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1 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 186 » pp. 133-133
ni l’un ni l’autre, l’un se trouvant hors de ses prises, puisqu’il n’ existait même pas, et l’autre ayant été entraîné par le co
2 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
r imagination ? Parmi toutes les éditions, quelle était la bonne ? En existait -il même une qui fût exempte de fautes ? Telles fu
mpis pour chercher le mot de l’énigme. En le cherchant, j’ai vu qu’il existait plusieurs manuscrits ; j’ai fini par découvrir qu
ion de ne pas m’en tenir à cette publication et d’exhumer tout ce qui existe encore des œuvres des fabulistes latins antérieur
des vers de Phèdre. Oui, ces vers offrent une antithèse ; mais elle n’ existe pas entre Phèdre, poète macédonien, et Linus et O
e Phèdre, poète macédonien, et Linus et Orphée, poètes thraces ; elle existe entre Phèdre, poète macédonien, d’une part, et d’
de, et Phèdre, si vieux qu’il fût, ne pouvait l’être assez pour avoir existé à l’époque de la victoire remportée sur les Thrac
it pu, suivant eux, impunément se permettre. Mais ces allusions n’ont existé que dans leur imagination. Phèdre n’avait pas eu
rares que ceux de Phèdre. On n’en connaît que cinq, dont l’un même n’ existe plus ; ce sont : 1º Le manuscrit de Pithou ; 2º L
liothèque à la ville de Berne, qui l’obtint en 1632. Les Gravisette n’ existent plus que par la descendance féminine. « Voilà nos
n manuscrit. Mais je dois auparavant rectifier les idées erronées qui existent sur l’origine de ce document. Pierre Pithou, indé
eims. Beaucoup, comme Lessing, croyaient que le manuscrit de Pithou n’ existait plus. Il s’était ainsi écoulé presque deux siècle
maire avec une note de Barbier ainsi conçue : « Ce précieux manuscrit existe encore aujourd’hui dans la bibliothèque de M. le
uit de préférence à tout autre ce passage du manuscrit. Là, en effet, existe une lacune, dont on ignore l’importance. La page
es et publiées, Dom Vincent avait craint qu’on ne s’imaginât qu’elles existaient dans le manuscrit. Pour éviter cette méprise, il
dû porter à penser qu’ils ne le possédaient pas, et la similitude qui existait entre les deux manuscrits pouvait faire croire qu
e celui de Reims n’était autre que celui qui avait servi à Pithou. Il existait entre eux une communauté d’origine, sur laquelle
des éditions antérieures, s’était écartée du manuscrit de Pithou. Il existe donc beaucoup de différences entre l’édition de 1
doute. Mais, s’il y avait deux manuscrits, il faut reconnaître qu’il existait entre eux une parenté incontestable. Il me paraît
’il confond ainsi le père avec le fils. En effet, l’illustre savant n’ existait déjà plus. En 1649, Isaac Vossius, son fils, étai
aite. Il était dix heures du matin. Il me promit que, si le manuscrit existait , il serait à onze heures à ma disposition sur une
du IIe livre139. » À lire ces lignes, on croirait que le manuscrit n’ existait plus. Comme aucun savant ne l’avait vu depuis cen
thou, appartiennent au premier vers de la fable xvi. Or cette fable n’ existe dans le manuscrit de Daniel ni en entier ni en fr
Siponte, et il n’avait que vingt-huit ans, lorsqu’il y fut élevé. Il existe même un document qui permet de fixer l’époque à l
où d’Orville avait pris sa célèbre copie. Mais alors comment, s’il n’ existait pas à Paris de copie du manuscrit de Parme, Phili
vec l’édition de Jannelli ; Que, dans les endroits où des différences existent , ce sont les éditions de Cassitto qui sont contra
i à l’instant même, et m’assura que le mardi suivant, si le manuscrit existait , il serait mis à ma disposition. Le jour indiqué,
ert d’eau très pâle, les caractères, partout où ils n’ont pas cessé d’ exister , sont très lisibles ; malheureusement l’humidité,
était dû à la plume d’un copiste, le premier de ces espaces blancs n’ existerait pas. Le copiste n’eût pas manqué de copier, sans
able aussi que les trente-quatre pages, laissées en blanc à la fin, n’ existeraient pas davantage. Il aurait pris les précautions néc
s longs, dans ses rares heures de loisir, sur un premier cahier qui n’ existe plus, les diverses poésies qui forment son recuei
ts pour déchiffrer les caractères évanouis du manuscrit de Naples, il existait à Rome, dans la bibliothèque du Vatican, un autre
notes sur Phèdre191. Cette inscription, qui, d’après Jean Troster192, existait encore en 1666, contenait ce vers de la fable xvi
dditions contemporaines de cette épître auxquelles il fait allusion n’ existaient qu’à l’état de projet, que, si quelques-unes data
d’autrui qui puisse s’apprécier ainsi. En voilà assez, je crois. S’il existe encore des sceptiques, je les engage à lire atten
crivains à son égard, on ne saurait pourtant point douter qu’il n’ait existé , comme l’a fait M. Christ qui prétendait que ses
notes de Barbier, dont l’une239 indiquait que le manuscrit de Pithou existait dans la bibliothèque de M. Le Peletier de Rosanbo
Lorsque parut la publication de M. Berger de Xivrey, le vieux Schwabe existait encore ; il eut, avant sa mort, la consolation d’
il le reconnaît, se sont trompés en prétendant que Phèdre n’avait pas existé , que les fables, attribuées à cet auteur, suivant
nèque ait pu se tromper, et d’autre part il lui paraît constant qu’il existait alors un fabuliste nommé Phèdre. Comment explique
-t-il cette contradiction apparente ? Très simplement : oui, Phèdre a existé  ; oui, il a été l’affranchi d’Auguste ; oui, il a
ments de fables ; il se rencontre aussi des fables licencieuses qui n’ existeraient pas ; les maîtres n’auraient pas voulu les laisse
n les imperfections qui se rencontrent dans les fables n’auraient pas existé dans des corrigés qui devaient être exempts de fa
ette lacune ? Il est donc évident qu’il a copié le fragment tel qu’il existait dans le manuscrit ancien. J’affirmerais pourtant
ues-unes sont en vers phaléciens ; aucune n’est en vers ïambiques. Il existe , dans l’Epitome de Perotti, un document qui prouv
is il a ainsi commis une faute sans importance, qui a sans doute plus existé dans la forme de la publication que dans la pensé
ion tirée de la nécessité de supposer un sixième livre qui n’a jamais existé , est ainsi complètement détruite, et les argument
er dessin n’est pas le seul. Au milieu du texte de chaque fable il en existe un, qui est toujours à la plume et qui a pour obj
ue notamment il faut partir de cette idée qu’on ne connaît et qu’il n’ existe que deux collections qui soient la copie ou plutô
issembourg, chef-lieu de l’une des sous-préfectures du Bas-Rhin, il n’ existe qu’une modeste petite bibliothèque, que je n’ai d
e ce vers inutile, Gude s’était efforcé de démontrer qu’en effet il n’ existait pas dans les anciens manuscrits, et notamment dan
able ésopique, j’appris que non seulement le manuscrit de Wissembourg existait encore, mais qu’il était conservé dans la bibliot
clare pas seulement, comme M. Berger de Xivrey, que, si ce feuillet a existé , il ne contenait rien qui se rapportât à Phèdre ;
ant lui, l’affirmation de Pithou ne permet pas de contester qu’il ait existé , mais encore il affirme qu’il contenait le commen
ctions se continuent jusqu’à la fin du IVe livre ; dans le Ve il n’en existe que d’insignifiantes, encore bien qu’il aurait eu
e Pithou ; ce qui semble tout naturel, quand, grâce au fac-similé qui existe dans l’édition de M. Berger de Xivrey, comparant
iv 9, iv 10, iv 11 et v 9. Ajoutons que cinq de ces dix-sept fables n’ existent pas dans les Fabulæ antiquæ ; ce sont celles inti
mparaison la fable intitulée le Geai vaniteux. La voici telle qu’elle existe dans le manuscrit de Pithou : Ne gloriari libea
faciliter les rapprochements, je la divise en autant de lignes qu’il existe de vers dans l’œuvre de Phèdre. La voici d’abord
incohérents une phrase intelligible, il emprunte le mot doleres qui n’ existe ni dans l’œuvre originale ni dans ses dérivés dir
ui contenaient le Prologue et les huit premières fables du Livre I, n’ existaient déjà plus, et avant la reliure ce qui manquait n’
e je vais me borner. Le manuscrit dans lequel la copie a été englobée existe aujourd’hui, sous la cote 783, à la Bibliothèque
être confondu avec le dernier empereur romain, mais qu’il avait bien existé sous le nom de Romulus. Schwabe s’était soumis à
in avant le 24 mars 1455. Ainsi pas de confusion possible. S’il avait existé un auteur du nom de Romulus, il n’avait eu rien d
tica le qualificatif Phrigia 314. Si, pour trancher la question, il n’ existait pas d’autres textes que ceux que je viens de rele
en ont mal compris le sens, et qu’en supposant que ce personnage eût existé , ces mots ne permettraient pas de le dire né à At
’était tout. Suivant Schwabe, il était permis de supposer qu’il avait existé à une époque beaucoup plus ancienne ; mais il lui
es des savants n’avaient servi qu’à accréditer cette idée qu’il avait existé vers le xiie  siècle un écrivain, nommé Romulus,
i lui avait assigné le xe  siècle. Or si, à cette époque, la dédicace existait , il en était évidemment de même des fables de Rom
qui avait consisté à faire vivre Romulus au xiie . Convaincu qu’il a existé un fabuliste de ce nom, voici comment il s’exprim
thèse318 ». En somme M. Oesterley déclare bien que Romulus n’a pas pu exister plus tard qu’au xe  siècle et réduit bien le cham
en quatre livres. Ou, comme dans le Romulus de Vienne, la division n’ existe pas, ou, comme dans le Romulus de Nilant, elle es
n le livre III et dernier embrasse 44 fables, dont quatorze seulement existent dans les anciennes de Phèdre. Elles portent les n
it Burnéien et divisée, comme précédemment, en autant de lignes qu’il existe de vers dans le texte antique : Ne qvis de alie
s du manuscrit de Wissembourg et de celles du Romulus primitif. Il existe un lien évident entre les fables du manuscrit de
qui porte le nom de Romulus n’a pas été une œuvre originale et qu’il existait , au siècle auquel appartiennent le manuscrit de W
i dans cette circonstance qu’une bonne partie des fables de Romulus n’ existe pas dans ce qui nous est resté de l’œuvre du fabu
faite du Romulus primitif. Il va m’être ainsi aisé de démontrer qu’il existe dans le manuscrit de Wissembourg des expressions
e ce qu’était l’Æsopus ad Rufum. Mais entre lui et les Fabulæ antiquæ existe-t -il une corrélation aussi étroite ? Voilà la quest
ment. » Quand on se réfère au tableau que j’ai dressé, on voit qu’il existe dans la collection de Romulus 32 fables étrangère
fabulis libellus, M. Müller a formulé une troisième hypothèse. « Il a existé , dit-il, au commencement du moyen âge un corps de
ue j’ai voulu qu’on pût se rendre compte du degré de ressemblance qui existe entre l’œuvre du fabuliste romain et celle du Rom
igne. C’est là que Gude l’a trouvé et l’a copié. Malheureusement il n’ existe plus ; il a dû périr avec l’abbaye elle-même pend
En outre ce copiste, trouvant probablement trop longs les titres qui existent dans les plus anciens manuscrits et devaient exis
les titres qui existent dans les plus anciens manuscrits et devaient exister dans son modèle, s’est permis, non de les remplac
on d’Ulm, qu’à signaler les exemplaires qui en restent. D’abord il en existe un auquel les travaux de Schwabe ont valu une not
ître ; la douzième est celle d’Ulm renversée ; la quatorzième d’Ulm n’ existe pas dans Augsbourg où elle est remplacée par la r
surtout à Munich et à Vienne qu’il faut aller les étudier. Mais il en existe aussi dans les bibliothèques moins importantes. P
entionnée sous le nº 327 de son Repertorium bibliographicum. Comme il existe deux éditions gothiques de 114 feuillets imprimés
t celle des deux qu’il avait voulu signaler. Mais j’y suis arrivé. Il existe et j’ai rencontré plusieurs exemplaires de l’édit
ux derniers étaient blancs. Mais ces deux feuillets blancs, s’ils ont existé , ne se voient plus dans les exemplaires reliés qu
hier h ne sont pourvus d’aucune signature ; aucune erreur de numéro n’ existe dans le cahier i et le cinquième feuillet du dern
re i. iiiij, et le cinquième feuillet du cahier q n’est pas signé. Il existe encore d’autres différences que, chemin faisant,
Il est entouré, sous forme d’arabesque, d’un encadrement gravé qui n’ existe pas dans la première édition de 114 feuillets ni
de extra ; au recto et au verso du feuillet l. viii les mêmes fautes existent  ; sur le verso du feuillet m. i on lit fa. noue a
e, l’autre en langue flamande. Des exemplaires de toutes ces éditions existent à la Bibliothèque nationale ; malheureusement, à
ation. Mais au British Museum, ainsi que je l’ai déjà expliqué336, il existe un exemplaire de l’édition de 1482 qui a été long
ais possédé. En réalité, elle ne l’avait jamais possédé parce qu’il n’ existait pas : la première édition publiée par Gérard Leeu
ernière fable de ce livre intitulée De Leonis fallaci conversatione n’ existe qu’en prose. Ensuite vient ce titre de la table d
, où le catalogue lui donne la cote IV. H. 3. Au British Museum il en existe un qui porte au catalogue de la Grenville library
numéros 111 à 178. Il semble au premier abord en résulter qu’il a dû exister , à l’origine, deux feuillets portant les numéros 
r par le seul exemplaire que j’aie eu sous les yeux, ils n’ont jamais existé  ; ce qui me le fait croire, c’est que je n’ai ape
burg : In | dem Augstmonat des. M.CCCCC. vnd | achtsten jares | . Il existe à la bibliothèque royale de La Haye un exemplaire
les latines publiées par Sébastien Brant. A. Édition de 1545. Il existe , au British Museum sous la cote 12 305. e. 15 et
traduction latine de Ranutio d’Arezzo et les vingt-sept d’Avianus. Il existe à la bibliothèque publique de Linz un exemplaire
eu et la date sont indiqués en ces termes : Zu Basel, Anno 1676. Il existe un exemplaire de cette édition au British Museum
hardi de Strasbourg qui furent les imprimeurs de celle de 1480. Il en existe , à la Grenville library sous la cote 7806, un exe
es. D’après le rédacteur du Catalogue de la Bibliothèque de Tours, où existe un exemplaire de cette édition sous le nº 3266, e
e de Auian de | Alfonce. Et aulcunes ioyeuses de Poge florentin. Il existe un exemplaire de cette édition à la Bibliothèque
forme un volume in-4º, orné de gravures sur bois, dont un exemplaire existe dans cette bibliothèque sous le nº 4693. Comme le
ussard près nostre-dame de Confort. MDXXXI, le vij iour de Mars. Il existe un exemplaire de cette édition à la bibliothèque
e, qui forme un petit volume in-12 imprimé en caractères de civilité, existe une page blanche sur laquelle a été écrite au cra
phy of William Caxton England’s first printer , et dont un exemplaire existe à la bibliothèque de l’Université de Cambridge so
ii à s iii et remplis par la table. Cette édition, dont un exemplaire existe à la Bibliothèque du British Museum sous la cote 
te de sir Roger l’Estrange, et le septième, celui en pied d’Ésope. Il existe un exemplaire de l’édition à la Bibliothèque Bodl
yflower, A. et J. Churchil, J. Hindmarsh, and G. Sawbridge, 1694. Il existe au British Museum un exemplaire de cette réimpres
tton, J. Nicholson, G. Sawbridge, T. Tooke, and G. Strahan, 1708. Il existe à la Bodléienne, sous la cote 291. f. 39, un exem
ton, J. Nicholson, G. Sawbridge, B. Tooke, and G. Strahan, 1714. Il existe au British Museum un exemplaire de cette réimpres
otte, | C. Ba-|thurst, D. Browne. and J. Hodge. | M.DCC.XXXVIII. Il existe à la Bodléienne un exemplaire de cette réimpressi
hiffré, mais pourvu de signatures et orné de gravures sur bois. Il en existe à la bibliothèque royale de La Haye un exemplaire
nalyse qui précède d’après un exemplaire, qui, sous la cote I. Z. 13, existe à la Bibliothèque de l’Escurial. 2º Édition de
-|berger aleman. An̄o. de mil. d. et. xxvj. a. x. dias de Abril. Il existe un exemplaire de cette édition à la Bibliothèque
est intitulée : Del patre y del hijo que yvā a vēder el asno , il en existe  26 dans l’édition de 1533 ; aux 22 premières en e
tos | y cinquenta y tres an̄os. Fol. 72 (i 8). — Feuillet blanc. Il existe , à la Bibliothèque de l’Escurial, un exemplaire d
édition d’Ulm. Page 384. Fin. Des exemplaires de l’édition de Plantin existent à la bibliothèque publique de Grenoble sous la co
été, comme celle de Plantin, imprimée à Anvers, et dont un exemplaire existe à la bibliothèque publique de Versailles sous la
ue cette édition renferme a le mérite d’être complète. Rien de ce qui existe dans l’édition de Zeiner n’a été oublié, et l’on
cace à Tiberinus qui dans l’édition de Plantin avait été omise. Il en existe un exemplaire sous la cote 12304 a 27 à la biblio
s de 5 feuillets et suivies de 9 pages de table non numérotées. Il en existe un exemplaire à la Bibliothèque Bodléienne sous l
s de 4 feuillets et suivies de 9 pages de table, non numérotés. Il en existe un exemplaire à la Bibliothèque Bodléienne sous l
4 pages numérotées, suivies de 4 pages de table non numérotées. Il en existe un exemplaire à la Bibliothèque Bodléienne sous l
s’ensuit qu’ils ne renferment pas tous les fables de Romulus. Elles n’ existent que dans le manuscrit 4897, qui comprend les 16 p
crits spéciaux. Les fables de Romulus, tirées du Miroir historial, existent isolément dans trois manuscrits spéciaux portant
s que possède la Bibliothèque nationale. Je dois dire d’abord qu’il n’ existe pas de manuscrit spécial du Romulus du Miroir doc
ditions latines des ouvrages de Vincent de Beauvais.     Quoiqu’il existe encore des manuscrits nombreux que je pourrais an
une rapidité qui aujourd’hui ne pourrait guère être dépassée. Il n’en existe que très peu d’exemplaires. Celui sur lequel j’ai
zzzz 4 ; puis il y en a 2 signés  et 9999 et 8 de AAAA 1 à HHHH 4. Il existe 33 cahiers de 8 feuillets et 2 de 6 ; ce qui donn
dérivé direct du Romulus primitif, qui à l’époque de leur naissance n’ existait déjà plus. On ne peut pour la détermination de le
ouvrir l’origine de ces fables, sont partis de cette idée qu’il avait existé un auteur nommé Romulus et que son œuvre consista
es de l’Anonyme ; ils ne pouvaient que se demander si celle qui seule existait pour eux, en avait été la source. C’est réduit à
Phèdre et celles de l’Anonyme n’ont rien de commun, que cependant il existe entre elles un trait d’union, qu’en effet, comme
arum liber cum glosa finit feliciter (un exemplaire de cette édition existe à la bibliothèque de Dijon sous le nº 10974, et à
de a à g, sans lieu, ni date, ni nom d’imprimeur, dont un exemplaire existe à la Bibliothèque cantonale de Berne sous la cote
imprimer ses fables, n’ont pas consulté avec soin les manuscrits qui existent , et à l’aide desquels on auroit pu corriger des v
èque nationale. Schwabe, sur la foi du savant Labbé, a cru qu’il n’ existait à la Bibliothèque nationale qu’un manuscrit des f
, et plus bas : Finito libro refferamus gratias Christo. Enfin il existe un vingt et unième feuillet, sur le recto duquel
remière édition de Phèdre. Était-ce dans l’un des deux manuscrits qui existent encore à la Bibliothèque nationale, ou bien dans
tour différer du texte de Rigault. Il n’en faut pas conclure qu’il a existé un troisième manuscrit de Saint-Victor. Non seule
t basé sur un argument bien faible ; car je montrerai plus loin qu’il existe à Londres et à Bruxelles deux autres manuscrits i
mme en étant la copie littérale ; car entre les unes et les autres il existe de grandes différences. D’abord les fables du man
anche, le manuscrit 1594 est dépourvu des quatre tables suivantes qui existent dans le manuscrit 1595 : 1. L’Inconstance de la
sler n’ayant eu recours qu’à deux manuscrits, il avait cru qu’il n’en existait pas d’autre, et que, s’il y en avait un troisième
ait à la fois le plus ancien et le plus complet. Cependant il doit en exister un troisième ; celui d’après lequel ont été impri
manuscriptorum de Haenel qu’un recueil de fables de Phèdre manuscrit existait à la bibliothèque communale de Douai, m’écrivit e
ment au centre d’un des quaternes manquent deux feuillets, qui, s’ils existaient , seraient les xxviiie et xxixe du volume, et, a
qui demandent un roi ayant été divisée en deux parties, il devrait en exister soixante et une ; mais trois ont disparu avec les
uliers. La lettre initiale de chaque fable, écrite à l’encre rouge, n’ existe même que dans les premières. En ce qui touche le
n n’indiquait que la fin de cette fable eût, avec les deux dernières, existé auparavant sur un feuillet disparu. Les fables ét
figuré après sa mort à la vente de ses livres. Il est probable qu’il existe encore ; mais je ne saurais dire dans quelles mai
rouge, et est en outre accompagnée de gloses marginales. En tête il n’ existe pas de titre général ; mais à la fin on lit : Ex
ens d’Accio Zuccho furent pour la première fois publiés à Vérone, ils existaient depuis dix-sept années au moins. Le manuscrit for
t la glose qui accompagne les fables, elle n’est pas la seule : il en existe une seconde qui est écrite sur deux colonnes, et
um Johannem Fabri anno domini. M.cccc.lxxxx. die xxiii Januarii. Il existe un exemplaire de cette édition à la Bibliothèque
vembris. C’est la première des éditions imprimées à Deventer. Il en existe des exemplaires à la Grenville library sous le nº
nt les initiales A. L. Cette édition est du grand format in-4º. Il en existe , sous le nº 1840 substitué au nº 1620, un exempla
plaires relativement considérable ; car ils ne sont pas rares ; il en existe notamment a la bibliothèque royale de Munich, sou
emplaires de cette édition qui forme un volume in-4º de 39 feuillets, existent l’un, sous la cote B. 73, à la bibliothèque publi
pression in-4º de l’édition de Deventer. Sous la cote Douce 58, il en existe un exemplaire à la bibliothèque Bodléienne. 1
Deventer : elle est signalée par Panzer, t. I, p. 363, nº 100. Il en existe au British Museum un exemplaire sous la cote I073
et l’autre de 10. Je ne connais de cette édition qu’un exemplaire qui existe à la bibliothèque du palais Brera sous la cote AM
anzer, t. I, p. 363, nº 96, et par Hain, t. I, p. 35, nº 315. Si elle existe , il ne faut pas la confondre avec l’édition in-4º
n’en fasse pas mention, cette édition a été imprimée à Brescia. Il en existe un exemplaire au British Museum sous la cote 1230
Je n’ai trouvé qu’un seul exemplaire de cette rarissime édition : il existe à la bibliothèque de l’Université de Bâle sous la
ts et tes cahiers B et E de six, soit un total de 36 feuillets. Il en existe à la bibliothèque royale de Bruxelles, sous le nº
de l’édition publiée à Deventer, en 1490, par Jacques de Breda. Il en existe à la bibliothèque de l’Université de Bâle un exem
araît être une réimpression de la première édition de Deventer. Il en existe un exemplaire sous le nº 2626 à la Bibliothèque r
meur, le tout dans un riche encadrement. Sous la cote C. 38. d. 1, il existe à la Bibliothèque du British Museum un exemplaire
Lyon. Elle n’est citée dans aucun répertoire bibliographique. Il en a existé un exemplaire dans la bibliothèque du marquis de
aladi. M. D. vii. Nono Kal. Aprilis. Un exemplaire de cette édition existe à la Bibliothèque palatine de Parme sous la cote 
té au verso du dernier feuillet. Un exemplaire de cette édition in-4º existe sous le nº 7740 à la Grenville library. —  Esopi
is représente sur un globe un aigle dont les ailes sont déployées. Il existe à la bibliothèque du palais Brera un exemplaire d
udraient attribuer à Salon de Parme les fables en vers élégiaques. Il existe des exemplaires de cette édition à la Grenville l
|| A B C D E F G H I K L M || N O P Q R. || Omnes sunt quaterni. Il existe des exemplaires de cette édition à la Bodléienne
e de six ; ce qui donne un nombre total de quarante-six feuillets. Il existe un exemplaire de cette édition à la Grenville lib
ression augmentée ; car à la suite des huit ouvrages ordinaires il en existe un neuvième. Elle forme un volume in-4º de grand
tis. Anno m.d.xlvii.  || Mense Maii. Un exemplaire de cette édition existe à la Bibliothèque Marcienne sous la cote CXXIX. 9
a || de D. Mattheo da Besozzo. Nel anno del || Signore m.d.lxi. Il existe à la Bibliothèque palatine de Parme un exemplaire
au bas du feuillet 40 a et sont suivies d’une table des matières. Il existe à la bibliothèque Ambrosienne un exemplaire de ce
s le Catalogue de la Bibliothèque de l’Université de Ferrare, où elle existe sous la cote H. 2. 7. in 12, lui assigne la date
out est appelé Esopo. Indépendamment de ce premier frontispice, il en existe un second ainsi conçu : Apologorum, || ac fabel
Typis Seminarii. || MDCCCXIII. Le volume se compose de 296 pages. Il existe un exemplaire de cette édition dans la Bibliothèq
glaises directement faites sur les distiques latins, j’ignore s’il en existe . M. Fleutelot, dans la Préface qu’il a mise en tê
même traduction. Si l’on s’en rapporte aux numéros des fables, il en existe soixante-quatre ; mais, par erreur, le nº 40 a ét
porte le nº 64 est intitulée : Della Golpe et del Granchio  ; elle n’ existe dans aucun autre manuscrit. Elle se termine au fe
t le cinquante-sixième et les deux derniers sont blancs. En outre, il existe en tête quatre feuillets non chiffrés, dont les d
et sempre sia Dio laudato et benedicto ! Amen. Cette mention finale existe en termes un peu différents dans l’édition Berti
nomenclature indique soixante-quatre chapitres ; mais en réalité il n’ existe que soixante-deux fables, les soixante authentiqu
est celle qui a été imprimée en 1496 par Francesco Bonaccorsi. Il en existe , à la Bibliothèque Riccardienne, un exemplaire ma
des exemplaires tant sur parchemin que sur papier. Des premiers l’un existe à la Bibliothèque Bodléienne, sous la cote Mortar
reria Gamba, || 1840. Édition in-18 de 136 pages, dont un exemplaire existe dans la Bibliothèque de Vérone. 1847. E
ona tip. Libanti MDCCCXLVII. Édition in-12 de xxvi-91 pages, dont il existe des exemplaires à la Bibliothèque Marcienne, sous
our lui le motif qui l’a obligé à limiter ainsi sa publication. Il en existe des exemplaires à la Bibliothèque de l’Université
Palatine. Malheureusement elle est plus luxueuse que correcte. Il en existe un exemplaire à la Bibliothèque du palais Brera.
e correzioni), enfin de la page 269 à la page 285, trois tables. Il existe un exemplaire de cette édition dans la Bibliothèq
. Le verso du quatre-vingt-deuxième et dernier feuillet est blanc. Il existe un exemplaire de cette édition à la Bibliothèque
ic) Mediolani. L’avant-dernier feuillet est occupé par la table. Il existe des exemplaires de cette édition au British Museu
Cette édition forme un volume in-8º orné de gravures sur bois. Il en existe un exemplaire à la bibliothèque Bodléienne sous l
enetiis per Augustinum de Bindonis, anno Domini M. d. xxxxiiii. Il existe un exemplaire de cette édition dans la bibliothèq
ulus ordinaire ce membre de phrase : Si Canes obsides darent , qui n’ existe pas dans les Fabulæ antiquæ, et que Neckam au con
ici pour exemple la fable du Lièvre, de l’Aigle et du Moineau, qui n’ existe pas dans le Romulus ordinaire. Elle figure dans c
brorum manuscriptorum Angliæ et Hyberniæ imprimé à Oxford en 1697, il existe à Cambridge, dans le collège de la Sainte-Trinité
ationale, n’est pas la seule qui en ait été faite au moyen âge. Il en existe une autre dans un manuscrit de la bibliothèque de
 De Lupo et Agno, xii. De Pavone, Graculo et Avibus, qui au contraire existent dans la collection parisienne. Mais en revanche o
e je vais maintenant m’occuper. Malheureusement les manuscrits qui en existaient au xie  siècle ont disparu, et elle ne s’est révé
n qui possède ces fables peut provenir de celle dans laquelle elles n’ existent pas. Pour l’admettre, j’ai, dans ma première édit
, quoique ne comprenant que cinquante fables, il en possède une qui n’ existe pas dans le manuscrit 303, à savoir : la fable du
e Vienne, je dois logiquement attribuer le même caractère à celle qui existe dans le manuscrit latin in-8º 87 de la Bibliothèq
its de Vienne 901 et de Berlin 87 offrent des leçons identiques qui n’ existent pas dans le manuscrit de Vienne 303. Il est évide
ne 901 et de Berlin 87 présentent parfois des leçons semblables qui n’ existent pas dans le manuscrit de Vienne 303, il est proba
uis mis à la recherche des autres exemplaires qui pouvaient encore en exister , et j’ai été assez heureux pour en découvrir deux
vanche, les Fabulæ antiquæ comprennent les 32 fables suivantes, qui n’ existent pas dans le Romulus de Nilant, savoir : Nos de
du, qui d’ailleurs, dans le manuscrit de la Bibliothèque nationale, n’ existe qu’à l’état de fragment, toutes les fables de ce
fait partie de la bibliothèque de Paul Petau. Il ne peut sur ce point exister aucun doute ; car on reconnaît son écriture dans
ts. Or, Alfred le Grand remonte à une époque où le texte à traduire n’ existait pas encore, et, comme les manuscrits dans lesquel
édition, m’étant posé la question de savoir si le Romulus anglo-latin existait encore, j’avais cru en apercevoir un fragment dan
aurais été tout naturellement conduit à apercevoir le lien intime qui existait entre le Romulus de Nilant et ce mystérieux Romul
utre : La Vache, la Brebis, le Bélier et le Lion. Or, ces deux fables existent à la même place dans la collection qui porte le n
je prenais pour un fragment du Romulus anglo-latin en offre une qui n’ existe pas dans sa version, celle du Renard et des Raisi
que Nilant a publié il n’y a que 45 fables. Je me suis demandé s’il n’ existait pas d’autres manuscrits plus complets contenant l
= 113. En outre, il faut remarquer que dans la traduction de Marie il existe une fable, celle des Oiseaux élisant un roi, qui
de Marie il existe une fable, celle des Oiseaux élisant un roi, qui n’ existe pas dans le Dérivé, et qui, n’ayant certainement
ussi suis-je davantage porté à croire avec l’abbé de la Rue qu’elle a existé à la même époque que le bâtard de Henri II, qui,
t 14971, quoique ne comprenant que cent fables, en possède deux qui n’ existent pas dans l’édition de M. de Roquefort ; la premiè
Prêtre et du Loup, semblent s’élever à cent ; mais en réalité il n’en existe que 99, dont aucune ne porte de titre ; l’œuvre c
eut posséder les fables de Marie qu’à concurrence de 98. Mais il n’en existe en réalité que 97 ; en effet, les deux fables qui
Hommes, l’un véridique et l’autre menteur ; mais en réalité, il n’en existe que 56, et par suite il en manque 47, dont les nu
81 ; mais par suite de la disparition de plusieurs feuillets, il n’en existe plus que soixante-trois. Encore la soixante-trois
e de Marie534. Il en conclut que, si on les y rencontre, c’est qu’ils existaient déjà dans la traduction anglaise faite sur le Rom
Or, entre le Romulus Roberti et l’œuvre de Marie cette concordance n’ existe pas, et dès lors on est tout naturellement porté
rent des expressions et même des lambeaux de phrase semblables, qui n’ existent pas dans le Romulus de Nilant, c’est qu’ils les o
que je l’ai dit, le texte du Dérivé partiel du Romulus anglo-latin n’ existe que dans deux manuscrits, appartenant à la Biblio
les deux premiers n’étant comptés que pour un seul, en réalité il en existe  195. Tout au haut du recto du premier feuillet et
ingt-deuxième et dernière fables, faire ressortir les différences qui existent entre le texte du manuscrit 347 C et celui de sa
t est défectueuse l’édition de M. Robert. Elle n’est pas la seule qui existe  : dans l’opuscule que M. Herman Oesterley a, en 1
rsion anglaise, entre son texte et celui du Romulus anglo-latin, il n’ existerait aucun rapport ; et, comme ce Romulus est lui-même
onne du pluriel. D’autre part, le Dérivé possède une expression qui n’ existe pas dans le Romulus primitif, mais qui appartient
edit collegio societatis Jesu Treverensis anno 1571. Ce manuscrit n’ existe plus à la bibliothèque de Trèves. Lors de la visi
n’a presque rien omis ; il a même conservé les fables vii et lx qui n’ existent pas dans le manuscrit Théol. 140. Mais ensuite, s
des fables latines dérivées du Romulus anglo-latin. Cette traduction existe dans un manuscrit du xve  siècle, qui appartient
der autant de fables que le Romulus primitif, en contenait deux qui n’ existaient pas dans ce dernier, celle du Buffle, du Loup et
seule collection poétique née de la prose du Romulus de Nilant. Il en existe une autre moins ancienne que j’ai déjà publiée et
is finis, caput et mediator. Malgré cette transformation, il ne peut exister de doute sur l’origine de l’œuvre : il me paraît
eable ; car on sait que la fable du Lion, du Buffle et du Loup, qui n’ existe pas dans le Romulus primitif, a été une forme nou
mprends que, lorsqu’on désire bien déterminer la corrélation qui peut exister entre deux collections de fables, on ne doive pas
il copiait l’œuvre d’un auteur qui déjà depuis longtemps sans doute n’ existait plus. Je m’en tiens à ces courtes réflexions : la
de Cambridge. Indépendamment du manuscrit du British Museum, il en existe un autre, qui m’a d’abord été révélé par le Catal
cution : innocentes opprimunt , et qui montrent que ces derniers ont existé presque certainement dans l’Æsopus et très probab
ition de Cassitto est très rare. Je n’en connais qu’un exemplaire qui existe à Florence, dans la Bibliotheca Maruccelliana, so
hwabe. Brunsvigæ, 1806, 2 vol. in-8º. (Voyez tome I, p. 37.) 296. Il existe aussi à Leyde deux exemplaires de cet opuscule, l
ns le nord et de Roux dans le midi. On sait que les noms de famille n’ existent en France que depuis la fin du xe  siècle et le c
rotobibliothecarii. | Oxonii, è Theatro Sheldoniano. | M.DC.LXXIV. Il existe des exemplaires de ce catalogue à la Bibliothèque
Oxonii, è Theatro Sheldoniano. | M.DCCXXXVIII. Voyez t. I, p. 76. Il existe un exemplaire de ce catalogue en 2 volumes in-fol
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