ant une peau de bœuf qu’elle charriait dans ses eaux, lui demanda son
nom
. « Je m’appelle Dure », répondit-elle. Alors préc
dit-elle. Alors précipitant son courant sur elle : « Cherche un autre
nom
, dit-elle ; car je t’aurai vite rendue molle. » S
my, C’est une vieille connoissance. Nostre Magot prit pour ce coup Le
nom
d’un port pour un nom d’homme. De telles gens il
connoissance. Nostre Magot prit pour ce coup Le nom d’un port pour un
nom
d’homme. De telles gens il est beaucoup, Qui pren
ont plaisir à être délivrés de ta présence. De moi, au contraire, le
nom
même leur semble beau, le plus beau, par Zeus, de
re, le nom même leur semble beau, le plus beau, par Zeus, de tous les
noms
. Aussi, quand j’ai disparu, ils gardent mon souve
se dit ami ; mais fol qui s’y repose ; Rien n’est plus commun que ce
nom
, Rien n’est plus rare que la chose.
court, les lévres grosses, et le teinct noir, d’où luy fust donné son
nom
, car Esope signifie le mesme qu’Ethiopien. Avecqu
J’apprends pour mon malheur, mais enfin j’apprends d’où te vient ton
nom
: ce n’est pas de tes gains, mais de tes ruses. »
doit, ny simplement, ny absolument appeller Temerité, à cause que ce
nom
est general à ceste imperfection, et à d’autres d
e ? L’Empereur Commodus ne se fist-il point adorer dans Rome, sous le
nom
et l’habillement de quelques Dieux ? Et l’Imposte
esblouyr de plus en plus l’humaine foiblesse, par la ressemblance des
noms
et du culte Divin. Par mesme moyen, avec ce qu’il
les habits du Charbonnier. Il n’y a rien si aisé que de soüiller son
nom
d’une tache qu’il est difficile d’effacer. Car le
d’icy bas, subjettes à une continuelle révolution, ils luy donnent le
nom
de Neptune ; et celuy de Pluton, qui est le Dieu
ncore expliquer du petit monde, à sçavoir de l’Homme, en qui sous les
noms
de Celius, de Saturne, de Jupiter, et de Pluton n
il se miroit, et fut depuis transformé en une Plante appellée de son
nom
. Ce qui nous apprend que les hommes qui s’ayment
mesme Prince reçevoit de grands tributs, pource qu’il envoyoit à son
nom
plusieurs questions aux autres Roys, qui ne les p
us de peine à parler, et que je nomme aisément toutes choses par leur
nom
, comme, un Bœuf, un Asne, un Rasteau. Par les Die
J’en conviens : il est noir ainsi que vous et moy. Je veux qu’il ait
nom
Mouche ; est-ce un sujet pourquoy Vous fassiez so
ncore cette fois. Il arriva ainsi qu’à deux reprises, en changeant de
nom
, elle se sauva de la mort. Cette fable montre qu’
que la conservation de Lacedemone fust deuë à une personne indigne du
nom
de Sparte, ny que ceste Republique qui avoit pris
ouble l’accez du mal, et que c’est les hazarder que de leur nommer le
nom
d’un Prestre. Mais telles gents ne considerent pa
maine pour couper la gorge aux pauvres affligez, jusques à s’ayder du
nom
d’une Vertu, pour authoriser un crime. Avecque ce
l’un et l’autre, elle donne moyen aux meschants, ou de luy imposer le
nom
des Vices, ou de leur donner le sien propre, pour
laquelle il y a long-temps qu’il a fait perdre à l’ancienne Rome , le
nom
d’Eternelle, pour le perpetuer à Venise . Cette M
ite, à l’égal de la faveur que vous me faites, d’avoir agreable qu’un
Nom
si celebre que le vostre, serve de parure et d’en
. L’Asne mesme fist le vaillant contre luy, et pour effacer son vieil
nom
de faineant et de lasche, il se mit à l’attaquer
forte, sans la parfaicte intelligence de tous ceux qui en portent le
nom
, tant en la haute et basse Allemagne, qu’en Espag
ent pource qu’elles tireront leur plus beau lustre de celuy de vostre
Nom
. Car je suis bien asseuré que ceux qui le verront
specieuses marques d’honneur, et pour le dire en un mot, à prendre le
nom
de Souverains. En suitte de cela, ils degenereren
e, doivent estre fuys, comme le fût le Cavalier Punctuel, qui sous le
nom
emprunté de Dom Jean de Tolede, vint à la Cour de
ez, que le Soleil voit tous les jours, dont nous ignorons possible le
nom
; à plus forte raison donques ignorons nous les h
rt ce n’est du tout rien. On a beau se picquer de rendre immortel son
nom
en depit des Parques et des tenebres : tous ces c
ur de la probité ? Si le Sage est injurié, a-t’il resolu de perdre le
nom
de Sage par le courroux, et par le ressentiment ?
tre sorte de bien-veillance ne peut ny ne doit legitimement porter le
nom
de vraye amitié. Le commerce des Meschants est do
Fable. Ceux-là s’abusent extrémement, qui n’entendent par le vray
nom
de Beauté que la corporelle, à sçavoir celle qui
ls ne vont pas si viste en besogne, et avant que donner à un homme le
nom
de meschant, ils examinent s’il en a fait les act
s, et mesme des blasphemes. L’on nous permet quelquesfois de jurer le
nom
de Dieu avec des begayements enfantins, et d’offr
cieux que les Cretois ? et neantmoins les derniers ont eu fort peu de
nom
et de durée, au lieu que les autres ont porté leu
’on tient qu’elles viennent toutes d’usurpations, colorées de ce beau
nom
de Conqueste. En effet, quelques gents de conscie
œuvres, ils ont émis les opinions les plus divergentes. 1º Véritable
nom
de Phèdre. — Et d’abord ils n’ont pas même pu se
Phèdre. — Et d’abord ils n’ont pas même pu se mettre d’accord sur son
nom
. Je ne parle pas de la traduction française de so
accord sur son nom. Je ne parle pas de la traduction française de son
nom
; aujourd’hui pour nous il n’y a pas deux manière
pour nous il n’y a pas deux manières de l’écrire. Mais quel était son
nom
latin ? Était-ce Phæder ou Phædrus ? Telle est la
cque est Φαίδρος. Partant de là, le savant Gude fait observer que les
noms
grecs, qui ont la même désinence, se terminent en
inence, se terminent en er dans la langue latine. C’est ainsi que des
noms
grecs Ἀλέξανδρος, Ἀντίπατρος et Σώπατρος on a fai
hypothèse imaginée encore par Gude, qui suppose que Phèdre reçut son
nom
d’Auguste7. Cet empereur, on le sait, aimait les
on le sait, aimait les belles-lettres, et il se plaisait à donner des
noms
grecs à ses affranchis et même à ses esclaves. Sc
ia deux de ses livres à deux affranchis, Eutyque et Philète, dont les
noms
avaient une étymologie évidemment grecque8. Mais
aire d’un pays de langue grecque, n’avait pas besoin, pour porter son
nom
grec, qu’Auguste le lui eût donné. Tout au plus p
rait-on dire que, dans la maison impériale, la forme étrangère de son
nom
lui avait été conservée et qu’ainsi, au lieu d’êt
dit que dans la suite Piérus Macédonien, celui-là même qui donna son
nom
à une montagne de Macédoine, étant venu à Thespie
hespies, établit le nombre des neuf Muses et imposa à toutes les neuf
noms
qu’elles ont aujourd’hui17. » Il invoque enfin l
d’Orphée ; les vers en litige ont été mal compris, et il n’a cité les
noms
de ces deux poètes de la Thrace que pour se justi
: Le Phrygien Ésope, Anacharsis le Scythe Rendirent immortels leurs
noms
par leur mérite ; Et moi, plus près des Grecs, da
e de l’arrivée de Phèdre à Rome. — Après avoir fait connaître le vrai
nom
du fabuliste, le lieu de sa naissance et sa natio
sement, cherche à obtenir de Tibère les soufflets de la liberté, quel
nom
donne-t-il à l’empereur ? Dans le titre il l’appe
rius, puis Cæsar, puis Dux, jamais Augustus. Au contraire, ce dernier
nom
est le seul par lequel il désigne Octave. Lorsque
-t-on que la qualité, qui, en tête de ses fables, a été ajoutée à son
nom
, peut avoir été inventée par les copistes, auxque
ort de Tibère, pendant la vie duquel Phèdre n’aurait osé y mettre son
nom
; il voit dans les fables i et vi du livre Ier de
es fables qu’à un âge très avancé43. Cannegieter suppose que, sous le
nom
de Séjan, c’est Narcisse qu’il a voulu stigmatise
tum, ensuite de ne tenir aucun compte de l’affranchi Philète, dont le
nom
figure pourtant à la fin de la dernière fable du
n affranchi qu’il le place, et cet affranchi porte, comme Eutyque, un
nom
grec ; il se nomme Philète. Ici le doute sur la q
rme dans la première fable, où il déclare que, s’il se sert encore du
nom
d’Ésope, ce sera pour donner plus d’autorité à so
ces artistes qui, afin d’amorcer le public, signent leurs ouvrages du
nom
de Praxitèle : Æsopi nomen sicubi interposuero,
omme Sénèque, ils traitaient de questions qui auraient dû appeler son
nom
sous leur plume, les écrivains latins contemporai
ersonne ne savait ce que Phèdre avait écrit ; on ignorait presque son
nom
. Il avait éprouvé le sort qu’ont sans doute subi
s, rien n’a manqué à cette brillante période du progrès humain. Leurs
noms
sont connus ; il est inutile de les rappeler. Ne
uscrits, la Bibliothèque Laurentienne possède un fonds spécial qui du
nom
du donateur est appelé fonds d’Elci et qui compre
la même indifférence pour le manuscrit, auquel on a ensuite donné son
nom
. Cela est vrai ; mais ce manuscrit ne contenait q
ème frère. Celui-ci, également neveu du fameux Pierre Pithou, prit le
nom
de Pithou de Bierne, de la seigneurie de Bierne,
tion des classiques latins de Lemaire. Mais j’ai trop de fois cité le
nom
de Dom Vincent, pour ne pas profiter ici de l’occ
lius à qui cette pièce est dédiée ? C’est ce qu’on ignore encore : ce
nom
était assez commun ; le portrait qu’en fait notre
ction toute particulière. Le manuscrit est généralement connu sous le
nom
de Vetus Danielis chartula. Bien des bibliographe
’aide de quelque engin, anathème sur lui. » Il paraît que le premier
nom
de Saint-Benoît-sur-Loire était Floriacum, en fra
tte ville par les Bénédictins, pour se distinguer des autres, prit le
nom
de Saint-Benoît-de-Fleury ou Saint-Benoît-Fleury.
fut, en 1603, acheté par le savant antiquaire Paul Petau. Quoique le
nom
de ce savant soit encore connu des bibliophiles,
récieux, parmi lesquels le manuscrit de Daniel acquis par lui prit le
nom
de Petaviensis codex. Il mourut le 17 septembre 1
n de Schedæ regiæ, celle de Vossianus codex. Il paraît que les divers
noms
donnés au manuscrit de Daniel avaient jeté une ce
ciale, formant dans l’immense galerie un fonds qui portait encore son
nom
, il m’assura que la recherche serait promptement
l’attention sur ces deux titres. Le maître Guido, dont ils donnent le
nom
, était un moine du xie siècle, qui est encore au
t un moine du xie siècle, qui est encore aujourd’hui célèbre sous le
nom
de Gui d’Arezzo, et que souvent aussi on nomme l’
itulée : Oratio sancta quam composuit… Le dernier mot, qui était le
nom
de l’auteur, a subi un grattage qui le rend illis
t les 21 premières fables, et comme une erreur, surtout à l’abri d’un
nom
sérieux, est toujours plus aisée à propager qu’un
devait l’être plus tard le cardinal Angelo Maï. Ainsi l’altération du
nom
de Phèdre dans le titre général a été maintenue,
les, quand un audacieux critique, Pierre Schryver, plus connu sous le
nom
de Scriverius, déclara hardiment qu’ils étaient i
lem, n’en avait pas été moins rude. L’autorité, qui s’attachait à son
nom
, fit naître des doutes, et, il faut bien le dire,
en parlant de Phædrus fait allusion à un auteur grec ; la forme de ce
nom
est grecque ; la forme latine serait Phæder. Il l
e xiiie siècle. Mais c’est à tort que le manuscrit de Dijon porte le
nom
de Romulus. Ce Romulus, surtout s’il était Athéni
ar un autre savant allemand, Funck (de Marbourg), connu aussi sous le
nom
de Funccius. Il publia, en 1747, sous le titre Ap
iote Schwabe, et, à raison de l’autorité spéciale qui s’attache à son
nom
, je m’empresse de jeter un coup d’œil rapide sur
parvenues n’était pas d’ailleurs un de ces écrivains obscurs dont le
nom
et les œuvres pouvaient se dérober aux recherches
ar Phèdre ne lui sont pas spéciaux ; la forme grecque conservée à son
nom
n’est pas le seul exemple qu’on trouve de cette a
vres avaient été traduites par des écoliers, ils auraient traduit son
nom
comme le reste ; nous le connaîtrions aujourd’hui
uit son nom comme le reste ; nous le connaîtrions aujourd’hui sous le
nom
de Phæder ; les lacunes observées laissent subsis
en ressort, c’est que Phèdre fut l’auteur des fables qui portent son
nom
, qu’affranchi d’Auguste il les écrivit sous les r
pe, Avianus et Phèdre ; comme on donnait, en général, au moyen âge le
nom
d’Ésope aux collections de fables latines en pros
n’en a donné qu’une analyse inexacte, notamment en la prétendant sans
nom
de libraire. 1736. Les fables de Phèd
re de Fabulæ antiquæ, et celle à laquelle M. Lucien Müller a donné le
nom
d’Æsopus ad Rufum 278. Encore le texte exact de l
so du fol. i, à la suite du récit qui précède, se trouve une liste de
noms
des abbés de Saint-Martial. Elle est d’une autre
stinés à servir d’illustrations à l’ouvrage de Prudence connu sous le
nom
de Psychomachia seu pugna Virtutum. Voici quelque
rs ; à la suite vient l’ouvrage lui-même, dont la nature est, avec le
nom
de l’auteur, explicitement indiquée par ce titre
b et suivants. — Gloses sacrées et explication de divers mots grecs ;
noms
d’animaux, de plantes, de minéraux, d’édifices, d
seum für Philologie, année 1867, page 634. Fol. clviii a. — Liste des
noms
qui sont ceux des abbés de Saint-Martial. Fol. cx
même copiste a écrit, tant dans le milieu de la page qu’en marge, 60
noms
de moines. Fol. cxc b à cxci a initio. — La premi
men , etc. Le calendrier reprend au fol. cxciii b, est accompagné des
noms
des abbés de Saint-Martial écrits en marge, et se
ts en marge, et se termine au fol. cxciv a. Fol. cxciv b. — Liste des
noms
des évêques de Tours. Vingt-huitième et dernier
chève donc mon analyse, en leur donnant, pour leur venir en aide, les
noms
des philologues avec l’indication des publication
e édition, publiée dans le format in-12, qui a fait souvent donner le
nom
d’Anonyme de Nilant à l’auteur maintenant connu d
Wolfenbüttel et la plus ancienne de celles auxquelles a été donné le
nom
de Romulus. Il s’ensuit que, selon moi, c’est seu
que son devancier avait laissé dans l’ombre. De toutes les villes du
nom
de Wissembourg il était certain que celle qui ava
du nom de Wissembourg il était certain que celle qui avait donné son
nom
aux manuscrits, c’était cette petite sous-préfect
il, celui qui, sous ce dernier mot, ne reconnaît pas immédiatement le
nom
de Phèdre lui-même299 ? » Si j’avais à discuter
date du commencement du xe siècle. Les fables qui y figurent sous le
nom
d’Ésope remplissent les feuillets 61 à 82 ; le ti
I Incipit liber II Æsopi fabri : “Qui ne voit pas à l’instant même le
nom
de Phèdre caché dans ce dernier mot ?” Je prétend
ulus primitif dont je parlerai plus tard et à laquelle je donnerai le
nom
de Romulus de Vienne. Il en est résulté que le re
n m’aidant surtout du texte du dérivé qui dans cet ouvrage portera le
nom
de Romulus ordinaire, que je vais l’examiner. §
r. § 1. — Dissertation sur Romulus. Romulus ! Voilà un singulier
nom
, qui a fait perdre le sommeil à bien des philolog
savants, j’ai le devoir d’en présenter au moins un aperçu rapide. Le
nom
de Romulus rappelle involontairement le premier r
crit ne doit pas inspirer confiance, et alors il ne faut voir dans le
nom
même de Romulus qu’une pure fiction. Il faut avou
avec le dernier empereur romain, mais qu’il avait bien existé sous le
nom
de Romulus. Schwabe s’était soumis à cette idée g
pour la fortifier, il avait fait remarquer que, chez les Romains, le
nom
de Romulus était fort répandu, et que, comme le d
, Rinucius, Rainutius, Rinuncius et Rynuncius, mais dont le véritable
nom
est Ranutio d’Arezzo306. Pour établir la distinct
ouvaient plus être considérés comme n’en formant qu’un seul sous deux
noms
différents. Il faut ajouter qu’il lui avait été b
s V, fut élevé des degrés inférieurs à la dignité de cardinal, en son
nom
exhorté et persuadé par vous, j’ai traduit la vie
1455. Ainsi pas de confusion possible. S’il avait existé un auteur du
nom
de Romulus, il n’avait eu rien de commun avec Ran
nger à son avis. « Pourquoi, s’écrie l’éditeur de Marie de France, ce
nom
serait-il supposé ? En est-il un de plus commun p
. du Méril ne subit pas la même influence. Pour lui, Romulus était un
nom
supposé, auquel, par une sorte d’accord tacite, u
t à Ranutio d’Arezzo ; mais on continua à penser qu’il avait porté le
nom
de Romulus. Cette pensée ne pouvait pas prédomine
e vivre Romulus au xiie . Convaincu qu’il a existé un fabuliste de ce
nom
, voici comment il s’exprime sur son âge : « La dé
ative à sa personne, non à vrai dire pour ce qui est de savoir si son
nom
est supposé ; car la fréquence de ce nom et de ce
ce qui est de savoir si son nom est supposé ; car la fréquence de ce
nom
et de celui de Tiberinus, son fils, ne donnent pa
ien pour ce qui est de savoir quel est, de tous ceux qui ont porté ce
nom
de Romulus, celui qu’on peut le plus vraisemblabl
a la première, eut un tel succès qu’elle fit oublier Phèdre et que le
nom
de Romulus finit par être une sorte de terme usue
finit par être une sorte de terme usuel employé à exprimer non pas un
nom
d’auteur, mais bien un genre spécial de littératu
s faire pour ordre une observation préliminaire. On a abusé un peu du
nom
de Romulus qu’on a pris l’habitude de donner à pr
lles. Il est donc bien entendu que toutes les fois que je donnerai le
nom
de Romulus à une collection, il s’agira, sinon de
sait comme une traduction latine du vieux fabuliste grec, et, sous le
nom
de Romulus, faisant en définitive parler l’affran
attestée par ces exemples montre clairement que l’œuvre qui porte le
nom
de Romulus n’a pas été une œuvre originale et qu’
faïences anciennes, et toute son habileté a consisté à introduire les
noms
les plus connus de l’histoire et de la géographie
qu’elles avaient ensuite servi à un certain Romulus (si toutefois ce
nom
n’est pas purement imaginaire), qui, cherchant à
été considérée comme la plus ancienne de toutes celles auxquelles le
nom
de Romulus peut être donné, en un mot, comme cell
hases de sa.vie ne l’avaient pas mis assez en lumière pour sauver son
nom
de l’oubli. Mais, en se formant sa magnifique bib
rary installée dans un palais particulier de style grec connu sous le
nom
de Thirlestaine house. C’est un volume in-4º, qui
Finis diuersarum fabularum. Cette édition ne porte ni le lieu, ni le
nom
de l’imprimeur, ni réclames, ni pagination. Hain,
e après la précédente et, quoiqu’il ne risque aucune hypothèse sur le
nom
de l’imprimeur, il ne me semble pas douteux que,
qué cette hypothèse a commis une erreur qu’explique, en l’absence des
noms
des imprimeurs, la similitude trompeuse des premi
icularités. Comme les précédentes, elle ne porte ni lieu, ni date, ni
nom
d’imprimeur ; elle est ornée de nombreuses figure
thiques ne porte ni signatures, ni réclames, ni lieu d’impression, ni
nom
d’imprimeur, ni date. Elle forme un petit in-foli
à longues lignes, en caractères gothiques, sans lieu ni date et sans
nom
d’imprimeur, et ornée également de nombreuses gra
marges, dont la reliure porte sur les plats les initiales réunies des
noms
de Henri II et de Diane de Poitiers ; 3º À la bib
in-fol. de 167 feuillets de 36 lignes à la page, sans lieu, date, ni
nom
d’imprimeur, et avec les mêmes gravures sur bois
le réimprima plusieurs fois. Ces réimpressions ne portent ni date, ni
nom
d’imprimeur, et, quoique très vraisemblablement e
re incontestablement attribuées ; une seule, étant accompagnée de son
nom
, ne peut, quant à son origine, être l’objet d’auc
trouve cette dernière indication qui détermine le lieu, la date et le
nom
de l’imprimeur : Gedruckt vnd vollendet in der h
un vol. in-fol. illustré de gravures sur bois. Le lieu, la date et le
nom
de l’imprimeur y sont nettement indiqués par cett
un volume in-fol. de petit format, qui ne porte ni lieu, ni date, ni
nom
d’imprimeur. En ce qui touche le lieu, le traduct
us de ce titre est une vignette dans laquelle une banderole porte les
noms
des imprimeurs. Le verso du premier feuillet est
o en caractères gothiques, sans indication de lieu, ni d’année, ni de
nom
d’imprimeur, qui comprend les 4 miroirs de Vincen
alium, 5. Consolatio super morte amici. Le lieu de l’impression et le
nom
de l’imprimeur sont exprimés dans trois distiques
’il signale du Speculum naturale, sans date, ni lieu d’impression, ni
nom
d’imprimeur. Elle a 69 lignes à la page, et ne po
souscription suivante qui révèle le lieu d’impression, la date et le
nom
du typographe : Speculum doctrinale Vincentii be
n encadrement xylographique, dans lequel est plusieurs fois répété le
nom
du libraire J. Petit, lorsque l’exemplaire lui es
ux destinés à Galliot du Pré, le frontispice ne porte qu’une fois son
nom
et est orné d’un encadrement différent. Fol. 1 b.
s et que son œuvre consistait dans la collection que j’ai baptisée du
nom
de Romulus ordinaire. Ne supposant pas qu’il y eû
pas qu’il y eût d’autres collections susceptibles d’être revêtues du
nom
de Romulus, ils ne pouvaient se poser la question
de Névelet à des conjectures erronées. Je crois avoir trouvé son vrai
nom
dans un manuscrit dont il sera bientôt question,
it 609 de la même Bibliothèque, on voit apparaître l’empereur Tibère,
nom
auquel celui de Tiberinus a dû conduire. Pour sa
u’aurait été exécutée la traduction latine des fables d’Ésope dont le
nom
aurait été conservé à l’œuvre nouvelle. La même i
icere, auctorem græcum in latinum transtulit. » Si dans ce passage le
nom
de l’empereur n’est pas indiqué, en revanche aucu
s le manuscrit, il était appelé Romalius ; mais il est évident que ce
nom
n’était que l’altération de celui de Romulus, com
èque de l’Université de Ferrare, on ne voit surgir aucun doute sur le
nom
de l’empereur ; c’est Théodose qui prie Romulus,
voie sa traduction à l’empereur sans vouloir la revêtir de son propre
nom
. J’aurais pu, chemin faisant, produire des extrai
es tant publiques que particulières ; mais je ne veux pas en dire les
noms
, pour que ceux qui sont d’un autre avis se compla
nt que néanmoins on ne pouvait pas non plus raisonnablement donner le
nom
de Romulus à l’auteur des fables élégiaques, Jule
Il les présenta au public comme l’œuvre d’un anonyme ; de là vint le
nom
d’Anonyme de Névelet par lequel on désigna depuis
r lequel on désigna depuis l’auteur inconnu. Mais la recherche de son
nom
n’en fut pas moins poursuivie, Barth s’en occupa
de son nom n’en fut pas moins poursuivie, Barth s’en occupa ; le vrai
nom
lui parut être celui de Bernard. Il appuyait cett
avec celles de l’Anonyme. « Si quelqu’un, écrivait-il, me demande le
nom
de l’auteur, je dirai que c’est ce Bernard dont S
l avait vu, dans un passage imprimé d’une lettre de Thadée Ugolet, le
nom
de Salon de Parme donné à l’auteur des fables élé
die decima nona Maii. » Malheureusement cette mention, en donnant le
nom
de Jenson, se rapportait clairement, non pas à l’
fables élégiaques. Après avoir rappelé que Névelet lui avait donné le
nom
d’Anonyme ancien, il ajoutait : « Je lui ai subst
anciens, plus propres aux goûts des peuples du Nord, chez lesquels ce
nom
étoit fort connu416. » Pour justifier ce nom, vo
Nord, chez lesquels ce nom étoit fort connu416. » Pour justifier ce
nom
, voici ce qu’il expliquait ensuite dans une des n
t écrit de la même main, et je ne vois pas pourquoi il auroit mis son
nom
aux fables : j’ai cru quelque temps que ce Galfre
l y avoit, au commencement du xiie siècle, tant d’Anglais portant ce
nom
, qu’il me semble difficile de choisir d’une maniè
tionale le manuscrit dans lequel M. Robert prétendait avoir trouvé le
nom
de Galfred. Mais je n’ai pas tardé à m’apercevoir
rouvé le nom de Galfred. Mais je n’ai pas tardé à m’apercevoir que le
nom
de Gauffredus ne figurait dans aucun des huit par
dition du manuscrit du British Museum, dit bien que M. Robert a lu le
nom
de Galfred dans le manuscrit nº 8259. Mais c’est
agistri Gauffredi. Quant aux autres manuscrits, lorsqu’ils portent un
nom
, c’est toujours celui d’Ésope. Ainsi le manuscrit
rit est du commencement du xve siècle, c’est-à-dire d’un temps où le
nom
du véritable auteur, oublié depuis deux siècles,
ui par une petite faiblesse d’esprit avait été porté à introduire son
nom
dans le titre. Du reste, il est aisé de juger qu’
recommencer son travail, il serait très disposé à jeter aux orties le
nom
de Galfred et à attribuer les fables à un certain
est rappelée par le glossateur lui-même, que ce mot était non pas un
nom
propre, mais un participe qui qualifiait Ésope de
que royale de Madrid. Il fallait donc chercher ailleurs l’introuvable
nom
de l’Anonyme. En 1838, dans son édition des fable
t ni la glose du manuscrit 8023, prétendit à son tour avoir trouvé le
nom
du véritable auteur qu’il nomma Ugobard de Sulmon
ts de la Bibliothèque nationale, elle n’en différait guère que par le
nom
de l’auteur qui aurait été le compatriote d’Ovide
té au manuscrit, y étaient appelées Hildeberti Turonensis Fabulae. Ce
nom
a eu au moyen âge une grande notoriété, et je vai
n 1708 ; elles forment un volume in-folio. Tandis que tous les autres
noms
avaient laissé subsister des doutes, celui-ci fut
e tromper et que le manuscrit analysé par lui ne devait pas porter le
nom
d’Hildebert, et, persécuté par le désir d’en avoi
ossédait la bibliothèque royale. L’un d’eux les attribuait à Romalus,
nom
qui, comme celui de Romalius, n’était qu’une alté
crit latin 303, et, quand il est dans mes mains, je m’aperçois que le
nom
d’Hildebert n’y figure pas. En revanche, en marge
ut se traduire ainsi : « Le titre de ce livre est Incipit Esopus ; ce
nom
n’est pas celui de l’auteur, qui au contraire est
ur assurer à son œuvre un accueil plus honorable, il le revêtit de ce
nom
qui peut-être est celui de quelque noble personna
Je ne m’arrête pas à l’explication puérile que le glossateur donne du
nom
d’Ésope qui serait celui de quelque personnage no
noble ou d’une plante odoriférante. Ce qui est intéressant, c’est le
nom
de Walther par lequel il désigne le véritable aut
était-elle plus exacte ? Comment sortir d’embarras ? Au moyen âge le
nom
de Walther ou Gauthier a appartenu à de nombreux
pi. » Ainsi le Walther, dont le manuscrit de Vienne m’avait révélé le
nom
, c’était bien celui qui a été surnommé l’Anglais,
ter notamment : 1º Une édition scolaire in-4º, sans date, ni lieu, ni
nom
d’imprimeur, qui se compose de 42 feuillets signé
724) ; 2º Une édition scolaire in-4º également sans date, ni lieu, ni
nom
d’imprimeur, comprenant 38 feuillets, dont le pre
74) ; 3º Une édition de 35 feuillets in-4º, sans lieu, ni année, ni
nom
d’imprimeur, mais néanmoins facile à distinguer d
feuillets, non chiffrés, mais signés de a à g, sans lieu, ni date, ni
nom
d’imprimeur, dont un exemplaire existe à la Bibli
es rois de France, ensuite celles de la ville et enfin tout au bas ce
nom
d’éditeur : J. le forestier , et qui se terminai
éditions, en attribuant les Fables élégiaques à celui des auteurs du
nom
de Walther, qui a été le plus communément surnomm
Un point sur lequel on n’a guère été plus d’accord que sur le
nom
de l’auteur des fables, c’est celui qui concerne
rram || est alius. Quant à sa provenance, elle se reconnaît tant au
nom
italien de son premier propriétaire qu’à la reliu
explicit isto. Puis viennent ces deux mots : Explicit Esopus. Le
nom
du véritable auteur manque, comme dans tous les a
ne avait écrit au-dessous deux lignes, dans lesquelles se trouvait le
nom
d’un des propriétaires successifs du volume ; mai
tude autrefois trop constante, un propriétaire postérieur a effacé ce
nom
, de sorte qu’il ne reste plus que ce qui suit :
lle souterraine, qu’on appela Notre-Dame de Bonne-Nouvelle et dont le
nom
a survécu à l’édifice. Mais ce qui faisait surtou
ension de sa bibliothèque, devint, le 26 octobre 1448, prieur sous le
nom
de Jean V et mourut le 30 mai 1458. Entré dans la
français de 8 syllabes, dont l’auteur inconnu a reçu de M. Robert le
nom
d’Ysopet I. En tête de la première page le miniat
. Voilà ce qui ressort d’abord du titre. Mais ce n’est pas tout ; les
noms
d’Ysopet et d’Avionnet montrent que le manuscrit
.. fait tñslater de latin a romãt. Un grattage a fait disparaître le
nom
du traducteur. Suivent, sous ce titre : Li prolo
rouve une sorte de préface ou commentaire en prose, qui donne le vrai
nom
de l’auteur. En voici le texte : « Incipit Esopus
Dei et proximi, Item de doctrina dicendi et faciendi, Et Esopus. » Le
nom
d’Esopus, qui figure dans cette nomenclature, est
que tous les autres, attribue leur texte latin à l’empereur romain du
nom
de Romulus. Au bas du feuillet 138 a on lit ces d
semblance. Je ferai d’ailleurs remarquer que la glose ne donne pas le
nom
du moine de Faenza qu’elle signale, et qu’elle pa
dessous s’en trouve une seconde, dans laquelle le copiste se donne le
nom
de Jean fils et déclare avoir achevé sa copie le
cieux sur l’auteur véritable des fables, dont il indique à la fois le
nom
et la nationalité. Aussi, malgré sa longueur, me
de mois. Suivant Hain, cette édition, sans indication de lieu et sans
nom
d’imprimeur, aurait été imprimée à Haguenau par H
ts des quatre évangélistes, savoir : le premier, un bœuf ailé avec le
nom
de saint Luc, le deuxième, un aigle avec le nom d
un bœuf ailé avec le nom de saint Luc, le deuxième, un aigle avec le
nom
de saint Jean, le troisième, un ange avec le nom
me, un aigle avec le nom de saint Jean, le troisième, un ange avec le
nom
de saint Mathieu, et le quatrième, un lion avec l
n ange avec le nom de saint Mathieu, et le quatrième, un lion avec le
nom
de saint Marc. L’édition se termine par ces mots
. La souscription finale, qui ne porte l’indication ni du lieu, ni du
nom
de l’imprimeur, est ainsi conçue : Esop9 fabulat
tères gothiques à 40 lignes à la page, sans indication de lieu, ni de
nom
d’imprimeur. Voici comment Hain le décrit dans so
ractères gothiques et ornée de gravures sur bois. Elle ne porte aucun
nom
d’imprimeur ; mais à la marque on reconnaît quell
s se terminent au bas du feuillet 44 a, sans indication de lieu ni de
nom
d’imprimeur, par le simple mot Amen , suivi de l
ompris dans un encadrement xylographique contenant huit portraits aux
noms
de Jérémie, Abacuc, Daniel, Jonas, Grégoire, Jérô
ue celle d’un autre plus ancien appelé Mocenigo par M. Ghivizzani, du
nom
de la famille patricienne à laquelle il a apparte
crites par Smunto ou par Annebiato, ses anciens possesseurs, dont les
noms
figurent en tête. Manuscrit 1645. La traduc
n siège inférieur et quatre auditeurs placés à droite et à gauche. Le
nom
du savant est révélé par le mot Esopus inscrit au
é : Vincentius Metellus cirratæ adolescentiæ , qui fait connaître le
nom
du traducteur. Les fables sont au nombre de soixa
i nequam, nequaquam », et que, blessé de ce jeu de mots fait avec son
nom
, Neckam opta pour un autre ordre monastique. Oudi
dre, oublié depuis plusieurs siècles, ne lui était guère connu que de
nom
. Ce qui est possible, c’est qu’en dehors des coll
ture sur parchemin est du xve siècle et auquel le catalogue donne le
nom
de Codex Bigotianus. M. Robert lui attribue le nº
reconnaître, c’est qu’elles ne portent pas au catalogue le véritable
nom
de leur auteur, et que, composées en vers élégiaq
er à l’auteur des fables latines, mais en ignore même complètement le
nom
. Quant à la versification des fables françaises,
ues desquelles ils se trouvaient, donner à la collection elle-même le
nom
de Romulus de Vienne et de Berlin. Mon jugement s
u altérée du vrai texte ; et, partant de là, je donnerai seulement le
nom
de Romulus de Vienne à la collection que j’avais
été question de la collection que je vais maintenant examiner sous le
nom
de Romulus de Florence. Ce qui me l’avait fait né
a publié le Romulus qu’il renfermait et auquel il a ainsi attaché son
nom
. Dans le catalogue ci-dessus indiqué, le contenu
ion forcément incomplète de la collection à laquelle il a attaché son
nom
. Chapitre II. Dérivés en prose latine. — Rom
ce. Dans ma première édition, voulant attribuer à cette collection un
nom
qui la distinguât des autres, je l’ai appelée Rom
on anglaise à un autre roi d’Angleterre, dont il dénature toujours le
nom
et qu’il appelle Almes500, Alrei501, Avree502, Uv
ey 4333 de la Bibliothèque du British Museum désignent ce roi sous le
nom
de Henris, et, lorsqu’on songe que celui qui l’a
aurait dû, aidé de sa haute érudition, risquer une conjecture sur le
nom
de celui qui pouvait l’avoir écrite. Faute par lu
e confiance que les autres, que, si ce n’est pas Marie qui a écrit ce
nom
, les copistes qui, dans deux manuscrits, l’ont su
et qu’enfin des rois d’Angleterre Henri Beau-Clerc est le seul que ce
nom
puisse désigner, c’est à lui que je persiste à at
a déjà été question aux pages 294 et 478 et à laquelle j’ai donné le
nom
de Dérivé complet, le roi ne serait plus l’auteur
s qui, M. Robert en ayant été, en 1825, le premier éditeur, a reçu le
nom
de Romulus Roberti. C’était une erreur : le texte
deux fables existent à la même place dans la collection qui porte le
nom
de Nilant. Comment pourrait-il en être ainsi, si
r sur eux les moindres renseignements, elle nous a fait connaître son
nom
et sa nationalité dans ce fameux vers de l’épilog
l avait été son contemporain, elle n’aurait guère pu connaître que de
nom
. Aussi suis-je davantage porté à croire avec l’ab
a écrit : « C’est à moi Claude Fauchet par eschange fait avec… ». Le
nom
du précédent propriétaire a été intentionnellemen
s : Je cuy à frère… ; à la suite venaient deux mots qui étaient les
noms
d’un moine et qu’un propriétaire plus récent a fa
en prose latine, qu’il a éditées532, auxquelles on a donné ensuite le
nom
de Romulus Roberti, et dans lesquelles j’ai cru r
rdre d’un roi anglais, appelé tantôt Afferus, tantôt Affrus. Ces deux
noms
, qui, comme on le sait, désignent le roi Alfred l
tinité, le Romulus de M. Robert, dans la même fable, donne au Loup le
nom
d’Ysengrinus et au Renard celui de Renardus. Or c
ne au Loup le nom d’Ysengrinus et au Renard celui de Renardus. Or ces
noms
, ainsi que M. Oesterley542 le constate lui-même,
le scribe, en exécutant sa copie, a substitué, dans la fable 21, les
noms
d’Isengrinus et de Renardus à ceux de Lupus et de
xive siècles le distinguent de la même manière ou simplement sous le
nom
d’Aretinus. « Cependant il s’est trouvé des auteu
hécaire à lui donner le titre de Augens dans l’index de son livre. Ce
nom
a fait dire à plusieurs écrivains qui se sont cop
es Fables de Phèdre, publiée en 1786. 164. Le Frontispice portant le
nom
de Grangé fut, en 1753 et en 1754, remplacé par d
ius, son ami, étant devenu successivement cardinal, puis pape sous le
nom
de Pie II, il se rendit à Rome dans l’espoir d’y
page cxix. 251. Voyez Dissertatio II, pages xcix à c. 252. C’est le
nom
donné par Jannelli à l’anonyme de Névelet. 253.
st, quæ in primi folii fronte conspicitur : “Liber, etc.” » 298. Du
nom
de Rufus sont venus les noms de famille français
e conspicitur : “Liber, etc.” » 298. Du nom de Rufus sont venus les
noms
de famille français de Leroux dans le nord et de
nçais de Leroux dans le nord et de Roux dans le midi. On sait que les
noms
de famille n’existent en France que depuis la fin
xvie et qui, dans ses dialogues sur l’histoire des poètes, donna le
nom
de Romulus à l’auteur des fables en vers élégiaqu
La vente d’Esope. Chapitre V. Zenas (c’estoit le
nom
de celuy qui avoit la charge de la Mestairie) est
tre, qui ne s’enquerant de rien, et ne daignant pas mesme demander le
nom
de l’homme qui l’invitoit, s’en alla droict au lo
irer devant la Beauté qu’il veut servir ? N’est-il point temps que le
nom
de Serviteur ou de Maistresse luy soit aussi odie
erté, si ce n’est en ses dernieres années ? Espere-t’il eterniser son
nom
dans la tombe par la reputation d’estre Serf ? Ve
baudant aux oreilles de leur Maistre, de faire passer un vice sous le
nom
de la Vertu qui luy est proche, comme d’appeller
is la Republique des Sybaritains, de qui mesme l’on trouve à peine le
nom
dans les Histoires, si ce n’est que les Autheurs
t l’imprudence, malice, et bref ils scandalisent le Vertueux, sous le
nom
d’Hypocrite. D’où l’on peut conclurre aisément, q
elle est accompagnée de sujetion. Or n’entendons-nous pas icy par ce
nom
de liberté toute sorte d’affranchissement, veu qu
y qui leur donne du pain, et s’ils ne faisoient survivre à la mort le
nom
de ceux qui maintiennent le repos de leur vie. Qu
eau hors de la Mer, c’est une chose pleine d’apparence que non pas le
nom
du Roy de Portugal, mais la violence du commandem
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