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1 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — III. Le Loup plaidant contre le Renard pardevant le Singe. » p. 474
, crié, tempesté, Le Juge instruit de leur malice, Leur dit : Je vous connois de long-temps, mes amis ; Et tous deux vous payre
2 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 221 » p. 157
i quand les scélérats exercent leur méchanceté parmi des gens qui les connaissent , ils ne gagnent rien à leurs machinations.
3 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 113 » pp. 309-309
euple les Arabes sont menteurs et trompeurs ; leur langue en effet ne connaît pas la vérité. Chambry 113.2 Aliter — Autre
4 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 209 » p. 151
un âne. » C’est ainsi que les gens qui se vantent devant ceux qui les connaissent prêtent justement à la moquerie.
5 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 267 » pp. 182-182
qui font vanité des avantages d’autrui prêtent à rire à ceux qui les connaissent . Chambry 267.2 Aliter — Autre version.
6 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 69 » pp. 289-289
le dans un marais criait à tous les animaux : « Je suis médecin et je connais les remèdes. » Un renard l’ayant entendue s’écria
7 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — XVIII. L’Aigle et le Hibou. » p. 
autre foy de Hibou, Qu’ils ne se goberoient leurs petits peu ny prou. Connoissez -vous les miens ? dit l’Oiseau de Minerve. Non, di
8 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 49 » pp. 95-95
sais tout le jour ? » C’est ainsi que souvent les petites choses font connaître les grandes, et les choses visibles, les choses c
9 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 306 » pp. 73-73
qu’il avait même à Athènes des parents illustres, il lui demanda s’il connaissait aussi le Pirée. Le singe, croyant qu’il voulait p
10 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — FABLE I. Le Meusnier, son Fils, et l’Asne. » p. 721
avancé ;
 A quoy me resoudray-je ? Il est temps que j’y pense.
 Vous connoissez mon bien, mon talent, ma naissance. 
Dois-je dans
11 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
xistait plusieurs manuscrits ; j’ai fini par découvrir qu’on en avait connu cinq. Je m’en suis procuré le texte, et, quand je
devoir de l’accomplir. Bref, ayant étudié tous les fabulistes latins connus et inconnus, j’ai pris le parti de faire profiter
e édition de Phèdre et de ses dérivés directs et indirects, j’ai fait connaître mon intention de ne pas m’en tenir à cette public
de ses anciens imitateurs directs et indirects, Et sur les Manuscrits connus et inconnus qui les renferment. Plan de l’ou
d’Orphée. 4º Époque de l’arrivée de Phèdre à Rome. — Après avoir fait connaître le vrai nom du fabuliste, le lieu de sa naissance
es termes : In calamitatem deligens quædam meam. Il suffit, pour la connaître , de bien comprendre ce vers. Dans la plus ancienn
n, et je crois qu’aucune des fables qui l’avaient irrité, ne nous est connue . Soit que le procès par lui intenté ait abouti à
olem et Ranæ regem petentes furent non seulement écrites, mais encore connues avant la chute de Séjan. Il croit que la première
ns considérait donc les fables ii et vi du livre Ier comme écrites et connues sous le règne de Tibère ; il paraît admettre auss
me semble facile à donner. Si le vindicatif favori de Tibère avait pu connaître le prologue du livre III, Eutyque aurait été impu
’appendice. Quelquefois enfin Phèdre puise ses récits dans le domaine connu de la mythologie ; tels sont ceux que présentent
, Phèdre avait cet honorable orgueil, qui est basé sur la foi, qui ne connaît point la morgue et qui n’inspire que la sympathie
s, dont les manuscrits soient aussi rares que ceux de Phèdre. On n’en connaît que cinq, dont l’un même n’existe plus ; ce sont 
a manqué à cette brillante période du progrès humain. Leurs noms sont connus  ; il est inutile de les rappeler. Ne parlons que
se ralliait l’accueillirent sans méfiance, et sa droiture était trop connue de ses anciens coreligionnaires, pour lui attirer
P. Pithou. » Telle est l’édition publiée par Pierre Pithou. Je n’en connais que 14 exemplaires, savoir : deux à la Bibliothèq
es manuscrits ». Il est possible que M. Berger de Xivrey ne l’ait pas connu  ; mais à l’égard des variantes, Daunou se trompe 
je m’abstiens de les transcrire. Je me permettrai seulement de faire connaître les particularités qui indiquent par quelles main
e général sous la cote 685. D. Q. C’est le plus bel exemplaire que je connaisse . Les marges en sont presque entières et la reliur
parfait état de conservation. Tels sont les seuls exemplaires que je connaisse de l’édition publiée par Pierre Pithou. Je revien
n qu’il a donnée des fables de Phèdre, il serait naturel que je fisse connaître ce qu’est devenu son manuscrit. Mais je dois aupa
tement révoquée en doute par M. Berger de Xivrey86 ; car le manuscrit connu de Gude fut celui de Reims. Beaucoup, comme Lessi
r que l’hiver suivant. L’hiver se passa, et M. Le Peletier ne fit pas connaître l’opinion du savant attendu. M. Berger de Xivrey,
s rex et Menander poeta une lacune, dont l’étendue était impossible à connaître , mais qui était certainement considérable, j’avai
ue la fable Vulpis ad рersопат tragicam, ne pouvait servir qu’à faire connaître l’âge du manuscrit ; c’était même, pour servir au
t pas moins voulu que son travail fût complet : pour faire exactement connaître les variantes du manuscrit relatives aux fables b
ariantes, par lesquelles elles différaient du texte de l’édition bien connue de Pierre Danet, publiée en 1675 dans le format i
. Rigault ne me paraît pas avoir vu le manuscrit de Reims ; il n’en a connu les variantes que par les notes écrites de la mai
n MS. Rem. Les lettres MS semblent donc désigner le premier manuscrit connu , le manuscrit fondamental, par opposition à celui
oyens on peut opérer la restitution du manuscrit brûlé, je dois faire connaître ce qu’il était. Dans une note manuscrite par lui
he une satisfaction toute particulière. Le manuscrit est généralement connu sous le nom de Vetus Danielis chartula. Bien des
savant antiquaire Paul Petau. Quoique le nom de ce savant soit encore connu des bibliophiles, l’oubli injuste dans lequel il
ion commence par cette phrase qui diffère également des deux versions connues du même passage de la Bible : « Inclina, Domine,
sont les derniers du volume. Le manuscrit de Daniel étant maintenant connu , je vais brièvement signaler et réfuter, en ce qu
de tant d’assertions aussi fausses que contradictoires, que je fisse connaître exactement les fables du manuscrit de Daniel. Il
ion de cet ouvrage, je ne l’avais pas encore rencontré. Si je l’avais connu , je ne l’aurais point passé sous silence. C’est u
rtir les particularités du modèle, les critiques désireux de les bien connaître , au lieu d’entreprendre le voyage de Rome, pourra
heure. S’il l’avait continuée, non pas jusqu’à la vieillesse qu’il ne connut pas, mais jusqu’à la fin prématurée de son existe
Perotti, évêque d’Amera, qui avait réuni en un seul volume les écrits connus de Niccolo, avait-il omis son Epitome. Dans ses A
onnant la nomenclature des œuvres de l’archevêque de Siponte qu’il ne connaissait que par la publication de Torquatus, avait à son
vait en sa possession autre chose que ce que son devancier avait fait connaître . À l’égard du Père Brotier, il semble ressortir c
este, témoigne ses doutes. “Non, lui dis-je, c’est bien Phèdre, je le connois parfaitement.” Pour convaincre ceux qui étoient p
tifier et publier, et il en confia la publication à un éditeur qui ne connaissait pas même la couverture du manuscrit. « Quand tout
sitto n’avait pu rien emprunter à ces deux ouvrages. Mais, soit qu’il connût quelque employé de l’imprimerie trop complaisant
ité des fables contenues dans les différents manuscrits que j’ai fait connaître . En écrivant la vie de Phèdre, j’ai imité mes dev
l’âge des fables, quand un audacieux critique, Pierre Schryver, plus connu sous le nom de Scriverius, déclara hardiment qu’i
e je n’en ajoute pas d’autre. Malheureusement Schryver ne pouvait pas connaître le recueil poétique de Perotti. Si cependant il a
s, au temps de Schryver qui lui-même s’y réfère, étaient parfaitement connues , et parmi elles aucune n’avait pu servir de texte
rait fournir bien d’autres arguments ; il promet presque de les faire connaître plus tard ; mais il est permis de supposer que ce
gument qu’il prévoyait. « Phèdre lui-même, lui écrivait-il207, a fait connaître qu’il était né en Thrace, dans la partie de ce pa
it songé à exprimer le moindre doute. Mais, aussitôt qu’elle leur fut connue , fascinés probablement par son audace, quelques-u
vianus dit de son œuvre ne permet pas de la confondre avec les fables connues  ; car il ne prit qu’une portion, aliquam partem,
, resolvit, de manière à en former cinq livres, tandis que les fables connues sont très nombreuses et pour la plupart on ne peu
possible d’admettre qu’Avianus ait songé aux fables latines que nous connaissons , quand on voit qu’il en a composé quarante-deux r
s l’année suivante par un autre savant allemand, Funck (de Marbourg), connu aussi sous le nom de Funccius. Il publia, en 1747
en doute l’authenticité du Phedre recouvré par notre M. Pithou aussi connu dans la Littérature que dans la Jurisprudence. Co
iment. Aussi ne faut-il pas déjà tant s’étonner que Sénèque n’ait pas connu les fables de Phèdre ou qu’il ait parlé comme s’i
u les fables de Phèdre ou qu’il ait parlé comme s’il ne les avait pas connues … Et il n’est pas nécessaire de recourir à la pauv
laquelle il s’exprimait ainsi sur les fables de Phèdre : « Celui qui connaît cette œuvre sait qu’elle contient plus que de sim
par les précédents critiques, cet aperçu aura l’avantage de les faire connaître en quelques pages231. Le silence des auteurs lati
ndant son exil dans l’île de Corse. Or, à cette époque, il ne pouvait connaître que les deux premiers livres, les seuls qui, suiv
pas autre chose. Il ne faut donc pas dire que la concision des fables connues soit un obstacle à ce que ce mot s’applique à leu
en cinq livres, adoptée par le philosophe et par l’auteur des fables connues  ? Pour n’y pas voir plus clair, il fallait qu’il
-Rémi. Il aurait donc voulu retrouver au moins un des deux manuscrits connus qui restaient encore. Il raconte lui-même quelles
Phèdre n’ait pas réussi à émouvoir le monde savant, je vais la faire connaître . C’est dans son Histoire de la fable ésopique 241
d’Auguste ; oui, il a été le contemporain de Sénèque ; oui, Sénèque a connu ses fables. Mais il n’en a pas parlé, parce que P
ances de la vie usuelle les apologues que la tradition lui avait fait connaître  ; il se bornait en général à un simple récit, san
r des écoliers, ils auraient traduit son nom comme le reste ; nous le connaîtrions aujourd’hui sous le nom de Phæder ; les lacunes o
eux-mêmes adopter les nouvelles formes de leur langage ; Martial, qui connaissait Phèdre, a pu imiter quelques-uns de ses vers ; en
e pouvoir de rouvrir un débat qui n’avait que trop longtemps duré. On connaît maintenant les discussions auxquelles a donné lie
uthenticité, trois dissertations fort savantes et malheureusement peu connues . Je ne m’occuperai que de la seconde ; c’est cell
s fables contenues dans son recueil. Toutes les fables d’Avianus sont connues  ; il n’en a écrit, de son propre aveu, que quaran
et peut-être, alors qu’ils étaient plus nombreux, Avianus n’en a-t-il connu que cinq. Mais il est probable que les cinq livre
ius semitam feci viam, Et cogitavi plura quam reliquerat. Or nous ne connaissons guère de Phèdre que 90 fables. Quand il s’inspira
guère de Phèdre que 90 fables. Quand il s’inspira d’Ésope, la matière connue de son devancier était considérable, et, comme il
n y trouve beaucoup de fables qui ne figurent pas dans les manuscrits connus de Phèdre, mais qui trahissent la même origine. A
. Mais toutes les formes de langage, usitées à Rome, ne nous sont pas connues , et, si l’on pouvait lire tout ce qui a été perdu
plus récents, ne rencontrant pas ces particularités dans les ouvrages connus des anciens, n’ont pas pu les reproduire, que l’o
ant lui, pourrait tout au plus figurer à côté du conte de Perrault si connu des enfants. Mais pourquoi, si Perotti l’a invent
, etc. » Mais Adry devait bien admettre que cette formule n’était pas connue de Perotti, et que, même si on voulait lui attrib
hypothèses au texte détruit, et que, si les vraies leçons en étaient connues , elle n’aurait peut-être pas le double défaut d’ê
Jannelli a eu recours, si notamment des fables les plus anciennement connues il avait, dans un groupement séparé, distingué ce
que les manuscrits de Phèdre n’aient jamais été retrouvés et qu’on ne connaisse que ceux de Perotti ; il est clair qu’à raison de
èse, il cite, en altérant, il est vrai, le second, ces deux vers bien connus d’Horace : Beatus ille qui procul negociis Pater
figure encore avec ses variétés le vers ïambique. Perotti a donc bien connu l’ïambe, et cependant il s’en est servi dans son
tre de son commencement, une nouvelle lacune, qu’il est impossible de connaître exactement ; mais, comme la seconde partie du liv
1822 à indiquer celles qu’ils ont omises, et à partir de 1822 à faire connaître , aussi complètement que je le pourrai, celles qui
importance, c’est qu’elles sont loin de se rapporter toutes au texte connu de l’auteur ancien. Sur 67 il n’y en a dans ce ca
les comparer à l’Æsopus ad Rufum. Mais cet examen comparatif suppose connues les deux collections de Wissembourg et du Romulus
le sait, l’œuvre du diacre Paul, auteur de l’hymne à saint Jean plus connue encore290. La page se termine par quelques maxime
à la plume destinés à servir d’illustrations à l’ouvrage de Prudence connu sous le nom de Psychomachia seu pugna Virtutum. V
fait souvent donner le nom d’Anonyme de Nilant à l’auteur maintenant connu des Fables antiques. Le titre du volume était ain
inion qu’aux premiers siècles du moyen âge, toutes les fables latines connues avaient été mises en prose et réunies en une sort
rai plus loin, et que notamment il faut partir de cette idée qu’on ne connaît et qu’il n’existe que deux collections qui soient
t 1870. « Monsieur,   « J’ai le regret de vous faire savoir que je ne connais nullement ni à Strasbourg, ni à Wissembourg, le C
le riche dépôt de notre bibliothèque de la ville de Strasbourg je ne connais aucun volume qui réponde aux indications que vous
chemin des découvertes. Ce qui en somme me préoccupait, c’était d’en connaître le contenu. Sachant que Gude l’avait étudié, je c
du manuscrit de Wissembourg différait sensiblement des autres dérivés connus . En effet Gude, qui en avait révélé l’existence,
our moi, c’était de savoir si le manuscrit était un recueil de fables connues , tel que ceux du Romulus ordinaire et de l’anonym
onyme de Nilant et de Romulus. Cette conviction accrut mon désir d’en connaître le contenu. Je repris mes recherches qui eurent e
il était impossible de me les laisser voir. J’étais trop impatient de connaître l’opuscule de Tross pour attendre qu’il eût plu à
e Wissembourg ne pourrait servir d’argument, que si celles des fables connues de l’auteur ancien qui s’y retrouvent appartenaie
r, le manuscrit de Wissembourg porte la cote 148 Gud. Pour m’en faire connaître le sens, M. von Heinemann a bien voulu me donner,
ote du manuscrit de Wissembourg montre que non seulement Gude l’avait connu , mais qu’encore il en avait été propriétaire. De
it de Wissembourg contient, en outre de celles de Phèdre actuellement connues , dix-sept autres fables qui ont la même origine ;
pas pris la peine de recourir à la vraie source que d’ailleurs il ne connaissait peut-être pas. Ainsi, par exemple, le copiste ava
se soit trompé. D’une part le manuscrit de Wissembourg n’était alors connu que de Gude qui n’en avait révélé l’existence que
nt péri, il était nécessaire, pour savoir ce qu’il avait été, de bien connaître ses deux dérivés directs. Le premier a été étudié
le point de savoir à qui ils se rapportent, on me permettra de faire connaître les divers documents qui peuvent servir à le réso
r qu’elle était tirée du même manuscrit. Or l’âge de ce manuscrit est connu  : on sait qu’il n’est pas plus récent que le comm
20 fables du livre I, 14 sont tirées de celles de Phèdre anciennement connues  ; ce sont les fables 1, 2, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10,
me j’ai déjà eu soin de l’annoncer, avoir recours à celui de son plus connu et plus proche dérivé, c’est-à-dire à celui du Ro
nnes, et toute son habileté a consisté à introduire les noms les plus connus de l’histoire et de la géographie romaines dans s
un Corpus fabularum, formé de toutes les collections de fables alors connues . Non seulement l’Æsopus ad Rufum n’a été créé qu’
l pas dès lors évident que, si toute l’œuvre antique parvenait à être connue , on finirait par voir celle de Romulus s’y rappor
en, qui, je le rappelle encore une fois, étant le plus ancien de ceux connus , est vraisemblablement celui qui contient la repr
uscrit de Wissembourg et de celles du Romulus primitif, j’ai pu faire connaître ce qu’était l’Æsopus ad Rufum. Mais entre lui et
eu lettré a, en les altérant, fait de toutes les fables latines alors connues un recueil, qui, comprenant non seulement les fab
cet ouvrage, occuperont la plus large place. À la rigueur, pour faire connaître son contenu, il me suffirait, dans ce premier cha
ithmétique. Quant au texte des fables, après ce que j’en ai déjà fait connaître , il me paraît superflu d’en parler de nouveau. La
jon, le 10 février 1870. « Monsieur,   « J’ai l’honneur de vous faire connaître que la bibliothèque publique ne possède pas le pl
ur les publier, et il mourut le 26 novembre 1689, sans avoir pu faire connaître toutes les richesses archéologiques qu’il avait a
Phillips’s library installée dans un palais particulier de style grec connu sous le nom de Thirlestaine house. C’est un volum
du faire aucun choix et n’en a-t-il publié que dix-sept faute d’avoir connu les autres. Elles sont ornées de gravures, accomp
Steinhöwel a été souvent réimprimée. Les deux réimpressions les plus connues et les plus conformes à l’édition originale sont
ue général, ce qui le rend assez difficile à trouver pour ceux qui ne connaissent pas l’organisation de la grande bibliothèque Lond
xemplaires de l’édition visée par Hain. Grâce à eux, je vais en faire connaître les particularités. Comme les précédentes, elle n
ait signalée et que Panzer avait puisé sa propre citation. Mais je ne connaissais pas alors le catalogue de 1738, et le silence de
er. Cette édition, publiée à Brunswick par l’éditeur Vieweg, est trop connue pour que j’en donne ici l’analyse. 8º Édition
aractères gothiques et orné de gravures sur bois. Comme elle est plus connue que les précédentes, je m’abstiens de l’analyser.
 D. LXXXVI. C. Édition de 1589. L’édition de 1589, dont je ne connais aucun exemplaire, m’a été révélée par la Biblioth
teur en théologie. Elle est trop célèbre pour que j’omette d’en faire connaître ici les éditions successives. 1º Édition origin
. Macho ne fut pas publiée seulement en France ; témoin l’édition peu connue de 1532, qui est signalée par Brunet356 et dont j
nte de cette courte analyse, et je renvoie ceux qui seront curieux de connaître plus complètement l’édition originale de Caxton a
uction de Caxton paraît avoir été longtemps réimprimée. Je vais faire connaître quelques-unes des réimpressions qui en ont été fa
un exemplaire de cette réimpression sous la cote Douce A. 500. Je ne connais pas d’exemplaires des deuxième, troisième et sixi
ulus dix-sept ont leur origine dans la traduction en prose des fables connues de Phèdre, savoir : dans les fables 1, 4, 5, 8, 1
talogue imprimé de la Bibliothèque royale de Munich que je vais faire connaître les manuscrits des Miroirs historial et doctrinal
légendes de saints365. Si l’opuscule du critique allemand était moins connu , je ne prendrais pas la peine de relever cette al
deux fois par Koburger, une fois sans date et une fois en 1485. Je ne connais et je ne puis décrire que la seconde de ces éditi
de gravures. Quant à leur date, elles ne la font qu’approximativement connaître par cet avis qui se réfère, non au travail du typ
d the VIII. of March the same year. Caxton me fieri fecit 392. Je ne connais pas d’autres éditions anglaises. Section VI. É
comme ne comportant qu’une seule analyse. Je vais donc, pour en faire connaître le contenu, donner la liste entière des fables do
’à l’époque à laquelle l’imprimerie a été découverte, les éditeurs ne connaissaient que les manuscrits de ce Romulus ; ce qui d’aille
était répandue ; ce qui m’autorise à tenir ce langage, c’est qu’il ne connaissait même pas l’origine de Salon dont il faisait un ci
ans son édition des fables de Phèdre, M. Dressler, qui paraît n’avoir connu ni l’ouvrage de M. Robert ni la glose du manuscri
doutes, celui-ci fut facilement accepté. Il est vrai que les ouvrages connus du célèbre Hildebert permettaient de le croire l’
au feuillet 101. Ce sont seulement les soixante fables primitivement connues . Chacune d’elles est précédée d’une glose dont l’
t, en même temps que d’un autre manuscrit que j’aurai bientôt à faire connaître , il s’en était servi en 1599 pour livrer à la pub
o du feuillet 66. Elles sont au nombre de 60, réparties par la raison connue sous 61 numéros. Chaque fable porte un titre spéc
t-Victor n’en a pas possédé un troisième ; mais encore Rigault n’en a connu qu’un seul : le manuscrit, auquel il fait allusio
n sur le texte latin des 5 fables étrangères à Walther, je vais faire connaître la liste complète de celles que le manuscrit cont
lther. Maintenant quel est l’auteur des additions ? Il n’est pas plus connu que celui de la première traduction. Ce qui est d
aurait révélé l’origine différente, et l’épilogue qui en aurait fait connaître l’auteur, et, afin d’éviter les doubles emplois,
dition du catalogue des manuscrits de Douai : « Jusqu’à présent on ne connaît donc que deux manuscrits des fables d’Ugobard, et
cédemment, je ne puis qu’engager ceux qui seront désireux de le mieux connaître , à lire l’analyse qui en est donnée dans le Catal
tit esbai lo jape… « Le volume, assez précieux par cette version peu connue , commence par un prologue et se termine par une f
uscrit. » Cette courte notice serait insuffisante pour le faire bien connaître . À raison de son importance je crois devoir en do
latine et la traduction auxquelles elle se rapporte. Pour faire mieux connaître cette disposition et la traduction elle-même, voi
en finir avec les manuscrits des bibliothèques françaises, qu’à faire connaître celui que possède la Bibliothèque de la ville de
s sont accompagnées d’un commentaire ; c’est ce que le catalogue fait connaître en ces termes : Æsopi fabulæ cum commento.
ulum bobusque ministrat. Au-dessous de ce vers on lit cet autre bien connu  : Finito libro sit laus et gloria Christi (sic),
e au milieu du recto du feuillet xxxiv, non seulement par le distique connu , mais encore par ce vers déjà bien des fois renco
Le manuscrit n’a guère de valeur ; il est l’œuvre d’un copiste qui ne connaissait ni la langue, ni la prosodie latines, de sorte qu
inum traducta. Tel est le titre de l’édition la plus ancienne que je connaisse . Elle a été imprimée à Rome en 1473, dans le form
um de Vivaldis eiusque filios die xvi. Nouembris Mcccclxxvi. Je ne connais pas d’exemplaire de cette édition signalée par Pa
Lacu Benaci per Gabrielem Petri Tarvisinum Anno Mcccclxxviiij. Je ne connais pas cette édition in-4 qui est citée par Panzer (
an de Prato, anno dñi M. cccc. lxxxviij Die ultima Decembris. Je ne connais pas d’exemplaire de cette édition in-4º, citée pa
dans plus de détails sur le contenu de cette édition ; pour le faire connaître , il me suffit de dire que, comme la précédente, e
t formée de deux cahiers, l’un de 8 feuillets et l’autre de 10. Je ne connais de cette édition qu’un exemplaire qui existe à la
liothèque, ne se trouve pas mentionnée dans les bibliographies que je connais  ; elle pourrait bien être sortie de la presse de
s soixante-deux fables les plus usuelles, précédées de la lettre bien connue de Thadée Ugoleto à Pérégrin Posthume Loticus, pr
euillet sans autre titre que le mot Prohemium qui précède le prologue connu . Elles sont accompagnées d’une glose et ornées ch
cinquante ans après. Schwabe et Dressler prétendent qu’il avait aussi connu le manuscrit de Saint-Victor et qu’il s’en était
e varietate accurate editæ. 1882. La dernière édition que je connaisse est celle qui a été publiée par M. Wendelin Fœrst
donnant l’analyse des traductions de ce Romulus, je les ai fait assez connaître pour n’avoir pas à y revenir. Quant à des traduct
en ce qui touche les traductions anglaises, que déclarer que je n’en connais aucune. § 4. — Traductions italiennes. En I
rit, que M. Ghivizzani ne mentionne pas, et qu’il ne paraît pas avoir connu , se compose de 68 feuillets en parchemin, dont l’
ité ses recherches à quelques bibliothèques italiennes, n’avait pu le connaître , est un petit volume in-4º composé de 98 feuillet
le sonnet italien et le sixain en vers élégiaques que j’ai déjà fait connaître . Ensuite on lit : Accii Zuchi summa Campaneæ Ver
inaire. — Une autre édition, devenue beaucoup plus rare que l’édition connue d’Aquilée, a été imprimée à la fin de la même ann
faciliter l’étude de la langue latine. La seule édition qui en soit connue consiste dans un petit volume in-4º, non chiffré,
avis intitulé : Vincentius Metellus cirratæ adolescentiæ , qui fait connaître le nom du traducteur. Les fables sont au nombre d
du recto du folio 31 et finissent au bas du verso du folio 32. Je ne connais pas d’autre manuscrit de la même collection, que
ion II. Examen des fables d’Alexandre Neckam.     Après avoir fait connaître l’auteur, je dois, en quelques mots, donner un ap
81 et Tanner482 en avaient parlé tour à tour, mais n’en avaient point connu le texte ; ce qui le prouve, c’est l’erreur commi
ts à celles du Romulus ordinaire. Celles qui correspondent aux fables connues de Phèdre sont moins nombreuses. Mais l’œuvre du
ection, enfouie dans le monastère où elle était née, ne lui était pas connue . Il m’est facile de justifier ma thèse. À l’aide
bable que Phèdre, oublié depuis plusieurs siècles, ne lui était guère connu que de nom. Ce qui est possible, c’est qu’en deho
première correspond à la xxxvie des Fabulæ antiquæ de Nilant ; je ne connais pas de collection ancienne qui contienne les suje
um. Il est probable que, comme le mot Mythologia dans l’édition bien connue de Névelet sert de titre général à diverses colle
elée Romulus de Vienne et de Berlin. Il s’agit maintenant de la faire connaître . Tout d’abord je dois dire qu’elle est surtout im
collection contenue dans les trois manuscrits de Vienne et de Berlin connaissait non seulement la collection du Romulus Burnéien,
it fait négliger, c’est que j’ignorais son existence. Mais l’eussé-je connue , qu’il en eût été de même ; en effet, comme le ma
orence491, en a fait une courte description qui les fait suffisamment connaître . On me permettra, pour compléter l’analyse du man
manuscrit Digbéien sont précédées de titres très explicites qui font connaître le sujet de chacune. On les trouvera dans le seco
res, ne possède que 45 fables, et, comme c’est le seul que Nilant ait connu , il s’ensuit que, dans son édition de 1709, il n’
ntraire dérivé. Il faudrait, pour formuler une pareille objection, ne connaître ni le texte de Nilant, ni celui du Dérivé de cent
la traduction de Marie de France qui vont nous l’apprendre. J’ai fait connaître les divers éléments dont le Dérivé était formé. P
indispensable d’en savoir et à renvoyer ceux qui désireront la mieux connaître à l’édition de ses œuvres publiée par M. de Roque
tenus de donner sur eux les moindres renseignements, elle nous a fait connaître son nom et sa nationalité dans ce fameux vers de
ment tendre, entrepris sa traduction pour un prince anglais dont elle connaissait la personne que pour un sire de Dampierre, que, s
mpierre, que, s’il avait été son contemporain, elle n’aurait guère pu connaître que de nom. Aussi suis-je davantage porté à croir
nel peuist engingnier. D’autre part escrit à son mestre Ysopes, qui connut son estre, Unes fables qu’il ot trouées Del greu
présentent pas quelques-unes, qui, quoique étrangères aux cent trois connues , doivent lui être néanmoins attribuées. C’est ce
ans les autres manuscrits, et que M. de Roquefort ne paraît pas avoir connus et tout au moins, malgré leur ancienneté, s’est a
noire Comme a une blanche por voire. Le manuscrit 2173 n’a pas été connu de M. de Roquefort. F. Manuscrit 14971. Le
ues, n’en sont pas moins étrangères à Marie. Le manuscrit n’a pas été connu de M. de Roquefort. G. Manuscrit 19152. Le
7 à 58, 76, 78, 81, 83, 86 à 94 et 97 à 102. Ce manuscrit n’a pas été connu de M. de Roquefort. I. Manuscrit 24428. Ava
pes , écrite en gros caractères. Le manuscrit qui les contient a été connu de M. de Roquefort qui lui attribue la cote M. 18
qui a eu dans le fonds Notre-Dame la cote E. 6 et qui a été également connu de M. de Roquefort, forme un volume in-4º, compos
t n’en reste-t-il que les quinze premiers vers. M. de Roquefort qui a connu le manuscrit 25545 et qui lui attribue la cote N.
e penser qu’en réalité il n’a guère fait usage des sept qu’il a seuls connus . Les fables qui n’ont jamais figuré dans le manus
qu’il constitue une œuvre distincte qu’il est dès lors utile de faire connaître et que je vais transcrire ici : Au finement de c
mule, en a indiqué le contenu en termes trop laconiques pour le faire connaître . Voici en effet comment il en donne l’analyse :
. Seelmann dans les Niederdeutsche Denkmäler, à Brême, en 1878. Je ne connais pas ce manuscrit et je ne puis le décrire. Mais j
ndue par un langage ampoulé qui l’outrepasse. Si M. E. du Méril avait connu ce Dérivé, il est probable que ce défaut l’aurait
l devait être Anglais. Lorsqu’on songe que l’un des trois exemplaires connus du Romulus de Nilant est encore aujourd’hui en An
des fables rythmiques. 1º Manuscrit du British Museum. Je ne connais que deux manuscrits contenant les fables rimées.
n deux livres, comprenant l’un 18 fables et l’autre 34. Quoique je ne connaisse aucun autre exemplaire complet de la même œuvre,
ort, survenue depuis, sera longtemps regrettée de tous ceux qui l’ont connu . Le manuscrit forme un volume in-fol. et se compo
nt ce second exemple, on peut croire que l’auteur du Romulus de Berne connaissait Phèdre, et que, tout en prenant pour principal gu
Voyez p. 213.) 175. Cette édition de Cassitto est très rare. Je n’en connais qu’un exemplaire qui existe à Florence, dans la B
L’édition la plus ancienne ou tout au moins la première des éditions connues du Cornu copiæ est celle imprimée en caractères r
te rédaction paraît différer de celles que M. Léopold Hervieux a fait connaître dans l’ouvrage intitulé : Les Fabulistes latins d
, habile dans cet art, les a fait traduire aussi de façon à les faire connaître aux siens. » Romulus… und die Aesopische fabel im
12 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « A MONSEIGNEUR. MOROSINI, AMBASSADEUR. ORDINAIRE DE LA. SERENISSIME REPUBLIQVE. DE VENISE, PRES DE SA MAJESTÉ. TRES-CHRESTIENNE. »
je prends d’aborder vostre Personne, sans avoir l’honneur d’en estre connu  ; pour le peu d’apparence qu’il y a, qu’au lieu d
13 (1570) Cento favole morali « Présentation »
ion des Vite dei Santi Padri de Domenico Cavalca. Il a également bien connu le jeune Torquato Tasso, qu’il a probablement enc
mes héroïques, le San Giorgio, L’Aspromonte, le Boemondo, que nous ne connaissons que partiellement, un Encomium picturae en hexamè
14 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 200 » pp. 336-336
de moi, c’en est fait de ta vie. Va renarder avec d’autres qui ne te connaissent pas, choisis d’autres bêtes pour en faire des roi
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