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1 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — III. Le petit Poisson et le Pescheur » p. 18
ne riviere. Tout fait nombre, dit l’homme en voyant son butin ; Voilà commencement de chere et de festin : Mettons-le en nostre gibe
2 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 273 » p. 263
on m’honore d’une double ration ? » Nous aussi, ce n’est point par le commencement , mais par la fin que nous devons juger de la cond
3 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LII. De l’Oyseleur, et du Merle. »
uis que la conservation est une maniere de seconde production ; Or le commencement ou la source des Republiques, c’est la sincerité
4 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXVII. De deux Escrevices. »
nt devant, dans le chemin de la probité. Car il est si penible en ses commencements , qu’un homme tout seul en peut estre diverty faci
5 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXVIII. De l’Esprevier, et de la Colombe. »
chants. Pour prouver à plain ceste verité, jettons les yeux depuis le commencement jusques à la fin sur toutes les choses du monde,
6 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXVI. De la Tortuë, et de l’Aigle. »
ue les autres, à qui elle eschet par droict de naissance. C’est qu’au commencement de leur prosperité ils sont tellement enyvrez, et
7 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIX. Des Grenoüilles, et de leur Roy. »
ées bornes de la mediocrité ? Or ces moderateurs ne furent eslevez au commencement , que pour retenir le peuple dans l’observation de
8 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXI. Du Geay. »
ue trop pleine de gents de ceste sorte. Nous voyons tous les jours le commencement , le progrés, et la fin de ces Presomptueux, voire
9 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE VIII. Du Laboureur et du Serpent. »
prudents comme des Serpents ». La mesme Escriture nous apprend dés le commencement de la Genese, qu’il represente quelquesfois l’enn
10 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXIII. De l’Enfantement des Montagnes. »
mer de rire. Discours sur la vingt-troiziesme Fable. Je doute au commencement de ce Discours, si je le dois rapporter aux prome
11 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIV. Du Singe, et du Renard. »
üet de tout son Peuple. Je me souviens à ce propos d’avoir leu, qu’au commencement des choses, quand il fût question d’establir en c
12 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XX. Des Colombes, et du Faucon leur Roy. »
les animaux ont de l’avantage par dessus nous ; Car ils vivent dés le commencement du monde dans les mesmes regles, et relevent des
13 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIX. De la femelle du Singe, et de ses deux Enfants. »
s Enfans, ne les perdent-elles point à faute de les reprendre ? Si du commencement elles adherent à leurs coleres, n’en font-elles p
14 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLV. Du Loup, et du Chien. »
mander la cause. « Tu dois sçavoir », luy respondit le Chien, « qu’au commencement je soulois aboyer aux Estrangers, et mesme à ceux
15 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De l’affranchissement d’Esope. Chapitre XXIII. »
aysée ; Et l’autre celuy de la servitude, qui tout au contraire a un commencement fort doux, et une fin espineuse ». A ces mots les
16 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De quelle façon Esope nourrit, et dressa quatre Poussins d’Aigle. Chapitre XXVIII. »
ou aussi bas qu’ils vouloient. L’Hyver estant donc passé ; environ le commencement du Printemps, il apresta tout ce qu’il jugea nece
17 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
s doute que, partant du siècle d’Auguste et ne devant m’arrêter qu’au commencement de la Renaissance, j’aurais dû publier, dans l’or
quel ce qu’il appelle mon premier ouvrage avait paru, c’est-à-dire au commencement de 1884, je n’aurais pas hésité à me remettre imm
v du livre V, resté à la fin de sa longue carrière aussi pauvre qu’au commencement , il s’exprimait encore ainsi : Periculosum sempe
onstater que, dans son œuvre, le fond manque d’originalité. Depuis le commencement de son premier livre jusqu’à la fin de la premièr
tte édition imprimée à Bâle. C’est à quoi ce dernier fait allusion au commencement de l’épître suivante : « p. pithoevs francisco
de arbitraire. Et que par l’extraict sommaire dudict privilège mis au commencement ou à la fin de l’impression, il soit tenu pour su
espèce d’ornements. C’est le cas de celui-ci. Les grandes lettres du commencement des fables sont des majuscules toutes simples, éc
bien séparés tantôt régulièrement, tantôt à contre-sens, comme dès le commencement  : Hance go polivi. « Le seul véritable signe de
nuscrit, sumtus au lieu de sumptus, etc. « Les lettres l et i ou j au commencement des mots sont absolument pareilles, ce qui fait q
elle fabuleuse, ou description d’êtres comme les Centaures, etc. « Au commencement ont été reliés 32 feuillets en papier, qui sont l
ré n’était pas dépourvu d’écriture et qu’au contraire il contenait le commencement du Liber monstrorum, qui, contrairement à la supp
ttachent à la précédente, ne permettent pas de la considérer comme le commencement d’un livre nouveau. Les éditeurs l’ont en général
mot quintum au mot quartum, fait du prologue Poeta ad Particulonem le commencement du cinquième livre. N’étant pas dans la bonne rou
à vous persuader que l’écriture est du viiie  siècle, au plus tard du commencement du ixe . J’ai copié, monsieur, ligne par ligne et
Dom Vincent avait imité l’écriture du manuscrit. Il porte en outre au commencement , sur la face intérieure de la couverture, cette n
tère, que notre manuscrit devait être de la fin du viie  siècle ou du commencement du suivant. J’en envoyai un spécimen à M. de Fonc
autre n’était pas non plus toujours observé. Il n’était indiqué qu’au commencement du second livre par ces mots : Phædri Augusti li
unes, et, comme l’autre, il a ajouté, sans ponctuation séparative, au commencement de la première fable la fin de la suivante. Enfin
criture du manuscrit de Reims est du viiie  siècle ou au plus tard du commencement du ixe  ; sa notice, insérée dans l’almanach de R
Brocas, il exprime l’idée qu’elle est de la fin du viie  siècle ou du commencement du viiie . En résumé, Dom Vincent place le manusc
ncent place le manuscrit de Reims entre la fin du xviie  siècle et le commencement du ixe , et, pour prendre un moyen terme, lui ass
ibid.), contre le sentiment de D. Rivet, qui le place, disent-ils, au commencement du ve  siècle (ibid. p. 93, not. col. 1). “Vossiu
crits sont également en vélin. Le premier des trois, celui qui est au commencement du volume, en occupe les 16 premiers feuillets. L
e qui le rend illisible. Cette prière remplit la quatrième page et le commencement de la cinquième. En voici les premiers mots : O
ne. On voit que Zeno ne mentionnait pas l’Epitome 155. Cependant, au commencement du xviiie  siècle, sans qu’on ait pu savoir quell
pendant avec un soin extrême et avec une superstitieuse attention. Au commencement et à la fin, Perotti avait laissé blanches quelqu
ta editionem Cataldi Jannellii. Patavii, 1812. En Allemagne, dès le commencement de la même année, il fut, comme en Italie, publié
lui, et qu’avant d’en avoir écrit la moitié il avait perdu de vue le commencement . Il n’est donc pas douteux qu’il le composa dans
criture, on pourrait dire qu’il est ou de la fin du xve  siècle ou du commencement du xvie . Mais on y trouve l’indication approxima
en effet, qu’il y déclare, c’est qu’il n’est que copiste. En voici le commencement  : Non sunt hi mei, quos putas versiculi, Sed Æso
rdam en 1731213, en considérant les Consolations à Polybe, écrites au commencement du règne de Claude, comme antérieures aux fables
bles étaient une production moderne de Perottus au xve  siècle. » Au commencement de ce siècle, Jacobs, professeur au gymnase de Go
inucius Tettalus vers le milieu du xve  siècle, l’autre par Nilant au commencement du xviiie avec des fables plus anciennes qu’il a
es deux fables incomplètes, privées l’une de sa fin et l’autre de son commencement , une nouvelle lacune, qu’il est impossible de con
liées ensemble, est en partie de la fin du xe  siècle et en partie du commencement du xie . Car je l’ai vu et j’ai eu la possibilité
ine volvitur annus. Fol. xxi b. Virgilius de vere et hieme. Voici le commencement  : Conveniunt subito cuncti de montibus altis Arb
es. Fol. cxc b à cxci a initio. — La première de ces deux pages et le commencement de la seconde ne portent aucune écriture. Fol. cx
anciens, dont plusieurs sont blancs. Le relieur en a ajouté trois au commencement et trois à la fin, qui sont également dépourvus d
othèque de l’Université de cette ville, le savant Jacob Gronovius, au commencement du siècle dernier, avait aperçu le manuscrit Voss
orvus est précédée d’un promythion, c’est-à-dire d’une maxime mise au commencement . Or Phèdre, se conformant d’ailleurs en cela aux
humidité n’ont modifié la nuance naturelle. Leur écriture lombarde du commencement du xe  siècle se distingue par la très grande élé
contester qu’il ait existé, mais encore il affirme qu’il contenait le commencement du traité De Monstris, dont les premiers mots n’é
la partie de l’ouvrage que M. Berger de Xivrey a prise à tort pour le commencement , se place la table des 57 chapitres qui traitent
est écrit en beaux caractères, mais déplorablement fautif, et date du commencement du xe  siècle. Les fables qui y figurent sous le
ttres rouges : Finiunt capitula monstruorum (sic). Fol. 110 b. — Le commencement du feuillet est occupé par ce second préambule :
et qui m’a paru remonter, sinon à la fin du xvie  siècle, au moins au commencement du xviie . Cette copie est d’une rigoureuse exact
telen suo. Cette idée, qui se faisait jour, n’empêcha pas Nilant, au commencement du xviiie  siècle, d’éprouver quelques doutes d’a
eu rien de commun avec Ranutio. L’autorité dont Schwabe jouissait au commencement de ce siècle avait entraîné M. de Roquefort à se
rnam, sous la cote 1555, un manuscrit de la fin du xiie  siècle ou du commencement du xiiie contenant un dérivé dont le texte s’élo
e ce manuscrit est connu : on sait qu’il n’est pas plus récent que le commencement du xie  siècle. Nilant qui écrivait au commenceme
lus récent que le commencement du xie  siècle. Nilant qui écrivait au commencement du xviiie ne lui avait, il est vrai, attribué qu
. Müller a formulé une troisième hypothèse. « Il a existé, dit-il, au commencement du moyen âge un corps de fables ésopiques, tiré d
r que l’Æsopus ad Rufum, source du Romulus primitif, a été composé au commencement du ixe  siècle, ou au plus tôt vers la fin du vii
Memoriam tibi tradam formaient, comme dans les autres manuscrits, le commencement non pas du prologue, mais de l’épilogue, et qu’en
la treizième, était la huitième du livre II. La fin du livre I et le commencement du livre II sont indiqués en ces termes : Explic
icit liber primus. Incipit liber secundus. La fin du livre II et le commencement du livre III sont signalés par ces deux formules
premier de la fable de l’Aigle et du Renard. La fin du livre I et le commencement du livre II sont indiqués par ces deux phrases à
s fabularum. Incipit Esopi liber secundus. La fin du livre II et le commencement du livre III sont annoncés en ces termes : Expli
able xi, le texte latin et la version allemande de la fable xii et le commencement du texte latin de la fable xiii. La seconde embra
le texte latin et la version allemande des fables xviii et xix et le commencement du texte latin de la fable xx. § 2. — Éditions
fabularu Esopi in librū primū. Fol. 26ª (d.iiª). Fin de la table et commencement du Prologus metricus in Esopum. Fol. 26ª à 26b
ictarū q̄s remicius trāstulit. Fol. 98b (n.iib). Fin de la table et commencement des fables d’Avianus annoncées en ces termes : S
bularū Auiani antedictarum Registrum sequitur. Fol. 112ª (o.viiiª). Commencement des Fabule collecte par ce titre de la première
fie la thèse que j’ai précédemment soutenue. Fol. 22 a (c. viii a). —  Commencement du premier livre des fables de Romulus. Il est an
cription, et table du livre IV, sans titre. Fol. 60 b (i. iiii b). —  Commencement du livre IV. La disposition du texte et des gravu
nstulit. Fol. 87 a (n. iii a). — Fin de la table des fabulæ novæ et commencement des fables d’Avianus que précède ce titre : Sequ
rum Auiani antedictarum Registrum sequitur. Fol. 100 b (p. ii b). —  Commencement des Fabulæ collectæ. Ici encore des erreurs s’ape
gus. Cette souscription est accompagnée de ces mots qui annoncent le commencement de l’ouvrage lui-même : Incipit pars executiua.
extraua, au lieu de fa. noue. Fol. 86 b. — Fin des 17 fabule noue et commencement de la table intitulée : Registrum fabularum pred
puis prologue en vers élégiaques, enfin dédicace de Romulus, dont le commencement a subi le travestissement suivant : Romulus tybe
e livre intitulée : Incipit registrum fabularum tercii libri Esopi. Commencement du troisième livre. Fol. 53 b. — Fin du troisième
e du quatrième livre : Sequitur tabula libri quarti. Fol. 54 a. —  Commencement du quatrième livre, qui ne se compose plus que de
untur fabule Auiani quarum registrum post subiungitur. Fol. 78 a. —  Commencement des fables d’Avianus, comprenant chacune d’abord
squelles ne sont pas comprises par Romulus dans ses quatre livres, et commencement des fables d’Avianus avec leur table. » Fol. 93
fabeln. Ce qui équivaut à ces mots : « Fin des fables d’Avianus, et commencement de la table pour les fables réunies. » Fol. 111
e la Vierge et l’Enfant-Jésus avec les mots Sancta Maria. Fol. 2 a. —  Commencement de la première table des matières, établie d’aprè
première table des matières, établie d’après leur nature. Fol. 5 a. —  Commencement de la seconde table, divisée comme l’ouvrage en d
ion allemande de l’addition de Sébastien Brant. La fin de l’une et le commencement de l’autre s’annoncent par un double avis, dont v
sope en pied. Fol. 1 b. — Répétition du même portrait. Fol. 2 a. — Le commencement de la page est occupé par un nouveau titre généra
ence le registre des fables de esope du premier liure. Fol. 19 a. —  Commencement du livre I, annoncé en ces termes : Cy commence
esopus. Fol. 26 a. — Dédicace de Romulus surmontée d’une gravure et commencement du premier livre. Les fables sont toutes précédée
uscription : Aqui se acaba el segundo libro. Fol. 43 a (g 5 rº). —  Commencement du livre II annoncé par ce titre : Comiença el l
 : Aqui se acaba el tercero libro del ysopo. Fol. 52 b (h 2 vº). —  Commencement du livre IV des fables de Romulus indiqué en ces
t qu’une réimpression des précédentes. 13º Éditions, sans date, du commencement du XIXe siècle. A. —  Fabulas | de la vida del
e de la table : « Secundum Augustinum… » — Fol. 1-3. Table. — Fol. 3. Commencement de l’ouvrage : « Quoniam multitudo librorum et te
: Speculum doctrinale. — Livres I-IX. — Ce volume contient aussi le commencement du livre X. — Commencement : « Quoniam multitudo
Livres I-IX. — Ce volume contient aussi le commencement du livre X. —  Commencement  : « Quoniam multitudo librorum et temporis brevit
les y introduire, et, comme elles ont eu, à la fin du moyen âge et au commencement de la renaissance, une vogue vraiment incroyable
r divergence. Dans des éditions scolaires relativement nombreuses, le commencement du commentaire consiste dans la reproduction litt
e assez de celui de l’ouvrage dont nous parlons ; mais il y avoit, au commencement du xiie  siècle, tant d’Anglais portant ce nom, q
o Gauffredo. D’abord je dois faire remarquer que le manuscrit est du commencement du xve  siècle, c’est-à-dire d’un temps où le nom
it 8023, le prologue des fables est précédé d’une glose dont voici le commencement  : « In principio huius libri quatuor causae sunt
méritée, la réaction était inévitable. Elle s’accusa nettement dès le commencement du xviie  siècle. À son tour elle fut exagérée. C
30. » Cette appréciation moyenne, qui résume l’état de l’opinion au commencement de ce siècle, est ensuite adoptée par M. Robert,
mpose de 81 feuillets en parchemin, dont l’écriture fort nette est du commencement du xve  siècle. Les ouvrages qu’il renferme sont
, a disparu. Cette disparition a été constatée par M. Nisard, qui, au commencement du livre, sur la face interne de la couverture a
es fables, qui occupent tout l’intervalle, ne portent aucun titre. Le commencement de chacune d’elles se révèle aux yeux par la dime
ituer le texte disparu. L’écriture, lisible et nette, paraît dater du commencement du xiiie  siècle ; les pages les plus remplies n’
, 3º le texte latin de la fable de l’Hirondelle et des Oiseaux, 4º le commencement de la traduction de cette fable, dont il ne reste
qu’à la fin, 6º le texte latin de la fable De Thaïde et iuuene, 7º le commencement de la traduction de cette fable, dont il ne reste
ze vers latins, dont cette première fable se compose, se terminent au commencement du fol. 2 a. Fol. 2 a. — Miniature et au-dessous
—  De Lupo et Agno. Les 16 vers de cette fable latine se terminent au commencement du feuillet 3 a. Fol. 3 a, 3 b, 4 a et 4 b. — Min
u nombre de 57, et dont l’écriture est de la fin du xve  siècle et du commencement du xvie . Les 35 premiers feuillets contiennent,
torius luminis anime. Puis viennent deux prologues qui s’étendent du commencement du feuillet 81 b au milieu du feuillet 82 b. Ils
dont l’écriture à longues lignes est de la fin du xive  siècle ou du commencement du xve . Voici comment, sur la face intérieure du
llets en parchemin. L’écriture était de la fin du xiiie  siècle ou du commencement du xive . Le titre et la première partie de chaqu
ayant été arraché, les derniers vers qui occupaient sur le second le commencement du recto ont été grattés et remplacés par ce titr
cs et neufs, également en parchemin, que le relieur a placés, l’un au commencement , l’autre à la fin. Les 60 fables de Walther, cont
liber iste. Infande lumen, Criste. À la fin du volume on a, comme au commencement , ajouté un feuillet en parchemin, qui porte cette
giné. Le relieur a en outre placé trois feuillets blancs en papier au commencement du volume et trois à la fin. Le manuscrit ne comp
fables De Capone et Accipitre et De Pastore et Lupo. Quelques-unes au commencement ont été pourvues de titres à l’encre rouge. Elles
iluo aegrotante, xx De Hirundine et Auibus, et xxi De Ranis depuis le commencement jusqu’au vers : Ira Iouem mouit, regem dedit, in
bles de Walther, dont l’écriture est de la fin du xiiie  siècle ou du commencement du xive et qu’une main du xviiie ou du xixe  si
ut du recto du premier feuillet, d’une sorte de préface dont voici le commencement  : « Esopus atticus poeta qui fabulas composuit ad
d’un commentaire et de gloses qui avaient toujours été les mêmes. Le commencement du commentaire était la copie littérale de la pré
ume in-8 analysé plus haut. La seconde traduction, qui paraît être du commencement du xive  siècle, se trouve avec des variantes nom
: les fables de Walther, dans les derniers siècles du moyen âge et au commencement de la Renaissance, ont été traduites tant en pros
ce, l’épître, la vie d’Ésope et deux feuillets blancs placés, l’un au commencement et l’autre à la fin de cette première partie du v
n originale. Fol. 3 a (a. iii a). —  Prohemium , à la suite duquel le commencement de la vie d’Ésope en latin et en italien est anno
et : xxxviii. De Pica et Cauda sua. La fin des quarante fables et le commencement de l’épilogue qui les suit sont indiqués dans le
nt au total 81, il s’ensuit que, sauf une dont il va être question au commencement du chapitre suivant, le manuscrit 303 les a toute
du folio 35, s’arrête aux mots Cui Iuno iterum , qui sont séparés du commencement de la fable suivante par l’espace blanc jugé néce
’Université de Leyde, publié dans cette ville par Pierre Vander Aa au commencement du siècle dernier497, attribue à tort au manuscri
artie en papier et dont l’écriture très fine, à deux colonnes, est du commencement du xive  siècle. Il a fait partie de la bibliothè
collection ne peut être plus récente que la fin du xie  siècle ou le commencement du xiie . Dans son analyse de ma première édition
u’une chose, c’est que le Romulus anglo-latin n’est pas postérieur au commencement du xiie  siècle. § 2. — Texte du Romulus anglo
ables du Romulus de Nilant. L’un des deux manuscrits contient même le commencement d’une fable inachevée qui, manquant complètement
sant inexacte, il suffirait encore que le manuscrit fût réellement du commencement du xiiie  siècle pour rendre insoutenable la thès
feuillets nouveaux, en parchemin comme les anciens, savoir : deux au commencement et deux à la fin. Le second des deux feuillets aj
que par cette perte il n’a été privé que de la fin d’une fable et du commencement de la suivante. Le manuscrit, en somme, n’a jamai
tre v, qui dans le corps des mots est remplacée par un u, conserve au commencement sa forme spéciale. Les fables ne sont pourvues ni
s. Amen. Au haut de la deuxième colonne du feuillet 49 a, on lit ce commencement d’ex libris, écrit en très gros caractères gothiq
Ci commence ysopet en françois qui contient LXXXI chapitres. Puis au commencement du feuillet suivant vient le prologue en quarante
’épilogue. Quant à l’écriture qui est très nette et qui appartient au commencement du xive  siècle, elle offre, comme dans le manusc
ulé : Mouchet IV, qui renferme les fables de Marie. Elles occupent le commencement du volume. Ici je dois signaler une bizarrerie :
de France, qui écrivait à la fin du xiie  siècle ou, au plus tard, au commencement du suivant, n’appelle pas, dans sa traduction de
in et les autres en papier et dont l’écriture à longues lignes est du commencement du xive  siècle. Sur le recto du premier feuillet
mac et des Membres, la fable du Singe et du Renard tout entière et le commencement de celle du Lion régnant ; la seconde, les fables
e, les fables de l’Homme et du Lion et de la Puce et du Chameau et le commencement de celle de la Cigale et de la Fourmi. Ces quaran
de famille n’existent en France que depuis la fin du xe  siècle et le commencement du xie . 299. « Etenim in postrema voce Phædri
librairie Franck, 1854, in-8º. (Voyez p. 94.) 320. On en retrouve le commencement en tête de l’épilogue du quatrième livre du Romul
pas confondre Girald Barry, écrivain de la fin du xiie  siècle et du commencement du xiiie , ordinairement appelé Silvester Gyraldu
18 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CI. De l’Avare, et de l’Envieux. »
ses. Quelque accroissement qu’elle prenne par le temps, elle n’est au commencement qu’un foible et mediocre desir, qui s’accroist pa
amour seulement de ce qui est bien ; et comme cela, la Gloire sert de commencement à la vraye Sagesse. Il y a de l’apparence que Soc
19 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIII. D’un Homme qui avoit deux femmes. »
une ennemie ? Car il est à croire que s’ils ne l’aiment point dés le commencement du Mariage, cette froideur se tournera sans doute
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