, crié, tempesté, Le Juge instruit de leur malice, Leur dit : Je vous
connois
de long-temps, mes amis ; Et tous deux vous payre
i quand les scélérats exercent leur méchanceté parmi des gens qui les
connaissent
, ils ne gagnent rien à leurs machinations.
euple les Arabes sont menteurs et trompeurs ; leur langue en effet ne
connaît
pas la vérité. Chambry 113.2 Aliter — Autre
un âne. » C’est ainsi que les gens qui se vantent devant ceux qui les
connaissent
prêtent justement à la moquerie.
qui font vanité des avantages d’autrui prêtent à rire à ceux qui les
connaissent
. Chambry 267.2 Aliter — Autre version.
le dans un marais criait à tous les animaux : « Je suis médecin et je
connais
les remèdes. » Un renard l’ayant entendue s’écria
autre foy de Hibou, Qu’ils ne se goberoient leurs petits peu ny prou.
Connoissez
-vous les miens ? dit l’Oiseau de Minerve. Non, di
sais tout le jour ? » C’est ainsi que souvent les petites choses font
connaître
les grandes, et les choses visibles, les choses c
qu’il avait même à Athènes des parents illustres, il lui demanda s’il
connaissait
aussi le Pirée. Le singe, croyant qu’il voulait p
avancé ;
A quoy me resoudray-je ? Il est temps que j’y pense.
Vous
connoissez
mon bien, mon talent, ma naissance.
Dois-je dans
xistait plusieurs manuscrits ; j’ai fini par découvrir qu’on en avait
connu
cinq. Je m’en suis procuré le texte, et, quand je
devoir de l’accomplir. Bref, ayant étudié tous les fabulistes latins
connus
et inconnus, j’ai pris le parti de faire profiter
e édition de Phèdre et de ses dérivés directs et indirects, j’ai fait
connaître
mon intention de ne pas m’en tenir à cette public
de ses anciens imitateurs directs et indirects, Et sur les Manuscrits
connus
et inconnus qui les renferment. Plan de l’ou
d’Orphée. 4º Époque de l’arrivée de Phèdre à Rome. — Après avoir fait
connaître
le vrai nom du fabuliste, le lieu de sa naissance
es termes : In calamitatem deligens quædam meam. Il suffit, pour la
connaître
, de bien comprendre ce vers. Dans la plus ancienn
n, et je crois qu’aucune des fables qui l’avaient irrité, ne nous est
connue
. Soit que le procès par lui intenté ait abouti à
olem et Ranæ regem petentes furent non seulement écrites, mais encore
connues
avant la chute de Séjan. Il croit que la première
ns considérait donc les fables ii et vi du livre Ier comme écrites et
connues
sous le règne de Tibère ; il paraît admettre auss
me semble facile à donner. Si le vindicatif favori de Tibère avait pu
connaître
le prologue du livre III, Eutyque aurait été impu
’appendice. Quelquefois enfin Phèdre puise ses récits dans le domaine
connu
de la mythologie ; tels sont ceux que présentent
, Phèdre avait cet honorable orgueil, qui est basé sur la foi, qui ne
connaît
point la morgue et qui n’inspire que la sympathie
s, dont les manuscrits soient aussi rares que ceux de Phèdre. On n’en
connaît
que cinq, dont l’un même n’existe plus ; ce sont
a manqué à cette brillante période du progrès humain. Leurs noms sont
connus
; il est inutile de les rappeler. Ne parlons que
se ralliait l’accueillirent sans méfiance, et sa droiture était trop
connue
de ses anciens coreligionnaires, pour lui attirer
P. Pithou. » Telle est l’édition publiée par Pierre Pithou. Je n’en
connais
que 14 exemplaires, savoir : deux à la Bibliothèq
es manuscrits ». Il est possible que M. Berger de Xivrey ne l’ait pas
connu
; mais à l’égard des variantes, Daunou se trompe
je m’abstiens de les transcrire. Je me permettrai seulement de faire
connaître
les particularités qui indiquent par quelles main
e général sous la cote 685. D. Q. C’est le plus bel exemplaire que je
connaisse
. Les marges en sont presque entières et la reliur
parfait état de conservation. Tels sont les seuls exemplaires que je
connaisse
de l’édition publiée par Pierre Pithou. Je revien
n qu’il a donnée des fables de Phèdre, il serait naturel que je fisse
connaître
ce qu’est devenu son manuscrit. Mais je dois aupa
tement révoquée en doute par M. Berger de Xivrey86 ; car le manuscrit
connu
de Gude fut celui de Reims. Beaucoup, comme Lessi
r que l’hiver suivant. L’hiver se passa, et M. Le Peletier ne fit pas
connaître
l’opinion du savant attendu. M. Berger de Xivrey,
s rex et Menander poeta une lacune, dont l’étendue était impossible à
connaître
, mais qui était certainement considérable, j’avai
ue la fable Vulpis ad рersопат tragicam, ne pouvait servir qu’à faire
connaître
l’âge du manuscrit ; c’était même, pour servir au
t pas moins voulu que son travail fût complet : pour faire exactement
connaître
les variantes du manuscrit relatives aux fables b
ariantes, par lesquelles elles différaient du texte de l’édition bien
connue
de Pierre Danet, publiée en 1675 dans le format i
. Rigault ne me paraît pas avoir vu le manuscrit de Reims ; il n’en a
connu
les variantes que par les notes écrites de la mai
n MS. Rem. Les lettres MS semblent donc désigner le premier manuscrit
connu
, le manuscrit fondamental, par opposition à celui
oyens on peut opérer la restitution du manuscrit brûlé, je dois faire
connaître
ce qu’il était. Dans une note manuscrite par lui
he une satisfaction toute particulière. Le manuscrit est généralement
connu
sous le nom de Vetus Danielis chartula. Bien des
savant antiquaire Paul Petau. Quoique le nom de ce savant soit encore
connu
des bibliophiles, l’oubli injuste dans lequel il
ion commence par cette phrase qui diffère également des deux versions
connues
du même passage de la Bible : « Inclina, Domine,
sont les derniers du volume. Le manuscrit de Daniel étant maintenant
connu
, je vais brièvement signaler et réfuter, en ce qu
de tant d’assertions aussi fausses que contradictoires, que je fisse
connaître
exactement les fables du manuscrit de Daniel. Il
ion de cet ouvrage, je ne l’avais pas encore rencontré. Si je l’avais
connu
, je ne l’aurais point passé sous silence. C’est u
rtir les particularités du modèle, les critiques désireux de les bien
connaître
, au lieu d’entreprendre le voyage de Rome, pourra
heure. S’il l’avait continuée, non pas jusqu’à la vieillesse qu’il ne
connut
pas, mais jusqu’à la fin prématurée de son existe
Perotti, évêque d’Amera, qui avait réuni en un seul volume les écrits
connus
de Niccolo, avait-il omis son Epitome. Dans ses A
onnant la nomenclature des œuvres de l’archevêque de Siponte qu’il ne
connaissait
que par la publication de Torquatus, avait à son
vait en sa possession autre chose que ce que son devancier avait fait
connaître
. À l’égard du Père Brotier, il semble ressortir c
este, témoigne ses doutes. “Non, lui dis-je, c’est bien Phèdre, je le
connois
parfaitement.” Pour convaincre ceux qui étoient p
tifier et publier, et il en confia la publication à un éditeur qui ne
connaissait
pas même la couverture du manuscrit. « Quand tout
sitto n’avait pu rien emprunter à ces deux ouvrages. Mais, soit qu’il
connût
quelque employé de l’imprimerie trop complaisant
ité des fables contenues dans les différents manuscrits que j’ai fait
connaître
. En écrivant la vie de Phèdre, j’ai imité mes dev
l’âge des fables, quand un audacieux critique, Pierre Schryver, plus
connu
sous le nom de Scriverius, déclara hardiment qu’i
e je n’en ajoute pas d’autre. Malheureusement Schryver ne pouvait pas
connaître
le recueil poétique de Perotti. Si cependant il a
s, au temps de Schryver qui lui-même s’y réfère, étaient parfaitement
connues
, et parmi elles aucune n’avait pu servir de texte
rait fournir bien d’autres arguments ; il promet presque de les faire
connaître
plus tard ; mais il est permis de supposer que ce
gument qu’il prévoyait. « Phèdre lui-même, lui écrivait-il207, a fait
connaître
qu’il était né en Thrace, dans la partie de ce pa
it songé à exprimer le moindre doute. Mais, aussitôt qu’elle leur fut
connue
, fascinés probablement par son audace, quelques-u
vianus dit de son œuvre ne permet pas de la confondre avec les fables
connues
; car il ne prit qu’une portion, aliquam partem,
, resolvit, de manière à en former cinq livres, tandis que les fables
connues
sont très nombreuses et pour la plupart on ne peu
possible d’admettre qu’Avianus ait songé aux fables latines que nous
connaissons
, quand on voit qu’il en a composé quarante-deux r
s l’année suivante par un autre savant allemand, Funck (de Marbourg),
connu
aussi sous le nom de Funccius. Il publia, en 1747
en doute l’authenticité du Phedre recouvré par notre M. Pithou aussi
connu
dans la Littérature que dans la Jurisprudence. Co
iment. Aussi ne faut-il pas déjà tant s’étonner que Sénèque n’ait pas
connu
les fables de Phèdre ou qu’il ait parlé comme s’i
u les fables de Phèdre ou qu’il ait parlé comme s’il ne les avait pas
connues
… Et il n’est pas nécessaire de recourir à la pauv
laquelle il s’exprimait ainsi sur les fables de Phèdre : « Celui qui
connaît
cette œuvre sait qu’elle contient plus que de sim
par les précédents critiques, cet aperçu aura l’avantage de les faire
connaître
en quelques pages231. Le silence des auteurs lati
ndant son exil dans l’île de Corse. Or, à cette époque, il ne pouvait
connaître
que les deux premiers livres, les seuls qui, suiv
pas autre chose. Il ne faut donc pas dire que la concision des fables
connues
soit un obstacle à ce que ce mot s’applique à leu
en cinq livres, adoptée par le philosophe et par l’auteur des fables
connues
? Pour n’y pas voir plus clair, il fallait qu’il
-Rémi. Il aurait donc voulu retrouver au moins un des deux manuscrits
connus
qui restaient encore. Il raconte lui-même quelles
Phèdre n’ait pas réussi à émouvoir le monde savant, je vais la faire
connaître
. C’est dans son Histoire de la fable ésopique 241
d’Auguste ; oui, il a été le contemporain de Sénèque ; oui, Sénèque a
connu
ses fables. Mais il n’en a pas parlé, parce que P
ances de la vie usuelle les apologues que la tradition lui avait fait
connaître
; il se bornait en général à un simple récit, san
r des écoliers, ils auraient traduit son nom comme le reste ; nous le
connaîtrions
aujourd’hui sous le nom de Phæder ; les lacunes o
eux-mêmes adopter les nouvelles formes de leur langage ; Martial, qui
connaissait
Phèdre, a pu imiter quelques-uns de ses vers ; en
e pouvoir de rouvrir un débat qui n’avait que trop longtemps duré. On
connaît
maintenant les discussions auxquelles a donné lie
uthenticité, trois dissertations fort savantes et malheureusement peu
connues
. Je ne m’occuperai que de la seconde ; c’est cell
s fables contenues dans son recueil. Toutes les fables d’Avianus sont
connues
; il n’en a écrit, de son propre aveu, que quaran
et peut-être, alors qu’ils étaient plus nombreux, Avianus n’en a-t-il
connu
que cinq. Mais il est probable que les cinq livre
ius semitam feci viam, Et cogitavi plura quam reliquerat. Or nous ne
connaissons
guère de Phèdre que 90 fables. Quand il s’inspira
guère de Phèdre que 90 fables. Quand il s’inspira d’Ésope, la matière
connue
de son devancier était considérable, et, comme il
n y trouve beaucoup de fables qui ne figurent pas dans les manuscrits
connus
de Phèdre, mais qui trahissent la même origine. A
. Mais toutes les formes de langage, usitées à Rome, ne nous sont pas
connues
, et, si l’on pouvait lire tout ce qui a été perdu
plus récents, ne rencontrant pas ces particularités dans les ouvrages
connus
des anciens, n’ont pas pu les reproduire, que l’o
ant lui, pourrait tout au plus figurer à côté du conte de Perrault si
connu
des enfants. Mais pourquoi, si Perotti l’a invent
, etc. » Mais Adry devait bien admettre que cette formule n’était pas
connue
de Perotti, et que, même si on voulait lui attrib
hypothèses au texte détruit, et que, si les vraies leçons en étaient
connues
, elle n’aurait peut-être pas le double défaut d’ê
Jannelli a eu recours, si notamment des fables les plus anciennement
connues
il avait, dans un groupement séparé, distingué ce
que les manuscrits de Phèdre n’aient jamais été retrouvés et qu’on ne
connaisse
que ceux de Perotti ; il est clair qu’à raison de
èse, il cite, en altérant, il est vrai, le second, ces deux vers bien
connus
d’Horace : Beatus ille qui procul negociis Pater
figure encore avec ses variétés le vers ïambique. Perotti a donc bien
connu
l’ïambe, et cependant il s’en est servi dans son
tre de son commencement, une nouvelle lacune, qu’il est impossible de
connaître
exactement ; mais, comme la seconde partie du liv
1822 à indiquer celles qu’ils ont omises, et à partir de 1822 à faire
connaître
, aussi complètement que je le pourrai, celles qui
importance, c’est qu’elles sont loin de se rapporter toutes au texte
connu
de l’auteur ancien. Sur 67 il n’y en a dans ce ca
les comparer à l’Æsopus ad Rufum. Mais cet examen comparatif suppose
connues
les deux collections de Wissembourg et du Romulus
le sait, l’œuvre du diacre Paul, auteur de l’hymne à saint Jean plus
connue
encore290. La page se termine par quelques maxime
à la plume destinés à servir d’illustrations à l’ouvrage de Prudence
connu
sous le nom de Psychomachia seu pugna Virtutum. V
fait souvent donner le nom d’Anonyme de Nilant à l’auteur maintenant
connu
des Fables antiques. Le titre du volume était ain
inion qu’aux premiers siècles du moyen âge, toutes les fables latines
connues
avaient été mises en prose et réunies en une sort
rai plus loin, et que notamment il faut partir de cette idée qu’on ne
connaît
et qu’il n’existe que deux collections qui soient
t 1870. « Monsieur, « J’ai le regret de vous faire savoir que je ne
connais
nullement ni à Strasbourg, ni à Wissembourg, le C
le riche dépôt de notre bibliothèque de la ville de Strasbourg je ne
connais
aucun volume qui réponde aux indications que vous
chemin des découvertes. Ce qui en somme me préoccupait, c’était d’en
connaître
le contenu. Sachant que Gude l’avait étudié, je c
du manuscrit de Wissembourg différait sensiblement des autres dérivés
connus
. En effet Gude, qui en avait révélé l’existence,
our moi, c’était de savoir si le manuscrit était un recueil de fables
connues
, tel que ceux du Romulus ordinaire et de l’anonym
onyme de Nilant et de Romulus. Cette conviction accrut mon désir d’en
connaître
le contenu. Je repris mes recherches qui eurent e
il était impossible de me les laisser voir. J’étais trop impatient de
connaître
l’opuscule de Tross pour attendre qu’il eût plu à
e Wissembourg ne pourrait servir d’argument, que si celles des fables
connues
de l’auteur ancien qui s’y retrouvent appartenaie
r, le manuscrit de Wissembourg porte la cote 148 Gud. Pour m’en faire
connaître
le sens, M. von Heinemann a bien voulu me donner,
ote du manuscrit de Wissembourg montre que non seulement Gude l’avait
connu
, mais qu’encore il en avait été propriétaire. De
it de Wissembourg contient, en outre de celles de Phèdre actuellement
connues
, dix-sept autres fables qui ont la même origine ;
pas pris la peine de recourir à la vraie source que d’ailleurs il ne
connaissait
peut-être pas. Ainsi, par exemple, le copiste ava
se soit trompé. D’une part le manuscrit de Wissembourg n’était alors
connu
que de Gude qui n’en avait révélé l’existence que
nt péri, il était nécessaire, pour savoir ce qu’il avait été, de bien
connaître
ses deux dérivés directs. Le premier a été étudié
le point de savoir à qui ils se rapportent, on me permettra de faire
connaître
les divers documents qui peuvent servir à le réso
r qu’elle était tirée du même manuscrit. Or l’âge de ce manuscrit est
connu
: on sait qu’il n’est pas plus récent que le comm
20 fables du livre I, 14 sont tirées de celles de Phèdre anciennement
connues
; ce sont les fables 1, 2, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10,
me j’ai déjà eu soin de l’annoncer, avoir recours à celui de son plus
connu
et plus proche dérivé, c’est-à-dire à celui du Ro
nnes, et toute son habileté a consisté à introduire les noms les plus
connus
de l’histoire et de la géographie romaines dans s
un Corpus fabularum, formé de toutes les collections de fables alors
connues
. Non seulement l’Æsopus ad Rufum n’a été créé qu’
l pas dès lors évident que, si toute l’œuvre antique parvenait à être
connue
, on finirait par voir celle de Romulus s’y rappor
en, qui, je le rappelle encore une fois, étant le plus ancien de ceux
connus
, est vraisemblablement celui qui contient la repr
uscrit de Wissembourg et de celles du Romulus primitif, j’ai pu faire
connaître
ce qu’était l’Æsopus ad Rufum. Mais entre lui et
eu lettré a, en les altérant, fait de toutes les fables latines alors
connues
un recueil, qui, comprenant non seulement les fab
cet ouvrage, occuperont la plus large place. À la rigueur, pour faire
connaître
son contenu, il me suffirait, dans ce premier cha
ithmétique. Quant au texte des fables, après ce que j’en ai déjà fait
connaître
, il me paraît superflu d’en parler de nouveau. La
jon, le 10 février 1870. « Monsieur, « J’ai l’honneur de vous faire
connaître
que la bibliothèque publique ne possède pas le pl
ur les publier, et il mourut le 26 novembre 1689, sans avoir pu faire
connaître
toutes les richesses archéologiques qu’il avait a
Phillips’s library installée dans un palais particulier de style grec
connu
sous le nom de Thirlestaine house. C’est un volum
du faire aucun choix et n’en a-t-il publié que dix-sept faute d’avoir
connu
les autres. Elles sont ornées de gravures, accomp
Steinhöwel a été souvent réimprimée. Les deux réimpressions les plus
connues
et les plus conformes à l’édition originale sont
ue général, ce qui le rend assez difficile à trouver pour ceux qui ne
connaissent
pas l’organisation de la grande bibliothèque Lond
xemplaires de l’édition visée par Hain. Grâce à eux, je vais en faire
connaître
les particularités. Comme les précédentes, elle n
ait signalée et que Panzer avait puisé sa propre citation. Mais je ne
connaissais
pas alors le catalogue de 1738, et le silence de
er. Cette édition, publiée à Brunswick par l’éditeur Vieweg, est trop
connue
pour que j’en donne ici l’analyse. 8º Édition
aractères gothiques et orné de gravures sur bois. Comme elle est plus
connue
que les précédentes, je m’abstiens de l’analyser.
D. LXXXVI. C. Édition de 1589. L’édition de 1589, dont je ne
connais
aucun exemplaire, m’a été révélée par la Biblioth
teur en théologie. Elle est trop célèbre pour que j’omette d’en faire
connaître
ici les éditions successives. 1º Édition origin
. Macho ne fut pas publiée seulement en France ; témoin l’édition peu
connue
de 1532, qui est signalée par Brunet356 et dont j
nte de cette courte analyse, et je renvoie ceux qui seront curieux de
connaître
plus complètement l’édition originale de Caxton a
uction de Caxton paraît avoir été longtemps réimprimée. Je vais faire
connaître
quelques-unes des réimpressions qui en ont été fa
un exemplaire de cette réimpression sous la cote Douce A. 500. Je ne
connais
pas d’exemplaires des deuxième, troisième et sixi
ulus dix-sept ont leur origine dans la traduction en prose des fables
connues
de Phèdre, savoir : dans les fables 1, 4, 5, 8, 1
talogue imprimé de la Bibliothèque royale de Munich que je vais faire
connaître
les manuscrits des Miroirs historial et doctrinal
légendes de saints365. Si l’opuscule du critique allemand était moins
connu
, je ne prendrais pas la peine de relever cette al
deux fois par Koburger, une fois sans date et une fois en 1485. Je ne
connais
et je ne puis décrire que la seconde de ces éditi
de gravures. Quant à leur date, elles ne la font qu’approximativement
connaître
par cet avis qui se réfère, non au travail du typ
d the VIII. of March the same year. Caxton me fieri fecit 392. Je ne
connais
pas d’autres éditions anglaises. Section VI. É
comme ne comportant qu’une seule analyse. Je vais donc, pour en faire
connaître
le contenu, donner la liste entière des fables do
’à l’époque à laquelle l’imprimerie a été découverte, les éditeurs ne
connaissaient
que les manuscrits de ce Romulus ; ce qui d’aille
était répandue ; ce qui m’autorise à tenir ce langage, c’est qu’il ne
connaissait
même pas l’origine de Salon dont il faisait un ci
ans son édition des fables de Phèdre, M. Dressler, qui paraît n’avoir
connu
ni l’ouvrage de M. Robert ni la glose du manuscri
doutes, celui-ci fut facilement accepté. Il est vrai que les ouvrages
connus
du célèbre Hildebert permettaient de le croire l’
au feuillet 101. Ce sont seulement les soixante fables primitivement
connues
. Chacune d’elles est précédée d’une glose dont l’
t, en même temps que d’un autre manuscrit que j’aurai bientôt à faire
connaître
, il s’en était servi en 1599 pour livrer à la pub
o du feuillet 66. Elles sont au nombre de 60, réparties par la raison
connue
sous 61 numéros. Chaque fable porte un titre spéc
t-Victor n’en a pas possédé un troisième ; mais encore Rigault n’en a
connu
qu’un seul : le manuscrit, auquel il fait allusio
n sur le texte latin des 5 fables étrangères à Walther, je vais faire
connaître
la liste complète de celles que le manuscrit cont
lther. Maintenant quel est l’auteur des additions ? Il n’est pas plus
connu
que celui de la première traduction. Ce qui est d
aurait révélé l’origine différente, et l’épilogue qui en aurait fait
connaître
l’auteur, et, afin d’éviter les doubles emplois,
dition du catalogue des manuscrits de Douai : « Jusqu’à présent on ne
connaît
donc que deux manuscrits des fables d’Ugobard, et
cédemment, je ne puis qu’engager ceux qui seront désireux de le mieux
connaître
, à lire l’analyse qui en est donnée dans le Catal
tit esbai lo jape… « Le volume, assez précieux par cette version peu
connue
, commence par un prologue et se termine par une f
uscrit. » Cette courte notice serait insuffisante pour le faire bien
connaître
. À raison de son importance je crois devoir en do
latine et la traduction auxquelles elle se rapporte. Pour faire mieux
connaître
cette disposition et la traduction elle-même, voi
en finir avec les manuscrits des bibliothèques françaises, qu’à faire
connaître
celui que possède la Bibliothèque de la ville de
s sont accompagnées d’un commentaire ; c’est ce que le catalogue fait
connaître
en ces termes : Æsopi fabulæ cum commento.
ulum bobusque ministrat. Au-dessous de ce vers on lit cet autre bien
connu
: Finito libro sit laus et gloria Christi (sic),
e au milieu du recto du feuillet xxxiv, non seulement par le distique
connu
, mais encore par ce vers déjà bien des fois renco
Le manuscrit n’a guère de valeur ; il est l’œuvre d’un copiste qui ne
connaissait
ni la langue, ni la prosodie latines, de sorte qu
inum traducta. Tel est le titre de l’édition la plus ancienne que je
connaisse
. Elle a été imprimée à Rome en 1473, dans le form
um de Vivaldis eiusque filios die xvi. Nouembris Mcccclxxvi. Je ne
connais
pas d’exemplaire de cette édition signalée par Pa
Lacu Benaci per Gabrielem Petri Tarvisinum Anno Mcccclxxviiij. Je ne
connais
pas cette édition in-4 qui est citée par Panzer (
an de Prato, anno dñi M. cccc. lxxxviij Die ultima Decembris. Je ne
connais
pas d’exemplaire de cette édition in-4º, citée pa
dans plus de détails sur le contenu de cette édition ; pour le faire
connaître
, il me suffit de dire que, comme la précédente, e
t formée de deux cahiers, l’un de 8 feuillets et l’autre de 10. Je ne
connais
de cette édition qu’un exemplaire qui existe à la
liothèque, ne se trouve pas mentionnée dans les bibliographies que je
connais
; elle pourrait bien être sortie de la presse de
s soixante-deux fables les plus usuelles, précédées de la lettre bien
connue
de Thadée Ugoleto à Pérégrin Posthume Loticus, pr
euillet sans autre titre que le mot Prohemium qui précède le prologue
connu
. Elles sont accompagnées d’une glose et ornées ch
cinquante ans après. Schwabe et Dressler prétendent qu’il avait aussi
connu
le manuscrit de Saint-Victor et qu’il s’en était
e varietate accurate editæ. 1882. La dernière édition que je
connaisse
est celle qui a été publiée par M. Wendelin Fœrst
donnant l’analyse des traductions de ce Romulus, je les ai fait assez
connaître
pour n’avoir pas à y revenir. Quant à des traduct
en ce qui touche les traductions anglaises, que déclarer que je n’en
connais
aucune. § 4. — Traductions italiennes. En I
rit, que M. Ghivizzani ne mentionne pas, et qu’il ne paraît pas avoir
connu
, se compose de 68 feuillets en parchemin, dont l’
ité ses recherches à quelques bibliothèques italiennes, n’avait pu le
connaître
, est un petit volume in-4º composé de 98 feuillet
le sonnet italien et le sixain en vers élégiaques que j’ai déjà fait
connaître
. Ensuite on lit : Accii Zuchi summa Campaneæ Ver
inaire. — Une autre édition, devenue beaucoup plus rare que l’édition
connue
d’Aquilée, a été imprimée à la fin de la même ann
faciliter l’étude de la langue latine. La seule édition qui en soit
connue
consiste dans un petit volume in-4º, non chiffré,
avis intitulé : Vincentius Metellus cirratæ adolescentiæ , qui fait
connaître
le nom du traducteur. Les fables sont au nombre d
du recto du folio 31 et finissent au bas du verso du folio 32. Je ne
connais
pas d’autre manuscrit de la même collection, que
ion II. Examen des fables d’Alexandre Neckam. Après avoir fait
connaître
l’auteur, je dois, en quelques mots, donner un ap
81 et Tanner482 en avaient parlé tour à tour, mais n’en avaient point
connu
le texte ; ce qui le prouve, c’est l’erreur commi
ts à celles du Romulus ordinaire. Celles qui correspondent aux fables
connues
de Phèdre sont moins nombreuses. Mais l’œuvre du
ection, enfouie dans le monastère où elle était née, ne lui était pas
connue
. Il m’est facile de justifier ma thèse. À l’aide
bable que Phèdre, oublié depuis plusieurs siècles, ne lui était guère
connu
que de nom. Ce qui est possible, c’est qu’en deho
première correspond à la xxxvie des Fabulæ antiquæ de Nilant ; je ne
connais
pas de collection ancienne qui contienne les suje
um. Il est probable que, comme le mot Mythologia dans l’édition bien
connue
de Névelet sert de titre général à diverses colle
elée Romulus de Vienne et de Berlin. Il s’agit maintenant de la faire
connaître
. Tout d’abord je dois dire qu’elle est surtout im
collection contenue dans les trois manuscrits de Vienne et de Berlin
connaissait
non seulement la collection du Romulus Burnéien,
it fait négliger, c’est que j’ignorais son existence. Mais l’eussé-je
connue
, qu’il en eût été de même ; en effet, comme le ma
orence491, en a fait une courte description qui les fait suffisamment
connaître
. On me permettra, pour compléter l’analyse du man
manuscrit Digbéien sont précédées de titres très explicites qui font
connaître
le sujet de chacune. On les trouvera dans le seco
res, ne possède que 45 fables, et, comme c’est le seul que Nilant ait
connu
, il s’ensuit que, dans son édition de 1709, il n’
ntraire dérivé. Il faudrait, pour formuler une pareille objection, ne
connaître
ni le texte de Nilant, ni celui du Dérivé de cent
la traduction de Marie de France qui vont nous l’apprendre. J’ai fait
connaître
les divers éléments dont le Dérivé était formé. P
indispensable d’en savoir et à renvoyer ceux qui désireront la mieux
connaître
à l’édition de ses œuvres publiée par M. de Roque
tenus de donner sur eux les moindres renseignements, elle nous a fait
connaître
son nom et sa nationalité dans ce fameux vers de
ment tendre, entrepris sa traduction pour un prince anglais dont elle
connaissait
la personne que pour un sire de Dampierre, que, s
mpierre, que, s’il avait été son contemporain, elle n’aurait guère pu
connaître
que de nom. Aussi suis-je davantage porté à croir
nel peuist engingnier. D’autre part escrit à son mestre Ysopes, qui
connut
son estre, Unes fables qu’il ot trouées Del greu
présentent pas quelques-unes, qui, quoique étrangères aux cent trois
connues
, doivent lui être néanmoins attribuées. C’est ce
ans les autres manuscrits, et que M. de Roquefort ne paraît pas avoir
connus
et tout au moins, malgré leur ancienneté, s’est a
noire Comme a une blanche por voire. Le manuscrit 2173 n’a pas été
connu
de M. de Roquefort. F. Manuscrit 14971. Le
ues, n’en sont pas moins étrangères à Marie. Le manuscrit n’a pas été
connu
de M. de Roquefort. G. Manuscrit 19152. Le
7 à 58, 76, 78, 81, 83, 86 à 94 et 97 à 102. Ce manuscrit n’a pas été
connu
de M. de Roquefort. I. Manuscrit 24428. Ava
pes , écrite en gros caractères. Le manuscrit qui les contient a été
connu
de M. de Roquefort qui lui attribue la cote M. 18
qui a eu dans le fonds Notre-Dame la cote E. 6 et qui a été également
connu
de M. de Roquefort, forme un volume in-4º, compos
t n’en reste-t-il que les quinze premiers vers. M. de Roquefort qui a
connu
le manuscrit 25545 et qui lui attribue la cote N.
e penser qu’en réalité il n’a guère fait usage des sept qu’il a seuls
connus
. Les fables qui n’ont jamais figuré dans le manus
qu’il constitue une œuvre distincte qu’il est dès lors utile de faire
connaître
et que je vais transcrire ici : Au finement de c
mule, en a indiqué le contenu en termes trop laconiques pour le faire
connaître
. Voici en effet comment il en donne l’analyse :
. Seelmann dans les Niederdeutsche Denkmäler, à Brême, en 1878. Je ne
connais
pas ce manuscrit et je ne puis le décrire. Mais j
ndue par un langage ampoulé qui l’outrepasse. Si M. E. du Méril avait
connu
ce Dérivé, il est probable que ce défaut l’aurait
l devait être Anglais. Lorsqu’on songe que l’un des trois exemplaires
connus
du Romulus de Nilant est encore aujourd’hui en An
des fables rythmiques. 1º Manuscrit du British Museum. Je ne
connais
que deux manuscrits contenant les fables rimées.
n deux livres, comprenant l’un 18 fables et l’autre 34. Quoique je ne
connaisse
aucun autre exemplaire complet de la même œuvre,
ort, survenue depuis, sera longtemps regrettée de tous ceux qui l’ont
connu
. Le manuscrit forme un volume in-fol. et se compo
nt ce second exemple, on peut croire que l’auteur du Romulus de Berne
connaissait
Phèdre, et que, tout en prenant pour principal gu
Voyez p. 213.) 175. Cette édition de Cassitto est très rare. Je n’en
connais
qu’un exemplaire qui existe à Florence, dans la B
L’édition la plus ancienne ou tout au moins la première des éditions
connues
du Cornu copiæ est celle imprimée en caractères r
te rédaction paraît différer de celles que M. Léopold Hervieux a fait
connaître
dans l’ouvrage intitulé : Les Fabulistes latins d
, habile dans cet art, les a fait traduire aussi de façon à les faire
connaître
aux siens. » Romulus… und die Aesopische fabel im
je prends d’aborder vostre Personne, sans avoir l’honneur d’en estre
connu
; pour le peu d’apparence qu’il y a, qu’au lieu d
ion des Vite dei Santi Padri de Domenico Cavalca. Il a également bien
connu
le jeune Torquato Tasso, qu’il a probablement enc
mes héroïques, le San Giorgio, L’Aspromonte, le Boemondo, que nous ne
connaissons
que partiellement, un Encomium picturae en hexamè
de moi, c’en est fait de ta vie. Va renarder avec d’autres qui ne te
connaissent
pas, choisis d’autres bêtes pour en faire des roi