ni l’un ni l’autre, l’un se trouvant hors de ses prises, puisqu’il n’
existait
même pas, et l’autre ayant été entraîné par le co
r imagination ? Parmi toutes les éditions, quelle était la bonne ? En
existait
-il même une qui fût exempte de fautes ? Telles fu
mpis pour chercher le mot de l’énigme. En le cherchant, j’ai vu qu’il
existait
plusieurs manuscrits ; j’ai fini par découvrir qu
ion de ne pas m’en tenir à cette publication et d’exhumer tout ce qui
existe
encore des œuvres des fabulistes latins antérieur
des vers de Phèdre. Oui, ces vers offrent une antithèse ; mais elle n’
existe
pas entre Phèdre, poète macédonien, et Linus et O
e Phèdre, poète macédonien, et Linus et Orphée, poètes thraces ; elle
existe
entre Phèdre, poète macédonien, d’une part, et d’
de, et Phèdre, si vieux qu’il fût, ne pouvait l’être assez pour avoir
existé
à l’époque de la victoire remportée sur les Thrac
it pu, suivant eux, impunément se permettre. Mais ces allusions n’ont
existé
que dans leur imagination. Phèdre n’avait pas eu
rares que ceux de Phèdre. On n’en connaît que cinq, dont l’un même n’
existe
plus ; ce sont : 1º Le manuscrit de Pithou ; 2º L
liothèque à la ville de Berne, qui l’obtint en 1632. Les Gravisette n’
existent
plus que par la descendance féminine. « Voilà nos
n manuscrit. Mais je dois auparavant rectifier les idées erronées qui
existent
sur l’origine de ce document. Pierre Pithou, indé
eims. Beaucoup, comme Lessing, croyaient que le manuscrit de Pithou n’
existait
plus. Il s’était ainsi écoulé presque deux siècle
maire avec une note de Barbier ainsi conçue : « Ce précieux manuscrit
existe
encore aujourd’hui dans la bibliothèque de M. le
uit de préférence à tout autre ce passage du manuscrit. Là, en effet,
existe
une lacune, dont on ignore l’importance. La page
es et publiées, Dom Vincent avait craint qu’on ne s’imaginât qu’elles
existaient
dans le manuscrit. Pour éviter cette méprise, il
dû porter à penser qu’ils ne le possédaient pas, et la similitude qui
existait
entre les deux manuscrits pouvait faire croire qu
e celui de Reims n’était autre que celui qui avait servi à Pithou. Il
existait
entre eux une communauté d’origine, sur laquelle
des éditions antérieures, s’était écartée du manuscrit de Pithou. Il
existe
donc beaucoup de différences entre l’édition de 1
doute. Mais, s’il y avait deux manuscrits, il faut reconnaître qu’il
existait
entre eux une parenté incontestable. Il me paraît
’il confond ainsi le père avec le fils. En effet, l’illustre savant n’
existait
déjà plus. En 1649, Isaac Vossius, son fils, étai
aite. Il était dix heures du matin. Il me promit que, si le manuscrit
existait
, il serait à onze heures à ma disposition sur une
du IIe livre139. » À lire ces lignes, on croirait que le manuscrit n’
existait
plus. Comme aucun savant ne l’avait vu depuis cen
thou, appartiennent au premier vers de la fable xvi. Or cette fable n’
existe
dans le manuscrit de Daniel ni en entier ni en fr
Siponte, et il n’avait que vingt-huit ans, lorsqu’il y fut élevé. Il
existe
même un document qui permet de fixer l’époque à l
où d’Orville avait pris sa célèbre copie. Mais alors comment, s’il n’
existait
pas à Paris de copie du manuscrit de Parme, Phili
vec l’édition de Jannelli ; Que, dans les endroits où des différences
existent
, ce sont les éditions de Cassitto qui sont contra
i à l’instant même, et m’assura que le mardi suivant, si le manuscrit
existait
, il serait mis à ma disposition. Le jour indiqué,
ert d’eau très pâle, les caractères, partout où ils n’ont pas cessé d’
exister
, sont très lisibles ; malheureusement l’humidité,
était dû à la plume d’un copiste, le premier de ces espaces blancs n’
existerait
pas. Le copiste n’eût pas manqué de copier, sans
able aussi que les trente-quatre pages, laissées en blanc à la fin, n’
existeraient
pas davantage. Il aurait pris les précautions néc
s longs, dans ses rares heures de loisir, sur un premier cahier qui n’
existe
plus, les diverses poésies qui forment son recuei
ts pour déchiffrer les caractères évanouis du manuscrit de Naples, il
existait
à Rome, dans la bibliothèque du Vatican, un autre
notes sur Phèdre191. Cette inscription, qui, d’après Jean Troster192,
existait
encore en 1666, contenait ce vers de la fable xvi
dditions contemporaines de cette épître auxquelles il fait allusion n’
existaient
qu’à l’état de projet, que, si quelques-unes data
d’autrui qui puisse s’apprécier ainsi. En voilà assez, je crois. S’il
existe
encore des sceptiques, je les engage à lire atten
crivains à son égard, on ne saurait pourtant point douter qu’il n’ait
existé
, comme l’a fait M. Christ qui prétendait que ses
notes de Barbier, dont l’une239 indiquait que le manuscrit de Pithou
existait
dans la bibliothèque de M. Le Peletier de Rosanbo
Lorsque parut la publication de M. Berger de Xivrey, le vieux Schwabe
existait
encore ; il eut, avant sa mort, la consolation d’
il le reconnaît, se sont trompés en prétendant que Phèdre n’avait pas
existé
, que les fables, attribuées à cet auteur, suivant
nèque ait pu se tromper, et d’autre part il lui paraît constant qu’il
existait
alors un fabuliste nommé Phèdre. Comment explique
-t-il cette contradiction apparente ? Très simplement : oui, Phèdre a
existé
; oui, il a été l’affranchi d’Auguste ; oui, il a
ments de fables ; il se rencontre aussi des fables licencieuses qui n’
existeraient
pas ; les maîtres n’auraient pas voulu les laisse
n les imperfections qui se rencontrent dans les fables n’auraient pas
existé
dans des corrigés qui devaient être exempts de fa
ette lacune ? Il est donc évident qu’il a copié le fragment tel qu’il
existait
dans le manuscrit ancien. J’affirmerais pourtant
ues-unes sont en vers phaléciens ; aucune n’est en vers ïambiques. Il
existe
, dans l’Epitome de Perotti, un document qui prouv
is il a ainsi commis une faute sans importance, qui a sans doute plus
existé
dans la forme de la publication que dans la pensé
ion tirée de la nécessité de supposer un sixième livre qui n’a jamais
existé
, est ainsi complètement détruite, et les argument
er dessin n’est pas le seul. Au milieu du texte de chaque fable il en
existe
un, qui est toujours à la plume et qui a pour obj
ue notamment il faut partir de cette idée qu’on ne connaît et qu’il n’
existe
que deux collections qui soient la copie ou plutô
issembourg, chef-lieu de l’une des sous-préfectures du Bas-Rhin, il n’
existe
qu’une modeste petite bibliothèque, que je n’ai d
e ce vers inutile, Gude s’était efforcé de démontrer qu’en effet il n’
existait
pas dans les anciens manuscrits, et notamment dan
able ésopique, j’appris que non seulement le manuscrit de Wissembourg
existait
encore, mais qu’il était conservé dans la bibliot
clare pas seulement, comme M. Berger de Xivrey, que, si ce feuillet a
existé
, il ne contenait rien qui se rapportât à Phèdre ;
ant lui, l’affirmation de Pithou ne permet pas de contester qu’il ait
existé
, mais encore il affirme qu’il contenait le commen
ctions se continuent jusqu’à la fin du IVe livre ; dans le Ve il n’en
existe
que d’insignifiantes, encore bien qu’il aurait eu
e Pithou ; ce qui semble tout naturel, quand, grâce au fac-similé qui
existe
dans l’édition de M. Berger de Xivrey, comparant
iv 9, iv 10, iv 11 et v 9. Ajoutons que cinq de ces dix-sept fables n’
existent
pas dans les Fabulæ antiquæ ; ce sont celles inti
mparaison la fable intitulée le Geai vaniteux. La voici telle qu’elle
existe
dans le manuscrit de Pithou : Ne gloriari libea
faciliter les rapprochements, je la divise en autant de lignes qu’il
existe
de vers dans l’œuvre de Phèdre. La voici d’abord
incohérents une phrase intelligible, il emprunte le mot doleres qui n’
existe
ni dans l’œuvre originale ni dans ses dérivés dir
ui contenaient le Prologue et les huit premières fables du Livre I, n’
existaient
déjà plus, et avant la reliure ce qui manquait n’
e je vais me borner. Le manuscrit dans lequel la copie a été englobée
existe
aujourd’hui, sous la cote 783, à la Bibliothèque
être confondu avec le dernier empereur romain, mais qu’il avait bien
existé
sous le nom de Romulus. Schwabe s’était soumis à
in avant le 24 mars 1455. Ainsi pas de confusion possible. S’il avait
existé
un auteur du nom de Romulus, il n’avait eu rien d
tica le qualificatif Phrigia 314. Si, pour trancher la question, il n’
existait
pas d’autres textes que ceux que je viens de rele
en ont mal compris le sens, et qu’en supposant que ce personnage eût
existé
, ces mots ne permettraient pas de le dire né à At
’était tout. Suivant Schwabe, il était permis de supposer qu’il avait
existé
à une époque beaucoup plus ancienne ; mais il lui
es des savants n’avaient servi qu’à accréditer cette idée qu’il avait
existé
vers le xiie siècle un écrivain, nommé Romulus,
i lui avait assigné le xe siècle. Or si, à cette époque, la dédicace
existait
, il en était évidemment de même des fables de Rom
qui avait consisté à faire vivre Romulus au xiie . Convaincu qu’il a
existé
un fabuliste de ce nom, voici comment il s’exprim
thèse318 ». En somme M. Oesterley déclare bien que Romulus n’a pas pu
exister
plus tard qu’au xe siècle et réduit bien le cham
en quatre livres. Ou, comme dans le Romulus de Vienne, la division n’
existe
pas, ou, comme dans le Romulus de Nilant, elle es
n le livre III et dernier embrasse 44 fables, dont quatorze seulement
existent
dans les anciennes de Phèdre. Elles portent les n
it Burnéien et divisée, comme précédemment, en autant de lignes qu’il
existe
de vers dans le texte antique : Ne qvis de alie
s du manuscrit de Wissembourg et de celles du Romulus primitif. Il
existe
un lien évident entre les fables du manuscrit de
qui porte le nom de Romulus n’a pas été une œuvre originale et qu’il
existait
, au siècle auquel appartiennent le manuscrit de W
i dans cette circonstance qu’une bonne partie des fables de Romulus n’
existe
pas dans ce qui nous est resté de l’œuvre du fabu
faite du Romulus primitif. Il va m’être ainsi aisé de démontrer qu’il
existe
dans le manuscrit de Wissembourg des expressions
e ce qu’était l’Æsopus ad Rufum. Mais entre lui et les Fabulæ antiquæ
existe-t
-il une corrélation aussi étroite ? Voilà la quest
ment. » Quand on se réfère au tableau que j’ai dressé, on voit qu’il
existe
dans la collection de Romulus 32 fables étrangère
fabulis libellus, M. Müller a formulé une troisième hypothèse. « Il a
existé
, dit-il, au commencement du moyen âge un corps de
ue j’ai voulu qu’on pût se rendre compte du degré de ressemblance qui
existe
entre l’œuvre du fabuliste romain et celle du Rom
igne. C’est là que Gude l’a trouvé et l’a copié. Malheureusement il n’
existe
plus ; il a dû périr avec l’abbaye elle-même pend
En outre ce copiste, trouvant probablement trop longs les titres qui
existent
dans les plus anciens manuscrits et devaient exis
les titres qui existent dans les plus anciens manuscrits et devaient
exister
dans son modèle, s’est permis, non de les remplac
on d’Ulm, qu’à signaler les exemplaires qui en restent. D’abord il en
existe
un auquel les travaux de Schwabe ont valu une not
ître ; la douzième est celle d’Ulm renversée ; la quatorzième d’Ulm n’
existe
pas dans Augsbourg où elle est remplacée par la r
surtout à Munich et à Vienne qu’il faut aller les étudier. Mais il en
existe
aussi dans les bibliothèques moins importantes. P
entionnée sous le nº 327 de son Repertorium bibliographicum. Comme il
existe
deux éditions gothiques de 114 feuillets imprimés
t celle des deux qu’il avait voulu signaler. Mais j’y suis arrivé. Il
existe
et j’ai rencontré plusieurs exemplaires de l’édit
ux derniers étaient blancs. Mais ces deux feuillets blancs, s’ils ont
existé
, ne se voient plus dans les exemplaires reliés qu
hier h ne sont pourvus d’aucune signature ; aucune erreur de numéro n’
existe
dans le cahier i et le cinquième feuillet du dern
re i. iiiij, et le cinquième feuillet du cahier q n’est pas signé. Il
existe
encore d’autres différences que, chemin faisant,
Il est entouré, sous forme d’arabesque, d’un encadrement gravé qui n’
existe
pas dans la première édition de 114 feuillets ni
de extra ; au recto et au verso du feuillet l. viii les mêmes fautes
existent
; sur le verso du feuillet m. i on lit fa. noue a
e, l’autre en langue flamande. Des exemplaires de toutes ces éditions
existent
à la Bibliothèque nationale ; malheureusement, à
ation. Mais au British Museum, ainsi que je l’ai déjà expliqué336, il
existe
un exemplaire de l’édition de 1482 qui a été long
ais possédé. En réalité, elle ne l’avait jamais possédé parce qu’il n’
existait
pas : la première édition publiée par Gérard Leeu
ernière fable de ce livre intitulée De Leonis fallaci conversatione n’
existe
qu’en prose. Ensuite vient ce titre de la table d
, où le catalogue lui donne la cote IV. H. 3. Au British Museum il en
existe
un qui porte au catalogue de la Grenville library
numéros 111 à 178. Il semble au premier abord en résulter qu’il a dû
exister
, à l’origine, deux feuillets portant les numéros
r par le seul exemplaire que j’aie eu sous les yeux, ils n’ont jamais
existé
; ce qui me le fait croire, c’est que je n’ai ape
burg : In | dem Augstmonat des. M.CCCCC. vnd | achtsten jares | . Il
existe
à la bibliothèque royale de La Haye un exemplaire
les latines publiées par Sébastien Brant. A. Édition de 1545. Il
existe
, au British Museum sous la cote 12 305. e. 15 et
traduction latine de Ranutio d’Arezzo et les vingt-sept d’Avianus. Il
existe
à la bibliothèque publique de Linz un exemplaire
eu et la date sont indiqués en ces termes : Zu Basel, Anno 1676. Il
existe
un exemplaire de cette édition au British Museum
hardi de Strasbourg qui furent les imprimeurs de celle de 1480. Il en
existe
, à la Grenville library sous la cote 7806, un exe
es. D’après le rédacteur du Catalogue de la Bibliothèque de Tours, où
existe
un exemplaire de cette édition sous le nº 3266, e
e de Auian de | Alfonce. Et aulcunes ioyeuses de Poge florentin. Il
existe
un exemplaire de cette édition à la Bibliothèque
forme un volume in-4º, orné de gravures sur bois, dont un exemplaire
existe
dans cette bibliothèque sous le nº 4693. Comme le
ussard près nostre-dame de Confort. MDXXXI, le vij iour de Mars. Il
existe
un exemplaire de cette édition à la bibliothèque
e, qui forme un petit volume in-12 imprimé en caractères de civilité,
existe
une page blanche sur laquelle a été écrite au cra
phy of William Caxton England’s first printer , et dont un exemplaire
existe
à la bibliothèque de l’Université de Cambridge so
ii à s iii et remplis par la table. Cette édition, dont un exemplaire
existe
à la Bibliothèque du British Museum sous la cote
te de sir Roger l’Estrange, et le septième, celui en pied d’Ésope. Il
existe
un exemplaire de l’édition à la Bibliothèque Bodl
yflower, A. et J. Churchil, J. Hindmarsh, and G. Sawbridge, 1694. Il
existe
au British Museum un exemplaire de cette réimpres
tton, J. Nicholson, G. Sawbridge, T. Tooke, and G. Strahan, 1708. Il
existe
à la Bodléienne, sous la cote 291. f. 39, un exem
ton, J. Nicholson, G. Sawbridge, B. Tooke, and G. Strahan, 1714. Il
existe
au British Museum un exemplaire de cette réimpres
otte, | C. Ba-|thurst, D. Browne. and J. Hodge. | M.DCC.XXXVIII. Il
existe
à la Bodléienne un exemplaire de cette réimpressi
hiffré, mais pourvu de signatures et orné de gravures sur bois. Il en
existe
à la bibliothèque royale de La Haye un exemplaire
nalyse qui précède d’après un exemplaire, qui, sous la cote I. Z. 13,
existe
à la Bibliothèque de l’Escurial. 2º Édition de
-|berger aleman. An̄o. de mil. d. et. xxvj. a. x. dias de Abril. Il
existe
un exemplaire de cette édition à la Bibliothèque
est intitulée : Del patre y del hijo que yvā a vēder el asno , il en
existe
26 dans l’édition de 1533 ; aux 22 premières en e
tos | y cinquenta y tres an̄os. Fol. 72 (i 8). — Feuillet blanc. Il
existe
, à la Bibliothèque de l’Escurial, un exemplaire d
édition d’Ulm. Page 384. Fin. Des exemplaires de l’édition de Plantin
existent
à la bibliothèque publique de Grenoble sous la co
été, comme celle de Plantin, imprimée à Anvers, et dont un exemplaire
existe
à la bibliothèque publique de Versailles sous la
ue cette édition renferme a le mérite d’être complète. Rien de ce qui
existe
dans l’édition de Zeiner n’a été oublié, et l’on
cace à Tiberinus qui dans l’édition de Plantin avait été omise. Il en
existe
un exemplaire sous la cote 12304 a 27 à la biblio
s de 5 feuillets et suivies de 9 pages de table non numérotées. Il en
existe
un exemplaire à la Bibliothèque Bodléienne sous l
s de 4 feuillets et suivies de 9 pages de table, non numérotés. Il en
existe
un exemplaire à la Bibliothèque Bodléienne sous l
4 pages numérotées, suivies de 4 pages de table non numérotées. Il en
existe
un exemplaire à la Bibliothèque Bodléienne sous l
s’ensuit qu’ils ne renferment pas tous les fables de Romulus. Elles n’
existent
que dans le manuscrit 4897, qui comprend les 16 p
crits spéciaux. Les fables de Romulus, tirées du Miroir historial,
existent
isolément dans trois manuscrits spéciaux portant
s que possède la Bibliothèque nationale. Je dois dire d’abord qu’il n’
existe
pas de manuscrit spécial du Romulus du Miroir doc
ditions latines des ouvrages de Vincent de Beauvais. Quoiqu’il
existe
encore des manuscrits nombreux que je pourrais an
une rapidité qui aujourd’hui ne pourrait guère être dépassée. Il n’en
existe
que très peu d’exemplaires. Celui sur lequel j’ai
zzzz 4 ; puis il y en a 2 signés et 9999 et 8 de AAAA 1 à HHHH 4. Il
existe
33 cahiers de 8 feuillets et 2 de 6 ; ce qui donn
dérivé direct du Romulus primitif, qui à l’époque de leur naissance n’
existait
déjà plus. On ne peut pour la détermination de le
ouvrir l’origine de ces fables, sont partis de cette idée qu’il avait
existé
un auteur nommé Romulus et que son œuvre consista
es de l’Anonyme ; ils ne pouvaient que se demander si celle qui seule
existait
pour eux, en avait été la source. C’est réduit à
Phèdre et celles de l’Anonyme n’ont rien de commun, que cependant il
existe
entre elles un trait d’union, qu’en effet, comme
arum liber cum glosa finit feliciter (un exemplaire de cette édition
existe
à la bibliothèque de Dijon sous le nº 10974, et à
de a à g, sans lieu, ni date, ni nom d’imprimeur, dont un exemplaire
existe
à la Bibliothèque cantonale de Berne sous la cote
imprimer ses fables, n’ont pas consulté avec soin les manuscrits qui
existent
, et à l’aide desquels on auroit pu corriger des v
èque nationale. Schwabe, sur la foi du savant Labbé, a cru qu’il n’
existait
à la Bibliothèque nationale qu’un manuscrit des f
, et plus bas : Finito libro refferamus gratias Christo. Enfin il
existe
un vingt et unième feuillet, sur le recto duquel
remière édition de Phèdre. Était-ce dans l’un des deux manuscrits qui
existent
encore à la Bibliothèque nationale, ou bien dans
tour différer du texte de Rigault. Il n’en faut pas conclure qu’il a
existé
un troisième manuscrit de Saint-Victor. Non seule
t basé sur un argument bien faible ; car je montrerai plus loin qu’il
existe
à Londres et à Bruxelles deux autres manuscrits i
mme en étant la copie littérale ; car entre les unes et les autres il
existe
de grandes différences. D’abord les fables du man
anche, le manuscrit 1594 est dépourvu des quatre tables suivantes qui
existent
dans le manuscrit 1595 : 1. L’Inconstance de la
sler n’ayant eu recours qu’à deux manuscrits, il avait cru qu’il n’en
existait
pas d’autre, et que, s’il y en avait un troisième
ait à la fois le plus ancien et le plus complet. Cependant il doit en
exister
un troisième ; celui d’après lequel ont été impri
manuscriptorum de Haenel qu’un recueil de fables de Phèdre manuscrit
existait
à la bibliothèque communale de Douai, m’écrivit e
ment au centre d’un des quaternes manquent deux feuillets, qui, s’ils
existaient
, seraient les xxviiie et xxixe du volume, et, a
qui demandent un roi ayant été divisée en deux parties, il devrait en
exister
soixante et une ; mais trois ont disparu avec les
uliers. La lettre initiale de chaque fable, écrite à l’encre rouge, n’
existe
même que dans les premières. En ce qui touche le
n n’indiquait que la fin de cette fable eût, avec les deux dernières,
existé
auparavant sur un feuillet disparu. Les fables ét
figuré après sa mort à la vente de ses livres. Il est probable qu’il
existe
encore ; mais je ne saurais dire dans quelles mai
rouge, et est en outre accompagnée de gloses marginales. En tête il n’
existe
pas de titre général ; mais à la fin on lit : Ex
ens d’Accio Zuccho furent pour la première fois publiés à Vérone, ils
existaient
depuis dix-sept années au moins. Le manuscrit for
t la glose qui accompagne les fables, elle n’est pas la seule : il en
existe
une seconde qui est écrite sur deux colonnes, et
um Johannem Fabri anno domini. M.cccc.lxxxx. die xxiii Januarii. Il
existe
un exemplaire de cette édition à la Bibliothèque
vembris. C’est la première des éditions imprimées à Deventer. Il en
existe
des exemplaires à la Grenville library sous le nº
nt les initiales A. L. Cette édition est du grand format in-4º. Il en
existe
, sous le nº 1840 substitué au nº 1620, un exempla
plaires relativement considérable ; car ils ne sont pas rares ; il en
existe
notamment a la bibliothèque royale de Munich, sou
emplaires de cette édition qui forme un volume in-4º de 39 feuillets,
existent
l’un, sous la cote B. 73, à la bibliothèque publi
pression in-4º de l’édition de Deventer. Sous la cote Douce 58, il en
existe
un exemplaire à la bibliothèque Bodléienne. 1
Deventer : elle est signalée par Panzer, t. I, p. 363, nº 100. Il en
existe
au British Museum un exemplaire sous la cote I073
et l’autre de 10. Je ne connais de cette édition qu’un exemplaire qui
existe
à la bibliothèque du palais Brera sous la cote AM
anzer, t. I, p. 363, nº 96, et par Hain, t. I, p. 35, nº 315. Si elle
existe
, il ne faut pas la confondre avec l’édition in-4º
n’en fasse pas mention, cette édition a été imprimée à Brescia. Il en
existe
un exemplaire au British Museum sous la cote 1230
Je n’ai trouvé qu’un seul exemplaire de cette rarissime édition : il
existe
à la bibliothèque de l’Université de Bâle sous la
ts et tes cahiers B et E de six, soit un total de 36 feuillets. Il en
existe
à la bibliothèque royale de Bruxelles, sous le nº
de l’édition publiée à Deventer, en 1490, par Jacques de Breda. Il en
existe
à la bibliothèque de l’Université de Bâle un exem
araît être une réimpression de la première édition de Deventer. Il en
existe
un exemplaire sous le nº 2626 à la Bibliothèque r
meur, le tout dans un riche encadrement. Sous la cote C. 38. d. 1, il
existe
à la Bibliothèque du British Museum un exemplaire
Lyon. Elle n’est citée dans aucun répertoire bibliographique. Il en a
existé
un exemplaire dans la bibliothèque du marquis de
aladi. M. D. vii. Nono Kal. Aprilis. Un exemplaire de cette édition
existe
à la Bibliothèque palatine de Parme sous la cote
té au verso du dernier feuillet. Un exemplaire de cette édition in-4º
existe
sous le nº 7740 à la Grenville library. — Esopi
is représente sur un globe un aigle dont les ailes sont déployées. Il
existe
à la bibliothèque du palais Brera un exemplaire d
udraient attribuer à Salon de Parme les fables en vers élégiaques. Il
existe
des exemplaires de cette édition à la Grenville l
|| A B C D E F G H I K L M || N O P Q R. || Omnes sunt quaterni. Il
existe
des exemplaires de cette édition à la Bodléienne
e de six ; ce qui donne un nombre total de quarante-six feuillets. Il
existe
un exemplaire de cette édition à la Grenville lib
ression augmentée ; car à la suite des huit ouvrages ordinaires il en
existe
un neuvième. Elle forme un volume in-4º de grand
tis. Anno m.d.xlvii. || Mense Maii. Un exemplaire de cette édition
existe
à la Bibliothèque Marcienne sous la cote CXXIX. 9
a || de D. Mattheo da Besozzo. Nel anno del || Signore m.d.lxi. Il
existe
à la Bibliothèque palatine de Parme un exemplaire
au bas du feuillet 40 a et sont suivies d’une table des matières. Il
existe
à la bibliothèque Ambrosienne un exemplaire de ce
s le Catalogue de la Bibliothèque de l’Université de Ferrare, où elle
existe
sous la cote H. 2. 7. in 12, lui assigne la date
out est appelé Esopo. Indépendamment de ce premier frontispice, il en
existe
un second ainsi conçu : Apologorum, || ac fabel
Typis Seminarii. || MDCCCXIII. Le volume se compose de 296 pages. Il
existe
un exemplaire de cette édition dans la Bibliothèq
glaises directement faites sur les distiques latins, j’ignore s’il en
existe
. M. Fleutelot, dans la Préface qu’il a mise en tê
même traduction. Si l’on s’en rapporte aux numéros des fables, il en
existe
soixante-quatre ; mais, par erreur, le nº 40 a ét
porte le nº 64 est intitulée : Della Golpe et del Granchio ; elle n’
existe
dans aucun autre manuscrit. Elle se termine au fe
t le cinquante-sixième et les deux derniers sont blancs. En outre, il
existe
en tête quatre feuillets non chiffrés, dont les d
et sempre sia Dio laudato et benedicto ! Amen. Cette mention finale
existe
en termes un peu différents dans l’édition Berti
nomenclature indique soixante-quatre chapitres ; mais en réalité il n’
existe
que soixante-deux fables, les soixante authentiqu
est celle qui a été imprimée en 1496 par Francesco Bonaccorsi. Il en
existe
, à la Bibliothèque Riccardienne, un exemplaire ma
des exemplaires tant sur parchemin que sur papier. Des premiers l’un
existe
à la Bibliothèque Bodléienne, sous la cote Mortar
reria Gamba, || 1840. Édition in-18 de 136 pages, dont un exemplaire
existe
dans la Bibliothèque de Vérone. 1847. E
ona tip. Libanti MDCCCXLVII. Édition in-12 de xxvi-91 pages, dont il
existe
des exemplaires à la Bibliothèque Marcienne, sous
our lui le motif qui l’a obligé à limiter ainsi sa publication. Il en
existe
des exemplaires à la Bibliothèque de l’Université
Palatine. Malheureusement elle est plus luxueuse que correcte. Il en
existe
un exemplaire à la Bibliothèque du palais Brera.
e correzioni), enfin de la page 269 à la page 285, trois tables. Il
existe
un exemplaire de cette édition dans la Bibliothèq
. Le verso du quatre-vingt-deuxième et dernier feuillet est blanc. Il
existe
un exemplaire de cette édition à la Bibliothèque
ic) Mediolani. L’avant-dernier feuillet est occupé par la table. Il
existe
des exemplaires de cette édition au British Museu
Cette édition forme un volume in-8º orné de gravures sur bois. Il en
existe
un exemplaire à la bibliothèque Bodléienne sous l
enetiis per Augustinum de Bindonis, anno Domini M. d. xxxxiiii. Il
existe
un exemplaire de cette édition dans la bibliothèq
ulus ordinaire ce membre de phrase : Si Canes obsides darent , qui n’
existe
pas dans les Fabulæ antiquæ, et que Neckam au con
ici pour exemple la fable du Lièvre, de l’Aigle et du Moineau, qui n’
existe
pas dans le Romulus ordinaire. Elle figure dans c
brorum manuscriptorum Angliæ et Hyberniæ imprimé à Oxford en 1697, il
existe
à Cambridge, dans le collège de la Sainte-Trinité
ationale, n’est pas la seule qui en ait été faite au moyen âge. Il en
existe
une autre dans un manuscrit de la bibliothèque de
De Lupo et Agno, xii. De Pavone, Graculo et Avibus, qui au contraire
existent
dans la collection parisienne. Mais en revanche o
e je vais maintenant m’occuper. Malheureusement les manuscrits qui en
existaient
au xie siècle ont disparu, et elle ne s’est révé
n qui possède ces fables peut provenir de celle dans laquelle elles n’
existent
pas. Pour l’admettre, j’ai, dans ma première édit
, quoique ne comprenant que cinquante fables, il en possède une qui n’
existe
pas dans le manuscrit 303, à savoir : la fable du
e Vienne, je dois logiquement attribuer le même caractère à celle qui
existe
dans le manuscrit latin in-8º 87 de la Bibliothèq
its de Vienne 901 et de Berlin 87 offrent des leçons identiques qui n’
existent
pas dans le manuscrit de Vienne 303. Il est évide
ne 901 et de Berlin 87 présentent parfois des leçons semblables qui n’
existent
pas dans le manuscrit de Vienne 303, il est proba
uis mis à la recherche des autres exemplaires qui pouvaient encore en
exister
, et j’ai été assez heureux pour en découvrir deux
vanche, les Fabulæ antiquæ comprennent les 32 fables suivantes, qui n’
existent
pas dans le Romulus de Nilant, savoir : Nos de
du, qui d’ailleurs, dans le manuscrit de la Bibliothèque nationale, n’
existe
qu’à l’état de fragment, toutes les fables de ce
fait partie de la bibliothèque de Paul Petau. Il ne peut sur ce point
exister
aucun doute ; car on reconnaît son écriture dans
ts. Or, Alfred le Grand remonte à une époque où le texte à traduire n’
existait
pas encore, et, comme les manuscrits dans lesquel
édition, m’étant posé la question de savoir si le Romulus anglo-latin
existait
encore, j’avais cru en apercevoir un fragment dan
aurais été tout naturellement conduit à apercevoir le lien intime qui
existait
entre le Romulus de Nilant et ce mystérieux Romul
utre : La Vache, la Brebis, le Bélier et le Lion. Or, ces deux fables
existent
à la même place dans la collection qui porte le n
je prenais pour un fragment du Romulus anglo-latin en offre une qui n’
existe
pas dans sa version, celle du Renard et des Raisi
que Nilant a publié il n’y a que 45 fables. Je me suis demandé s’il n’
existait
pas d’autres manuscrits plus complets contenant l
= 113. En outre, il faut remarquer que dans la traduction de Marie il
existe
une fable, celle des Oiseaux élisant un roi, qui
de Marie il existe une fable, celle des Oiseaux élisant un roi, qui n’
existe
pas dans le Dérivé, et qui, n’ayant certainement
ussi suis-je davantage porté à croire avec l’abbé de la Rue qu’elle a
existé
à la même époque que le bâtard de Henri II, qui,
t 14971, quoique ne comprenant que cent fables, en possède deux qui n’
existent
pas dans l’édition de M. de Roquefort ; la premiè
Prêtre et du Loup, semblent s’élever à cent ; mais en réalité il n’en
existe
que 99, dont aucune ne porte de titre ; l’œuvre c
eut posséder les fables de Marie qu’à concurrence de 98. Mais il n’en
existe
en réalité que 97 ; en effet, les deux fables qui
Hommes, l’un véridique et l’autre menteur ; mais en réalité, il n’en
existe
que 56, et par suite il en manque 47, dont les nu
81 ; mais par suite de la disparition de plusieurs feuillets, il n’en
existe
plus que soixante-trois. Encore la soixante-trois
e de Marie534. Il en conclut que, si on les y rencontre, c’est qu’ils
existaient
déjà dans la traduction anglaise faite sur le Rom
Or, entre le Romulus Roberti et l’œuvre de Marie cette concordance n’
existe
pas, et dès lors on est tout naturellement porté
rent des expressions et même des lambeaux de phrase semblables, qui n’
existent
pas dans le Romulus de Nilant, c’est qu’ils les o
que je l’ai dit, le texte du Dérivé partiel du Romulus anglo-latin n’
existe
que dans deux manuscrits, appartenant à la Biblio
les deux premiers n’étant comptés que pour un seul, en réalité il en
existe
195. Tout au haut du recto du premier feuillet et
ingt-deuxième et dernière fables, faire ressortir les différences qui
existent
entre le texte du manuscrit 347 C et celui de sa
t est défectueuse l’édition de M. Robert. Elle n’est pas la seule qui
existe
: dans l’opuscule que M. Herman Oesterley a, en 1
rsion anglaise, entre son texte et celui du Romulus anglo-latin, il n’
existerait
aucun rapport ; et, comme ce Romulus est lui-même
onne du pluriel. D’autre part, le Dérivé possède une expression qui n’
existe
pas dans le Romulus primitif, mais qui appartient
edit collegio societatis Jesu Treverensis anno 1571. Ce manuscrit n’
existe
plus à la bibliothèque de Trèves. Lors de la visi
n’a presque rien omis ; il a même conservé les fables vii et lx qui n’
existent
pas dans le manuscrit Théol. 140. Mais ensuite, s
des fables latines dérivées du Romulus anglo-latin. Cette traduction
existe
dans un manuscrit du xve siècle, qui appartient
der autant de fables que le Romulus primitif, en contenait deux qui n’
existaient
pas dans ce dernier, celle du Buffle, du Loup et
seule collection poétique née de la prose du Romulus de Nilant. Il en
existe
une autre moins ancienne que j’ai déjà publiée et
is finis, caput et mediator. Malgré cette transformation, il ne peut
exister
de doute sur l’origine de l’œuvre : il me paraît
eable ; car on sait que la fable du Lion, du Buffle et du Loup, qui n’
existe
pas dans le Romulus primitif, a été une forme nou
mprends que, lorsqu’on désire bien déterminer la corrélation qui peut
exister
entre deux collections de fables, on ne doive pas
il copiait l’œuvre d’un auteur qui déjà depuis longtemps sans doute n’
existait
plus. Je m’en tiens à ces courtes réflexions : la
de Cambridge. Indépendamment du manuscrit du British Museum, il en
existe
un autre, qui m’a d’abord été révélé par le Catal
cution : innocentes opprimunt , et qui montrent que ces derniers ont
existé
presque certainement dans l’Æsopus et très probab
ition de Cassitto est très rare. Je n’en connais qu’un exemplaire qui
existe
à Florence, dans la Bibliotheca Maruccelliana, so
hwabe. Brunsvigæ, 1806, 2 vol. in-8º. (Voyez tome I, p. 37.) 296. Il
existe
aussi à Leyde deux exemplaires de cet opuscule, l
ns le nord et de Roux dans le midi. On sait que les noms de famille n’
existent
en France que depuis la fin du xe siècle et le c
rotobibliothecarii. | Oxonii, è Theatro Sheldoniano. | M.DC.LXXIV. Il
existe
des exemplaires de ce catalogue à la Bibliothèque
Oxonii, è Theatro Sheldoniano. | M.DCCXXXVIII. Voyez t. I, p. 76. Il
existe
un exemplaire de ce catalogue en 2 volumes in-fol