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1 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Ennus est adopté par Esope, qui en reçoit une grande injure. Chapitre XXVI. »
rs Ennus s’abandonnant à une hayne secrette, se mit à contrefaire une lettre , par laquelle il donnoit à entendre au nom d’Esop
Lycerus, qu’à ceux là mesmes qui luy envoyoient des problemes. Cette lettre estant cachetée avec la propre bague d’Esope, il
Egyptiens, ayant sçeu qu’Esope estoit mort, escrivit incontinent une lettre au mesme Lycerus, par laquelle il luy mandoit qu’
tribut, sinon qu’il le payeroit. Aussi tost que Lycerus eust leu ces lettres , elles l’attristerent extrémement, pource qu’il n
eust prié de luy faire grace. En suite de tout cecy, Lycerus donna la lettre de Nectenabo au subtil Esope, qui ne l’eust pas p
2 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — En quel temps Esope composa ses Fables. Chapitre XXV. »
vers eux en qualité d’Ambassadeur du Roy de Lydie, qui luy donna des lettres , et le pouvoir d’en traicter. Cependant les Samie
s, pour une marque de leur commune allegresse. Il leut devant eux les lettres du Roy, par lesquelles il leur fit voir, comme pa
là paix ensemble, et en ce commun repos ils se visitoient souvent par lettres , s’envoyant les uns aux autres des questions Soph
3 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Du thresor trouvé par Esope, et de l’ingratitude de Xanthus. Chapitre XXII. »
extrême. Sur ces entrefaictes, Esope ayant fortuitement apperçeu les lettres suivantes R. P. Q. F. I. T. A. gravées sur un tom
e faire », respondit Xanthus, « si premierement tu ne m’expliques ces lettres , car ce me sera une chose plus precieuse de les e
ns la terre, comme sçavant qu’il estoit, s’avisa d’y faire graver ces lettres , qui joinctes ensemble, forment un sens qui est t
ce thresor ». « A quoy cognois-tu cela », continüa Xanthus ; « A ces lettres  », adjousta Esope, « R. R. D. Q. I. T. qui signif
ais celuy qui l’a icy caché. Que cela ne soit, escoute le contenu des lettres suivantes A. E. D. Q. I. T. A. d’où sont formées
4 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLIX. De la Belette, et du Renard. »
s. Mais pour moy, il me semble meilleur de l’appliquer à l’Estude des Lettres , et à la Volupté tout ensemble. Car ce Renard, qu
i aprenons-nous dans les Histoires, que les plus excellents hommes de lettres ont esté maigres, et secs ; Tesmoin Aristote, Vir
d’affranchir les Peuples de la tyrannie, l’ont fait par le moyen des Lettres  ; Tesmoin le Philosophe Dion, qui apres avoir pas
5 (1180) Fables « Marie de France, n° 81. Le prêtre et le loup » p. 687
° 81 Le prêtre et le loup Un prestre volst jadis aprendre a un lu lettres fere entendre. « A », dist li prestre, « a », dis
6 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 277 » p. 264
âne et un chien faisaient route ensemble. Ils trouvèrent à terre une lettre cachetée. L’âne la ramassa, rompit le sceau, l’ou
7 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LVI. Du Lion, et du Renard. »
es bestes horsmis du Renard. Il luy envoya donc un Messager, avec une lettre , par laquelle il l’avisoit, qu’il ne luy pouvoit
8 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXI. De la Fourmy, et de la Cigale. »
s naissance de parents incognus, et passé toute sa vie en l’étude des lettres hors de sa Province, et mesme estant privé du plu
si Divins, qu’on luy donna depuis à bon droict le tiltre de Pere des Lettres , et à bon droict aussi sept Villes fameuses débat
9 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — La response d’Esope à un Jardinier. Chapitre IX. »
 ». « Quoy reprit le Jardinier, ce vilain a-t’il quelque teinture des lettres  ? O le grand malheur que c’est : Sus donc, bon-ho
10 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIX. Du Loup, et des Chiens. »
partage des heritiers. C’est ce qui nous est enseigné par les saintes lettres , où il est dit, « Que tout Royaume en soy divisé
11 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXVII. Du Liévre, et de la Tortuë. »
, si l’on considere indifferemment que ceux qui ont excellé, soit aux Lettres , ou aux Armes, comme un Platon, un Aristote, un S
12 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « A MONSIEUR. MONSIEUR. DE SAINCT SYMON, premier Gentil-homme de la Chambre. du Roy, et son premier Escuyer. »
l’Histoire de nostre temps, et dans les autres ouvrages des hommes de lettres . En voicy un qui pourroit bien estre de ce nombre
13 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIV. Du Singe, et du Renard. »
est-ce que nous prendrons pour ceste heure le discours au pied de la lettre , et ne nous arresterons qu’à l’election des Roys,
14 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « AU LECTEUR. Sur le sujet des Fables. »
qui en sont les Autheurs, inventent des Fables, qui à le prendre à la lettre , tiennent du des-honneste, et de l’impie mesme ;
15 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De l’affranchissement d’Esope. Chapitre XXIII. »
t à la veille d’en sentir l’effect. Car un peu apres il leur vint des lettres de la part de Cresus, Roy de Lydie, par lesquelle
16 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
près de la Grèce, et il ajoute que son pays plus voisin du foyer des lettres a vu naître Linus et Orphée. Qu’on lise toute la
t été vendu, fit ajouter à son instruction grecque l’enseignement des lettres latines, et, couronnant dignement son œuvre, lui
fabuliste. — Tant qu’Auguste vécut, Phèdre, malgré son goût pour les lettres , s’abstint de s’y livrer. Indécis devant les diff
force de travail et de patience se faire classer parmi les hommes de lettres  : Quamvis in ipsa pene sim natus Schola, Curamqu
aleur de l’écrivain. Quand on veut porter un jugement sur un homme de lettres , il faut toujours examiner en lui deux choses, le
aux déchirements de la patrie, des hommes éminents chercher dans les lettres et dans les arts une diversion à leur tristesse,
éparatoire. Au-dessous de la note de Beaucousin, on lit : « Voyez la lettre de M. l’abbé de Saint-Léger dans l’Année littérai
mands plus que le reste de la grande bibliothèque strasbourgeoise. La lettre de M. de Steiger avait surexcité ma curiosité. L’
eiger avait surexcité ma curiosité. L’été qui suivit la date de cette lettre , faisant un voyage nouveau en Suisse, je passai p
de l’édition de Pithou ; il portait sur le catalogue le nº 252 et la lettre F. Bongars l’avait fait relier avec d’autres opus
, furent le dernier présent dont M. Pithou enrichit la République des Lettres  ; il ne survécut que deux mois à l’Édition de ces
posé à accueillir la requête qui lui était adressée ; il répondit une lettre évasive, dans laquelle il disait que le manuscrit
u mois suivant93. » M. Berger de Xivrey la fit précéder d’une longue lettre , dans laquelle il lui expliquait comment la mémoi
tée avec un grand soin, nous paraît mériter l’attention des hommes de lettres . Elle n’a été tirée qu’à deux cents exemplaires.
es de Florence imitèrent au xvie , mais en diminuant la dimension des lettres , et en ornant leurs majuscules de jolies arabesqu
vent aucune espèce d’ornements. C’est le cas de celui-ci. Les grandes lettres du commencement des fables sont des majuscules to
ec pureté et ayant environ trois ou quatre fois la hauteur des autres lettres . Elles sont d’une encre rouge ou tirant sur le vi
corps de la fable, il commence toujours avec la ligne, et sa première lettre , qui est, comme nous l’avons dit, une majuscule,
admirans, page 44 du manuscrit, sumtus au lieu de sumptus, etc. « Les lettres  l et i ou j au commencement des mots sont absolum
abréviations sont un trait au-dessus de la voyelle, à la place de la lettre  m, le même trait pour indiquer la duplication des
hiré d’assez près pour n’offrir qu’une partie de la marge sans aucune lettre . Je suis même porté à croire que c’était un feuil
t blanc. Lorsque j’aurai à examiner le manuscrit de Wissembourg et la lettre latine, par laquelle le professeur allemand Tross
1599. En effet, les éditions de 1617 et de 1630 sont précédées d’une lettre au président Jacques-Auguste de Thou, datée des c
e des calendes de septembre 1599, et dans la première phrase de cette lettre Rigault fait allusion en ces termes au manuscrit
première édition, comme celles de 1617 et de 1630, portait en tête la lettre au président de Thou. Seulement il n’y était pas
e plus tard, conservant en tête de ses éditions de 1617 et de 1630 sa lettre au président de Thou, Rigault, pour la mettre en
ntes de celles du manuscrit de Pithou, Dom Vincent y avait ajouté une lettre ainsi conçue : « Le 31 octobre 1769. « Monsieur,
t le moins mal qu’il m’a été possible ; j’ai conservé la grosseur des lettres , laquelle varie quelquefois : mais peu accoutumé
nt naturellement sur les papiers transparents, je n’ai pu donner à la lettre du manuscrit toute la netteté qu’elle présente. D
et permettait de déterminer l’âge du manuscrit. Ce fac-simile, et la lettre qui l’accompagnait, avaient été par M. de Foncema
Reims par Dom Vincent, bibliothécaire de Saint-Remi. J’y ai joint la lettre , par laquelle il m’annonçait en même temps un par
cas, et, rentré à Saint-Remi, il s’empressa de le lui envoyer avec la lettre suivante : « Monsieur,   « Aussitôt mon arrivée,
souvent de précision. En général, elles sont simplement précédées des lettres  MS. Comme les leçons précédées de ces deux lettre
ment précédées des lettres MS. Comme les leçons précédées de ces deux lettres se retrouvent presque toutes dans le manuscrit de
notes des variantes précédées de cette autre abréviation MS. Rem. Les lettres  MS semblent donc désigner le premier manuscrit co
 7 de la fable ii, ne sont, dans ses notes, précédées que des simples lettres  MS. Ne lui ayant été signalées ni par l’appendice
concerner que celui de Reims, et c’est là ce qu’il a dû par les deux lettres  MS avoir l’intention d’exprimer ; ce qui le prouv
rtenant qu’au manuscrit de Reims, n’est signalée par Gude qu’avec les lettres  MS ; ce qui le prouve encore, c’est que, lorsqu’a
u’Orelli dans l’intention bien arrêtée de Gude de ne désigner par les lettres  MS que le manuscrit de Reims, je crois qu’on doit
s appréciations des savants ne sont pas en parfaite harmonie. Dans sa lettre à M. de Foncemagne, Dom Vincent estime que l’écri
e que, dans sa pensée, elle ne dépasse pas le viiie  ; enfin, dans la lettre qui accompagnait le volume de la veuve Brocas, il
atique est assez flatteur. C’était un protecteur généreux, un ami des lettres  : “Sermone illo philosophico, ajoute-t-il, ex tuo
é d’une note, suivant laquelle Dom Cl. Étiennot de la Serre, dans une lettre où il fait l’historique de Saint-Benoît-sur-Loire
L’écriture paraît du xiie  siècle. Elle est très lisible. La première lettre de chaque chapitre est ornée d’arabesques. C’est
grec est accompagné, en interligne, de la traduction latine écrite en lettres de moindre grosseur. Cette traduction commence pa
Quant à Burmann, dans l’ouvrage cité par Schwabe, il avait publié une lettre écrite à Utrecht en 1658, dans laquelle Grævius d
ermet de fixer l’époque à laquelle il cessa sa compilation ; c’est la lettre suivante qu’un de ses amis, François Philelphe, l
diolano, xviii Kal. Januarias MCCCCLXIV. » Quand Perotti reçut cette lettre , il n’avait que trente-trois ans, et la traductio
employé une espèce d’encre, qui n’avait pas résisté au temps, et les lettres qu’elle avait servi à tracer, en partie avaient v
use d’humidité, s’était à tel point altéré qu’au milieu du papier les lettres sur une large surface étaient ou tout à fait détr
ents de vers, des mots, des syllabes, des éléments et des vestiges de lettres , qui très souvent conduisent à des leçons parfait
Enfin, soit par sa faute, soit par celle d’autrui, les signes et les lettres ayant été transposés, souvent ce qui est de Cassi
çon apparente du manuscrit il avait, comblant la la lacune, ajouté la lettre  n. Mais dans le manuscrit on lit très nettement :
ons pas cru que cela pût avoir de l’intérêt ni pour nous, ni pour les lettres , si Cassitto avait du moins averti les lecteurs q
ié, interprété et soigneusement gardé. Il nous importe, à nous et aux lettres , que les leçons de Cassitto, la plupart du temps
ar l’effet du temps, soit par l’effet de l’humidité ; que beaucoup de lettres ont complètement disparu et que de beaucoup d’aut
très attentif du manuscrit et spécialement des fables nouvelles, les lettres en ont été trouvées intactes dans leur ancienneté
le public n’était pas admis à travailler. Il m’engagea à demander par lettre au conservateur alors en villégiature l’autorisat
us laquelle l’encre a complètement disparu. Les titres et la première lettre de chaque vers, écrits à l’encre rouge, ont un pe
e critique, et, pour en démontrer l’inanité, il reproduit d’abord une lettre adressée par Perotti à l’un de ses amis, nommé Ga
t-il pas maintenus ? Jannelli fait encore remarquer que, dans la même lettre , il se montre absolument opposé à toute interpola
cles fort enluminés. Ils en entourent un huitième plus grand, qui, en lettres d’or et d’azur, porte l’avertissement suivant : «
ent le même que dans le manuscrit de Naples. Le texte commence par la lettre en prose à Titus Mannus Veltrius de Viterbe, que
sa sincérité, ni à lui infliger l’épithète de plagiaire. Il prit à la lettre la déclaration du prélat, et, le considérant comm
tion un jour lumineux. « Comme je l’ai écrit ailleurs au sujet de mes lettres , disait-il dans son épître à Mannus Veltrius de V
hrist. En France, un jeune auteur que la mort ravit prématurément aux lettres , Boulanger de Rivery, entra à son tour dans la li
n’est familière à aucun autre poète de son époque251. 8º Lorsque les lettres latines furent tombées en décadence, les fables é
aux pédagogues. Les premiers ont transposé, redoublé ou supprimé des lettres , mais cela n’a pas altéré le texte. Les seconds o
t fondés. Je les réfuterai une à une. 1º Il commence par prendre à la lettre les deux vers de Perotti : Non sunt hi mei quos
suivante, que Heyne formulait lui-même, au mois de mai 1811, dans une lettre datée de Göttingen et adressée à Cassitto : « De
profondément altéré. Il est vrai que ses leçons étaient imprimées en lettres italiques ; mais, dans la précipitation qui avait
es ouvrages d’Adémar à peu près le seul qui ait vu le jour ; sauf une lettre sur l’apostolat de saint Martial et quelques vers
uscrit. Au contact de leurs doigts le parchemin s’est encrassé et les lettres se sont effacées. Les fables se terminent au fol.
l. ccx b. — Formule de mariage différente de la précédente. Modèle de lettres et d’ornements marginaux. Fol. ccxi a. — Dessins
e pour le prier de lui faire faire par eux une copie du manuscrit. La lettre fut reçue par l’adjoint, qui, après des recherche
cevez, etc.   « Aug. Saum,                « Bibliothécaire. » Cette lettre me combla de joie. En me révélant l’existence d’u
d’une longue dissertation latine publiée en Allemagne, sous forme de lettre , par le savant Tross. Je me mis en quête de l’opu
othèque du British Museum, où il porte la cote 12 305 e 296. Comme la lettre de Tross est l’étude la plus complète qui ait été
no, | Epistola. | Hammone, | Typis Schulzianis, | MDCCCXLIV. Dans la lettre elle-même, Tross commence par expliquer que c’est
ontre d’ordinaire dans les plus beaux manuscrits de cette époque. Les lettres initiales et presque toutes celles des titres son
aphie, par les soins de Pierre-François Foggini, en l’année 1741. Les lettres qu’on nomme minuscules sont à l’encre noirâtre, m
par Berger [de Xivrey] dans le manuscrit de Pithou ; les échanges de lettres sont également semblables. Souvent inquit s’écrit
24 feuillets, dont le premier a été par une main récente marqué de la lettre  A, et dont les autres sont numérotés de 1 à 123.
t ici aucun intérêt et que je m’abstiens de reproduire. Il termine sa lettre , en expliquant que, si Lessing a gardé le silence
oigneusement dressé, il n’avait pu le découvrir. Telle est la savante lettre latine que Tross écrivit de Hamm à M. Fleutelot a
la visite qu’un peu plus haut j’ai racontée, je m’étais déjà mis par lettre en rapport avec le conservateur des manuscrits de
uvrage du manuscrit, n’aurait pas dû être omis. Il a été pourvu de la lettre  A. Je passe aux feuillets numérotés. Fol. 1 a. — 
to vitiis. Fol. 60 b. — Le bas de la page porte, à l’encre rouge, en lettres capitales ce titre annonçant les fables : Incipi
Fol. 82 a. — Fin des fables closes par cette souscription en grosses lettres rouges : Expliciunt aesopi fabularum libri numer
libri numero quinque. Deo gratias. Amen. Au bas de la même page, en lettres semblables écrites avec la même encre, on lit l’h
de 57, qui, au bas du fol. 110 a, est suivie de cette souscription en lettres rouges : Finiunt capitula monstruorum (sic). Fo
 chapitres du deuxième livre, close par cette souscription en grosses lettres à l’encre rouge : Expliciciunt capitula de marin
é dans la bibliothèque publique de Dijon, et pour cela je me suis par lettre adressé au conservateur. Voici sa réponse qui ne
nt, les fables de Romulus n’étaient pas seules. Ainsi que le porte la lettre de M. Guignard, à la suite venaient 32 livres de
soit à la Légation, soit à mon hôtel. Il s’empressa de me répondre la lettre suivante : « Munich, le 20 juin 1873. « Monsieur
vante : « Versailles, 1er juillet 1873. « Monsieur,   « J’ai reçu la lettre que vous m’avez fait l’honneur de m’écrire le 25 
huit feuillets, et le seizième, neuf. Ces cahiers sont pourvus des 16  lettres d’ordre ou signatures suivantes : a, b, c, d, e,
lets de chaque cahier, au bas du recto, portent, indépendamment de la lettre d’ordre, un numérotage qui va de 1 à 4. De même q
t de la lettre d’ordre, un numérotage qui va de 1 à 4. De même que la lettre d’ordre sert au classement des cahiers, les numér
rs signés, dont les signatures vont de a à q. Les cahiers portant les lettres  a, c, e, g, i, l, n, p et q, se composent de 8 fe
g, i, l, n, p et q, se composent de 8 feuillets, et ceux portant les lettres  b, d, f, h, k, m et o n’en comprennent que 6. Il
Le premier est blanc et les trois suivants contiennent, sous forme de lettre , un premier prologue en prose dont le titre est a
formé de 16 cahiers pourvus de signatures et classés dans l’ordre des lettres suivantes : a, b, c, d, e, f, g, h, i, k, m, n, o
feuillets, alternant régulièrement ensemble. Ceux qui sont signés des lettres  a, c, e, g, i, l, n, p, q, comprennent chacun hui
n, p, q, comprennent chacun huit feuillets ; ceux qui sont signés des lettres  b, d, f, h, k, m, o comprennent chacun six feuill
feuillets sont numérotés de 1 à 4, et ces numéros sont précédés de la lettre spéciale au cahier ; les quatre derniers feuillet
feuillets sont numérotés de 1 à 3, et ces numéros sont précédés de la lettre spéciale à chaque cahier ; les trois derniers feu
re ; mais elles les reproduisent en sens inverse. Dans la seconde les lettres initiales, gravées sur bois, constituent encore u
forme un volume in-fol., qui se compose de 60 feuillets, imprimés en lettres gothiques, non chiffrés, signés de a à h et illus
, sa réimpression forme un volume in-4º de 70 feuillets réimprimés en lettres gothiques, à deux colonnes de 40 lignes, illustré
ures qui n’occupent que les petits espaces ordinairement réservés aux lettres initiales. Celles qui illustrent la vie d’Ésope s
de Philippe-Auguste, il quitta son pays natal, pour venir étudier les lettres à Paris, où il entra dans l’ordre des dominicains
Parchemin. 265 feuillets à 2 col. 328 sur 240 millim. Belle écriture, lettres ornées, titre courant. Fol. 9, miniature représen
hacune sans gardes, signatures ni pages numérotées. Il est imprimé en lettres rondes tirant sur le gothique. La première partie
de 474 feuillets à 2 colonnes de 62 lignes chaque. Il est imprimé en lettres rondes. Il comprend trois livres. Les 3 premiers
umes grand in-folio à deux colonnes de 62 lignes chacune, imprimés en lettres rondes comme celles du Speculum morale, sans récl
s. Vincentii. Le premier volume se termine par cette souscription en lettres capitales : Explicit. Primvm. Volvmen. Specvli.
llet, la deuxième colonne se termine par une souscription imprimée en lettres capitales et conçue dans les termes suivants : E
nglaises du Miroir historial. L’une se compose de cent feuillets sans lettres initiales. L’autre, qui n’a que 84 feuillets, est
lui, par Angelo Ugoleto, frère du savant Thadée Ugoleto qui, dans une lettre latine adressée à un prêtre parmesan nommé Pérégr
rouver l’intervention de Thadée dans l’affaire, c’est l’extrait de sa lettre latine placé dans l’édition en tête des fables el
fortifia, en déclarant qu’il avait vu, dans un passage imprimé d’une lettre de Thadée Ugolet, le nom de Salon de Parme donné
’auteur des fables élégiaques415. On sait par ce qui précède à quelle lettre il faisait allusion. Il n’avait pas oublié non pl
leurs maris en eulx aisant ; Et li mari doiuent entendre Aus armes et lettres aprendre ; Mes de armes doiuent sauoir, Plus les
ent asemblé, Les vuarges pour un feu mettre. Ainsi les nous dit en la lettre Li souuerres de tout le monde ; Pour ce que la ou
ables qui la suivent ne présentent d’autre ornement que celui de leur lettre initiale, au centre de laquelle est un dessin à l
s se révèle aux yeux par la dimension et les ornements de la première lettre , qui est enjolivée, rouge, de traits bleus à la p
devait être occupé par une miniature, mais qui n’a pas été rempli. La lettre initiale de chaque fable et celle de chaque épimy
es de cette ville), et il dépend du fonds de l’Académie des sciences, lettres et arts, dans lequel il porte le nº 57. Il a appa
ie écrite par M. Delandine : « Pierre Adamoli, plein d’amour pour les lettres et les fruits heureux qu’elles font naître, passa
thèque, datent du xiiie  siècle. Les feuilles de vélin sont ornées de lettres capitales coloriées et d’un grand nombre de minia
nent les douze vers du prologue, dont une mouillure a enlevé quelques lettres . La traduction est précédée de ce titre à l’encre
ourvu les fables ni d’un titre général, ni de titres particuliers. La lettre initiale de chaque fable, écrite à l’encre rouge,
du prologue, dont le texte est relevé par les dorures de la première lettre . Mais, si belle que soit cette lettre, elle est l
par les dorures de la première lettre. Mais, si belle que soit cette lettre , elle est loin de valoir la miniature qui sur la
ent l’argument de la vie d’Ésope et sa vie elle-même dont la première lettre est ornée d’illustrations splendides. La vie d’És
le titre entre chacune d’elles n’a pas été rempli. Seule la première lettre du préambule est ornée d’une belle miniature que
ts du troisième. Tout au haut du recto du premier feuillet, écrits en lettres très fines, se lisent les mots yesus maria . Le
que le texte est fort défectueux. Au-dessous de la dernière fable, en lettres moins fines et avec une encre plus noire ont été
s regnabat apud romanos. » Les fables, ornées en partie de titres en lettres dorées, sont en outre accompagnées de quelques gl
in-4º, imprimée en caractères gothiques, non paginée, mais signée des lettres  a et b et formée de deux cahiers, l’un de 8 feuil
re qui attribue l’œuvre à Salon de Parme et qui porte l’extrait de la lettre latine adressée, à l’appui de cette thèse, par le
in-4º, imprimée en caractères gothiques, non paginée, mais signée des lettres  A et B, et formée de deux cahiers de huit feuille
renferme les soixante-deux fables les plus usuelles, précédées de la lettre bien connue de Thadée Ugoleto à Pérégrin Posthume
fables de Walther attribuées à Salon et précédées de l’extrait de la lettre de Thadée Ugoleto. L’avant-dernier feuillet, au b
sa seruando.  || m.dxxxviii. Au-dessous de cette date se lisent les lettres  I et M. Édition in-8º, non chiffrée, mais signée
acun, soit de seize feuillets au total, non chiffrés, mais signés des lettres  a et b. Le recto du premier feuillet est orné d’u
espace plus grand que celui qui est ordinairement réservé aux grandes lettres initiales. Les fables, étant au nombre de soixant
feuillet, où commence le prologue, est orné d’un encadrement et d’une lettre initiale enluminée et dorée. Le prologue débute a
volume n’est pas paginé, mais porte des signatures de a à e ; chaque lettre s’appliquant à un cahier de seize feuillets, et l
ère édition de la traduction de Francisco del Tuppo a été imprimée en lettres rondes. Elle forme un volume in-fol. de petit for
st aujourd’hui encore moins rare que la précédente, a été imprimée en lettres rondes à Aquilée, en 1493. Comme la première, ell
éducation littéraire commencée en Angleterre. Il y enseigna même les lettres , et il est probable qu’il y composa le poème inti
u de publier. Le prologue, ainsi augmenté, est orné d’une très grande lettre initiale, dans l’intérieur de laquelle une miniat
ce Esopes. Le prologue qui précède les fables est orné d’une grande lettre initiale, remplie à l’encre rouge par des traits
écriture, qui est sur deux colonnes, offre cette particularité que la lettre  v, qui dans le corps des mots est remplacée par u
t représenté par un u que dans les mots dont il n’est pas la première lettre , et que les lettres v et u, dans les mots vulpis
 u que dans les mots dont il n’est pas la première lettre, et que les lettres  v et u, dans les mots vulpis et vulpil, sont remp
M. Oesterley est erronée. Désirant savoir ce qu’elle valait, j’ai par lettre demandé à M. von Heinemann, conservateur de la bi
pour servir à l’histoire des hommes illustres dans la république des lettres . 85. Vie de Pierre Pithou, Paris, 1756. (Voyez
pour servir à l’histoire des hommes illustres dans la république des lettres . (Voyez tome IX, p. 385.) 199. Phædri Augusti L
nalyse qu’il a donnée du manuscrit de Wissembourg sous la forme d’une lettre latine à M. Fleutelot. Je renvoie ceux qui désire
e  siècle, ce que François Ier fut en France au xvie . Protecteur des lettres , il les cultivait lui-même, écrivait des vers, et
17 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CI. De l’Avare, et de l’Envieux. »
l’Avare qui s’est jamais rendu grand personnage, ou aux armes, ou aux lettres , ou plustost en la vraye et parfaicte Vertu ? Les
us nous pourvoyons en la monnoye du lieu où nous devons entrer, ou en lettres de change, affin de n’estre chargez d’especes inu
18 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
e se rende tres-suffisant en certaines choses particulieres, l’un aux lettres , l’autre au jeu ; l’un en la conduitte des Empire
eu, cela doit estre reçeu avec explication, plustost qu’au pied de la lettre . Car il est tres-veritable qu’ils ne cessent de c
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