rs Ennus s’abandonnant à une hayne secrette, se mit à contrefaire une
lettre
, par laquelle il donnoit à entendre au nom d’Esop
Lycerus, qu’à ceux là mesmes qui luy envoyoient des problemes. Cette
lettre
estant cachetée avec la propre bague d’Esope, il
Egyptiens, ayant sçeu qu’Esope estoit mort, escrivit incontinent une
lettre
au mesme Lycerus, par laquelle il luy mandoit qu’
tribut, sinon qu’il le payeroit. Aussi tost que Lycerus eust leu ces
lettres
, elles l’attristerent extrémement, pource qu’il n
eust prié de luy faire grace. En suite de tout cecy, Lycerus donna la
lettre
de Nectenabo au subtil Esope, qui ne l’eust pas p
vers eux en qualité d’Ambassadeur du Roy de Lydie, qui luy donna des
lettres
, et le pouvoir d’en traicter. Cependant les Samie
s, pour une marque de leur commune allegresse. Il leut devant eux les
lettres
du Roy, par lesquelles il leur fit voir, comme pa
là paix ensemble, et en ce commun repos ils se visitoient souvent par
lettres
, s’envoyant les uns aux autres des questions Soph
extrême. Sur ces entrefaictes, Esope ayant fortuitement apperçeu les
lettres
suivantes R. P. Q. F. I. T. A. gravées sur un tom
e faire », respondit Xanthus, « si premierement tu ne m’expliques ces
lettres
, car ce me sera une chose plus precieuse de les e
ns la terre, comme sçavant qu’il estoit, s’avisa d’y faire graver ces
lettres
, qui joinctes ensemble, forment un sens qui est t
ce thresor ». « A quoy cognois-tu cela », continüa Xanthus ; « A ces
lettres
», adjousta Esope, « R. R. D. Q. I. T. qui signif
ais celuy qui l’a icy caché. Que cela ne soit, escoute le contenu des
lettres
suivantes A. E. D. Q. I. T. A. d’où sont formées
s. Mais pour moy, il me semble meilleur de l’appliquer à l’Estude des
Lettres
, et à la Volupté tout ensemble. Car ce Renard, qu
i aprenons-nous dans les Histoires, que les plus excellents hommes de
lettres
ont esté maigres, et secs ; Tesmoin Aristote, Vir
d’affranchir les Peuples de la tyrannie, l’ont fait par le moyen des
Lettres
; Tesmoin le Philosophe Dion, qui apres avoir pas
° 81 Le prêtre et le loup Un prestre volst jadis aprendre a un lu
lettres
fere entendre. « A », dist li prestre, « a », dis
âne et un chien faisaient route ensemble. Ils trouvèrent à terre une
lettre
cachetée. L’âne la ramassa, rompit le sceau, l’ou
es bestes horsmis du Renard. Il luy envoya donc un Messager, avec une
lettre
, par laquelle il l’avisoit, qu’il ne luy pouvoit
s naissance de parents incognus, et passé toute sa vie en l’étude des
lettres
hors de sa Province, et mesme estant privé du plu
si Divins, qu’on luy donna depuis à bon droict le tiltre de Pere des
Lettres
, et à bon droict aussi sept Villes fameuses débat
». « Quoy reprit le Jardinier, ce vilain a-t’il quelque teinture des
lettres
? O le grand malheur que c’est : Sus donc, bon-ho
partage des heritiers. C’est ce qui nous est enseigné par les saintes
lettres
, où il est dit, « Que tout Royaume en soy divisé
, si l’on considere indifferemment que ceux qui ont excellé, soit aux
Lettres
, ou aux Armes, comme un Platon, un Aristote, un S
l’Histoire de nostre temps, et dans les autres ouvrages des hommes de
lettres
. En voicy un qui pourroit bien estre de ce nombre
est-ce que nous prendrons pour ceste heure le discours au pied de la
lettre
, et ne nous arresterons qu’à l’election des Roys,
qui en sont les Autheurs, inventent des Fables, qui à le prendre à la
lettre
, tiennent du des-honneste, et de l’impie mesme ;
t à la veille d’en sentir l’effect. Car un peu apres il leur vint des
lettres
de la part de Cresus, Roy de Lydie, par lesquelle
près de la Grèce, et il ajoute que son pays plus voisin du foyer des
lettres
a vu naître Linus et Orphée. Qu’on lise toute la
t été vendu, fit ajouter à son instruction grecque l’enseignement des
lettres
latines, et, couronnant dignement son œuvre, lui
fabuliste. — Tant qu’Auguste vécut, Phèdre, malgré son goût pour les
lettres
, s’abstint de s’y livrer. Indécis devant les diff
force de travail et de patience se faire classer parmi les hommes de
lettres
: Quamvis in ipsa pene sim natus Schola, Curamqu
aleur de l’écrivain. Quand on veut porter un jugement sur un homme de
lettres
, il faut toujours examiner en lui deux choses, le
aux déchirements de la patrie, des hommes éminents chercher dans les
lettres
et dans les arts une diversion à leur tristesse,
éparatoire. Au-dessous de la note de Beaucousin, on lit : « Voyez la
lettre
de M. l’abbé de Saint-Léger dans l’Année littérai
mands plus que le reste de la grande bibliothèque strasbourgeoise. La
lettre
de M. de Steiger avait surexcité ma curiosité. L’
eiger avait surexcité ma curiosité. L’été qui suivit la date de cette
lettre
, faisant un voyage nouveau en Suisse, je passai p
de l’édition de Pithou ; il portait sur le catalogue le nº 252 et la
lettre
F. Bongars l’avait fait relier avec d’autres opus
, furent le dernier présent dont M. Pithou enrichit la République des
Lettres
; il ne survécut que deux mois à l’Édition de ces
posé à accueillir la requête qui lui était adressée ; il répondit une
lettre
évasive, dans laquelle il disait que le manuscrit
u mois suivant93. » M. Berger de Xivrey la fit précéder d’une longue
lettre
, dans laquelle il lui expliquait comment la mémoi
tée avec un grand soin, nous paraît mériter l’attention des hommes de
lettres
. Elle n’a été tirée qu’à deux cents exemplaires.
es de Florence imitèrent au xvie , mais en diminuant la dimension des
lettres
, et en ornant leurs majuscules de jolies arabesqu
vent aucune espèce d’ornements. C’est le cas de celui-ci. Les grandes
lettres
du commencement des fables sont des majuscules to
ec pureté et ayant environ trois ou quatre fois la hauteur des autres
lettres
. Elles sont d’une encre rouge ou tirant sur le vi
corps de la fable, il commence toujours avec la ligne, et sa première
lettre
, qui est, comme nous l’avons dit, une majuscule,
admirans, page 44 du manuscrit, sumtus au lieu de sumptus, etc. « Les
lettres
l et i ou j au commencement des mots sont absolum
abréviations sont un trait au-dessus de la voyelle, à la place de la
lettre
m, le même trait pour indiquer la duplication des
hiré d’assez près pour n’offrir qu’une partie de la marge sans aucune
lettre
. Je suis même porté à croire que c’était un feuil
t blanc. Lorsque j’aurai à examiner le manuscrit de Wissembourg et la
lettre
latine, par laquelle le professeur allemand Tross
1599. En effet, les éditions de 1617 et de 1630 sont précédées d’une
lettre
au président Jacques-Auguste de Thou, datée des c
e des calendes de septembre 1599, et dans la première phrase de cette
lettre
Rigault fait allusion en ces termes au manuscrit
première édition, comme celles de 1617 et de 1630, portait en tête la
lettre
au président de Thou. Seulement il n’y était pas
e plus tard, conservant en tête de ses éditions de 1617 et de 1630 sa
lettre
au président de Thou, Rigault, pour la mettre en
ntes de celles du manuscrit de Pithou, Dom Vincent y avait ajouté une
lettre
ainsi conçue : « Le 31 octobre 1769. « Monsieur,
t le moins mal qu’il m’a été possible ; j’ai conservé la grosseur des
lettres
, laquelle varie quelquefois : mais peu accoutumé
nt naturellement sur les papiers transparents, je n’ai pu donner à la
lettre
du manuscrit toute la netteté qu’elle présente. D
et permettait de déterminer l’âge du manuscrit. Ce fac-simile, et la
lettre
qui l’accompagnait, avaient été par M. de Foncema
Reims par Dom Vincent, bibliothécaire de Saint-Remi. J’y ai joint la
lettre
, par laquelle il m’annonçait en même temps un par
cas, et, rentré à Saint-Remi, il s’empressa de le lui envoyer avec la
lettre
suivante : « Monsieur, « Aussitôt mon arrivée,
souvent de précision. En général, elles sont simplement précédées des
lettres
MS. Comme les leçons précédées de ces deux lettre
ment précédées des lettres MS. Comme les leçons précédées de ces deux
lettres
se retrouvent presque toutes dans le manuscrit de
notes des variantes précédées de cette autre abréviation MS. Rem. Les
lettres
MS semblent donc désigner le premier manuscrit co
7 de la fable ii, ne sont, dans ses notes, précédées que des simples
lettres
MS. Ne lui ayant été signalées ni par l’appendice
concerner que celui de Reims, et c’est là ce qu’il a dû par les deux
lettres
MS avoir l’intention d’exprimer ; ce qui le prouv
rtenant qu’au manuscrit de Reims, n’est signalée par Gude qu’avec les
lettres
MS ; ce qui le prouve encore, c’est que, lorsqu’a
u’Orelli dans l’intention bien arrêtée de Gude de ne désigner par les
lettres
MS que le manuscrit de Reims, je crois qu’on doit
s appréciations des savants ne sont pas en parfaite harmonie. Dans sa
lettre
à M. de Foncemagne, Dom Vincent estime que l’écri
e que, dans sa pensée, elle ne dépasse pas le viiie ; enfin, dans la
lettre
qui accompagnait le volume de la veuve Brocas, il
atique est assez flatteur. C’était un protecteur généreux, un ami des
lettres
: “Sermone illo philosophico, ajoute-t-il, ex tuo
é d’une note, suivant laquelle Dom Cl. Étiennot de la Serre, dans une
lettre
où il fait l’historique de Saint-Benoît-sur-Loire
L’écriture paraît du xiie siècle. Elle est très lisible. La première
lettre
de chaque chapitre est ornée d’arabesques. C’est
grec est accompagné, en interligne, de la traduction latine écrite en
lettres
de moindre grosseur. Cette traduction commence pa
Quant à Burmann, dans l’ouvrage cité par Schwabe, il avait publié une
lettre
écrite à Utrecht en 1658, dans laquelle Grævius d
ermet de fixer l’époque à laquelle il cessa sa compilation ; c’est la
lettre
suivante qu’un de ses amis, François Philelphe, l
diolano, xviii Kal. Januarias MCCCCLXIV. » Quand Perotti reçut cette
lettre
, il n’avait que trente-trois ans, et la traductio
employé une espèce d’encre, qui n’avait pas résisté au temps, et les
lettres
qu’elle avait servi à tracer, en partie avaient v
use d’humidité, s’était à tel point altéré qu’au milieu du papier les
lettres
sur une large surface étaient ou tout à fait détr
ents de vers, des mots, des syllabes, des éléments et des vestiges de
lettres
, qui très souvent conduisent à des leçons parfait
Enfin, soit par sa faute, soit par celle d’autrui, les signes et les
lettres
ayant été transposés, souvent ce qui est de Cassi
çon apparente du manuscrit il avait, comblant la la lacune, ajouté la
lettre
n. Mais dans le manuscrit on lit très nettement :
ons pas cru que cela pût avoir de l’intérêt ni pour nous, ni pour les
lettres
, si Cassitto avait du moins averti les lecteurs q
ié, interprété et soigneusement gardé. Il nous importe, à nous et aux
lettres
, que les leçons de Cassitto, la plupart du temps
ar l’effet du temps, soit par l’effet de l’humidité ; que beaucoup de
lettres
ont complètement disparu et que de beaucoup d’aut
très attentif du manuscrit et spécialement des fables nouvelles, les
lettres
en ont été trouvées intactes dans leur ancienneté
le public n’était pas admis à travailler. Il m’engagea à demander par
lettre
au conservateur alors en villégiature l’autorisat
us laquelle l’encre a complètement disparu. Les titres et la première
lettre
de chaque vers, écrits à l’encre rouge, ont un pe
e critique, et, pour en démontrer l’inanité, il reproduit d’abord une
lettre
adressée par Perotti à l’un de ses amis, nommé Ga
t-il pas maintenus ? Jannelli fait encore remarquer que, dans la même
lettre
, il se montre absolument opposé à toute interpola
cles fort enluminés. Ils en entourent un huitième plus grand, qui, en
lettres
d’or et d’azur, porte l’avertissement suivant : «
ent le même que dans le manuscrit de Naples. Le texte commence par la
lettre
en prose à Titus Mannus Veltrius de Viterbe, que
sa sincérité, ni à lui infliger l’épithète de plagiaire. Il prit à la
lettre
la déclaration du prélat, et, le considérant comm
tion un jour lumineux. « Comme je l’ai écrit ailleurs au sujet de mes
lettres
, disait-il dans son épître à Mannus Veltrius de V
hrist. En France, un jeune auteur que la mort ravit prématurément aux
lettres
, Boulanger de Rivery, entra à son tour dans la li
n’est familière à aucun autre poète de son époque251. 8º Lorsque les
lettres
latines furent tombées en décadence, les fables é
aux pédagogues. Les premiers ont transposé, redoublé ou supprimé des
lettres
, mais cela n’a pas altéré le texte. Les seconds o
t fondés. Je les réfuterai une à une. 1º Il commence par prendre à la
lettre
les deux vers de Perotti : Non sunt hi mei quos
suivante, que Heyne formulait lui-même, au mois de mai 1811, dans une
lettre
datée de Göttingen et adressée à Cassitto : « De
profondément altéré. Il est vrai que ses leçons étaient imprimées en
lettres
italiques ; mais, dans la précipitation qui avait
es ouvrages d’Adémar à peu près le seul qui ait vu le jour ; sauf une
lettre
sur l’apostolat de saint Martial et quelques vers
uscrit. Au contact de leurs doigts le parchemin s’est encrassé et les
lettres
se sont effacées. Les fables se terminent au fol.
l. ccx b. — Formule de mariage différente de la précédente. Modèle de
lettres
et d’ornements marginaux. Fol. ccxi a. — Dessins
e pour le prier de lui faire faire par eux une copie du manuscrit. La
lettre
fut reçue par l’adjoint, qui, après des recherche
cevez, etc. « Aug. Saum, « Bibliothécaire. » Cette
lettre
me combla de joie. En me révélant l’existence d’u
d’une longue dissertation latine publiée en Allemagne, sous forme de
lettre
, par le savant Tross. Je me mis en quête de l’opu
othèque du British Museum, où il porte la cote 12 305 e 296. Comme la
lettre
de Tross est l’étude la plus complète qui ait été
no, | Epistola. | Hammone, | Typis Schulzianis, | MDCCCXLIV. Dans la
lettre
elle-même, Tross commence par expliquer que c’est
ontre d’ordinaire dans les plus beaux manuscrits de cette époque. Les
lettres
initiales et presque toutes celles des titres son
aphie, par les soins de Pierre-François Foggini, en l’année 1741. Les
lettres
qu’on nomme minuscules sont à l’encre noirâtre, m
par Berger [de Xivrey] dans le manuscrit de Pithou ; les échanges de
lettres
sont également semblables. Souvent inquit s’écrit
24 feuillets, dont le premier a été par une main récente marqué de la
lettre
A, et dont les autres sont numérotés de 1 à 123.
t ici aucun intérêt et que je m’abstiens de reproduire. Il termine sa
lettre
, en expliquant que, si Lessing a gardé le silence
oigneusement dressé, il n’avait pu le découvrir. Telle est la savante
lettre
latine que Tross écrivit de Hamm à M. Fleutelot a
la visite qu’un peu plus haut j’ai racontée, je m’étais déjà mis par
lettre
en rapport avec le conservateur des manuscrits de
uvrage du manuscrit, n’aurait pas dû être omis. Il a été pourvu de la
lettre
A. Je passe aux feuillets numérotés. Fol. 1 a. —
to vitiis. Fol. 60 b. — Le bas de la page porte, à l’encre rouge, en
lettres
capitales ce titre annonçant les fables : Incipi
Fol. 82 a. — Fin des fables closes par cette souscription en grosses
lettres
rouges : Expliciunt aesopi fabularum libri numer
libri numero quinque. Deo gratias. Amen. Au bas de la même page, en
lettres
semblables écrites avec la même encre, on lit l’h
de 57, qui, au bas du fol. 110 a, est suivie de cette souscription en
lettres
rouges : Finiunt capitula monstruorum (sic). Fo
chapitres du deuxième livre, close par cette souscription en grosses
lettres
à l’encre rouge : Expliciciunt capitula de marin
é dans la bibliothèque publique de Dijon, et pour cela je me suis par
lettre
adressé au conservateur. Voici sa réponse qui ne
nt, les fables de Romulus n’étaient pas seules. Ainsi que le porte la
lettre
de M. Guignard, à la suite venaient 32 livres de
soit à la Légation, soit à mon hôtel. Il s’empressa de me répondre la
lettre
suivante : « Munich, le 20 juin 1873. « Monsieur
vante : « Versailles, 1er juillet 1873. « Monsieur, « J’ai reçu la
lettre
que vous m’avez fait l’honneur de m’écrire le 25
huit feuillets, et le seizième, neuf. Ces cahiers sont pourvus des 16
lettres
d’ordre ou signatures suivantes : a, b, c, d, e,
lets de chaque cahier, au bas du recto, portent, indépendamment de la
lettre
d’ordre, un numérotage qui va de 1 à 4. De même q
t de la lettre d’ordre, un numérotage qui va de 1 à 4. De même que la
lettre
d’ordre sert au classement des cahiers, les numér
rs signés, dont les signatures vont de a à q. Les cahiers portant les
lettres
a, c, e, g, i, l, n, p et q, se composent de 8 fe
g, i, l, n, p et q, se composent de 8 feuillets, et ceux portant les
lettres
b, d, f, h, k, m et o n’en comprennent que 6. Il
Le premier est blanc et les trois suivants contiennent, sous forme de
lettre
, un premier prologue en prose dont le titre est a
formé de 16 cahiers pourvus de signatures et classés dans l’ordre des
lettres
suivantes : a, b, c, d, e, f, g, h, i, k, m, n, o
feuillets, alternant régulièrement ensemble. Ceux qui sont signés des
lettres
a, c, e, g, i, l, n, p, q, comprennent chacun hui
n, p, q, comprennent chacun huit feuillets ; ceux qui sont signés des
lettres
b, d, f, h, k, m, o comprennent chacun six feuill
feuillets sont numérotés de 1 à 4, et ces numéros sont précédés de la
lettre
spéciale au cahier ; les quatre derniers feuillet
feuillets sont numérotés de 1 à 3, et ces numéros sont précédés de la
lettre
spéciale à chaque cahier ; les trois derniers feu
re ; mais elles les reproduisent en sens inverse. Dans la seconde les
lettres
initiales, gravées sur bois, constituent encore u
forme un volume in-fol., qui se compose de 60 feuillets, imprimés en
lettres
gothiques, non chiffrés, signés de a à h et illus
, sa réimpression forme un volume in-4º de 70 feuillets réimprimés en
lettres
gothiques, à deux colonnes de 40 lignes, illustré
ures qui n’occupent que les petits espaces ordinairement réservés aux
lettres
initiales. Celles qui illustrent la vie d’Ésope s
de Philippe-Auguste, il quitta son pays natal, pour venir étudier les
lettres
à Paris, où il entra dans l’ordre des dominicains
Parchemin. 265 feuillets à 2 col. 328 sur 240 millim. Belle écriture,
lettres
ornées, titre courant. Fol. 9, miniature représen
hacune sans gardes, signatures ni pages numérotées. Il est imprimé en
lettres
rondes tirant sur le gothique. La première partie
de 474 feuillets à 2 colonnes de 62 lignes chaque. Il est imprimé en
lettres
rondes. Il comprend trois livres. Les 3 premiers
umes grand in-folio à deux colonnes de 62 lignes chacune, imprimés en
lettres
rondes comme celles du Speculum morale, sans récl
s. Vincentii. Le premier volume se termine par cette souscription en
lettres
capitales : Explicit. Primvm. Volvmen. Specvli.
llet, la deuxième colonne se termine par une souscription imprimée en
lettres
capitales et conçue dans les termes suivants : E
nglaises du Miroir historial. L’une se compose de cent feuillets sans
lettres
initiales. L’autre, qui n’a que 84 feuillets, est
lui, par Angelo Ugoleto, frère du savant Thadée Ugoleto qui, dans une
lettre
latine adressée à un prêtre parmesan nommé Pérégr
rouver l’intervention de Thadée dans l’affaire, c’est l’extrait de sa
lettre
latine placé dans l’édition en tête des fables el
fortifia, en déclarant qu’il avait vu, dans un passage imprimé d’une
lettre
de Thadée Ugolet, le nom de Salon de Parme donné
’auteur des fables élégiaques415. On sait par ce qui précède à quelle
lettre
il faisait allusion. Il n’avait pas oublié non pl
leurs maris en eulx aisant ; Et li mari doiuent entendre Aus armes et
lettres
aprendre ; Mes de armes doiuent sauoir, Plus les
ent asemblé, Les vuarges pour un feu mettre. Ainsi les nous dit en la
lettre
Li souuerres de tout le monde ; Pour ce que la ou
ables qui la suivent ne présentent d’autre ornement que celui de leur
lettre
initiale, au centre de laquelle est un dessin à l
s se révèle aux yeux par la dimension et les ornements de la première
lettre
, qui est enjolivée, rouge, de traits bleus à la p
devait être occupé par une miniature, mais qui n’a pas été rempli. La
lettre
initiale de chaque fable et celle de chaque épimy
es de cette ville), et il dépend du fonds de l’Académie des sciences,
lettres
et arts, dans lequel il porte le nº 57. Il a appa
ie écrite par M. Delandine : « Pierre Adamoli, plein d’amour pour les
lettres
et les fruits heureux qu’elles font naître, passa
thèque, datent du xiiie siècle. Les feuilles de vélin sont ornées de
lettres
capitales coloriées et d’un grand nombre de minia
nent les douze vers du prologue, dont une mouillure a enlevé quelques
lettres
. La traduction est précédée de ce titre à l’encre
ourvu les fables ni d’un titre général, ni de titres particuliers. La
lettre
initiale de chaque fable, écrite à l’encre rouge,
du prologue, dont le texte est relevé par les dorures de la première
lettre
. Mais, si belle que soit cette lettre, elle est l
par les dorures de la première lettre. Mais, si belle que soit cette
lettre
, elle est loin de valoir la miniature qui sur la
ent l’argument de la vie d’Ésope et sa vie elle-même dont la première
lettre
est ornée d’illustrations splendides. La vie d’És
le titre entre chacune d’elles n’a pas été rempli. Seule la première
lettre
du préambule est ornée d’une belle miniature que
ts du troisième. Tout au haut du recto du premier feuillet, écrits en
lettres
très fines, se lisent les mots yesus maria . Le
que le texte est fort défectueux. Au-dessous de la dernière fable, en
lettres
moins fines et avec une encre plus noire ont été
s regnabat apud romanos. » Les fables, ornées en partie de titres en
lettres
dorées, sont en outre accompagnées de quelques gl
in-4º, imprimée en caractères gothiques, non paginée, mais signée des
lettres
a et b et formée de deux cahiers, l’un de 8 feuil
re qui attribue l’œuvre à Salon de Parme et qui porte l’extrait de la
lettre
latine adressée, à l’appui de cette thèse, par le
in-4º, imprimée en caractères gothiques, non paginée, mais signée des
lettres
A et B, et formée de deux cahiers de huit feuille
renferme les soixante-deux fables les plus usuelles, précédées de la
lettre
bien connue de Thadée Ugoleto à Pérégrin Posthume
fables de Walther attribuées à Salon et précédées de l’extrait de la
lettre
de Thadée Ugoleto. L’avant-dernier feuillet, au b
sa seruando. || m.dxxxviii. Au-dessous de cette date se lisent les
lettres
I et M. Édition in-8º, non chiffrée, mais signée
acun, soit de seize feuillets au total, non chiffrés, mais signés des
lettres
a et b. Le recto du premier feuillet est orné d’u
espace plus grand que celui qui est ordinairement réservé aux grandes
lettres
initiales. Les fables, étant au nombre de soixant
feuillet, où commence le prologue, est orné d’un encadrement et d’une
lettre
initiale enluminée et dorée. Le prologue débute a
volume n’est pas paginé, mais porte des signatures de a à e ; chaque
lettre
s’appliquant à un cahier de seize feuillets, et l
ère édition de la traduction de Francisco del Tuppo a été imprimée en
lettres
rondes. Elle forme un volume in-fol. de petit for
st aujourd’hui encore moins rare que la précédente, a été imprimée en
lettres
rondes à Aquilée, en 1493. Comme la première, ell
éducation littéraire commencée en Angleterre. Il y enseigna même les
lettres
, et il est probable qu’il y composa le poème inti
u de publier. Le prologue, ainsi augmenté, est orné d’une très grande
lettre
initiale, dans l’intérieur de laquelle une miniat
ce Esopes. Le prologue qui précède les fables est orné d’une grande
lettre
initiale, remplie à l’encre rouge par des traits
écriture, qui est sur deux colonnes, offre cette particularité que la
lettre
v, qui dans le corps des mots est remplacée par u
t représenté par un u que dans les mots dont il n’est pas la première
lettre
, et que les lettres v et u, dans les mots vulpis
u que dans les mots dont il n’est pas la première lettre, et que les
lettres
v et u, dans les mots vulpis et vulpil, sont remp
M. Oesterley est erronée. Désirant savoir ce qu’elle valait, j’ai par
lettre
demandé à M. von Heinemann, conservateur de la bi
pour servir à l’histoire des hommes illustres dans la république des
lettres
. 85. Vie de Pierre Pithou, Paris, 1756. (Voyez
pour servir à l’histoire des hommes illustres dans la république des
lettres
. (Voyez tome IX, p. 385.) 199. Phædri Augusti L
nalyse qu’il a donnée du manuscrit de Wissembourg sous la forme d’une
lettre
latine à M. Fleutelot. Je renvoie ceux qui désire
e siècle, ce que François Ier fut en France au xvie . Protecteur des
lettres
, il les cultivait lui-même, écrivait des vers, et
l’Avare qui s’est jamais rendu grand personnage, ou aux armes, ou aux
lettres
, ou plustost en la vraye et parfaicte Vertu ? Les
us nous pourvoyons en la monnoye du lieu où nous devons entrer, ou en
lettres
de change, affin de n’estre chargez d’especes inu
e se rende tres-suffisant en certaines choses particulieres, l’un aux
lettres
, l’autre au jeu ; l’un en la conduitte des Empire
eu, cela doit estre reçeu avec explication, plustost qu’au pied de la
lettre
. Car il est tres-veritable qu’ils ne cessent de c
▲