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1 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XI. L’homme, et son Image. » p. 
toûjours les miroirs d’estre faux,
 Vivant plus que content dans son erreur profonde.
 Afin de le guérir, le sort officieux

ec peine.
 On voit bien où je veux venir.
 Je parle à tous ; et cette erreur extrême
 Est un mal que chacun se plaist d’entret
2 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — XIV. L’Asne portant des Reliques. » p. 182
roit, Recevant comme siens l’Encens et les Cantiques. Quelqu’un vit l’ erreur , et lui dit : Maistre Baudet, ostez-vous de l’esp
3 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — XXI. L’Asne vestu de la peau du Lion. » p. 188358
Un petit bout d’oreille échapé par malheur, Découvrit la fourbe et l’ erreur . Martin fit alors son office. Ceux qui ne sçavoie
4 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XVIII. La Chate metamorphosée en Femme. » p. 50
douë, elle le flate, Il n’y trouve plus rien de Chate : Et poussant l’ erreur jusqu’au bout La croit femme en tout et par tout.
5 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — II. Les Membres et l’Estomach. » p. 130
er. 
Tous dirent à Gaster, qu’il en allast chercher.
 Ce leur fut une erreur dont ils se repentirent ;
 Bien-tost les pauvres
6 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XIII. L’Astrologue qui se laisse tomber dans un puits. » p. 40
ns prévenus, Les convertir en maux devant qu’ils soient venus ? C’est erreur , ou plutost c’est crime de le croire. Le Firmamen
7 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XVIII. Le Vieillard et ses enfans. » p. 53
ndamne. Creanciers et voisins reviennent aussi-tost ; Ceux-là sur une erreur , ceux-cy sur un défaut. Les freres desunis sont t
8 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XXII. L’Aloüette et ses petits, avec le Maistre d’un champ. » p. 325
la troisiéme fois le Maistre se souvint De visiter ses bleds. Nostre erreur est extrême, Dit-il, de nous attendre à d’autres
9 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
rrière me fit bientôt apercevoir, dans mes deux premiers volumes, des erreurs qui, pour avoir échappé à la perspicacité des éru
faux, que Phèdre eût écrit, non In calamitatem, mais In calamitate. L’ erreur du traducteur français n’avait pas échappé au sav
e en vers libres publiée en 188130, quoique ayant l’intuition de leur erreur , je ne m’étais pas cru l’autorité nécessaire pour
ur à prendre garde de se tromper, il tombe lui-même dans une fâcheuse erreur , qu’il a été entraîné à commettre par la fausse d
de Phèdre qu’il publia en 1809, Boinvilliers aggrava en ces termes l’ erreur de Brotier : « Les fables de Phèdre demeurèrent f
ai diplomatiquement, et, en procédant ainsi, je tâcherai d’éviter les erreurs matérielles qu’à tort ou à raison on soupçonne M.
uscrit, et je n’y ajouterais rien, si je n’avais pas à rectifier deux erreurs . D’abord le feuillet déchiré, dont le relieur de
ne débutait pas par les mots Primo namque. Ensuite je dois signaler l’ erreur qu’en voulant critiquer la division en cinq livre
de substituer à l’ordre des manuscrits ; mais, en reconnaissant leur erreur , il n’avait pas aperçu la véritable division, qui
cile. Aussi voit-on le Père Brotier, qui, tout en commettant quelques erreurs , a eu le mérite de recourir aux sources, s’en ser
aie, et il faut avouer qu’elle ne fait pas courir de grands dangers d’ erreur  ; car les deux manuscrits sont tellement semblabl
i avec le manuscrit de Saint-Remi, s’il n’avait pas été l’objet d’une erreur longtemps commise, qui a déjà été savamment réfut
e foncièrement inexacte, risquée par Boinvilliers, qui, brodant sur l’ erreur du Père Brotier et dans le manuscrit de Pithou et
les deux manuscrits, certains philologues avaient déjà bâti sur cette erreur une autre hypothèse, qui, pour différer de la pré
llège de Troyes, serait ensuite passé à l’abbaye de Saint-Remi. Cette erreur était, d’après Dom Vincent, formulée dans les Éph
ncore les deux manuscrits étaient pareils. On s’explique maintenant l’ erreur qui s’était accréditée. Cependant il y avait bien
l’a vu. Tout ce qu’ils en ont dit devait nécessairement fourmiller d’ erreurs . J’ai voulu faire et j’ai fait ce qu’ils auraient
ois pages ne contiennent que huit fables du premier livre ; c’est par erreur que MM. Guessard et Michelant, peu préoccupés d’a
dans leur édition de la chanson de geste, intitulée Otinel 133. Leur erreur provient de ce que la septième fable du manuscrit
llet 108, appartiennent au roman de Fier-à-bras et ont été reliés par erreur avec le roman d’Otinel 135. » Quant au sujet de
ement signaler et réfuter, en ce qui touche les fables de Phèdre, les erreurs commises par les critiques, qui, faute de l’avoir
tudie pas avec toute l’attention qu’elles exigent. Voyons d’abord les erreurs relatives au nombre même des fables. Depuis la pu
ine d’y recourir. Aussi ont-ils commis, les uns après les autres, les erreurs les plus étranges. Si l’on consulte l’édition de
ait voir à Rigault une fable étrangère au manuscrit. Mais il commit l’ erreur inverse, et, n’y jetant qu’un coup d’œil superfic
ntes qu’il avait si ingénument reproduites, il avait commis une autre erreur , qui cette fois n’était pas un lapsus calami ; el
manuscrit de Daniel embrassait les 21 premières fables, et comme une erreur , surtout à l’abri d’un nom sérieux, est toujours
’un peu plus de la deuxième moitié du premier livre ». Il y a là deux erreurs nouvelles : d’abord l’écriture du manuscrit démon
ls avaient fait mention de ses fables. Après avoir examiné les graves erreurs relatives au nombre des fables, il me reste à rel
’il avait dû tirer d’une autre source142. Puis, s’étant aperçu de son erreur , il avait, dans ses deux dernières éditions publi
vant elle était au moins étrange. Il n’avait pas commis là une simple erreur provenant de l’indication d’un manuscrit pour un
pas complètement accepté ce récit, et, après y avoir signalé quelques erreurs de détail, j’avais nettement exprimé l’opinion qu
est pas numéroté. Ici Perotti n’avait pas fait de double emploi, et l’ erreur ne vient que de la personne qui a inscrit les chi
s la peine de se rendre à l’abbaye de Saint-Remi, il aurait reconnu l’ erreur volontaire ou involontaire que Perotti avait comm
fausseté. Les uns et les autres auraient pu reconnaître aisément leur erreur . Mais l’homme mêle ses passions à toute chose, et
érité. Après M. Berger de Xivrey, M. E. Panckoucke, malgré toutes les erreurs que j’ai signalées dans son édition, a eu le méri
que M. du Méril tire de sa publication, manque de base. À part cette erreur de détail et quelques autres auxquelles je ne veu
ere ne signifie ni mettre en prose, ni développer, et signale ainsi l’ erreur de Christ, il en commet une autre à peu près semb
re commis au temps d’Auguste par un père sur son fils, et la ridicule erreur du joueur de flûte Leprince, qui prend pour lui l
erait aujourd’hui un keepsake. Il s’est complètement fourvoyé, et son erreur paraît provenir de ce qu’il n’a pas su qu’à la re
sic cœpit loqui. Il avait fait remarquer que le mot Vulpis, par une erreur de copiste, était ainsi écrit pour Vulpes, mot qu
m quid juvat pœnitere ? La comparaison ainsi faite m’avait induit en erreur , en me faisant croire que le manuscrit de Wissemb
son ignorance véritablement incroyable. » J’aurais bien ici quelques erreurs à signaler dans cette appréciation de M. H. Oeste
rd’hui les moyens d’éviter, en l’étudiant de nouveau, les inévitables erreurs de détail, que, faute de l’avoir vu, j’avais néce
nuscrit de Leyde, c’était la copie du manuscrit de Wissembourg. Cette erreur s’explique aisément, quand on sait par qui elle a
s Augustule. Il ne faut pas être trop prompt à les railler ; car leur erreur ne manquait pas de points d’appui. Le plus ancien
e. Dire que Romulus avait vécu au xiie  siècle, c’était commettre une erreur manifeste. En effet, dans le manuscrit de Leyde V
cents ans à peine : Est enim fere quingentorum annorum. Mais cette erreur avait été définitivement reconnue par M. Pertz, q
rit Burnéien et lui assignant le xe  siècle, ne pouvait tomber dans l’ erreur qui avait consisté à faire vivre Romulus au xiie
ble Romulus321. » Ce qui paraît avoir porté M. H. Oesterley à cette erreur , c’est que le codex Vossianus latinus in-8º, 15,
ié ce dernier anonyme d’après un manuscrit du xiiie  siècle, dernière erreur trop évidente pour que j’aie besoin de la faire r
é l’avait à tort attribué au xie  siècle ; mais, pour rectifier cette erreur , l’administration du British Museum n’avait pas a
général le résultat soit de changements dans l’ordre des mots, soit d’ erreurs involontaires dues à l’ignorance des copistes, et
r un x, de sorte qu’au lieu du nº xxiii elle porte le nº xviii. Cette erreur typographique permet d’affirmer que l’édition d’U
sarū fabularū. Par suite d’une aggravation plus haut expliquée de l’ erreur que Zeiner avait déjà commise, la fable vingt-tro
nkmut. Mais le bibliophile qui a risqué cette hypothèse a commis une erreur qu’explique, en l’absence des noms des imprimeurs
en prose. Fol. 43 a (g. i a). — Dans le titre courant par suite d’une erreur typographique on lit tertius au lieu de secundus.
ar les fabulæ extravagantes les titres courants offrent de nombreuses erreurs typographiques. Ainsi le fol. 71 a (l. i a) porte
17 fabule noue présentent, comme ceux des pages précédentes, quelques erreurs typographiques. Le fol. 81 b (m. iii b) et le fol
. 100 b (p. ii b). — Commencement des Fabulæ collectæ. Ici encore des erreurs s’aperçoivent dans les titres courants. Les fol. 
éditions plus anciennes de Sorg, la fable De Vulpe et Gallo porte par erreur le nº xxviii au lieu du nº xxiii. Les exemplaires
encore, dans chacune d’elles, la dix-septième de ces fables, par une erreur qui leur est spéciale, porte le nº xvi. Malgré ce
t le deuxième du cahier h ne sont pourvus d’aucune signature ; aucune erreur de numéro n’existe dans le cahier i et le cinquiè
cahier a, les cahiers d et h portent les signatures d.ij et h.ij, par erreur le quatrième feuillet du cahier i porte la signat
, quarum alique sunt consequenter posite. On rencontre de nombreuses erreurs dans les titres courants des pages qu’occupent le
copie des éditions précédentes, faite avec si peu d’attention, que l’ erreur de numéro n’a même pas été rectifiée à la dernièr
’Ésope divisée en vingt-huit épisodes dont le dernier par suite d’une erreur typographique est indiqué comme contenant La dixh
qu’il a exercé de 1518 à 1539 ; mais Brunet affirme que c’est là une erreur , qu’il a été imprimeur de 1530 à 1544, et que c’e
paternité. Le Speculum doctrinale comprend dix-huit livres. C’est par erreur que quelques bibliographes ne lui en attribuent q
de Valois ; mais l’époque où il fut écrit, démontre que c’est là une erreur et que ce roi fut saint Louis, qui d’ailleurs ava
de Vincent de Beauvais tiré de son Miroir historial. Par suite d’une erreur , qui, si elle émanait d’un autre, serait vraiment
raient, d’après leur numérotage, qu’au nombre de 311 ; mais c’est une erreur  ; car, si l’on se réfère à la table des cahiers,
tous de 8 feuillets. Les feuillets sont au nombre de 304 ; c’est par erreur que le dernier feuillet porte le nº 299 ; car il
a dû conduire. Pour sa satisfaction personnelle, Romulus, appelé par erreur Romalus et qualifié de Latinus magister, est char
ere et lepore. » En même temps que lui, Gyraldi tombait dans la même erreur . En effet, dans son Histoire des poètes, cet illu
t a lu le nom de Galfred dans le manuscrit nº 8259. Mais c’est là une erreur  : ce manuscrit porte pour titre ces mots : Hic i
cipale du vrai philologue, qui doit, sans lassitude, savoir marcher d’ erreur en erreur jusqu’à la vérité finale. Dans le manus
vrai philologue, qui doit, sans lassitude, savoir marcher d’erreur en erreur jusqu’à la vérité finale. Dans le manuscrit 8023,
rritus ? Voilà ce que je ne crois pas. Il ne faut pas oublier quelles erreurs grossières commettaient de bonne foi les moines d
che, en marge du prologue, je lis cette glose qui rend inexplicable l’ erreur de M. Endlicher : « Titulus ei talis est : Incipi
e Walther, et Dressler, sur la foi de Schwabe, est tombé dans la même erreur . Il faut reconnaître que le second était moins ex
attribuant le nº 893 et le titre de Liber Hisopi. C’était une double erreur qu’il avait empruntée à Labbé et que Dressler s’e
publique de cette ville possédait un manuscrit de Phèdre. C’était une erreur imputable aux bibliothécaires, qui, dans les inve
aperçu l’inexactitude, et n’avait-il, dans sa publication, maintenu l’ erreur commise que pour rester fidèle à son modeste prog
t facile de s’expliquer comment M. Duthillœul a si facilement admis l’ erreur de Dressler : Dressler n’ayant eu recours qu’à de
er , y sont indiquées comme commençant au feuillet 90. Mais c’est une erreur due à un système spécial de pagination, qui consi
demandent un roi, en forment en apparence soixante et une. C’est par erreur que, dans le Catalogue général des manuscrits des
Laon déclare que le manuscrit 461 ne renferme que 59 fables437. Cette erreur tient à ce que la dernière fable, ne portant pas
e Philipes le Long qui régnoit en 1316. » Mais il avait là commis une erreur , que M. Robert a su éviter et que, d’après lui sa
Lauretano Principe. Cette édition, signalée par Panzer460, qui par erreur lui assigne pour éditeur François Massari de Veni
gari. Ce sont ces mots qui, dans ma première édition m’induisant en erreur , m’avaient porté à supposer que l’édition contena
orte aux numéros des fables, il en existe soixante-quatre ; mais, par erreur , le nº 40 a été donné à celle qui suit la trente-
la cote CXIII. 7. 41304, un exemplaire qui me permet de signaler leur erreur et d’éviter, après avoir été moi-même entraîné pa
r, mais n’en avaient point connu le texte ; ce qui le prouve, c’est l’ erreur commise par Fabricius, qui, supposant à tort que
é la base unique. En tenant ce langage, je rectifie implicitement une erreur que j’ai commise dans ma première édition et qui
Codex Bigotianus. M. Robert lui attribue le nº 2094 ; mais c’est une erreur matérielle : avant d’avoir la cote 2904, il a bie
des manuscrits latins comme renfermant les fables d’Avianus, et cette erreur , qui s’explique d’ailleurs par l’identité du nomb
25, le premier éditeur, a reçu le nom de Romulus Roberti. C’était une erreur  : le texte cherché était bien irrévocablement per
perdu. Mais on me permettra d’ajouter, à ma décharge, que c’était une erreur excusable ; car on verra plus loin que des deux d
récéder le Traité d’Aristote qui est à la page 84. F I N. C’est par erreur que l’auteur de la nomenclature qui précède donne
u Romulus anglo-latin ? Adopter cette idée serait commettre une grave erreur . Quand, au lieu de s’arrêter à cette seule fable,
il n’avait pu lire. Pour qu’on puisse apprécier combien il a commis d’ erreurs , je vais, à l’aide de la première et de la vingt-
agment du texte qu’il avait rencontré à Göttingen. Cette inexplicable erreur n’est pas d’ailleurs la seule qui lui soit imputa
it sur la version anglaise541. Ce qui a conduit M. Gaston Paris à une erreur si singulière de la part d’un esprit aussi judici
n d’une dix-septième également en prose étrangère à ce fabuliste. Par erreur , les deux premières de celles qui sont dérivées d
s pas ce manuscrit et je ne puis le décrire. Mais je dois réfuter les erreurs qu’il a procuré à M. H. Oesterley l’occasion de c
bibliothèque de Wolfenbüttel, où il a reçu, non pas, comme le dit par erreur M. Oesterley, la cote Nov. 246549, mais la cote 9
tion et qu’en réalité elle était la quatrième. C’était de ma part une erreur que je m’empresse de reconnaître. 176. Neapoli,
Monachii, 1868-1881, in-8º. (Voyez t. I, 3e partie.) 395. C’est par erreur que, dans ma première édition, t. I, p. 686, je n
10 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
nts, apres lesquels il n’est pas aisé, ce me semble, de pardonner à l’ erreur de ceux qui les ont jugé capables de raisonnement
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