isérables bêtes, vos maisons brûlent, et vous chantez ! » Cette fable
montre
que tout ce qu’on fait à contre-temps est repréhe
p qui m’est cher ! Autant la faim qu’un collier pesant. » Cette fable
montre
que dans le malheur on n’a même pas les plaisirs
ncore envie de dattes, à ce qu’il paraît : c’est pour cela qu’elle se
montre
tranquille. Cette fable montre que les accidents
il paraît : c’est pour cela qu’elle se montre tranquille. Cette fable
montre
que les accidents sont des leçons pour les hommes
, je préfère être victime du dieu que de périr par toi. » Cette fable
montre
que, si l’on est réduit à mourir, il vaut mieux m
sus, le deuxième n’aurait pas essayé d’en faire autant. » Cette fable
montre
que ceux qui tiennent tête aux premiers qui les a
, tandis que moi, j’ai un corps qui défie même l’hiver. » Cette fable
montre
qu’il vaut mieux prolonger sa vie que d’être beau
utre luy redemande Sa maison, sa chambre, son lit. La Lice cette fois
montre
les dents, et dit : Je suis prête à sortir avec t
t. Apollon reconnut ce qu’il avoit en teste. Mort ou vif, luy dit-il,
montre
-nous ton moineau, Et ne me tends plus de panneau
couvercle, et tous les biens s’envolèrent chez les dieux. Cette fable
montre
que l’espérance seule reste avec les hommes, qui
s malheurs : voilà pourquoi j’habite les lieux déserts. » Cette fable
montre
que l’homme affligé par quelque coup de la fortun
ir beau, ne vends plus l’orge destinée à ma nourriture. » Cette fable
montre
que les gens cupides amorcent les pauvres gens pa
ettre une bride et de la donner à conduire à des enfants. Cette fable
montre
que l’habitude calme la peur qu’inspirent les cho
i nous ne savions qui vous êtes, et qui vous combattez. » Cette fable
montre
que ceux qui se mettent en lutte avec de plus pui
i pris un bain ; la mort peut venir : il ne m’en chaut. » Cette fable
montre
que les hommes supportent facilement la mort, qua
it-il, puisque tu n’épargnes même pas ceux de ta tribu. » Cette fable
montre
que ceux qui trahissent leurs parents sont odieux
voix le fit reconnaître et son chant le sauva de la mort. Cette fable
montre
que souvent la musique fait ajourner la mort.
sous la roue d’un chariot et mourut ainsi avec la guêpe. Cette fable
montre
que certaines gens ne reculent pas à l’idée de mo
nts ; mais de ta bouche à toi je les refuse absolument. » Cette fable
montre
qu’il faut craindre les gracieusetés des méchants
entre les mains de Zeus, pour subir ses justes jugements. Cette fable
montre
qu’il ne faut pas s’étonner si les malfaiteurs et
’âne, ils s’arrêtent tout autour, eux aussi, pour pisser. Cette fable
montre
qu’on ne peut rien changer à sa destinée.
ou grand, il faut absolument l’empêcher de se produire. » Cette fable
montre
qu’il ne faut pas avoir pitié d’un méchant, quel
ivre quelque part ; la chauve-souris, craignant ses créanciers, ne se
montre
pas de jour et ne sort pour pâturer que la nuit ;
habits des passants, cherchant à reconnaître son étoffe. Cette fable
montre
que nous revenons toujours aux choses où nous avo
eau une troisième fois, votre art deviendra sans usage. » Cette fable
montre
qu’à railler plus fin que soi, on s’attire imprud
s, indigné de sa conduite, le remit dans son ancien état. Cette fable
montre
que les gens de rien ont beau prendre des dehors
, tu n’aurais jamais préféré tes oreilles à ton ventre. » Cette fable
montre
que ceux qui sont naturellement méchants, même qu
u’il est tel que le camarade qu’il a choisi entre tous. » Cette fable
montre
qu’on nous juge pareils à ceux dont nous aimons l
tte truie te donnera aussi des chevreaux aux Dionysies. » Cette fable
montre
que beaucoup de gens n’hésitent pas, quand leur i
la truie, reconnais que tu n’enfantes que des aveugles. » Cette fable
montre
qu’une œuvre se juge, non sur la vitesse, mais su
tés sur la berge, lui crièrent : « Ne nous abandonne pas, reviens, et
montre
-nous le passage par où nous pourrons boire sans d
e toi, moi qui suis varié, non de corps, mais d’esprit. » Cette fable
montre
que les ornements de l’esprit sont préférables à
ement, mais une manie qui te fait faire ce que tu fais. » Cette fable
montre
qu’à obliger les gens de rien aussi bien que les
goret, animal dont il a peur, ne vienne nous attaquer. » Cette fable
montre
qu’une petite cause ferme parfois l’accès des gra
i, et tu n’es pas plus puissant que moi. Si tu prétends le contraire,
montre
de quoi tu es capable. Est-ce d’égratigner avec t
anquait plus que cela, de voir un âne adoré des hommes. » Cette fable
montre
que ceux qui font vanité des avantages d’autrui p
qui se passait, et tua le loup en le pendant à un arbre. Cette fable
montre
qu’un naturel pervers ne peut donner un caractère
a : « Je l’ai bien mérité, ayant eu pitié d’un méchant. » Cette fable
montre
que la perversité ne change pas, quelque bonté qu
sait lever de plus grand matin pour les faire travailler. Cette fable
montre
que pour beaucoup de gens ce sont leurs propres r
fable s’appliquerait bien à une gipsy qui promet des merveilles et se
montre
incapable des choses ordinaires. Chambry 91.2
r je ne devais pas endommager celle qui m’avait sauvée. » Cette fable
montre
que ceux qui font du mal à leurs bienfaiteurs son
ient que depuis lors tous les débauchés sont sans pudeur. Cette fable
montre
que ceux qui sont la proie de l’amour en perdent
quelqu’un ait osé courir sur le corps du lion endormi. » Cette fable
montre
que les hommes sensés ne dédaignent pas même les
la chasse, quel secours pourrons-nous attendre de toi ? » Cette fable
montre
qu’il ne faut pas blâmer ceux qui, prévoyant les
ieu où les victimes de la violence trouvent assistance. » Cette fable
montre
que souvent les malheurs sont plus pénibles à sup
dans le fleuve ; mais dans le fleuve un crocodile le dévora. La fable
montre
qu’aucun élément, ni la terre, ni l’air, ni l’eau
ble : car ce que je blanchirais, tu le noircirais de suie. » La fable
montre
qu’on ne peut associer des natures dissemblables.
s autres, toi qui boites et ne te guéris pas toi-même ! » Cette fable
montre
que, si l’on n’a pas été initié à la science, on
utile : c’est avant d’être pris que tu devais le faire. » Cette fable
montre
que, quand le malheur est venu, le regret ne sert
asse ne fut même plus capable de pondre une fois le jour. Cette fable
montre
que, lorsqu’on cherche par cupidité à avoir plus
it d’abord ; si on le combat, voilà comment il s’enfle. » Cette fable
montre
que les combats et les querelles sont cause de gr
i ? en est-il un à qui tu n’aies pas dérobé de viande ? » Cette fable
montre
que ceux qui se sont fait beaucoup d’ennemis dans
tu as pris le cœur, bien au contraire tu m’en as donné. » Cette fable
montre
que souvent les accidents sont des enseignements
et l’orge d’autrui, et les met en réserve pour son usage. Cette fable
montre
que les gens naturellement méchants ont beau être
ous étions sots d’attendre une chose qui n’était rien ! » Cette fable
montre
que certains hommes qui paraissent redoutables pa
fit reconduire à coups de bâton et attacher au râtelier. Cette fable
montre
que tous ne sont pas faits pour les mêmes choses.
veut m’agacer, j’ai l’habitude de revenir le jour même. » Cette fable
montre
que Dieu n’a pas de jour fixe pour punir les impi
l s’enhardit jusqu’à s’en approcher et à causer avec lui. Cette fable
montre
que l’accoutumance adoucit même les choses effray
it qu’il vous empoigne ; mais moi, c’est pour ma chair. » Cette fable
montre
que ceux-là ont raison de gémir qui sont en risqu
ne se donne point par les bras, mais par la voix seule. » Cette fable
montre
que, quand on a besoin des bras, les secours en p
r voulu les deux provendes, il n’eut ni l’une ni l’autre. Cette fable
montre
que nous devons nous contenter de nos propres bie
se, dit-il, tu nous as perdus, toi et moi du même coup. » Cette fable
montre
que tout ce qu’on fait à contretemps est hasardeu
hache, tu ne m’as pas mis de moitié dans ta trouvaille. » Cette fable
montre
que, si l’on n’a point de part aux heureux succès
p, et il s’était privé même du petit profit qu’il tenait. Cette fable
montre
qu’il faut se contenter de ce qu’on a et éviter l
que tu veux prendre au piège tes camarades et tes amis. » Cette fable
montre
que l’homme qui trame des machinations contre ses
che s’habitua à l’odeur et cessa d’importuner le tanneur. Cette fable
montre
que l’habitude adoucit les désagréments. Cham
ens mauvais, aussi bien de ton vivant qu’après ta mort. » Cette fable
montre
que les orateurs avisés tournent adroitement à le
qu’alors c’est à moi, la Fortune, que tu t’en prendras. » Cette fable
montre
qu’il faut reconnaître qui vous fait du bien et l
venu pire, et ton défaut est devenu une seconde nature. » Cette fable
montre
qu’il ne faut pas s’invétérer dans la mauvaise co
exciter le maître à la malveillance, mais à la douceur, » Cette fable
montre
qu’en dressant des embûches à un autre on se tend
que chez les rats aussi on trouve de la reconnaissance. » Cette fable
montre
que dans les changements de fortune les gens les
e celui qu’elle néglige arrive à une croissance parfaite. Cette fable
montre
que la fortune est plus puissante que toute notre
de peur qu’il ne te reprenne et ne t’arrache les ailes. » Cette fable
montre
qu’il faut généreusement payer de retour ses bien
étais en y entrant, et alors tu en sortiras facilement. » Cette fable
montre
que le temps résout les difficultés. Chambry
cher à moi qui ai l’habitude d’accrocher tout le monde. » Cette fable
montre
que chez les hommes aussi ceux-là sont des sots q
vient à se dessécher aussi, comment remonterons-nous ? » Cette fable
montre
qu’il ne faut pas s’engager à la légère dans les
je vois mourir avec moi celui qui est cause de ma mort. » Cette fable
montre
qu’on supporte facilement les malheurs, quand on
reprises, en changeant de nom, elle se sauva de la mort. Cette fable
montre
qu’il ne faut pas s’en tenir toujours aux mêmes m
pourquoi ai-je entrepris de pêcher, sans avoir appris ? » Cette fable
montre
qu’à se mêler d’affaire que l’on n’entend pas, no
ant, l’obliger en effet.
Elle frappe à sa porte, elle entre, elle se
montre
.
Que vois-je ! cria-t-il, ostez-moy cet objet ;
un seul ne s’éclata. Foibles gens ! dit le pere, il faut que je vous
montre
Ce que ma force peut en semblable rencontre. On c
dans l’ombre couvrit dès lors les poules tout à son aise. Cette fable
montre
que le Seigneur se range contre les orgueilleux e
; mais la vigne bien remuée donna son fruit au centuple. Cette fable
montre
que le travail est pour les hommes un trésor.
portier, le chien bondit brusquement et le mit en pièces. Cette fable
montre
que les gens sensés, quand leurs ennemis les atta
ment ; mais à coup sûr vous n’échapperez pas aux dieux. » Cette fable
montre
que l’impiété du faux serment reste la même, quel
me faire la guerre, tu excites tout le monde au combat. » Cette fable
montre
que les plus coupables sont ceux qui excitent au
r le lièvre endormi, elle arriva au but et gagna le prix. Cette fable
montre
que souvent le travail l’emporte sur les dons nat
choses, et rends à ton Roy l’honneur que tu és obligé de luy rendre.
Montre
toy redoutable à tes ennemis, de peur qu’ils ne t
tiens pour courir après ce qui n’est pas encore en vue. » Cette fable
montre
que chez les hommes aussi, ceux-là sont déraisonn
; car je vois qu’ils ne s’épargnent pas même entre eux. » Cette fable
montre
que les hommes sensés supportent facilement les o
pour compter sur le butin à venir, si grand qu’il soit. » Cette fable
montre
que ce serait folie de lâcher, sans espoir d’un p
e vais me rétablir pour que les dieux me le réclament ? » Cette fable
montre
que les hommes font facilement des promesses qu’i
dépend de toi que ce que tu tiens soit mort ou vivant. » Cette fable
montre
que la divinité défie toute surprise. Chambry
atienté leur envoya une hydre qui les prit et les dévora. Cette fable
montre
qu’il vaut mieux être commandé par des hommes non
répondit : « C’est pour que tu me soulèves mon fardeau… » Cette fable
montre
que tous les hommes sont attachés à l’existence,
e n’est pas toi qui m’injuries, c’est le lieu où tu es. » Cette fable
montre
que souvent c’est le lieu et l’occasion qui donne
pour moi, si je dois voir mon ennemi mourir avant moi. » Cette fable
montre
que beaucoup de gens ne s’inquiètent aucunement d
lle se renfrogna et se souvint soudain de son père l’âne. Cette fable
montre
que, même si les circonstances mettent un homme e
on en prépare non pour un mouton, mais pour un taureau. » Cette fable
montre
que les gens sensés ne se laissent pas prendre au
de la gueule du loup, et te faut-il encore un salaire ? » Cette fable
montre
que le plus grand service qu’on puisse attendre d
voyant cela, l’âne changea d’avis et plaignit le cheval. Cette fable
montre
qu’il ne faut pas envier les chefs ni les riches,
e parents guerriers, pourquoi suis-je parti en guerre ? » Cette fable
montre
que souvent on attaque un ennemi qui se fait peti