col. 1. — Répétition du titre général,
̄ xcviij. den xxvij. | dach inden april. Fol. 99 b à 100 b. — Pages
blanches
. J’ai trouvé deux exemplaires de cette rare éditi
feuillets ; mais il n’y en a en réalité que 120, dont le dernier est
blanc
. En effet, les cahiers a, A, et K comprennent cha
désigné par les mots Alexander magnus. Fol. 120 (K 8). — Feuillet
blanc
. Gomme dans les éditions allemandes du même temps
et quinientos | y cinquenta y tres an̄os. Fol. 72 (i 8). — Feuillet
blanc
. Il existe, à la Bibliothèque de l’Escurial, un e
6 vº. Initiales rouges et bleues. Titres rouges. Reliure en parchemin
blanc
. B. Manuscrit 1015 (114 H. L.). Le même ca
Miles de Voisins, garde pour le Roi de la prévôté de Sens. Rel. peau
blanche
, aux armes de Cîteaux. — (Citeaux.) 6º Bibli
lement imprime a Paris. Le surplus, sauf le dernier feuillet qui est
blanc
, est occupé par la table et le répertoire des cah
est en assez mauvais état. Sur le verso du second des deux feuillets
blancs
qui précède les feuillets numérotés, la cause en
in moderne, et suivis d’un dernier feuillet qui est resté entièrement
blanc
. Le manuscrit est presque totalement rempli par l
oir : quatre-vingt-dix anciens et deux feuillets de garde entièrement
blancs
, l’un en tête, l’autre à la fin. Ce volume, dont
. Le copiste, au-dessus de chaque fable, avait ménagé un grand espace
blanc
, qui devait être occupé par une miniature, mais q
gnée : « Le présent manuscrit, composé de 92 feuillets, y compris les
blancs
. Paris, le 1er Mai 1822. B. Gail. » E. Tablea
dans une belle reliure du temps. Il comprend 103 feuillets écrits, 3
blancs
qui les précèdent et 3 autres blancs qui les suiv
comprend 103 feuillets écrits, 3 blancs qui les précèdent et 3 autres
blancs
qui les suivent. Il renferme 43 fables écrites en
inairement intitulée De Capone et Accipitre. Le reste du feuillet est
blanc
; ce qui montre que le scribe avait l’intention d
nt été faites. Les vingt et un derniers feuillets, qui sont en partie
blancs
, contiennent diverses pièces que le Catalogue ana
rit est un petit volume in-4ºde 131 feuillets. Les deux premiers sont
blancs
; il en est de même de ceux qui portent les nos 1
tion : Amen. Pax dei sit semper vobiscum. Amen. Le feuillet 79 est
blanc
. Les feuillets 80 à 126 sont remplis par un ouvra
lle des Membres et de l’Estomac. À la suite viennent quatre feuillets
blancs
qui avaient été ménagés pour les 5 dernières. Le
uelle : Explicit esopus. deo gracias. Amen. Le reste de la page est
blanc
. C. Manuscrit 185 Helmst. Ce manuscrit, du
partie en papier, qui se compose de 229 feuillets écrits et de quatre
blancs
à la suite. Les fables élégiaques, qui sont le hu
ande, de sorte qu’à la suite quatre feuillets sont restés entièrement
blancs
. En somme, malgré ses lacunes, le manuscrit 4409
de miniatures par un artiste spécial, avait été à cet effet laissé en
blanc
par le copiste. Mais à la fin des fables qui se t
sparu, il n’en reste que 133 anciens, augmentés de deux neufs laissés
blancs
. La première partie du manuscrit comprend 63 fabl
hemin portant une belle écriture du xive siècle et de deux feuillets
blancs
et neufs, également en parchemin, que le relieur
Au-dessous de ce galimatias dont elle n’est séparée que par une ligne
blanche
, vient cette souscription : Explicit liber Exop
les feuillets 2 à 19. Aucun titre général ne les précède, et l’espace
blanc
laissé pour le titre entre chacune d’elles n’a pa
es lignes est du xive siècle. Le premier feuillet et le dernier sont
blancs
. Le volume ne contient que les fables de Walther
criture du xve siècle. Il comprend 226 feuillets écrits et 6 laissés
blancs
. Les 60 fables de Walther qu’il renferme, commenc
compose de 134 feuillets. Dans ce nombre sont compris deux feuillets
blancs
, qui le terminent et dont le second a été ajouté
après coup et non paginé. Le relieur a en outre placé trois feuillets
blancs
en papier au commencement du volume et trois à la
ont dû disparaître de bonne heure. Le relieur a placé deux feuillets
blancs
en tête du volume et trois à la fin. 2º Bibli
ntibus. Enfin viennent quatre derniers feuillets, les deux premiers
blancs
et les deux autres portant au verso des écritures
Explicit liber Exopi. Deo gracias. Amen. Les feuillets 58 et 59 sont
blancs
. Si prolixe que soit la glose qui accompagne les
mières sont pourvues de titres particuliers à l’encre rouge. L’espace
blanc
qui, en tête des suivantes, avait été ménagé pour
cune d’un titre particulier écrit à l’encre rouge. Toutefois l’espace
blanc
destiné à le recevoir n’a pas été rempli pour les
iter incipit. Les titres spéciaux à chaque fable, laissés d’abord en
blanc
par le copiste, n’ont pas tous été remplis : il e
vers on lit : Et sic finitur Æsopus. Après viennent deux feuillets
blancs
dont le premier a été coupé et un cahier de 12 ff
recto du premier feuillet est consacré au frontispice ; le verso est
blanc
. Les fables de Walther, accrues d’un commentaire,
M || cccc. xcij. tercio kalendas Octobris. Le verso du feuillet est
blanc
. Cette édition avait sans doute été tirée à un no
apparaît un écu surmonté d’un casque empanaché. Dans l’espace laissé
blanc
par la vignette on lit : M. Lenoir , et l’encadr
|ni M. ccccc ipso die Sancti Seuerini ep̄i. Le dernier feuillet est
blanc
. C’est encore une réimpression de l’édition publi
t trois enfants à genoux devant lui. Le verso du premier feuillet est
blanc
. Les soixante fables élégiaques auxquelles le vol
Amen , suivi de la date de : M. D. VIII. Le verso de ce feuillet est
blanc
. Un exemplaire de cette édition est conservé, sou
Bellonis anno Domini || m.ccccc.lvii. Fol. 44 b (f iiii b ). Page
blanche
. À Madrid, la Bibliothèque nationale, sous la cot
feuillets 61, 81 b, 82, 96 b, 97, 98, 99 et les quatre derniers sont
blancs
. La traduction des fables en langue vulgaire comm
lement défectueux. Le copiste ayant laissé au bas des pages un espace
blanc
destiné à les recevoir, c’est là qu’elles se trou
re. Amen. Le tout se termine au feuillet 62. Les deux derniers sont
blancs
. Le catalogue in-fol. des manuscrits de la biblio
ne main ancienne, dont le cinquante-sixième et les deux derniers sont
blancs
. En outre, il existe en tête quatre feuillets non
s, dont les deux premiers renferment la table et les deux autres sont
blancs
. Au bas de la première page de la table se trouve
onnes est de plusieurs copistes. Les feuillets 35 à 38, 49 et 85 sont
blancs
. À la fin, on lit : die xxvi ianuarij hora terti
nte scriptura , etc. Elles ne portent pas de titre général. L’espace
blanc
qui, au-dessus du prologue, avait été ménagé pour
gha qualche || frutto. Amen. Le soixantième et dernier feuillet est
blanc
. H. — Bibliothèque Phillips. Manuscrit 2
fables de Walther. Il y a d’abord, en tête du volume, deux feuillets
blancs
ou presque blancs. Puis, au recto du troisième, v
. Il y a d’abord, en tête du volume, deux feuillets blancs ou presque
blancs
. Puis, au recto du troisième, vient la nomenclatu
ffres, réclames ni signatures. Le volume présente d’abord un feuillet
blanc
; au recto du second commence la table comprenant
Registrum. Le verso du quatre-vingt-deuxième et dernier feuillet est
blanc
. Il existe un exemplaire de cette édition à la Bi
qui n’en a que quatre, soit cent au total. Fol. 1 a (a 1 rº). — Page
blanche
. Fol. 1 b (a 1 vº). — Sonnet italien commençant p
ne présentent ni réclames, ni signatures. Il commence par un feuillet
blanc
; puis au recto du deuxième feuillet on lit ce pr
traduction italienne. À la suite de la vie d’Ésope il y a un feuillet
blanc
. Puis commencent les fables sur le recto d’une pa
d’un large encadrement à fond noir, dont les arabesques ressortent en
blanc
. Voici la disposition adoptée pour chacune des fa
6, comprenant la dédicace, l’épître, la vie d’Ésope et deux feuillets
blancs
placés, l’un au commencement et l’autre à la fin
ant ce qu’ils contiennent : Fol. 1 a (a. i a). — La première page est
blanche
. Fol. 1 b (a. i b). — Le verso du premier feuille
citer finit. sequuntur fabule. Fol. 44 (f. iiii). — Le feuillet est
blanc
. Fol. 45 a (g. i a). — Au recto du feuillet 45, q
gistre des cahiers. Fol. 168 (y. iiiiiiii). — Le dernier feuillet est
blanc
. La bibliothèque royale de Munich sous la cote In
s et le titre de la septième. Le reste n’a pas été perdu, et l’espace
blanc
qui suit ce titre démontre que le copiste n’a pas
e. Les fables commencent au feuillet 171 a. Le titre a été laissé en
blanc
; mais, si on le cherche à la table des matières,
, on le voit formulé par le simple mot Ysopet. Au-dessous de l’espace
blanc
réservé par le copiste à l’artiste qui devait pei
uvrages sont séparés par les feuillets 55 et 56, qui sont entièrement
blancs
. Le manuscrit est surtout remarquable par les bel
, qui sont séparés du commencement de la fable suivante par l’espace
blanc
jugé nécessaire à son achèvement, et la fable 50,
em in itinere , qui sont également suivis d’un grand espace laissé en
blanc
pour permettre de la compléter. Dans la liste que
c’est la voire, Ia n’eüst geü lez sa hanche, Mes ele cuidoit que fust
blanche
. Tant que par auenture auint Que li preudom du la
l’oposa[s]se, Et la raison li demandasse Por quoy est plus noire que
blanche
. Et cil sa parole li trenche, Et dit : Biau sire,
oille et por noir vit ; (Car) autant de force a une noire Comme a une
blanche
por voire. Le manuscrit 2173 n’a pas été connu
te du feuillet 31 a. Au-dessus du prologue avait été ménagé un espace
blanc
, qui était destiné à recevoir une miniature et qu
ui ont été écrits par la même main que le titre général dans l’espace
blanc
sans doute destiné par le copiste primitif à être
i est composé de 120 feuillets en parchemin, savoir : 117 écrits et 3
blancs
, et dont l’écriture à deux colonnes est du xiiie
ints qui est la première des œuvres réunies, et suivis de 4 feuillets
blancs
, dont le premier (f. 386) porte seulement en tête
es par ces mots : Expliciūt apologi auiani. Sans le moindre espace
blanc
qui les précède, et, comme si elles appartenaient
pour l’illustration de la première fable, avait été ménagé un espace
blanc
non rempli. Les fables sont au nombre de 136, c’e
tairement commise, les feuillets 32 b et 33 a sont restés entièrement
blancs
. 2º Manuscrit 1107 de la bibliothèque communal
anuscrit 1107, qui sans doute ignorait le latin, a laissé des espaces
blancs
pour les mots qu’il ne pouvait pas lire, et cepen
le du recueil, intitulée De Viatore et Satyro, présente trois espaces
blancs
destinés à trois mots omis. 4º Dans d’autres endr
s les yeux un modèle difficile à lire, laissait quelquefois un espace
blanc
à la place des mots qu’il ne pouvait déchiffrer,
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