toûjours les miroirs d’estre faux,
Vivant plus que content dans son
erreur
profonde.
Afin de le guérir, le sort officieux
ec peine.
On voit bien où je veux venir.
Je parle à tous ; et cette
erreur
extrême
Est un mal que chacun se plaist d’entret
roit, Recevant comme siens l’Encens et les Cantiques. Quelqu’un vit l’
erreur
, et lui dit : Maistre Baudet, ostez-vous de l’esp
Un petit bout d’oreille échapé par malheur, Découvrit la fourbe et l’
erreur
. Martin fit alors son office. Ceux qui ne sçavoie
douë, elle le flate, Il n’y trouve plus rien de Chate : Et poussant l’
erreur
jusqu’au bout La croit femme en tout et par tout.
er.
Tous dirent à Gaster, qu’il en allast chercher.
Ce leur fut une
erreur
dont ils se repentirent ;
Bien-tost les pauvres
ns prévenus, Les convertir en maux devant qu’ils soient venus ? C’est
erreur
, ou plutost c’est crime de le croire. Le Firmamen
ndamne. Creanciers et voisins reviennent aussi-tost ; Ceux-là sur une
erreur
, ceux-cy sur un défaut. Les freres desunis sont t
la troisiéme fois le Maistre se souvint De visiter ses bleds. Nostre
erreur
est extrême, Dit-il, de nous attendre à d’autres
rrière me fit bientôt apercevoir, dans mes deux premiers volumes, des
erreurs
qui, pour avoir échappé à la perspicacité des éru
faux, que Phèdre eût écrit, non In calamitatem, mais In calamitate. L’
erreur
du traducteur français n’avait pas échappé au sav
e en vers libres publiée en 188130, quoique ayant l’intuition de leur
erreur
, je ne m’étais pas cru l’autorité nécessaire pour
ur à prendre garde de se tromper, il tombe lui-même dans une fâcheuse
erreur
, qu’il a été entraîné à commettre par la fausse d
de Phèdre qu’il publia en 1809, Boinvilliers aggrava en ces termes l’
erreur
de Brotier : « Les fables de Phèdre demeurèrent f
ai diplomatiquement, et, en procédant ainsi, je tâcherai d’éviter les
erreurs
matérielles qu’à tort ou à raison on soupçonne M.
uscrit, et je n’y ajouterais rien, si je n’avais pas à rectifier deux
erreurs
. D’abord le feuillet déchiré, dont le relieur de
ne débutait pas par les mots Primo namque. Ensuite je dois signaler l’
erreur
qu’en voulant critiquer la division en cinq livre
de substituer à l’ordre des manuscrits ; mais, en reconnaissant leur
erreur
, il n’avait pas aperçu la véritable division, qui
cile. Aussi voit-on le Père Brotier, qui, tout en commettant quelques
erreurs
, a eu le mérite de recourir aux sources, s’en ser
aie, et il faut avouer qu’elle ne fait pas courir de grands dangers d’
erreur
; car les deux manuscrits sont tellement semblabl
i avec le manuscrit de Saint-Remi, s’il n’avait pas été l’objet d’une
erreur
longtemps commise, qui a déjà été savamment réfut
e foncièrement inexacte, risquée par Boinvilliers, qui, brodant sur l’
erreur
du Père Brotier et dans le manuscrit de Pithou et
les deux manuscrits, certains philologues avaient déjà bâti sur cette
erreur
une autre hypothèse, qui, pour différer de la pré
llège de Troyes, serait ensuite passé à l’abbaye de Saint-Remi. Cette
erreur
était, d’après Dom Vincent, formulée dans les Éph
ncore les deux manuscrits étaient pareils. On s’explique maintenant l’
erreur
qui s’était accréditée. Cependant il y avait bien
l’a vu. Tout ce qu’ils en ont dit devait nécessairement fourmiller d’
erreurs
. J’ai voulu faire et j’ai fait ce qu’ils auraient
ois pages ne contiennent que huit fables du premier livre ; c’est par
erreur
que MM. Guessard et Michelant, peu préoccupés d’a
dans leur édition de la chanson de geste, intitulée Otinel 133. Leur
erreur
provient de ce que la septième fable du manuscrit
llet 108, appartiennent au roman de Fier-à-bras et ont été reliés par
erreur
avec le roman d’Otinel 135. » Quant au sujet de
ement signaler et réfuter, en ce qui touche les fables de Phèdre, les
erreurs
commises par les critiques, qui, faute de l’avoir
tudie pas avec toute l’attention qu’elles exigent. Voyons d’abord les
erreurs
relatives au nombre même des fables. Depuis la pu
ine d’y recourir. Aussi ont-ils commis, les uns après les autres, les
erreurs
les plus étranges. Si l’on consulte l’édition de
ait voir à Rigault une fable étrangère au manuscrit. Mais il commit l’
erreur
inverse, et, n’y jetant qu’un coup d’œil superfic
ntes qu’il avait si ingénument reproduites, il avait commis une autre
erreur
, qui cette fois n’était pas un lapsus calami ; el
manuscrit de Daniel embrassait les 21 premières fables, et comme une
erreur
, surtout à l’abri d’un nom sérieux, est toujours
’un peu plus de la deuxième moitié du premier livre ». Il y a là deux
erreurs
nouvelles : d’abord l’écriture du manuscrit démon
ls avaient fait mention de ses fables. Après avoir examiné les graves
erreurs
relatives au nombre des fables, il me reste à rel
’il avait dû tirer d’une autre source142. Puis, s’étant aperçu de son
erreur
, il avait, dans ses deux dernières éditions publi
vant elle était au moins étrange. Il n’avait pas commis là une simple
erreur
provenant de l’indication d’un manuscrit pour un
pas complètement accepté ce récit, et, après y avoir signalé quelques
erreurs
de détail, j’avais nettement exprimé l’opinion qu
est pas numéroté. Ici Perotti n’avait pas fait de double emploi, et l’
erreur
ne vient que de la personne qui a inscrit les chi
s la peine de se rendre à l’abbaye de Saint-Remi, il aurait reconnu l’
erreur
volontaire ou involontaire que Perotti avait comm
fausseté. Les uns et les autres auraient pu reconnaître aisément leur
erreur
. Mais l’homme mêle ses passions à toute chose, et
érité. Après M. Berger de Xivrey, M. E. Panckoucke, malgré toutes les
erreurs
que j’ai signalées dans son édition, a eu le méri
que M. du Méril tire de sa publication, manque de base. À part cette
erreur
de détail et quelques autres auxquelles je ne veu
ere ne signifie ni mettre en prose, ni développer, et signale ainsi l’
erreur
de Christ, il en commet une autre à peu près semb
re commis au temps d’Auguste par un père sur son fils, et la ridicule
erreur
du joueur de flûte Leprince, qui prend pour lui l
erait aujourd’hui un keepsake. Il s’est complètement fourvoyé, et son
erreur
paraît provenir de ce qu’il n’a pas su qu’à la re
sic cœpit loqui. Il avait fait remarquer que le mot Vulpis, par une
erreur
de copiste, était ainsi écrit pour Vulpes, mot qu
m quid juvat pœnitere ? La comparaison ainsi faite m’avait induit en
erreur
, en me faisant croire que le manuscrit de Wissemb
son ignorance véritablement incroyable. » J’aurais bien ici quelques
erreurs
à signaler dans cette appréciation de M. H. Oeste
rd’hui les moyens d’éviter, en l’étudiant de nouveau, les inévitables
erreurs
de détail, que, faute de l’avoir vu, j’avais néce
nuscrit de Leyde, c’était la copie du manuscrit de Wissembourg. Cette
erreur
s’explique aisément, quand on sait par qui elle a
s Augustule. Il ne faut pas être trop prompt à les railler ; car leur
erreur
ne manquait pas de points d’appui. Le plus ancien
e. Dire que Romulus avait vécu au xiie siècle, c’était commettre une
erreur
manifeste. En effet, dans le manuscrit de Leyde V
cents ans à peine : Est enim fere quingentorum annorum. Mais cette
erreur
avait été définitivement reconnue par M. Pertz, q
rit Burnéien et lui assignant le xe siècle, ne pouvait tomber dans l’
erreur
qui avait consisté à faire vivre Romulus au xiie
ble Romulus321. » Ce qui paraît avoir porté M. H. Oesterley à cette
erreur
, c’est que le codex Vossianus latinus in-8º, 15,
ié ce dernier anonyme d’après un manuscrit du xiiie siècle, dernière
erreur
trop évidente pour que j’aie besoin de la faire r
é l’avait à tort attribué au xie siècle ; mais, pour rectifier cette
erreur
, l’administration du British Museum n’avait pas a
général le résultat soit de changements dans l’ordre des mots, soit d’
erreurs
involontaires dues à l’ignorance des copistes, et
r un x, de sorte qu’au lieu du nº xxiii elle porte le nº xviii. Cette
erreur
typographique permet d’affirmer que l’édition d’U
sarū fabularū. Par suite d’une aggravation plus haut expliquée de l’
erreur
que Zeiner avait déjà commise, la fable vingt-tro
nkmut. Mais le bibliophile qui a risqué cette hypothèse a commis une
erreur
qu’explique, en l’absence des noms des imprimeurs
en prose. Fol. 43 a (g. i a). — Dans le titre courant par suite d’une
erreur
typographique on lit tertius au lieu de secundus.
ar les fabulæ extravagantes les titres courants offrent de nombreuses
erreurs
typographiques. Ainsi le fol. 71 a (l. i a) porte
17 fabule noue présentent, comme ceux des pages précédentes, quelques
erreurs
typographiques. Le fol. 81 b (m. iii b) et le fol
. 100 b (p. ii b). — Commencement des Fabulæ collectæ. Ici encore des
erreurs
s’aperçoivent dans les titres courants. Les fol.
éditions plus anciennes de Sorg, la fable De Vulpe et Gallo porte par
erreur
le nº xxviii au lieu du nº xxiii. Les exemplaires
encore, dans chacune d’elles, la dix-septième de ces fables, par une
erreur
qui leur est spéciale, porte le nº xvi. Malgré ce
t le deuxième du cahier h ne sont pourvus d’aucune signature ; aucune
erreur
de numéro n’existe dans le cahier i et le cinquiè
cahier a, les cahiers d et h portent les signatures d.ij et h.ij, par
erreur
le quatrième feuillet du cahier i porte la signat
, quarum alique sunt consequenter posite. On rencontre de nombreuses
erreurs
dans les titres courants des pages qu’occupent le
copie des éditions précédentes, faite avec si peu d’attention, que l’
erreur
de numéro n’a même pas été rectifiée à la dernièr
’Ésope divisée en vingt-huit épisodes dont le dernier par suite d’une
erreur
typographique est indiqué comme contenant La dixh
qu’il a exercé de 1518 à 1539 ; mais Brunet affirme que c’est là une
erreur
, qu’il a été imprimeur de 1530 à 1544, et que c’e
paternité. Le Speculum doctrinale comprend dix-huit livres. C’est par
erreur
que quelques bibliographes ne lui en attribuent q
de Valois ; mais l’époque où il fut écrit, démontre que c’est là une
erreur
et que ce roi fut saint Louis, qui d’ailleurs ava
de Vincent de Beauvais tiré de son Miroir historial. Par suite d’une
erreur
, qui, si elle émanait d’un autre, serait vraiment
raient, d’après leur numérotage, qu’au nombre de 311 ; mais c’est une
erreur
; car, si l’on se réfère à la table des cahiers,
tous de 8 feuillets. Les feuillets sont au nombre de 304 ; c’est par
erreur
que le dernier feuillet porte le nº 299 ; car il
a dû conduire. Pour sa satisfaction personnelle, Romulus, appelé par
erreur
Romalus et qualifié de Latinus magister, est char
ere et lepore. » En même temps que lui, Gyraldi tombait dans la même
erreur
. En effet, dans son Histoire des poètes, cet illu
t a lu le nom de Galfred dans le manuscrit nº 8259. Mais c’est là une
erreur
: ce manuscrit porte pour titre ces mots : Hic i
cipale du vrai philologue, qui doit, sans lassitude, savoir marcher d’
erreur
en erreur jusqu’à la vérité finale. Dans le manus
vrai philologue, qui doit, sans lassitude, savoir marcher d’erreur en
erreur
jusqu’à la vérité finale. Dans le manuscrit 8023,
rritus ? Voilà ce que je ne crois pas. Il ne faut pas oublier quelles
erreurs
grossières commettaient de bonne foi les moines d
che, en marge du prologue, je lis cette glose qui rend inexplicable l’
erreur
de M. Endlicher : « Titulus ei talis est : Incipi
e Walther, et Dressler, sur la foi de Schwabe, est tombé dans la même
erreur
. Il faut reconnaître que le second était moins ex
attribuant le nº 893 et le titre de Liber Hisopi. C’était une double
erreur
qu’il avait empruntée à Labbé et que Dressler s’e
publique de cette ville possédait un manuscrit de Phèdre. C’était une
erreur
imputable aux bibliothécaires, qui, dans les inve
aperçu l’inexactitude, et n’avait-il, dans sa publication, maintenu l’
erreur
commise que pour rester fidèle à son modeste prog
t facile de s’expliquer comment M. Duthillœul a si facilement admis l’
erreur
de Dressler : Dressler n’ayant eu recours qu’à de
er , y sont indiquées comme commençant au feuillet 90. Mais c’est une
erreur
due à un système spécial de pagination, qui consi
demandent un roi, en forment en apparence soixante et une. C’est par
erreur
que, dans le Catalogue général des manuscrits des
Laon déclare que le manuscrit 461 ne renferme que 59 fables437. Cette
erreur
tient à ce que la dernière fable, ne portant pas
e Philipes le Long qui régnoit en 1316. » Mais il avait là commis une
erreur
, que M. Robert a su éviter et que, d’après lui sa
Lauretano Principe. Cette édition, signalée par Panzer460, qui par
erreur
lui assigne pour éditeur François Massari de Veni
gari. Ce sont ces mots qui, dans ma première édition m’induisant en
erreur
, m’avaient porté à supposer que l’édition contena
orte aux numéros des fables, il en existe soixante-quatre ; mais, par
erreur
, le nº 40 a été donné à celle qui suit la trente-
la cote CXIII. 7. 41304, un exemplaire qui me permet de signaler leur
erreur
et d’éviter, après avoir été moi-même entraîné pa
r, mais n’en avaient point connu le texte ; ce qui le prouve, c’est l’
erreur
commise par Fabricius, qui, supposant à tort que
é la base unique. En tenant ce langage, je rectifie implicitement une
erreur
que j’ai commise dans ma première édition et qui
Codex Bigotianus. M. Robert lui attribue le nº 2094 ; mais c’est une
erreur
matérielle : avant d’avoir la cote 2904, il a bie
des manuscrits latins comme renfermant les fables d’Avianus, et cette
erreur
, qui s’explique d’ailleurs par l’identité du nomb
25, le premier éditeur, a reçu le nom de Romulus Roberti. C’était une
erreur
: le texte cherché était bien irrévocablement per
perdu. Mais on me permettra d’ajouter, à ma décharge, que c’était une
erreur
excusable ; car on verra plus loin que des deux d
récéder le Traité d’Aristote qui est à la page 84. F I N. C’est par
erreur
que l’auteur de la nomenclature qui précède donne
u Romulus anglo-latin ? Adopter cette idée serait commettre une grave
erreur
. Quand, au lieu de s’arrêter à cette seule fable,
il n’avait pu lire. Pour qu’on puisse apprécier combien il a commis d’
erreurs
, je vais, à l’aide de la première et de la vingt-
agment du texte qu’il avait rencontré à Göttingen. Cette inexplicable
erreur
n’est pas d’ailleurs la seule qui lui soit imputa
it sur la version anglaise541. Ce qui a conduit M. Gaston Paris à une
erreur
si singulière de la part d’un esprit aussi judici
n d’une dix-septième également en prose étrangère à ce fabuliste. Par
erreur
, les deux premières de celles qui sont dérivées d
s pas ce manuscrit et je ne puis le décrire. Mais je dois réfuter les
erreurs
qu’il a procuré à M. H. Oesterley l’occasion de c
bibliothèque de Wolfenbüttel, où il a reçu, non pas, comme le dit par
erreur
M. Oesterley, la cote Nov. 246549, mais la cote 9
tion et qu’en réalité elle était la quatrième. C’était de ma part une
erreur
que je m’empresse de reconnaître. 176. Neapoli,
Monachii, 1868-1881, in-8º. (Voyez t. I, 3e partie.) 395. C’est par
erreur
que, dans ma première édition, t. I, p. 686, je n
nts, apres lesquels il n’est pas aisé, ce me semble, de pardonner à l’
erreur
de ceux qui les ont jugé capables de raisonnement
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