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1 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 321 » p. 368
ant une peau de bœuf qu’elle charriait dans ses eaux, lui demanda son nom . « Je m’appelle Dure », répondit-elle. Alors préc
dit-elle. Alors précipitant son courant sur elle : « Cherche un autre nom , dit-elle ; car je t’aurai vite rendue molle. » S
2 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — VII. Le Singe et le Daufin. » p. 73
my, C’est une vieille connoissance. Nostre Magot prit pour ce coup Le nom d’un port pour un nom d’homme. De telles gens il
connoissance. Nostre Magot prit pour ce coup Le nom d’un port pour un nom d’homme. De telles gens il est beaucoup, Qui pren
3 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 347 » p. 271
ont plaisir à être délivrés de ta présence. De moi, au contraire, le nom même leur semble beau, le plus beau, par Zeus, de
re, le nom même leur semble beau, le plus beau, par Zeus, de tous les noms . Aussi, quand j’ai disparu, ils gardent mon souve
4 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XVII. Parole de Socrate. » p. 500
se dit ami ; mais fol qui s’y repose ; Rien n’est plus commun que ce nom , Rien n’est plus rare que la chose.
5 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Description du corps, et de la vivacité de son esprit. Chapitre II. »
court, les lévres grosses, et le teinct noir, d’où luy fust donné son nom , car Esope signifie le mesme qu’Ethiopien. Avecqu
6 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 193 » p. 333
 J’apprends pour mon malheur, mais enfin j’apprends d’où te vient ton nom  : ce n’est pas de tes gains, mais de tes ruses. »
7 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXX. De l’Aigle, et du Corbeau. »
doit, ny simplement, ny absolument appeller Temerité, à cause que ce nom est general à ceste imperfection, et à d’autres d
e ? L’Empereur Commodus ne se fist-il point adorer dans Rome, sous le nom et l’habillement de quelques Dieux ? Et l’Imposte
esblouyr de plus en plus l’humaine foiblesse, par la ressemblance des noms et du culte Divin. Par mesme moyen, avec ce qu’il
8 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXIV. Du Charbonnier, et du Foullon. »
les habits du Charbonnier. Il n’y a rien si aisé que de soüiller son nom d’une tache qu’il est difficile d’effacer. Car le
9 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « AU LECTEUR. Sur le sujet des Fables. »
d’icy bas, subjettes à une continuelle révolution, ils luy donnent le nom de Neptune ; et celuy de Pluton, qui est le Dieu
ncore expliquer du petit monde, à sçavoir de l’Homme, en qui sous les noms de Celius, de Saturne, de Jupiter, et de Pluton n
il se miroit, et fut depuis transformé en une Plante appellée de son nom . Ce qui nous apprend que les hommes qui s’ayment
10 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — En quel temps Esope composa ses Fables. Chapitre XXV. »
mesme Prince reçevoit de grands tributs, pource qu’il envoyoit à son nom plusieurs questions aux autres Roys, qui ne les p
11 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Par quelle advanture Esope reçeut le don de bien parler. Chapitre IIII. »
us de peine à parler, et que je nomme aisément toutes choses par leur nom , comme, un Bœuf, un Asne, un Rasteau. Par les Die
12 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — III. La Moûche et la Fourmy. » p. 521
J’en conviens : il est noir ainsi que vous et moy. Je veux qu’il ait nom Mouche ; est-ce un sujet pourquoy Vous fassiez so
13 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 252 » pp. 172-172
ncore cette fois. Il arriva ainsi qu’à deux reprises, en changeant de nom , elle se sauva de la mort. Cette fable montre qu’
14 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXII. Du Loup, et de la Truye. »
que la conservation de Lacedemone fust deuë à une personne indigne du nom de Sparte, ny que ceste Republique qui avoit pris
15 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXII. D’un Malade, et d’un Medecin. »
ouble l’accez du mal, et que c’est les hazarder que de leur nommer le nom d’un Prestre. Mais telles gents ne considerent pa
16 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXVII. Du Chien, et de la Brebis. »
maine pour couper la gorge aux pauvres affligez, jusques à s’ayder du nom d’une Vertu, pour authoriser un crime. Avecque ce
17 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXII. Du Chat, et du Coq. »
l’un et l’autre, elle donne moyen aux meschants, ou de luy imposer le nom des Vices, ou de leur donner le sien propre, pour
18 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « A MONSEIGNEUR. MOROSINI, AMBASSADEUR. ORDINAIRE DE LA. SERENISSIME REPUBLIQVE. DE VENISE, PRES DE SA MAJESTÉ. TRES-CHRESTIENNE. »
laquelle il y a long-temps qu’il a fait perdre à l’ancienne Rome , le nom d’Eternelle, pour le perpetuer à Venise . Cette M
ite, à l’égal de la faveur que vous me faites, d’avoir agreable qu’un Nom si celebre que le vostre, serve de parure et d’en
19 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIV. Du Lion affoibly de vieillesse. »
. L’Asne mesme fist le vaillant contre luy, et pour effacer son vieil nom de faineant et de lasche, il se mit à l’attaquer
20 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIX. Du Loup, et des Chiens. »
forte, sans la parfaicte intelligence de tous ceux qui en portent le nom , tant en la haute et basse Allemagne, qu’en Espag
21 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « A MONSIEUR. MONSIEUR. DE SAINCT SYMON, premier Gentil-homme de la Chambre. du Roy, et son premier Escuyer. »
ent pource qu’elles tireront leur plus beau lustre de celuy de vostre Nom . Car je suis bien asseuré que ceux qui le verront
22 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIX. Des Grenoüilles, et de leur Roy. »
specieuses marques d’honneur, et pour le dire en un mot, à prendre le nom de Souverains. En suitte de cela, ils degenereren
23 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXI. Du Geay. »
e, doivent estre fuys, comme le fût le Cavalier Punctuel, qui sous le nom emprunté de Dom Jean de Tolede, vint à la Cour de
24 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE C. Du Pescheur, et d’un petit Poisson. »
ez, que le Soleil voit tous les jours, dont nous ignorons possible le nom  ; à plus forte raison donques ignorons nous les h
rt ce n’est du tout rien. On a beau se picquer de rendre immortel son nom en depit des Parques et des tenebres : tous ces c
25 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXIII. Des Coqs, et de la Perdrix. »
ur de la probité ? Si le Sage est injurié, a-t’il resolu de perdre le nom de Sage par le courroux, et par le ressentiment ?
tre sorte de bien-veillance ne peut ny ne doit legitimement porter le nom de vraye amitié. Le commerce des Meschants est do
26 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXX. Du Loup, et de la Teste peinte. »
Fable. Ceux-là s’abusent extrémement, qui n’entendent par le vray nom de Beauté que la corporelle, à sçavoir celle qui
27 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXVII. Du Laboureur, et de la Cigongne. »
ls ne vont pas si viste en besogne, et avant que donner à un homme le nom de meschant, ils examinent s’il en a fait les act
28 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CII. De l’Enfant, et du Larron. »
s, et mesme des blasphemes. L’on nous permet quelquesfois de jurer le nom de Dieu avec des begayements enfantins, et d’offr
29 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXVI. Du Renard, et du Chat. »
cieux que les Cretois ? et neantmoins les derniers ont eu fort peu de nom et de durée, au lieu que les autres ont porté leu
30 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXII. D’un Enfant, et de sa Mere. »
’on tient qu’elles viennent toutes d’usurpations, colorées de ce beau nom de Conqueste. En effet, quelques gents de conscie
31 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
œuvres, ils ont émis les opinions les plus divergentes. 1º Véritable nom de Phèdre. — Et d’abord ils n’ont pas même pu se
Phèdre. — Et d’abord ils n’ont pas même pu se mettre d’accord sur son nom . Je ne parle pas de la traduction française de so
accord sur son nom. Je ne parle pas de la traduction française de son nom  ; aujourd’hui pour nous il n’y a pas deux manière
pour nous il n’y a pas deux manières de l’écrire. Mais quel était son nom latin ? Était-ce Phæder ou Phædrus ? Telle est la
cque est Φαίδρος. Partant de là, le savant Gude fait observer que les noms grecs, qui ont la même désinence, se terminent en
inence, se terminent en er dans la langue latine. C’est ainsi que des noms grecs Ἀλέξανδρος, Ἀντίπατρος et Σώπατρος on a fai
hypothèse imaginée encore par Gude, qui suppose que Phèdre reçut son nom d’Auguste7. Cet empereur, on le sait, aimait les
on le sait, aimait les belles-lettres, et il se plaisait à donner des noms grecs à ses affranchis et même à ses esclaves. Sc
ia deux de ses livres à deux affranchis, Eutyque et Philète, dont les noms avaient une étymologie évidemment grecque8. Mais
aire d’un pays de langue grecque, n’avait pas besoin, pour porter son nom grec, qu’Auguste le lui eût donné. Tout au plus p
rait-on dire que, dans la maison impériale, la forme étrangère de son nom lui avait été conservée et qu’ainsi, au lieu d’êt
dit que dans la suite Piérus Macédonien, celui-là même qui donna son nom à une montagne de Macédoine, étant venu à Thespie
hespies, établit le nombre des neuf Muses et imposa à toutes les neuf noms qu’elles ont aujourd’hui17. » Il invoque enfin l
d’Orphée ; les vers en litige ont été mal compris, et il n’a cité les noms de ces deux poètes de la Thrace que pour se justi
 : Le Phrygien Ésope, Anacharsis le Scythe Rendirent immortels leurs noms par leur mérite ; Et moi, plus près des Grecs, da
e de l’arrivée de Phèdre à Rome. — Après avoir fait connaître le vrai nom du fabuliste, le lieu de sa naissance et sa natio
sement, cherche à obtenir de Tibère les soufflets de la liberté, quel nom donne-t-il à l’empereur ? Dans le titre il l’appe
rius, puis Cæsar, puis Dux, jamais Augustus. Au contraire, ce dernier nom est le seul par lequel il désigne Octave. Lorsque
-t-on que la qualité, qui, en tête de ses fables, a été ajoutée à son nom , peut avoir été inventée par les copistes, auxque
ort de Tibère, pendant la vie duquel Phèdre n’aurait osé y mettre son nom  ; il voit dans les fables i et vi du livre Ier de
es fables qu’à un âge très avancé43. Cannegieter suppose que, sous le nom de Séjan, c’est Narcisse qu’il a voulu stigmatise
tum, ensuite de ne tenir aucun compte de l’affranchi Philète, dont le nom figure pourtant à la fin de la dernière fable du
n affranchi qu’il le place, et cet affranchi porte, comme Eutyque, un nom grec ; il se nomme Philète. Ici le doute sur la q
rme dans la première fable, où il déclare que, s’il se sert encore du nom d’Ésope, ce sera pour donner plus d’autorité à so
ces artistes qui, afin d’amorcer le public, signent leurs ouvrages du nom de Praxitèle : Æsopi nomen sicubi interposuero,
omme Sénèque, ils traitaient de questions qui auraient dû appeler son nom sous leur plume, les écrivains latins contemporai
ersonne ne savait ce que Phèdre avait écrit ; on ignorait presque son nom . Il avait éprouvé le sort qu’ont sans doute subi
s, rien n’a manqué à cette brillante période du progrès humain. Leurs noms sont connus ; il est inutile de les rappeler. Ne
uscrits, la Bibliothèque Laurentienne possède un fonds spécial qui du nom du donateur est appelé fonds d’Elci et qui compre
la même indifférence pour le manuscrit, auquel on a ensuite donné son nom . Cela est vrai ; mais ce manuscrit ne contenait q
ème frère. Celui-ci, également neveu du fameux Pierre Pithou, prit le nom de Pithou de Bierne, de la seigneurie de Bierne,
tion des classiques latins de Lemaire. Mais j’ai trop de fois cité le nom de Dom Vincent, pour ne pas profiter ici de l’occ
lius à qui cette pièce est dédiée ? C’est ce qu’on ignore encore : ce nom était assez commun ; le portrait qu’en fait notre
ction toute particulière. Le manuscrit est généralement connu sous le nom de Vetus Danielis chartula. Bien des bibliographe
’aide de quelque engin, anathème sur lui. » Il paraît que le premier nom de Saint-Benoît-sur-Loire était Floriacum, en fra
tte ville par les Bénédictins, pour se distinguer des autres, prit le nom de Saint-Benoît-de-Fleury ou Saint-Benoît-Fleury.
fut, en 1603, acheté par le savant antiquaire Paul Petau. Quoique le nom de ce savant soit encore connu des bibliophiles,
récieux, parmi lesquels le manuscrit de Daniel acquis par lui prit le nom de Petaviensis codex. Il mourut le 17 septembre 1
n de Schedæ regiæ, celle de Vossianus codex. Il paraît que les divers noms donnés au manuscrit de Daniel avaient jeté une ce
ciale, formant dans l’immense galerie un fonds qui portait encore son nom , il m’assura que la recherche serait promptement
l’attention sur ces deux titres. Le maître Guido, dont ils donnent le nom , était un moine du xie  siècle, qui est encore au
t un moine du xie  siècle, qui est encore aujourd’hui célèbre sous le nom de Gui d’Arezzo, et que souvent aussi on nomme l’
itulée : Oratio sancta quam composuit… Le dernier mot, qui était le nom de l’auteur, a subi un grattage qui le rend illis
t les 21 premières fables, et comme une erreur, surtout à l’abri d’un nom sérieux, est toujours plus aisée à propager qu’un
devait l’être plus tard le cardinal Angelo Maï. Ainsi l’altération du nom de Phèdre dans le titre général a été maintenue,
les, quand un audacieux critique, Pierre Schryver, plus connu sous le nom de Scriverius, déclara hardiment qu’ils étaient i
lem, n’en avait pas été moins rude. L’autorité, qui s’attachait à son nom , fit naître des doutes, et, il faut bien le dire,
en parlant de Phædrus fait allusion à un auteur grec ; la forme de ce nom est grecque ; la forme latine serait Phæder. Il l
e xiiie  siècle. Mais c’est à tort que le manuscrit de Dijon porte le nom de Romulus. Ce Romulus, surtout s’il était Athéni
ar un autre savant allemand, Funck (de Marbourg), connu aussi sous le nom de Funccius. Il publia, en 1747, sous le titre Ap
iote Schwabe, et, à raison de l’autorité spéciale qui s’attache à son nom , je m’empresse de jeter un coup d’œil rapide sur
parvenues n’était pas d’ailleurs un de ces écrivains obscurs dont le nom et les œuvres pouvaient se dérober aux recherches
ar Phèdre ne lui sont pas spéciaux ; la forme grecque conservée à son nom n’est pas le seul exemple qu’on trouve de cette a
vres avaient été traduites par des écoliers, ils auraient traduit son nom comme le reste ; nous le connaîtrions aujourd’hui
uit son nom comme le reste ; nous le connaîtrions aujourd’hui sous le nom de Phæder ; les lacunes observées laissent subsis
en ressort, c’est que Phèdre fut l’auteur des fables qui portent son nom , qu’affranchi d’Auguste il les écrivit sous les r
pe, Avianus et Phèdre ; comme on donnait, en général, au moyen âge le nom d’Ésope aux collections de fables latines en pros
n’en a donné qu’une analyse inexacte, notamment en la prétendant sans nom de libraire. 1736.     Les fables de Phèd
re de Fabulæ antiquæ, et celle à laquelle M. Lucien Müller a donné le nom d’Æsopus ad Rufum 278. Encore le texte exact de l
so du fol. i, à la suite du récit qui précède, se trouve une liste de noms des abbés de Saint-Martial. Elle est d’une autre
stinés à servir d’illustrations à l’ouvrage de Prudence connu sous le nom de Psychomachia seu pugna Virtutum. Voici quelque
rs ; à la suite vient l’ouvrage lui-même, dont la nature est, avec le nom de l’auteur, explicitement indiquée par ce titre 
b et suivants. — Gloses sacrées et explication de divers mots grecs ; noms d’animaux, de plantes, de minéraux, d’édifices, d
seum für Philologie, année 1867, page 634. Fol. clviii a. — Liste des noms qui sont ceux des abbés de Saint-Martial. Fol. cx
même copiste a écrit, tant dans le milieu de la page qu’en marge, 60  noms de moines. Fol. cxc b à cxci a initio. — La premi
men , etc. Le calendrier reprend au fol. cxciii b, est accompagné des noms des abbés de Saint-Martial écrits en marge, et se
ts en marge, et se termine au fol. cxciv a. Fol. cxciv b. — Liste des noms des évêques de Tours. Vingt-huitième et dernier
chève donc mon analyse, en leur donnant, pour leur venir en aide, les noms des philologues avec l’indication des publication
e édition, publiée dans le format in-12, qui a fait souvent donner le nom d’Anonyme de Nilant à l’auteur maintenant connu d
Wolfenbüttel et la plus ancienne de celles auxquelles a été donné le nom de Romulus. Il s’ensuit que, selon moi, c’est seu
que son devancier avait laissé dans l’ombre. De toutes les villes du nom de Wissembourg il était certain que celle qui ava
du nom de Wissembourg il était certain que celle qui avait donné son nom aux manuscrits, c’était cette petite sous-préfect
il, celui qui, sous ce dernier mot, ne reconnaît pas immédiatement le nom de Phèdre lui-même299 ? » Si j’avais à discuter
date du commencement du xe  siècle. Les fables qui y figurent sous le nom d’Ésope remplissent les feuillets 61 à 82 ; le ti
I Incipit liber II Æsopi fabri : “Qui ne voit pas à l’instant même le nom de Phèdre caché dans ce dernier mot ?” Je prétend
ulus primitif dont je parlerai plus tard et à laquelle je donnerai le nom de Romulus de Vienne. Il en est résulté que le re
n m’aidant surtout du texte du dérivé qui dans cet ouvrage portera le nom de Romulus ordinaire, que je vais l’examiner. §
r. § 1. — Dissertation sur Romulus. Romulus ! Voilà un singulier nom , qui a fait perdre le sommeil à bien des philolog
savants, j’ai le devoir d’en présenter au moins un aperçu rapide. Le nom de Romulus rappelle involontairement le premier r
crit ne doit pas inspirer confiance, et alors il ne faut voir dans le nom même de Romulus qu’une pure fiction. Il faut avou
avec le dernier empereur romain, mais qu’il avait bien existé sous le nom de Romulus. Schwabe s’était soumis à cette idée g
pour la fortifier, il avait fait remarquer que, chez les Romains, le nom de Romulus était fort répandu, et que, comme le d
, Rinucius, Rainutius, Rinuncius et Rynuncius, mais dont le véritable nom est Ranutio d’Arezzo306. Pour établir la distinct
ouvaient plus être considérés comme n’en formant qu’un seul sous deux noms différents. Il faut ajouter qu’il lui avait été b
s V, fut élevé des degrés inférieurs à la dignité de cardinal, en son nom exhorté et persuadé par vous, j’ai traduit la vie
1455. Ainsi pas de confusion possible. S’il avait existé un auteur du nom de Romulus, il n’avait eu rien de commun avec Ran
nger à son avis. « Pourquoi, s’écrie l’éditeur de Marie de France, ce nom serait-il supposé ? En est-il un de plus commun p
. du Méril ne subit pas la même influence. Pour lui, Romulus était un nom supposé, auquel, par une sorte d’accord tacite, u
t à Ranutio d’Arezzo ; mais on continua à penser qu’il avait porté le nom de Romulus. Cette pensée ne pouvait pas prédomine
e vivre Romulus au xiie . Convaincu qu’il a existé un fabuliste de ce nom , voici comment il s’exprime sur son âge : « La dé
ative à sa personne, non à vrai dire pour ce qui est de savoir si son nom est supposé ; car la fréquence de ce nom et de ce
ce qui est de savoir si son nom est supposé ; car la fréquence de ce nom et de celui de Tiberinus, son fils, ne donnent pa
ien pour ce qui est de savoir quel est, de tous ceux qui ont porté ce nom de Romulus, celui qu’on peut le plus vraisemblabl
a la première, eut un tel succès qu’elle fit oublier Phèdre et que le nom de Romulus finit par être une sorte de terme usue
finit par être une sorte de terme usuel employé à exprimer non pas un nom d’auteur, mais bien un genre spécial de littératu
s faire pour ordre une observation préliminaire. On a abusé un peu du nom de Romulus qu’on a pris l’habitude de donner à pr
lles. Il est donc bien entendu que toutes les fois que je donnerai le nom de Romulus à une collection, il s’agira, sinon de
sait comme une traduction latine du vieux fabuliste grec, et, sous le nom de Romulus, faisant en définitive parler l’affran
attestée par ces exemples montre clairement que l’œuvre qui porte le nom de Romulus n’a pas été une œuvre originale et qu’
faïences anciennes, et toute son habileté a consisté à introduire les noms les plus connus de l’histoire et de la géographie
qu’elles avaient ensuite servi à un certain Romulus (si toutefois ce nom n’est pas purement imaginaire), qui, cherchant à
été considérée comme la plus ancienne de toutes celles auxquelles le nom de Romulus peut être donné, en un mot, comme cell
hases de sa.vie ne l’avaient pas mis assez en lumière pour sauver son nom de l’oubli. Mais, en se formant sa magnifique bib
rary installée dans un palais particulier de style grec connu sous le nom de Thirlestaine house. C’est un volume in-4º, qui
Finis diuersarum fabularum. Cette édition ne porte ni le lieu, ni le nom de l’imprimeur, ni réclames, ni pagination. Hain,
e après la précédente et, quoiqu’il ne risque aucune hypothèse sur le nom de l’imprimeur, il ne me semble pas douteux que,
qué cette hypothèse a commis une erreur qu’explique, en l’absence des noms des imprimeurs, la similitude trompeuse des premi
icularités. Comme les précédentes, elle ne porte ni lieu, ni date, ni nom d’imprimeur ; elle est ornée de nombreuses figure
thiques ne porte ni signatures, ni réclames, ni lieu d’impression, ni nom d’imprimeur, ni date. Elle forme un petit in-foli
à longues lignes, en caractères gothiques, sans lieu ni date et sans nom d’imprimeur, et ornée également de nombreuses gra
marges, dont la reliure porte sur les plats les initiales réunies des noms de Henri II et de Diane de Poitiers ; 3º À la bib
in-fol. de 167 feuillets de 36 lignes à la page, sans lieu, date, ni nom d’imprimeur, et avec les mêmes gravures sur bois
le réimprima plusieurs fois. Ces réimpressions ne portent ni date, ni nom d’imprimeur, et, quoique très vraisemblablement e
re incontestablement attribuées ; une seule, étant accompagnée de son nom , ne peut, quant à son origine, être l’objet d’auc
trouve cette dernière indication qui détermine le lieu, la date et le nom de l’imprimeur : Gedruckt vnd vollendet in der h
un vol. in-fol. illustré de gravures sur bois. Le lieu, la date et le nom de l’imprimeur y sont nettement indiqués par cett
un volume in-fol. de petit format, qui ne porte ni lieu, ni date, ni nom d’imprimeur. En ce qui touche le lieu, le traduct
us de ce titre est une vignette dans laquelle une banderole porte les noms des imprimeurs. Le verso du premier feuillet est
o en caractères gothiques, sans indication de lieu, ni d’année, ni de nom d’imprimeur, qui comprend les 4 miroirs de Vincen
alium, 5. Consolatio super morte amici. Le lieu de l’impression et le nom de l’imprimeur sont exprimés dans trois distiques
’il signale du Speculum naturale, sans date, ni lieu d’impression, ni nom d’imprimeur. Elle a 69 lignes à la page, et ne po
souscription suivante qui révèle le lieu d’impression, la date et le nom du typographe : Speculum doctrinale Vincentii be
n encadrement xylographique, dans lequel est plusieurs fois répété le nom du libraire J. Petit, lorsque l’exemplaire lui es
ux destinés à Galliot du Pré, le frontispice ne porte qu’une fois son nom et est orné d’un encadrement différent. Fol. 1 b.
s et que son œuvre consistait dans la collection que j’ai baptisée du nom de Romulus ordinaire. Ne supposant pas qu’il y eû
pas qu’il y eût d’autres collections susceptibles d’être revêtues du nom de Romulus, ils ne pouvaient se poser la question
de Névelet à des conjectures erronées. Je crois avoir trouvé son vrai nom dans un manuscrit dont il sera bientôt question,
it 609 de la même Bibliothèque, on voit apparaître l’empereur Tibère, nom auquel celui de Tiberinus a dû conduire. Pour sa
u’aurait été exécutée la traduction latine des fables d’Ésope dont le nom aurait été conservé à l’œuvre nouvelle. La même i
icere, auctorem græcum in latinum transtulit. » Si dans ce passage le nom de l’empereur n’est pas indiqué, en revanche aucu
s le manuscrit, il était appelé Romalius ; mais il est évident que ce nom n’était que l’altération de celui de Romulus, com
èque de l’Université de Ferrare, on ne voit surgir aucun doute sur le nom de l’empereur ; c’est Théodose qui prie Romulus,
voie sa traduction à l’empereur sans vouloir la revêtir de son propre nom . J’aurais pu, chemin faisant, produire des extrai
es tant publiques que particulières ; mais je ne veux pas en dire les noms , pour que ceux qui sont d’un autre avis se compla
nt que néanmoins on ne pouvait pas non plus raisonnablement donner le nom de Romulus à l’auteur des fables élégiaques, Jule
Il les présenta au public comme l’œuvre d’un anonyme ; de là vint le nom d’Anonyme de Névelet par lequel on désigna depuis
r lequel on désigna depuis l’auteur inconnu. Mais la recherche de son nom n’en fut pas moins poursuivie, Barth s’en occupa 
de son nom n’en fut pas moins poursuivie, Barth s’en occupa ; le vrai nom lui parut être celui de Bernard. Il appuyait cett
avec celles de l’Anonyme. « Si quelqu’un, écrivait-il, me demande le nom de l’auteur, je dirai que c’est ce Bernard dont S
l avait vu, dans un passage imprimé d’une lettre de Thadée Ugolet, le nom de Salon de Parme donné à l’auteur des fables élé
die decima nona Maii. » Malheureusement cette mention, en donnant le nom de Jenson, se rapportait clairement, non pas à l’
fables élégiaques. Après avoir rappelé que Névelet lui avait donné le nom d’Anonyme ancien, il ajoutait : « Je lui ai subst
anciens, plus propres aux goûts des peuples du Nord, chez lesquels ce nom étoit fort connu416. » Pour justifier ce nom, vo
Nord, chez lesquels ce nom étoit fort connu416. » Pour justifier ce nom , voici ce qu’il expliquait ensuite dans une des n
t écrit de la même main, et je ne vois pas pourquoi il auroit mis son nom aux fables : j’ai cru quelque temps que ce Galfre
l y avoit, au commencement du xiie  siècle, tant d’Anglais portant ce nom , qu’il me semble difficile de choisir d’une maniè
tionale le manuscrit dans lequel M. Robert prétendait avoir trouvé le nom de Galfred. Mais je n’ai pas tardé à m’apercevoir
rouvé le nom de Galfred. Mais je n’ai pas tardé à m’apercevoir que le nom de Gauffredus ne figurait dans aucun des huit par
dition du manuscrit du British Museum, dit bien que M. Robert a lu le nom de Galfred dans le manuscrit nº 8259. Mais c’est
agistri Gauffredi. Quant aux autres manuscrits, lorsqu’ils portent un nom , c’est toujours celui d’Ésope. Ainsi le manuscrit
rit est du commencement du xve  siècle, c’est-à-dire d’un temps où le nom du véritable auteur, oublié depuis deux siècles,
ui par une petite faiblesse d’esprit avait été porté à introduire son nom dans le titre. Du reste, il est aisé de juger qu’
recommencer son travail, il serait très disposé à jeter aux orties le nom de Galfred et à attribuer les fables à un certain
est rappelée par le glossateur lui-même, que ce mot était non pas un nom propre, mais un participe qui qualifiait Ésope de
que royale de Madrid. Il fallait donc chercher ailleurs l’introuvable nom de l’Anonyme. En 1838, dans son édition des fable
t ni la glose du manuscrit 8023, prétendit à son tour avoir trouvé le nom du véritable auteur qu’il nomma Ugobard de Sulmon
ts de la Bibliothèque nationale, elle n’en différait guère que par le nom de l’auteur qui aurait été le compatriote d’Ovide
té au manuscrit, y étaient appelées Hildeberti Turonensis Fabulae. Ce nom a eu au moyen âge une grande notoriété, et je vai
n 1708 ; elles forment un volume in-folio. Tandis que tous les autres noms avaient laissé subsister des doutes, celui-ci fut
e tromper et que le manuscrit analysé par lui ne devait pas porter le nom d’Hildebert, et, persécuté par le désir d’en avoi
ossédait la bibliothèque royale. L’un d’eux les attribuait à Romalus, nom qui, comme celui de Romalius, n’était qu’une alté
crit latin 303, et, quand il est dans mes mains, je m’aperçois que le nom d’Hildebert n’y figure pas. En revanche, en marge
ut se traduire ainsi : « Le titre de ce livre est Incipit Esopus ; ce nom n’est pas celui de l’auteur, qui au contraire est
ur assurer à son œuvre un accueil plus honorable, il le revêtit de ce nom qui peut-être est celui de quelque noble personna
Je ne m’arrête pas à l’explication puérile que le glossateur donne du nom d’Ésope qui serait celui de quelque personnage no
noble ou d’une plante odoriférante. Ce qui est intéressant, c’est le nom de Walther par lequel il désigne le véritable aut
était-elle plus exacte ? Comment sortir d’embarras ? Au moyen âge le nom de Walther ou Gauthier a appartenu à de nombreux
pi. » Ainsi le Walther, dont le manuscrit de Vienne m’avait révélé le nom , c’était bien celui qui a été surnommé l’Anglais,
ter notamment : 1º Une édition scolaire in-4º, sans date, ni lieu, ni nom d’imprimeur, qui se compose de 42 feuillets signé
724) ; 2º Une édition scolaire in-4º également sans date, ni lieu, ni nom d’imprimeur, comprenant 38 feuillets, dont le pre
 74) ; 3º Une édition de 35 feuillets in-4º, sans lieu, ni année, ni nom d’imprimeur, mais néanmoins facile à distinguer d
feuillets, non chiffrés, mais signés de a à g, sans lieu, ni date, ni nom d’imprimeur, dont un exemplaire existe à la Bibli
es rois de France, ensuite celles de la ville et enfin tout au bas ce nom d’éditeur : J. le forestier , et qui se terminai
éditions, en attribuant les Fables élégiaques à celui des auteurs du nom de Walther, qui a été le plus communément surnomm
    Un point sur lequel on n’a guère été plus d’accord que sur le nom de l’auteur des fables, c’est celui qui concerne
rram || est alius. Quant à sa provenance, elle se reconnaît tant au nom italien de son premier propriétaire qu’à la reliu
explicit isto. Puis viennent ces deux mots : Explicit Esopus. Le nom du véritable auteur manque, comme dans tous les a
ne avait écrit au-dessous deux lignes, dans lesquelles se trouvait le nom d’un des propriétaires successifs du volume ; mai
tude autrefois trop constante, un propriétaire postérieur a effacé ce nom , de sorte qu’il ne reste plus que ce qui suit :
lle souterraine, qu’on appela Notre-Dame de Bonne-Nouvelle et dont le nom a survécu à l’édifice. Mais ce qui faisait surtou
ension de sa bibliothèque, devint, le 26 octobre 1448, prieur sous le nom de Jean V et mourut le 30 mai 1458. Entré dans la
français de 8 syllabes, dont l’auteur inconnu a reçu de M. Robert le nom d’Ysopet I. En tête de la première page le miniat
. Voilà ce qui ressort d’abord du titre. Mais ce n’est pas tout ; les noms d’Ysopet et d’Avionnet montrent que le manuscrit
.. fait tñslater de latin a romãt. Un grattage a fait disparaître le nom du traducteur. Suivent, sous ce titre : Li prolo
rouve une sorte de préface ou commentaire en prose, qui donne le vrai nom de l’auteur. En voici le texte : « Incipit Esopus
Dei et proximi, Item de doctrina dicendi et faciendi, Et Esopus. » Le nom d’Esopus, qui figure dans cette nomenclature, est
que tous les autres, attribue leur texte latin à l’empereur romain du nom de Romulus. Au bas du feuillet 138 a on lit ces d
semblance. Je ferai d’ailleurs remarquer que la glose ne donne pas le nom du moine de Faenza qu’elle signale, et qu’elle pa
dessous s’en trouve une seconde, dans laquelle le copiste se donne le nom de Jean fils et déclare avoir achevé sa copie le
cieux sur l’auteur véritable des fables, dont il indique à la fois le nom et la nationalité. Aussi, malgré sa longueur, me
de mois. Suivant Hain, cette édition, sans indication de lieu et sans nom d’imprimeur, aurait été imprimée à Haguenau par H
ts des quatre évangélistes, savoir : le premier, un bœuf ailé avec le nom de saint Luc, le deuxième, un aigle avec le nom d
un bœuf ailé avec le nom de saint Luc, le deuxième, un aigle avec le nom de saint Jean, le troisième, un ange avec le nom
me, un aigle avec le nom de saint Jean, le troisième, un ange avec le nom de saint Mathieu, et le quatrième, un lion avec l
n ange avec le nom de saint Mathieu, et le quatrième, un lion avec le nom de saint Marc. L’édition se termine par ces mots 
. La souscription finale, qui ne porte l’indication ni du lieu, ni du nom de l’imprimeur, est ainsi conçue : Esop9 fabulat
tères gothiques à 40 lignes à la page, sans indication de lieu, ni de nom d’imprimeur. Voici comment Hain le décrit dans so
ractères gothiques et ornée de gravures sur bois. Elle ne porte aucun nom d’imprimeur ; mais à la marque on reconnaît quell
s se terminent au bas du feuillet 44 a, sans indication de lieu ni de nom d’imprimeur, par le simple mot Amen , suivi de l
ompris dans un encadrement xylographique contenant huit portraits aux noms de Jérémie, Abacuc, Daniel, Jonas, Grégoire, Jérô
ue celle d’un autre plus ancien appelé Mocenigo par M. Ghivizzani, du nom de la famille patricienne à laquelle il a apparte
crites par Smunto ou par Annebiato, ses anciens possesseurs, dont les noms figurent en tête. Manuscrit 1645. La traduc
n siège inférieur et quatre auditeurs placés à droite et à gauche. Le nom du savant est révélé par le mot Esopus inscrit au
é : Vincentius Metellus cirratæ adolescentiæ , qui fait connaître le nom du traducteur. Les fables sont au nombre de soixa
i nequam, nequaquam », et que, blessé de ce jeu de mots fait avec son nom , Neckam opta pour un autre ordre monastique. Oudi
dre, oublié depuis plusieurs siècles, ne lui était guère connu que de nom . Ce qui est possible, c’est qu’en dehors des coll
ture sur parchemin est du xve  siècle et auquel le catalogue donne le nom de Codex Bigotianus. M. Robert lui attribue le nº
reconnaître, c’est qu’elles ne portent pas au catalogue le véritable nom de leur auteur, et que, composées en vers élégiaq
er à l’auteur des fables latines, mais en ignore même complètement le nom . Quant à la versification des fables françaises,
ues desquelles ils se trouvaient, donner à la collection elle-même le nom de Romulus de Vienne et de Berlin. Mon jugement s
u altérée du vrai texte ; et, partant de là, je donnerai seulement le nom de Romulus de Vienne à la collection que j’avais
été question de la collection que je vais maintenant examiner sous le nom de Romulus de Florence. Ce qui me l’avait fait né
a publié le Romulus qu’il renfermait et auquel il a ainsi attaché son nom . Dans le catalogue ci-dessus indiqué, le contenu
ion forcément incomplète de la collection à laquelle il a attaché son nom . Chapitre II. Dérivés en prose latine. — Rom
ce. Dans ma première édition, voulant attribuer à cette collection un nom qui la distinguât des autres, je l’ai appelée Rom
on anglaise à un autre roi d’Angleterre, dont il dénature toujours le nom et qu’il appelle Almes500, Alrei501, Avree502, Uv
ey 4333 de la Bibliothèque du British Museum désignent ce roi sous le nom de Henris, et, lorsqu’on songe que celui qui l’a
aurait dû, aidé de sa haute érudition, risquer une conjecture sur le nom de celui qui pouvait l’avoir écrite. Faute par lu
e confiance que les autres, que, si ce n’est pas Marie qui a écrit ce nom , les copistes qui, dans deux manuscrits, l’ont su
et qu’enfin des rois d’Angleterre Henri Beau-Clerc est le seul que ce nom puisse désigner, c’est à lui que je persiste à at
a déjà été question aux pages 294 et 478 et à laquelle j’ai donné le nom de Dérivé complet, le roi ne serait plus l’auteur
s qui, M. Robert en ayant été, en 1825, le premier éditeur, a reçu le nom de Romulus Roberti. C’était une erreur : le texte
deux fables existent à la même place dans la collection qui porte le nom de Nilant. Comment pourrait-il en être ainsi, si
r sur eux les moindres renseignements, elle nous a fait connaître son nom et sa nationalité dans ce fameux vers de l’épilog
l avait été son contemporain, elle n’aurait guère pu connaître que de nom . Aussi suis-je davantage porté à croire avec l’ab
a écrit : « C’est à moi Claude Fauchet par eschange fait avec… ». Le nom du précédent propriétaire a été intentionnellemen
s : Je cuy à frère…  ; à la suite venaient deux mots qui étaient les noms d’un moine et qu’un propriétaire plus récent a fa
en prose latine, qu’il a éditées532, auxquelles on a donné ensuite le nom de Romulus Roberti, et dans lesquelles j’ai cru r
rdre d’un roi anglais, appelé tantôt Afferus, tantôt Affrus. Ces deux noms , qui, comme on le sait, désignent le roi Alfred l
tinité, le Romulus de M. Robert, dans la même fable, donne au Loup le nom d’Ysengrinus et au Renard celui de Renardus. Or c
ne au Loup le nom d’Ysengrinus et au Renard celui de Renardus. Or ces noms , ainsi que M. Oesterley542 le constate lui-même,
le scribe, en exécutant sa copie, a substitué, dans la fable 21, les noms d’Isengrinus et de Renardus à ceux de Lupus et de
xive  siècles le distinguent de la même manière ou simplement sous le nom d’Aretinus. « Cependant il s’est trouvé des auteu
hécaire à lui donner le titre de Augens dans l’index de son livre. Ce nom a fait dire à plusieurs écrivains qui se sont cop
es Fables de Phèdre, publiée en 1786. 164. Le Frontispice portant le nom de Grangé fut, en 1753 et en 1754, remplacé par d
ius, son ami, étant devenu successivement cardinal, puis pape sous le nom de Pie II, il se rendit à Rome dans l’espoir d’y
page cxix. 251. Voyez Dissertatio II, pages xcix à c. 252. C’est le nom donné par Jannelli à l’anonyme de Névelet. 253.
st, quæ in primi folii fronte conspicitur : “Liber, etc.” » 298. Du nom de Rufus sont venus les noms de famille français
e conspicitur : “Liber, etc.” » 298. Du nom de Rufus sont venus les noms de famille français de Leroux dans le nord et de
nçais de Leroux dans le nord et de Roux dans le midi. On sait que les noms de famille n’existent en France que depuis la fin
 xvie et qui, dans ses dialogues sur l’histoire des poètes, donna le nom de Romulus à l’auteur des fables en vers élégiaqu
32 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — La vente d’Esope. Chapitre V. »
La vente d’Esope. Chapitre V. Zenas (c’estoit le nom de celuy qui avoit la charge de la Mestairie) est
33 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope ameine à son Maistre un homme niais, et sans soucy. Chapitre XVI. »
tre, qui ne s’enquerant de rien, et ne daignant pas mesme demander le nom de l’homme qui l’invitoit, s’en alla droict au lo
34 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIII. D’un Homme qui avoit deux femmes. »
irer devant la Beauté qu’il veut servir ? N’est-il point temps que le nom de Serviteur ou de Maistresse luy soit aussi odie
erté, si ce n’est en ses dernieres années ? Espere-t’il eterniser son nom dans la tombe par la reputation d’estre Serf ? Ve
35 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIII. Du Corbeau, et du Renard. »
baudant aux oreilles de leur Maistre, de faire passer un vice sous le nom de la Vertu qui luy est proche, comme d’appeller
36 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIX. De la femelle du Singe, et de ses deux Enfants. »
is la Republique des Sybaritains, de qui mesme l’on trouve à peine le nom dans les Histoires, si ce n’est que les Autheurs
37 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XII. De l’Aigle, et du Renard. »
t l’imprudence, malice, et bref ils scandalisent le Vertueux, sous le nom d’Hypocrite. D’où l’on peut conclurre aisément, q
38 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLV. Du Loup, et du Chien. »
elle est accompagnée de sujetion. Or n’entendons-nous pas icy par ce nom de liberté toute sorte d’affranchissement, veu qu
39 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LIX. Du Lion, et de l’Homme. »
y qui leur donne du pain, et s’ils ne faisoient survivre à la mort le nom de ceux qui maintiennent le repos de leur vie. Qu
40 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
eau hors de la Mer, c’est une chose pleine d’apparence que non pas le nom du Roy de Portugal, mais la violence du commandem
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