/ 47
1 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE IX. Du Sanglier, et de l’Asne. »
orps humains. Car la fiévre estant proprement un combat de la chaleur naturelle contre l’estrangere, nous voyons, que si ceste de
ne survient qu’avec peu de force, et peu de malignité, nostre vigueur naturelle ne se produira pas tout à faict pour la repousser
e desquelles elle s’augmente, et se multiplie, alors toute la chaleur naturelle qui est en nous, sera contraincte de s’esmouvoir,
resistance, que pour une grande, ny ne desploye pas toutes ses forces naturelles contre un petit object, voire mesme le laisse all
siderent pas, s’il est foible. Cela se fait donc, à mon advis, par la naturelle amour que nous portons à la gloire, qui nous empe
2 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XV. De l’Asne, et du Chien. »
erechef l’ame et le corps de tous les deux estoient doüez de facultez naturelles . Et toutesfois, ils ne les exerçoient pas avecque
nation. D’ailleurs, estant vray ce que dit Aristote, que nulle action naturelle n’est sans volupté, il semble que là où nous reüs
tion. Car quant aux Arts et aux Sciences, il arrive quelquefois qu’un naturel rude et grossier, surmonte ses propres défauts pa
veu qu’on se soit rendu plaisant, sans y avoir une grande disposition naturelle , soit que la gentillesse du Bouffon consiste aux
3 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 353 » pp. 226-226
t un endroit et se séparèrent. Or le lièvre, confiant dans sa vitesse naturelle , ne se pressa pas de partir ; il se coucha au bor
rix. Cette fable montre que souvent le travail l’emporte sur les dons naturels , si on les néglige. Chambry 353.2 Aliter —
4 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIV. De l’Asne, et du Loup. »
est pas ordinaire, ny propre, et laissent pour cét effet leur vray et naturel exercice, chose, ce me semble, la plus digne de r
aucunement versé, et où mesme, quand il auroit beaucoup d’estude, son naturel l’empescheroit de profiter. Il faudroit dire à te
5 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 11 » p. 393
r, et il le rendit malade à force de soins. La fable fait voir que le naturel persiste tel qu’il s’est montré d’abord.
6 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 54 » p. 37
pas fait pour aller avec un troupeau de moutons. » C’est ainsi que le naturel des méchants se reconnaît souvent à leur extérieu
7 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — VIII. L’Homme et l’Idole de bois. » p. 285
 ? Va, sors de mon logis : cherche d’autres autels. Tu ressembles aux naturels Malheureux, grossiers, et stupides : On n’en peut
8 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XI. De l’Aigle, et de la Corneille. »
t qui n’est ny noble ny vertueuse. Car comment pourroit estre pure et naturelle l’inclination, qui a le gain et l’advantage pour
monstrer à ce Perfide, que ce mal luy estoit advenu par une lascheté naturelle , « Il a fait le Cretois », dit-il, « et j’ay fait
9 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXV. Du Pescheur. »
s sont déplaisantes et importunes, quand on les tire de leur assiette naturelle , pour les transferer à d’autres usages. Je n’alle
10 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XXII. Le Chesne et le Rozeau. » p. 70
en injuste. Vostre compassion, luy répondit l’Arbuste,
 Part d’un bon naturel  ; mais quittez ce soucy. 
Les vents me sont moins
11 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 230 » p. 234
chez les hommes : quand on confie un dépôt à des gens cupides, il est naturel qu’on le perde.
12 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XIV. Le Lievre et les Grenoüilles. » p. 138
longeoit : Cet animal est triste, et la crainte le ronge. Les gens de naturel peureux Sont, disoit-il, bien malheureux. Ils ne
13 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 315 » p. 267
it, et tua le loup en le pendant à un arbre. Cette fable montre qu’un naturel pervers ne peut donner un caractère honnête.
14 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XVIII. La Chate metamorphosée en Femme. » p. 50
uris ne la craignoient point. Ce luy fut toûjours une amorce, Tant le naturel a de force, Il se mocque de tout, certain âge acc
15 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 82 » pp. 176-176
le ramassa et le mit dans son sein. Réchauffé, le serpent reprit son naturel , frappa et tua son bienfaiteur, qui, se sentant m
16 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 62 » p. 71
faire : je suis partagé entre mon amour des richesses et ma couardise naturelle . Car quel est le hasard ou le dieu qui a fait un
17 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Du Pays, et de la condition d’Esope. Chapitre J . »
mployée à nous mettre par écrit l’estat des choses du monde, et leurs naturelles revolutions, affin d’en pouvoir laisser quelque m
18 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — III. La Moûche et la Fourmy. » p. 521
 : Je me jouë entre des cheveux : Je rehausse d’un teint la blancheur naturelle  : Et la derniere main que met à sa beauté Une fem
19 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 252 » pp. 172-172
elette lui dit qu’elle ne pouvait la relâcher ; car elle était de son naturel ennemie de tous les oiseaux. La chauve-souris rép
20 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXV. De la Chauue-souris, et du Buisson, et du Plongeon. »
archands. Premierement, ce qu’il dit de la Chauve-souris, témoigne un naturel avare : Dequoy semblent faire foy les yeux survei
21 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIX. De la femelle du Singe, et de ses deux Enfants. »
in et de vent ? N’est-ce point leur vouloir du mal que de leur rendre naturelles de si pernicieuses habitudes ; et ne peut-on pas
ere, s’évertuë à devenir homme de bien, affin de surmonter l’aversion naturelle qu’on a contre luy, par un effort de merite extra
22 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
ur n’estre pas si relevés que les hommes. C’est donc au seul instinct naturel que toutes ces choses se doivent attribuër, veu l
ont semblables non seulement à l’esprit de l’homme, mais encore à son naturel , comme, l’amour des femmes, la jalousie des Rivau
st des Chiens, à peine y a t’il personne qui ne s’estonne de leur bon naturel , qui ne les trouve sensibles aux caresses, revéch
es les actions que nous admirons aux animaux, procedent de l’instinct naturel , qui est en eux, et qui se sert de leurs cinq sen
es l’employeroient à trouver le moyen de leur conservation. Car si le naturel instinct qui les accompagne les porte necessairem
que font aussi bien les Fourmis, et les bestes qui ruminent, à qui le naturel instinct à donné certaines retenuës pour conserve
ent. Quant aux voix des animaux, je crois bien qu’elles sont un signe naturel de leurs appetits, mais non pas un signe d’instit
23 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLV. Du Loup, et du Chien. »
our en sortir, ou pour n’y entrer pas. Car comme nous enseigne la Loy naturelle , il n’y a point de blasme ny de honte aux actions
, ayent reduit les communautez à certain estat qui déroge à l’égalité naturelle , si est-ce que de rendre la disproportion entre l
24 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXVIII. De l’Asne vestu de la peau du Lion. »
se peau qui te couvre, ne peut aucunement te faire perdre ta lascheté naturelle . Il en prend de mesme qu’à toy à tous ces Presomp
25 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE J. Du Coq, et de la pierre precieuse. »
puisse jouyr trop facilement. Car les hommes d’aujourd’huy sont d’un naturel si dépravé, qu’ils se portent plus volontiers à l
26 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LVIII. Du Chevreau, et du Loup. »
s cherchent pour cét effect le moyen le plus sortable à leur meschant naturel . Ils ne prennent pas celuy des coups, d’autant qu
27 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXVIII. Du Chien envieux, et du Bœuf. »
en prendre peu à peu l’habitude, et se détracquer par ce moyen de sa naturelle imperfection. Mais sur toutes choses, il se donne
28 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXI. De Venus, et d’une Chatte. »
si le changement de forme ne luy auroit point aussi faict changer de naturel , lâcha expres un Rat dans la chambre. Alors cette
ices de l’ame, principalement s’ils sont contractez par une longue et naturelle habitude. Qui voudroit nier une verité si claire
29 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « A MONSIEUR. MONSIEUR. DE SAINCT SYMON, premier Gentil-homme de la Chambre. du Roy, et son premier Escuyer. »
t ce qu’il a de recommendable est interieur, il a corrigé ses defauts naturels par la force de sa raison ; et jamais homme n’a m
30 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE IV. Du Cerf, et de la Brebis. »
ce n’est pas un crime d’y consentir, il suffit de s’en tenir à la loy naturelle , qui porte tout le monde à sa propre conservation
31 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXVII. Des Oyseaux, et des Bestes à quatre pieds. »
sar et Alexandre, à l’imitation desquels, ou plustost par un instinct naturel , la pluspart de nos Roys ont tousjours couronné l
32 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE L. Du Renard, et des Chasseurs. »
autheur de ce meurtre. Mais la crainte d’une eternelle infamie, et le naturel ressentiment de sa perte, ne la sçeurent contrain
33 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIV. D’un Laboureur et de ses Enfants. »
jusques dans les Physiques : tesmoin ce fameux axiome des Philosophes naturels , « Que toute vertu est plus forte quand elle est
34 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CII. De l’Enfant, et du Larron. »
par la journaliere experience que nous en faisons, et par une raison naturelle , qui est tirée de la facilité de cét âge. Car l’E
35 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LI. Du Paon, et du Rossignol. »
droit advoüer que l’estat de maintenant ne pourroit pas estre appellé naturel  ; ce qui seroit un miracle aussi bien que le rest
36 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXVI. Du Renard, et du Chat. »
ssus toutes les nations de leur temps. Les Scythes qui suivent la loy naturelle , et tiennent une sorte de gouvernement eslogné de
37 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XVI. Du Lion, et du Rat. »
evé un Dragon depuis sa naissance, le despoüilla si bien de sa fierté naturelle , que durant plusieurs années il ne luy fist aucun
38 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XX. Des Colombes, et du Faucon leur Roy. »
inaire que les plus habiles sont les plus sujets à l’amour des choses naturelles , et qu’ils troublent ordinairement la tranquilité
39 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXV. De la Nourrice, et du Loup. »
s le temperament des femmes, semble alentir de necessité leur chaleur naturelle , et les rendre moins capables que les hommes de t
40 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « AU LECTEUR. Sur le sujet des Fables. »
principales, dont la premiere consiste en operations, qui ne sont pas naturelles  ; comme on pourroit dire de la ressemblance de l’
41 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE X. Du Rat de Ville et de celuy de Village. »
aisonnées, je l’advoüeray ; mais aussi sont-elles plus seures et plus naturelles . Les querelles ny les divisions n’y deschirent pa
42 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIII. De la Fourmy, et de la Mouche. »
de sa sobrieté : elle allegue la pureté de ses fontaines, et le goust naturel de ses grains, par où il semble qu’elle nous appr
43 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE C. Du Pescheur, et d’un petit Poisson. »
vous estes beau, riche, et discret, elle aura pour vous une aversion naturelle . Que si vous avez toutes ces conditions joinctes
44 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXIII. Des Coqs, et de la Perdrix. »
, et ne trouver pas étrange qu’on les attaque, en cette difference de naturel qu’ils ont avec eux, puis que les compagnons des
45 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CI. De l’Avare, et de l’Envieux. »
aux Sanguins, ils dissipent et donnent abondamment, d’autant que leur naturel ardant et vigoureux leur fait croire toutes chose
ste condition, et demeurer homme de bien : car il est à croire, qu’un naturel moderé parmy les richesses, ne sera pas dissolu d
46 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIII. D’un Homme qui avoit deux femmes. »
reste en des actions pleines d’effort, y employant ce peu de vigueur naturelle qui leur reste. Or est-il que tels efforts leur s
47 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
ue s’oppose à cette interprétation, qui semble au premier abord assez naturelle . En effet, après avoir parlé d’Ésope le Phrygien
IBERTIS LIBERTABVSQ. POSTERISQVE EORVM58. Il est en effet bien plus naturel de supposer que Phèdre ait dédié son troisième li
ise à sa brièveté, et l’on me concédera, je l’espère, qu’il n’est pas naturel que cette récompense doive consister dans une bon
Pithou et de l’édition qu’il a donnée des fables de Phèdre, il serait naturel que je fisse connaître ce qu’est devenu son manus
i ne sont point numérotés, renferment une espèce d’ouvrage d’histoire naturelle fabuleuse, ou description d’êtres comme les Centa
sine ingenti desiderio relicta bonis omnibus recordatio. » Il serait naturel de conclure de cette phrase que ce fut non pas en
ulière d’une famille, était peu accessible aux savants. Il était donc naturel qu’ils se servissent de préférence de celui de Re
rotti. Peut-être, à raison de cette circonstance, Philippe a-t-il cru naturel de l’appeler Parmensis. Il ne faut pas, en effet,
nt : Ut jura posset inter homines reddere, ce qui seul est vraiment naturel , etc. « Nous n’aurions pas cru que cela pût avoir
qu’il était arrivé à Rome ; la langue romaine était devenue sa langue naturelle , et, comme ses fables s’adressaient aux Romains d
ens loquaces. Mais, comme il a rendu hommage à leurs qualités, il est naturel qu’il signale aussi leurs défauts, et que, se con
d que la xxiie , Ursus esuriens, ne renferme « qu’un trait d’histoire naturelle  » sans intérêt. Il ne s’aperçoit pas qu’elle se t
ittérale et interlinéaire, avec la construction du latin dans l’ordre naturel des idées, l’autre conforme au génie de la langue
e blancheur dont ni la vétusté, ni l’humidité n’ont modifié la nuance naturelle . Leur écriture lombarde du commencement du xe  si
éciation de M. H. Oesterley ; mais, comme j’aurai ailleurs l’occasion naturelle d’exprimer ma pensée, je ne veux pas interrompre
n’en remplissaient que deux dans celui de Pithou ; ce qui semble tout naturel , quand, grâce au fac-similé qui existe dans l’édi
en cet endroit à une étude comparative qui trouvera ailleurs sa place naturelle . Ici je me borne à ces premières observations que
Statue d’Ésope. ii, Epil. Épil. Rufus.   Il serait maintenant naturel que je fisse apprécier, par les mêmes procédés qu
les quatre livres de fables de Romulus et XXXII livres de l’histoire naturelle de Pline, se trouvait, au temps du docte Gude qui
la lettre de M. Guignard, à la suite venaient 32 livres de l’histoire naturelle de Pline. Mais il paraît qu’ils avaient peu d’int
passer par Munich, je ne voulus pas laisser échapper une occasion si naturelle de me procurer la copie du manuscrit de Crinitus.
nte-deux seulement. Comme son titre l’indique, il traite des sciences naturelles , telles que la zoologie et la botanique. L’auteur
elle-même, je ne la transcris pas ici : elle trouvera sa place toute naturelle dans l’appendice que j’ajouterai aux soixante fab
manuscrit précédent, ce dernier étant un peu plus ancien, j’ai trouvé naturel de l’examiner le premier. Le manuscrit 15213 form
14, l’abbé de la Rue prétendit que Marie avait voulu parler d’un fils naturel de Henri II515. Puis survint M. Robert qui n’hési
us indique facilement que ce prince était Guillaume Longue-Épée, fils naturel du roi Henri II et de la belle Rosemonde, et créé
depuis longtemps à la cour des rois d’Angleterre et qu’il était plus naturel qu’elle eût, sous l’influence d’un sentiment tend
t 1108 possédant une fable de plus que le manuscrit 1107, il est tout naturel d’en conclure que c’est ce dernier qui est la cop
/ 47