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1 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
e pu se mettre d’accord sur son nom. Je ne parle pas de la traduction française de son nom ; aujourd’hui pour nous il n’y a pas d
re, de bien comprendre ce vers. Dans la plus ancienne des traductions françaises , publiée en 164727, Isaac Le Maître de Sacy l’a r
écrit, non In calamitatem, mais In calamitate. L’erreur du traducteur français n’avait pas échappé au savant Pierre Burmann, qui
Rigault lui-même, qui fut, comme on le sait, le premier commentateur français des fables de Phèdre. C’est là du moins ce qu’ind
222. Le premier de ces deux exemplaires, à raison des notes en langue française dont il est pourvu, est plus précieux que le seco
belles collections qu’on puisse voir des monuments de la littérature française au moyen âge. Le complaisant bibliothécaire voulu
nce. Je renvoie ceux qui voudront le lire au texte et à la traduction française , qui en ont été publiés par son biographe80. Aprè
it, les corrections et tâtonnements de Pithou, et ses observations en français pour le prote. Ainsi cette seule copie renferme t
uelle le professeur allemand Tross en a donné l’analyse au professeur français Fleutelot98, je montrerai que le feuillet déchiré
comédie que l’auteur des Recherches pour servir à l’histoire du droit français , a crue du siècle de Théodose, et que les auteurs
raît que le premier nom de Saint-Benoît-sur-Loire était Floriacum, en français Fleury. L’abbaye fondée dans cette ville par les
le général Bonaparte était entré à Rome avec l’armée de la République française , et avait imposé au pape vaincu le traité de Tole
n 1854, soit enfin dans le volume de la collection des anciens poètes français , qui contient la chanson de geste intitulée Otine
était fermée. J’appris que le conservateur était un savant bénédictin français , le cardinal Pitra. J’allai le trouver dès le len
t le plus à leur pays natal, » et il cite comme exemple Gerbert, qui, Français de naissance, fut en Italie placé à la tête de l’
jusqu’au feuillet 92 par un fragment du roman de Fier-à-bras en vers français de dix syllabes. Ce fragment porte la date de 131
demi-siècle, le manuscrit avait pu être à la disposition des savants français . Mais, sauf Rigault, nul ne s’en était servi. Dan
pendant un demi-siècle, il avait pu être à la disposition des savants français  ; mais, sauf Rigault, nul ne s’en était servi. D
ente-deux fables nouvelles, leur texte latin en regard, la traduction française en prose ajoutée au bas, et les notes latines de
e Phèdre | traduites en vers italiens  | par M. Petronj | et en prose française  | par M. Bagioli | avec les notes latines de l’éd
s notes latines de l’édition originale | et précédée[s] d’une préface française  | par M. Ginguené | membre de l’Institut impérial
bibat ista capræ. Je pourrais traduire ce distique ; mais le lecteur français veut être respecté. Je ferai seulement observer q
e quelles démarches il fit faire dans ce but par un savant antiquaire français , Ch. Millin, qui, si le manuscrit de P. Pithou se
-être avait un peu à leurs yeux le tort d’avoir été découverte par un Français . Ainsi, en 1807, Frédéric Hülsemann n’hésitait pa
ire des doutes à l’égard des autres. 7º En ce qui touche les éditeurs français qui ont adopté l’opinion de Cassitto et de Jannel
uvelle édition d’après les meilleurs textes avec sommaire et notes en français par M. Vérien. Paris, Dezobry, E. Madeleine et Ci
et les fables correspondantes de La Fontaine, avec Notice et notes en français par M. F. Dübner. Paris, chez F. Didot et chez Le
ibri V cum fabellis novis. Nouvelle édition publiée avec des notes en français et suivie des imitations de La Fontaine et de Flo
es, renfermant des notes historiques, grammaticales et littéraires en français , avec les Imitations de La Fontaine, une vie de l
. lib. fabularum libri V. Nouvelle édition, publiée avec des notes en français et un choix de fables du P. Desbillons, par un Pè
iberti fabularum libri V. Nouvelle édition, publiée avec des notes en français et des fables choisies de Desbillons, par le P. H
8). Section II. Éditions des traductions. § 1. — Traductions françaises . 1664.     Les fables de Phèdre affranc
1664.     Les fables de Phèdre affranchy d’Avgvste traduites en françois , avec le latin à costé. Pour servir à bien entend
1705.     Les Fables de Phèdre affranchy d’Avgvste, tradvites en françois avec le latin à côté. Pour servir à bien entendre
les fables restituées par Gude accompagnés d’une traduction en prose française en regard, et les sentences non traduites de A. S
1757.     Les Fables de Phèdre, affranchi d’Auguste, traduites en françois , augmentées de huit fables qui ne sont pas dans l
75.     Les fables de Phèdre, affranchi d’Auguste, en latin et en françois . Nouvelle traduction, avec des remarques, dédiée
1806.     Fables de Phèdre, affranchi d’Auguste, traduites en français avec le texte à côté, et ornées de gravures. Pari
, divisées en quatre livres égaux, enrichies de notes et traduites en français , conformément à l’édition latine donnée en faveur
bles de Phèdre, traduites en vers italiens par M. Petronj et en prose française par M. Biagioli…, et précédée[s] d’une préface fr
et en prose française par M. Biagioli…, et précédée[s] d’une préface française par M. Ginguené. Paris, P. Didot l’aîné. In-8 de
é. In-8 de 16 feuilles et demie. 1813.     Traduction en vers français des fables complètes de Phèdre, et des trente-deu
t-Duverger. In-8º de 24 feuilles. Fables de Phèdre, traduites en vers français et précédées d’une Épître à un écolier de sixième
1820.     Les Fables de Phèdre affranchi d’Auguste, traduites en français . Dernière édition, revue et augmentée. Avignon, J
1827.     Fables anciennes et nouvelles de Phèdre, traduites en français avec le texte en regard revu sur les meilleures é
ranchi de l’empereur Auguste ; traduction fidèle et littérale en vers français avec le texte en regard. Par M. Bouriaud aîné… Se
9, 1864, 1877). In-8º de 25 feuilles. Fables de Phèdre, expliquées en français suivant la méthode des collèges, par deux traduct
ans l’ordre naturel des idées, l’autre conforme au génie de la langue française  ; précédées du texte pur et accompagnées de notes
12 de 11 feuilles. 1835.     Fables de Phèdre, en latin et en français , avec version interlinéaire en regard. Nouvelle é
s et Maximien, de Tibulle, de Phèdre, de Syrus, avec la traduction en français  ; publiées sous la direction de M. Nisard. Paris,
In-18 de 6 feuilles. 1845.     Fables de Phèdre, traduites en français avec le texte latin en regard et des notes par M.
ième. 1846.     Fables de Phèdre. Traduction nouvelle en vers français , texte en regard par M. A. Scribe. Paris, Dezobry
Sandeau. In-8º de xii-112 pages. 1860.     Traduction en vers français des хххii nouvelles fables attribuées à Phèdre, d
º de 46 pages. 1869.     Fables de Phèdre. Traduction en vers français par M. C. Macaigne, professeur. Première partie :
latins expliqués, d’après une méthode nouvelle, par deux traductions françaises , l’une littérale et juxta-linéaire présentant le
françaises, l’une littérale et juxta-linéaire présentant le mot à mot français en regard des mots latins correspondants, l’autre
, j’appris par M. du Rieu que le manuscrit était absent, qu’un savant français était venu le voir, qu’à la suite de son voyage u
le de mariage dite en latin Osculum et appelée Oscle dans les chartes françaises du moyen âge. Fol. ccvi b à ccvii a. — Exercices
’enfin la femme supérieure, nommée Marie de France, qui fit en langue française la paraphrase poétique de la version anglaise, éc
par ces mots : Geendet säliglich von Johanne Zeiner zū vlm , qui en français signifient : « Imprimé heureusement par Jean Zein
une troisième édition, mais encore deux traductions, l’une en langue française , l’autre en langue flamande. Des exemplaires de t
fabeltichters vnnd meysters Esopi. Zum ersten die | vorred , etc. En français  : « La table du premier livre du très célèbre fab
vahent and die newen geteutschten falblen (sic) von Rimicio , etc. En français  : « Ici commencent les nouvelles fables mises en
r Vrbani des heiligen babst Nach Cristi gepurd M.CCCC.Lxxxvij 344. En français  : « Imprimé et terminé dans la ville impériale d’
e Grætz. Elle a été imprimée à Stuttgart en 1838. § 4. — Éditions françaises .     À peine avait paru la traduction allemand
raduction allemande des fables du Romulus ordinaire qu’une traduction française en était également publiée. Cette dernière était
14º Édition de 1572. Pour terminer la nomenclature des éditions françaises , je n’ai plus à citer qu’une édition imprimée à O
Éditions anglaises. 1º Édition originale. À peine la version française de Julien Macho avait-elle paru en France qu’elle
es romains, au nombre de 152, et dont l’écriture est celle d’une main française du xve  siècle. Il renferme, entre autres ouvrage
ns, surtout à celle de Mentellin de 1473390. Section IV. Éditions françaises . § 1. — Édition de Buyer. Des œuvres de V
roir historial. Aussi est-ce lui qui fut traduit le premier en langue française . La traduction due à Jean de Vignay en fut pour l
mil quatre cen LXXIX 391. § 2. — Édition de Verard. L’édition française du Miroir historial, imprimée par Buyer, n’est pa
toute la page. § 3. — Édition de Nicolas Couteau. La traduction française de Jean de Vignay fut réimprimée au xvie  siècle
axton.     Toujours attentif aux grands ouvrages publiés en langue française et toujours ardent à les faire traduire et à les
erlandaises.     Le Miroir historial, qui avait seul été publié en français et en anglais, fut seul aussi traduit en langue n
uer, ce qui doubla ma satisfaction, ce fut de la devoir à une édition française . Depuis j’ai trouvé beaucoup d’autres éditions du
ècle suivant, vers 1333, les fables de Walther sont traduites en vers français en l’honneur de Madame Jehanne de Bourgogne, épou
lacement de la cote 793 Saint-Victor 548 ; le dernier dépend du fonds français , dans lequel il est inventorié sous le nº 1594 en
ils ont avec le manuscrit 1594, une analyse sommaire de ceux du fonds français portant les cotes 1595, 19123, 24310 et 983. A.
l se compose de 27 feuillets en parchemin. L’écriture est la gothique française , qui, malgré l’indication contraire du catalogue,
ntes, selon lui, plus conformes au véritable texte. 2º Manuscrits français de la Bibliothèque nationale. A. Manuscrit 1
bliothèque nationale. A. Manuscrit 1594. Parmi les manuscrits français je n’en ai trouvé qu’un seul contenant les fables
nnent les fables de Walther, suivies chacune d’une traduction en vers français de 8 syllabes, dont l’auteur inconnu a reçu de M.
de quelques vers ; ce qui a obligé à allonger d’autant la traduction française . Ailleurs, quand je donnerai l’analyse du manuscr
duction française. Ailleurs, quand je donnerai l’analyse du manuscrit français  1595, il me sera facile d’établir que l’amplifica
me sera facile d’établir que l’amplification latine et la traduction française qui en a été faite constituent bien une œuvre pos
ière partie, et à cet effet transcrire ici dans leur ordre les titres français que leur traduction porte : 1. Du Coc et de l’Es
ra Pourquoy le sens plustost saura Par le latin sera trouués, Dont le françois après ourrés Ne [com]pren pas toute l’istoire ; C
omprend, comme la précédente, le texte latin et la traduction en vers français . Mais elle est loin d’être complète. Elle ne cont
écédée d’une miniature appropriée au sujet et suivie d’une traduction française en vers de huit syllabes. Voici les titres des di
nçaise en vers de huit syllabes. Voici les titres des dix-neuf fables françaises  : 1. De la Norrice qui deceut le Loup de sa paro
et pas de supposer un instant qu’il ait été l’auteur de la traduction française . En effet, le texte latin est criblé de barbarism
Thomas pour comas, soxosis pour saxosis, etc. De plus, dans le texte français il y a des omissions que vraisemblablement l’aute
eufs du texte latin de Walther, en renferment seulement la traduction française . De ces manuscrits, le premier dans l’ordre numér
Le manuscrit est presque totalement rempli par la traduction en vers français des fables de Walther. Elles sont précédées d’une
gé, et que l’allongement était, comme le reste, traduit dans la fable française . Il n’en est pas de même dans le second manuscrit
te différence me porte à croire que l’auteur des additions latines et françaises n’est pas le même que le traducteur du vrai texte
morales des fables latines, et qui a ensuite traduit les additions en français . Je m’empresse d’ajouter qu’il ne faut pas davant
5, comme celles du manuscrit 1594, sont suivies d’un épilogue en vers français , qui commence au fol. 35 b et se termine au fol. 
colonnes, est du xve  siècle. Il renferme la même traduction en vers français que les manuscrits 1594 et 1595. Cette traduction
les fables Dysopet e Dauionnet. D. Manuscrit 24310. Le fonds français des manuscrits de la Bibliothèque nationale possè
èque nationale possède un dernier exemplaire de la traduction en vers français des fables de Walther. C’est un in-folio dont l’é
B. Gail. » E. Tableau comparatif du contenu des quatre manuscrits français . Pour compléter mon analyse des quatre manuscr
uscrits français. Pour compléter mon analyse des quatre manuscrits français , je vais maintenant, en négligeant celles d’Avian
t de la Bibliothèque nationale. Ce manuscrit, qui appartient au fonds français , a reçu successivement les cotes MMCXCII, 816.1,
autres blancs qui les suivent. Il renferme 43 fables écrites en prose française , dont la moralité est suivie d’une autre affabula
leurs rien de commun avec la vieille paraphrase du premier traducteur français de Walther, ni avec celle de Marie de France. Ces
fermé les fables de Walther, suivies chacune de sa traduction en vers français de huit syllabes. Mais avec les feuillets qui man
traducteur. Suivent, sous ce titre : Li prolougues , vingt-huit vers français ainsi conçus : Cilz liures quest ci en présence
re Herminger, une remarquable édition, non seulement de la traduction française , mais encore du texte latin, précédée d’une intro
ne me reste plus, pour en finir avec les manuscrits des bibliothèques françaises , qu’à faire connaître celui que possède la Biblio
entique à celui qui, à la Bibliothèque nationale, porte dans le fonds français la cote 1594. Non seulement, comme ce dernier man
Walther et celui d’Avianus, amplifiés et accompagnés d’une traduction française en vers de huit syllabes, mais encore il lui ress
a mention de Madame Jeanne de Bourgogne dans l’épilogue du traducteur français a trompé quelque ancien possesseur de ce manuscri
peu plus fines, et respectivement suivies de leur traduction en vers français . L’épimythion des fables de Walther, qui ne se co
stance de ce romans. Puis vient un épilogue, qui, composé de 84 vers français , commence par les quatre suivants : Or vous ai c
i de dix-neuf fables latines, accompagnées de leur traduction en vers français . Ce sont les mêmes que celles qui forment la seco
un petit volume in-4º. Par le texte latin, par la traduction en vers français du xive  siècle qui l’accompagne, par son titre q
haque fable, il est absolument identique aux manuscrits 1594 du fonds français de la Bibliothèque nationale et XIII de la Grenvi
é publiée par M. Wendelin Fœrster à la suite de la traduction en vers français contenue dans le manuscrit de Lyon. Le petit volu
erme cette édition est le cinquième d’une collection de vieux auteurs français qui porte ce titre général : Altfranzösische || B
sont remplies par l’introduction (Einleitung). La traduction en vers français occupe ensuite les pages 1 à 95. Puis vient le te
ction VII. Traductions des fables de Walther. § 1. — Traductions françaises . Les fables de Walther ont été, dès le moyen â
Les fables de Walther ont été, dès le moyen âge, traduites en vers français . J’en ai, comme on l’a vu, rencontré deux traduct
e, se trouve avec des variantes nombreuses dans les quatre manuscrits français de la Bibliothèque nationale 1594, 1595, 19123 et
cette dernière ne fut pas dédaignée, et les deux traductions en vers français , qui en ont été faites au xiiie  siècle et dont j
érer du manuscrit de la Bibliothèque nationale. § 2. — Manuscrits français . Comme les fables de Walther, celles de Neckam
mme les fables de Walther, celles de Neckam ont été traduites en vers français , et il en a été fait deux traductions, dont l’une
rminée par un épilogue, où il déclare qu’il n’a été que le traducteur français de l’auteur latin ; de sorte qu’il ne doit pas êt
ignore même complètement le nom. Quant à la versification des fables françaises , voici ce qu’en dit M. Robert : « Elles sont rema
istingue. Ce qui les réduit au nombre de quarante, c’est que le poète français a omis de traduire les deux fables latines : xi. 
it est le même qui, au temps de M. Robert, portait dans le supplément français le nº 766. Par suite de la fusion de tous les man
ent français le nº 766. Par suite de la fusion de tous les manuscrits français en un seul fonds, le nº 15213 lui a été donné. Qu
ique de la fin du xive  siècle. Il contient deux ouvrages, les fables françaises qui occupent les 54 premiers feuillets, et le Bes
scrits dépendant du fonds Libri avaient appartenu à des bibliothèques françaises auxquelles ils avaient été soustraits, le gouvern
ues françaises auxquelles ils avaient été soustraits, le gouvernement français songea à s’en rendre acquéreur, et, à cet effet,
rez504, Mires505, Alvrez506. Mais je dois dire aussi que le manuscrit français  1446 de la Bibliothèque nationale et le manuscrit
ts, eum transferri præcepit. » Est-ce au texte latin ou à la version française qu’il faut donner la préférence ? Je n’ose tranch
scrits) le traduisit ensuite en anglais et qu’elle a elle-même mis en français la traduction anglaise. Qu’en disant tout cela Ma
erais plus loin obligé de répéter. Section III. Traduction en vers français de Marie de France. Une étude sur le Romulus a
manuscrits que nous possédons. Qu’on examine par exemple le manuscrit français  25405 de la Bibliothèque nationale, et l’on y ver
et en tous cas avant la fin du xiiie  siècle. J’emprunte au manuscrit français  1446 de la Bibliothèque nationale le prologue, ai
ais, dans la nomenclature des fables de Marie, faire usage des titres français qui m’ont déjà servi à établir la liste des fable
issaient contenir 104 fables ; tels sont, par exemple, les manuscrits français  1593 et 2168 de la Bibliothèque nationale et le m
re néanmoins attribuées. C’est ce que j’ai fait. Parmi les manuscrits français de la Bibliothèque nationale, j’en ai remarqué de
Henris qui mult ama Le translata puis en englois, Et iou l’ai rimé en françois , Si com gel trouai proprement. Or proi a Dieu omn
: Jac. Aug. Thuani. Le volume renferme de nombreuses œuvres en vers français , telles que l’histoire de Kanor et de ses frères,
entionnellement effacé. Le volume renferme 75 œuvres diverses en vers français et offre un très grand intérêt pour l’étude des o
et offre un très grand intérêt pour l’étude des origines de la langue française . De ces œuvres celle de Marie est la vingt-troisi
ze fabliaux en vers octosyllabiques, et, après, sept ouvrages en vers français , dont le principal est un Bestiaire, c’est-à-dire
nt j’ai eu à m’occuper des manuscrits contenant la traduction en vers français des fables de Walther, j’ai donné du manuscrit 24
b, elles sont annoncées par ce titre général : Ci commence ysopet en françois qui contient LXXXI chapitres. Puis au commenceme
aleur de son opinion sur la communauté d’origine des deux traductions française et allemande de Marie de France et de Gérard de M
ue Marie de France, trouvant la traduction anglaise, l’a mise en vers français . Puis le Romulus anglo-latin a subi la loi commun
t Maximien, de Tibulle, de Phèdre, de P. Syrus, avec la traduction en français , publiées sous la direction de M. Nisard. Paris,
ue Pieria. »  Pomponius Mela, œuvres complètes, avec la traduction en français , publiées sous la direction de M. Nisard, profess
de Catulle, de Properce, de Gallus et Maximien, avec la traduction en français , publiées sous la direction de M. Nisard… Paris,
bles de Phèdre, traduites en vers italiens par M. Petronj et en prose française par M. Bagioli, avec les notes latines de l’éditi
les notes latines de l’édition originale, et précédées d’une préface française par M. Ginguené, membre de l’Institut impérial de
bles de Phèdre, traduites en vers italiens par M. Petronj et en prose française par M. Bagioli. Paris, M.D.CCC.XII, in-8º. (Voyez
bles de Phèdre, traduites en vers italiens par M. Petronj et en prose française par M. Bagioli avec les notes latines de l’éditio
c les notes latines de l’édition originale et précédées d’une préface française par M. Ginguené, membre de l’Institut impérial de
in-18. (Voyez p. 67.) 172. Voyez page 106. 173. Traduction en vers français des fables complètes de Phèdre. Paris, 1813, in-8
s et Maximien, de Tibulle, de Phèdre, de Syrus, avec la traduction en français , publiées sous la direction de M. Nisard… Paris,
“Liber, etc.” » 298. Du nom de Rufus sont venus les noms de famille français de Leroux dans le nord et de Roux dans le midi. O
ance, t. I, livre VIII, ch. 1, col. 754. 520. Histoire de la poésie française , p. 157. 521. Poésies de Marie de France, t. II
2 (1570) Cento favole morali « Présentation »
son introduction aux Fables de La Fontaine, Paris, Librairie générale française , coll. « Pochothèque. Classiques modernes », 1985
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