ppelons fourmi. Mais pour avoir changé de forme, il n’a pas changé de
caractère
; car aujourd’hui encore il parcourt les champs,
ont beau être punis très sévèrement, ils ne changent pas pour cela de
caractère
. Chambry 242.2 Aliter — Autre version.
erre ! » Ainsi les méchants ont beau faire profession de vertu : leur
caractère
empêche de les croire.
se conter à propos d’un homme enrichi par la fortune, mais méchant de
caractère
.
ant savoir si, en changeant de corps, la chatte avait aussi changé de
caractère
, lâcha une souris au milieu de la chambre. La cha
urellement méchants ont beau changer d’état, ils ne changent point de
caractère
. Chambry 76.2 Aliter — Autre version. Γ
un arbre. Cette fable montre qu’un naturel pervers ne peut donner un
caractère
honnête.
t l’œuvre qu’on a tirée de l’or ; le désir me pousse à la saisir, mon
caractère
à m’abstenir. Ô fortune qui offre et qui ne perme
» Concluons que nous aussi nous devons fuir l’amitié de ceux dont le
caractère
est ambigu. Chambry 60.2 Aliter — Autre ver
possible de fixer une date précise. § 2. — Valeur de l’écrivain et
caractère
de l’homme. Une biographie de Phèdre ne serait
as accompagnée d’une esquisse rapide de la valeur de l’écrivain et du
caractère
de l’homme. Parlons d’abord de la valeur de l’écr
liber i. Il s’étend jusqu’au milieu de la page 67 ; deux genres de
caractères
y ont été employés : les caractères romains pour
eu de la page 67 ; deux genres de caractères y ont été employés : les
caractères
romains pour les prologues, les épilogues et la m
our les prologues, les épilogues et la morale de chaque fable, et les
caractères
italiques pour le reste. À la suite de la dernièr
od tibi fieri non vis alteri ne feceris. (Cet opuscule est imprimé en
caractères
gothiques sans pagination.) 4º Phædri Aug. libert
« Cet honneur dangereux, dont il était digne par son rang et par son
caractère
, lui coûta la vie et la confiscation de ses biens
go, etc., ingrabantibus pour ingravantibus, etc. J’avais jugé, par le
caractère
, que notre manuscrit devait être de la fin du vii
bas du recto du feuillet 20. Les mots, quoique grecs, sont écrits en
caractères
romains du xiie siècle, et souvent l’orthographe
r Barbou en 1747, mais chez l’éditeur Jean-Auguste Grangé et avec les
caractères
de l’imprimeur G.-F. Simon, en 1748164. Dans le D
Quoique l’encre soit devenue d’une couleur vert d’eau très pâle, les
caractères
, partout où ils n’ont pas cessé d’exister, sont t
se ressentir de cette absence d’unité dans l’exécution. Cependant les
caractères
qui n’offrent aucune variation de forme, et l’enc
assitto et Jannelli faisaient de pénibles efforts pour déchiffrer les
caractères
évanouis du manuscrit de Naples, il existait à Ro
m, etc. Dans le tome III, qui fut, comme les autres, imprimé avec les
caractères
typographiques du Vatican et qui fut publié à Rom
la première hors du théâtre. Précisément parce qu’elles n’ont pas le
caractère
de fables, les collections de fables issues de ce
in de lire le texte pour savoir quel animal est représenté. Quant aux
caractères
, ils sont presque indéchiffrables, et quand on es
mmencement du xe siècle se distingue par la très grande élégance des
caractères
arrondis et pleins, telle qu’elle se montre d’ord
tilisé complètement pour la critique de Phèdre. Il est écrit en beaux
caractères
, mais déplorablement fautif, et date du commencem
ns le numérotage. Il en est autrement du second, qui, portant en gros
caractères
rouges et noirs le titre du premier ouvrage du ma
Monstris est annoncé par cette phrase écrite à l’encre rouge en gros
caractères
: Incipit liber monstrorum de diversis | ge ne r
huitième de six, et le vingt-neuvième de dix. Ils ont été imprimés en
caractères
gothiques de grosse dimension, de sorte que le no
un opuscule intitulé : Hystoria Sigismunde , imprimé avec les mêmes
caractères
et orné de figures du même genre gravées sur bois
uillets, qui sont, comme ceux de l’édition de Steinhöwel, imprimés en
caractères
gothiques et ornés de gravures sur bois. B. Éd
nte, elle doive être attribuée à Sorg. D’ailleurs, par le format, les
caractères
gothiques et le nombre des feuillets, elle est en
Augsbourg a copié ; c’est aussi la forme. Ainsi, en ce qui touche les
caractères
, je ne sais si l’imprimeur d’Augsbourg s’est serv
vraie terre classique des éditions incunables de Romulus imprimées en
caractères
gothiques. C’est surtout à Munich et à Vienne qu’
bliothèque de Maëstricht possède un exemplaire. L’édition imprimée en
caractères
quasi-gothiques ne porte ni signatures, ni réclam
le a été, comme la table elle-même, imprimé à longues lignes avec des
caractères
gothiques plus petits que ceux qui ont servi à l’
114 feuillets, imprimée, comme les précédentes, à longues lignes, en
caractères
gothiques, sans lieu ni date et sans nom d’imprim
urs, on ne peut confondre les deux éditions. Dans chacune d’elles les
caractères
des fables en vers sont, il est vrai, plus gros q
» Fol. 35 a à 158. — Collections de fables imprimées avec les mêmes
caractères
que ceux de la précédente édition. Elles ne sont
115 feuillets, qui a de 43 à 44 lignes à la page, qui est imprimé en
caractères
gothiques et qui est agrémenté de gravures sur bo
de 1483 forme un volume in-folio composé de 169 feuillets, imprimé en
caractères
gothiques et orné de gravures sur bois. Comme ell
pression de 1494 forme un volume composé de 151 feuillets, imprimé en
caractères
gothiques, disposé en pages de 34 à 36 lignes et
de 1496, qui forme, comme la précédente, un volume in-fol. imprimé en
caractères
gothiques et illustré de gravures sur bois, est u
de l’édition de 1586. C’est un volume in-12 de 400 pages, imprimé en
caractères
gothiques. Le titre qui se trouve en tête du fron
enant dix feuillets, en possèdent chacun huit. Elle a été imprimée en
caractères
gothiques et est ornée de nombreuses gravures xyl
qui la signale comme une « édition rare et fort précieuse imprimée en
caractères
d’une forme grossière, à longues lignes, au nombr
al et B. Chaussard. Cette édition forme un volume in-4º imprimé en
caractères
gothiques à longues lignes et composé de 77 feuil
Nourry et Pierre de Vingle, et qui forme un volume in-4º, imprimé en
caractères
gothiques et orné de gravures sur bois. 10º Éd
exemplaire sous la cote 7703. Elle forme un volume in-8º, imprimé en
caractères
gothiques et composé de 128 feuillets numérotés.
En tête de cet exemplaire, qui forme un petit volume in-12 imprimé en
caractères
de civilité, existe une page blanche sur laquelle
mention suivante : « Très rare. Voyez l’Alexandréidos de Gualthier en
caractères
semblables. » Le volume n’est pas paginé ; il es
ykes de 1570. Vers 1570 parut encore à Londres une réimpression en
caractères
gothiques de la traduction de Caxton formant un v
remière édition latine, en publia à Gouda une édition néerlandaise en
caractères
gothiques dans le format in-4º. Il ne faut pas la
de Romulus. Elle forme un volume in-fol. de 112 feuillets, imprimé en
caractères
gothiques à longues lignes de 40 à la page, non c
kert de Homberch forme un volume in-fol. de 100 feuillets, imprimé en
caractères
gothiques sur deux colonnes, orné de gravures sur
lignes, par celle-ci : in quo et agnus ābulet et elephas natet. Les
caractères
sont les mêmes que ceux de l’édition du Speculum
naturale. Mentellin ne s’est pas tenu à cette édition. Avec les mêmes
caractères
il en a imprimé une autre, qui a, comme la précéd
comprend 4 vol. in-fº à 2 col. de 67 lignes, imprimés avec les mêmes
caractères
que les deux premiers Speculum. Le tome I renferm
n. Faut-il lui en attribuer une dernière de cinq volumes in-folio en
caractères
gothiques, sans indication de lieu, ni d’année, n
s, réclames ni signatures. Cette édition a été exécutée soit avec des
caractères
gothiques pareils à ceux d’Antoine Sorg, soit mêm
un volume de 270 feuillets, du plus grand format in-folio, imprimé en
caractères
gothiques à deux colonnes, sans signatures, récla
nna, forme un volume de la plus grande dimension in-folio, imprimé en
caractères
gothiques, sans signatures, réclames, ni pages nu
morale parut le Speculum doctrinale en un volume in-folio, imprimé en
caractères
gothiques, composé de 255 feuillets signés et num
publia, au mois de mai 1494, en un volume in-folio, encore imprimé en
caractères
gothiques, composé de 423 feuillets signés et num
une édition imprimée, comme la précédente, dans le format in-folio en
caractères
gothiques avec signatures et feuillets numérotés,
êmement rare forme cinq volumes du grand format in-folio, imprimés en
caractères
gothiques à deux colonnes et ornés de gravures su
Verard, forme cinq volumes in-folio, dont les feuillets, imprimés en
caractères
gothiques sur deux colonnes, sont signés et numér
certaine analogie : dans son poème intitulé Phisiologus, il peint les
caractères
du Renard, du Cerf, de la Fourmi et des divers an
499 ; 6º Une petite édition scolaire in-4º, qui avait été imprimée en
caractères
gothiques à Rouen vers 1505, dont le frontispice
a quelque chose de sauvage et par suite d’assez incompatible avec le
caractère
et la mission de Walther l’Anglais. Mais il ne fa
me les 59 qui les précèdent, présentent des variantes qui ont le même
caractère
. Les 49 fables, qui forment la troisième série, n
hèque du Palais des Arts s’exprime sur le manuscrit lui-même : « Les
caractères
mixtes de ce volume, l’un des plus anciens de la
tout en conservant à son écriture la même netteté, avait diminué les
caractères
au point de pouvoir sur le dernier feuillet place
son élégance ; sur l’un des plats le mot Esopus a été gravé en grands
caractères
gothiques. Les fables élégiaques, seul ouvrage co
lther qui sont désignées par les mots Fabulæ anonymi. Ecrites en gros
caractères
par une main habile du xive siècle, elles occupe
uillets. — Édition classique in-4º des fables de Walther, imprimée en
caractères
gothiques, non chiffrée, ne portant ni titre, ni
ession semblable fut la même année exécutée dans le format in-4, avec
caractères
gothiques, à Cologne par Quentel. Le volume est s
eures, formant un volume in-4º de la dimension habituelle, imprimé en
caractères
gothiques, signé de a à f et composé de six cahie
édition classique in-4º, qui se compose de 36 feuillets, imprimés en
caractères
gothiques. — Esopus moralisatus cum bono comment
rente de celle de l’édition précédente ; au centre elle porte en gros
caractères
le mot Alis , et aux quatre angles elle offre qu
re sous la cote I073.l.29./2*. — Édition d’écolier in-4º, imprimée en
caractères
gothiques, non paginée, mais signée des lettres a
Esopus moralisatus || cum bono cōmēnto. C’est une réimpression, en
caractères
gothiques, faite par Henri Quentell, de l’édition
— Esopus moralisatus cum bono commento. Cette édition, imprimée en
caractères
gothiques dans le format in-4º, n’est pas chiffré
ême temps, et chargées en outre de gloses interlinéaires imprimées en
caractères
minuscules. La souscription finale est ainsi conç
ssion des éditions lyonnaises de 1494 et 1496. Elle a été imprimée en
caractères
gothiques sur deux colonnes, par cahiers signés d
contenue dans un volume in-4º, composé de 92 feuillets et imprimé en
caractères
gothiques à 40 lignes à la page, sans indication
Æsopi, Tobiam. Cette édition a été imprimée dans le format in-4º en
caractères
gothiques et ornée de gravures sur bois. Elle ne
item fabulae. Interprete Auiano. Précieux volume in-4º, imprimé en
caractères
italiens, non chiffré, mais signé de a à d. Les q
bono cōmēto : et || glosa interliniari. Édition in-4º, imprimée en
caractères
italiens, non chiffrée, mais signée de a à h, don
ule incipiunt. C’est encore une édition classique in-4º, imprimée en
caractères
gothiques, non paginée, mais signée des lettres A
considéré par l’éditeur comme un simple commentaire, a été imprimé en
caractères
du même corps que ceux du texte des fables. La pr
rement xylographique. Cette édition, imprimée dans le format in-4º en
caractères
gothiques, comprend six cahiers signés de a à f,
ncadrement xylographique. L’édition forme un volume in-4º, imprimé en
caractères
gothiques, non chiffré, mais signé de a à e, et c
’être analysées, la plus ancienne est une édition de 1487 imprimée en
caractères
gothiques. Le volume se compose de 13 cahiers sig
éimpression, in-4º de petit format, de l’édition de 1493, exécutée en
caractères
italiens, non chiffrée, mais signée de a à i et c
M.CCCCXCVII. die XXIII Decembris. Cette édition in-4º, imprimée en
caractères
gothiques et ornée de gravures sur bois, est sign
de Esopo vulgare || e Latine Historiade. Édition in-4º imprimée en
caractères
gothiques, non chiffrée, mais signée de a à i, et
format, à longues lignes, remarquable non seulement par la pureté des
caractères
typographiques, mais encore par la finesse des gr
t, à longues lignes, fort remarquable non seulement par la pureté des
caractères
typographiques, mais encore par la finesse des gr
tant il en reste encore 443 en parchemin, écrits sur deux colonnes en
caractères
gothiques par une main du xive siècle. Il renfer
rsuit les rapprochements, les divergences s’accentuent et changent de
caractère
: Rom. de Vienne 303. Sed patefaciens os ut ill
un dérivé du Romulus de Vienne, je dois logiquement attribuer le même
caractère
à celle qui existe dans le manuscrit latin in-8º
ature. Les deux pièces de vers qui précèdent, quoique ayant bien le
caractère
de fables ésopiques, n’en sont pas moins étrangèr
e, se terminent par la souscription Explicit Esopes , écrite en gros
caractères
. Le manuscrit qui les contient a été connu de M.
feuillet 49 a, on lit ce commencement d’ex libris, écrit en très gros
caractères
gothiques : Je cuy à frère… ; à la suite venaie
la première des éditions connues du Cornu copiæ est celle imprimée en
caractères
romains par Paganino de Paganinis, à Venise, en 1
amètres, un Genius sive De Furore Poetico, plusieurs autres carmina à
caractère
encomiastique, des traductions de Virgile et d’Ov
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